lundi, 27 avril 2020
Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (LUNDI 27 AVRIL)
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Halte à l’hypocrisie des juges et des media : le racisme est très différent de ce que l’on dit !
Bernard Plouvier
Une vidéo prise à Paris, ces dernières heures, aurait ému les milieux immigrationistes, dans laquelle un policier aurait émis - le conditionnel est de rigueur quand l’on connaît la virtuosité de certains truqueurs - des propos « racistes ».
Si la chose était avérée, ce serait regrettable : toute manifestation de racisme est une stupidité, en plus de tomber sous le coup de la loi – du moins théoriquement, car certains propos racistes sont occultés par nos talentueux hommes et femmes des media et nos remarquables juristes.
En l’occurrence, la « victime » serait un honorable voleur issu d’Afrique, opérant au sein d’une bande, qui se serait jeté dans la Seine pour échapper aux policiers puis aurait hurlé quand on l’a repêché... et les hurlements ne témoignent pas obligatoirement de « mauvais traitements », à moins de qualifier ainsi des gestes visant à éviter une noyade.
Une bonne question jamais posée est celle-ci : quelle est la valeur du témoignage d’un honorable malfrat, voire d’un non moins honorable délinquant multirécidiviste ? Car beaucoup de « manifestations » de racisme à l’encontre des immigrés ne reposent que sur des on-dit, véhiculés par des voyous ou leur très nombreuse parentèle.
Or, le racisme est une chose extrêmement répandue en France actuelle, mais pas dans le sens retenu par nos merveilleux journaleux aux ordres et nos irréprochables magistrats.
À moins d’être sourd et aveugle, force est de reconnaître que n’importe quel Blanc – et plus encore les Blanches et les Asiatiques – se fait trop souvent insulter de toutes les manières possibles, se sent bousculé, puis frappé s’il ose protester, simplement pour avoir traversé un « quartier réservé ». La nation française y a beaucoup gagné, c’est évident.
Il est surprenant que ce racisme quotidien ne soit guère relevé par la fleur de nos antiracistes. Pourtant, Le racisme anti-Blancs ne devrait en aucun cas être toléré, tout simplement parce que la France étant implantée en Europe, continent de la race blanche, nul étranger à notre race n’a le droit de venir nous insulter chez nous. C’est une simple question de logique... avant de devenir, éventuellement, une question de rapport de forces.
Il est évident que le racisme, envers n’importe qui, est une pure absurdité. Mais si nos honorables trafiquants d’armes, de drogues et de prostituées, si nos honorables pillards, vandales et incendiaires se sentent malheureux chez nous, qu’ils n’hésitent pas une seconde : qu’ils rentrent dans leur pays d'origines !
Aucun citoyen-électeur n’ayant été consulté sur l’opportunité d’une immigration extra-européenne, à la fois inassimilable – le confirment les émeutes de ces derniers jours, alors que le pays affronte un désastre sanitaire sans précédent – et en train de tourner à l’invasion, cette immigration massive est parfaitement illégale.
La Nation, seule souveraine, doit être appelée à se prononcer sur cet énorme problème de société, un problème actuel, bien sûr, mais surtout un problème qui engage l’avenir de notre Peuple. Quel héritage laisserons-nous à nos enfants et arrière-petits-enfants : un continent civilisé, tel que nous l’avons connu avant le brassage des races imposé par la très immonde globalo-mondialisation, ou un « monde sans racine ni repère » ?
17:07 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL : ce lundi 27 avril, Philippe Randa invité de Gabriele Adinolfi à l'Académie Europe
16:53 Publié dans Gabriele Adinolfi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quoi qu’il en coûte !
Pieter Kerstens
Lors de son allocution au peuple Français le 12 mars dernier, le docteur Micron avait affirmé à trois reprises qu’il fallait soutenir l’économie française, pour éviter la grande crise, « quoi qu’il en coûte ». C’est donc l’Etat Providence qui se chargera de distribuer des revenus, des aides, des subventions, des dons et des prêts, aux sociétés comme aux personnes physiques, afin de sauver l’économie, victime des erreurs de stratégie et des mauvais choix du pouvoir en place.
Pourtant il faut se souvenir que le Président français avait déclaré le 12 juin 2018 que les services sociaux dans l’Hexagone, « cela coûte un pognon de dingue » alors que les gens restent quand même pauvres. Il fallait selon lui, les responsabiliser davantage.
Et on a pu se rendre compte que les assistants du docteur Micron sont mauvais, qu’ils mentent à longueur de temps à propos des « masques inutiles », des tests de détection pour les malades contaminés, des appareils respiratoires, des mesures de distanciation ou encore des fermetures des lieux de loisirs à ciel ouvert. Les ministres sont de piètres clowns au sein du Coronacircus.
Le 16 mars, on apprend que la guerre est déclarée ! En effet, le docteur Micron nous entraîne dans un conflit incertain et déclame à 6 reprises « nous sommes en guerre » et selon lui, pour freiner la propagation du virus, il ordonne la fermeture des crèches, des écoles, des universités, et d’une multitude d’entreprises au prétexte d’un « confinement », réelle réclusion à domicile, limitant la liberté de circuler et de travailler. Il interdit le fonctionnement des bars et des restaurants, ferme les cinémas et tous les lieux de culture, même en pleine nature. Pas de promenades en montagne, ni de ballades sur les plages, même si l’on est espacé de 10 mètres ! Toutes les activités touristiques sont à l’arrêt. L’Etat paiera le manque à gagner.
Et le bonimenteur Micron de nous affirmer « Retenons cela : le jour d’après, quand nous aurons gagné, ce ne sera pas un retour aux jours d’avant ».
Crise sanitaire + crise économique + récession = krach financier.
Aux abois, les gourous du mondialisme, leurs complices qui dirigent les états européens et leurs copains banksters vont inonder les sphères sociales, industrielles ou artisanales d’une manne monétaire de milliers de milliards d’euros imprimés 24h/24h et 7j/7. Cette option devrait, selon ces éminences, permettre de sauver l’économie européenne plongée dans un coma profond à cause de leur décision d’imposer un « confinement » à des peuples sains, dans la majorité des pays occidentaux. Mais personne ne pourra empêcher une récession (ou dépression), entrainant une baisse d’au moins 15% des PIB en Europe, une hausse importante du chômage (20%) donc un appauvrissement général, entraînant sans doute plus de morts que ceux liés au Covid-19.
Cette récession/dépression empêchera des millions de gens à rembourser leurs emprunts et privera les banques de revenus financiers indispensables à leur survie, comme en Italie, en Espagne, comme BNP Paribas ou aussi la sulfureuse Deutsche Bank, qui risquent de couler.
En guise de synthèse de ce qui précède, se pose tout de même la question : « Qui va payer la note ? Quand ? Et comment ? ». Parce que l’argent magique, cela relève du conte de fée.
16:50 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le cas Sibeth Ndiaye
12:54 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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En route vers le futur
Michel Malnuit
Ayant rédigé plusieurs chroniques sous le titre commun « En attendant le grand soir » pour l’ancienne version du site du Parti de la France cliquez ici, plusieurs raisons m’avaient pourtant éloigné de l’écriture (NB : nullement par opposition au PdF, que je continue de soutenir). La situation actuelle, ô combien extraordinaire – au sens qu’elle sort de l’ordinaire voire même qu’elle crée un nouvel ordre –, incite à ne pas se retirer dans sa forteresse loin du monde et de ses fracas laissant le Destin agir, mais à faire un pas de côté tel un laïc faisant une retraite dans un monastère pour trouver les nouvelles voies, les nouvelles pistes du monde qui advient. C’est pourquoi je reprends cette chronique régulière pour « Synthèse nationale », que l’on ne peut que féliciter et soutenir pour son action justement de synthèse des différents aspects politiques, intellectuels et culturels de la droite nationale. Avec cette nouvelle série de chroniques, il ne s’agira pas de donner des leçons à ceux qui s’engagent sur le terrain, aux responsables des mouvements de la droite nationale. Il s’agira de participer aux combats des idées qui est indispensable à l’action politique, mais celle-ci gardera sa primauté.
M.M.
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Face à des événements particuliers, que l’on ne peut contrôler, le retour aux sources, à la racine s’avère indispensable. Notamment via l’étymologie. Et ce que nous devons faire avec cette crise qui est sanitaire, mais également économique, sociale, philosophique et politique. Crisis, en latin du Moyen-Âge, signifie manifestation violente, brutale d’une maladie. Et en grec ancien Krisis c’est le jugement, la décision. Il est donc certain que cette crise que nous subissons est un révélateur des limites, de l’explosion du système global. Le Covid-19 c’est le grain de sable qui vient enrayer l’avènement irénique du Nouveau Monde. Comme l’affirmait Antonio Gramsci : « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ». Un autre de ses aphorismes permet de mieux entrevoir ce que nous vivons : « La crise est le moment où l'ancien ordre du monde s'estompe et où le nouveau doit s'imposer en dépit de toutes les résistances et de toutes les contradictions. Cette phase de transition est justement marquée par de nombreuses erreurs et de nombreux tourments. »
Les monstres, c’est le Système – l’occasion faisant le larron – qui impose un contrôle des déplacements, des esprits, de l’activité économique pour mieux imposer son maintien, profitant d’une situation qu’il n’a pas su empêcher. Confinement, déconfinement, reconfinement vont probablement marquer nos vies pendant plusieurs années avec une communication qui mélange amateurisme le plus néfaste et le supplice chinois le plus vicieux. Il ne s’agit pas de nier la dangerosité du Covid-19 qui est tout sauf une grippette et qui risque de nous faire subir plusieurs vagues comme la grippe espagnole il y a un siècle. Oui, rien ne sera plus comme avant mais ce ne sera pas, du moins à courte vue, l’effondrement du Système. Ce dernier va plutôt se renforcer mais telle une cocotte-minute à un moment la soupape ne pourrait plus faire évacuer la vapeur…
Les erreurs et tourments c’est vouloir réagir systématiquement à chaud, croire surtout le moindre propos qui critique la propagande officielle sans se poser la question de savoir si son émetteur, même bardé de diplômes, n’est pas un charlatan ; c’est mélanger complotisme obsessionnel et pensée magique ; c’est enfin ressortir les vielles formules politiques, le plus souvent les plus caricaturales.
Oui, il faut faire un pas de côté, proposer des pistes à la Droite nationale pour qu’elle ne puisse plus regarder le train de l’Histoire passer sans elle ; pour qu’elle ne soit plus seulement observateur ou commentateur énervé mais acteur ; pour qu’elle réalise son unité tout en respectant sa diversité. Laissons au bord u chemin, voire dans le fossé, ceux qui préfèrent passer leur temps à cracher leur fiel sur les camarades les plus proches.
Refusons et dépassons la mauvaise alternative caricature/reniement stratégique. La Droite nationale n’a pas à avoir honte de ce qu’elle est, n’a pas à renier son héritage sous prétexte de plaire à la caste médiatique – qui est l’une des détestées par les peuples soit dit en passant –, n’a pas à avoir peur d’utiliser les mots droite, nation, national, nationalisme au profit d’un populisme qui est devenu une sorte de marais incapacitant, mais aussi elle n’a pas à se réfugier dans la caricature, dans des formes mortes et qui font peur, dans un refuge de pureté qui ne masque plus le refus d’exercer le moindre pouvoir sous prétexte de ne pas se salir les mains…
La Droite nationale doit retrouver le chemin de la Tradition et d’une certaine modernité. A l’instar de ce que proposait en son temps le Parti des forces nouvelles, la droite nationale doit chevaucher et dompter une partie de la modernité pour s’ancrer dans le monde d’après. C’est repenser à l’archéofuturisme cher à Guillaume Faye (certainement son dernier essai digne de ce nom et un concept qui a marqué une génération dont l’auteur de ces lignes). En effet, l’Européen – car pour nous il ne s’agit pas d’opposer les nations à la nécessaire unité européenne – c’est à la fois le Hobbit qui cultive son champ et maintient ses coutumes mais aussi l’Elfe qui part à la découverte du Monde, y compris des étoiles… C’est Delphes et la fusée Ariane.
La Droite nationale doit donc en finir avec le positionnement contre, elle doit proposer une espérance, un rêve, un mythe, un ordre nouveau.
Tel est notre projet…
12:50 Publié dans Notre enquête sur l'après mondialisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Celui qui fut Weber le rouge est mort.
L'avis de Jean-François Touzé
Je ne suis pas de ceux qui rient dans les cimetières et, même si je pense avec Vitellius et Charles IX, que le cadavre d'un ennemi sent toujours bon, je ne me réjouis pas de la mort de quiconque quand le temps a fait son oeuvre. Mais tout de même.
Weber fut un militant révolutionnaire marxiste léniniste acharné, déterminé et enragé, aux côtés de Krivine, au temps des JCR puis de la Ligue. Au début des années 70, il habitait juste a coté de chez moi boulevard Saint Marcel. Tout le quartier était couvert d'autocollants d'Ordre nouveau dénonçant la présence de celui qui était bien une crapule gauchiste.
Ni sa mutation ultérieure en sénateur socialiste fabiusien, ni son riche mariage qui lui ouvrit les portes des milieux patronaux, ne peuvent faire oublier les imprécations haineuses du directeur de "Rouge" et de l'orateur idéologue et activiste dont nous avons gardé la mémoire.
Spéciale dédicace à tous ceux de nos camarades d'alors qui ont connu la douceur des arguments en acier trempé de la LCR.
12:35 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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