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lundi, 31 août 2020

Mardi 1er septembre : reprise des activités de l'Académie Europe

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Porte ouverte à l’inflation puis à l’hyperinflation

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Jerome Powell, président de la Fed, vient de tracer, à Jackson Hole (Wyoming), les grands axes du nouveau cadre de la politique monétaire. La Fed entend placer l’emploi avant l’inflation. La Fed visera un taux moyen de 2 % sur la durée et compensera les périodes de faible inflation par une inflation de plus de 2 % durant un certain temps. La banque centrale américaine entend, ainsi, ramener les USA au plein-emploi et favoriser la remontée de l’inflation. La nouvelle stratégie monétaire de la Fed devrait donc la conduire à conserver des taux nominatifs très bas et des taux réels négatifs.

Alors que Paul Volcker, à la tête de la Fed entre 1979 et 1987, releva d’une façon très forte le taux directeur américain pour dompter l’inflation, Jerome Powell cherche à la stimuler. Volcker provoqua une récession mais parvint à éteindre l’inflation avant de provoquer une forte reprise économique, tandis que Powell pourrait bien déclencher, à terme, une hyperinflation incontrôlable. Le chômage américain est actuellement à 10,2 %. Il est en baisse par rapport aux 14,7 % d’avril dernier, mais il reste bien supérieur aux 3,5 % de février. La semaine dernière, le nombre de demandes d’allocation chômage était toujours d’un million.

Selon la Bank of America, la Fed ne devrait pas relever son taux directeur avant 2062, soit avant 42 ans, ce qui relève de l’utopie et d’un effondrement économique à venir. La seule chose de certaine, c’est que nous nous dirigeons vers un environnement avec davantage d’inflation. Le diable pourrait bien sortir un jour de sa bouteille pour nous conduire à une situation semblable à celle de l’Allemagne en 1923.

La masse monétaire M1 des États-Unis, qui s’élevait à 200 milliards de dollars en 1980, a été multipliée par 30 pour s’élever, aujourd’hui, à 6.000 milliards de dollars, avec une croissance accélérée à la verticale depuis le 23 mars 2020. Comme les banques commerciales sont réticentes à prêter de l’argent, suite aux risques d’impayés, la Fed ne trouve rien de mieux que d’augmenter encore davantage la masse monétaire afin de compenser leur frilosité. C’est exactement ce qui s’est passé dans l’Allemagne des années 1920.

La crise de 2008 a ouvert grand les vannes de la politique d’achat d’actifs financiers par les banques centrales. La crise du Covid-19 incite au recours à l’utopique politique moderne, c’est-à-dire à la « monnaie hélicoptère », c’est-à-dire, encore, à créditer directement les comptes des citoyens. Certains économistes proposent même d’expérimenter des politiques de taux négatifs très élevés. Aux États-Unis, les chèques signés par le Trésor américain n’ont pas empêché la faillite de l’enseigne de distribution JC Penney, mais ils ont dopé les cours des actions en Bourse.

La France, elle, souffre d’une désindustrialisation imbécile depuis quarante ans et, donc, d’une insuffisance de l’offre de produits industriels. Relancer la consommation par une politique monétaire laxiste fait l’affaire de l’Allemagne et de la Chine, mais pas de la France qui importe.

Les seuls gagnants actuels, partout dans le monde, sont la dette et la création monétaire qui augmentent. L’hyperendettement d’un État ne peut se terminer que par l’hyperinflation avec dévaluation, une fiscalité confiscatoire, l’austérité généralisée, l’emprunt obligatoire, la guerre et son butin ; ce que fit Napoléon, ou la banqueroute et l’effondrement comme au Liban. Il n’y a que des inconscients, style Mélenchon, pour croire que tout va se terminer pour le mieux en France par une dette perpétuelle dans un monde où, demain, on rasera gratis.

David Hume (Essai sur le crédit public) mettait déjà en garde, au XVIIIe siècle : « Il ne serait guère plus prudent de donner à un fils prodigue un crédit chez tous les banquiers de Londres que de donner à un État le pouvoir de tirer de cette manière des lettres de change sur la postérité. »Quant à l’Autrichien Stefan Zweig, il raconte, dans Le Monde d’hier, son souvenir de l’hyperinflation des années 1920 : « J’ai vécu des journées où il me fallait payer le matin cinquante mille marks pour un journal et le soir cent mille […] On trouvait des billets de cent mille marks dans le caniveau : un mendiant les avait jetés avec dédain, mais pour cent dollars, on pouvait acheter des files d’immeubles de six étages sur le Kurfürstendamm. »

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dimanche, 30 août 2020

TRIER LES ORDURES : UN DEVOIR CITOYEN !

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Pieter Kerstens

Effectivement, si le combat contre la pollution de l’environnement est nécessaire, combattre la pollution des esprits est également indispensable. 

Depuis trop longtemps, les contribuables, les parents et les électeurs assistent béats à la destruction de notre civilisation par des technocrates qui imposent leurs schémas et leurs dogmes, au nom d’un égalitarisme impalpable.

Quiconque s’oppose à cette décérébration mondialiste se voit taxer de « politiquement incorrect ». Ceux qui se battent depuis des années contre les valets de BIG BROTHER sont poursuivis en France, ou ailleurs en Europe, par la police de la pensée.

Cela a trop duré ! Nous sommes responsables de l’héritage légué par nos ancêtres et du patrimoine que nos aïeux ont enrichi à force de ténacité et de sueur au cours des siècles. Nous devons en répondre devant nos enfants et leurs descendants. Socialement, économiquement et culturellement il est urgent d’opérer une révolution mentale.

Il faut en finir avec la dictature socialo libérale qui permet l’ascension des parasites au détriment de l’individu compétent. Il faut en finir avec la Nouvelle Religion « droit de l’hommiste » qui génère la crapule s’imposant face aux honnêtes gens. Il faut punir ce régime de pourriticards qui a enfanté des bataillons de corrompus, petits et grands, en ridiculisant les personnes intègres.

La Liberté doit accoucher d’un Front du Refus. Quand l’oisiveté et le vice prennent le pas sur la compétence et l’efficacité, alors la révolte se justifie par des rejets populaires. La rébellion des « Gilets Jaunes » en est la parfaite illustration, avant sa récupération par les activistes gauchistes.

Pourquoi ? Parce que :

- les parents ont vu s’effondrer les jalons qui garantissaient un enseignement de qualité et vu aussi la violence envahir les salles de cours, parce que la discipline est absente !

- les enfants ont constaté que de nombreux diplômes ne leur permettaient que l’accès au chômage. Par ailleurs, il existe aussi plus de 1.500.000 analphabètes dans l’Hexagone. Surprenant.

- les patrons, artisans et commerçants sont spoliés par l’Administration et ne sont plus défendus par leur corporation. En 2019, la pression fiscale atteint 46% du P.I.B, la plus forte du monde et pour la seconde année consécutive. 

- les automobilistes, englués dans des bouchons sans fin, sont cloués au pilori pour le moindre prétexte et proprement rackettés par les taxes, accises et autres amendes.

- les contribuables français voient d’année en année leurs impôts et les taxes augmenter et le gouffre de la dette s’approfondir (2.432 milliards € au 12 janvier 2020, soit 38.726 euros par habitant : c’est criminel). Chaque jour la dette augmente de 230 millions d’euros !

Partout, le malaise est palpable et c’est ce que nous constatons tous les jours dans nos quartiers : l’envahissement de notre économie par des multinationales étrangères, le métissage de notre population par une immigration hors contrôle, et l’insécurité permanente dans nos rues et les transports publics.

Trois aspects de notre quotidien imposés par les laquais du mondialisme et les gourous du multiculturel. Leur échec est évident ! Pour sortir du gouffre, il faudra donc éliminer les incapables et trier les ordures politiques lors des prochains scrutins.

23:27 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Intéressant zoom sur "l'intersectionnalité" avec Gilles Ardinat (Forum Ecole & nation)

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20:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La réaction de Valeurs actuelles

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Le roman de l'été cliquez ici

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Polémique Obono-Valeurs Actuelles : parce que ce ne sont pas des négriers noirs qui ont vendu leurs « frères » noirs aux négriers blancs ?

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Bernard Lugan cliquez ici
 
Quelle insolite et même « surréaliste » polémique pour un simple pastiche ! A travers la personne de Danielle Obono, porte-parole de la France Insoumise, l’hebdomadaire « Valeurs Actuelles » a en effet mis en évidence sous une forme se voulant humoristique, le rôle de certains peuples Africains dans la vente des esclaves noirs aux négriers européens. Présentée comme une victime de cette traite, Madame Obono a, parait-il, été ulcérée de ce qui pourrait s’apparenter à une « réponse du berger à la bergère ». Au mois de juin 2020, devant le Parlement européen, n’est-ce pas le groupe LFI qui a en effet déposé un amendement visant à ne reconnaître comme « crime contre l’humanité » que la Traite européenne, la seule traite européenne, et non  « la traite des esclaves » en général, comme cela était prévu dans le texte initial ?
 
Cette polémique illustre en réalité le niveau d’abêtissement et, plus grave encore, de dhimitude intellectuelle du monde politique français. Trémolos dans la voix, la main sur le cœur, Rassemblement national compris, tous les partis politiques ont en effet réagi par réflexe pavlovien et dans l’ignorance » bétonnée de la question. Au pays de Descartes, l’émotionnel semble donc avoir définitivement pris le pas sur la Raison…
 
Or, par-delà les stupides invectives, les consensuelles indignations et les lâches prises de position de responsables politiques devenus les « baise-cul » du fait accompli, la vérité historique existe. Elle fait consensus chez les universitaires spécialistes de la question : une partie de l’Afrique s’est enrichie en vendant l’autre partie. Les captifs n’apparaissaient en effet pas par enchantement sur les sites de traite car ils étaient capturés, transportés, parqués et vendus par des négriers noirs aux négriers européens. Comme ces derniers attendaient sur le littoral que leurs partenaires africains leur y livrassent les captifs, il dépendait donc in fine des négriers africains d’accepter ou de refuser de leur vendre leurs « frères » noirs.
 
Cette coresponsabilité dans l’ignoble commerce négrier a d’ailleurs été clairement mise en évidence par les évêques africains :

« Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir... Nos pères ont pris part à l’histoire de l’ignominie qu ‘a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeur dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne ». Déclaration des évêques africains réunis à Gorée au mois d’octobre 2003.

Or, à travers l’artificielle polémique Obono-Valeurs Actuelles, la vérité historique est une fois de plus effacée au profit d’une fausse histoire peu à peu imposée par des méthodes terroristes et lâchement acceptée par tous les partis politiques français.
 
Ceux qui ne voudront pas être emportés par la tempête médiatique trouveront dans mon livre Esclavage l’histoire à l’endroit, l’argumentaire détaillé leur permettant de réfuter cette histoire devenant insidieusement officielle et dont la finalité est de faire de l’homme blanc un coupable éternel.

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samedi, 29 août 2020

RAPPEL : sortie du livre "La chute de l'empire occidental" de Michel Vial

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Loin d’être dogmatique, cet essai répond avant tout à une logique. Celle du témoin d’une époque qui voit s’écrouler un « empire occidental » que l’ont pouvait naïvement imaginer, au lendemain de l’instauration du Nouvel Ordre mondial, au début des années 1990, comme devant être définitif.

Avoir voulu, au nom de l’ultra-libéralisme, détruire les nations et leurs spécificités au profit d’un vaste marché aux dimensions planétaires a été la grande erreur de ces dernières décennies. Nous voyons aujourd’hui que ce funeste projet mondialiste a atteint ses limites. De plus, le retour sur la scène internationale de l’islam conquérant, accentué par les grands brassages migratoires, assombrit encore plus l’avenir de nos peuples européens.

Faut-il pour autant baisser les bras ? Certainement pas...

Engagé dans le camp nationaliste alors qu’il était étudiant, Michel Vial a gardé de sa jeunesse cette approche non-conformiste qui caractérise ceux qui ont compris, avant les autres, que la défense de notre identité, et de notre liberté, est un éternel combat.

Dans cet ouvrage, il décortique un par un les différents aspects de la crise que nous subissons en essayant de faire passer un message d’espoir à ceux qui refusent l’anéantissement de notre civilisation.

L'auteur : Michel Vial

Michel Vial, 64 ans, a été militant nationaliste dans sa jeunesse étudiante. Engagé volontaire à 20 ans dans les Phalanges liba-naises, il est blessé au combat à Beyrouth en septembre 1976. Deux ans plus tard, il est élève officier de réserve à l’école d’application de l’Arme blindée cavalerie de Saumur dont il sort major de sa promotion et intègre le 2e Régiment de Hussards.

Après une carrière professionnelle dans les métiers de la formation et de la communication, il se consacre à la rédaction d’articles et d’ouvrages sur l’histoire militaire moderne. Il publie chez « Histoire & Collections » son premier livre en 2018 sous le titre Otto Skorzeny, l’homme le plus dangereux du IIIe Reich qui retrace la vie extraordinaire du chef des commandos de Hitler.

Michel Vial est l’un des fondateurs et le porte-drapeau de l’AAVFL (Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban).

Lire aussi cet entretien avec l'auteur cliquez là

La chute de l'empire occidental, Michel Vial, Les Bouquins de Synthèse nationale, collection idées, juin 2020, 130 pages, 18 euros (+ 5 euros de port).

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16:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alerte Covid : tremblez en permanence, braves gens…

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La chronique de Philippe Randa

En cette fin août, à la veille de la rentrée de septembre, la pandémie de Covid-19 est plus que jamais d’actualité avec masque obligatoire pour tous, partout et tout le temps…

On peut reprocher au gouvernement français bien des échecs, bien des bêtises, bien des incompétences, mais quelle maestria dans l’orchestration de la panique : six mois durant, ses escadrilles médiatiques ont lâché jour et nuit leurs bombes « Alerte Covid ! » étouffant (mal, mais étouffant tout de même) les ripostes de DCA des Didier Raoult ou des docteurs Toubiana ou Perronne pour ne citer qu’eux qui n’ont eu de cesse de fustiger comme il se devait les branquignolles du Conseil scientifique qui monopolisent les médias ou encore celles d’intellectuels comme Michel Onfray ou – c’est une surprise, mais pourquoi pas ! – Bernard-Henri Lévy qui tirent la sonnette d’alarme du bon sens, celui-ci étant à l’évidence devenu un champ de ruines en France.

J’ai pour ma part été assez stupéfait de constater que des proches pourtant habitués à ferrailler contre les mensonges officiels, étaient au mieux gagnés par le doute, au pire tétanisés par la peur avec comme seul argument pour tenter d’excuser leur comportement : « On ne sait pas ! »

Ah bon ! Les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont pourtant là : cette épidémie de Covid-19 ne fait pas davantage de morts qu’une épidémie habituelle et infiniment moins que d’autres dont la plupart ne sont même pas restées dans les mémoires : qui se rappelle des 15 000 Français morts de la grippe en janvier 2017 (surtout des personnes de plus de 65 ans), comme ne cesse de le rappeler Didier Raoult dans ses appels au calme ?

À moins de considérer l’OMS comme une officine complotiste, évidemment !

Finalement, rendons hommage au gouvernement : chapeau l’artiste !

Toutefois, la recette n’est pas nouvelle : terroriser le peuple est le moyen le plus efficace pour le faire tenir tranquille. Seule différence notoire, autrefois, un régime totalitaire usait directement des forces de police ou militaire à sa botte. Depuis six mois, le gouvernement français a injecté le poison de la peur par doses successives et par paliers successifs, soufflant sur le chaud et le froid des contaminations réelles ou plus simplement envisagées… et ne lançant sa police – l’intervention de l’armée n’est pas encore d’actualité à ce jour – qu’au coup par coup, mais elle a désormais carte blanche pour racketter autant que faire se pourra les « terroristes sanitaires », soit le vulgum pecus distrait ou réfractaire à la bêtise.

C’est aussi une bonne nouvelle pour tous les Cruchot nationaux : ils pourront agir sans risquer d’être taxés de racisme car bien évidemment, faire respecter la dictature sanitaire dans les zones de plus en plus nombreuses de non-droit ne sera évidemment pas davantage une « priorité » que durant les deux mois d’emprisonnement national de la mi-mars à la mi-mai dernier.

Lire EuroLibertés cliquez ici

10:57 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Déni d’ensauvagement

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Par Mathieu Bock-Côté

L’étrange querelle des dernières semaines autour du terme « ensauvagement » nous confirme encore une fois, s’il le fallait, à quel point le système médiatique travaille non pas à décrire la réalité de la société française mais à l’occulter. Les scènes les plus violentes se multiplient, les agressions s’additionnent et pourtant, les sociologues patentés le répètent en boucle : tout ne va pas si mal et ceux qui disent le contraire versent dans la « surenchère sécuritaire ». Mieux encore : tout va bien. Le vivre-ensemble est harmonieux, les agents des services publics peuvent travailler sans risque, les rodéos se font rares, un jeune homme qui se porte à la défense de jeunes femmes est un provocateur qui mérite d’être agressé et les mœurs sont de plus en plus douces, comme on a pu le voir avec les « jeunes » en « liesse » sur les Champs-Élysées lors des dernières compétitions sportives. Bref, la vie est belle en France plurielle ! C’est le triomphe de la diversité Potemkine.

Ce ne sont pas les violences qui font scandale, mais le fait qu’on les nomme sans prendre les précautions langagières attendues. Le déni de l’ensauvagement fait écho à ce qu’on appelait autrefois le « sentiment d’insécurité ». Les Français étaient accusés de céder à une propagande excitant chez eux la méfiance à l’endroit de « l’autre ». Ils se laisseraient contaminer par un discours anxiogène. C’était même leur responsabilité civique de changer le nom des suspects lors des violences, jugées « ordinaires », pour éviter d’alimenter le populisme. Mais puisque les grands médias n’exercent plus un monopole sur la description des réalités, et que les réseaux sociaux permettent à la réalité de déborder dans l’espace public, même si elle y arrive de manière chaotique, il faudra alors traiter ces violences comme autant de faits divers insignifiants.

Qui les traitera comme des faits politiques, symptomatiques de la désagrégation d’une société victime des bandes et progressivement déstabilisée par une immigration incontrôlée sera accusé de tenir des propos haineux. Ce déni d’insécurité n’est pas exclusif à la France. On l’a vu depuis juin, aux États-Unis, les manifestations les plus brutales comme les raids des antifas sont toujours traités comme des événements isolés, certains reporters racontant sans gêne, devant des scènes de pillage à répétition qu’ils sont devant des « peaceful protests ». À quel moment la mauvaise foi devient-elle du mensonge à l’état pur? À quel moment devient-on consciemment un propagandiste?

L’ensauvagement serait même un concept « d’extrême droite ». Ce terme d’épouvante désigne moins un courant politique identifiable qu’un spectre terrifiant, quasiment diabolique, qui hanterait nos sociétés pour exciter leurs basses passions et les jeter vers l’abîme. Avec le temps, on finit par le comprendre : est d’extrême droite ce qui déplaît extrêmement à la gauche. Ce concept ne décrit pas un mouvement, même pas une nébuleuse, mais un fantasme mobilisé par le régime diversitaire pour exclure de la conversation publique ceux qui ne se reconnaissent pas dans la vision qu’il propose de la société et de ses problèmes. Il fonctionne à l’amalgame et n’est finalement rien d’autre qu’une technique d’intimidation idéologique pour transformer l’adversaire légitime en ennemi public.

C’est Aurélien Taché qui a remporté le match de la déclaration la plus lunaire. Après avoir appris qu’une jeune musulmane bosniaque avait été tondue par sa famille qui ne tolérait pas qu’elle fréquente un chrétien serbe, il trouvera le moyen de dénoncer une classe politique rajoutant une pièce dans le « juke-box de la haine antimusulman ». On aurait cru entendre ceux qui, au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo, mirent la France en garde contre « l’islamophobie ». Lorsque la France est agressée, elle s’accuse. Quand elle résiste, elle est accusée de « multiplier les formules chocs sur la délinquance » et de se soumettre au populisme, même au racisme. On connaît la chanson, elle joue depuis trente ans au moins.

Qui ose des constats de bon sens risque le bannissement civique. Le système médiatique fonctionne à la déréalisation du monde et condamne la société à évoluer dans un univers dédoublé, soumis à l’orthodoxie diversitaire. Le réel ne passera pas! Récapitulons : l’ensauvagement est une illusion alimentée par un discours ultra sécuritaire, l’immigration massive est un fantasme conspirationniste et la dévastation anthropologique d’un monde refusant de distinguer un homme d’une femme est une lubie de catholique intégriste. De même, qui se désole de la régression de la liberté d’expression confesse son désir de se vautrer dans les discours haineux et qui s’oppose à la racialisation des rapports sociaux cherche à dissimuler derrière la rhétorique universaliste son privilège blanc. Il ne faudrait pas beaucoup d’imagination pour parler d’une nouvelle trahison des clercs.

Source : Le Figaro 29/08/2020

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Journal du chaos

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Alexis Cossette – Refus de la seconde vague et effet domino

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vendredi, 28 août 2020

France Orange mecanique. La faute a qui ?

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Loin de nous l'intention d'exonérer Emmanuel Macron et ses gouvernements de la responsabilité de l'explosion sans précédent des violences, des agressions, des actes de barbarie, des saccages et des pillages, des viols, des règlements de comptes liés au trafic de drogue, et plus largement des actes d'hostilité à tout ce qui faisait jadis le mode de vie des Français dans la paix publique et la tranquillité.
 
La part de responsabilité détenue par l'actuel Président dans cette situation est immense.
 
Mais la France "Orange mécanique" qu'évoque Xavier Bertrand dans un entretien accordé au Figaro, reprenant ainsi un terme initié par Laurent Oberstone, n'a pas vu le jour par hasard, subitement, à la faveur d'un déconfinement que certains adeptes de la culture de l'excuse auraient voulu faire rimer avec défoulement.
 
Le Président de la région des Hauts de France, et avec lui mais avec d'autres mots la plupart des dirigeants de la droite républicaine ont beau fustiger "l'immense échec du quinquennat Macron en matière d'insécurité", personne n'a oublié la responsabilité de ses prédécesseurs.
 
Tous les gouvernements successifs du régime, de droite comme de gauche, ont participé de cet effondrement.
 
Tous responsables et tous coupables ! Tous ceux qui ont laissé faire. Tous ceux qui, au fil des ans, ont refusé de donner aux forces de police et de gendarmerie les ordres qui auraient permis de juguler l'ensauvagement progressif de la société. Tous ceux qui ont fait de la Justice un dépotoir et une tribune gauchiste oubliant qu'elle devait être rendue au nom du peuple. Tous ceux qui ont laissé se défaire sous leurs yeux les valeurs et les principes de notre vrai "vivre ensemble" entre nous et chez nous. Tous ceux qui ont ouvert toutes grandes les portes au globalisme ravageur, destructeur des édifices nationaux. Tous ceux qui ont permis l'arrachement de territoires entiers à la France et toléré, voire encouragé ou même organisé l'installation sur notre sol de populations rétives aux fondamentaux de notre civilisation.
 
Ceux là l'Histoire - en espérant qu'il y ait encore demain des historiens pour l'écrire - les jugera.
 
Mais avant elle, si nous parvenons avant qu'il ne soit trop tard aux responsabilités, nous les jugerons sans faiblesse.

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ALEXANDRE LUKACHENKO PASSERA-T-IL L’HIVER ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Soyons francs, si des manifestations d’ampleur à Minsk n’avaient pas alimenté en images les chaines d’info continu, personne ne parlerait de la Biélorussie. Pas un Français sur dix ne saurait la situer sur une carte. Que s’est-il passé pour que l’hystérie s’empare soudainement, une fois de plus, de la médiasphère ? Des élections présidentielles, une banale consultation comme il y en a des dizaines chaque dimanche que Dieu fait autour de la planète. Mais voilà, le vieil apparatchik Loukachenko s’est fait prendre la main dans le sac, si je puis dire.

Alors, Loukachenko, un tricheur ?

Difficile à dire, mais nous avons une petite idée des pratiques électorales qui perdurent dans  des « régimes musclés ». On peut à juste titre émettre des doutes sur la validité de cette élection, aucun observateur n’étant admis le jour de la consultation, et les candidats hostiles au régime ayant été préventivement « encabanés ». Mais, avec cet homme-là, « le bébé n’est pas forcément  à jeter avec toute l’eau du bain ». Ancien directeur de kolkhoze pendant la période soviétique, il a conservé de ces années, bien sûr, la rigidité  des  réactions soviétoïdes du monde communiste. De plus, sa vie privée, est, disons, assez dissolue : n’aurait-il pas fait élire député sa maîtresse en titre, Miss Biélorussie, sa cadette d’au moins quarante printemps ? Mais quand  on a la santé, n’est-ce pas, on ne compte pas !

Un partenaire difficile de la Russie

Revenons à des choses plus sérieuses. Un homme qui résiste au nouvel ordre mondial, qui n’attire pas la sympathie de BHL, qui se montre un allié exigeant de Vladimir Poutine, qui facilite les conversations internationales pour régler le problème ukrainien à ses frontières, est-il totalement si mauvais ?

Un pays qui se classe à la 53e place sur 189 pour ce qui est de l’indice de développement humain, qui a plus de médecins pour 10 000 habitants que la Roumanie ou la Finlande, par exemple, est-il un  État aussi attardé que l’on veut bien le dire ? Mais hélas oui, malgré des aspects positifs, la féroce répression des manifestations hostiles au régime est condamnable tout autant, au passage, que celle de la « Manif pour tous » ou des « Gilets jaunes » en France. Sur ce plan là, nos donneurs de leçons et autres professeurs en démocratie feraient mieux de se taire. Maintenant, dire que le camarade Loukachenko a remporté l’élection présidentielle avec 79 % des voix, serait emprunter un sentier scabreux, une piste « à l’Africaine ». Tout autant qu’affirmer que dame Svetlana Tikhanovskaïa, la femme du dissident arrêté, - un  homme d’affaire assez louche  semble-t-il -, l’aurait emporté.

Poutine, en embuscade

Mais quand un  régime emprisonne ses opposants,  qu’une candidate est obligée de fuir en Lituanie voisine, - chantage sur le sort de son mari, pression sur sa vie même ? -, c’est inacceptable. Maintenant, soyons francs et posons la bonne question : la Biélorussie a-t-elle le droit à l’existence en tant qu’État souverain ? Il est vrai que le drapeau aux trois bandes horizontales blanche, rouge et blanche, a déjà flotté en 1918 lors de la chute de l’empire tsariste. Mais les habitants de cette région parlent tous le russe. Il est vrai aussi qu’il y a déjà  eu une tentative malheureuse d’union entre la Russie et le Belarus. C’était et c’est toujours, le rêve de Poutine de présider cette Union. Loukachenko a sans doute trop irrité le maitre du Kremlin pour pouvoir terminer des jours tranquilles dans son palais à Minsk. Le président russe cette fois-ci, ne se laissera pas avoir comme en Ukraine. Qui pourrait affirmer que la révolte populaire, au lieu d’être fomentée en douce par l’Occident comme à Kiev, n’est pas, en réalité, managée par Moscou, pour effacer un apparatchik trop récalcitrant ? Loukachenko a pris trop d’indépendance effective et verbale par rapport à Moscou, alors qu’il dépend totalement de Poutine pour son gaz et son pétrole, notamment. Si Moscou coupe le gaz, le socialisme de Batka (papa) Loukachenko, ne pèsera plus lourd. Globalement, le président a placé son pays dans le camp des pays autoritaires, sinon totalitaires : l’un des tous premiers à le féliciter après son élection controversée en août n’a-t-il pas été le sieur Xi Jinping ? Vladimir Poutine aussi, il est vrai, avait aussi adressé un message de félicitation. (En faisant, toutefois, le service minimum).

Que peut faire l’Europe ?

La Pologne voisine pour sa part, contrairement à un Victor Orban, actif  partenaire de Varsovie au sein du groupe de Visegrad, mais qui entretient aussi de bonnes relations avec Minsk où il a été reçu, a appelé à un sommet extraordinaire des membres de l’Union européenne sur la situation en Biélorussie après la répression des manifestations du dimanche 9 août et  des jours suivants. L’U-E, évidemment, a condamné la répression et arrêté un certain nombre de dispositions pour sanctionner, - comment ? -, les responsables de ce maintien de l’ordre « musclé ». L’armée et la police resteront-elles fidèles au président ? Certains des membres des forces de sécurité sont restés passifs, ni anti, ni pro manifestants. Ils demeuraient impassibles lorsque ces derniers leur remettaient des petits bouquets de fleurs. Moscou a peut-être un autre cheval dans son écurie : un certain Viktor Babaryko, lui aussi sous les verrous, représentant de Gazprom, le conglomérat russe en énergie. D’ailleurs sa directrice de campagne, Maria Kolesnikova, un temps soutien de dame Thikanovskaïa, s’est désolidarisée totalement de l’égérie de la révolution des rues de Minsk. Loukachenko passera-t-il l’hiver ? Aura-t-il un meilleur sort que Ceausescu ? Je ne parierai pas ma retraite là-dessus ! Le joueur d’échecs du Kremlin a plus d’un tour dans sa besace pour laisser filer un tel pion sur son damier !

18:28 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès du Dr Jean-Pierre Dickès

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Nous venons d'apprendre avec une grande tristesse le décès du Dr Jean-Pierre Dickès, président de l'ACIM (Association catholique des infirmiers et médecins) et fondateur des Cahiers Saint Raphaël. Infatigable combattant de la cause nationale et catholique depuis toujours, il nous avait à plusieurs reprise manifesté son amitié. Nous garderons le souvenir d'un homme affable et courageux, fidèle à ses engagements. A toute sa famille, Synthèse nationale adresse ses sincères condoléances.

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Le virus de la honte et de la veulerie.

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La chronique de Charles-Henri d'Elloy

publiée dans le n°54 (été 2020) de Synthèse nationale

Seize mars 2020, le président de la république Emmanuel Macron prend son air solennel et annonce au journal de vingt heures que nous sommes en guerre ! Dès cet instant, tout est fait pour théâtraliser la déclaration. Nous avons droit, chaque soir, à un décompte macabre. À écouter les médias, nous approchons de l’Apocalypse. Finalement, ce n’est pas plus mal, nous aurons enfin la Révélation. Après nous avoir exhortés à nous mettre en marche lorsqu’il était candidat à la présidence, le même homme, une fois élu président, nous intime l’ordre de rester chez nous ! Cette manie du « en même temps » est déroutante, mais à sa décharge, cette injonction est formulée, soi-disant, pour notre bien, puisqu’il s’agit de ne pas attraper ou de ne pas transmettre le virus désigné sous le nom de « coronavirus » ou encore de « COVID-19 » pour faire savant. Dans la nuit qui a succédé l’annonce de l’assignation à résidence, j’ai reçu un texto comminatoire du gouvernement pour m’intimer l’ordre de rester chez moi, et ce,  à durée indéterminée ! Je me suis senti puni sans motif. Dans l’armée la consigne est une punition pour un temps donné. D’abord flatté que le gouvernement connaisse mon numéro de portable, je l’ai trouvé un peu cavalier de m’adresser un ordre à deux heures du matin !  Avais-je rêvé ? Mais non, c’était bien vrai ! Évidemment, cela m’a donné l’envie d’aller gambader. On est Français ou on ne l’est pas… 

À vrai dire, cela n’a pas bouleversé mon existence, ayant déjà une nature sédentaire. J’ai d’ailleurs écrit un « Éloge de l’immobilité ». Voyons le bon côté des choses : cette assignation à résidence qui est tombée en plein carême nous a offert l’occasion de vivre une retraite, un temps où la vie ordinaire est suspendue pour nous retrouver nous-mêmes, mais je n’apprécie pas qu’on me l’impose, surtout quand ça vient d’une engeance. Certes, tout tourne au ralenti ou est empêché, mais cela nous oblige à discerner l’essentiel du superflu. Il paraît que ce méchant virus est très contagieux et peut être mortel pour les vieillards ou les personnes déjà atteintes de certaines pathologies. Curieusement, moi qui suis du genre hypocondriaque, je me surprends à être très détaché et n’éprouve aucune crainte quant à cette menace. Au moment où j’écris ces lignes,  il est déjà possible de faire plusieurs constats :

En premier lieu, la France n’est pas équipée pour hospitaliser de façon massive et soudaine des milliers de patients. En outre, par manque de respirateurs, on délaisse les personnes âgées au profit des plus jeunes. C’est peut-être inévitable dans les circonstances actuelles, mais tellement triste dans la cinquième ou sixième puissance du monde… C’est sans-doute une façon de nous habituer à la pratique de l’euthanasie…  Je vois dans cette situation navrante le résultat d’une politique désastreuse, entreprise depuis plusieurs décennies, de casse du service hospitalier, comme de tous les services publics d’ailleurs. Les divers gouvernements depuis 2003 ont supprimé 70.000 lits d’hôpitaux de courts et de longs séjours. Nous avons là une fois de plus l’aboutissement d’une domination de la logique économique et financière, au détriment de la qualité du service et de la conscience humaine. Quand on ne fait plus ses humanités au lycée et que l’on confie les rênes d’un pays à des financiers ainsi qu’à d’anciens étudiants en écoles de commerce, il fallait s’y attendre. À force de « fermer des lits pour (soi-disant) sauver l’hôpital », on finit par laisser mourir les malades. J’ai honte pour mon pays. Les hôpitaux étant déjà surchargés en temps ordinaire, il était prévisible qu’ils le soient d’autant plus en cas d’épidémie. Ils seront, hélas, toujours débordés. « Gouverner, c’est prévoir » comme dit l’adage, mais nos gouvernants ne prévoient rien parce qu’ils ne gouvernent pas. Ils « gèrent » la France à la petite semaine comme un épicier gère ses stocks de denrées. Le confinement n’a été décidé que pour tenter d’enrayer le flux trop important d’hospitalisations par rapport à notre capacité d’accueil. Qu’en serait-il en cas de guerre, au sens militaire du terme, ou si nous subissions une véritable catastrophe ?

Il y aura toujours des naïfs pour croire que les gouvernants sauront tirer les leçons de cette tragédie d’opérette. Étant d’un naturel lucide donc pessimiste, j’ai la conviction que « le monde d’après » sera le même que le monde d’avant mais en pire, car le confinement imposé fera bien plus de dommages que le virus lui-même. Outre la catastrophe économique pour les artisans, les commerçants, et les PME, il démontre que nos gouvernants sont capables de priver les Français des plus élémentaires libertés et qu’il y sera enclin de plus en plus facilement étant donné la résignation stupéfiante avec laquelle les Français ont accepté l’inacceptable. Quant aux hommes politiques de droite comme de gauche, opposés au gouvernement, censés être plus circonspects que le quidam, ils n’ont pas brillé par leur attitude. Certains ont fait de la surenchère dans le catastrophisme, tel Nicolas Dupont-Aignan, croyant gêner les dirigeants alors qu’ils n’ont fait qu’abonder dans le même sens que ceux-ci, légitiment ainsi des contraintes liberticides de plus en plus sévères, au lieu de dénoncer la mascarade.

En second lieu, je suis choqué par l’attitude de nombreux évêques et prêtres qui ont manifesté un zèle exemplaire pour appliquer scrupuleusement, voire au-delà, les directives gouvernementales, jusqu’à vider les baptistères des églises et interdire la communion par la bouche ! Pensez donc, si le diable se trouvait dans le bénitier ou le virus dans le corps de Christ… Mais croient-ils encore à la présence réelle ? Au moment où il conviendrait de prier et de chanter en procession, quitte à garder une distance d’un mètre entre les paroissiens, et d’invoquer saint Roch – protecteur et guérisseur des maladies contagieuses –, voilà que les clercs ont peur de remplir leurs salvateurs offices. Un comble ! Que feront-ils ces prêtres, à l’approche de l’Apocalypse ? Ils prendront des RTT ? C’est de la désertion en temps de guerre, puisque nous sommes en guerre… Heureusement, pour sauver l’honneur, d’autres prêtres fidèles à la tradition, non pétochards, eux, ont continué de célébrer la messe et de donner la communion. Bien sûr, il s’est trouvé quelques délateurs bien intentionnés pour avertir la police… Interdire la communion par la bouche ! C’est surréaliste de penser que la question ait pris l’ampleur d’une affaire d’État. Le pire, c’est que ces interdictions sont venues des évêques, comme s’ils avaient voulu réprimer la pratique du culte version ante Vatican II.

En troisième lieu, je dois confesser ma stupéfaction de constater la couardise de mes contemporains. Il faut dire que, comme je l’écrivais plus haut, le gouvernement a mis le paquet pour propager la pétoche. Il est bien connu que gouverner par la peur permet de faire accepter n’importe quoi. Cette période où tout déplacement au-delà d’une certaine limite doit être dûment justifié par une attestation, me fait penser à la France sous l’Occupation, pendant laquelle il fallait être en possession d’un Ausweis pour aller en zone libre. J’ai l’impression que s’il me prenait l’envie de recevoir du monde, mes voisins n’hésiteraient pas à appeler la préfecture, comme l’on dénonçait à la Kommandantur. Dans la rue, des gens me regardent comme si j’étais un pestiféré et, les mêmes qui, il y a quelques mois, m’auraient bousculé, font un détour de dix mètres lorsqu’ils me croisent. Je ne puis être juge de la gravité de ce virus, mais ce dont je suis certain, c’est qu’il accentue énormément la bêtise et la couardise de ceux qui en portent déjà les germes.

Attestation de sortie, application numérique de flicage, rassemblements interdits... Les Français sont-ils donc mûrs pour abandonner leur liberté ? Sommes-nous prêts à nous soumettre et à renoncer de vivre pour un risque sanitaire aussi faible ? Voici maintenant que l’on nous oblige à porter un masque chirurgical pour prendre les transports en commun. Aujourd’hui le masque, et demain la burqa ? Gare à ce que ce masque ne se transforme pas en muselière à toutou. D’ailleurs, pendant que tous les Français sont focalisés sur la reprise d’une vie « normale » après deux mois de privations, la majorité parlementaire en a profité pour faire adopter une loi pour fliquer davantage et restreindre le peu de liberté qu’il subsistait sur les réseaux sociaux. Proposition de loi présentée par la députée Laetitia Avia, votée par une majorité de godillots. L’enfer étant pavé de bonnes intentions, cette loi a pour prétention officielle de lutter contre la haine sur Internet. Le seul véritable avantage du masque est qu’il souligne les yeux et accentue le regard des femmes. Quant aux automobilistes, seuls dans leur véhicule, qui portent un masque, je me demande s’ils enfilent aussi une capote anglaise lorsqu’ils dorment en célibataire dans leur lit. Il paraît que l’on pouvait se faire verbaliser en se promenant dans des bois déserts, et qu’il y avait des hélicoptères pour survoler les immenses plages de la côte atlantique, au cas où un individu esseulé n’aurait pas respecté les gestes barrières… ça a dû coûter un fric dingue ! Ah, les fameux gestes barrières… l’avantage, c’est que nous ne sommes pas obligés de serrer la main à des personnes que nous aurions évitées en temps normal. Un après-midi durant l’assignation à résidence, alors que le traiteur avait envoyé sa fille pour me livrer la commande faite le matin même, celle-ci portait un masque bleu comme celui des infirmières. Je lui demandai malicieusement pourquoi elle était masquée. Elle me répondit que ça rassurait les clients. Voyant mon sourire narquois, elle me dit : « Voulez-vous que je l'enlève ? ». J'acquiesçai en hochant la tête. Elle baissa son masque comme si elle ôtait son soutien-gorge. Nous engageâmes une conversation sur l'absurdité de cette assignation à résidence. Nous étions d'accord sur l'imbécillité de toutes les restrictions lorsqu'en repartant elle me lança : « Il y a au moins un bon côté, je viens chez vous pour vous livrer… » Il est vrai que c’est agréable d’être livré à domicile, surtout lorsque la tâche est effectuée, avec le sourire, par une charmante jeune femme.

Pour calmer mon agacement d’être contraint à la réclusion, j’ai regardé des bons vieux films rediffusés des centaines de fois à la télévision mais dont je ne me lasse pas. C’est ma conception du « télétravail », encouragé par les autorités ! 

Une grande partie des gens sont matérialistes et ne croient pas en l’au-delà, ils se protègent de tout, sauf de la bêtise. Ils ont une telle trouille de mourir qu’ils acceptent une vie médiocre mais dans le confort. Ils ne supportent plus les mourants, les infirmes, les vieillards. Puisqu’il n’y a rien après la vie terrestre, il leur est impossible d’accepter le cours naturel de l’existence. Cet athéisme provoque la peur de mourir qui devient vite une peur de vivre. Lorsqu’ils sont aux commandes, ces mêmes peureux, tièdes de cœur et indolents, transmettent leur veulerie par des contraintes humiliantes en les faisant passer pour de la responsabilité, alors qu’ils ne maîtrisent rien d’autre que l’alimentation de leur grotesque orgueil. Eh bien, puisque nous vivons le temps des pétochards, des puritains, des procureurs du dimanche, du flicage, de l'athéisme, de l'hygiénisme et des sycophantes, je vais goûter intensément à la jouissance des bienfaits de la Création divine en buvant un breuvage céleste, allongé sur le gazon de mon jardin, en compagnie d'une bien aimée sylphide, aristocrate du plaisir, tous deux entourés de roses au doux parfum d'un bonheur fugace mais rapicolant et nous ferons de la littérature...

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jeudi, 27 août 2020

Manoeuvres américano-ottomanes en Méditerranée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Dans un contexte de confrontation stratégique avec la Turquie dont les ambitions régionales s'affirment, la pression sur l'Europe se fait chaque jour plus lourde, l'affirmation du  leadership sunnite se précise et la volonté de reconstitution de l'empire ottoman ne fait plus de doute, la France, l'Italie, la Grèce et Chypre ont lancé des manœuvres militaires communes en Méditerranée.
 
Dans le même temps, ce 26 août, des navires turcs et un destroyer américain ont opéré conjointement dans la même zone.
 
Nous sommes sans aucune illusion sur la détermination des gouvernements français et italiens de s'opposer durablement et avec toute l'énergie nécessaire aux visées turques. La modestie de la réaction de Macron après le quasi-abordage d'une de nos frégates par un bateau-pirate turc il y a trois semaines en témoigne. Ces deux opérations simultanées ont pourtant valeur de symbole. Les États-Unis, dans leur stratégie folle de "contrainte" de la Russie seront toujours aux côtés de leur allié turc dans l'OTAN contre l'Europe et ses intérêts fondamentaux.
 
Erdogan quant à lui a annoncé son intention d'intensifier les opérations navales turques. Avec la bénédiction de l'organisation atlantique.

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Le Parti de la France reporte son meeting parisien de rentrée en raison de la dictature sanitaire

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Un communiqué de Thomas Joly,

président du Parti de la France

En raison de contraintes sanitaires insupportables pour les participants (un siège sur deux condamné, muselière républicaine obligatoire, sens de circulation ubuesque, etc), le Parti de la France a pris, à regret, la décision de reporter une nouvelle fois le grand meeting contre la colonisation migratoire et l'islamisation prévu le 12 septembre.

Nul doute que le Préfet de police de Paris aurait envoyé des troupes vérifier avec zèle que le protocole imposé par la dictature sanitaire était respecté à la lettre ; et prêtent à dresser des amendes ou à faire évacuer la salle au moindre manquement. Hors de question de donner cette satisfaction au gouvernement en place.

Soyons clairs : la pseudo-épidémie est terminée depuis des mois, le Covid-19 n'est pas plus dangereux que la grippe, la « deuxième vague » n'existe pas, le nombre de cas en réanimation et le nombre de décès sont en baisse constante. Les mesures sanitaires gouvernementales, avec l'appui total des médias, servent aujourd'hui à maintenir le peuple français dans un état de sidération et de servitude aveugle.

Dès que nous pourrons accueillir nos sympathisants dans des conditions décentes, nous refixerons une date pour cet événement qui aura bien lieu, le Parti de la France s'y engage.

D'ici là, d'autres actions militantes seront organisées afin de dénoncer l'invasion migratoire et l'ensauvagement de notre société. Nous ne céderons pas un pouce de terrain aux forces cosmopolites destructrices des peuples et des Nations !

Le site du PdF cliquez ici

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mercredi, 26 août 2020

Un salon pro GPA à Paris : INTERDICTION !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les déconstructeurs de notre civilisation sont des gens patients et organisés. Comme les révolutionnaires de Lénine et comme les Frères musulmans, ils n'ont ni montres ni horloges mais savent que le temps joue pour eux. Aussi procèdent-ils par étapes et usent, en l'inversant, de la technique fameuse du voleur chinois qui consiste, on le sait, à habituer l'oeil à la disparition progressive d'un objet. Eux, par manœuvres et subterfuges successifs, habituent nos sociétés à l'apparition de nouvelles normes avant de les faire adopter, puis, après avoir vérifié qu'elles s'étaient imposées, passent à autre chose.
 
Il y eut d'abord la culpabilisation du mâle blanc et l'avènement du féminisme dévirilisateur. Il y eut l'avortement - d'abord encadré puis ouvert à toutes et à tout moment de la gestation. Il eut le PACS qui ne devait en aucun cas déboucher sur le mariage homosexuel. Il y eut le mariage homosexuel qui ne devait entraîner aucune conséquence sur la filiation. Il y eut la procréation médicale assistée (PMA) sans père pour les femmes seules et les couples lesbiens, méthode par elle même de destruction de la famille traditionnelle mais qui ne serait jamais - au grand jamais - suivie par une légalisation de la Gestation pour autrui (GPA), cette abomination profondément  attentatoire à l'ordre naturel.
 
Nous y voici. L'offensive de toutes les forces du nihilisme pour imposer la GPA entre dans sa phase opérationnelle.
 
Les 5 et 6 septembre à Paris le salon Désir d'enfant sera consacré en très large partie à la promotion de la GPA et sponsorisé par des cliniques privées qui en pratiquent une variante espagnole.
 
Ce salon hors la loi et hors principes supérieurs de la vie doit être purement et simplement interdit. La GPA étant, malgré l'hypocrisie d'Etat qui permet un certain nombre d'accommodements et de détournements des textes, illégale en France, le ministre de l'Intérieur et le préfet de police doivent assumer leurs responsabilités.
 
Pour nous, au même titre que le combat contre l'immigration et la défense de nos spécificités provinciales, de notre identité nationale et de nos lumineuses caractéristique européennes, l'engagement en faveur des principes et des valeurs qui fondent  notre vision de la vie et de l'homme est un axe politique majeur.

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19:25 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Message de Mgr le Duc d’Anjou - Déclaration de la Saint-Louis

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Chers Amis, chers compatriotes,

Quelle tristesse de constater que d’année en année, la situation de la France se dégrade. Fort de la responsabilité que m’imposent les huit siècles de royauté capétienne dont je suis l’héritier, la gravité actuelle de l’état de la France, m’amène à m’exprimer, en ce jour où l’Eglise fête Saint Louis, le modèle des gouvernants.

Force m’est de constater que notre pays s’enfonce vers des jours de plus en plus graves, alors que j’aimerais que mes déclarations puissent saluer le renouveau que tous les Français fidèles et qui croient en la destinée de leur pays, espèrent de tout leur cœur.

Atteinte depuis plusieurs années par une crise morale qui la fait douter d’elle-même, de sa mission, de son identité, la France doit aussi subir de nombreuses attaques venues de l’extérieur, tellement diffuses et perverses, qu’il est difficile de toujours bien les cerner, et de trouver les bonnes ripostes. La difficulté est d’autant plus grande que la vérité n’est plus regardée en face et que les mots sont travestis par l’idéologie au point de perdre leur sens. Ceux qui résistent vaillamment sans perdre confiance, souvent animés d’une foi profonde, ne suffisent pas à redresser la situation. Pareillement, nos militaires engagés sur de nombreux terrains au-delà de nos frontières, constatent que leur sacrifice et leur abnégation ne suffisent pas isolément à recréer une dynamique de vainqueur. Les combats se gagnent certes sur le terrain, mais c’est d’abord dans les cœurs et les esprits que se forgent les conditions de la victoire qui doit trouver son expression politique.

Or, bien souvent, la France donne l’impression que cette volonté n’est plus là. Pourtant il faudrait peu de choses : lui redonner le goût et le sens de la victoire qu’avait la France sûre d’elle-même et de sa mission ; et lui rappeler les grands moments de son passé qui demeurent des exemples pour demain.

Cet état d’esprit qui pourrait surgir à nouveau si les Français le veulent, semble oublié, annihilé. Les « élites » depuis la Révolution n’ont agi que par intérêt. Quand reviendra-t-on au Bien Commun, à la justice, à la protection des plus faibles ? Quand acceptera-t-on de redonner aux mots leur sens et d’oublier qu’il n’y a ni incivilité, ni jeunes sauvageons mais violences gratuites et nouveaux barbares sans foi ni loi qu’il s’agit de combattre et de punir. En effet, chacun de leurs crimes ruine la vie sociale. Or elle est déjà bien difficile pour de nombreux Français déjà confrontés à une situation économique et sociale souvent critique. Pourtant, la dernière crise sanitaire a montré combien nos compatriotes étaient capables de sursauts et d’initiatives quand l’Etat ne les oppresse pas ; quand il ne les accable pas d’une fiscalité de plus en plus lourde et injuste puisqu’elle n’assure plus les services publics même les plus essentiels ; quand l’Etat ne s’attaque pas aux libertés. Les Français, en nombre toujours plus grand, se rendent compte que les institutions ne répondent plus à leurs attentes légitimes.

Combien de crises faudra-t-il encore ? Combien de sacrifiés pour que les yeux s’ouvrent ?

Il y a quelques mois, crise sanitaire aidant, des esprits lucides avaient posé la question de savoir si ces évènements, dûs largement au moins dans leurs conséquences, aux erreurs accumulées qui se traduisent par des centaines de milliers de mort, en France, en Europe et dans le monde entier, n’étaient pas l’occasion de réfléchir aux désordres des dernières décennies. Le beau symbole du « jour d’après » semblait porteur d’avenir. En réalité quelques mois après, les mauvaises habitudes ont largement triomphé des bonnes résolutions et les jours d’après semblent encore plus catastrophiques que ceux d’avant. Le vote, devant une assemblée quasi déserte de la loi dite bio-éthique en est la plus éclatante manifestation… Elle est à la fois contraire à l’ordre naturel et à l’éthique. Elle cumule le déni du système représentatif actuel par la manière dont elle a été élaborée et la rupture avec les fondements de l’humanité. Les manipulations contre nature sont en train de franchir une nouvelle étape vers une société de chimère ou plus aucune limite ne semble retenir les hommes. La société de la peur et des contraintes est aussi, désormais,  celle de la mort planifiée.

Quel monde avons-nous devant nous ? Quel monde laisserons-nous à nos enfants ?

Je parle ici comme héritier et successeur des Rois de France mais aussi comme père et époux. Je sais combien de jeunes couples sont inquiets pour l’avenir de la société ; l’avenir de leurs enfants ; de nos enfants.

Heureusement les siècles d’histoire nous apprennent que les situations les plus terribles ne sont pas irréversibles. La France s’est sortie d’autres périls et cela même quand elle a failli perdre sa souveraineté comme au temps de Charles VII. La mission de Jeanne d’Arc l’a sauvé d’un péril d’autant plus éminent que l’ennemi était déjà installé sur notre sol. Celle qui est devenue en 1920 la patronne du Patriotisme a sauvé le pays et a restauré la monarchie légitime.

De tels exemples doivent nous redonner espoir et susciter de nouvelles initiatives pour reconstruire la France.

Puisse Saint Louis, modèle des souverains et des gouvernants, protéger la France et l’aider à retrouver le sens de sa mission.

Louis,
Duc d’Anjou

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13:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dr Toubiana : Il n’y a pas d’épidémie d’infection de Covid 19, il y a une épidémie d’angoisse

Source Medias Presse info cliquez là

Le Dr Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM (institut national de la santé et de la recherche médicale) où il dirige l’équipe SCEPID (Systèmes Complexes et Epidémiologie) au sein du Laboratoire d’Informatique Médicale et d’Ingénierie des Connaissances (LIMICS) et directeur de l’Institut de Recherche pour la valorisation des données de Santé (IRSAN), dénonce lui-aussi les mensonges au sujet du Covid 19 et l’entretien par les médias d’un climat de peur infondée.

Il n’y a rien en ce moment qui justifie cette peur puisqu’il n’y a pas d’épidémie, explique-t-il.

Il affirme également faire l’objet de pressions pour ne pas sortir du discours officiel.

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10:41 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France vue de l’étranger : la police anti-émeute à l’assaut d’un bar pour non respect de la distanciation physique

Source cliquez ici

Des images tournées à Paris, en France, montrent la police anti-émeute prenant d’assaut un bar et frappant les gens à coups de matraque parce qu’elle n’a pas vraiment pris de « distanciation physique ».

L’incident s’est produit pendant la finale de la Ligue des champions entre le Paris Saint-Germain et le Bayern Munich, que les clients du bar regardaient à la télévision.

Une douzaine de flics anti-émeute, entièrement équipés, ont fait une descente dans le bar et ont violemment fait sortir les gens des locaux. « Selon les responsables de la police de Paris, la foule a été dispersée parce que certaines personnes ne portaient pas de masque ou ne respectaient pas les règles de distanciation physique », rapporte Sky News.

Plus de 200 personnes ont reçu un avertissement de la police pour ne pas avoir porté de masque facial.

L’incident est rendu encore plus bizarre par le fait que les personnes à l’intérieur du bar se comportaient pacifiquement, alors que de véritables émeutes se déroulaient dans le reste de la ville.

Selon RT, les rues de la capitale française « sont tombées dans le chaos, avec de multiples incidents de vandalisme et de pillage ».

On pourrait penser que maintenir l’ordre public tout en protégeant les personnes et les biens des criminels violents serait une priorité plus importante que de s’assurer que les gens dans un bar se tiennent suffisamment éloignés les uns des autres, mais à l’ère de l’hystérie COVID, apparemment pas.

09:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 25 août 2020

Le Covid-19 et les vaccins vus par le Prof. Luc Montagnier

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19:04 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien avec Kroc Blanc sur le rap identitaire

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L'émission Synthèse du 10 octobre 2019 sur Radio Libertés avec Kroc Blanc cliquez ici

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Le doux parfum de la démocratie

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par Bruno Guigue*

A l'instar de Bernard-Henri Lévy se précipitant dans son jet privé pour aller désigner les cibles à vitrifier, les fauteurs de guerre civile mandatés par les officines de l'ingérence sont toujours à l'affût, chez les autres, de la moindre secousse qu'ils transforment alors, grâce à leurs sponsors planétaires, en juteuse opportunité de déstabilisation pour le compte de l'impérialisme.

Ces dernières semaines, on a ainsi pu voir comment, visant la Biélorussie à l'occasion d'une grave crise politique, les vautours du droit-de-l'hommisme se sont jetés comme la vérole sur ce pays dont ils ignoraient tout la veille. Manifestement, ils rêvent d'en faire un nouveau Bantoustan au profit de l'oligarchie mondialiste en y ouvrant les vannes, de gré ou de force, de la grande braderie néolibérale. On ne fera croire à personne, pourtant, que c'est l'autoritarisme du président Loukachenko, au pouvoir depuis 26 ans, qui arrache des larmes de crocodile à ces belles âmes occidentales. Car le fait est qu'elles sont beaucoup moins regardantes sur le respect des droits de l'homme lorsqu'elles observent un silence complice à propos de certains régimes tyranniques et obscurantistes appréciés de l’Occident.

En réalité, s’il est pris pour cible, c'est surtout parce que le pouvoir biélorusse, dont nul ne prétend qu'il est sans reproches, entend néanmoins préserver les acquis sociaux et le patrimoine national hérités de la période soviétique en les soustrayant aux convoitises d'une finance prédatrice et prompte à démolir tout ce qu'elle touche pour accroître ses profits. Et de mémoire d'homme, on n'a jamais vu une politique d'ingérence se faire au profit de qui que ce soit d'autre que de celui qui la pratique. Au IVe siècle avant notre ère, Aristote ironisait déjà en faisant observer : « Nous n'allons tout de même pas, nous les Grecs, nous mettre à délibérer sur les affaires qui concernent les Scythes ». Il est ahurissant de voir que l'admission d'une règle aussi simple, dans le cerveau d'homo occidentalis, échoue encore à passer la rampe de la perception la plus élémentaire.

On se demande bien à quel titre les régimes politiques occidentaux, d'ailleurs, sont fondés à donner des leçons de morale à la planète entière. Et il faut vraiment que le monde ait été frauduleusement mis à l'envers pour qu'on finisse par prendre leur propension historique au crime de masse pour un certificat de vertu et d'exemplarité. A croire que l'idéologie dans laquelle nous barbotons comme des canards a de surprenantes vertus alchimiques : elle transforme la fange en parfum. La politique occidentale a beau empiler les cadavres, cette compulsion n'est jamais imputée à son essence même. Sa brutalité n'est qu'accident de l'histoire, égarement passager, vagues péripéties rapidement plongées dans l'oubli par les mécanismes de la mémoire sélective. On peut vitrifier les Libyens à sa guise, transformer l'Afghanistan en champ de ruines, livrer les Syriens à al-Qaïda, tenter de mettre l’Iran à genoux, faire mourir les enfants vénézuéliens en les privant de médicaments, après tout ce n'est jamais que du menu fretin. De la volaille au teint basané vouée à l'immolation sacrificielle par les grands prêtres de la démocratie et des droits de l'homme. Sur l'échelle de Richter du massacre à la tronçonneuse, il y a longtemps que la démocratie occidentale a dépassé toutes les prévisions. Chapelets de bombes sur les Coréens, les Vietnamiens, les Cambodgiens, les Irakiens, les Palestiniens, les Syriens, les Libyens, les Afghans, les Yéménites. Guerre par procuration, blocus, guerre économique, action clandestine, coup d’État, manipulation de la terreur : la panoplie est inépuisable, le résultat édifiant. Soyons fiers et exportons notre savoir-faire.

(*) Ancien haut fonctionnaire, chercheur en philosophie politique et observateur de la vie internationale.

 Source : site RT France

17:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CASTANER : LE NEZ DANS LE CACA

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Pierre Vial Terre & Peuple cliquez ici

Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur choisi par Macron pour faire le sale boulot (casser par tous les moyens la juste révolte des Gilets Jaunes), a été maire de la ville de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) de 2001 à 2017. Il est épinglé, à ce titre, dans un rapport de 42 pages, par la Chambre régionales des comptes de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui pointe des « irrégularités » dans la gestion des comptes publics de Forcalquier. Est mentionné, entre autres, le « report systématique de congés non pris et des heures supplémentaires non récupérées ni monétisées » par les agents municipaux de la ville, ceci s’étant fait « d’années concernées, sans limitation dans le temps ». Au total, à la fin de l’année 1217, la ville devait à ses 85 agents « l’équivalent de 175 000 euros en congés non pris et reportés, et 92 000 euros en heures supplémentaires non récupérées ».

La Chambre régionale des comptes a relevé une série « d’erreurs et d’incohérences » dans l’attribution et l’exécution de certains marchés publics, et dans les documents budgétaires, notamment lors de travaux de voierie effectués en 2014 pour 973 600 euros, alors que l’entreprise retenue avait présenté une offre à 219 800 euros, bien en-deça de la moyenne du marché, estimée à 300 000 euros.

Déjà très endettée, la ville a vu ses finances se détériorer en 2018. Avec 6,1 millions d’euros de dettes fin 2018 Forcalquier est au-dessus de la moyenne nationale d’endettement des communes de sa taille. Castaner va-t-il devoir rendre des comptes ? On prend les paris ?

16:20 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 24 août 2020

JEAN-CLAUDE ROLINAT NOUS PARLE DE CHYPRE SUR TV LIBERTÉS

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23:29 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La racaille descend dans la rue. Elle lui appartient.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A la surprise générale des autorités de la République, la défaite du PSG face au Bayern de Munich n'a pas détourné les racailles du chemin des Champs-Elysées, ancienne plus belle avenue du monde du temps où Paris était la ville lumière, devenue le terrain de jeux favori des hordes barbares qui peuplent les cités arrachées à la France.
 
Nous l'écrivions dimanche : victoire, défaite, commémoration populaire ou manifestation, toute occasion est bonne à prendre pour brûler, casser, voler, agresser, mettre à sac.
 
Paris, on le sait, est une fête. Pas de belle fête sans pyrotechnie : les voitures garées sont faites pour y pourvoir. Pas de fête sans sensualité : les passantes sont là pour en recevoir l'hommage sauvage. Pas de fête sans relations humaines et rapprochement physique : les forces de l'ordre ont pour mission de les permettre le plus passivement possible et de subir. Pas de fête sans verre cassé : les vitrines éclatées des commerces vandalisés et pour certains pillés en témoignent.
 
3 000 policiers avaient été mobilisés par le ministre de l'Intérieur et le préfet. Auraient-ils été 30 000 que rien n'y aurait fait. Sur les Champs-Elysées désormais comme partout ailleurs à Paris, à Marseille, Nantes, Rennes, Lille, Bordeaux, Toulouse, Nice, et toutes les villes de France, la rue appartient à ceux qui y descendent. Ceux là ne foulent pas la boue sombre et se foutent des dogmes que l'on abat. Ce qu'ils foulent aux pieds c'est la France et les Français, ce qu'ils veulent abattre c'est notre civilisation et l'ordre qui en était jadis le rempart. Et si drapeaux il y a, ce n'est pas ceux des combattants mais ceux de l'étranger.

14:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 23 août 2020

Si Warren Buffett achète de l’or, ce n’est pas pour des prunes

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Le CAC 40, qui a cédé 14,90 points, à 4.896,33, sur la semaine, suite à la dégradation de la situation économique et sanitaire, est un peu plus réaliste que Wall Street. Depuis le 18 mars 2020, le CAC 40 a progressé de 33 %, mais il est toujours en retrait de 17 % par rapport aux 6.000 de fin décembre 2019. Quant à l’indice américain des actions S&P 500, il a grimpé de 55 % depuis le 23 mars dernier ; le NASDAQ a, lui, progressé de 63 %. Et pourtant, Berkshire Hathaway, le conglomérat de Warren Buffett, a réduit ses participations dans les grandes banques américaines Wells Fargo et JPMorgan Chase. Il a, en revanche, investi dans l’or, un actif qu’il a souvent dénigré dans le passé.

L’économie mondiale est à genoux et la crise sanitaire sévit toujours, mais le S&P 500 à Wall Street vient de battre un record historique à pratiquement 3.400. Il a non seulement regagné tout le terrain perdu depuis la crise sanitaire, mais a même progressé de 5 % depuis le début de l’année. La réalité aux États-Unis, ce sont pourtant les inscriptions au chômage qui repassent au-dessus du million, le bilan de la Fed qui, suite au Covid-19, est passé d’environ 4.200 milliards à 7.000 milliards de dollars, des aides étatiques record qui se traduisent par un déficit public et un endettement public tout aussi record.

L’autre réalité, c’est que la hausse de Wall Street correspond, en fait, aux GAFAM : Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, les seuls grands vainqueurs de la crise. Le fabricant américain de voitures électriques Tesla, dont le cours en Bourse de 1.000 dollars, il y a quelques mois seulement, dépassait déjà l’imagination, est aujourd’hui à plus de 2.000 dollars ! Les biotechs et les fabricants potentiels de vaccins affolent également les compteurs de Wall Street. La capitalisation d’Apple dépasse les 2.000 milliards de dollars, soit davantage que le CAC 40, dont la capitalisation est d’environ 1.800 milliards de dollars. La réalité, c’est qu’il y a une bulle sur certaines actions à Wall Street qui, un jour ou l’autre, finira par éclater.

Et le CAC 40 plongera aussi un ce ces quatre matins, si l’on songe aux 900.000 suppressions d’emplois envisagées, à la baisse du PIB de 13,8 % en 2020, à la crise civilisationnelle, sociétale, sociale et migratoire en France. D’autant plus que des cygnes noirs peuvent apparaître à tout moment dans le monde. Le Japon, à lui seul, est une bombe à retardement en puissance, avec une récession historique de 27,8 % en rythme annuel, soit la pire chute au deuxième trimestre jamais enregistrée depuis 1955, avec un endettement public record, un actif de bilan démentiel puisque ce pays est le pionnier de la politique monétaire de l’assouplissement quantitatif.

Pourquoi Warren Buffett vient-il d’acheter 500 millions de dollars d’actions Barrick Gold ? Pourtant, cela fait vingt ans que Buffett raille l’or. En 1998, il avait déclaré : « On extrait l’or du sol, en Afrique ou ailleurs. On le fond, on creuse ensuite un autre trou pour l’enterrer à nouveau, puis on paye des gens pour le garder. Il n’a pas d’utilité. S’il y a des extra-terrestres qui nous regardent, ils doivent se gratter la tête. » Il y a un an, Charlie Munger, l’un des associés de Warren Buffett, a au contraire déclaré : « J’ai tellement peur d’une démocratie qui se met à penser que l’on peut créer de la monnaie pour régler tous les problèmes. Tôt ou tard, je sais que cette politique échouera. Tous les politiciens d’Europe et d’Amérique ont appris à créer de la monnaie… Qui sait quand cette création monétaire dérapera ? En bout de course, si vous en créez trop, vous finissez avec une situation similaire à celle du Venezuela. » La vérité, c’est donc que Buffett a décidé de se positionner sur un actif qui le protège de l’inflation et des dévaluations des devises à venir. Après l’inflation sur les actifs, l’inflation sur les prix à la consommation suivra.

L’or va donc continuer de grimper, avec d’inévitables corrections, au-delà de 2.100 dollars l’once, et les investisseurs institutionnels vont alors se lancer dans la course tandis que les flux entrants d’or physique dans les ETF vont continuer d’augmenter. En 1980, le prix de l’or représentait 9,9 % du revenu américain de 8.547 dollars. Comme le revenu moyen américain disponible est aujourd’hui de 53.700 dollars, l’or pourrait théoriquement grimper jusqu’à 5.345 l’once.

Warren Buffett a raison de reconnaître aujourd’hui ses torts. Tout est en place pour un effondrement à venir, « GAFAM » incluses, avec une hyperinflation à la clé.

17:11 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De La Paz à Minsk, un même scénario coloré ?

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Manifestation de soutien au pouvoir à Minsk.

Georges Feltin-Tracol

La manœuvre de déstabilisation en cours au Bélarus rappelle furieusement le « Printemps bolivien » de 2019. Les saisons étant inversées dans l’hémisphère Sud, le 20 octobre de l’an passé, des manifestants s’indignent de la réélection du chef de l’État Evo Morales. Celui-ci vient de recueillir au premier tour 47,08 % des voix, ce qui lui suffit pour remporter l’élection présidentielle selon les règles électorales locales en vigueur.

À l’origine de la contestation se trouvent la coalition électorale hétéroclite de l’opposition, les milieux universitaires et l’extrême droite séparatiste et évangélique de la riche province de Santa Cruz. Fort de son droit, le président Morales tente de résister tant aux pressions intérieures qu’aux menaces extérieures de Washington et de Brasilia. Le 23 octobre, une grève dite « civique et citoyenne » (!) paralyse toute la Bolivie. Le 10 novembre suivant, l’état-major militaire et la hiérarchie policière contraignent le président Morales, son vice-président Alvaro Garcia Linea et la présidente du Sénat Adriana Salvatierra à démissionner. Afin de combler le vide institutionnel, une certaine Jeanine Áñez, deuxième vice-présidente du Sénat membre de l’opposition droitière pro-yankee, assume l’intérim de la présidence de l’État plurinational de Bolivie. Des élections générales auraient dû se dérouler si la crise du coronavirus ne les avait pas reportées sine die. Quant au président légitime bolivien, il bénéficie de l’asile politique en Argentine.

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17:08 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 août 2020

En attendant le match PSG/Bayern de Munich.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Il fut un temps où l'équipe de football de Paris n'était pas qatarienne.
 
Un temps où les victoires sportives se fėtaient dans la liesse populaire sans que les commerçants ne redoutent violences, incendies et pillages.
 
Un temps où le mot "sauvagerie" n'évoquait que le comportement exotique de quelques peuplades lointaines de l'Empire.
 
Un temps où les Champs Elysées étaient, le jour comme la nuit, là plus belle avenue du monde dans la sécurité, la tranquillité, l'esthétique et la bonne humeur françaises.
 
Un temps où il n'existait pas de couvre feu de fait pour les braves gens et où les femmes étaient courtisées mais respectées.
 
Un temps, il est vrai, où la mise en garde de  Hegel - "L’erreur la plus fatale pour un peuple est d’abandonner ses caractères biologiques" - ne se posait même pas.

19:30 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |