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samedi, 22 août 2020

5 et 6 septembre prochains, 10e anniversaire de la Ligue du Midi en présence de Philippe Milliau, Président de TV Libertés

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5 et 6 septembre prochains, 50e Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil

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Anne Brassié et Alain Escada : une heure de vérités...

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vendredi, 21 août 2020

Le virus féministe poursuit sa contagion.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La disparition programmée des hôtesses du tour de France peut paraître anecdotique. Elle est pourtant révélatrice de l'involution des esprits et de la progression des forces érosives.
 
L'hystérie féministe qui étend son emprise vient, en effet, en complément de toutes les autres offensives auxquelles nous sommes confrontés : destruction des valeurs, submersion migratoire, contagion islamique.
 
L'apartheid homme/femme est, au demeurant, un projet commun de l'islamisme et de l'extrémisme féministe. La différence est que le premier veut l'asservissement des femmes, le second celui des hommes.
 
Mais les deux se retrouvent dans une volonté de destruction des principes et des moeurs qui ont fait l'Occident et participent de l'ordre naturel des choses de ce monde.
 
Et les deux créent petit à petit les conditions de la mort de tout ce qui fait notre civilisation.

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Soutenez le combat national et identitaire : participez à la souscription patriotique 2020 de Synthèse nationale

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Agissez ! Participez !  

Souscrivez !

Cela ne vous surprendra pas, la période jonchée d’imprévus que nous venons de traverser n’a pas été évi-dente pour une organisation comme la nôtre. Privés de nos imprimeurs, de nos transporteurs et, deux mois durant, de l’accès à notre domiciliation en raison du confinement imposé, nous nous sommes retrouvés dans une situation délicate. C’est ainsi que nous avons dû annuler plusieurs réunions et reporter nos publications. Difficile de combattre le Système avec de telles restrictions...

Néanmoins, grâce à la générosité de quelques amis, à la patience de nos fournisseurs et à notre conviction que, plus que jamais, notre combat est indispensable pour sauver notre nation et notre civilisation, nous avons tenu bon.

Aujourd’hui, Synthèse nationale reprend ses activités, que celles-ci soient éditoriales ou militantes. Plusieurs livres et revues viennent d’être publiés et, les 10 et 11 octobre prochains, nous tiendrons, s’il n’y a pas de nouvelles restrictions d’ici là, nos 14èmes Journées annuelles Bleu Blanc Rouge à Rungis (94) près de Paris. Quant aux émissions « Synthèse » sur TV Libertés, elles reprendront à la rentrée de septembre.

Pour continuer et amplifier notre action, plus que jamais, nous avons besoin de vous !

En participant à la souscription patriotique, vous permettez à Synthèse nationale :

l d’augmenter l’audience du site qui, depuis quinze ans, vous informe quotidiennement sur l’actualité en général et sur le combat national et identitaire en particulier,

l d’organiser chaque année les Journées nationales et identitaires où toutes les forces patriotiques sont présentes (à titre d’information, le budget de nos journées annuelles d’octobre, les Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge, avoisine les 30 000 €),

l d’engager des campagnes militantes (comme celle que nous menons depuis deux ans contre l’implantation des éoliennes).

l d’éditer de nouveaux livres, de diffuser plus largement nos revues, d’organiser des conférences à travers la France.

l  de renforcer le pôle nationaliste pour la reconquête nationale et européenne.

DÉDUISEZ VOTRE DON DE VOS IMPÔTS

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Bulletin "souscription patriotique"

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jeudi, 20 août 2020

Il faut sauver le soldat Loukashenko... Pour le moment.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Quand on voit qui est contre Loukashenko, de Soros à Bernard Henri Lévy, des États Unis à la Pologne américanoïde, de la féministe Tikhanovskaia, égérie de la "révolution" à toute la lèpre progressiste, mondialiste et financiariste occidentale, des sémillants bobos de l'intelligentsia parisienne aux cloportes de la Commision européenne aux ordres de Washington et du Berlin de Merkel, on ne peut qu'être pour. 
 
Mais le régime de Minsk étant ce qu'il est, fragile et caricatural, le mieux serait encore l'annexion pure et simple de la Biélorussie - la "Russie blanche" - par Moscou comme a su si bien le faire Poutine avec la Crimée, au nom du retour à la mère Patrie.
 
Tout ce qui fait obstacle au nouvel ordre mondial est bon pour nous.

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Edward Snowden bientôt gracié par Donald Trump ?

Il était l’homme à abattre, un « traître » dans la bouche-même de Donald Trump. Et pourtant Edward Snowden pourrait être gracié par le président américain. Exilé en Russie depuis 2013, il avait dénoncé la même année la surveillance massive des communications et d’internet aux États-Unis et dans plusieurs autres pays du monde.

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Source :  RT France

17:23 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"LA CHUTE DE L'EMPIRE OCCIDENTAL" DE MICHEL VIAL MEILLEURE VENTE DE L'ÉTÉ À SYNTHÈSE ÉDITIONS...

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La Chute de l’empire occidental, par Michel Vial, Synthèse éditions, coll. « Idées », 2020, 130 p., 18 euros (+ 5 euros de port).

Bulletin de commande

Pour le commander en ligne cliquez là

17:22 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hors-Série – Artistes: musée imaginaire

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Ce hors-série met en lumière un pan de l’art du XXe siècle auquel l’histoire – celle qui devait s’en occuper, l’histoire de l’art – a appliqué la loi du silence. Il a existé une palanquée d’artistes dont les convictions artistiques, religieuses, politiques, n’allaient pas dans le sens de l’histoire : ils n’y auraient pas droit de cité.

Que ce hors-série soit une incitation à se pencher sur ces artistes du XXe siècle qui pensaient que la recherche de la Beauté mérite qu’on lui consacre une vie.

Bienvenue dans notre musée imaginaire qui est aussi un Salon des Refusés.

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Site de Présent cliquez ici

11:16 Publié dans Revue de presse, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Radicalisation et services publics

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Tous les élus n'ont pas des oeillères, heureusement. C’est le cas du député Eric Diard des Républicains (Bouches-du-Rhône) qui a décidé de poursuivre dans un livre* les investigations qu’il avait menées dans un rapport parlementaire sur les services publics face à la radicalisation islamique.

Voici son entretien avec la rédaction du Point (20/08)

(*) La radicalisation des services publics. Sport, hôpitaux, transport… Ce que l’on ne vous dit pas, en collaboration avec Henri Vernet, JC Lattès ed., 300 p.

Lire ICI

11:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Interruption médicale de grossesse pour détresse psychosociale : la voie vers l'infanticide ?

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Un communiqué du MNR

Dans la nuit du 31 juillet au 1er août, lors de l'examen du projet de loi bioéthique en deuxième lecture, l'Assemblée Nationale désertée (101 députés présents sur 577) a adopté un amendement porté par les socialistes, permettant l'IMG (interruption médicale de grossesse) pour « détresse psychosociale ».

Comme l'IMG est permise au-delà des douze semaines de l'IVG, cela revient à permettre un avortement jusqu'à la veille de l’accouchement.

Ainsi, sous la pression des mouvements ultra-féministes, continue la folle dérive concernant la législation sur l'avortement. On peut d'ailleurs se demander comment ceux qui ont voté ce texte peuvent le concilier avec l'interdiction de la peine de mort...

Il reste à espérer que les sénateurs rejetteront cet amendement lors du nouvel examen prévu.

Avec tous les vrais défenseurs de la vie, affirmons notre opposition à cette course folle vers la destruction de toutes les barrières morales protégeant le début de la vie.

09:02 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 19 août 2020

LE MALI AUX MALIENS, LA FRANCE AUX FRANÇAIS

Kofi Yamgnane à propos de la décolonisation : "c'était quand même mieux du temps des blancs !"  (sur le plateau de LCP le 7 novembre 2010)

Pieter Kerstens

Depuis plus d’un demi-siècle, la majorité des pays asiatiques, du Moyen-Orient ou d’Afrique ont acquis leur indépendance et le choix de se diriger en toute liberté, comme ils l’entendaient.

Lors de leur départ, les colonisateurs ont laissé sur place tout un réseau de communications terrestres, portuaires et des aérodromes. N’oublions pas les écoles, collèges et lycées, les hôpitaux et les dispensaires, ni les infrastructures administratives, toutes constructions laissées intactes par les Anglais, les Français, les Espagnols ou les Portugais et à la disposition des nouvelles autorités nationales.

Mais certaines bonnes âmes, intellectuelles, politiques, médiatiques ou non gouvernementales ne cessent de nous seriner à longueur de temps qu’il serait indispensable de continuer une aide sociale, économique et financière afin de sortir ces anciennes colonies du dénuement et de les développer au nom d’une solidarité, des Droits de l’Homme ou de la mondialisation heureuse.

C’est ainsi qu’au fil des ans, des centaines de milliards d’euros ont été envoyés à ces pays africains, sans pour autant que les populations concernées sortent de la pauvreté ou de la misère, contrairement à divers pays asiatiques qui, eux, ont réussi à améliorer le niveau de vie, l’économie ou le système social de leur population (Corée du Sud, Philippines, Indonésie, Thaïlande, Inde, Birmanie ou Malaisie, par exemples), après l’accès à leur indépendance.

En Europe, de tous côtés et sur tous les tons, la mafia politico-médiatique essaye ces dernières années de nous culpabiliser et de nous rendre responsables des naufrages de certains pays africains en route vers le chaos et le gouffre. Ceci est intolérable et non justifié.

A l’époque des anciennes colonies, la plupart de ces pays étaient auto suffisant du point de vue alimentaire et les famines étaient en régression, tout comme l’hygiène sanitaire occupait la priorité des administrations sur place, ainsi que l’alphabétisation des plus jeunes.

NON, l’homme blanc n’est plus aujourd’hui responsable du destin et de la situation des peuples africains. Qu’ils prennent leur futur en mains et cessent de quémander.

Certains nous ont imposé une intervention militaire en Irak, en Afghanistan, en Syrie, en Lybie, au Mali, au Niger, au Burkina Fasso, au Tchad et ailleurs, sous prétexte de limiter ou de stopper sur place les vagues d’une immigration clandestine et de combattre l’Islam conquérant ou terroriste là où il serait en gestation et en développement (Somalie, Sahel, Nigéria, Lybie, Syrie entre autres zones). Notre devoir de mémoire doit nous interdire toute ingérence dans ces pays souverains et doté d’un état de droit. La France n’a pas vocation à se substituer aux forces publiques ou militaires dans ces pays exotiques. Ils ont obtenu leur indépendance depuis des décennies et doivent par conséquent en assumer la responsabilité, « quoi qu’il en coûte » ! 

Les forces spéciales françaises et l’armée doivent quitter rapidement ces bourbiers et assurer la sécurité dans l’Hexagone et si besoin est, l’Assemblée Nationale doit voter de nouvelles lois plus restrictives et spécifiques pour l’immigration abusive et le terrorisme islamiste, en expulsant les imams prêchant la haine de notre culture et civilisation gréco-romaine.

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18:21 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il y a 5 ans, Emmanuel Ratier nous quittait

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Emmanuel Ratier

(29 09 1957 - 19 08 2015)

Lire l'article de Patrick Parment cliquez ici

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De Knokke-Heist et Blankenberge à Saint-Malo, bas les masques !

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La chronique de Philippe Randa

En cet été 2020, il semble moins risqué de sortir les fesses à l’air que le nez à découvert : la police, à qui on ne la fait pas en matière de respect de la loi – enfin, en dehors des zones de non-droit, cela va se soi désormais – se montre ainsi digne du maréchal des logis-chef Cruchot de Saint-Tropez, leur célèbre prédécesseur passé à la postérité du 7e Art.

Mais leur tâche est parfois rude et peut-être tout autant incomprise. Ainsi, en Belgique, il a fallu en arriver à interdire les stations balnéaires flamandes de Knokke-Heist et de Blankenberge aux « touristes d’une journée », soit des « jeunes » qui ne respectaient qu’assez modérément les mesures contre la pandémie de Covid-19… Une vidéo prise par un vacancier audacieux est toutefois assez explicite sur ces « jeunes », intimant aux forces de l’ordre d’aller rendre hommage à leur mère, plutôt que de perturber leur interprétation, assez personnelle certes, du « vivre ensemble » outre-Quiévrain.

Enfin, c’est en Belgique, n’est-ce pas ! et les histoires n’ont pas forcément vocation à toujours être drôles…

Et en France ? Ambiance plus bon enfant en la Cité corsaire de Saint-Malo. Scène vécue en ce début août : le masque étant obligatoire à l’air libre à l’intérieur des célèbres remparts (si le gouvernement l’impose, c’est que ce doit être utile et qu’importe le bon sens) : en matinée, durant le déjeuner et une partie de l’après-midi, peu de réfractaires aperçus bravant la loi ; en fin de journée, c’est déjà beaucoup moins le cas… et surtout, prévenons les anxieux du Covid qu’ils ont tout intérêt à ne pas s’approcher d’un (excellent) glacier où la file d’attente avant d’être servi est d’importance.

Une boule ? 2 ? 3 ? (elles sont gigantesques et les yeux sont souvent plus grands que le ventre, parole de gourmand)… Et, à peine servi, tout le monde, d’un même geste machinal, retire ensuite son masque pour déguster comme il se doit sa rafraichissante gourmandise : se forme alors un attroupement d’une cinquantaine de personnes, de 7 à 77 ans, qui s’écoule ensuite d’un pas nonchalant dans les rues adjacentes, laissant place libre à d’autres…

Ce jour-là, point de pandores aperçus… ou peut-être arrivés trop tard comme les carabiniers d’Offenbach !

Qu’il est donc difficile d’aider notre gouvernement à écouler son stock de plusieurs millions de ces si onéreux masques commandés si tard et arrivés si malencontreusement après la bataille ; masques d’abord inutiles, puis brusquement si indispensables qu’il a bien fallu les rendre obligatoires.

Lire EuroLibertés cliquez ici

 

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Ce que nous apprennent les données de mortalité

Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !

Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection

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mardi, 18 août 2020

Nous, nous avons le droit de cracher sur Voltaire. Pas eux !

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L'avis Jean-François Touzé
 
Optempérant aux pressions et intimidations des associations racialistes, et après de nombreuses dégradations, la Mairie de Paris vient de décider le déboulonnage d'une statue de Voltaire.
 
La disparition des statues de ce répugnant bonhomme Arouet, philosophe approximatif, gaucho avant l'heure, bourgeois onaniste, profiteur et cupide, ami de toutes les mauvaises causes et agitateur anti-Tradition ne serait pas, en elle même, propre à me donner des regrets. 
 
Seulement voilà : nous, nous aurions le droit de le remettre à sa place - et peut être même le devoir de le faire dans une optique de revitalisation française et européenne. Pas eux !
 
Les associations et organisations venues d'ailleurs qui s'en prennent à notre histoire, nos écrivains, nos hommes d'Etat, nos généraux peuvent toujours, si le coeur leur en dit, déboulonner leurs totems, détruire leurs emblèmes Vaudou et effacer de la surface de la terre le souvenir de leurs roitelets et potentats négriers. Chez eux !

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Covid-19 : « L’enfer est pavé de bonnes intentions hygiénistes »

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Entretien de François Bousquet avec David Boughezala

Daoud Boughezala : Vous consacrez le premier chapitre de votre essai Biopolitique du coronavirus. Télétravail, famille, patrie, aux théories complotistes qui font actuellement florès. A l’ère de la scolarité obligatoire, de l’accès gratuit au savoir et à l’information, comment expliquez-vous leur essor ? Vit-on une crise de l’esprit scientifique et rationnel moderne ?

François Bousquet : Avons-nous jamais été des agents rationnels, des animaux pourvus seulement d’une froide raison calculante ? On peut en douter. Notre imagination a toujours été très active. Le complotisme le prouve à sa manière. C’est d’abord un imaginaire folklorique, souvent sympathique, mais accolé à une sorte de délire interprétatif. Cet imaginaire a brutalement resurgi après le 11 Septembre 2001 et la seconde guerre d’Irak. Peut-être sa longue hibernation n’était-elle qu’un effet d’optique que l’avènement du Web a brisée. Internet n’a d’ailleurs pas réinventé le complot, il l’a seulement sorti de ses niches antimaçonniques, rosicruciennes, soucoupistes. Viral, le complot est devenu mondial, en haut débit et libre accès. C’est la nouveauté. Pour le reste, le complotisme répond à un besoin fondamental de l’âme humaine : l’intentionnalité. Les créationnistes parleraient de dessein intelligent, mais le dessein ici est indifféremment intelligent ou malveillant. C’est ce que Léon Poliakov a appelé d’une formule saisissante la « causalité diabolique ». À elle seule, elle illustre la permanence du miraculeux, de la pensée magique, de l’acteur tout-puissant qui met un visage sur des processus qui sans cela resteraient impersonnels. Comment détester la logique abstraite du capital ou de la mondialisation ? En lui donnant les traits de Bill Gates !

Disant cela, on en viendrait presque à épouser la ligne de défense des médias centraux contre le complotisme. Mieux vaut au contraire faire l’hypothèse que le complotisme n’est que l’image renversée desdits médias. Les journalistes mainstream voudraient nous convaincre de ce que nous sommes entrés dans l’ère de la « post-vérité ». On ne demanderait qu’à les croire s’ils ne s’illustraient pas du matin au soir dans l’exploitation sans vergogne des faits alternatifs. C’est le faux sans réplique décrit par Guy Debord. Or, ce faux a trouvé une réplique dans le contre-journalisme sauvage et la littérature conspirationniste qui fleurissent sur Internet. L’univers complotiste a toujours fonctionné dans une troublante relation de symétrie avec les médias « légitimes ».

Sans sombrer dans le complotisme, vous semblez parfois céder à la pensée magique. Ainsi, à l’instar de nombreux écologistes, vous estimez que la nature s’est vengée de nos excès, le Covid-19 étant la nemesis qu’appelait notre hubris. Plutôt qu’une conséquence de la mondialisation et de la surexploitation de la planète, ce virus n’est-il pas un des  fléaux qui jalonnent inévitablement l’histoire humaine ? 

Rassurez-vous, je ne suis pas Greta Thunberg, le Petit Chaperon suédois qui fait descendre dans la rue les 16-18 ans et les fait pérorer à la tribune de l’ONU. De ce point de vue, le coronavirus a été une bénédiction. Il nous a débarrassé de l’icône suédoise et de ses nattes pendantes qui étaient jusqu’à lui placardées partout, comme une affiche de propagande nord-coréenne. Cela étant dit, la cucuterie écolo-citoyenne est une cible facile. Qu’elle ne serve pas de prétexte pour jeter le bébé avec l’eau du bain, et les enjeux écologiques réels avec les limites de leur traduction médiatique ou partisane.

Nous entrons dans un monde sans perspectives, dans tous les sens du mot : à la fois sans avenir, sans recul et sans champ de profondeur, comme des prisonniers se heurtant aux murs trop étroits de leur cellule. On nous rétorquera que la Terre n’est pas une prison. Certes. Mais elle a ceci de commun avec les prisons qu’il ne nous est pas donné de pouvoir en sortir. La colonisation, puis l’exploitation des terres émergées et des océans auraient dû nous faire prendre conscience des limites mêmes du globe. Il n’en a rien été. À planète finie et ressources comptées, le capitalisme mondialisé n’a opposé que son dogme de la croissance infinie. La crise actuelle part de là. C’est d’abord une crise de la mondialisation des échanges, des hommes et des virus.

Ce qu’on ne veut pas voir, c’est que la nature peut aisément fonctionner sans l’homme (elle l’a fait durant des milliards d’années), mais l’inverse n’est pas vrai. C’est pourtant sur cette croyance qu’est fondé le régime économique actuel. Si l’on devait comparer la collision de l’humanité avec les limites de la Terre à un véhicule lancé à toute vitesse sur un obstacle, il faudrait bien comprendre une chose : l’obstacle survivra sans peine au choc, mais pas le véhicule, encore moins son occupant. Dans cette affaire, le phénomène de la vie n’est pas menacé. Sa capacité de résilience est sans limites. Des millions d’espèces nous ont précédés sans laisser d’autres traces que des fossiles dérisoires…

Examinons la gestion de la crise. A quelques exceptions près (Allemagne, Corée du Sud, Nouvelle-Zélande…), les gouvernements ont paru improviser au fil de l’eau.  Soumis à un pouvoir scientifique divisé et désemparé, notre appareil d’Etat a brillé par son impréparation. Si on les compare à leurs cousines occidentales, les élites politiques et administratives françaises se distinguent-elles vraiment par leur niveau d’incompétence ? 

Ajoutez-y la Chine, quand bien même elle en a été le foyer infectieux. Les bons élèves ont toujours été peu nombreux. Cela fait longtemps que la France n’en fait plus partie. Nulle sur toute la ligne ! Le constat est accablant. De la détection du risque à sa gestion, le gouvernement a accumulé les erreurs et les retards. À ce stade, ce n’est plus seulement d’immunodéficience des élites dont il faut parler, mais d’immunodéfaillance du Système. À Sciences Po, à l’ENA, on ne fabrique plus des serviteurs de l’État, mais des serviteurs de la dette, des contrôleurs de gestion. Ces écoles sont des moules. Comment en sortirait-il autre chose que des séries ? Calibrées comme des produits industriels, programmées comme des logiciels – et c’est d’ailleurs ce qu’ils sont très exactement : ils sont là pour accomplir des programmes. On fabrique des pilotes automatiques, à peine des technocrates, tout au plus des techniciens, si médiocres qu’ils nous feraient regretter le temps des ingénieurs qui pilotaient eux du moins des programmes industriels.

Comme l’avait analysé Michel Foucault, le pouvoir politique moderne entend préserver la vie (et la santé) des citoyens alors les monarques traditionnels préparaient le salut de leurs sujets. Alors qu’une majorité de Français apeurée par la pandémie a approuvé le confinement, le pouvoir macroniste a-t-il trouvé dans cette crise l’assise populaire qui lui manquait ? 

L’assise populaire, certainement pas. Mais de fait les crises confortent les pouvoirs établis. Pandémie aidant, Emmanuel Caméléon – qui a une surprenante capacité à se réinventer – s’est débarrassé d’Édouard Philippe et des Gilets jaunes. Le confinement a joué pour lui. Ce fut un huis clos entre le Président et les Français, les seconds rôles étant dévolus à ses ministres. Tout aura été fait pour que 2022 soit le match retour de 2017. Ce à quoi Macron s’emploie. Continuer de scinder en deux les LR, pour annexer le centre et les juppéistes ; et renvoyer le solde à la bordure du FN. Après avoir annihilé sa gauche, Macron a ainsi piégé sa droite en l’asséchant. Mais il ne l’a piégée que pour mieux la ressusciter en un parti central unique. L’UMPS n’est plus une figure de style, c’est une réalité politique : le macronisme. Ce que les élites post-nationales cherchaient à accomplir depuis Giscard : accoucher d’une grande coalition, sur le modèle des coalitions à l’allemande, dont Macron incarnerait la version hexagonale. Le rêve giscardien de deux Français sur trois, sauf que c’est désormais un rêve à l’envers. La « coalition » macronienne ne réunissant qu’un tiers des voix, les deux tiers restants s’abstenant ou votant populistes, sans espérance de pouvoir, faute d’alliances. Ce qui fonde tous les espoirs de Macron pour 2020. Jusqu’à preuve du contraire, c’est lui qui a la main. On est obligé d’attendre qu’il la perde. Les vents contraires qui ne manqueront pas de se lever à la rentrée devraient ramener « Jupitérion » sur terre.

Des masques au gel hydro-alcoolique, l’hygiénisme  ne s’est jamais aussi bien porté. Depuis le début du confinement, nos gouvernants réprouvent tout contact physique extraconjugal au nom du risque viral.  L’obsession prophylactique a-t-il transformé nos dirigeants libéraux-libertaires en néo-inquisiteurs ? 

Les « enragés » de 68 auraient-ils peur de la rage, qui s’appelle aujourd’hui Covid-19 ? Qui les eût imaginés dans la peau du docteur Knock et de Savonarole ? L’alliance de la bactérie et de la mortification, redoutable attelage qui nous vaut cette avalanche de recommandations médicales et d’interdictions sanitaires. Mais les « boomers » n’ont jamais été à une contradiction près. Ils n’ont que le « vivant » à la bouche, alors qu’ils s’acharnent à le mettre sous cloche. Vivre in vivo tue. Idéalement, il faudrait pouvoir « vivre » in vitro, sinon même in utero, à l’abri de la violence du monde, derrière son masque, confiné à vie. Disant cela, il ne s’agit pas de faire l’éloge du cancer du poumon ou des maladies cardio-vasculaires, ni de nier que le coronavirus ou le tabagisme ne sont pas des problèmes de santé publique, ni de se livrer à une apologie des comportements à risques, mais de ne pas dissocier la prise de risques du risque de vivre. Ici comme ailleurs, le mieux est l’ennemi du bien et l’enfer est pavé de bonnes intentions hygiénistes.

Vous rejoignez les analyses d’Olivier Ray sur la sacralisation de la vie et son corollaire, le refus contemporain de la mort. Seuls les djihadistes semblent aujourd’hui chercher leur salut dans l’au-delà. Tout compte fait, la sainte frousse de la mort qu’a notre société laïque adoucit-elle les mœurs ?

On a conféré à la vie humaine une valeur que jusque-là elle n’avait jamais eue. C’est ce que Michel Foucault a appelé la « biopolitique ». La biopolitique, c’est la prise en considération de la valeur de la vie humaine – ici et maintenant, tout de suite. Cela, c’est le propre de la modernité, c’est l’acte de naissance de l’individu. Dans les âges antérieurs dominés par la religion, ce qui importait, c’était de se donner les moyens de gagner le paradis chrétien. Avec la modernité, renversement de perspective : la cité terrestre va l’emporter sur la cité céleste. C’est dans ce contexte qu’est née la biopolitique. Peu à peu, les individus ont aspiré à conserver ce qu’il y a de plus précieux pour eux : leur vie. Voilà pourquoi on en a fait trop avec le Covid. Parce que nous modernes avons développé une phobie du danger, une intolérance au risque, un déni de la mort. Tout notre arsenal juridique et réglementaire envahissant est très largement conditionné par cette hantise du risque. Zéro mort, zéro défaut, zéro panne, nouvel impératif catégorique. Ce qu’on cherche à conjurer à travers cela, ce n’est pas seulement la visibilité de la mort, c’est sa possibilité. Dans un monde ludique, plus de place pour le tragique. L’hygiénique peut alors triompher.

Comme l’écrit l’historien Jean Delumeau, tout épisode de terreur se conclut par la recherche de coupables. C’est aussi l’un des ressorts du populisme, dont vous vous revendiquez. Scrutant le paysage politique, vous écorchez Marine Le Pen, vantez les mérites de  Michel Onfray et soulignez les limites d’un tribun pétomane à la Jean-Marie Bigard Donnez-vous raison à Lénine soutenant jadis que « chaque cuisinière doit apprendre à gouverner » ?

Dans un monde idéal, oui. Mais le vœu d’autonomie, celui du peuple auto-institué, se heurte au principe de réalité, singulièrement dans les pays latins, singulièrement dans les pays anciennement catholiques, singulièrement en France, où la puissance publique a tout vampirisé. Je ne sais plus qui a dit de la France que c’est la seule monarchie d’Europe. Pas plus que les autres, elle ne saurait se passer d’élites. Tout le problème est qu’elles sont de plus en plus médiocres, conformistes et déliées de leurs engagements vis-à-vis des peuples. Raison pour laquelle les populistes croient pouvoir en faire l’économie. Mais la vérité, c’est que le peuple en soi, sans élite ni avant-garde, au sens marxiste du mot, est voué à l’impuissance. C’est ce que donne à voir la longue histoire des révoltes populaires, jusqu’à la crise des Gilets jaunes. Il faut se garder des tentations utopiques qui ont peu à peu submergé ce mouvement une fois que les Gilets jaunes historiques ont déserté les ronds-points. Le RIC ne résoudra pas tous les problèmes, pas plus que le « Web e la Piazza », le Web et la place publique, pour parler comme le Mouvement 5 étoiles. On ne fait pas de la politique à partir de rêveries autonomes, autogestionnaires, conseillistes, archéo-anarchistes. Les sociétés auto-organisées (les sociétés sans État chères à l’anthropologue et ethnologue Pierre Clastres) ne font pas société. Ce qui apparaît au contraire dans les enquêtes d’opinion, c’est que les peuples abandonnés plébiscitent les figures de l’autorité. Dans les sociétés ouvertes, un des deux besoins fondamentaux de l’âme humaine n’est plus assurée : la sécurité. L’âme humaine s’épanouit pleinement dans la liberté pour peu que l’homme est la garantie d’être protégé. Liberté et sécurité. Les deux entrent systématiquement en tension, l’un menaçant d’abolir l’autre. Ainsi de la liberté, grand idéal de la modernité. C’est dans ce sens-là qu’il faut interpréter la demande populiste et l’émergence des sociétés illibérales. On définit communément le populisme comme un appel au peuple, mais il est bien plus un appel au secours des peuples, protestation angoissée qui n’est pas entendue et renvoie aux élites l’image de leur suffisance et de leur insuffisance. L’homme populiste cherche le bon gouvernement, le bon pasteur. Il veut choisir son chef, mais il veut un chef.

Source : site Causeur

(*) François Bousquet est rédacteur en chef de la revue Eléments. Il vient de publier, Biopolitique du corovanirus. Télétravail, famille, patrie (La Nouvelle librairie, éd.)

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lundi, 17 août 2020

Le Coronacircus en marche vers le gouffre financier

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Pieter Kerstens

Article publié dans le n°54

de la revue Synthèse nationale cliquez ici

Lorsque nous avions rédigé notre article dans le précédent numéro de la revue, la prévision et l’anticipation des conséquences d’une crise sanitaire, doublées par un chaos des marchés pétroliers, ignoraient alors la stratégie et les décisions aberrantes des gouvernements français et européens, face à la pandémie. En conclusion, nous jugions que « il suffirait d’une petite bourrasque comme…le Covid-19, qui pourrait entraver non seulement l’industrie chinoise, mais aussi par conséquence stopper l’activité de certains secteurs de l’économie mondiale et perturber les activités bancaires et financières, pour déclencher un nouveau krach mondial. »

Durant des siècles et jusqu’à ces dernières années, les épidémies -grippe, tuberculose, gastro-entérite ou bronchite- étaient enrayées par des vaccinations ou à défaut par un dépistage des malades qui, par la suite étaient placés en quarantaine et isolés du reste de la population saine, pour stopper la propagation.

JAMAIS à ce jour, on avait mis toute une population en « confinement », réelle assignation à résidence.

JAMAIS on n’avait stoppé brutalement une économie.

JAMAIS les croque-morts ministériels ne venaient nous égrener un bilan mortel tous les jours.

JAMAIS les médias dans leur totalité n’avaient entretenu une ambiance de crainte et terrorisé les gens afin de créer un réel climat de peur irrationnelle. L’émotion prenait le pas sur le raisonnement et la sensiblerie le disputait à la paranoïa.

Alors, soyons clair : j’appartiens au 3ème âge, d’un groupe à risques, avec des antécédents pulmonaires fragiles. Dès mon enfance, j’ai été atteint par le bacille de la tuberculose et de ce fait mis en « quarantaine » durant trois mois en préventorium en Haute-Savoie. Par la suite, j’ai connu en France la grippe « asiatique » en 1957 et la grippe de « Hong Kong » en décembre 1969 et janvier 1970 (32.000 morts en 2 mois) ; les années suivantes, il y a eu diverses épidémies en France et en Europe (comme la grippe de 2009), avec des dizaines de milliers de morts sans pour cela faire la « Une » dans les journaux, ni monopoliser les radios ou les télés. Ces épidémies saisonnières, venant toutes de Chine, étaient acceptées par les gens qui prenaient chacun leurs responsabilités et assumaient la situation en personne adulte ! L’idée de la mort n’est pas un tabou, il faut s’y faire.

Loin de moi d’ignorer la gravité d’une maladie, d’un handicap ou les faiblesses dues à la vieillesse.

Mais la réalité impose que plus on est vieux, plus on a de chances de mourir. Nul n’est immortel !

Un mal qui répand la Terreur… ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés.

Les instituts d’épidémiologie, les milieux scientifiques et le monde médical étaient TOUS PARFAITEMENT INFORMES depuis le début décembre 2019 d’une épidémie de SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) -grippe mortelle- dans la province de Hubei (Hou-Pei) et la ville de Wuhan (Wou-Han) en Chine. Il est donc faux de prétendre que les Chefs d’Etat et de Gouvernements de l’Union Européenne ont été pris au dépourvu et que « personne ne pouvait prévoir une telle pandémie ». Les ambassades et les départements diplomatiques, tout comme les services de renseignements européens, avaient chacun de leur côté transmis à leur hiérarchie les dangers de cette épidémie et ses ravages possibles. Mais pour cacher leur incurie, leur impéritie et leur incompétence, les pays occidentaux vont en grande majorité, et ce dès le mois de janvier, nous abreuver de propagande, de manipulation, de mensonges et d’omissions avec la complicité servile des journalistes et des innombrables docteurs Diafoirus au garde à vous devant les dogmes du Mondialisme.

NON, cette pandémie n’était pas « la plus grave de tous les temps », comme évoqué ci-dessus.

NON, les enfants ne sont pas un vecteur de transmission très actif.

NON, le Covid-19 n’est pas insensible à la chaleur et à l’humidité. C’est tout le contraire et il disparait à la fin du printemps ou en été.

NON, le taux de mortalité de 3,5% du Corona virus annoncé par l’OMS et psalmodié à longueur d’antennes dès février n’est pas le plus grave ni le plus dangereux jamais rencontré. En réalité c’est 0,5%, alors que la grippe tue tous les ans 0,35% des gens contaminés !

Ces idées fausses et alarmistes ont été propagées pour lobotomiser des peuples entiers, interdire toute forme de contestation, anesthésier le bon sens et instaurer une frousse maximale. L’infantilisation et l’hypnose devant le Covid 19 ont amené au Devoir d’Oubli et à l’ignorance crasse. Personne n’a eu le courage de dire que TOUS LES MOIS, il y avait 1 million de morts en Chine (1.450 millions d’habitants), 240.000 morts aux Etats-Unis (330 millions d’habitants), 80.000 en Allemagne (84 millions), 110.000 au Japon (130 millions), 53.000 en Italie (61 millions), 52.000 en France (66 millions) ni 25.000 morts en Corée du Sud (52 millions) et 13.500 à Taïwan (24 millions) ou encore 8.500 en Belgique (11 millions).

 Et si l’on fait la comparaison des décès attribués au Covid 19 avec la population respective de certains pays, il y a lieu de se poser des questions, quand le Japon, la Corée du Sud, Taïwan et la Suède ou encore la Suisse n’ont jamais stoppé totalement leur économie, contrairement à la Belgique, la France, l’Italie, l’Espagne ou le Pérou.

Pourquoi une telle distorsion entre ces pays ?

Avaient-ils plus de moyens techniques, financiers, hospitaliers ou n’ont-ils pas tout simplement retenu les leçons des épidémies précédentes, adopté le port d’un masque pour tous, utilisé massivement des tests de dépistage et imposé une quarantaine aux malades contagieux ? Cela, en ordonnant une fermeture générale des frontières, dès le début de la pandémie.

Comment les charlatans du mondialisme et du capital cosmopolite grugent les gens.

Par million d’habitants, on se rend compte des écarts considérables de décès dû au Covid 19 au 27 mai : Belgique = 853 décès ; Espagne = 576 ; Italie = 542 ; France = 433 ; Suède = 387 ; Etats-Unis = 310 ; Suisse = 194 ; Pérou = 124 ; Allemagne = 103 ; Autriche = 75 ; et seulement Zéro au Viet-Nam ; 0,3 à Taïwan ; 0,5 au Sri Lanka ; 0,8 en Thaïlande ; 2 au Kazakhstan ; 4 en Australie ; 5 en Corée du Sud ; 7 à Cuba ; 7 au Japon.

Pourquoi 170 fois plus de morts en Belgique qu’en Corée du Sud ? Pourquoi 60 fois plus de décès en France qu’au Japon qui est 2 fois plus peuplé ? Pourquoi 5 fois moins de victimes en Allemagne qu’en Espagne, pays avec beaucoup moins d’habitants ?

Et l’on se rend compte maintenant que les conséquences catastrophiques dans certains pays, notamment les pays « occidentaux » et administrés par un Etat-Providence, sont essentiellement attribuées à des gouvernements où la bureaucratie, la technocratie et l’immobilisme règnent en maîtres !

 La palme d’or de cette catastrophe est attribuée, à l’unanimité, à la Belgique :  ce Royaume d’UBU compte 9 ministres de la Santé ; au niveau Fédéral, par communauté et par Régions. Le résultat est édifiant et l’on constate à fin mai que si en Flandres il y a eu 700 décès / million d’habitants, il y a eu 885 par million d’habitants en Wallonie et 1.160 morts /million dans la Région de Bruxelles. Pourquoi une telle différence ? Ce qui est limpide, c’est que dans le Plat Pays, les copains sont prioritaires, mais réellement incompétents et dangereux.

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Nouveau livre de Bernard Lugan : Esclavage, l’histoire à l’endroit

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Tous les peuples ont pratiqué l’esclavage. Mais seuls les Blancs l’ont aboli. A travers la conquête coloniale, ils ont ensuite contraint ceux qui continuaient à le pratiquer à y renoncer. Or, seule la traite pratiquée par les Européens est criminalisée.
 
Le 10 mai 2001, en votant à l’unanimité la « Loi Taubira », les députés français ont ainsi imposé une vision à la fois idéologique et manichéenne de la traite esclavagiste. Cette loi ne dénonce en effet que la Traite pratiquée par les Européens, faisant l’impasse sur la traite arabo-musulmane laquelle ne prit fin qu’avec la colonisation. 
 
Christiane Taubira a justifié cette singulière hémiplégie historique afin que « les jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006). 
 
Par leur vote, les députés français ont donc effacé de la Mémoire collective des dizaines de millions de victimes. A commencer par ces innombrables femmes et jeunes filles berbères razziées dans ce que les conquérants arabes appelaient la « moisson berbère ». Ibn Khaldun évoquait à ce sujet les « belles esclaves berbères, de toison couleur de miel ». Et que dire des millions d’enlèvements d’Européens opérés jusque dans les années 1800 en mer et le long des rivages méditerranéens, à telle enseigne que l’on disait alors qu’ « il pleut des esclaves chrétiens sur Alger » ?
 
Cette loi fait également l’impasse sur le rôle des Africains eux-mêmes. Or, comme les Européens attendaient sur le littoral que leur soient livrés les captifs par leurs partenaires africains, il dépendait donc in fine de ces derniers d’accepter ou de refuser de leur vendre leurs « frères » noirs. La réalité historique est qu’une partie de l’Afrique s’est enrichie en vendant l’autre partie. Les captifs n’apparaissant pas par enchantement sur les sites de traite, ils étaient en effet capturés, transportés, parqués et vendus par des négriers noirs. Ce qui a fait dire aux évêques africains : 
« Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir… Nos pères ont pris part à l’histoire d’ignominie qu’a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeurs dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne » (Déclaration des évêques africains réunis à Gorée au mois d’octobre 2003).
 
Or, par haine de tout ce qui est « Blanc », ceux qui se sont baptisés « décoloniaux », nient ces réalités historiques au profit d’une fausse histoire qu’ils introduisent au forceps selon des méthodes terroristes et qui est lâchement acceptée par des « élites » européennes entrées en dhimitude doctrinale. Le 19 juin 2020, le Parlement européen a ainsi voté une résolution surréaliste condamnant « l’utilisation des slogans qui visent à saper ou à affaiblir le mouvement Black Lives Matter et à en diluer la portée ». Le groupe LFI a même déposé un amendement visant à ne reconnaître comme « crime contre l’humanité » que la Traite européenne, et non « la traite des esclaves » en général, comme cela était prévu dans le texte initial.
 
Cette entreprise de subversion connaît des développements apparemment insolites. Ainsi, au mois de mai dernier, en Martinique, deux statues de Victor Schoelcher, l’homme du Décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement l’esclavage, ont été renversées à Fort de France et à … Schoelcher. Or, il n’y a ni inculture, ni crétinerie dans ces crimes iconoclastes, mais tout au contraire une claire attitude politique : un Blanc ne peut en effet mettre fin à l’esclavage puisqu’il est par essence esclavagiste… Alors, si les statues du père de l’abolitionnisme ont été renversées, c’est afin que soient mises à leur place celles de personnalités noires « esclavagisées » selon le vocabulaire « décolonial », et qui auraient lutté contre l’esclavage.
 
Voilà donc les « décoloniaux » en plein complexe existentiel devenus les « esclaves de l’esclavage » selon la formule de Franz Fanon, lui qui refusait de se « laisser engluer par le déterminisme du passé ».
 
Ce livre remettant totalement à plat l’histoire de l’esclavage était donc une nécessité. Loin des nuées et des incessantes manœuvres culpabilisatrices, cet ouvrage enrichi de plusieurs dizaines de cartes et illustrations, d’une bibliographie détaillée et d’un index est le manuel de réfutation de cette histoire devenue officielle dont la finalité est de paver la route de la repentance afin de faire des Européens des étrangers sur leur propre sol.
 
CE LIVRE EST UNIQUEMENT DISPONIBLE VIA L'AFRIQUE REELLE

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dimanche, 16 août 2020

Crise : après une simple correction, l’or va continuer de grimper

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Après une correction spectaculaire, ce mardi 11 août, la plus importante depuis 2013, les métaux précieux sont repartis à la hausse. Alors qu’il avait dépassé les 2.070 dollars l’once, l’or est très vite repassé sous les 2.000 dollars, et même sous la barre des 1.900 dollars, mais pour terminer à 1.936,20 dollars, ce vendredi 14 août. La correction a été initiée suite à une prise de profits, mais du côté des fondamentaux économiques, rien n’a changé car les dettes, les créations monétaires, les dépenses publiques et déficits publics, quelques conflits possibles sont toujours présents.

L’endettement va empirer et la seule porte de sortie est l’inflation. La plupart des pays sont engagés dans des programmes de relance sans précédent. Simultanément, la pression de la mondialisation qui a permis de limiter l’inflation diminue. Même en cas de signes d’inflation, les banques centrales ne relèveront pas les taux d’intérêt pour la maîtriser, de peur d’empêcher une éventuelle reprise économique et de diminuer l’inflation qui aide à résoudre le problème de la dette irremboursable.

Même si un vaccin, quelle que soit sa nationalité, est prêt en novembre 2020, il ne sera pas distribué avant le premier trimestre 2021, et d’ici là, de l’eau aura coulé sous les ponts, avec des ravages partout dans le monde. Le contexte fondamental est malheureusement l’un des plus radieux de l’histoire de l’or. Ce n’est pas le Covid-19 qui est responsable de la hausse de l’or et de l’argent, mais les déficits des gouvernements ainsi que les créations monétaires par les banques centrales afin de monétiser la dette publique. Seuls sont faibles les fondamentaux de l’argent, en raison de la baisse de la demande industrielle et de la joaillerie. La hausse de l’argent, actuellement à 26 dollars l’once, est tirée par la hausse de l’or, mais elle pourrait connaître un krach structurel.

Pendant le deuxième trimestre 2020, les faillites des grandes entreprises ont doublé dans le monde. Selon Euler Hermes, les sociétés françaises représentent 14 % des cas d’insolvabilité. En France, les défaillances de grandes entreprises et entreprises de taille intermédiaire ont grimpé de 16,7 %, en mai, et 38,2 %, en juin. La réalité France, c’est que 616.900 emplois ont déjà été détruits depuis début 2020. 20 % de personnes en sous-emploi voudraient travailler plus, un niveau inédit depuis 1990. Et, après une contraction de 13,8 % du PIB au deuxième trimestre, 2,5 millions de personnes sont considérées comme inactives mais souhaiteraient trouver un emploi, un record depuis 2016. L’INSEE anticipe déjà la destruction de 900.000 emplois sur l’année.

En Grande-Bretagne, ce n’est guère mieux : 730.000 emplois ont été détruits depuis mars 2020 et le Royaume-Uni, avec un recul de -20,4 % du PIB au deuxième trimestre, plonge dans la récession la plus sévère d’Europe.

Quant aux États-Unis, ils auront dépensé, en 2020, le double de leurs rentrées fiscales. Leur déficit public sera de 2.807 milliards de dollars, soit plus de 10 % de leur dette publique actuelle. Trump a promulgué un nouveau plan d’aide de 400 dollars par semaine aux Américains. Les créations d’emplois de 1,8 million, en juillet, ont ralenti par rapport aux 4,8 millions de juin. Au regard du 1,4 million, puis des 20,8 millions d’emplois détruits respectivement en mars et avril, le solde reste terriblement négatif, à près de 15 millions !

Le secteur bancaire européen risque aussi de connaître une nouvelle crise. En 2019, les banques détenaient 600 milliards d’euros de créances douteuses ; elles devraient atteindre 1.000 milliards fin 2020. La BCE a demandé aux banques de ne pas verser de dividendes et de ne pas racheter d’actions cette année. La Commerzbank est dans le rouge. La Société générale a affiché une perte de 1,26 milliard d’euros au deuxième trimestre 2020 tandis que celle de la banque espagnole Santander était de 11 milliards d’euros, soit la première perte de son histoire, suite à une augmentation de 60 % des provisions pour crédits impayés. Le titre a perdu 46 % depuis le début de l’année. Une crise bancaire à venir est aussi très probable, même si les médias font tout pour ne pas traumatiser davantage les populations.

En résumé, rien de changé sous le soleil où l’on ne sait que nous parler du coronavirus. Nous venons de vivre une simple correction passagère du prix de l’or. Mais la situation économique, nonobstant une scandaleuse invasion migratoire complètement passée sous silence, en France, de 450.000 extra-Européens tous les ans, soit deux fois la population de la Franche-Comté, est toujours aussi catastrophique.

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Qui sont les sauvages ?

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par André Bercoff

La canicule n’est plus seulement atmosphérique : elle devient, de plus en plus, cosa mentale. Tout se passe comme si le confinement n’était plus physique mais intégré, intériorisé, appliqué dans les têtes. Cependant que l’on nous demande, que l’on exige, d’observer les gestes barrières, le quotidien charrie des pelletées entières de tabassages, de crimes, de délits, de viols, de vols et autres violences qui ne soulèvent même plus l’indignation des médias et de l’opinion publique, les uns et l’autre affairés à l’unique objet de leurs ressentiments : la température

Il ne se passe pas un jour sans que, un peu partout dans le royaume, les balises de l’effondrement se manifestent avec la régularité d’un métronome. Mais attention ! Ce qui compte, ce ne sont pas le sort des victimes, la douleur des familles, les bourreaux libérés sans aucune forme de procès, la justice en capilotade et l’impunité quasi-totale considérée comme l’un des beaux-arts. Ce qui importe, c’est l’observation stricte d’une novlangue devant laquelle Orwell lui-même pâlirait d’envie.

Ainsi, le sémillant Gérald Darmanin, qui officie comme ministre de l’Intérieur et qui passe son temps à déplorer des méfaits et à jurer qu’il ne les tolérera plus, a osé parler « d’ensauvagement ». Le tollé suscité par le chœur des vierges des nouvelles maisons de tolérance a bien remis les pendules à l’heure : s’exprimer ainsi, selon les bonnes âmes du très masochiste déni du réel, ne peut être l’apanage que du fascisme réactionnaire et du conservatisme le plus rance. Guy Debord disait déjà : « Dans un monde renversé, le vrai n’est plus qu’un moment du faux ». Donc, le bourreau n’est qu’une victime au goût étrange venu d’ailleurs, et la victime quelqu’un qui était là au mauvais moment.

Ainsi, une certaine France s’enfonce dans la haine de soi qui, depuis quarante ans, consiste à affirmer que tout ce qui vient d’Occident ressort de l’esprit du Mal, et tout ce qui vient de la migration est évidemment une chance pour le pays. Ne tombons pas, à notre tour, dans le piège empoisonné de la généralisation : migrants = criminels, communautarisme = crime. Mais refusons tout aussi fortement l’angélisme dévastateur de ceux qui refusent de nommer les prédateurs, de dévoiler les délinquants, de sanctionner les coupables et de mettre des véritables bornes à la multiplication terrifiante des dégradations d’églises, des interdictions d’entrer dans les supermarchés pour les femmes en décolleté, à la stratégie du cutter face à un regard soi-disant coupable, à la courageuse agression, voire au viol de grands-mères ou au massacre d’une famille.

Et quand des historiens en peau de lapin, des polémistes en papier mâché osent nous dire que la violence a toujours existé afin de mieux noyer le poisson, rappelons qu’aux époques où celle-ci effectivement régnait, chacun était armé et pouvait se défendre. Quand l’Etat qui, comme chacun sait, a le monopole de la violence légitime, demeure incapable d’assurer la sécurité des citoyens parce qu’il a abandonné des pans entiers du pays désormais soumis au règne indivis des dealers et des fanatiques, travestir la barbarie en « incivilité » est plus qu’un crime : une faute. Ceux qui se croient protégés par leur fortune, leur statut et leurs privilèges ne seront pas les derniers à ressentir ce qui attend les autruches, après le silence des agneaux.

Source : site RT France

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Dans Présent de vendredi dernier, Francis Bergeron commente le livre de Michel Vial, "La chute de l'empire occidental"

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Francis Bergeron, Présent, cliquez ici

Il y a quelques mois, Michel Vial était venu proposer un article à Présent. Mais à la vérité, il s’agissait d’une étude d’une certaine densité, faite pour être publiée dans une revue pas dans un quotidien d’actualité générale et politique, qui plus est à la pagination réduite. Nous avons donc décliné son offre. Mais à quelque chose malheur est bon : il a revu son travail, pour en faire un essai de 130 pages, intitulé La Chute de l’empire occidental. Et c’est cet essai qui vient de paraître chez Synthèse, dans la collection « Idées ».

MICHEL VIAL ET MOI, nous nous étions croisés au cours de notre jeunesse militante. Le Liban, où nous avons l’un et l’autre crapahuté (pas tout à fait pendant la même période de 1976), nous a plus récemment rapprochés, grâce à la constitution de l’Association des anciens volontaires français du Liban. En bref une connivence politique née dans les années 1970, et concrétisée… 40 ans plus tard. 

Les études déclinistes ne sont jamais youp la boum, et le titre même de l’ouvrage de Michel Vial n’appelle pas à l’optimisme : La Chute de l’empire occidental. L’auteur en est conscient. « Faut-il pour autant baisser les bras ? Certainement pas… » nous dit-il. « La défense de notre identité, et de notre liberté, est un éternel combat. » Comme l’écrivait Jacques Bainville : « Tout a toujours très mal marché. » Il faut en être conscient et penser dans le temps long. 

Pourquoi parle-t-il d’« empire occidental » ? Ce n’est pas l’empire romain ou ottoman ou soviétique. Ce n’est même pas l’empire français d’avant-guerre. Cet empire qu’il voit chuter, Michel Vial le définit comme un ensemble spatial sans vraie unité politique, mais un ensemble homogène sur le plan historique, culturel, scientifique, technique, financier. Et j’ajouterai religieux, même si cette dimension s’est fortement affaiblie, par étapes successives, depuis deux siècles. Cet empire, rappelle Michel Vial dans un entretien publié par la revue Synthèse nationale, « s’est imposé au monde il y a environ cinq siècles et s’est considérablement affaibli depuis un demi-siècle ». 

On pourrait discuter du tournant de l’affaiblissement. Il y a un demi-siècle ? Ne faut-il pas remonter plus tôt, à la Première Guerre mondiale ? Elle a fauché les jeunesses française, anglaise, allemande, russe, italienne, serbe, autrichienne et hongroise (près de 10 millions de soldats, essentiellement des jeunes hommes), puis le communisme à l’Est, avec ses famines gigantesques, sa régression économique et le paradoxe de son messianisme agressif, a fait le reste. 

La déchristianisation est souvent négligée 

Mais l’essentiel n’est pas là. « Plus que nos ennemis clairement déclarés, j’ai voulu dénoncer les traîtres à notre nation et à notre civilisation » dit Vial dans l’entretien précité. Ces maux et ces ennemis s’appellent l’intégrisme écologique, la déchristianisation, l’islam, l’immigration, le « vivre-ensemble », le terrorisme, mais aussi la lâcheté de nos dirigeants, les manipulations médiatiques, et les effets pervers de l’Europe telle qu’elle a été conçue. 

Dans ce type d’analyse, la déchristianisation est trop souvent négligée, soit parce que l’étude émane d’adeptes du paganisme ou de théories de ce genre, qui considèrent que le christianisme est en lui-même un ferment de décadence, soit parce qu’ils font remonter la chute ou la décadence à une époque très récente, et qu’ils savent que la déchristianisation a commencé avec la révolution française, ce qui n’entre pas dans leur schéma. Michel Vial définit davantage la déchristianisation par la montée d’un athéisme intolérant que par l’éclipse religieuse actuelle. Il note que malgré le recul de la pratique, notre culture demeurait d’inspiration chrétienne, et ceci grosso modo jusqu’à la fin des années 1960. 

Ces derniers temps la laïcité a pris une tournure antichrétienne, renouant et approfondissant des pratiques atténuées, voire disparues depuis les inventaires, tandis que l’islam est simultanément privilégié, au nom du « vivre-ensemble », ou en raison de la peur qu’il suscite, des violences qu’il peut générer, et donc en fin de compte de la lâcheté de nos dirigeants. Tout se tient. 

Dans le même ordre d’idées, le préambule de la constitution européenne de 2005 ne fait pas référence aux racines chrétiennes des nations européennes. Et ce sont aujourd’hui les pays européens non déchristianisés qui sont l’objet de l’hostilité du reste de l’Europe. 

Dans un contexte de montée de l’islam et d’immigration croissante, la déchristanisation programmée permet à la pierre dure d’éroder la pierre friable. D’autant que, note encore Vial, l’Eglise a abandonné toute idée de prosélytisme, tournant le dos à 2 000 ans de prêches, de conversions, de missions. Pourtant, « croyants ou non, nous sommes tous tributaires de notre passé chrétien », conclut-il. 

En guise de raison d’espérer, il ne nous offre guère que l’idée « raspailienne » (si on peut se permettre ce néologisme), consistant à « enfourcher nos montures et défendre [la cause] dans une dernière charge héroïque, sabre au clair ». C’est un peu court. 

L’ouvrage est donc une bonne « synthèse nationale », complète, sur les maux et les enjeux essentiels, mais il est muet sur les formes du sursaut, de la renaissance, de la contre-offensive. On attend en conséquence le tome II, qui pourrait s’intituler De la reconquête, par exemple. 

La Chute de l’empire occidental, par Michel Vial, Synthèse éditions, coll. « Idées », 2020, 130 p., 18 euros (+ 5 euros de port).

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samedi, 15 août 2020

Suite au drame de Beyrouth, retour sur la Guerre de 1976...

BQ SN 2015 Liban.jpg

Source Furia francese cliquez ici
 
Nous avons posé quelques questions à Emmanuel Albach concernant son engagement au Liban et nous le remercions pour ses réponses riches d'enseignements !
 
Vous êtes parmi les deux premiers volontaires Français à partir pour le Liban, quelles ont été vos motivations ?
 
La honte de voir la France abandonner encore un peuple ami auprès duquel notre honneur était engagé depuis mille ans, probablement, a été le déclencheur. Mon camarade Philippe, et moi, qui militions depuis déjà trois ans au Groupe Action Jeunesse - et pour ma part au Mouvement Jeune Révolution (NDLR SN : mouvements solidaristes des années 1960-1970) avant - nous sommes retrouvés un matin de début décembre à une terrasse de café, près de notre fac. Il avait acheté Paris-Match. S’y étalaient, en doubles pages intérieures, des photos des grands hôtels où des poignées de combattants chrétiens luttaient contre des hordes de « palestino-progressistes ».
 
Nous avons dit ensemble : « Et la France les laisse tomber ! Et le serment de Saint Louis est bafoué, sur la terre des croisades ! ». L’évidence nous est apparue. Je crois que j’ai dit : « L’histoire ne doit pas pouvoir écrire qu’aucun Français n’est venu combattre avec eux. Il faut y aller. » Et Philippe a dit : « Chiche ? On part ? Je vais cet après-midi au bureau de la MEA, à l’Opéra. » « J’ai simplement dit : oui, vas-y ! ». J’ai pensé : « Si moi, je n’y vais pas, avec la conscience que j’ai du devoir qui nous incombe, qui ira ? ».
 
Nous avons trouvé un Libanais à la fac, un chrétien d’Achrafieh, dont le cousin était dans les Phalanges. Il nous a fait une lettre de recommandation et nous a communiqué le numéro de téléphone de son cousin. Nous avons pris nos billets, tarif étudiant, pour le 4 janvier 1976, lendemain de mon anniversaire, afin que je sois majeur et libre de voyager.
 
Nous n’avions pas le sentiment d’être des héros, ça, vraiment pas, mai juste de faire notre devoir, comme nos ancêtres avaient toujours su le faire.
 
Racontez nous vos séjours.
 
Holà ! Je pourrais vous en écrire des centaines de pages. Je vais essayé de résumer…
 
Nous étions hébergés dans un collège protestant, pensionnat déserté par ses élèves, le « Good Sheperd College » accroché à flanc de la colline d’Achrafieh, face au sud de la ville, dont les Phalanges avaient fait une caserne. Ses bâtiments, qui dataient des années 20, ont été détruits par l’artillerie syrienne en 1987. Pendant deux jours, Philippe et moi avons été soumis à interrogatoire sur interrogatoire. Ils avaient du mal à y croire. Et puis des infos ont dû leur venir de Paris, et ils ont compris finalement à qui ils avaient à faire. Le troisième jour nous avons été présentés à Pierre Gemayel, vieux monsieur magnifique d’allure, à la vois très grave, qui nous a chaleureusement serré la main. Dans la foulée, dans les sous-sols de la maison des Kataëb, nous avons rencontré son fils, Bachir Gemayel, le chef des combattants phalangistes de Beyrouth, qui a fondu en larmes quand nous lui avons certifié que nous étions prêts à mourir avec eux, pour eux. Il nous a dit, tandis que coulaient sur son visage des larmes qu’il ne cherchait pas à cacher : « La France, c’est tant pour nous. C’est notre mère. Elle nous a laissé tomber, mais vous, ses fils, vous êtes là ! Merci. Merci. »
 
Le sous-sol de notre caserne, lui, regorgeait alors d’armes témoins des luttes passées, de 1860, 1920, 1958 : un vrai musée des combats menés pour leur survie par les chrétiens du Liban. C’était très émouvant. Au fond d’un couloir sombre, se trouvait l’armurerie de 1976. Là nous choisissions l’arme -le fusil d’assaut- que nous voulions pour notre mission du jour – ou de la nuit. Nous avons ainsi pu tester -longuement et en situation réelle - tout le matériel disponible ces années-là : Kalach (russe, allemand de l’est,…), Slavia, FAL belge ou sud-africain, M-16 (provenance du Sud-Vietnam), ou des engins plus lourds et meurtriers, et pas toujours jeunes, comme des mitrailleuses légères PKM, des MG-42 (avec les bandes de cartouches autour du cou, vous voyez le cliché, je suppose…) ou des engins impossibles comme le Mau-Mau chinois avec son gros chargeur camembert. Une fois j’ai même eu une Thompson, calibre 45, pour quelques heures (idiot !).
 
Notre groupe - nous avons rarement été plus de huit en même temps - était lesté aussi de quelques LAW (ou « bazooka kleenex », américain), ou d’un RPG et trois roquettes, et nous gonflions nos poches de grenades russes quadrillées (défensives). Très vite chacun s’est fixé sur une arme. Moi, j’ai trouvé un kalach de mon année de naissance, fabriqué en Allemagne de l’est. Bien entendu, une image de la Vierge était collée sur la crosse. Je n’ai jamais porté de casque ou de gilet pare-balles. Nous partions avec deux cents cartouches chacun, plus nos trois chargeurs de 30 cartouches, scotchés tête-bêche, garnis partiellement de traçantes pour les combats de nuit (c’est très efficace à cinquante ou cent mètres de distance, dans la pénombre des rues, j’ai ainsi fait quelques cartons bien venus).
 
La population nous aimait comme des frères, comme leurs enfants. Nous étions sans cesse invités à déjeuner ou dîner chez des gens d’Achrafieh, chaleureux et si reconnaissants de notre présence. On nous donnait une petite solde, l’équivalent de deux cents euros d’aujourd’hui, qui nous permettait d’aller de temps à autre boire une bière dans un bistro de la place Sassine. Nous étions toujours guidés -au moins pendant les premières heures de combat- par un gars de la caserne. Souvent deux ou trois gamins libanais se joignaient à nous. Les combattants kataêb étaient des étudiants, des lycéeens parfois, des gamins de milieux modestes autant que de familles plus aisées. Comme nous étions en général de service la nuit, pour des positions défendant le premier bassin du port de Beyrouth, ou dans le centre-ville, ou à Achrafieh sur la « ligne verte », où il fallait faire du bruit comme si nous avions été nombreux, nous consommions beaucoup de munitions. Nous étions de retour vers huit heures du matin à la caserne, sauf que, la situation se tendant sérieusement à partir de la mi-mai, nous sommes parfois restés nuit et jour sur le front, avec presque rien à manger et contraints de boire l’eau d’une canalisation éclatée. Heureusement, côté munitions et matos, nous n’étions jamais oubliés !
 
Au combat, dans ces rues, ces escaliers d’immeubles inconnus, quand chaque fenêtre est une menace, la peur devient une sensation permanente que l’on finit par dominer. La mort est toujours là, soit en fin de journée dans le cadavre d’un combattant quinquagénaire troué de plusieurs balles, qui le matin même plaisantait avec nous en fumant sa cigarette, ou celui d’un jeune homme, étudiant en pharmacie, qu’un RPG reçu en plein corps a transformé en un amas de chairs fumantes, éclatées, atroces. Il y eut les cadavres d’ennemis abandonnés, pourrissants sous le soleil si chaud de cette année-là, mal brûlés, parfois démembrés, et cette odeur écoeurante, si pénétrante, d’un lambeau de cervelle écrasé par inadvertance et qui s’est imprégné dans la semelle d’un pataugas pour y pourrir… Il y a aussi le vacarme conjugué des armes automatiques, des obus, des explosions de toute sorte quand, le front s’étant soudain réchauffé, dans les rues du centre-ville soudain saturés de déchirements sonores, tous tirent ensemble d’un côté contre l’autre, que des canons bitubes de 23mm, avec leurs gros pointilleux lumineux, entrent dans la danse, avec leurs « bam-bam, bam-bam » assourdissants, et qu’on se demande quand l’un de ces obus, de ces RPG, finira par nous trouver… On serre les dents, et l’on tient sa place dans la barricade, et l’on essaye d’allumer l’ennemi qui tente une percée sous le couvert de cette préparation cacophonique…
 
Comment cet engagement est il perçu en France à ce moment là ?
 
Nos camarades du GAJ n’ont pas apprécié notre décision. La propagande gauchiste avait son effet : se battre avec les chrétiens du Liban, c’était devenu rejoindre Israël qui, dans nos milieux, n’avait pas souvent bonne presse. Nous, nous partions en croisade et sauver l’honneur de la France. Le reste, nous nous en fichions. Mais quand nous sommes revenus en février, une longue trêve s’étant installée, l’humeur avait changé. Nos camarades avaient compris et les volontaires ne manquaient plus. Côté gauche et majorité fausse droite, nous étions simplement des fascistes, quand ils nous citaient. Plus couramment, nous n’existions pas.
 
Quels liens gardez-vous avec le Liban ?
 
Au retour du Liban, j’ai fait les Langues O’ en arabe littéral (j’ai étudié le coran trois ans !), arabe de presse et de radio (j’ai travaillé quatre ans pour An Nahar) et arabe oriental (parler syro-libano-palestinien). J’ai à Paris, collaboré à Saout El Arz (la Voix du Cèdre, radio parisienne des FL), et j’ai vu Bachir quelques mois avant sa mort à Beyrouth. Quand les FL sont venues en exil en France, après 1990, je les ai aidées à se remettre en selle, en communication. De cœur, d’âme, sans cesse je me suis efforcé d’aider mes amis, mes camarades de combat. Je vais au Liban au moins deux fois par an. J’y ai vu ces dernières années tous les responsables des partis chrétiens, sauf bien sûr, le funeste Aoun. Notamment Samir Geagea qui m’honore de son amitié et aussi l’ancien président Amine Gemayel et son fils Samy Gemayel et des anciens responsables des commandos Kataëb, comme Samy Khoueiry, dont la sœur, une combattante incroyable, est partie vers Dieu fin juillet.
 
Vous êtes le président et un des fondateurs de l’Amicale des Anciens Volontaires Français au Liban, quel est le but de cette amicale ?
 
Entretenir et garder des liens très étroits avec les anciens combattants des milices chrétiennes, Kataëb et FL. Transmettre aux jeunes la flamme de cette amitié combattante, de ce goût de la lutte et de la liberté.
 
En 2014, au cours d’une émouvante et grande cérémonie, le secrétaire général du parti Kataëb, Samy Gemayel, a remis, à Bickfaya, au Liban, à douze d’entre nous la médaille du Combattant Kataëb « Pour fait de bravoure ». Je suis revenu avec une trentaine de médailles à transmettre, avec un certificat, aux camarades qui n’avaient pas pu faire le déplacement, et dont la bravoure était absolument incontestable. Je la leur ai remise, parfois ce sont leurs enfants qui en ont été les dépositaires. Ces médailles gagnées au combat valent mieux pour moi qu’une Légion d’Honneur distribuée par des politiciens. Nous en avons fait coller une sur une dalle de marbre noir, sur la tombe de notre camarade Stéphane Zannettacci, tué au combat à Tall El Zaatar le 19 juillet 1976 et enterré à Cargèse, en Corse, où nous étions une dizaine, en octobre dernier pour une belle cérémonie. Nous avons aussi un drapeau frappé de notre logo et qui est présent à toutes sortes d’événements ou commémorations, comme les funérailles de Roger Holeindre ou la réunion annuelle sur la tombe de Jean Bastien-Thiry…
 
Parlez nous de votre carrière après cette expérience, quels ont été vos engagements depuis ?
 
Je crois que j’ai répondu ci-dessus, au moins partiellement. J’ai été journaliste, puis consultant en communication (et chef d’entreprise). J’ai eu quatre enfants dont le sang me semble bien fort.
 
Un dernier mot ?
 
Préparez-vous au combat ! Beyrouth, bientôt, sera transplanté à Paris. J’espérais pouvoir consacrer mes jours restants à écrire sur des sujets plus légers, mais je ne suis plus très sûr d’avoir encore le temps d’écrire beaucoup. Je crois que le combat nous appelle encore. Et puis quoi ? Mourir au combat, pour un vrai Français, pour un gaulois, quelle meilleure fin, à tout âge, et quoi de plus exemplaire pour les générations futures ?
 
Bibliographie :
Emmanuel Albach, "Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes." 2015, Les Bouquins de Synthèse nationale, 250 pages, 22 euros (+ 5 euros de port) - quelques exemplaires encore disponibles - cliquez ici

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L'empire de la servitude sanitaire.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le corinavirus circule, certes. 
 
- Comme tous les virus il n'est pas inoffensif, mais il est peu mortel, et parmi ceux qui y succombent, beaucoup seraient morts en toute hypothèse d'autres pathologies ou de l'épuisement de leur âge ; d'autres sont morts AVEC le COVID, mais pas DU COVID. 
 
- Aucune surmortalité n'a été enregistrée en France ces derniers mois.
 
- Le nombre de personnes hospitalisées continue, jour après jour de baisser, tout comme celui des malades en réanimation.
 
- La plupart des contaminés le sont aujourd'hui à cause de leur imprudence juvénile, de leurs habitudes "communautaires", de la promiscuité des "quartiers" où ils vivent ou des pays d'où ils reviennent.
 
S'il y a une deuxième vague, c'est celle de l'intoxication gouvernementale diffusée par ses obligés scientifiques et relayée avec complaisance, mais aussi avec incompétence, manque total de sens critique ou du discernement, des journalistes des chaînes d'information en état de cécité absolue depuis leur formatage dans le moule des écoles dont beaucoup viennent à peine de sortir.
 
S'il y a une deuxième vague, c'est celle, après le confinement général, du confinement des esprits par sidération des consciences dans un alignement global qui est la marque bien connue de ce que Guy Debord appelait l'empire de la servitude en précisant : « La décadence générale est un moyen au service de l’empire de la servitude ; et c’est seulement en tant qu’elle est ce moyen qu’il lui est permis de se faire appeler progrès. »

17:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Violence et civilisation

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Par Jarente de Senac

La lecture des journaux devient effarante tant le nombre de faits de violence ne cesse de croître selon des modes opératoires auxquels nous n’étions pas habitués depuis que nous n’avons eu de cesse de pacifier nos mœurs, d’instaurer des lois et de générer une violence légale. A ce jour, force est de constater que le principal responsable de cette violence, c’est l’immigration qu’elle soit ou non clandestine. Car ses populations de races et de cultures différentes profitent de nos lois et de nos libertés pour les enfreindre avec la complaisance, souvent, de juges soumis à la religion des droits de l’homme. Et généralement partisans d’une gauche aussi imaginaire qu’utopique où "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil".

En société l’homme a des devoirs avant d’avoir des droits. Et ces devoirs sont le fruit de l’éducation qu’il a reçu. Raison pour laquelle l’univers mental des immigrés est trop souvent aux antipodes du nôtre.

Toutefois, il ne faut pas non plus se voiler la face, il y a également en Europe des populations qui posent des problèmes quand elles échappent à nos normes comme les Tsiganes par exemple et certaines populations victimes, jadis, des invasions turques comme les Albanais ou les Bulgares. Ces populations constituent en effet un pourcentage non négligeable de crimes et délits au sein des populations immigrées. Le problème majeur posé parmi ces dernières relève en général de leur religion, l’islam. Et pour cause, ses principes sont contraire à ceux prônés par le christianisme qui, à la suite du paganisme, est la véritable religion de l’Europe. Ce qui a pour conséquence directe que notre territoire est sujet à des zones de non-droit en raison du laxisme de nos gouvernants et de leurs affidés, le personnel politique.

L’un des drames de ce pays, mais aussi des Européens en général, à quelques exceptions près, c’est bien la médiocrité de ce personnel politique qui a perdu tous ses repères culturels inhérents à la constitution même des nations européennes. Il n’y a qu’à constater le délabrement de notre système éducatif pour comprendre comment nous en sommes arrivés là.

Depuis 1968, l’Education nationale n’a cessé sa descente aux enfers et nous en sommes arrivés aujourd’hui à une sorte de point de non-retour. Jean-Michel Blanquer, ministre d’une éducation qui n’a plus rien de national, n’a rien compris au film pour la bonne raison que ce qui nous fait office de Président n’a en rien conscience de ce désastre et encore moins de ses causes. Aujourd’hui, on ne gouverne plus en fonction des desiderata du peuple, mais des contraintes qu’imposent un système économique assujetti au libéralisme. Les dérives de cette nomenklatura politico-administrative a conduit notre pays de désastres en désastres,  industriel notamment et il est en train de s’en prendre au secteur agroalimentaire en appauvrissant nos paysans et nos agriculteurs au bénéfice de la grande distribution. Cette dernière n’a en tête que la rentabilité de leur entreprise au mépris d’une bonne politique de santé publique. En autorisant de plus en plus des normes et des produits transformés, calibrés, épurés, on est en train d’empoisonner la population. Cette pandémie a eu pour effet de mettre en exergue tous les dysfonctionnements d’un système économique devenu fou et absurde qui n’est pas sans rappeler le fameux docteur Folamour.

Est-ce à dire que nous entrons dans un monde infernal qui risque de voir à terme la disparition de tout ce qui a fait la grandeur de l’Europe, de son génie et de l’originalité de ses peuples ?

09:14 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 14 août 2020

Turquie : un jour ou l'autre il faudra bien faire face.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le dictateur islamique Erdogan accuse Macron de néocolonialisme après son voyage au Liban.
 
C'est entendu, avec ses déclarations de Tartarin du Touquet et ses postures de président-playmobil à la reconquête de l'Orient compliqué, Macron s'est ridiculisé lors de son déplacement à Beyrouth.
 
Cela, nous avons, nous nationaux, le droit - et même le devoir - de le dire. Pas Erdogan !
 
Engagé dans la reconstruction de l'Empire ottoman et le rétablissement du califat ; étendant son influence du Maghreb aux Balkans et aux terres islamiques de l'Empire russe ; développant à outrance ses moyens militaires et les engageant sur de multiples terrains d'opération ; jouant de son appartenance à l'OTAN et de la complaisance intéressée des États-Unis tout en ménageant pour le moment, en sachant jusqu'où ne pas aller trop loin, la susceptibilité russe ; disputant le leadership sunnite régional à l'Egypte et ses alliés du golfe arabique; menaçant la Grèce ;  s'accaparant le contrôle de la route des hydrocarbures ; faisant de la question migratoire une arme de chantage sur l'Europe avant d'en faire demain un instrument de conquête avec l'aide de ses alliés islamistes, des frères musulmans et de la cinquième colonne de la consistante et très encadrée  diaspora turque, le nouveau sultan constitue pour notre continent et notre civilisation une menace mortelle.
 
La France et l'UE, au delà de quelques paroles incertaines et molles, détournent le regard de ce danger comme elles cachent en permanence leur regard sous leurs ailes d'autruche des savanes.
 
Le moment de la confrontation viendra pourtant. Inévitablement. Plus longtemps nous atermoierons, plus dur sera le conflit qui vient, nouvel épisode de la poussée turque et de l'impérialisme islamique millénaire sur l'Europe.
 
Ce jour là, ou bien la France se sera relevée et saura faire face au coude à coude avec nos frères de la grande Europe et le soutien actif de la Russie, et, pour les Turcs, le choix sera alors entre l'abandon total de leurs espérances et la plus cuisante des raclées... Ou bien nous succomberons définitivement. 

10:31 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 12 août 2020

Vous avez dit complot ? “Fake news” ? Bruno Gollnisch plonge un député LREM dans l’embarras

C'était le 16 mai 2018...

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Le blog de Bruno Gollnisch cliquez ici

19:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Macron, fier à bras au Sahel ou au Liban, impuissant en France.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Macron veut renforcer la sécurité des Français au Sahel comme il veut, contre tout bon sens et raison, imposer la Pax Républicana systémique au Liban.
 
Une fois de plus Macron confond le réel et la brume de ses rêves.
 
Le réel c'est la montée terrifiante de la barbarie en France, de la délinquance dans nos villes et nos campagnes, de la main mise mafio-allogène sur l'économie parallèle, et de l'entreprise criminelle substitutive.
 
Assurer la sécurité des Français en France, éradiquer l'ensauvagement du pays, mettre au pas les cités occupées, anéantir la menace islamique sur notre sol national, démanteler les trafics, détruire les stocks d'armes de guerre entreposés dans les banlieues, agir avec fermeté et détermination contre la racaille venue d'ailleurs, expulser sans délai les délinquants étrangers et ceux qui pourraient constituer une menace pour la paix publique,  en un mot rétablir l'ordre français, voilà ce que nos compatriotes attendent.
 
La sécurité de nos représentants diplomatiques et de nos ressortissants impliqués dans les efforts économiques ou autres au service de l'intérêt national doit bien sûr être organisée. Celle de quelques bobos expatriés pour servir des idéaux planétaristes et amateurs de pique-niques au milieu des girafes, est indifférente aux Francais et inutile à la France.

19:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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