vendredi, 31 juillet 2020
Bioéthique: la loi de toutes les dérives
Guillaume de Thieulloy
L’Assemblée nationale a commencé la deuxième lecture du projet de loi bioéthique. Tout dans cette deuxième lecture est surréaliste. A commencer par l’agenda: la France sort tout juste du confinement consécutif au covid-19, son économie est en très mauvaise santé et les faillites menacent d’être nombreuses à l’automne. Mais la première décision du nouveau gouvernement de Jean Castex a été de discuter de cette loi – dont 71% des Français estiment avec bon sens qu’elle n’est pas prioritaire! Il faut noter que la majorité avait initialement envisagée de ne pas débattre de ce texte avant 2021, mais le lobby LGBT a montré les dents et, instantanément, la majorité a cédé…
Cette discussion est aussi ahurissante en ce que les droits de l’opposition sont bafoués et même piétinés. Tout d’abord, comme en première lecture (et contre l’usage en matière de loi bioéthique), la majorité a choisi un débat en temps programmé, ce qui signifie que les débats sont minutés et que l’opposition dispose de très peu de temps pour faire valoir ses arguments dans l’hémicycle. Comme, par ailleurs, la discussion a lieu alors que les manifestations sont encore interdites pour cause d’épidémie, les opposants au texte n’ont tout simplement aucune possibilité pour se faire entendre. Par ailleurs, le gouvernement et la majorité brillent par leur absence et leur amateurisme. En commission, contrairement à l’usage, les ministres ne sont quasiment jamais venus. Lors du premier soir de la discussion dans l’hémicycle, seuls 2 députés de la majorité étaient en séance – les autres étaient à un cocktail, à l’invitation du Premier ministre.
Mais le plus ahurissant réside, bien sûr, dans les propositions de la commission. Toutes les dérives libertaires ont été proposées – Dieu merci, certaines vont être rejetées, mais le seul fait qu’on les propose en dit long sur le déclin de l’idée même de dignité humaine au sein de la représentation nationale. Je ne pourrai pas parler de tout, tant le champ des délires est vaste. Citons pêle mêle, la création délibérée par l’Etat d’orphelins de père pour répondre aux caprices des adultes (avec la PMA sans père pour les femmes seules et les couples de femmes – remboursée par la Sécurité sociale, s’il vous plaît!) ; la création d’embryons transgéniques ; la création de chimères (mi-homme mi-animal) ; le premier pas vers la légalisation des mères porteuses avec la technique de la ROPA (pour « Réception de l’Ovocyte du Partenaire »: ce qui signifie que, pour que deux femmes soient « également » mères : l’une donnera un ovocyte et on l’implantera, après l’avoir fécondé par le sperme d’un donneur anonyme, dans l’utérus de l’autre !) ; l’eugénisme va progresser d’un cran avec la légalisation du DPI-A (diagnostic pré implantatoire des aneuploïdies) qui vise à détruire les embryons fabriqués par assistance médicale à la procréation dont le nombre de chromosomes serait anormal – en d’autres termes, la technique vise, par exemple, à détruire les embryons trisomiques. Voici quelques unes des « avancées » discutées dans cette loi et elles font froid dans le dos.
Il reste un signe d’espérance. Même si les opposants apparaissent comme un « petit reste », ils se battent comme des lions dans l’hémicycle – il faudrait les remercier tous, Emmanuelle Ménard, Xavier Breton, Marc Le Fur, Agnès Thil et tant d’autres de partis différents, mais qui se battent ensemble pour la dignité de l’être humain, réduit à l’état de chose par l’action conjuguée du marché et de l’Etat. Et, peut-être plus important encore pour l’avenir, de nombreux évêques ont parlé nettement contre ces dérives. Parmi beaucoup d’autres (qu’il faudrait tous remercier), citons:
Mgr Ginoux, évêque de Montauban: « Nous ne sommes plus dans la science au service de l’homme mais dans l’ouverture à l’inhumain. La transgression des limites ne fera pas grandir l’humanité. La réflexion sérieuse sur la personne humaine montre que cette nouvelle anthropologie nie l’origine et la fin de l’homme pour en faire un être manipulé par la technique selon des caprices qui varient et des situations instables : le désir d’enfant à tout prix, quand il n’est qu’une envie à satisfaire, n’est pas le don de soi dans l’amour partagé et reste stérile même si on se fabrique un enfant. Comme le dit souvent le pape François « tout est lié » : on ne peut pas, avec raison, promouvoir l’écologie intégrale, respecter la nature, les animaux, la planète et bafouer le droit de l’enfant à avoir un père et une mère, ne pas respecter l’embryon humain, ne pas reconnaître que l’être humain est une créature et qu’il a un créateur. Tout ce qui peut faire entendre raison à nos parlementaires doit être fait pour le bien de tous. La légalisation de la transgression serait une fois de plus la porte ouverte à toutes les violences. »
Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon: « La Procréation Médicalement Assistée ouverte aux couples de femmes qui privera un enfant de père n’est que la partie émergée d’un texte profondément transgressif. Sachant l’importance de la complémentarité homme/femme, nous ne pouvons accepter un changement anthropologique si profond qu’il effacera volontairement la paternité dans la construction, l’éducation et l’équilibre d’un enfant. Celui-ci ne sera plus reconnu comme un don mais comme un droit. L’enfant sera désormais le fruit d’un « projet parental » inscrit dans la loi, ouvrant ainsi la porte à la Gestation Pour Autrui. Les autres propositions sont indignes d’un Etat qui prétend reconnaître et honorer la dignité de la personne humaine. […] On ne peut se contenter d’une écologie qui ne concernerait que le climat et l’environnement, sans tenir compte de la nature et de la dignité de l’homme, de sa conception à sa mort naturelle. […] Entre la France des robots et de la technique, du progrès érigé en nouvelle croyance, et celle de l’attention au pauvre, du refus de la misère, du respect inconditionnel de la personne humaine, de la sobriété et du partage, notre choix est fait. »
Monseigneur Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron : « Ne reculant devant aucune transgression, les « apprentis-sorciers » de la « commission spéciale » sont en effet à l’origine d’un certain nombre de dispositions, qui se traduisent incontestablement par une « rupture anthropologique majeure ». […] Dans ces conditions, qui ne serait effrayé devant une telle manipulation de l’être humain, réduit à un matériau disponible aux désirs égoïstes d’une minorité de privilégiés qui pèsent sur le marché, ou à des fins de recherche médicale, quand on prétend par ailleurs déployer tant d’énergies pour sauvegarder les espèces animales au nom de la protection de l’environnement ? Comment ne pas manifester son indignation devant ce qui apparaît comme un passage en force, en plein cœur de la torpeur estivale, alors qu’après l’épreuve du confinement, les français sont en quête de détente et d’évasion ? Il est même à craindre que la psychose entretenue par la classe politico-médiatique autour d’une hypothétique deuxième vague de l’épidémie, conduisant à la mise en œuvre autoritaire de moyens disproportionnés pour lutter contre la pandémie, serve à détourner l’attention des citoyens de ces basses manœuvres politiques. Pourquoi en effet le Premier Ministre, dans son Discours de politique générale, omet-il d’évoquer le projet de loi bioéthique, alors qu’il est traité en urgence à l’Assemblée nationale ? Faut-il que la conscience de nos contemporains soit à ce point anesthésiée pour ne plus savoir prendre la mesure de la gravité de telles transgressions destructrices de la dignité de la personne humaine, à commencer par la plus vulnérable ? Pourra-t-on longtemps encore offenser le Créateur en son dessein de sagesse et d’amour ? »
Mais beaucoup de déclarations mériteraient d’être relayées. Elles sont toutes reprises ici. Depuis quelques années, l’Eglise de France parle de plus en plus clairement sur ces questions liées à la vie et à la famille et c’est, à mon avis, décisif pour l’avenir: une coalition pro-vie, qui nous a cruellement manqué depuis près d’un demi-siècle, est en train de naître sous nos yeux. Pour le moment, certes, nous perdons des batailles, mais nous préparons – trop lentement, bien sûr, mais sûrement – les conditions d’une résistance enfin victorieuse aux destructions prétendument progressistes.
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Virginie Vota : Contre l’avortement. Voici mes arguments !
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Une heure de vérités avec Xavier Moreau et Alain Escada
Une heure de vérités: Alain Escada reçoit aujourd'hui Xavier Moreau, géopolitologue spécialiste de la Russie.
Sujets évoqués : coronavirus Covid 19, Black Lives Matter et racisme anti-Blancs vus de Russie, la nouvelle Constitution Russe, Vladimir Poutine,...
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Le député italien Vittorio Sgarbi dénonce les manipulations des chiffres
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DIMANCHE 6 SEPTEMBRE : ROLAND HÉLIE INVITÉ À LA FÊTE BRETONNE DU PARTI DE LA FRANCE PRÈS DE RENNES
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Effondrement économique, tsunami social... Mais l'heure des comptes viendra bientôt.
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Suppression impitoyable de tous messages en faveur de la chloroquine
Comme il fallait s’y attendre, la Commission européenne n’a pas retenu le traitement à la chloroquine préconisé par le professeur Raoult. Les chiffres de guérison qu’il avançait devaient être faux ou truqués, inventés, falsifiés. Les savants de BFM TV ne s’y sont pas trompés. Tout ça n’était que poudre de perlimpinpin. Et puis, comment voulez-vous guérir qui que ce soit avec un look pareil ? Les malades s’enfuyaient horrifiés dès qu’ils l’apercevaient dans un couloir.
À cette substance médiatiquement maudite, la Commission a préféré le remdésivir des laboratoires Gilead. Plus sérieux. Plus goûtu. Et… il est vrai… heu… comment dire ? Plus onéreux. Voilà. Le mot est lâché. À ce jour, les comptables de Gilead ont fixé le prix du flacon de la potion miraculeuse à 390 dollars par flacon. Traitement de 5 jours avec 6 flacons : 2.040 dollars, soit 1.735 euros (source industriepharma.fr)
Depuis l’annonce de l’homologation, des effets positifs sur la santé se sont déjà produits ici et là. Des banquiers déprimés par les 12 euros du traitement Raoult ont retrouvé le moral, des financiers pâlichons reprennent des couleurs, les porteurs d’actions Gilead marchent sur l’eau… Devant tant d’améliorations, la Commission européenne a passé commande de 30.000 traitements. 63 millions d’euros, rappelle Ouest-France. La santé n’a pas de prix.
Autre effet secondaire de cette homologation : tout message en faveur de la chloroquine est, désormais, immédiatement supprimé des réseaux sociaux. On jette, on efface, on annule et informe le contrevenant qu’il s’agit d’une « fake news ». La fameuse. Les censeurs salariés, intitulés pompeusement modérateurs, connaissent les méfaits du produit. Pas vous.
Un groupement de médecins américains qui vantaient haut et fort les mérites de l’hydroxychloroquine s’est vu coupé du monde en quatrième vitesse. Compte Twitter du fils de Donald Trump suspendu pour avoir relayé la vidéo. Les réseaux sociaux tirent à vue. Pas un seul mot en faveur du traitement Raoult n’est toléré. Les choses sont claires. On ne discute plus.
Entre l’institution et le professeur marseillais, la polémique tourne au vinaigre. L’accusation de faux témoignage par le directeur de l’AP-HP a eu raison du flegme de Didier Raoult qui porte plainte pour « dénonciation calomnieuse » à l’encontre de Martin Hirsch, nous explique Le Point. Rien ne va plus. La propagande est entrée dans sa phase dure. Comme annoncé, la deuxième vague est bien là.
11:10 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Covid-19 : une chimère fabriquée en laboratoire ?
Italien, avec une carrière médicale et universitaire internationale, le professeur Joseph Trotto est un microchirurgien, expert en biotechnologie et nanotechnologie et président de la WABT (Académie mondiale des sciences et technologies biomédicales), une importante académie fondée en 1987. Il publie un livre-révélation, à sortir en Italie le 4 août, Cina Covid-19 La chimera che ha cambiato il mondo, destiné à provoquer un débat mondial, car il montre, avec des preuves scientifiques, que le coronavirus responsable de Covid-19 était le résultat d’une ingénierie de laboratoire. C’était l’hypothèse émise par le Pr Montagnier. En l’occurrence, le laboratoire de haute sécurité de Wuhan. Benoît-et-moi a traduit son entretien avec Libero. Extrait :
« Dans plusieurs publications, par exemple dans l’étude des chercheurs de l’Indian Institute of Technology de New Dehli basée sur les génomes des patients, recueillis dans des bases de données mondiales, il est démontré que le SRAS-CoV-2 n’est pas seulement un hybride entre le virus de la chauve-souris et le virus de la pangolin. Mais à l’intérieur, il y a de petits inserts de résidus d’acides aminés du virus VIH-1, responsable du sida. La présence de ces inserts dans un virus développé dans la nature ne pourrait jamais se produire. Et ce n’est pas tout. Le génome du SRAS-CoV-2 présente une autre modification sur ce qu’on appelle site furinique intracellulaire, comme le confirment deux études, l’une chinoise, l’autre canadienne-française. Les deux inserts ont une fonction spécifique : l’insert VIH-1 permet au CoV-2 du SRAS de s’ancrer à la cellule humaine et de pénétrer dans la cellule. Il est donc vraisemblablement responsable de la forte infectivité du virus. La modification du site de clivage furinique permet au virus de se multiplier dans la cellule et le rend hautement pathogène ».
Dans quel but ce virus chimique aurait-il été créé? Comme arme de bioterrorisme ou uniquement pour des études scientifiques ?
« Pour donner une réponse, nous devons rembobiner la bande. En 2005, après l’épidémie de Sars, a été fondé l’Institut de virologie de Wuhan, dirigé par la professeur Shi Zheng-Li, qui a repéré des coronavirus de certaines espèces de chauves-souris et les a recombinés avec d’autres composants viraux afin de créer des vaccins. En 2010, elle entre en contact avec des chercheurs américains dirigés par le professeur Ralph Baric, qui travaille à son tour sur des virus recombinants basés sur des coronavirus. Grâce aux virus de la matrice fournis par Shi, Baric crée en 2015 une chimère Sars-virus du rat, qui a un effet pathogène sur les cellules humaines analysées in vitro. À ce moment-là, la collaboration entre la Chine et les États-Unis devient une concurrence. Shi veut travailler à un virus plus puissant pour fabriquer un vaccin plus performant: elle combine in vitro un virus de chauve-souris avec un virus de pangolin et en 2017 elle publie les résultats de cette recherche dans plusieurs articles scientifiques. Ses recherches suscitent l’intérêt du secteur militaire et médico-biologique chinois qui s’intéresse aux armes biologiques utilisées comme moyen de dissuasion à des fins défensives et offensives. Ainsi, Shi est soutenu par des médecins et des biologistes du milieu politico-militaire, comme Guo Deyin, spécialiste des vaccins contre le sida et l’hépatite virale et expert en techniques de recombinaison génétique. L’introduction des nouveaux inserts techniques dans le génome du virus est le résultat de la collaboration entre l’équipe de Shi et celle de Guo Deyin. La réalisation de cette nouvelle chimère, d’un point de vue scientifique, est un succès. A tel point qu’une fois l’épidémie déclenchée, les deux chercheurs ont demandé à l’Oms de l’enregistrer comme un nouveau virus, le H-nCoV-19 (Human new Covid 19), et non comme un autre virus dérivé du SRAS. Il est raisonnable de penser que Shi a agi uniquement du point de vue du prestige scientifique, mais sans tenir compte des risques de sécurité et des intérêts politico-militaires que ses recherches auraient suscités ».
Comment, en revanche, le virus a-t-il pu s’échappr du laboratoire? Par un accident, un vol ou le rejet délibéré dans l’environnement ?
« J’exclurais cette dernière hypothèse, qui aurait porté préjudice aux Chinois, tout comme le vol, car les laboratoires de ce type sont très contrôlés. Les fuites accidentelles, causées par une panne de courant, ou la contamination accidentelle du personnel, sont plus probables. Trop de gens se déplaçaient dans le laboratoire de Wuhan : plus il y a d’individus, plus le risque de contamination est grand. En outre, de nombreuses personnes du laboratoire n’avaient pas de formation spécifique pour traiter certains virus de manière coordonnée et minutieuse ».
Pourquoi la Chine n’a-t-elle jamais fourni le génome complet du virus à l’Oms ou à d’autres pays ?
« Parce que fournir le virus maître aurait signifié reconnaître que le SRAS-CoV-2 a été créé en laboratoire. En fait, le génome incomplet mis à disposition par la Chine manque de certains inserts des acides aminés du SIDA, qui agissent comme une preuve irréfutable. En attendant, cependant, des négociations sont en cours entre les services de renseignement de 5 pays (États-Unis, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Japon) et la Chine. Le premier, peut-être, dans les négociations diplomatiques, serait prêt à négliger les responsabilités chinoises, dont il a la preuve, en échange de la possibilité d’obtenir la matrice virale pour développer un vaccin universel ».
Source : Le Salon Beige
10:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le mal français, c'est d'abord la haine de soi...
« Populaire » dans toute la polysémie du mot, le philosophe, essayiste, écrivain, professeur et désormais directeur de publication a lancé avec fracas et quelques polémiques une revue trimestrielle qui entend rassembler les souverainistes de tous bords. Proudhonien de gauche mais aussi proudhonien de droite, Michel Onfray choisit
de Gaulle contre Mitterrand. Dans cet autoportrait politique, il se moque des étiquettes comme de ceux qui veulent à tout prix lui en donner, et rappelle son amour de la France, pas celle d’un homme ou d’un camp, mais tout à la fois celle de Corneille et de Robespierre, de Bossuet et de Sartre.
Entretien mené pour Le Figaro par Vincent Trémolet de Villers – Lire ICI
08:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 30 juillet 2020
Déferlante migratoire : c'est reparti !
09:21 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Farid Smahi invité par Martial Bild sur TV Libertés
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09:20 Publié dans Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alain Soral interpellé par la police
Nous ne sommes pas, loin s'en faut, toujours en accord avec Alain Soral. Mais ce n'est pas ce qui est le plus important aujourd'hui. Soral exprime lui aussi, à sa façon, une voix dissidente contre le Système et le Système, plus hypocrite que jamais, tente de le faire taire en l'embastillant. Cela, nous ne pouvons pas le tolérer.
Nous savons que ce qui vient de lui arriver est susceptible d'arriver demain à n'importe quelle autre composante du mouvement national et identitaire. Voilà pourquoi, comme à chaque fois qu'un patriote est injustement victime de la répression, nous tenons à protester et à lui exprimer notre solidarité.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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mercredi, 29 juillet 2020
Un collectif de médecins Allemands alerte sur la mise en scène mortifère du coronavirus
Conférence de presse ACU (Commission d' enquête extra-parlementaire) :
- Dr. Heiko Schöning, "Médecins pour éclairsissenment", Allemagne/Hambourg,
- Dr. Bodo Schiffmann : médecin ORL, reconnu internationalement et récompensé professionnellement dans les magazines spécialisé, expert en vertige médical,
- Prof. Martin Haditsch (Autriche) : spécialiste en microbiologie, virologie et épidémiologie des infections, médecin généraliste sur l'éclaircissement et nécessité du "lockdown" et ses conséquences.
Source : acu2020.org
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Sainte-Sophie : la redoutable nullité politique de l’Union européenne
La chronique de Philippe Randa
Si en France (et pas que !), beaucoup se désespèrent du nombre d’églises désaffectées, faute souvent tout autant de fidèles que de curés disponibles, voire vendues parfois pour être transformées en lieux d’activités bien étrangères à la moindre spiritualité, il est beaucoup moins courant qu’une basilique, convertie en mosquée, puis, 5 siècles plus tard, en musée comme « offrande à l’humanité », redevienne lieu de prières musulman.
Le monde catholique s’est ému du sort de l’ex-basilique de Sainte-Sophie – et Françoise Monestier s’en est même à juste titre indignée dans les colonnes de Présent –, mais également l’Église orthodoxe russe : « Nous constatons que l’inquiétude des millions de Chrétiens n’a pas été entendue, a regretté son porte-parole Vladimir Legoïda (selon l’agence Interfax) (…) La paix et la concorde entre les religions sont des questions extrêmement fragiles et complexes et qui ne peuvent supporter des décisions irréfléchies et purement politiques. »
Décision effectivement plus politique sans doute que religieuse de la part de l’actuel dirigeant Recep Tayyip Erdogan qui n’aime rien tant qu’à rappeler au bon souvenir de ses détracteurs étrangers (fort nombreux) qu’il entend être maître et charbonnier chez lui et qu’importe alors « l’humanité », surtout si celle-ci se borne à simplement faire part « d’inquiétudes », sans songer le moins du monde à une « réponse du berger à la bergère. »
Car l’Union européenne s’est simplement contenté de condamner la transformation de Sainte-Sophie en mosquée, ce qui a très certainement « fort inquiété » le dictateur turc, on s’en doute !
L’UE avait pourtant une occasion servie sur un plateau d’annoncer le rejet immédiat de la candidature de son pays à son entrée en son sein ; une réponse alors plus politique que symbolique, qui aurait été un signal fort envoyé au matamore d’Istanbul, lui signifiant ainsi qu’il n’était pas libre de se moquer de « l’humanité » en toute impunité. Une fois de plus, l’UE montre toute son insignifiance. Question d’habitude, certes… à laquelle on a toutefois toujours du mal à se faire !
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17:15 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
OMS: La corde pour se pendre
L'heure de la reddition de compte est arrivée pour les faussaires du COVID.
Plus d'informations ICI
Source : Radio-Québec
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Ignace...
10:26 Publié dans En dessins, IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ils veulent parler de l’esclavage ? D’accord !
Par Alain Sanders
Déjà assommés par les discours (souvent contradictoires) sur l’évolution de l’épidémie, nous sommes achevés par une logorrhée répétitive sur l’esclavage. Exclusivement l’esclavage des Noirs bien sûr, la manip « Black Lives Matter » n’étant rien d’autre qu’une machine de guerre instrumentalisée par des extrémistes racistes noirs et des extrémistes de gauche blancs. Ils veulent parler de l’esclavage ? D’accord. Mais sur de vraies bases.
Nous avons eu l’occasion d’expliquer que la traite africaine avait d’abord été pratiquée par des Noirs pour leur propre compte. Après avoir asservi des millions de Noirs africains au cours des siècles, les « roitelets nègres » ont un jour pu commercer avec des négriers européens. Ce sont eux qui allaient « faire le marché » au cœur de régions où les Blancs, cantonnés sur une frange du littoral, ne pénétreront pas avant la moitié du XIXe siècle. Cette traite a concerné quelque 14 millions de personnes.
La traite arabo-musulmane a commencé dès le VIIe siècle. Elle ne sera véritablement contrecarrée, mais seulement en partie, que dans les années 1920. Grâce aux actions militaires des colonisateurs. La traite arabo-musulmane, c’est treize siècles – au bas mot – de pratiques esclavagistes impitoyables. Elles ont concerné au moins 20 millions de mal- heureux.
Rappelons encore que les quatre grandes entités étatiques que furent le Bénin, le Dahomey, l’Ashanti et le royaume d’Oyo, durent leur prospérité au commerce d’esclaves (capturés notamment chez les Yorubas, les Nupés, les Bariba, etc.). Parmi les plus féroces esclavagistes, les Yao, les Nyamwezi, les Ashanti, les Akyem, les Akwamu, les Aowin, le« roi » de Lathé, le « roi »de Ouidah, etc. Ils se faisaient payer en pièces d’étoffe, en fusils, en poudre noire, en eau-de-vie, en tabac, en ustensiles de cuivre, en corail ouvré, etc.
Dans l’est du Congo, ce sont les Belges, dont le roi vient de s’excuser lamentablement, qui mirent fin au trafic de l’esclavagiste Tippo-Tip. Les Français bataillèrent contre des tyrans comme Rabah, Smoussou, Mahmadou, El Hadj Omar, etc., avec l’appui des populations indigènes enfin libérées de ces horreurs séculaires. Mais, des siè- cles durant, via le Sahara, le désert somalien, les forêts et les savanes d’Afrique de l’Est, la mer Rouge et l’océan Indien, les razzias des négriers arabo-musulmans auront dépeuplé des régions entières de l’Afrique noire.
Auteur d’études qui font autorité sur le sujet, l’historien Bernard Lewis écrit : « L’esclavage en terre d’islam reste un sujet obscur et hypersensible dont la seule mention est souvent ressentie comme le signe d’intentions hostiles. » A quoi on ajoutera que le but de la manœuvre étant de rendre l’Occident coupable de tout et du reste (voir Taubira refusant de parler de la traite négrière chez les musulmans pour ne pas stigmatiser Mohamed et ses potes), rares sont les historiens qui osent passer outre. Avec des exceptions notables comme Bernard Lewis déjà cité, Ralph Austen, François Renault et Serge Daget (auteurs de Les Traites négrières en Afrique, Khartala, 1985), Gordon Murray, Bernard Lugan.
Dans Les Traites négrières - Essai d’histoire globale (Gallimard), Olivier Pétré-Grenouilleau a montré que la traite arabo-musulmane ne s’est pas cantonnée à l’Afrique : « Certaines villes comme Assouan et Cordoue se spécialisèrent dans la castration des esclaves destinés à être des eunuques. D’autres devinrent des centres à partir desquels une partie des esclaves parvenus jusque-là étaient réexportés dans des villes comme Zahid dans l’actuel Yémen. »
On a fait de Gorée, au Sénégal, le lieu de mémoire de l’esclavage. Pourquoi là plutôt qu’à Mogadiscio (Somalie), Sofala (l’actuelle Beira au Mozambique), Kanem (Tchad), Berbera (Somalie), Kilwa et Bagamoyo (Tanzanie), Marrakech (Maroc), Zahid (Yémen), etc. où passèrent des millions de fois plus d’esclaves qu’à Gorée ? Parce qu’à Gorée, où on ne dit rien des middlemen africains marchands d’autres Africains, on peut montrer du doigt les négriers européens alors que les autres lieux cités relèvent tous de l’esclavagisme arabo- musulman... Vous avez compris le truc ?
Source : Présent 29/7/2020
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mardi, 28 juillet 2020
Il a 50 ans, disparaissait Antonio de Olivera Salazar. Les Editions de Chiré viennent de publier deux ouvrages sur celui qui fit du Portugal une nation moderne
Salazar, de la politique à l’histoire
Antonio de Oliveira Salazar (1889-1970) a dirigé le Portugal pendant plus de 35 ans, très exactement de 1932 à 1968. Il a redressé son pays, manœuvré intelligemment pendant la seconde guerre mondiale pour le mettre à l’écart du conflit, et les Portugais lui en ont été gré. Il a géré une guerre coloniale particulièrement difficile car, dernier empire européen, le Portugal fut en butte à une coalition internationale hostile, regroupant les pays communistes, bien entendu, mais aussi une grande partie des pays occidentaux qui, ayant décolonisé, dans des conditions parfois pitoyables ou dramatiques, entendaient que ce pays en fasse autant.
Parce que Salazar avait clairement affiché sa foi catholique et parce que les principes de son « ordre nouveau » rejoignaient ceux du catholicisme social, il reste une très grande figure politique du XXe siècle.
Périodiquement les éditions de Chiré rééditent certains de ses ouvrages ou les études qui lui ont été consacrées par Jacques Ploncard d’Assac, ce dernier ayant été un collaborateur régulier de Chiré. Salazar et son œuvre se présente comme une plaquette de 48 pages reprenant des textes de Marcel de Corte, Pierre Gaxotte et Gustave Thibon. Quant au texte de Salazar, Comment on relève un Etat, il s’agit là de la réédition d’un ouvrage publié en 1936.
Tout ceci a bien évidemment un intérêt historique, et notre devoir de mémoire nécessite que l’on sache rappeler, arguments à l’appui, le destin hors normes de cet homme d’Etat, et les principes, invariants qui guidaient son action. Ces deux courts ouvrages ont donc leur utilité, comme a son utilité l’étude de Jean-Claude Rolinat, Salazar le regretté (Bouquins de Synthèse nationale).
Mais s’il s’agit de faire découvrir un « chef d’œuvre de politique réaliste qui saura nous être utile si nous devions un jour reconstruire un ordre nouveau », comme l’écrit le texte de présentation, alors il faut bien reconnaitre que le monde a tellement changé depuis Salazar que les recettes ne sont plus forcément adaptées. On ne relève pas un Etat comme Salazar a pu le faire il y aura bientôt un siècle.
Le rideau de fer de la pensée unique
Intéressons-nous donc aussi et d’abord aux figures d’un passé plus récent. Margareth Thatcher ou Ronald Reagan, insuffisamment étudiées dans notre famille de pensée, mériteraient d’être mieux connus. Les années 1980 furent les années Thatcher-Reagan : elles aboutirent à la chute du mur de Berlin, contre « le sens de l’Histoire ».
Intéressons-nous à la Pologne, à la Hongrie, et peut-être, sous certains angles, à la Russie, au Brésil ou à l’Inde. Il y a sans doute des figures plus utilisables comme modèles, et des recettes plus transposables, car il faut à présent faire tomber le mur de l’argent mondialisé, et bloquer le rideau de fer de la pensée unique qui s’abat sur le monde occidental.
Comment on relève un Etat, par Salazar, 2020, Editions de Chiré
Salazar et son œuvre, par Marcel de Corte, Pierre Gaxotte, Gustave Thibon, 2020, Editions de Chiré.
Site des Editions de Chiré cliquez ici
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Présent d'aujourd'hui présente le nouveau numéro de Synthèse nationale
Dans sa livraison datée d'aujourd'hui, notre confrère et ami le quotidien Présent commente fort aimablement, sous la plume d'Alain Sanders, le numéro d'été de Synthèse nationale. Rappelons que vous pouvez trouver Présent dans les maisons de la presse ou en le commandant sur son site cliquez ici.
SYNTHÈSE NATIONALE
Macron (et sa tronche de gamin capricieux) fait la une du numéro estival de Synthèse nationale avec ce commentaire : « L’heure des comptes ». Roland Hélie s’emploie à dresser la longue liste des factures : laissés pour compte du mondialisme, gestion antérieure des retraites, mondialisation à outrance, immigration sauvage, etc. Mais, là encore comme à son habitude, Roland Hélie ne cède pas au désespoir (qui en politique est, on le sait depuis Maurras, une sottise absolue). Il écrit : « Tout n’est pas perdu. » Et il dit pourquoi. A lire aussi, dans ce numéro très dense, l’incroyable récit de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, le Marquis, qui a été hospitalisé plusieurs semaines à Bichat. Ce n’était pas pour le coronavirus et c’était avant la pandémie, heureusement pour lui, mais ce qu’il raconte fait se dresser les cheveux sur la tête ! Qu’il soit rentré vivant de cette épreuve tient du miracle. Hospitalisé d’urgence par les pompiers, le 13 décembre dernier, il s’est ainsi retrouvé dans un monde kafkaïen et avec des compagnons de chambre pour le moins exotiques (et les familles des susdits pour qui, manifestement, les règles hospitalières élémentaires ne sont pas faites…). Que celui qui prétend que le Grand Remplacement est un fantasme séjourne dans un hôpital – et pas seulement Bichat – et on en reparlera… (Synthèse nationale, 9, rue Parrot, 75012 Paris.)
Vous pouvez aussi le commander en ligne cliquez ici
14:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Loi éthique, loi de la barbarie.
14:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vers l’hyperinflation en 2021 après la déflation fin 2020
Marc Rousset
Un seul avion commandé à Boeing, en juin. La pire récession économique depuis 300 ans au Royaume-Uni. Un CAC 40 à 4.956 points, ce vendredi. Y aura-t-il une seconde vague de contamination ou pas ? Les défaillances d’entreprises vont se multiplier dans le monde. Euler Hermes prévoit une hausse de 35 %, de 2019 à 2021. Pour la France, la progression des défaillances sera de 25 %, en 2020, et de 21 %, en 2021. Comme l’écrit Le Figaro, « la rentrée ne sera pas difficile, mais apocalyptique. »
La France de Macron va connaître, en 2020, outre un bilan sanitaire peu glorieux, une récession de 12 % du PIB, une hausse du chômage à 12 %, une dette publique supérieure à 120 % du PIB. Si l’on compare le plan français à ce que s’apprête à faire l’Allemagne, il y a un rapport de 1 à 7 quant aux subventions d’avenir pour les entreprises (technologies de l’hydrogène, par exemple). Les dépenses publiques en faveur des entreprises s’élèveront à 360 milliards d’euros, en Allemagne, contre 48 milliards, en France, toutes les autres dépenses étant des dépenses sociales ou des reports de taxes.
Aux États-Unis, le bonus hebdomadaire de 600 dollars accordé aux chômeurs devrait disparaître, fin juillet. Les inscriptions hebdomadaires au chômage s’élèvent à 1,416 million, contre 1,3 million attendus, après un plus haut de 7 millions. Wall Street progresse uniquement sur des espoirs de vaccins, d’argent quasi gratuit de la Fed, de dépenses publiques, de déficits publics. Plus le pays s’enfonce et mieux c’est pour Wall Street.
Quant au plan de relance de l’Union européenne avec le rêve fédéraliste de Macron, c’est une catastrophe pour la France, qui ne se verrait attribuer que 39 milliards de subventions et pourrait, théoriquement, rembourser 80 milliards d’euros si la Commission ne devait pas lever des impôts européens ou des droits de douanes qui seront payés, in fine, par les consommateurs européens. Le seul gagnant est l’Allemagne, faussement généreuse, qui recule en fait l’échéance de l’explosion de la zone euro en accordant deux sucettes à l’Italie et à l’Espagne afin de défendre son marché intérieur européen, tout en profitant de la faiblesse de l’euro par rapport à un nouveau Deutsche Mark. Les eurodéputés en ébullition menacent de bloquer le budget européen.
La BCE est la seule institution qui, en Europe, tout comme la Fed aux États-Unis, empêche le système d’exploser, jusqu’au jour où il y aura une perte de confiance généralisée de la monnaie. Pour le moment, la BCE met les dettes de la France « au frigo » en reversant, sous forme de dividendes à la France, les intérêts de la dette obligataire française. Le mécanisme revient à effacer provisoirement les dettes de la France, mais le processus ne pourra pas durer indéfiniment et la situation de la France est irrémédiablement compromise.
La dette française ne peut être remboursée que dans une perspective de croissance économique réelle. Comme ce ne sera pas possible, seule l’hyperinflation permettra d’effacer les dettes de la France. Le processus de l’expansion monétaire menant à l’hyperinflation ne fait que commencer, nonobstant les bulles boursières et immobilières. L’inflation apparaîtra lorsque, suite à de nouvelles créations monétaires, la confiance dans la stabilité monétaire disparaîtra complètement, entraînant une augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie et la sortie des liquidités de leur trappe. Les débuts de l’hyperinflation devraient donc apparaître en 2021, tant aux États-Unis qu’en Europe.
Une once d’or vaut, désormais, 1.900 dollars, soit 500 dollars de plus que lors du krach de mars 2020 ; elle a valu, pendant la République de Weimar, jusqu’à 88.000 milliards de marks de l’époque. L’or, suite aux nouvelles créations monétaires des banques centrales, devrait atteindre les 2.000 dollars dans les prochains mois et battre son record historique de 1923,7 dollars, tandis que l’argent, autre métal précieux, s’envole également, dans sa roue, à plus de 23 dollars l’once.
Jusqu’où iront les banques centrales ? C’est la question. La France de Macron risque de connaitre en 2021 ou 2022 au plus tard l’impitoyable descente aux enfers du Liban : inflation galopante de 89,7 %, une dette publique de 170 % du PIB, l’effondrement des Bourses et la faillite des banques, un État en banqueroute, l’impossibilité de payer les fonctionnaires et les services publics, la misère, la dépression, avec des menaces de guerre civile. La décadence française a, en fait, commencé avec les premières réformes progressistes de Giscard !
14:23 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une action pacifique de Génération identitaire
Par Francis Bergeron
Mme Sylla est une élue du peuple français, il n’est donc pas anormal que ses électeurs lui demandent des comptes, et que certains d’entre eux expriment haut et fort, mais sans violence, sans injures et sans menaces, leur désaccord, si les positions de cette dame leur semblent inacceptables. Cela s’appelle « le débat démocratique », paraît-il. Et prôner la démocratie, c’est, théoriquement, accepter la contradiction. Ou bien parlons alors de « démocratie populaire », et les choses seront plus claires.
Mme Sylla, profitant de la tribune que lui donne son siège de député, alerte sur la baisse des transferts de fonds de la France vers l’Afrique. Il n’est pas certain que les Français partagent cette préoccupation, surtout en ce moment. Mme Sylla réclame une baisse voire une suppression des taxes sur ces transferts financiers qui « se montent à 9 ou 10 % des sommes transférées vers les pays d’Afrique de l’Ouest », précise-t-elle dans les pages du Parisien libéré. Mais le Français (de souche ou pas) qui vire un pécule à l’étranger doit s’acquitter de frais de même ordre. Ne serait-il pas discriminant que les Fran- çais soient moins bien lotis que les étrangers, ou du moins que certains étrangers ? C’est ce que les Identitaires ont souhaité rappeler à cette dame, évoquant au passage l’idée d’une « remigration », qui réglerait toutes ces questions.
Enorme couverture médiatique
Les Identitaires ont donc manifesté pacifiquement leur désaccord avec le lobbying pro-immigrés pratiqué par l’élue. Mais la réaction de la classe politique a pris des proportions incroyables. Et la gentille manifestation identitaire, somme toute modeste et locale, sur une question ignorée du grand public, a, du même coup, bénéficié d’une énorme couverture médiatique. Ceci du fait des excès de langage des amis de Mme Sylla. On n’avait pourtant guère entendu certains d’entre eux, lors de la récente série d’assassinats racistes anti-Français qui ont ému l’opinion publique. Mais on lit sous leur plume que les contestations des Identitaires seraient « des attaques indignes », « abjectes », « des comportements ignobles ». L’excès de ces réactions est manifeste quand ces mêmes personnes parlent d’« incivilités » pour qualifier le meurtre d’une aide-soignante par des racailles. A la vérité, les propos d’un Castex, d’un Dupond-Moretti, d’un Darmanin, d’une Schiappa, d’un Le Gendre les discréditent.
Contrairement aux affirmations hystériques des membres du gouvernement, Génération identitaire a su mettre sur la place publique une question peu connue et assez technique. Ceci sans violences et sans saccages, sans racisme et sans injures, sans haine et sans crainte. L’honnêteté aurait dû consister à les en féliciter. Et regardez le site de France Info commentant cette affaire. Ou plutôt lisez les commentaires des lecteurs et des auditeurs (avant qu’ils ne soient effacés) : les Français ne sont plus dupes de rien.
Source : Présent 28/7/2020
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lundi, 27 juillet 2020
J’appelle un nouveau Nuremberg où seront jugés ceux qui ont légalisé l’attentat contre l'espèce humaine car contre Dieu.
Véronique Levy sur Facebook
Désormais je porterai le voile du Désert, le long voile des hommes bleus, les princes des dunes infinies. Mon masque ne sera pas un masque mais un voile, un voile INVIOLABLE.
Je le porterai en signe de deuil. Mais aussi en signe de l’Hymen virginal avec le Créateur!
Qui rendra la vie aux 10 millions d’enfants exterminés dans le sein de leur mère, congelés, disséqués ou fabriqués ex utéro pour alimenter l’industrie des lobbies de la technoscience? Qui rendra la vue, les oreilles à ces coeurs de pierre qui légiférèrent, légalisèrent ce génocide aux larmes interdites? En facilitent désormais l’accès et les modalités? Suppriment la liberté de conscience des soignants, le délai de réflexion des mineures et allongent le délai légal d’aspiration foetale à 14 semaines ?
Qui ouvrira les lèvres à tous ces “chiens muets”dont parle le prophète Isaïe ? Qui citera au memento des morts le nom des ces petits dont les Anges aux Cieux voient la Face de Dieu.
Les idolâtres veulent faire du peuple de sujets une masse informe et uniforme, corvéable à merci dès sa conception. C’est là que s’insinue l’envahisseur, c’est là, dans le lieu saint de la conception humaine. Pour servir les intérêts des lobbies de la mort et au-delà, des croquemitaines à la solde de satan!
OUI au Voile de l’Hymen inviolé de la féminité. Il sera signe du ralliement à la vie nue et je le porterai en étendard! Non à la muselière de la soumission d’un club fétichiste à ciel plombé!
J’aimerais déchirer de mes larmes le coeur partagé de ceux qui se disent catholiques et qui ne le sont pas, eux qui servent le monde avant Dieu. Ils se sont soumis au nouvel ordre de l’esclavage mondial de l’Homme par une minorité à la solde de la bête! Incendions les SECOS ! Libérons les minuscules! Empêchont l’abomination en marche, l’industrialisation de l’homme fabriqué en série et arraché à l’Image adorable de son Créateur.
Je vomis avec Lui les hypocrites, la tiédeur d’un silence qui confond douceur évangélique et collaboration!!!
je n’en dors plus, je mourrai de cette douleur de savoir que ces petits sont torturés , qu’ils sont réduits à être une masse congelée à -196 °, une masse dont disposent les ogres et qu’ils recyclent à volonté… Petits d’homme exterminés dans le mensonge et le silence servant une propagande mondiale.
Je supplie le Créateur : J’appelle un Nuremberg éternel où seront jugés ceux qui ont légalisé tous les attentats contre l’Espèce humaine car contre DIEU.
Ou qu’ils se convertissent!
Arrachons nos masques! Qui est l’envahisseur? L’envahisseur n’est pas qui vous croyez. Le jour où vous direz non à ceux qui veulent faire du peuple de sujets libres, une masse informe et uniforme, corvéable à merci dès sa conception, vous serez des hommes. C’est là que s’insinue l’envahisseur, c’est là, dans le lieu saint de la conception humaine.
Alors OUI au Voile de l’Hymen inviolé de la féminité. Non à la muselière de la soumission!
Le Voile dont je parle n’est ni le voile musulman, ni le voile chrétien mais au-delà, le voile de la Conception Où Dieu appose Son Image. Le Voile tissé de nos 46 chromosomes , le voile du Temple qu’est notre corps: Inviolable …Notre corps tout empli de Son Souffle, notre corps crée à Son Image. Car berceau de l’Esprit! Je me recouvre du voile de la nuptialité. Et je vais au Désert, le Désert des Noces avec l’Epoux. “Je te séduirai, Je t’emmènerai au désert et là, JE parlerai à ton coeur.”
Les envahisseurs, je vous assure, ce sont ceux qui séquencent nos génomes pour nous contrôler, ceux qui programment les embryons à vivre ou à éliminer; ceux qui fabriquent déjà des gamètes artificielles, des “organoïdes”, des “modèles embryonnaires” qu’ils démembrent ou vendent au plus offrant en pièces détachées de nerfs, d’organes, de coeur arrachés à leur petit être encore palpitant, pour satisfaire le commerce implicite du don d’organes ou des lobbies pharmaceutiques. Et que dire des chimères, cellules humaines implantées dans des ovocytes de porc ou de singes! Ce n’est pas une fiction mesdames et messieurs. C’est le programme de déshumanisation en marche qui bientôt condamnera vos libertés.
L’Espèce humaine est menacée par ces rapaces: “là où il y a le corps, là s’assemblent les vautours “avait annoncé le Seigneur. Oui, j’arrache la convention du voile bourgeois, je m’enveloppe du Voile Sacré de la femme éternelle qui seule écrasera satan dans l’oeuf de son repaire, de son faux temple, lui qui veut nous arracher à notre liberté irréductible, celle d’avoir été créés pour le Don de l’homme à la femme et de la femme à l’homme, dans l’altérité de cet amour qui est un pont vers l’Unité.
On ne sépare pas l’union de l’homme et de la femme de l’amour et de la création. QUE LES MARCHANDS NE TOUCHENT AU SANCTUAIRE DU OUI où veille la Vierge éternelle, gardienne de l’immaculé du monde.
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Le capitalisme mis à nu !
Le billet de Patrick Parment
On le sait depuis belle lurette, le capitalisme a une capacité d’adaptation phénoménale. Ce que n’avait pas le communisme trop figé dans ses technostructures et masquant de fait un pouvoir dictatorial, fusse-t-il, au nom du peuple.
Avec la crise du coronavirus, c’est toute la quincaillerie sophistiquée de ce capitalisme financier qui est en train de se révéler au grand jour et d’en constater tous les dégâts qu’il est en train de produire. Et encore, ne sommes-nous qu’au début de cette crise comme ne cesse d’ailleurs de le claironner nos économistes distingués. Les signes avant-coureurs ont touché durement les secteurs du vêtement et de la restauration. C’est le cas de La Halle avec ses 850 boutiques et ses 5 400 salariés ; c’est le cas également de la chaîne de vêtements Camaïeu ou les 187 restaurants de Courtepaille et ses 2900 salariés, André, Tati, Pimkie, etc.
Comment en sommes-nous arrivés là ? Par le jeu de la finance tout simplement. Certes, ces entreprises étaient déjà en piètre santé financière (et pour cause comme on le verra plus loin !) et affichent toutes un point commun : il ne s’agit pas de sociétés familiales ou cotées en Bourse, elles sont détenues par des fonds d’investissement qui ont pour vocation de les conserver au maximum cinq ans avant de les revendre, de préférence, avec une confortable plus-value. C’est le monde discret du «private equity». Ce terme anglo-saxon un peu mystérieux désigne les quelque 338 fonds d’investissement recensés en France. Leur métier est finalement plus simple que ne le laisse penser le jargon financier. Il consiste à acheter des entreprises avec un minimum de mise de fonds et un maximum d’emprunts, puis de booster le chiffre d’affaires, et enfin de revendre le tout avec un solide bénéfice. Le mécanisme de ces opérations repose sur le fameux effet de levier ou «leverage by out» (LBO). Un investissement réduit et une dette importante pour racheter une entreprise. Ce système a d’autant plus séduit les investisseurs qu’il repose, sur le papier, sur de fortes rentabilités. A chaque fois qu’une vente est réalisée les dirigeants du fonds qui cède l’entreprise empochent 20% de la plus-value. Le plus souvent de manière défiscalisée car l’opération se termine au Luxembourg.
Alors, que faire me direz-vous ? L’Etat pourrait intervenir. Mais il ne le fait pas. Pas question pour le moment de réguler l’activité des fonds d’investissement. Au motif qu’ils sont les seuls repreneurs d’entreprises en difficulté. Comme quoi les pyromanes peuvent aussi jouer les pompiers. On est en plein cercle vicieux. A défaut d’éradiquer le capitalisme on pourrait l’encadrer, lui fixer des règles, tout comme arrêter que la Bourse soit le nouveau Loto où l’on gagne à tous les coups. Il ne manquerait pas d’ironie qu’un virus vienne à bout d’une économie schizophrénique.
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La Pologne envisage de dénoncer la Convention féministe d’Istanbul
Marlena Maląg, ministre polonaise de la Famille, du Travail et de la Politique sociale, a déclaré dans une interview télévisée que la Pologne pourrait se retirer de la Convention d’Istanbul du Conseil de l’Europe.
La Convention d’Istanbul, également connue sous le nom de Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et contre la violence domestique, tente en réalité de faire de l’idéologie du genre et du féminisme radical des normes contraignantes du droit international.
La Convention a été ratifiée par la Pologne en 2015 avec un certain nombre de réserves et de déclarations. En particulier, la Pologne a déclaré que la convention ne serait appliquée que conformément à la Constitution polonaise. Cette position de la Pologne semble évidente et justifiée – en fin de compte, aucun gouvernement n’a le droit de ratifier un traité international contraire à la constitution de son pays. Mais la réaction a été très vive: l’Autriche, la Finlande, les Pays-Bas, la Norvège, la Suède et la Suisse ont déclaré (en utilisant toujours les mêmes mots) qu’ils s’opposaient à cette position de la Pologne.
Apparemment, ces réserves ne suffisent pas. Les partisans des idéologies dangereuses qui détruisent la famille naturelle et la vision traditionnelle des hommes et des femmes associés au sexe biologique utilisent activement la Convention d’Istanbul comme instrument de restructuration radicale de l’ensemble de la société.
Dans une interview à TV Trwam, Mme Maląg a d’abord mentionné les réserves à la Convention, disant évasivement que son ministère travaillait sur les changements législatifs nécessaires avec le ministère de la Justice.
Cependant, en réponse à la question directe de savoir si la Pologne dénoncerait la Convention d’Istanbul (c’est-à-dire s’en retirerait), elle a répondu: « Tout d’abord, la Pologne se prépare à des changements, car nous avons déjà protesté, exprimé notre position et nous sommes préparés à la dénonciation, lorsque nous aurons terminé les consultations conjointes avec le ministère de la Justice. » Elle a ajouté: « Aujourd’hui, nous en avons déjà discuté au ministère. Nous attendons les propositions préparées par nos services, qui seront présentées au gouvernement, puis la loi sera soumise au parlement. »
Quelques jours auparavant, les organisations non gouvernementales polonaises Christian Social Congress et Ordo Juris avaient lancé une campagne publique intitulée « Oui à la famille, non au genre ». La dénonciation de la Convention d’Istanbul est l’un des principaux objectifs de cette campagne.
Plus tôt, en mai de cette année, le vice-ministre polonais de la Justice, Martin Romanowski, avait déjà appelé à la dénonciation de la Convention d’Istanbul. Sur Twitter, il a écrit que « le moyen de lutter contre la violence n’est pas d’apprendre aux jeunes garçons qu’ils peuvent porter des robes et jouer avec des poupées », et a ajouté que la Convention d’Istanbul, ratifiée par le précédent gouvernement polonais, était « une propagande néo-marxiste qui détruit notre système de valeurs ».
Dans un autre tweet, il a ajouté: « La Convention d’Istanbul fait référence à la religion comme à une cause de violence contre les femmes. Nous voulons dénoncer ce « charabia » […]. Nous ne sommes pas intéressés par les opinions étrangères. Pour nous, la fondation est l’État-nation souverain. »
Il convient de rappeler que la Convention d’Istanbul a reçu son nom en raison du fait qu’elle a été ouverte à la signature des États en 2011 à Istanbul. Depuis sa création, elle a été vivement critiquée par les organisations protégeant la famille naturelle et les valeurs familiales, ainsi que par les communautés religieuses traditionnelles de différents pays d’Europe. Tous ceux qui défendent de véritables droits de l’homme qui sont traditionnellement reconnus par tous les États (par exemple, le droit à la protection contre l’ingérence dans la vie familiale et l’éducation des enfants) s’opposent à cette convention.
La critique est liée au fait que la Convention d’Istanbul impose très ouvertement et sans équivoque l’idéologie du féminisme radical. Par exemple, le préambule de ce document déclare que « la violence contre les femmes est une manifestation de relations de pouvoir historiquement inégales entre les femmes et les hommes, qui ont conduit à la domination et à la discrimination contre les femmes par les hommes ».
En outre, la convention définit les « genres » comme des « rôles socialement construits ». Cela signifie que les pays signataires, en fait, sont obligés de considérer l’idéologie du genre comme la « loi » – cette même idéologie, selon laquelle chaque personne peut choisir sa propre « identité de genre », se considérant comme un « homme » ou une « femme » « indifféremment de son sexe biologique. La Convention oblige les États membres à éradiquer tous les « préjugés, coutumes et traditions » qui reposent sur des « rôles stéréotypés des femmes et des hommes ». Ces stéréotypes peuvent inclure, par exemple, des idées traditionnelles sur le rôle du père et de la mère ou sur le devoir de l’homme de protéger sa patrie.
La Convention ne s’arrête pas là. Elle exige également une formation appropriée pour les enfants, y compris leur parler des « rôles de genre non stéréotypés ». Et, à strictement parler, le refus des parents de laisser endoctriner leurs filles par l’idéologie du genre en soi peut, selon ce document, être qualifié de « violence ».
On ne peut que saluer l’intention de la Pologne de dénoncer un tel document, dont l’objectif n’est pas de protéger les droits de l’homme réels, mais de réorganiser radicalement la société et de détruire ses fondements traditionnels, en particulier la famille naturelle et les droits des parents.
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Coronavirus : Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune.
En mars, les masques ne servaient à rien. En juillet, les masques sont nécessaires. En mars, il ne servait à rien de faire des tests dans les aéroports. En juillet, c’est nécessaire. Comment fait-on pour croire ce que nous dit ce gouvernement ?
Le Dr. Yonathan Freund est médecin urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, et professeur à l’université de la Sorbonne. Il s’est exprimé le 17 juillet sur Twitter sur l’évolution actuelle de l’épidémie de Coronavirus et sur l’obligation de porter un masque dans les « lieux clos recevant du public ». Voici l’intégralité de son fil Twitter :
« C’est difficile effectivement de rester silencieux. Quand je vois le délire alarmiste qui envahit les médias et les RS [réseaux sociaux], et qui fait fi de toute mesure. Des journalistes qui infantilisent, ceux qui veulent « punir » les français mal disciplinés… Alors on va debunker un peu.
1) Allez, je fais du #moije comme on me le reproche. Ma position n’est pas imprudente. Je livre une analyse que j’espère circonstanciée et critique des données. Je rappelle que si mon hypothèse est contredite par les chiffres, alors on pourra agir et ce ne sera pas trop tard.
2) Le délire de certains spécialistes en rien sauf en plateau télé et en consultation privée, n’ayant jamais vu un patient COVID, qui nous « apprennent » que l’épidémie reprend : rien ne justifie ces discours. A part la peur.
3) Voilà 2 mois qu’il existe des arguments pour douter d’une seconde vague meurtrière et une reprise de l’épidémie. Les épidémiologistes chefs d’entreprise vendeurs de modèles nous prédisaient 80 000 morts à la levée du confinement même avec gestes barrières. RAS. Il n’y a eu aucune reprise nulle part. Les évènements et comportements qu’on adorait critiquer (fête de la musique, manifestations etc.) n’ont causé aucune reprise. Il y a une circulation du virus. Il y a des nouveaux cas. MAIS,
4) et c’est le point central, toujours le même, à ce jour, il y a chaque jour, chaque semaine, de moins en moins de nouveaux cas hospitalisés ou en réanimation. Et ce partout (hors Guyanne). Alors bien sûr, on arrive à un niveau si bas que nous allons forcément voir des hausses. Quand on est tout en bas, ça ne peut qu’augmenter. Le virus n’est pas mort je le rappelle. Mais est-ce nécessaire de dire qu’on a un signal de reprise quand on passe de 1 par semaine à 3 par semaine? On va arriver à un bruit de fond. En tout cas ds les régions déjà très touchées. Le R est à 2 et quelques en Bretagne! Alerte alerte! Mais non. Il y a juste eu des clusters et des dépistages systématiques. Donc des cas. R (on l’a déjà dit) n’a aucun sens quand l’épidémie est au point mort, outre des clusters. Aucun sens. Sur toute la Bretagne, on est passé de 6 hospitalisations la semaine dernière à 8. Est ce une explosion? Soyons sérieux. Bien sur qu’il y aura toutes les semaines des régions qui verront une augmentation des cas. On part de tellement bas… En Mayenne alerte rouge? Quasi zéro hospitalisations. ZERO.
5) la décision d’imposer le port du masque est très difficile à comprendre. Pourquoi avoir pris cette décision au moment où tous les indicateurs sont au vert? Quel est le plan ? pour combien de temps ? Faut-il vraiment changer la société pour une durée indéterminée sans savoir si c’est nécessaire, et surtout sans savoir ce qui fera revenir en arrière ? Nous sommes nombreux à être d’accord : dans les régions fortement touchées, l’immunité est importante. Probablement suffisante – l’immunité n’est pas uniquement visible sur la sérologie. Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune. Pourquoi cette décision du port du masque obligatoire ? Pour protéger les personnes vulnérables ? Mais les personnes vulnérables se protègent. Elles peuvent respecter strictement les mesures de distanciations et autres.
6) En revanche, il faut se poser la question : veut-on totalement arrêter la circulation du virus? Je pense que c’est illusoire. Ou alors j’espère que vous avez du temps devant vous. La solution de le laisser circuler tout en le contrôlant est probablement la bonne.
Certains disent « pour protéger les personnes vulnérables, protégez vous ». C’est peut être faux. Pour protéger les personnes vulnérables, protégez LES, mais si vous êtes malades puis immunisés, vous les protégerez à vie. ATTENTION je ne dis pas que il faut disséminer le virus partout. Mais vouloir à tout prix arrêter sa diffusion, partout, est illusoire et pas forcément un bon calcul à long terme.
Quel est le plan ?
Il n’y a pas d’autre plan cohérent que de poursuivre les mesures de distanciations sans les renforcer, en pouvant assouplir selon l’évolution, et surveiller les vrais indicateurs! (pas les appels à SOS médecin qui augmentent au début des vacances et face à l’alarmisme ambiant). Il y a une part d’incertitude dans cette maladie. Tout le monde est d’accord là dessus. Mais pourquoi la prendre systématiquement sur le pire scénario possible ? Pourquoi une telle symbiose des médias, « experts », etc ? Alors que c’est incertain ? Ce n’est pas logique. »
Source : Le Salon Beige
09:55 Publié dans Revue de presse, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 26 juillet 2020
Crise sanitaire : le gouvernement instrumentalise la peur des gens
« Il est difficile de ramener nos compatriotes à la raison. Notamment sur la réalité de cette épidémie, chiffre à l’appui qu’ils n’entendent pas ; pire, qu’ils semblent parfois incapables d’entendre, tant ils sont tétanisés par la propagande gouvernementale »
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
En juin, on pensait la crise du Covid-19 derrière nous ; ce n’est pas le cas…
Et ça ne pouvait pas l’être du moment où le confinement a empêché les populations d’être immunisées contre le Covid-19 comme cela a été le cas lors de toutes les épidémies par le passé. Certes, il y aurait eu probablement quelques milliers de morts supplémentaires, mais on en serait débarrassé… et ces quelques milliers de victimes, on risque bien de les compter quand même l’hiver prochain – puisque, a priori, il n’y aura pas encore de vaccin, le délai étant trop court – qui s’additionneront (avec juste quelques mois de retard) aux nouvelles victimes qui auraient pû, ainsi, y échapper…
Cela aurait été le prix à payer ?
Oui, malheureusement… Et on peut désormais légitimement se poser la question de savoir jusqu’à quel point l’installation durable de cette pandémie n’arrange pas nos gouvernants pour retarder le moment d’avoir à rendre des comptes, si tant est qu’ils en rendent un jour…
Pourquoi ?
Rappelons quand même – pour nos compatriotes qui auraient la mémoire bien courte, mais on le dit – la gestion calamiteuse du gouvernement français, pour ne parler que de lui, de cette crise depuis le début : oubli, sans doute par bêtise ou incompétence, l’une n’empêchant pas l’autre, de tester les premiers rapatriés de Chine, fuyant pourtant la région de Wuhan où venait de se déclarer le Covid-19 ; refus de fermer rapidement les frontières, plus sûrement par aveuglement idéologique (« fermer les frontières » était devenu jusqu’à cette année 2020 un tabou politique : c’était odieux et plus encore, paraît-il, « à l’évidence » (sic !) impossible ; pourtant, en deux jours, cela a été appliqué par la plupart des pays dans le Monde) ; refus de reconnaître l’état dramatique des hôpitaux français incapables de gérer convenablement une épidémie ; mensonges des ministres de la santé en exercice Buzyn, puis Véran : la première a menti aux Français sur la gravité de la menace, ce qu’elle a finalement reconnu sans vergogne en osant, qui plus est et sans fausse honte, tenter une reconversion aux élections municipales ; le second pour avoir affirmé, ce qui est véritablement criminel, que les masques étaient inutiles en début d’épidémie, puis en les rendant aussi soudainement que stupidement obligatoires en été, peut-être bien pour écouler des stocks devenus trop médiatiquement encombrants, puisqu’arrivés trop tard. À ce propos, puisque l’absence de masque en début d’épidémie était avérée, pourquoi personne n’a-t-il préconisé, tout simplement, de porter, pour sortir de chez soi, un simple foulard de coton autour de la bouche et du nez ? Cela aurait été mieux que rien, voire suffisant… et gratuit ! C’est peut-être là le hic : ce qui est gratuit n’est pas admissible, sinon « souhaitable », par certains.
Le gouvernement français jouerait donc sur la peur ?
Face à son bilan désastreux, c’est évident ! Loin de reconnaître leurs fautes, nos gouvernants ne cessent depuis mars dernier de culpabiliser les Français : ce sont eux, et eux seuls, qui sont responsables des morts passées – et plus encore à venir – parce que ni hier, ni aujourd’hui, ils ne respecteraient suffisamment les « gestes barrières », parce qu’ils voudraient embrasser leurs proches, parce qu’ils voudraient se réunir entre amis, partir en vacances, se déplacer… tout simplement vivre, quoi ! Et la propagande démente du gouvernement, ça marche ! Le gouvernement instrumentalise la peur des populations comme en temps de guerre et ce n’est sans doute pas innocent qu’Emmanuel Macron ait employé le terme. Avantage supplémentaire, c’en est ainsi fini de la contestation dans la rue, qu’elle soit syndicale ou populiste, façon Gilets jaunes… Le gouvernement ne tolère plus que les manifestations des minorités racialistes type Black Lives Matter ou sexuelles des extrémistes féministes dont les discours n’ont d’autres buts que de renforcer encore et encore la culpabilité des Français…
On ne peut en effet que constater le nombre de nos proches paniqués, voire terrorisés par le discours gouvernemental…
Il est incontestablement difficile de les ramener à la raison. Notamment sur la réalité de cette épidémie, chiffre à l’appui qu’ils n’entendent pas ; pire, qu’ils semblent parfois incapables d’entendre, tant ils sont tétanisés par le matraquage de la propagande gouvernementale et des médias mainstream.
Le nombre des victimes de cette épidémie est pourtant conséquent…
Ah bon ? Prenons les chiffres mondiaux de ce jour (26 juillet) : sur 16 048 100 de cas confirmés de Covid-19, 9 262 887 de guérisons constatées et… 644 537 décès comptabilisés… Faites le calcul en pourcentage : un chiffre dans la moyenne d’une épidémie habituelle. Et encore faudrait-il être certain que tous les décès « officiels » du Covid-19 lui soient imputables, même indirectement ; à ce jour, donc, 93 % à 95 % de gens qui l’ont attrapés en ont guéris ! Et les chiffres des morts sont très probablement à relativiser à la baisse. Ajoutons – bien que le Covid-19 ne soit pas une grippe –, que fin 2017, l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) estimait à 650 000 le nombre de décès par an à la grippe saisonnière ! et rappelons à nouveau que la grippe dite faussement « espagnole » (elle était déjà asiatique) avait fait, elle, 40 à 50 millions de victimes en 1918-1919 et que la grippe asiatique de 1967-1968 en a totalisé 1,1 millions… sans parler du SIDA qui depuis 1981 a fauché entre 25 à 35 millions de personnes (source Wikipedia). Les chiffres mondiaux du cancer ? En 2018, sur 18.1 millions de personnes qui en ont été diagnostiquées, 9.6 millions en sont décédés.
Pourquoi devrait-on relativiser le chiffre des morts du Covid-19 ?
On comptabilise tous les décès de ces derniers mois dans les hôpitaux français, pour ne parler que notre pays, comme dûs au Covid… Ce n’est même pas de la manipulation ou du mensonge : renseignements pris, la plupart du temps les médecins n’en savent rien eux-mêmes… C’est flagrant avec le nombre de personnes décédées dans les Ehpad (stress, isolement, sentiment d’abandon ou encore d’être parvenus, tous simplement, au bout de leur vie…)…
Il n’y a donc pas lieu de paniquer ?
Du virus ? Sans doute pas avant l’hiver prochain et son retour prévisible… et bien qu’il ne s’agisse à nouveau pas de « paniquer », mais d’être vigilants comme lors de toute épidémie… En revanche, si on doit avoir peur, c’est bien plutôt des lois liberticides qui se profilent et dont le port du masque obligatoire dans les lieux publics clos (et déjà dans certains espaces extérieurs suivant l’humeur ou la couardise de certaines autorités locales) n’est qu’une première étape.
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16:32 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Il vient de sortir un nouveau livre sur les généraux français engagés dans la guerre de sécession américaine, Eric Vieux de Morzadec répond aux questions de Synthèse nationale
13:15 Publié dans Livres, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Aux USA aussi la « cancel culture » est à l’œuvre
En France, on ne cesse de dénoncer avec raison le conformisme idéologique des médias et de ces pseudo intellectuels qui font régner un climat délétère qui n’est pas sans rappeler les belles heures du stalinisme. Il en va de même aux Etats-Unis comme en atteste ouvertement Donald Trump. Cette « cancel culture » comme on la dénomme débouche en France sur une abstention massive des citoyens aux élections, ce qui ne manque pas de poser la question de leur légitimité démocratique.
SN
Source : Le Monde 26/7/2020
Le 3 juillet, devant les visages des quatre présidents sculptés sur les flancs du mont Rushmore, Donald Trump a rompu avec l’esprit consensuel qui accompagne ordinairement la célébration de la fête nationale américaine. Il a en effet dénoncé « un nouveau fascisme d’extrême gauche » qui se développe notamment, selon lui, « dans nos salles de rédaction ».
« Si vous ne parlez pas sa langue, n’exécutez pas ses rituels, ne récitez pas ses mantras et ne suivez pas ses injonctions, vous serez alors censuré, banni, inscrit sur une liste noire, persécuté et puni », a assuré le président des Etats-Unis.
Mise en garde apocalyptique
Un mois plus tard, le 7 juillet, le Harper Magazine publie une tribune signée par une pléthore d’universitaires, d’auteurs et de journalistes, couvrant un large spectre politique, du linguiste Noam Chomski, figure de la gauche, au plus centriste Mark Lilla, et au conservateur tempéré David Brooks, du New York Times. Les noms de J. K. Rowling, autrice de la saga Harry Potter, mise en cause pour des propos considérés comme transphobes, et de Salman Rushdie, condamné à mort en 1989 par l’Iran pour ses écrits, y figurent également.
Les signataires y dénoncent la menace d’un « conformisme idéologique » perçu comme mortifère : « Les forces de l’illibéralisme gagnent en intensité dans le monde entier et ont un puissant allié en Donald Trump. Mais il ne faut pas laisser la résistance à ce courant se durcir pour produire son propre dogme ou sa propre forme de coercition, que les démagogues de droite exploitent déjà. L’inclusion démocratique à laquelle nous aspirons ne peut être réalisée que si nous nous prononçons contre le climat intolérant qui règne de tous côtés. »
« Tribalisme »
Ils s’inquiètent de la montée, à gauche, d’« une intolérance à l’égard d’opinions opposées, une vogue pour la dénonciation publique et l’ostracisme, et la tendance à dissoudre des questions politiques complexes dans une certitude morale aveugle », une pratique qualifiée de « cancel culture ». L’une des signataires de la tribune, Bari Weiss, débauchée du Wall Street Journal par le New York Times après la victoire sur prise de Donald Trump pour élargir la palette des pages « Opinions », l’illustre en démissionnant le 14 juillet de ses fonctions.
Dans une lettre accablante publiée sur son site Internet personnel, elle regrette l’incapacité du quotidien de « résister au tribalisme ». « Des éditoriaux qui auraient facilement été publiés il y a seulement deux ans met traient aujourd’hui leur auteur en sérieuse difficulté, voire conduiraient à son renvoi. Si un papier est perçu comme susceptible d’inspirer un backlash en interne ou sur les réseaux sociaux, on évite de le proposer », poursuit elle avant de dénoncer le « nouveau maccarthysme » qui a pris racine dans le journal, en référence au harcèlement dont elle assure avoir été la victime en interne.
Les déboires du quotidien newyorkais enchantent le camp républicain mais l’enfermement idéologique ne concerne pas que la presse de gauche. Le sectarisme des titres principalement numériques favorables au président l’atteste, tout comme l’expression de « fascisme d’extrême gauche » qu’il a utilisée le 3 juillet.
08:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 25 juillet 2020
Quand Gérard Darmanin dialoguait avec Jean-Marie Le Pen (France 2, mars 2018)
13:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |