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jeudi, 23 décembre 2021

Trop drôle : après l'Obs, c'est Street press qui se fait des frayeurs...

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Il y a deux semaines, l'Obs, le somnifère de la bobocratie post soixante-huitarde en mal de sensations fortes, alertait ses quelques lecteurs sur mon cas personnel et sur le soutien que j'apporte à la candidature d'Eric Zemmour cliquez là. J'en suis flatté. Aujourd'hui, c'est le tour du site Street press qui leur donne des frayeurs... Jugez-en par vous même cliquez ici

Se livrant à un amalgame douteux en recensant dans un même paragraphe des débiles qui confondent l'engagement politique et le tir aux pigeons et le combat que, mes amis et moi-même, nous menons depuis des décennies pour la France française et pour l'Europe européenne, Strett press montre le degré de panique de la presse aux ordres qui, volontairement, ne fait plus la part des choses face au phénomène Zemmour (comme ce fut d'ailleurs le cas dans le passé face à Jean-Marie Le Pen).

Qu'à cela ne tienne, on ne va pas en faire un fromage... N'ayant pas beaucoup de temps à perdre en cette avant-veille de Noël pour répondre à Street press, je vous invite à relire ma réaction à l'article de l'Obs de l'autre jour.

Quoi qu'il en soit, bon et joyeux Noël à tous (et même aux journalistes de l'Obs et de Street press, comme quoi nous ne sommes pas rancuniers...).

Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

 

Ma réponse à l'Obs cliquez là du 2 décembre 2021 :

Mis en cause dans un article publié dans l'Obs ce mardi 30 novembre, il me semble utile, afin de dissiper tout malentendu, d'apporter les précisions suivantes :

Oui, à l'invitation de mes amis du comité trégorois de soutien à Eric Zemmour, je suis intervenu la semaine dernière lors d'une réunion locale cliquez ici. Je précise que j'habite dans le Trégor et que, m'étant engagé publiquement en faveur d'Eric Zemmour (j'ai expliqué pourquoi dans un article publié dans la revue Synthèse nationale cliquez là), il n'y a rien de surprenant en cela. De là à faire de moi un élément important, au point de susciter un tel article, du dispositif de campagne d'Eric Zemmour, il y a un monde. 

Quant à mes engagements passés évoqués, apprenez une fois pour toute que je les assume tous pleinement, non seulement sans aucun regret, mais avec fierté...

Dans cet article de l'Obs, on me reproche aussi d'avoir des amis qui seraient "infréquentables". Que le plumitif de l'hebdo de la gauche caviar sache que j'ai les amis que je veux et j'affirme que les responsables nationalistes cités, même si je ne partage pas toutes leurs prises de positions, sont des gens tout à fait respectables. Ce sont des militants sincères et courageux qui s'engagent à fond pour leur idéal. On peut ne pas être d'accord avec eux, mais l'Obs, qui a toujours cautionné les pires atrocités faites au nom du communisme ou du mondialisme, est plutôt mal placé pour décerner des brevets de bonnes fréquentations à qui que ce soit.

Quant aux Identitaires livrés à la vindicte par l'Obs, il leur est reproché d'avoir déployé quelques calicots dans les Pyrénées pour dénoncer la perméabilité de nos frontières. Quel crime ! On aimerait que l'Obs se montre aussi hargneux pour dénoncer le terrorisme intellectuel et physique émanant des milices antifas à la solde du Système comme ce fut le cas dimanche dernier à Marseille contre Eric Zemmour. 

Il serait temps que les médias aux ordres arrêtent de prendre leurs désirs pour des réalités et qu'ils prennent conscience qu'ils ont désormais affaire, avec la candidature d'Eric Zemmour, a un véritable bouleversement dans la vie politique de notre pays et qu'ils arrêtent de ressortir les vieux arguments éculés de l'antifascisme d'opérette qui leur a servi de gagne-pain jusqu'à aujourd'hui. 

R H

12:33 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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12:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mathieu Bock-Côté, un grognard face au néant

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Pierre Saint-Servant

Les Français se méfient à raison des produits importés d’outre-Atlantique. L’américanisation n’a pas terminé ses ravages, qui après avoir inondé l’Europe de sa sous-culture, prétend maintenant imposer une sous-morale aussi pauvre qu’impitoyable. Le wokisme pensait pouvoir pénétrer en France avec facilité, il se heurte à une résistance surprenante. Un réveil du bon sens, de fierté nationale semble frémir. Ce qui aurait pu être une guerre-éclair, balayant toute opposition sur son passage, a muté en guerre de position. Le camp conservateur a repoussé les premières charges, il s’agit maintenant de reformer les troupes pour préparer la contre-offensive.

Dans ces mois décisifs, un solide gaillard de la Nouvelle France a pleinement tenu son poste. Son courage tranquille et son large sourire feraient presque oublier que Mathieu Bock-Côté est un lutteur expérimenté, un grognard qui a connu de nombreuses campagnes. Voilà un intellectuel vertébré, un débatteur qui a su en quelques années prouver qu’il avait le cuir particulièrement épais.

Se dressant contre les plus gros mensonges de l’époque, il sonne l’olifant – hier dans les colonnes du Figaro, aujourd’hui sur les plateaux de CNews ou d’Europe 1 – pour tirer le gros des troupes de sa torpeur et rappeler chacun à ses devoirs. C’est la voix tonitruante de Bernanos et la rigueur implacable d’un Raymond Aron. Un héritier fidèle d’Emmanuel Berl et de Pierre Boutang. Foin d’ingratitude ! Comment ne pas remercier le ciel de nous avoir donné, parmi dix ou vingt autres figures éminentes du réveil de la vraie droite, Charlotte d’Ornellas et Mathieu Bock-Côté ?

Mécanique du néo-progressisme

Qu’on nous comprenne bien, Bock-Côté n’est pas un Charles Martel venu punir à coups de masse d’armes les déviances insensées des cyber-gueux du wokistan international. Comme tout Québécois, il déploie des trésors de courtoisie, d’attention aux positions de l’autre, fût-il l’adversaire le plus furibard. Profondément conservateur sur le terrain culturel et politique, il est un libéral assumé pour ce qui touche à la liberté d’expression et la pluralité des opinions.

Surtout, Mathieu Bock-Côté a le mérite d’appuyer chacune de ses charges sur un immense travail de lecture et de documentation. Voilà ce qui le rend redoutable. Il lit l’adversaire in extenso, au prix d’héroïques descentes dans les enfers du néo-progressisme. Foucault, Derrida, Butler, Di Angelo n’ont plus aucun secret pour lui. Il a démonté et remonté minutieusement chaque pièce du wokisme, nuit après nuit, mois après mois. Un triptyque des plus solides en est né : Le Multiculturalisme comme religion politique (2016), L’ Empire du politiquement correct : essai sur la respectabilité politico-médiatique (2019) et La Révolution racialiste : et autres virus idéologiques, qui vient de paraître. Vous recherchiez des munitions intellectuelles pour l’année nouvelle ? En voici de sérieuses

Source : Présent 23/12/2021

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Le masochisme énergétique de l’Europe

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Par Samuel Furfari *

L’opiniâtreté de l’UE de saboter son économie au nom d’objectifs climatiques irréalisables restera dans l’histoire comme la cause de la vassalisation envers la Chine et l’Inde du continent qui avait inventé la modernité et la technologie. Il est urgent que l’UE s’arrête dans sa course folle, mais j’ai peu d’espoir que cette décision soit prise. Il nous restera le plaisir dérisoire d’avoir prévenu.

(*) professeur de géopolitique de l’énergie à l’Université libre de Bruxelles, ancien haut fonctionnaire  de la Commission européenne.

Source : Les Echos, 22/12/2021

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Le mur du çon

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Edito une fois de plus percutant de Natacha Polony dans Marianne. Le sujet ? Une société où chacun traque les déviances idéologiques, où l'enjeu n’est plus de dire le vrai et de défendre l'exercice d’un libre arbitre éclairé mais de donner des gages en récitant un dogme est une société malade. Et pas seulement du Covid.

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