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lundi, 21 février 2022

Ottawa – Freedom Convoy : la presse canadienne se fait le porte-voix du gouvernement Trudeau

Devant l’actualité qui s’accélère autour du Convoi de la liberté canadien, Alexis Cossette a mis en ligne une nouvelle vidéo depuis celle réalisée il y a deux jours, ce samedi 19 février. Nous la mettons aussitôt à disposition de nos lecteurs.

La presse canadienne, anglophone ou francophone, s’est faite le servile relais de la propagande gouvernementale, à un point tel que même la presse étrangère alignée – dont le New York Times – s’est fendu d’articles critiques sur les choix du gouvernement Trudeau et sur la diabolisation injuste d’un mouvement pacifique. Retour en images sur le mouvement des camionneurs maté par la force et le mensonge médiatique.

Retrouvez ci-dessous l’interview de Mike Lindell citée dans le Web-journal d’Alexis Cossette :

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14:03 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mali : les éthers idéologiques expliquent l’éviction de la France

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Bernard Lugan

Le vendredi 18 février 2022, la junte militaire au pouvoir à Bamako a exigé que le départ des forces de « Barkhane » se fasse immédiatement, et non pas par étapes, comme l’avait annoncé le président Macron. Comment en sommes-nous arrivés à une telle situation et à une telle rupture ? 

Comme je ne cesse de le dire et de l’écrire depuis des années, notamment dans mon livre Les Guerres du Sahel des origines à nos jours, au Mali, les décideurs français ont additionné les erreurs découlant d’une fausse analyse consistant à voir le conflit à travers le prisme de l’islamisme. Or, ici, l’islamisme est d’abord la surinfection de plaies ethno-raciales millénaires qu’aucune intervention militaire étrangère n’était par définition en mesure de refermer. 

De plus, au moment où de plus en plus d’Africains rejettent la démocratie à l’occidentale, la France s’arc-boute tout au contraire sur cette idéologie vue en Afrique comme une forme de néocolonialisme. Plus que jamais, les dirigeants français auraient donc été inspirés de méditer cette profonde réflexion que le Gouverneur général de l’AOF fit en 1953 : « Moins d’élections et plus d’ethnographie, et tout le monde y trouvera son compte »… En un mot, le retour au réel africain et non l’incantation aux idéologies plaquées. 

 Voilà la grande explication de ce nouvel échec français en Afrique. Sans même parler du refus bétonné de simplement s’interroger sur les arguments de la junte malienne. Immédiatement clouée au pilori par Paris qui ne lui laissa aucune marge de manœuvre, cette dernière fut automatiquement acculée à une fuite en avant maximaliste afin de ne pas perdre la face. Les petits marquis qui font la politique africaine de la France devraient pourtant savoir qu’en Afrique, la priorité des priorités lorsque l’on entre en contentieux, est de ne jamais faire perdre la face à son interlocuteur. Mais cela ne s’apprend pas à Science-Po…

08:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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01:05 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |