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lundi, 02 janvier 2023

Pays-Bas : un modèle pour le meilleur des mondes écomoderniste ?

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Colin Todhunter

Le « capitalisme du désastre » [1] et les récits de crise servent actuellement à manipuler l’opinion publique et à faire accepter une série de mesures douloureuses qui, sans cela, ne bénéficieraient pas d’un soutien politique suffisant.

Ces mesures sont promues par de puissants intérêts financiers espérant en tirer des gains atteignant des milliards de dollars. Ils cherchent à obtenir le contrôle total de l’alimentation et de la manière dont elle est produite. Leur vision fait partie d’un programme plus large visant à redéfinir la façon dont l’humanité vit, pense et agit.

Les manifestations d’agriculteurs néerlandais ont fait la une des journaux pendant une grande partie de l’année 2022. Les projets visant à réduire de moitié la production d’azote des Pays-Bas d'ici à 2030 ont provoqué des manifestations massives. Le gouvernement leur oppose la sortie nécessaire de l’agriculture animale, citant l’impact de ses émissions sur le climat.

Cette « transition alimentaire » va souvent de pair avec la promotion de « l’agriculture de précision », du génie génétique, des aliments synthétiques fabriqués en laboratoire et de la réduction du nombre des agriculteurs et d’exploitations agricoles. Cette transition est présentée comme étant « respectueuse du climat », conformément au récit relatif à « l’urgence climatique ».

Le militant Willem Engel affirme que le gouvernement néerlandais ne cherche pas à éliminer les agriculteurs pour des raisons environnementales, mais plutôt pour faire place à la « Tristate City », une mégalopole d’environ 45 millions d’habitants s’étendant jusqu’en Allemagne et la Belgique.

Engel soutient que la « crise de l’azote » est une manipulation visant à faire passer des mesures qui permettront de remodeler le paysage national. Il énonce que le principal émetteur d’azote aux Pays-Bas n’est pas l’agriculture, mais l’industrie. Toutefois, les terres actuellement occupées par les exploitations agricoles revêtent une importance stratégique pour l’industrie et le logement.

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Christian Perronne déballe tout pour le Nouvel An !

Éric Verhaeghe, du Courrier des stratèges, reçoit le professeur Christian Perronne pour revenir sur près de trois années de covidisme en France.

Interview de Christian Perronne pour le Nouvel An 2023. Le professeur de virologie dresse un portrait saisissant de la médecine, des médecins et de leurs relations avec l’industrie pharmaceutique depuis ses études sur la maladie de Lyme jusqu’à la crise du covid. Un message de courage, d’espoir et de ténacité pour bien commencer l’année.

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Sortie nationale du film "Vaincre ou mourir" le 25 janvier...

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Au temps des vœux pieux

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez là

Naturellement la tradition des vœux sincères que l'on échange entre amis ou en famille doit être ici défendue. Elle mérite mieux que l'usage des vœux officiels, hypocrites, creux et mensongers que formulent nos dirigeants. Portant eux-mêmes une grand part de responsabilités dans les nuisances dont nous souffrons, il leur faut une bonne dose de cynisme pour prétendre nous en souhaiter la guérison.

Je ne puis donc qu'adresser, bien sûr, en ce début d'année, tous mes vœux, de bonheur et de réussite à tous ceux qui manifestent l'indulgence et la patience de lire ces chroniques. Mais je leur souhaite surtout de penser et d'agir sur le plan civique de manière plus libre et plus responsable, de s'affranchir des abrutissions médiatique. Puisqu'il revient essentiellement à chacun de construire son destin, retroussons nos manches, aide-toi et le Ciel t'aidera. C'est le seul vœu sérieux et sincère.

Fantaisiste et trompeur, le message de soumission formulé ce 31 décembre par le p de la r ne paraît même pas conscient de la dégradation de tout ce qui autre fois marchait à peu près, voire même très bien, et faisait la fierté du pays et qui dès aujourd'hui se dégrade un peu plus. Commençons par le plus simple, le plus inattendu en ce début janvier : la poste par exemple qui ne s'engagera plus à délivrer des lettres, pourtant moins nombreuses, en 24 heures. Beaucoup plus grave le système de soins, jadis brillant, n'a cessé de souffrir de son étatisation et de sa bureaucratisation, entreprise il y a 25 ans par le plan Juppé. Le phénomène s'est aggravé d'année en année et plus particulièrement à la faveur du passage de Mme Buzyn puis du grotesque Véran, en dépit du prétendu "Ségur de la santé". Énumérer les reculs : ferroviaire, agricole, nucléaire, voire touristique, quel domaine hier encore d'excellence française y échappe désormais ?

Le discours du "quoi qu'il en coûte" aura, depuis 2020, obéré les finances publiques françaises encore plus gravement et rapidement que la lente accumulation des gabegies socialistes.

Le règne du "en même temps" s'est un peu plus ridiculisé ce 31 décembre, par la contradiction entre les appels à l'unité et de l'annonce d'un réforme à laquelle les Français n'ont pas été préparée et dont la plupart d'entre eux ne voit, toutes catégories et tous statuts confondus que les désavantages, alors qu'il serait si simple de leur proposer tout simplement plus de liberté et moins de fiscalisme, ce à quoi se refusent nos "technocrates" [sans la moindre compétence "technique"] depuis 30 ans, depuis le  gouvernement Rocard.

La censure hier rampante, se resserre et s'affirme. La dictature du politiquement correct développe impunément ses exclusives répressives. Des menaces très précises visent plusieurs journalistes.

Des vœux pieux, par conséquent, peuvent-ils même être reçus comme un rituel annuel civiquement acceptable ? L'auteur de ces lignes ne le pense pas ! Ce dont ce pays a besoin c'est du réveil de ses citoyens.

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