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jeudi, 20 avril 2023

Marylise Léon chef de la CFDT en juin : la décomposition de notre société s’accélère

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Bernard Germain 

Et de deux.

En juin 2021, Marylise Léon deviendra le nouveau secrétaire général de la CFDT. Après Sophie Binet, wokiste et féministe assumée, élue à la surprise générale secrétaire général de la CGT en remplacement de Martinez et ses célèbres moustaches.

Marylise Léon a dores et déjà un point commun avec Sophie Binet, elle est féministe. On notera au passage que Laurent Berger se moque de l’accord ou pas des syndiqués CFDT sur la pertinence de ce choix. En bureaucrate roué, il s’est fait réélire il y a peu, en sachant parfaitement qu’il ne finirait pas son mandat qui doit s’achever en 2026.

Donc, son départ était déjà planifié lorsqu’il s’est présenté et fait réélire.

Pour Marylise, c’est tout simple, elle sera désignée par le Bureau National de la CFDT. Donc aucun risque que l’opération capote. Elle aura jusqu’en 2026 pour mettre en place son propre appareil et créer les conditions de son élection à cette date lors du prochain congrès. C’est de la « démocratie » très organisée.

Mais revenons au fait que cette dame est féministe.

Les idiots vont se féliciter de son arrivée à la tête de la CFDT. Pour ceux-là, la compétence n’est qu’une option. Ce qui compte c’est qu’elle est de sexe féminin. Ils diront… « enfin des femmes qui accèdent aux plus hautes responsabilités. Il était temps. »

Malheureusement ces bouleversements à la tête des syndicats ne sont des bonnes nouvelles qu’en apparence.

Le fait que ces deux personnes soient féministes est autrement plus préoccupant. Pourtant peu de monde ne semble s’en alarmer. Et c’est vraiment inquiétant.

Pour me faire comprendre je dois revenir sur certains points.

À l’origine, le féminisme revendiquait une égalité entre les hommes et les femmes. Cela se traduisait par exemple par l’une des plus vieilles revendications syndicales : « à travail égal, salaire égal ». Ce n’était que justice.

Idem, pour le droit de vote qui ne fut accordé aux femmes qu’en 1945.

Mais le féminisme a largement évolué et le « néo-féminisme » est devenu le combat des femmes contre les hommes et leur société « patriarcale ». Ce qui n’est plus du tout la même chose.

Pendant des siècles, l’homme avait une fonction protectrice vis à vis des femmes et de la famille.

C’était lui qui allait gagner de quoi « faire bouillir la marmite ».

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19:19 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : ROBERT SAUCOURT, ÉCRIVAIN, DÉDICACERA SES LIVRES LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...

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Né en 1943 à Alger, Robert Saucourt est arrivé en France le 22 juin 1962, Membre du Cercle algérianiste de Nice, Président de l’Association pour la Mémoire de l’Empire Français (2000- 2018).

IL DÉDICACERA SES LIVRE :

Aux éditions Dualpha

Ces femmes de l’Algérie française
Lieutenant-colonel Georges Masselot

Aux éditions de Nos Chères Provinces

La Saison des Caroubes

12:48 Publié dans Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journées de formation dans l'Aisne avec Civitas ces 22 et 23 avril

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11:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un scandale caché : La Ligue des « droits de l’homme » soutien du totalitarisme communiste, à l’égal des grandes figures de la gauche française.

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Michel Festivi

Cette officine de gauche, s’est totalement fourvoyée avec le totalitarisme le plus mortifère du XXe siècle, le communisme léniniste puis stalinien, et elle aurait dû être remisée « dans les poubelles de l’Histoire », selon la bonne vieille formule léniniste qu’employa Trotski à l’égard des menchéviks.

Imaginons un seul instant, une association qui aurait eu pour but de promouvoir « les droits de l’homme », et qui aurait justifié les camps de concentration et le régime hitlérien, elle aurait à juste titre été vouée aux gémonies. C’est mutatis mutandis ce que fit la LDH tout au long du XXe siècle vis à vis du totalitarisme communiste.

En 1984, dans un livre remarquable et injustement oublié, L’aveuglement, les socialistes et la naissance du mythe soviétique, Editions Flammarion, Christian Jelen, trop tôt disparu, qui fut journaliste à l’Express puis au Point, et un ami de Jean-François Revel, avait rappelé, documents et témoignages à l’appui, que le journal l’Humanité (qui en 1917 était encore socialiste), avait publié des articles de Boris Kritchevski, son correspondant en Russie, qui annonçait dès octobre 1917, la dictature sanglante bolchévique, avec une préscience digne d’un Jacques Bainville.

Sur ces entrefaites, la LDH, va aussi enquêter sur ce qui se préparait dans la Russie devenue léniniste et va interroger plusieurs témoins, qui tous vont confirmer que non seulement les communistes mettaient en place un régime totalitaire, mais que régnait désormais le banditisme, la corruption, le parasitisme, le vol, l’escroquerie et Christian Jelen de conclure : « Derrière la grande lumière venue de l’Est, l’Humanité et la ligue des droits de l’homme découvrent une secte fanatique et doctrinaire.. »

Mais la Ligue refusera malgré tous ces témoignages accablants, au nom de la « Grande Révolution Française » et sur le principe que « l’on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs », de condamner le communisme léniniste qui mettait en place dès la fin 1917, un régime hyper policier avec la redoutable Tchéka, sous la houlette du sinistre Dzerjinski, comme le démontrera magistralement Stéphane Courtois dans la plupart de ses ouvrages (Cf en autre, Lénine l’inventeur du totalitarisme, 2017, Editions Perrin.).

Déjà il ne fallait pas désespérer Billancourt ! Nous savons par ailleurs que l’Assemblée constituante russe élue démocratiquement à la fin 1917, qui sur 703 délégués ne comptera que 168 bolchéviques, sera dissoute manu militari par les gardes rouges le 19 janvier 1918, soit le lendemain de sa première séance, sur ordre express du même Lénine.

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10:36 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Macronisme et Poutinisme

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Fallait oser… Emmanuel Todd l’a fait en comparant le régime de Poutine à celui de Macron. Deux Etats autoritaires. Sauf que celui de Macron est aux mains d’une bureaucratie qui nie la voix du peuple, alors qu’en Russie c’est la voix du peuple qui soutient Poutine. Paradoxal ? Pas vraiment, nous explique Emmanuel Todd dans cette chronique forcément rebelle.Va-t-il finir au trou ?

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Source : Marianne 20/4/2023

09:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |