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jeudi, 18 mai 2023

Jean-Eude Gannat nous parle du C9M

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18:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Saint-Brevin : le seul responsable, c'est le maire Yannick Morez et son équipe

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Un communiqué de Riposte laïque :

Yannick Morez a été reçu, deux mois après l'incendie de sa maison, par le Premier ministre Elisabeth Borne et la commission des lois du Sénat. Il a cité, de manière accusatoire, le nom de notre site, devant certains médias et les sénateurs. Cela nécessite donc une réponse, que nous délivrons à travers ce communiqué de presse. cliquez ici

Si on en croit le président de la République, le Premier ministre et l'ensemble des médias et du monde politique, le maire de Saint-Brevin incarnerait la démocratie et la République, qu'il faudrait protéger contre les violences d'extrême droite que subiraient les élus favorables à l'installation de clandestins dans leur ville. C'est une inversion accusatoire classique, car à Callac ou à Saint-Brevin, les seules violences commises l'ont été par des manifestants d'extrême gauche, qui ont agressé, en toute impunité, les forces de l'ordre et des manifestants hostiles au plan Horizon ou au Cada.

Le maire de Saint-Brevin incarne une conception de la politique qui est tout le contraire de la démocratie. Il n'a pas été élu pour installer un centre d'accueil de 110 demandeurs d'asile près d'une école et d'une forêt protégée. Il a refusé d'entendre l'association de Préservation de la Pierre Attelée, qui a demandé à des multiples reprises d'être reçu en mairie. Il a refusé d'organiser une consultation citoyenne sur cette question. Il a demandé au préfet d'interdire des distributions de tracts contestant le Cada dans sa commune. Il a fait pression sur le représentant de l'Etat pour qu'il interdise la manifestation, légalement déposée, des opposants au Cada, mais n'a pas eu un mot contre les celles, non-déclarées et violentes, de la gauche et de l'extrême gauche. Il a renvoyé, dans ses communiqués officiels, dos-à-dos les agresseurs gauchistes et les manifestants agressés.

Encore plus grave, il accuse, sans la moindre preuve - alors que la gendarmerie privilégie d'autres pistes - ce qu'il appelle l'extrême droite, en fait la mouvance patriotique, d'être responsable de l'incendie de sa maison, attisant la haine contre des militants et des organisations qui mènent un combat démocratique contre ce que Macron appelle la transition démographique dans nos campagnes, qui s'apparente à un grand remplacement, ou à un changement de peuple imposé.

Il faut rappeler que l'Association des Maires de France signalait que depuis 2020, 1293 maires avaient démissionné de leur mandat, souvent pour des causes de violences, d'agressions physiques et d'intimidations au moins aussi graves, si ce n'est parfois davantage, que les désagréments dénoncés par le maire de Saint-Brevin. Or, leur démission n'a pas dérangé l'Etat, qui méprise les maires, leur impose les décisions des préfets, et leur substitue les structures bureaucratiques des Communautés d'Agglomération.

Cette fois, pour instrumentaliser la question migratoire, le pouvoir utilise l'inadmissible incendie de la maison du maire de Saint-Brevin pour intimider les populations qui refusent l'installation de migrants dans leur commune, dans une grossière manipulation dont le point culminant sera une manifestation appelée par le maire de Nantes, Johanna Rolland - qui a transformé sa ville en coupe-gorge - le 24 mai prochain.

Les Français, hostiles comme à Callac à 80 % à toute immigration dans les campagnes, ne seront pas dupes, malgré la propagande politico-médiatique, à cette grossière manipulation, et comprendront que le seul responsable des violences de Saint-Brevin, c'est Yannick Morez, qui, se vante d'abandonner son mandat et de quitter la France, laissant l'équipe municipale, sa ville et la population dans le chaos qu'il a créé.

Riposte laïque cliquez ici

18:01 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des nouvelles de Callac : la gauchiste Laure-Line Inderbitzin insulte le maire et le préfet

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Bernard Germain

Nous vivons dans un pays invraisemblable dans lequel on voit un ministre de l’Intérieur interdire 5 manifestations de « fachos » jamais coupables d’aucune dégradation, feux de poubelles, bris de vitrines ou violences en tous genres. Juste pour délit d’opinion.

Par contre, le même ministre de l’Intérieur reste sans réaction face aux antifas et à l’extrême gauche qui en 14 manifestations ont blessé plus de 2.000 policiers et gendarmes.

Eux sont parfaitement connus et identifiés. Mais rien n’est fait contre eux. Quant à ceux qui sont arrêtés en flagrant délit lors des manifestations, ils sont relâchés par les juges pour « manque de preuves ».

Ils sont notamment (parmi d’autres) membres de la « Jeune Garde », antifas lyonnais ultra-violents, dont le chef est un ami de Mélenchon et a été reçu à l’Assemblée nationale, invité par le député Aurélien Taché.

La folie qui s’est emparée de notre pays est loin de s’arrêter là. Il y a aussi le problème des maires. Depuis les dernières élections municipales de 2020, l’Association des maires de France a indiqué que 1293 maires avaient démissionné. Sans parler des élus municipaux qui ne sont pas maires. Personne n’en parle. Tout le monde s’en moque.

En revanche, on parle de la démission de certains maires, comme Yannick Morez, le maire de Saint-Brévin. Lui, à l’inverse des autres, son cas est monté en épingle. Aujourd’hui il est même reçu par le Premier ministre à Matignon.

En effet, il a démissionné et va même quitter sa ville. Officiellement parce que quelqu’un a mis le feu à ses deux voitures et brûlé une partie de la façade de sa maison. Acte débile que nous condamnons.

Mais ce maire accuse aussi l’État de l’avoir abandonné, alors qu’il mettait en œuvre la transition démographique promue par Macron.

La vérité est sans doute un peu différente. Il a fuité de son entourage que sa décision de démissionner et de partir avait été prise bien avant l’incendie. En clair, c’est bien commode pour justifier sa décision de pouvoir invoquer l’incendie et « l’abandon de l’État ». C’est une hypothèse certes, mais c’est une hypothèse sérieuse. En tout cas, certains ont bien compris comment instrumentaliser ce départ.

Ainsi, une formidable manipulation est en préparation. Elle va prendre la forme d’une gigantesque manifestation le 24 mai à Saint-Brevin. En apparence pour soutenir le maire, mais en réalité pour envoyer un message à tous les Français pouvant se résumer ainsi : « Si vous vous opposez à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants, c’est que vous êtes comme ceux qui ont mis le feu aux voitures et à la maison du maire, partisan des CADA, des « fachos ».

L’objectif est clairement d’intimider ceux qui s’opposent à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants dans nos campagnes. Il y a d’ailleurs de fortes chances qu’on voit à cette manifestation des ministres et peut-être même le Premier. Le tout largement relayé par la presse bien pensante, afin de faire bonne mesure et que le message passe d’un bout à l’autre de la France.

Cette mobilisation du 24 mai est d’autant plus importante - pour remonter le moral des maires et les rassurer – que certains maires commencent sérieusement à s’inquiéter et ne veulent pas connaître le sort de celui de Saint-Brévin. Ce qui pourrait les rendre moins « disponibles et volontaires » pour l’installation de CADA dans leurs communes.

C’est par exemple le cas de celui de Beyssenac en Corrèze (365 habitants), Francis Comby. Comme le rapporte Libération du 12 mai 2023 : « En Corrèze, un maire ne veut pas « subir le même sort que celui de Saint-Brevin » ». Dans son village le préfet a décidé l’installation d’un CADA, provoquant l’indignation et une large mobilisation de la population.

Le maire aussi, ainsi que son conseil, est contre ce CADA. Ce qui ne l’a pas empêché de déposer plusieurs plaintes contre des opposants au projet de CADA. Ce maire va devoir choisir définitivement son camp. On ne peut pas porter plainte contre les opposants aux CADA et se dire contre le CADA. Marier l’eau et le feu est mission impossible.

D’autres maires ont joué le jeu et été de fervents partisans de l’invasion migratoire. Certains d’entre eux le regrettent amèrement aujourd’hui.

C’est le cas du maire de Callac, Jean-Yves Rolland. Sans doute pas un mauvais bougre, mais qui a eu la bêtise ou la faiblesse de laisser libre cours à l’action de l’une des membres de sa majorité, la célèbre Laure-Line Inderbitzin. Une gauchiste exaltée.

Celle-là c’est un cas.

Imaginez-vous qu’elle est depuis des mois en arrêt maladie. Mais elle est également professeur à Callac. Donc ses élèves sont lourdement pénalisés par son absence.

Et les parents d’élèves pour leur part sont fous-furieux. Pourquoi ? Parce que Laure-Line est peut-être malade, mais en tout cas pas assez pour ne pas se faire voir en public à 3 occasions, hors de ses heures de sortie.

Une fois à chanter dans les bars le soir (filmé et diffusé par TF1), une fois au conseil municipal le soir où il s’est réuni à huis clos et une troisième fois en accordant récemment une interview à Médiapart, à Paris (visible sur YouTube).

Manifestement les règles c’est fait pour les autres. Mais pas pour elle qui n’en a rien à faire.

Et personne ne bouge ni ne lui rappelle qu’il est interdit d’agir ainsi. Aucune sanction de la part de la Sécurité Sociale, ni de la part de l’Éducation nationale. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?

N’oublions pas que la dame a aussi été l’une des organisatrices de deux contre-manifestations à Callac, non déclarées, au cours desquelles de violents affrontements ont eu lieu entre gendarmes et antifas, les copains de Laure-Line.

Là non plus, aucune poursuite de la part du procureur de Saint-Brieuc. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?

A cela il convient d’ajouter que Laure-Line s’est trouvé un nouveau souffre douleurs : le maire de Callac.

Oui, oui. Celui qui a jeté l’éponge face à la mobilisation des habitants et des patriotes contre le projet Horizon qui voulait amener plusieurs centaines d’immigrés à Callac et en faire le « premier village multiculturel ».

Pour Laure-Line, que le maire ait jeté l’éponge, c’est impardonnable. Et elle le poursuit de sa vindicte.

Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ».

Erreur impardonnable ? ça c’est pour le maire qui va certainement apprécier.

Dans une mairie normale, une telle déclaration devrait être suivie de la suppression immédiate de la délégation de l’élu qui en est l’auteur. Il trouve que Laure-Line est deuxième adjointe au maire. Qu’attend le maire pour lui retirer sa délégation ?

Mais attaquer ainsi son maire ne suffit pas à Laure-Line. Comme elle est gourmande, elle attaque aussi le préfet… s’il vous plaît.

Ainsi, toujours dans le même débat elle déclare : « Certains préfets sont des personnes honorables. Jean Moulin était bien préfet. Nous avons un préfet dans les Côtes d’Armor qui a clairement, volontairement retiré notre fiche d’action de projet Horizon. C’est à dire qu’il s’est permis de retirer un projet qui avait été décidé par un projet municipal souverain. C’est quelqu’un qui minimise les actions de l’extrême droite, c’est quelqu’un qui accepte et autorise le 5 novembre à Callac une manifestation d’extrême droite ».

C’est le préfet des Côtes d’Armor va être content d’apprendre qu’il n’est pas une personne honorable. Et quand on oppose à sa personne celle de Jean Moulin, chacun comprendra que cela signifie qu’il aurait plutôt à voir avec la collaboration, voir le nazisme directement. Ben voyons…

Quand je vous disais que c’était un cas cette Laure-Line. Vous voyez, je n’exagérais pas. Et puis il y a par exemple M. Puisay, le maire Penestin (56).

Voyez-vous, il a commis lui aussi une énorme erreur. Il a vendu le presbytère à l’évêché, à un prix déterminé par un organisme indépendant. Mais il n’y a rien d’illégal à cela. Quel est son crime alors ?

C’est simple, il ne l’a pas vendu à une association à migrants. Et ça c’est un crime impardonnable pour une partie de l’opposition, celle de prétendus écologistes, agressifs et sectaires.. Trois personnes de sa majorité sont passées dans l’opposition.

Les agressions contre lui ont commencé d’abord par des agressions verbales, limite physiques, alors qu’il se rendait à la messe. Puis, cerise sur le gâteau, il s’est retrouvé avec une plainte de l’une des trois personnes qui ont quitté sa majorité pour… agression sexuelle.

Le pauvre homme n’a pas supporté autant de bassesse et a tenté de se suicider. cliquez ici

Mais là ça n’intéresse personne. Il peut crever, tout le monde s’en fout.

De même que tout le monde se fout que des accusations ignobles puissent amener quelqu’un à vouloir en finir avec la vie. Il faut dire que dans son cas, il n’est pas possible de monter une opération pour dénoncer l’extrême droite. Alors, circulez, il n’y a rien à voir.

Certains maires sont défendus, surtout s’ils sont pour l’immigration, les autres peuvent crever. Pauvre France !

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11:54 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le lycée Averroès de Lille dans le collimateur de la Justice administrative financière ?

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Michel Festivi

A la suite de l’enquête judiciaire et de la garde à vue de cinq responsables de la mosquée de Villeneuve-d’Ascq, qui devront comparaître l’an prochain devant la juridiction pénale, pour divers délits économico-financiers (Cf les lourds secrets du centre islamique de Villeneuve-d’Ascq, vitrine lilloise des Frères musulmans » dans le Figaro du 4 mai 2023, c’est désormais au tour du lycée Averroès de Lille d’être confronté à la Chambre régionale des comptes.

Ce lycée musulman sous contrat, qui s’était vu octroyer un prêt par le centre islamique de Villeneuve-d’Ascq, semble avoir une trésorerie qui a connu « une dégradation brutale et continue » depuis 2015, selon le rapport de la juridiction administrative financière (Cf le Figaro du 17 mai 2023 « Au lycée Averroès de Lille, lectures salafistes et petits arrangements entre amis »).

Ce lycée avait été crée après qu’une vingtaine de jeunes filles furent expulsées de leur lycée en raison du port du voile. La première rentrée scolaire date de 2003. En 2008, cet établissement obtint un contrat d’association avec l’état. Lycée et collège (qui lui n’est pas sous contrat), totalisent plus de 800 élèves.

La Chambre régionale des comptes a relevé des distorsions financières préoccupantes qui font dépendre cette structure scolaire de financements de l’étranger, notamment via le Qatar, ou des collectes de fonds auprès de mosquées allemandes ou hollandaises. Sur 10 ans d’exercice, ces « dons » représenteraient 6 millions d’euros. Dans son livre, Qatar Papers, Georges Malbrunot l’évoque. On apprend au passage, que depuis 2010, les subventions publiques se sont élevées à plus de 6,5 millions d’euros.

De plus, la Chambre régionale aurait mis en exergue : « de nombreuses erreurs ou irrégularités » ce que détaille précisément cet article du Figaro. Elle dénonce aussi une gouvernance en vase clos, qui visiblement n’entend pas partager le pouvoir, contraire aux règles réglementaires ou légales. Mais le plus grave et le plus inquiétant sont les révélations sur les discours tenus aux élèves. Le cours « d’éthique musulmane » (qui serait facultatif), est clairement en adéquation avec la vision rigoriste de l’islam salafiste.   

Les règles préconisées par l’un des ouvrages étudiés notamment en classe de seconde, énoncent la prohibition de la mixité au travail, l’interdiction par une femme de se faire ausculter par un médecin homme, ainsi que la condamnation de l’apostasie (le fait pour un musulman de changer de religion) par la peine de mort, car « celui qui cesse d’être musulman doit être exécuté conformément à la peine légale prévue pour l’apostasie ». Pourtant les statuts et les textes de l’association proclament l’attachement de ce lycée « aux valeurs républicaines » …. Ah la taqia quand tu nous tiens !

Comme le souligne cet excellent article du Figaro : « Ces éléments illustrent…le fonctionnement nébuleux d’un réseau de mosquées et d’établissements musulmans, régis par les principes de l’islam frériste et regroupés au sein de la Ligue islamique du Nord, antenne locale des musulmans de France (ex UOIF)… »

Gageons, que s’il s’était agit d’un lycée catholique qui avait ainsi contrevenu aux règles « des valeurs de la république (sic) », au nom de la Bible ou des Evangiles, il y aurait belle lurette qu’il aurait été interdit et dissous. Mais comme pour « l’extrrrrême drrrroite » face aux casseurs de l’extrême gauche c’est la politique des deux poids deux mesures qui prime dans nos ministères.  En tout cas, comme le souligne Madame Florence Bergeaud-Blackler dans un entretien à lire absolument du 17 mai au Figaro : « Les Frères musulmans veulent rendre nos sociétés « charia-compatibles ». Si l’état ne prend pas rapidement le taureau par les cornes, plutôt que de s’en prendre à des organisations de droite, qui n’ont jamais attenté à l’ordre, à la loi et à l’état de droit, cela arrivera plus tôt que prévu. 

11:26 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les bonnes intentions d’un président

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En annonçant la lutte contre les fraudeurs, la réindustrialisation du pays et l’encouragement  à favoriser l’enseignement professionnel, Emmanuel Macron a pris de bonnes mesures. Toutefois, le combat à mener n’est pas que là. Il est aussi dans la désertification de nos campagnes, dans les villes qui se meurent et les collectivités territoriales qui cachent leur misère à coups d’emplois publics. Par-delà, le problème de fond, cela reste la logique néolibérale qui est en train de détruire nos sociétés occidentales. Natacha Polony fait le point.

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Source : Marianne 18/5/2023

09:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |