vendredi, 25 avril 2025
Soutien aux généraux Coustou et Pellizzari suite à leurs radiations
Jean Pierre Fabre-Bernadac - Président de Place d’Armes
Comme président de Place d’Armes, je tiens à apporter mon soutien aux généraux Coustou et Pellizzari suite à leurs radiations. Pour moi, comme pour de nombreux cadres de l’Armée, cette démarche est entachée de partialité.
Pourquoi partialité ? Pour y répondre, je ne prendrai qu’un exemple.
Le général Lecointre, à l’époque chef d’état-major des Armées, avait réagi suite à ma « lettre aux gouvernants » en indiquant : « Quand on est général en 2e section, on s’engage statutairement à respecter le devoir de réserve. »
Cette analyse peut paraître juste, mais alors pourquoi certains généraux, consultants de chaînes de télévision, payés par ces mêmes chaînes, bafouent constamment ce droit de réserve sans qu’aucune décision coercitive ne soit prise contre eux ?
Lorsque un général s’exprime avec rage sur LCI en déclarant : « Trump est un agent de Poutine (…), même s’il n’est pas un agent retourné au sens juridique du terme et que c’est juste un convaincu, il est ce que Lénine appelait les idiots utiles : lui, il est très idiot et très utile ! », pourquoi est-ce que je n’observe aucune réaction du gouvernement ?
Pourtant, il me semble que, dans la même phrase, un haut gradé se permet de traiter le président des États-Unis de traître et d’idiot !
Ne pensez-vous pas, Monsieur le ministre, que de tels mots prononcés par un haut gradé peuvent avoir des conséquences négatives sur les relations franco-américaines ?
Allez-vous entreprendre des démarches pour conduire à la radiation ce militaire ?
N’enclencher aucune résolution serait valider le fait qu’un deux poids deux mesures existe bien au sein du ministère de la Défense.
Jean Pierre Fabre-Bernadac
Président de Place d’Armes
12:04 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Tragédie à Nantes : le sang des innocents et l’aveuglement des responsables
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Hier, la France a une nouvelle fois été frappée par l’horreur. À Nantes, dans ce qui devrait être un sanctuaire pour nos enfants, une lycéenne a été sauvagement assassinée à coups de couteau, et trois autres jeunes ont été grièvement blessés. Nos pensées émues vont aux familles plongées dans le deuil et la douleur, ainsi qu’à toute la communauté scolaire bouleversée par cette barbarie.
Le tueur, Justin Adar Polat, âgé de 15 ans, un individu d’origine turque, n’est ni un « militant d’extrême droite » comme certains voudraient le faire croire à coups de titres racoleurs, ni un croisé de la haine raciale. Il semble, à ce stade, que nous ayons affaire à un esprit instable, ravagé par une forme de paranoïa née de l’éco-anxiété — ce mal moderne distillé par les gourous pseudo-écolos et leurs discours apocalyptiques, qui instillent la peur et la culpabilité dans l’esprit des jeunes au nom du climat.
Mais une question s’impose : où sont les responsables ? Comme toujours, nos gouvernants regardent ailleurs, récitant mécaniquement les mêmes litanies sur la « résilience » et la « solidarité ». Pas un mot sur l’échec criant de la prévention, pas un mot sur la démission de l’État face à la montée de la violence dans nos établissements scolaires.
Le Parti de la France appelle à des mesures de bon sens. Nous réclamons que chaque établissement scolaire puisse désigner un référent armé, dûment formé et habilité, membre de la communauté éducative, prêt à intervenir immédiatement pour neutraliser toute menace, qu’il s’agisse d’un agresseur isolé, d’un déséquilibré ou d’un terroriste.
L’heure n’est plus aux bougies et aux marches blanches : l’heure est à l’action.
Source cliquez ici
11:56 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |