mercredi, 17 avril 2013
ATTENTION, les valets du mondialisme deviennent hargneux... C'est bon signe !
Lors de la Manif de l’ultra Gauche soutenue par LGBT : dimanche 14 avril, place de la République... Maintenant, ils veulent tuer.
Source Altermedia
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mardi, 16 avril 2013
Taiäut ! Taïaut ! La chasse au Cahu est ouverte...
La chronique
de Philippe Randa
C’est fait… La déclaration de patrimoine de nos actuels ministres a été publiée, plus contrainte et forcée qu’acceptée dans la joie et l’allégresse. Il fallait bien après le scandale de l’ex-Ministre du Budget dont on n’aura jamais su s’il aurait été ou non compétent dans sa fonction. Il n’en était en tout cas pas digne, faute de moralité.
Gageons que tous les ministres futurs y passent, eux aussi. Plus aucun chef de gouvernement ne pourra passer outre au risque d’être immédiatement suspecté de dissimulation. Mais pour les prochains ministres potentiels, cela laisse le temps de s’organiser. De répartir leur grisbi ici, là et de préférence ailleurs afin qu’il soit moins voyant. L’apparence, en effet, est primordiale ! L’habit, voilà qui fait le bon ministre ! Ce n’est pas tant d’honnêteté que nos prochains gouvernants devront faire la preuve que de malignité dans la discrétion. Ce ne sera plus « couvrez ce sein que je ne saurais voir », mais « cachez moi ce bien que vous ne sauriez posséder. »
Avant, on envoyait le bêta à la chasse au Dahu(1)… Mais c’était avant ! Désormais, on envoie l’électeur à la chasse au Cahu. Autres temps …
Une fois de plus, tout ce brouhaha médiatico-politique où les uns font surenchère de bons sentiments et de moralité intransigeante, tandis que les autres vitupèrent la déliquescence des mœurs et le laxisme des consciences n’aboutit finalement qu’à déconsidérer la fonction politique… qui n’en avait pas vraiment besoin.
Car obliger tous les ministres à cette déclaration publique de leur patrimoine respectif, outre la bouffonnerie dans la réalisation et le ridicule dans l’efficacité, jette de fait la suspicion sur toute la classe politique… Être obligé de prouver publiquement son honnêteté revient à reconnaître qu’on puisse être malhonnête… Mais les électeurs s’interrogent-ils, eux, sur leur propre perspicacité ? Car la composition d’un gouvernement, c’est tout de même la conséquence directe de leur choix électoral.
Il serait plus logique que ce soit le candidat à une élection qui prouve son honnêteté, bien plus qu’un ministre, désigné pour une fonction précise par un Président mis en place par le vote d’une majorité de ses compatriotes.
Ce n’est, certes là, qu’une contradiction de plus dans cette pantalonade sur le patrimoine des élus ; « tout cela est peu ragoûtant », comme l’écrit la journaliste Marie Delarue qui ajoute : « Démarche qui ne présente aucun intérêt pour quiconque, sauf peut-être celui d’endormir une foule avide de justice comme autrefois les Tricoteuses quand elles regardaient la tête des aristos tomber dans le panier de la guillotine. »(2) !
Mais au fait, pourquoi seuls les membres du gouvernements seraient-ils astreints au déballage financier sur la place publique ? Pourquoi pas tous les élus de la République ? Ça en fait, des suspects de l’indélicatesse, du conseiller municipal au député ou sénateur… Taiäut ! Taïaut !
Pourquoi les policiers et les gendarmes, de moins en moins occupées d’assurer la paix publique, mais de plus en plus transformés en auxiliaires des contributions directes et indirectes, ne seraient-ils pas également astreints à publier leur patrimoine ? Sommés par leur hiérarchie de remplir les caisses de l’État, combien sont-ils à se remplir au passage les poches, comme le premier ministricule venu ? Du très médiatique Michel Neyret, numéro deux de la police judiciaire de Lyon avant son éviction en 2011, suite à sa mise en examen pour « corruption, trafic d’influence, association de malfaiteurs, trafic de stupéfiants, détournement de biens et violation de secret professionnel », en passant par les 17 policiers de la brigade anti-criminalité (Bac) de Marseille accusés en novembre 2011 d’avoir eu des comportements de « ripoux », en quoi les pandores seaient-ils à l’évidence guère moins suspects que le premier politicien venu(3)… Taiäut ! Taïaut ! qu’on vous dit !
Et les magistrats ? Qui nous assure qu’aucun d’eux ne succombe à la menace ou la tentation quand ils sont faces à quelques parrains milliardaires de la criminalité ? Taiäut ! Taïaut ! qu’on vous répète !
Et les fonctionnaires, du plus humble postier susceptible de se servir dans les colis qu’il est chargé de transporter… au plus haut « agent d’une administration publique » tout aussi capable qu’un Cahuzac de « toucher » pour prix de sa bienveillante compréhension et d’en mettre à gauche, même s’il vote à droite ? Taiäut ! Taïaut ! Encore et toujours !
Pourquoi les ministres plus que les autres ?
Et puis, tout ça pour apprendre, finalement, que Laurent Fabius possède quelques millions devant lui pour ses vieux jours, mais que Cécile Duflot roule dans une R4 de 400 euros (à peine plus que les vélos de Christiane Taubira)…
Les ministres, suspectés de vouloir faire les poches des Français ? Désormais, en plus, ils leur font honte. À qui la faute ?
Notes
(1) L’existence du dahu, animal sauvage imaginaire, est généralement évoquée en milieu rural et par plaisanterie auprès de personnes particulièrement naïves et de citadins peu au fait, par exemple, de la faune. « La version moderne, théâtrale et cinématographique, de ce comportement d’un groupe vis-à-vis d’un individu désigné comme vilain petit canard est sans doute Le Dîner de cons » (http://fr.wikipedia.org).
(2) www.bvoltaire.fr.
(3) 17 policiers de la BAC Nord obt été mis en examen pour des faits de vols et d’extorsion ; sept avaient été écroués et cinq placés sous contrôle judiciaire, mais « (ils) ont tous été autorisés à reprendre leur travail, indiquait le site Mediapart le 29 janvier dernier. Même les sept policiers placés en détention provisoire pendant plus de deux mois pourront donc prochainement exercer sur la voie publique. »
Interrogé par Mediapart, « l’homme qui n’a pas pu réintégrer la police confie son amertume. Il a été révoqué début août 2012 par le ministère de l’Intérieur, pour “insubordination”. “Eux qui n’ont rien dénoncé ont eu gain de cause, et nous, nous restons punis, au placard” » (www.leparisien.fr).
12:23 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce mardi soir, Robert Ménard à La Charité-sur-Loire
10:26 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Fourest, Valls : un effort et ils ne mettront plus le nez dehors !
Gabrielle Cluzel
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« Mariage pour tous : la guérilla des anti », titrait lundi Libération.fr. Et de faire le catalogue de toutes les actions menées dans le week-end, de l’accueil de Fourest samedi après-midi à celui de Valls dimanche soir, en passant par le pique-nique et le camping pour tous à Paris. Un article assez symptomatique du tournant que semblent avoir pris les grands médias : même si la plupart d’entre eux cherchent toujours à en minimiser les effectifs, ils ne peuvent plus ignorer les multiples et inlassables mobilisations. France Info elle-même n’a-t-elle pas qualifié, ce même jour, la loi dite du mariage pour tous de « pour le moins controversée » ?
Ils peuvent d’autant moins les ignorer que sont à chaque fois déployés des dispositifs policiers démesurés qui sont, à eux seuls, une reconnaissance implicite de ce que l’on cherche à cacher : le nombre et la détermination des opposants, la trouille diffuse du gouvernement de ne pas avoir le dessus dans cette affaire.
Trente cars de CRS pour permettre à Manuel Valls de quitter tranquillement son petit concert de la salle Pleyel, ce n’était pas un peu beaucoup ? S’ils angoissent terriblement et se sentent obligés de convoquer deux compagnies de gendarmes mobiles chaque fois qu’ils mettent un doigt de pied dehors, peut-être serait-il raisonnable, dans un esprit d’économie du denier public, de penser à se faire un plateau-télé le soir plutôt que de prendre des engagements mondains ?
Sont-ils croquignolets quand même, tous ces militants vaguement anars d’hier (Manuel Valls a fait ses premières armes à l’UNEF-ID, il faut voir là-bas comme on y adore l’armée et les flics), à aller se cacher dans les jupons des forces de l’ordre : « Là, monsieur l’agent, cette vilaine dame, avec ses enfants, qui agite son drapeau rose, elle ne fait rien que m’embêter ».
Interdit d’interdire, faites l’amour pas la guerre, flower power et les petites pâquerettes dans les cheveux, ce n’est plus trop à l’ordre du jour, on va attendre des temps meilleurs pour redire aux CRS qu’ils sont des SS. 67 jeunes du « camping pour tous » venus monter leur petite tente Decathlon derrière l’Assemblée nationale — sans faire de bruit et en prenant soin de laisser passer la circulation — ont été mis en garde à vue durant plus de de douze heures (rappelons que le DAL a organisé, quant à lui, une centaine de campements à Paris avant d’être poursuivi pour la première fois en 2008).
Non mais les gars, vous vous êtes vus ? Vous ne vous sentez pas un peu grotesques avec vos paniers à salade pleins de mères de famille et de chefs scouts qui chantent à pleins poumons (« C’est à bâbord qu’on gueule, qu’on gueule… c’est à tribord qu’on gueule le plus fort ! », se répondait-on gaiement de fourgon à fourgon dimanche après-midi boulevard Saint-Michel), vos dépôts dans lesquels règne une ambiance de kermesse paroissiale — ce sont les poivrots et les dealers qui doivent être vachement surpris —, vos P.-V. cérémonieux dignes d’un sketch de Fernand Raynaud, pour port de corsage fuchsia, vos gazages de poussettes et vos mobilisations pharaoniques de forces de l’ordre pour vous défendre contre des petits drapeaux, pendant que les délinquants de tous poils continuent de courir les rues ?
Et si ceux qui vous donnent de l’urticaire n’obtempèrent pas, c’est quoi l’étape suivante ? Vous les collez en taule ? Pour avoir commis un port de pull rose en réunion ? Vous avez conscience quand même qu’ils sont très, très nombreux ? Et bien que polis, extrêmement tenaces ? Et que parmi les forces de l’ordre, plus d’un, comme le rapportent de multiples témoignages concordants, commencent à en avoir leur claque de faire le sale boulot ? Il serait dommage que votre irrationnelle fuite en avant, pour un projet de loi « pour le moins controversé » comme dirait France Info, génère bêtement une révolution de fuchsia. Sous les pavés, y a le mariage. Note, François, que la vie à Baden-Baden ne doit pas être si désagréable.
07:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pour pouvoir sortir de ses palais, l'oligarchie n'a plus qu'une solution : la repression !
07:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 15 avril 2013
LA RADICALITE CONTRE LA DICTATURE DES MINORITES...
Jean-Yves Le Gallou
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Chaud, chaud, chaud ! Le printemps sera chaud. Car les majorités se révoltent contre la dictature des minorités. Dictature des minorités sexuelles, associatives subventionnées, ethniques et religieuses, financières, médiatiques, parlementaires.
Minorités sexuelles
Il y a, selon l’INSEE, 100.000 couples homosexuels en France, soit 0,3% de la population ; et 10.000 enfants – 0,003% de la population – vivent au domicile de ces couples homosexuels. Une minorité de ces minorités réclame qu’on change des règles multimillénaires pour les adapter à leur situation individuelle ou à leurs caprices. Il est normal que cela suscite une forte exaspération des majorités !
En vérité les homosexuels devraient être reconnaissants aux familles traditionnelles qui défilent contre la dénaturation du mariage : ce sont leurs enfants qui paieront leurs retraites…
Minorités associatives subventionnées
Les associations LGBT, minorité agissante de la minorité revendicative des minorités sexuelles, veulent régenter le débat public. Au nom de la lutte contre une prétendue « homophobie », il s’agit d’interdire toute prise de position jugée politiquement incorrecte ; en fait, d’empêcher toute critique du mariage homosexualiste à l’image de ce qu’ont réussi les associations « antiracistes » censurant tout débat sur l’immigration. Le tout avec l’argent des contribuables. C’est insupportable au pays de Voltaire.
Minorités ethniques et religieuses
Elles cherchent à imposer dans l’espace public comme dans l’espace privé leurs exigences vestimentaires et leurs interdits alimentaires : refus du porc, abattage hallal pour tous – ce qui suscite la réaction des amis des bêtes et de la France profonde. C’est à Guéret, dans la Creuse, qu’on se mobilise contre la construction d’un abattoir hallal voulu au nom de médiocres intérêts commerciaux, quoique contraire à la loi européenne, aux traditions françaises et à la sécurité sanitaire.
Minorités financières
Elles imposent des réglementations conformes à leurs intérêts mais non à l’intérêt général. Quand les banques, les grandes entreprises et les hyper-riches échappent à l’impôt (tout en bénéficiant des infrastructures techniques, des services publics et des systèmes de protection sociale des Etats), ce sont les classes moyennes qui payent. Ces classes moyennes sont doublement victimes : des excès de l’Etat-providence qu’ils payent mais aussi de la finance-providence qui échappe à l’impôt.
Minorités médiatiques
Moins de 50.000 journalistes, qui informent de moins en moins et qui conditionnent de plus en plus ; qui ne cherchent pas à distinguer l’exact de l’inexact, ni le vrai du faux, mais qui prétendent dire où est le « bien », où le « mal », en louant les « gentils » et en dénonçant les « méchants ». Avec un grand sens de l’à-propos, les personnes manifestant le 28 mars devant France Télévision, protégée par les forces de l’ordre, criaient : « CRS, retourne-toi, la racaille est derrière toi ! » Sans commentaire.
Minorités parlementaires
Moins de 1.000 personnes prétendent avoir le monopole de la fabrication de la loi sans tenir compte du peuple. C’est, certes, la logique de la démocratie représentative mais celle-ci est, hélas, de moins en moins représentative :
- En raison des lois et du calendrier électoral, une partie importante de l’opinion n’est pas représentée ; et les socialistes qui ont, à eux seuls, la majorité de l’Assemblée nationale n’ont recueilli que 16% des électeurs inscrits, lors du premier tour des élections législatives de juin 2012. Un peu court comme majorité pour transformer un homme en femme !
- Le Sénat a voté le projet de loi Taubira à la sauvette. Une loi dont la garde des Sceaux a dit qu’elle portait un « changement de civilisation » mais dont, faute de scrutin public, on ne sait pas individuellement qui l’a votée et qui l’a refusée. Un formidable déni de démocratie voulu par tous les groupes politiques de la majorité comme de l’opposition. Une belle manœuvre qui permet de faire adopter la loi, qui autorise les sénateurs à se faire passer pour « progressistes » auprès des médias parisiens tout en leur permettant individuellement de dire à leurs électeurs d’outre-mer ou des campagnes françaises qu’ils n’ont pas approuvé le « mariage gay ». Belle manœuvre, vraiment, mais qui indigne à juste titre les adversaires de la loi Taubira et tous les démocrates sincères.
- Plus généralement, les hommes politiques les plus en vue représentent de moins en moins leurs électeurs car ce sont des médiagogues, des hommes et des femmes qui cherchent à plaire aux médias plus qu’au peuple, à coups de surenchère politiquement correcte. Telle est la principale cause du discrédit de la démocratie représentative.
Or toutes ces minorités se tiennent et se soutiennent. C’est contre elles que la révolte gronde. Moins d’un an après l’élection de François Hollande la probabilité d’une crise politique majeure est devant nous : la dissolution de l’Assemblée nationale ou la démission du président de la République ne changeraient pas grand-chose. Ce qu’il faut c’est rendre la parole au peuple. Par le référendum d’initiative populaire national et local. A partir de la demande de 500.000 électeurs au plan national et ce sans censure prétendument constitutionnelle. A partir de 7,5% des électeurs au niveau local, sous la seule réserve qu’il s’agisse d’une délibération locale. Bien sûr, ceci devrait s’accompagner d’un rétablissement de la liberté d’expression, de l’arrêt des subventions aux grands lobbys politiquement corrects et du retour au pluralisme des médias.
Le printemps français doit trouver un débouché politique autour de thèmes forts : référendum et démocratie directe ; liberté d’expression et pluralisme des médias ; dénonciation de la dictature des minorités et respect de la majorité populaire. Quant aux manifestants ils ne doivent pas avoir peur de la radicalité car seule la radicalité s’attaque aux racines du mal et propose un ressourcement créateur.
22:22 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La mobilisation pour le dimanche 12 mai (10 h à La Madeleine) s'emplifie...
20:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Racket des automobilistes : la Mégane à percepteur embarqué !
Yves Darchicourt
Les fameuses "Mégane" avec radar mobile nouvelle génération (RMNG) commencent à sévir sur les routes et autoroutes de France. Ont ainsi été repérées en gris métallisé une CG 701 AV qui se promène en Moselle, une CG 866 AV qui flâne en Haute-Garonne, une CG 792 AV qui baguenaude en Pas de Calais et en noir une CG 792 AC qui ratisse dans le Rhône !
Ces petites merveilles de technologie - que l'Etat va évidemment vouloir amortir le plus vite possible - sont de redoutables pompes à phynance pour notre ubuesque gouvernement prêt à faire flèches de tout bois pour récupérer des sous. On le sait bien, la traque hypocrite du contrevenant routier par radar planqué ressort non d'une politique de prévention de la violence routière, mais d'une volonté de traire au maximum les vaches à lait du macadam.
Et pendant que des policiers et des gendarmes servent de supplétifs aux percepteurs, que d'autres sont envoyés gazer les enfants des français qui pensent mal et que d'autres encore sont affectés à la protection rapprochée et permanente du fils de la maîtresse de Pépère, la délinquance suburbaine exotique trafique, extorque, pille, viole et tue en quasi impunité. Le citoyen gaulois automobiliste lui paye impôts, taxes et cotisations obligatoires dites de "solidarité", toutes joyeusetés qui - comme les prix - augmentent sans cesse tandis que stagnent (voire baissent) salaires et retraites; il sait bien que de ce qu'il verse à l'Etat, une notable partie sert à entretenir des allogènes surnuméraires, des oisifs fonctionnarisés, des affairistes douteux et des policiciens véreux et il constate que le gouvernement sait faire preuve d'imagination quand il s'agit de le rançonner sur les routes. Trop c'est trop ! Comme disait l'animateur Zappy Max sur Radio Luxembourg : çà va bouillir !
20:15 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La chienne de garde du Système Fourest accueillie comme il se doit par la population nantaise samedi dernier :
11:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 12 mai, 10 h, Place de la Mademeine : le Renouveau français sera là !
10:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Il ne faut pas céder l’îlot de Tromelin !
François Jourdier
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La Constitution prévoit (article 53) que : « Les traités de paix,[…] ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi. » Et pourtant, sans la vigilance d’un député, un morceau du territoire national aurait été partagé sans débat, un accord conclu en 2010 prévoyant le partage de souveraineté de Tromelin avec l’île Maurice.
Tromelin, c’est un minuscule îlot situé à l’est de Madagascar et au nord de la Réunion : inaccessible par la mer, 1 km2, point culminant
7 m, inhabité sauf par trois employés de la météo qui se relaient tous les deux mois… Pas vraiment le paradis. Il n’y pousse rien, pas d’arbre à cause des cyclones qui ravagent l’île périodiquement. On n’y rencontre que des oiseaux et des tortues qui viennent y pondre.
L’île a été découverte en 1722 par La Diane, navire français de la Compagnie des Indes. Elle porte le nom du chevalier de Tromelin, commandant la frégate La Dauphine qui, en 1776, récupéra sur ce territoire perdu sept femmes et un enfant de huit mois, survivants de 60 esclaves malgaches abandonnés à la suite d’un naufrage. Ils y « vivaient » depuis 15 ans.
Le traité de Paris, en 1814, stipule que la restitution à la France n’exclut que « l’isle de France et ses dépendances nommément Rodrigues et les Séchelles ». La France a toujours considéré que Tromelin lui appartenait sans que ce soit contesté par l’Angleterre. Maurice, depuis 1976, revendique l’îlot, se basant sur la version anglaise du traité de Paris, un peu ambiguë. Remarquons qu’en ces temps bénis, c’était toujours la version française des traités qui faisait foi.
Alors, pourquoi cet intérêt pour cet îlot perdu, sans aucune ressources ? Tromelin génère une zone économique exclusive (ZEE) couvrant environ 280.000 km2 dans des eaux très poissonneuses. Le 7 juin 2010, la France et Maurice signent à Port-Louis un accord de cogestion de l’îlot. L’accord prévoit, surtout, de partager la ZEE attachée à l’île, pour la pêche au thon.
Cet accord, qui avait échappé à la vigilance du Sénat qui l’avait ratifié sans débat, n’a pas échappé à Philippe Folliot, député du Tarn. Il s’est indigné devant ce bradage du territoire national. Il fallait que le Parlement en débatte et qu’une loi soit votée. Victoire pour M. Folliot : le texte a été reprogrammé en procédure régulière.
Oui, mais l’affaire ne se limite pas à Tromelin : l’îlot fait partie des « îles Éparses » regroupant cinq îlots appartenant à la France. Les quatre autres, Glorieuses, Juan de Nova, Europa et Bassas da India – ce dernier ne découvrant qu’à marée basse -, se trouvent dans le canal du Mozambique entre Madagascar et l’Afrique. Ils génèrent aussi une ZEE énorme, couvrant à peu près la moitié du canal du Mozambique, zone très poissonneuse et où l’on parle de pétrole. Ces îlots sont, eux, revendiqués pas Madagascar et, depuis 1973, la France maintient, sur chacun, un groupe de 14 militaires et un gendarme pour affirmer sa souveraineté.
Céder à Maurice pour Tromelin relancerait les revendications de Madagascar sur les autres îles Éparses. Ajoutons Clipperton, dans le Pacifique, revendiqué par le Mexique.
Il ne faut pas céder sur Tromelin.
09:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TOUS A LILLE, DIMANCHE 28 AVRIL (11 h - 18 h) : 1ère Journée régionale de Synthèse nationale...
09:44 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 14 avril 2013
Lyon, ce dimanche soir : plusieurs milliers de personnes se rassemblent Place Bellecourt...
Ce soir à Lyon
Partout en France ce dimanche des manifestations ont rassemblé des dizaines de milliers d'opposants au régime.
Le Printemps français est en marche...
Lire les comptes-rendus sur le Salon beige cliquez ici
23:04 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi à Amiens : Thomas Joly avait organisé une journée d'information sur les nuisances de la franc-maçonnerie en Picardie...
RAPPEL : Thomas Joly donnera une conférence jeudi soir à Paris au Local
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Manif à Caen hier contre la Loi Taubira et contre le gouvernement...
Source Parti de la France Calvados cliquez là
Aujourd'hui, des dizaines d'opposants au "mariage" pour tous se sont réunies à 19h à la préfecture du Calvados à Caen, d'où a ensuite été décidée la marche sur la mairie après un passage devant le nouveau tribunal. Devant l'hotel de ville, des agents de police casqués empêchaient la foule de prendre la mairie d'assaut. Le rendez-vous a été donné demain, comme chaque soir, à 19h devant la préfecture, "jusqu'aux municipales s'il le faut".
12:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chaud, chaud, chaud, le printemps sera chaud !
Gabrielle Cluzel
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Vous avez remarqué, comme actuellement les socialistes font assaut de pauvreté ? C’est à qui étalera mieux la misère. À les écouter, ils ont pris un emprunt sur 30 ans pour acheter leur brosse à dent électrique… Pour un peu, on retournerait nos poches pour leur filer deux balles et un ticket restaurant, histoire qu’ils puissent rester propres et dignes, scuzez-moi messieurs dames de vous déranger !
Mais je confirme, ils ne sont pas riches. Question neurones, notamment, ils sont irréprochables. On ne risque pas d’ouvrir un compte en Suisse avec leur matière grise, l’Impôt sur les Grandes Intelligences, ce n’est pas pour demain : les regarder gérer cette affaire de la Manif pour tous vaut le détour.
À son arrivée au conseil national du PS, Jean-Marc Ayrault, évoquant la manifestation qui a suivi le vote au Sénat vendredi et les incidents avec les forces de l’ordre qui l’ont émaillée, a déclaré sentencieusement que l’opposition était « otage de ses forces les plus réactionnaires ». Il a appelé « du fond du cœur » (sic) les responsables de l’UMP à ne pas se laisser « entraîner, comme ils le font, dans la voie de la radicalisation qui serait dangereuse pour la République ». Des responsables qui se laisseraient « diriger par une Mme Barjot » et par une « Mme Boutin » qui « profère les pires menaces sur la démocratie et la République ». Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a quant à lui parlé de « groupes fanatisés, de groupes fascisants, devant être fermement condamnés ». Il faut se rendre à l’évidence, hein ? Ils n’ont décidément rien compris.
Inutile, chers messieurs, de placer vos espoirs dans un « sursaut » de l’UMP. Pour la simple raison que, nonobstant la participation active de certains de ses membres, il ne dirige en rien l’affaire. Consigne de vote en la matière n’a d’ailleurs jamais été donnée à ses parlementaires. Ce que vous avez face à vous n’est pas un parti, avec lequel vous pourriez trouver à la rigueur un petit arrangement entre amis, mais la rue, rien que la rue.
Dans le genre « pires menaces sur la démocratie et la République », Boutin et Barjot, c’était vraiment une trouvaille. On a super peur, la France frémit. Presque aussi convaincant que les « groupes fascisants ». Harlem Désir, voyez-vous, c’est la Julie Pietri de la politique : il a fait un tube il y a trente ans et, depuis, il rechante toujours son vieux truc. Sauf que Ève lève-toi, c’est sympa dans les karaokés, alors que lui avec ses groupes fascisants, il gonfle tout le monde. Trouve autre chose, bon sang, sinon tes copains vont finir par te coller dans une maison de retraite !
Oui, la tension monte. Oui, la radicalisation serait dangereuse. Oui, il y a des groupes fanatisés. Mais pas là où ils disent. Parce qu’alors qu’on entend urbi et orbi je ne sais quel député se plaindre d’avoir été réveillé par des livreurs de croissants en sweat-shirt rose dès potron-minet, qui s’inquiète des menaces que subissent les enfants de Frigide Barjot ? Qui s’inquiète de ces messages de joie qui circulent sur tweeter à la suite de l’agression à l’arme blanche du jeune étudiant Samuel Lafont, bien connu pour son engagement dans la Manif pour tous ? (Samuel Lafont avait d’ailleurs été menacé, même si, pour le moment, aucun lien n’a pu être établi entre ces menaces et son agression).
Oui, il y a des responsables. Ceux qui tentent obstinément, sourdement, sournoisement, de faire passer leur loi à la sauvette, par une petite porte dérobée, ni vu ni connu, comme Ayrault a quitté ce conseil national du PS pour échapper aux salariés de PSA Aulnay venus exprimer leur colère.
Et à Matignon, est-ce qu’il y a aussi des petites portes dérobées ? La semaine prochaine risque d’être un peu chaude…
09:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mauvaise journée samedi pour les domestiques du Système : la plumitive Fourest bloquée à Nantes et attendue à Montparnasse
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samedi, 13 avril 2013
Dimanche, à Lyon :
12:30 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hollande trouvera-t-il son salut dans une dissolution de l'Assemblée nationale ?
Source Altermedia
12:24 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mariage gay : l’indignité des sénateurs !
Gabrielle Cluzel
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Cette fois, c’est fait. Le Sénat a adopté le projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe. Et il faut voir comment. Oui, il faut que ceux qui ne l’ont pas vu en direct aillent contempler, sur le Net, le spectacle de ces deux minutes ubuesques, ces deux minutes invraisemblables entre précipitation et désinvolture, au cours desquelles s’est joué, vendredi matin, le sort de la loi dite « du mariage pour tous ».
L’hémicycle est quasi vide. Il est vrai, hein, que le sujet n’intéresse globalement pas grand-monde. Trois manifestations successives, un million et demi de personnes dans la rue, 700.000 pétitionnaires, des enfants, des adolescents, des vieillards gazés par des forces de l’ordre dépassées pèsent pour peanuts à côté de la perspective d’un beau week-end printanier. On attendait le soleil depuis tellement longtemps et il faut partir vite si l’on veut éviter les embouteillages…
Quant à ceux qui ont fait l’effort surhumain de venir, ils sont visiblement pressés comme des lavements : allez hop, fissa, on ne perd pas de temps ; et comme la question est, c’est sûr, assez secondaire, on va éviter de se casser la tête : votons donc à main levée, à la bonne franquette, comme à Nanterre dans le grand amphi pour reconduire une énième grève étudiante. L’avantage est que cela ne laisse pas de traces. Même une élection des délégués en CM2 revêt plus de solennité.
Pas plus de vingt secondes, j’ai chronométré : « Ceux qui sont favorables lèvent la main ? Merci. Ceux qui sont contre ? Merci. Abstention ? Merci. Mes chers amis, le Sénat a adopté le projet de loi ouvrant le mariage aux couples de même sexe. » Applaudissements. Baissez le rideau.
Moi, je vous le dis, Jean-Pierre Bel, le président socialiste du Sénat qui menait l’affaire, a des superpouvoirs. Il est né, c’est sûr, des amours adultères de Super Jaimie et de Forrest Gump : comment, sinon, pourrait-il dans un laps de temps aussi court faire un décompte exact des mains en l’air qui se cachent les unes les autres dans les rangs ? À moins qu’il ait eu naguère le même instit’ que le préfet de police de Paris : invente toi-même le résultat de ton addition.
Dans la tête de Christine Taubira, d’ailleurs, les choses n’ont pas l’air très claires : dans un premier communiqué de presse, elle salue le vote qui a permis au Sénat d’adopter en première lecture, « à une très large majorité ». Quinze minutes, plus tard, arrive un autre communiqué, un communiqué rectificatif identique au précédent à un détail près : la « très large majorité » a disparu. Le flou artistique, c’est quand même plus prudent. Pas moyen, en somme, de savoir qui a voté quoi entre socialistes impatients d’en finir et UMP défaillants. Et cela arrange tout le monde.
Pas grand-chose sous le soleil, dites-vous. Un vote prévisible à l’image de toute la vie politique française : bâclé, foutoir, confus, inique. Une majorité (théorique) méprisante et une opposition parlementaire qui, trop souvent, ne brille pas par le courage…
Mais combien de coups les opposants de la rue seront-ils encore capables d’encaisser sans (trop) broncher ? Car à peine ce vote-mascarade expédié, un nouveau camouflet se profile : le texte repassera devant l’Assemblée dès mercredi, et non plus fin mai comme prévu. Le gouvernement veut en finir et fonce dans le tas. Et en pensant éteindre le feu, va souffler sur les braises. Plus que jamais.
Un analyste politique affirmait doctement il y a quelques jours que le gouvernement n’avait pas d’autre choix que de composer avec les opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, d’écouter a minima leurs revendications. Pour des raisons psychologiques simples. L’intransigeance absolue pousse au désespoir, et le désespoir à la radicalisation. La pire des stratégies politiques, la plus explosive, expliquait-il.
Mais si l’intransigeance d’un gouvernement face à quelques milliers de Français est explosive, que dire de celle, insultante, humiliante, que l’on oppose à plus d’un million et demi d’entre eux ?
10:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 12 avril 2013
Jeudi soir, Thomas Joly, secrétaire général du PdF, au Local...
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Du mensonge à la démission, la descente aux enfers du grand rabbin
Les scandales ont eu raison du grand rabbin de France. Gilles Bernheim a annoncé sa démission au Consistoire central israélite, jeudi 11 avril. Il avait avoué plusieurs plagiats, la semaine précédente, et reconnu mardi sur Radio Shalom qu'il n'était pas agrégé de philosophie. Dans l'attente d'une nouvelle élection, l'intérim est assuré par le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim, et par le directeur du Séminaire israélite de France, le rabbin Olivier Kaufmann. Francetv info revient sur les révélations qui ont poussé le responsable religieux vers la sortie.
Acte 1 : l'affaire des plagiats
La tourmente, pour Gilles Bernheim, débute le 2 avril. Ce jour-là, l'Express publie un article dans lequel il accuse le grand rabbin de France d'avoir plagié le philosophe Jean-François Lyotard dans son dernier livre Quarante méditations juives (Stock). L'hebdomadaire s'est en fait appuyé sur les révélations du blog Strass de la philosophie, qui a mis en lumière des ressemblances troublantes entre les deux œuvres. Après avoir nié en bloc et insinué que c'est Jean-François Lyotard qui l'avait en fait copié, le responsable religieux avoue finalement les faits le 4 avril.
Acte 2 : le scandale de l'agrégation
Mais deux jours après les aveux de Gilles Bernheim, L'Express renchérit : le magazine indique que le grand rabbin n'a jamais été agrégé de philosophie, contrairement à ce qu'il prétend. Une version confirmée par les recherches de l'AFP dans 28 annuaires de la Société des agrégés d'université allant de 1972 à 2000 : le nom de Gilles Bernheim n'apparaît sur aucune liste des lauréats des concours d'agrégation de philosophie. Interrogé par l'agence vendredi, le porte-parole de Gilles Bernheim, le rabbin Moché Lewin, déclare que le grand rabbin, très affecté par ces attaques, ne souhaite pas s'exprimer.
Acte 3 : Bernheim poussé vers la sortie
Après une semaine de silence, Gilles Bernheim s'explique finalement, lundi soir, sur Radio Shalom. Le grand rabbin de France reconnaît quatre autres "emprunts" et avoue ne pas être détenteur d'une agrégation de philosophie. "Le fait, non pas de proclamer partout, mais de laisser dire qu'on est agrégé permet de mettre un pansement sur une blessure qui est très forte et de vivre longtemps après", se justifie-t-il, évoquant un "événement tragique" au moment du concours. Il exclut aussi toute démission, comparable selon lui à une "désertion".
Mais la pression, notamment du ministre de l'Intérieur, qui lui a conseillé de réfléchir à son avenir, a finalement amené Gilles Bernheim à quitter ses fonctions. Il a remis jeudi sa démission devant le Consistoire central israélite. Une décision "courageuse" saluée par le président et les membres du conseil du Consistoire dans un communiqué.
Source France TV info cliquez ici via Terre et peuple Poitiers cliquez là
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Des Roms font fermer le Louvre !
Denis Cheyrouze
Boulevard Voltaire cliquez ici
Aujourd’hui, dans l’indifférence la plus totale, l’un des derniers atouts de la France dans le monde a été fermé. Aujourd’hui, suite à un mouvement de grève du personnel, exaspéré, le musée du Louvre a dû rester portes closes.Aujourd’hui, pour la première fois de ma vie, je me sens solidaire du syndicat SUD qui, s’il ne dit pas le nom du problème, ose quand même lever un voile et crie « ça suffit ! »
Au Louvre — dont l’entrée est gratuite pour les mineurs et pour les jeunes de 18 à 25 ans résidant dans l’un des pays de l’Espace économique européen (dont la Roumanie, donc…) — les pickpockets font rage. Et c’est devenu une telle plaie que les personnels indiquent venir travailler « la peur au ventre ». Et puisque les contrevenants sont mineurs, ils sont relâchés et remis dans la nature (et de retour au Louvre) le lendemain de leur(s) arrestation(s)…Que ce soit bien clair : fermer le Louvre n’est pas la solution. Ce n’est pas une solution acceptable par le peuple de France.
Notre pays se retrouve entre le marteau de l’invasion barbare et l’enclume de l’internationalisme béat. Or, je ne connais qu’une solution lorsque la pression devient trop importante de l’extérieur et que l’intérieur n’est fait que de trahisons et de lâchetés : l’explosion. Seule l’explosion citoyenne, populaire, garantit une redistribution complète des cartes. Seule l’explosion permettra de mettre à bas pour des décennies ces générations de collabos qui tiennent la France depuis 40 ans.
Deux France se haïssent : la collaborationniste internationaliste anti-souverainiste, celle de Hollande qui disait que le rôle de la France n’est « pas de protéger uniquement ses citoyens »… et la France éternelle, le pays réel, celui qui travaille et paie ses impôts qui sont ensuite dilapidés pour l’autre France, au bénéfice de nos ennemis les plus féroces.
Il ne faut pas se tromper, l’ennemi n’est pas le pickpocket venu de Craiova en Roumanie. L’ennemi — mortel — est celui, bien français, probablement même major de l’ENA, qui, détenant les clefs, ouvre grand les portes. C’est cet ennemi-là dont il faut se défaire. Et sans attendre.Mais que le pickpocket de Craiova sache aussi que s’il ose approcher la main de ma poche, je ne me laisserai pas faire…
Au Louvre, comme à Bordeaux, c’est à nous de nous protéger, puisque l’État y a failli. Aux armes, citoyens !
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Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
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jeudi, 11 avril 2013
ACTUALISE : une "première" mardi soir à Paris : à l'initiative de Synthèse nationale, un dialogue constructif s'engage entre des nationalistes et des syndicalistes...
L'intervention de Gérard Orget,
Président du CID UNATI Ile-de-France
L'intervention de Serge Ayoub,
Porte-parole de 3e Voie
Mardi soir se déroulait dans le salon archibondé d’un grand hôtel du quartier de l’Opéra à Paris une véritable « première ». En effet, à l’invitation de Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, une conférence réunissait à la fois un représentant du principal syndicat national des commerçants et artisans, le CIDUNATI*, en l’occurrence M. Gérard Orget, Président francilien de cette organisation, le porte-parole du mouvement solidariste 3e Voie, M. Serge Ayoub, ainsi que M. Pieter Kerstens, chef d’entreprise venu de Bruxelles, ancien dirigeant d’une société multinationale.
Les petites et moyennes entreprises représentent de loin le principal employeur en France. Les négliger, voir les condamner, relève d’une démarche idéologique bien précise orchestrée par les financiers apatrides qui dirigent le monde et qui veulent détruire à tout prix tout ce qui va à l’encontre de leurs profits immédiats.
Cette conférence sera prochainement en ligne sur le site Synthèse nationale. Chacun exprima son point de vue et tous tombèrent d’accord pour affirmer que seule l’entente des différents facteurs qui composent une entreprise est aujourd’hui susceptible de sauver, dans le contexte actuel, notre économie nationale. Cette entente entre les employés et la direction, sur des bases saines respectant les positions de chacun ne pouvant être régulée que par un Etat fort. Un Etat qui mettrait l’intérêt national au-dessus de tout.
Pour cela, il convient de rompre immédiatement avec le libéralisme fou, et aussi avec son alter égo marxiste, qui accentuent de jour en jour la paupérisation des classes moyennes. Nous nous retrouvons actuellement dans une situation telle que l’hyper-classe ultra protégée (env. 10% de la population) s’enrichie de manière effrénée pendant que la masse des assistés (env. 20% de la population), souvent issus de l’immigration, ne cesse de croître. Plus de 200 00 immigrés entrent en France chaque année alors que l’on compte près d’un millier de chômeurs supplémentaires par jour. Il est clair que cette situation ne pourra pas perdurer 107 ans.
Pour remédier à cette situation dramatique les orateurs, après avoir exprimés leurs propositions respectives, se retrouvèrent sur une évidence : les réformes ne servent plus à rien. Seule une révolution nationale, sociale et populaire, unissant toutes les catégories socio-professionnelles en un seul combat, pourra remettre la France, tout comme l’ensemble des pays européens, debout.
Le Système actuel ne doit pas seulement être combattu, il doit être abattu. Le temps presse, assez de bavardages, il est temps de s'organiser. Si aujourd'hui une véritable offensive de la part des nationaux et des nationalistes est mise en place afin de prendre le contrôle des syndicats squattés par les socialo-marxistes, la perspective d'une grève générale visant à mettre à bas ce gouvernement composé de nantis et d'incapables serait envisageable. Demain, il sera sans doute trop tard...
A la fin de la réunion, Roland Hélie a appelé les Français à venir massivement le dimanche 12 mai prochain (10 h 00, Place de La Madeleine à Paris) à la grande manifestation nationaliste et populaire contre le mondialisme.
* Rappelons que le CIDUNATI, fondé par Gérard Nicoud au début des années 70, est aujourd’hui le syndicat des commerçants et artisans majoritaire en Ile-de-France.
21:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LILLE, DIMANCHE 28 AVRIL :
21:54 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jérôme Stavisky, le menteur errant...
La chronique
de Philippe Randa
Le Français le plus célèbre de ces derniers jours, Jérôme Cahuzac, est désormais le « menteur errant » le plus recherché des médias. En attendant que la Justice ne le rattrape… si tant est qu’elle y parvienne au-delà d’une simple mise en examen pour blanchiment de fraude fiscale.
Ainsi donc, l’ex-ministre du Budget joue à cache-cache avec les fins limiers de l’Information. Obligé de changer de « planques » tous les deux jours, voire même de passer la nuit sinon à la Belle Étoile, du moins dans son automobile, faute d’autre refuge.
Finalement, sa décision de retrouver peut-être – le suspense est insoutenable – son siège à l’Assemblée nationale comme le droit politique à défaut de la moralité publique, l’y autorise, pourrait s’avérer pour lui le repaire idéal pour contrer les fâcheux. Combien d’élus de la République pourraient-ils lui reprocher ses indélicatesses sans qu’il éclate de rire :
— Ah non, pas toi !… Pas vous !
Certains de ses proches le disaient abattu. Il n’est finalement, et pour le moment, qu’un sans domicile fixe, victime de la pression, comme il dit… telle la première star du showbiz ou du sport venue.
Tous ceux qui furent écœurés, moins par la révélation de la canaille qu’il est, que par son minable aveu dès la première audition – imagine-t-on un Bernard Tapie ou un Charles Pasqua se déballonner de la sorte au premier froncement de sourcils d’un Juge ? – doivent reconnaître que la Bête est loin d’être morte et qu’elle a repris, outre son arrogance naturelle qui ne l’a guère quitté, toute sa combativité.
Combativité exercée désormais non pour arrondir son magot ou nier ses fraudes, mais pour tenir le crachoir aux plus hautes instances politiques du pays.
Car qui pourrait douter que ses déclarations publiées ce jour dans La Dépêche du Midi sur son retour à l’Assemblée nationale (« C’est trop tôt, je n’ai pas encore pris ma décision »), sur son avenir (« Je n’imagine rien ») ou sur ses possibilités (« Je possède quand même quelques amis fidèles » – entendre par là sans doute quelques informations précieuses, quelques dossiers explosifs, quelques cacahuètes pour les singes des médias) ne sont que d’agressifs appels à l’aide, sinon à la complicité, lourds de chantage, de tous ceux qui seraient ses pairs en prévarications ? Au Parti socialiste, certes, mais pas seulement…
Jérôme Cahuzac a tout de même été Ministre du Budget plusieurs mois. Ça laisse le temps de découvrir, photocopier et archiver quelques provisions pour ne pas se trouver « fort dépourvu » au cas où la « bise viendrait », ce qui lui permettrait de crier « À l’aide ! » en priant quelques copains-coquins de lui prêter assistance pour subsister dans un monde de brutes médiatiques et d’hypocrites fiscaux.
Pure délire ? Oui, c’est sans doute ce qu’on a pu penser aussi des soucis qu’ont eus en leur temps deux autres ex-ministres cités précédemment… Aujourd’hui, le premier a retrouvé ses millions, le deuxième était encore sénateur voilà moins de deux ans, bien que « mis en cause dans plusieurs affaires politico-financières depuis les années 2000. (Charles Pasqua) a été relaxé dans six d’entre elles et condamné à de la prison avec sursis deux fois. »
À moins, évidemment, qu’on ne retrouve Jérôme Cahuzac « suicidé d’un coup de revolver qui lui serait tiré à bout portant. »(1)
Philippe Henriot, un des grands orateurs politiques du XXe siècle, député, puis secrétaire d’État à l’Information et à la Propagande pendant la guerre, avait écrit quelques lignes qu’il est sans doute bon de rappeler en cette époque fâcheusement semblable à 1934, année de l’Affaire Stavisky qui faillit emporter le régime parlementaire d’alors : « Ah ! qu’il faudrait presque bénir les scandales s’ils avaient servi à nous révéler enfin l’immensité de la tâche et la gravité de nos responsabilités !
Il ne suffit pas d’écrire en tête d’un programme : Autorité. Il faut se souvenir que l’autorité se mérite et que, si, elle s’est perdue chez nous, c’est que ceux-là même qui la détenaient l’ont avilie ; il faut se souvenir qu’il est vain de prétendre l’imposer si l’on n’est pas digne de la faire accepter ; il faut enfin ne pas oublier qu’elle s’éteint faute d’être exercée et que la révolte de ceux qui devraient obéir est souvent la conséquence directe de l’abdication de ceux qui n’ont pas osé commander. »(2)
Notes
1) Allusion au suicide d’Alexandre Stravisky en 1934… Le Canard enchaîné de l’époque titra « Stavisky se suicide d’un coup de revolver qui lui a été tiré à bout portant » ou encore « Stavisky s’est suicidé d’une balle tirée à 3 mètres. Voilà ce que c’est que d’avoir le bras long »..
(2) Les Émeutes du 6 février 1934 et la mort de la Trève (À bas les voleurs !), de Philippe Henriot, présentation de Jean Mabire, éditions Déterna, 2013 (réédition en un seul volume des deux livres Le 6 février et Mort de la trêve)… en vente sur www.francephi.com (http://francephi.com/boutique/les-emeutes-du-6-fevrier-1934-et-la-mort-de-la-treve/
20:51 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : Assez de querelles !
Par Marc Noé*
C’était trop beau ! Cela marchait trop bien ! Frigide Barjot cherche-t-elle maintenant à diviser les opposants au mariage gay ? En vertu de quoi s’arroge-t-elle aujourd’hui le droit de dire qui sont « les gentils » et qui sont « les méchants » dans ceux qui s’opposent à la dénaturation du mariage ?
La mégalomanie est-elle en train de monter à la tête de celle qui, à une époque, travaillait à la communication du RPR et participait à la rédaction des discours de Pasqua ? Alors, pour qui Frigide Barjot -alias Virginie Tellenne, née Virginie Merle- roule-t-elle réellement ? Après plusieurs de ses déclarations, il est effectivement permis de se poser la question.
Elle vient encore d’appeler à une nouvelle manifestation le 26 mai mais, cette fois-ci, en excluant le « Printemps français ». Ce mouvement est à l'origine d'actions médiatiques ces derniers jours comme, par exemple, porter le petit déjeuner à certains élus (voir l’article du 05/04/2013). Il a pour porte-parole Béatrice Bourges (NDLR SN - en médaillon), par ailleurs présidente du Collectif contre le mariage et l’adoption homo qui regroupe 79 associations. Ce qui n’est tout de même pas négligeable… (voir les vidéos en fin d’article - cliquez là).
Déjà, lors de la manifestation du 24 mars à Paris, de nombreux participants avaient été surpris par certains propos de Frigide Barjot, notamment lorsqu’elle évoquait « des fachos qui n’ont rien à voir avec nous » en parlant des personnes dont beaucoup venaient d’être « gazées » par les forces de l’ordre : des Familles, des personnes âgées, des enfants, des élus… et pas nécessairement encartés dans des formations politiques. Beaucoup également n’avaient pas du tout apprécié que, parmi les élus invités à prendre le micro sur la tribune, toutes les tendances politiques soient représentées, de l’UMP à l’extrême gauche en passant par des socialistes, mais pas le Front National –ni les mouvements nationaux/nationalistes- dont les élus étaient pourtant en nombre devant l’estrade.
Récemment encore, comme on lui demandait si le mouvement le « Printemps français » participerait à cette manifestation du 26 mai, Frigide Barjot a répondu: « Certainement pas ! Ils n'ont rien à voir avec nous. Le Printemps français n'existe pas. Nous allons les poursuivre pour vol de pancartes, vol d'affiches, vol de slogan, actes illégitimes et illégaux. Nous ne voulons pas de violence. Nous dénonçons cette violence et les exactions, nous n'avons rien à voir avec les intégristes, ni avec les extrémistes ».
En d’autres termes, pour elle, aller cueillir des élus et leur porter le petit déjeuner à domicile équivaut donc à une « action violente commise par des intégristes et des extrémistes » !... Il est vrai que, pour d’autres commentateurs, le fait que « Printemps français » ait collé des affiches à l’entrée d’une réunion LGBT est déjà qualifié de « saccage de la façade ». Là, on est carrément dans le propos mensonger et la déformation de la réalité. Ça promet.
Finalement, on distingue deux tendances néanmoins complémentaires au sein des opposants au « mariage pour tous » : la tendance Bisounours de Frigide Barjot d’une part et la tendance réaliste avec Béatrice Bourges et le Printemps français d’autre part. D’ailleurs, les médias ne s’y sont pas trompés : pour eux, « les gentils » sont les Bisounours, et « les méchants », les autres… Forcément !
Il serait quand même dommage que la dynamique de mobilisation soit cassée à cause des déclarations immodérées de Frigide Barjot. Les querelles, ça suffit !
* Marc Noé, ancien conseiller général et maire (RPR) de Seine-et-Marne, est directeur du site Le Gaulois cliquez ici
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mercredi, 10 avril 2013
Pour le dimanche 12 mai : ils ont dores et déjà répondu PRESENT !
23:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante...
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3088 du 5 avril 2013
C’EST une horreur absolue. Ma Christine (Boutin), dont je n’avais plus de nouvelles depuis quelques temps, et qui me faisait sans doute la tête, suite à mes articles dans RIVAROL, a été gazée. Pas à Auschwitz, pas à Buchenwald, non, à Paris, près des Champs-Elysées.
HORREUR ! MA CHRISTINE A ÉTÉ GAZÉE !
Lorsque les forces de l’ordre ont employé des gaz lacrymogènes pour empêcher les manifestants d’accéder aux Champs-Elysées, elle a été victime d’un malaise... Une photo émouvante la montre, gisant à terre. N’écoutant que son courage, elle était en première ligne, lors de la manifestation contre le mariage pour tous, le dimanche des Rameaux. Du coup, elle demande désormais la démission du ministre de l’Intérieur : Elle déclare : « La façon dont la police a traité les manifestants est inacceptable. C’étaient des gens calmes. » D’autres élus de l’UMP, dont Hervé Mariton, mais aussi des enfants et même des bébés, ont été gazés. Et puis, et puis, il y a surtout ma Christine, qui a réussi à survivre, mais qui sans doute en gardera de multiples séquelles, ce qui ne l’arrangera pas. CRS, SS ! Bon, ce n’est pas très sympa de ma part de me moquer d’elle. Elle annonce, convertie à la nécessaire Révolution, que « ça va péter » et que la prochaine fois, même moins nombreux, les manifestants seront là, sans poussettes, sans bébés, afin de mieux résister à la répression du système… Acceptons-en l’augure. En attendant, la Toile se déchaîne avec de multiples parodies amusantes de la scène d’évanouissement de Christine. Mais elle le prend avec humour. Elle est finalement sympa, ma Christine !
FRIGIDE BARJOT EST DÉCIDÉMENT BARJOT
Frigide Barjot n’a rien trouvé de mieux, concernant les incidents en marge de la manif anti-mariage pour tous, où des enfants, des bébés furent gazés par les policiers, que de déclarer que les familles gazées « ont pris la responsabilité d’aller sur une allée interdite ». Cette grande révolutionnaire dénonce devant les caméras du système les skinheads infiltrés dans la manif, et planqués dans les landaus. Elle déclara : « Arrêtons avec les violences, c’est un épiphénomène avec des excités ! » Les “excités” qui défendaient simplement leur droit à s’exprimer ont apprécié. Béatrice Bourges, présidente du « collectif pour l’enfant » regroupant 79 associations familiales, vient de déclarer fort justement : « En se désolidarisant de ces familles qui ont reçu des gaz lacrymogènes, elle a lâché ses troupes. Elle oublie que sans toutes ces associations, Frigide Barjot n’est plus personne. » Les lecteurs de RIVAROL qui ont suivi la manifestation sur BFM TV ont pu apprécier le discours final de la Barjot, appelant à la dispersion. En fait de discours, elle entonna un chant des plus improbables, dont les paroles étaient parfaitement incompréhensibles,
tant elles étaient bafouillées.
UNE HISTOIRE : CELLE DE LA GRENOUILLE
C’est Olivier Clerc, écrivain et philosophe, qui nous raconte ce petit conte, qui a déjà circulé sur Internet, dont le titre est « La grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite ». Un conte digne de Gripari, écrivain évoqué dans la rubrique des « écrivains rebelles ». Une marmite remplie d’eau froide. Une grenouille y nage tranquillement. Le feu est allumé sous la marmite. L’eau chauffe doucement. C’est agréable pour la grenouille. L’eau est tiède : le bonheur. La température continue à monter. Cela n’est pas trop agréable, mais ça va. Houlà, là l’eau devient vraiment chaude ! Cela devient carrément désagréable. La grenouille se sent complètement abrutie et affaiblie. Elle ne bouge plus. Elle va finir par cuire et par mourir. Si la même grenouille avait été plongée directement dans une eau à 50 degrés, elle aurait donné immédiatement le coup de patte qui l’aurait éjecté aussitôt de la marmite. La morale de cette histoire est limpide. Rappelons- nous ce que disait Saint Augustin : « A force de tout voir, on finit par tout supporter. A force de tout supporter, on finit par tout tolérer. A force de tout tolérer, on finit par tout accepter ; A force de tout accepter, on finit par tout approuver… » Et c’est ainsi que notre civilisation est mortelle
LE POISSON D’AVRIL DE CARAMBAR
La plupart des lecteurs de RIVAROL ont été un jour des enfants et connaissent les friandises Carambar. Chaque friandise proposait une blague, qui certes ne volait pas très haut, mais était appréciée des gamins. Or voici que Carambar vient de diffuser un dossier de presse annonçant la fin des mythiques histoires drôles sur l’emballage, supposées être remplacées « à partir du 15 avril par des exercices ludo-éducatifs ». Emoi des journalistes qui ont, à un moment ou un autre, été des enfants, et qui n’avaient sans doute pas d’information plus essentielle à diffuser. Le buzz a été considérable. Toutes les télévisions, les radios, les journaux en ont parlé. Des milliers de fans ont manifesté leur tristesse à coups de pages de protestation sur Facebook et de pétitions sur la toile. Une formidable campagne de pub pour cette PME de 180 salariés. Sauf qu’il s’agissait d’un poisson d’avril élaboré par le service marketing de l’entreprise. Les journalistes victimes du canular, qui adorent se moquer du monde et truquer leurs informations, rient jaune, très jaune, et même, en réalité, ne rient absolument pas. Enfin une blague Carambar drôle !
MÉLENCHON DÉTESTE LES “BLONDS AUX YEUX BLEUS”
Interviewé par une télévision marocaine, il raconte qu’il a vécu ses premières onze années à Tanger, avant de venir s’installer, avec ses parents, en France. Il explique : « Je ne supporte plus de vivre autrement que dans un endroit où les gens sont mélangés. Je ne peux pas survivre là où il n’y a que des blonds aux yeux bleus. C’est au-delà de mes forces. Quand on est arrivés en France, c’était l’horreur pour nous. On a découvert un coin perdu de Normandie, le pays de Caux, où, hélas pour eux, les gens souffraient d’un alcoolisme épouvantable. La France des campagnes était extraordinairement arriérée par rapport au Maroc des villes. Casablanca était une ville plus moderne que Clermont-Ferrand ». Mais pourquoi n’est-il pas resté au Maroc ?
MÉLENCHON DÉTESTE-T-IL AUSSI LES JUIFS ?
Mélenchon, qui est un grand sentimental, vient de déclarer avec humanisme, à propos de Moscovici, le ministre PS de l’économie qui est d’origine juive roumaine : « Il a le comportement de quelqu’un qui ne pense pas français mais qui pense finance internationale. » Mais c’est du Drumont ! Harlem Désir a cru entendre un « vocabulaire des années 1930 ». Emoi considérable.
Mais Mélenchon se défend, déclarant : « La finance internationale a fait son cahier de brouillon en Grèce, elle en fait un deuxième à Chypre, c’est nous les suivants ! » Et Mélenchon de poursuivre : « Et dire cela serait de l’antisémitisme ! Plus aucune discussion n’est possible dans ces conditions ! » Incroyable, nous ne le savions pas… Son bras droit, François Delapierre, a quant à lui expliqué dans son discours de Bordeaux, où sa formation tenait congrès : « Dans les 17 salopards de l’Eurogroupe, il y a un Français : Pierre Moscovici ». En attendant, ce dernier a répliqué vigoureusement : « Non, je ne suis pas un salopard ». Nous voici rassurés.
L’HUMOUR DE BALKANY
Patrick Balkany, le député-maire de Levallois-Perret, qui est le clone de Chirac (même voix, mêmes intonations, et qui eut quelques soucis avec la justice, comme l’ex-président, pour, certes, une broutille : deux ans d’inéligibilité et quinze mois de prison avec sursis), est un personnage assez amusant, dans son genre. Il était récemment face à l’avocat Antoine Gillot, invité de l’émission « Bourdin and co » sur RMC. Il y jugeait “scandaleuse” et « pas dénuée d’arrière-pensées politiques » la mise en examen de Nicolas Sarkozy. L’avocat de l’ex-majordome de la famille Bettencourt s’en était offusqué, déclarant : « Vous avez tout à fait le droit de défendre un copain, mais je trouve inacceptables vos déclarations sur la justice de notre pays. » Réponse de Balkany, dans le brouhaha de la fin de l’émission : « Je vous emmerde ! » Bourdin, l’animateur de l’émission, se réveille d’un long sommeil : « Qui a dit “je vous emmerde” ? » Ce sournois de Balkany répond d’une petite voix : « Ah, pas moi ! J’ai dit “je vous remercie” ». Il faut reconnaître que Patrick Balkany est assez surprenant. Il s’en était pris à Roselyne Bachelot, ancienne ministre et aujourd’hui animatrice, aux côtés de Laurence Ferrari et d’Audrey Pulvar, du « Grand 8 » sur la chaîne D8, déclarant : « Elle n’est pas mise en avantage dans ses robes où elle est boudinée sur son petit banc où on voit toutes ses formes. » Une terrible humiliation pour l’ancienne ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale. Elle avait pourtant fait l’effort de perdre une vingtaine de kilos, l’an dernier. Ça ne suffit pas à ce sadique. Il ose commenter le niveau intellectuel de l’émission : « C’est du babillage, du babillage de petites snobinardes, ça n’a aucun intérêt ». Balkany n’a, certes, pas tort… Mais Bachelot est folle de rage, on se demande pourquoi. Elle dénonce « la vulgarité de Patrick Balkany. C’est le beauf dans toute sa splendeur. A mon avis, il vient d’avoir un repas un peu arrosé. Il n’a pas sucé que des glaçons, le gars ». Audrey Pulvar, bonne copine, vint à la rescousse de Bachelot : « Il s’imagine que lui-même est un éphèbe d’une minceur totale et qu’à côté de lui, Brad Pitt est un cageot. » Finalement, on en vient à apprécier ce beauf caricatural de grande envergure…
ITALIE : “VITE, FUYONS EN ISRAËL” !
La situation est grave. Riccardo Pacifici, président de la communauté juive de Rome, sait de quoi il parle. Il avait déjà dénoncé le mouvement Casa Pound, qui, à l’en croire, constituait « un danger non seulement à Rome, mais dans toute l’Italie et même en Europe. » Et puis, « Und morgen, die ganze Welt (Et demain, la terre entière » ?, comme l’évoque le chant nationaliste allemand ? Et il y a Beppe Grillo, qui dit « que les partis politiques ne sont pas importants ». Commentaire de Pacifici : « c’est exactement ce que disait Hitler avant d’arriver au pouvoir ». Tout en nuances, ces gens-là… Pacifici évoque évidemment les « meurtres de Juifs à Toulouse l’année dernière » et sème la terreur dans les synagogues, déclarant : « Le parti de Grillo est plus dangereux que les fascistes : nous ne savons pas quelles sont les limites. Nous ne connaissons pas la plupart des gens qui sont dans ces mouvements (en d’autres termes : nous ne les contrôlons pas), mais nous savons qu’il y a des extrémistes à la fois de gauche et de droite, des fascistes et des radicaux. »
Et Pacifici d’expliquer que les juifs italiens « doivent commencer à se préparer lentement à émigrer en Israël. » Il paraît que « la population a (encore) du respect pour les Juifs, et qu’il y a des lois contre l’antisémitisme. » Oui, mais cela risque de ne pas durer. D’après le président de la communauté juive d’Italie, « le meilleur est passé ». Pourquoi ? Dans dix ou vingt ans, la démographie aura changé en Europe, du fait de l’immigration musulmane. Mais Pacifici, pas à une contradiction près, tient à souligner que les Juifs sont favorables à l’immigration, déclarant : « En tant que Juifs, à cause de notre mémoire historique, nous devons soutenir l’intégration des immigrés en Italie et dans toute l’Europe. Nous devons tout faire pour les soutenir ». Et voici qu’il se met à pleurnicher : « Mais leur sentiment à l’égard des juifs et des chrétiens n’est pas positif… » Pas longtemps, car dans un immense élan, il déclare : « Pendant de nombreux siècles, nous avons eu de très mauvaises relations avec le Vatican, mais maintenant nous travaillons ensemble pour favoriser l’intégration des musulmans. » Et il ajoute : « Ce n’est qu’en travaillant ensemble que nous pouvons maintenir l’identité juive-chrétienne de l’Europe. » L’identité juive-chrétienne de l’Europe : qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre…
COHN-BENDIT RATTRAPÉ PAR SON PASSÉ
Daniel Cohn-Bendit est un grand démocrate, comme chacun le sait, dans le genre donneur de leçons. Il devait recevoir, en Allemagne, un prix de la Fondation Theodore Heuss, pour couronner « son combat pour la démocratie et les droits fondamentaux. » Il était prévu que le président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande lui remette le prix et prononce un discours. Las, ce dernier a refusé. Pourquoi ? D’après son service de presse, « le président ne pouvait associer la Cour de Karlsruhe avec des écrits parlant de la sexualité entre les adultes et les enfants. » Référence au livre de Cohn-Bendit, paru en 1975, Le grand bazar, où l’icône de 1968 racontait : « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. S’ils insistaient, je les caressais. »
12:48 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |