mercredi, 24 août 2016
Luc Pécharman prendra la parole à la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis
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Tribune libre : Islam, terrorisme, complot ? Que d’erreurs d’analyse
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Je tiens avant toute chose à poser le préalable suivant : le présent article ne vise pas à alimenter le choc des civilisations (1) vu qu’il est déjà bien présent (2), ni à se cacher derrière son petit doigt en ne présentant pas les choses sous l’angle de l’objectivité et de la vérité qui en découle logiquement. Suite à la vague terroriste islamique qui a touché l’Europe, il est malheureusement fréquent de constater que de grossières erreurs d’analyses sont produites et qu’elles empêchent réellement de comprendre les phénomènes auxquels nous sommes confrontés. Cet article a pour but de dénoncer ces fourvoiements et d’apporter de la clarté, là où règne actuellement la confusion.
Je commencerai par établir un parallèle entre l’idéologie nazie et la religion islamique, non pas tant pour les comparer d’un point de vue intellectuel – ce qui n’aurait aucun sens – que pour aborder le traitement médiatique auquel elles sont confrontées. Imaginons quelques instants qu’un individu se réclamant d’Hitler commette des attentats atroces en France. Est-ce que les prétendus experts en terrorisme avanceraient, non sans rire, qu’il convient de ne pas comparer voire de mélanger nazi et nazisme ? Je prends volontairement le nazisme comme outil de comparaison parce que, dans nos sociétés, il représente – à tort – le mal absolu. En effet, dans un débat, il est fréquent que le point Godwin (3) soit atteint par l’un des protagonistes en accusant l’adversaire d’être nazi. Ceci étant dit, remarquons qu’à l’époque où le nazisme existait (1920 à 1945), personne, à ma connaissance, en Allemagne ou ailleurs, ne proclamait à longueur de journée dans les journaux ou à la radio que les premières victimes du nazisme étaient les nazis eux-mêmes… Produire et soutenir ce genre de discours revient à déresponsabiliser l’ensemble des musulmans et à faire d’eux des êtres dénués de bons sens, d’intelligence et de responsabilité. Chacun à le devoir de se former. Grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, aujourd’hui, nul ne peut rester dans l’ignorance, si ce n’est par sa propre volonté ou fainéantise. Ainsi, si un musulman reste musulman, il agit selon ses désirs, et il me semble dangereux de vouloir lui dénier cette action propre. Assurément, les musulmans ne sont ni des robots ni des pantins. Certaines bonnes âmes objecteront qu’il est difficile de quitter l’islam à cause de la coercition sociale très forte, ou peut-être, plus exactement négative, qui existe dans cette grande communauté. Quand naît une volonté, un chemin se dessine. Il ne manque pas d’exemples de musulmans qui quittent l’islam, nonobstant quelques graves difficultés (4).
Après ce rappel salutaire de la responsabilisation des individus quant à leurs choix religieux, il est à mon sens important de rappeler que la vague terroriste qui touche l’Europe depuis les deux dernières décennies ne peut être comparée aux précédentes. Les auteurs des attentats du siècle dernier – de l’extrême gauche à l’extrême droite – contre des personnalités de premier plan (5) ne revendiquaient jamais une religion, mais une idéologie politique. Le terrorisme « italien » des années de plomb, ou « basque » et « irlandais » étaient animés par une cause territoriale, ethnique, politique, mais jamais la religion ne servait de cause première. Le terrorisme islamique n’est pas européen. Qu’on se le dise tout de suite, le terrorisme reste quelque chose d’inhumain et d’atroce d’où qu’il vienne. Cependant, vouloir l’étudier et le comprendre en le prenant pour un terrorisme de souche européenne est une erreur cruciale. L’islam est né en Arabie, largement hors de portée de la civilisation et de la culture européennes. De même, si les initiateurs des attentats sont pour l’écrasante majorité nés en Europe, ils ne sont pas européens au sens strict du terme, ni par la culture, ni par leurs références philosophiques, ni par leurs lectures, leurs musiques et encore moins par leur religion. De fait, c’est une méprise de vouloir appliquer à l’islam une grille de lecture anthropologique mêlant philosophie gréco-romaine et religion catholique, même si, contrairement à ce qu’en disent ses séides et les commentateurs officiels, l’islam est né d’une hérésie chrétienne en opposition avec l’orthodoxie catholique (6).
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Jeudi, Jean-Marie Le Pen sur LCI
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mardi, 23 août 2016
Pour en finir avec les vieilles lunes
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Alors que la France est traversée par une vague d'attentats sans précédent depuis 1995 - série inaugurée par le Groupe Islamique Armée Algérien le 25 juillet 1995 à la gare Saint-Michel par la pose d'une bombe artisanale dans le RER B entraînant la mort de 8 personnes et faisant plus de 117 blessés – il est peut être temps de revoir nos orientations et prises de positions face au réel qui nous domine aujourd'hui.
Il est bien évident que rien ne va s'arrêter. Bien au contraire, il est à prévoir que les attentats vont désormais s'enchaîner avec une intensité décuplée. Certes, nous ne sommes pas dupes. Comme le rappelle Francis Cousin, il y a l'histoire des apparences, à la surface des choses, et l'histoire radicale dialectique des grandes profondeurs. Mais que ces attentats soient organisés, téléguidés de l'extérieur ou qu'il s'agisse d'un terrorisme étatique importe finalement peu. Ils existent et frappent.
1- Nous sommes bel et bien au cœur d'un choc de civilisation.
L'analyse de la situation en France (ce qui Lénine appelle « le moment actuel ») est sans ambiguïté. Nous pouvons retourner le problème dans tous les sens, trouver ici ou là des dérivés, il n'empêche !
Nous sommes en guerre. Mais contrairement à ce que pensent certains, cette guerre n'est pas neuve et ne date pas des récents attentats commis en France et en Allemagne.
Nous sommes en guerre depuis la fin des trente glorieuses, depuis le regroupement familial, depuis l'acceptation d'une immigration massive extra-européenne sur notre territoire.
Nous vivons en état d'urgence permanent depuis au minimum une trentaine d'années. D'impolitesses en incivilités, d'indifférences en racisme ordinaire, le « vivre ensemble » imposé à nos concitoyens n'est plus qu'un immense champs de ruine dont les prémices nous apparaissent désormais lointains.
Le choc migratoire intense qui déferle sur l'Europe depuis quelques mois n'est que l'aboutissement logique de dizaines d'années de saupoudrage constant.
Nous savons que le mouvement des « réfugiés » est un mouvement organisé par le capital qui a besoin de main d’œuvre nouvelle pour casser le coût du travail. Nous savons qu'il existe des filières immigrationnistes. Nous savons qu'au travers du « grand remplacement » c'est à une substitution de main d’œuvre que nous assistons. Nous savons, comme le dit encore Francis Cousin, que « les hommes ne sont pas des oies sauvages et qu'il n'existe pas de cycles de migration naturelles ».
Nous savons que l'ennemi mortel qui se cache derrière le paravent de l'immigration se nomme Grand Capital et sa cohorte d'idiots utiles.
Qu'importe ! Le réel s'impose à nous. On peut l'appeler comme on veux : choc du futur, comme Alvin Toffler, choc des religions, comme l'abbé Guillaume de Tanouarn ou encore choc des civilisations, comme Samuel Huntington, la réalité c'est que l'Europe doit aujourd'hui faire face à une tentative de balkanisation et d'hétérogénéisation sans précédent.
Cependant, tout n'est pas aussi simple. N'en déplaise aux complotistes de tout poil et aux géopoliticiens de salon, les vagues migratoires qui se déversent à nos frontières se moquent bien de ces concepts d'occidentaux repus, elles n'en ont même sans doute jamais entendu parler. Elles se meuvent avec « leurs tripes », avec leur inconscient de peuples en mouvement. Loin d'intellectualiser leur action, c'est un instinct primaire de conquête de territoire qui les anime. Instinct animal décuplé par la masse.
Attentats et vagues migratoires sont constitutifs d'un même appel : celui d'une haine de l'Occident, d'un passé fantasmé d'une colonisation douloureuse, des mouvements de peuple sur la longue Histoire. C'est la continuation de l'expansion des Omeyyades (661-750) et celle de l'Empire Ottoman (1389 prise de Kosovo) mais par d'autres moyens. Éternel balancier. Que le spectacle de la marchandise l'ait mis en branle n' a guère d'importance. Il arrive que les monstres échappent à leur créateur.
Une chose est sure : nous n'assistons pas à la fin de l'Histoire, comme le crient certains bien-pensants, mais à son retour effectif après des décennies de consensus mou et d'opulence capitaliste. « Sous le choc de la vague migratoire, l’Europe se disloque, se désintègre, se déconstruit. (…) les historiens dateront certainement de cette affaire, de ces années 2015-2016, le début de la décomposition de l'Europe » pouvait-on lire dans Le Monde dans son numéro du 26 février dernier.
« Prétendre qu’il n’y a pas un choc des civilisations entre l’occident localisé et moribond et l’Islam déterritorialisé en pleine santé est une sottise qui empêche de penser ce qui est advenu, ce qui est, et ce qui va advenir », écrit pour sa part Michel Onfray, avant de poursuivre : « Refuser la réalité du choc des civilisations ne peut se faire que si l’on ignore ce qu’est une civilisation, si l’on méprise l’Islam en lui refusant d’en être une, si l’on déteste la nôtre par haine de soi »1.
L'Histoire est faite de mouvements de peuples et de conquêtes territoriales. L'Europe l'a un peu oublié depuis qu'elle est entrée dans la domination absolue de la marchandise et a quitté ce que Dominique Venner nommait l'horizon de la guerre. Celui-ci se rappelle aujourd'hui à notre bon souvenir et frappe de nouveau à notre porte.
Nul besoin de tomber dans les délires psychotiques de groupuscules appelant à la croisade. Seul l'impératif de faire face au réel nous conduit à penser que nous entrons dans une phase de confrontation ethno-culturelle de grande intensité.
2 – Y-a-t-il une solution politique et non violente au choc de civilisation ?
Pour les plus vieux d'entre nous qui avons résisté aux molles années 90, rien ne laissait présager une accélération aussi brutale de l'Histoire. Ces vagues migratoires d'intensité inégalée constituent en l'espèce une « divine surprise » propre à forcer la décision. Les attentats récents s'y agglomèrent comme autant de parasites sur un corps malade, tout à la fois charges émotionnelles et électrochoc psychologique. Le chaos semble proche et l'heure des choix se profile.
Un parallèle saisissant pourrait être fait avec la situation de l'Algérie Française en 1961 et la création de l'OAS. Mais comparaison n'est pas raison, dit-on.
Pourtant, qui pourrait encore croire à une issue non-violente ? La situation semble inextricable.
Boris Le Lay a récemment évoqué l'existence possible de « maquis mobiles musulmans » actifs sur le territoire national.
Même s'il convient d'être prudent sur le caractère réel de telles informations, la chose paraît suffisamment sérieuse pour être suivie de près.
Depuis Saint-Etienne-du-Rouvray chacun sait aujourd'hui que des attentats peuvent surgir sur n'importe quelle partie du territoire. Chacun sait également que des années de saupoudrage migratoire ont propulsé des communautés allogènes même dans les coins les plus reculés de France.
La remigration ? Beau concept en vérité, techniquement réalisable. Mais qui peut raisonnablement penser que la chose se fera sans tensions et sans heurts ?
Un retour du sentiment patriotique arasant les sentiments communautaires ? Ce serait se résigner à une lecture instantanée de l'actualité et d'une d'absence totale de recul sur les faits. N'en déplaise à certains, le véritable « vivre ensemble » n'est pas le patriotisme. Ce dernier est désormais un fourre-tout bien commode qui cache en réalité la fracture ethnique et justifie l'assimilation.
Le patriotisme d'avant 1945 avait encore du sens : celui d'une vision autour d'un drapeau et d'une Nation par un peuple sans changement ethno-culturels profonds, communiant dans d'identiques modèles de comportements, de pensées et de sensibilités. De nos jours tout est différent. Nous sommes désormais placés au cœur d'une opposition tendue entre deux mondes et deux civilisations.
L'unité nationale que certains veulent nous vendre est un leurre. Qui est aux commandes de cet enfumage ? L'oligarchie et le gouvernement qui ont tout intérêt à ce que les fractures ne s'élargissent pas pour maintenir, un tant soit peu, leur monde vivant.
« C'est pourquoi, il ne faut plus jamais parler des «populations musulmanes» pour désigner nos compatriotes de confession musulmane mais d'un peuple, le nôtre dont ils doivent désormais faire partie intégrante » écrit Guillaume Bigot, essayiste et membre fondateur du Comité Orwell (sic!)2.
En vérité, le clivage à venir ne se fera pas sur la base des patriotes contre l'anti-France, pour reprendre le fantasme récurent des vieilles barbes de l'extrême-droite française, mais entre la tribu et la mixité, le clan et l'indifférencié, le socialiste et le libéral, l'enraciné et le mondialiste, l'humain et l'homo œconomicus, le défenseur de la nature et le prédateur productiviste, la communauté et la société.
Devant cet horizon de la guerre qui refait surface, il est donc à craindre un affrontement sans égal entre communautés autochtones et allogènes. Nous allons connaître ce retour de la barbarie, du clan et de la tribu. Nos banlieues sont des poudrières, nos métropoles des coupes-gorges et des territoires entiers sont en voie de « dhimmisation ». Parallèlement, les années qui viennent seront des années d'intenses radicalités explosives (Francis Cousin). Les luttes de classes vont se réveiller.
Nous vivons des temps incertains mais riches de sens à venir. A l'instar de Régis Debray, ne nous condamnons pas à un « pastiche des destins hors série qui nous ont précédé, raflant les premiers choix et nous laissant les doublures ».
Le 20 juillet dernier à Saint-Astier, François Hollande a appelé les Français à rejoindre les différentes réserves des forces de sécurité. Chiche !
Intégrons la réserve opérationnelle. Mais intégrons là dans un but bien précis : celui d'apprendre en restant au contact de la réalité du terrain
Il y a un ordre des tâches historiquement fondé. Le travail insurrectionnel est aujourd'hui le travail politique numéro un.
1- Chronique mensuelle de Michel Onfray, Mars 2015 N°118 in mo.michelonfray.fr
2 - In Le Figaro 26/07/2016
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Zoom de TV Libertés sur St Malo
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Vendredi 16 septembre à Lille : conférence de Charlotte d'Ornellas sur la Syrie
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lundi, 22 août 2016
Georges Feltin-Tracol participera à la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis (94)
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20:45 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Burkini et autres cahiers scolaires
Le Billet de Patrick Parment
Qu’il s’agisse du problème du « burkini » ou des cahiers scolaires labellisés en arabe, le syndrome est exactement le même : la soumission de plus en plus grande à l’islam en raison de l’absence de réponse ferme de la classe politique et des élites dégénérées qui les soutiennent. On se demande où sont nos francs-macs si prompt à dégainer contre le Front national et qui tendent le cul face à l’islam sur l’air de Merci patron !
Le problème soulevé par le burkini réside moins dans l’insignifiance de cette tenue que dans la provocation culturelle qu’elle représente. Nous ne sommes pas en terre d’islam, nous sommes dans un pays européen, laïc où la religion n’interfère pas dans la vie publique. Vouloir vivre dans un pays qui respecte les règles de l’islam, c’est partir ailleurs et non vivre ici. Interdire le burkini, ce n’est pas un acte politique mais culturel.
Il serait temps que nos politiques le comprennent et en fassent part au monde économique. Car, ces cahiers avec un label en arabe, outre l’opportunisme de la chose, c’est proprement la marque que l’économie a pris le pas sur le politique (ce n’est pas le seul exemple me direz-vous). Il faut dire qu’avec une marocaine à l’Education nationale, la tentation était trop grande.
Il n’y a qu’une seule langue dans ce pays, et c’est le français. Et, il y a des langues régionales dont l’arabe ne fait pas partie, me semble-t-il.
Ce sont des faits marginaux me direz-vous. Certes. Mais ils sont révélateurs d’un état de soumission que la majorité des Français récusent
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Il y a un an, Emmanuel Ratier nous quittait...
A Emmanuel…
Patrick Parment
Article publié après la disparition d'Emmanuel Ratier dans le n°41 de la revue Synthèse nationale.
La disparition d’Emmanuel Ratier est une perte immense pour l’ensemble du mouvement national étendu à toutes ses composantes. Mais, c’est aussi, pour moi, la perte cruelle d’un ami de longue date auprès duquel je caracolais depuis plus de trente ans, tant à titre personnel qu’éditorial quand il faisait appel à mes maigres talents.
Outre les idées, ce qui nous avait réuni, c’était notre passion pour la tauromachie. Dans les années 1990, j’avais un copain à la mairie de Nîmes qui nous procurait de bonnes places dans les arènes. Et nous nous retrouvions souvent au milieu du « beau linge » comme l’on dit, passionné comme nous de la bête à cornes. Notre plus grand souvenir demeurait évidemment le mano à mano de Nimeno 2 en 1989 après l’éviction de Victor Mendes sur blessure. Mais passons.
Comme il a été noté dans les hommages qui lui ont été rendus, Emmanuel avait le goût des autres, la fidélité de l’amitié, une grande culture et aimait par-dessous tout son travail et sa famille. Sur le fond, il avait su garder les idées de sa jeunesse auxquelles il ne dérogeait guère même si elles avaient (peu) évolué. Ce qui ne l’empêchait nullement d’être ouvert aux autres comme en atteste l’étendue de ses relations.
Cet esprit brillant qui avait avalé Sciences-po, ne pouvait que se destiner au journalisme. Ce qu’il fit avec ce qui était encore la prestigieuse école de la rue du Louvre. A l’époque l’offre n’était pas très grande pour les gens de droite et il fit un parcours assez classique de Valeurs actuelles (époque Bourgine) à Minute (époque Patrick Buisson) avant de lancer sa propre aventure avec sa lettre confidentielle, Faits & Documents.
Tôt, et dans le sillage de Henry Coston, Emmanuel avait compris que pour combattre un adversaire, il est utile d’en connaître le pedigree. Si Coston lui montra la voie, l’élève ne tarda pas à dépasser le maître. Il faut bien avouer qu’Emmanuel était poussé dans cette voie par un atavisme familial : la collectionnite. Emmanuel collectionnait tout, du porte-clé à la boule de neige, les affiches politiques de 1940 à nos jours, les livres, les journaux. Mais, plus que les romans, Emmanuel préférait les livres politiques, les guides, les dictionnaires, les annuaires tels le Who’s Who, le Bottin mondain, etc. Ce « fouille-merde » devint ainsi l’un des plus grands journalistes d’investigation de la place de Paris, sachant où il fallait chercher pour débusquer l’information. Quand bien sa source principale demeurait cette presse qu’il savait « lire » mieux que personne.
Faits & Documents est un média unique dans le paysage médiatique français où il nous livrait tous les quinze jours les dessous, pas toujours très avouables, de la vie politique française et étrangère, agrémenté d’un portrait particulièrement fouillé d’un personnage, acteur influent de la vie politique ou économique, national ou international. C’était souvent une mine de renseignements pour la presse « officielle » qui se gardait bien, évidemment, de citer ses sources quand elle le « pompait ».
Alors que le Front national était sorti de sa confidentialité, Jean-Marie Le Pen l’accueillit et lui offrit une tribune dans National hebdo où, chaque semaine, il passait à la moulinette, façon Jean-Claude Averty, un ténor ou non de la politique nationale. Une rubrique suivie et attendue, avec le portait littéraire de Jean Mabire.
De sa lettre, Emmanuel ne tarda pas à passer à l’édition. Mais toujours dans le même esprit : dévoiler ce qu’on nous cache. Le navire amiral demeure sa première Encyclopédie politique française en 1992. Un ouvrage unique en son genre et qui fera date. Le second tome paraîtra dix ans plus tard. Mais entre temps, livres et brochures se sont succédés : Mystères et secrets du B’nai B’rith sur la franc-maçonnerie juive, des brochures sur Patrick Gaubert, président de la Licra et marionnette de Charles Pasqua, un hilarant Jacques Chirac. Puis viendront Les Guerriers d’Israël, une enquête très fouillée sur les milices juives ; Enquête au cœur du pouvoir (1996), avec les noms et pedigree des membres de ce club très fermé qu’est Le Siècle où se retrouve toute la nomenklatura politique, économique et médiatique française, ouvrage qu’il refondera entièrement en 2015. Et, cette même année, une brochure sur Manuel Valls – Le vrai visage de Manuel Valls - qui n’a pas manqué de faire du bruit.
Une œuvre unique en son genre et qui a cette qualité fondamentale de toujours privilégier les faits et jamais l’humeur ou le jugement de valeur. Pour cette raison, Emmanuel ne sera jamais attaqué pour fausse information, diffamation, etc. Il s’en tenait aux faits, et c’est bien ce qui fait la qualité de ses ouvrages et celle de sa lettre confidentielle.
Emmanuel avait des projets plein la tête. Il avait eu des accidents de santé mais passant outre, n’arrivait pas à ménager sa peine. Et il nous a quitté alors qu’il mettait sur pied un centre de documentation ouvert aux chercheurs issus de notre famille de pensée. Militant toujours.
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dimanche, 21 août 2016
Tixier-Vignancour 1965 : il y a deux manières de parler politique...
Jean-Louis Tixier-Vignancour, candidat national
à la Présidentielle de décembre 1965
Lire le remarquable article de Jacques Chassaing publié sur le site de Riposte laïque cliquez ici
Ainsi que :
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samedi, 20 août 2016
Jean Raspail en Bretagne : c'est maintenant que commence la Camp des Saints...
Un entretien avec Breizh info cliquez ici :
20/08/2016 – 07H00 Fréhel (Breizh-info.com) – Jean Raspail, l’auteur notamment du Camp des Saints, terrible best-seller prophétique, est un amoureux de la Bretagne. Il passe régulièrement ses vacances à Fréhel (22) – un coin qu’il apprécie particulièrement – où il nous a fait l’honneur de nous accorder une interview.
L’occasion pour nous de l’interroger sur sa relation avec Fréhel et ce secteur si particulier de la Bretagne. Mais aussi sur son rapport à la Bretagne. Et bien entendu, sur son oeuvre, et notamment Le Camp des Saints. Enfin, nous en avons profité pour questionner Jean Raspail sur l’actualité, et notamment sur l’islamisation, mais aussi sur la vague migratoire sans précédent qu’il avait prédit.
Jean Raspail s’est totalement prêté à l’exercice, et ses réponses pimentées ne manqueront pas de surprendre nos lecteurs. De son attachement à l’identité bretonne, au clan breton, et à son enracinement, à sa volonté de faire abolir les lois Pleven-Gayssot-Taubira, en passant par son constat sans fioriture sur la montée de l’islamisme ou l’invasion migratoire, on ne s’ennuie pas un instant durant les 35 minutes d’entretien qu’il nous a accordé.
Il y a plus de quarante ans, en 1973, Jean Raspail faisait scandale en publiant « Le Camp des Saints », roman dans lequel il imaginait le déferlement de populations du tiers-monde, poussées par la faim et la misère sur les côtes françaises. Un million de boat people prenaient pied sur notre territoire, en avant-garde d’une inéluctable invasion. Le gouvernement atermoyait, puis cédait. Mais une poignée de patriotes résistait jusqu’au bout, les armes à la main…
Aujourd’hui, force est de constater que l’Histoire valide la thèse de son roman. Un roman dont il a refait la préface, en 2011, que Polémia analysait ainsi : « L’Europe, la France vivent sous le joug d’une idéologie unique : Big Other. Une admiration sans bornes de l’autre, doublée de la haine de soi, de sa culture, de sa civilisation. Une idéologie unique qui nous assujettit grâce aux méthodes de Big Brother : la société de surveillance que nous connaissons où la police de la pensée est omniprésente. Une idéologie unique qui s’impose d’autant plus facilement aux individus qu’ils sont affaiblis par la tutelle de Big Mother : le principe de précaution qui doit s’appliquer du berceau à la tombe. Sauf dans un domaine, semble-t-il, celui des… politiques migratoires ».
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Jean-Claude Rolinat dédicacera ses livres lors de la Xe Journée des Synthèse nationale, dimanche 2 octobre à Rungis (94)
11:47 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le bikini serait donc une valeur républicaine
de Philippe Randa
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L’islamophobie rend fou nombre de nos concitoyens, mais avec l’apparition, cet été, du burkini sur les plages françaises, nous aurons également appris qu’il peut rendre également – surtout ? – ridicule.
Manuel Valls, Premier ministre en exercice, a ainsi clamé haut et fort – menton haut perché et mâchoires plus crispées encore qu’à son habitude – que le port du burkini ne serait « pas compatible avec les valeurs de la France et de la République ».
Voilà au moins un mystère citoyen résolu ! Depuis le temps que certains autoproclamés républicains brandissent ces fameuses valeurs républicaines comme épouvantail anti-mouvements populistes, on attendait jusqu’à présent en vain que quelqu’un nous en précise tout de même la teneur…
Le maillot de bain serait donc l’un des emblèmes républicains, fort bien ! Et plus il serait réduit, plus il renforcerait les valeurs républicaines, CQFD… Le maillot une pièce serait-il à peine tolérable – remplissant tout juste les conditions minimums de républicanisme – et le deux-pièces déjà plus acceptable, tandis que le monokini serait le modèle républicain quasi-idéal ?
À titre personnel, je ne me savais pas si expressément républicain dans mes aspirations de visions estivales… Comme quoi je serais moins « mauvais citoyen » que certains pourraient le penser, la preuve !
Mais dans ce cas, les naturistes ne seraient-ils pas de fait les plus grands défenseurs des valeurs républicaines ? Sans doute… Il fallait oser ! Mais Vals et Cie, ça ose tout et c’est même à ça qu’ils ont nous ont habitués à les reconnaître depuis le début du quinquennat actuel.
Enfin ! Trêve de sarcasmes, si mal venus en une époque de sanglants attentats : le burkini des musulmanes – le sont-elles toutes, d’ailleurs ? – ne serait rien d’autre qu’une provocation islamiste, une de plus !
Et nombreux sont ceux qui veulent l’interdire, à commencer par certains maires, soutenus expressément par Matignon : « Les plages, comme tout espace public, doivent être préservées des revendications religieuses. Le burkini n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, une mode. C’est la traduction d’un projet politique de contre-société, fondé notamment sur l’asservissement de la femme… », a encore martelé Manuel Valls.
La France était déjà connue pour l’extrême sévérité de sa police de la pensée, voilà donc une police du vêtement officiellement proclamée… et quasi instaurée, bien que notre sévère Premier ministre prenne soin, tout de même, d’indiquer qu’il ne croit pas « qu’il faille légiférer en la matière : la réglementation générale des prescriptions vestimentaires ne peut être une solution […] Avant de penser à légiférer, nous ferons appliquer la loi interdisant le port du voile intégral dans l’espace public – nous le rappellerons, avec le ministre de l’Intérieur, aux préfets et aux forces de sécurité. »
Quel rapport ? Que l’on sache, le burkini ne cache en rien le visage de la femme, seulement son corps, contrairement au voile intégral !
Il est à ce titre surprenant – pas tant que ça, en fait ! – que les chiennes de garde du féminisme qui s’époumonent à dénoncer les publicités dénudant les femmes soient tout aussi virulentes à exiger que celles-ci s’exhibent en très petite tenue sur les plages…
Que ceux qui dénoncent le burkini en tant que provocation religieuse dans l’espace public réfléchissent aussi à la conséquence de son éventuelle interdiction : suivront alors, logiquement, celle des cornettes des religieuses, le scapulaire des bénédictines et carmélites ou encore les chapeaux et papillotes des religieux juifs pour ne citer que ceux-là…
PS : On lira avec intérêt deux autres chroniques, défendant l’une et l’autre des points de vue complémentaires :
Yann Vallerie sur Breizh info cliquez ici
Les observateurs.ch cliquez là
11:40 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 19 août 2016
En attendant la sortie du livre "POURQUOI NOUS SOMMES CONTRE LES EOLIENNES" prévue le 2 octobre*, le nouveau numéro du "Crapouillot" traite le sujet
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Jean-Paul Chayrigues de Olmetta participera à la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis (94)
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08:35 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Université d'été du Renouveau français la semaine prochaine en Bourgogne
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Le GUD prépare sa rentrée
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jeudi, 18 août 2016
A CEUX DONT LA MÉMOIRE FLANCHE
Pieter Kerstens
Le vote récent des Anglais, qui ont choisi d’abandonner le « bonheur européen » pour un avenir incertain, a donné lieu à un déferlement de mensonges et un tsunami de propagande orchestrés par les eurocrates de Bruxelles. Il faut donc leur rafraîchir la mémoire.
NON, l’Europe n’a pas connu la paix depuis 60 ans ! Effectivement les Allemands n’ont plus subi les vagues de bombardements nuit et jour sur leurs villes. Nantes, Caen, Le Havre, Boulogne Billancourt, Anvers ou Bruxelles n’ont pas reçu de pluies de bombes américaines. On n’a pas découvert de nouveaux camps d’internement comme ceux du Struthof ou de Breendonk (près d’Anvers), mais la « jungle » de Calais concentre quand même toute la misère du monde…
Si nos arrières grands-parents ou grands-parents espéraient que la guerre de 14-18 serait la « der des ders », c’est avec stupéfaction qu’ils avaient appris que le 3 septembre 1939, la France et l’Angleterre déclaraient la guerre à l’Allemagne.
Mais c’est avec joie qu’ils ont accueilli successivement les traités européens de la CECA le 18/4/1951 au traité de Lisbonne le 13/12/2007, un empilage de dizaines de milliers de pages dont le fondement essentiel était « d’éviter une nouvelle guerre ». Les euro-mondialistes nous ont répété en permanence que plus d’Europe, encore plus d’Europe et toujours plus d’Europe aboutirait in fine à un espace « européen » ou à une « Union Européenne » idyllique et quasi comparable au Paradis.
15:41 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La colonisation active de la France a débuté
Bernard Plouvier
Depuis la plus haute Antiquité, la colonisation d’une terre par un peuple fut toujours marquée par un avantage civilisationnel, même si, initialement, il fallait (pas toujours d’ailleurs) se débarrasser des opposants au progrès, des vieux débris d’une société totalement dépassée.
En France actuelle, du fait de l’ignoble décret Giscard-Chirac de 1976 sur le regroupement familial des travailleurs étrangers, l’on assiste à une première dans l’histoire de l’Europe. Des gens sous-doués, sous-évolués, sous-productifs, amenant avec eux des usages barbares et une religion obscurantiste issue du haut-Moyen Âge, veulent prendre le contrôle de notre pays, pour y régner en maîtres racistes, sectaires, intolérants et violents.
Cela paraissait probable depuis les années 2010 – même si les collaborateurs autochtones de cette invasion parlaient de « fantasme » -, mais l’on fixait à trente ou cinquante ans l’échéance d’implantation de l’État islamo-africain (noir et maghrébin) en France. L’on avait tort !
En ce mois d’août 2016, une famille islamiste issue du Maroc a décidé de s’approprier une plage corse, chassant les Corses et les touristes européens, à coups de pierres, de menaces et d’invectives, puis avec leur harpon et leur poignard (instrument nécessaire à tout bon musulman conquérant, ou djihadiste). Ce ne sont pas d’abominables « racistes » (prononcer wwrrraciste) qui l’affirment (n’en déplaise aux pleureurs du Collectif contre l’islamophobie, financé par l’honnête George ‘’Soros’’, né Schwartz), mais un procureur de la République, après avoir entendu les gendarmes venus enquêter sur place.
Le scénario de la colonisation, à la fois sournoise et violente, est bien rodé. D’honorables immigrés-envahisseurs africano-musulmans s’attaquent à des Européens de souche puis hurlent, braillent, gueulent au « wwwrrracisme ». Hormis les clowns des media et de la politicaille vendue aux roitelets de l’islamo-pétrodollar, plus personne n’y croit. Et pour une excellente raison.
Promenez-vous en cités « françaises », riches en immigrants-envahisseurs africains, moyen- et proche-orientaux, et vous ouïrez les jolies appellations de « face de craie », de « fromage blanc », de « meuf à cul blanc », tandis que vous pourrez entendre et lire en tags (à l’orthographe hésitante voire purement phonétique) les ultra-classiques : « On va tous vous niquer », « Je nique ta mère », « On nique la France » (et les variantes à base d’enculage).
En clair : les injures racistes en France contemporaine sont quasi-exclusivement à connotation anti-blanche ou antijuive et proférées par d’honorables immigrés-envahisseurs ou leurs innombrables et merveilleux rejetons, plus doués pour la rapine, l’incendie et le vandalisme, le racket, le viol et le caillassage des voitures de police, de pompiers ou d’ambulances, que pour les études ou l’exercice d’un métier.
Après ce triste constat – et l’on n’a même pas évoqué les attentats qui ont endeuillé le pays depuis 2014 -, l’alternative se pose : laisser faire ou réagir.
Si l’on a besoin d’immigrés pour stimuler l’activité économique de la France, choisissons-les en Europe – qui, il est bon de le rappeler, est le continent d’origine et de développement de la race blanche. Les amoureux du métissage ont devant eux les autres continents pour étancher leur soif d’exotisme.
Il est temps, voire grand temps, de décider si nous allons continuer à tolérer lâchement la colonisation de notre patrie par des Extra-Européens, qui n’ont pas de civilisation évoluée à nous apporter, mais des rythmes de travail de type exotique (c’est-à-dire : où la palabre tient davantage de place que le travail effectif), des usages médiévaux, une religion de haine et d’exclusion.
Ou si nous allons imposer le grand retour des Africains et des Moyens- et Proches-Orientaux dans leurs terres ancestrales, en appliquant bien sûr le principe du regroupement familial. On peut même offrir aux « remigrants » les collaborateurs de l’invasion, qui – ayant une mentalité d’esclaves – pourront exercer là-bas leurs talents, puisque l’esclavage est licite en terres de charî’a.
Le choix est clair pour les vrais Français : la barbarie exotique ou le retour aux fondamentaux européens.
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mercredi, 17 août 2016
Dimanche 4 septembre, près de Nîmes : grande fête de la Ligue du Midi
16:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Philippe Randa dédicacera ses livres lors de la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis (94)
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11:51 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 16 août 2016
‘’Soros’’-Schwartz, défenseur et promoteur de la cause de Dame Démocratie
Bernard Plouvier
Le site Breizh-info du 16 août 2016 publie quelques-unes des révélations parues sur le site web « Soros DC leaks », consacré aux générosités fort ciblées de la Fondation du grand homme..
Entre bien d’autres exemples possibles, l’étude des interventions du multimilliardaire cosmopolite (condamné en France pour délit d’initié) lors de l’année 2014 – année d’élections municipales et européennes qui virent le triomphe, en suffrages exprimés, du Front National – permet d’évaluer la conception qu’a de Dame Démocratie cet honorable requin d’affaires.
On imagine que les textes émis par sa Fondation sont soumis à son approbation, selon l’adage : « Qui paie décide ». C’est ainsi que l’actuelle immigration-invasion africaine, moyen- et proche-orientale, à très fort relent d’islamisme – problème majeur de l’Europe - était, en 2014, considérée par lui (ou son rédacteur de messages) comme « un grand moment de démocratie transnationale ».
Depuis l’An 2014, se sont effectivement multipliés les viols en série, les attaques contre les personnes et les biens, et – cerise sur le gâteau moisi – les attentats aussi meurtriers que spectaculaires… « Démocratie transnationale », c’est l’euphémisme à retenir, puisque c’est la formule-choc destinée à imposer à la foule des gogos le grand remplacement de populations dominantes en Europe.
Et ça ne coûte pas très cher (du moins pour un multimilliardaire) : 50 000 $ pour le Collectif Contre l’Islamophobie en France ; 66 000 $ pour la Ligue des droits de l’Homme afin de « lutter contre l’extrême-droite » (on ne peut pas demander à un ‘’Soros’’ de connaître le terme de populisme et sa signification hautement démocratique) lors de la période électorale ; 130 000 $ pour « lutter contre l’explosion de crimes de haine en Europe »… à quand et pour qui la subvention, à gros effet symbolique, de 666 dollars ?
Et l’on en passe (notamment le financement des ligues homosexuelles, des associations de soutien aux Roms ou de légalisation de l’usage du cannabis). Le bon apôtre arrose préférentiellement, en nos années 2015-16, les media collaborationnistes de l’immigration-invasion en France, en Italie et en Hongrie. Cet argent, après tout, c’est du fric qui entre en Europe, ce qui fait marcher le commerce et, selon ce bon Vespasien, l’argent n’a pas d’odeur, même venant d’un financier condamné par la Justice française. Toutefois, ces « dons » et leur motivation font naître quelques remarques.
Grâce à ‘’Soros’’, l’on a désormais la certitude que la propagande antipopuliste est financée par l’étranger, de la même façon que le PCF d’illustre mémoire était financé par l’argent de Moscou, au bon temps des tsars rouges. L’anti-populisme est entretenu, soutenu, cajolé par le fric cosmopolite. De même, l’immigration-invasion, la promotion de cet islam conquérant, ravageur, barbare et rétrograde qui fait la joie de notre bon pape et de la Chancelière Merkel, sont également soutenues par ce bel argent.
Pour ‘’Soros’’, « l’explosion de crimes de haine en Europe », ce n’est pas l’ahurissante collection de viols et d’assassinats, d’incendies volontaires et de pillages, d’attentats contre les biens et les personnes commise par les innombrables fruits pourris de l’immigration-invasion islamique. Non ! Les « crimes de haine », ce sont des slogans contre l’islam djihadiste ou l’indignation d’Européens contre les us et coutumes médiévaux et africano-orientaux de très nombreux migrants.
La conception de la « démocratie », selon ‘’Soros’’ et ses semblables – les milliardaires de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle -, ce n’est surtout pas de demander leur avis aux peuples européens, seuls souverains légitimes des États d’Europe. Ces chevaliers ultra-friqués de la globalo-mondialisation ne savent que trop bien ce qu’il advient quand on organise un referendum sur l’immigration-invasion !
On le sait : Dame Démocratie est une vieille prostituée, qui s’est vendue tant de fois ces derniers siècles qu’elle en a perdu toute crédibilité, sauf chez les gogos tout juste capables de balbutier des slogans stéréotypés. Après les tant célébrées Croisades pour le Droit et la Démocratie du XXe siècle, on nous vend une Croisade pour l’islam et pour le changement de populations dominantes en Europe… en réalité, pour assurer la domination planétaire de longue durée des milliardaires de l’économie globale.
Que des Européens prennent le fric offert par ‘’Soros’’ et ses semblables, pourquoi pas. Mais il faut dissocier les dollars de ces beaux messieurs de leurs arguments grotesques, qui n’ont pour finalité que de métisser les Nations européennes et de détruire l’élite occidentale, trop peu sensible aux charmes du crétinisme mondialiste.
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La Librairie française est ouverte tout l'été...
16:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Patrick Gofman dédicacera ses livres le dimanche 2 octobre à Rungis à la Xe Journée de Synthèse nationale
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00:17 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 15 août 2016
Sisco : agressés par des adultes musulmans, les jeunes Corses répliquent…
Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici
une attaque raciste et kouffarophobe qui a eu lieu sur une plage de Sisco au Cap Corse, après que des individus arabo-musulmans s’en soient lâchement pris à des adolescents.
La presse unanime relate l’agression en distinguant bien les agresseurs « des jeunes d’origine maghrébine », « de la communauté musulmane », alors que ceux-ci, aux dires de témoins, auraient en réalité été âgés de plus de 40 ans, tandis que les agressés, non armés, sont « des jeunes Corses » âgés, eux, de 15 à 18 ans.
Le tableau est posé.
Selon le témoignage d’une maman de l’un des agressés, les victimes se trouvaient sur une crique, « armés de leur serviette de plage », lorsque des individus en bandes armés, eux, de « haches, couteaux et harpons » et de matraques sont venus les poignarder, frappant notamment sur la tête le plus petit d’entre eux. Même en bande, le courage n’est pas la qualité première de ceux qui ont pour ordre divin de frapper les kouffars.
Le tort des Corses ? Avoir pris, de loin, des photos du paysage sur lesquels apparaissaient des personnes vêtues de tenues exotiques (les femmes étaient en « burka ») datant d’une lointaine époque et donc aussi incongrues que celles de Jacquouille-la-Fripouille en plein 21e siècle. Ce n’est d’ailleurs certainement pas un hasard si les agresseurs sortis de leur propre Moyen-Age s’en sont également pris aux voitures garées là, puisque les femmes en burka ont crevé les pneus, tout comme Jacquouille en panique devant un moyen de transport moderne frappait « la chariotte du diable » du facteur.
L’affrontement aurait fait une demi-douzaine de blessés, dont une femme enceinte ainsi qu’une autre personne dans un état très grave du côté des Maghrébins.
La maman, décrivant une « scène de guerre » dans laquelle sont intervenus une centaine de policiers et de gendarmes, poursuit son témoignage : « le copain de ma fille, sous ses yeux, a esquiver un coup de couteau dans le ventre ». Trois des pères des jeunes Corses sont arrivés en premier sur les lieux pour tenter de régler la situation, tandis que l’un d’eux aurait esquivé un coup de couteau, avant qu’un autre ne se prenne un coup de harpon.
« Mon frère a été tabassé, il est choqué pour toujours », a déclaré la sœur de l’un des agressés.
Un témoin a déclaré que les agresseurs, âgés de 40 à 50 ans et, semble-il, d’origine marocaine, ont crié « Allah akhbar ! On est chez nous ! », avant de continuer : « on va niquer vos femmes, on va les mettre pleines ! On va s’en prendre à vos enfants ! ». Bref, rien que du classique. Une femme aurait également été lapidée par des Maghrébins, selon un autre témoin de la scène.
Pour comble de crétinerie, des membres des musulmans agresseurs ont mis le feu à leurs propres véhicules…
Après cette attaque par des adorateurs de Mahomet, on ne peut que féliciter la ténacité du maire de Cannes ainsi que celle de Lionnel Luca à Villeneuve-Loubet de n’avoir pas cédé aux revendications communautaires d’islamistes désireux d’appliquer la charia sur notre sol, la justice ayant donné raison à ceux-ci en raison du trouble à l’ordre public que le port du burkini ne pouvait que générer. Nous n’avons, en effet, pas vocation en France à tolérer des revendications d’un autre âge ostensiblement idéologiques, sexistes et porteuses de sous-entendus accusatoires laissant entendre que tous les hommes en France seraient des violeurs potentiels de musulmanes.
Lionnel Luca avait rédigé un arrêté stipulant que « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité adaptées au domaine public maritime » serait interdit. La charia n’a en effet pas lieu d’être en France.
C’est dans ce contexte qu’en fin de matinée, ce dimanche, suite à cette agression kouffarophobe, des manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. Parmi eux, certains ont crié « aux armes, on va monter parce qu’on est chez nous ! ».
Nous ne pouvons qu’encourager et féliciter nos amis corses pour leur courage et leur refus de ne pas se laisser marcher sur les pieds par la racaille islamiste.
De même, on peut s’interroger sur l’incapacité de Bernard Cazeneuve de faire régner l’ordre « républicain » sur notre territoire, rôle qui lui est pourtant dévolu et pour lequel il est grassement payé. On ne peut que constater que le résultat de sa politique laxiste joue davantage en faveur des racailles qu’en faveur du peuple qu’il est supposé protéger.
Il va falloir que cet improbable régime socialiste annonce clairement la couleur : soit il installe l’islam incompatible avec notre civilisation sur notre sol afin de nous faire disparaître, soit il nous défend de cette « idéologie d’agression » hostile à toute élévation intellectuelle, à toute beauté, et surtout à toute tolérance. En tout cas, il ne peut y avoir cohabitation. Quand on se rend à la plage avec des haches dans le but de frapper des non musulmans, ainsi que l’ordonne le coran, c’est qu’on a la volonté de nuire, qu’on est en guerre.
Si on est en guerre, alors il faut bouter l’ennemi hostile hors de nos frontières françaises afin de protéger les nôtres, point barre.
19:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 14 août 2016
Gabriele Adinolfi sera présent à la Xe Journée de Synthèse nationale, dimanche 2 octobre à Rungis (94)
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11:19 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 12 août 2016
Chaque jour qui passe nous rapproche de la parution du n°10 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Pierre Drieu la Rochelle
19:14 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 11 août 2016
Autriche, Grande Bretagne, Hongrie... les peuples contre les pseudo élites !
Directeur de Synthèse nationale
Editorial du n°43 (été 2016) cliquez ici
Nous vous le disions dans la précédente livraison de Synthèse nationale : le monde change. En effet, regardez ce qui s'est passé au cours de ces derniers mois autour de nous.
En Autriche d'abord, le candidat nationaliste du FPO arrive au second tour de la Présidentielle en avril, ce qui est déjà en soit une belle performance. Au second tour, évidemment, il doit faire face à l'éternelle coalition des nantis et des profiteurs du Système, regroupés derrière un écologiste sur le retour. Ceux-ci n'ont que de mots assez sévères et de coups bas suffisamment malhonnêtes pour tenter de discréditer celui qui incarne l'espérance nationale et identitaire du peuple autrichien. Pour être sûr de conserver leurs prébendes, ces faiseurs n'ont pas hésité à truquer le bon déroulement de l'élection présidentielle. Mais ce qui est trop gros ne passe plus et les irrégularités constatées furent tellement nombreuses que la Cour constitutionnelle a annulé le scrutin litigieux. Les Autrichiens retourneront donc voter. La camarilla politico médiatique dans son ensemble s'était égosillée pour saluer "la victoire de la démocratie". Pas un mot pour condamner les forfaitures avérées des démocrates autrichiens... Ce qui nous intéresse pour notre part, c'est que pour la première fois depuis longtemps un nationaliste, qu'il soit au final élu ou non, arrive à casser un Système qui, pour beaucoup, y compris dans nos rangs, est jugé inébranlable...
Passons en Grande Bretagne maintenant. Là aussi l'exemple du Brexit mérite d'être médité. Tout d'abord, il y eu l'arrogance d'un Premier ministre en difficultés qui s'auto persuada qu'il allait être plébiscité par un référendum sur l'Europe. Puis, toutes les forces du Système, avec les énormes moyens que cela représente, se sont mises en branle pour faire avaler aux Britanniques la sauce bruxelloise. Tous les arguments, même les plus fallacieux, ont été exploités. Pour faire peur aux Anglais, en cas de mal vote, tout a été imaginé. Et toc, le jour venu, malgré la chape de plomb du prêt à penser, les Anglais ont souverainement décidé de sortir du carcan européen. Nouveau coup dur pour le Système... L'avenir nous dira comment ce Brexit se passera concrètement, mais ce qui compte pour l'heure c'est que, là aussi, le peuple à ceux qui pensaient une fois de plus le maîtriser...
Dur printemps pour les tenants de la pensée unique !
Ces deux exemples démontrent que rien n'est fatal lorsque les peuples se réveillent. Il est vrai que l'endormissement est tel que l'on peut comprendre que certains finissent par se décourager. L'exemple du référendum de 2005 reste dans la mémoire collective. Le peuple français avait alors nettement (55 % de non) refusé le projet constitutionnel européen et celui-ci lui a été imposé malgré tout, avec le Traité de Lisbonne, par les petits valets du Système qui sont sensés gouverner notre pays. Mais 2005, c'était il y plus de dix ans... Depuis, qu'on le veuille ou non, beaucoup de choses ont changé.
Le Nouvel Ordre mondial que voulait nous imposer l'hyper classe mondialiste après la chute de l'URSS au début des années 90 a prit du plomb dans l'aile. La Russie a relevé la tête et l'Amérique, si par chance elle échappe l'hystérique Clinton, adoptera, peut on espérer, une attitude différente de celle qui est la sienne depuis un siècle. Il ne faut donc pas désespérer. La France et l'Europe, telle que nous la concevons, n'ont peut être pas dit leur dernier mot.
Et au-delà de l'Europe, nous pourrions aussi citer l'exemple de la courageuse Syrie baasiste du Président Bachar Al-Assad. Afin d'étancher leur soif de "démocratie" et surtout leur contrôle sur le pétrole, les mondialistes pensaient mettre à bas ce pays, comme il l'ont fait il y a quelques années en Irak, en Lybie ou ailleurs, en se servant des islamistes sanguinaires pour imposer un gouvernement fantoche à leurs bottes. Mais là aussi, ils se sont heurtés à la résistance farouche du peuple et de ses chefs ainsi qu'à la Russie. L'Amérique a visiblement de plus en plus de mal à s'imposer comme gendarme du Monde.
L'exemple hongrois
Prenons maintenant l'exemple de la Hongrie. Nous avons eu le plaisir, lors de notre journée régionale près de Lille fin avril, de recevoir le journaliste magyar Ferenc Almassy venu de Budapest. Celui-ci nous a expliqué la situation dans son pays où le gouvernement semble beaucoup plus s'intéressé au sort du peuple hongrois, lui aussi menacé par l'invasion, qu'aux intérêts de la haute finance apatride. En l'écoutant, je me disais la chose suivante : nous sommes en 2016, il y a 60 ans, en novembre 1956, Budapest et toute la Hongrie se soulevaient contre l'effroyable dictature communiste qui asservissait le pays. Cette insurrection fut réprimée dans le sang par les soviétiques sans que personne, à l'exception bien sûr des nationalistes en Europe, ne réagisse. Les patriotes hongrois, bâillonnés, emprisonnés, assassinés ou contraints à l'exile, s'imaginaient-ils alors un seul instant que, 60 ans plus tard, la Hongrie serait l'exemple à suivre pour les nationalistes européens ? Je n'en suis pas sûr et pourtant, c'est ce qui se passe aujourd'hui.
Le XXIe siècle sera celui du réveil des identités. Dans le cas contraire, le monde deviendrait un vaste cloaque métissé et robotisé juste bon à obéir docilement à ces pseudo élites qui ne pensent qu'à leurs profits. Pour nous le choix est clair. Face à la soumission, nous appelons à une vaste offensive nationaliste et identitaire. C'est de celle-ci dont nous parlerons le dimanche 2 octobre prochain à Rungis (94) lors de notre Xe journée qui marquera aussi le dixième anniversaire de Synthèse nationale.
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09:55 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 08 août 2016
Comprendre la Syrie...
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