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lundi, 08 août 2016

La première université d'été de la Guilde des Lansquenets s'est déroulée en Provence fin juillet

lanzichenecchi.jpgGabriele Adinolfi

Fin juillet, s’est déroulée la première rencontre européenne des Lansquenets. De manière significative, nous nous sommes retrouvés en Provence, région magnifique, colonisée par les Grecs, qui fut aussi celtique et romaine. Elle est, plus récemment, devenue un lieu de concentration de migrants authentiques, et non pas d’envahisseurs, plus précisément de gens trahis par leur gouvernement, lesquels, lorsqu’ils réussirent à survivre à l’épuration ethnique (en une seule nuit, dans la seule Oran, furent égorgés trois mille Blancs désarmés) furent déversées sur les côtes française et espagnole, avant d’affronter l’épreuve de devoir reconstruire leur vie dans des conditions extrêmement dures, au milieu d’une métropole ingrate et sans le soutien d’associations caritatives, religieuses ou pas. Il faut croire que le business du trafic d’êtres humains n’avait pas encore été institué, mais que, quoiqu’il en soit, aider les gens de son propre sang était déjà considéré comme non politiquement correct.

Depuis, plus de quatre décennies se sont écoulées, pendant lesquelles des générations entières de Français se sont formées comme elles le devaient, dans un panorama, dominé par l’acqueduc de style romain, où nous avons donné vie à notre première rencontre.

Si l’on se conforme à la géographie politique, les nations de provenance des présents étaient au nombre de cinq, à savoir la France, l’Italie, l’Espagne, la Hongrie et la Belgique. Cependant, si l’on considère les patries charnelles, on devra également parler de la Corse, de la Catalogne, de la Bretagne, de la Normandie, de l’Alsace, de la Wallonie et de la Flandre. Par ailleurs, via Internet, nous avons eu des relations interactives avec la Grèce, la Norvège et la Finlande.

L’objectif principal de cette fin de semaine était d’entrer en syntonie et de créer des amalgames. Raison pour laquelle bien peu de place fut laissée aux bavardages. Nous avons produit deux brefs documents en plusieurs langues, un premier expliquant ce que sont et comment opéreront les Lansquenets et un second concernant l’Europe que nous allons construire.

Des commissions de travail ont été créées, pour exécuter les tâches bureaucratiques, constituer une direction de la Web-propagande, encourager les relations intra-européennes, produire la revue EurHope, et, enfin, agir sur le plan de la formation, qu’elle soit philosophique ou existentielle, politique ou technique, au moyen d’instruments divers et variés.

Nous avons également établi un calendrier pour les cinq prochains mois, concernant les échéances des engagements pris et proposant deux rendez-vous européens pour début et fin novembre, à Athènes et Barcelone.

Pour cultiver l’esprit, activer les sentiments et consolider l’amalgame, nous avons lancé une série de compétitions pour lesquelles les participants ont été répartis dans des équipes où les nationalités, les langues, les âges (de 13 à 75 ans) et les sexes avaient été équitablement répartis. Chaque équipe avait deux chefs, toujours de langues et de nationalités différentes.

Le choix des noms, des couleurs et des symboles des formations a été dicté par référence aux Héros éponymes des feux solsticiens. Pour le Nord, Erik, le blanc et le Cygne hyperboréen ; pour l’Est, Siegfried, le jaune et l’Ours germanique ; pour le Sud, Romulus, le rouge et le Loup italique ; pour l’Ouest, Arthur, le bleu et le Sanglier celtique, bien que son nom soit associé à celui de l’ours.

Les compétitions

Elles ont commencé par une excursion dans les bois, dont chaque équipe devait revenir avec une photo représentant ce qu’il y avait de plus proche de l’animal-totem qu’il avait sur la poitrine.

Après le tir à la corde, il y eut un tournoi de rugby à six touches. Puis une compétition culturelle basée sur les connaissances historiques concernant les nationaux-révolutionnaires, la protohistoire, la Tradition, mais intéressant également l’actualité ou des points suscitant une simple curiosité. Puis vinrent des parties de bras de fer et de football. Nous ne donnerons pas le classement final, mais il est néanmoins opportun d’immortaliser, pour les annales, la victoire de Romulus, lequel, pour fêter son succès, a offert, le dimanche, un copieux plat de spaghettis de minuit, ou plus exactement d’une heure du matin.

Bilan

Par la provenance des participants, leur participation et leur enthousiasme, la première rencontre européenne des Lansquenets a été bien au-delà de ce que l’on pouvait espérer de mieux. Elle a également servi à faire se connaître entre eux des personnes qui ignoraient leurs existences réciproques et à clarifier bien des choses dont les animateurs avaient pleinement conscience, mais qui risquaient d’être ressenties confusément par qui n’est pas au centre de la spirale.

Elle a aussi permis de dissiper le brouillard concernant la mentalité demandée, laquelle repose sur l’essentialité et l’impersonnalité, et demande avant tout un déconditionnement de toutes les constructions politiques, rationnelles, organisationnelles et idéologiques qui remplissent nos têtes et sont quotidiennement réactivées dans le cadre de la mise en scène orwellienne.

Chacun est, quoiqu’il en soit, le fruit de son ADN, de son destin et de ses expériences, et, par conséquent, de ses drames, de ses épopées et de ses tragédies, raison pour laquelle rejoindre l’essentialité impersonnelle et non égoïste n’est pas aussi facile pour les uns que pour les autres. Malgré cela, l’esprit de la rencontre de Provence a poussé tout le monde vers l’objectif qui, même lorsqu’il n’a été qu’entrevu, a été retenu.

L’important, maintenant, est que chacun trouve la force de s’imposer une discipline existentielle, de façon que les entrailles et la bile plient toujours devant l’épine dorsale.

Pour le futur, il faudra apporter des améliorations : amélioration de la tenue, de la cohésion, de la rapidité d’exécution des engagements pris, moindre tendance à commenter et à critiquer les autres, et renforcement de l’autocritique.

Si, en Provence, ces défauts n’étaient guère visibles, il serait délétère de s’en enorgueillir et il faut, au contraire, en faire un aiguillon pour que, à l’avenir, toute trace en ait disparu.

Je souhaite que quiconque a participé à cette expérience n’entende pas cette exhortation comme réservée aux autres : en réalité, seul a vraiment de la valeur celui qui cherche et trouve des défauts en lui-même.

Regardez bien en vous-mêmes et vous les trouverez. Trouvez-les et l’on fera mieux encore, on le fera avec ceux qui s’offriront eux-mêmes pour le réveil de ce qui nous différencie du bas et de l’indifférencié. Et que cela pousse à s’élever, par l’émulation, tous ceux qui le peuvent.

Le reste n’est qu’ennui. Ou est tout simplement faux.

 

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dimanche, 07 août 2016

Pierre Cassen interviendra le dimanche 2 octobre à Rungis lors de la Xe Journée de Synthèse nationale

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samedi, 06 août 2016

Dans le nouveau numéro de Synthèse nationale (n°43, été 2016) : l'histoire de l'assassinat du Mouvement social italien

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vendredi, 05 août 2016

Samedi 3 et dimanche 4 septembre : le programme des Journées chouannes de Chiré en Montreuil

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Le programme cliquez ici

Venez nous retrouver sur le stand de Synthèse nationale

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Emmanuel Albach, auteur du roman-choc de l'été "Le Grand rembarquement" répond aux questions de Breizh info

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Source Breizh-infos.com cliquez ici

Emmanuel Albach est le président de l’Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban. Il a combattu au Liban de janvier à juillet 1976 avant de faire une carrière de journaliste. Il a d’ailleurs écrit un ouvrage à propos de son engagement dans les Phalanges chrétiennes, que nous avions relaté ici.

Cet été, il publie « Le Grand rembarquement » aux éditions Dualpha dont voici le résumé :

En 2019, un président « consensuel » prétend mettre en œuvre une solution définitive et magistrale au problème devenu ingérable de la cohabitation des communautés. Mais quel est ce projet, qui a pour nom de code « S.C.S.E. » ? Une version inversée de l’exode de 1962 ? Le Grand rembarquement ? Quand l’Histoire s’emballe et que les hommes politiques en ont perdu le contrôle, tout peut arriver…

Nous ne vous en dirons pas plus sur ce roman, si ce n’est qu’il est excellent, qu’il se lit vite, et qu’il s’annonce comme d’autres par le passé (et notamment Le Camp des Saints de Jean Raspail), visionnaire, ou tout du moins donnant de l’espoir aux Européens. Nous avons interrogé Emmanuel Albach.

Le Grand rembarquement – Emmanuel Albach – Dualpha – 26 € (commande ici)

Breizh-info.com : Le Grand rembarquement, qu’est-ce que c’est ? Un ouvrage visionnaire ? Un éloge de la remigration ?

Emmanuel Albach : Il s’agit d’un roman de politique-fiction, d’une sorte de thriller ayant pour ressorts deux idées: d’abord la vision de ce que pourrait être une aggravation brutale de la situation migratoire et communautaire, provoquée par la folie d’une « solution » inventée par un président consensuel pour résoudre une situation sécuritaire qui lui échapperait complètement; ensuite la constatation d’un fait historique si banalisé qu’on ne voit pas pourquoi il ne pourrait pas se reproduire, cette fois au détriment des musulmans installés en France : l’expulsion brutale, en 1962, d’un million de Français d’Algérie -15% de la population!- sous les yeux d’une armée française paralysée et d’une police indifférente. En quelques mois, tout était joué, à une époque où le transport maritime était bien moins rapide et le transport aérien, embryonnaire. Qui aujourd’hui parmi les Algériens vivant en France en éprouve la moindre culpabilité ?

Breizh-info. com : Votre livre est il plus un clin d’oeil sous forme de réponse, à Renaud Camus, ou à Jean Raspail ?

Emmanuel Albach : J’ai un grand respect pour Jean Raspail, et bien sûr Renaud Camus m’a inspiré, au moins pour le titre que j’ai trouvé à mon récit. Cependant, Raspail m’avait désespéré par l’issue de son histoire, quant au Grand Remplacement, j’en récuse l’inéluctabilité. Il n’y pas de sens de l’histoire. Rien n’est irréversible, même les situations apparemment les plus désespérées peuvent être retournées. L’histoire est entre nos mains. A nous de la faire. Duguesclin, un « bouseux » de Breton, avec une trentaine de gars, a réappris aux Français qu’ils pouvaient vaincre les Anglais, à un moment de notre histoire où notre perte semblait signée. Et Jeanne, un gamine « illuminée » a « gonflé à bloc » de grands capitaines qu’elle a conduit à la victoire.

Breizh-info.com : Pour vous, il est donc encore possible que des millions d’individus quittent le sol européen pour repartir de l’autre côté de la mer ? Cela peut il se faire sans violence ?

Emmanuel Albach : Aujourd’hui, on veut nous faire croire qu’il existe une situation irréversible. Irréversible? L’histoire ne connait pas ce mot, inventé par des gens qui changent d’ailleurs d’avis comme de chemise, au gré des humeurs des électeurs ou des consommateurs! Des migrations soudaines, il s’en est produit à toutes les époques. L’exemple algérien nous le prouve.

Quant à la violence… En Algérie, un million de gens ont été intégralement spoliés, dépouillés, des milliers de femmes enlevées ou violées, des milliers d’hommes massacrés... Et 150.000 harkis trucidés. Nous ne ferions jamais pire…

Breizh-info.com : Vous avez combattu au Liban dans les Phalanges. Vous qui suivez de près l’évolution de la France, est-ce qu’on peut réellement parler de « libanisation » du pays ? En quoi le sort des deux pays vous semble comparable, ou pas ?

Emmanuel Albach : Les chrétiens du Liban vivent depuis mille ans les armes à portée de main, et sont prompts – très prompts !- à tirer l’épée quand les musulmans empiètent sur leurs plates bandes, en cela fermement soutenus par leur clergé et leurs moines, des religieux « de combat ». Le moins que l’on puisse dire est que l’Église catholique en France, ne ressemble pas à ceux-là! Nous sommes plus proches dans notre clergé, de l’esprit dhimmi des chrétiens d’Irak ou d’Egypte…

Les Libanais nous ont pourtant ré-appris une chose importante : il n’y a pas de liberté pour celui qui refuse de combattre -pour sa foi et/ou sa patrie.

Breizh-info.com : Le peuple de France se révolte dans votre livre. Est-ce le même peuple qui chasse aujourd’hui les Pokemon ou qui adule les stars d’une équipe de France que beaucoup de nos voisins européens surnomment l’équipe d’Afrique ?

Emmanuel Albach : N’attendons pas des politiques, le plus souvent mus par la cupidité ou l’ambition, sinon simplement par l’orgueil – à l’exception probablement d’une jeune femme étonnante qui a nom Marion - qu’ils prennent des décisions terribles. Comme lors de la guerre de Cent Ans, ce seront des gens sortis de nos terroirs, des inconnus qui lanceront le mouvement, parce qu’eux n’auront peur que de perdre une chose : leur terre, leur honneur, et n’auront pour seul souci que de léguer aux générations suivantes une nation libre. Il faut des gens qui se fichent comme d’une guigne de leur retraite, de leur patrimoine immobilier, de leur carrière professionnelle, lorsque leur patrie est en danger. Rien ne sortira de nos soi-disant élites qui envoient leurs enfants étudier en Amérique ou en Australie, et les éduquent en apatrides. Il faudra des gens un peu fous et très courageux. Mais des caractères de ce genre, la France en regorge. Des jeunes – et des moins jeunes – capables de se dresser et de prendre des risques - physiques et sociaux - il yen a ici, croyez-moi. N’oubliez jamais que les Français et Bretons se sont couverts de gloire à toutes les époques. Les Gaulois sont une race de guerriers farouches et magnifiques, et leurs adversaires potentiels sont très loin d’être aussi redoutables que les légions romaines. Nous les avons vaincu, facilement, à toutes les époques.

Breizh-info.com : Que vous inspirent les attentats islamistes de ce mois de juillet ? On a l’impression de vivre une accélération de l’histoire ?

Emmanuel Albach : Hollande a lancé un guerre qu’il croyait « technologique » et sans risques (on bombarde à trois mille mètres d’altitude avec des Rafale qui balancent des bombes « intelligentes ») mais il ne savait pas que l’EI représente au Moyen Orient (où les chiites tentent de vaincre leurs frères ennemis pour la première fois dans l’histoire) le fer de lance du sunnisme, que nos immigrés musulmans sont sunnites à 95%, et que la Oumma sunnite est un seul et même corps sans frontières.

Or, nos bombes larguées de haut tuent probablement autant de civils que celles des Russes qui volent plus bas. Les sites djihadistes sont bourrés d’images de victimes de ces « frappes intelligentes ». De quoi enlever tout scrupule aux sympathisants en France de l’EI qui nous dit: vous tuez nos gens? On tue aussi les vôtres…

Par ailleurs, voyez que cet adversaire, même ignoblement brutal est beaucoup moins stupide et désarmé qu’il n’y paraît : Hollande avait annoncé en ouvrant les hostilités que l’on allait frapper l’EI « au portefeuille » en bombardant ses installations pétrolières et ses camions citernes. Qu’a fait l’EI ? Avec un minimum de moyens ils sont parvenus en ce qui nous concerne, au même résultat : en mitraillant les terrasses à Paris, en écrabouillant les estivants à Nice, ils ont provoqué pour l’industrie française du tourisme – celle sur laquelle on comptait pour recréer de l’emploi – une catastrophe historique. Notre portefeuille souffre à son tour vilainement.

Les hôtels, les restaurants attendent des étrangers qui ne viennent plus. On se croirait en Egypte, en Tunisie! Les plages d’Anne Hidalgo sont aussi vides de touristes que celles de Sousse !

Quant aux attaques contre les policiers ou un prêtre, elles ressemblent à de l »‘incentive » pour salafistes à cours d’idées. C’est leur indiquer des cibles faciles, et monter d’un cran dans l’intimidation - qui en compte quelques uns encore heureusement - avant d’atteindre l’objectif final : la conquête par la soumission préparée par la « dhimmisation » des esprits.

Breizh-info.com : avez vous d’autres projets d’écritures ?

Emmanuel Albach : Oui. J’ai un compte à régler avec un « grand » menteur historique. Ce sera aussi drôle (moi, en tout cas, j’ai bien rigolé en me relisant) et plausible que « Le Grand Rembarquement »…

Je vais aller plus vite cette fois (Le Grand Rembarquement m’a pris quatre ans). Je commence à avoir bien en mains la mécanique des histoires que j’aime écrire !

Propos recueillis par Yann Vallerie

 

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jeudi, 04 août 2016

Alain Escada sera à la Xe Journée de Synthèse nationale le dimanche 2 octobre prochain à Rungis (94)

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Alain Escada sur Radio Courtoisie : 

 

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Islam et terrorisme...

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Le billet de Patrick Parment

Les récents événements meurtriers qui ont endeuillé le sol européen – principalement la France et l’Allemagne – amènent un peu trop rapidement à considérer qu’islam et terrorisme seraient une seule et même chose. Toutes les religions monothéistes sont sujettes à interprétation, des Croisades à l’Inquisition pour aboutir aux événements d’aujourd’hui. C’est oublier un peu vite que du temps « béni des colonies », en Algérie notamment – ce qui doit être vrai vu le nombre d’Algériens vivant en France – chrétiens, juifs et musulmans vivaient en bonne entente. Et les soldats français, que l’on a retrouvé avec leurs parties dans la bouche n’étaient pas le fait de l’islam mais bien de la nature intrinsèquement primitive et violente des Arabes pour qui le mot civilisation n’a pas la même signification. La cohabitation allait également de soi en Tunisie comme au Maroc, toujours du temps « béni »… Que dire des Etats laïcs de l’Irak et de la Syrie où, là aussi, chrétiens, juifs et musulmans vivaient en bonne entente – il n’y a qu’entre Israël et la Palestine que le conflit est permanent.

Il aura fallu que les Américains mettent les pieds en Afghanistan pour que d’un coup, l’islam se radicalise au sein de la nébuleuse Al Qeida. Qui a fait des petits depuis ! Puis les Américains sont partis défenestrer Saddam Hussein en Irak après en avoir usé et abusé, réduisant ce pauvre pays et ses populations, naguère prospères, à la clochardisation et à une guerre de religion entre chiites et sunnites. La pilule est moins bien passée en Syrie où Bachar al-Assad règne toujours sur un pays en ruines, fruit de hordes soi-disant libératrices sponsorisées par les Américains, les Anglais et les Français. Heureusement que la mesure russe est venue calmer les ardeurs de ces va-t-en-guerre. Mais ici aussi les sunnites veulent la peau des chiites et des alaouites. Depuis la Deuxième Guerre mondiale, l’Occident n’a à souffrir que de la stupidité de la politique étrangère américaine qui se double au Moyen Orient de la priorité donnée aux intérêts israéliens.

Pour en revenir à l’Europe, la mise en place d’un islam national pose encore quelques problèmes au sein de la communauté musulmane qui semble ballottée entre des influences diverses : Arabie saoudite, Algérie, Maroc. C’est à cela qu’il serait temps de mettre fin. Sans oublier le laxisme dont font preuve les autorités françaises vis-à-vis de l’islam alors que nous sommes sur un territoire façonné par le christianisme. Faut-il le rappeler à tous ces francs-maçons qui ne jurent que par la laïcité et qui baissent leur froc au seul énoncé d’Allah !

Soyons réalistes, l’immense majorité des musulmans vivent dans le calme et la paix, car dans le cas contraire, notre pays serait réellement à feu et à sang.

Le problème est donc bien l’immigration. Entrent dans notre pays – en Europe pourrait-on dire – une majorité d‘Arabes, certes, mais aussi une multitude d’ethnies difficiles à contrôler – souvent musulmanes d’ailleurs - parce que l’Etat français ne veut pas s’en donner les moyens. Il est bien évident qu’au sein de ces populations immigrées, comme l’a confirmé Richard Cazeneuve sémillant et impuissant ministre de l’intérieur et la stupide Angela Merkel, figurent des terroristes qui utilisent la religion pour parvenir à leur fin, d’autant que le maillage islamique ne cesse de s’étendre sur notre territoire, via les mosquées notamment. Où, comble de l’ironie, ce sont nos édiles qui les financent. N’est-ce pas messieurs Juppé, Estrosi et Cie. Cette absence de volonté à réduire et encadrer l’immigration ne facilite guère la tâche des services de renseignement. Pas plus que les moyens pour faire comprendre aux immigrés que la France n’est pas uniquement le pays de la sécurité sociale et des hôpitaux bon marché. Paradoxe de cette situation, comme l’a si bien fait remarquer Marine Le Pen, la législation existe pour exercer enfin des contrôles. Il suffit de s’en servir. Car il est bien inutile, à nos yeux, de déclencher une quelconque guerre de religion. Dont le peuple français paierait une fois de plus l’addition et au risque tout aussi certain de déclencher une guerre civile.

11:02 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro du "Bulletin célinien"

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Samedi 27 août, à Fréjus, concert de Jean-Pax Méfret au profit des Chrétiens d'Orient

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10:18 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En réaction à l'évacuation de Sainte Rita : des militants du Renouveau français occupent le siège du Groupe Lamotte à Nantes, le promoteur responsable...

PLUS UN ROND POUR LE GROUPE LAMOTTE !

10:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La scandaleuse évacuation de Sainte Rita

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Serge de Beketch : un grand moment de vérité...

Serge de Beketch nous a quitté en octobre 2007

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Chez Publicis, le politiquement correct règne

3012854566.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Chez Publicis, un des trois principaux groupes de communication au monde, on ne badine pas avec le politiquement correct ; pour preuve, la mise à pied de Kevin Roberts, patron de l’agence Saatchi & Saatchi et membre du directoire du groupe. Son grand Manitou, Maurice Lévy, a exigé qu’il soit mis à pied après des propos « contraire à l’esprit du groupe » sur les femmes… Des propos sûrement sexistes ou scabreux, pour le moins graveleux ou lourdauds, sans doute ?

Jugez-en : « Leur ambition (aux femmes) n’est pas verticale, c’est une ambition intrinsèque, circulaire, d’être heureuses. Alors, elles nous disent : “Nous ne nous évaluons pas avec les critères selon lesquels vous, dinosaures idiots, vous vous jugez”. Je ne pense pas [que le manque de femmes à des postes de direction] soit un problème. Je ne suis pas inquiet, simplement parce qu’elles sont très heureuses, qu’elles ont beaucoup de succès et qu’elles font du très bon travail. Je ne peux pas parler de discrimination parce que nous n’avons jamais rencontré ce problème, Dieu merci. »

Ainsi, pour avoir simplement émis l’opinion que toutes les femmes ne veulent pas ressembler aux hommes, qu’elles peuvent être heureuses autrement qu’en matronne, qu’elles n’ont pas forcément la même conception du bonheur que les mâles et qu’elles n’évaluent pas leurs propres succès aux seuls critères professionnelles, l’imprudent dirigeant est stigmatisé comme le dernier des machos.

À moins, bien évidemment, que ce soit l’allusion aux « dinosaures idiots » qui ait contrarié Maurice Lévy… né en 1942 !

Conseillons alors à Kevin Robert de lui adresser un petit mot de repentance – toujours bien vu, ça ! la repentance, dans le monde du politiquement correct – en lui précisant que chacun a l’âge de ses artères, c’est bien connu…

Publiée dans le quotidien Présent.

09:46 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 03 août 2016

Imprécations contre poignard : efficacité douteuse !

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Bernard Plouvier

Sur les blogs d’informations, circule depuis peu l’ultime phrase du prêtre octogénaire égorgé dans son église de Haute-Normandie, adressée à son assassin : « Vas t’en, Satan ! »… reste à savoir s’il ne s’agit pas d’une de ces pseudo-phrases historiques façonnée par un (pieux) faussaire.

S’il a été réellement prononcé, le très classique « Vade retro Satanas » n’avait de chance d’être efficace qu’en présence d’un chrétien ayant souscrit une assurance-vie éternelle. Face à un tueur musulman, l’imprécation – en dépit de son ancienneté – paraît aussi dérisoire qu’anachronique, à moins que le bon père, à défaut de secours surnaturel, n’ait voulu laisser un message à ses frères et sœurs en Jésus-Christ.

Il y a quelques mois, à l’issue d’une conférence sur la guerre de races qui envahit l’Europe, un orateur s’était vu reprocher par ses auditeurs d’avoir oublié, parmi les armes puissantes dont disposent les Nations européennes, la « transcendance de Notre Seigneur », présentée par les contradicteurs comme l’arme absolue (l’auteur de ces lignes garantit l’exactitude du fait).

En mai 1935, lorsqu’il reçut Pierre Laval au Kremlin, ‘’Staline’’-Dougashvili en vint à parler du pape Pie XI, que venait d’évoquer le ministre français, et sortit la phrase devenue très classique (mais généralement mal présentée par les historiens académiques) : « Le Vatican, combien de divisions ? »… et le tsar rouge n’avait nullement évoqué des divisions blindées, pour la bonne raison qu’en URSS, l’on raisonnait alors en brigades blindées, avant de le faire en corps d’armée blindés.

‘’Staline’’ était un grand rusé. En juin 1941, à l’heure du péril, il promit beaucoup au patriarche de Moscou et la « sainte Russie » fut mobilisée pour la défense de l’URSS. Il est évident que la canaille bolchevique ne tint nullement ses promesses, passée la victoire.      

Croire en une « essence supérieure » ou refuser de le faire est un choix purement individuel. Tant mieux si un croyant se sent conforté dans sa puissance combative par la certitude de « mener le bon combat ». L’on sait, depuis la plus haute Antiquité, que l’espoir d’une vie surnaturelle est nécessaire au courage de certains hommes. Même un chef d’État communiste en fut conscient.

Nul n’a donc le droit de disputer à quiconque une telle assurance ou un tel espoir. En revanche, cette foi ne suffit en aucun cas. Il ne s’agit pas ici de discuter de grâce nécessaire ou suffisante. Il s’agit d’argumenter sur les moyens efficaces, permettant de repousser hors d’Europe une multitude d’envahisseurs malfaisants, criminels, barbares et fanatiques.

Les discours n’ont d’intérêt que s’ils poussent les Européens de souche à sortir de leur molle quiétude, de leur lâche torpeur, pour former des milices citoyennes d’autoprotection, puis – lorsque l’ennemi sera passé de la guérilla (qui existe en France depuis les années 1980) à la guerre civile – à se lancer dans l’action guerrière de légitime défense couplée au devoir naturel de protéger femmes et enfants.

Il ne s’agit nullement d’assurer le triomphe d’une religion sur une autre, mais de rendre l’Europe à ses légitimes propriétaires. Tout ce qui peut fortifier les Européens, les rendre plus virils et courageux est bon. Tout ce qui contribue à les laisser croupir dans leur état larvaire actuel est mauvais.

Les chrétiens d’Europe sont confrontés, comme tous les Européens de souche, à un choix fondamental : la veule soumission au conquérant criminel ou le combat pour recouvrer l’indépendance et procéder à l’épuration impitoyable des collaborateurs de l’envahisseur.

Au prêchi-prêcha globalo-mondialiste d’un pape fort bizarre, on doit opposer Platon, valeur sûre de l’Europe : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de la Cité. Quiconque fait la paix de sa propre initiative et sans le consentement commun sera puni de mort » (in Les Lois).

Nul n’est obligé de croire en une Cité de dieu. Mais il est nécessaire pour l’avenir de nos descendants que nous repoussions hors de notre continent la horde des barbares fanatiques.  

23:31 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alors que le Pouvoir finance la construction de mosquées, il fait évacuer par ses CRS l'Eglise Ste Rita

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Malgré la présence de nombreux paroissiens, parmi lesquels des élus locaux, et profitant de la période estivale, Cazeneuve, en bon petit larbin des spéculateurs de l'immobilier qu'il est, n'a pas hésité à envoyer ses flics évacuer violemment l'église Sainte Rita ce matin.

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Les flics casqués et armés enfoncent les portes de l'église pendant la messe du matin. 

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Les fidèles prient pendant que les flics enfoncent les portes.

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Le prêtre évacué sans ménagement en pleine messe.

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11 h 00 : les meubles de l'église sont jetés sur le trottoir par les domestiques d'Hidalgo.

09:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roger Holeindre s'adresse à la jeunesse de France

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Mes amis,

Notre pays est en danger de mort car nous sommes “menés” par des sectaires et des idéologues prêts à tout pour être réélus, et gouvernés par des mondialistes apatrides inféodés à la haute finance.

Notre “Président” de la République, devant le résultat de plus en plus calamiteux des sondages s’accroche au pouvoir et à ses avantages, tel un bigorneau à son rocher. La simple honnêteté voudrait qu’il parte… Mais il préfère magouiller… tricher… mentir… pour revenir dans les palais nationaux

Pour cela, il n’hésite pas à dépenser des millions d’euros… de nos impôts… pour placer… récompenser… acheter… ou fidéliser ses amis de la “gauche” soi-disant prolétarienne… qui, en fait, méprisent le peuple… qu’ils accusent de faire du populisme…. Dorénavant du “trumpisme” (Sic). Ils s’alignent ainsi sur M. Jospin qui n’hésita pas, à son époque, à traiter les anti-socialistes de “populace”.

Ce même Jospin d’ailleurs, avec Chirac… décréta que… « l’Europe ne devait pas devenir un club chrétien » (Sic).

Tout ce que le peuple de France reproche à nos dirigeants et à leurs maîtres mondialistes est pourtant malheureusement VRAI et PROUVÉ !

Valls, se prenant pour “Benito” mais jouant le “républicain espagnol” (alors que sa famille était dans l’autre camp)… n’a pas hésité, le 23 janvier 2015, à déclarer à des étudiants… « Les jeunes Français doivent s’habituer à vivre durablement avec la menace d’attentats » (Sic).

— Cela ne l’a pas empêché…

  • de laisser, durant des mois, Mme Taubira refuser d’interner des “terroristes” repérés et fichés.
  • de laisser plusieurs de ses ministres déclarer que… « A la différence de l’Islam… le catholicisme est incompatible avec la République. »

Après les 129 morts et les 350 blessés du 13 novembre 2015… puis les 84 morts et 200 blessés du 14 juillet 2016… plus l’innommable assassinat d’un vieux serviteur de Dieu dans son église de la France profonde… il a cru nécessaire de déclarer au Journal du Dimanche que… certes… il redoute le terrorisme, mais surtout la guerre civile suscitée par l’extrême droite. (On croit rêver !)

Il faut quand même un sacré culot pour oser déclarer des choses aussi ineptes, et voir dans la colère qui monte en France… un quelconque complot de droite !

Il est vrai qu’un de ses sous ordres policiers, le sieur Patrick Calvar, patron de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), n’a pas hésité, lui, à expliquer longuement aux membres de la Commission de la Défense de l’Assemblée nationale… qu’il existait un danger encore plus grand, une menace « presque invisible » (Sic) « La menace fomentée par l’ultra droite. » Il a terminé son exposé par cette phrase… « Vous aurez une confrontation entre l’ultra droite et le monde musulman. Pas les islamistes… mais bien… le monde musulman ».

C’est avec ce genre de déclaration que ces messieurs du pouvoir pensent se maintenir en place… et y revenir. Cela s’appelle de la haute trahison. Avec la complicité de toute la presse “faisandée” et soutenue financièrement… ils accusent, en proférant des mensonges éhontés, les alertes pathétiques de ceux qui préviennent nos concitoyens… que le changement de peuple est en cours.

Ils cachent qu’une note confidentielle nous apprend que… « 95 députés socialistes ont déposé un projet de loi donnant aux Algériens nés en France ou en Algérie avant 1963 (avant l’indépendance) la citoyenneté française sur simple demande. »

Alors, jeunes de mon pays, faites attention. Ecoutez vos anciens qui ont toujours tout donné pour la patrie… Ces hommes sont dangereux ; ne vous laissez pas abuser… manipuler. C’est par les urnes… quoi qu’ils fassent… que nous les chasserons ! Ne tombez pas dans leur piège grossier, mais réel. Méfiez-vous de leurs provocations flicardes.

La situation dramatique que vit notre nation a été voulue, organisée, financée… par cette mafia internationaliste qui s’appuie sur le mensonge et la falsification de notre histoire, grâce à l’accaparement des médias.

Restez propre dans votre cœur et dans votre tête… N’oubliez pas que vous vivez sur une terre chrétienne, hier fille aînée de l’Eglise… Vous êtes en majorité catholiques… Soyez en fiers !

La France est le pays le moins raciste du monde, mais vous avez le droit, et surtout le devoir, de rester… catholiques et français toujours… et tous ceux qui viennent d’ailleurs, disposant chez nous de toutes les libertés et de tous les avantages sociaux, doivent respecter nos lois, nos coutumes.

Oui, méfiez-vous des provocateurs ! Soyez respectables pour être respectés, afin que VIVE LA FRANCE !

Roger Holeindre

Président du Cercle national des Combattants

Président d'honneur du Parti de la France 

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Un appel des défenseurs de Ste Rita à Paris

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L'église Sainte Rita est de nouveau menacé, l'ordre d'expulsion

est pour ce mercredi 3 août à 6 h 30.

Venez nombreux pour l'empêcher !

Adresse : 27 rue François Bonvin 75015 Paris

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mardi, 02 août 2016

IL INTERVIENDRA DIMANCHE 2 OCTOBRE PROCHAIN A RUNGIS :

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Prenez dès maintenant votre billet d'entrée cliquez là

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Une pensée pour Maurice Bardèche

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Croire ou ne pas croire en la rééducation des terroristes

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Bernard Plouvier 

Depuis trois millénaires et demi - d’abord avec Akhenaton-Aménophis IV, 14 siècles avant notre ère, puis avec Zoroastre 7 siècles plus tard, enfin avec Jésus de Nazareth -, on nous assure que la création serait belle et bonne, puisqu’étant issue d’un dieu bon… même si un dieu mauvais ou des anges dévoyés devenus démoniaques l’auraient pervertie.

En Europe occidentale, il fallut attendre le XVIIe siècle après J.-C. pour généraliser cette autre croyance absurde : l’agressivité humaine serait le fruit de la peur et de l’ignorance. En conséquence, depuis le milieu du XVIIIe siècle, une invraisemblable quantité de réformateurs optimistes se sont proposé d’éduquer les humains, puis de les rééduquer après un passage à la délinquance ou au crime.

Pourtant, il existe à peu près autant d’observateurs du monde animal et de son soi-disant chef d’œuvre, l’Homo sapiens sapiens, qui, après de longues études et de saines réflexions, ont considéré que l’avidité, la jalousie et la joie de nuire à autrui étaient des facteurs bien plus puissants que la peur et l’ignorance pour expliquer la haine, les pulsions meurtrières, la méchanceté gratuite, toutes choses qui trouvent un moderne apogée dans le terrorisme islamique, actuel sommet de l’agressivité de la bête humaine, ayant détrôné le marxisme au hit-parade de la nuisance suprême.

De fait, en dépit d’une alphabétisation générale (du moins en zones occidentales), malgré de fabuleux progrès scientifiques et techniques, le XXe siècle de l’ère si mal dénommée « chrétienne » fut sans conteste le plus sanglant et le plus inhumain de l’histoire humaine. On reconnaît volontiers que la préhistoire semble avoir été assez sordide, mais l’on connut, à compter de 1914, de nombreux exemples de cannibalisme et de tortures immondes, et l’on en vint même à redonner une actualité aux génocides bibliques. Le XXIe siècle, à peine entamé, s’avère pire encore, par l’agitation de millions de sous-doués qui veulent imposer à l’humanité la barbarie et l’obscurantisme musulmans.

L’éthologie comparée nous enseigne que ni le rire ni la guerre intra-spécifique [au sein de la même espèce] ne sont le propre de l’homme… tant pis pour Aristote et une foule d’auteurs ignares. Anéantissant impitoyablement une multitude d’œuvres de profonds penseurs béats (philosophes, sociologues, économistes, éducateurs, psychologues, sans oublier les imposteurs de la psychanalyse), l’histoire humaine des deux derniers siècles nous apprend que la rééducation des grands criminels autant que celle des petits délinquants est statistiquement illusoire.

Un terroriste n’est pas un « fou d’allah » ou de n’importe quels autres divinités ou cultes politiques. C’est soit un psychotique délirant (en langage populaire, un fou dangereux), soit un psychopathe, incapable d’agir efficacement dans une société, et d’autant plus avide de sentir sa toute-puissance s’exercer sur des proies, faciles parce que désarmées, soit un sociopathe, un tueur en série qui procure à sa haine sociale l’alibi d’une soi-disant noble cause, religieuse ou politique.  

Le terrorisme est en soi un acte de guerre. C’est l’expression la plus achevée de la haine envers l’humanité dans son ensemble ou envers une société particulière. C’est le summum de la joie de nuire à un prochain anonyme, pour des fanatiques politiques ou religieux, mais aussi pour d’innombrables petites frappes incultes, passées de la délinquance et du crime de droit commun à la féérie activiste.

Ne pas y répondre de façon appropriée est la pire erreur que l’on puisse commettre : c’est encourager à la récidive. Par leur faiblesse dans la réaction à la barbarie islamique, les adultes d’Europe occidentale et scandinave sont grandement fautifs, mettant en danger la jeune génération de souche européenne qu’ils ont pourtant le devoir de protéger. Il n’est qu’une réponse au terrorisme : l’élimination radicale des acteurs, des inspirateurs et des complices.

En outre, comme l’unique cause actuelle de terrorisme en Europe est l’islam djihadiste, les Européens de souche doivent organiser le grand retour en terres de charî’â des musulmans. L’adage « Chacun chez soi » demeure le fondement d’une société saine. Le dogme « un continent  = une race » doit demeurer la règle, les amateurs de brassage racial ayant le très vaste continent des Trois Amériques pour assouvir leur penchant.

Les européens doivent abandonner, sans regret ni esprit de retour, la dangereuse absurdité d’une amélioration des mentalités humaines, parallèle aux progrès scientifiques et techniques, ainsi que l’illusion grotesque de la rééducation possible des canailles et des crapules. L’homme, produit de sa génétique, demeure moralement inchangé depuis la préhistoire, comme demeurent immuables les comportements de toutes les autres espèces animales.

Qui est génétiquement programmé pour être une canaille ou une crapule peut résister à la tentation du passage à l’acte, grâce à ses facultés de libre-arbitre et de transcendance, devenant un saint. Mais s’il cède une fois à la part pourrie de son programme génétique, il récidivera dès qu’il en aura la possibilité.

Un saint est un personnage admirable, mais il n’en est pas moins une exception. L’assassin, le terroriste, le violeur, le trafiquant de drogues et d’armes sont les équivalents humains de la bête féroce, mais en pire, car l’homme (c’est un terme générique « qui embrasse la femme »… enfin pas tous et pas toutes) est doté d’une intelligence et d’une inventivité, donc d’une malfaisance, bien supérieures à celles des autres espèces animales.

Une fois admises ces notions, il faut en tirer toutes les conséquences.

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Revue de presse, un entretien avec Jean-Louis- Harouel : Pour combattre l'islamisme,en finir avec la religion des droits de l'homme

JeanLouisHarouel.jpgPar Alexandre Devecchio

FIGAROVOX

1er aout 2016 

FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Faut-il adapter l'Etat de droit pour vaincre la menace terroriste ? Dans un entretien fleuve, l'historien du droit et auteur de Les droits de l'homme contre le peuple, Jean-Louis Harouel (*) répond aux questions du FigaroVox.

Après l'attentat de Nice qui a fait plus de 80 morts et l'assassinat sauvage d'un prêtre en pleine messe de Saint-Etienne-du-Rouvray par des islamistes, le débat politique porte désormais sur la question de l'Etat de droit. C'est justement le thème de votre livre: Les droits de l'homme contre le peuple …

De fait, alors que les droits de l'homme sont la seule identité que nos gouvernants veuillent bien aujourd'hui revendiquer pour la France, ils sont devenus depuis quelques décennies une véritable religion séculière obsédée de non-discrimination et destructrice des nations, qui handicape mortellement notre pays dans sa confrontation avec l'islam de masse installé sur son sol. Longtemps niée par les responsables politiques au pouvoir, cette situation catastrophique est enfin reconnue sous l'effet brutal des récents massacres commis au nom de l'islam.

Dans un entretien au Monde, Nicolas Sarkozy affirme : « Si les démocratie ne défendent pas les citoyens, les citoyens se défendront de la démocratie ». L'Etat de droit est supposé protéger les Français. Aujourd'hui paradoxalement les met-il en danger ?

N'en déplaise à Nicolas Sarkozy, ce qui est en cause ici, ce n'est pas la démocratie, mais au contraire un déficit de démocratie, dont il est d'ailleurs lui-même largement responsable. La démocratie libérale consiste dans la souveraineté du peuple combinée avec les libertés publiques garantissant les citoyens contre d'éventuels excès d'autorité des gouvernants. Or, aujourd'hui, ce n'est plus le peuple qui est souverain, ce sont les dogmes de la religion des droits de l'homme, mortifère pour les peuples européens.

La fonction de la démocratie est d'assurer à un peuple la maîtrise de son destin, de son territoire, de son identité, de son contenu humain, de ses grands choix de société. Or, sur tous ces points, si l'ont met à part la Grande-Bretagne, il y a belle lurette que les peuples d'Europe occidentale ne sont plus en démocratie, à la notable exception du peuple helvétique.

De manière fallacieuse, ce que l'on baptise maintenant démocratie, c'est le règne de la religion séculière des droits de l'homme dont les diktats souvent délirants sont imposés aux peuples européens — via leurs élus et leurs gouvernants sans consistance — par la bureaucratie de Bruxelles et par les divers juges nationaux et supranationaux auto-investis d'une fonction prophétique leur permettant de «découvrir» sans cesse de nouveaux «droits fondamentaux» aux effets pro-catégoriels, destructeurs de ce qui reste de cohésion, de sécurité des personnes et des biens, et de valeurs de durée dans les sociétés européennes.

C'est parce qu'on a traité les peuples européens en mineurs sous tutelle incapables de savoir ce qui est bon pour eux que l'on a laissé se développer une présence islamiste aussi massive, que notre arsenal juridique est aussi inadapté à la réalité et que les autorités françaises sont aujourd'hui si désemparées face au déchaînement de la violence djihadiste. En conséquence, le retour à la protection des citoyens passe par le retour à une démocratie véritable.

Dans votre livre, vous sous-entendez que les islamistes se servent des droits de l'homme pour mieux accroître leur influence en Europe et singulièrement en France. Comment ?

Longtemps, les droits de l'homme se sont confondus dans la pratique avec les libertés publiques des citoyens au sein des États-nations démocratiques. Avec le passage à la religion séculière des droits de l'homme, il y a eu à partir du milieu du siècle dernier un véritable changement de nature qui se marque dans la langue anglaise par l'antithèse rights of man/human rights, dont le second terme a correspondu en France à ce qu'on appelle les «droits fondamentaux», notion introduite dans les années 1970 et dont les grands bénéficiaires sont les étrangers. L'islam en a profité à plein pour installer en France, au nom des droits de l'homme et sous leur protection, la civilisation musulmane, ses mosquées et ses minarets, ses modes de vie, ses prescriptions et interdits alimentaires, ses comportements vestimentaires, voire ses règles juridiques en violation du droit français: mariage religieux sans mariage civil, polygamie, répudiation unilatérale d'une épouse par le mari, etc.

À travers une foule de revendications identitaires téléguidées par eux, les milieux islamistes et notamment l'UOIF (Union des organisations islamiques de France) ont instrumentalisé les droits de l'homme pour appesantir leur contrôle sur les populations originaires du nord de l'Afrique et les contraindre au respect de l'ordre islamique, faisant en particulier tout leur possible pour empêcher les jeunes nés en France — auxquels nous avions commis l'erreur d'attribuer massivement la nationalité française — de devenir sociologiquement des Français.

Dans un communiqué transmis au journal Corse Matin, le mouvement clandestin nationaliste, FLNC, menace les islamistes radicaux d' « une réponse déterminée» et estime que l'État français aurait «si un drame devait se produire chez nous (...), une part importante de responsabilité ». Que cela vous inspire-t-il ?

Une certaine inquiétude, car des représailles privées n'arrangeraient sans doute rien, bien au contraire. En même temps, cette mise en garde montre que la force du sentiment identitaire donne à un groupe une combativité indispensable pour gagner une guerre. Or, de manière tragique pour la France, tout a été fait depuis un demi-siècle pour y détruire le sentiment identitaire, pour y interdire tout amour du pays, toute fierté d'être français. Les jeune générations n'ont entendu parler que de culpabilité de la France, de repentance, d'amour de l'autre jusqu'au mépris de soi. Notre Éducation nationale est non seulement médiocre et déculturée: elle impose sur le mode de la propagande une éducation anti-nationale.

Tous les jeunes Français devraient savoir que l'élément fondateur de l'identité européenne a été historiquement son ancrage dans la chrétienté et son refus obstiné de basculer dans le monde islamique. L'Europe n'a pu exister et avoir le destin brillant qui fut le sien durant des siècles que grâce à son rejet farouche de l'islam. C'est ainsi qu'elle a pu s'arracher aux conceptions théocratiques — dont relève l'islam — et construire non sans peine cette disjonction du politique et du religieux qu'on appelle en France laïcité, dont l'origine se trouve dans la célèbre parole christique : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ».

L'ancien président de la République propose d'adapter l'Etat de droit. Le risque n'est-il pas d'aller trop loin ? Comment placer le curseur entre préservation des droits individuels et nécessité de nous défendre collectivement ?

Le problème est que nous ne sommes plus dans le cas d'un État-Nation culturellement homogène, qui est l'organisation politique d'un peuple. Il y a eu pour une part importante changement de peuple. Si bien que la «communauté nationale» dont on nous rebat les oreilles n'est plus qu'une fiction. La vérité est que trop souvent, sur le territoire de la France, nous sommes deux peuples, deux civilisations face à face. Et il est légitime que le peuple autochtone préserve sa survie en restant maître de son pays.

Certains proposent la mise en place d'un «Guantanamo à la française». On ne peut pas dire que cela a été une réussite pour les Etats-Unis, même d'un strict point de vue sécuritaire…

Une chose est sûre: un groupe humain ne peut pas se battre efficacement contre un ennemi implacable en tolérant dans son sein la présence d'éléments par lesquels il est en droit de craindre d'être combattu de l'intérieur. Pendant la Seconde guerre mondiale, à la suite de Pearl Harbour, les États-Unis avaient enfermés dans des camps leurs ressortissants d'origine japonaise. La chose est aujourd'hui très critiquée au nom des droits de l'homme, mais dans le contexte de l'époque, elle a paru indispensable et légitime.

Il y a en outre d'autres pistes telles que l'incrimination de comportements hostiles, les condamnations pour intelligence avec l'ennemi, trahison, l'interdiction de séjour sur le territoire national, la déchéance de nationalité (pas seulement pour des bi-nationaux), le retour à la mort civile, l'expulsion. Il faut pour cela passer outre aux interdits de la Cour européenne des droits de l'homme qui refuse qu'on puisse faire un apatride. À quoi on peut au demeurant rétorquer que les islamistes méprisent les nations particulières et ne se réclament que de la nation musulmane mondiale: l'oumma.

Le succès de l'islamisme, notamment auprès de jeunes qui sont nés en France, révèle une profonde crise de civilisation. Si à court terme la réponse sécuritaire peut-être une solution, sera-t-elle suffisante à long terme ? Que faire ?

Il y a effectivement deux problèmes distincts: d'une part l'horreur spectaculaire des massacres perpétrés par des djihadistes ; et d'autre part le processus silencieux et occulté de la conquête islamiste dont je fais état dans Les droits de l'homme contre le peuple. Il ne fait pas de doute que dans le projet islamiste, l'Europe occidentale est redevenue une terre à prendre, une proie pour l'islam. Les islamistes pensent que le moment est venu pour les musulmans de reprendre une conquête de l'Europe occidentale rejetée il y a un millénaire par la vigoureuse résistance des Européens. Professeur d'histoire du Maghreb contemporain, Pierre Vermeren observe que de nombreuses mosquées créés en France ont reçu un nom évocateur de l'idée de la conquête par l'islam.

Face à ce processus de conquête, le premier devoir des États européens est d'y mettre enfin un coup d'arrêt. L'Europe se doit de bloquer immédiatement l'immigration et la venue de réfugiés. Le devoir des dirigeants européens est de faire savoir que l'Europe ne peut pas accueillir un seul musulman de plus, vu la dangerosité pour elle de la présence islamiste, qu'il s'agisse des attentats ou de la mécanique conquérante. Les pays européens doivent dire clairement que les réfugié musulmans ont vocation à être accueillis par des pays musulmans, que c'est à l'Arabie saoudite et autres richissimes monarchies pétrolières de les accueillir, ou à défaut de financer leur accueil par d'autres États musulmans.

Quant aux musulmans déjà présents sur le sol européen, il faut bien qu'ils aient conscience que, malgré la liberté des cultes pratiquée en Europe, l'islam politique n'y est pas légitime. Elle n'est pas légitime car elle est un système politique et juridique qui viole la disjonction du politique et du religieux qui fonde la civilisation européenne. Et elle n'est pas légitime à cause de son refus de la liberté de pensée, de l'infériorité qu'elle inflige aux femmes et aux non-musulmans, de la caution qu'elle apporte à l'esclavage, des appels à la violence qui figurent dans ses textes saints.

Toutes ces vérités, les dirigeants européens ne sont certes pas prêts à les dire car la religion séculière des droits de l'homme leur défend de le faire. Et pourtant, ils y seront peut-être un jour acculés par la violence djihadiste.

Tôt ou tard, interviendra sans doute un massacre encore plus terrible commis par des islamistes. Ce sera le massacre de trop. Et alors, les dirigeants français seront bien obligés la démolition des mosquées salafistes, la dissolution des organisations de cette mouvance, l'expulsion des prédicateurs étrangers, la construction de forteresses militaires pour contrôler les quartiers dominés par l'islamisme.

Étrangement, la monstruosité même du terrorisme dont l'islamisme flagelle aujourd'hui la France lui permettra peut-être d'inverser le processus de la conquête islamique.

(*) Agrégé des Facultés de droit, Jean-Louis Harouel est professeur émérite d'Histoire du droit à l'Université Paris Panthéon-Assas. Il vient de publier Les Droits de l'homme contre le peuple (éd. Desclée de Brouwer, 2016).

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Samedi 3 septembre, près de Bordeaux :

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lundi, 01 août 2016

Naïveté, ignorance ou mensonge diplomatique ?

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Bernard Plouvier

On imagine volontiers qu’il existe des musulmans austères, honnêtes et charitables, comme il en existe chez les chrétiens et les bouddhistes. On rencontre même ce genre d’individus chez les athées !

Le Pape François, grand communicateur, mais aussi bizarre désinformateur, fait la Une des blogs du Net (et des rares journaux-papiers encore diffusés) avec sa casuistique – qui n’a guère de subtilité et moins encore d’originalité : « L’islam n’est pas le terrorisme » !

On rejoint ainsi le discours mondialiste sur l’amalgame, jugé intolérable par les dévots de l’économie globale et du pétrodollar… cet amalgame estimé, au contraire, nécessaire par tous ceux qui ont lu et médité le coran et quelques volumes de hadîths.

Certes, on veut bien reconnaître que Mahomet, homme des VIe et VIIe siècles, n’a pas vanté les mérites de la sainte Kalachnikov ou du précieux C4, ni conseillé d’utiliser les avions des lignes commerciales comme des engins de destruction massive, pas plus que les camionnettes-bélier. On imagine que l’archange Gabriel n’avait pas le don de préscience.

Toutefois, les sourates 2,3, 8, 9, 10, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 recommandent le djihâd – la guerre sainte – avec appropriation des biens des infidèles vaincus, qui doivent être exterminés s’ils refusent de se convertir. La sourate 4 exige la mise à mort des apostats de l’islam. Il y a de quoi terroriser des populations d’infidèles, confrontées à un islam sunnite fort et violent (les Arméniens ont éprouvé cette puissance de destruction en 1896-98 puis en 1915-16, comme l’avaient fait, en 1896 et en 1903, les Macédoniens orthodoxes).

Le pape, jésuite de formation, donc a priori savant, doit avoir appris que le chiite Hassan ibn al-Sabbah (le Vieux de la Montagne) n’eut aucun mal, au XIe siècle, à créer une petite armée de terroristes, déjà gavés de haschich et de promesses d’un paradis fort terre-à-terre. Les Talibans sunnites et successeurs n’ont fait que reprendre une tradition ancestrale.

En principe, avant de prononcer sa docte ânerie sur l’islam non terroriste, le pape a dû étudier les textes d’un prêtre particulièrement instruit en cette matière, puisqu’il vivait au contact des fanatiques austères du Sahara. Dans une lettre, datée du 29 juillet 1916, Charles de Foucault (béatifié en 2005, ce n’est pas si vieux que notre jésuite ait pu l’oublier) prévoyait une flambée de haine destructrice et meurtrière de l’islam, activée par les marabouts et autres imams, dès que fléchirait la volonté pacificatrice du colonisateur blanc.

Le premier Guide suprême de la révolution iranienne, le sieur Khomeiny, pour l’élément chiite, le calife de Mossoul, Abou Bakr II, pour l’élément sunnite, ont représenté et représente toujours pour le second, les équivalents de ce qu’est un pape pour les catholiques. Et ces messieurs ont prêché la haine, le second prônant le terrorisme indifférencié, pouvant même toucher des musulmans – victimes innocentes et « dommages collatéraux » qu’allah est censé reconnaître et accueillir en son paradis.

Tendre la joue gauche après avoir été cogné sur la droite n’est, certes pas, un principe de la boxe. Se défendre lorsqu’on est attaqué est parfaitement légitime. A contrario, nier que le djihâd fasse partie intégrante des commandements fondamentaux de l’islam, c’est du pur délire… que d’aucuns, commentateurs charitables, pourraient faire passer pour une naïveté angélique, digne du proto-christianisme, époque où chaque chrétien attendait soit la parousie, soit le martyre pour rejoindre le père supposé de l’humanité dans son paradis.

Les Européens de souche, envahis et meurtris par l’islam conquérant, l’islam guerrier, l’islam terroriste, n’ont que faire de la naïveté évangélique. Ils ne doivent pas ignorer les principes de haine de leurs ennemis. La lecture du coran devrait être rendue obligatoire à tout électeur européen. Seule l’ignorance permet de croire en un islam de fantaisie, aimable et tolérant.

Quant à la diplomatie, elle n’est utile qu’aux sectateurs de l’avatar moderne du veau d’or : le pétrodollar, qui est l’un des piliers de l’économie globale, telle qu’elle est comprise à Wall Street et à Washington, vénérée par les Obama et Clinton, pantins vénaux des vrais maîtres.

Les temps de Léon XIII (l’homme de l’encyclique Rerum novarum) et de Pie XII (l’homme qui ordonné de sauver tant de proies convoitées par les nazis, dont une multitude de Juifs) sont révolus. Pour n’avoir pas compris cette triste réalité : l’évolution morbide d’un Vatican affairiste, Benoît XVI a été renvoyé comme un domestique trop usé.

Mais, était-il nécessaire de salir le prénom du saint le plus vénéré, peut-être parce qu’il fut le plus masochiste et le plus naïf de la catholicité, pour se lancer dans la grande politique globalo-mondialiste ? Après tout, si même un athée peut reconnaître la grandeur spirituelle d’un être d’exception, un prélat devrait avoir un minimum de retenue lorsqu’il se lance dans la pire démagogie.    

11:33 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DES MAINTENANT : RETENEZ CETTE DATE

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On en reparle...

Les Amis de Synthèse nationale cliquez ici

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Après « FORTIS m’a tuer ! », « DEUTSCHE BANK, le plongeon » ?

fortis.gifPieter Kerstens

Petit devoir de mémoire : Les multiples mensonges, tergiversations, magouilles et autres prévarications entourant cette « affaire » ont finalement contribué à la chute du gouvernement Leterme le 19 décembre 2008 en Belgique.

Comment cette saga ubuesque, concernant le premier groupe privé de bancassurance belge, a-t-elle bien pu aboutir à une crise politique majeure dont le plat pays se serait bien passé ?

A première vue, RIEN de catastrophique ne devait arriver à FORTIS au début de l’automne 2007 -où personne en Belgique ne souhaitait évoquer la crise américaine des « subprimes »- alors même que les dirigeants de cette holding venaient de racheter le géant financier hollandais ABN-AMRO (précédemment convoité par BNP-PARIBAS).

A cette époque, les politiciens se chamaillaient toujours pour se partager les ors du Pouvoir, après les résultats des élections de juin 2007 ! Il faut savoir que la formation d’un gouvernement en Belgique relève de la gageure, car les résultats électoraux étant à la proportionnelle, les choix pour les portefeuilles en jeu se font autour d’un « consensus » et le résultat se trouve souvent à l’encontre des souhaits des électeurs. C’est ce qui c’est passé pour le gouvernement d’Yves Leterme, lequel a été obligé de nommer des ministres socialistes (alors que le PS avait perdu beaucoup de suffrages) pour bénéficier d’une majorité à la Chambre, indispensable à la pérennité de l’Exécutif. Ceci n’a pu être réalisé qu’au début de 2008 !

Pendant ces 9 mois consacrés à des palabres et des « négociations » partisanes pour se partager le gâteau, la tempête financière et bancaire dévastait les USA et les premières bourrasques soufflaient sur l’Europe. Ici et là, aux travers des médias, un articulet avertissait quand même les décideurs que l’horizon des plantureux bénéfices et dividendes astronomiques risquait de se boucher. Croyez-vous alors que les décideurs et nos gouvernements s’en seraient souciés ? Nenni braves gens !

De leur côté, le comte Maurice LIPPENS et ses fidèles lieutenants (Votron, Verwilts, Mitler, Dierckx et consorts) aux manœuvres de la banque FORTIS avaient déjà procédé à une première dilution de capital et en préparaient une seconde pour trouver les deniers indispensables à régler la note de l’achat d’ABN-AMRO. Et là, la pilule passait déjà mal auprès de certains gros actionnaires, qui l’avaient fait savoir précédemment, en arguant que « la grenouille voulait se faire aussi grosse que le bœuf » ! Plusieurs s’en sont donc dégagés, anticipant une catastrophe qui se dessinait. Leurs témoignages ont été diffusés dans les médias, après le 6 octobre 2008.

Par contre, pour les centaines de milliers d’actionnaires crédules, les millions de clients et les dizaines de milliers d’employés « tout allait bien Madame la Marquise », selon le refrain diffusé en boucle par les médias « aux ordres ».

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11:20 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |