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jeudi, 27 octobre 2016

Il est encore temps d'acheter le n°10 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Pierre Drieu la Rochelle

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11:54 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie le 6 novembre d'un nouveau roman-fiction sur l'avenir de la France

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A ne pas manquer, on en reparle...

10:53 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après Calais, Civitas organise une conférence à Metz et une autre à Strasbourg

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10:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une exposition à Rome pour les 70 ans de la création du Mouvement social italien

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Une exposition consacrée aux 70 ans de la naissance du MSI (Mouvement social italien) a été inaugurée le 20 octobre à Rome en présence de nombreux anciens membres du MSI tels Gianfranco Fini qui porte une lourde responsabilité dans la destruction de ce mouvement au milieu des années 1990, Ignazio La Russa (Frères d’Italie-Alliance Nationale), Gianni Alemanno (ancien maire de Rome), Maurizio Gasparri (Forza Italia).

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Notre ami Mario Borghezio (député européen de la Ligue du Nord, en photo ci-dessus), la veuve de l’ancien ministre MSI Pinuccio Tatarella, la fille de Pino Rauti ainsi que la veuve de l’ancien secrétaire national du MSI Giorgio Almirante décédé en 1988 étaient présents à cette cérémonie.

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Dans quelques semaines sortira le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme qui sera justement consacré à l'épopée du MSI. C'est à Massimo Magliaro, ancien directeur du quotidien Il Sécollo d'Italia et proche collaborateur de Giorgio Almirante que nous devons la rédaction de ce cahier. Dans le dernier numéro de Synthèse nationale, vous pouvez lire un article de Massimo Magliano sur la fin du MSI. 

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Lire aussi l'article de Lionel Baland cliquez là

09:45 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fête du livre de Renaissance catholique le dimanche 4 décembre à Villepreux (78)

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09:19 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Budapest 1956 (Jean-Pax Mefret, années 80)



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mercredi, 26 octobre 2016

La théorie de la conspiration n’est pas fasciste

Protocoles-Sages-Sion-e.jpgNicolas Bonnal

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On confond dans nos médias subtils néonazisme et théorie de la conspiration, croyant ainsi condamner ceux qui, venus de droite, de gauche, du gaullisme ou du communisme, ne supportent plus ce système et son information.

Au lieu d’écouter les experts, on ferait mieux de s’adresser au monstre directement. Voici ce qu’Hitler écrit de la conspiration et des conspirateurs (Mein Kampf, pp. 253-255) : « Seuls, de tout petits groupements, après des années de filtrage, pourraient acquérir le caractère de véritables organisations secrètes. Mais l’exiguïté même de pareilles formations leur enlèverait toute valeur pour le mouvement national-socialiste. »

Le bric-à-brac ésotérique sur Thulé et le nazisme est arrivé après la guerre, destiné sans doute à diaboliser intellectuellement l’objet de toutes les haines postmodernes. Mais voici en tout cas ce que veut Hitler : des militants et pas des conspirateurs : « Ce dont nous avions besoin, ce n’étaient pas de cent ou deux cents conspirateurs audacieux, mais de centaines de milliers de militants fanatiques épris de notre idéal. Il fallait travailler non pas dans des conciliabules secrets, mais par de puissantes démonstrations de masses, et ce n’était point par le poignard ou le poison ou le revolver que le mouvement pouvait vaincre, c’était seulement par la conquête de la rue. »

La théorie de la conspiration vide la rue, remplit les boîtes aux lettres, empêche la prise du Pouvoir. C’est pourquoi elle est encouragée par le Pouvoir qui la met en vedette en mimant la sévérité professorale.

Or : « Nous devions faire comprendre au marxisme que le national-socialisme était le maître futur de la rue, et qu’il serait un jour le maître de l’État. »

Hitler insiste sur les dégâts moraux de la théorie et surtout de la pratique de la conspiration : « Le danger des organisations secrètes est encore actuellement dans le fait que leurs membres perdent souvent toute notion de la grandeur de leur tâche, et qu’ils croient que le sort d’un peuple peut être décidé par un meurtre. »

Opération JFK mal vue, donc…

Pour Hitler, le problème est simple : la conspiration est réservée aux flemmards et la grandeur réside dans le mouvement social actif qui a disparu aujourd’hui, du côté des partis au Pouvoir comme du côté des contestataires.

« Pour préserver aussi le militant de toutes les tentations de nourrir son activité par de petites conspirations, on devait, dès le début, l’initier complètement à la grande idée du mouvement et l’entraîner si entièrement à la tâche de la défense de cette idée, que son horizon s’élargirait aussitôt… De cette façon, la lutte contre l’État actuel était élevée au-dessus de l’atmosphère de petits actes de vengeance et d’activités de conspirateurs. »

De ce point de vue, on pourra dire que la théorie de la conspiration, et sa pratique par nos légistes n’est pas « fasciste » : avis à nos nuées d’experts TV donc. Elle reflète nûment l’involution d’une société repue, ludique et fatiguée.

Sur la théorie de la conspiration, lire Protocoles des sages de Sion : un paradoxe politique, théorique et pratique : « C’est un faux, c’est pour une très faible part un plagiat, c’est surtout un extraordinaire ouvrage de politique, théorique et pratique. Cet ouvrage comprend quatre textes : « Réflexions sur les « Protocoles » des Sages de Sion » de Bernard Plouvier, suivi des Éditions définitives des textes intégraux des livres de Serge Nilus (« « Protocoles » des sages de Sion »), Maurice Joly (« Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu »), suivi d’une victoire de Me Éric Delcroix (« L’abrogation de l’article 14 de la loi du 29 juillet 1881 »). Pour en savoir plus, cliquez là

08:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DÉMANTÈLEMENT DE LA « JUNGLE » DE CALAIS : ENTRE IMPOSTURE ET DÉMAGOGIE CRIMINELLE

img-aff-remigration-dissidence-francaise.pngUn communiqué de

la Dissidence française :

Hier a débuté l’évacuation des immigrés clandestins de la « jungle » de Calais. Des dizaines de cars affrétés spécialement pour l’occasion, aux frais du contribuable, ont été dépêchés sur place avec pour mission de disséminer ces immigrés aux quatre coins de la France. La situation a déjà commencé à dégénérer. Incendies dans la jungle, heurts et affrontements entre migrants, grogne des maires, des élus locaux et des riverains de dizaines de communes à qui le gouvernement impose sans concertation l’arrivée de centaines d’immigrés clandestins… Des observateurs ont déjà pu constater que nombre de ces « migrants » ont profité de leur transfert pour s’échapper à la première occasion, parfois aidés par des activistes gauchistes « no-borders ». Malgré les annonces faussement rassurantes des autorités, nul ne sait qui ils sont, ni où ils comptent aller.

Tandis que l’hiver s’installe et que plusieurs dizaines de Français de la rue crèveront une nouvelle fois dans l’indifférence générale, le gouvernement prend soin de ses « migrants » : allocations, aides de toutes sortes, hébergement et transport gratuit, impunité judiciaire…

Au-delà des effets d’annonce, une réalité : le gouvernement Hollande-Valls se montre parfaitement incapable de répondre avec fermeté à cette crise et ne fait qu’aggraver la situation en multipliant des « jungles » partout en France. Jamais le taux de reconduites à la frontière des déboutés du droit d’asile n’a été aussi bas, et jamais les autorités françaises n’ont fait preuve d’un tel laxisme judiciaire avec des ressortissants étrangers, parmi lesquels nul ne sait combien ont prêté allégeance à l’État Islamique et commettront dès qu’ils en auront l’occasion des actes terroristes.

Il y a urgence. Depuis des décennies, les gouvernements successifs dit de « gauche » ou de « droite » n’ont fait qu’accentuer et organiser cette invasion, précipitant notre pays vers une guerre civile aux conséquences inimaginables. Depuis plusieurs années, la Dissidence Française a formulé des propositions fortes, et publié son Plan d’urgence pour Calais qui, s’il était appliqué, réglerait une fois pour toute le problème. D’une manière plus générale, seul un changement radical de politique migratoire, sociale et judiciaire pourra protéger les Français du terrorisme et inverser le processus d’invasion migratoire.

Aidez-nous à imposer nos solutions et faire entendre la voix du pays réel.

Le changement, ce sera nous. De gré, ou de force.

Source cliquez ici

07:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les veinards...

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07:51 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 5 novembre : une journée identitaire et patriote dans le Berry avec Pierre Vial et le GUD

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Renseignements : berry.identitaire.patriote@gmail.com 

07:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 25 octobre 2016

Une « culture du viol » ou une faiblesse coupable envers les pervers crapuleux ?

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Bernard Plouvier

À compter des années 1980 sq. (les « années Mitterrand », soit le début de l’invasion-immigration de masse), les Français ont appris à connaître les viols en tournante. Il a fallu beaucoup de temps pour que les media (pas tous, d’ailleurs) osent évoquer le grave problème de l’origine raciale de la quasi-totalité des violeurs et le caractère quasi-constamment européen ou extrême-oriental des victimes.

L’horreur de la soirée et de la nuit du 31 décembre 2015 à Hambourg, Stuttgart et surtout Cologne, reste dans toutes les mémoires des Européens qui ne supportent plus cette immigration arrogante, violente, quasi-bestiale (le viol collectif est bien connu chez nos « amies les bêtes », singulièrement chez les chiens et les singes)

Et pour l’exemple de Stuttgart, l’amateur d’histoire est comblé. Les petites-filles des violées de 1945 (par les soldats de couleur de la Ière Armée française) ont vécu – petitement – ce qu’avaient connu leurs aïeules. À l’époque, le scandale avait été considérable, au point que Dwight David Eisenhower avait ordonné à de Lattre de faire quitter la ville par ses troupes et les Allemands de Stuttgart furent temporairement administrés par l’US-Army.

Depuis, des études sociologiques ont démontré que les viols – soit des relations sexuelles forcées – perpétrés par les G.I.’s sur des Européennes étaient le fait de soldats noirs dans 75% des cas… même si ce genre d’étude des dossiers de la Justice militaire ne plait pas aux délicats enseignants dotés d’une structure mentale « libérale ».

Au Canada, les universités ne sont guère des havres de paix pour les étudiantes. Chaque année ou presque apporte son scandale de viols en série : en 2013, ce fut le cas de l’Université de Colombie-Britannique, en 2014, ce fut au tour de celle de la capitale fédérale (Ottawa). Dans la nuit du 14 au 15 octobre du cru 2016, ce sont les étudiantes de la prestigieuse Université Laval de Québec qui ont goûté aux charmes pervers du « brassage des races et des cultures ».

Dans la seconde partie de cette folle nuit, 15 d’entre elles ont été surprises dans leur sommeil par 3 étudiants. Jusqu’à présent, seules quatre ont porté plainte pour « agression sexuelle », d’autant plus que, dans un premier temps, les autorités de l’Université ont tout fait pour minimiser « l’incident »… en quelle que sorte, il s’agissait d’erreurs de localisation de gentils étudiants, qui s’étaient trompés d’étage ou de « piaule ».

Le tapage exercé par les parents a forcé les enquêteurs à sévir et deux des trois coupables ont été d’autant plus facilement arrêtés (avec une semaine de délai !) qu’ils étaient connus de tous. Les deux étudiants incarcérés sont du plus bel ébène (on ne sait encore pour le troisième) : un « Canadien » issu du Cameroun et un « Français » venu de Guinée. La sœur de ce Franco-guinéen se dit choquée, décrivant le petit frère (de 19 ans) comme un prix de vertu, « normal et calme », ajoutant même que la « famille comptait sur lui » !

Une fois séchées les larmes sur le sort de « l’innocent coupable » (exclu de l’université) – car les media canadiens bien-pensants et bien-écrivants, des media globalo-mondialistes, s’intéressent davantage à l’avenir des crapules perverses qu’au sort des victimes -, il est souhaitable de réfléchir un peu à la prolifération des viols à caractère raciste en Occident.

Dans toutes les races et dans toutes les sociétés existent des psychopathes et des pervers qui veulent faire immédiatement suivre leurs émois sexuels par un assouvissement, soit par la séduction, soit par la contrainte (physique ou par le moyen de l’alcool ou des tranquillisants administrés à la « cible »). Ce type de comportement a toujours existé, en tous pays.

Les nouveautés, du moins en Occident et en temps de paix officielle, ce sont les viols en série (plusieurs cibles touchées en peu de temps par la même crapule sexuelle) ou en tournante (une association de malfaiteurs débauchés portant sur la même personne). Ce type de comportement est bien connu des historiens : on le rencontre en période de guerre, singulièrement dirigé contre les populations vaincues ou occupées.

Bien plus que d’une « culture de viol », il s’agit d’une réaction de mâles conquérants, d’individus se croyant tout permis, se considérant d’une essence supérieure, car dominant des populations aveulies et amollies.

À ces déficients de la conscience éthique, les pseudo-motivations rationnelles ne manquent pas. Que ce soit au nom de leur race ou d’un dénommé allah, en éventuelle rétorsion des misères réelles ou supposées infligées à leurs (très lointains) frères de race par de vilains esclavagistes, tout est bon aux psychopathes, aux sociopathes, aux pervers pour justifier leurs actes.

Il est évident que la faute principale revient aux autorités des États où se perpètrent de telles atrocités. Le laxisme politico-judiciaire a transformé l’Occident en terrain de chasse pour les pires rejetons de l’immigration-invasion… et il serait bon que, de leur côté, les immigrés honnêtes condamnent fermement, ouvertement, leurs crapules perverses, au lieu de sortir des excuses minables, dictées par une absurde solidarité. On ne peut se sentir solidaire de l’abjection, d’où qu’elle vienne.

La répression doit être puissante, adaptée au crime commis et en tenant compte du risque de récidive : l’assassin doit être exécuté et le violeur amputé du membre dont il a fait un usage vil et non viril.

Pour re-pacifier nos cités, il faut retrouver un esprit mâle. La stricte équité commande que le coupable soit puni en proportion de son crime. Et ceci est bien plus réconfortant pour les victimes et leurs proches que toutes les « cellules de crise » et autres inutilités qui ne règlent rien, accroissant au contraire la frustration des sujets lésés. Moins de baratin gnangnan et de baragouin psychanalytique et davantage d’actes : c’est de cela dont l’Occident a besoin pour sortir de son marasme moral.               

11:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

60 ans après le soulèvement patriotique de Budapest : la Hongrie montre à nouveau l'exemple

09:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Faire de notre jeunesse une race de guerriers et de maîtres

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Un communiqué de Breiz Atao cliquez ici :

Que voulons-nous ? C’est la question qui se pose logiquement une fois que nous avons énoncé ce dont nous ne voulons pas et, plus précisément encore, ceux dont nous ne voulons pas.

Pour le peuple breton, le moment est venu d’en finir avec les résidus de socialisme post-chrétien qui, mâtinés de spasmes ovariens, tiennent lieu d’idéologie dominante à la bourgeoisie sénile qui milite activement pour notre destruction raciale.

Nous ne devons plus tolérer de compromis avec la vieillerie dégénérée qui chie son indignation compassionnelle dans les cerveaux frais de notre jeunesse. Notre tâche, notre mission historique face à l’invasion africaine et musulmane, consiste à dresser la jeunesse bretonne dans l’esprit guerrier, éveiller son instinct de conservation face aux ennemis de l’intérieur et de l’extérieur qui œuvrent activement à son anéantissement.

L’avenir de tout peuple repose sur les épaules de sa jeunesse. De celle-ci dépend la continuité d’une longue chaîne de transmission.

Des empoisonneurs conspirent actuellement pour l’assassiner par procuration. Les noms de cette fin de race au regard bovin sont connus : ce sont tous ces curés de l’humanitarisme à faces diarrhéiques qui se bousculent sur les ondes ou qui se répandent dans les colonnes de la presse humanitaro-marxiste pour lui ordonner de consentir au suicide ou à la mort lente.

Nous devons en finir avec les cagots armoricains du socialisme pourrissant dans la marmite de l’égalitarisme. La seule présence, au sein du corps national, de ces gardiens de vaches faisant dans leurs couches à la seule vue d’une manifestation de virilité confine à l’obscénité.

Pour nous et notre jeunesse, nous ne voulons pas nous déféquer dessus tout en pleurant afin de communier avec les masses inaptes du tiers-monde. Nous sommes des athées de cette religion de l’échec.

Nous voulons forger une race de maîtres, donc d’hommes libres. Nous ne voulons pas de la grande partouze négrificatrice que nous promet la curaille rouge de l’église antiraciste crépusculaire. Ce serait la fin de la civilisation et de la culture européennes.

La rage, la colère, la furie doivent se lever dans les cœurs de la jeunesse celtique. C’est cette colère primitive que nous devons réveiller, sursaut vital indispensable au salut de notre peuple. Notre objectif consiste à doter celle-ci d’une volonté d’acier et d’une haute conscience d’elle-même et de sa tâche. Nos conceptions doivent progressivement refonder son imaginaire afin qu’elle remette en mouvement notre peuple, fort de sa mémoire profonde.

Si nous voulons affranchir notre peuple, il nous faut dissiper les ferments de mort qui stagnent dans les marais puants qui nous entourent et qui conduisent actuellement nos enfants à l’abîme.

Et pour cela nous devons imposer l’élitisme et la culture de la guerre. Ce qui suppose une claire identification de l’ennemi.

09:37 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

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Islamalgame, voyoucratie et utopisme

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Pieter Kerstens

Toute personne curieuse aura pu constater que les attentats commis depuis 25 ans en Europe (et depuis 1956 par le FLN et le MNA en France) sont majoritairement le fait de musulmans prétendus intégrés dans la société « multiculturelle ».

Les tueries de Charlie Hebdo en janvier 2015 et du super casher à Paris, du Bataclan et des terrasses le vendredi « noir » 13 novembre 2015 toujours à Paris et des attentats dans le métro et à l’aéroport de Bruxelles, le 22 mars 2016 ne sont donc pas des faits « nouveaux » et « imprévisibles » comme les médias et les politiciens ont essayé de nous le faire gober.

Il y a eu en 2001 les trois tours du WTC et l’explosion au Pentagone, puis en 2004 les attentats de la gare Atocha à Madrid et ceux commis en juillet 2005 dans les transports publics à Londres. Il ne faut pas venir nous raconter que c’est une « surprise » …d’autant plus qu’au fil des multiples enquêtes, il apparaît que tous ces massacres, tueries et attentats ne sont pas du tout la conséquence d’actes isolés commis par des « radicalisés récents », des « déséquilibrés » ou encore des « êtres fragilisés » en proie aux affres d’une société « stressante ».

De Khaled Kelkal au duo d’assassins qui ont égorgé le prêtre dans son église de Saint-Etienne du Rouvray, TOUS sont des fidèles d’ALLAH « le plus miséricordieux ».

TOUS ont été de petits voyous avant de devenir de grosses crapules.

TOUS ont tué pour répandre la terreur.

TOUS avaient un casier judiciaire abondamment fourni.

TOUS avaient pour but de massacrer des infidèles.

TOUS ont échappé à la vigilance des services de sécurité et au suivi de la Justice.

Alors pourquoi les gouvernements et le renseignement intérieur ne peuvent-ils pas mettre ces criminels hors d’état de nuire ?

Pourquoi, depuis 25 ans ces fanatiques ont-ils réussi à déjouer la Loi et l’Ordre ?

Pourquoi le Régime refuse-t-il de porter le fer dans la plaie, de nettoyer les quartiers « difficiles » et les 64 Zones de Sécurité Prioritaire, comme il le devrait ?

Par déni des réalités ? NON ! Par faiblesse, par lâcheté et par félonie.

Vidons ces ordures politiques - réels collabos de la cinquième colonne islamo-terroriste - ceux de la gôche caviar et de la droite cosmopolite, accoquinées aux Ecolos et aux Centristes & Humanistes...  Avant qu’il ne soit trop tard !

00:57 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lancement de la revue "Confrontation" : un entretien avec Jean-François Touzé, son rédacteur en chef, sur Riposte laïque

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Source Riposte laïque cliquez ici

Nous avons découvert une nouvelle revue, qui raconte des choses souvent semblables à ce qu’on lit dans Riposte Laïque. Raison de plus pour en savoir davantage sur les animateurs de « Confrontation ».

Riposte Laïque : Vous êtes assez connu dans certains milieux militants, mais pas de tous nos lecteurs. Pouvez-vous leur expliquer rapidement qui vous êtes ?

Jean-François Touzé : Je crains, en effet, d’être assez connu des services de police de la pensée politique. En trente cinq ans d’engagement militant au service de la France et de la civilisation européenne, j’ai essayé de rester fidèle à une certaine idée que je me fais de la Nation et de l’humanisme occidental. D’abord au Front National où, par deux fois, – de 1982 à 1989, puis de 1999 à 2008- j’ai exercé un certain nombre de responsabilités au sein de l’appareil – secrétaire national, membre du Bureau politique, directeur de campagne de Jean-Marie Le Pen, élu régional d’Ile de France et conseiller de Marine.

Ensuite, ou entre temps, en initiant d’autres aventures – mouvements, clubs, journaux- qui m’ont permis de tisser un réseau d’amitiés et de convictions fidèles, avec, bien sûr, en contrepartie, quelques détestations inévitables dans un parcours militant long et nécessairement accidenté lorsque, comme moi, on fait sienne la sentence du Cardinal de Retz : « Il faut parfois savoir changer de parti pour ne pas avoir à changer d’idées ». Au final, comme les parachutistes du REP, je ne regrette rien si ce n’est que, jusqu’à présent, nous n’avons pas su enrayer l’affreuse marche de notre pays vers sa mort. Pour le moment… Car, malgré les tendances lourdes de la décomposition, je demeure optimiste. Vouloir c’est encore pouvoir et la vie commence toujours demain.

Vous venez de publier le numéro un d’une nouvelle série, trimestrielle, appelée « Confrontation ». Le titre paraît sans ambiguïté : « Immigration, islamisation, faire face ». Pourquoi cette revue, et quels en sont les objectifs ?

Comme vous, Pierre Cassen, et comme des milliers de patriotes, je suis hanté par la montée des périls. L’offensive que mène contre le monde occidental le totalitarisme islamique- offensive qui n’est, au vrai, que la énième poussée de la ruée musulmane dans sa volonté millénaire, eschatologique et ininterrompue, de conquérir le monde au nom d’Allah- ne peut laisser la moindre place à la faiblesse, au découragement, au renoncement. Faire face c’est refuser de se résigner. C’est combattre avec les armes du moment et des circonstances, jusque à son dernier souffle, faute de quoi, ce que nous avons fait les uns et les autres depuis tant d’années n’aurait servi à rien. La situation nous oblige et les menaces nous commandent. C’est la raison pour laquelle lorsque Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui me lient tant d’années d’amitiés et de combats, m’a proposé de prendre la responsabilité rédactionnelle d’une revue destinée à la réflexion mais aussi à la mobilisation et à l’action politique contre l’Islamisme, son vecteur principal l’immigration, les réseaux militants de l’ultra gauche qui ont fait la jonction avec lui, les intérêts économiques ou médiatiques qui les soutiennent, je n’ai pas hésité une seconde.

Ecrire, c’est clamer, parfois dans le désert, mais toujours utilement. Sachant qu’une revue n’est pas une fin en soi mais doit s’inscrire dans un ensemble qui lui-même doit être l’embryon d’un front commun pour le salut national dont je ne doute pas qu’il se fera un jour. Le plus tôt possible bien sûr, car les jours nous sont désormais comptés.

Vous venez de sortir le premier numéro, et éclate la crise des clandestins de Calais, que les populations rurales, mais aussi urbaines, ne veulent pas, mais aussi celle des policiers, qui ne supportent plus d’être envoyés au massacre par les socialistes et la hiérarchie policière. Quel est votre regard sur ce double phénomène ?

Nul doute que les Français prennent peu à peu conscience de la réalité d’une situation de désastre où les ont menés quarante ans de politique immigrationniste, de laxisme et de pratiques publiques du chien écrasé au fil de l’eau, conduites par une classe dirigeante, droite et gauche confondue, qui, par idéologie, par lâcheté ou simple facilité, ont laissé entrer chez nous des millions d’allogènes , immigration initialement « de travail », puis immigration de chômage et de délinquance, et enfin aujourd’hui immigration de peuplement et de colonisation.

Ce qui se passe à Calais est évidemment emblématique. Ces milliers d’hommes (peu, si peu de femmes, ce qui devrait alerter même les consciences les plus assoupies) qui s’entassent face à la mer… Ces milliers d’hommes qui vont être répartis dans nos campagnes… Ces milliers d’autres qui arrivent et remplaceront ceux qui auront été non pas expulsés mais déversés dans toute la France… C’est le tonneau des Danaïdes migratoires.

Quant aux policiers, au contact permanent avec la réalité de l’horreur des cités et, plus largement, de ce qu’est devenue la rue française, ils savent à quoi s’en tenir. La révolte actuelle trouvera sans doute ses limites, cette fois-ci encore par l’action des syndicats récupérateurs et les « cadeaux apaisants » du pouvoir. Encore une minute monsieur le bourreau. De la même manière les professeurs et proviseurs qui se font tabasser n’ont pas encore tout compris non plus que les personnels de santé. Et les capacités de « résilience » bobo de nos compatriotes confrontés aux massacres terroristes de masse arabo-musulmans restent immenses comme le montre la pratique de la bougie réparatrice après chaque attentat. Mais nous arrivons petit à petit au moment ultime où rien ne tiendra plus. Ce sera alors l’heure de vérité.

Dans nombre d’interviews, Philippe de Villiers accuse la classe politique française d’être vendue aux émirats, et profondément corrompue. Vous le croyez, et c’est une découverte pour vous ?

Villiers a parfaitement raison et il a le mérite de mettre à jour le secret de polichinelle longtemps scellé : « Malheur à toi si tu révèles le secret, malheur à toi si tu ne le révèles pas » dit le livre du Zohar. Depuis des décennies la classe politique entretient avec les pays arabes et les émirats en particulier des liens qui ne sont, certes, pas, que footballistiques ou hôteliers. Si l’Arabie Saoudite ou le Qatar « se paye » la France et nombre de ses dirigeants, ce n’est pas évidemment pas dans le seul souci de ses activités commerciales ou financières. Cela s’inscrit dans un dessein bien établi, bien conçu, ancien et travaillé. Comme les bolcheviques de Lénine, les islamistes n’ont pas de montre. Le temps travaille pour eux.

Mais les femmes et les hommes politiques qui, par cupidité ou habitude, se sont livrés pieds et mains liés aux pays arabes devront, le moment venu, répondre de ce crime de haute trahison.

Comment expliquez-vous que 70 % des Français ne veulent plus d’immigration, ne veulent plus entendre parler de l’islam, mais que le même nombre vote pour des candidats qui leur amènent ces deux fléaux ?

Le Système est bien fait qui sait encadrer les révoltes, endormir les rebellions et faire taire, par dérivation, les velléités libératoires. Le jeu infect des primaires, les amusements politiciens, les leurres médiatiques participent de ce grand sommeil. Mais la mouche tsé-tsé du pouvoir ne jouera plus très longtemps son rôle narcotique.

Toutes les initiatives qui sont prises aujourd’hui par les patriotes vont dans le sens du réveil. Encore faut il qu’ils sachent se rassembler et surtout qu’une offre politique claire, nette, sans ambiguïté réponde à la demande et à l’attente des Français. J’appelle de mes vœux ce sursaut vital.

Comment vous situez-vous, à présent, dans le paysage politique français ?

Je n’ai plus d’appartenance partisane depuis mon départ de la direction du FN en 2008 et la fin de mon mandat en 2010. Je continue d’animer mon petit réseau d’amis fidèles en espérant qu’il servira un jour. Et, à coté de Confrontation, d’être présent autant que je le peux sur les réseaux sociaux. Je regarde avec sympathie les initiatives prises par les uns et les autres qu’il faudra bien un jour sinon fédérer, au moins cimenter dans le but unique du relèvement de la France et de la conservation civilisationnelle. Je garde bien des amis aux FN dont je connais la flamme militante. D’autres l’ont quitté et sont aujourd’hui avec Carl Lang au sein du Parti de la France. Mais bien d’autres structures existent qui ne viennent pas de la droite nationale et sont constituées de patriotes exemplaires. Je pense ainsi à des responsables militants comme Jean-Marc Moskowicz dont je peux témoigner de l’amour de la France. Sans parler des intellectuels comme Eric Zemmour et quelques autres dont le rôle est majeur. Et bien entendu, vous Pierre Cassen et Christine Tasin qui, avec Riposte Laïque et Résistance républicaine, menez un combat de pointe.

Je crains, tout en souhaitant me tromper, que la prochaine présidentielle ne soit pas à la hauteur des espérances de nombre de patriotes. Je suis certain, en revanche, que le plus large rassemblement se fera pourtant très bientôt. Encore faut-il le permettre. C’est à cela que nous travaillons tous.

Comment peut-on se procurer « Confrontation » ?

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Propos recueillis par Pierre Cassen

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Saint-Bauzille (34) : démission de tout le conseil municipal et action mercredi !

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Richard Roudier Porte-parole de la Ligue du Midi

« La seule liberté qui reste à un élu pour ne pas accepter une décision qu’il considère prise sans concertation, injuste et inéquitable, c’est de démissionner », c’est ainsi que la première adjointe de la mairie de Saint-Bauzille-de-Putois, Elisabeth Thérond, justifie sa décision dans un communiqué de presse dénonçant les oukases du Préfet de l’Hérault. Suite à la démission du maire Michel Issert annoncée en fin de matinée le vendredi 21 octobre, l’élue a réuni l’équipe municipale, vendredi à 18 heures, avant de rendre publique cette décision le lendemain, le samedi 22.

En moins de 24 heures, l’intégralité du Conseil municipal de Saint-Bauzille-de-Putois a décidé de démissionner par solidarité avec l’ancien édile. Ce qui fait que ce sont les dix-huit élus du Conseil municipal qui ont dénoncé l’absence de concertation du Préfet Pouëssel, qui a refusé d’entendre les soucis et les souhaits de la population. Dans la journée de dimanche on apprenait qu’un autre maire de la Communauté de commune de Ganges-Sumène aurait annoncé son intention de démissionner, laissant peut-être présager une réaction en chaine qui pourrait ne pas s’arrêter aux limites du canton.

Cette “affaire dans l’affaire” ne va pas renforcer le prestige du dit préfet car elle impliquerait, à la brève échéance de 2 mois, la tenue d’une nouvelle élection avec pour conséquence un vote protestataire inévitable. Dans le cas où la population souhaiterait sanctionner ce déni de démocratie en boudant le scrutin (en ne présentant pas de liste), la gestion de la commune passerait alors sous la tutelle du préfet en gestion directe, rappelant les pratiques du “Second Empire”. Rappelons que le vote populiste dans cette région des Basses Cévennes se situe selon les communes entre 25 et 45 % et que selon les experts, on serait encore loin du “plafond de verre”.

saintbauzillesansmigrantsFace à la morgue du préfet qui n’a apporté aucune réponse concrète aux exigences de la population énoncées lors de la réunion du jeudi 20 octobre, le collectif des mamans de Saint-Bauzille appelle à une manifestation pacifique le mercredi 26 octobre à 17 heures. Rendez-vous devant le “snack” avec des poussettes, des casseroles, des cuillères en bois et des sifflets.

Se mobiliser pour vaincre. Demain il sera trop tard!

00:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 24 octobre 2016

23 octobre 1983 : 58 parachutistes français sont morts à Beyrouth...

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11:35 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Début hier à Budapest des cérémonies marquant le 60e anniversaire du soulèvement de la Hongrie

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Source RT cliquez ici

Hier dimanche ont débuté à Budapest les manifestations pour la commémoration du soulèvement anti-communiste d'octobre-novembre 1956. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a comparé à cette occasion devant une foule immense, l’UE à l'Union soviétique, deux systèmes dont la finalité est de broyer les peuples. Il a aussi justifié la maîtrise des frontières et il a défendu l’indépendance de la Hongrie pour faire face à l’immigration de masse.

Il a ainsi soulevé l'auditoire en proclamant : « Les peuples qui aiment leur liberté doivent sauver Bruxelles de la soviétisation, de gens qui veulent nous expliquer comment nous devons vivre dans nos propres pays » et il a rappelé que les vrais garants de la liberté en Europe étaient la chrétienté et l’État nation.

10:42 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 23 octobre 2016

Cazeneuve a préféré protéger une bouffe privée de Hollande que les Niçois : 86 morts !

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Paul Le Poulpe Riposte laïque cliquez ici

C’est seulement maintenant que nous prenons connaissance de l’audition de la directrice de l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN), Marie-France Moneger-Guyomarc’h, le 6 septembre dernier, par une mission parlementaire présidée par Eric Ciotti. On sent que ce dernier, impitoyable, cherche à comprendre pourquoi les Niçois n’ont pas profité de la protection de forces mobiles, comme les années précédentes. Il rappelle que cette ville est la cinquième de France, que nous étions en plein état d’urgence, et qu’il y a plus de 500 fichés S dans le département.

La directrice bafouille lorsqu’elle est prise, les doigts dans le pot de confiture du mensonge, à imaginer un prétexte bidon pour justifier le fait que ses services ont préféré mentir par omission afin de ne pas avouer que des forces mobiles avaient été utilisées pour assurer la sécurité du soi-disant président de la République en déplacement privé au Festival d’Avignon (on ne peut rien refuser à Julie Gayet), plutôt qu’à Nice, pour le feu d’artifice du 14 Juillet (à partir de 3 mn sur la vidéo), avec les conséquences que l’on connaît.

Cazeneuve et ses sbires ont donc pensé que la sécurité d’un repas privé de Hollande à Avignon, avec des artistes du système, était plus importante que la sécurité des Niçois. Conséquence : 86 morts et des centaines de blessés mutilés à jamais.

Et le pire est que, en outre, Cazeneuve, comme d’ailleurs Estrosi, a grossièrement menti aux Français, par la suite, comme le démontre notre contributeur Jacques Chassaing.

Attentat de Nice : Cazeneuve et Estrosi ont menti cliquez ici

Ils ont voulu cacher aux Français que l’assassin musulman a pu rouler pendant 2 kilomètres avant de caler, et seulement abattu à ce moment là. Il a fallu 4 minutes et 17 secondes pour tuer le conducteur. 4 minutes et 17 secondes, vous vous rendez compte. Des gens écrasés par centaines, et personne pour intervenir ! Comme le disait Jacques, en Israël ou aux Etats-Unis, le camion n’aurait pas fait cent mètres. Et nous étions en plein état d’urgence ! Mais il faut respecter l’Etat de Droit, et protéger les repas privés du président avec ses amis artistes…

Dans n’importe quel pays au monde, après une telle incompétence, le ministre de l’Intérieur aurait été viré sur le champ, après les troisième attentat musulman de masse ! En France, il a fallu attendre un mois et demi pour avoir connaissance de ces images accablantes.

Cet homme, qui ose se dire ministre de l’Intérieur, est en fait le ministre de l’Invasion. Il organise, avec des méthodes dignes d’une dictature, s’appuyant sur des préfets aux ordres, la mise à mort de nos villages, à qui il impose la présence des clandestins de Calais par dizaines, voire parfois par centaines. Il ose interdire aux maires de voter.

Il méprise tellement ses policiers que, quand ils se font griller dans leur voiture par des racailles, il minimise la gravité des faits, et les laisse aller au massacre quotidiennement.

Ce plus mauvais ministre de l’Intérieur que l’Histoire ait connu – mais aussi le plus arrogant – est responsable de deux crises majeures, celle des migrants et celle de la police, peut-il rester à son poste ? Comme tous ses complices socialistes, il a sur les mains le sang de 250 victimes de l’islam, à cause de sa politique migratoire et de la fermeture de nos frontières, comme le dit Philippe de Villiers.

Plus que jamais, un seul mot d’ordre : Cazeneuve casse-toi !

 

18:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution fin octobre du second volume de BUDAPEST 1956 de David Irving (le texte intégral inédit traduit en français)

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09:48 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 octobre 2016

Le Journal du Chaos de cette semaine

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Martial Bild reçoit Philippe de Villiers sur TV Libertés

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Création d'une section du GUD en Bretagne

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vendredi, 21 octobre 2016

Piero San Giorgio ce soir sur Méridien zéro

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Réflexions sur le non-événement de Grozny

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Bernard Plouvier

Les islamologues patentés et les simples observateurs de la dangereuse faune mahométane se repaissent d’une soi-disant grande information : en septembre 2016, à Grozny, capitale reconstruite de la riche Tchétchénie (pétrole, gaz et plantations de pavot), deux centaines d’oulémas, imams et autres recteurs de grande mosquée ont décrétés « schismatiques et anathèmes » les Wahhabites d’Arabie Saoudite.

À dire vrai, on le savait depuis le XVIIIe siècle ! Le wahhabisme, équivalent du calvinisme pour la religion chrétienne, fut une tentative de retour à une soi-disant pureté originelle de l’islam associée à une austérité de vie (au moins de façade… ceux qui ont mis les pieds en Arabie savent que tous les vices y sont rencontrés, mais les hypocrites locaux ont la décence de les faire en privé). Qu’il s’agisse d’un schisme du sunnisme n’est donc pas une nouveauté et l’anathème de Grozny est, au plan de l’histoire du phénomène religieux, un non-événement.

Au plan politique, il en va différemment. Cette République, au très riche sous-sol, est redevenue en 2000 un protectorat russe, pacifié depuis 2006. C’est aussi une zone clé pour le passage des pipe-lines (oléoducs et gazoducs) de la Mer Caspienne à la Mer noire et à la Méditerranée (via la Turquie du très roublard Erdogan).

Les prédateurs US font passer leurs canalisations par la Géorgie… et l’on peut s’attendre à de nouveaux conflits dans ces États caucasiens aux populations fort émotives, corruptibles et vouées à des religions ennemies.

L’enjeu de la comédie burlesque de Grozny est exclusivement politique. La question débattue est fort simple : à qui va échoir le califat ?

Il est évident que les jours du potentat de Mossoul sont comptés. Abou Bakr II peut mourir au combat ou sous les bombes (made in USA) des combattants kurdes, ou encore passer en Afghanistan. L’idéal serait qu’avant de quitter la scène, il narre par le menu ses contacts avec les sbires d’Obama et d’Erdogan, voire avec les chiites d’Iran, cela nous ferait au moins rire un peu et permettrait aux plus niais de nos contemporains d’entrouvrir les yeux sur les turpitudes des globalo-mondialistes. Après tout, le calife qui a donné une ampleur inédite au terrorisme mahométan nous doit bien cette petite compensation.

Dans la guerre qui oppose les maîtres de l’économie globale aux Nations et aux États réfractaires à ses charmes pervers, il faut bien comprendre que le fanatisme religieux n’est qu’une arme, au même titre que les stupéfiants, les explosifs, les gaz de combat, les couteaux à céramique ou les pistolets mitrailleurs et les missiles portables.

On ne connaissait pas grand-chose aux relations existant entre les grands narcotrafiquants et les gouvernements établis jusqu’à la comédie colombienne de cet automne. Certes, on se souvient que du temps de l’URSS, le terrorisme international (étiqueté « gauchiste ») était financé par l’opium du Caucase (et ses produits dérivés) ainsi que le Haschich d’Afghanistan et des États touraniens. Il faut croire que la leçon soviétique, si elle semble avoir été abandonnée au Kremlin, n’a pas été perdue pour tout le monde.

Quant aux « trafiquants d’armes internationaux », chers aux auteurs de thrillers et aux scénaristes des navets hollywoodiens (et de rares bons films), ce sont des intermédiaires officieux entre un ou des gouvernements réputés au-dessus de tout soupçon (éventuellement dirigés par un titulaire du Prix Nobel de la Paix) et des groupes de rebelles au sein d’un pays où l’on veut fomenter une révolution. Les nombreux « printemps arabes », de 2010 à nos jours, en sont de quasi-parfaites illustrations.

Auparavant, les révolutionnaires devaient se procurer de l’argent, beaucoup d’argent, pour financer leur propagande et leur lutte armée. Désormais, il leur faut parvenir à se faire accepter par les globalo-mondialistes comme des agents capables de détruire la stabilité d’un État, puis d’obéir en tous points aux gentils commanditaires, une fois que leur clique s’est hissée aux apparences du Pouvoir.

Dominer l’islam, c’est pouvoir compter sur la fraction jeune, hyperactive et intellectuellement déficiente d’un milliard et demi de mahométans. On comprend que les grandes manœuvres pour prendre la suite du calife auto-proclamé de Mossoul aient commencé.

Rejeter du sunnisme les Wahhabites, c’est donner un coup dans la fourmilière islamo-US. On peut admirer le jeu du grand Poutine, protecteur de la République tchétchène, mais il est évident que l’offense ne restera pas impunie. Surtout si la Clinton devient le pantin de la Maison-Blanche, succédant au pantin crypto-islamiste : sionistes néo-conservateurs et islamo-pétroliers vont s’en donner à cœur joie, dans une alliance qui ne sera jugée « contre-nature » que par les naïfs.

Plus que jamais, l’Europe et la Chine doivent s’attendre à une succession de coups bas, où l’élément islamique sera largement employé.     

12:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il n'est pas trop tard pour lire LE GRAND REMBARQUEMENT

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10:39 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Gérald Vivot, militant historique de la cause...

ob_6fe58b_gerald-vivot.jpgAU REVOIR, GÉRALD

Nous publions ici le très beau texte de Gérome paru sur ForumSI cliquez ici

A ceux qui me liront, certains se souviendront de cet homme qui a passé la Porte dimanche soir, après de longues années de souffrance sans se plaindre.

Gérald Vivot, c'était ce genre de personnage qui ne pouvait pas vous laisser indifférent. Il avait été de beaucoup de combats.

Ceux menés sur cette "putain de terre africaine" aux côtés de ceux qui s'étaient eux-mêmes nommé "les affreux". Il y connaîtra ses plus fidèles compagnons qui le visitaient encore toutes les semaines sur son lit de douleur sourde.

En Afrique, il avait connu le feu et vu la mort de près et reçu quelques morceaux de plomb qui l'avait écorché dans sa carcasse.

Et puis les combats des années 60 et 70 sur le pavé parisien et dans les provinces encore françaises.

Gérald ne parlait pas beaucoup, c'était sa nature et cette force simple de ceux qui n'ont pas besoin de trop s'exprimer pour dire qui ils sont.

Gérald, c'était une force de la nature, jusqu'à cette maladie sournoise qui le faisait décliner ces dernières années.
Une force de la nature rassurante dans les bousculades et autres cavalcades qui occupaient le plus clair et le plus noble de notre temps.

À sa place et par sa façon d’être, il nous aura transmis l'exemple de celui qui ne recule pas face au danger et qui ne laisse jamais un camarade blessé derrière quand il faut se replier.

Ceux qui l'ont connu, ne l'oublieront pas.

Gérald était discret, aimait la vie et se retrouver avec sa cohorte de camarades. Il aimait rire, boire et chanter les chants qui parlent de l'idéal indestructible qui animent nos âmes.

Gérald n'avait pratiquement pas ou plus de famille. La seule qui lui restait, c'était sa poignée d'amis fidèles, sa cohorte de camarades, qui lui auront adouci un peu, chaque semaine, son chemin caillouteux.

Gérald a fermé les yeux ce dimanche soir, à Nanterre avec auprès de lui, jusqu'au bout, une petite Soeur des pauvres.

Celle qui avertira de sa fin ceux qui s'occupent maintenant de ses obsèques dans la dignité qu'il mérite.

Les "petites sœurs des pauvres", qu'on soit catholique, païen ou rien du tout, ont ce grand mérite d'accompagner les mourants avec cette générosité d'âme qui appartient à celles ou ceux qui consacrent leur vie aux autres.

Gérald n'était pas ce qu'on appelle un "enfant de Chœur", et cette présence lui a sûrement fait du bien.

Voilà, Gérald, tu as rejoint d'autres camarades qui t'ont précédé et à qui tu avais donné ton amitié et ta fidélité indéfectibles dans les combats.

Que ta dernière nuit soit belle et douce, Gérald.

Nos pensées t'accompagnent. Tu nous laisses un bel exemple de loyauté aux combats perdus comme à ceux qui devraient être victorieux dans " ce monde vétuste et sans joie ".

Comme le dit ce chant - les lansquenets - que tu connaissais bien et qui te ressemble.

Adieu Gérald. 

00:20 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 octobre 2016

SURREALISTE...

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A Evry mardi soir, le directeur de la Police nationale

reçu par les policiers en colère... 

17:08 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : le scan du jour du Figaro

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LE SCAN POLITIQUE - Dans la demeure familiale, Jean-Marie Le Pen, épaulé par son directeur de campagne, Lorrain de Saint Affrique, prépare la bataille des prochaines législatives. Visite.

Dans le parc de Montretout à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), il règne le calme qui précède aux grandes batailles. La maison familiale des Le Pen, un temps l'épicentre de l'extrême droite française, abrite une poignée d'irréductibles. Des cartons empilés dans l'entrée contiennent les éléments d'un futur studio vidéo, les pièces du rez-de-chaussée sont aménagées en local de campagne. Sur un mur s'étale une relique: l'affiche de campagne de la présidentielle de 1988 barrée du slogan «Le Pen le Peuple». Les derniers grognards de Jean-Marie Le Pen préparent leur Waterloo, l'ultime combat politique que le patriarche a promis à sa fille. Il portera la bannière des comités Jeanne à l'occasion des élections législatives, un label politique qu'il réserve aux seuls représentants de «la vraie droite nationale». Une façon de s'insurger dans les urnes face à sa mise pied au sein du parti qu'il a fondé.

Il n'y aura probablement ni pardon ni prisonnier dans l'affrontement qui s'annonce avec le FN. Lorrain de Saint-Affrique, directeur de campagne et ouvrier de l'ombre de cette aventure, s'en doute bien et ne s'en émeut pas. Âgé de 65 ans, ce vieux compagnon de route de Jean-Marie Le Pen fut son conseiller en communication de 1984 à 1994, avant de se voir frappé «d'exclusion perpétuelle». Le chroniqueur occasionnel des affres de la droite radicale aborde cet impossible défi avec délectation. On ne peut s'empêcher sentir autour de l'ancien conseiller régional, banni du FN pour s'être frontalement opposé à Bruno Mégret, comme un parfum de revanche. Aussi habile que retors, Saint Affrique s'en défend. «Le Pen m'a appelé à la sortie d'un plateau télé, après 20 ans de silence. Je suis venu retrouver une chaleur militante, revoir les vieux amis, les anciens combattants. Ce n'est pas désagréable», assure-t-il.

La «part de joie cocasse» de la droite nationale

Vice-président des comités Jeanne, Patrick Hays, est de ceux-là. Vétéran du 1er Régiment Étranger Parachutiste (REP), comme Jean-Marie Le Pen. «Il a quitté l'armée en 1962, ça dit quelque chose du personnage», relève Lorrain de Saint Affrique. Ancien secrétaire national frontiste aux Français de l'étranger, il a accompagné «le président d'honneur» dans son exil politique. Roger Holeindre, 87 ans, a lui aussi repris du service. Membre fondateur du FN en 1972, ancien député, il est passé au Parti de la France (PDF) de Carl Lang, et soutient la démarche de son vieil ami. «Si ce n'est pas drôle au sein la droite nationale, c'est que le chemin n'est pas le bon, qu'on est à côté de la plaque. Il faut que l'on rie, c'est dans notre philosophie. Il y a une part de joie cocasse inattendue dans notre courant, dont Jean-Marie Le Pen n'est pas exempt. Il a souvent le mot pour rire», sourit Lorrain de Saint Affrique. On s'offre donc à Montretout un dernier tour de piste entre vieux baroudeurs qui n'ont plus grand-chose à perdre.

Car il y a surtout des coups à prendre dans cette équipée crépusculaire. «Ce n'est pas de tout repos depuis mon arrivée: j'ai été traité de “charognard obsédé par le fric” par Marine Le Pen. Ce n'est pas très aimable de la part de quelqu'un dont on a si longtemps partagé la table. Mais le plus désagréable reste tout de même les perquisitions de l'Office européen de lutte contre la fraude (Olaf). Ils ont tout fouillé et tout vidé: nos dossiers, nos boîtes mail, nos ordinateurs», déplore-t-il. Officiellement employé comme assistant parlementaire de Jean-Marie Le Pen à Bruxelles, il est visé par l'enquête du parlement Européen portant sur les soupçons de détournement financier au bénéfice du parti.

Saint Affrique candidat aux législatives

Peu importent les épreuves pour Lorrain de Saint Affrique, pourfendeur de la «dé-lepénisation» du parti. «Je n'ai surtout pas supporté ce que Marine Le Pen a fait à son père, j'ai eu une réaction physique. Il a été trahi. Je suis un peu inquiet pour elle. Elle était gaie, agréable. J'espère que son père ne nous quittera pas avant un moment sans quoi elle portera ce parricide toute sa vie». Le directeur de campagne sait viser la corde sensible de celle qu'il a connue adolescente: c'est l'une des raisons probables de son recrutement par Jean-Marie Le Pen. Mais pour la forme, il ne revendique aucun esprit de revanche dans la démarche des comités Jeanne. «Notre objectif est de constituer une réserve de voix au sein de la droite nationaliste, celle qui manque encore au FN pour gagner le second tour des élections. Nous voulons dissuader cette partie de la base qui se sent en rupture avec la ligne de Marine Le Pen de sombrer dans l'abstention», soutient-il, avec un brin de malice.

Fragilisé par son grand âge - malgré sa volonté d'en découdre -, Jean-Marie Le Pen soutiendra ses champions sur le terrain «une à deux fois par mois». Et peut-être même à l'international, puisqu'une rencontre avec Donald Trump est envisagée, «si possible». Sans savoir encore où, Lorrain de Saint Affrique sera quant à lui bien candidat en juin 2017. À Montretout, on espère qu'il pourra compter sur 200 à 300 acolytes. «Je ne peux pas seulement envoyer les autres au feu, chez nous il est d'usage de montrer l'exemple. Et puis qu'ai-je à craindre? J'ai déjà candidaté à presque toutes les élections, et perdu presque à chaque fois», s'amuse-t-il, en ourdissant le coup d'envoi.

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