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vendredi, 24 juin 2016

Jean-Marie Le Pen adresse message de félicitations aux Britanniques

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COMMUNIQUE DE PRESSE DE JEAN-MARIE LE PEN
PRESIDENT D’HONNEUR DU FRONT NATIONAL
DEPUTE FRANÇAIS AU PARLEMENT EUROPEEN

Je félicite le peuple britannique pour son courage et son esprit de résistance face aux incroyables pressions médiatiques et politiques qu’il aura su finalement déjouer : aujourd’hui le BREXIT, demain le FRAXIT !

Une certaine Europe est en déroute : celle des élites mondialisées dont la bureaucratie bruxelloise était le bras armée contre l’âme des nations et des peuples. Le replâtrage n’est désormais plus possible.

Un nouveau rêve européen se lève : celui de l’Europe boréale, si nécessaire aux équilibres et à la paix du Monde.

Sur ce sujet capital, le peuple français doit être consulté sans attendre par la seule voie acceptable, celle du référendum.

Le journal de bord de cette semaine :

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LA VOIX DU PEUPLE, LA VOIE DE LA LIBERTE

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Pierre Vial, Président de Terre et peuple

Consternation de toutes celles et de tous ceux qui, à un titre ou à un autre, sont partie prenante dans le fonctionnement du Système : le peuple anglais et le peuple gallois ont osé l’impensable. Ils ont osé dire non au Système, dont une des illustrations majeures est l’Union Européenne.

Pourtant tout avait été fait pour les dissuader de ce crime de lèse-majesté, tous les épouvantails avaient été brandis. En vain : avec flegme et bon sens, les « gens d’en bas » ont envoyé « les gens d’en haut » se faire foutre. C’est donc possible et ce premier enseignement du référendum britannique met la panique au sein de l’Etablissement car il démontre la force du populisme.

Un populisme qui dit non à la City et donc au pouvoir du fric, non à Bruxelles et donc à la tyrannie bureaucratique et technocratique prétendant penser et décider à la place du peuple. Non à l’immigration et à la destruction des identités nationales. Et les gens du Système avouent redouter l’onde de choc : les Anglais montrent aux autres peuples d’Europe qu’il est possible de se libérer et de choisir une Europe des peuples et des patries.

Et l’appel à un référendum se répand comme une traînée de poudre de pays à pays. Car il est temps de mettre au pied du mur ceux qui se gargarisent en permanence avec le mot « démocratie » : « Vous êtes démocrates ? Alors donnez la parole au peuple ». Un refus montrerait que les populistes ont raison et qu’ils représentent donc l’avenir.

Décidément le 23 juin 2016 s’inscrit d’ores et déjà comme un grand jour dans l’Histoire du combat pour la liberté et l’identité.

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QUELLE BELLE MATINEE !

LF8A7325.jpgRoland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Quelle belle matinée qui commence bien ! Sur les ondes (sauf sur Radio Libertés bien sûr) l'ensemble des commentateurs s'étrangle, la haute-finance s'inquiète et... les droites nationales européennes jubilent. Vraiment, pour une fois, les Anglais sont nos amis. Un tel cadeau de si bon matin cela fait longtemps que nous n'en avons pas reçu d'outre-Manche.

Mais ne nous relâchons pas pour autant. Les "démocrates" soumis au mondialisme sont très forts pour retourner à leur avantage une décision populaire qui va à l'encontre de leurs projets. Rappelez-vous avec quelle arrogance ils se sont moqués des résultats du référendum de 2005 en France. On commence déjà à nous expliquer qu'il faudra au moins deux ans pour que la décision du peuple britannique se concrétise. En deux ans, beaucoup de magouilles peuvent avoir lieu...

Quoi qu'il en soit, cette victoire du Brexit démontre elle aussi que le monde est en train de changer. Partout le processus de destruction des nations et des identités voulu par l'hyper-classe affairiste se heurte à la volonté des peuples. Il est temps de réfléchir à une autre Europe...

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Du Brexit au Frexit !

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Communiqué de Bruno Gollnisch, Député européen

Brexit : le peuple britannique a démontré ses capacités de résistance à une campagne de pressions sans précèdent, qui jouait sans vergogne de toutes les peurs injustifiées et de prédictions aussi calamiteuses que fantaisistes.

Une majorité inflige aujourd’hui un camouflet sévère et mérité aux Euro-mondialistes qui depuis des années dévoient la coopération européenne, en édifiant méthodiquement la bureaucratie d’un « Super-État », véritable prison des peuples, tout en ouvrant les frontières à tous les flux de personnes, de marchandises et de capitaux, fussent-ils dévastateurs.

Le Front National a été le premier à dénoncer cette évolution et à proposer une autre politique. Puisse-t-il enfin être entendu !

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Plus que jamais, sortir de cette Europe là...

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Communiqué de Bernard Antony, Président de l'AGRIF

L’AGRIF, qui défend comme universelles les valeurs de l’identité et de l’enracinement, socles des libertés réelles, accueille avec une très grande joie le résultat du référendum en Grande-Bretagne.

C’est là une grande victoire de la liberté contre le néo-totalitarisme de plus en plus insupportable de l’inhumaine eurocratie bruxelloise.

La défense et le renouveau de l’identité française et chrétienne passent par la réalisation du cri jadis lancé par nous au Parlement Européen et dans la revue Reconquête : « Sortons de cette Europe-là ! ». Et nous précisions : « Cette Europe sans frontière, à la concurrence sans frein, à l’immigration sans limite ».

L’élection à Londres du maire musulman Sadiq Khan a sans doute joué hier dans le vote de réflexe de liberté du peuple britannique. Très vite, en effet, ce doucereux musulman « patte blanche », soi-disant modéré, a dévoilé par plusieurs gestes symboliques explicites et décisions ramadanesques son désir de conformer la vie de ses concitoyens aux exigences de l’islam.

Ce n’est ni de la xénophobie, ni du racisme que de réagir contre l’avancée déjà très discernable vers une société islamo-conforme telle que la vise pour toute l’Europe le dictateur turc Erdogan. Ce dernier ne pousse-t-il pas des millions de musulmans sur notre Europe, selon les axes des anciennes conquêtes ottomanes ? Ce, avec la complicité objective de madame Merkel dans la continuité des pactes germano-turcs ?

Il faut maintenant œuvrer pour que soit redynamisée une Europe de la paix, de la puissance et des libertés.

Cela passe par une politique d’élaboration empirique de pactes d’intérêts communs, en différents domaines, industriels, économiques et sociaux et surtout de défense et de sécurité ; et de promotion de la culture de vie entre nations dont les racines et valeurs chrétiennes sont porteuses d’avenir.

Rendons grâce au peuple britannique d’avoir aujourd’hui refusé le néo-totalitarisme du « meilleur des mondes » du Big Brother européiste comme il sut jadis résister à l’Allemagne nazie.

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Brexit, une gifle du pays réel au pays légal

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Alain Escada, Président de Civitas

La nouvelle est tombée ce matin : le référendum organisé ce 23 juin au Royaume-Uni a donné gagnante la sortie de ce pays de l’Union Européenne.

C’est une victoire des paysans, des pêcheurs, des artisans, des petits commerçants, des petites entreprises, des ouvriers, des employés, des “sans dents”, des familles, des patriotes et du bon sens.

C’est une défaite des mondialistes, des banksters, des multinationales, de la gauche internationaliste et apatride, des lobbies interlopes, des promoteurs du vice, des forces occultes, de la synarchie, du syncrétisme religieux, des médias du système et de la jet-set décadente et cosmopolite.

CIVITAS félicite les électeurs britanniques pour cette victoire du pays réel sur le pays légal. Une victoire qui fait du bien au moral.

Il faut maintenant espérer que le pays réel ne sera pas spolié de cette victoire par des politiciens corrompus, comme cela fut le cas en France et aux Pays-Bas lors de précédents référendums.

Il faut surtout avoir bien en tête que le système vient de recevoir une gifle mais qu’il n’est pas à terre, loin de là. La propagande va redoubler d’efforts dans les prochaines heures et prendre prétexte du Brexit pour justifier de nouvelles mesures urgentes en faveur du renforcement du mondialisme contre le prétendu “repli sur soi”. Des représentants de la haute finance vagabonde aux tenants de la haine de Dieu, de la Patrie et de la Famille, en passant par les troupeaux de bien-pensants manipulés, tous vont se donner la main pour utiliser ce Brexit à leur profit.

A nous de résister et de préparer la suite !

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BREXIT : réaction de Philippe Milliau (Groupe Libertés)

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La réaction de Philippe Milliau Président du Groupe Libertés

Le contexte : avant que d’en sortir, la question me parait être d’abord de savoir si la Grande Bretagne aurait dû y rentrer…

En termes géopolitiques, la séparation entre le bloc américain et le bloc continental européen est-elle l’Atlantique ou la Manche ? La question mérite d’être posée…

En termes ethniques, culturels et religieux, la proximité des Anglais et des Américains n’est-elle pas une évidence ?

Dans l’histoire, l’attitude anglaise vis-à-vis du continent a été équivoque et à géométrie variable. Dans sa période la plus récente, elle a été sur un plan politique, économique, financier et migratoire complice du grand frère américain plus que partie prenante européenne.

Tout d’abord hostile à son adhésion, la Grande-Bretagne est rentrée pour y imposer sa vue strictement commerçante d’une Europe sans pouvoir politique. Par les votes, ses vétos, le soft power qu’elle a exercé auprès des instances européennes, la puissance anglaise, non seulement ne s’est pas intégrée, mais a en permanence et sur tous sujets travaillé contre une véritable souveraineté européenne, contre la monnaie européenne sans même daigner y rentrer, contre le conditions de sa puissance, contre son harmonisation sociale et fiscale, mais pour l’élargissement sans fin de l’Union européenne au détriment de sa profondeur. Pour comble, l’obtention grâce à de honteuses complicités dans les pouvoirs politiques des autres nations, du retour (I want my money back) des deux tiers de la différence entre ce que les Anglais paient et ce que qu’ils reçoivent de l’Union européenne et, autre dérogation, du droit de quitter à sa convenance (opting out).

Comme Nicole Fontaine et les disciples de Dominique Venner aujourd’hui ou le général De Gaulle hier, j’estime qu’une Grande-Bretagne hors d’Europe, c’est une grande chance (la dernière ?) de sauver et relancer un vrai projet européen, indépendant et puissant. Le monde bouge, partout. Il est plus que temps pour le continent européen de poursuivre un projet commun, s’il ne veut pas être hors jeu dans ce siècle qui voit ressurgir une multipolarité à taille continentale. Refonder l’empire carolingien, une Europe resserrée, dynamique, homogène, voici l’urgence.

Réaction publiée sur EuroLibertés cliquez là

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L’EURO 2016 : RIEN A « FOOT » ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Coincé entre Roland Garros et la Grande Boucle, l’Euro 2016 colonise le petit écran et monopolise les ondes : Slovaquie/Angleterre le lundi 20 juin, Croatie/Espagne le mardi 21, Suède/Belgique le mercredi 22 etc… sans oublier la finale du TOP-14 en Rugby, ni les commentaires sans fin sur les chaines d’infos en continu….Je glose, tu commentes, il parle, nous « tchatchons »… L’overdose footballistique nous submerge tandis que d’ autres se peignent le visage de tricolore comme une lointaine tribu exotique partant en guerre. On entend des hurlements, des cris de joie, des éructations, des « on a gagné » à n’en plus finir si l’un des joueurs affublé du maillot bleu marque un but… Des supporters vont à la castagne et transforment des lieux de vie en lieux de désolation, tels des « gros bras» cégétistes dépassés par les évènements. Et tout ça pendant l’état d’urgence où les foules sont à la merci d’un excité du turban…

Un sport de millionnaires

Ce sport de millionnaires – les joueurs ne sont pas au SMIC et les places ne sont pas données – est devenu une drogue collective qui transforme des citoyens normaux en zombies parfois très lourdement avinés… Que demande le peuple, en panne d’horizons lointains depuis que les Empires sont morts et que l’indépassable horizon de la réussite semble se résumer pour beaucoup en une bagnole, des meubles Ikea dans la cuisine, un écran plat et des congés payés au Club Med ? Le peuple comme sous les dynasties romaines, demande du pain et des jeux. Le pain, pour l’instant, tout le monde y a droit, pour l’instant… Les jeux aussi, même si ceux des nôtres qui ne demandent rien y auront droit quand même… En Hollandie, football obligatoire à tous les étages,comme jadis le gaz dans les garnis ! Au moins dans les arènes, les gladiateurs risquaient leur peau et César, d’un geste du pouce, usait de son droit de vie ou de mort à l’égard du combattant tombé au sol. Sans aller jusque-là, bien sûr – heureusement, autres temps autres mœurs ! – que risquent les néo gladiateurs aux maillots numérotés dont certains, ceux des Suisses, note comique, sont d’une qualité douteuse ? Une fracture, une entorse, un hématome, un petit bobo, mais surtout la perception d’un gros chèque qui transforme des gamins de banlieue mal élevés en de richissimes parvenus, frimeurs, gros consommateurs de belles filles et de grosses cylindrées. Quelle notion peuvent-ils avoir de la valeur de l’argent ? Si ceux qui sont chargés de gérer leur petite fortune ne veillent pas au grain, beaucoup de ces footeux risquent de se retrouver «  à la cloche » une fois leur heure de gloire passée car, dans ce sport comme dans d’autres gangrénés par l’argent, le poids des ans est un irrépressible rouleau compresseur, un sens unique vers la sortie et la déprime.

Une équipe qui ne reflète pas tout à fait la diversité française

Le match de football est élevé au niveau de la célébration d’une grande messe, avec ses rites, ses prêtres et ses fidèles. L’équipe nationale, celle des tricolores très… multicolores, joue aussi le rôle d’une armée affrontant l’ennemi : on doit battre l’équipe adverse, il en va de l’honneur national. Le tout sous les yeux du souverain présent dans les tribunes officielles ou tout au moins le pantin qui remplit la fonction, honorant ses courtisans et la presse de ses commentaires avisés. Les hymnes nationaux sont joués même si, parfois, ils sont si peu chantés par certains joueurs, nous donnant à penser que ces derniers ne doivent pas vraiment se considérer comme étant vraiment « d’chez nous » et réaliser l’honneur qu’ils ont d’être là….C’est le patriotisme au niveau des crampons ! Comme l’écrit mon collègue Alain Sanders dans le quotidien PRESENT, « la classe politico-médiatique s’émerveille que quatre footeux musulmans de l’équipe de France (…) aient annoncé qu’ils ne feraient pas le ramadan pendant l’Euro ». Ah, les braves gens… «  Admirable » poursuit Sanders qui, toujours dans les colonnes de son journal, s’était interrogé comme moi, sur la composition de cette équipe qui devrait refléter la diversité française. Or, il est banal de constater que des jeunes Français d’origine africaine ont été nombreux à être sélectionnés par Didier Deschamps dans l’équipe nationale. Nos compatriotes d’ascendance asiatique, et ils sont nombreux – ah, l’Indo ! – pourraient protester et s’indigner de n’avoir aucun des leurs dans l’équipe, non ? Comble du culot, c’est le médiatique Éric Cantona, vieille gloire du foot reconvertie dans le cinéma, qui a accusé l’entraineur de « racisme » pour n’avoir pas sélectionné Benzema et Ben Arfa pour l’Euro ! On sait à ce sujet pourquoi  les intéressés n’ont pas été retenus. De qui se moque-t-on ? S’il y a bien une équipe sportive largement ouverte sur le multiculturalisme, c’est bien la sélection française. Tout observateur honnête ne pourra que le confirmer. Dans le monde sportif, seule l’équipe des Springboks compte un nombre disproportionné de rugbymen blancs alors que ces derniers ne représentent plus que 9 % de la population. Mais il faut dire que ce sport concerne d’abord les Afrikaners et, en quelque sorte «  les coagule », alors que les Noirs Sud-africains, comme partout sur le continent, sont bien plus attirés par le football. Les joueurs français d’origine africaine, antillaise ou réunionnaise sont-ils meilleurs que des métropolitains ? Peut-être après tout, je ne suis pas compétent pour en décider. Mais il n’en demeure pas moins que les Bleus envoient un message au monde et ce message est, quelque part, qu’on le veuille ou non, « idéologique », la France change et elle s’éloigne de la définition qu’en donnait hier et jadis le général De Gaulle. D’autre part, cette équipe « black-blanc-beur » qui sous l’autorité de Zidane, « Zizou » pour les intimes, donna la victoire à la France contre le Brésil en 1998 au mondial de football, n’est-elle devenue aujourd’hui, qu’une bande de vedettes qui «  se conduisent comme des vauriens tout en suscitant l’extase de la foule », comme l’a dit la philosophe Chantal Delsol ? Pauvres téléspectateurs submergés de buts, de coups francs, de corners et autres hors-jeu et, surtout, pauvre France !

A CE PROPOS, C'EST ASSEZ URGENT :

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09:52 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comme toujours, BHL s'est trompé !

09:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Yvan Benedetti salue le Brexit

09:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Brexit : le réveil des peuples !

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Lors du référendum d'hier, le verdict du peuple britannique a été sans appel : la souveraineté nationale des États européens est incompatible avec l'appartenance à l'Union européenne…

Retour sur les conséquences politiques en France tout au long de la journée sur Synthèse nationale avec les commentaires de tous les ténors de la droite nationale et identitaire…

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09:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 23 juin 2016

Pierre Cassen (Riposte laïque) lors de la manifestation de vendredi dernier à Paris contre les crimes islamistes

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Alain Escada, Président de Civitas, et la situation actuelle :

16:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dr Jean-François et Mister Kahn

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La chronique de Philippe Randa

Jean-François Kahn a été un chantre de gauche – enfin d’une certain gauche assumée – au siècle dernier : fondateur de L’Événement du jeudi en 1984, puis de Marianne en 1997, ces deux hebdomadaires de presse ont toujours fustigés la droite dite extrême qui commençait pour eux à la droite de Bernard Stasi… Puis JFK soutint François Bayrou à l’élection présidentielle de 2007 avant d’être investi par le Modem en 2009 pour se faire élire au Parlement européen (où il ne siègera pas)… Depuis, électron libre de la politicosphère, le voici tenant des propos très sarkozinophiles dans les colonnes du Figaro…

Dans cet interview, le Dr Jean-François d’hier « centriste » et d’avant-hier « de gauche », a bel et bien vécu : « Sur le fond, je partage certaines propositions de Nicolas Sarkozy. Mais je regrette que celles-ci ne soient pas suivies d'acte. Et plus encore que les actes soient parfois en opposition radicale avec les discours »… Mister Kahn d’aujourd’hui, on le découvre avec quelque étonnement, tient donc le même constat qu’une certaine Marine Le Pen : les promesses que Nicolas Sarkozy a faites, il ne les a pas tenues et, tout comme la présidente du FN, il le regrette amèrement. Mais qu’à cela ne tienne, pour lui, la chose est entendue : Sarkozy « va gagner la primaire de la droite - sauf problèmes judiciaires… (…) C'est quelqu'un qui ose tout, face à des gens qui n'osent rien. Il bénéficie d'une véritable dynamique. »

« Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » ! Étonnant monsieur Kahn qui confirme à l’évidence ce diction populaire !

Au fait, son ralliement à Marine le Pen, c’est pour quand ?

Publiée hier dans Présent cliquez ici

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Que le Brexit passe ou pas…

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Nicolas Gauthier Eurolibertés cliquez ici

Que le Brexit passe ou pas, cela modifiera-t-il les rapports complexes entre Angleterre et Europe ? Rien n’est moins sûr.

« Entre le Grand large et l’Europe, nous choisirons toujours le Grand large », assurait jadis Winston Churchill au général De Gaulle. Certes ! Il n’empêche qu’une éventuelle sortie de la Grande-Bretagne des instances européennes ne saurait tout résoudre des problèmes européens : tout d’abord parce que Londres, au contraire de la majeure partie de nos capitales, a su conserver sa monnaie et surtout parce que la City, quelle que soit l’issue du référendum, demeurera capitale mondiale de la finance.

De même, ce que voulait l’Angleterre aux premières heures de la construction européenne – un vieux continent réduit à un espace voué au libre-échangisme, soit une puissance économique n’ayant pas vocation à devenir puissance politique –, continuera à demeurer loi d’airain.

Dans une remarquable tribune intitulée, Le Brexit et l’Europe : la tour de Babel du libéralisme, publiée sur le très sérieux site iris-France.org, Institut de relations internationales et stratégiques, Rémi Bourgeot rappelle : « La vision anglaise commerciale dépasse en fait le cadre de l’UE et s’étend de plus en plus à l’échelle du monde, suivant l’idée que l’Europe, bien que toujours importante, a perdu de sa pertinence face à la mondialisation. »

Bref, l’Angleterre, si elle quittait l’Europe, ne ferait jamais que sauter d’un bateau faisant naufrage.

Plus intéressant encore, cette phrase du même Rémi Bourgeot : « En Angleterre, la campagne du Brexit a été menée par des eurosceptiques qui soutiennent le libre-échange sans réserve et sont bien moins hostiles à l’immigration que leur base politique. » Rien que de très logique : malgré tous ses défauts, la Commission européenne tente encore, et réussit parfois, à faire pièce à un capitalisme mondialisé de plus en plus débridé. À cet état de fait, s’ajoute un autre élément à prendre en considération, l’alliance tacite entre Londres et Berlin. Les premiers envient aux seconds leur puissance industrielle ; les seconds admirent la faculté des premiers à sans cesse tirer leur épingle du jeu, à avoir un pied en Europe quand ça les arrange, à en avoir un autre ailleurs pour peu que cela soit susceptible de servir leurs intérêts. La France, en revanche, fait l’unanimité des gouvernants de ces deux pays, contre elle, il va de soi.

Trop tatillonne en matière législative, la France est ainsi empêcheuse de mondialiser en rond. Les attaques contre Monsanto, c’est nous. La remise en cause d’une agriculture intensive et polluante, c’est nous. La dénonciation du modèle d’élevage allemand – genre Ferme des mille vaches –, c’est nous. La taxation des multinationales qui font leur pelote en Europe pour ensuite se défiscaliser aux Bahamas, c’est nous. Le premier parti politique populiste, eurosceptique, pas loin de tirer la nappe avant de renverser la table européenne, c’est le Front national ; soit, toujours nous.

Du modèle français, il ne reste évidemment plus grand-chose. De cet héritage gaullo-communiste, nous ayant légué un appareil industriel – aéronautique, automobile, chemins de fer, conquête spatiale, armement, énergie nucléaire, recherche médicale, industrie pétrolière, etc. –, ne demeure plus que plaquette de beurre abandonnée au Soleil. Pourtant, des pans entiers de ce consortium persistent à survivre et il suffirait d’un peu de volonté politique pour qu’il retrouve de sa superbe. Mais ça, il est à craindre que les Anglais ne le tolèrent pas, n’ayant jamais supporté une puissance continentale assez forte pour menacer leurs intérêts à termes plus ou moins lointains. Pas plus que les Allemands qui, nous ayant depuis longtemps damé le pion en la matière, se refuseront immanquablement à voir la France retrouver la place qui fut si longtemps la sienne.

Alors, Brexit ou pas, il y a fort à parier que l’Angleterre ne trouve rien à y perdre. Pour la France, en revanche, il se trouve tant d’amis européens pour éviter que nous puissions y dénicher quelque chose à gagner… Réponse ce dimanche prochain et, surtout, dans les mois à venir.

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Les Cahiers d'Histoire du nationalisme à l'honneur ce matin sur Radio Libertés

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Samedi 25 juin à Lyon : tournoi annuel de football du GUD

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mercredi, 22 juin 2016

Le premier volume de "BUDAPEST 1956 INSURRECTION" de David Irving est en vente à la Librairie Facta

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Librairie Facta 4, rue de Clichy 75009 Paris cliquez là

Vous pouvez aussi l'acheter en ligne cliquez ici

ou par correspondance cliquez là

 

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mardi, 21 juin 2016

Depuis ce matin, une nouvelle radio au service de la contre-information : RADIO LIBERTES

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Au micro : Arnaud Menu et Florianne.

Pour écouter Radio Libertés cliquez ici

19:44 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Synthèse nationale sera présente aux 50 ans de Diffusion de la Pensée française à Chiré en Montreuil (86) début septembre...

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18:17 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Démence, niaiserie ou machiavélisme monnayé ?

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Dr Bernard Plouvier

Un certain nombre de dirigeants politiques et religieux font douter le public éclairé ou de leur bon sens ou de leur sincérité. Il en va ainsi de la Chancellière germanique, du locataire actuel du Vatican ou d’une quantité ahurissante de seconds couteaux, comme nos Hollande, Valls et autres Juppé.

Ne pas apercevoir le danger évident que l’islam conquérant fait courir aux Occidentaux, réfuter la réalité de l’immigration-invasion de l’Europe occidentale et scandinave, nier la délinquance quotidienne et la criminalité des migrants africains, proche- et moyen-orientaux, en très grande majorité musulmans, peut résulter de diverses raisons.

En médecine, nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire. Le délire aigu relève dans la quasi-totalité des cas de l’usage des stupéfiants ou d’une encéphalite, souvent virale. Mais nos dirigeants, effectifs ou supposés, délirent de façon chronique, ce qui évoque une démence, une tumeur cérébrale ou les complications cognitives d’une maladie métabolique ou d’une dégénérescence cérébrale, comme la maladie de Parkinson. Bref, il est urgent de faire passer une IRM cérébrale et un entretien psychiatrique aux délirants authentiques. Toutefois, s’agit-il pour tous d’un délire vrai ? On peut en douter.

Comparer la niaiserie chrétienne de l’agapè à l’islam djihadiste, comme il semble que le pape actuel l’ait fait, relève non pas d’un défaut de connaissances (ce serait une absurdité, s’agissant d’un jésuite), mais soit d’un dérèglement cognitif (la « folie » en terme vulgaire, trop général pour être médicalement satisfaisant) soit d’une subtilité politique, dont le machiavélisme laisse pantois… et pas d’admiration.

Que la Chancellière teutonne, qu’un scribouillard ou un vulgaire politicien français courent après un Prix Nobel de la paix, cela peut se comprendre. C’est d’un excellent rapport, en publicité et en royalties sonnantes et trébuchantes. Un souverain pontife peut, vanité aidant, ne pas dédaigner non plus ce genre de gloriole… il a bien accepté un Prix Charlemagne.

Toutefois, les prestations des uns et des autres, si elles ne relèvent pas de la pure psychopathologie – même si les coïncidences existent, l’on a du mal à envisager que plusieurs dirigeants politiques soient atteints simultanément de délire -, font penser à une planification, à une orchestration.

Certes, aucun complot à l’échelle planétaire n’a jamais existé, n’est même envisageable étant donnée la haine que se vouent mutuellement les Divas de la finance, du négoce, de la production et du maniement des opinions publiques. Tout Pouvoir divisé, réparti sur plusieurs titulaires, est forcément multidirectionnel.

Toutefois, après l’expérience néoconservatrice et pro-sioniste des USA (soit les règnes des deux Bush encadrant la double prestation de Clinton), il semble qu’une majorité de dirigeants économiques aient concerté la destruction de l’Europe par l’islam, excellent agent de pourrissement des sociétés par sa barbarie et fabuleux outil de déclin scientifique et technique par son obscurantisme médiéval. Il faut croire que l’Europe, dont le déclin paraît monstrueux aux Européens teintés de culture historique, a encore un potentiel qui terrifie les maîtres de la globalo-mondialisation.

À l’évidence, ce potentiel, c’est la race européenne, qui est à la source de la plus fabuleuse civilisation intellectuelle et technique de l’humanité. Si d’autres ont perçu cette évidence, il serait bon que les autochtones d’Europe se pénètrent de cette réalité, qu’ils reprennent confiance en eux et rien qu’en eux, refusant l’occupation étrangère autant que les charmes pervers du métissage.  

L’on comprend ainsi qu’un pape latino-américain joue sa partition démagogique, tiers-mondiste, non pas « au service de l’islam » (ce qui est une formulation absurde), mais au service de la globalo-mondialisation, dont l’islam n’est qu’un pion parmi d’autres, mais probablement le plus intéressant pour le moment. Après tout, la pure doctrine chrétienne a toujours été universaliste, antinationale et métisseuse.

Pour d’autres pitres politiques, l’argent doit jouer un rôle, ou la psychopathologie, ou encore une repentance elle-même pathologique par son intensité et sa durée.

Plutôt que de surenchérir en qualificatifs injurieux et en habiles paradoxes, il est urgent de réfléchir à ce qu’est notre monde : un peu plus de 7 milliards d’individus, dirigés par quelques milliers de super-hyper-riches et puissants (dont le pape), qui manipulent des dizaines de milliers de collaborateurs du milieu du spectacle : politique, media, et le show-business où le sport de compétition et les religions se disputent la première place. Manifestement, les maîtres n’ont pas encore décidé qui des clergés ou des gladiateurs seront leurs meilleurs agents de propagande.

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lundi, 20 juin 2016

PIERRE CASSEN invité par le Parti de la France

19:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un Baupin peut en cacher un autre

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Le billet de Patrick Parment

Non mais t’as vu sa tronche ? Avec un pareil attirail, ça respire le refoulé qui se prend taule sur taule avec les gonzesses ! Alors, forcément, un jour, ça craque.

Cette gueule chafouine respire le délateur, celle de l’élève toujours au premier rang et prompt à balancer : « M’sieur, j’l’ai vu, c’est lui ! », c’est Aignan dans le Petit Nicolas.

En entrant chez les écolos, Baupin s’ouvrait enfin les voies d’une partouze pas que politique : amour libre, mœurs légères, mais grande susceptibilité sur le droit des femmes à pisser debout. Sauf que dans l’arrière boutique, on trouve un gonze qui use et abuse de son pouvoir pour obtenir – enfin – des faveurs sexuelles de ces dames sur l’air de : « Tu suces, salope, où j’te vire ! »

La morale de cette histoire sans morale, est que le Landerneau politique n’est pas différent de ce qui se passe dans les administrations et les entreprises. Que l’on se pose la question de savoir pourquoi ces dames, écolos-bobos, si promptes d’ordinaire à revendiquer leurs droits, se sont-elles tues ?

Enfin, que risque Baupin face à des faits qui sont prescrits ? Au fait, elle est où la question ?

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LES BRIGANDES SUR TV LIBERTES

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La gangrène des Institutions

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Dr Bernard Plouvier

C’est devenu l’un des plus inquiétants symptômes de notre décadence d’Européens occidentaux : la police est de plus en plus orientée vers des objectifs politiques et non plus vers la protection des honnêtes citoyens laborieux. La justice est passée à un degré supérieur d’abjection : de politisée qu’elle était depuis la période soixante-huitarde, elle est devenue crétinisée.

Comment, de façon objective, qualifier autrement que par l’expression de la plus crasse stupidité les jugements les plus aberrants rendus depuis 2014, soit la première année de la nouvelle vague d’émeutes, d’attentats et d’exactions perpétrée par des musulmans en Europe occidentale ?

La haine des autochtones exprimée par les immigrés de couleur, le racisme anti-Blancs ne font qu’exceptionnellement l’objet de poursuites judiciaires et, dans ce cas, les sanctions ressemblent plus à un symbole qu’à une peine : c’est, en bonne logique, un encouragement à la récidive.

Il ne se passe pas de semaine, depuis 2015, sans que l’on ait à déplorer, en France, une tuerie : soit un règlement de comptes entre nobles et vertueux immigrés trafiquants de drogues ou d’armes, soit l’assassinat d’un ou de plusieurs autochtones (de tous âges et sexes) par un fruit pourri de cette immigration extra-européenne, censée « enrichir la France »… il s’agit apparemment de la France des pompes funèbres, grâce au maniement en virtuose du couteau à cran d’arrêt ou d’une arme à feu sur la personne d’autochtones désarmés (on admire le courage de ces vaillants soldats d’allah).

Dans ce cas (ou ces cas) hebdomadaire(s), la presse fait très souvent preuve d’une retenue de pucelle quant à l’origine du meurtrier. S’il passe un jour en justice, la presse « oublie » le sujet, préférant traiter de la énième conquête de notre gras Président ou de la foucade du jour de son premier ministre, à moins que les honorables nervis de la CGT ne saccagent une ville ou qu’une « cité sensible » ne s’offre une fiesta où l’on casse, incendie et saccage, aux frais de la princesse : la collectivité des contribuables.

Soyons honnêtes : Outre-Rhin, ce n’est guère mieux. La Chancellière, devenue folle en 2015, accueille en masse d’honorables musulmans en rut et il est de bon ton de minimiser les viols subséquents. Pas question de dire, dans la presse bien-disante, que si le populisme a fait une percée exceptionnelle en Autriche, c’est à cause de la multitude de viols commis en ce pays par les fils de l’islam en cours de transit ou d’installation-invasion.

Mieux encore, dans un article du 20 juin paru sur Eurolibertés, Lionel Baland nous apprend qu’un tribunal de Fribourg en Brisgau vient d’assimiler un violeur (syrien musulman) de 20 ans à un « mineur d’âge », alors que pour les lois syrienne et allemande, il est à l’évidence majeur – au point de pouvoir signer un bail de location dans la vile de Weil am Rhein cliquez ici.

Le 31 décembre 2015, lui et trois autres fils de l’islam, mineurs ces trois-là, ont violé deux gamines blanches de 14 et 15 ans, idiotes au point d’avoir accepté une invitation au domicile du « majeur-mineur ». Ce tour de passe-passe juridique, qui s’accorde si bien avec la politique de la Chancellière de Berlin, a permis d’offrir le sursis au violeur, les trois autres auteurs de ce viol en tournante bénéficiant automatiquement de cette mesure, étant donné leur âge tendre.

Stricto sensu, cela revient à dire qu’il n’en coûte qu’un petit désagrément de violer une « meuf à cul blanc » et de passer ainsi, aux yeux des autres fruits pourris de l’immigration-invasion, comme des « durs », prêts à récidiver à la moindre occasion. De même qu’en France, les casseurs et incendiaires, presque jamais pris ou poursuivis, deviennent des voyous professionnels : des bons à rien faire d’autre que de saccager le bien d’autrui et le bien commun.    

En une époque où il est dangereux de déambuler dans les rues ou de voyager dans les transports en commun, en une époque où des nationaux sont quotidiennement agressés par des envahisseurs frustes et violents, le laxisme politico-judiciaire est, non pas une faute, mais un crime.

Comment ne pas s’interroger sur les motivations des politiciens français qui ont au moins les apparences du pouvoir ? Faut-il croire, comme l’affirment de multiples sources, que le parti au pouvoir, celui des hyper-efficaces Hollande, Valls et Cazeneuve, serait soutenu financièrement par des évergètes islamo-pétroliers. On comprendrait mieux pourquoi les fils pourris de l’islam peuvent se permettre n’importe quoi en toute impunité dans ce qui est encore NOTRE pays.

Il incombe au citoyen d’en tirer la leçon qui s’impose.

Fin-Monde-An-14-quadri.jpgLe nouveau livre du

Dr Bernard Plouvier

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dimanche, 19 juin 2016

On commence à se l'arracher...

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Bistro Libertés : Martial Bild reçoit Gabrielle Cluzel

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samedi, 18 juin 2016

L’An 1914 : la guerre dont tout le monde voulait... Le nouveau livre du Dr Bernard Plouvier

Fin-Monde-An-14-quadri.jpg« La responsabilité de la guerre de 1914-1918 est largement partagée par tous les parlementaires qui, en tous pays, ont voté les crédits de guerre à l’unanimité »

Entretien avec le Dr Bernard Plouvier, auteur de La fin d’un monde. L’An 1914 : la guerre dont tout le monde voulait aux éditions Dualpha. (Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Selon vous, la Grande Guerre aurait été la plus inévitable de toutes les guerres ?

Dr Bernard Plouvier : Effectivement, pour des raisons économiques (en Russie et en Grande-Bretagne), pour des raisons d’impérialisme territorial (en Russie, en Serbie, en Grande-Bretagne pour ce qui est des colonies), et surtout pour des raisons sociologiques (un peu partout en Europe).

Durant les années 1910-14, les jeunes hommes de toutes les classes sociales s’ennuient dans une société plutôt fermée, où tout semble prévisible, et n’ont guère d’objection (sauf les anarchistes, mais ils boudent absolument tout !) à une « guerre franche et joyeuse », puisque tous les « spécialistes » (économistes et financiers, généraux et diplomates, même prêtres et philosophes) affirment sur tous les tons que, du fait de son coût prohibitif, une guerre entre États industrialisés ne peut qu’être courte.

Et les chefs politiques, dans cet ensemble ?

À l’exception de rares bellicistes parmi les politiciens de Londres, de Saint-Pétersbourg et surtout de Belgrade, ils sont tous très peu enthousiastes, voire pacifistes. Ni le tsar Nicolas II (qui est un imbécile), ni le sénile François-Joseph d’Autriche-Hongrie, ni le Kaiser Guillaume II, ni Raymond Poincaré ne sont des foudres de guerre, quoi qu’on en ait dit ensuite. Seuls, d’ailleurs, les deux derniers sont réellement intelligents. À Londres, les politiciens sont au service de la ploutocratie, et à Belgrade ce sont de purs aventuriers.

Ni responsables ni coupables, donc à Paris, Vienne ou Berlin ?

Responsables, en faible partie, ils le sont. En tous cas, cette responsabilité est largement partagée par tous les parlementaires qui, en tous pays, ont voté les crédits de guerre à l’unanimité. Coupables, ils le furent de n’avoir pas suffisamment répété à leurs opinions publiques les dangers d’une guerre moderne. Mais ces dangers (bien connus depuis la Civil War des USA – la « Guerre de sécession » – ou la guerre de Mandchourie) étaient minimisés par tout le monde.

Alors, qui étaient les bellicistes en 1914 ?

De très nombreux industriels et négociants à Saint-Pétersbourg et Moscou ou à Londres. Mais les financiers étaient plutôt pacifistes, alors qu’ils seront des bellicistes enragés de 1933 à 1939. De nombreux généraux et amiraux des États-Majors Généraux à Saint-Pétersbourg, Vienne, Londres et Paris… et, à un moindre degré, à Berlin, où l’on était bien plus hésitant. Le gouvernement serbe, encouragé par l’ambassadeur et les attachés militaires russes à Belgrade a volontairement et sciemment mis le feu aux poudres.

Enfin, et surtout, était avide d’action brutale la fraction mâle et jeune des opinions publiques en tous pays, sauf peut-être en Transleithanie (le royaume de Hongrie). À l’exception de délicats esthètes littéraires, les jeunes ouvriers, paysans et petits-bourgeois avaient conservé de bons souvenirs de leur service militaire. De ce fait, une campagne guerrière d’un trimestre, au plus d’un semestre, ne pouvait que leur apporter ce parfum d’aventures, ce goût de l’imprévu que la vie quotidienne était bien incapable de leur procurer… et le cinéma était alors tellement rudimentaire qu’il offrait davantage matière à rire qu’à rêver.

C’est en cela que la guerre de l’Année 1914, qui marque l’An 1 du XXe siècle, était réellement inévitable.

La fin d’un monde. L’An 1914 : la guerre dont tout le monde voulait du Dr Bernard Plouvier, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 576 pages, 39 euros.

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Un entretien entre Franck Abed et Francis Bergeron sur Léon Degrelle

13307454_500609703468110_8491307958840490828_n.jpgFranck ABED : Bonjour. Pourriez-vous prendre la peine de vous présenter en quelques mots pour ceux qui croient vous connaître et pour ceux qui ne vous connaissent pas encore ?

Francis BERGERON : Adolescent, j’ai milité dans quelques groupuscules anticommunistes, à une époque où le philocommunisme était la chose la mieux partagée du monde, alors même qu’au Vietnam, au Cambodge, au Laos, au Mozambique, en Angola, en Afghanistan, la poussée bolchevique semblait irrésistible. Cela m’a conduit ensuite à des engagements plus « musclés, avec à la clé les geôles soviétiques, et la guerre au Liban. Mais c’était il y a longtemps… Aujourd’hui j’écris des livres. Et sur le plan professionnel je participe à la direction d’un groupe international.

Pour quelles raisons avez-vous décidé d’écrire une biographie sur Léon DEGRELLE ?

J’ai écrit une biographie de Hergé et un essai sur la géopolitique dans l’oeuvre de Hergé. Or Hergé, dans sa jeunesse, a été très lié à Léon Degrelle. Cette amitié, et l’idée que Degrelle ait pu servir de modèle au personnage de Tintin m’ont donné envie de me plonger dans la vie de cet homme politique belge.

Comment définiriez-vous la doctrine défendue par Léon DEGRELLE ? Comprenez-vous qu’on puisse la classer à gauche ?

Il y a plusieurs rexismes. Le rexisme d’origine se situe plutôt du côté de Maurras et des catholiques sociaux. Degrelle éprouve une profonde admiration pour l’Action française, et en particulier pour Léon Daudet. Par la suite, il va s’éloigner de la hiérarchie catholique ; et l’organisation qu’il a créée va ressembler de plus en plus à ces groupes fascistes que l’on trouve à l’époque, dans la plupart des pays européens. A partir de 1937, une partie des militants catholiques s’éloignent de REX, tandis que ce parti attire d’anciens communistes, et va ressembler un peu au PPF de Doriot. Il y a comme toujours, dans les partis de ce type, un mélange de nationalisme et de socialisme, à des degrés divers. Mais REX, c’est vrai, fait partie des rares mouvements fascistes imprégnés de christianisme. On pense à la Garde de Fer roumaine ou à la Milice de Darnand. Alors qu’en règle générale, les ligues fascisantes ou authentiquement fascistes développaient une idéologie plutôt matérialiste et en tout cas antichrétienne.

Mais ce qui est intéressant dans le rexisme, ce qui lui est propre, c’est cette aspiration à la grandeur, à la croisade, à la construction d’une « grande Bourgogne », sorte d’empire wallon renouant avec un passé très lointain. Venant d’un si petit pays, cette incongruité est assez fascinante. La toute petite ville de Bouillon, dans les Ardennes belges, est la ville de Godefroy de Bouillon et de Léon Degrelle. Ces deux soldats se ressemblent, au fond. L’appétence pour un destin hors du commun, venue de là où on ne l’attend pas du tout.

Léon DEGRELLE a soutenu le nazisme. Toutefois il se considérait comme catholique. Or le nazisme, en tant qu’idéologie et doctrine, a clairement été condamné – à l’instar du communisme et du libéralisme – par Notre Sainte Mère l’Eglise avec l’encyclique Mit brennender Sorge de Pie XI.

Comment expliquez-vous cette incohérence philosophique et intellectuelle manifeste (incohérence qui persiste encore dans certains cénacles nationaux) ?

Oui c’est exact, il y a incompatibilité. Je ne connais pas les milieux nationaux qui, aujourd’hui, tenteraient ce grand écart idéologique. Je n’ai jamais rencontré d’adeptes du nazisme et encore moins d’adeptes d’un syncrétisme entre le catholicisme et le nazisme. Ce que l’on sait aujourd’hui du nazisme et aussi l’échec politique et militaire engendré par ce totalitarisme, la ruine de l’Europe, et son affaiblissement durable, générés par la seconde guerre mondiale, ne prêtent guère à séduction.

Avant la guerre, il pouvait bien évidemment en être autrement : Robert Brasillach est ébloui par les cathédrales de lumière de Nuremberg. Alphonse de Chateaubriant voit en Hitler une figure quasiment christique. Léon Degrelle fait partie de ceux qu’impressionne le culte du chef, en Allemagne, cet ordre nouveau qui s’y construit, la fierté retrouvée de tout un peuple, face à la menace soviétique. C’est cela qui le séduit chez les tenants d nazisme avant tout. Mais Degrelle n’est guère théoricien. L’allure, les uniformes, l’effort collectif, la croisade héroïque, voilà qui lui parle sans doute beaucoup plus que toutes les théories racialistes ou impérialistes. Mais il est vrai que, pendant la guerre, il proclamera la germanité des Wallons, sans doute dans l’espoir que soit donnée à la Belgique, dans l’Europe nouvelle qu’il croit voir se dessiner, une place significative.

Quels furent les atouts et les qualités de DEGRELLE pour devenir une personnalité politique qui compte dans la Belgique d’entre deux guerres ?

Les atouts de Degrelle tiennent à sa personnalité, à commencer par cet optimisme à tous crins, par ce culot incommensurable. C’est un homme qui ne doute jamais. Son courage physique, et aussi sa résistance physique sont exceptionnels. Par ailleurs il va se révéler excellent journaliste, et orateur très puissant. Son charisme est impressionnant. Et puis, comme il aimait à le dire, « la chance m’aime bien ». Même si le bilan, au final, est celui d’un terrible échec, Degrelle a vécu quinze années assez fabuleuses, et il a su ensuite les raconter et les magnifier, contribuant à créer ce mythe formidable.

Beaucoup de choses sont dites et écrites au sujet des rapports entre Léon DEGRELLE et HERGE. Qu’en fut-il réellement ?

Les deux hommes se sont connus très jeunes, à vingt ans, en travaillant dans le même journal catholique bruxellois, le XXe Siècle. Ils étaient très liés, et Hergé n’a jamais renié cette amitié, malgré la divergence des destins. D’ailleurs l’une des caractéristiques d’Hergé, c’est sa fidélité en amitié. Il suffit de penser à l’histoire de ses relations avec son ami chinois Tchang.

Longtemps après la création de TINTIN, DEGRELLE a souvent dit et écrit qu’il en avait été le modèle. Qu’en pensez-vous ?

Ce n’est pas complètement faux. Hergé, « voyageur immobile » trouvait son inspiration autour de lui. Et cet ami et collègue de bureau, du même âge que lui, partant au Mexique chez les Christeros, puis en Amérique du Nord, pouvait constituer une sorte de modèle vivant au moment où Hergé commence à imaginer son héros, jeune homme de son temps, reporter et aventurier. Il y donc certainement un peu de Degrelle chez Tintin. mais on sait aussi qu’Hergé s’est inspiré de son frère Paul. Et puis comme Flaubert et madame Bovary, « Tintin, c’est moi », a-t-il souvent expliqué. Titntin, c‘est Hergé, un jeune homme fidèle à sa promesse scoute, ayant pour vocation de défendre la veuve et l’orphelin.

Existe-t-il des mouvements et/ou des personnalités politiques actuels en Belgique ou ailleurs qui se revendiquent de DEGRELLE et du Rexisme ?

Il doit y en avoir, mais je n’en ai pas rencontré. Alors que j’ai connu des adeptes du VERDINASO de Joris Van Severen, l’équivalent flamand de Degrelle, assassiné en 1940 à Abbeville. J’ai cru comprendre, en lisant Robert Poulet ou Pol Vandromme, que Degrelle n’a pas laissé que de bons souvenirs, en Belgique, aussi bien chez ses opposants que chez ceux qu’il a entrainés dans une aventure qui s’est révélée sans issue. La fin du rexisme ressemble à la fin de notre Milice : une sorte de guerre civile où il ne fait pas bon être dans le camp des perdants. D’abord parce que l’Histoire est écrite par les vainqueurs. Ensuite parce que l’épuration belge sera affreusement sévère, plus épouvantable encore que l’épuration française. Cela a laissé de terribles séquelles, meurtri des familles, des générations de Belges. Et qu’on le veuille ou non, Degrelle a sa part de responsabilités.

Finalement si DEGRELLE est toujours autant apprécié en France, cela ne tient-il pas au fait qu’il incarne le perdant magnifique haut en couleurs comme notre pays les aime tant ?

Oui, il y a de cela, certainement. Mais surtout Degrelle a été le metteur en scène de sa propre gloire. Dans des livres remarquables : La Guerre en prison, La Campagne de Russie, La Cohue de 1940, il raconte le fascinant destin d’un jeune Belge qui se retrouve directeur de journaux à vingt ans, grand reporter, chef d’un important parti politique à trente, et combattant héroïque sur le Front de l’Est. Quinze années intenses où cet homme est allé jusqu’au bout de ses engagements, et a miraculeusement survécu. Degrelle ? Quel phénomène !

Qui suis-je ? Léon Degrelle, par Francis Bergeron, éditions Pardès, 120 pages, 12 €

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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