samedi, 29 octobre 2016
Samedi 19 novembre : repas patriotique avec Carl Lang à Brive
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Lundi 7 novembre : conférence de Bernard Lugan sur l'Algérie à Paris
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Hier soir, Thomas Joly et David Martin tenaient une réunion du Parti de la France à Abbeville (80)
Vendredi 28 octobre, à l'initiative de David Martin, Délégué département adjoint du PdF de la Somme, une réunion militante a eu lieu à Abbeville en présence de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France. Yvon Flahaut, Conseiller municipal d'Abbeville, participait également à cette rencontre.
David Martin a tout d'abord rappelé les diverses actions militantes auxquelles la Délégation de la Somme a participé et a insisté sur l'esprit de camaraderie qui règne au Parti de la France, élément essentiel pour recruter. Soulignant l'importance des prochaines élections législatives, il a invité chaque participant à s'y investir pleinement.
Thomas Joly est ensuite intervenu sur l'actualité politique et plus particulièrement sur la « crise des migrants » aujourd'hui ventilés dans toute la France de manière autoritaire par le gouvernement socialiste. Rappelant que le Parti de la France est pour une expulsion de tous les clandestins et un inversement radical des flux migratoires dits « légaux ». Le Grand Remplacement de la population est véritablement le défi qui se dresse devant notre civilisation qui, si la résistance nationale et européenne ne se met pas en place, disparaîtra purement et simplement face à la submersion migratoire. Enfin, il a adressé un message d'espoir en indiquant que les prévisions de la droite nationale se sont toujours - hélas - vérifiées et que la population française n'a jamais été aussi réceptive à nos idées tant elle se radicalise du fait de l'accélération de la colonisation migratoire par nos gouvernants.
La réunion s'est terminée par un repas convivial avec les participants qui ont pu également repartir avec du matériel de propagande.
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Qui veut la peau de Riposte laïque ?
Maître Frédéric Pichon est l'un des avocats de Riposte Laïque et de Résistance républicaine. Il supporte difficilement le harcèlement que subit ce site, et son fondateur Pierre Cassen. Dans cette tribune, qu’il a adressée à Polémia, il explique les dessous de pratiques qui sont fort éloignées de celles qu’on pourrait attendre de cette institution, où les magistrats prétendent rendre la justice au nom du peuple français.
Frédéric Pichon Avocat à la Cour
Il n’est pas de mon habitude de jouer aux pleureuses. Avocat au Barreau de Paris depuis plus de 18 ans, je crois connaître la justice pour savoir que cette institution dont on est en droit d’attendre par définition qu’elle tende autant que possible vers la vérité et l’équité est, à l’image de la nature humaine, imparfaite et faillible. L’exigence d’une justice sans faille, tout comme celle d’une société parfaite sans injustice sont des exigences vers lesquelles l’on doit tendre en sachant aussi que qui fait l’ange fait la bête. Les vertueux qui ont cru prétendre à l’incorruptibilité ont souvent accouché de la Terreur.
Et enfin, il est toujours bon de rappeler à nos clients que, non, la Justice n’est pas un moule uniforme où tout serait joué d’avance et qu’il existe parmi les magistrats des hommes courageux et consciencieux comme des négligents, des intempérants et des corrompus.
Ces précautions d’usage étant rappelées, c’est aussi mon devoir d’avocat, puisque, dans certaines circonstances, ni la rédaction de conclusions pourtant étayées par le droit et des règles établies par notre jurisprudence, ni la conviction de la plaidoirie ne suffisent à incliner les juges, non pas à rendre un jugement de faveur, mais tout simplement à appliquer la loi comme à n’importe quel citoyen.
Il apparaît cependant évident qu’en matière de procès politique, la donne soit différente.
Et lorsque l’exercice habituel de la profession ne suffit plus à assurer la défense, c’est la plume qui doit prendre la relève en dehors des prétoires et des salles d’audience et ce conformément à la jurisprudence de la Cour européenne.
J’ai l’honneur d’être l’avocat de l’Association Riposte laïque et de son courageux fondateur Pierre Cassen.
Je déplore depuis plusieurs mois un incroyable acharnement judiciaire et policier contre mes clients en dépit des règles de droit et de jurisprudence que l’on reconnaît à d’autres.
Ainsi, il y a quelques jours, mon client a dû faire face à pas moins de quatre convocations en police et en justice. Et si la plupart de ces plaintes n’aboutiront pas, celles-ci n’étant pas fondées en droit, celles-là étant prescrites, elles obligent néanmoins mon client à se déplacer, à répondre à des interrogatoires, exercice toujours désagréable pour un honnête homme suspecté d’avoir publié des articles de fond et des caricatures.
Ces procédures innombrables ont un coût et elles ont aussi un but : asphyxier financièrement mes clients pour les dissuader de poursuivre leurs actions.
La raison de fond de cet acharnement ? La dénonciation sans concession par mes clients de l’islam. Non pas seulement de l’islam radical mais de l’islam en tant que système politique englobant d’essence totalitaire qui a vocation à régenter tous les pores de la société et ce en contradiction avec nos règles et nos traditions les plus ancrées.
Autrement dit, on reproche à mon client d’être un donneur d’alerte, de pointer les causes du mal et pas simplement d’en déplorer les causes en allumant une bougie ou en mettant la faute sur « les religions » en général.
On lui reproche de mettre de l’huile sur le feu dans le bloubiboulga de la sacro-sainte religion du vivrensemblisme où tous les hérétiques méritent le bûcher judiciaire.
En 2012, lorsque l’Association décida d’expatrier l’exploitation du site en Suisse, pays connu pour sa neutralité, déplaçant de facto la responsabilité légale du directeur de publication, la police et la Section AC4 du parquet de Paris, véritable instrument politico-judiciaire pour traquer les opposants au dogme remplaciste et libre-échangiste, s’ingénièrent à prétendre que cette expatriation n’était qu’un moyen pour échapper à la justice.
Mais le plus incroyable étant que, ne s’encombrant pas de contradictions, cette même justice n’hésite pas dans le même temps et quand ça l’arrange à condamner le directeur de publication domicilié en Suisse au nom d’une compétence universelle que s’octroient les juridictions françaises pour connaître de tous les délits de presse commis dans le monde et dans le même temps à poursuivre mon client, Monsieur Cassen, domicilié en France, en prétendant qu’il est également directeur de publication.
Ainsi les juges ne s’embarrassent-ils plus de décisions contradictoires, pas même de leurs propres jugements où ils disent blanc un jour et noir le lendemain dès lors qu’il faut faire taire par tous les moyens le prévenu Cassen jugé pour hérésie à la religion du Vivre-ensemble et du remplacisme organisé.
On rappellera ici utilement l’incroyable jurisprudence de la XVIIe correctionnelle validant le racisme anti-Blanc revendiqué par Anne Lauvergeon se vantant d’exclure du recrutement des grands mâles blancs et condamnant même l’AGRIF à des dommages intérêts pour procédure abusive.
Ne nous y trompons pas : on peut légitimement juger excessifs certains propos de mes clients. On peut même être en désaccord. Mais ce qui est en jeu aujourd’hui aussi c’est le germe d’un nouveau totalitarisme d’une nouvelle religion manichéenne tellement persuadée d’incarner le bien qu’elle n’hésite pas à piétiner ses propres règles pour imposer ses desseins.
Dans un testament visionnaire, Philippe Muray avait prédit le risque d’une judiciarisation croissante dans une société de l’homo festivus où l’on déteste par-dessus tout le citoyen enraciné et refusant le prêt-à-penser du mondialisme destructeur des âmes et des identités.
La résistance à l’oppression n’est plus une option : c’est un impératif moral. Et avec elle la dénonciation non plus seulement de la légalité mais encore de la légitimité de certains de ses juges et de leur police.
« Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » proclamait Trotsky.
Pour notre part, ce sera « Vaincre ou Mourir ».
Source cliquez ici
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vendredi, 28 octobre 2016
Les histrions de la haine
Bernard Plouvier
Les hommes et les femmes des media (et les individus de sexe indéterminable), du journaliste qualifié à l’amuseur public, sont devenus presque tous des agents de propagande, passant alternativement de l’état d’enthousiaste partisan à celui de zélote de la vindicte et de la pure haine.
Manifestement, les professionnels (et les amateurs, via le Net) de « l’information » se comportent en fanatiques, épouvantés par l’idée de se situer en état d’équilibre, ce qui revient à exposer honnêtement les points forts autant que les faiblesses de l’adversaire politique ou de la cible désignée par le propriétaire de la chaîne de media où ils officient.
On ne se situe jamais au juste milieu entre la louange hyperbolique et la dénonciation haineuse. On ne procède plus par réflexions, même dubitatives, mais par affirmations péremptoires sur les individus et les programmes (souvent mensongers, on le reconnaît, volontiers).
On conçoit que, de nos jours, un Européen s’attaque très vigoureusement à l’islam conquérant et terroriste - l’islam djihadiste – et dénonce avec force l’immigration-invasion. Sur ces points, le fanatisme est de règle, car c’est l’avenir du continent et de sa race qui est en jeu. Seuls les sourds et les aveugles volontaires peuvent nier cette réalité… et ce « négationnisme » est fort bien porté, en dépit de son financement extra-européen, qui devrait logiquement faire évoquer l’accusation de haute-trahison.
Mais, dans le débat interne entre Européens, la haine est à l’évidence un ingrédient aussi stupide que dangereux. À la fin des années quarante, alors qu’il se débattait contre la tuberculose qui l’emporterait, ‘’George Orwell’’ (Eric Blair), dans son immortel 1984, limitait à deux minutes l’émission télévisée quotidienne de haine partisane.
Depuis les années 1990 – la fin de ces années Mitterrand dont on nous rebat les oreilles -, les émissions des chansonniers-imitateurs et les actualités télévisées déversent un message de haine de bien plus longue durée et distillé moult fois au cours de la même journée. Le public en redemande, qui peut zapper d’une chaîne débile vers une autre, plus grotesque encore.
Nous en sommes revenus au niveau de violence verbale (et scripturale sur les blogs du Net) de l’Entre-deux-Guerres. Or de la propagande hyper-violente aux combats de rues, il n’y a pas beaucoup de chemin à faire.
Les sauvageons de l’immigration nous le démontrent quotidiennement, qui s’immiscent dans un débat politique où ils ne devraient pas avoir le droit de pénétrer. Les choix de société en Europe ne concernent que les Européens de souche, du moins le devraient-ils.
Autochtones, ceux-là, des dinosaures reproduisent les détestables habitudes que l’on avait cru disparues avec la fin, dans le ridicule et la misère, de l’abjection marxiste. De curieux ministres de l’Intérieur, en principe voués au maintien de l’ordre, financent et protègent des groupuscules trotskistes… et tout le monde se souvient du jeune étudiant trotskiste et bourgeois qui a perdu la vie dans un combat de rues, incompatible avec sa constitution physique. La responsabilité de la grossière provocation, qui a entraîné le malheureux décès, échoit aux politiciens commanditaires.
L’étude de la vie publique des années 1919 à 1990, en Europe, devrait nous servir de leçon : des insultes on passe très vite aux bagarres et aux morts. Or, en ce triste début de l’ère globalo-mondialiste, les Européens ont mieux à faire que de s’entretuer.
Il est plus que temps de débuter une saine réflexion sur les comportements politiques et la façon d’envisager le débat d’idées. Répétons-le : que l’on s’oppose très vigoureusement à l’immigration-invasion et au péril mahométan, c’est une nécessité vitale pour l’avenir du continent. Mais entre Européens de souche, le débat d’idéaux et de projets de société doit rester de haut niveau intellectuel et moral.
Nous avons trop d’ennemis extérieurs, à la fois trop nombreux et trop puissants, pour nous payer le luxe dangereux de nous étriper mutuellement. L’époque des guerres de religion et des guérillas politiques où le sang coule devrait être considérée comme révolue. L’intérêt des générations futures d’Européens commande de ne pas renouveler les guerres fratricides, ni à l’intérieur d’un pays, ni entre États voisins, ces conflits stupides qui furent si nombreux et si meurtriers au siècle dernier.
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BRUSSELABAD, C’EST BEYROUTH OU CHICAGO ?
Pieter Kerstens
La Belgique, terre d’accueil, caverne d’Ali Baba ou vache à lait ?
2.738.486 des habitants du plat pays sont d’origine étrangère, (soit plus de 25% de la population) dont 1/3 provient du Maghreb. Depuis 1970 plus de 1.060.000 ont été naturalisés et tous les ans 30.000 immigrés obtiennent la nationalité belge, ce qui place notre pays au 5e rang (sur 27) des naturalisations en Europe ! Parmi tous ceux qui deviennent « belges » beaucoup conservent leur nationalité d’origine, ce qui autorise certains abus …comme on l’a vu avec les terroristes musulmans de Paris et de Bruxelles.
Mais ce qui est scandaleux réside dans le fait que, parmi les dizaines de milliers de dossiers de demandeurs d’asile que reçoit l’Office des Etrangers tous les ans, plus de 80% sont fantaisistes ou farfelus ! Et pendant les mois que dure l’instruction de leur dossier, ces étrangers vivent aux crochets de la société et leurs enfants squattent nos écoles (submergées) alors que souvent les parents touchent nos subsides, pendant que 1,5 million de nos compatriotes survivent avec moins de 600€ par mois !
« Bruxelles c’est Chicago ! »
L’ex-bourgmestre (maire) de Schaerbeek, Roger Nols s’en était déjà plaint en son temps. Et c’est aussi ce qu’affirmait la propriétaire de deux joailleries de la Chaussée de Waterloo qui avait été la victime de 10 attaques à main armée et stoppait par conséquent ses activités.
Mais depuis, a-t-on réellement l’impression que la situation s’est franchement améliorée ? Et pendant tout ce temps, les partis traditionnels ont-ils fait preuve d’efficacité ?
NON, loin de là : l’insécurité est partout et toujours en nette progression et qui en est responsable ?
QUI occupe en majorité les cellules de nos prisons ? Des Ardennais ? Des Mormons ?
Et que peut-on constater tous les jours dans nos quartiers ? L’invasion de notre économie, le métissage de notre population et une violence permanente dans nos écoles, dans les transports publics et dans nos rues.
Trois aspects de notre quotidien, imposés par les charlatans du mondialisme, les gourous du multiculturel et les obsédés du « vivre ensemble ».
Ceci est le résultat de laxisme, d’irresponsabilité, d’hypocrisie, d’incompétence, de suffisance, de clientélisme, de lâcheté et de corruption additionnés, de la part des pourriticards du Régime.
D’une manière ou d’une autre, il faudra mettre la mafia socialo-libero-démocrato-écologiste hors d’état de nuire, cette fratrie maléfique qui a gangrené toutes les administrations et les partis politiques d’Europe.
Dans certains pays de notre continent, des élections proches permettront de brandir un carton rouge afin de renvoyer ces incapables dans les poubelles de l’Histoire !
Curieusement, certains adeptes de l’Atlantisme tout azimut avaient ouvert un œil en 2010. David Cameron, Nicolas Sarközy et Angela Merkel avaient déclaré que « l’approche Multikulti a échoué, totalement échoué !»
C’était un bon début et ce diagnostic nous, nationalistes, l’avions établi depuis fort longtemps. Seulement, nous attendons toujours les mesures que pourrait envisager l’État-major aux commandes du Conseil de l’Union Européenne afin de stopper l’immigration/invasion, de réparer les dégâts infligés à nos peuples par le « Multikulti », d’effacer les effets désastreux de la politique de « l’excuse » envers la pègre immigrée et d’en finir avec le « politiquement correct ». Et comme sœur Anne, on ne voit rien venir….
Nous n’allons pas attendre plus longtemps : il n’est pas question pour nous, européens, blancs et chrétiens, de laisser impunément massacrer nos fils et nos compagnes par des assassins fanatiques, dont les agissements sont connus par ceux chargés de l’Ordre Public. La complicité et la complaisance dont les gouvernements et les ministres successifs ont fait preuve depuis 40 ans envers les immigrés et les islamistes (à Molenbeek, à Schaerbeek, à Forest, à Saint-Gilles, à Anderlecht ou à Bruxelles) sont un véritable scandale ! Il faut le dire et le répéter partout et tout le temps : « OUI, la mafia socialaud-libérale-écolo-centriste savait ce qui se mijotait dans les mosquées, connaissait les multiples connections et les recruteurs du Djihad et fermait les yeux sur les multiples trafics criminels des musulmans. »
22:11 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Frédéric Poisson s'exprime au micro de Franck Abed
21:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A propos de l'élection présidentielle américaine
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Quimper : Les faïenceries Henriot créent une « Marianne noire » pour soutenir les migrants
Source Breiz Atao cliquez ici
La dégénérescence s’accélère si vite qu’il est difficile de traiter l’information au rythme où les choses évoluent. Cette fois-ci, elle implique les très vénérables faïenceries Henriot, à Kemper/Quimper, en Cornouaille (Finistère).
L’artiste Yannick Cohonner et Jean-Pierre Le Goff, le patron de la faïencerie Henriot-Quimper, se sont tout de suite entendus autour de la création d’une nouvelle statue de Marianne. Leur première rencontre remonte à l’été 2015. Cette collaboration a débouché sur l’édition d’une Marianne, couleur chocolat. C’est aussi un signe supplémentaire de la liberté revendiquée par le patron de la manufacture. Réaliser une Marianne noire, qui plus est à partir d’un prototype en 3D, est une première en France. Cette fois-ci, Yannick Cohonner revendique pleinement cette nouvelle version de Marianne. Elle ne devrait pas laisser indifférent. « Ce serait formidable qu’elle suscite des réactions. Cette Marianne est tout sauf une femme blanche et catholique. Cette figure incarne aussi les valeurs de la citoyenneté qu’il est bon de réaffirmer dans cette période. » (Source)
Cette bouffonnerie appelle plusieurs observations. Premièrement et objectivement, cette production est médiocre, sans inspiration, même dans la catégorie qu’elle prétend occuper : un resucé d’Art Nègre des années 30. On ne découvre pas deux fois l’Amérique.
Que des Bretons dégénérés en viennent à souiller une marque quimpéroise illustre comme Henriot pour consentir à la doxa jacobino-métisseuse, voilà qui donne le ton de l’effondrement général de notre niveau culturel.
On ne peut nier cependant la cohérence à la démarche : Marianne, la putain issue du caniveau révolutionnaire, illustre parfaitement les valeurs de cette république finissante. Elle n’est jamais tant elle-même qu’une fois africanisée. Elle incarne alors parfaitement cette entreprise de destruction que constitue le programme politique du jacobinisme républicain. Surtout en terre bretonne depuis deux siècles.
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Samedi 12 novembre : réunion constitutive du GUD à Nantes
09:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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jeudi, 27 octobre 2016
Quand John Kerry fait de la bicyclette en Haute-Savoie, ça donne :
Tout cela au frais du contribuable français bien sûr.
Au fait, Kerry, vous connaissez ?
C'est celui qui défend l'écologie aux côtés d'Hystérie Clinton...
On préfère le savoir chez lui que chez nous.
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Après leur passage (le pouvoir prétend qu'ils ne sont que de passage), il ne restera donc plus rien ?
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Il est encore temps d'acheter le n°10 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Pierre Drieu la Rochelle
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Sortie le 6 novembre d'un nouveau roman-fiction sur l'avenir de la France
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Après Calais, Civitas organise une conférence à Metz et une autre à Strasbourg
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Une exposition à Rome pour les 70 ans de la création du Mouvement social italien
Une exposition consacrée aux 70 ans de la naissance du MSI (Mouvement social italien) a été inaugurée le 20 octobre à Rome en présence de nombreux anciens membres du MSI tels Gianfranco Fini qui porte une lourde responsabilité dans la destruction de ce mouvement au milieu des années 1990, Ignazio La Russa (Frères d’Italie-Alliance Nationale), Gianni Alemanno (ancien maire de Rome), Maurizio Gasparri (Forza Italia).
Notre ami Mario Borghezio (député européen de la Ligue du Nord, en photo ci-dessus), la veuve de l’ancien ministre MSI Pinuccio Tatarella, la fille de Pino Rauti ainsi que la veuve de l’ancien secrétaire national du MSI Giorgio Almirante décédé en 1988 étaient présents à cette cérémonie.
Dans quelques semaines sortira le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme qui sera justement consacré à l'épopée du MSI. C'est à Massimo Magliaro, ancien directeur du quotidien Il Sécollo d'Italia et proche collaborateur de Giorgio Almirante que nous devons la rédaction de ce cahier. Dans le dernier numéro de Synthèse nationale, vous pouvez lire un article de Massimo Magliano sur la fin du MSI.
En savoir plus cliquez là
Le commander en ligne cliquez ici
Lire aussi l'article de Lionel Baland cliquez là
09:45 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Fête du livre de Renaissance catholique le dimanche 4 décembre à Villepreux (78)
09:19 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Budapest 1956 (Jean-Pax Mefret, années 80)
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mercredi, 26 octobre 2016
La théorie de la conspiration n’est pas fasciste
EuroLibertés cliquez ici
On confond dans nos médias subtils néonazisme et théorie de la conspiration, croyant ainsi condamner ceux qui, venus de droite, de gauche, du gaullisme ou du communisme, ne supportent plus ce système et son information.
Au lieu d’écouter les experts, on ferait mieux de s’adresser au monstre directement. Voici ce qu’Hitler écrit de la conspiration et des conspirateurs (Mein Kampf, pp. 253-255) : « Seuls, de tout petits groupements, après des années de filtrage, pourraient acquérir le caractère de véritables organisations secrètes. Mais l’exiguïté même de pareilles formations leur enlèverait toute valeur pour le mouvement national-socialiste. »
Le bric-à-brac ésotérique sur Thulé et le nazisme est arrivé après la guerre, destiné sans doute à diaboliser intellectuellement l’objet de toutes les haines postmodernes. Mais voici en tout cas ce que veut Hitler : des militants et pas des conspirateurs : « Ce dont nous avions besoin, ce n’étaient pas de cent ou deux cents conspirateurs audacieux, mais de centaines de milliers de militants fanatiques épris de notre idéal. Il fallait travailler non pas dans des conciliabules secrets, mais par de puissantes démonstrations de masses, et ce n’était point par le poignard ou le poison ou le revolver que le mouvement pouvait vaincre, c’était seulement par la conquête de la rue. »
La théorie de la conspiration vide la rue, remplit les boîtes aux lettres, empêche la prise du Pouvoir. C’est pourquoi elle est encouragée par le Pouvoir qui la met en vedette en mimant la sévérité professorale.
Or : « Nous devions faire comprendre au marxisme que le national-socialisme était le maître futur de la rue, et qu’il serait un jour le maître de l’État. »
Hitler insiste sur les dégâts moraux de la théorie et surtout de la pratique de la conspiration : « Le danger des organisations secrètes est encore actuellement dans le fait que leurs membres perdent souvent toute notion de la grandeur de leur tâche, et qu’ils croient que le sort d’un peuple peut être décidé par un meurtre. »
Opération JFK mal vue, donc…
Pour Hitler, le problème est simple : la conspiration est réservée aux flemmards et la grandeur réside dans le mouvement social actif qui a disparu aujourd’hui, du côté des partis au Pouvoir comme du côté des contestataires.
« Pour préserver aussi le militant de toutes les tentations de nourrir son activité par de petites conspirations, on devait, dès le début, l’initier complètement à la grande idée du mouvement et l’entraîner si entièrement à la tâche de la défense de cette idée, que son horizon s’élargirait aussitôt… De cette façon, la lutte contre l’État actuel était élevée au-dessus de l’atmosphère de petits actes de vengeance et d’activités de conspirateurs. »
De ce point de vue, on pourra dire que la théorie de la conspiration, et sa pratique par nos légistes n’est pas « fasciste » : avis à nos nuées d’experts TV donc. Elle reflète nûment l’involution d’une société repue, ludique et fatiguée.
Sur la théorie de la conspiration, lire Protocoles des sages de Sion : un paradoxe politique, théorique et pratique : « C’est un faux, c’est pour une très faible part un plagiat, c’est surtout un extraordinaire ouvrage de politique, théorique et pratique. Cet ouvrage comprend quatre textes : « Réflexions sur les « Protocoles » des Sages de Sion » de Bernard Plouvier, suivi des Éditions définitives des textes intégraux des livres de Serge Nilus (« « Protocoles » des sages de Sion »), Maurice Joly (« Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu »), suivi d’une victoire de Me Éric Delcroix (« L’abrogation de l’article 14 de la loi du 29 juillet 1881 »). Pour en savoir plus, cliquez là
08:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DÉMANTÈLEMENT DE LA « JUNGLE » DE CALAIS : ENTRE IMPOSTURE ET DÉMAGOGIE CRIMINELLE
la Dissidence française :
Hier a débuté l’évacuation des immigrés clandestins de la « jungle » de Calais. Des dizaines de cars affrétés spécialement pour l’occasion, aux frais du contribuable, ont été dépêchés sur place avec pour mission de disséminer ces immigrés aux quatre coins de la France. La situation a déjà commencé à dégénérer. Incendies dans la jungle, heurts et affrontements entre migrants, grogne des maires, des élus locaux et des riverains de dizaines de communes à qui le gouvernement impose sans concertation l’arrivée de centaines d’immigrés clandestins… Des observateurs ont déjà pu constater que nombre de ces « migrants » ont profité de leur transfert pour s’échapper à la première occasion, parfois aidés par des activistes gauchistes « no-borders ». Malgré les annonces faussement rassurantes des autorités, nul ne sait qui ils sont, ni où ils comptent aller.
Tandis que l’hiver s’installe et que plusieurs dizaines de Français de la rue crèveront une nouvelle fois dans l’indifférence générale, le gouvernement prend soin de ses « migrants » : allocations, aides de toutes sortes, hébergement et transport gratuit, impunité judiciaire…
Au-delà des effets d’annonce, une réalité : le gouvernement Hollande-Valls se montre parfaitement incapable de répondre avec fermeté à cette crise et ne fait qu’aggraver la situation en multipliant des « jungles » partout en France. Jamais le taux de reconduites à la frontière des déboutés du droit d’asile n’a été aussi bas, et jamais les autorités françaises n’ont fait preuve d’un tel laxisme judiciaire avec des ressortissants étrangers, parmi lesquels nul ne sait combien ont prêté allégeance à l’État Islamique et commettront dès qu’ils en auront l’occasion des actes terroristes.
Il y a urgence. Depuis des décennies, les gouvernements successifs dit de « gauche » ou de « droite » n’ont fait qu’accentuer et organiser cette invasion, précipitant notre pays vers une guerre civile aux conséquences inimaginables. Depuis plusieurs années, la Dissidence Française a formulé des propositions fortes, et publié son Plan d’urgence pour Calais qui, s’il était appliqué, réglerait une fois pour toute le problème. D’une manière plus générale, seul un changement radical de politique migratoire, sociale et judiciaire pourra protéger les Français du terrorisme et inverser le processus d’invasion migratoire.
Aidez-nous à imposer nos solutions et faire entendre la voix du pays réel.
Le changement, ce sera nous. De gré, ou de force.
Source cliquez ici
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Les veinards...
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Samedi 5 novembre : une journée identitaire et patriote dans le Berry avec Pierre Vial et le GUD
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mardi, 25 octobre 2016
Une « culture du viol » ou une faiblesse coupable envers les pervers crapuleux ?
Bernard Plouvier
À compter des années 1980 sq. (les « années Mitterrand », soit le début de l’invasion-immigration de masse), les Français ont appris à connaître les viols en tournante. Il a fallu beaucoup de temps pour que les media (pas tous, d’ailleurs) osent évoquer le grave problème de l’origine raciale de la quasi-totalité des violeurs et le caractère quasi-constamment européen ou extrême-oriental des victimes.
L’horreur de la soirée et de la nuit du 31 décembre 2015 à Hambourg, Stuttgart et surtout Cologne, reste dans toutes les mémoires des Européens qui ne supportent plus cette immigration arrogante, violente, quasi-bestiale (le viol collectif est bien connu chez nos « amies les bêtes », singulièrement chez les chiens et les singes)
Et pour l’exemple de Stuttgart, l’amateur d’histoire est comblé. Les petites-filles des violées de 1945 (par les soldats de couleur de la Ière Armée française) ont vécu – petitement – ce qu’avaient connu leurs aïeules. À l’époque, le scandale avait été considérable, au point que Dwight David Eisenhower avait ordonné à de Lattre de faire quitter la ville par ses troupes et les Allemands de Stuttgart furent temporairement administrés par l’US-Army.
Depuis, des études sociologiques ont démontré que les viols – soit des relations sexuelles forcées – perpétrés par les G.I.’s sur des Européennes étaient le fait de soldats noirs dans 75% des cas… même si ce genre d’étude des dossiers de la Justice militaire ne plait pas aux délicats enseignants dotés d’une structure mentale « libérale ».
Au Canada, les universités ne sont guère des havres de paix pour les étudiantes. Chaque année ou presque apporte son scandale de viols en série : en 2013, ce fut le cas de l’Université de Colombie-Britannique, en 2014, ce fut au tour de celle de la capitale fédérale (Ottawa). Dans la nuit du 14 au 15 octobre du cru 2016, ce sont les étudiantes de la prestigieuse Université Laval de Québec qui ont goûté aux charmes pervers du « brassage des races et des cultures ».
Dans la seconde partie de cette folle nuit, 15 d’entre elles ont été surprises dans leur sommeil par 3 étudiants. Jusqu’à présent, seules quatre ont porté plainte pour « agression sexuelle », d’autant plus que, dans un premier temps, les autorités de l’Université ont tout fait pour minimiser « l’incident »… en quelle que sorte, il s’agissait d’erreurs de localisation de gentils étudiants, qui s’étaient trompés d’étage ou de « piaule ».
Le tapage exercé par les parents a forcé les enquêteurs à sévir et deux des trois coupables ont été d’autant plus facilement arrêtés (avec une semaine de délai !) qu’ils étaient connus de tous. Les deux étudiants incarcérés sont du plus bel ébène (on ne sait encore pour le troisième) : un « Canadien » issu du Cameroun et un « Français » venu de Guinée. La sœur de ce Franco-guinéen se dit choquée, décrivant le petit frère (de 19 ans) comme un prix de vertu, « normal et calme », ajoutant même que la « famille comptait sur lui » !
Une fois séchées les larmes sur le sort de « l’innocent coupable » (exclu de l’université) – car les media canadiens bien-pensants et bien-écrivants, des media globalo-mondialistes, s’intéressent davantage à l’avenir des crapules perverses qu’au sort des victimes -, il est souhaitable de réfléchir un peu à la prolifération des viols à caractère raciste en Occident.
Dans toutes les races et dans toutes les sociétés existent des psychopathes et des pervers qui veulent faire immédiatement suivre leurs émois sexuels par un assouvissement, soit par la séduction, soit par la contrainte (physique ou par le moyen de l’alcool ou des tranquillisants administrés à la « cible »). Ce type de comportement a toujours existé, en tous pays.
Les nouveautés, du moins en Occident et en temps de paix officielle, ce sont les viols en série (plusieurs cibles touchées en peu de temps par la même crapule sexuelle) ou en tournante (une association de malfaiteurs débauchés portant sur la même personne). Ce type de comportement est bien connu des historiens : on le rencontre en période de guerre, singulièrement dirigé contre les populations vaincues ou occupées.
Bien plus que d’une « culture de viol », il s’agit d’une réaction de mâles conquérants, d’individus se croyant tout permis, se considérant d’une essence supérieure, car dominant des populations aveulies et amollies.
À ces déficients de la conscience éthique, les pseudo-motivations rationnelles ne manquent pas. Que ce soit au nom de leur race ou d’un dénommé allah, en éventuelle rétorsion des misères réelles ou supposées infligées à leurs (très lointains) frères de race par de vilains esclavagistes, tout est bon aux psychopathes, aux sociopathes, aux pervers pour justifier leurs actes.
Il est évident que la faute principale revient aux autorités des États où se perpètrent de telles atrocités. Le laxisme politico-judiciaire a transformé l’Occident en terrain de chasse pour les pires rejetons de l’immigration-invasion… et il serait bon que, de leur côté, les immigrés honnêtes condamnent fermement, ouvertement, leurs crapules perverses, au lieu de sortir des excuses minables, dictées par une absurde solidarité. On ne peut se sentir solidaire de l’abjection, d’où qu’elle vienne.
La répression doit être puissante, adaptée au crime commis et en tenant compte du risque de récidive : l’assassin doit être exécuté et le violeur amputé du membre dont il a fait un usage vil et non viril.
Pour re-pacifier nos cités, il faut retrouver un esprit mâle. La stricte équité commande que le coupable soit puni en proportion de son crime. Et ceci est bien plus réconfortant pour les victimes et leurs proches que toutes les « cellules de crise » et autres inutilités qui ne règlent rien, accroissant au contraire la frustration des sujets lésés. Moins de baratin gnangnan et de baragouin psychanalytique et davantage d’actes : c’est de cela dont l’Occident a besoin pour sortir de son marasme moral.
11:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
60 ans après le soulèvement patriotique de Budapest : la Hongrie montre à nouveau l'exemple
09:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Faire de notre jeunesse une race de guerriers et de maîtres
Un communiqué de Breiz Atao cliquez ici :
Que voulons-nous ? C’est la question qui se pose logiquement une fois que nous avons énoncé ce dont nous ne voulons pas et, plus précisément encore, ceux dont nous ne voulons pas.
Pour le peuple breton, le moment est venu d’en finir avec les résidus de socialisme post-chrétien qui, mâtinés de spasmes ovariens, tiennent lieu d’idéologie dominante à la bourgeoisie sénile qui milite activement pour notre destruction raciale.
Nous ne devons plus tolérer de compromis avec la vieillerie dégénérée qui chie son indignation compassionnelle dans les cerveaux frais de notre jeunesse. Notre tâche, notre mission historique face à l’invasion africaine et musulmane, consiste à dresser la jeunesse bretonne dans l’esprit guerrier, éveiller son instinct de conservation face aux ennemis de l’intérieur et de l’extérieur qui œuvrent activement à son anéantissement.
L’avenir de tout peuple repose sur les épaules de sa jeunesse. De celle-ci dépend la continuité d’une longue chaîne de transmission.
Des empoisonneurs conspirent actuellement pour l’assassiner par procuration. Les noms de cette fin de race au regard bovin sont connus : ce sont tous ces curés de l’humanitarisme à faces diarrhéiques qui se bousculent sur les ondes ou qui se répandent dans les colonnes de la presse humanitaro-marxiste pour lui ordonner de consentir au suicide ou à la mort lente.
Nous devons en finir avec les cagots armoricains du socialisme pourrissant dans la marmite de l’égalitarisme. La seule présence, au sein du corps national, de ces gardiens de vaches faisant dans leurs couches à la seule vue d’une manifestation de virilité confine à l’obscénité.
Pour nous et notre jeunesse, nous ne voulons pas nous déféquer dessus tout en pleurant afin de communier avec les masses inaptes du tiers-monde. Nous sommes des athées de cette religion de l’échec.
Nous voulons forger une race de maîtres, donc d’hommes libres. Nous ne voulons pas de la grande partouze négrificatrice que nous promet la curaille rouge de l’église antiraciste crépusculaire. Ce serait la fin de la civilisation et de la culture européennes.
La rage, la colère, la furie doivent se lever dans les cœurs de la jeunesse celtique. C’est cette colère primitive que nous devons réveiller, sursaut vital indispensable au salut de notre peuple. Notre objectif consiste à doter celle-ci d’une volonté d’acier et d’une haute conscience d’elle-même et de sa tâche. Nos conceptions doivent progressivement refonder son imaginaire afin qu’elle remette en mouvement notre peuple, fort de sa mémoire profonde.
Si nous voulons affranchir notre peuple, il nous faut dissiper les ferments de mort qui stagnent dans les marais puants qui nous entourent et qui conduisent actuellement nos enfants à l’abîme.
Et pour cela nous devons imposer l’élitisme et la culture de la guerre. Ce qui suppose une claire identification de l’ennemi.
09:37 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine
07:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Islamalgame, voyoucratie et utopisme
Pieter Kerstens
Toute personne curieuse aura pu constater que les attentats commis depuis 25 ans en Europe (et depuis 1956 par le FLN et le MNA en France) sont majoritairement le fait de musulmans prétendus intégrés dans la société « multiculturelle ».
Les tueries de Charlie Hebdo en janvier 2015 et du super casher à Paris, du Bataclan et des terrasses le vendredi « noir » 13 novembre 2015 toujours à Paris et des attentats dans le métro et à l’aéroport de Bruxelles, le 22 mars 2016 ne sont donc pas des faits « nouveaux » et « imprévisibles » comme les médias et les politiciens ont essayé de nous le faire gober.
Il y a eu en 2001 les trois tours du WTC et l’explosion au Pentagone, puis en 2004 les attentats de la gare Atocha à Madrid et ceux commis en juillet 2005 dans les transports publics à Londres. Il ne faut pas venir nous raconter que c’est une « surprise » …d’autant plus qu’au fil des multiples enquêtes, il apparaît que tous ces massacres, tueries et attentats ne sont pas du tout la conséquence d’actes isolés commis par des « radicalisés récents », des « déséquilibrés » ou encore des « êtres fragilisés » en proie aux affres d’une société « stressante ».
De Khaled Kelkal au duo d’assassins qui ont égorgé le prêtre dans son église de Saint-Etienne du Rouvray, TOUS sont des fidèles d’ALLAH « le plus miséricordieux ».
TOUS ont été de petits voyous avant de devenir de grosses crapules.
TOUS ont tué pour répandre la terreur.
TOUS avaient un casier judiciaire abondamment fourni.
TOUS avaient pour but de massacrer des infidèles.
TOUS ont échappé à la vigilance des services de sécurité et au suivi de la Justice.
Alors pourquoi les gouvernements et le renseignement intérieur ne peuvent-ils pas mettre ces criminels hors d’état de nuire ?
Pourquoi, depuis 25 ans ces fanatiques ont-ils réussi à déjouer la Loi et l’Ordre ?
Pourquoi le Régime refuse-t-il de porter le fer dans la plaie, de nettoyer les quartiers « difficiles » et les 64 Zones de Sécurité Prioritaire, comme il le devrait ?
Par déni des réalités ? NON ! Par faiblesse, par lâcheté et par félonie.
Vidons ces ordures politiques - réels collabos de la cinquième colonne islamo-terroriste - ceux de la gôche caviar et de la droite cosmopolite, accoquinées aux Ecolos et aux Centristes & Humanistes... Avant qu’il ne soit trop tard !
00:57 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lancement de la revue "Confrontation" : un entretien avec Jean-François Touzé, son rédacteur en chef, sur Riposte laïque
Source Riposte laïque cliquez ici
Nous avons découvert une nouvelle revue, qui raconte des choses souvent semblables à ce qu’on lit dans Riposte Laïque. Raison de plus pour en savoir davantage sur les animateurs de « Confrontation ».
Riposte Laïque : Vous êtes assez connu dans certains milieux militants, mais pas de tous nos lecteurs. Pouvez-vous leur expliquer rapidement qui vous êtes ?
Jean-François Touzé : Je crains, en effet, d’être assez connu des services de police de la pensée politique. En trente cinq ans d’engagement militant au service de la France et de la civilisation européenne, j’ai essayé de rester fidèle à une certaine idée que je me fais de la Nation et de l’humanisme occidental. D’abord au Front National où, par deux fois, – de 1982 à 1989, puis de 1999 à 2008- j’ai exercé un certain nombre de responsabilités au sein de l’appareil – secrétaire national, membre du Bureau politique, directeur de campagne de Jean-Marie Le Pen, élu régional d’Ile de France et conseiller de Marine.
Ensuite, ou entre temps, en initiant d’autres aventures – mouvements, clubs, journaux- qui m’ont permis de tisser un réseau d’amitiés et de convictions fidèles, avec, bien sûr, en contrepartie, quelques détestations inévitables dans un parcours militant long et nécessairement accidenté lorsque, comme moi, on fait sienne la sentence du Cardinal de Retz : « Il faut parfois savoir changer de parti pour ne pas avoir à changer d’idées ». Au final, comme les parachutistes du REP, je ne regrette rien si ce n’est que, jusqu’à présent, nous n’avons pas su enrayer l’affreuse marche de notre pays vers sa mort. Pour le moment… Car, malgré les tendances lourdes de la décomposition, je demeure optimiste. Vouloir c’est encore pouvoir et la vie commence toujours demain.
Vous venez de publier le numéro un d’une nouvelle série, trimestrielle, appelée « Confrontation ». Le titre paraît sans ambiguïté : « Immigration, islamisation, faire face ». Pourquoi cette revue, et quels en sont les objectifs ?
Comme vous, Pierre Cassen, et comme des milliers de patriotes, je suis hanté par la montée des périls. L’offensive que mène contre le monde occidental le totalitarisme islamique- offensive qui n’est, au vrai, que la énième poussée de la ruée musulmane dans sa volonté millénaire, eschatologique et ininterrompue, de conquérir le monde au nom d’Allah- ne peut laisser la moindre place à la faiblesse, au découragement, au renoncement. Faire face c’est refuser de se résigner. C’est combattre avec les armes du moment et des circonstances, jusque à son dernier souffle, faute de quoi, ce que nous avons fait les uns et les autres depuis tant d’années n’aurait servi à rien. La situation nous oblige et les menaces nous commandent. C’est la raison pour laquelle lorsque Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui me lient tant d’années d’amitiés et de combats, m’a proposé de prendre la responsabilité rédactionnelle d’une revue destinée à la réflexion mais aussi à la mobilisation et à l’action politique contre l’Islamisme, son vecteur principal l’immigration, les réseaux militants de l’ultra gauche qui ont fait la jonction avec lui, les intérêts économiques ou médiatiques qui les soutiennent, je n’ai pas hésité une seconde.
Ecrire, c’est clamer, parfois dans le désert, mais toujours utilement. Sachant qu’une revue n’est pas une fin en soi mais doit s’inscrire dans un ensemble qui lui-même doit être l’embryon d’un front commun pour le salut national dont je ne doute pas qu’il se fera un jour. Le plus tôt possible bien sûr, car les jours nous sont désormais comptés.
Vous venez de sortir le premier numéro, et éclate la crise des clandestins de Calais, que les populations rurales, mais aussi urbaines, ne veulent pas, mais aussi celle des policiers, qui ne supportent plus d’être envoyés au massacre par les socialistes et la hiérarchie policière. Quel est votre regard sur ce double phénomène ?
Nul doute que les Français prennent peu à peu conscience de la réalité d’une situation de désastre où les ont menés quarante ans de politique immigrationniste, de laxisme et de pratiques publiques du chien écrasé au fil de l’eau, conduites par une classe dirigeante, droite et gauche confondue, qui, par idéologie, par lâcheté ou simple facilité, ont laissé entrer chez nous des millions d’allogènes , immigration initialement « de travail », puis immigration de chômage et de délinquance, et enfin aujourd’hui immigration de peuplement et de colonisation.
Ce qui se passe à Calais est évidemment emblématique. Ces milliers d’hommes (peu, si peu de femmes, ce qui devrait alerter même les consciences les plus assoupies) qui s’entassent face à la mer… Ces milliers d’hommes qui vont être répartis dans nos campagnes… Ces milliers d’autres qui arrivent et remplaceront ceux qui auront été non pas expulsés mais déversés dans toute la France… C’est le tonneau des Danaïdes migratoires.
Quant aux policiers, au contact permanent avec la réalité de l’horreur des cités et, plus largement, de ce qu’est devenue la rue française, ils savent à quoi s’en tenir. La révolte actuelle trouvera sans doute ses limites, cette fois-ci encore par l’action des syndicats récupérateurs et les « cadeaux apaisants » du pouvoir. Encore une minute monsieur le bourreau. De la même manière les professeurs et proviseurs qui se font tabasser n’ont pas encore tout compris non plus que les personnels de santé. Et les capacités de « résilience » bobo de nos compatriotes confrontés aux massacres terroristes de masse arabo-musulmans restent immenses comme le montre la pratique de la bougie réparatrice après chaque attentat. Mais nous arrivons petit à petit au moment ultime où rien ne tiendra plus. Ce sera alors l’heure de vérité.
Dans nombre d’interviews, Philippe de Villiers accuse la classe politique française d’être vendue aux émirats, et profondément corrompue. Vous le croyez, et c’est une découverte pour vous ?
Villiers a parfaitement raison et il a le mérite de mettre à jour le secret de polichinelle longtemps scellé : « Malheur à toi si tu révèles le secret, malheur à toi si tu ne le révèles pas » dit le livre du Zohar. Depuis des décennies la classe politique entretient avec les pays arabes et les émirats en particulier des liens qui ne sont, certes, pas, que footballistiques ou hôteliers. Si l’Arabie Saoudite ou le Qatar « se paye » la France et nombre de ses dirigeants, ce n’est pas évidemment pas dans le seul souci de ses activités commerciales ou financières. Cela s’inscrit dans un dessein bien établi, bien conçu, ancien et travaillé. Comme les bolcheviques de Lénine, les islamistes n’ont pas de montre. Le temps travaille pour eux.
Mais les femmes et les hommes politiques qui, par cupidité ou habitude, se sont livrés pieds et mains liés aux pays arabes devront, le moment venu, répondre de ce crime de haute trahison.
Comment expliquez-vous que 70 % des Français ne veulent plus d’immigration, ne veulent plus entendre parler de l’islam, mais que le même nombre vote pour des candidats qui leur amènent ces deux fléaux ?
Le Système est bien fait qui sait encadrer les révoltes, endormir les rebellions et faire taire, par dérivation, les velléités libératoires. Le jeu infect des primaires, les amusements politiciens, les leurres médiatiques participent de ce grand sommeil. Mais la mouche tsé-tsé du pouvoir ne jouera plus très longtemps son rôle narcotique.
Toutes les initiatives qui sont prises aujourd’hui par les patriotes vont dans le sens du réveil. Encore faut il qu’ils sachent se rassembler et surtout qu’une offre politique claire, nette, sans ambiguïté réponde à la demande et à l’attente des Français. J’appelle de mes vœux ce sursaut vital.
Comment vous situez-vous, à présent, dans le paysage politique français ?
Je n’ai plus d’appartenance partisane depuis mon départ de la direction du FN en 2008 et la fin de mon mandat en 2010. Je continue d’animer mon petit réseau d’amis fidèles en espérant qu’il servira un jour. Et, à coté de Confrontation, d’être présent autant que je le peux sur les réseaux sociaux. Je regarde avec sympathie les initiatives prises par les uns et les autres qu’il faudra bien un jour sinon fédérer, au moins cimenter dans le but unique du relèvement de la France et de la conservation civilisationnelle. Je garde bien des amis aux FN dont je connais la flamme militante. D’autres l’ont quitté et sont aujourd’hui avec Carl Lang au sein du Parti de la France. Mais bien d’autres structures existent qui ne viennent pas de la droite nationale et sont constituées de patriotes exemplaires. Je pense ainsi à des responsables militants comme Jean-Marc Moskowicz dont je peux témoigner de l’amour de la France. Sans parler des intellectuels comme Eric Zemmour et quelques autres dont le rôle est majeur. Et bien entendu, vous Pierre Cassen et Christine Tasin qui, avec Riposte Laïque et Résistance républicaine, menez un combat de pointe.
Je crains, tout en souhaitant me tromper, que la prochaine présidentielle ne soit pas à la hauteur des espérances de nombre de patriotes. Je suis certain, en revanche, que le plus large rassemblement se fera pourtant très bientôt. Encore faut-il le permettre. C’est à cela que nous travaillons tous.
Comment peut-on se procurer « Confrontation » ?
En le commandant au numéro ou en s’abonnant auprès des éditions Synthèse nationale cliquez ici.
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Propos recueillis par Pierre Cassen
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Saint-Bauzille (34) : démission de tout le conseil municipal et action mercredi !
Richard Roudier Porte-parole de la Ligue du Midi
« La seule liberté qui reste à un élu pour ne pas accepter une décision qu’il considère prise sans concertation, injuste et inéquitable, c’est de démissionner », c’est ainsi que la première adjointe de la mairie de Saint-Bauzille-de-Putois, Elisabeth Thérond, justifie sa décision dans un communiqué de presse dénonçant les oukases du Préfet de l’Hérault. Suite à la démission du maire Michel Issert annoncée en fin de matinée le vendredi 21 octobre, l’élue a réuni l’équipe municipale, vendredi à 18 heures, avant de rendre publique cette décision le lendemain, le samedi 22.
En moins de 24 heures, l’intégralité du Conseil municipal de Saint-Bauzille-de-Putois a décidé de démissionner par solidarité avec l’ancien édile. Ce qui fait que ce sont les dix-huit élus du Conseil municipal qui ont dénoncé l’absence de concertation du Préfet Pouëssel, qui a refusé d’entendre les soucis et les souhaits de la population. Dans la journée de dimanche on apprenait qu’un autre maire de la Communauté de commune de Ganges-Sumène aurait annoncé son intention de démissionner, laissant peut-être présager une réaction en chaine qui pourrait ne pas s’arrêter aux limites du canton.
Cette “affaire dans l’affaire” ne va pas renforcer le prestige du dit préfet car elle impliquerait, à la brève échéance de 2 mois, la tenue d’une nouvelle élection avec pour conséquence un vote protestataire inévitable. Dans le cas où la population souhaiterait sanctionner ce déni de démocratie en boudant le scrutin (en ne présentant pas de liste), la gestion de la commune passerait alors sous la tutelle du préfet en gestion directe, rappelant les pratiques du “Second Empire”. Rappelons que le vote populiste dans cette région des Basses Cévennes se situe selon les communes entre 25 et 45 % et que selon les experts, on serait encore loin du “plafond de verre”.
saintbauzillesansmigrantsFace à la morgue du préfet qui n’a apporté aucune réponse concrète aux exigences de la population énoncées lors de la réunion du jeudi 20 octobre, le collectif des mamans de Saint-Bauzille appelle à une manifestation pacifique le mercredi 26 octobre à 17 heures. Rendez-vous devant le “snack” avec des poussettes, des casseroles, des cuillères en bois et des sifflets.
Se mobiliser pour vaincre. Demain il sera trop tard!
00:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |