dimanche, 17 juillet 2016
Jean-Pax Méfret sur TV Libertés
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samedi, 16 juillet 2016
Ce qui va arriver...
11:40 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Terrorisme islamiste à Nice : Assez de doubles discours...
Marie-Christine Arnautu,
député européen,
élue nationale à Nice
Au-delà des sentiments de colère et de compassion qui se mêlent au lendemain du crime terroriste de Nice, il est plus que temps de faire un état des lieux de la situation et d’appliquer les bonnes réponses pour éradiquer les racines de l’Islamisme.
Les Alpes-Maritimes sont le département le plus touché par le phénomène de radicalisation avec des centaines d’habitants signalés aux autorités comme radicalisés, et plus d’une centaine de Niçois partis faire la guerre dans les rangs djihadistes au Proche-Orient.
Il a fallu que surviennent les attentats de Paris du 13 novembre dernier pour que cinq salles de prières dans lesquelles la haine était propagée soient fermées.
Il y a 2 ans, un attentat qui devait frapper le Carnaval avait été déjoué in extremis, mais celui d’hier soir oblige nos dirigeants politiques, au-delà de leurs vaines paroles, à ne plus fermer les yeux face au péril islamiste et à agir.
Parallèlement aux indispensables mesures à prendre au niveau national (peine de mort, déchéance de nationalité, expulsions, fin de l’immigration, fermeté judiciaire…), il est plus que temps que nos responsables politiques locaux cessent de jouer à un double jeu électoraliste avec les mouvements radicaux, tels qu’à Nice avec l’UOIF à qui l’ancien Maire vient d’offrir la possibilité de bénéficier d’une mosquée sur un terrain de 1 000 m².
Les Français et les Niçois en ont assez de ce double discours dont on déplore aujourd’hui les sanglantes conséquences.
Source cliquez ici
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Les électrons libres du Djihâd
Dr Bernard Plouvier
L’on comprend fort bien le désarroi de nos sublimes dirigeants devant l’attentat niçois de la soirée du 14 juillet 2016.
Pacha Ier (et dernier, espérons-le) et ses ministres avaient assez donné de gages aux roitelets islamo-pétroliers d’Arabie et du Qatar, aux ulémas du milieu musulman grassement établi en France, au sultan turc (dont le trône est plus mal assuré qu’on ne le croyait), pour espérer le calme intérieur avant les présidentielles de 2017. Des tractations avec l’État Islamique établi sur le sol du Kurdistan et avec l’entourage du calife de Mossoul avaient même été débutées.
Nul en effet, chez les stratèges de l’islam conquérant, n’a intérêt à ce que la Nation française, molle et aveulie, ne se réveille subitement et ne mette en selle un Pouvoir populiste qui entreprendrait le grand rembarquement, c’est-à-dire organiserait le retour massif des musulmans en Dâr al-Islam (en moins beau langage : dans leurs gourbis).
Seulement, la réalité est là et bien là ! Les attentats se poursuivent, et sont même particulièrement meurtriers : 84 morts et 200 blessés dont une cinquantaine grièvement, c’est un score bien supérieur à n’importe quelle explosion de kamikaze musulman ou de voiture piégée pour la plus grande gloire d’allah. L’inventivité des crapules islamiques de France est d’un rendement bien supérieur à celle des amateurs du Tiers-Monde.
Comme à l’accoutumée, l’entourage nous présente l’honorable assassin comme un parangon de vertu civique, et l’on nous ressort le couplet – devenu ritournelle obligée depuis l’An 2015 - : il était indifférent à la religion !!! Bref un Djihadiste qui, comme d’autres, n’aurait même pas lu le coran. On nous a déjà joué le scénario et on s’en moque totalement.
Tout Français teinté de culture islamique – l’on est bien obligé de se pencher sur cette sous-littérature puisque l’on est envahi par les sectateurs d’un allah qui se rapproche dangereusement de la notion de satan – connaît la Taqiya. On savait déjà que le serment d’un Juif n’a de valeur talmudique que s’il est prononcé kippa en tête en se référant à la Torah, étant préférentiellement émis devant un rabbin. La Taqiya, c’est la dissimulation institutionnelle du brave muslim en terre d’infidèles, soit dans le Dâr al-Harb – le Domaine de la Guerre des musulmans contre tous ceux qui ne sont pas musulmans.
On peut donc tenir pour nulles et non avenues toutes les déclarations de musulmans – des proches de l’assassin jusqu’au recteur honoraire de grande mosquée. Un tueur est un tueur, soit, dans l’exemple des attentats commis depuis 2014 en France, un sociopathe voulant assouvir sa joie de nuire en tuant des « infidèles », un raciste se faisant une joie de tuer du Blanc pour punir la France de ne pas l’avoir fait PDG d’une grande société ou haut-fonctionnaire.
Comment devient-on un tueur d’allah ? De deux façons. Soit en se convainquant de la justesse de la notion du Djihâd, ce qui définit le fanatique religieux sincère. Abou Bakr II a simplifié le problème en autorisant tout muslim, quels que soient ses âge et sexe, à participer à la féérie du meurtre pour allah, en n’hésitant pas à tuer sans discernement, dans le style : « dieu reconnaîtra les siens ».
Soit en recyclant sa propre joie de nuire aux autres et à la société, sa haine de minus et de rebut de la société. C’est pourquoi l’on voit quantité de délinquants et de criminels de droit commun se lancer dans le Djihâd, histoire de se donner le beau rôle aux yeux des sauvageons de banlieues, des abrutis des cités de non-droit et des pasionarias du voile coranique. Quand on est une nullité sociale, quand on est incapable de faire quoi que ce soit de positif pour la communauté dans laquelle on vit, on devient un criminel pour allah.
Ça pose un homme (ou une femme) ; ça ne demande guère d’intelligence, seulement quelques contacts dans le milieu de la drogue pour trouver l’argent nécessaire à l’achat d’armes et d’explosifs… les trafiquants d’armes sont aussi nombreux parmi nos merveilleux immigrés musulmans que les trafiquants de haschich.
Et l’on introduit l’électron-libre du terrorisme. De même qu’en 1966-68, les gauchistes ont organisé la chienlit occidentale, puis le terrorisme, sans demander l’avis des chefs du Kremlin, les islamistes débiles et ultra-violents de France, de Belgique (en attendant l’action des paumés de Scandinavie ou de Grande-Bretagne) tuent sans être manipulés par les imams djihadistes.
On en est revenu aux joyeux temps de l’anarchie. On ne tue plus pour mettre fin à l’exploitation capitaliste des peuples, mais pour passer du statut de petite frappe de banlieue à celui de héros et martyr de la cause d’allah le tout-puissant… il y a belle lurette qu’il n’est plus miséricordieux !
On conçoit que Hollande- Valls-Cazeneuve soient désarçonnés. Les contacts diplomatiques même sulfureux, les concessions aux islamistes, le pire laxisme judiciaire ne servent de rien, face aux électrons-libres et à leur désir de gloriole.
Il faut revoir la copie ! De même que les « gentils noirs des USA qui sont les victimes des vilains racistes de policiers blancs » représentent 40% de la population carcérale des States (alors que leur poids démographique n’est que de 13%), les « gentils islamistes de France » ne sont peut-être pas nos amis. Peut-être bien que l’immigration-invasion n’est pas réellement une bonne chose et qu’importer des fous furieux venus tout droit du haut-Moyen Âge n’est pas vraiment ce qu’il faut à la Nation française.
Ohé, les bisounours, il faudrait peut-être ouvrir les yeux ! Et fissa !
09:37 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Désert médical : merci Simone Veil !
de Philippe Randa
Une récente étude de l’UFC-Que Choisir démontre que les zones de « désert médical » ont augmenté depuis l’arrivée de « Moi Président Modeste » à l’Élysée.
Les chiffres dévoilés sont éloquents : de 2012 à 2016, les médecins généralistes accessibles en moins de 30 minutes de voiture ont diminués pour plus de 27 % de nos compatriotes, tandis que le nombre de gynécologues accessibles à moins de 45 minutes de route s’est réduit pour 59 %.
Dans le même temps, à peine entre 11 et 19 % de Français ont vu leur « situation sanitaire » s’améliorer…
Le Dr Bernard Plouvier, ancien chef de service hospitalier, est catégorique : « Dès 1967, le Conseil national de l’Ordre des médecins a réclamé une limitation draconienne du nombre des étudiants en médecine au prétexte que la population française ne croissait plus et que les revenus des médecins libéraux allaient s’effondrer si l’on continuait à sortir chaque année une grosse promotion de médecins. Le numerus clausus a petitement été instauré en 1971 et a été considérablement aggravé (chute de 50 %) en 1977-78, Simone Veil étant Ministre de la Santé. »
Or, le décret de 1976 sur le regroupement familial pour les travailleurs immigrés a ouvert les portes d’une immigration massive ; en 2016, 67 à 68 millions de Français (sans compter les extra-Français) se retrouvent ainsi avec un nombre de médecins autochtones qui a très peu augmenté.
« De ce fait, poursuit le Dr Plouvier, on a importé environ 20 000 médecins du Tiers-Monde très mal formés qui ont trusté les postes hospitaliers en seconde catégorie (hors CHU), faisant baisser dramatiquement la qualité médicale de ces hôpitaux indispensables à la vie médicale française. »
En 2005, on a réaugmenté le nombre d’étudiants en médecine, mais en 2015-2016, il reste toujours inférieur à ce qu’il était en 1970 pour une population en France bien supérieure.
08:19 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 15 juillet 2016
Le journal de TV Libertés de ce soir
19:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Attentat de Nice : la réaction de Roger Holeindre
Roger Holeindre, Président du Cercle national des combattants
Le 14 juillet 2016, sur les Champs-Élysées, l’armée française fait une démonstration époustouflante de tenue, de force, et de discipline.
Pas une faute, donc pas un reproche à faire…. La professionnalisation des armées, si elle a été fatale au Service Militaire obligatoire (qu’il aurait fallu immédiatement remplacer par la mise en place d’une “garde nationale”) a été, réussie.
Le soir même, à Nice, lors de festivités familiales nocturnes, un assassin, au volant d’un poids lourd… fonce dans la foule… fait plus de 80 morts et des dizaines de blessés, dont de nombreux enfants.
Immédiatement, tous les médias, radios et télévisions, remettent en marche la machine à fabriquer des idiots… selon les directives mondialistes… d’abrutissement des peuples… pour préparer leur disparition.
Pourtant, ce qui arrive n’est pas le fait de “Pas de chance”.
La situation actuelle de la France… de l’Occident… et même du monde… a été voulue… fabriquée et imposée… par les maffias mondialistes… dont les dirigeants non élus… se cooptent entre eux… et ont pris en main le destin des peuples et des nations… sachant, eux… exactement où ils veulent aller… Un gouvernement mondial aux mains des banquiers.
Dans son discours… le matin de l’attentat criminel… M. Hollande, Président de la République française, déclarait qu’il se situait dans la droite ligne du Front Populaire.
Ce monsieur, qui a tous les culots, oublie que ce n’est pas le maréchal Pétain qui a perdu la guerre de 1940, mais ses prédécesseurs de gauche.
A l’époque, ces messieurs traitaient les officiers de “Gueules de vaches”... abaissaient drastiquement les budgets de l’armée… créaient un climat antimilitariste dans le pays.
Par la suite, les communistes organisèrent le sabotage du matériel de guerre dans les usines…. pour finir par l’appel à la collaboration lors de l’entrée des Allemands dans Paris pour complaire à Staline.
En 2016, se situer dans la continuité politique du “Front Populaire” c’est donc…
Se déclarer “Charlie”, ce torchon qui nie toutes les valeurs patriotiques et nationales pour lesquelles on appelle nos soldats à mourir.
Admettre que le Ministre de l’Intérieur dise… « qu’il n’est pas interdit de prêcher le djihad » (Sic).
Ne rien trouver d’anormal quand la majorité de la gauche et une partie de la soi-disant droite… désirent que l’on accueille de plus en plus de réfugiés… devenus des migrants... dans notre pays financièrement exsangue, avec une dette de plusieurs milliards d’euros.
Et… encore mieux… aux cris de « Pas d’amalgame »…
Ecouter sans broncher de très hauts responsables PS… déclarer… l’Islam est compatible avec la République… chose que n’est pas le catholicisme ! (Sic).
Faut-il rappeler aussi à ces messieurs que :
- tous les attentats mortels qui ont eu lieu en France ces dernières années… sont le fait de Français… de papier, mais pas de cœur !
- Qu’il est quand même incroyable… qu’hier, tous ces gens venus d’ailleurs aimaient la France, et que dans l’armée ils n’ont jamais trahi… parce que les officiers français réussirent… ce que les fonctionnaires marxistes n’ont jamais réalisé, ni même envisagé.
Alors messieurs nos “dirigeants”, ce que vous avez à faire de mieux aujourd’hui pour rattraper votre chapelet “de déclarations honteuses et criminelles… c’est… avant de partir… de fermer rapidement les frontières et d’apprendre aux enfants de France à aimer leur patrie, alors que, sur ordre de vos différents ministres, l’Education “dite nationale”… votre armée rouge de l’enseignement… ne leur apprend qu’à la détester.
Certes vos prédécesseurs avaient ouvert la voie de la décadence et mis le pays au bord du gouffre… mais grâce à vous… il fait un grand pas en avant !
19:06 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Voici le Tunisien auteur du carnage à Nice
Nebil Ben Yahmed Tunisie secret cliquez ici
Il s’appelle Mohamed Lahouaiej Bouhlel, originaire de Mseken et fils d'un membre du parti islamiste Ennahda connu pour son extrémisme. Il n’est donc pas franco-tunisien mais tunisien vivant en France depuis six ans avec une carte de séjour, des aides sociales et tout le tralala. Par reconnaissance à la France, il vient de prendre la vie à 84 innocents.Le terroriste qui conduisait le camion qui a écrasé 84 victimes à Nice n’est pas franco-tunisien comme cela a été annoncé par les médias français mais un émigré tunisien âgé de 31 ans, qui vivait en France depuis 2011 et qui a obtenu le séjour à la suite de son mariage avec une franco-tunisienne installée à Nice et dont il a eu trois enfants.
Il s’appellait Mohamed Lahouaiej Bouhlel et il est originaire de la ville sahélienne de Mseken. Selon nos sources policières en Tunisie, son père est membre du parti islamiste Ennahda et il est connu à Mseken comme étant un extrémiste violent que la police de Ben Ali surveillait de près et qui est devenu après janvier 2011 l'un des leaders locaux de Mseken. Le criminel de Nice ne s'est donc pas improvisé terroriste, mais il est né et a baigné dans un milieu familiale favorable à la violence et au radicalisme.
Le permis de conduire du terroriste et sa carte de séjour ont été retrouvés dans le camion qu’il a utilisé comme une arme de guerre avant de se faire descendre par des agents municipaux qui étaient heureusement armés, contrairement à d’autres régions qui refusent le port d’armes à la police municipale. Non satisfait d'avoir tué autant de personnes innocentes, le terroriste tunisien voulait finir son parcours criminel sur un manège pour enfants.
Selon certaines sources, cette crapule terroriste était mariée et père de 3 enfants. Son voisinage interrogé le décrit comme "pas très religieux, (qui) ne fait pas la prière, aime les filles et la salsa". Des propos habituels qui montrent combien un intégriste daéchien peut dissimuler son vrai visage avant de passer à l’action. Et des criminels pareils, il y en a des centaines et des milliers en France.
L’ayant identifié grâce aux documents retrouvés dans le camion et à l’analyse de ses empruntes digitales, les autorités policières ont pu retrouver rapidement son adresse. Une perquisition a eu lieu à son domicile aujourd’hui vers 09H30 en présence de membres du Raid lourdement armés. Vers 11H00, des membres de la police technique et scientifique étaient toujours présents dans l'appartement situé dans un petit immeuble d'un quartier populaire de l'est de la ville.
Mohamed Lahouaiej Bouhlel n'était pas connu des services de renseignement pour radicalisation et ne disposait pas d'une fiche S de sûreté pour lien avec le terrorisme. Il était par contre bien connu des services de police pour des faits de droit commun, principalement des violences avec arme, violences conjugales, menaces et vol.
Après analyse et enquête, le corps de cette crapule sera expédié en Tunisie, où sa famille, ses amis, ses voisins l’enterreront probablement en « martyr », comme tous les criminels que ce pays autrefois civilisé et moderne a produit depuis la « révolution » dite du jasmin qu’on avait fait faire à la populace tunisienne et que l’ensemble des politiciens et journalistes Français avaient à l’époque salué, acclamé et exalté.
Il y a à peine un mois, la France de Monsieur Hollande recevait en grande pompe le chef des Frères musulmans tunisiens, Rached Ghannouchi. Parmi les objectifs non avoués à l'égard d'un tel doctrinaire de l'islamo-terrorisme, encadrer, contenir et empêcher la jeunesse française de confession musulmane de basculer dans le radicalisme !
17:36 Publié dans 04 - La 4e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Méridien zéro reçoit ce soir Paris Vox...
Méridien zéro cliquez ici
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Attentat de Nice : la réaction du Parti de la France
Communiqué du Parti de la France
Carl Lang et le Parti de la France adressent toutes leurs condoléances aux familles et proches des victimes fauchées hier soir à Nice par un tueur binational Franco-Tunisien. Par ailleurs sous contrôle judiciaire, ce tueur illustre une nouvelle fois le laxisme irresponsable et criminel du système judiciaire français ainsi que les sanglantes conséquences des politiques dites d'intégration républicaine des immigrés.
Le Parti de la France rappelle pour la énième fois les mesures politiques et de sécurité intérieure qu’il réclame depuis près de deux ans :
- la réforme du code de nationalité et la fin de la politique d’attribution automatique de la nationalité française pour les étrangers nés en France, véritable politique de destruction de l’identité nationale ;
- la déchéance immédiate de la nationalité pour tous les binationaux associés à des réseaux islamistes ou criminels ;
- le rétablissement des contrôles aux frontières nationales. Notre sécurité intérieure étant directement menacée, la France doit sortir immédiatement de l’espace Schengen. L’absence de contrôles aux frontières intérieures de l’Union est en effet un cadeau fait à tous les trafiquants d’armes ainsi qu’aux réseaux djihadistes ;
- l’arrêt immédiat de toute immigration en provenance des pays arabo-musulmans à l’exception éventuelle d’un soutien humanitaire accordé aux Chrétiens d’Orient persécutés. Il est temps d’en finir avec le processus d’immigration-colonisation et d’islamisation de la France ;
- l’expulsion immédiate de tous les étrangers en situation illégale en France ;
- la mise en place d’une structure nationale de coordination de nos moyens de renseignements ;
- le décuplement des moyens affectés à nos services de renseignement et à nos forces spéciales ;
- la création d’une garde nationale composée de volontaires formés, encadrés et armés en permanence et ce, dans l'esprit nécessaire d’une Nation en armes et le souhait d'associer tous les Français volontaires à la lutte pour le rétablissement de notre sécurité intérieure.
Face à la guerre révolutionnaire qui a commencé et qui se livre sur notre territoire, si le Président de la République et son gouvernement ne sont pas capables de prendre les mesures nécessaires et urgentes de sauvegarde nationale et de lutte contre les réseaux et les tueurs djihadistes et autres, le mieux pour la France et les Français est qu’ils partent.
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Un entretien avec Emmanuel Albach, auteur du Grand rembarquement, dans Présent de samedi
Dans le numéro de Présent cliquez ici de cette fin de semaine, vous pourrez lire un entretien de Louis Lorphelin avec Emmanuel Abach, auteur du roman-choc (hélas d'actualité) Le Grand rembarquement...
Présent, 2,50 €, est en vente dans les kiosques.
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Rassurez-vous, Hollande veille sur votre sécurité...
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État d’urgence ? Non ! État inefficace !
Dr Bernard Plouvier
Cela fait un peu plus de huit mois que la France Holando-Vallso-Cazeneuvienne vit sous le régime de « l’état d’urgence » !
En novembre 2015, ce fut, comme toujours avec les mous qui font semblant de gouverner, une pseudo-décision, prise à la va-vite sous le coup de la panique. Nos soi-disant dirigeants ont eu peur de devoir rendre des comptes au Peuple Souverain pour leurs fort nombreuses sottises, qui sont autant de manifestations de faiblesse face à des envahisseurs, dont ils n’ont semble-t-il pas remarqué qu’ils sont aussi des fanatiques religieux.
Gras Président, excité Premier ministre et très sectaire titulaire de l’Intérieur ont toléré la poursuite d’une immigration musulmane massive, dans un pays comptant déjà 5 millions de chômeurs, toutes catégories confondues, et 13 ou 14 millions d’immigrés africains – noirs et maghrébins - et proche-orientaux, en comptant les rejetons, nés sur le sol français et considérés comme des Français… alors qu’eux-mêmes proclament urbi et orbi qu’ils se sentent algériens, marocains, maliens, etc. quand bien même ils n’ont jamais mis les pieds sur le sol de leurs ancêtres.
Nos « chefs » ont toléré la création d’un réseau de petites souverainetés musulmanes au sein de l’État français. Ils ont mis en scène un ridicule engagement de notre Armée en Syrie, contre l’État légal de ce pays, pour le seul profit d’une opposition musulmane soutenue par le crypto-islamiste Obama. Les opérations n’ont, d’ailleurs, démontré que notre impréparation à la guerre, en plus d’être coûteuses et totalement dépourvues d’intérêt pour la Nation française, soit Le critère interdisant l’engagement de l’Armée.
Nos non-gouvernants font preuve d’une tolérance étonnante pour la délinquance et même la criminalité des fruits pourris de cette immigration exotique, musulmane à 90%, que la « Justice » poursuit rarement et condamne, de temps en temps, à des peines symboliques… c’est l’héritage de la Taubira, qui en maintes occasions a clamé sa haine des Blancs et fut néanmoins ministresse française !
En dépit de toutes les complaisances de « nos chefs » pour le « monde arabo-musulman », de leurs compromissions avec les cheikhs islamo-pétroliers (qui furent longtemps de généreux sponsors) et le sultan turc, et malgré le « dispositif d’urgence », plus de 80 morts à Nice, dans la nuit du 14 juillet 2016, démontrent la nullité (on ne peut même plus parler d’amateurisme) des individus qui paradent dans les couloirs et bureaux des ministères et des palais gouvernementaux.
Les attentats ont débuté (Joué-les-Tours) dès la fin de l’An 2014. L’année suivante, ils ont fait près de 200 morts en comptabilisant les attaques collectives et les assassinats individuels de Français de souche européenne par d’immondes sectateurs d’allah. En ce 14 juillet, anniversaire de la Fête de la Fédération de 1790, une crapule perverse a donné libre expression à sa joie raciste de tuer du Blanc, à prouver au monde que la joie de nuire des musulmans était toujours grandiose.
Étant donné qu’il n’existe aucun moyen de différentier le musulman non-fanatique du djihadiste, une évidence s’impose : séparons-nous radicalement des musulmans. L’Europe est le continent de la race blanche. La France est un État où existe une absolue séparation des Églises et de l’État. Tirons la conclusion de ces deux faits.
Tant que l’islam s’avèrera conquérant et terroriste, cette religion de haine et de guerre devra être interdite sur le sol français. L’intolérance doit être totale envers les fanatiques, notamment les femmes voilées, qui extériorisent davantage leur hystérie que leur foi en se nippant comme elles ne le font pas à Alger ou à Tunis.
La répression doit être extrêmement rude à l’encontre des crapules et des canailles dans nos deux milliers de cités de non-droit. La peine de mort doit être restaurée pour mettre hors d’état de nuire tous ceux et toutes celles qui sont complices d’attentats. Tout musulman condamné pour délits répétés ou pour crime doit être renvoyé dans son gourbi d’origine.
Enfin, dans notre pays durement touché par le chômage, il est évident qu’aucun immigré ne doit être titulaire d’un emploi tant que le dernier Français de souche européenne n’en aura pas. Il est non moins évident qu’un immigré sans emploi est un parasite et doit être réexpédié d’où il vient.
La notion de droit d’asile doit être révisée. Trop de sang de Français a coulé ces dernières années pour que l’on soit stupidement charitable. Tout excité faisant de la politique en son pays sait à quoi il doit s’attendre s’il joue à l’opposant en pays de dictature : les Français n’ont pas à supporter les conséquences de ces choix exotiques.
Notre solidarité doit être continentale et raciale : elle ne doit s’exercer qu’envers des individus de la race européenne et dans le but de former une authentique Europe unie des Nations de souche européenne.
Les musulmans doivent retourner dans le Dâr al-Islam. Nous devons bien comprendre que pour ces fous furieux de mentalité médiévale, notre France (et d’une manière générale notre Europe) fait partie du Dâr al-Harb : le Domaine de la Guerre religieuse. Si les Français sont trop sots pour comprendre ces notions, pourtant simples, alors ils sont mûrs pour l’esclavage ou la conversion à la foi la plus obscurantiste et barbare que l’on puisse trouver sur le marché spirituel.
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Terrorisme en France : qui sont les véritables coupables ?
Communiqué de Alain Escada, Président de Civitas :
Une fois de plus, la France est plongée dans le deuil à la suite d’un acte abominable mené par un barbare.
Nos premières pensées vont naturellement aux victimes et à leurs familles auxquelles nous présentons nos sincères condoléances et que nous assurons de nos prières.
Mais il faut aussi appeler les Français à la lucidité. Ni les bougies, ni les dessins ne sont une réponse à ce qui se déroule sous nos yeux.
Il est impératif d’identifier les responsabilités en remontant aux causes de ce terrorisme et de tout ce qui l’accompagne.
Les premiers coupables sont les hommes politiques, de droite comme de gauche, de Nicolas Sarkozy à François Hollande, en passant par Bernard-Henri Lévy et Laurent Fabius, qui ont organisé le chaos au Proche-Orient pour des intérêts qui ne sont pas ceux des Français, et ont soutenu là-bas des réseaux islamistes qui opèrent ensuite ici.
Les coupables sont également ceux qui organisent vers l’Europe une immigration massive de grand remplacement au sein de laquelle s’infiltrent des terroristes. Deux fléaux se rejoignent ainsi pour frapper durement notre continent avec la complicité de nos gouvernements.
Les coupables sont aussi ceux qui, chargés d’assurer la sécurité des Français, persistent avant tout à servir l’idéologie de l’anti-France, tel Patrick Calvar, patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) qui, lors de son audition devant la commission parlementaire sur les attentats de 2015, a estimé que de nouveaux attentats islamistes étaient attendus mais a demandé dans la foulée des moyens supplémentaires “pour s’occuper de l’ultra-droite”.
Les coupables sont ceux qui se servent avec machiavélisme des attentats pour accentuer des lois liberticides destinées non pas à mettre hors d’état de nuire des terroristes mais à pouvoir surveiller tous les Français pour museler toute véritable opposition.
Les coupables sont aussi tous les bien-pensants qui, au nom du “pas d’amalgame”, s’opposent à des mesures élémentaires pour se préserver des nuisances de tous ceux identifiés chez nous comme sympathisants de l’Etat Islamique, du Front al-Nosra ou d’autres organisations islamistes du même genre. C’est ce fameux “pas d’amalgame” qui est en fait le meilleur vecteur de l’amalgame.
Le véritable courage politique commence par dire la vérité aux Français.
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La réaction de Jean-Marie Le Pen
Communiqué de Jean-Marie Le Pen, Président d'honneur du FN :
Le langage de la guerre ne suffit plus, il faut désormais déployer tous les moyens de la guerre.
La nation française est menacée dans son existence par le terrorisme islamiste. Considérerons-nous en état de légitime défense !
Agissons, dans la voie, s’il le faut, de l’union nationale, au sens politique et militaire.
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Attentat de Nice : réaction de Boris Le Lay
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Réaction de Riposte laïque suite à l'attentat de Nice : nous en avons marre que les socialauds envoient les Français à l’abattoir
Paul Le Poulpe Riposte laïque cliquez ici
Du sang partout. Des cris. Des larmes. Des dizaines de cadavres et des centaines de blessés jonchant la rue. A Nice, un soir de 14 juillet, un énorme camion fonçait délibérément dans la foule, écrasant tous ceux qui, en famille, étaient venus, sur la promenade des Anglais, voir le feu d’artifice du 14 juillet. On parle également de blessés par balles, et d’armes retrouvés dans le camion.
Nous étions habitués à ces images quand une voiture piégée explosait à Badgad, Kaboul ou ailleurs. Après Charlie Hebdo, Hervé Cornara, le Bataclan, Bruxelles, les deux policiers de Magnanville, c’est Nice qui est touchée, son tour, par l’islam et ses soldats.
Naturellement, nous allons encore avoir droit aux numéros d’enfumage habituels. Le CFCM et la Grande Mosquée nous ont dit qu’ils condamnaient l’attentat, histoire de nous faire le coup du classique « l’islam ce n’est pas cela », « Pas d’amalgame » « Pas en notre nom ». Oseront-ils, cette fois encore, avoir l’indécence de se dire les premières victimes, sans que cela n’émeuve aucun politique ou aucun journaleux ?
On va apprendre que le chauffeur était connu des services de police, et probablement classé S. Mais Cazeneuve va nous expliquer que le fait qu’il ait été en liberté était le prix à payer d’un Etat de droit, et sans doute va-t-il encore nous parler de la « République », lui qui, avec les siens, la trahit quotidiennement.
Les autorités vont encore nous faire le coup des bougies, des bouquets de fleur, et encourager les familles de victimes à organiser une marche blanche, en leur faisant dire qu’ils n’ont pas de haine pour l’assassin.
Lors de la cérémonie d’hommage aux deux policiers, organisée par le Siel au Trocadéro, notre fondateur, Pierre Cassen, avait tenu un discours très fort, disant, au sujet de Hollande-Valls-Cazeneuve, que nous en avions marre d’eux et de leurs discours d’impuissants, à chaque nouvel attentat islamique.
Pas une virgule n’est à retirer de cette intervention. Le nouveau massacre de Nice nous confirme ce que Valls, cyniquement, avait osé dire aux Français au lendemain du Bataclan : nous en avons pour vingt ans d’attentats, mais ce n’est qu’un mauvais moment à passer.
Depuis une année et demie, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, que se passe-t-il ? Les soldats d’Allah, qu’ils se réclament de l’Etat islamique ou pas, multiplient les menaces et passent à l’acte de plus en plus fréquemment. Nos ministres, incapables de désigner le nom de notre agresseur, l’islam, nous disent qu’on est en guerre contre le terrorisme, ou parfois contre Daech.
Tous les jours, il suffit de lire l’excellent site Fdesouche, nos policiers arrêtent des musulmans surexcités, qui leur disent qu’ils vont les tuer, comme leur frère a tué leurs collègues de Magnanville, et faire un maximum de victimes parmi les Français infidèles.
Intervention de Pierre Cassen début juin à Paris cliquez ici
Et quelle est l’attitude de ce régime ?
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, les assassins sont protégés. Ceux qui menacent nos vies se promènent librement. Ceux qui, comme Salah Abdeslam, ont tué des dizaines de Français, le 13 novembre, peuvent voir leur avocat déposer plainte contre un député qui a raconté les conditions ahurissantes de confort du détenu. Ceux qui annoncent qu’ils vont nous tuer, quand ils sont arrêtés, sont remis en liberté quelques semaines plus tard.
Voilà ce qui s’est passé, ces dernières heures, dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve. Au soir de la finale de l’euro, incidents dans de nombreuses villes de France, avec des « Français » brandissant des drapeaux algériens. A Calais, des clandestins lancent des cocktails molotov sur la rocade portuaire. A Compiègne, un mort, suite à une fusillade à la kalachnikov. A Oyonnax, annulation des festivités du 14 juillet, suite aux incidents du dimanche précédent. A Arras, arrestation d’un homme qui se vante d’être un terroriste. Des centaines de voitures incendiées en Seine Saint-Denis, dans le Val de Marne et dans l’Oise. Des policiers blessés dans le Val d’Oise et à Sens, etc. Les racailles islamisées savent qu’elles bénéficient d’une impunité presque totale, et les policiers ne peuvent pas bouger une oreille sans se retrouver devant les juges.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, le voile islamique, le qami et la djellaba, uniformes de guerre des djihadistes, sont tolérés.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on accueille sur notre territoire des centaines de musulmans qui sont allés apprendre à faire la guerre en Syrie (avec les armes que ce régime a livré aux islamistes) et qui reviennent, décidés à mettre en application, chez nous, ce qu’ils ont appris là-bas.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on impose aux Français la présence de « migrants », majoritairement musulmans, hommes seuls, parmi lesquels, comme au Bataclan, se sont infiltrés des terroristes, comme Merkel elle-même – sans manifester le moindre remord – l’a admis.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, plus de frontières. On est dans la conception d’Attali, notre pays est devenu un hôtel où les étrangers entrent et sortent comme ils le veulent.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, les mosquées, casernes de l’ennemi, sont toujours ouvertes, et servent à distiller aux musulmans ce que doit faire un loyal fidèle : la guerre aux mécréants, par tous les moyens, la force quand on peut l’utiliser, la ruse quand on n’a pas le rapport de forces.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on commémore, en soumis que sont nos dirigeants, en grande pompe le quatrième pilier de l’islam, et on impose à des maires qui tiennent à l’esprit de la loi de 1905 de prêter des locaux municipaux aux disciples de la religion d’amour.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on fait témoigner le patron du renseignement intérieur, Patrick Calvar. Ce dernier affirme que de prochains attentats sont inévitables (RL le dit depuis 2011) et on lui fait dire que des forces du renseignement vont s’occuper de « l’ultra-droite » qui rêve de la guerre civile, plutôt que des islamistes.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on interdit des manifestations patriotiques, mais on autorise des clandestins, souvent musulmans, soutenus par des gauchistes, à manifester dans les rues de Paris contre le « racisme institutionnel français ».
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on va multiplier des abattoirs mobiles, dans quelques semaines, pour que les disciples du prophète puissent égorger, en toute impunité, violant les règles sanitaires de notre pays, des centaines de milliers de moutons, avec le même geste que celui des assassins de Hervé Gourdel ou Hervé Cornara, tous deux décapités.
Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on utilise des juges et des policiers pour perquisitionner chez Pierre Cassen et lui voler ordinateur et téléphone portable, on instruit des plaintes contre Christine Tasin, on traîne devant les tribunaux des patriotes coupables de dénoncer la réalité de l’islam et de l’ensauvagement de la France.
Nos dirigeants, qui utilisent les services de l’Etat, de manière démesurée, pour se protéger (voir l’escorte donc bénéficie en permanence Hollande, Valls ou Cazeneuve) s’en foutent de la sécurité des Français.
Hollande ne pense qu’à une chose : sa prochaine réélection. Il vide les caisses, arrose tout le monde, et rêve de conserver le vote des 93 % de musulmans qui lui ont permis de gagner en 2012.
Valls passe sa vie à insulter les patriotes et à nous raconter que l’islam est compatible avec la République.
Quand à Cazeneuve, quand il ne fait pas des selfies avec des musulmans radicaux, quand il ne va pas lécher les babouches dans les mosquées, quand il ne serre pas la main à des clandestins, il a du temps pour déposer quatre plaintes contre Riposte Laïque.
Nous sommes dirigés par des incapables socialauds, alliés avec le Qatar et l’Arabie saoudite, qui financent la classe politique française, et ceux qui tuent les nôtres.
Nous sommes dirigés par des collabos, qui n’ont même pas l’excuse d’une défaite militaire, comme en 1940, pour pactiser avec l’ennemi.
Ces gens là sont incapables de protéger les Français. Ce sont des traîtres. Il est temps de le virer au plus vite, et de préférence avant 2017, et d’exiger d’un gouvernement qu’il prenne des décisions à la hauteur des enjeux.
En temps de guerre, il ne doit plus y avoir de visibilité de l’ennemi, donc de l’islam, en France.
En temps de guerre, on se débarrasse, par tous les moyens, de la cinquième colonne musulmane qui opère en France, parmi lesquels se trouvent, forcément, les prochains assassins qui opéreront, dans quelques jours, dans quelques semaines, dans une autre ville française, laissant des cadavres et des blessés à jamais mutilés, comme le fait l’islam partout où il sévit.
En temps de guerre, il nous faut des chefs de guerre à la tête du pays, pas des islamo-collabos, des traîtres et des lèche-babouches.
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jeudi, 14 juillet 2016
Le n°43 (été 2016) de Synthèse nationale sortira la semaine prochaine
Au sommaire :
P 2 : EDITORIAL - Roland Hélie
P 6 : BREXIT - Le peuple contre les élites Patrick Parment
P 12 : BREXIT - Cauchemar ou bénéfice pour les vrais Français Dr Bernard Plouvier
P 17 : BEZIERS - Et alors ? Georges Feltin-Tracol
P 24 : HALAL - Le Business tourne à plein régime Arnaud Raffard de Brienne
P 32 : AUTRICHE - Le vent du boulet Pierre Vial
P 34 : AUTRICHE - Un entretien avec Roland Hélie avec Philippe Randa
P 35 : MEDIA - EuroLibertés, Radio Libertés... le groupe Libertés étend son audience...
P 36 : ITALIE - Comment la Droite nationale fût assassinée ? Massimo Magliaro
P 43 : ITALIE - Etat des décombres du MSI Guirec Sèvres
P 47 : BOUSQUET SUR FOUCAULT - Quand on déglingue une idole de la gauche Patrick Parment
P 51 : 1966 - 1968 Approche historique de la chienlit occidentale Dr Bernard Plouvier
P 60 : SOCIETE Emasculation de la société française Charles-Henri d'Elloy
P 65 : ECONOMIE N'était-ce pas mieux avant ? Pieter Kerstens
P 69 : Le GRAND REMBARQUEMENT Entretien avec Emmanuel Albach
P 73 : LES PAGES DU MARQUIS la chronique de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
P 82 : LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol
P 102 : SPORT FOOT ET MOI LA PAIX Charles-Henri d'Elloy
P 108 : SYNTHESE NATIONALE PRESENT PARTOUT
Ainsi que de nombreuses autres rubriques...
118 pages - 12 €
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Sortie prévue le 22 juillet.
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CHOUANS... (Jean-Pax Mefret)
10:12 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Aujourd'hui 14 juillet : la Vendée rend hommage à Jacques Cathelineau
09:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Le Petit abécédaire d'un Français incorrect" de Charles-Henri d'Elloy : profitez de l'été pour vous régaler...
00:41 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le phénomène Donald Trump expliqué par Alain Soral
00:24 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 13 juillet 2016
Une entretien de Franck Abed avec Bruno Mégret
Franck ABED : Bonjour. Pourriez-vous prendre la peine de vous présenter en quelques mots pour ceux qui croient vous connaître et pour ceux qui ne vous connaissent pas encore ?
Bruno MEGRET : Oui, en effet, ce n’est peut-être pas inutile. Dans la mesure où j’ai mené activement le combat politique contre le politiquement correct, les médias officiels m’ont toujours présenté très différemment de ce que je suis en réalité. À vrai dire je suis un Français qui aime son pays, un Européen conscient de la grandeur de la civilisation qui est la sienne et je me suis engagé totalement pendant près de trente ans pour défendre l’un et l’autre.
J’ai commencé assez tôt en politique, d’abord au RPR où j’ai très vite compris que sa soumission à l’idéologie de gauche l’empêcherait de réaliser quoi que ce soit de positif pour notre pays. J’ai ensuite créé les Comités d’action républicaine dans les années 80 avec l’objectif de renouveler la vie politique. Puis j’ai rejoint le Front national dont je suis devenu le numéro deux et que je me suis efforcé de transformer en une grande force politique capable de gouverner et de rénover notre nation. Je me suis alors heurté à Jean-Marie Le Pen qui ne voulait pas réellement arriver au pouvoir. Fidèle à mon objectif de toujours, j’ai dès lors créé le Mouvement national républicain avec la grande majorité des cadres du FN qui m’avaient suivi. Mais dans cette tentative de construire une grande force politique de droite capable de gouverner, le système a préféré Le Pen et a tout fait pour m’écarter. En 2008, ayant constaté que je ne pouvais plus rien faire d’utile, j’ai décidé de me retirer de la vie politique et j’ai repris mon activité d’ingénieur général des Ponts et Chaussées. Je reste pour autant très attentif à la situation politique de mon pays et j’enrage de le voir s’enfoncer toujours un peu plus dans un déclin qui paraît aujourd’hui insurmontable.
Vous êtes maintenant retiré de la vie politique française depuis de nombreuses années. L’écriture et la publication d’un livre politique évoquant la droite nationale et les élections présidentielles de 2017 peuvent-elles être considérées comme un retour officiel ou déguisé ?
Non, il ne s’agit pas pour moi d’un retour dans la politique active. Pour que je puisse m’engager à nouveau sur le devant de la scène publique, il faudrait que soient réunies les conditions me permettant d’être utile à mon pays. Malheureusement, la situation semble aujourd’hui bloquée. La classe politique, soumise à l’idéologie officielle, se révèle néfaste pour la France. Quant au FN, qui se présente comme la seule possibilité de recours, il s’enferme dans le cénacle étroit de ses affidés et ne construit pas le grand rassemblement sans lequel il ne pourra pas gouverner demain notre pays. De plus tout est verrouillé par des médias qui mènent le jeu au seul bénéfice de l’idéologie officielle. Rien cependant n’est joué car le politique est le domaine de l’imprévisible et du surprenant. Une configuration nouvelle pourrait se présenter demain qui rende possible un renouveau de la France. Ce jour-là, je serais présent.
Vous avez donc commis le Temps du Phénix (éditions Cité Liberté), un roman d’anticipation politique qui raconte la victoire à la prochaine présidentielle d’un candidat issu des rangs de la droite nationale… Faut-il y voir une utopie ? Une prévision ? Un souhait ?
Rien de tout cela : c’est une démonstration. La démonstration que tout demeure possible pour la France et pour l’Europe. Je rencontre souvent des gens qui me disent : » Mais de toute façon tout est perdu, car même si vous ou l’un de vos amis arrivait au pouvoir, il ne pourrait rien faire face au système qui verrouille tout. » Je pense que c’est faux et je voulais le montrer en mettant en scène un président de nos idées élu en 2017 et en faisant le récit mois après mois de la manière dont il s’y prend pour réaliser son programme malgré tous les obstacles qui se dressent devant lui.
Et l’exercice me paraissait à la fois utile et nécessaire car il est vrai que dans le cadre actuel un président issu de la droite nationale serait entièrement paralysé et ne pourrait rien faire d’autre que de prendre, comme les dirigeants du système, des mesures homéopathiques ou symboliques sans doute plus sympathiques que celles qui sont prises aujourd’hui mais guère plus efficaces. Pour pouvoir redresser le pays, il faudrait d’abord qu’il s’en donne les moyens et qu’il entreprenne avant toute chose de faire sauter les verrous qui paralysent le gouvernement. Comme le dit le président héros du Temps du phénix, il faut d’abord rendre du pouvoir au pouvoir en neutralisant le Conseil constitutionnel, la Commission de Bruxelles et en remettant au pas les contre-pouvoirs médiatique, judiciaire et syndical.
Votre ouvrage ne traite pas de la prise du pouvoir mais de l’exercice du pouvoir. Toutefois, le préalable requis pour diriger un pays reste bien évidemment la conquête de l’Etat. En effet, depuis de nombreuses années il existe un nombre d’idées et de programmes (plus ou moins sérieux et/ou applicables) qui émanent de l’ensemble du camp national. Pourtant rares sont les personnalités ou les acteurs de ce mouvement qui ont écrit sur la prise du pouvoir. N’eût-il pas été préférable d’écrire un livre sur le comment prendre le pouvoir plutôt que sur le pourquoi ?
Je partage votre point de vue. Il paraît actuellement beaucoup d’ouvrages sur les programmes et les idées qu’il faudrait mettre en œuvre pour redresser notre pays. Il y en a d’ailleurs encore plus sur la critique de ce qui ne va pas en France. Mais il y en a très peu, voire pas du tout, sur la manière de mettre ses idées en œuvre. Cela est d’ailleurs très caractéristique des périodes de décadence. Car, lorsque le déclin menace, le plus difficile n’est pas de savoir ce qu’il faut faire mais de le faire. C’est pourquoi j’ai voulu écrire le Temps du phénix afin de montrer comment les idées qui sont les nôtres pourraient être mises en œuvre avec efficacité et rapidité pour peu que le président concerné s’en donne les moyens.
Il est vrai cependant que je n’ai pas écrit sur la manière de prendre le pouvoir. Je considère sur ce plan que mon action politique dans les années passées, avec la prise de Vitrolles notamment, en est une illustration plus parlante que la rédaction d’un livre par essence théorique. Ecrire un ouvrage sur ce sujet serait d’ailleurs hasardeux car la réalité ne se met pas en boîte. Il n’y a pas de recette miracle pour prendre le pouvoir et les meilleures solutions ne permettent pas forcément d’obtenir le résultat recherché car l’intelligence et la volonté ne suffisent pas toujours à remporter un combat lorsqu’il est totalement inégal comme c’est le cas actuellement.
Stefan ZWEIG, dans son ouvrage consacré à Joseph FOUCHE, écrit que l’exil, qu’il soit politique, religieux ou philosophique, est une puissance créatrice extraordinaire. Il appuie son argumentation en prenant comme exemple les fondateurs des grandes religions qui ont tous connu un exil plus ou moins long… Partagez-vous et comprenez-vous cette idée ?
À vrai dire, je n’ai pas le projet de fonder une nouvelle religion (sourire). Mais pour répondre plus sérieusement à votre question, je dirais que cette observation est sans doute très pertinente pour les penseurs ou les hommes de lettres, je pense par exemple à Victor Hugo ou à Chateaubriand. L’exil offre en effet une distance qui peut permettre, avec le recul et la tranquillité, de développer sa pensée avec plus d’acuité. Par ailleurs, il va de pair avec une frustration qui, comme beaucoup de sentiments violents, peut se révéler féconde et productive.
Pour les hommes politiques, il en va cependant autrement car ils dépendent entièrement de l’évolution de la nation dont ils sont éloignés, laquelle peut les placer en situation de recours ou les conduire à l’oubli
Au cours de toutes ces années d’exil, l’envie de redescendre dans l’arène politique pour promouvoir et défendre vos idées vous a-t-elle tenté ? Et d’ailleurs le président héros de votre ouvrage n’est-ce pas vous ?
Je reste toujours passionné par l’engagement politique et, comme je vous l’ai dit, je serais prêt à servir à nouveau mon pays si les circonstances s’y prêtaient. Quant au président du Temps du phénix, je ne vois pas de personnalités de la scène politique actuelle susceptibles d’être élues en 2017 qui lui ressemble. Mais il ne s’agit pas de moi pour autant, même si en tant qu’auteur je n’ai sans doute pas pu m’empêcher de me projeter un peu dans la peau de ce personnage dont la France a tant besoin.
A l’heure d’internet, des réseaux sociaux, de la vidéo, de l’instantané, le livre est-il encore un bon outil pour transmettre et partager des idées ?
L’Internet est un outil bénéfique qui permet de contourner les médias officiels. Il offre un vaste espace de liberté qui donne accès à des millions de gens. Je ne pense pas cependant que l’usage de la toile puisse se substituer aux livres. Internet conduit en effet à privilégier l’instantané et exige souvent de faire court et simple. Rien ne remplacera à cet égard un livre dans lequel l’auteur développe sa pensée. Une pensée que le lecteur a le loisir de découvrir dans toute sa subtilité et sa profondeur. Pour autant, le livre et l’Internet ne sont pas incompatibles. On peut écrire un ouvrage et en assurer ensuite la promotion à travers Internet et les réseaux sociaux. N’est-ce pas d’ailleurs ce que nous faisons ensemble en ce moment à propos du Temps du phénix ?
Source cliquez ici
Bruno Mégret, Le Temps du phénix, 328 pages, 20 euros, Editions Cité Liberté (78, rue de Malnoue, 93160 Noisy-le-Grand). www.le-temps-du-phenix.fr
17:00 Publié dans Les entretiens avec Franck Abed | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
AU FAIT, L'AVEZ VOUS LU ?
10:04 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LA REPUBLIQUE ? PAIX A SES CENDRES !
Pierre Vial Terre et peuple
Les gens qui jouissent encore, provisoirement, du pouvoir – ou qui rêvent de s’y installer – n’ont qu’une seule référence pour justifier leur dogmatisme : les « valeurs de la République ». De Valls-Hollande à Juppé, de Macron à Sarkozy et à Philippot, le couplet est le même. Le problème, c’est qua la République, leur République, est morte.
L’aveu en est fourni par Stéphane Le Foll (le bien nommé…), ministre de l’Agriculture et porte-parole du gouvernement. Interrogé par le journaliste Patrick Cohen, réputé pour servir la soupe aux puissants du jour, il a rassuré son interlocuteur : « Les policiers qui ne respectent pas le droit républicain sont condamnés ». Ah mais !
Oui, bien sûr. Mais changement de ton quand Le Foll est interrogé sur le scandale des tortures infligées à des animaux lors d’abattages rituels. Réponse : en matière d’abattages « il y a un code, des règles ». Cependant… il y a des dérogations. En faveur du hallal et du casher. Et le ministre, piteux : « J’ai essayé de savoir si on peut rediscuter de ces dérogations, les remettre en cause (…) Ce n’est pas moi qui décide et les autorités religieuses me disent non ». Alors et cette laïcité censée régner en République ? Et le beau principe d’égalité ? Pas pour tout le monde bien sûr et en tout cas pas pour ceux qui prennent leurs ordres à Jérusalem ou à La Mecque. En faisant un beau bras d’honneur aux pantins qui sont censés gouverner la France.
09:56 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 12 juillet 2016
FRANÇAISE, BLANCHE, CATHOLIQUE… LA MORT D’EMILIE LORIDAN EST SANS INTÉRÊT!
Jean-Pierre Fabre-Bernadac Boulevard Voltaire cliquez ici
Début mai, Émilie Loridan avait sollicité un entretien avec le quotidien La Voix du Nord, à Armentières, pour tenter d’alerter l’opinion sur ses problèmes financiers. Mère de deux enfants de 8 et 6 ans, elle ne percevait plus d’allocations de la CAF depuis qu’elle touchait une allocation enfant handicapé par la Belgique pour sa fille trisomique. Émilie était « une maman battante mais fatiguée ». Le journal l’avait rappelée un mois plus tard pour avoir de ses nouvelles, et savoir où en était son dossier. « À part me dire que je dois demander une pension alimentaire au papa de mes enfants, je n’ai rien de plus. La CAF m’a même supprimé mon APL », avait-elle répondu, accablée. Sans RSA, sans APL, Émilie n’avait plus que l’allocation enfant handicapé belge pour vivre (398 euros), elle avait expliqué au journal posément, sans s’énerver, « être à bout », ne plus savoir « comment s’en sortir ».
Son appel au secours n’avait pas pu débloquer sa situation. Selon La Voix du Nord, la CAF avait fourni quelques explications techniques : le papa (dont Émilie est séparée) étant belge et en activité, la petite fille trisomique devait percevoir l’allocation belge, qui était prioritaire, ce qui avait effectivement pour conséquence de la priver des droits aux allocations françaises. Logique implacable : vous tablez sur l’humain, on vous répond règlement.
Pourtant, les fonctionnaires de la CAF savaient parfaitement combien son quotidien était difficile. Comment concilier la reprise d’une activité professionnelle et s’occuper en même temps de ses deux jeunes enfants, dont cette petite fille handicapée, scolarisée en Belgique. Quelles perspectives d’avenir pour Émilie, dont les dettes s’accumulaient chaque mois davantage ? Aucune.
Dimanche 4 juillet 2016, Émilie a mis fin à ses jours. Ses funérailles ont eu lieu samedi dernier en l’église Notre-Dame-du-Sacré-Cœur d’Armentières. Son oncle, sa sœur, ses amis, de simples connaissances et de nombreux Armentiérois étaient présents. Les larmes ont coulé, des paroles dures furent prononcées contre les administrations. Le seul qui n’a pas jugé utile de venir, c’est le directeur de la CAF.
Ce fait divers douloureux est à rapprocher de l’information que vient de publier la Caisse nationale d’allocations familiales sur son bilan en matière de lutte contre la fraude. RTL vient, en effet, de révéler qu’en 2015, 39.934 fraudes ont été qualifiées par les CAF, soit une augmentation de plus de 21,6 % en un an. Le montant de la fraude s’élevant à 247,8 millions d’euros en 2015 (contre 209,6 millions en 2014), soit une augmentation de 18,2 %.
Dommage qu’Émilie n’ait pas jugé utile de tricher comme un sur cinq des allocataires contrôlés. Elle serait encore vivante aujourd’hui. Dommage, aussi, qu’elle n’ait pas eu cinq enfants comme Djamila. Cette dernière, âgée de 33 ans, perçoit en allocations familiales, APL et RSA cumulés une moyenne de plus de 2.000 euros par mois. L’allocation de rentrée scolaire versée en septembre faisant grimper cette somme jusqu’à 3.123 euros.
Je pense à ces deux petites filles qui ne reverront jamais plus leur maman, parce que la jeune femme n’intéressait pas les grands médias, parce qu’elle était polie et ne hurlait pas derrière les guichets de la CAF. Émilie faisait partie de cette France « périphérique » des oubliés, Émilie appartenait aux « maudits » du système.
01:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 11 juillet 2016
Le Paris idéal d'Anne Hidalgo :
18:15 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chorégies d'Orange : Jacques Bompard répond à ses détracteurs...
Jacques Bombard, député maire d'Orange cliquez ici
J’ai longtemps été un adversaire politique de Thierry Mariani et celui-ci a affirmé aux médias que dans l’affaire des chorégies, je fus le seul à me comporter dignement et pour le bien commun. J’accepte toujours les compliments et je l’en remercie. A l’inverse je suis habitué depuis maintenant 21 ans à la haine idéologique de mes adversaires et à leur dextérité dans le n’importe quoi larmoyant. Une étape a encore été franchie en cette fin de semaine.
Audrey Azoulay, qui ne vient jamais en Province et connaît mieux les bans de l’ENA et les dorures des factions politiques que la France du réel, a affirmé publiquement avoir commis trois attentats contre l’éthique.
Tout d’abord elle affirme avoir exercé un chantage aux subventions, bien aidée en cela par Christian Estrosi, pour assurer les arrières de ses amis politiques. Une telle arrogance quand l’on entretient un rapport aussi malsain à l’exercice démocratique laisse pantois. Il faut dire que Madame Azoulay, catastrophique dans l’ensemble de ses prestations publiques, n’a jamais eu de légitimité populaire. Elle doit son ministère à ses amitiés et à la délicatesse du président de la République. Représentante caricaturale de l’énarchie, elle s’effrayerait au contact du moindre Vauclusien de souche, craignant de rencontrer un autrui qui n’aurait ni fait HEC, ni passé sa jeunesse dans les réunions dorées des futures élites oligarchiques.
Ensuite, Madame Azoulay incapable de comprendre jusqu’au règlement d’une association appelle coup de force une simple application du règlement. Une disjonction cognitive qui doit lui venir des cabinets hollandais : peut-être un conseiller parviendra-t-il à rappeler à la ministre de la culture qu’un règlement régit la vie d’une association ? Je n’avais d’ailleurs pas vu dans le règlement que les Orangeois dussent subir les visites cumulées de Najat Vallaud-Belkacem, Philippe Martinez et autres incapables notoires. Que Madame Azoulay surveille donc son vocabulaire, ce qui est bien le moins à son poste, et s’abstienne de parler de prise de contrôle par la ville au sujet d’un festival qu’elle a voulu assassiner par convenance idéologique.
Enfin, il y a un problème de conception politique. Encore une fois, l’Etat s’introduit là ou il ne devrait pas le faire. La ville d’Orange est en effet la première contributrice financière des chorégies ainsi que le cœur de ce spectacle : exclure ceux que les Orangeois désignent pour diriger leur municipalité relève du plus pur excès de zèle idéologique. Me revient cette pensée de Frédéric Mistral en 1866 : « Il fallait, paraît-il, que cela fut pour que la vieille Gaule devint la France moderne, seulement les méridionaux eussent préféré que cela se fit plus cordialement et désiré que la fusion n’allât pas au delà de l’état fédératif. » Assez de ces arrogants incapables de faire autre chose que de couler les évènements culturels français pour complaire à une fausse élite intellectuelle qui rappelle Les Femmes savantes et Jourdain plutôt que les vraies gloires de la Nation.
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Qui fout le bordel et attaque nos policiers après les matchs de l’euro ? Qui ?
Christine Tasin Riposte laïque cliquez ici
A qui fera-t-on croire qu’il ne s’agirait que de hooligans étrangers et de batailles entre supporters des différentes équipes ?
Il suffit de regarder les villes où se sont déroulés les « incidents ». Toutes des villes très islamisées… Hasard ? A Amiens, un jeune de 21 ans monte sur le toit d’une voiture de police. Vous en connaissez beaucoup dans votre entourage, des jeunes capables de faire ça ? A Lille, à Beauvais, même topo, on saute sur les voitures en stationnement, on balance les canettes de bière, on fait des rodeos en ville, à Grigny on balance des projectiles sur les forces de l’ordre, on brûle une voiture, on brûle des caves, à Cluzes on empêche l’interpellation d’un ivrogne, à Longwy une trentaine de personnes s’opposent aux forces de l’ordre pour empêcher l’arrestation de l’un des leurs, à Reims une cinquantaine de personnes s’en prennent aux forces de l’ordre…
Vous en connaissez beaucoup dans votre entourage des gens qui ne se connaissent pas mais qui sont capables de faire immédiatement obstacle, en groupe, aux forces de l’ordre quand l’un de ceux qu’ils considèrent comme un des leurs est menacé (merci le facies) ?
Vous en connaissez beaucoup dans votre entourage des gens dont le principal amusement est d’attaquer nos policiers ?
Vous en connaissez beaucoup dans votre entourage des gens qui utilisent le moindre prétexte pour faire la fête à leur façon, casser, agresser, détruire, brûler… ?
Nous sommes sûrs d’une chose, c’est que les responsables ne sont pas des Identitaires ni des adhérents ou sympathisants du FN, on n’entendrait parler que de cela à la radio, à la télé… Or, silence radio partout sur les faits et sur leurs responsables. La réponse à ma question est donc lumineuse.
Et il est lumineux qu’il s’agit, ici comme en toutes occasions d’instaurer un climat de peur parmi la population française, histoire d’instaurer la charia. Quant aux attaques contre les policiers, comment mieux montrer que l’ordre républicain n’existe plus et que seule « la meilleure des communautés » détient le pouvoir d’instaurer le désordre et l’ordre. A sa façon.
Nous attendons, naturellement, une mise au point sans langue de bois de Cazeneuve. Nous pouvons attendre les calendes grecques.
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A Bruxelles, Alain Escada, Président de Civitas, dénonce le complot mondialiste contre l'enseignement catholique
02:08 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |