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lundi, 29 août 2016

Le choix de l’ennemi ne doit pas forcément être le nôtre

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Bernard Plouvier

Dans une Guerre, il est fort dangereux de ne pas fixer son but essentiel. De 1914 à 1918, les Européens ont avancé à l’aveuglette, changeant constamment de « buts de guerre », et ce des deux côtés. Au combat, il est nécessaire de ne pas se tromper de cible.

Depuis la fin des années 1980 (où ils n’avaient que l’expression « putain de ta race » à la bouche), nos envahisseurs ont déclenché une guérilla, en France et dans de nombreux pays européens où l’opinion publique était aveulie par la propagande tiers-mondiste au point d’importer en masse ces « travailleurs » exotiques qui devaient « payer les retraites des Européens » vieillissants, alors qu’il aurait été plus intelligent d’assurer le renouvellement autochtone de la population du continent.

Le combat de l’immigration-invasion était alors mené pour assurer le triomphe de la race africaine, dans toutes ses variantes. Et l’on pariait sur la différence des courbes de natalité entre Européennes de souche et Africaines, noires et maghrébines, pour obtenir la domination politique et sociale au bout de deux générations.

Or, Noirs et Maghrébins ne s’entendaient guère et, assez vite, la fraction la plus évoluée des immigrées a modifié son comportement matrimonial. Avec ou sans l’accord du seigneur et maître, nombre d’Africaines ont adopté la contraception hormonale (qui n’est pas sans risques, lorsqu’il existe une obésité ou un tabagisme).

En outre, les sauvageons de l’immigration étaient pressés : ils ne voulaient pas attendre la substitution de population majoritaire pour s’assurer la domination dans les grandes cités où leur médiocrité les faisait végéter. Il existait toutefois une faille dans cette pratique : les actes criminels n’étaient pas réellement punis (du moins en France), mais la violence stupide écartait une majorité d’immigrés de la guérilla. Il fallait trouver autre chose - un mythe fondateur - pour justifier le passage à la guerre ouverte.

Les théoriciens tentèrent de changer de registre, pour souder ces innombrables Noirs, Maghrébins et Proche-Orientaux que l’État français, par bêtise, veulerie ou corruption de ses « chefs », accueillait en énorme quantité (idem en Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Grande-Bretagne etc.). Depuis les années 2010, grâce en partie aux stupidités made in USA et à la rouerie du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama, c’est désormais pour le triomphe de l’islam que s’agitent les immigrés.

C’est une motivation parfaitement adaptée au fanatisme de sujets primaires. Elle peut, en outre, être présentée comme un noble objectif aux sujets moralement exigeants. Elle sert surtout de reconversion aux voyous de banlieue sans perspective d’avenir et d’agent fédérateur de communautés qui, jusqu’alors, se haïssaient autant que les peuples européens se sont haïs jusqu’au début des années 1950.

Il serait stupide de ne pas comprendre le jeu de nos ennemis, qui sont des roublards d’exception, et de les suivre dans leur apparent délire religieux. La guerre déclenchée en Europe occidentale et scandinave est une guerre de races, une guerre traditionnelle pour la domination de terres d’expansion démographique et de conquêtes des richesses d’autrui. Les peuples danubiens, longtemps soumis à l’immonde tyrannie turque, l’ont parfaitement compris, contrairement aux Occidentaux et aux Scandinaves moralement avachis.

Les Européens doivent défendre leur continent, leur civilisation, leur race face aux envahisseurs. C’est une évidence. Mais la notion de foi ne doit intervenir que de façon individuelle ; non comme motivation, mais comme aide spirituelle pour celles et ceux qui ne peuvent se passer de téléfinalité et d’assurance-vie éternelle.

Il ne doit en aucun cas s’agir d’une croisade des chrétiens contre les mahométans… pour un athée, il n’existe pas plus d’allah que toute autre essence supérieure : appelons les fous furieux d’entre nos ennemis de façon juste, soit des fanatiques, intoxiqués par les textes du sieur Mahomet.

Il ne peut s’agir d’un retour à une religiosité de type médiéval, où tous les États d’Europe étaient officiellement « chrétiens », ce qui permettait aux souverains de se réclamer d’un droit divin. L’histoire réelle de cet « Âge des Ténèbres » (l’expression « Dark ages » est classique dans la littérature britannique) prouve que les maîtres des sociétés utilisaient la religion pour asservir ou justifier des mesures fort peu « chrétiennes ». Seuls des saints se mettaient au service de la foi – et de façon rarement raisonnable. Or, le saint, à toute époque et en tout continent, a toujours été l’exception.

Combattons pour notre civilisation européenne et notre race. C’est un assez bel objectif en soi.

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AUX OLYMPIADES DE LA FISCALITE, LA FRANCE EST MEDAILLE D’OR !

10 JNI P Kerstens.jpgPieter Kerstens

Tous les ans, les contribuables français et belges doivent travailler plus de 7 mois pour payer l’Etat. Est-ce normal ?

Selon le dernier rapport de la société PWC de 2016 (Total Tax Rate) la pression fiscale sur les entreprises est de 62,7% en France, 58,4% en Belgique, 50% en Espagne, 48,8% en Allemagne et 32% au Royaume-Uni.

Malgré ces taux prohibitifs, les déficits des budgets annuels en France et en Belgique continuent de creuser la dette publique qui, au 30 juin 2016 s’élevait à 2.130 milliards d’euros en France (32.750 € par habitant) et à 449 milliards d’euros en Belgique (soit 35.900 € par habitant).

Que ce soit dans l’Hexagone et Outre Quiévrain, aucune mesure structurelle sérieuse n’a été mise en application afin de diminuer les dépenses de l’Etat et revenir à l’équilibre financier.

La classe politique française et belge semble ignorer certains principes élémentaires, tels ceux énoncés déjà par le président américain Abraham Lincoln devant le Congrès en 1860 :

« Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur.

Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche.

Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez.

Vous ne pouvez pas forcer le caractère en décourageant l’initiative et l’indépendance. » Entre’autres.

Le poids des maux, le choc des impôts.

Est-il normal, qu’en Belgique, pour une population de 11,25 millions d’habitants, moins de 5 millions soient actifs et que sur ces 5 millions, presque 40% sont des travailleurs payés par l’argent public ?

Pourquoi seulement 65% des Belges, âgés de 15 à 64 ans sont–ils au travail ?

Est-il acceptable que l’économie souterraine belge concerne 16,5% du PIB, soit 72 milliards d’euros, qui échappent aux taxes, aux impôts et à la TVA ?

Est-il logique que les grandes sociétés du CAC 40 et du BEL 20 éludent les impôts nationaux en délocalisant leur siège social à l’étranger ?

Et que penser des ces cohortes de ministres et de ces bataillons d’élus dans les différentes assemblées où, très souvent, ils brillent par leur absence ?

Dans le plat pays ce sont 67 excellences (sans compter les secrétaires d’Etat) qui ont reçu un maroquin. Si l’Inde devait nommer proportionnellement autant de ministres, elle en compterait alors 7.716, c’est grotesque !

Au lieu de nous distraire avec la polémique autour du « Burkini », les princes qui nous gouvernent seraient mieux inspirés de s’atteler au redressement des finances publiques, à l’amélioration de la balance commerciale et à la relance de l’économie, sans tabous idéologiques, sans utopies multiculturelles et loin des chimères « politiquement correctes ».

Car sinon, les sanctions électorales s’annoncent sévères.

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Pinatel fera son spectacle et dédicacera ses caricatures lors de la Xe Journée de Synthèse nationale à Rungis le dimanche 2 octobre prochain

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07:11 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 28 août 2016

Douarnenez : capitale française de la collaboration

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A Douarnenez, des Bretons s'avilissent en solidarité avec les porteuses du "burkini" symbole de l'Islam conquérant.

Cette fin de semaine, c'est la commune de Douarnenez dans le Finistère qui remporte la palme d'or de la soumission à l'invasion. Quelques habitants se sont en effet baignés tout habillés en solidarité avec les porteuses de "burkini". Honte à cette bande de crétins qui souille l'honneur de la Bretagne et souhaitons que ces privilégiers du bout du monde ne soient jamais confrontés à la réalité de l'islamisation...

Appelons les Finistériens lucides à dénoncer sans relâche ces ridicules collabos d'opérette qui, ne l'oublions pas, étaient les premiers, en janvier 2015, à brailler que "Douarnenez était Charlie"...

Source Ouest France cliquez ici

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Où chercher les racines de notre civilisation ?

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Bernard Plouvier

À l’occasion des curiosités islamiques qui ont, depuis l’année 2014, souillé notre pays, ensanglanté notre Nation et déshonoré l’État, la fraction la moins sotte des Français de souche européenne (estimons-la aux alentours de 25 – 30%) a débuté une réflexion sur la guerre des races et des religions qui empuantit notre vie publique.

On comprend qu’un lecteur du Monde ou de Libération, un spectateur assidu des actualités télévisées des chaînes publiques ou mondialistes - il n’existe nulle différence entre elles -, soient décérébrés, admirablement formatés au point de nier la réalité du fait : la guérilla civile qui est en train de basculer vers la guerre ouverte. Nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire et celui-ci est organisé par les vrais maîtres : les patrons de la production des biens de consommation et de leur distribution.

Comme ce fut toujours le cas de l’histoire humaine, seule compte l’élite de la pensée et surtout de l’action. Toutefois, il ne faut pas se tromper dans sa réflexion de fond et confondre civilisation et choix individuel qui, pour être authentique, doit être librement adopté (et sûrement pas « consenti »).

L’adhésion à une religion, ou son refus, est affaire purement personnelle et ne devrait jamais être imposée à autrui. Même le port ostentatoire de symboles religieux – et beaucoup de fidèles se croient investis de la mission divine de propager leur croyance – est une atteinte à la liberté des autres, une nuisance identique à celle des vêtures bizarres, du rap ou des musiques gitanes que les immigrés imposent aux Français de souche européenne.

En aucun cas, une religion ne peut être considérée comme la ou l’une des « racine(s) » d’un peuple. Si elle est considérée comme telle, de fait ou de droit, c’est qu’elle a été imposée comme mythe fondateur. C’est le cas pour la religion juive, particulariste à l’extrême, pratiquant l’exclusion des autres.

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11:02 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 27 août 2016

Emmanuel Albach, auteur du "Grand rembarquement", dédicacera ses livres dimanche 2 octobre à la Xe Journée de Synthèse nationale à Rungis (94)

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et sur les livres d'Emmanuel Albach :

Le Grand rembarquement cliquez là

Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes cliquez ici

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Des lois et de leur plasticité en Hollando-Vallserie

SN Burkini.jpgBernard Plouvier

Il y a cinq semaines, une pourriture de l’islam barbare saluait à sa façon la Fête nationale d’une France à laquelle lui et ses semblables ne songent que pour la dominer : il tuait 84 personnes et en blessait plus de cent autres.

En, cet été de l’An 2016, sous le règne lamentable de gras Président, de son très excitable Premier ministre et d’un ministre de l’Intérieur et des Cultes au bilan impressionnant (titulaire de la médaille d’or européenne du nombre des victimes d’attentat, cela force le « respect »), l’islam révèle ses aspects médiévaux et grotesques, en lançant cette merveille dénommée burkini (après tout, si c’est pour cacher les rondeurs très adipeuses de certaines Marocaines, c’est plutôt une bonne chose). Depuis le 26 août 2016, ce machin est considéré, par les « sages du Conseil d’État », comme non-attentatoire à la Loi de 1905.

Cette Loi avait été conçue par la racaille radicale-maçonnique de l’époque comme une arme anticatholique. Il était urgent de sourire aux omnipotents financiers juifs, furieux de la seconde condamnation d’Alfred Dreyfus, et, pour ce faire, on s’en prenait aux catholiques qui composaient alors la majorité de la population (les protestants et les juifs abritaient leur culte dans leurs temples et synagogues).

De nos jours, avant les deux échéances électorales de 2017, il est urgentissime de baisser le pantalon et de baiser les babouches des sponsors islamo-pétroliers. De ce fait, le burkini ne contrevient pas à la Loi de laïcité… et nul doute que le voile islamique ne fasse un retour en force, les jours à venir, en écoles et en universités. Nos « chefs » laisseront faire : leur Parti en déconfiture a besoin d’énormément d’argent.

Pourtant, ils nous bassinent, à longueur de discours démagogiques, avec Dame Égalité. Or, c’est devenu une évidence pour tous ceux qui ont des yeux et des oreilles : les fous furieux de l’islam conquérant sont passés à l’attaque depuis environ un lustre… comme c’est curieux : ça correspond à peu près au règne de gras Président ! Les musulmans ne conçoivent qu’une seule Égalité, une Liberté, une Fraternité : celles de la oumma (pour les non-initiés à la langue arabe – après tout, un Européen n’a pas obligatoirement envie de parler comme s’il vomissait - : la oumma est la communauté des fidèles de l’islam… où il y a quantité de schismes, comme chez les chrétiens).

Pour les musulmans qui suivent très strictement leur coran – réputé avoir été dicté à l’illettré Mahomet par l’archange Gabriel -, les Français ne sont dignes de continuer à vivre en France que s’ils se convertissent à l’unique « vraie foi ». C’était bien la peine de s’être débarrassés du fanatisme chrétien pour en arriver à une telle déchéance intellectuelle et spirituelle.

Ces individus, demeurés à la belle époque du Haut-Moyen Âge, n’ont toujours pas compris que la vie spirituelle était affaire de choix individuel. On aurait pu penser que les francs-maçons du parti qui détient les apparences du Pouvoir, si nombreux dans nos palais ministériels, dans la préfectorale et la haute magistrature, protègeraient les Français d’une résurgence de fanatisme religieux.

C’est oublier un peu vite que la magistrature « assise » est, en fait, couchée – voire vautrée – devant la politicaille qui distribue places et décorations, que les préfets aboient comme leur maître l’ordonne et que le (très) petit monde des palais gouvernementaux – on ferait mieux de parler de « demi-monde » - vit dans la terreur de perdre les prochaines élections, faute d’argent pour financer la propagande.      

Que pèsent, en regard de cette haute conception de l’État, les Lois de la République et la protection de la Nation ? RIEN !

Français, si vous ne voulez pas de l’islam, il va falloir que vous le montriez clairement et fermement. Esclaves ou victorieux, c’est le choix des années à venir. Pour l’heure, les Français ne sont que le très pâle reflet de ce qu’étaient leurs ancêtres.

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Les gastronomes de TV Libertés en action...

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Alain Escada invité par Radio Courtoisie

Alain Escada participera à la Xe Journée de Synthèse nationale le dimanche 2 octobre à Rungis :

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vendredi, 26 août 2016

ASSEZ DE CAUTERES SUR LES JAMBES DE BOIS

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Italie : Gabriele Adinolfi présente son projet politique

Il sera à Rungis le dimanche 2 octobre :

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Arnaud Raffard de Brienne participera à la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis

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jeudi, 25 août 2016

Brice Couturier et ses propos inattendus

10 JNI Ph Randa.jpgLa chronique

de Philippe Randa

publiée dans le

quotidien Présent

« Le Parti des médias et l’intelligentsia méprisent la réalité » : un titre d’article alléchant dans les colonnes du Figaro du 19 août dernier ; on pouvait craindre, méfiance de l’habitude oblige, que le contenu de l’article ne tienne pas les promesses de cette accroche inattendue, mais si ! cet entretien avec Brice Couturier, journaliste et producteur de radio, est des plus étonnantes…

Jugez-en : « Le Parti des médias préfère nous abreuver de petites nouvelles insignifiantes, d’une part, de ses grandes indignations, de l’autre »… « Le pire, c’était de supporter ces idéologues de petit calibre, cooptés par leurs camarades de l’Université, qui tiennent lieu d’intelligentsia aux yeux des journalistes bien-pensants. Quel dialogue peut-on avoir avec ces personnages, arrogants quoiqu’incultes, et d’autant plus pérorant qu’ils méprisent les faits, les chiffres, la réalité ? Ils prétendent déconstruire ce qu’ils n’ont jamais cessé d’ignorer. »

Et, cerise sur le gâteau, à cette question formulée pour en contenir la réponse : « La montée des “populismes” vous inquiète-t-elle ? », il remarque qu’« il y a aussi quelque chose de positif dans ce que les élites baptisent “populisme” : les simples gens ont parfois une vision plus juste que des dirigeants vivant hors-sol, dans l’ignorance des vrais problèmes de la population. »

Point trop n’en faut néanmoins, il s’empresse bien entendu d’ajouter qu’il « souffle indéniablement sur la planète un vent mauvais » en confirmant qu’il avait soutenu les interventions militaires en Irak et qu’il ne faut pas venir lui dire « qu’avec les despotes Saddam Hussein, Kadhafi et Bachar el-Assad, Moubarak, nous vivions dans un monde “plus sûr”. »

Les populations respectives des pays concernés n’ont peut-être pas la même opinion, mais bon ! comme il le dit lui-même : « sur tous les plans, on se rapproche de la vérité en marchant en crabe… »

23:17 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Casapound Rome : la solidarité s'organise

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Jean-Marie Le Pen sur LCI ce matin

11:57 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEAN-MARIE LE PEN PRENDRA LA PAROLE DIMANCHE 2 OCTOBRE A LA Xe JOURNEE DE SYNTHESE NATIONALE

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Les œufs du dragon

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Bernard Plouvier

On la savait depuis quelques années, mais on en a une confirmation actuelle : l’invasion de la France par les immigrés africains, noirs et maghrébins, – une invasion à forts relents islamiques –, passe à la vitesse supérieure.

On savait déjà que, par le jeu des différences de fécondité entre Blanches, autochtones européennes de France, Noires et Maghrébines, notre pays deviendrait un État islamo-africain dans un délai de deux générations – grossièrement : dans un demi-siècle. Nos honorables envahisseurs ne veulent plus attendre le phénomène, somme toute démocratique, de la puissance du nombre pour dominer les très mols autochtones, effectivement indignes de leurs ancêtres.

Grâce à une multitude de collaborateurs, qui trahissent leur race par amour de l’islamo-pétrodollar, par pure démagogie électoraliste ou par crétinisme, issu de réflexes marxistes ou d’une repentance historiquement absurde, les agités et agitées du bocal, issus de l’immigration-invasion, s’en donnent à cœur joie depuis l’An 2014, où les premiers attentats perpétrés au nom d’un certain allah ont débuté en France.

Il n’est pas de semaine où, quelque part en Europe de l’Ouest – car le cas français n’est pas isolé -, un ou des Blancs sont poignardés par des meurtriers immigrés. Mais en août 2016, c’est pour un Noir, porteur d’une cardiopathie congénitale et dopé au haschich, mort lors d’une course-poursuite entreprise par les forces de l’ordre, que les media collaborateurs versent des torrents de larmes et d’imprécations (alors même que deux autopsies ont donné tous les renseignements utiles sur cette affaire).

Qui s’intéresse aux malheurs des Blancs attaqués chez eux, dans le pays de leurs pères, dans le continent européen, qui fut source de la civilisation moderne ? Personne… et pas vraiment les génies du Front ex-National qui sont curieusement devenus très « libéraux ». En d’autres temps, l’on eût entendu les protestations rudes et justes d’un certain Jean-Marie… mais c’était autrefois.

De nos jours, les Français de souche européenne, davantage gras de la cervelle que du bide – ce qui n’est pas peu dire -, obsédés de cette respectabilité démocratique, qui a remplacé la variété bourgeoise, laissent faire, pratiquant la politique du chien crevé au fil de l’eau.

On le voit ce 25 août 2016 où, à Reims dans un Centre international de séjour, deux immigrées féministes, spécialisées dans la rage haineuse anti-Blancs – si juteuse en retombées médiatico-politiques, en dollars issus des fondations US ou judéo-US, et bien sûr en islamo-pétrodollars -, ouvrent leur colloque de trois jours consacré aux « victimes du racisme d’État ».

On imagine aussitôt que l’on va y traiter de la ségrégation raciale intitulée « discrimination positive », qui permet à des extra-Européens de jouir de postes réservés, ou de l’effarant laxisme judiciaire – héritage de l’illustre Taubira – qui permet aux fruits pourris de l’invasion africaine et proche-orientale de jouer en toute impunité aux délinquants multirécidivistes : soit les expressions les plus achevées d’un racisme d’État.

Non, pas vraiment ! Il s’agit de geindre une millionième fois sur les « violences policières » et sur les misères de l’époque coloniale, de pleurer sur une institution organisée par des Noirs et des marchands musulmans : l’esclavage aboli en 1848, sauf en terres d’islam où il fait toujours florès, en dépit d’hypocrites dénégations officielles.

Il s’agit aussi (voire surtout) de pousser les imams de banlieues et les féministes les plus fortes en gueule à se lancer dans la politique… et l’on imagine que le Parti socialiste à la dérive et les millionnaires en euros du Parti de gauche espèrent un regain de participations immigrées aux prochains scrutins. Les votes, c’est comme l’argent du regretté Vespasien : ça n’a pas d’odeur.

Dans toutes les histoires de dragon, la mise à mort de celui-ci ne sert à rien si l’on n’a pas détruit ses œufs… c’est ce qui permet de sortir une ou des suites. Il est indispensable de bien cibler notre dragon, destructeur d’êtres et de biens, puis de tirer toutes les conséquences de cette identification.  

L’An 2015 fut pourri, sanglant, ignoble. L’An 2016 est purement et simplement immonde. Qu’en dépit de toutes les saloperies perpétrées contre des autochtones depuis trois années par les envahisseurs, des rejetons de l’immigration continuent de s’agiter de façon aussi contraire au bon sens et à la réalité des faits, prouve notre degré d’aveulissement.

Si nous laissons délirer les agitées du bocal, tandis que leurs mâles pillent, incendient, violent, tuent, nous ne sommes bons que pour l’esclavage, car nous sommes devenus indignes de nos pères.

On réagit ou l’on meurt. C’est vrai pour un homme, comme ce l’est pour une civilisation.

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Pieter Kerstens, notre correspondant à Bruxelles, sera présent le dimanche 2 octobre à Rungis pour la Xe Journée de Synthèse nationale

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ITALIE : Casapound envoie des équipes de secouristes dans la zone touchée par le tremblement de terre

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La Salamandre est le groupe de protection civile lié à Casapound.

Vous pouvez les aider : lasalamandra@me.com 

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La rentrée sous "haute sécurité"

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mercredi, 24 août 2016

Samedi 24 septembre à Annecy : conférence sur la réinformation

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Luc Pécharman prendra la parole à la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis

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Tribune libre : Islam, terrorisme, complot ? Que d’erreurs d’analyse

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Franck Abed son blog cliquez ici

Je tiens avant toute chose à poser le préalable suivant : le présent article ne vise pas à alimenter le choc des civilisations (1) vu qu’il est déjà bien présent (2), ni à se cacher derrière son petit doigt en ne présentant pas les choses sous l’angle de l’objectivité et de la vérité qui en découle logiquement. Suite à la vague terroriste islamique qui a touché l’Europe, il est malheureusement fréquent de constater que de grossières erreurs d’analyses sont produites et qu’elles empêchent réellement de comprendre les phénomènes auxquels nous sommes confrontés. Cet article a pour but de dénoncer ces fourvoiements et d’apporter de la clarté, là où règne actuellement la confusion.

Je commencerai par établir un parallèle entre l’idéologie nazie et la religion islamique, non pas tant pour les comparer d’un point de vue intellectuel – ce qui n’aurait aucun sens – que pour aborder le traitement médiatique auquel elles sont confrontées. Imaginons quelques instants qu’un individu se réclamant d’Hitler commette des attentats atroces en France. Est-ce que les prétendus experts en terrorisme avanceraient, non sans rire, qu’il convient de ne pas comparer voire de mélanger nazi et nazisme ? Je prends volontairement le nazisme comme outil de comparaison parce que, dans nos sociétés, il représente – à tort – le mal absolu. En effet, dans un débat, il est fréquent que le point Godwin (3) soit atteint par l’un des protagonistes en accusant l’adversaire d’être nazi. Ceci étant dit, remarquons qu’à l’époque où le nazisme existait (1920 à 1945), personne, à ma connaissance, en Allemagne ou ailleurs, ne proclamait à longueur de journée dans les journaux ou à la radio que les premières victimes du nazisme étaient les nazis eux-mêmes… Produire et soutenir ce genre de discours revient à déresponsabiliser l’ensemble des musulmans et à faire d’eux des êtres dénués de bons sens, d’intelligence et de responsabilité. Chacun à le devoir de se former. Grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, aujourd’hui, nul ne peut rester dans l’ignorance, si ce n’est par sa propre volonté ou fainéantise. Ainsi, si un musulman reste musulman, il agit selon ses désirs, et il me semble dangereux de vouloir lui dénier cette action propre. Assurément, les musulmans ne sont ni des robots ni des pantins. Certaines bonnes âmes objecteront qu’il est difficile de quitter l’islam à cause de la coercition sociale très forte, ou peut-être, plus exactement négative, qui existe dans cette grande communauté. Quand naît une volonté, un chemin se dessine. Il ne manque pas d’exemples de musulmans qui quittent l’islam, nonobstant quelques graves difficultés (4).

Après ce rappel salutaire de la responsabilisation des individus quant à leurs choix religieux, il est à mon sens important de rappeler que la vague terroriste qui touche l’Europe depuis les deux dernières décennies ne peut être comparée aux précédentes. Les auteurs des attentats du siècle dernier – de l’extrême gauche à l’extrême droite – contre des personnalités de premier plan (5) ne revendiquaient jamais une religion, mais une idéologie politique. Le terrorisme « italien » des années de plomb, ou « basque » et « irlandais » étaient animés par une cause territoriale, ethnique, politique, mais jamais la religion ne servait de cause première. Le terrorisme islamique n’est pas européen. Qu’on se le dise tout de suite, le terrorisme reste quelque chose d’inhumain et d’atroce d’où qu’il vienne. Cependant, vouloir l’étudier et le comprendre en le prenant pour un terrorisme de souche européenne est une erreur cruciale. L’islam est né en Arabie, largement hors de portée de la civilisation et de la culture européennes. De même, si les initiateurs des attentats sont pour l’écrasante majorité nés en Europe, ils ne sont pas européens au sens strict du terme, ni par la culture, ni par leurs références philosophiques, ni par leurs lectures, leurs musiques et encore moins par leur religion. De fait, c’est une méprise de vouloir appliquer à l’islam une grille de lecture anthropologique mêlant philosophie gréco-romaine et religion catholique, même si, contrairement à ce qu’en disent ses séides et les commentateurs officiels, l’islam est né d’une hérésie chrétienne en opposition avec l’orthodoxie catholique (6).

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Jeudi, Jean-Marie Le Pen sur LCI

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mardi, 23 août 2016

Pour en finir avec les vieilles lunes

3225138047.jpgGuillaume Le Carbonel

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Alors que la France est traversée par une vague d'attentats sans précédent depuis 1995 - série inaugurée par le Groupe Islamique Armée Algérien le 25 juillet 1995 à la gare Saint-Michel par la pose d'une bombe artisanale dans le RER B entraînant la mort de 8 personnes et faisant plus de 117 blessés – il est peut être temps de revoir nos orientations et prises de positions face au réel qui nous domine aujourd'hui.

Il est bien évident que rien ne va s'arrêter. Bien au contraire, il est à prévoir que les attentats vont désormais s'enchaîner avec une intensité décuplée. Certes, nous ne sommes pas dupes. Comme le rappelle Francis Cousin, il y a l'histoire des apparences, à la surface des choses, et l'histoire radicale dialectique des grandes profondeurs. Mais que ces attentats soient organisés, téléguidés de l'extérieur ou qu'il s'agisse d'un terrorisme étatique importe finalement peu. Ils existent et frappent.

1- Nous sommes bel et bien au cœur d'un choc de civilisation.

L'analyse de la situation en France (ce qui Lénine appelle « le moment actuel ») est sans ambiguïté. Nous pouvons retourner le problème dans tous les sens, trouver ici ou là des dérivés, il n'empêche !

Nous sommes en guerre. Mais contrairement à ce que pensent certains, cette guerre n'est pas neuve et ne date pas des récents attentats commis en France et en Allemagne.

Nous sommes en guerre depuis la fin des trente glorieuses, depuis le regroupement familial, depuis l'acceptation d'une immigration massive extra-européenne sur notre territoire.

Nous vivons en état d'urgence permanent depuis au minimum une trentaine d'années. D'impolitesses en incivilités, d'indifférences en racisme ordinaire, le « vivre ensemble » imposé à nos concitoyens n'est plus qu'un immense champs de ruine dont les prémices nous apparaissent désormais lointains.

Le choc migratoire intense qui déferle sur l'Europe depuis quelques mois n'est que l'aboutissement logique de dizaines d'années de saupoudrage constant.

Nous savons que le mouvement des « réfugiés » est un mouvement organisé par le capital qui a besoin de main d’œuvre nouvelle pour casser le coût du travail. Nous savons qu'il existe des filières immigrationnistes. Nous savons qu'au travers du « grand remplacement » c'est à une substitution de main d’œuvre que nous assistons. Nous savons, comme le dit encore Francis Cousin, que « les hommes ne sont pas des oies sauvages et qu'il n'existe pas de cycles de migration naturelles ».

Nous savons que l'ennemi mortel qui se cache derrière le paravent de l'immigration se nomme Grand Capital et sa cohorte d'idiots utiles.

Qu'importe ! Le réel s'impose à nous. On peut l'appeler comme on veux : choc du futur, comme Alvin Toffler, choc des religions, comme l'abbé Guillaume de Tanouarn ou encore choc des civilisations, comme Samuel Huntington, la réalité c'est que l'Europe doit aujourd'hui faire face à une tentative de balkanisation et d'hétérogénéisation sans précédent.

Cependant, tout n'est pas aussi simple. N'en déplaise aux complotistes de tout poil et aux géopoliticiens de salon, les vagues migratoires qui se déversent à nos frontières se moquent bien de ces concepts d'occidentaux repus, elles n'en ont même sans doute jamais entendu parler. Elles se meuvent avec « leurs tripes », avec leur inconscient de peuples en mouvement. Loin d'intellectualiser leur action, c'est un instinct primaire de conquête de territoire qui les anime. Instinct animal décuplé par la masse.

Attentats et vagues migratoires sont constitutifs d'un même appel : celui d'une haine de l'Occident, d'un passé fantasmé d'une colonisation douloureuse, des mouvements de peuple sur la longue Histoire. C'est la continuation de l'expansion des Omeyyades (661-750) et celle de l'Empire Ottoman (1389 prise de Kosovo) mais par d'autres moyens. Éternel balancier. Que le spectacle de la marchandise l'ait mis en branle n' a guère d'importance. Il arrive que les monstres échappent à leur créateur.

Une chose est sure : nous n'assistons pas à la fin de l'Histoire, comme le crient certains bien-pensants, mais à son retour effectif après des décennies de consensus mou et d'opulence capitaliste. « Sous le choc de la vague migratoire, l’Europe se disloque, se désintègre, se déconstruit. (…) les historiens dateront certainement de cette affaire, de ces années 2015-2016, le début de la décomposition de l'Europe » pouvait-on lire dans Le Monde dans son numéro du 26 février dernier.

« Prétendre qu’il n’y a pas un choc des civilisations entre l’occident localisé et moribond et l’Islam déterritorialisé en pleine santé est une sottise qui empêche de penser ce qui est advenu, ce qui est, et ce qui va advenir », écrit pour sa part Michel Onfray, avant de poursuivre : « Refuser la réalité du choc des civilisations ne peut se faire que si l’on ignore ce qu’est une civilisation, si l’on méprise l’Islam en lui refusant d’en être une, si l’on déteste la nôtre par haine de soi »1.
L'Histoire est faite de mouvements de peuples et de conquêtes territoriales. L'Europe l'a un peu oublié depuis qu'elle est entrée dans la domination absolue de la marchandise et a quitté ce que Dominique Venner nommait l'horizon de la guerre. Celui-ci se rappelle aujourd'hui à notre bon souvenir et frappe de nouveau à notre porte.

Nul besoin de tomber dans les délires psychotiques de groupuscules appelant à la croisade. Seul l'impératif de faire face au réel nous conduit à penser que nous entrons dans une phase de confrontation ethno-culturelle de grande intensité.

2 – Y-a-t-il une solution politique et non violente au choc de civilisation ?

Pour les plus vieux d'entre nous qui avons résisté aux molles années 90, rien ne laissait présager une accélération aussi brutale de l'Histoire. Ces vagues migratoires d'intensité inégalée constituent en l'espèce une « divine surprise » propre à forcer la décision. Les attentats récents s'y agglomèrent comme autant de parasites sur un corps malade, tout à la fois charges émotionnelles et électrochoc psychologique. Le chaos semble proche et l'heure des choix se profile.

Un parallèle saisissant pourrait être fait avec la situation de l'Algérie Française en 1961 et la création de l'OAS. Mais comparaison n'est pas raison, dit-on.

Pourtant, qui pourrait encore croire à une issue non-violente ? La situation semble inextricable.

Boris Le Lay a récemment évoqué l'existence possible de « maquis mobiles musulmans » actifs sur le territoire national.

Même s'il convient d'être prudent sur le caractère réel de telles informations, la chose paraît suffisamment sérieuse pour être suivie de près.

Depuis Saint-Etienne-du-Rouvray chacun sait aujourd'hui que des attentats peuvent surgir sur n'importe quelle partie du territoire. Chacun sait également que des années de saupoudrage migratoire ont propulsé des communautés allogènes même dans les coins les plus reculés de France.

La remigration ? Beau concept en vérité, techniquement réalisable. Mais qui peut raisonnablement penser que la chose se fera sans tensions et sans heurts ?

Un retour du sentiment patriotique arasant les sentiments communautaires ? Ce serait se résigner à une lecture instantanée de l'actualité et d'une d'absence totale de recul sur les faits. N'en déplaise à certains, le véritable « vivre ensemble » n'est pas le patriotisme. Ce dernier est désormais un fourre-tout bien commode qui cache en réalité la fracture ethnique et justifie l'assimilation.

Le patriotisme d'avant 1945 avait encore du sens : celui d'une vision autour d'un drapeau et d'une Nation par un peuple sans changement ethno-culturels profonds, communiant dans d'identiques modèles de comportements, de pensées et de sensibilités. De nos jours tout est différent. Nous sommes désormais placés au cœur d'une opposition tendue entre deux mondes et deux civilisations.

L'unité nationale que certains veulent nous vendre est un leurre. Qui est aux commandes de cet enfumage ? L'oligarchie et le gouvernement qui ont tout intérêt à ce que les fractures ne s'élargissent pas pour maintenir, un tant soit peu, leur monde vivant.

« C'est pourquoi, il ne faut plus jamais parler des «populations musulmanes» pour désigner nos compatriotes de confession musulmane mais d'un peuple, le nôtre dont ils doivent désormais faire partie intégrante » écrit Guillaume Bigot, essayiste et membre fondateur du Comité Orwell (sic!)2.
En vérité, le clivage à venir ne se fera pas sur la base des patriotes contre l'anti-France, pour reprendre le fantasme récurent des vieilles barbes de l'extrême-droite française, mais entre la tribu et la mixité, le clan et l'indifférencié, le socialiste et le libéral, l'enraciné et le mondialiste, l'humain et l'homo œconomicus, le défenseur de la nature et le prédateur productiviste, la communauté et la société.

Devant cet horizon de la guerre qui refait surface, il est donc à craindre un affrontement sans égal entre communautés autochtones et allogènes. Nous allons connaître ce retour de la barbarie, du clan et de la tribu. Nos banlieues sont des poudrières, nos métropoles des coupes-gorges et des territoires entiers sont en voie de « dhimmisation ». Parallèlement, les années qui viennent seront des années d'intenses radicalités explosives (Francis Cousin). Les luttes de classes vont se réveiller.

Nous vivons des temps incertains mais riches de sens à venir. A l'instar de Régis Debray, ne nous condamnons pas à un « pastiche des destins hors série qui nous ont précédé, raflant les premiers choix et nous laissant les doublures ».

Le 20 juillet dernier à Saint-Astier, François Hollande a appelé les Français à rejoindre les différentes réserves des forces de sécurité. Chiche !

Intégrons la réserve opérationnelle. Mais intégrons là dans un but bien précis : celui d'apprendre en restant au contact de la réalité du terrain

Il y a un ordre des tâches historiquement fondé. Le travail insurrectionnel est aujourd'hui le travail politique numéro un.

1- Chronique mensuelle de Michel Onfray, Mars 2015 N°118 in mo.michelonfray.fr

2 - In Le Figaro 26/07/2016

19:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Zoom de TV Libertés sur St Malo

13:54 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 16 septembre à Lille : conférence de Charlotte d'Ornellas sur la Syrie

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10:21 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 22 août 2016

Georges Feltin-Tracol participera à la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis (94)

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20:45 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Burkini et autres cahiers scolaires

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Le Billet de Patrick Parment

Qu’il s’agisse du problème du « burkini » ou des cahiers scolaires labellisés en arabe, le syndrome est exactement le même : la soumission de plus en plus grande à l’islam en raison de l’absence de réponse ferme de la classe politique et des élites dégénérées qui les soutiennent. On se demande où sont nos francs-macs si prompt à dégainer contre le Front national et qui tendent le cul face à l’islam sur l’air de Merci patron !

Le problème soulevé par le burkini réside moins dans l’insignifiance de cette tenue que dans la provocation culturelle qu’elle représente. Nous ne sommes pas en terre d’islam, nous sommes dans un pays européen, laïc où la religion n’interfère pas dans la vie publique. Vouloir vivre dans un pays qui respecte les règles de l’islam, c’est partir ailleurs et non vivre ici. Interdire le burkini, ce n’est pas un acte politique mais culturel.

Il serait temps que nos politiques le comprennent et en fassent part au monde économique. Car, ces cahiers avec un label en arabe, outre l’opportunisme de la chose, c’est proprement la marque que l’économie a pris le pas sur le politique (ce n’est pas le seul exemple me direz-vous). Il faut dire qu’avec une marocaine à l’Education nationale, la tentation était trop grande.

Il n’y a qu’une seule langue dans ce pays, et c’est le français. Et, il y a des langues régionales dont l’arabe ne fait pas partie, me semble-t-il.

Ce sont des faits marginaux me direz-vous. Certes. Mais ils sont révélateurs d’un état de soumission que la majorité des Français récusent

10:53 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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10:43 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |