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mercredi, 04 mai 2016

Samedi 7 mai : 3e congrès du Parti de la France à Bagnolet (93)

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Samedi 7 mai, au Novotel de Bagnolet (1, avenue de la République à Bagoolet - 93), se tiendra le 3e Congrès du Parti de la France. Profitez de cet événement pour venir découvrir le Parti de la France et ses cadres. Le matin sera consacré aux élections et aux travaux internes du PdF et à partir de 14h, le Congrès est ouvert à tous.

Afin de faciliter l'organisation, merci d'annoncer votre présence au 06 38 73 25 61

Un stand de la revue Synthèse nationale

sera ouvert sur place.

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L'Aristoloche n°27 est paru

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Le lire cliquez ici

14:33 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Plusieurs rendez-vous dimanche à l'occasion de la Fête nationale de Jeanne d'Arc

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10:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Buzançais (36) les militants du Parti de la France s'opposent à l'arrivée des "clandestins"

Emmenés par Nicolas Goas, nouveau Délégué des étudiants du Parti de la France, militants du PdF et du FdF, ont organisé une action militante surprise à Buzançais (36), paisible cité où le gouvernement socialiste veut implanter un « centre d'accueil pour les demandeurs d'asile » (Cada) dans le but d'accueillir une centaine de clandestins dès l'été prochain.

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Il ne faudrait pas prendre nos maîtres pour des imbéciles

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Dr Bernard Plouvier

Sauf quelques Pygmées et deux ou trois Papous, tout le monde semble avoir compris qu’hormis la Chine, la Russie et leurs rares amis, la planète est dirigée par de richissimes personnages, inconnus pour la plupart, et dont la seule hantise est le réveil des nationalismes.

Lorsqu’on a beaucoup d’argent et que l’on domine l’essentiel des media, il est aisé d’inonder le grand village mondial de sa propagande. Celle-ci est fondée sur une très artificielle joie de vivre, procurée par la consommation - à crédit pour beaucoup -, rehaussée d’un pseudo-humanisme planétaire (autrefois, on eût employé l’adjectif de tiers-mondiste), teinté d’écologisme de pacotille – car sans assise scientifique - et de bons sentiments. En bref, pour singer le monde du Net, où l’on veut faire vite et se débarrasser de toute syntaxe : le bling-bling & le gnangnan.

L’Europe, par l’ancienneté de sa civilisation et le dynamisme de ses Nations, est, pour nos maîtres, un obstacle à la paisible jouissance de leur fortune et de leur toute-puissance. C’est la raison pour laquelle on lui impose une immigration massive d’individus exotiques et l’implantation de l’islam.

Venus de pays où le goût de la palabre et les rythmes de travail sont à l’opposé de nos conceptions, les immigrés (variante politiquement correcte : réfugiés en provenance de pays où nos bons maîtres ont semé haines tribales, chaos économique et guerre civile) ne peuvent qu’être – au moins pour longtemps – un boulet économique en plus d’être une plaie sociale. Quant à l’islam, seuls des sourds, des aveugles et des illettrés peuvent en méconnaître l’extrême dangerosité.

Face à l’éveil (tardif) en Europe occidentale et scandinave, de la fraction la moins abrutie par l’excès de jouissances et par la niaiserie, nos bons maîtres vont jouer la carte maîtresse, dont l’efficacité est connue depuis l’Antiquité, voire peut-être depuis la préhistoire : diviser pour régner.

Grâce à leurs fonds, d’autant plus illimités qu’ils manœuvrent à leur guise la planche à billets verts, et à l’omniprésence de leurs media, les maîtres de la société globalo-mondialiste vont, dans chaque grande élection, susciter une multitude de candidatures pour affaiblir leurs véritables ennemis : les populistes.

Car, de ce côté, il y eût toujours et partout, un excès de Divas et de francs-tireurs… si l’on préfère, un défaut de Chef et d’obéissance. Les sondages d’opinions, outre qu’ils sont souvent biaisés (voire truqués), oublient – volontairement ou non - de prendre en compte l’addition des candidats potentiels du même bord. Or cette addition apparente est une véritable soustraction qui se traduit quasi-automatiquement par l’élimination du scrutin final.

S’il est probable que – pour la présidentielle française de 2017 -, on procède à des primaires à l’américaine dans la droite-centre-marécageux et dans la gauche-bobo-caviar, il est beaucoup moins évident qu’on le fasse chez les populistes (ou nationalistes, comme on voudra)… faute d’unité, il est absolument évident que les patriotes ne seront pas représentés au tour final.

Plutôt que de s’intéresser aux prédictions des uns et des autres, il serait bon de se pencher sur le meilleur chemin d’aller à la défaite… et, par antithèse, sur l’unique condition d’une victoire : l’Unité.

00:23 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 mai 2016

En France, mieux vaut casser du flic que critiquer l'islam

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Pierre Cassen, Président de Riposte laïque

Dans un excellent article paru sur Boulevard Voltaire, Floris de Bonneville imaginait le discours que tiendrait François Hollande s’il se comportait vraiment en président de la République, suite aux agressions graves des forces de l’ordre qui se déroulent en France depuis plusieurs semaines.

Récemment, après la publication d’une affiche anti-flics de la CGT, le ministre de l’Intérieur s’était senti obligé de défendre ses hommes en rappelant qu’en 2015, 18.000 policiers et gendarmes avaient été blessés en service. Cela représente tout de même 50 membres des forces de l’ordre mis hors de combat chaque jour.

Sans doute par pudeur, Cazeneuve n’a pas ajouté que les seules forces organisées qui attaquaient la police étaient les racailles islamisées et les milices gauchistes.

On pourrait attendre, quand 150 des nôtres ont été exécutés par des soldats d’Allah en 2015, que l’appareil d’État, sa police, sa justice, son armée mettent toutes leurs forces pour éradiquer la menace islamiste. Pour cela, le gouvernement devrait permettre aux forces de l’ordre de protéger efficacement les Français, en arrêtant d’avoir 50 blessés tous les jours. Il devrait, d’autre part, donner des consignes à la justice pour qu’elle cesse de persécuter ceux qui, en expliquant ce qu’est réellement l’islam, permettent aux Français de comprendre pourquoi, depuis le 11 septembre 2001, 29.000 attentats mortels ont été commis au nom de ce dogme.

Mon expérience m’amène à constater qu’on est loin de ces priorités, dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve. Depuis deux mois, qu’ai-je vu, dans la mouvance du combat contre l’islamisation de la France à laquelle j’appartiens ?

Caroline Alamachère, rédactrice d’un site de réinformation, a été condamnée, le 10 mars dernier, par la 17e chambre, à 8.000 euros de dommages et intérêts à verser à une directrice d’école catholique, et à une amende de 1.500 euros. Son crime : avoir protesté contre le fait que, dans cette école, les élèves avaient dû apprendre par cœur une sourate du Coran.

Alain Jean-Mairet, président (suisse) d’un site répondant du droit helvétique, a été condamné par la même instance à 5.000 euros d’amende et à payer 3.000 euros à la LICRA. Son crime : avoir, sur ce site, autorisé un apostat de l’islam, tunisien, à publier un texte très critique sur les dérives sexuelles qu’autorisent les textes sacrés de l’islam. L’argument avancé : à cause d’Internet, l’article était disponible en France ! Notre pays s’est donc autoproclamé police mondiale contre l’islamophobie.

Le 14 avril dernier, j’ai été victime d’une perquisition en mon domicile. Sur commission rogatoire d’un juge parisien, les policiers m’ont « confisqué » mon téléphone portable et mon ordinateur. Mon crime ? Je suis suspecté (sans le début de la moindre preuve) d’être le misérable qui aurait envoyé un tweet représentant Anne Hidalgo, à genoux, en train de lécher une babouche musulmane, le jour où elle commémorait le ramadan, dans sa mairie. J’ai donc dû puiser dans mes économies pour me rééquiper au plus vite.

Quelques jours après, la dessinatrice Ri7 était convoquée par la même juge, et se voyait mise trois fois en examen ! Son crime : avoir été l’auteur du dessin incriminé, et qu’il ait été repris dans trois articles sur Riposte laïque !

Je conclus donc de tout cela que, dans la France socialiste, c’est bien d’être Nuit debout ou antifa. On peut casser du flic, on peut manifester, même pendant l’état d’urgence, on peut occuper la place de la République trois semaines durant en toute impunité, la transformer en dépotoir et en urinoir géant, vandaliser les boutiques, symboles du capitalisme et de l’exploitation, et aller se coucher tranquillement, à l’aube, sans être inquiété, en retrouvant son ordinateur à la maison.

Et en plus on est bichonné par les médias et invité sur les plateaux de télévision.

Je crois bien que je vais redevenir gauchiste : c’est nettement moins dangereux que de lutter contre l’islam !

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

09:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Á son tour, Valls en colliers de fleurs en Nouvelle-Calédonie

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Michel Lhomme

Manuel Valls est venu ce jeudi à Nouméa, où il a annoncé des mesures conséquentes pour venir en aide au secteur du nickel en plein marasme, et évoquer l’avenir institutionnel de l’archipel, qui doit se prononcer par référendum en 2018 sur son indépendance.

Á Matignon, on est resté cependant des plus discrets sur les mesures décidées pour soutenir la principale activité minière calédonienne, le nickel étant victime d’une forte chute des cours, consécutive notamment au ralentissement de l’économie chinoise. La situation est grave et il s’agit même maintenant de sauver à la fois l’infrastructure économique, c’est-à-dire les investissements, et les emplois. L’État veut éviter toutes tensions sociales sur le territoire, tensions qui auraient finalement aussi un effet boule de neige sur la Polynésie française encore plus fragilisée et endettée vue l’importance de la main d’œuvre tahitienne présente en Nouvelle Calédonie. Le nickel, c’est 20 à 25% des emplois de l’archipel.

L’État est donc venu prêté main forte à la famille Duval, le deuxième actionnaire de la société minière Eramet, dont la filiale SLN, Société le nickel, opérateur historique du nickel calédonien, bat fortement de l’aile. Premier employeur privé en Nouvelle-Calédonie, la SLN est dans une situation financière catastrophique, accusant une perte opérationnelle courante de 261 millions d’euros en 2015. On parle pour sauver Eramet d’un prêt de 300 millions d’euros répartis entre l’État et la maison-mère.

Concernant l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, avec le référendum prévu par les accords de Matignon (1988) et de Nouméa (1998), au plus tard en novembre 2018, on est aussi un peu dans le brouillard. L’indépendance sans argent c’est moins tendance et comble, on ne la souhaite carrément plus chez les Kanaks ! Qu’on soit indépendantiste ou non-indépendantiste, on se retrouve toujours sur la question de la monnaie.

Dans ce voyage, le Premier ministre était accompagné comme il se doit de la ministre des Outre-mer, George Pau-Langevin, de trois parlementaires et du footballeur Christian Karembeu, originaire de Nouvelle-Calédonie. Pour illustrer le nécessaire « rééquilibrage territorial » entre Nouméa et le reste de l’archipel, le Premier ministre s’est rendu samedi à Koné, dans la province nord, pour y visiter le chantier de construction d’un hôpital, puis à Hienghène, où il s’est recueilli devant la tombe de Jean-Marie Tjibaou, le père du nationalisme kanak. Il prendra la parole, dimanche, devant l’assemblée de la province des Iles Loyauté, avant de commencer, quelques heures plus tard une visite officielle à Auckland (Nouvelle-Zélande) qui, relève-t-on à Matignon, s’intéresse de très près à l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie.

A la fin, on peut vraiment s’interroger et se demander si toutes ses visites outre-mer du gouvernement seront payantes dans les urnes ? En fait, on n’y croit pas trop.

09:29 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Deux livres en Français pour mieux connaître Donald Trump et son programme

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Source Breizh infos cliquez ici

La presse française subventionnée déteste Donald Trump, trublion républicain qui affole la bien-pensance américaine. Mais les journalistes qui lynchent le milliardaire américain ont-ils seulement lu son programme politique ? Connaissent-t-ils Donald Trump ou se contentent-t-ils de réécrire ce qu’en disent leurs confrères d’outre-Atlantique ?

Il n’y aura bientôt plus la possibilité de raconter « n’importe quoi » en français dans le texte sur Donald Trump puisque deux livres à son sujet vont sortir. Le premier, « L’Amérique paralysée », est la traduction du livre programme de Donal Trump, sorti à la fin 2015 aux USA. Il sortira le 2 juin prochain aux Éditions du Rocher. Car pour comprendre Donald Trump, rien ne vaut sans doute la lecture de Trump lui même et de son programme lorsqu’il aborde tour à tour les thèmes de la politique extérieure et intérieure ainsi que sa vision de l’homme américain.

Un second ouvrage, plus partisan celui-ci, est déjà disponible aux éditions Dualpha. Il s’agit de « Donald Trump, le candidat du chaos », écrit par Nicolas Bonnal. Il est présenté comme suit : « La campagne des primaires pour l’élection présidentielle américaine affole tous les médias. Le républicain Donald Trump, tout comme le démocrate Bernie Sanders reflètent la rage patriote et la souffrance sociale du peuple américain trahi par ses élites. Populiste argenté, provocateur patenté, Donald Trump est certainement le plus révolté des deux, soumettant l’édifice planétaire du puritanisme verbal à rude épreuve. Cette parole sauvage débouchera-t-elle sur une présidence hérétique tant redoutée ? L’important n’est pas là. Elle permet de retrouver le génie rebelle du populisme américain, qui défend des thèmes aussi controversés qu’en France avec le refus d’une immigration incontrôlée – déjà critiquée vers 1900 –, des guerres inutiles ou du messianisme humanitaire, du libre-échange et de la désindustrialisation qui en découle. Le combat héroïco-comique et chaotique de Donald Trump contre le lobby technocratique américain finit ainsi par revêtir une dimension mythologique. Il manifeste aussi, alors que l’Europe sombre dans un nihilisme obtus, le grand réveil américain.

Ce livre décrit la lutte de Donald Trump et la revanche du peuple américain contre sa propre matrice.»

Essayiste et chroniqueur politique entre autres sur le site EuroLibertés, Nicolas Bonnal est l’auteur d’une quinzaine de livres sur la politique, l’identité, l’initiation et le cinéma et notamment récemment du « paganisme au cinéma » que nous avions recensé ici. Il évoque son livre ci-dessous avec son éditeur.

Entretien avec Nicolas Bonnal, auteur de Donald Trump, le candidat du chaos (éditions Dualpha, propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

Pourquoi un livre sur Donald Trump ? Pour profiter de son succès ?

Pour deux raisons essentielles, en fait… D’une part, cette campagne présidentielle américaine est la plus intéressante de ces dernières décennies. C’est ce que dit le célèbre animateur de radio et de télévision américain Larry King qui a aussi déclaré que Donald Trump est un « moghol », un grand du monde médiatique et charismatique. Bernie Sanders est d’extrême-gauche et Hillary Clinton, candidate officielle de « l’empire humanitaire », est très impopulaire. Cet « empire » est en crise, comme le reste du monde. Le programme chaotique et contradictoire de Trump reflète ce malaise et cette folie américaine.

Ensuite, parce que je voulais depuis longtemps écrire un livre sur les USA, qui traite de sujets politiquement incorrects.

C’est-à-dire ?

Du refus de l’immigration par exemple. L’Amérique de souche s’est fait imposer la conception du Melting Pot et la notion de refuge pour masses opprimées. Au début du XXe siècle, un grand mouvement antimigratoire se dessine, qui aboutit aux lois Harding et qui refuse en Amérique les immigrés balkaniques, italiens, slaves ou autres. Les Américains de souche, soit les descendants des coloniaux, n’ont jamais été tous contents de se voir peu à peu remplacés sur leur sol, surtout après la suicidaire et humanitaire Guerre de Sécession. Il y a donc depuis un malaise perpétuel et Donald Trump le reflète presque involontairement – mais messianiquement –, d’où la haine qu’il inspire.

Le sujet Trump évoque pour vous les sites libertariens et la théorie de la conspiration…

Les sites américains comme zerohedge.com, economiccollapse ou prisonplanet, sont riches et bien informés. Il y a une forte tradition anti-système dans ce pays, alors que, chez nous, tout reste bloqué à droite par le culte républicain de l’État-nation ou du Moyen Âge chrétien ! Trump surfe sur le mécontentement social et politique, intellectuel même. « On » ne veut pas de politiquement correct, et on argumente beaucoup mieux qu’en France où l’on ne comprend pas que l’État-nation en France est une entité hostile depuis longtemps, mais caricaturalement, surtout depuis 1793 et surtout 1870. La république dévore la France comme Saturne ses enfants…

On s’éloigne de Donald Trump…

Pas du tout. Par son rayonnement mondial et la haine imbécile suscitée, Donald Trump incarne le dernier sanglot de l’homme blanc, peu à l’aise dans un monde qui n’est plus le sien. Cela m’a poussé à écrire ce livre pour expliquer les raisons de la colère américaine, où le téléspectateur chauve a remplacé le paysan blond de Steinbeck. Les chiffres de la santé, de la sécurité, du chômage sont cachés dans ce pays encore donné en exemple.

Vous ne le prenez pas toujours au sérieux !

Attendez, on est en Amérique, c’est un nabab entouré de belles slaves et un présentateur télé, et c’est son émission dénommée L’Apprenti qui en a fait une star, avec son train de vie à la Ronaldo ! Trump est un riche mondialisé, cosmopolite qui joue au populiste casanier. D’où ses contradictions (plus ou moins de guerres ?), son manque de sérieux (la guerre à l’Iran, mais pas à l’Irak ?), le vague de ses cibles (la Chine ? le Mexique ?), la provocation stérile (construire un mur avec le Mexique ?). Mais tout cela fait partie de cette atmosphère de chaos que nous évoquons dans notre titre.

Vous évoquez la notion d’État profond…

Trump en parle peu et il a tort. Car il incarne le recours contre l’État pour ses électeurs révoltés par leur pauvreté soudaine, la répression idéologique et physique, la barbarie médiatique et humanitaire. Aussitôt, Apple, Lady Gaga, le pape François et la Fed se sont levés comme un seul homme (ou comme un seul androïde) contre The Donald soudain revêtu de la personnalité de Daniel Boone ou John Wayne (d’ailleurs les enfants Wayne le soutiennent, tout comme Clint Eastwood). Trump a toujours eu un côté franc-tireur et grande gueule. Par exemple il a dit récemment qu’il n’avait pas besoin des gens de Wall Street ; qu’il les connaissait, mais qu’il n’en avait pas besoin. Dans un pays contrôlé par l’argent, cette confession est appréciable. C’est pourquoi il ne faut pas jeter l’eau du bain avec le bébé !

Et ses provocations ?

Elles font partie de la panoplie du populiste et elles n’étaient même pas nécessaires pour faire parler de lui. Mais quand il ne provoque pas, il est très bon. Il dit que les négociateurs iraniens sont les meilleurs du monde, parce qu’ils sont perses : quel bel hommage ! Il dit aussi que les négociateurs chinois ridiculisent les négociateurs américains lors des traités de commerce : il est évident qu’il a raison. Et on se retrouve dans une société avec soixante multimilliardaires et cent millions de crève-la-faim. 47 % des Américains n’ont pas 400 dollars de cash devant eux !

On pense là au chercheur en sciences politiques américain Francis Fukuyama…

J’aime beaucoup Fukuyama qui mérite d’être lu et relu ! Il a insisté sur la mégalothymie ; cette puissante ambition guerrière et politique à notre époque de tyrannie humanitaire est ce qu’on reproche à Donald Trump. Il dégage une aura de grand blond macho, de mâle alpha sorti du meilleur des mondes, et cela rend fou le système. On verra ce qu’en pense l’électeur même s’il a été suffisamment abruti comme ça.

Donald Trump, le candidat du chaos de Nicolas Bonnal, 202 pages, 25 euros, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa. Pour le commander, cliquez ici.

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lundi, 02 mai 2016

COMPRENDRE CE QUI SE PASSE EN SYRIE !

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Un livre incontournable pour ceux qui veulent comprendre le conflit importé qui ravage la Syrie.

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Une nouvelle série de CD historiques

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Pour celles et ceux qui refusent que la mémoire s'éteigne, une nouvelle collection de CD : "Les pages oubliées de l'histoire de France".

Jean-Pax Méfret écrit,

raconte et chante Camerone

Camarón au Mexique. Le 30 avril 1863. Une bataille héroïque dans une hacienda en ruines Soixante-deux légionnaires et leurs trois officiers face à plus de deux mille combattants mexicains. Neuf heures de combats. Le refus de se rendre. Une leçon de bravoure. Qui étaient ces soldats ? Que venaient-ils faire au Mexique ? Jean-Pax Méfret associe son professionnalisme d’ancien grand reporter à son talent de conteur pour retracer avec précision cette page oubliée de l’histoire de France.

Le CD est présenté dans un boîtier cartonné (digipak) avec un livret de 16 pages.

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Dimanche prochain, 8 mai, défilé en honneur se Jeanne d'Arc

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Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

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Le discours de Jean-Marie Le Pen du 1er mai 2016

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dimanche, 01 mai 2016

REFLEXes est-il hitléro-trotskyste ?

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Max Hime & ses amis

Depuis des décennies, le site d'information REFLEXes sévit à l'encontre de tout ce qui lui paraît relever de "l’extrême droite". Son activité consiste pour beaucoup, suivant les critères de ces grands démocrates, à compiler des données sur les individus jugés "dangereux", leurs activités, leurs proches. Ce travail de taupe est généralement suivi de délations publiques via ledit site. On peut imaginer que ces renseignements sur les personnes ainsi suspectées d'idées ou d'activités fascistes puissent être communiquées à d'autres réseaux actifs dans les administrations, la justice … REFLEXes semble aussi avoir inspiré de nombreux organes similaires comme LA HORDE, FAFWATCH, LES ENRAGES, etc … Après des décennies de publication, le site n'affiche toujours aucun directeur de publication, aucune adresse physique, et il n'y a pas la possibilité d'y exercer un quelconque droit de réponse. Des gens peuvent donc être mis au pilori, dénoncés de diverses manières, leur carrière menacée, leurs proches atteints, et cela sans qu'ils puissent se défendre.

Cette situation est illégale et punie par la Loi en la confiance en l'économie numérique. A l'évidence, REFLEXes s'apparente bien plus à une publication professionnelle structurée, soumise de fait au droit de la presse, qu'à un blog de collégiens qui pourrait effectivement prétendre légalement à garder l'anonymat. La chose, cependant, n'a jamais semblé émouvoir nos gouvernements de droite comme de gauche ! De la même façon que les revendications d’agressions à l'encontre des supposés mal pensants, comme par exemple les paisibles Antigones ce 14 avril dernier, et publiées sur LA HORDE. Elles constituent pourtant autant d'aveux que d'incitations à la violence ! Cette incroyable impunité, ainsi que sa longévité, a contribué petit à petit à ce que REFLEXes devienne pour les médias une sorte de référence en matière d’extrême droite, ou de quoi que se soit de prétendue comme tel, comme si ces informations venaient d'un média ordinaire, voire institutionnel.

Cette attitude est d'autant plus curieuse pour des journalistes professionnels que l'équipe de REFLEXes n'a jamais caché son hostilité envers les démocraties occidentales. C'est fort bien expliqué par la plate forme « antifa-net » , créée par la même équipe  : « dans cette guerre qui nous oppose en premier lieu à la société marchande, à l’état sécuritaire et à l’ordre moral, les fascistes et les nazi sont  nos ennemis et ceux du mouvement social comme le sont la police, l’armée, les juges, les procureurs et tous les représentants de l'ordre social et moral actuel …  »

Il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'une récente plainte à l'encontre de REFLEXes, ait pu révéler comme directeur de publication un certain Monsieur Yves PEIRAT. Cet individu pourrait bien être le « Don Quichotte poseur de bombes », selon les termes du journal Libération en février 2001. Il avait été condamné à l'époque à un peu de prison pour des attentats à l'encontre, pèle mêle, du consulat d'Italie, de permanences du FN, du garage d'un cadre du même parti, d'un transformateur électrique de la ville de Vitrolles ou de la direction départementale du travail et de l'emploi … Monsieur PEIRAT avait alors déclaré en être venu là de par l'exemple et l’influence de son grand père antifranquiste, ancien cadre du parti ouvrier ouvrier d'unification marxiste - le POUM pour les intimes. Mais est-il au courant que le POUM et ses dirigeants, à l’exception de quelques-uns dont son grand père, ont été liquidés en 1937 par les staliniens espagnols, et non par les franquistes ? Selon la Pravda de l'époque, il s'agissait de dangereux « hitléro-trotskystes. »

En tous cas, la Direction Départemental du Travail et de l'Emploi de Marseille, le FN, ou les transformateurs de la ville de Vitrolles, n'y sont vraiment pour rien …

Quand aux journaleux de la presse bourgeoise en quête d'informations, puissent-ils comprendre que ce ne sont pas les ennemis déclarés de la société actuelle, de ses valeurs et de ses institutions, qui soient les mieux placés pour donner le la de ce qui bien ou pas en politique.

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Samedi 7 mai : forum de l'Europe nationaliste à Paris

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00:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 30 avril 2016

La Syrie a besoin de votre aide :

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Collecte organisée par le Rassemblement

des Communautés syriennes de France

Les Syriens continuent à résister face au terrorisme aveugle orchestré de l'extérieur mais, malheureusement, ils paient très cher cette résistance.

Encore une fois, nous faisons appel à votre générosité et à votre sens de la solidarité pour aider nos compatriotes qui ont un besoin absolu et vital de médicaments : des antalgiques/analgésiques, des anti-inflammatoires, des antibiotiques, de la cortisone, tout type de traitement du diabète, de l’asthme, de l’hypertension et des maladies cardio-vasculaires.

Ils ont également besoin de tous matériels de soins tels que pansements, bandes de contention, sparadraps etc
Faites le tri dans vos pharmacies, vérifiez les dates de péremption et donnez ce qui ne vous sert plus mais qui peut aider à soulager des souffrances ou à soigner des blessures.

Merci de prendre contact avec l’équipe au 06 05 60 56 79 pour connaître l’adresse de dépôt.

23:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A midi sur Radio Courtoisie : hommage à Jean Mabire

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Ce samedi midi, le libre journal des lycéens de Pascal Lassalle (12 h - 13 h 30) est consacré à Jean Mabire.

Seront présents : Philippe Randa, Francis Bergeron et Eric Lefèvre qui ont contribué à la rédaction du Cahier d'Histoire du nationalisme n°9. 

Ecoutez Radio Courtoisie cliquez là

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Bulletin de commande

09:19 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 29 avril 2016

Bistro Libertés avec Francis Bergeron

19:21 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En Syrie, les chrétiennes se battent les armes à la main contre les terroristes islamistes....

Regardez ces femmes chrétiennes syriennes courageuses. Admirables, elles se battent contre les djihadistes et protègent leurs villages le fusil à la main.

Pendant ce temps, des centaines de milliers d’hommes fuient lâchement leur pays, abandonnent leur famille, dans le seul but de vivre tranquillement aux crochets de l’Europe et des Européens.

Source Médias presse info cliquez ici

Pour bien comprendre la situation en Syrie :

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Bulletin de commande

19:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manifestants ou organisateurs du désordre public ?

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Dr Bernard Plouvier

Tous les Français – sauf les sourds et les aveugles, réels ou volontaires - savent que, depuis les années 1980, chaque manifestation générée par un mouvement social est quasi-automatiquement transformée en mini-émeute par les jeunes casseurs des banlieues, bien typés ethniquement : pillages, destructions de biens privés ou publics, incendies variés, affrontements violents avec policiers et pompiers.

Certes ! Mais depuis le début de cette année 2016, probablement tenus en laisse par les mollahs et narcotrafiquants de quartiers – eux-mêmes sensibles à certains ordres venus de « l’islamo-étranger » -, les racailles de banlieues restent à l’écart des grèves et des manifestations (à l’exception bien sûr des fééries calaisiennes, où ils sont chez eux et entre eux et de la réaction aux défilés des anti-immigrés).

De fait, les rares manifestations de patriotes opposés à l’immigration, dénommés « fascistes » par la presse bien-pensante, sont d’un calme surprenant, du moins tant que les nervis des groupes gauchistes et trotskistes, ou des contre-manifestants islamistes associés à des bobos en principe français, ne viennent perturber leurs défilés peu achalandés… et la police sait sur qui il faut taper et sur qui il faut éviter de le faire.

Les manifestants de la contestation syndicale classique (Air France ; intermittents du spectacle ; foules ameutées par les syndicats pour grogner contre la Loi révisant le Code du travail, etc.) et les potaches du très curieux mouvement Nuit debout-gouvernement couché-spectateurs assis (ravis ou ébahis devant leur téléviseur) prouvent qu’il n’est plus besoin, en France Hollando-Vallsienne, de casseurs exotiques pour se comporter en purs voyous.

On s’attaque aux forces de l’ordre (sauf à pouvoir s’attaquer à des cadres de direction, moins bien préparés à l’auto-défense que nos honorables policiers), on casse indifféremment du matériel public ou privé, on brûle des voitures, on pratique le sectarisme le plus outrancier : certains chassent de l’académicien juif, d’autres du Blanc, d’autres encore de l’hétérosexuel… et tous y vont de leurs slogans marxistes & anarchistes, parfois curieusement confondus.

Le ridicule n’ayant – en dépit du proverbe – jamais tué personne, nos étudiants et lycéens usent et abusent de tout ce qui ferait rougir de honte un humaniste… et certains vont plancher en fin d’année scolaire sur un sujet de philosophie ! Pas de panique : étant donnés le contexte préélectoral, l’impopularité effarante du gouvernement et du chef de l’État, la haine socialiste pour l’élitisme, le cru 2016 du Bac avoisinera les 99,9% de reçus.

Le grand acquis de cette merveilleuse année 2016 - où le chômage décroît (par transfert habile d’individus de la catégorie A aux deux suivantes, et par un usage plus habile encore, hélas plus coûteux, des stages de formation), où « la France va mieux » (c’est notre plantureux Président qui l’affirme, qui ne saurait ni se tromper ni nous tromper), où les islamo-terroristes ont reçu l’ordre de se calmer au moins jusqu’aux prochaines présidentielles – est que nos manifestants gaucho-bobos n’ont plus de leçon de vandalisme et de guérilla urbaine à recevoir des immigrés turbulents.  

Ce sera, sans nul doute, la marque, la griffe de la présidence hollandienne.

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LA RUSSIE, UN AUTRE POUMON POUR L’EUROPE

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Les carnets de voyages de Jean-Claude Rolinat

L’Europe ne sait pas où elle va, ballotée par des courants contraires. Certains de ses membres comme le Royaume Uni, lorgnent vers le grand large, d’autres s’alignent sur Washington tandis que ceux qui sont membres du groupe de Višegrad (1), sont plus que récalcitrants à absorber les torrents de réfugiés et d’immigrés clandestins qui déferlent.

La Russie est le plus grand pays du monde, juste devant le Canada. Toutes ses richesses minérales potentielles sont loin d’avoir été recensées et encore moins exploitées. Entre ses vastes cités, de Moscou à Vladivostok en passant par Novossibirsk, Volgograd ou Kazan, de vastes espaces ne demandent qu’à être colonisés, des routes améliorées ou construites, des voies ferrées réinstallées. Depuis la stabilisation politique de l’ère Poutine – homme d’Etat détesté ou raillé par les medias occidentaux, c’est selon, mais plutôt apprécié dans son pays même, et particulièrement à Saint-Pétersbourg ville dont il fut l’adjoint au Maire - une classe moyenne a émergé. Comme tous les Russes en ce moment, elle souffre d’une crise économique qui a poussé l’an dernier la Banque fédérale a acheter 208 tonnes d’or, portant ses réserves à – excusez du peu ! – 1 437 tonnes. En janvier 2016, elle a poursuivi son marché dépensant 800 millions de dollars pour en acquérir 22 supplémentaires. La Russie est désormais le 6e pays détenteur de stocks d’or derrière les USA et leurs gigantesques 8 000 tonnes, l’Allemagne, l’Italie, la France et la Chine. Le Kremlin n’aurait-il plus confiance en la monnaie papier de réserve, les lointains souvenirs des emprunts russes hantant la mémoire des apparatchiks du ministère des finances ?

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1er Mai : les Européens honorent la Fête du Travail

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10:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 28 avril 2016

Les Brigandes répondent à leurs accusateurs gauchistes et autres

Au mois d'octobre dernier Synthèse nationale avait invité Les Brigandes à se produire sur scène lors de la 9e Journée nationaliste et identitaire qui se déroulait à Rungis. Depuis deux ans nous avons en effet décidé de terminer nos journées annuelles par un concert. En 2014, ce fut le cas de Dr Merlin et Northmen Impact et en 2015 des Brigandes. On peut aimer ou ne pas aimer ces chanteurs, mais personne n'est obligé d'assister à leurs prestations. Ce qui nous intéresse, c'est leur engagement dans le combat contre le mondialisme qui est le même que le nôtre.

Depuis quelques semaines une campagne de dénigrement inspirée par quelques personnes aux motivations bien éloignées des nôtres a été amplifiée par le site gauchiste intitulé La Horde, et reprise par l'hebdomadaire mondialiste Le Point, contre Les Brigandes. Synthèse nationale étant considérée par La Horde cliquez ici comme un tremplin qui aurait permis à celles-ci de se faire connaitre (CQFD). Une telle affirmation aurait plutôt tendance à nous flatter mais il se trouve que ces jeunes artistes ne nous ont pas attendus pour percer, en particulier sur les réseaux sociaux de la mouvance non-conformiste. Ce qui est regrettable, c'est que les accusations des gauchistes soient reprises par certains média nationalistes d'habitude mieux avisés.

Quoiqu'il en soit, tout le monde peu se laisser abuser, y compris les journalistes de la presse libre. Afin de mettre fin à cette polémique stérile, nous publions ici le communiqué des Brigandes qui éclairera sans doute nos amis sur le fond de cette affaire.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

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Communiqué du secrétariat des Brigandes :

Le qualificatif de secte ayant été apposé à l’image des Brigandes, les faits rapportés par les accusateurs constituent une cabale orchestrée par des gauchistes satanistes en vue de détruire la réputation de notre groupe dans les milieux de la Droite Nationale. Une femme nommée Annick Lovinfosse qui a déjà tenté de nuire en nous accusant d’être un « groupe néo-nazi » et qui s’est rétractée devant la police, a récidivé en montant un scénario de « gourou et de secte » par dépit amoureux comme elle l’a avoué dans une lettre de rétractation : « L’état pathologique où je me trouvais alors (dépression et violent ressentiment affectif lié au rejet amoureux d’un musicien du groupe) m’ont amené à un véritable désir de vengeance envers tous les auteurs ou spectateurs de mon drame personnel, j’ai alors mêlé la C.A.F. à mon délire de persécution et dénoncer des choses dont je ne sais en réalité rien, ou déformées ces choses par mon désir de nuire à ces personnes… » (copie de l’original disponible au secrétariat des Brigandes).

Cette personne est mobilisée par une haine farouche des idées nationalistes. Ayant été formée idéologiquement au sein des Jeunesses communistes révolutionnaires, elle appartient à présent à une organisation mondialiste centrée à Tal Aviv, dirigée par Delia Steinberg au plan international, et les sionistes Fernand Schwarz et Thierry Adda au plan national. (La Nouvelle Acropole, citée comme secte occultiste dans le rapport parlementaire sur les sectes de 1995).

Cette musicienne retraitée, jalouse d’avoir été évincée de notre réseau par des jeunes femmes, et inapte à chanter dans notre formation, cherche depuis des années à nous décrédibiliser. Pour ce faire, elle a réuni quelques accointances ayant participé à un collectif d’artistes bien avant que les Brigandes soient réunies et qu’elles ne connaissent même pas. Ces gauchiste furent repoussés par opposition idéologique. L’un d’eux est le chanteur Jean-Luc de Meyer du groupe électronique Front 242 considéré comme une référence musicale de la sphère sataniste par Marilyn Manson.

Quant au personnage cité comme « le gourou des Brigandes », il s’agit d’un ami retraité, fin connaisseur de la chanson et de la musique populaire et qui nous a aidé à nous structurer musicalement et financièrement. Ses idées originales façon new age ne regardent que lui et ne sont pas les nôtres. Mais, issu d’une famille proche de l’Action Française, sa sincérité patriotique est totale, autant que sa virulence antimondialiste, d’où la haine qu’il suscite chez les gauchistes qui l’ont approché et qui se sont constitués en bande organisée pour le diffamer pour mieux nous atteindre, comme au billard français.

Les détails sur cette affaire sont disponibles auprès d’Antoine, secrétaire des Brigandes qui fournira pièces et preuves contradictoires permettant d’anéantir les accusations des « témoins » à charge en précisant la source politique de l’attaque. A vu de leur position unique dans la chanson contestataire antimondialiste, les Brigandes sont soumises à une très forte pression. Elles voudraient que l’on juge l’arbre à ses fruits car les attaques de tous bords ne manqueront pas.

La lettre de rétractation de l'accusatrice : cliquez ici 

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Jean Raspail : « Il n’y aura pas de solution sans force ! »

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

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Les charmes vénéneux de la double appartenance

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Dr Bernard Plouvier

Tout le monde a entendu parler de cette triste maladie dénommée schizophrénie où, parmi bien d’autres symptômes, le patient développe un dédoublement de la personnalité. Depuis la plus haute Antiquité, bien des gens ont été tentés par ce que l’on appelle, faute de mieux, une double vie.

Cette dualité d’allégeances ou d’appartenances est très différente de la succession, somme toute naturelle, d’avis et de comportements différents, voire opposés, au cours d’une même existence. Chacun a pu voir que, depuis les années 1990, une majorité d’ex-communistes réputés purs et durs se sont admirablement adaptés aux joies de l’hyperconsommation, dans notre monde d’économie globale (donc de production délocalisée pour obtenir de moindres coûts de fabrication) et d’uniformisation de la propagande (sur un mode à la fois gnangnan et consumériste).

Seules quelques Nations réfractaires à la pensée unique au sein du grand village mondial admettent encore la phrase qui, selon Platon, définissait la vie politique : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de l’État » (in Les Lois).

Cinq siècles plus tard, Jésus de Nazareth était déjà plus ambigu. Certes, il affirmait : « Nul ne peut servir deux maîtres à la fois : Dieu et Mammon ». Mais en une autre occasion, il reconnaissait la dualité de tout homme, à la fois fidèle d’une religion et citoyen d’un État : « Rendez à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu »… en l’occurrence, il ne s’agissait que de s’acquitter de l’impôt, ce qui fut toujours ressenti comme une douloureuse corvée, alors que l’impôt était, au moins en principe, une source d’infrastructures indispensables à la vie organisée.

Depuis le XVIIIe siècle, se sont répandues en Europe des idées cosmopolites, résumées en une alternative proposée par Diderot : « Vaut-il mieux éclairer l’humanité qui durera toujours ou sauver et organiser une patrie qui doit finir ? ». C’était l’archétype du faux problème, puisque l’humanité n’était alors formée que de la juxtaposition de patries… du moins jusqu’à ce que la propagande mondialiste impose ce dogme : il n’existe ni races, ni patries ou nations, mais une seule humanité.

Pourtant, dans ce monde globalo-mondialisé (de façon artificielle et, a priori, fort transitoire) prospère la très curieuse notion de double nationalité… si le titulaire est en plus un croyant fanatique ou un membre d’une secte multinationale (appartenant, entre autres exemples possibles, à la Franc-maçonnerie ou à un réseau mondialiste), cela fait une triple allégeance et l’on peut multiplier ainsi les appartenances.

Lorsque l’on a accumulé l’expérience de plusieurs décennies de vie sociale et professionnelle, l’on sait que les joies d’une double vie (familiale, professionnelle, politique, syndicale etc.) sont très largement inférieures aux charges, ennuis divers et petits drames qu’elle entraîne.

Et cela n’est rien en comparaison de la dichotomie éthique… pour faire plus simple : des conséquences morales induites par deux attachements intensément vécus, d’ordre affectif, intellectuel et/ou spirituel.      

Un joli dicton viennois (prouvant que l’Autrichien n’est finalement pas si éloigné du Prussien, quoi qu’il affirme) prétend que : « La fidélité, c’est de ne pas avoir de second maître ». Chacun est libre de le méditer et de l’interpréter à sa guise.

Vivre, c’est faire preuve de libre-arbitre : vivre, c’est donc choisir. L’être humain étant seul, sur cette planète, doté de transcendance, se doit de choisir sans être obligé de se sentir diminué, humilié, meurtri par ses choix.

Il est évident que dans les années à venir tous les Européens doués de sens éthique devront faire un choix essentiel entre le consumérisme excessif (et à crédit), couplé à des sentiments et des actes tiers-mondistes, et le retour à l’indépendance européenne, politique, économique, ethnique… bref, le retour à ce que l’on connaissait avant la féérie globalo-mondialiste.         

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Sacrées Brigandes !

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Thierry Bouzard*

Apparues en 2014, le groupe de chanteuses s’est assez rapidement fait un nom dans la dissidence. Présentées par moi dans Rivarol et Synthèse nationale, je les avais fait venir pour leur premier concert en octobre dernier à Rungis lors de la journée annuelle de Synthèse nationale. Elles étaient annoncées le 8 mai prochain avant le défilé de Civitas, mais elles ont été décommandées suite à l’article (controversé) que leur consacre Rivarol de cette semaine. Elles appartiendraient, si l'on en croit cet article, à une secte démoniaque cornaquée par un gourou franc-maçon… Loin de moi l’idée de promouvoir les frères trois points, leurs pompes et leurs œuvres, mais il ne faut pas confondre les chansons et les chanteuses. D'une manière générale, l’homosexualité de l’un, les drogues de l’autre, l’affiliation à une secte ou une autre, les artistes — comme les hommes politiques — ne sont pas toujours des modèles même si on tente de nous les présenter comme tels. Leur vie privée les regarde, mais leurs chansons nous concernent.

Les Brigandes ont su attirer l’attention des milieux anticonformistes par des chansons engagées mises en scène dans des vidéos qui sont incontestablement du travail de pro. En retour, une certaine audience avec des scores de 50 000 vues en moyenne sur Youtube et des pointes à 170 000, ce qui est honorable sans être extraordinaire. Elles font quasiment jeu égal avec le chœur Montjoie. In Memoriam les dépasse un peu et elles sont devant FTP, mais encore loin du rappeur Kro Blanc qui fait des pointes à près de 400 000 vues, et encore plus loin de Jean-Pax Mefret qui, lui, chatouille souvent les 500 000.

L’affaire a été lancée par La Horde en octobre 2015 et relayée par un article du Point en février dernier. Le premier est un site antifa spécialisé dans la délationite aiguë de tout ce qui peut se faire dans la dissidence, le second héberge dans ses colonnes BHL, c’est dire comme il défend la culture française.

Car il s’agit bien du lien culturel. La jeunesse a déserté depuis longtemps les meetings politiques. Suivant les directives de Jdanov, le ministre de la Culture de Staline, les communistes ont été des précurseurs dans la prise de contrôle des artistes, les "compagnons de route", le terme de l’époque pour ne pas dire "collabo". Le meilleur exemple est la Fête de l’Huma. La grande majorité des jeunes qui venait écouter les grandes vedettes nationales et internationales ne votait pas forcément communiste, mais elle supportait sans broncher les discours des politiques avant le concert. Et ces grands concerts ne servent à rien d’autre qu’à passer des menottes culturelles à la jeunesse. Le torrent d’émotions collectives partagé lors de ces événements crée de puissants liens affectifs qui verrouillent les esprits dans une ambiance idéologique insidieuse. Elle est entretenue par les artistes qui interviennent au signal de leurs commanditaires pour rappeler pour qui va leur sympathie ou pour qui il ne faut pas voter. Cette technique bien rodée permet l’encadrement de toute la production musicale. Les concerts, grands et petits, fonctionnent avec des autorisations et des subventions, c’est-à-dire le feu vert des politiques. Outil d’expression à la portée de chacun, le monde de la musique est entièrement sous contrôle, verrouillé, cadenassé. Il suffit de rappeler le torrent d’indignations médiatiques après le concert de Fréjus en juillet dernier pour la prestation du groupe identitaire In Memoriam en ouverture de La Souris Déglinguée, ou les groupes dissidents condamnés à organiser des concerts clandestins pour contourner les annulations.

De par son origine, la dénonciation des Brigandes s’inscrit dans ce climat de persécutions systématiques déjà rencontré par tous les chanteurs de la dissidence, que ce soit ceux des déportés de l’Algérie française, les groupes du courant skinhead et puis ceux du rock identitaire. On entretient la population dans l’illusion que chacun peut écouter la musique qui lui plait, mais en réalité on écoute la musique que l’on nous fait entendre. Longtemps les maisons de disques, les radios et la télévision ont imposé leurs modes commerciales et l’arrivée d’internet n’a pas fondamentalement changé la donne. Si les maisons d’édition et les circuits de distribution se sont effondrés, l’organisation de concerts reste soigneusement sous contrôle. Or le CD ne se vend plus et aucun support alternatif n’est venu apporter un flux financier en rétribution de l’investissement des artistes : pourquoi payer ce que l’on trouve gratuitement en ligne ? Seule source de revenu subsistante, les concerts. L’aspect financier est essentiel car l’équation est simple, sans concert par de revenus, donc pas de répétitions, de moyens de déplacement ni d’organisation. La création est asséchée et l’exploitation du lien collectif créé par la musique est réservée à ceux qui détruisent l’identité de la communauté nationale française comme de l’identité européenne.

Dans ce contexte, s’il n’est pas indifférent de savoir comment fonctionnent les Brigandes, en revanche il est essentiel de savoir tirer un profit culturel de cet outil de communication. Les chiens de garde du système ne s’y sont pas trompés en les jetant en pâture, elles sont un réel danger, non pas pour la dissidence qui en a vu d’autres, mais pour son monopole culturel.

* Thierry Bouzard est chroniqueur musical au quotidien Présent. Il est l'organisateur des concerts lors des Journées nationalistes et identitaires de Synthèse nationale et il est l'auteur de Des Chansons contre la pensée unique, édition des cimes, 332 pages, 2014.

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Chronique de la France asservie et combattante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3231 du 14 avril 2016

FRANÇOIS Hollande sait que les carottes sont cuites, mais il n’en continue pas moins de pratiquer son humour. Sans doute se retrouve-t-il dans cette pensée de Boris Vian : « L’humour, c’est la politesse du désespoir ». L’Obs raconte que lors d’un récent déjeuner avec des écrivains, François Hollande aurait répondu sur le ton de la blague aux inquiétudes de Julia Cagé quant à la possibilité de voir le scénario de 2002 se reproduire en 2017. « Ne vous inquiétez pas, je ne crois pas que Jospin et Chirac aient l’intention de se représenter », lui aurait-il lâché. Reconnaissons-lui un certain sens de l’humour. L’été dernier, pendant le dîner annuel de la presse présidentielle, le locataire de l’Elysée avait plaisanté sur l’incompréhension qui domine selon lui entre l’électorat en général et les politiques. « Les électeurs votent même quand ils ne comprennent pas. Et quand ils votent, on ne les comprend pas toujours », avait-il déclaré… Mais cela pourrait être du Maurras !

LE CHANTEUR RENAUD : LES GÈNES, EUX, NE MENTENT PAS !

Renaud est ce chanteur populaire, anarchiste, de gauche et même davantage. Enfin, il l’était. Car il sème la consternation dans le Landerneau, stupéfie Saint-Germain-des-Prés, horrifie les sympathisants de gauche… Renaud vote désormais à droite ! Il l’a dit clairement ces derniers jours dans plusieurs interviews : « Plus jamais je ne voterai socialiste ! » clame-t-il dans Sud-Ouest. « La politique, entre guillemets de gauche, de ce gouvernement me débecte profondément », lâche-t-il dans Le Parisien. Cet ancien soixante-huitard des barricades, admirateur de Mitterrand, qui a toujours dénoncé le pouvoir, l’argent, les gradés, l’injustice et l’ordre établi rejoint le camp de la Réaction… On aura tout vu. Mélenchon s’en étrangle d’indignation, déclarant : « Quand on est Renaud, on ne vote pas Fillon ! » Nul doute que Renaud ne fera pas de vieux os à Charlie Hebdo où il signe à nouveau une rubrique. Dans une interview au quotidien belge Le Soir, Renaud est interrogé sur François Hollande, Manuel Valls et Emmanuel Macron. Réponse humaniste du chanteur : « Ce sont de grands naïfs, de grands imbéciles ou de grands criminels. Je ne le sais pas encore mais de grands incapables en tout cas. »

Bon, ceci dit, rassurons-nous, il n’a pas viré cependant à l’extrême-droite. « Entre la droite et l’extrême-droite, je voterais à droite », déclare-t-il. Et celui qui avait fréquenté assidûment les « Amitiés franco-chinoises » et créé un « Comité Viet-Nam » dans son lycée, ajoute : « Sauf Sarkozy, là j’irais pêcher à la ligne ». Renaud, qui se présente comme un anarchiste prolétarien, porte cependant en lui quelques gènes nauséabonds. Explication : Il est né dans une famille parfaitement bourgeoise. Son père, Olivier, issu d’une famille protestante des Cévennes, était professeur d’allemand et de néerlandais, traducteur et auteur de romans policiers et de livres pour enfants. Il a reçu le prix des Deux Magots en 1942 pour Les corps ont soif et a travaillé pendant la Seconde Guerre mondiale à Radio Paris comme traducteur.. Autant dire qu’il avait été ciblé ‘collabo. Son grand-père maternel, Oscar, mineur après avoir quitté l’école à l’âge de 13 ans, fut d’abord membre du Parti communiste, puis le quitta en 1937, déçu après un voyage en Union soviétique en 1932. Il rejoignit ensuite le Parti populaire français de Jacques Doriot, et fit un an de prison à la Libération pour faits de collaboration. Renaud ne fera jamais son service militaire : il est exempté ayant eu un demi-frère décédé lors des bombardements anglo-américains de la Seconde Guerre mondiale…

MARION-MARÉCHAL LE PEN SERA PRÉSENTE AU RENDEZ-VOUS DE BÉZIERS

C’est Novopress et L’Express qui nous en informent : Marion Maréchal-Le Pen a répondu favorablement à l’invitation de Robert Ménard qui fera de Béziers, fin mai, la capitale de la droite française. Elle sera présente au Rendez-Vous organisé dans sa ville par Ménard. Ces trois jours (les 27, 28 et 29 mai) ont pour objectif, a expliqué l’ancien président de Reporters sans frontières, de déterminer ce qui, « à droite, nous réunit », de voir « ce que les électeurs du Front national comme ceux des Républicains ont en commun » et de « bâtir le programme de salut public » sur lequel « l’ensemble des candidats de droite devraient se mettre d’accord ». Robert Ménard avait assisté au séminaire du FN mariniste, et cela ne s’était pas bien passé (voir mes précédentes chroniques). Marion-Maréchal Le Pen se rend-elle à Béziers avec l’aval de sa tante ou s’agit-il d’une démarche personnelle ? On voit mal Marine Le Pen et Philippot accepter des initiatives qu’ils ne contrôleraient pas. Nous verrons bien la suite des opérations.

ERIC ZEMMOUR : “QUAND JE VOIS SOROS QUELQUE PART, JE ME MÉFIE…”

Tous les lecteurs de RIVAROL connaissent George Soros, ce trafiquant financier juif qui a fait une immense fortune en spéculant contre la livre sterling. C’est aussi lui qui finance massivement toutes les organisations qui ont pour but, en Europe, en Russie, d’affaiblir les défenses immunitaires de nos peuples au profit de la finance apatride et vagabonde. Eric Zemmour, qui est décidément lucide, vient de déclarer : « C’est Soros qui était déjà là pour financer les révolutions orange […] c’est lui qui finance également l’immigration à tout-va dans les pays d’Europe […] », ajoutant : « Quand je vois Soros quelque part, je me méfie ».

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PRIMAIRES À DROITE : LA CAGE AUX FOLLES

La primaire de la droite compte désormais 12 candidatures, dont Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, Nathalie Kosciusko-Morizet ou encore Jean-François Copé et Nadine Morano et Geoffroy Didier. Nicolas Sarkozy pourrait se déclarer cet été. Michèle Alliot-Marie, qui vient de lancer un nouveau parti politique, pourrait également se porter candidate. Ce n’est pas forcément une tâche facile. Ils doivent rassembler avant septembre les parrainages nécessaires (2.500 adhérents LR, 250 élus dont 20 parlementaires). Le dernier à avoir annoncé sa candidature est le député Les Républicains des Yvelines Jacques Myard, 68 ans, qui se définit comme « gaulliste depuis toujours ». Au demeurant, ce n’est pas le pire, car il a fait montre d’un certain courage en se rendant en Syrie, où il a rencontré le président Assad, suscitant la fureur de Fabius… Il n’est certes pas d’une finesse absolue, et d’aucuns ont pu le comparer à Donald Trump, à l’image du quotidien Aujourd’hui, qui titre « Le Donald Trump français, c’est lui ! ». A une journaliste croisée dans la salle des quatre colonnes, à l’Assemblée, il avait lancé un jour : « Vous faites le tapin ? »

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ILS SONT MÉCHANTS AVEC SARKOZY…

Les méchants sont méchants avec Sarkozy, qui, paraît-il, fait un peu plus jeune que son âge. L’ancien président est moqué par des proches d’Alain Juppé pour son utilisation probable du laser et autres techniques pour avoir une mine avenante. On lit ces informations passionnantes dans le livre de la journaliste Gaël Tchakaloff, Lapins et Merveilles. Sarkozy est soupçonné d’avoir recours, si ce n’est à la chirurgie esthétique, du moins au laser et à d’autres techniques qui donnent bonne mine. Il a mis les choses au point en déclarant : « Je ne considère pas comme de la chirurgie esthétique le fait de se faire stimuler le collagène naturel par un laser. Ça donne bonne mine ».

UNE MOSQUÉE CLANDESTINE À LA MAISON CENTRALE DE L’ÎLE DE RÉ !

En novembre 2015, Olivier Falorni, député non inscrit de Charente-Maritime (ex-PS, c’est lui qui avait planté Ségolène Royal), membre de la commission d’enquête sur les filières djihadistes, avait visité la maison centrale de l’île de Ré. Il avait alors découvert qu’un baraquement préfabriqué, pudiquement ou ironiquement appelé “casino”, abritait en fait une « mosquée salafiste clandestine », un « centre de formation pour apprentis djihadistes à l’attention de détenus condamnés à de très lourdes peines », selon ses propres mots. Plutôt obstiné et courageux, il avait alors écrit au ministre de la Justice de l’époque, Christiane Taubira, pour lui demander la destruction de ces préfabriqués. Il avait envoyé une question écrite au ministre et l’avait interpellé à l’Assemblée, le 13 octobre 2015. « Nos prisons ne peuvent pas, ne doivent pas être des pépinières à djihadistes, car c’est la sécurité de tous les Français qui est en jeu », avait-il dit. Taubira fit une réponse surréaliste, expliquant que des crédits avaient été débloqués pour construire de nouveaux bâtiments, ce qui permettra de détruire ces préfabriqués qui servent de mosquée. Un an après, rien n’a changé. La mosquée est toujours là. Les préfabriqués aussi…

L’“ÉVÊQUE” DE PONTOISE NE “SAURAIT PAS DIRE” SI LA PÉDOPHILIE EST UN PÉCHÉ

Stanislas Lalanne, “évêque” de Pontoise, est un oiseau assez exceptionnel. Pour lui, la pédophilie est « un mal » mais il ne « saurait pas dire si c’est un péché ». Voici ses propos qui ont évidemment violemment heurté (et on les comprend !) les victimes de clercs pédophiles : « La pédophilie est un mal. Est-ce que c’est de l’ordre du péché ? Ça, je ne saurai pas dire, c’est différent pour chaque personne. Mais c’est un mal et la première chose à faire c’est de protéger les victimes ou les éventuelles victimes », a-t-il déclaré mardi sur RCF, réseau de 63 radios chrétiennes francophones. Il intervenait dans le cadre d’une émission consacrée à « L’Église de France face à la pédophilie ». Devant les réactions peu amènes des auditeurs, il s’est senti obligé de préciser sa pensée, tout en s’enfonçant davantage : « C’est un mal profond. Les choses sont très, très claires. Est-ce que c’est péché ou pas ? Je ne sais pas et ça peut être différent suivant chacun. Donc on ne peut pas généraliser », a-t-il ajouté. Et puis, cette forte considération : « La difficulté, c’est quelle conscience la personne a de ce mal ? Comment elle s’en sent responsable ? […] Quand on commet un péché, on a conscience qu’on blesse la relation à l’autre et qu’en blessant la relation à l’autre, on blesse la relation avec Dieu », explique-t-il. « On est dans l’ordre du péché mais est-ce que cet homme est pécheur au sens strict du terme ? Je ne peux pas le dire, à chaque fois, on ne peut pas parler de façon générale », a conclu Stanislas Lalanne. Quel charabia ! Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces “évêques” conciliaires ne sont pas très clairs sur la question, ce qui est tout sauf rassurant. En attendant, il a fallu que ce fût le ministre socialiste d’origine marocaine, Najat Vallaud-Belkacem, qui secouât cet imbécile de haut vol, en déclarant « Je lui demande de lever tout ambiguïté. Je pense que c’est absolument indispensable pour les familles, pour le message envoyé à la société, et je pense qu’il aura l’occasion de le faire ».

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A l'attention de nos lecteurs de l'Aisne :

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mercredi, 27 avril 2016

François le catholique et Finis Europae

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Dr Bernard Plouvier

Une question se pose à qui a un peu fréquenté l’histoire des événements et des idées : pourquoi s’en prendre à ce pape d’un genre nouveau ? Après tout, François Ier (et peut-être dernier), venu des Amériques, fait ce pourquoi on l’a élu : il casse la domination européenne sur le catholicisme. Ce faisant, il suit une logique qui nous ramène au proto-christianisme.

L’étymologie et la théologie ne peuvent que donner raison à ce pape - démagogue, roublard et subversif, si on le juge du point de vue d’un Européen -, à ce jésuite fin connaisseur de l’histoire et de la théologie, si on le juge de façon objective… ce qui est certainement plus facile à l’athée européen qu’au catholique d’Europe.

Katholichos signifie : pour tous [les humains]. Quant à la théologie morale, elle est fondée sur l’Agapè : l’amour (supposé) de la divinité pour ses créatures, avec son corollaire, l’amour en retour des créatures pour le créateur et pour tous les frères et sœurs en Jésus-Christ qu’il a plu à la divinité de leur octroyer (débiles mentaux, pervers, islamo-terroristes compris… et on en passe).

Du IIe au IVe siècles, les Pères de l’Église (style Justin, au IIe siècle) ou ceux dont l’Église a moins honoré le souvenir (du type Lactance, à cheval sur les IIIe et IVe siècles) n’ont eu de cesse de combattre l’État et la notion de Patrie. « Les chrétiens voient un frère en chaque être humain… Toute patrie terrestre est Terra incognita pour le chrétien » (Justin, né en l’actuelle Naplouse et mis à mort sous le principat du bon Marc Aurèle, piètre Imperator, mais qui savait différentier l’ami de l’ennemi) ; « L’attachement à la patrie est, par essence, un sentiment hostile et malfaisant » (Lactance)… et l’on pourrait multiplier les exemples, jusqu’à ce que les invasions barbares fassent trembler le bon Ambroise de Milan (IVe siècle) et que la prise de Rome par les Goths d’Alaric (en 410) fasse pleurer quelques évêques.

Lorsque le démagogue jésuite venu d’Argentine prône l’invasion de l’Europe par des Africains et des Proches-Orientaux, il démontre la persistance de cette prodigieuse faculté de nuisance d’une foi naïve glorifiant la charité (soit : la bonté sans espoir de réciprocité), ce culte de la douceur dans un monde de brutes, cette ouverture absolue à tous, y compris les destructeurs, les pillards et les incendiaires, les violeurs et les égorgeurs.

Il paraît que divers philosophes, moralistes et autres délicats penseurs auraient dit, écrit et peut-être pensé (c’est déjà moins sûr) que la douceur triomphe de tout, y compris de la haine et des armes… parlez-en aux mânes des merveilleux Oulianov-‘’Lénine’’, Bronstein-‘’Trotski’’, Dougashvili-‘’Staline’’, Sar Saloth-‘’Pol-Poth’’ ou de Mao Tsé-toung, interrogez le survivant Fidel Castro et vous entendrez l’immense éclat de rire tartare, judéo-bolchevique ou de quelque autre exotisme. Ceux-là et leurs émules islamiques savent que la Force crée le Droit.

Qu’au pays de La Fontaine, il faille répéter que « La raison du plus fort est toujours la meilleure » témoigne, certes, de la faillite de l’instruction publique, mais aussi du caractère hautement pernicieux de la propagande émolliente déversée à pleins tubes cathodiques (et sur le Net) depuis les années 1980-1990, soit les débuts de l’ère globalo-mondialiste, où des requins d’affaires se sont associés aux piranhas islamiques pour détruire l’Europe.

Le pape actuel joue sa partition catholique et le fait admirablement. Son solo de flûte (ou de « pipeau ») fait de lui l’avatar du joueur d’Hameln (Hamelin pour les oreilles françaises)… mais dans le droit fil du scénario chrétien original : opposé aux notions de races, de patries, de légitime défense & vantant les charmes du métissage universel, de la douceur, voire du martyre qui permet d’accéder plus vite et de façon quasi-automatique à la féérie de la vie surnaturelle.

C’est plus tard, que l’Église a changé son enseignement, vantant les charmes (autrefois vénéneux) de la guerre juste voire sainte… puis vint le Concile Vatican II, où des pères (en grande partie jésuites), fins connaisseurs de l’histoire et des thèses du proto-christianisme, ont joué la carte du retour à la « pureté des origines », soit l’Utopie jointe à l’Uchronie.

Que le pape jésuite suive cette voie, c’est logique et même légitime dans son délire religieux. Ouvrons les yeux : ce n’est pas le musicien qu’il faut combattre mais la partition originale !

Un Français devrait se souvenir de l’un de ses auteurs, Denis Diderot, qui fut emprisonné au Fort l’Évêque pour avoir écrit entre autres Pensées philosophiques : « Avec la femme et le prêtre on ne discute pas : il y a les maisons de correction ». Il n’existe plus, en notre beau pays, de maisons de ce type. Il faut donc que les Français de souche – et d’une manière générale, tous les Européens autochtones – tirent les conclusions qui s’imposent du Monde tel qu’il est devenu.        

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Mardi 3 mai, Gabrielle Cluzel dédicacera son nouveau livre "Adieu Simone !" à la Librairie française

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