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mardi, 07 juin 2016

Pour votre information :

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Campagne de réinformation menée par le mouvement Nation

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Suite à l'arrestation d'un pseudo nationaliste français en Ukraine

autoc-Revnatio.jpgUn communiqué du

Renouveau français :

Les médias évoquent depuis quelques jours le cas d’un jeune Français arrêté en Ukraine par les services secrets de ce pays, alors qu’il transportait un impressionnant arsenal, lequel lui aurait été fourni par… ces mêmes services. Toujours selon ces derniers, l’individu préparait des attentats en France (15 précisément !).

Une affaire fumeuse et des assertions qui sont prises avec beaucoup de suspicion du côté du gouvernement français, le gouvernement ukrainien voulant actuellement faire pression sur la France et se présenter comme un précieux ami ; sans parler de ses services secrets réputés pour leurs coups tordus et manipulations grossières.

Quoiqu’il en soit, d’après la presse, il a été retrouvé dans le domicile lorrain du suspect un « tee-shirt » avec le sigle de notre mouvement, et certains médias en profitent pour prétendre abusivement que l’individu est « proche » du RF.

Il nous revient donc de préciser que ce Grégoire M. n’a jamais été adhérent, et qu’il est inconnu du RF.

Quant aux « tee-shirts », ils sont en vente libres sur plusieurs sites internet et lors de certains grands rassemblements et manifestations : il en circule des centaines d’exemplaires sans que cela ne saurait bien sûr constituer un lien formel avec notre organisation.

La police et la justice françaises ne s’y trompent d’ailleurs pas et n’ont pas dérangé à ce sujet nos militants et notre organisation, une organisation publique, légale et prudente.

Il serait de mauvaise foi de vouloir entacher l’image de notre mouvement sous prétexte qu’un objet en vente libre a été trouvé chez telle ou telle personne.

On voit mal Nicolas Sarkozy être convoqué ou perquisitionné (choses dont il est par ailleurs familier) parce qu’on aurait trouvé un autocollant LR chez un criminel.

Dans un registre plus grave, on ne se souvient pas que les Verts ou la Ligue des Droits de l’homme aient été importunés judiciairement ou policièrement, ou même médiatiquement, après que Richard Durn (pour le coup réellement membre de ces structures) a assassiné huit personnes en 2002.

Le RF se réserve le droit de porter plainte contre toute diffamation qui pourrait être portée à son encontre.

Source cliquez ici

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Le complot terroriste inventé...

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Une fois de plus les stratagèmes du Système prennent les Français pour des imbéciles. A quelques jours du lancement de la coupe d'Europe de foot-ball, ils viennent de concocter un scénario rocambolesque pour faire frémir les bonnes âmes.

Tenez-vous bien, on se croirait dans un mauvais roman de gare. A la frontière ukraino-polonnaise un Français de 25 ans a été arrêté avec petit arsenal dans le coffre de sa voiture. Pour se procurer un tel armement, même en Ukraine, cela nécessite des complicités et surtout la bienveillance des autorités. Or, le Français ne semble pas être sur ses gardes puisqu'il envisage benoitement rentrer en France par la route en passant la frontière sans problème. Il est vrai qu'une fois en Pologne, il a peu de risque d'être inquiété puisque, en vertu de Schengen, les postes de douane entre les différents Etats ont été supprimés. Mais là où les choses se dévoilent, c'est qu'en perquisitionnant le domicile de notre contrebandier du dimanche les flics français ont découvert, tenez-vous bien, un polo frappé d'un insigne "d'extrême droite". Bingo ! Tous les ingrédients du complot de l'internationale noire sont réunis... et la presse aux ordres peut s'en donner à cœur joie.

En réalité, cela ressemble plus à une farce politico-médiatique qu'à autre chose. Il faudrait nous expliquer comment un individu bénéficiant des moyens pécuniaires et matériels pour réaliser un tel trafic, puisse être assez naïf pour se présenter à la douane sans préjuger les risques qu'il prend...

Tout cela relève de l'enfumage le plus pervers et de la manipulation. Pendant que l'on s'obstine sur de prétendus complots d'extrême droite, les terroristes musulmans peuvent s'organiser tranquillement.

Un jour viendra où les responsables, qu'ils soient à Matignon, Place Beauvau ou ailleurs devront s'expliquer...

Synthèse nationale

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lundi, 06 juin 2016

Une poignée d’élus décide du massacre légal du patrimoine culturel et paysager de la France !

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Les promoteurs éoliens, relayés par les élus du groupe Europe Écologie les Verts et plus particulièrement le député Denis Baupin et la sénatrice Marie Christine Blandin, ont réussi à interdire aux architectes des bâtiments de France la possibilité de contrôler les implantions d’ éoliennes qui massacrent le territoire et le patrimoine des Français.

Le 26 mai 2016, dans le cadre de l’examen en seconde lecture du projet de loi dit « CAP » (Création, Architecture et Patrimoine), les sénateurs ont retiré l’amendement(*) qui leur aurait permis de donner un avis sur le bienfondé de la construction d’éoliennes géantes dans un rayon de 10 km autour des monuments historiques.

En écartant la compétence du corps des architectes et urbanistes de l’État, garants d’une partie essentielle de la richesse culturelle de notre pays, ces parlementaires ont manqué à leur devoir de représentation de l’intérêt collectif à long terme, au profit d’intérêts particuliers à court terme. Par cette décision ils ont donc choisi d’abandonner notre patrimoine commun aux promoteurs du vent. Ces élus cèdent la France à des affairistes et des spéculateurs ne poursuivant que la financiarisation avide de leurs intérêts.

La Fédération Environnement durable (FED) remercie les centaines de milliers de citoyens bénévoles qui se sont regroupés pour refuser cette infamie ainsi que tous les élus lucides qui les ont soutenus.

Elle leur demande d’ores et déjà de se mobiliser afin qu’aux prochaines échéances électorales, tous les élus ayant accepté la destruction de notre patrimoine culturel et paysager ne soient plus jamais réélus.

Il appartient dorénavant aux citoyens, face à ce renoncement, d’assurer la sauvegarde du bien commun.

Plus que jamais, la FED est déterminée à lutter à leurs côtés.

(*) Art. 33 bis A au PL Création, Architecture et Patrimoine, pour la protection des monuments historiques.

Contact presse : Jean-Louis Butré Tel : 06 80 99 38 08

Courriel :  contact@environnementdurable.net 

Source Altermédia cliquez ici

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Le « revenu universel » et le bon sens des Suisses

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Dr Bernard Plouvier

L’expérience du XXe siècle, venant après celle des années 1789 sq., s’est chargée de démontrer que la Nation française n’est plus la « plus spirituelle d’Europe », comme l’avait proclamé, au début du XVIIIe siècle, le tsar réformateur Pierre le Grand.

S’est-on assez moqué des Suisses, réputés lents dans l’action et la pensée ? Or, il s’avère que les libres citoyens composant cette Nation refusent l’union des Économies européennes et son triste corollaire, l’Euro, dont l’utilité pratique est évidente pour le voyageur, mais l’est beaucoup moins pour les États en mal d’exportations. Item, la Nation suisse s’oppose à l’accueil massif des immigrants-envahisseurs africains et moyen-orientaux. Cerise sur le gâteau, cette Nation vient de repousser à une écrasante majorité l’immonde stupidité du « revenu universel ».

Le principe du revenu de base est d’allouer annuellement à chaque citoyen une somme (généralement un peu inférieure au SMIG – soit le salaire minimum interprofessionnel garanti), sans contrepartie, par le seul fait d’exister et d’être reconnu citoyen de l’État.

La source de cette manne providentielle est représentée soit par l’excédent budgétaire (ce qui ne se rencontrait en aucun pays, sauf dans les émirats pétroliers, jusqu’à la chute vertigineuse des cours du pétrole brut, provoquée par la profonde stupidité, en matière de stratégie économique, des maîtres des grandes compagnies pétrolières), soit par les bénéfices d’exploitation des Domaines et Régies d’État, soit, enfin, par une augmentation de l’imposition des riches et des grands travailleurs !

Quelles que soient les contorsions verbales des inventeurs et promoteurs de ce « revenu de base », il s’agit à la fois d’un encouragement au parasitisme social, de la dévalorisation la plus grotesque de la notion de travail, enfin d’un cadeau supplémentaire à la grande distribution, puisque ce « revenu » (qui n’est généré par aucun travail et n’est qu’un revenant-bon de naissance) est, à l’évidence, une invitation à consommer davantage… et « à l’œil » (variante « aux frais de la princesse »).

Or, tout a un coût, même la plus crasse démagogie. Le coût de cette ignominie est triple. D’abord, les authentiques travailleurs se voient exploités au profit « de tous », soit d’une majorité de sous-doués, de sous-productifs. C’est à la fois immoral et dévalorisant pour ceux qui œuvrent au mieux de leurs facultés pour enrichir le pays en même temps qu’ils s’enrichissent eux et leur famille par un travail honnête et bien fait.

En outre, on détourne le produit des impôts et des revenus des biens productifs de l’État de leur destination première, si l’on s’en tient à la raison d’exister d’un État (si l’on préfère au contrat social) : créer des infrastructures. L’État n’a pas vocation pour nourrir la paresse et le parasitisme social ; il n’existe que pour gérer et améliorer le Bien commun.

Enfin, cette mesure de basse démagogie fait croire aux imbéciles (étymologiquement, les faibles d’esprit) qu’ils peuvent vivoter sans travailler. C’est nier la grandeur du travail, pour soi-même, pour sa famille, pour la collectivité.

On sait bien que la destruction de toutes les valeurs humanistes est indispensable aux maîtres de la globalo-mondialisation. Seulement, quand les Nations inventives et travailleuses auront été cassées par le nivellement du brassage des races, par l’imposition de la barbarie médiévale islamique-djihadiste, par la démagogie la plus crasse, comment les maîtres du jeu économique feront-ils pour continuer d’engranger de superbénéfices ? On imagine qu’ils ne sont pas sots au point d’ignorer que l’argent, circulant ou virtuel, est devenu factice, que la spéculation boursière est toujours hasardeuse et qu’en définitive, on ne peut s’enrichir de façon faramineuse qu’en exploitant le travail d’autrui.

Dévaloriser le travail, même en ajoutant un gain temporaire aux grands patrons de la distribution, est à moyen terme proprement suicidaire pour nos bons maîtres.    

Bienheureux Suisses qui sont interrogés par les gestionnaires de leur État sur les grands choix de société.

Il n’existe pas de Démocratie en France, où le peuple souverain n’a pas été consulté pour l’abolition de la peine de mort et, à l’inverse, pour son application aux fœtus que des femmes indignes mettent à mort avec la complicité d’un État qui pousse l’abjection jusqu’à rembourser l’acte meurtrier, pseudo-médical, injustifiable au point de vue de l’éthique professionnelle.

Il n’existe pas de Démocratie en France, où le peuple souverain n’est pas consulté sur l’immigration de masse qui confine à l’invasion, avec ses corollaires : l’islamisation de la société, la substitution de population majoritaire dans le demi-siècle à venir.

La Démocratie, c’est non seulement une Justice égale pour tous, citoyens et ressortissants étrangers vivant à l’intérieur des frontières de l’État. La Démocratie, c’est aussi la consultation automatique du peuple, seul souverain légitime de l’État, pour tout choix majeur de société.

La Démocratie n’existe pas en France. En revanche, elle existe en Suisse.

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En ce 6 juin, un peu d'histoire : la Normandie sous les bombes alliées...

TV Libertés cliquez ici

 

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Réinfo, le mag du Parti de la France

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dimanche, 05 juin 2016

Une cabale anti-croate

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Christophe Dolbeau

Depuis le mois de janvier une énorme campagne internationale de diffamation et de désinformation fait rage contre le nouveau gouvernement croate et plus particulièrement contre son ministre de la Culture, Zlatko Hasanbegović. On se croirait revenu aux temps de l’Agitprop et du camarade Stepakov, tant les assauts paraissent soigneusement organisés et synchronisés. De toute évidence, l’intelligentsia gauchiste ne supporte pas de voir l’Est de l’Europe et plus particulièrement la Croatie élire des dirigeants de droite et refuser de cautionner la gabegie et la dégénérescence ambiantes. On sort donc l’artillerie lourde. Dernière attaque en date, une pétition qui s’en prend au ministre Hasanbegović, accusé pêle-mêle de révisionnisme, de nostalgie oustachie, de sympathies génocidaires et d’hostilité aux valeurs de l’Union européenne. Jeune historien de 43 ans, le ministre doit être un peu surpris de se retrouver ainsi dans l’œil du cyclone. Il doit probablement s’étonner aussi de voir se mobiliser contre lui toute une ribambelle de « consciences morales » du calibre de Toni Negri, condamné autrefois à 30 ans de réclusion pour meurtres, qu’escortent quelques personnages plutôt incongrus (en tout cas lorsqu’on parle d’affaires croates), comme l’universitaire macanaise Wong Yi-Lee, le comique français Michel Boujenah, le député juif australien Michael Danby, ou encore deux rescapés du génocide rwandais (Jean de Dieu Mirindi et Charles Habonima) et une brochette de féministes américaines. Ces gens-là seraient-ils même capables de situer la Croatie sur une carte ? On en doute un peu. Ajoutez encore à cela l’inévitable Caroline Fourest, le pathétique Finkielkraut (qui court désespérément après l’extrême-gauche alors que celle-ci lui crache dessus) le cinéaste Elie Chouraqui et le dramaturge Dario Fo, et vous obtenez un cocktail pour le moins saugrenu.

Le côté insolite de l’opération ne se limite pas aux signataires de la pétition mais il concerne aussi les media qui s’en font les véhicules. En France, c’est Libération (23.05) qui s’y connaît en matière de génocide puisqu’il s’enthousiasma autrefois pour le bon Pol Pot et ses sanglants collègues de l’Angkar. Nul doute que ce journal soit le mieux placé pour donner des leçons… En Suisse, on trouve Le Temps (30.05) qui fait carrément dans le catastrophisme le plus ridicule en annonçant à ses lecteurs qu’en Croatie, « on va bientôt se mettre à brûler les livres » – un peu comme à la fin des années 1960, lorsque les tribunaux helvétiques faisaient brûler l’ouvrage d’un certain Dr Mathez (1) ? À Bruxelles, c’est La Libre Belgique (28.05) qui s’emmêle un tantinet les pinceaux : elle accuse, en effet, le nouveau gouvernement croate d’être à la fois « ultranationaliste, catholique intégriste et ultralibéral », ce qui paraît pour le moins contradictoire. Ensuite et sans doute en guise d’illustration de l’intégrisme catholique, elle vilipende M. Hasanbegović, oubliant sur sa lancée que ce monsieur est un musulman pratiquant et que sur beaucoup de points, il déclare s’inscrire dans la lignée intellectuelle du païen Alain de Benoist. Mais au diable la cohérence : le tout c’est d’attaquer tous azimuts et d’essayer à tout prix d’abîmer l’image d’un homme et d’un pays !

Faut-il préciser pour conclure que ce déluge d’insanités ne possède aucun fondement ? Dans une déclaration en date du 26 janvier 2016, Ivan Zvonimir Čičak, ancien dissident (longuement emprisonné par la Yougoslavie communiste), grand défenseur des droits de l’homme et actuel président du Comité Helsinki de Croatie, fait litière de toutes les accusations qui visent M. Hasanbegović. Il parle « des attaques diffamatoires et des mensonges » dont le ministre est la cible et dénonce clairement l’usage frauduleux que certains font de l’antifascisme pour tenter de justifier les abus et les crimes de l’ancien régime communiste et de la Yougoslavie. Par ailleurs, dans un autre déclaration, en date du 31 janvier 2016, 77 historiens croates (dont plusieurs universitaires) et 67 personnalités diverses de la communauté académique et scientifique (dont trois académiciens) apportent leur soutien au ministre et expriment leur inquiétude face aux amalgames et déformations qui ont pour but de le « disqualifier politiquement, professionnellement et moralement ».

Toute à la crainte de perdre définitivement son hégémonie culturelle dans plusieurs pays européens et notamment en Croatie, une certaine intelligentsia de gauche fait feu des quatre fers pour tenter de discréditer ses adversaires et sauver ses prébendes. C’est dans ce cadre-là qu’il faut situer les actuels boniments et calomnies qui visent Zlatko Hasanbegović. Au sortir de 45 ans de tyrannie communiste et en l’absence regrettable de toute lustration, la Croatie ne manque, hélas, pas de traîtres, de défaitistes, d’embusqués, de rescapés ou de sycophantes des polices politiques d’antan, et d’antipatriotes de tout poil : longtemps bénéficiaires d’une totale impunité, ces gens ont désormais peur de perdre leurs sinécures, notamment dans les secteurs de la presse et de la culture, et ils attaquent. Ils le font avec leurs armes traditionnelles, le mensonge, la médisance, l’insinuation, l’imposture, et ils peuvent compter comme toujours, dans le monde entier, sur une immense armée d’acolytes, de naïfs et de crétins. Tout cela est de l’intox, ni plus ni moins, et bien sot serait celui qui s’y fierait. Espérons en tout cas que les droites européennes ne se laisseront pas une fois de plus embobiner car pour l’instant, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en matière de solidarité avec la droite croate, elles auraient plutôt tendance à se hâter très, très lentement…

Source Eurosynergie cliquez ici

(1) Citoyen suisse, l’ancien médecin James-Albert Mathez (1896-1974) avait écrit et publié (1965) un ouvrage intitulé Le passé, les temps présents et la question juive. Poursuivi en justice par diverses associations juives, le Dr Mathez fut condamné, en 1969, à 30 jours de prison, et le Tribunal de Vevey ordonna en outre que fussent brûlées les épreuves de son livre ; la gendarmerie helvétique se chargea de cette besogne.

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DÉCÈS DE MOHAMED ALI, ANCIEN LECTEUR DE « TERZA POSIZIONE »

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Lu sur Forum SI cliquez ici :

Ceux qui s’imaginaient que Cassius Clay était un militant des « droits civiques » à la sauce Luther King seront évidemment surpris d’apprendre que ce boxeur mythique lisait Terza Posizione, la publication, elle aussi mythique, des fascistes italiens des Années de plomb. C’est très probablement parce que, révolutionnaire et combattant, compagnon de lutte de ce personnage hors du commun que fut Malcolm X, Clay y trouvait des analyses qui parlaient à sa sensibilité anti-impérialiste. « Il incarna la fierté de sa race », dit NoReporter : souhaitons-nous des Cassius Clay de la nôtre, pour incarner la fierté européenne !

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samedi, 04 juin 2016

Pour les médias il n’y a aucun problème d’immigration en France

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Jean-Yves Le Gallou

Pour les médias, ni le Grand Remplacement de population, ni le Grand Remplacement civilisationnel n’existent. Et si les médias l’affirment les hommes politiques « convenables »… le répètent comme des perroquets. Juppé, Mélenchon ou Philippot vous le confirmeront. Le Grand Remplacement n’existe pas, foi d’autruche ! Le vice-président du Front national l’a redit sur BFM TV le 30 mai : « Je ne parle pas comme ça [c’est vrai que ce ne serait pas chic pour un petit marquis] parce que c’est flou, je ne sais pas ce qu’on y met derrière. »

C’est sûr, le Grand Remplacement, c’est « flou », c’est un fantasme et même un « fantasme complotiste » (le même Philippot au JDD en 2014).

Alors ne bêlons plus ! Ouvrons les yeux ! Sortons la tête du sable :

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Angleterre mais le nouveau maire de Londres s’appelle Sadik Khan. Ce musulman pakistanais a été élu à la suite du départ en 10 ans de 600.000 Britanniques de souche, des cockneys, des quartiers de l’est.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Belgique : comme chacun sait, les Flamands et les Wallons se partagent toujours Molenbeek.

Il n’y a pas de Grand Remplacement Gare du Nord à Paris et il n’y a que Nadine Morano pour s’y croire en Afrique.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Seine-Saint-Denis mais on y voit de moins en moins de femmes ne portant pas le voile islamique.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en France mais, en 2015, le président du CFCM, le Conseil français du culte musulman, a demandé de transformer des églises en mosquées.

Cela ne vous suffit pas ? Vous voulez des statistiques ?

En voici quelques-unes !

Oui, il y a Grand Remplacement dans les abattoirs où plus de 50% des animaux de boucherie sont tués dans d’atroces souffrances, sans étourdissement préalable.

Oui, il y a Grand Remplacement dans les prisons où plus de 50% des détenus sont musulmans et où les Français de souche représentent moins de 30% des effectifs.

Oui, il y a Grand Remplacement dans les maternités. Les statistiques médicales confirment ce qu’on y voit. Les médecins y dépistent la drépanocytose chez les nouveau-nés qui ne sont pas d’origine européenne. Voici les chiffres : 20% des nouveau-nés étaient dépistés en France en 2001, 37% en 2014. Les chiffres montent à 50% en Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur et 66% en Ile-de-France.

Quant à imaginer que cela serait sans conséquences c’est nier le réel : de même qu’il y a des pommes sous les pommiers, les Africains africanisent et les musulmans islamisent.

Les Français sont confrontés à une difficulté majeure : le déni de réalité de la classe médiatique et, à sa remorque, de la classe politique. Tous partis confondus ?

Via Les Villes contre l'islamisation cliquez là

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Conférence de Vincent Vauclin (La Dissidence) à Paris le 26 Juin 2016

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Alain de Benoist et Michel Onfray sur TV Libertés

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vendredi, 03 juin 2016

Ce soir sur Méridien zéro, une grande émission consacrée à Jean Mabire

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Cette semaine, et pour les 10 ans de sa disparition, Méridien Zéro rend hommage à Jean Mabire. Un plateau bien garni évoquera l'oeuvre protéiforme de celui qui fut pour certains d'entre nous un véritable éveilleur : Francis Bergeron, Philippe Randa, Eric Lefevre et Roland Hélie. Le tout sous la direction de Monsieur PGL assisté d'Arnaud Naudin.

A la technique pour gérer cette cohorte : JLR.

Méridien zéro cliquez ici

En savoir plus cliquez là

Acheter le CHN en ligne cliquez ici

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Sortie du n°3 de la gazette littéraire non-conformiste "Raskar Kapac"

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Un communiqué de Raskar Kapac (le journal) :

Après quelques péripéties d'impression, Raskar Kapac est enfin disponible dans la plupart des librairies et kiosques parisiens ! Il s'envole vers les boites aux lettres de nos chers abonnés dès ce jour ! Merci à Guillaumet, Mermoz et Saint-Ex ! En espérant que les conditions météo ne soient pas trop mauvaises... Un grand merci également à Christopher M. Gérard, Alfred Eibel et Michel Marmin pour leur participation à ce troisième Raskar !

Où trouver Raskar Kapac cliquez ici

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La petite Histoire de Richelieu sur TV Libertés

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jeudi, 02 juin 2016

Un entretien entre Pascal Gauchon (revue Conflits) et le Cercle Henri Lagrange

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mercredi, 01 juin 2016

Après le succès de leur premier album, Les Brigandes récidivent avec un nouveau CD intitulé "France notre Terre"...

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Thierry Bouzard EuroLibertés cliquez ici

Les Brigandes sortent leur 2e CD avec 14 nouvelles chansons, toujours aussi fortes, mais avec une évolution dans leur thématique. Deux CDs en huit mois, c’est quasiment un exploit. Une partie des chansons est déjà en ligne et si certaines, au lieu de chorégraphie n’ont droit qu’à une simple animation, elles ont toutes des vidéos.

Avec humour et sourire, elles s’en prennent à une génération qui « a fait le vide » avec Les Soixante-huitards, un des titres qui n’a pas encore été mis en ligne : « Ô vous les soixante-huitards/ Je vous vois dans vos beaux costards/ Qui parlez maintenant/ Au nom du gouvernement. »

Jakadi des millions est aussi une découverte. Elle chante l’hypocrisie des vedettes du show-biz qui font la leçon, mais ne veulent surtout pas donner l’exemple. L’inventaire est large et tous en prennent pour leur grade « On en veut des millions, Jakadi des millions/ Mais pas dans ma maison. »

Les Brigandes en veulent aux fossoyeurs, aux révolutionnaires et aux transhumanitaires de tous poils, elles les veulent En Enfer, « les jacobins génocidaires, les bétonneurs de l’équerre, les maîtres des secrets bancaires… en enfer ». Tout cela dit avec gentillesse, accompagné au piano, à la guitare et à la clarinette, les Brigandes sont aussi des musiciennes.

Pas vraiment optimiste mais lucide, leurs jolies voix décrivent le temps de l’Antéchrist : « Si on désire un monde meilleur/ Il faut s’attendre à des malheurs/ Une aggravation de la laideur/ De nos vies. » Nul besoin d’être prophète pour s’en rendre compte, mais trop nombreux sont encore ceux qui ne veulent pas l’envisager.

Elles dézinguent les médias avec Cerveau lavé : « Un journaliste qui prend sa plume, pour écrire/ Se demande avec amertume, comment mentir ». Dommage qu’elles s’en prennent à l’Inquisition, la sainte Inquisition devrait-on dire puisque c’est une œuvre d’Église et qu’elle a introduit la procédure contradictoire dans les procès, ce qui a constitué un progrès avec une réelle prise en compte des droits de la défense. Quand désinformé rime avec télé, ce qui n’est pas assez répété, on ne peut que les approuver.

La Nuit où ils ont serré Jack, fait un rapprochement entre un célèbre assassin londonien du XIXe siècle et les figures médiatiques actuelles. Son sort pourrait être celui qui serait réservé à tous les « juges compromis… psys chabraques… journalistes… flics et complices » qui couvrent les infâmes.

Francis Cabrel serait-il une référence pour les Brigandes ? Pour la musique et le style peut-être, pas pour ses engagements, c’est sûr. Si Une Chanson pour Cabrel est quand même lucide « Mais quand on trime dans le mainstream/ Y’a pas d’erreur, on s’abîme/ Et Francis, n’y échappe pas », elle n’exclut pas une certaine reconnaissance.

L’évolution de leur nouvel album vient dans la place faite aux titres dont le thème se retrouvait précédemment dans Jeanne et France notre terre. C’est-à-dire des titres qui ne se contentent pas de s’en prendre à l’adversaire, mais fournissent des motifs d’espoir ou des modèles positifs comme dans Le Retour des héros qui évoque les figures de Charlotte Corday, Alexandre, Patton et Rommel.

Rêve de reconquête est celui de la reprise d’Algéziras (pour Alger ?) par des hommes venus du Nord : « Nous reviendrons du Nord sauvage/ Comme les loups pour un carnage/ Sonnez trompettes de la reconquête. »

Dans le style musical et poétique des ballades du temps jadis, le Rondeau de France évoque les couleurs de l’ancienne France, quand les chevaliers lançaient Montjoie-Saint-Denis en montant à l’assaut. On en aurait bien besoin. « Quand je vois flotter le drapeau de la France/ Dans l’or et l’azur mon cœur revit/ Par les temps de peine renaît l’espérance. »

Plus ancienne car elle remonte à octobre 2015 et avait été chantée lors du concert de Rungis, France notre terre est un plaidoyer pour l’amour de notre terre ancestrale, « France, notre mère/ On ne peut te laisser humiliée et vaincue. »

On est pas mécontentes d’être des Brigandes fait partie des nouveaux titres. À travers un inventaire de chansons traditionnelles françaises (la Bourgogne, la Paimpolaise, le P’tit Quinquin…), c’est une revendication à s’inscrire dans la continuité des chansonniers populaires anonymes ou célèbres et exprimer la joie de chanter. C’est aussi un appel pour éviter que les anciens répertoires soient remplacés par d’autres venus d’ailleurs : « Ils sont descendus du Nord y’a plus de mille ans/ Pour nous crier haut et fort : « Debout là-dedans ! »/ Ma parole, est-ce qu’ils sont morts, que font les Normands ? »

Seigneur, je ne veux pas devenir Charlie est un appel à se lever pour ne pas sombrer avec ceux qui sont dans le déni de réalité. « Demain l’âme qui vient au monde cherchera cet endroit béni/ Hors des cités nauséabondes où vit la race de Charlie. »

Jèze Society est la réponse des Brigandes aux attaques que le groupe a eues à subir récemment. On peut discuter certaines options des Brigandes, leur fixation sur les jésuites, leurs références au symbolisme ou à l’eschatologie, mais en cela elles sont bien de leur époque, celle du complot, des illuminatis ou du secret des francs-maçons. Et leurs chansons ne font que suivre l’évolution de nos sociétés, d’un certain point de vue de la dissidence. Quoi qu’il en soit de leurs options personnelles, elles savent faire passer avec douceur et poésie des paroles de combat et d’espoir. C’est un beau projet comme il n’y en a pas eu depuis bien longtemps dans la chanson qui défend notre identité.

CD est à 20€ + 3€ de frais de port = 23 €.

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Le 2 mai dernier un colloque a été organisé à Bruxelles par l'Alliance pour la paix et la liberté sur la Syrie

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Lundi 13 juin : une conférence de Patrick Gofman à Caen

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Lundi 13 juin, à l'invitation du PdF14, Patrick Gofman, écrivain nationaliste et ancien étudiant trotskiste de Caen, tiendra conférence sur le thème "le trotskisme dégénéré".

En introduction, Bruno Hirout, délégué départemental du Parti de la France du Calvados, interviendra sur "les devoirs du nationaliste contemporain".

Les deux interventions seront suivies d'un apéritif militant servi sur place. L'entrée est à 5 euros, toute autre information à l'adresse pdfcalvados14@gmail.com !


trots dege.jpgLe trotskisme dégénéré
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LE VENT DU BOULET

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Pierre Vial Président de Terre et peuple cliquez ici

« Venu de Vienne, le vent du boulet a sifflé très près des oreilles des dirigeants européens ». C’est Le Monde, le journal du Système lu par les bobos voulant jouer aux intellos, qui l’écrit (25 mai) au sujet de l’élection présidentielle en Autriche. Et qui ajoute : « Le soulagement sera de courte durée : sous ses différentes variantes, extrême droite, antilibéralisme, nationalisme ou ultraconservatisme, le populisme de droite est aujourd’hui un courant politique ancré en Europe, qui structure la plupart des compétitions électorales ». Il y a là « une progression de fond à travers l’Europe, y compris dans des pays non membres de l’UE comme la Suisse, de partis qui ont en commun l’euroscepticisme, l’hostilité à la mondialisation, un rejet de l’immigration qui va parfois jusqu’au racisme et à la xénophobie, le rejet des élites ainsi qu’une forte critique du féminisme et des droits des homosexuels (…) En Europe comme aux Etats-Unis, ce rejet est particulièrement élevé chez les hommes, en dehors des grandes villes et dans les classes populaires ». En effet, en Autriche, 71% du vote ouvrier s’est porté sur le candidat du FPÖ (Parti de la Liberté d’Autriche).

Cette « grande colère » se manifeste par une chute des partis traditionnels qui, en bons copains-coquins, se tiennent les coudes, comme en Autriche ou en Allemagne (où la « grande coalition « SPD-CDU n’est plus soutenue que par un électeur sur deux, après le traumatisme créé dans l’opinion par le laxisme de Merkel à l’égard des migrants-envahisseurs). Et l’élimination des conservateurs et des sociaux-démocrates à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle en Autriche est révélatrice.

Est plus révélateur encore un phénomène que même un observateur aussi avisé que Jean-Yves Le Gallou n’a pas relevé : Alexandre Van der Bellen, le nouveau président de la République autrichienne, doit son élection aux immigrés. Les chiffres sont clairs : il a gagné avec 31.026 voix d’avance ; or il y a 700 000 musulmans en Autriche, dont 270 000 Turcs – et 115 000 d’entre eux, disposant de la nationalité autrichienne, peuvent donc voter. Des bulletins en langue turque appelant à voter Van der Bellen ont d’ailleurs été diffusés. Un autre vote communautariste a joué : Alexandre Van der Bellen a participé en 2012 à une réunion de la « Conférence judéo-musulmane », qui a appelé les 15 000 Juifs d’Autriche à voter contre Norbert Hofer, le candidat du FPÖ.

Celui-ci a annoncé la couleur : son résultat à l’élection présidentielle « représente un investissement pour l’avenir ». C'est-à-dire pour les élections législatives de 2018 avec, au bout, la Chancellerie, c'est-à-dire la réalité du pouvoir. Tous les représentants du Système, à travers l’Europe, savent que la victoire de Van der Bollen est une victoire à la Pyrrhus. Et serrent les fesses.

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lundi, 30 mai 2016

Une nécessaire repentance des ex-colonisateurs pour le cas africain ?

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Dr Bernard Plouvier

Il est totalement absurde de reprocher à l’homme blanc d’avoir colonisé les populations d’un continent qui, pour l’essentiel, en étaient restées au néolithique voire au paléolithique, tout au plus au Moyen Âge (pour le Maghreb), quand les Européens y ont importé sciences et techniques.

De même, l’esclavage des Noirs fut d’abord une histoire de « rois nègres » (comme l’on disait alors) et de marchands musulmans et juifs, avec en fin de chaîne l’utilisation de cette main d’œuvre non spécialisée par des Blancs indignes d’eux-mêmes. On peut rappeler que les Britanniques et les Français furent les premiers à interdire le commerce des esclaves, alors que celui-ci perdure, sous des appellations masquées, en terres d’islam… même les experts de l’ONU ont été obligés de le reconnaître au XXIe siècle.

Le Liberia, pays indépendant du Blanc et de sa tutelle politique depuis le milieu du XIXe siècle, et l’Ethiopie, qui fut toujours indépendante sauf de 1936 à 1941, n’ont connu pour le premier que la dictature du parti unique (à partir de 1876), puis des guerres civiles d’une étonnante férocité, où des enfants et des adolescents ont démontré leur barbarie jusqu’en 2003, et, pour le second, le rezzou et l’esclavage jusqu’à leur interdiction par l’occupant italien et les guerres tribales.

Jusque-là, une éventuelle repentance européenne n’est guère appropriée. La création d’infrastructures en Afrique, pour faire passer ce continent de la somnolence médiévale ou de la sauvagerie préhistorique à la modernité, a coûté extrêmement cher aux contribuables européens. L’esclavage ne fut, du côté des Blancs, que l’affaire d’une minorité d’utilisateurs (sauf aux USA, où il fut institutionnalisé : la repentance, de ce côté-là de l’Atlantique est logique). Enfin, les prestations des seuls États noirs indépendants avant la généralisation de la décolonisation n’ont pas démontré une quelconque supériorité humaniste sur celles des États d’Europe, d’Asie ou des trois Amériques.

Pourtant, les menaces que le continent africain fait peser sur l’équilibre écologique, économique et politique de la planète méritent de sérieuses réflexions, voire une certaine repentance de la part de l’ex-colonisateur blanc.

La population africaine actuelle est d’environ 1,2 milliard d’êtres humains, soit 17% de la population mondiale, alors que l’Afrique, au sol et au sous-sol exceptionnellement riches, ne représente que 1,5% de Produit Mondial Brut. Depuis 1950, la population africaine a plus que quintuplé (elle était estimée aux alentours de 230 millions en 1950). L’on a surtout observé une innovation historique : l’urbanisation massive sans industrialisation, avec éclosion d’une énorme ceinture de bidonvilles autour de chaque cité et d’une explosion de criminalité et de délinquance.

En aucun autre continent la fécondité ne reste aussi primitive : au Maghreb, l’indice moyen est de 3 enfants par femme ; il est de 5,5 en Afrique tropicale ; l’indice de l’Afrique australe est intermédiaire. La mortalité infantile a été divisée par trois, même si elle demeure monstrueusement plus élevée qu’en Europe ou en Amérique du Nord.

En outre, le départ du colonisateur blanc s’est accompagné d’une effarante corruption des soi-disant élites, de la dégradation des infrastructures rurales et des quartiers périphériques des villes, d’un extraordinaire recul du maintien de l’ordre. Parallèlement, l’islam progresse du Nord au Sud à une vitesse effarante, recrutant d’excellents combattants pour sa violence djihadiste : les Africains noirs sont robustes, téméraires et prêts à tout pour échapper à une vie miséreuse.

La cause unique de la monstrueuse inadéquation d’une croissance démographique et d’une économie lamentable, c’est à l’évidence l’intervention intempestive de la technologie occidentale ! La baisse de la mortalité (notamment infantile), le doublement de l’espérance de vie moyenne, sont les conséquences de l’hygiène (notamment dans l’apport d’eau potable et le traitement des déchets organiques), des techniques obstétricales (qui ont quasiment fait disparaître le tétanos ombilical, autrefois endémique), des vaccinations, de l’antibiothérapie, des traitements antiparasitaires et antiviraux.

Autrement dit, l’on a procuré à un continent une technologie médicale moderne, sans inculquer aux populations le mode d’emploi pour obtenir une meilleure vie économique et sociale : faire moins d’enfants pour mieux les éduquer ; pacifier les populations ; apporter le goût du travail et de l’effort au lieu du spectacle des jouissances dans les sociétés évoluées et laborieuses depuis 2 à 3 millénaires… la télévision, pour des individus peu habitués, est une exceptionnelle source de ravages mentaux, en Afrique comme partout ailleurs.

Par humanitarisme mal compris (notamment le stupide dogme du « respect des cultures ancestrales », même ultra-primitives), l’Occident s’est rendu coupable d’un authentique crime contre l’humanité… et commence seulement à en payer les conséquences.  

17:29 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’étrange rendez-vous de Béziers !

3012854566.jpgLa chronique de Philippe Randa

Le « rendez-vous de Béziers » organisé ce week-end par le maire de la ville Robert Ménard portait bien mal son nom : de « rendez-vous », à l’évidence, il n’y eut point, puisque la plupart des « têtes d’affiche » annoncées (Philippe de Villiers, Nicolas Dupont-Aignan, Éric Zemmour,…) se firent porter pâles, tandis que les députés Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard tournèrent rapidement les talons, heurtés par les propos tenus à l’encontre de leur mouvement.

À défaut de « rendez-vous », les deux milliers de participants connurent donc une double déconvenue : non seulement l’échec de cette fantasmatique « union » des droites, mais pire encore, de l’exposition en place publique de la réelle « désunion » de celles-ci… sur fond de mépris pour les uns, d’agressivité pour les autres et malgré un discours convaincant de Robert Ménard dimanche en fin de matinée et ses 51 propositions, la plupart de bon sens, reconnaissons-le !

Le prétendu « peuple de droite » n’aura donc, à l’issu de ce week-end, non seulement ni homme (ou femme) providentiel(le) à adouber, ni lot de consolation avec les nombreuses tables-rondes où les débats, forcément, furent de fait plombés par l’ambiance délétère des dissensions politiciennes, trop politiciennes.

Les plus optimistes pouvaient craindre que ce « rendez-vous de Béziers » fut un succès d’affluence et de promesses politiques aussi grandes qu’elles seraient rapidement passées à la corbeille dès le lundi matin ; les plus pessimistes pouvaient de leur côté en anticiper la déconfiture dès l’annonce de la création d’un mouvement, un de plus ! – au nom « surprenant » (pour ne pas être plus méchant) : « Oz ta droite » – et bien que son fondateur se défende âprement de toutes velléïtés futures de le jeter dans l’arène politique.

Du premier parti de France au plus modeste électoralement, il est évident qu’aucun parti n’accepterait ce nouveau venu – automatiquement perçu, même à tort, comme rival potentiel, d’autant plus que son fondateur s’est empressé, avec une rare maladresse, d’affirmer qu’il ne serait un marche-pied pour aucun d’entre eux – surtout à moins d’un an d’une échéance électorale d’importance, soit la « Reine des batailles » comme il est convenu désormais de nommer l’élection présidentielle… Une telle naïveté de la part de Robert Ménard ne pourrait finalement que confirmer la sincérité de sa démarche, mais naïveté et politique ont de tout temps été férocement incompatibles ; on s’étonne qu’il ne le sache pas, qu’il l’ait oublié… ou plus encore que personne dans son entourage ne le lui ait rappelé.

Ensuite, quel intérêt d’avoir voulu convier des leaders politiques à un « rendez-vous » qui se voulait d’abord et avant tout débat d’idées ? A-t-on jamais vu un politicien subir des remontrances publiques, sous les feux des caméras, dans des échanges auxquels il était prévu qu’aucun d’eux ne participe ? C’était forcément l’occasion de prendre des coups, sans même être en mesure de les rendre… Convier des leaders nationaux à un tel « rendez-vous » fait fâcheusement penser à un « dîner de cons » ; Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard qui n’avaient pas vu le coup venir, l’ont très vite réalisé ! Leur sens de l’humour a des limites qu’on peut comprendre.

Robert Ménard connut par le passé un succès mérité comme co-fondateur de Reporters sans frontière et du site Boulevard Voltaire, puis en prenant d’assaut électoral la Mairie de Béziers pour la diriger ensuite avec une compétence réelle…

Il a malheureusement crû qu’il pourrait de même endosser le costume de Directeur de conscience de la droite se voulant de conviction… Il serait dommage que certains lui en tiennent trop grande rigueur désormais ; rappelons qu’il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne commettent pas d’erreur. Et les convictions sont toujours estimables, même si elles peuvent aveugler !

 

17:28 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réinfo, le mag du Parti de la France

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Béziers : un samedi réussi, mais pour quoi faire ?

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Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici

Aussitôt sortie du train, les nuées de personnalités et de journalistes envahissaient les trottoirs biterrois. L’événement du jour, hormis le lancement du parti « Oz ta droite ! » de Robert Ménard, dont le nom en a laissé dubitatifs plus d’un, était le retard du train, tout le gratin réac et mal pensant s’en trouvant affecté, ce qui n’empêchait nullement sous un soleil radieux une bonne humeur palpable et une jovialité sincère de se retrouver entre gens de bonne compagnie. Jean-Paul Gourévitch me tendit sa main presque machinalement alors qu’on ne se connaît pas, tandis que j’armais mon portable pour immortaliser la scène.

Intriguée, une femme me demanda ce qui se passait tandis que je cherchais mon chemin. Il me fallait arriver au Palais des Congrès sans tarder. Aussitôt traversée la rue, je me suis retrouvée nez à nez avec une mosquée, des voilées, des kamis. Boutiques de caftans, kebabs et autres boucheries halal me laissèrent bouche bée : même mon coin de Seine-St-Denis ne m’offre pas autant d’exotisme au m2.

Passés le traumatisme de me trouver en plein Maghreb avec ses effluves de makrouts, j’arrivai à bon port. Robert Ménard, Ivan Rioufol, Charles Beigbeder, Bruno Mégret, Béatrice Bourges, Guy Millière, Xavier Lemoine, Marion Maréchal-Le Pen et Oskar Freysinger étaient là, entre autres. C’était comme le festival de Cannes mais en moins toc et avec plus de neurones.

Robert Ménard est arrivé sur scène accompagné de Denis Tillinac pour l’ouverture de ce week-end particulier. Si le personnage Tillinac était sympathique, ses proximités politiques ont fait quelque peu tiquer dans les rangs : comment faire pleinement confiance à un proche de Chirac, de Sarkozy, de ces gens qui ont vendu la France, l’ont immigrée, rêvent de la métisser ?

La journée du samedi était consacrée à différents thèmes au choix : économie, médias, famille, sécurité et justice, armée. N’ayant pas le don d’ubiquité, j’ai assisté à la session sécurité et justice, où intervenaient Xavier Raufer, Thibault de Montbrial, Guillaume Jeanson de l’Institut pour la Justice, ainsi que Cédric Michel du Syndicat de Défense des policiers municipaux. La Justice en a pris pour son grade, le Syndicat de la Magistrature principalement, tandis que Thibault de Montbrial a encouragé les Français à prendre des cours de tirs, le domicile de chacun devant avoir le droit d’être sanctuarisé et sa peau protégée.

L’Uclat (Unité de Coordination de la Lutte Antiterroriste) révèle qu’il y a entre 5 et 15 000 personnes radicalisées en France. Selon Alain Juppé, il s’agirait de ne pas dramatiser la situation, or, toujours selon l’Uclat, dans ce domaine Bordeaux est au degré de radicalisation le plus élevé de France.

L’ambiance, bienveillante durant les interventions des orateurs, est devenue plus tendue lors des questions du public : trop de Daesh et pas assez de « chez nous », trop de rappels historiques et pas assez de « maintenant » et de « demain », trop de « ton Valeurs Actuelles », trop de mentions à l’islam qui n’aurait quand même pas toujours à voir avec l’insécurité selon quelques personnes du public ou qui a au contraire tout à voir pour d’autres.

Le public était en attente de solutions concrètes, tangibles, immédiates. Il n’a eu que des constats connus et des désirs de faire sans grand espoir d’application. Il s’en est parfois agacé.

Un hommage a été rendu à notre ami policier Sébastien Jallamion qui a été chaleureusement applaudi. Sébastien a été d’ailleurs très sollicité par ceux qui le reconnaissaient et saluaient son courage.

Les sessions se tenaient à différents endroits du quartier. Je me suis donc rendue au théâtre l’après-midi pour suivre le thème de l’Europe, tandis que d’autres se précipitaient à celui de l’immigration qui, paraît-il, a été des plus agités.

Derrière le théâtre passait un défilé d'« antifascistes » armés de drapeaux ornés de la faucille et du marteau (100 millions de morts, plus que le nazisme donc), de drapeaux LGBT et de jolies pancartes anti Ménard, criant au fascisme de ceux qui se rendaient à l’invitation du maire.

François Billot de Lochner, Hervé Juvin, l’ancien ministre François Guillaume et Guy Millière évoquèrent tour à tour la coquille vide qu’est l’UE, sa nocivité, la nécessité de sortir de l’Otan, de rejeter le Tafta, Schengen, le poids écrasant de la toute puissante Amérique.

Oskar Freysinger représentait sa Suisse, pays d’Europe encore préservé du « grand machin » européen, bien que subissant tout de même ses nuisances avec les assauts d’individus venus de France, parfois de Marseille, pour tromper leur désoeuvrement en volant ou en braquant des commerces.

Il a expliqué la méthode suisse : le système mis en place doit être immuable et les hommes doivent s’y appliquer en mettant de côté leurs penchants naturels, leur désir de pouvoir personnel. La Suisse a mis en place à l’origine un mode de fonctionnement social à partir d’observations de la nature qu’ils ont transposées. Les individus restent libres mais aucun ne peut se rendre maître du système. Oskar a expliqué qu’avec un tel mode de fonctionnement, on pourrait remplacer les politiques suisses par des ânes, le système fonctionnerait quand même. « Vous prenez n’importe quel autre pays, vous mettez un âne… c’est arrivé dans certains pays (rires dans la salle)… ça a fait beaucoup de foin. Vous êtes dans la merde ! ». Il a vanté les bienfaits de la démocratie directe qui rend le peuple souverain. « Nous, nous sommes tous Louis XIV »… Tout le monde est participatif, tout le monde dirige le pays, le peuple est une opposition institutionnalisé avec les pleins pouvoirs, alors qu’en France nous subissons « une alternance des corruptions ».

Fustigeant l’UE, il a affirmé que sa construction était « le complexe allemand de la 2e guerre mondiale ».

« Créer l’homme nouveau c’est la pire agression qu’on puisse avoir envers les êtres humains », c’est ce qu’ont voulu faire le communisme et le nazisme. Une notion qui revient pourtant sans complexe au goût du jour…

En conclusion, Oskar a évoqué l’Europe des Nations, la vraie Europe, celle qui ne pourra se faire qu’avec la Russie, un souhait vivement applaudi dans le public. « Les Anglo-saxons n’ont qu’à bien se tenir, parce que eux prétendent être les policiers du monde mais les fouteurs de merde c’est eux », une vision que ne partageait pas Guy Millière qui, à plusieurs reprises, a défendu les Etats-Unis.

Le plaisir de chacun de se retrouver ou de faire de nouvelles connaissances était palpable et l’accessibilité cordiale des intervenants ont été pour beaucoup dans la réussite de cette rencontre. Pour autant des frustrations sont demeurées : comment rassembler des droites qui ont tout à gagner à jouer dans la même cour mais qui ne parviennent pas à se mettre d’accord sur la forme alors que le fond est bien là, qui restent trop policées alors qu’on en attend enfin de la fronde, qui anticipent la future couleur des murs alors que ce sont toutes les fondations qui s’effondrent ?

Comment encore passer de l’étape, certes enrichissante de connaissances, à l’action concrète, aux solutions tangibles, à l’abandon du « y’a qu’à, faut qu’on » dont on a senti, à plusieurs reprises durant les sessions qu’il ne pouvait plus suffire. La coupe est pleine et l’arbre à palabres perd ses feuilles. Au-delà de s’enrichir d’érudition, chacun se posait la seule question acceptable : « bon alors, on y va quand ? ».

Sur la réunion de Béziers lire aussi

08:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 29 mai 2016

Un demi-millier de jeunes identitaires investissent la place Monge à Paris

La manifestation "On est chez nous !" cliquez ici a rassemblé 500 jeunes identitaires hier samedi dans le centre de Paris. Partout, après Rome, Madrid, Athènes et Bruxelles la semaine dernière, le mouvement d'opposition à l'islamisation de l'Europe se fait entendre...

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10:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 28 mai 2016

A l'occasion du soixantième anniversaire du soulèvement de Budapest, les Bouquins de Synthèse nationale publie le livre BUDAPEST 1956 de David Irving

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Il y a 60 ans, à Budapest, le peuple se soulevait contre l'oppression communiste. C'était la première fissure du Système qui s'était instauré à Yalta et qui devait durer pour l'éternité. 45 ans plus tard ce Système s'écroulera, emportant avec lui l'Union soviétique et le Pacte de Varsovie. Il s'imposera alors un "Nouvel Ordre mondial" dominé par la haute-finance apatride, qui, à son tour, commence aujourd'hui à avoir du plomb dans l'aile.

David Irving relate dans ce livre cette insurrection spontanée de Budapest en octobre 1956. La recherche de documents et de témoins le mena un peu partout en Europe et ailleurs entre 1975 et 1981, alors que la Hongrie se trouvait toujours sous la botte communiste. L'étude en résultant est celle de l'autopsie d'une révolution avortée, vue tant du côté des combattants de rue que de celui des salles de réunion feutrées des puissants. C'est un drame prenant avec prés de dix millions de figurants.

Pour ne pas s'être plié au "prêt à penser" dans les années 90, David Irving fut mis à l'index par les nouveaux maîtres du monde. Il fut écarté des média, calomnié et condamné. Son œuvre, non conformiste, devait tomber dans l'oublie. Mais Synthèse nationale, en accord avec lui, a décidé de la rééditer pour contribuer à la victoire de la Vérité...

Budapest 1956, l'insurrection (volume 1), est le premier livre de cet historien britannique de renom que nous publions. Le second volume sortira en octobre.

Premier volume : 330 pages, cahier photos, 22 €

TRADUCTION INTEGRALE ET INEDITE EN FRANCAIS DU TEXTE ORIGINAL DE DAVID IRVING !

Bulletin de commande

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Pour fêter ses 10 ans, Synthèse nationale envoie une plaquette à ses 10 000 amis

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Il y a dix ans que Synthèse natio­nale appa­raissait sur la toile. D'abord sous la forme d'un mo­deste blog qui, petit à petit, s'est trans­formé en un véritable site d'in­formation ali­menté au moins trois fois par jour et qui est maintenant quo­tidienne­ment consulté par au minimum 3 000 personnes. Parfois, il ar­rive que le nombre des connexions dépasse les 25 000.

En dix ans, nous avons donné la parole à plus de 200 personnali­tés, responsables politiques as­sociatifs ou économiques, écri­vains, élus et acteurs se récla­mant de notre famille politique. Nous avons lancé deux revues, Synthèse na­tionale et les Cahiers d'Histoire du nationa­lisme, créé une mai­son d'édition, Les Bouquins de Synthèse na­tionale, et un service de diffu­sion en ligne. Nous avons mené plusieurs campagnes mili­tantes, contre l'islamisation, contre le Traité transatlantique, contre SOS-Racisme pour ne ci­ter que celles-ci. Nous avons aussi orga­nisé des dizaines de réunions, colloques et séances de dédica­ces tant à Paris qu'en Province, ce à quoi il faut ajou­ter nos journées nationalistes et identi­taires qui rassemblent de plus en plus de monde chaque année, à Lille en avril et à Rungis, près de Paris, en octobre.

Tout cela a été possible grâce à l'engagement d'une poignée de volontaires et au dévouement de l'équipe de contributeurs qui scrutent en permanence l'actualité afin de sélectionner l'essentiel à l'attention des militants et sym­pathisants de la cause nationale et identitaire. 

La seconde raison de la longé­vité et du développement de Synthèse nationale est la fidélité et la générosité de ses lecteurs. Beaucoup nous aident en s'abonnant à la revue éponyme ou aux Cahiers d'Histoire du na­tionalisme, certains en adhérant à l'association des Amis de Syn­thèse nationale, d'autres enfin en achetant régulièrement les livres que nous éditons ou pro­posons. Quoi qu'il en soit, nous tenons à tous vous remercier pour votre fidèle amitié. Sans vous, rien n'aurait été possible.

Synthèse nationale fait partie de ces pôles de résistance qui gê­nent le Système. Pour s'en convaincre, il suffit de constater la quantité d'endroits, qu'il s'agisse des services de l'Educa­tion dite nationale, des chaines d'hôtels internationaux, des en­treprises mondialisées, où l'accès à notre site est interdit. Cela ne nous décourage pas. Bien au contraire, cela nous incite à am­plifier notre action.

Le dimanche 2 octobre pro­chain à Rungis (94), ce sera la dixième jour­née nationaliste et identitaire annuelle, ce sera l'occasion de nous retrouver encore plus nombreux pour fêter ce dixième anniversaire. Le monde est en train de changer, l'heure du re­tour des peuples, des nations, des identités et des traditions européennes approche. Soyons tous mobilisés, rien n'est perdu, continuons le combat.

Retenez la date :

DIMANCHE 2 OCTOBRE 2016

Xe JOURNEE DE

SYNTHESE NATIONALE

RUNGIS - SILIC (94)

Pour marquer le 10e anniversaire de Synthèse nationale, une plaquette de 12 pages a été envoyée cette semaine aux 10 000 personnes qui, en dix ans, ont contacté Synthèse nationale.

Si vous souhaitez recevoir cette brochure, communiquez-nous vos coordonnées  : synthesenationale@club-inernet.fr 

synthese-editions.com

10:55 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce samedi à midi, sur Radio Courtoisie : une émission consacrée à Léon Degrelle avec Francis Bergeron et Roland Hélie

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Radio Courtoisie cliquez ici

Rediffusion dans l'après-midi

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Commander le CHN 1 (Léon Degrelle) cliquez ici

Commander le double CD cliquez là

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Madrid, Rome, le 21 mai dernier, réveil européen...

Madrid 

Rome 

09:08 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Immigration à Roscoff. « Qu’on ne prenne pas le risque d’avoir un mini Calais ici »

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Source Breizh infos cliquez ici

Depuis quelques semaines (mars 2016), entre vingt et trente immigrés clandestins se trouvent à Roscoff, en Finistère Nord. Leur objectif ? Passer en Angleterre. Roscoff est en effet, avec Saint-Malo, l’un des deux chemins d’accès à la Grande Bretagne, depuis notre région. Un chemin d’accès plus difficile que la région de Calais, mais plus discret aussi. C’est ce qui a poussé ces familles qui se disent pour la plupart Kurdes (d’Irak et de Syrie) à venir s’échouer ici, derrière un bunker, à quelques centaines de mètres du port du Bloscon.

Ces immigrés clandestins – que certains journalistes subventionnés et militants associatifs appellent « migrants » – ont tout d’abord occupé un bâtiment abandonné appartenant au président de la CCI de Morlaix, Jean-Paul Chapalain. Ce dernier a déposé plainte pour se protéger en cas d’accident (l’état du bâtiment laissant à désirer), tout en refusant de réclamer leur expulsion.

Par ailleurs, il est à noter que des militants associatifs, soutiens de ces immigrés en situation irrégulière sur le territoire français (ils n’ont pas demandé l’asile) ont raccordé l’installation de fortune à une ligne ErDF appartenant à des particuliers, sans les consulter. Ces derniers s’en sont plaints et ont réussi à obtenir gain de cause. Le Secours Populaire et les Restos du Coeur, à qui de nombreux Bretons donnent de la nourriture en pensant qu’elle ira à leurs compatriotes dans le besoin, s’activent pour aider ces familles à survivre ici, dans la misère.

Des familles dont la perspective est très limitée de passer en Angleterre. « A moins de complicité trouvée sur la Brittanny Ferries, ce que je ne peux pas croire, c’est impossible d’embarquer clandestinement ici. Roscoff n’est pas Calais » nous confie un agent portuaire qui ne souhaite qu’une chose : « qu’on ne prenne pas le risque d’avoir un mini Calais ici». Les contrôles des autorités sont en effet importants, et l’accès à Roscoff n’est pas le plus simple pour des candidats à la grande traversée.

Comme plusieurs Roscovites avec qui nous avons pu être mis en contact, Marie-Anne est inquiète que la situation perdure: « c’est bien normal de ne pas les laisser mourir de faim dans l’urgence. Mais la première chose à faire, ça devrait être des les contrôler et de les expulser. Là ça fait un appel d’air ». Elle ne comprend pas : « Pourquoi sont-ils là depuis deux mois maintenant pour certains ? Pourquoi on les laisse dans une telle situation ? Pourquoi la gendarmerie ne fait-t-elle rien hormis les contrôler de temps à autre ? ». Nous n’obtiendrons pas de réponse des autorités, qui n’acceptent manifestement de donner des informations sur ces vagues migratoires qu’à une certaine presse ou à un public bien précis.

Dans le pays de Morlaix en tout cas, il n’en aura pas fallu beaucoup plus pour que quelques militants politiques de gauche et d’extrême gauche lancent leur collectif de soutien aux migrants . Des collectifs qui se multiplient dans toute la Bretagne et qui font de l’humanitaire leur « fond de commerce idéologique», selon un processus parfaitement rôdé et accepté par la plupart des élus locaux et collectivités. « Ils aident des personnes qui sont des délinquants aux yeux du droit de la République française, et quand vous protestez, vous êtes forcément un raciste ! » nous adresse Luc, un internaute de Loguivy-Plougras (22) qui insiste : « on devrait expulser les membres des collectifs de soutien aux sans papiers avec leurs protégés, ça nous ferait de l’air ! Si ils en veulent tant, qu’ils partent avec eux» et qui conclut : « La Bretagne est une des régions qui se mobilise le plus en faveur des migrants . C’est pas un honneur, c’est une honte. On aide les mafias là… ».

Difficile de savoir si – comme l’affirme Luc – la région est en pointe dans la collaboration avec les réseaux d’immigration clandestine. Le tissu local associatif très développé (et largement subventionné) et particulièrement mobilisé sur la question, ainsi que le souhait affiché d’élus locaux d’accueillir des « réfugiés » ou des « migrants » sont toutefois significatifs.

A Séné, petite commune de 8000 habitants dans le Morbihan, un logement municipal a été récemment totalement réhabilité, au terme d’un travail en commun entre militants associatifs et employés communaux (au nombre de 5) , pour accueillir là encore une famille de réfugiés Afghans. Nul doute que des locaux auraient été heureux de pouvoir bénéficier d’une telle solidarité …

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08:58 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |