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samedi, 28 mai 2016

Festival de Cannes : 219.000 € ... on connait enfin le prix de la merde

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Un communiqué de la Ligue du Midi

Nous venons d'apprendre qu'un film présenté au festival de Cannes avait touché 219.000 Euros de subvention diverses et encore ce n'est qu'une estimation puisque plusieurs autres partenaires -eux mêmes subventionnés- auraient craché au bassinet.

Il s'agit d une co-production: les Films du Worso en coproduction avec ARTE France Cinéma avec comme partenaires financiers, le CNC (Centre National du Cinéma), Canal+, Ciné+, Arte France, avec le soutien du département de Charente-Maritime et de la région Poitou-Charente, de la région Languedoc-Roussillon, de la région Midi-Pyrénées, ces dernières en partenariat avec le CNC.

« Rester vertical », c'est le nom de cette aventure « extraordinaire » du réalisateur Alain Guiraudie tournée partiellement en Charente-Maritime est soutenue à hauteur de 40 000 euros par l’ex-Région Poitou-Charentes et 50.000 euros par le département de Charente-Maritime. Mais le film a bénéficié également d’un soutien important (129 000 €) de l’Antenne Cinéma de la Région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées. « Rester vertical » a reçu également le soutien logistique de la Commission du film Languedoc-Roussillon Cinéma. Il se murmure également qu'il aurait bénéficié de subventions de l’Union Européenne. Avec de telles aides, l'apport culturel aurait du être conséquent pensions-nous… Que nenni… et en tout cas, une fois encore, c'est nous qui payons.

Ce film, donc, raconte l’errance d’un cinéaste, Léo (Damien Bonnard), en panne d’inspiration et en mal de paternité. « Rester vertical » renvoie à une histoire de loup, mais surtout de phallus, car l'oeuvre du cinéaste tourne autour de ce sujet existentiel pour lui. Ce réalisateur avait déjà fait sensation à Cannes en 2013 avec L’Inconnu du lac, “un polar aux scènes très crues. [...]montrant de manière décomplexée des ébats dans des lieux de dragues homosexuelles…”. Mais cette fois-ci, Guiraudie explore aussi le féminin, l’instinct maternel, le genre (on s'y attendait un peu) pour séduire le lobbye LGTB.

Comme dirait Fabrice Luchini : “ Du point de vue du scénario, c'est hénaurme, c’est hallucinant”. Jugez-en : Marcel, un vieux monsieur, vit avec un jeune et ne veut pas mourir seul. Léo va l’assister dans son suicide. Jean-Louis, qui surveille ses moutons, a besoin de chaleur humaine et le « héros » (excusez moi, je n'ai pas trouvé de synonyme) “ va sodomiser le vieil homme pour l’euthanasier sous les yeux de son bébé “. Voilà, c'est ce film (excusez moi, je n'ai toujours pas trouvé de synonyme), qui a ouvert le jeudi 12 mai, la première journée de compétition du 69ème Festival de Cannes . Je vous passe le scènes où le réalisateur n’hésite pas à filmer en direct un accouchement, des sexes féminins et masculins filmés très gros plans , des moutons éventrés etc. Ce qui a permis au journaliste de France Info le 20/05/2016 de classer le film parmi les “ Top 10” dans la série des films “réalistes” avec ce commentaire de “très contemporain”. Heureusement ce réalisateur n’a pas été récompensée à Cannes en 2016, mais on peut parier qu’il a toutes ses chances pour les années à venir... Comme on, dit souvent: “ A Cannes ce n’est pas la qualité des films qui est importante, ce sont les discussions que soulèvent les films”

Alain Guiraudie qui est originaire d'un département rural, le Tarn, explique qu’il a conçu le film “avec l’idée de rendre l’invraisemblable crédible, l’impossible envisageable et de faire un grand voyage pas très loin de chez lui, de rapprocher “l’ailleurs“ et de s’évader au coin de la rue”. Il ajoute : “Le film se déroule dans une France que l’on appelle “profonde”, une diagonale qui va de la Lozère à Brest”.

Ce n'est pas parce que les champs de ces gens là sont jonchés de bouses qu'il faut, en plus, leur dédier de la merde...

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vendredi, 27 mai 2016

Le droit de grève, c’est bien ; mais la liberté du travail, c’est bien mieux !

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Pieter Kerstens

Parce que depuis plusieurs mois on constate une montée du mécontentement général que ce soit en France, en Belgique, en Grèce ou encore en Espagne, souvent pour des motifs divers.

Il ne se passe plus une semaine, où de grandes manifestations « pour ceci » ou « contre cela » agite l’une ou l’autre capitale européenne. L’exaspération des populations augmente lentement, mais sûrement.

PLUS, encore PLUS, toujours PLUS.

Arcboutés sur les fameux « droits’zakis » les syndicats agitent le spectre de la rigueur et de l’austérité envers le fameux « pouvoir d’achat » et défilent pour le retrait de la loi El-Khomri, pour le maintien de la semaine des 35, 37 ou 38 heures, pour des augmentations catégorielles de salaires, pour la solidarité avec les sans-papiers ou le maintien de leurs privilèges. C’est oublier un peu vite que partout en Europe ces mêmes syndicats ont accepté que le travail de nuit soit à nouveau applicable aux femmes et que celles-ci ne bénéficieraient plus d’une retraite anticipative par rapport à celle des hommes, deux mesures obtenues grâce aux luttes de nos mères ou de nos épouses au cours du vingtième siècle. Etrange silence de la part des forces de « gôche »… Diktat européen oblige ? Egalité homme-femme ? Hypocrisie et lâcheté, OUI !

Par leurs grèves à répétition les syndicats prennent les travailleurs en otages et exercent un odieux chantage sur tous ceux qui souhaitent poursuivre le travail, même s’ils sont conscients des difficultés économiques et financières du moment. Certains pays ont même légalisé les piquets de grève, accentuant ainsi le pouvoir de nuisance des syndicats socialaud-marxistes, dont certains ont placé leur « trésor de guerre » au Luxembourg.

AUX TRAVAILLEURS LEUR PLACE, TOUTE LEUR PLACE. AU CAPITAL SA PLACE, RIEN QUE SA PLACE !

La crise bancaire et financière, initiée aux Etats-Unis dès 2006, fait toujours sentir durement ses répercussions dans les économies européennes enclenchant une inquiétude générale parmi les populations et un manque de confiance vis-à-vis des gouvernements. Curieusement et depuis plusieurs années, l’Allemagne, malgré les fluctuations de l’Euro, tire son épingle du jeu et présente une balance commerciale dont les excédents se succèdent mois après mois. Après avoir intégré sa partie orientale (108.000km2 et 18 millions d’habitants) en octobre 1990, la République Fédérale fait encore figure de locomotive européenne en 2016. Nos dirigeants devraient se poser des questions et les eurocrates revoir leur copie quant à cette réussite. Nos syndicalistes, eux, pourraient enlever leurs lunettes roses des dogmes sectaires pour affronter les errements socio-économiques qui nous ont conduits à une dette publique astronomique et structurelle et qui ne cesse d’augmenter. Ces mêmes syndicats oublient un peu vite qu’en moins d’un siècle, la durée du travail a été réduite de moitié. Par ailleurs ils devraient s’intéresser bien plus à l’inadéquation persistante entre les exigences du monde du travail et les compétences (ou la formation) des demandeurs d’emploi.

J’entends partout et à longueur de journée « qu’il n’y a pas de travail », mais que le chômage structurel se trouve aussi à des niveaux intolérables depuis fort longtemps. Pourquoi ? Est-il normal qu’en temps de crise on ne trouve pas d’électriciens, de plombiers, de secrétaires trilingues ou d’infirmières ? Combien d’années faut-il donc pour en former ? Cela fait 40 ans que l’on nous serine les mêmes rengaines. Cela fait 40 ans que les européens refuseraient les « petits boulots » ? Cela fait 40 ans que nos poubelles seraient vidées par des africains ? Mais cela fait aussi 40 ans, que les portes du supermarché « EUROPE » sont grandes ouvertes à tous les miséreux de la planète, qui viennent y faire leurs emplettes, sans aucune contrepartie…

ARRETONS DE DELIRER.

Les caisses sont vides, à Madrid, à Athènes, à Paris ou à Bruxelles ! Vidées par une volonté progressiste et humaniste qui nous a vanté les bienfaits de l’Etat-Providence, concept inventé par Olof PALME, où chacun est pris en charge par la collectivité, toute sa vie, sans devoirs et coulant des jours paisibles sans se poser trop de questions. Aujourd’hui, la fête est finie et il va falloir se serrer la ceinture, retrousser ses manches et sans doute être obligé de choisir entre le superflu et l’indispensable. Sans ces efforts nous allons transmettre une ardoise phénoménale à nos enfants et petits-enfants : ce serait répugnant, lâche et criminel.

Abraham LINCOLN avait déclaré : « Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant pour eux ce qu’ils pourraient et devraient faire eux-mêmes ».

16:37 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De l’art de mal gérer le Bien commun : Dette publique et gabegie politicienne.

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Dr Bernard Plouvier

L’un des grands ministres de l’histoire de France (ils ne furent pas si nombreux qu’on puisse facilement les oublier), Jean-Baptiste Colbert (in Maximes générales d’un bon gouvernement) a écrit : « L’impôt, pour être lucratif, doit être simple, d’une perception aisée par un très petit nombre de régisseurs et de comptables, afin de ne point salarier, aux dépens de la nation, un grand nombre d’inutiles, vampires de la société »… en nos jours de traitement informatique des données, l’administration du ministère des Finances en la Ve République française coûte plus cher à l’État que ne lui rapporte l’impôt sur les revenus !

L’impôt injuste, spoliant les grands travailleurs, et l’impôt maladroit, du fait de dépenses ineptes, est la négation même de la notion de Bien commun. L’imposition excessive favorise l’évasion des capitaux. En revanche, c’est une mesure stupide que d’exonérer de l’impôt un citoyen : quels que soient ses revenus, tout citoyen doit contribuer aux dépenses communes, même de façon minime. En outre, tous les gains doivent être imposés, même ceux des jeux et loteries, tandis que le profit des marchés illicites (issus de trafics clandestins ou de la corruption) doit être intégralement confisqué au bénéfice de l’État. Aucune immunité ne doit couvrir les malversations d’élus du peuple ou de fonctionnaires.

L’exemple français contemporain est assez instructif. Selon les données du ministère des Finances, les recettes de l’État, pour l’année 2014, ont été apportées à 56% par les taxes à la consommation, à 25% par les impôts perçus auprès des particuliers, à 13% par les impôts sur les sociétés, à 6% par les bénéfices d’exploitation des régies et Domaines. Les dépenses ont été réparties à hauteur de 25% en allocations diverses (aux associations et aux particuliers), de 12% pour le service de la Dette, 21% pour la Défense et la sécurité publique, 20% pour l’enseignement et la recherche, 22% pour les autres ministères… les dépenses ont très largement excédé les recettes, d’où un accroissement de la Dette ! Les politiciens démagogues sont d’abominables gestionnaires, irresponsables légalement autant que moralement.  

Depuis le début de l’ère mondialiste, divers prédateurs ont inventé une nouvelle forme de racket légal : le Charity business. En l'An 1999, 900 000 associations étaient légalement reconnues par l'État français. En 2003, on a calculé que depuis 1980, elles avaient tiré 308 milliards de Francs de la charité publique et engrangé 166 milliards de subventions publiques (soit l’équivalent de 72 milliards d’euros)… nul ne connaît le montant exact des sommes dépensées en coût de fonctionnement ni celui des détournements à des fins d’enrichissement personnel.  

Étant donné que, par les taxes à la consommation, les impôts sur les revenus et les successions, le bon peuple règle une énorme part de la dépense collective (81%, en 2014, pour l’exemple français), il est logique de prendre son avis, par voie référendaire, pour tout choix de société grevant les finances publiques : immigration massive, subventions aux associations, aide aux peuples attardés, entretien des ex-colonies qui continuent à être des boulets économiques pour la métropole sous l’appellation de départements d’Outre-mer, engagement de nouveaux fonctionnaires, etc… on ne méconnaît pas l’apport de l’impôt sur les sociétés, mais leurs dirigeants sont, eux, très largement écoutés des politiciens et des hauts-fonctionnaires.

Fin 2015, l’État français, peuplé de 64,5 millions d’habitants en métropole et de 2,1 millions dans les succursales extra-européennes, était riche de 5,65 millions de fonctionnaires zélés autant que consciencieux, alors qu’il devait faire face à 5 millions de chômeurs pleins ou partiels ou en « stages » (catégories A, B et C) et à 13 millions de retraités… seul notre Président dodu estime, en 2016, que : « Ça va mieux ».

Un État qui emprunte pour créer des infrastructures utiles (autoroutes, ports et aéroports, rail, télécommunications, production d’énergie au meilleur coût), pour mieux protéger la population et mieux instruire la jeunesse, est bienfaisant. Un État qui emprunte pour nourrir le parasitisme social (immigrés sans travail légal, associations) ou accroître le cheptel des fonctionnaires pour mieux caser les clients politiques et syndicaux est, par essence, un État démagogique et corrompu, appelé à disparaître.

Or, les sommes prêtées par les banques centrales ou supranationales aux États ne sont que de l’argent fictif, alors que le remboursement de la Dette (principal et intérêts) n’est nullement fictif. Chaque contribuable voit ainsi détourné, au profit des requins de la finance cosmopolite, une part de plus en plus considérable de l’argent qu’on lui soutire… alors même qu’un peu partout, les États réduisent les infrastructures en milieu rural ou dans les petites villes ; c’est singulièrement le cas en France.    

Tous les États de la planète, à l’ère globalo-mondialiste, sont surendettés. La Dette mondiale était en 2014 égale à 215% du Produit Brut mondial. En octobre 2013, des experts du Fonds Monétaire international ont recommandé aux maîtres du système de confisquer 10% de l’épargne des particuliers des Nations évoluées, pour éponger le surplus des Dettes étatiques constaté depuis l’effondrement financier des années 2007-2011, induit par l’explosion de bulles spéculatives et l’arnaque made in New York des subprimes.

Les experts ont calculé que pouvaient être ainsi soutirés 11 200 milliards aux libres citoyens des USA, 8 400 milliards aux vaches à lait de l’Union Européenne et 1 700 milliards aux Britanniques (toutes valeurs exprimées en dollars US). Personne n’a osé envisager de faire rendre gorge aux hyper-riches ! On imagine que cette solution sera imposée par les dictateurs populistes qui devront reprendre en mains les destinées nationales, une fois terminée la gabegie globalo-mondialiste.      

Depuis l’Antiquité, les théoriciens estiment que maîtres d’un État ont pour missions de gérer au mieux le Bien commun et de faire évoluer les institutions et les conditions de vie des citoyens à mesure qu’apparaissent les problèmes de fond. Toute réforme de fonctionnement doit être menée avec tact et intelligence, devant toujours être précédée d’une campagne d’information contradictoire, avant d’être soumise aux élus. Les réformes fondamentales (ou de structure) doivent impérativement être proposées pour avis au peuple souverain. Le despotisme éclairé n’est une bonne chose qu’avec des peuples arriérés et incultes.

La démocratie telle qu’elle est pratiquée un peu partout dans les pays de mode de vie occidental, depuis 1830, n’est rien d’autre que l’art de gouverner pour maintenir les privilèges de la caste au pouvoir. « Il est insane et immoral qu’une faction, toute puissante par sa richesse, maîtresse de l’industrie et du commerce, tienne en sa main plus d’un ressort de l’administration publique »… probablement pour éviter l’accusation rituelle d’antijudaïsme, le bon Léon XIII (in Rerum novarum) omettait de citer les maîtres de la finance. La « mondialisation », programmée dès la fin des années trente par Franklin Delano Roosevelt, et progressivement mise en place à partir de 1980, n’est en définitive que le triomphe absolu du Pouvoir économique sur tous les autres types de pouvoirs.

La démagogie n’a jamais été que l’art de faire croire à un peuple qu’il pouvait obtenir (presque) tout, sans effort notable. Seuls les plus modernes des populistes ont soutenu le contraire, exigeant énormément d’efforts pour surmonter une énorme détresse morale, ce qui est bien plus grave qu’une crise économique. De nos jours, partout en Occident, les autochtones ressentent une angoisse de ce type, associant désillusions et déréliction, sensation de péril imminent et surtout la tristesse spécifique de la fin d’une ère historique.

Le populisme, c’est la réaction d’un peuple qui se sent trahi ou abandonné par la caste dirigeante, inepte, inapte et/ou corrompue. C’est une aspiration à renouveler la structure et le fonctionnement du couple Nation-État, qui reste inassouvie tant que le peuple n’a pas trouvé son chef ou lorsqu’il se laisse prendre aux rets d’un démagogue. Le populisme, c’est la volonté d’un peuple de voir correctement géré le Bien commun (cher à Platon, Aristote, Hobbes etc.), c’est la nécessité de créer les meilleures conditions pour la génération à venir, en se souvenant que les prévisions d’expert à long terme s’avèrent constamment fausses.

Le populisme, c’est l’espoir pour un peuple de renaître, de recommencer une vie commune sur de nouvelles fondations. Le populisme, ce n’est nullement l’utopie égalitaire, qui est, au contraire, le Leitmotiv des propagandes démagogiques, dont le marxisme fut la plus pernicieuse. Le populisme, c’est se vouer à une grande aventure collective, à la fois politique, économique, sociale et culturelle… soit l’inverse de l’actuel individualisme stéréotypé. Le populisme est l’expression de la véritable démocratie, soit le gouvernement POUR le peuple et non plus le gouvernement pour défendre les privilèges de la caste économique et politicienne.

15:44 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le journal du Chaos de cette semaine

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Pour le lire cliquez ici

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Sur les Chrétiens d'Orient :

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15:10 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gabriele Adinolfi lance un cycle de formation politique en français

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Gabriele Adinolfi, directeur de l'Institut Polaris (Rome) et initiateur du Projet Lansquenet, donnera régulièrement, à partir du samedi 28 mai prochain, des cours de formation politique pour la formation de cadres agissant en métapolitique, en politique, en communication et en économie.

1er Cours en simultané en ligne "Que faire et comment faire", samedi 28 mai à 11 h avec comme thème : "Pouvoir, Etat, Système, Agir à l'âge des satellites"

On pourra les suivre de toute la France et des pays francophones par une simple connexion internet. Pour cela s'inscrire à l'avance en envoyant un mail à lanzichenecchi@outlook.it Par retour vous recevrez les instructions élémentaires à suivre. Il est conseillé de se regrouper à plusieurs personnes autour du même ordinateur pour optimiser les limites de connexion. Les Parisiens pourront y assister physiquement.

13:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 26 mai 2016

L’actuelle France : l’invasion des sous-doués & la fuite des diplômés

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Dr Bernard Plouvier

L’État a pour première justification la protection des citoyens et de leurs biens acquis par le travail et l’épargne, parfois étalée sur plusieurs générations. « Si les individus, si les familles entrant dans la société y trouvaient, au lieu d’un soutien, un obstacle, au lieu d’une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plus à fuir qu’à rechercher » (Léon XIII, Rerum novarum, 15 mai 1891).

Même un athée doit reconnaître que le plus grand pape des temps modernes était un penseur économique et social d’exception, sans commune mesure avec les pitres qui font semblant de nous gouverner depuis un demi-siècle.

En 2016, les immigrés d’origine extra-européenne représentent 12 à 14 millions de la population implantée en métropole… il ne s’agit que d’estimations, puisque les honnêtes politiciens et leurs sous-fifres des bureaux ministériels cachent la vérité au peuple souverain ! Parallèlement, depuis 15 années, 50 000 Français de souche européenne, presque tous nantis de diplômes de valeur, émigrent chaque année.

D’un côté, entre une majorité de sous-évolués, parfois analphabètes, toujours arrogants, voire agressifs, important pour l’écrasante majorité d’entre eux une religion médiévale de haine pour « l’infidèle ». En contrepartie, des Français autochtones quittent définitivement le sol national devenu insalubre à leurs yeux.          

L’État de droit se définit par son résultat : la paix civile et sociale. Deux hommes d’État – les seuls que la France ait connus en un peu plus de deux siècles - ont écrit la même chose sur la genèse du désordre. « Le mépris des lois par le peuple et l’ébranlement de l’ordre social ne sont que les conséquences de la faiblesse des gouvernants » (Napoléon Ier à Sainte-Hélène) ; « L’anarchie administrative et sociale est la préface ordinaire des révolutions et des dictatures » (Raymond Poincaré, 1906).

La débâcle de l’Empire romain d’occident a commencé lorsque le Princeps senatus & Imperator Marc-Aurèle a détruit une bonne part du prestige impérial en octroyant sa succession à son abruti criminel et débauché de fils, Commode. Lorsque la Constitution ou la tradition laissent au chef d’État le choix de son successeur, celui-ci a le devoir de mettre en selle un homme capable et honnête.

De nos jours, seules les majorités électorales sont responsables de leurs mauvais choix. Et, depuis 1969, les Français ont choisi la pire collection d’incapables que l’on pouvait imaginer : un grand commis de la finance cosmopolite encourageant les bétonneurs des cités et du littoral, l’homme du regroupement familial des immigrés extra-européens, l’homme-lige de la finance internationale engageant le pays dans la globalo-mondialisation, le Président Black-Beur, l’agité qui avait des idées mais n’a jamais osé les appliquer, le vieil et ventripotent adolescent en goguette qui poursuit l’effort de destruction de la famille et de la Nation.

À la tête de l’État, on n’aperçoit que des ambitieux, des corrompus et des adeptes de la débauche, des touristes et des parasites. Enfin, et c’est plus grave, l’on n’aperçoit aucun homme d’action ni d’homme à idée. L’État est bafoué par des islamistes, des potaches, des gauchistes issus de la bourgeoisie, des syndicalistes avides de notoriété, des fonctionnaires qui paralysent les transports et tentent de le faire avec la fourniture d’électricité. La Nation est ridiculisée par l’incurie, l’incapacité, la lâcheté des soi-disant « chefs ».

La presse européenne se déchaîne, à juste titre, contre la chienlit française. Les Allemands feraient bien de chasser leur Chancelière devenus folle, mais pour l’instant ils s’amusent à nos dépens et comment leur donner tort ? On imagine sans peine le raisonnement des investisseurs étrangers : s’il est un pays où il ne faut pas envisager d’entrer, c’est bien la France en état de pourrissement avancé.

« La constitution et l’administration de la Société doivent procurer la prospérité publique et privée » (toujours Léon XIII). « L’État doit servir l’intérêt commun… selon la stricte justice qui veut que l’on rende à chacun son dû » (Thomas Hobbes, in Léviathan). Pour l’heure, l’État français – à la Dette pharaonique et qui ne survit qu’à coups de planche européenne à billets – dorlote immigrés et imams, gauchistes et potaches, mais tabasse les patriotes, les paysans au bord de la faillite, les défenseurs de la dignité familiale.

On comprend qu’affluent certains indésirables, tandis que d’autres, écœurés vont voir ailleurs si la soupe sociale est moins infecte.

12:52 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Léon Degrelle raconté par Francis Bergeron sur TV Libertés

Le "Qui suis-je ?" de Francis Bergeron cliquez ici

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A propos de Léon Degrelle, rappelons le Cahier d'Histoire du nationalisme n°1 qui lui est consacré cliquez là

Le commander en ligne cliquez ici

Le double CD Léon Degrelle raconte cliquez ici

07:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manif de Génération identitaire samedi prochain à Paris

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Rendez-vous le 28 Mai à Paris, place Monge, à partir de 15h.

07:37 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La procession de samedi dernier à Paris en honneur de Saint Martin organisée par l'association Oriflammes

Sur cette procession cliquez ici

Source du film MPI cliquez là

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HALTE À LA CHIENLIT ORGANISÉE PAR LES COMMUNISTES DE LA CGT

9549909-15341167.jpgUn communiqué du

Parti de la France :

Le Parti de la France demande au gouvernement d'assumer ses responsabilités en mettant fin aux tentatives de déstabilisation de notre pays par une minorité d'agitateurs professionnels communistes qui bloquent les raffineries et paralysent les transports.

Halte à la chienlit organisée par les communistes de la CGT. Il est intolérable que les Français subissent les agissements de ces syndicalistes subventionnés qui ne représentent qu'eux-mêmes et sont à mille lieux des préoccupations des travailleurs dont ils entravent la liberté de circuler.

Le rôle d'un gouvernement digne de ce nom est de rétablir l'ordre et de garantir la libre circulation des biens et des personnes ; si le pouvoir socialiste en est incapable, qu'il démissionne et laisse la place à des dirigeants patriotes de la droite nationale qui auront la volonté de mettre fin au désordre et au chaos social.

00:09 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 25 mai 2016

Autriche : Roland Hélie répond aux questions d'EuroLibertés

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Suite à l'élection présidentielle autrichienne le site EuroLibertés à posé quelques questions à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, sur la situation dans ce pays et ailleurs. cliquez ici

Quelles répercussions pour l’Autriche ?

Sans doute que du bon. De toutes façons le résultat de Norbert Hofer est plus que remarquable, jamais le FPÖ n’est arrivé à ce niveau. Le Président élu continuera à aligner l’Autriche dans la logique mondialiste et, à terme, comme toutes les nations et toutes les civilisations, elle risque de disparaître. Le vote FPÖ était donc un vote salvateur. Il faut considérer que cette élection est une nouvelle étape vers la victoire finale.

Quelles répercussions pour l’Union européenne ?

Il faudra bien, un jour ou l’autre, que toutes les nations européennes prennent leurs responsabilités. L’UE, telle qu’elle est conçue actuellement, est un épouvantail qui détruit l’idée d’Europe. Les nations européennes sont toutes confrontées aux mêmes dangers, mais Bruxelles n’apporte aucune solution. L’Europe, à mon avis, doit être une complémentarité civilisationelle faite de nations souveraines œuvrant pour le bien commun.

Quelles répercussions sur l’élection présidentielle française de l’année prochaine ?

La Droite nationale française n’a jamais eu autant le vent en poupe et, paradoxalement, elle est électoralement représentée par un leurre. À force de chercher à se normaliser, le FN mariniste finit par perdre son identité. C’est dommage car cette stratégie hasardeuse pourrait se retourner contre lui. Les scores appréciables qu’il a enregistrés ces dernières années sont beaucoup plus à mettre sur le compte de la radicalisation d’une partie croissante de nos compatriotes que sur celui d’une prétendue dédiabolisation du FN.

Face à cela, il est très difficile d’imposer une alternative crédible en raison des moyens colossaux que cela nécessiterait et de la mauvaise foi de la « grande presse » qui préfère s’attarder sur les quelques caricatures qui ridiculisent notre famille d’idées.

Quoiqu’il en soit, ce qui se passe en Autriche et dans de nombreux autres pays d’Europe correspond à une prise de conscience identitaire des peuples de notre continent et nous ne pouvons que nous en féliciter.

Quelles autres répercussions envisagez-vous ?

Cette prise de conscience est une véritable révolution qui balaiera les utopies post-soixante-huitardes. Et la révolution, c’est comme le vent, rien ne peut l’arrêter…

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Le Crapouillot tonne à nouveau

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C'est toujours une bonne nouvelle lorsqu'une revue parait, ou reparait, dans notre famille d'idées. Ainsi, la bonne nouvelle du moment, c'est la reparution du Crapouillot. Mais laissons à Francis Bergeron le soin de nous parler de cette revue culte .

Roland Hélie

RENAISSANCE D’UN JOURNAL DE GUERRE :

LE CRAPOUILLOT

Francis Bergeron - Présent cliquez ici

Un crapouillot, c’était le nom que l’on donnait à un petit obusier de tranchée. Il ne payait pas de mine mais il était redoutablement efficace. Les poilus appréciaient sa robustesse et sa capacité à faire taire les armes du camp d’en face, avec ses torpilles qui montaient haut dans le ciel pour retomber dans la tranchée ennemie, à quelques dizaines de mètres à peine.

Née dans les tranchées, il y a un peu plus de cent ans, à l’initiative du génial anarchiste de la plume Jean Galtier-Boissière, la revue Le Crapouillot a donc d’abord été une feuille de soldats, un journal satirique, drôle et impertinent, qui faisait oublier les dures conditions du moment. Puis, la paix venue, elle s’est reconvertie en une copieuse revue politique, littéraire et artistique.

Le Crapouillot a fait les beaux jours de trois républiques, ce qui n’est pas rien. De sensibilité pacifiste et socialisante mais anticommuniste, la revue rassemblait, sous la IIIe République, des talents très divers, qui allaient de Béraud à Mac Orlan. Sous la IVe, avec Galtier-Boissière, son « vénéré directeur » (comme il se faisait appeler) toujours aux commandes, Le Crapouillot a recyclé nombre de grandes plumes, victimes de l’épuration, à commencer par Lucien Rebatet, Maurice Bardèche et Pierre Dominique. « Avec le recul, écrit François Nourissier, la carrière et l’action de Galtier-Boissière apparaissent comme un rare chef-d’œuvre d’anarchie narquoise, de provocation et finalement de liberté. »

Le Crapouillot change de main à la mort de Galtier. Lié un temps à Minute à la grande époque de l’hebdomadaire, il professe un antigaullisme et un anticommunisme de bon aloi et rallie à lui de nouveaux talents comme Geneviève Dormann, Jean Bourdier, Roland Gaucher, Roland Laudenbach, Camille Galic, Alphonse Boudard, Antoine Blondin, François Brigneau, Dominique Venner… en bref tout ce qui comptait dans le petit monde du politiquement incorrect de l’époque, même si une certaine complaisance mercantile le pousse à privilégier parfois des thèmes un peu scabreux (pour l’époque).

Et puis, un jour de 1996, sans crier gare, la revue a disparu des kiosques. Depuis lors, un tel titre manquait dans le paysage médiatique car aucun autre journal, aucune autre revue, n’a eu l’ambition ni n’a réussi à prendre le relais. Le Crapouillot restait une référence, un mythe. Le titre était d’ailleurs l’une des revues les plus collectionnées. On sait aujourd’hui à quel point ses dossiers ont influencé le dessinateur Hergé, par exemple, qui y a puisé une partie de son inspiration, pour Tintin en Amérique ou L’Oreille cassée.

Mais voici que Le Crapouillot nous revient, après quelque vingt longues années de silence. Une nouvelle équipe s’est mise en place. Dans son mot de bienvenue le directeur de la rédaction, Bertrand Sorlot, annonce la couleur. Se référant aux trois âges du Crapouillot et au génial Galtier-Boissière, il nous dit que Le Crapouillot du printemps 2016 entend revendiquer « cet esprit d’indépendance, d’insolence et de vérité ». C’est tout ce qu’on lui souhaite !

Ce premier numéro est consacré au terrorisme islamique. Il ne mâche pas ses mots : « La bien-pensance européenne et sa démagogie ouvrent un boulevard aux fanatiques de tous bords. Les élus politiques, clientélistes, fricotent avec les groupes d’influence ouvertement pro-Frères musulmans, que ce soit le Hamas, ou l’UOIF en France. Sans parler des rapports étroits avec des pays qui pratiquent l’obscurantisme religieux le plus abject et qui sont la source des financements du radicalisme salafiste en France et en Belgique. »

Occuper le terrain, en vitrine des marchands de journaux, pour rappeler ce genre de vérité, ce n’est jamais inutile. Et nous ne serons jamais trop nombreux à le faire. Alors bon vent pour le retour de ce (toujours jeune) confrère !

En vente dans les kiosques, et par abonnement : RIGEL Editions, 4 bis rue de Cronstadt 75 015 Paris. Abonnement de lancement : 27 euros pour quatre numéros.

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mardi, 24 mai 2016

Fin de l’État français ou suicide de la Nation ?

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Dr Bernard Plouvier

Ce n’est que trop évident : le chef de l’État et les ministres ont totalement perdu les commandes en France, et depuis plusieurs mois.

La folie furieuse n’est plus seulement limitée aux innombrables fruits pourris de l’immigration d’origine extra-européenne et aux fous furieux de l’islam agressif. Elle touche également une fraction de la jeunesse, soit un mélange de voyous des banlieues, de gauchistes venus majoritairement de familles aisées (la comparaison avec 1968 saute aux yeux de ceux qui ont subi cette farce alcoolo-sexuelle) et de soi-disant jeunes, fatigués avant d’avoir travaillé, dont l’ambition se borne à l’obtention du prestigieux autant qu’exaltant statut de fonctionnaire.

Là-dessus, les permanents syndicaux – dont l’emploi, peu fatigant, est menacé par la baisse des cotisants – se lancent à leur tour dans l’action violente. Depuis 2003, les travailleurs français boudent encore plus les syndicaux qu’auparavant : le taux d’affiliation ne dépasse plus les 8% (il est de 7,7 % depuis 10 ans, contre 18% en Allemagne et 25% au Royaume Uni). Et ce maigre gâteau doit être partagé en 8 grandes centrales !

Seuls les 5,5 millions de fonctionnaires français, surmenés et hyperproductifs comme chacun sait, sont d’excellentes recrues : 16,7% de nos bureaucrates estampillés d’utilité publique sont syndiqués. Que deviendraient les permanents syndicaux sans les gros bataillons de la fonction publique ?

Depuis 2015, la direction de l’État, poussée par les vrais maîtres : les patrons de l’Économie globale, s’efforce de rendre le marché français plus concurrentiel. Avec une durée du travail lamentable (35 heures hebdomadaires ; 41,5 années de travail avant la retraite) et de détestables habitudes (liée à près d’un siècle d’anachronique lutte des classes), la France n’est guère une cible de choix pour les investissements productifs. Et les fruits pourris de l’islam djihadiste ont même fait reculer dramatiquement le tourisme international, fort précieux stimulant de l’économie.

Pour engranger de nouvelles adhésions, les syndicalistes se laissent aller à une surenchère de violences, depuis le début de l’année 2016. On lynche des cadres supérieurs, à défaut de pouvoir le faire avec de vrais patrons, et l’on prend régulièrement la Nation en otage. Parce qu’en cas de blocage routier ou de pénurie de carburant, en cas de grèves des transports publics, ce ne sont ni les maîtres de l’économie, ni nos brillants politiciens gouvernementaux qui en subissent les conséquences, mais le vulgum pecus : le troupeau humain de base, composé de contribuables et de consommateurs… ceux-là mêmes qui font tourner la machine ! Décidément, nos brillants syndicalistes sont aussi stupides que nos politiciens ou que les dinosaures trotskistes.

Bref, l’État n’est plus dirigé et la Nation subit année après année, non seulement la honte de la dégringolade - où étaient les cités de non-droit dans les années 1960 ? -, de grands moments d’angoisse - attentats ; émeutes raciales ou de voyous gauchistes -, mais aussi un quotidien peu agréable : les voyages en train et en métro deviennent des situations à risque, comme d’ailleurs la simple déambulation dans deux mille quartiers des villes de France. En outre, les parents d’enfants et d’adolescents blancs peuvent légitimement redouter une agression voire un meurtre à chaque sortie de leur progéniture, ou même simplement dans leur vie quotidienne.

De tout cela, il n’est qu’un coupable : le corps électoral. Quand on élit, décennie après décennie, une invraisemblable bande de charlots, nuls, corrompus, débauchés, que peut-on attendre sinon un pays dont la vie politique est réduite à l’état « du chien crevé au fil de l’eau » ?

Si la Nation ne veut pas de l’insurrection, elle doit au minimum choisir plus intelligemment ses dirigeants. Cela devient urgent.

Il faut reformer le tissu industriel français en remettant le peuple au travail et en réintroduisant un équilibre de la balance commerciale – par des quotas précis d’importations-exportations, pays par pays -, renvoyer dans leurs continents d’origine des millions d’immigrés extra-européens dépourvus d’utilité pour la Nation, faire respecter l’ordre et réprimer efficacement le crime et la délinquance.

Il faut surtout réapprendre la fierté nationale. Les Français de souche européenne doivent seuls décider de leur destinée. Ils ont le devoir de préparer l’avenir de leurs enfants. S’ils n’en sont pas capables, ils finiront esclaves et leur progéniture connaitra les joies du métissage universel et de la régression islamique.

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Autriche : les Eurocrates de l’oligarchie bruxelloise auront senti le souffle du boulet de canon

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Jean-Claude Rolinat

L’échec relatif de Norbert Hofer ne doit pas nous attrister, ni surtout assombrir les attentes de ceux des électeurs autrichiens qui avaient placé leurs espérances dans cette victoire souhaitée, bien au delà du « beau Danube bleu »…

Comme en écho à l’échec de son homonyme Andréas Hofer, « le chouan du Tyrol », qui résista vainement il y a deux siècles à l’impérialisme napoléonien, cette défaite sur le fil a comme un goût de victoire. Seuls les électeurs expatriés, influencés par leur milieu, auront tranché en faveur d’un septuagénaire écologiste.

Ce n’est pas l’avenir de l’Autriche.

Les Eurocrates de l’oligarchie bruxelloise auront senti le souffle du boulet de canon, ils n’en seront que plus dangereux. Mais grâce à ce score, espérons-le, les compteurs vont être remis à zéro sur un certain nombre de sujets et, notamment, celui des pseudos « migrants », un peu trop rapidement ripolinés en « réfugiés ». Le candidat Hofer, dans un récent entretien paru dans le numéro du 19 mai de l’hebdomadaire Valeurs actuelles, n’a-t-il pas déclaré : « L’Europe a besoin de rappeler ses valeurs chrétiennes humanistes et d’en finir avec cette culture d’accueil indifférenciée. Nous avons le droit de choisir qui nous laissons entrer dans le pays et qui nous ne laissons pas. »

Une heureuse affirmation qui n’est pas, apparemment, compatible avec les élucubrations papales ! L’échec à deux doigts d’une victoire éclatante du candidat « populiste » Norbert Hofer resplendit comme un soleil d’Austerlitz, pour rester dans la métaphore napoléonienne !

Réaction publiée sur EuroLibertés cliquez ici

12:10 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 23 mai 2016

OUF ! Les démocrates vont bien dormir cette nuit...

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Alors que dimanche, le candidat de Droite nationale autrichienne était en tête assez nettement au second tour de l'élection présidentielle, le long et méthodique dépouillement des 740.000 (!) bulletins de vote par correspondance ont abouti à un miraculeux retournement de situation en faveur du candidat écolo-gauchiste qui se retrouve Président de la République avec 3.000 voix d'avance.

Nous pouvons être certains que la presse française et internationale n'émettront bien sur aucun soupçon de fraude électorale et salueront à l'unisson « une grande victoire de la démocratie ».

Comme le disait un expert en la matière : « Ce qui compte ce n'est pas le vote, c'est comment on compte les votes » - Joseph Staline

Source Thomas Joly cliquez ici

19:14 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’extension continue du non-droit en France

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Dr Bernard Plouvier

Nos gouvernants passent leur temps à voyager hors du territoire métropolitain. Étant donnée leur très faible influence sur les événements et la situation économique ou générale du pays, cela ne revêt guère d’importance. Qu’ils fassent du tourisme, tant qu’ils sont encore en fonction. Leur absence n’est remarquée de personne.

Toutefois, lorsqu’on apprend qu’ils voyagent pour enseigner aux autres peuples à régler leurs différends, pour leur prêcher les vertus supposées de la légalité républicaine, là on rigole un peu, voire beaucoup. Car l’on n’a pas vraiment l’impression que l’ordre et le calme règnent en France, que ce soit en métropole ou dans les DOM-TOM.

Selon les media officiels, nos brillants chefs se proposent de régler les guerres et guérillas de Libye, de Syrie et d’Iraq que la politique française (Sarkozy puis Hollande faisant semblant de régner) a puissamment contribué à créer ou réactiver. Ils ont même la prétention de proposer leurs bons offices pour régler l’imbroglio israélo-palestinien, inextricable depuis 1947 (avant même l’indépendance d’Israël). En Afrique, ils parlent de lutter efficacement contre l’islam ravageur et l’expression des haines tribales.

Depuis 2014, la France a connu des émeutes raciales (comme celles de Joué-lès-Tours et de Tours-Nord en 2014) et les attentats islamiques de 2015. On ne compte plus les émeutes raciales aux Antilles ou à Mayotte depuis que François Hollande dirige le pays (ça n’était pas mieux durant la prestation élyséenne de Sarkozy, force est de le reconnaître).

La nouveauté, ce sont les émeutes gauchistes ou trotskistes perpétrées un peu partout dans les grandes villes, à l’imitation de la capitale, depuis quatre semaines. Les policiers, si forts en gueule, en coups de matraque et en lancers de gaz lacrymogènes, lorsqu’ils s’attaquent à d’honnêtes citoyens protestant contre le mariage des homosexuels ou qu’ils chargent des patriotes désarmés qui tentent de réveiller la Nation aveulie à propos de l’immigration-invasion, ces policiers si réjouis lorsqu’il s’agit de s’attaquer à des automobilistes ayant dépassé la vitesse limite, ces hommes puissants se font minuscules, timides comme des pucelles, lorsqu’ils sont confrontés à des meutes d’immigrés violents (on l’a vu à Calais et ailleurs sur la côte de la Mer du Nord) ou à de jeunes gauchistes munis de barres de fer et de cocktails Molotov.

Pourtant, c’est devant le voyou dangereux que l’on reconnaît l’agent des forces de l’ordre et non devant d’honorables mères de famille ou des hommes qui ne font qu’hurler leur amour de la Patrie. Nos policiers semblent se comporter comme nos brillants politiciens : ils sont désemparés face à de véritables émeutes. Et, comble de ridicule international, cette chienlit non ou très mal réprimée survient en « état d’urgence »… Hollande, Valls et Cazeneuve ont des excuses à formuler à la Nation pour la ridiculiser en permanence depuis les premières émeutes islamiques de 2014. Les directions de la Police doivent être remplacées : un chef est toujours responsable de la médiocrité générale de ses hommes.

Sur les blogs israéliens, l’on salue la visite du sieur Valls en étalant les statistiques issues des ministères français de l’Intérieur et de la Ville. Sans même tenir compte des villes et cités classées en 4e catégorie (celle de la petite délinquance quotidienne) – dans ce cas, il faudrait citer la quasi-totalité des villes de France -, on peut relever quelques faits ahurissants.     

En catégorie 1 – celle des villes et quartiers de ville considérés comme des zones de non-droit permanent (viols en tournantes, trafics divers, rackets, rixes, morts multiples par balle ou coup de poignard) -, on relève 22 villes de la région parisienne en plus des 18e et 19e arrondissements de Paris, auxquels il faut ajouter 46 villes de province et 18 quartiers dépendant de villes réputées plus calmes. Amiens, Angers, Avignon, Brest, Clermont-Ferrand, Dreux, Grenoble, Le Havre, Lille, Marseille, Montpellier, Mulhouse, Nantes, Nîmes, Perpignan, Roubaix (et Hem), Rouen, Strasbourg, Toulouse, et l’ensemble de la conurbation lyonnaise sont réputées villes à haut risque, selon les quartiers (par exemple : 18 secteurs de Marseille, l’ensemble de Lille-Sud, la quasi-totalité des quartiers de Roubaix et de sa commune jumelle, Hem, sont réellement dangereux pour un Français de souche européenne).

En catégorie 2, on classe les quartiers « très difficiles », où la violence de jour est quotidienne (avec au moins une mort violente par semaine) : 32 villes de la région parisienne et le 20e arrondissement de Paris, auxquels il faut ajouter 145 cités de province (et 15 secteurs de Marseille).

En catégorie 3 (les quartiers difficiles, mais où les violences ne sont quotidiennes que de façon nocturne), on note 96 cités de la région parisienne, les 11e, 12e, 13e, 14e, 15e, 17e arrondissements parisiens, auxquels il faut ajouter 95 villes de province.

Dans chaque ville comptabilisée, plusieurs quartiers (ou cités, au sens moderne du terme) sont des zones à haut risque. Au total, on arrive aux alentours de 2 000 quartiers de France métropolitaine où un Blanc n’a absolument pas intérêt à mettre les pieds !

Tout ceci est permanent et lié à « l’enrichissement de la France » par l’immigration européenne. Si l’on y ajoute l’affligeant spectacle des violences urbaines des « étudiants » et des casseurs des quatre dernières semaines, perpétrées en « état d’urgence », l’on se dit que nos hommes politiques ont, en effet, des leçons à donner ! De même, on pourrait envoyer à l’étranger, comme « conseillers », nos directeurs de polices et nommer à leur place des militaires de choc.

Car si les prestations du Président et des ministres tournent au ridicule, la Nation française porte encore en elle les moyens de guérir la lèpre sociale qui envahit notre pays. Pourra-t-on attendre 2017 et ses échéances électorales ? Cela devient de moins en moins évident, à mesure que l’ordre disparaît, à mesure que le non-droit s’étend à l’ensemble du pays, à mesure que plus personne n’assume la charge fondamentale de l’État : faire régner l’ordre à l’intérieur des frontières et assurer la protection vis-à-vis de l’étranger.

Face à la subversion islamique et gauchiste, face à l’incompétence et la corruption matérielle et morale des élus, la Nation a le droit de s’insurger… peut-être en a-t-elle, désormais, le Devoir.

00:28 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 22 mai 2016

Paris : la procession en mémoire de St Martin acclamée par les Parisiens

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L'association Oriflammes ne manque jamais une occasion de surprendre. Avec peu de moyens, elle réalise des événements marquants que quelques mauvaises langues jugeraient volontiers anachroniques. Voyez donc...

Il y a deux ans elle avait organisé une procession en honneur de St Louis dans les rues de certains quartiers parisiens réputés comme étant plutôt habités par des populations allogènes. Ce n'était pas évident, et pourtant, le succès fut au rendez-vous. Et cette année, Oriflammes a récidivé en honorant triomphalement la mémoire de St Martin (né il y a 1 700 ans) par une nouvelle procession dans le centre de Paris. Procession qui ne passa pas inaperçue. Il faut dire qu'Oriflammes n'avait pas hésité à donner à cette manifestation un certain éclat. Tout y était : fanfare royale (plus de 50 musiciens en uniformes), une trentaine de joueurs de cornemuses en kilts, des troupes de scouts, des dizaines de bannières de chrétienté fièrement portées, des abbés ensoutanés en pagaille et même une délégation de Coptes venus d'Egypte, et bien sur, le sympathique choeur Montjoie St Denis pour fermer la marche qui rassembla plusieurs milliers de participants. 

Que l'on soit croyants ou non, force est d'admirer ce type de démonstrations qui ressuscitent dans notre peuple un sentiment de fierté identitaire trop souvent bafoué par les démonstrations tapageuses des organisations islamistes qui imposent leurs coutumes sur notre sol. Pour s'en convaincre, il suffit d'avoir assisté à cette procession et d'avoir observé les réactions des Parisiens sur les trottoirs. L'étonnement du début laissant vite la place à l'intérêt qui, bien souvent, se transformait en approbation.

Félicitons Oriflammes et ses dynamiques animateurs pour cette heureuse initiative.

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Le film relatant cet événement est en ligne cliquez ici

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A Ouistreham (14) les militants du Parti de la France disent non à l'ouverture d'un centre pour clandestins...

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Suite à l'annonce de l'ouverture d'un centre pour clandestins dans la petite ville de Ouistreham, les militants de Parti de la France du Calvados ont organisé en quelques jours une riposte qui n'est pas passée inaperçue. Samedi, ils ont manifesté dans le centre de la commune et entrainé ainsi l'approbation de nombreux habitants qui n'ont pas envie de voir leur cité transformée en Calais local.

Il y a quelques semaines le PdF avait mené une action similaire à Buzancay dans l'Indre, commune confrontée au même problème.

Le parti de Carl Lang fait preuve d'un dynamisme certain depuis son congrès national du 7 mai dernier cliquez ici. Il s'impose ainsi comme une force crédible d'opposition à l'immigration incontrôlée.

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A Madrid samedi, ils étaient des milliers pour défendre l'identité de l'Espagne...

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Plusieurs milliers de Madrilènes ont manifestés hier samedi pour défendre l'identité espagnole à l'appel du Hogar social, mouvement comparable à Casa Pound à Rome. 

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09:21 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 21 mai 2016

Rome : des dizaines de milliers de jeunes italiens dans les rue aujourd'hui à l'appel de la Casa Pound

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Une énorme manifestation a rassemblé un nombre impressionnant de jeunes néo-fascistes dans les rues de Rome samedi 21 mai. Parmi les nombreuses banderoles, signalons-en une rendant hommage à Dominique Venner. Cette marche était organisée par Casa Pound cliquez là, elle s'inscrit dans le vaste mouvement de prise de conscience nationale et identitaire des peuples d'Europe.

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Rappelons aussi que notre camarade Gabriele Adinolfi sera samedi prochain 28 mai à Paris cliquez ici.

19:51 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Lyon : le GUD rend hommage à la mémoire de Dominique Venner

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Communiqué du Groupe Union Défense (Lyon) :

Le 21 mai 2013, Dominique Venner se sacrifiait dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Par ce geste sacrificiel, il a voulu réveiller la longue mémoire des Européens en "dormition".

Ce matin, une banderole en son hommage a été accrochée sur un des ponts du Vieux-Lyon.

Son message est clair : L'Europe s'insurge contre la fatalité !

"Concernant les Européens, tout montre selon moi qu'ils seront contraints d'affronter à l'avenir des défis immenses et des catastrophes redoutables qui ne sont pas seulement celles de l'immigration. Dans ces épreuves, l'occasion leur sera donnée de renaître et de se retrouver eux-mêmes. Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. Le réveil viendra. Quand ? je l'ignore. Mais de ce réveil je ne doute pas."

Le choc de l'histoire, Dominique Venner, éd. Via Romana, 2011, p. 34

12:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Immigration : mode d'emploi

Qui est responsable ?

L'immigré qui profite du Système ou le fonctionnaire imbibé de

considérations politico-humanitaristes qui lui donne des papiers ?

12:08 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Syrie : la phase finale de la libération du pays est engagée...

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Depuis jeudi, des opérations de grande envergure visant à éliminer définitivement les terroristes islamistes ont  été lancées en Syrie. L'accord conclu récemment entre les deux grandes puissances engagées, la Syrie du Président Bachar al-Assad et la Russie, se traduit, en ce moment même sur place, par des bombardements aériens sans précédent et très efficaces en vue de l'éradication totale des tueurs de Daesh jusqu'ici soutenus par les mondialistes saoudiens, français et américains.

Des dizaines de bombardiers russes et syriens pilonnent les campagnes des trois districts, Alep, Idleb, et Hama, anéantissant ainsi toutes les fortifications des groupuscules terroristes qui n'ont jamais respecté la trêve décrétée le 29 février dernier. Rappelons au passage que la diplomatie française, incarnée par le sinistre Fabius et dont l'aveuglement est légendaire, considérait jusqu'à peu que Daech "fait du bon boulot en Syrie".

Mais revenons aux choses sérieuses. L'objectif de ces opérations militaires est de couper toutes les voies d'approvisionnement vers Raqa afin de pouvoir livrer la bataille finale qui tournera la page de Daesh une fois pour toutes en Syrie.

Contrairement à toutes le tergiversations américaines, cette bataille de Raqa bénéficiera d'une couverture diplomatique et médiatique de la part des deux grandes puissances. La bataille de Raqa devrait débuter à la fin du mois de mai. Elle sera la mère des batailles que livreront les forces nationales syriennes soutenues par leurs alliés. Elle marquera la fin de cette abominable guerre en Syrie.

Informations : le géopoliticien Mohamad Kamal Aljafa

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Comprendre la guerre en Syrie :

En savoir plus cliquez ici

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11:49 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dominique Venner : il y a 3 ans...

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Pour mieux connaitre la vie et

l'engagement politique de Dominique Venner :

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Plus d'informations cliquez ici

Le commander en ligne cliquez là

11:21 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 20 mai 2016

Sortie le 1er juin du roman choc de l'été 2016 : LE GRAND REMBARQUEMENT d'Emmanuel Albach

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Le Grand rembarquement, Emmanuel Albach
Les Bouquins de Synthèse nationale, 390 pages, 26 €
Sortie 1er juin 2016

En 2019, un président "consensuel" met en œuvre un projet d'une folle audace, qui se veut une solution définitive et magistrale au problème devenu explosif de la cohabitation des communautés : le "Projet SCSE". Mais qui a conçu ce "Projet SCSE" ? Et quel est son véritable but ? Et qu’est-ce qui se cache derrière ces initiales ? Une version inversée de l'exode de 1962 ? Et, si c'est cela, comment se fera cette fois ce grand déplacement de population, ce grand rembarquement ? Quand l’histoire s’emballe et que les hommes politiques en ont perdu le contrôle, tout peut arriver… Même une issue aussi inattendue qu’inespérée !

Emmanuel Albach est aussi l'auteur de Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes... (Les Bouquins de Synthèse nationale, 2015 cliquez là)

Le commander en ligne cliquez ici
Bulletin de commande

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Patriote, tu te trompes : le flic n’est pas de ton côté

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Nicolas Kirkitadze Boulevard Voltaire cliquez ici

Sous le slogan « Touche pas à mon flic », toute la droite paraît soutenir les policiers descendus dans la rue. Rien d’étonnant, puisqu’un patriote souhaite l’ordre et la justice dans son pays. Surtout en France, où l’armée et la police sont associées à l’héroïsme et au dévouement, surtout depuis les attentats de 2015. Il est ainsi très difficile, en France, d’être patriote sans aimer les forces de « l’ordre ».

Pourtant, quand la même police nous chargeait lors de la Manif pour tous, à grands renforts de gaz lacrymogène et de matraques, les mêmes patriotes protestaient, traitant nos forces de l’ordre de « collabos ». Tout comme le jour où le général Piquemal était violemment arrêté par les CRS.

Ce rapport complexe à la police n’est pas exclusif aux patriotes. Si 71 % des Français se disent opposés à la loi Travail, et que les trois quarts trouvent « antidémocratique » le recours au 49-3, sept sondés sur dix « comprennent le ras-le-bol des policiers » et presque autant pensent que le gouvernement « n’est pas assez ferme face aux débordements des manifestants ».

Traduction : on veut du changement, mais sans flammes et sans barricades ; une révolution de gentlemen, sans se salir les pattes. Cette notion de « révolution polie » est encore plus présente chez les patriotes. L’amour de la France et l’amour de l’uniforme rivalisent dans leur esprit. Mais de ce combat fratricide il ne sort aucun vainqueur. Si bien que le pauvre patriote court les rues, défilant tour à tour avec la police, puis contre elle quand celle-ci se retourne contre lui.

Il serait cocasse que ces droitards exaltant la police se fassent rosser par elle, lorsqu’ils s’opposeront au gouvernement. Mais à quoi bon ? Le lendemain, ils défileraient pour crier leur amour aux hommes en bleu. Comme l’adolescent qui fugue mais, harassé par la faim et sentant le fumet du plat qu’on est en train de mitonner, revient dans le giron de ses géniteurs.

Le « rebelle bien élevé » fantasme sur une police patriote. Il rêve de voir gudards et flics entonner d’une voix « La Marseillaise ». « Ils servent la France, ils seront forcément de notre côté », se dit-il. Et fort de cette conviction, il défile dans la rue avec les policiers qui réclament « plus d’amour » de la part des citoyens. Mais quand la matraque du CRS s’abat sur ses fesses, il tombe de haut.

Eh oui, mon p’tit bourgeois, la police n’est pas de ton côté. Elle n’est du côté de personne, sinon de celui qui est au pouvoir. Le flic a une famille à nourrir, il s’en balance, de tes opinions politiques. Alors, défile tant que tu veux, crie ton amour de la police. Cela ne les empêchera pas de latter ta petite gueule si tu l’ouvres un peu trop fort.

Si les violences gratuites des casseurs contre la police et le mobilier urbain sont condamnables, la schizophrénie des patriotes dits « bien élevés » l’est à plus forte raison. Êtes-vous Antigone ou Créon ? Choisissez avant qu’ils ne décident pour vous.

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jeudi, 19 mai 2016

Pierre Cassen : une « Forteresse Europe » contre le danger islamiste

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Pierre Cassen lors de la 9e Journée de

Synthèse nationale le 11 octobre 2015

Pierre Cassen est fondateur de Riposte Laïque, et fut co-organisateur, entre autres, de l’Apéro saucisson-pinard et des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays. Il a animé de nombreuses manifestations et des rassemblements. Depuis plus de dix ans, il consacre l’essentiel de son combat à la lutte contre l’islamisation de notre pays et de l’Europe, et anime de nombreuses conférences, souvent tournées vers l’action. À ce titre, il revient de Prague, et répond aux questionsde Philippe Randa, durecteur d’EuroLibertés.

Vous venez de participer dans les locaux du Parlement tchèque à « une initiative européenne de lutte contre l’invasion migratoire et l’islamisation de nos pays »… Qui l’a organisée ? Quels étaient les participants ?

Cette initiative a une histoire. Nous avons rencontré Tatjana Festerling, porte-parole de Pegida Allemagne qui revenait d’un entretien à TVLibertés, grâce à l’entregent de Jean-Yves Le Gallou. Le contact entre elle, Christine Tassin et moi a été excellent, et Tatjana nous a demandés si nous serions d’accord pour venir à Prague, le 13 mai, afin de participer à une réunion de résistants européens. C’est le genre de proposition qui ne se refuse pas, et nous nous sommes donc rendus disponibles.

L’initiative avait lieu au cœur du Parlement tchèque. Les rôles avaient été répartis entre le parti tchèque Usvit (Aube pour la Démocratie directe), qui compte huit députés, et Pegida Allemagne, qui est la tête de pont de la Résistance européenne, surtout à Dresde, d’où est issue Tatjana. La volonté était de créer une structure européenne, « Forteresse Europe », avec tous ceux qui avaient envie de se lancer dans cette aventure. Au total, pour le moment, quatorze pays, majoritairement de l’Est, mais aussi, outre les Allemands, les Anglais, les Espagnols, les Italiens, les Autrichiens et nous, les Français. Notre pays était représenté par Christine Tassin et moi, au nom de Résistance républicaine – Riposte Laïque, et par Karim Ouchikh, président du SIEL (Souveraineté, identité et libertés). Après que chacun a pu prendre la parole, les organisateurs ont proposé à chaque représentant national de signer une pétition s’opposant à la logique des quotas de migrants imposés par l’Union européenne. L’objectif annoncé est de recueillir 1 million de signatures pour contraindre l’UE à ouvrir un débat parlementaire sur cette question. Nous avons respecté cette première initiative, privilégiant le cadre unitaire. Pour nous, l’essentiel était qu’un outil européen se mette en place, et donc que des actions communes, au niveau Vieux Continent, puissent se développer au plus vite. Avec la force militante de Pegida Allemagne aux commandes, et le savoir-faire de chaque pays représenté, il y a un potentiel prometteur, et nous sommes heureux d’avoir été conviés à cet événement.

Les pays d’Europe de l’Est sont-ils confrontés de la même manière que ceux de l’Ouest aux invasions migratoires et comment appréhendent-ils le danger djihadiste ? Craignent-ils des attentats similaires à ceux qui viennent de frapper la France et la Belgique récemment ?

Il y avait deux mondes, effectivement, ce vendredi, dans le Parlement européen. Les pays de l’ouest de l’Europe, déjà fortement islamisés, et les pays de l’Est, qui ne sont pas du tout confrontés à cette situation, mais ne veulent surtout pas y être. D’où la pétition pour refuser les quotas. Les pays de l’Est, à ce jour, ne vivent absolument pas dans la crainte d’un attentat. Certains pensent que seul l’Est pourra sauver la culture européenne, et que l’ouest est mal parti, même s’ils sont solidaires de nos combats. Par contre chose inquiétante, nous avons entendu le témoignage d’un militant de l’Usvit, qui a raconté au public l’offensive d’une jeune collégienne musulmane voilée dans une école, à Prague, et les nombreux soutiens dont elle bénéficie, scissionnant la société tchèque. C’est Creil, 27 ans après…

Quelles sont vos impressions sur la République Tchèque après votre séjour ?

Nous ne sommes restés que trois jours, et ne pouvons prétendre avoir tout vu de la réalité tchèque, n’étant demeurés qu’à Prague. On voit que la capitale est toujours une ville européenne. Les élèves que nous avons croisés dans les rues sont tous blancs, et par ailleurs paraissent fort bien élevés, et respectueux des enseignants. Naturellement, le centre-ville, autour du Pont Charles, est superbe. Gros point noir, les tags. J’avoue ne pas comprendre que dans une ville aussi touristique, ils soient aussi omniprésents, y compris sur la façade du musée Kafka (voir photo). Peut-être un Jack Lang tchèque ? Vous ne vous sentez jamais menacé, sur le qui-vive, ce qui est loin d’être le cas dans nombre de capitales d’Europe de l’Ouest, Paris en premier. On peut manifester librement à Prague. Nous avons vu un groupuscule nationaliste, un samedi, jour des 700 ans de la naissance du Roi Charles IV, tenir une réunion en plein centre-ville, à cinquante personnes. Pas de policiers, pas de gauchistes, pas de racailles. Il n’y a pas de chômage de masse, et il paraît y avoir du travail pour tout le monde. Nous avons vu de nombreuses usines en activité avec des hautes cheminées envoyant leur fumée dans le ciel, preuve qu’il y a toujours des ouvriers dans ce pays… et pas trop d’écolos ! Le salaire moyen tourne entre 800 et 1000 euros. La situation française passionne beaucoup les Tchèques, admirateurs de notre pays, et désespérés qu’il soit devenu un des maillons faibles de l’Europe. Ils cherchent à comprendre ce qui nous arrive, et paraissent décidés à ne pas se laisser envahir, ni islamisés.

Source EuroLibertés cliquez ici

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Richard Roudier ce jeudi soir à Toulouse

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13:24 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 21 mai, à Paris, procession en l'honneur de St Martin

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08:18 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |