vendredi, 12 mai 2017
L’illusion protectionniste européenne de Macron
Marc Rousset Boulevard Voltaire cliquez ici
Sur les tas de fumier naissent parfois de belles fleurs ! L’illusion protectionniste européenne de Macron en est une !
Macron jure ses grands dieux qu’il ne soutient pas le libre-échange mondialiste. Dans son programme pour se faire élire, il demande en effet que l’accès aux marchés publics européens soit réservé aux entreprises qui localisent au moins la moitié de leur production en Europe. Mais étant élu, soutenu et financé par les multinationales et le capitalisme financier, son combat apparent est l’arbre qui cache la forêt de la soumission effective à la « mondialisation naïve », cause de la montée du chômage et de la disparition des classes moyennes dans les pays industrialisés.
Le « Buy European Act », équivalent européen de ce qu’appliquent les États-Unis avec le « Buy American Act » depuis 1933, se heurte déjà, alors qu’il n’est même pas à l’Élysée, à une levée de boucliers en Allemagne, en Europe du Nord et à la Commission de Bruxelles, l’Angleterre n’étant plus là pour ajouter sa voix au concert des jeunes vierges libre-échangistes effarouchées.
La Commission Juncker vient, en effet, de publier ses « Réflexions sur une reprise en main de la mondialisation ». Elle s’oppose au protectionnisme européen et à ce que les frontières soient fermées car, dit-elle d’une façon hypocrite et inacceptable pour la France, « les autres pays feront de même et tout le monde se retrouvera perdant ». Mais c’est justement là que le bât blesse puisque les autres pays le font déjà, l’Amérique le fait déjà, la Chine le fait déjà d’une façon officielle et légale.
Car il ne faut pas se faire d’illusions : défendre les intérêts français face à une Allemagne libre-échangiste et particulièrement dure pour les négociations économiques ne sera pas facile. L’Allemagne veut le beurre et l’argent du beurre. Les mots ne suffiront pas. Seuls la détermination, le rapport de force avec la France et le risque d’explosion de l’Europe pourront faire plier l’Allemagne et Bruxelles !
C’est tout le drame français d’une France décadente, faible, mal dirigée, hédoniste qui perd sur tous les tableaux, à l’antipode de la France qui gagnait avec de Gaulle et l’Europe des Six, car elle avait la force politique et la volonté de faire respecter ses intérêts en imposant la préférence communautaire et agricole ! De Gaulle n’hésita pas à pratiquer la politique de la chaise vide. La France doit demander, comme l’a préconisé Maurice Allais, le retour au protectionnisme européen du traité de Rome. La France est d’autant plus fondée à faire cette demande que le monde, avec le libre-échangisme mondialiste, est beaucoup plus dangereux un demi-siècle plus tard. La France a besoin, effectivement, de la détermination d’une Marine Le Pen, mais européenne, plus instruite et capable.
00:11 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 11 mai 2017
LUC PÉCHARMAN, DÉLÉGUÉ RÉGIONAL DE SYNTHÈSE NATIONALE À LILLE, SERA LE DIMANCHE 21 MAI À NIEPPE (59)
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Jean-Marie Le Pen analyse le second tour de la Présidentielle
20:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Présidentielle 2017 : l’échec d’une stratégie
11:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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GABRIELE ADINOLFI SERA À NIEPPE (PRÈS DE LILLE) LE DIMANCHE 21 MAI À LA 5E JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE
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CE JEUDI, 11 MAI, CARL LANG INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
01:02 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 10 mai 2017
Les bons moments de la vie politique :
22:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pierre Vial salue le départ de Marion Maréchal Le Pen
Un communiqué de Pierre Vial,
Président de Terre et peuple
Ainsi Marion quitte un FN devenu une boutique électorale comme les autres, un panier de crabes où se bousculent les arrivistes et où, pour être bien vu, il faut être dépourvu de toute conviction forte (ou, encore mieux, l’avoir abandonnée comme une tunique de Nessus).
Marion, évidemment, a raison. D’autant que beaucoup de gens ont confiance en elle et que cette confiance va se maintenir. Ce qui lui permettra, le jour où elle le souhaitera, de pouvoir compter sur un capital de fidélités permettant de construire quelque chose. Une espérance existe. Nous sommes un certain nombre à vouloir la faire vivre.
21:36 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DESTINATION « TERRE INCONNUE » : BON VOYAGE EN MACRONESIE !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Vous connaissez peut-être la Micronésie, cette fédération d’iles de l’océan Pacifique ou la Macaronésie qui regroupe géographiquement Madère, les Açores, les iles du Cap-Vert et les Canaries. Désormais, il faudra y ajouter dans votre atlas politique la « Macronésie », rimant d’ailleurs avec « frénésie », tant les admirateurs du jeune éphèbe leader « d’En Marche » sont électrisés.
Le candidat du vide, surtout celui des milieux d’affaires mondialistes
Ainsi, Emmanuel Macron, chouchou des médias, candidat préféré du MEDEF et des Européistes, favori des « bobos », des jeunes boutonneux et autres écolos des beaux quartiers, a gagné dès sa première joute électorale le sommet du cocotier. Reconnaissons-lui au passage, objectivement, un talent certain qui lui a permis, indépendamment des coups de pouce en provenance du système, de ringardiser les vieux canassons du sérail politique. Son programme est creux et le peu que l’on en sait nous donne déjà de l’urticaire : immigration, sécurité, à gauche toute ! Et, en ce qui concerne la réforme du code du travail – épais comme un dictionnaire – ou celle des régimes spéciaux de retraite, on lui souhaite bien du plaisir avec les gréviculteurs de la CGT, de FO, et autre CFDT. Au niveau du commerce mondial et de l’Europe de Bruxelles, en européiste qu’ il est, mondialiste il sera. D’autre part, comment peut-on être Président de la République en insultant la mémoire de la patrie,en l’accusant d’être l’auteur de « crimes contre l’humanité », mettant ainsi la France au niveau des criminels de guerre nazis ou des exterminateurs bolchéviques ? Le jeune Monsieur Macron n’avait sans doute pas les mêmes manuels d’histoire que votre serviteur. Seul indice de satisfaction, sa volonté apparente de modifier la loi électorale et d’introduire une dose de proportionnelle aux élections législatives, permettant ainsi une représentation parlementaire de tous les courants politiques. Examinons maintenant les résultats de cette élection présidentielle hors normes, qui restera dans les annales de l’histoire comme celle des coups tordus et de l’effacement des deux grandes forces politiques qui structuraient, jusque-là, la vie politique française.
Comme en 1942, un sabordage de la « Marine nationale » ?
Une première constatation, évidente, la majorité des électeurs ne veut toujours pas du leader de « la France insoumise » pas plus que de la présidente du Front national comme Chef de l’Etat, en dépit de leurs bons scores respectifs. L’élimination, dès le premier tour , de François Fillon est la conséquence immédiate de ce que les médias ont appelé le « Pénélopegate ». Quant au Parti socialiste, grand gagnant de 2012, il passe cette année à la trappe, sinon aux oubliettes…Toutefois, relativisons un peu la victoire d’Emmanuel Macron. Au premier tour, il ne captait, en gros, qu’un électeur sur quatre s’étant prononcé. C’est dire si les trois quarts n’en voulaient pas. Au second tour, il l’emporte par 66,1 % des suffrages exprimés ne représentant « que » 43,62 % des inscrits. A noter le très grand nombre de bulletins blancs et nuls ou d’abstentions, soit un tiers du corps électoral avec presque 34 % de votants potentiels. Et si l’on additionne les abstentionnistes, les « blancs ou nuls » aux résultats de Marine Le Pen – 10 644 118 voix – on obtient un pourcentage de 56,37 %, c’est-à-dire plus d’un Français sur deux rejetant l’ancien ministre de l’économie. Combien se sont ralliés au candidat « d’En Marche » par crainte ou rejet de Marine Le Pen ? Cette dernière, après une bonne campagne de premier tour avec, toutefois, une absence de programme économique crédible, s’est littéralement suicidée lors du débat télévisé de l’entre deux tours, faisant apparaitre en creux un Macron ayant la stature d’un présidentiable. Un comble, quel gâchis pour elle, mais ce n’est pas notre souci ! L’heure des règlements de compte a-t-elle sonné au sein d’un Front national attrape-tout, une « auberge espagnole » qui devra bien clarifier, un jour, sa ligne politique ? Le départ de la nièce annonce-t-il une accentuation de la « ligne Philippot » qui, en tout état de cause, a fait perdre les élections à ce parti en dépit de sa progression en termes de voix ? Ce n’est plus notre problème ; ce mouvement, aux ambitions gouvernementales hors de portée, flotte dans des habits trop grands pour lui, avec pas mal d’élus pour peu de militants présents sur le terrain… « Caramba », une « armée mexicaine » en quelque sorte : beaucoup de « chefs » et peu de soldats !
Le nouveau Président sera-t-il « le Pierre Laval d’Angéla Merkel ? »
La précipitation avec laquelle les nouveaux Présidents français, à peine élus, se rendent à Berlin, doit-elle être interprétée comme un acte de soumission, le vassal rendant hommage à son suzerain en quelque sorte, ou est-ce une simple visite de courtoisie d’un ami chez son voisin ? L’Allemagne pèse plus que la France économiquement, comme elle pesait hier de tout son poids militaire pendant les tragiques et funestes années quarante. La chancelière allemande ouvre délibérément son pays à l’invasion migratoire, prétextant la faible démographie de la RFA .Des bras étrangers pour l’industrie en lieu et place d’une énergique politique familiale ? On peut redouter la même propension chez le nouveau « R »ésident français du Faubourg Saint-Honoré et son alignement sur les positions les plus fédéralistes, alors qu’il faudrait redonner de l’air aux nations européennes, respecter le principe de subsidiarité, condamner une idéologie libérale-libertaire, immigrationniste, libre-échangiste, pour tout dire « mondialiste ».
L’explosion des vieux partis
En attendant la suite des évènements, redoutant comme tout Gaulois qui se respecte que « le ciel ne nous tombe sur la tête », ne goûtons pas notre plaisir devant la recomposition accélérée du paysage politique français. A peine battu, Fillon demandait de voter en faveur de celui que, 24 heures auparavant, il qualifiait « d’Emmanuel Hollande » ! Estrosi esquisse des pas de danse du ventre, tandis que « Bruno, c’est le renouveau » - vous savez, le député de l’Eure - est prêt à faire don de sa personne à la France…Mais le spectacle le plus truculent de ces reptations vers le nouveau maître, est celui offert par l’ancien Premier ministre qui s’humilie à quémander l’investiture « d’En Marche » pour sauver son gagne-pain de député dans la circonscription d’Evry, s’exposant ainsi à une exclusion de ce qui reste du Parti socialiste ! On sait dans le monde des affaires, que pour les vautours et prédateurs de la finance, « tout homme a un prix » mais, dans le monde politique, mon Dieu que les hommes sont petits devant les pots de miel ! Les élections législatives qui se profilent permettront-elles de dégager une majorité absolue pour le nouveau Président ? Ou le spectre politique sera-t-il élargi, recomposé selon des axes nouveaux, faisant de la traditionnelle division droite molle/gauche sectaire, un accessoire obsolète du monde politique ?
En tout cas, là où des candidats du PDF, de Civitas ou des Comités Jeanne seront présents, l’électeur patriote pourra accomplir son devoir.
19:19 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LORRAIN DE SAINT AFFRIQUE CE SOIR SUR FRANCE INTER
12:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Bouffon Ier et Jeunot Ier : au service de qui ?
Bernard Plouvier
On le sait : le premier passe avec grand plaisir le sceptre au second, qui doit poursuivre les « actions » du quinquennat échu.
L’honnête citoyen s’étonne, le 10 mai, à l’occasion de l’ultime conseil des ministres, d’ouïr l’ensemble des journalistes & politologues, unanimes à vanter la mesure-phare du quinquennat : l’allègement massif des charges patronales… un observateur attentif aurait pu croire que la–dite mesure était la stimulation de l’immigration mahométane et son corollaire, les attentats djihadistes. Mais, soit : allègement de la fiscalité des entreprises, il y eut et même largement.
L’on vivrait dans un monde merveilleux, si cette diminution de revenus fiscaux pour l’État, cette diminution de dépenses pour les entreprises s’étaient traduites par des créations d’emplois ou une baisse des prix à la vente.
Hélas ! Le chômage atteint des records inédits et nul n’a vu de baisse – sauf pour les prix des produits pétroliers, ce dont on ne peut créditer, même avec la plus plate déférence, le sieur Hollande et son équipe de pantins ministériels qui passeront à la postérité comme ayant été les plus nuls de l’histoire de France depuis le règne du triste Charles VI (Jeanne d’Arc étant la mascotte de tous les partis, aussi bien de Macron-démagogue que de sa concurrente, il est bon de rappeler que la France s’est parfois trouvée dans des situations lamentables, mais que c’est par eux-mêmes, exclusivement, que les Français se sont tirés de l’ornière où ils s’étaient embourbés).
Une grave question se pose : au service de qui Hollande et consorts du Parti soi-disant « socialiste » ont-ils roulé ? La réponse est évidente : au service des entrepreneurs et de leurs actionnaires.
Le Président Macron, formaté dans la haute finance, peut-il « rouler pour le peuple » ? C’est une bête question !
Il y a un an, nul ne pensait à ce ministre ultraréactionnaire de l’économie, qui ne cherchait qu’à faire plaisir aux employeurs, en « assouplissant », en dérèglementant, etc. En un peu plus d’un semestre, le grand capital lui permet de mettre sur pied un Parti et de gagner haut la main une élection, grâce à la mise à disposition de tous les media… et l’on voudrait nous faire croire que ce serait pour le peuple ?
Les media sont le nouveau Jupiter des légendes antiques : ils aveuglent et rendent stupides ceux qu’ils veulent manipuler. Dans la défunte URSS, alors que tout manquait sauf la trinité marxiste - terreur, propagande et vodka -, le slogan était : « Nous forgeons un avenir radieux ». La seule différence entre le totalitarisme globalo-mondialiste et le stalinien réside dans l’abondance des jouissances matérielles des victimes.
Français, vous avez triomphalement élu Macron-capital, consommez donc (de préférence à crédit, c’est excellent pour les institutions financières) et continuez d’écouter journalistes et politologues… jusqu’à ce qu’un jour, la République de Franchiaoui soit gouvernée selon les merveilleux principes de la charî’a. Ainsi, vos descendants seront encore plus stupides et plus facilement manipulables que vous !
09:27 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DIMANCHE 21 MAI : THOMAS JOLY À LA JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE À NIEPPE PRÈS DE LILLE
Le programme de la journée cliquez là
07:51 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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MARION MARÉCHAL LE PEN S'EXPLIQUE
07:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Refuser l'infantilisme
06:54 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 09 mai 2017
Dimanche 14 mai, Paris : HOMMAGE UNITAIRE À SAINTE JEANNE D'ARC
18:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL : DIMANCHE 21 MAI, À NIEPPE, PRÈS DE LILLE
18:39 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Roland Hélie invité ce mardi à la matinale de Radio Libertés
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était ce matin invité par Arnaud Menu à donner son avis sur la Présidentielle lors de "la matinale" de Radio Libertés.
Pour écouter cette émission cliquez ici (l'entretien avec Roland Hélie débute à 28,50 mn).
11:51 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pour Zemmour, le problème vient de Marine Le Pen
Source Valeurs actuelles cliquez ici
Présidentielle. Dans un exercice de questions-réponses avec les internautes de RTL, Éric Zemmour a vivement critiqué la campagne tenue par Marine Le Pen.
Éric Zemmour a donné son analyse des résultats de l'élection présidentielle, lundi 8 mai sur RTL. Marine Le Pen était dans le viseur. "Elle était donnée à 30% au premier tour, elle finit à 21%. Elle était donnée à plus de 40 % au second tour, elle finit à 35%. Ça, c'est l'effet campagne de Marine Le Pen. À chaque fois, ses idées sont bien plus hautes qu'elle. Il y a un vrai problème Marine Le Pen aujourd'hui", explique le polémiste."Marine Le Pen est de gauche"
Pour Éric Zemmour, le principal problème provient de sa stratégie de campagne. En d'autres termes, de la ligne Philippot, plus sociale qu'identitaire, plus économique que culturel. Une stratégie mortifère aux yeux du polémiste. "Même si dans ses discours, elle tient compte davantage de l'identité et de l'immigration, de l'islam qui sont les vrais sujets qui peuvent rassembler au-delà de son électorat, elle retombe dans sa stratégie inspirée de Florian Philippot, de gauche. Elle privilégie le social sur l'identitaire" a-t-il déclaré.
Enfin, après avoir rappelé que la présidente du FN était "de gauche, et que tous ses réflexes [étaient] de gauche", Éric Zemmour a évoqué l'union des droites qui permettrait selon lui d'asseoir des idées "majoritaires dans le pays" (sur l’immigration, l’islam…), mais cela dit-il, "ni Marine Le Pen, ni la droite classique ne veut de cette union".
07:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 08 mai 2017
Hier soir, j’ai vu l’inquiétante et décérébrée Génération Macron
Charles Demassieux Riposte laïque cliquez ici
La France a donc élu tout à la fois son président, son roi, son empereur, son pharaon, puisqu’il a choisi le Louvre pour exulter, cadré avec la pyramide dans le dos pendant qu’il s’imprégnait d’une aura prophétique ou… pathétique.
Enfin, la France : plutôt la « Génération Macron », selon la une du quotidien suisseLe Temps. C’est-à-dire des garnements auxquels leurs parents ont enseigné qu’ils n’avaient que des droits, qu’ils étaient les plus beaux et qu’ils pouvaient jouir sans entraves et sans frontières. Des garnements qui sourient toujours parce qu’ils se foutent de tout, à part de leur petit monde sans hauteur.
Une France connectée et ubérisée a plébiscité son candidat. Pour un peu, on se croirait dans le film L’Âge de cristal, où, dans une société futuriste et jeuniste, l’on est forcé de mourir avant de vieillir. Parce que les vieux ce n’est pas dynamique et encore moins nomade. Jacques Attali, conseiller occulte du yuppie victorieux, n’a-t-il pas jadis déclaré : « Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé soient les plus réduites possible en termes de coût pour la collectivité. Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. L’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures » ?
Le directeur de la campagne numérique du nouveau président, Mounir Mahjoubi, l’a dit : « Soyez prêts à voir de nouveaux visages. Nous allons changer la vie politique » (source : Libération). Oui, du passé faisons table-rase, même si, sans passé, une nation court à sa perte. Peu importe, me direz-vous, puisque la France va devenir un gigantesque open space – faudra s’habituer aux anglicismes car la génération fun est au pouvoir ! –, dont profiteront AUSSI certains, qui entendent quant à eux défendre et imposer leur passé figé et né dans un désert aride. Vous voyez de qui je parle !
Un bémol toutefois, Emmanuel Macron a été élu avec 66% des voix, mais avec 25% d’abstention et près de 12% de votes blancs et nuls, sans oublier les 34% de Marine. Non, le président 2.0 ne fait pas encore l’unanimité. Le culte indiscutable du nouvel Être suprême n’est pas encore pour maintenant.
Un autre bémol, ces casseroles exhumées par WikiLeaks et qui, sauf pour les groupies du gourou-président, risquent d’écorner son image bien lisse de gendre idéal.
Ce président aura tout de même bénéficié d’une chasse aux sorcières sans précédent : celle de Fillon, ce néo-Daladier ayant traîtreusement signé ses propres accords de Munich en filant un chèque en blanc au candidat d’En Marche !, et celle de Marine Le Pen, qui risque de payer cher le fait d’avoir perdu. Un président qui aura reçu les hommages de la quasi-totalité des médias, serviles comme jamais, hargneux, voire enragés, lorsqu’il se trouvait en difficulté. Au moins, les masques sont tombés de ce côté-là.
Quel avenir pour la France ? Poser la question c’est déjà y répondre, hélas. Il reste les Législatives, mais une fois de plus, je crains ce front républicain. Il reste, surtout, le réveil des forces vives de la Nation, sans lesquelles Macron ne sera rien : l’Armée, les forces de l’Ordre, le peuple humilié par l’immigration féroce, l’islam meurtrier et l’élite méprisante.
Qu’il est loin le temps où le duc d’Aumale, présidant alors le conseil de guerre jugeant le maréchal Bazaine pour sa capitulation face aux Prussiens, répondait à l’intéressé qui tentait de se justifier : « Il restait la France, Monsieur ! »
13:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La réplique au bankster mondialiste Emmanuel Macron ? Le 14 mai 2017, grand défilé unitaire des patriotes et des défenseurs de la famille
Communiqué d'Alain Escada, Président de Civitas :
La page de l’élection présidentielle est tournée. Voilà un bankster mondialiste aux commandes de l’Etat. Tous les lobbies de l’anti-France pavoisent, tous les cercles cosmopolites applaudissent, tous les acteurs de la haute finance apatride se frottent les mains, tous les promoteurs de la décadence morale sont à la fête.
Si ce résultat a de quoi nous inquiéter, il n’est que la continuité de la politique désastreuse de déracinement que nous subissons depuis des décennies et qui veut nous réduire à l’état de consommateurs nomades sans Dieu, sans famille, sans patrie.
Mais il ne peut y avoir de place ni pour la résignation ni pour la déprime. Dès à présent s’engage la bataille pour les élections législatives. Ensuite viendra le temps de structurer une résistance efficace qui reposera obligatoirement sur un socle de principes moraux sans lesquels aucune véritable restauration nationale ne peut s’envisager solidement.
Au plus vite, nous avons besoin d’un grand évènement fédérateur.
Civitas invite l’ensemble des patriotes et des défenseurs de la famille à faire du défilé d’hommage à sainte Jeanne d’Arc, le dimanche 14 mai 2017 (14 h. place St Augustin), un grand rassemblement unitaire pour réaffirmer publiquement nos valeurs non négociables.
Plus d'informations cliquez ici
13:03 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Carl Lang appelle les Français se reconnaissant dans les valeurs et les principes de la droite nationale à rejoindre le Parti de la France.
Communiqué du Parti de la France :
Le résultat de l’élection présidentielle révèle douloureusement pour les militants nationaux que la stratégie « à gauche toute » et le souverainisme gauchisant de Marine Le Pen ont ruiné les chances de réaliser la grande alternance nationale.
Alors que les conditions historiques et le contexte politique lui étaient exceptionnellement favorables, Marine Le Pen a transformé un boulevard électoral en impasse politique.
Il est nécessaire pour la France de faire à nouveau entendre la voix de la vraie droite nationale française.
Soutenez les candidats du Parti de la France aux élections législatives qui vont faire une campagne de résistance nationale, de défense de nos valeurs de civilisation et de refus de l’islamisation.
Aidez le Parti de la France. Rejoignez-nous.
Site du PdF cliquez ici
12:13 Publié dans Présidentielle 2017 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LE COMBAT CONTINUE
11:20 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LA HAUTE FINANCE INSTALLÉE À L’ELYSÉE : VIVE LA RIPOUBLIQUE !
Pierre Vial Président de Terre & peuple
Les gros malins friqués et les jobards ont désormais le Président qu’ils méritent et qu’ils ont voulu : ce produit type de la Haute Finance anonyme et vagabonde, comme disait Henry Coston.
Avec lui, pas d’erreur possible : les très riches seront encore plus riches, les très pauvres encore plus pauvres. En application d’un libéralisme pur et dur, qui sème sur sa route précarité, pauvreté, désespoir. Rassurez-vous : cela n’empêchera pas les bobos de dormir. Tout au moins jusqu’au jour où on ira les réveiller pour les pendre à l’arbre le plus proche…
Car nous entrons dans une nouvelle phase de l’Histoire dont les apprentis sorciers qui ont monté l’opération Macron s’imaginent qu’ils pourront la maîtriser, comme d’habitude. Or ils ont fabriqué et mis en place un Golem (rappelons à ceux qui ne sont pas familiarisés avec la tradition juive et la kabbale que le Golem est un puissant monstre anthropoïde, fabriqué par un rabbin avec de l’argile, destiné à servir inconditionnellement son créateur… mais qui peut lui échapper).
Bien sûr, le monde du fric roi est aux anges : la créature qu’il a fabriquée de toutes pièces et installée à l’Elysée va servir au mieux ses intérêts. Pendant cinq ans ? Les dieux en décideront. En inspirant peut-être à un peuple méprisé, bafoué, exploité une volonté de révolte aboutissant à la destruction du Golem.
C’est à cette œuvre de libération qu’il nous faut maintenant travailler, en particulier sur le terrain social, économique et culturel, au plus près des réalités, à la base, au contact de toutes celles et de tous ceux qui vont souffrir de plus en plus de la casse à grande échelle organisée par des gens qui se croient désormais tout permis et veulent écraser toute résistance. Il faut entrer en sécession, rompre tous les ponts avec un Pays Légal qui doit devenir de plus en plus une carcasse vide. Que le Pays Réel organise son autodéfense et sa survie – et tout sera possible. Comme a dit un jour un grand soldat : « Courage, on les aura ! ».
11:20 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 07 mai 2017
APOCALYPTIQUE JUSQU'À LA FIN
15:08 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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7 MAI 1954
15:01 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 06 mai 2017
L’omniprésidence turque
Le 16 avril dernier, les électeurs turcs étaient convoqués à un référendum crucial. Ils devaient se prononcer sur une grande révision de la constitution de 1982 rédigée par la junte militaire alors en place.
Premier ministre omnipotent entre 2003 et 2014, Recep Tayyip Erdogan avait déjà réussi une première modification en 2007 en imposant l’élection au suffrage universel direct du président de la République de Turquie pour un mandat de cinq ans renouvelable une fois. Auparavant, le chef de l’État était élu par les parlementaires pour un mandat unique de sept ans et exerçait une fonction principalement honorifique.
L’élection dès le premier tour d’Erdogan et son tempérament autoritaire provoquèrent l’éviction de son ancien conseiller diplomatique, le Premier ministre Ahmet Davotuglu, pour un chef de gouvernement plus malléable. Désormais, malgré une opposition qui soupçonne une vaste fraude électorale et une victoire plus courte que prévue (51,41 %), la nouvelle réforme fait de la Turquie non pas un régime présidentiel calqué sur le modèle étatsunien, mais plutôt un régime présidentialiste.
En effet, toujours élu pour cinq ans, le président qui n’aura plus de premier ministre à partir de 2019, nommera et révoquera les membres de son gouvernement, dirigera tout l’exécutif et aura le droit de présider un parti politique. Chef suprême des forces armées, il supervisera les magistrats et pourra gouverner par décret. La concordance des élections présidentielles et législatives sera appliquée : les Turcs voteront le même jour pour le président et les députés. De fait, la dissolution de la Grande Assemblée nationale (impensable en système présidentiel) entraînera une élection présidentielle anticipée. Observons que cette simultanéité électorale fut défendue en France dans les années 1960 par le Club Jean-Moulin, proche des socialistes, puis par Jean-Pierre Chevènement dans Le temps des citoyens en 1993.
Désireux d’éclipser la figure fondatrice d’Atatürk, Erdogan s’est offert des institutions hyper-présidentielles qui lui assurent la plénitude du pouvoir. La Turquie retrouve ainsi avec lui sa puissance régionale d’avant au risque de déstabiliser une nouvelle fois tout le bassin méditerranéen, les Balkans, le Caucase et, on l’a vu récemment avec l’implantation de fortes communautés immigrées turques, l’Europe occidentale.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 31, diffusée sur Radio-Libertés, le 28 avril 2017.
17:18 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Journal du chaos de cette semaine
Pour le lire cliquez ici
17:11 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 05 mai 2017
Le MNR appelle à voter Marine Le Pen dimanche prochain
10:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Débat Marine / Macron : deux avis intéressants qui donnent une idée sur l'état des troupes publiés sur le site Boulevard Voltaire
Marine Le Pen petite joueuse
Jany Leroy, scénariste
L’erreur fatale de Marine Le Pen est de ne pas avoir su poser le véritable enjeu. Plutôt que se laisser enfermer dans des considérations techniques, elle devait se montrer porteuse d’un souffle. D’un élan. D’une dignité. Elle n’a en rien répondu à cette attente.
Un jeu de ping-pong politique, proposition contre proposition – « C’est moi qui ai la meilleure et pas toi, nananère » -, n’était pas adapté à la situation. La question centrale devait être : « Nous sommes sur le Titanic, vous proposez de colmater les brèches, moi je propose de le quitter avant qu’il ne soit trop tard. Point à la ligne. Tout le reste n’est que littérature et baratin de camelot. Pour quitter ce navire, je propose une chaloupe qui, certes, n’est peut-être pas parfaite, mais présente le mérite d’éviter le naufrage intégral. »
L’autre angle d’attaque pouvait être : « Je ne vous reproche pas d’avoir fait partie de ce gouvernement mais d’être porteur d’un projet qui revient à continuer sur la ligne de ce que nous connaissons depuis trente ans. Avec vous, le changement, c’est pas maintenant, ni plus tard.
C’est jamais. Vous êtes le clone de Sarkozy, Hollande et de toute cette oligarchie politique qui emmène la France dans le mur en remettant les clés du pouvoir à des technocrates de Bruxelles qui n’ont même pas été élus. Vous êtes le porte-parole du capitaine de ce bateau qui coule et vous voulez faire croire au Français que la croisière peut continuer… Vous n’êtes pas sérieux mais je vous reconnais la qualité de bien réussir à faire illusion. »
« Monsieur Mitterrand, vous n’avez pas le monopole du cœur. » Boum. Giscard avait gagné. C’est ce langage clair et net que l’électeur veut entendre. Ou façon Hollande : « Moi président je… » Marine Le Pen n’a pas compris que le seul moyen de remporter la partie était de laminer l’adversaire par une approche en « altitude » illustrée par des images fortes.
Elle se devait d’aborder ce face-à-face avec sérénité. Il était impératif d’éviter l’enlisement dans des modalités de ceci et cela, charges patronales, taxe d’habitation supprimée mais compensée par tel machin et autres imbroglios auxquels les Français ne comprennent pas grand-chose. Elle devait parler au cœur. Or, elle s’est laissée entraîner dans l’arrière-cuisine.
Faire calmement le bilan du chômage, de l’insécurité et de l’immigration sur ces dix dernières années, chiffres à l’appui, puis démontrer que le projet Macron ne proposait en rien d’enrayer cette déconfiture constituait un argument simple en mesure de bousculer l’électeur. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Ses interventions étaient au niveau d’une discussion de bistrot. En adoptant une attitude totalement à côté de la plaque, Marine Le Pen a commis une erreur grave qui amène à se demander si elle a la stature de représenter l’espoir que des millions de Français ont placé en elle.
On n’abandonne pas son capitaine avant un assaut final
Me Frédéric Pichon, avocat
Alors que les médias se déchainent dans une incroyable unanimité pour faire l’éloge de Macron – Le Figaro (journal des exilés fiscaux) en tête – suite au débat qui l’a opposé à Marine Le Pen hier soir, certaines voix y compris dans le camp des patriotes se laissent aller au découragement et à un défaitisme, ce qui démontre une inconstance et une immaturité à l’image de notre époque consumériste. Époque où l’on subit, l’on consomme sans se donner ni se prendre en main.
Je n’évoquerai même pas ici une partie de la prétendue droite, qui a déjà fait une croix sur ce second tour, pour chercher de misérables investitures qu’ils n’auront peut-être pas, dans l’espérance d’un gouvernement de cohabitation.
Ni ceux qui se réfugient dans un confortable ni-ni qu’ils ont l’incroyable indécence de faire passer pour un acte de courage lorsqu’il n’est que l’apanage de leur propre veulerie.
Tous ces barons me font penser à cette noblesse que l’on voit dans Braveheart abandonner au dernier moment William Wallace et ses gueux face aux troupes de la perfide Albion.
Marine Le Pen s’est peut être trompée de stratégie en tentant de faire sortir le candidat du néant de ses retranchements afin qu’il découvre le vide abyssal de sa pensée. Elle n’y est pas parvenue. Dont acte.
Faut-il pour autant joindre ses voix à tous les Cassandres qui se couchent avant même d’avoir combattu, comme le fit François Fillon au bout de deux minutes au soir du premier tour, après avoir auparavant fustigé les manœuvres du cabinet noir et s’être livré à un incroyable chantage au vote utile ?
On n’abandonne pas son poste avant la bataille finale même si les chances de victoire sont infimes. Et ce n’est pas simplement un ressort purement romantique qui m’inspire à livrer cette bataille et encore moins un aveuglement fanatique ayant critiqué en interne lorsque j’ai été élu membre du comité central en 2014, l’abandon des fondamentaux identitaires et civilisationnels au profit d’une logorrhée anxiogène sur l’euro.
Simplement la conscience d’un enjeu crucial pour l’avenir de notre pays, de nos enfants – je viens d’être père au moment où j’écris ces lignes – face au raz de marée nihiliste, libéral libertaire et remplaciste que nous préparent Monsieur Macron et ses commanditaires.
Marine Le Pen n’est ni Saint Louis ni Jeanne d’Arc certes, mais c’est une fille de France qui combat courageusement comme une lionne dans une arène face à des fauves affamés de haine et de sang.
Il est vraisemblable qu’au soir du second tour, le visage d’Emmanuel Macron apparaisse comme celui du grand vainqueur et que nous verrons des drapeaux algériens flotter sur les champs Elysées sous les youyous des femmes voilées.
Mais je ne voudrais pas si un jour notre pays est amené à disparaître que mon petit garçon ait le souvenir d’un père qui soit devenu un esclave sans avoir combattu.
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
09:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 04 mai 2017
Obama, Nietzsche et le « dernier électeur » du candidat Macron
Bernard Plouvier
On a parfaitement compris, et depuis plusieurs lustres, que la globalo-mondialisation, dans laquelle le gentil consommateur, de préférence endetté, est seul considéré comme un honnête citoyen, exige que le « grand village mondial » ne soit plus peuplé que d’êtres interchangeables, stéréotypés, aussi peu imaginatifs que possible et parfaitement réceptifs à la propagande des media : un ensemble de non-individualités, si l’on préfère la reproduction à des milliards d’exemplaires de ce que Nietzsche appelait « le dernier homme », l’animal gamma du troupeau humain, l’être fongible, c’est-à-dire remplaçable par n’importe quel autre.
Ceci illustre à la perfection la dernière surprise de la campagne démagogique (variante : ultra-libérale) de M. Macron : le soutien logique, mais inattendu, du clown Barack-Hussein Obama, ex-mahométan (durant son adolescence) et dont la politique extérieure fut celle d’un crypto-islamiste, au candidat de l’économie globale, de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle et de l’intensification de l’immigration-invasion de l’Europe par des extra-Européens, en majorité mahométans.
Obama, le fou furieux qui a bouté le feu à près d’une dizaine de pays musulmans et qui a « boosté » la Dette des USA, au point de faire passer Bill Clinton et George Bush Junior pour de bons gestionnaires, Obama, le pire Président de l’histoire des USA, pourtant riche en non-valeurs et en demi-fous, se permet d’intervenir dans l’élection présidentielle de France.
Il faudrait peut-être lui apprendre la géographie : la France ne se situe pas dans la zone de Monroë (les Trois Amériques), pas plus que dans les pays de Charî’a.
Mais il est possible que le roué politicien sache ce qu’il fait : il intervient dans une élection fondamentale pour le passage futur de la France du statut de Dâr al-Harb, la zone de guerre des djihadistes, à celui de Dâr al-Islam… ce qui sera réalisé dans 20 à 25 ans, pourvu que l’immigration africaine et proche-orientale se poursuive au même rythme que l’actuel et que les honorables immigrées continuent leur effort génésique, permettant aux mahométans de devenir démocratiquement les maîtres de la France avec les ventres féconds de leurs épouses.
Après le soutien du Président Hollande et celui de quelques excellences européennes ultra-libérales, c’est maintenant l’ex-pion de l’économie globale, mais aussi le maître suprêmement sournois de la stratégie de l’islamo-pétro-dollar qui apporte son appui au candidat Macron. Il ne lui manque plus (sauf erreur) que le soutien de Soros-Schwartz et il aura réuni le plus beau florilège d’ennemis de la Nation française autochtone.
En clair, lorsque l’on est un citoyen français de souche européenne, il faut être le « dernier des électeurs » - dans le sens nietzschéen signifié plus haut – pour élire Macron, le dévoué représentant de la mondialisation, de l’immigration-invasion, de l’économie globale, ce qui promet une belle quantité de délocalisations d’entreprises et la toute puissance du capitalisme de spéculation.
Le 7 mai sera-t-il le jour de triomphe des idiots volontaires, des candidats à la déchéance ? Selon les sondages, c’est probable, à moins d’un sursaut d’orgueil national et d’un minimum de réflexion de la part de l’électeur « souchien » sur l’avenir de ses enfants et petits-enfants.
22:12 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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