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lundi, 21 novembre 2016

Samedi 10 décembre : village de Noël de Riaumont (62)

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dimanche, 20 novembre 2016

Sur la longue durée, Donald Trump n’est pas une surprise*

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Georges Feltin-Tracol

Contrairement aux idées reçues, finance et politique forment un excellent duo. Aux temps de la Rome antique, les patriciens de la République se dédiaient aux affaires publiques tandis que leurs esclaves les plus dévoués en hommes de paille avisés faisaient du négoce. Au Moyen Âge et à la Renaissance, les cités italiennes ou de la Ligue Hanséatique dans le Saint-Empire romain germanique étaient le théâtre de vives confrontation entre de vieilles lignées terriennes de l’aristocratie et les jeunes bourgeoisies enrichies par le commerce et la banque (les Médicis à Florence).

Si l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis est une grande surprise pour le XXIe siècle, sa réussite repose sur quelques précédents. Il y a 25 ans, le milliardaire texan indépendant Ross Perot que Trump soutint un moment, recueillait 18,9 % des suffrages, empêchait la réélection de George Bush père et favorisait indirectement l’élection de Bill Clinton. Quatre ans plus tard, toujours candidat sur des thèmes protectionnistes et hostiles au libre-échange, Perot n’obtenait que 8,4 %, dépassé par un Clinton, grand séducteur d’électeurs, véritables Monica Lewinski politiques.

Sur cette terre par excellence du progressisme, de la modernité et de l’individualisme que sont les États-Unis, Donald Trump représente aux yeux de ses compatriotes le « rêve américain », le self made man, dur au travail, qui s’est bâti une vie prospère grâce à l’alchimie délicate d’une farouche volonté, d’un toupet extraordinaire et d’une chance inouïe. Longtemps, des généraux victorieux, George Washington (1789 – 1797), Andrew Jackson (1829 – 1837), vainqueur des Britanniques à La Nouvelle-Orléans en 1815, Zachary Taylor (1849 – 1850), Ulysses Grant (1869 – 1877) qui triompha de la Guerre de Sécession ou Dwight Eisenhower (1953 – 1961), occupèrent le Bureau oval. Aujourd’hui, la guerre ayant pris une tournure économique, c’est au tour des hommes d’affaires, surtout si leur notoriété s’alimente d’articles de presse people et d’une intégration – ancienne et remarquable – au « médiacosme ».

Homme d’argent, Donald Trump est aussi un homme d’images. Avant d’être une vedette de la télé-réalité, il figura dans des épisodes de feuilletons télévisés (Le Prince de Bel-Air, Spin City, Sex and the City, etc.) ou fut cité dans certains films tels Retour vers le futur 2 sous les traits du méchant Biff Tannen ou dans Gremlins 2. La nouvelle génération en tant que Daniel Clamp, voire en jouant son propre rôle truculent (Maman, j’ai encore raté l’avion, Zoolander ou L’Amour sans préavis). S’affranchissant de tous les codes, Donald Trump rejoint le pécore Mister Smith, cet idéaliste novice en politique, à la différence toutefois que le président élu connaît fort bien le marigot politicien. Le 7 novembre dernier, Arte diffusait d’ailleurs en soirée Monsieur Smith au Sénat, la satire féroce des mœurs politiques de Washington réalisée par Frank Capra en 1939. À l’insu de son plein gré, la chaîne franco-allemande annonçait le séisme planétaire du lendemain.

Bonjour chez vous !

* « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 9, diffusée sur Radio-Libertés, le 18 novembre 2016.

18:14 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie dominicale en famille en terre d'islam ?

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Que du bonheur... 

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Qui parle de races ? Les antiracistes !

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Des blancs ? Mais n'est-ce pas une blanche qui tient la pancarte ? On n'a jamais autant entendu parler de race qu'aujourd'hui. Et de la part de ceux qui se proclament antiracistes...

Yves Bataille

10:29 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Filip Dewinter a rencontré les dirigeants de l'Aube dorée en Grèce

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Belgique (Flandre) et Grèce. Filip Dewinter, Jan Penris, Frank Creyelman et Anke Van dermeersch du Vlaams Belang (Belgique) se sont rendus en Grèce afin d'y observer la situation en matière migratoire. Ils y ont rencontré le dirigeant de l’Aube dorée Nikolaos Michaloliakos puis se sont rendus, accompagnés de cadres de l’Aube dorée, sur les îles de Chios et Lesbos.

Source Lionel Baland cliquez ici

NATION félicite Filip Dewinter pour son voyage en Grèce

ok-300x172.jpgC’est avec une satisfaction non dissimulée que NATION a suivi le voyage de Filip De Winter, député Vlaams Belang, auprès de nos camarades d’Aube Dorée en Grèce.

Nous observons que, ces derniers mois, Filip De Winter se rapproche de plus en plus des positions également défendues par NATION, que ce soit au niveau de la situation au Moyen Orient (visite en Syrie) ou en sympathisant ouvertement avec des groupes réputés « très radicaux » comme Aube Dorée.

Ne voulant pas croire qu’il ne s’agit que de « coups médiatiques » sans aucune vraie signification politique, NATION ne peut qu’encourager le retour de Filip De Winter aux fondamentaux du nationalisme. C’est dans cet esprit que nous invitons Filip De Winter à une prochaine réunion/conférence de NATION.

Source Nation cliquez là

10:21 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du chaos de cette semaine

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Le lire, cliquez ici

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Le retour des héros

Les CD des Brigandes cliquez ici

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samedi, 19 novembre 2016

Martial Bild reçoit Patrick Buisson sur TV Libertés

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Dimanche 20 novembre : 80e anniversaire de l'assassinat de José-Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole

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Mieux connaitre José Antonio cliquez ici

Commander le livre Présence de José-Antonio cliquez là

11:49 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IL EST SORTI !

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11:44 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réfléchir et agir, en kiosque...

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11:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie aujourd'hui du nouveau numéro (n°163) d'Eléments

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Dimanche 20 novembre : Rencontre d'Amitié française de l'AGRIF

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GRANDE JOURNÉE DE RENCONTRE

DANS L’AMITIÉ FRANÇAISE

DIMANCHE 20 NOVEMBRE 2016

11 H 30 à 18 H 00

Espace Charenton
327, rue de Charenton – 75012 Paris

Conférences de :

Cécile Edel, présidente de « Choisir la vie », Martial Bild, rédacteur en chef de TV Libertés, Jeanne Smits (journaliste), Guillaume de Thieulloy (directeur de presse), Christophe Bilek, pasteur Saïd Oujibou, Karim Ouchik, avocat à la Cour, Didier Rochard (plus ancien patron d’émission de Radio-Courtoisie… liquidé)

16 h 30 à 17 h 30, meeting :

« Vérité sur l’antiracisme » L’antiracisme, c’est un racisme en sens contraire, c’est le racisme des bien-pensants avec Frédéric Pichon, avocat à la Cour, Jérôme Triomphe, avocat à la Cour, coordinateur des avocats de l’AGRIF, Jacques Trémolet de Villers, avocat à la Cour, écrivain , Bernard Antony.
L’AGRIF : 35 succès judiciaires. Plus que jamais, le combat continue !

Librairie choisie et bouquiniste du Centre Charlier - Signatures par les écrivains amis de l’AGRIF .

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Une maraude avec le Pasteur Blanchard

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vendredi, 18 novembre 2016

Jean-Yves Le Gallou : Trump aurait-il gagné avec Philippot ?

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Source Riposte laïque cliquez ici

Jean-Yves Le Gallou organise, ce samedi 19 novembre, les 2e journées de la Dissidence. L’occasion pour notre fondateur, Pierre Cassen, de faire un tour d’horizon de la situation politique française et internationale. Et avec le président de Polemia, ce n’est jamais inintéressant…

Riposte Laïque : Avant de parler de la 2e journée de la Dissidence que Polémia organise, ce samedi 19 novembre, si on en profitait pour parler un peu de l’actualité avec le fin observateur de la vie politique française et internationale que vous êtes. Trump ? Sa victoire ouvre-t-elle de nouvelles perspectives en France, et si oui, à quelles conditions ?

Jean-Yves Le Gallou : Oui, la victoire de Trump ouvre de nouvelles perspectives en France et en Europe. C’est la première fois qu’un homme politique accède à un poste de grand pouvoir malgré l’hostilité de la quasi-totalité de l’oligarchie et des médias : 194 médias américains sur les 200 principaux ! C’est une défaite majeure des médias de propagande. Champagne !

Ceci étant, comparaison n’est pas raison. Trump a bénéficié à la fois de la légitimité et de la dissidence.

La légitimité avec l’investiture officielle d’un des deux grands partis américains, le parti républicain, et le soutien –volens, nolens- des élus de ce parti.

La dissidence avec un discours mobilisant d’une part le peuple contre l’oligarchie, d’autre part la majorité blanche contre la coalition des minorités.

Trump a porté un discours politiquement incorrect – contre la mondialisation, l’immigration, l’islam, la discrimination positive – mais il l’a fait dans le cadre d’un parti de gouvernement. Trump a tenu un discours radical mais à l’intérieur de l’arc constitutionnel.

De ce point de vue la situation de Marine Le Pen est profondément différente : elle a hérité de son père et de son parti un discours radical ; un discours qu’elle « pasteurise » aujourd’hui mais qu’elle continue à tenir de l’extérieur de l’arc constitutionnel. Et ses vertueuses proclamations républicaines n’y changent rien. C’est un double handicap pour être entendue.

Et la primaire de la droite, dont le premier tour se déroule ce dimanche ? Y êtes-vous indifférent, ou bien partagez-vous l’avis, souvent exprimé sur la réinfosphère du « Tout sauf Juppé » ?

Juppé est sans doute le pire d’entre tous: sur l’islam, sur l’immigration, sur la mondialisation, sur le moyen Orient, sur l’école : il a tout faux ! Mais les autres valent ils mieux ? Je crois qu’il faut se méfier des discours « fermes » jamais suivis d’effets. Et d’ailleurs quel pouvoir a vraiment le président de la République ? Sur l’immigration, sur l’islamisation ? Aucun. Le pouvoir appartient aux juges : juges de la Cour européenne des droits de l’homme, juges du Conseil constitutionnel, juges du Conseil d’Etat et des tribunaux administratifs, juges de la Cour de cassation et des tribunaux judiciaires. Ce sont les juges qui décident qui a le droit d’entrer en France (au titre du regroupement familial notamment), qui a le droit d’accès à la nationalité française (à peu près tout le monde), quels clandestins peuvent être expulsés (à peu près personne), quelle place donner aux mœurs islamiques et au Coran (la plus large possible). Sur tous ces sujets les hommes politiques bavardent et font de la figuration, ce sont les juges qui gouvernent.

Je ne croirais un candidat à la présidentielle que s’il s’engage à dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme, à retirer du contrôle des lois par le Conseil constitutionnel l’interprétation de textes généraux, déclarations et préambules, à réaffirmer la supériorité de la loi postérieure sur le traité ou la convention antérieures. Tout le reste n’est que balivernes. Ou plus exactement quiconque – de Juppé à Marine - qui ne s’engagerait pas sur le terrain d’une réforme constitutionnelle radicale ne pourrait pas faire mieux que Sarkozy de 2007 à 2012.

Mais que faites-vous de l’État de droit ?

L’État de droit n’est que le paravent du gouvernement des juges qui interprètent dans le sens politiquement correct des textes généraux …sans pour autant protéger les libertés ! Pierre Cassen, Eric Zemmour, Renaud Camus, Robert Ménard, tous poursuivis pour délit d’opinion, sont bien placés pour le savoir ! L’État de droit c’est de la novlangue pour camoufler le déni de démocratie.

Permettez-moi de citer le général De Gaulle : « en France, la cour suprême, c’est le peuple », « Souvenez-vous de ceci : il y a d’abord la France, ensuite l’Etat, enfin, autant que les intérêts majeurs des deux sont sauvegardés, le Droit. cliquez ici 

Et la pagaille à gauche, avec un Premier ministre qui rêve de se présenter à la place du Président de la République, le phénomène Mélenchon et Macron ?

Mélenchon c’est un vrai/faux populiste braillard qui occulte les principaux problèmes et veut marier la carpe islamique et le lapin blanc. Macron c’est un androgyne dans l’air du temps soutenu par les banques et les médias.

Qui fait de la « politique autrement » en recrutant comme conseiller spécial l’homme du groupe de médias Drahi, Bernard Mourad, qui a négocié pour Drahi le rachat de SFR avec Macron, alors secrétaire général adjoint de l’Élysée : on baigne dans le conflit d’intérêts.

Reste que Macron est un héros du CAC 40. L’homme de la loi Macron : le bienfaiteur des riches qui peuvent faire leurs courses chez Vuitton le dimanche et le bienfaiteur des pauvres qui peuvent s’y rendre en autocar!

Et sur la campagne du Front national, et le mot d’ordre de « La France apaisée », quelque chose à dire ?

Juste quelques questions :

Trump aurait-il été élu s’il avait choisi comme slogan l’Amérique apaisée ? 

Trump aurait-il été élu s’il avait écouté des sondeurs ? 

Trump aurait-il été élu s’il avait évité les sujets clivant (mariage pour tous, islamisation, immigration ?) 

Trump aurait-il été élu s’il avait choisi comme conseiller stratégique et écouté Florian Philippot ?

Nul ne le sait mais un militant, un cadre ou un élu du FN qui tweeterait comme a tweeté Trump serait dénoncé par la « Philippot team » et viré comme un malpropre !

Plus sérieusement, j’observe que Trump avait choisi comme directeur de campagne Stephen Bannon, un homme issu de l’alternative right, l’alt right, c’est çà dire la droite identitaire américaine. Stephen Bannon, c’est aussi le patron de Breitbart News Network, le principal site de réinformation anglo-saxon. Donald Trump, président élu, vient de le nommer conseiller stratégique de la Maison blanche. L’élection de Trump, ce n’est pas la victoire de BFM, c’est la victoire des médias alternatifs que le FN-officiel a tort de négliger !

Notons toutefois que le slogan « La France apaisée » a cédé la place à « la parole au peuple » qui rappelle un peu la campagne de… 1988 : « Le Pen, le peuple ».

Reste comme je l’ai dit en ouverture que comparaison n’est pas raison et que les cultures politiques américaines et françaises différent .

Reste aussi qu’en l’état, la candidature de Marine Le Pen en mai 2017 demeure la meilleure offre politique en termes de souveraineté et – horresco referens – d’identité.

Parlez-nous à présent de ces deuxièmes journées de la Dissidence. Le contexte est-il différent de l’an passé, et si oui, en quoi ?

Oui. Ça bouge. L’an dernier nous avons contribué à fonder les principes à partir desquels la dissidence peut se déployer.
Nous étions dans l’air du temps. Depuis la dissidence émerge partout. Nous voulons contribuer à la légitimer, à la répandre, nous voulons donner des armes –théoriques et pratiques – aux dissidents de terrain.

Comment les choses vont-elles se dérouler, cette année ?

Il y aura beaucoup de combattants à la tribune. Des figures de proue comme Robert Ménard, en pointe contre l’islamisation de la ville de Béziers et de la France, ou Marie-Claude Bompard, maire de Bollène, qui a résisté au préfet sur l’affaire des « mariages » de personnes de même sexe. Mais aussi des résistants de l’ombre : le docteur de Peretti en première ligne contre le halal, Alain Wagner qui s’oppose aux constructions de mosquées, Maurice Vidal, de Riposte laïque, témoin et acteur de la lutte contre l’islamisation à l’école. Ainsi que Valérie d’Aubigny de Versailles Familles Avenir, Thibault Audra (« Pas de migrants en Ile de France »), Aurélien Verhassel (« Collectif les Hauts de France sans migrants ») qui luttent concrètement contre la dissémination des étrangers illégaux sur l’ensemble du territoire. Nicolas Faure qui anime une plateforme d’échanges entre opposants à l’invasion sera aussi présent. Notons aussi les interventions de Michel Geoffroy, Françoise Monestier et Karim Ouchikh. Et deux reportages sur la dissidence corse et la dissidence hongroise.

Peut-on encore s’y inscrire, ou s’y rendre sans être inscrit ? Comment faire ?

Les deux sont faciles ! S’inscrire (NDLR : sur le site dédié cliquez ici) permet d’obtenir un billet en ligne et d’éviter toute attente à l’entrée. Il est aussi possible de venir sans inscription préalable mais c’est courir le risque d’une petite cohue à l’accueil.

Avez-vous d’autres projets en vue, dans les prochaines semaines ?

Oui la cérémonie des Bobards d’Or aura lieu le lundi 6 février. Nous réfléchissons aussi à récompenser par un Papon d’Or les collaborateurs les plus zélés de l’immigration-invasion.

Trois candidats se sont déjà signalés :
- L’excellente Fabienne Buccio, préfet du Pas de Calais, qui a protégé les coupeurs de route, excusé les incendiaires étrangers ( « une tradition dans leurs pays ») et effectué un déplacement maternant en Bretagne auprès de clandestins relogés aux frais de l’Etat. On en a tondue pour moins que ça !
- Le président du corps préfectoral , Jean-François Carenco, préfet d’Île-de-France, qui veut installer des migrants partout et qui déclare « les maires gueulent, je m’en fous ». Avec un cynisme parfait, il réunit ses collaborateurs salle Jean Moulin pour chercher des lieux d’implantation pour les envahisseurs. On en a entarté pour moins que ca.
- Mais le conseiller d’Etat immigrationniste Thierry Tuot tient aussi la corde !

Que le meilleur gagne !

Propos recueillis par Pierre Cassen

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Jean-Marie Le Pen propose un Front apaisé...

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Communiqué de Jean-Marie Le Pen, Président d'honneur du FN

Une fois de plus, la justice a condamné, avec exécution provisoire, la politique judiciaire menée par le Front National contre son fondateur.

Le tribunal confirme Jean-Marie LE PEN dans ses fonctions de président d’Honneur et les prérogatives qui y sont attachées, avec une astreinte sanctionnant chaque défaut de convocation à des instances dont il est membre de droit.

C’est pour le Front National l’occasion de mettre un terme à cette contestation dommageable à son unité et au succès de ses campagnes électorales.

Source cliquez ici

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jeudi, 17 novembre 2016

Le Bataclan un an après la tuerie : une honteuse manifestation de soumission à l'islam

MNR.jpgUn communiqué du MNR

Le 12 novembre 2016 avait lieu un concert de réouverture au Bataclan, à Paris, en souvenir de la tuerie du 13 novembre 2015. Sur scène le chanteur britannique Sting, qui chante une chanson pro-migrants, avec pour refrain inch'Allah : comment les auditeurs présents ont-ils pu accepter cela ?

On mesure là la puissance du matraquage médiatique sur le "pas d'amalgame"...

Il faut que tous comprennent que le but de l'islam (et pas seulement des islamistes) est la conquête du monde, avec pour conséquence le renversement de notre civilisation.

Avec tous les patriotes, luttons sans relâche contre l'islamisation de notre pays.

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Jean-Marie Le Pen confirmé Président d'honneur du FN

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Jean-Marie Le Pen le 2 octobre dernier à Rungis 

lors de la Xe Journée de Synthèse nationale cliquez ici

Bien qu'exclu sans ménagement par les nouveaux arrivants (avec la complicité de sa fille qu'il avait lui-même contribué à mettre en place), Jean-Marie Le Pen vient d'être confirmé par le TGI de Nanterre, ce jeudi après-midi, au poste de Président d'honneur du Front national.

D'ores et déjà le co-fondateur du FN a annoncé qu'il participerait aux réunions des instances dirigeantes du mouvement comme sa fonction l'autorise. Cette décision du tribunal met en lumière les faiblesses de l'équipe qui entoure actuellement la candidate Marine Le Pen. Celle-ci prétendait avoir un dossier en béton mais, visiblement, cela n'a pas suffit.

Après le flop de la rose bleue d'hier, la semaine s'avère être rude pour le parti néo-frontiste. La perspective de voir le Président Le Pen assister aux réunions n'enchante guère, dit-on, les amis de Marine Le Pen. Ça promet...

Cela étant dit, on peut s'interroger : Jean-Marie Le Pen, homme de conviction attaché aux valeurs et aux idées, a-t-il vraiment sa place au milieu de ceux qui ont participé au parricide ? N'a-t-il pas beaucoup mieux à faire ? Il y a bien longtemps que ses vrais amis ne sont plus au FN et il le sait bien.

Synthèse nationale

Quelques infos cliquez ici

La réaction de Maître Joachim, l'avocat de JMLP cliquez là

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Lyon : Beaujolais nouveau du GUD ce soir au Pavillon noir

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Jean-Frédéric Poisson quitte le plateau de Soir 3



Je ne suis pas sûr que la politique de "la chaise vide" soit la meilleure, mais reconnaissons lui un certain panache...

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mercredi, 16 novembre 2016

RAPPEL : samedi 26 novembre, Georges Feltin-Tracol invité par le GUD de Strasbourg

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Les livres de Georges Feltin-Tracol :

Bardèche et l'Europe cliquez ici

En liberté surveillée cliquez là

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RAPPEL : samedi 26 novembre, TOUS À PÉRONNE (80)

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Vendredi 25 novembre : conférence de Civitas à Paris avec Jean-Yves Le Gallou

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Un entretien avec Xavier Eman dans Présent

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Entrevue parue dans le quotidien Présent

du samedi 12 Novembre 2016

Xavier Eman, journaliste indépendant, rédacteur en chef de Livr'Arbitres, vient de publier son premier livre : Une Fin du monde sans importance (éd. Krisis). Cet ouvrage compile les chroniques de l'auteur parues dans la revue Éléments et sur son blog A moy que chault. Dans un style drôle et grinçant, on y suit les aventures d'un anti-héros, François, se débattant et résistant, parfois malgré lui, dans un monde moderne, absurde et sans âme.

Cette « fin du monde » est-elle inéluctable ?

Peu d’événements sont totalement inéluctables mais il faut reconnaître que la situation paraît fort mal engagée… Je pense qu’il n’y a en effet plus grand-chose à sauver, que la maladie est trop avancée, le corps trop rongé… Nous ne sommes plus au temps de la « conservation », ou même de la « restauration »… Il faut penser et inventer un « nouveau monde ». Pas « ex nihilo » bien sûr, comme dans les utopies gauchistes, mais conformément à notre génie français et européen, un nouveau monde à la fois radicalement différent de celui qui est en train de crever et fidèle à notre plus longue mémoire et nos valeurs chrétiennes… C’est un sacré pari, d’une ambition extraordinaire, mais il me semble aujourd’hui beaucoup moins utopique que de vouloir encore sauver quelques meubles branlants dans une maison fissurée de partout.

La vie de François, votre anti-héros, vous semble-t-elle représentative de celle de ses contemporains ?

De beaucoup d’entre eux, hélas oui. Avec la petite différence que « François », lui, est assez lucide sur l’inanité de sa condition et la vacuité du monde moderne, ce qui n’est pas le cas pour la plupart des zombies ou apprentis zombies qui peuplent notre époque. Il y a fort heureusement des exceptions, mais il faut cependant reconnaître que les « hommes différenciés » se font tragiquement rares… Le rouleau compresseur du mondialo-consurémisme et du divertissement/abêtissement télévisuel s’est révélé d’une redoutable efficacité.

Que répondez-vous à ceux qui vous rangent dans la catégorie des cyniques ?

Je pense davantage me placer dans la catégorie des réalistes que celle des cyniques. Le cynique jauge de haut, d’un regard extérieur et condescendant, une situation dont il se plaît à ricaner. Pour ma part, je me place au cœur de la critique que je porte sur nos temps obscurs, je ne m’en exempt nullement, bien au contraire. Je crois que nous sommes tous, à des degrés divers, touchés par les maux de l’époque, et que beaucoup, consciemment ou inconsciemment, derrière le masque de « festivus », en souffrent… Je fais partie des gens qui vivent douloureusement cette « fin du monde » et de ce fait, si j’évoque les travers et les ridicules du temps, c’est pour les dénoncer et les combattre, pas pour m’y repaître.

Essayons de terminer cet entretien avec une note d'espérance…

Vous savez, je ne pense pas que tenter de dire ou de décrire la vérité soit particulièrement « désespérant ». Pour affronter une situation, il faut d’abord poser un diagnostic le plus juste et le plus précis possible, si amer ou pénible soit-il. Je pense qu’on désespère beaucoup plus aisément les gens, et notamment les militants politiques, en les berçant de rêves et d’illusions et en leur masquant l’âpreté et la complexité du réel. Les constats sans fard et le pessimisme qu’ils peuvent engendrer ne doivent évidemment pas être des motifs de démission ou des justifications de l’aboulie, mais au contraire des armes affutées pour affronter nos ennemis et leurs complices. Demain nous appartient ! Mais demain ne sera pas une copie d’hier. Il sera le fruit de notre révolution, intérieure puis collective.

Propos recueillis par Louis Loprhelin

Site de Présent cliquez ici

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LA MACRONITE AIGÜE, ÇA SE SOIGNE DOCTEUR ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Si besoin était de démontrer « qu’une démocratie comme la nôtre » est malade, la candidature d’Emmanuel Macron qui, sans être un perdreau de l’année, n’en est pas moins un nouveau venu sur la scène des « grands », suffirait amplement à le prouver. Enfin, voici un homme jeune pour ne pas dire un jeune homme, issu des milieux financiers – Rothschild, ce n’est pas rien, une référence, que dis-je une marque !- qui a été secrétaire-général adjoint au Palais de l’Elysée puis ministre de l’Economie de François Hollande avec le succès que l’on sait et qui, avec culot, paré des habits neufs d’un renouveau, ose annoncer sa candidature à l’élection présidentielle ce mercredi 15 novembre, à Bobigny, chef-lieu du « 9-3 », tout un symbole ?

Tel un homme neuf, apparemment vierge de toutes les turpitudes du monde politicien, ne doutant de rien, comme beaucoup de ses pairs il se jette dans la fosse aux lions et veut concourir à l’élection suprême sans passer par la case « primaires ». Fort de ses discrets mais puissants soutiens, ce symbole du monde libéral-libertaire trace son sillon et grappille, ici ou là, quelques points dans les sondages qui inondent quotidiennement le théâtre politique.

Il est pourtant aux antipodes de ce que semblent souhaiter une majorité de Français : souveraineté, ordre, respect des valeurs et équité. Sans oublier cette foutue « courbe du chômage » qui, décidément, refuse de se ramollir sans quelques trucages statistiques.

Nouvelle gravure de mode, figure avenante de gendre convenable – trop tard, la place est prise par « maman »….- il est devenu le champion d’une caste de « bobos » énamourés qui, décidément, n’a rien compris à la vague de fond qui ,de la Grande-Bretagne aux Etats-Unis, de la France à la Scandinavie en passant par la Hongrie, remue les couches populaires, ces gens du peuple qui n’en peuvent plus des frasques et des échecs d’une oligarchie, provisoirement, encore dominante. A croire que l’élection de Trump – divine surprise ? – n’aura servi à rien. Décliné petits bouts par petits bouts, tel un collier cassé qui perdrait ses perles une à une, le programme de Monsieur Emmanuel Macron reste flou sur l’essentiel : quid de l’immigration, de la place de la France dans le monde, de ses relations avec ses alliés et voisins, des rapports du monde du travail et du monde de l’argent, de l’avenir du syndicalisme « institutionnel », de la liberté d’expression, de la place exagérément revendicative de l’Islam, de la répression du terrorisme islamiste, de la reconstruction de l’école ? J’avoue que, pour l’instant, je reste sur ma faim et que mon appétit ne sera pas calmé par une infâme tambouille cuisinée par quelques socialistes repentis, acoquinés avec des centristes en rupture de ban.

Les désillusions des bonnes volontés se mobilisant en faveur de cette   nouvelle offre lancée sur le marché politique, promue telle une marque de lessive qui laverait « plus blanc que blanc », viendront à leur heure. Les caciques de la « droite molle » et de la gauche moribonde veillent au grain ; on peut leur faire confiance pour ne pas adouber sans coup tordu cet « OVNI » propulsé par le monde médiatique. La température de la douche électorale du printemps prochain risque d’être glaciale. En Marche fera, à terme, du sur place !

19:26 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen accuse Paul Vergès d'avoir tué Alexis de Villeneuve

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Un seul homme est venu jeter un pavé dans la mare des hommages rendus à Paul Vergès avec plus ou moins de sincérité depuis sa disparition hier.

Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front national, a publié un tweet cet après-midi dans lequel il rappelle que le leader du PCR (NDLR : Parti communiste réunionnais) avait tué Alexis de Villeneuve le 25 mai 1946 devant la cathédrale de Saint-Denis.

Jean-Marie Le Pen accuse Paul Vergès d'avoir tué Alexis de Villeneuve

Ce jour-là, Alexis de Villeneuve tenait un meeting devant la cathédrale, à quelques jours de l'élection qui voyait Raymond Vergès, le père de Paul et son adversaire politique, tenter de se faire réélire comme député.

Les pronostics sont mauvais pour Raymond Vergès et surtout, la campagne électorale a été très dure, marquée par de multiples incidents qui avaient fait plusieurs blessés. Un proche de de Villeneuve avait même fait l'objet d'une tentative d'assassinat ratée uniquement parce que l'arme s'était enrayée, tandis que Raymond Vergès semblait craindre pour la vie de Paul sur la tête duquel un contrat aurait été lancé.

Devant la gravité de ces incidents, le gouverneur Capagory convoque les deux candidats le 25 mai en début d'après-midi à une réunion de conciliation de laquelle il est ressorti qu'ils s'engageaient à ne plus perturber les réunions de leurs adversaires.

Pourtant, peu de temps après, alors qu'Alexis de Villeneuve tient un meeting en présence d'environ 500 militants place de la cathédrale, un dénommé Vlody souffle trois fois dans un clairon. A ce signal, des militants du Dr Vergès sortent de la maternité située près de la cathédrale (dans les locaux occupés actuellement par les services du conseil général) et se dirigent vers la manifestation de de Villeneuve.

Averti, ce dernier ne veut pas y croire dans un premier temps, repensant à l'accord qui venait d'être conclu dans le bureau du gouverneur. Puis, devant l'évidence et le peu d'empressement des policiers municipaux à faire dégager les manifestants, il s'adresse à un de ses bras droits et lui dit : "Marmaille, amène les hommes. Nous allons les baiser".

Ce disant, il s'avance en direction de ses opposants et une bagarre s'engage. Très vite, deux coups de feu claquent et le leader du MRP s'écroule.

Les témoins désignent immédiatement Paul Vergès comme étant le tireur. Roger Bourdageau est également cité. Il n'est autre que le rédacteur en chef de Témoignages et chef nervi notoire.

Peu de temps après, un gendarme et un policier remarquent un homme qui essaie de s'enfuir en tentant de dissimuler un pistolet dans sa poche révolver. Il est arrêté. Il s'agit d'un dénommé Auré. Le pistolet, qui s'avèrera bien être celui qui a tiré sur Alexis de Villeneuve, appartient au Dr Raymond Vergès.

Paul Vergès, Raymond Orré, Roger Bourdageau et Emile Quessoi seront jugés en juillet 1947 par la cour d'assises de Lyon pour "meurtre avec préméditation" pour le premier et "coups et blessures avec préméditation" pour les autres.

Paul Vergès, au terme d'un procès marqué par une tension extrême avec des manifestations orchestrées par la CGT dans toute la France -rappelons que des ministres communistes siégeaient à l'époque au gouvernement du général de Gaulle au nom de leur rôle dans la Résistance- et des pressions sur les jurés, est condamné à 5 ans de prison avec sursis pour avoir "volontairement porté des coups et fait des blessures au sieur de Villeneuve, avec cette circonstance que les coups portés et les blessures faites sans intention de donner la mort, l'ont pourtant occasionnée". Comprenne qui pourra. Il est reconnu coupable d'avoir tiré sur le concurrent de son père, sans avoir eu l'intention de le tuer...

Quelques années plus tard, en 1953, Paul Vergès bénéficiera même d'une amnistie, du fait qu'il ait fait partie de la Résistance.

L'amnistie n'efface pas la condamnation, mais interdit qu'on en parle. Ce qui a permis à Paul Vergès de faire condamner tous ceux qui ont osé évoquer sa condamnation, et à son parti d'accréditer l'idée que tout cela n'était que pure invention. A tel point qu'aujourd'hui, très peu de Réunionnais savent que Paul Vergès a été condamné, en juillet 1947, pour avoir tué Alexis de Villeneuve...

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Varsovie 11 novembre 2016 : marche européenne contre l'invasion

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La manifestation contre l'agression commise par un Soudanais en Bretagne sur TV Libertés

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Reportage sur la manif sur TV Libertés (19 mn 30)

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mardi, 15 novembre 2016

Ils sauvent l'honneur de la Bretagne

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Hier soir, plus d'une centaine de manifestants s'est rassemblée à Arzon (56) suite à l'agression de trois migrants soudanais sur une femme de 67 ans quelques jours auparavant.

Organisée par ADSAV (Parti indépendantiste breton), cette manifestation avait le soutien de Riposte Laïque, Résistance Républicaine, le Collectif Brévinois, du Parti de la France et de la Dissidence française et était couverte par TV Libertés.

Les manifestants ont défilé dans les rues de la commune et se sont rendus, à quelques kilomètres de là, jusqu'au centre des migrants (photo ci dessous) où attendaient les forces de l'ordre. 

Parmi les slogans entendus dans les rues : "Ni Paris, Ni l'Afrique, ICI C'EST LA BRETAGNE", "ON EST CHEZ NOUS, ON EST CHEZ NOUS", "PREFET GARDE TES VIOLEURS", "CLANDESTINS EXPULSIONS" ou encore, "SOURIEZ, VOUS ÊTES REMPLACES".

Cette manifestation lave l'honneur du peuple breton souillé ces dernières semaines par les actions haineuses de l'extrême gauche en faveur du génocide par substitution. 

13:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Franck Abed reçoit Guillaume Bernard

Guillaume Bernard, essayiste, vient de publier un livre

"La guerre des droites aura bien lieu" Editions Desclée de Brouwer

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