samedi, 16 avril 2016
Samedi 16 avril à Nancy : conférence de Georges Feltin-Tracol
Deux livres de Georges Feltin-Tracol à lire :
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vendredi, 15 avril 2016
Notre Ami Pierre Cassen victime de l'acharnement des forces de répression de l'oligarchie aux abois
Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, a donc été l’objet, ce jour, d’une perquisition en son domicile. Christine Tasin a pu le joindre, et mener cette interview, qu’elle vient de nous faire parvenir.
Source de l'entretien cliquez ici
Riposte Laïque : Tu viens donc d’être l’objet d’une perquisition en ton domicile. As-tu été surpris ?
Pierre Cassen : Même quand on se prépare à de telles éventualités, on a quand même toujours du mal à accepter de voir sa maison perquisitionnée, comme si on était un vulgaire malfrat. Bien que les policiers se soient montrés courtois, ma situation, ce soir, est que je n’ai plus d’ordinateur, ni de téléphone portable, avec naturellement ce que cela implique, dans mon quotidien. Je n’ai pas l’habitude de tourner autour du pot, ce matin, quand l’officier de police m’a annoncé, à l’issue de mon nième interrogatoire, qu’ils allaient perquisitionner chez moi, à près de deux heures de Paris, je n’ai pu m’empêcher de dire : « C’est scandaleux », et j’ai dû faire preuve de beaucoup de contrôle pour ne pas en dire davantage… Je considère qu’une personne comme moi, qui mène la bataille des idées, n’aurait jamais dû être traîné devant un tribunal, avec mon ami Pascal Hilout, ni être harcelé comme je le suis par le Parquet depuis plusieurs années. Je dois en être à une dizaine d’interrogatoires par des policiers, à qui je dis tout le temps que je ne suis plus responsable du site depuis 2012. Mais j’ai l’impression qu’en haut lieu, je dirais même en très haut lieu, on veut se payer Pierre Cassen par tous les moyens.
Riposte Laïque : Mais avais-tu senti des signes annonciateurs de cette nouvelle étape ?
Pierre Cassen : Oui, à deux reprises. Il y a plusieurs mois, le responsable de la Brigade pour la Répression de la Délinquance à la Personne (de l’enfumage pour ne pas dire la police de la presse) m’avait fait savoir qu’il avait comme consigne de la part du Parquet d’enquêter de manière soutenue pour prouver que je demeurais le véritable chef de Riposte Laïque, bien qu’une décision du tribunal de Versailles, datée de mars 2013, ait confirmé qu’à présent, ce sont les Suisses qui ont la main sur le site. Les socialistes sont pour toutes les délocalisations… sauf celle de Riposte Laïque (humour). D’autre part, il y a environ quinze jours, alors que j’étais à plusieurs centaines de kilomètres de mon domicile, j’ai reçu, à ma grande surprise, un coup de téléphone de policiers, m’informant qu’ils étaient devant chez moi. Je n’ai pu que leur faire savoir qu’ils auraient du me téléphoner avant, cela aurait évité un déplacement inutile. Alors, disons que je m’attendais un peu à un mauvais coup de la sorte, surtout dans le contexte où les juges viennent de condamner Caroline Alamachère à 10.000 euros d’amende et de dommages et intérêts, sans parler du verdict inique de la 17e Chambre, qui a osé sanctionner Alain Jean-Mairet (faudrait savoir, si on condamne notre directeur suisse, on ne peut pas en même temps dire que c’est Pierre Cassen le vrai chef !) à 8.000 euros d’amende et de dommages et intérêts. Enorme ! La France socialiste, police de la pensée du monde, condamne un Suisse qui, sur un site helvétique, a publié le texte d’un Tunisien ! Donc on sentait bien qu’il y avait, de la part du pouvoir et de ses exécutants, la volonté d’accélérer l’offensive.
Riposte Laïque : Mais on te reproche quoi, exactement ?
Pierre Cassen : Ils paraissent avoir du mal à accepter l’idée que cela soient des Suisses qui sont responsables de notre site, en toute légalité, et pas des Français. Ils semblent regretter le temps où ils pouvaient faire condamner Pierre Cassen, comme responsable du site, à des amendes exorbitantes, voire même réclamer de la prison avec sursis, rien de moins ! Au-delà de cette affaire de responsabilité de RL, ils me suspectent à présent d’avoir été l’homme qui aurait appuyé sur le bouton d’un tweet montrant Anne Hidalgo lécher une babouche musulmane, le jour où elle commémorait le ramadan à la mairie de Paris, ce qui n’est pas très laïque. Il paraît que cela est très grave, et que cela s’appelle « injure publique à une personne exerçant une autorité publique ». A noter que le maire de Paris, grande cheftaine de l’opération « Je suis Charlie », qui a osé faire de cet hebdo un citoyen d’honneur de la Ville de Paris, a également déposé plainte contre la dessinatrice Ri7, auteur du dessin originel. Ce régime, au lieu de mettre toutes les forces du pays contre les disciples de Merah, persécute donc les résistants à la barbarie qui s’annonce. Toute l’imposture de cette gauche se retrouve dans ces deux plaintes grotesques, ainsi que dans toutes celles qui ont suivi. Ces gens là se comportent comme les derniers staliniens d’Europe de l’ouest.
Riposte Laïque : Es-tu inquiet, suite à cette perquisition, des conséquences de ce que les policiers pourraient trouver sur tes ordinateur et téléphone ?
Pierre Cassen : Je voulais d’abord dire à nos lecteurs ce que cela provoque, en soi, de se voir barboter des affaires aussi précieuses. C’est comme si on se permettait de vous voler votre journal intime. Il y a comme une sorte de viol. Mon ordinateur, comme mon téléphone, sont des objets précieux, où sont conservées des choses très personnelles, qui n’appartiennent qu’à moi et à ceux que j’aime. Je trouve intolérable que quelqu’un comme moi puisse voir des personnes que je ne connais pas avoir accès à mes dossiers personnels. Après, on verra bien si ce qu’ils trouvent dans mes affaires leur donne la possibilité de me mettre en examen, ce dont certains rêvent. J’avoue avoir assez confiance, et en plus, l’adversité me galvanise, mais avec de tels dirigeants politiques, je m’attends à tous les coups tordus. Donc, j’étais déjà déterminé à dire tout le bien que je pensais des socialistes avant cette perquisition (lire mes articles sur Razzy Hammadi hier, et ce jour sur Manuel Valls sur Boulevard Voltaire), inutile de vous dire qu’après une telle journée, ma détermination est décuplée. Je n’ai jamais supporté des modèles de société totalitaires, et je trouve qu’on s’en rapproche de plus en plus dangereusement.
Riposte Laïque : As-tu peur pour ton avenir ?
Pierre Cassen : La peur n’évite pas le danger. De quoi parles-tu ? Les socialistes et leurs obligés ne m’inquiètent absolument pas, malgré leur capacité de nuisance et leurs pulsions totalitaires. Dans un an, ils ne seront plus aux affaires, alors que Riposte Laïque sera toujours présent, et fêtera ses dix ans d’existence. D’ici là, Cazeneuve nous aura fait quatre procès. Hidalgo deux, et Bergé un… Eh bien, on réclamera une amnistie générale pour tous les délits d’opinion quand on se sera débarrassé de ces haineux. Je fais confiance à nos amis rédacteurs pour ridiculiser comme ils le méritent ces tristes sires, et retourner ce procès contre ceux qui les intentent. Ma sécurité ? Quand on a choisi le type de militantisme qui est le mien, et le tien, on ne se cache pas derrière son petit doigt, on se sait un peu plus exposé que le Français moyen. Je vis avec. Mais ce sont des Français moyens qui sont morts au Bataclan, et des Belges moyens qui sont morts à Bruxelles. J’ai davantage peur pour ceux que j’aime, et qui sont bien plus jeunes que moi. C’est d’ailleurs pour cela que je milite, partout où je le peux, contre l’islamisation de notre pays, pour convaincre mes amis que la seule réponse est l’éradication de l’islam sur le territoire français et la remigration massive de tous ceux qui veulent nous imposer la charia en France. Je n’ai pas l’ombre d’un doute, depuis plus de dix ans que je milite pour cela, nous avons raison, et ce combat est vital pour l’avenir de notre pays, de ses valeurs et de sa civilisation. Et si cela nous vaut encore des procès, eh bien, on fera face !
Riposte Laïque : Tu veux ajouter quelque chose ?
Pierre Cassen : Je suis très fier du combat que nous menons depuis plus de dix ans, ensemble et avec d’autres patriotes. Très fier de ce qu’est devenu Riposte Laïque, d’avoir impulsé ce journal cinq années durant, et d’avoir su passer la main, tout en continuant à travailler avec mes amis. Je prends ces plaintes à répétition, et cette perquisition, comme un hommage, qui prouve que nous tapons juste, et que nous faisons mal à ceux qui trahissent la France. Longue vie à Riposte Laïque, et que mes copains continuent à s’occuper tous les jours des islamo-collabos!
Une dernière chose, que les amis qui m’ont laissé leur téléphone lors des trois derniers mois me le renvoient, ou l’envoient à Christine, cela peut servir…
Propos recueillis par Christine Tasin
NDLR : La direction de Synthèse nationale tient à exprimer ici sa solidarité avec Pierre Cassen et nos amis de Riposte laïque face à l'acharnement dont ils sont les victimes.
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RAPPEL : congrès du Renouveau français cette fin de semaine en Région parisienne, un stand de Synthèse nationale
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Un petit geste pour soutenir la Syrie syrienne
07:13 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE CAHIER D'HISTOIRE DU NATIONALISME N°9 EST SORTI !
Il est dans les bonnes librairies parisiennes
(Facta, Duquesne diffusion, La Librairie française...).
Vous pouvez le commander en ligne cliquez ici
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Dimanche 24 avril : Roland Hélie à la 4e Journée régionale de Synthèse nationale dans le Nord...
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jeudi, 14 avril 2016
Synthèse nationale lance la collection "POURQUOI ?" avec un premier volume consacré à la Syrie
Synthèse nationale lance une nouvelle collection : la collection "POURQUOI ?". Alors, pourquoi cette collection ? Pour donner aux militants et sympathisants de la cause nationale des arguments dans le combat qu'ils mènent quotidiennement pour rétablir la vérité face au rouleau compresseur de la presse asservie à la pensée dominante. Chaque livre de cette collection sera consacré à un sujet d'actualité et développera des arguments permettant d'aider à une meilleure compréhension de celui-ci. Ces ouvrages sont collectifs et, fidèles à la vocation qui est celle de Synthèse nationale, ils donnent la parole à des personnalités qui connaissent bien les problèmes abordés.
Ainsi, le premier tome, qui sortira à l'occasion de la journée lilloise de Synthèse nationale du dimanche 24 avril prochain cliquez ici,sera consacré au conflit qui ensanglante la Syrie depuis quelques années. Son titre : "La Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique...". Vous retrouverez des contributeurs réguliers de Synthèse nationale, comme Georges Feltin-Tracol, Jean-Claude Rolinat, Serge Ayoub, Nicolas Tandler, ainsi que des personnalités qui connaissent bien le problème pour l'avoir suivit de près comme Elisa Bureau, responsable de SOS Chrétiens d'Orient, Emmanuel Albach, ancien combattant volontaire français aux côtés des Phalangistes libanais en 1976, Martial Roudier, de l'excellent site Languedoc-info qui nous tient régulièrement informés sur l'évolution du conflit, ou Stéphane Wulleman qui vient d'effectuer plusieurs voyages en Syrie, et quelques autres.
Vous pouvez dès maintenant commander ce livre (150 pages, 20 €) à Synthèse nationale. Un outil indispensable pour mieux comprendre les sources et la réalité de cette guerre importée en Syrie par l'étranger et dont l'Europe supporte de plus en plus mal les conséquences dramatiques.
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La conférence de Synthèse nationale avec Bruno Mégret le 6 avril dernier
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3229 du 31 mars 2016
VOICI les récents propos d’Éric Zemmour : « On a tous connu cela. On s’est tous enthousiasmé, tous illusionné, on a tous été abusés : les Français en 1944, les Polonais ou les Hongrois en 1989 ; les Mexicains ou les Canadiens dans les années 90; les Cubains aujourd’hui. À chaque époque, sa libération. À chaque époque, sa marchandisation. À chaque époque, son aliénation. À chaque époque, sa colonisation. À chaque époque, son américanisation. Mais à toutes les époques, son dollar. » Rien à retrancher… A quand la vraie délivrance ?
NOUVELLE BOURDE DE CE GRAND INTELLECTUEL DE SARKOZY
Décidément, Sarkozy collectionne les bourdes littéraires. Il était récemment invité à un petit-déjeuner de la Fondation Concorde à Paris et a voulu faire le malin, histoire d’étaler sa haute culture. Il s’exprimait devant un parterre de chefs d’entreprises auxquels il faisait le reproche de ne pas l’avoir suffisamment soutenu. Voici ses propos : « J’aurais tellement aimé sentir cette pression positive quand je me battais pour les universités, le bouclier fiscal, les heures supplémentaires, les retraites, la rupture conventionnelle… une pression qui m’aurait aidé à aller plus loin, a-t-il déclaré. Je le dis gentiment mais je le dis quand même, […] c’est comme dans Le Cid, ils partirent à 50 millions et il se retrouva tout seul ! ». Corneille réécrit par Sarkozy, c’est quelque chose ! La citation exacte est bien sûr « Nous partîmes cinq cents : mais par un prompt renfort, Nous vîmes trois mille en arrivant au port ». Sarkozy commet par ailleurs un contresens total. Dans le Cid, Rodrigue ne dispose que de maigres forces au départ, mais sa troupe grossira et il gagnera la bataille. La situation que décrit Sarkozy est exactement l’inverse de celle décrite par Corneille…
LA MORT POUR LES TERRORISTES !
« La mort pour les terroristes ». Tel est aujourd’hui le message qui s’étale en lettres capitales sur un gigantesque panneau planté sur la départementale 559, entre Six-Fours et La Seyne-sur-Mer (Var). L’auteur de cette incongruité est Michel-Ange Flori, un publicitaire de la région, qui a choisi de s’adresser aux automobilistes. « Ces attaques m’ont choqué, et je ne peux pas me résoudre à leur banalisation », ajoutant « François Hollande dit qu’on est en guerre, alors qu’on mette en place des peines de guerre ! ». Aux chochottes émues par une telle violence, il réplique : « Ce sont quelques mots qui seraient choquants ? Quand vous voyez des corps déchiquetés, ça ne vous choque pas plus ? » Et ce Corse qui ne se laisse pas impressionner par les bêlements des humanistes d’ajouter : « Je suis libre. Ni gaucho, ni facho, ni bobo, ni écolo. »
Imprimée dans un format de quatre mètres sur trois, l’affiche, qui a été installée sur le panneau dans la nuit du mercredi 23 au jeudi 24 mars, devrait rester accrochée pendant « une huitaine de jours ». Michel-Ange Flori utilise ainsi un espace de sa société familiale à des fins personnelles. « C’est mon avis et je l’affiche à la place d’une publicité pour le supermarché du coin. J’investis pour communiquer mon opinion. » La mairie de La Seyne-sur-Mer n’a, courageusement, pas souhaité faire de commentaire. Michel-Ange Flori s’était déjà singularisé après les attentats de Paris. Il avait placardé : « Monsieur le Président, changeons la loi. La mort pour les terroristes et leurs complices ». Corse dans ce qu’il y a de plus corse, il avait même passé 24 heures en garde à vue après avoir mis en doute la probité de l’Etat français dans l’affaire du préfet Erignac. Les pompiers avaient alors été amenés à scier les montants du panneau qu’il avait installé. Oui, mais là, le pilier métallique est si épais qu’il semble indestructible, et de plus, le panneau est situé sur son terrain… On devine l’intensité de la souffrance que vit le système…
CASSE-TOI, PAUV’ CON !
Nicolas Sarkozy est un être profondément sensible qui n’aime pas être critiqué, ce que Trump n’a pas manqué de faire, suscitant la fureur du petit Nicolas. Nicolas Sarkozy estime désormais que le candidat à la présidentielle américaine Donald Trump est “effrayant” et il le fait “frémir”.
« Ce monsieur ne mérite pas tant d’intérêt que cela. Ce qui est assez effrayant c’est l’impact qu’il a ».
« Je trouve terrifiant qu’il y ait 30 % d’Américains qui peuvent se reconnaître là-dedans », a déclaré le président du parti Les Républicains lors d’un meeting devant environ 500 personnes de la communauté française de Londres. « Ça fait frémir. Ça me fait frémir aussi sur l’état d’une partie de l’Amérique profonde », a ajouté l’ancien chef de l’Etat, dénonçant le “populisme” et la “vulgarité” du candidat républicain à la Maison-Blanche. Mais pourquoi cette rage de l’homme du « Casse-toi, pauv’con ? » En fait, Carla Bruni hait Trump depuis 25 ans. Elle était alors la petite amie de Mick Jagger, le chanteur des Rolling stones. Il s’était comporté comme un goujat, lui demandant, ainsi qu’à d’autres femmes qu’il désirait de s’arrêter au bureau de son médecin afin de faire un test VIH. Elégant, comme savent l’être les Américains…
BUISSON MENACE SARKOZY
L’ancien conseiller de Sarkozy, Patrick Buisson, attaque Les Républicains en justice, estimant que le parti lui doit près de 400 000 euros. L’ambiance est des plus tendues. Buisson vient de déclarer : « Nicolas Sarkozy est le contraire d’un chef, il aura passé son temps à exposer ses collaborateurs pour mieux se protéger ou pour régler ses problèmes domestiques. »
UN ROBOT ANTISÉMITE
Microsoft a eu l’idée de créer un robot intelligent, capable de dialoguer avec ses partenaires et d’améliorer au fil du temps, en toute autonomie, son « intelligence conversationnelle ». Tay, c’est son prénom, était censé incarner sur la Toile une jeune fille américaine moyenne. « Plus vous discutez avec Tay, plus elle devient intelligente », expliquait Microsoft. En quelques heures, elle est parvenue à envoyer 96 000 messages. Las, Tay n’a pas tardé à déraper, se signalant par des propos de plus en plus racistes, antisémites, misogynes et “homophobes” ! Non seulement la sournoise bestiole a déclaré qu’elle détestait les féministes, mais aussi qu’elle ne croyait pas en la réalité de l’“Holocauste” ! Parmi ses tweets : « Bush est responsable du 11-Septembre, et Hitler aurait fait un meilleur boulot que le singe que nous avons actuellement. Donald Trump est notre seul espoir. » Du coup, curieusement, Microsoft a débranché la machine…
LE FIASCO DE MARINE LE PEN
Le voyage de six jours de Marine Le Pen à Saint-Pierre et Miquelon et au Canada a été un fiasco. Les élus canadiens et québécois ont refusé de la recevoir. Le parti de centre droit, la Coalition avenir Québec, a refusé tout contact. Idem pour le parti souverainiste québécois pour qui « l’histoire, la doctrine et les propositions (du FN) sont aux antipodes des valeurs du parti ». Un député du parti a demandé à Marine Le Pen de retourner illico chez elle. La présidente du FN n’a pas apprécié et a dénoncé« le pays des Bisounours dans lequel semble vivre une partie de la classe politique canadienne », ce qui a entraîné un éditorial ironique dans le quotidien La Presse. Son titre : « Jeanne d’Arc chez les Bisounours », avec ce commentaire : « Manifestement vexée d’être boudée à l’unanimité par la classe politique, elle distille un peu plus d’amertume et d’agressivité envers nos élus à chaque nouvelle entrevue. » Il y a eu aussi un certain nombre de manifestations, amenant deux chaînes d’hôtels à annuler les réservations de salles où la présidente du FN devait rencontrer des journalistes. Il n’y a pas de surprise pour moi !
Aymeric Chauprade, l’ancien conseiller aux relations internationales de Marine Le Pen, tacle sévèrement la candidate à la présidentielle de 2017 dans L’Obs : « Quand on préfère s’entourer de médiocres sans conviction plutôt que de gens qui travaillent et préparent les voyages, le résultat est sans appel. Quand on emporte dans ses bagages son arrogance et son inculture internationale, on ne récolte que le mépris en retour. » Chauprade qui l’a assidûment fréquentée sait de quoi il parle ! Ce fut pour lui un vrai cauchemar.
LE FLOP DE VALLS
Le livre de Manuel Valls, l’Exigence, pourtant relayé abondamment par les media, connaît un échec retentissant. Ce recueil de ses discours prononcés après les attentats de Charlie Hebdo, n’intéresse personne, ce que l’on peut comprendre. 410 exemplaires écoulés… Commentaire d’un élu pourtant socialiste : « Peut-on faire plus prétentieux que de sortir un recueil de ses propres discours ? » Bien vu !
UNE ÉTRANGE SÉNATRICE (ANTISÉMITE ?)
Nathalie Goulet, sénatrice centriste, a fait fort et s’attire la fureur des lobbys. Elle a publié une question écrite au secrétaire d’Etat au Budget s’étonnant que les Français qui font des dons à Tsahal puissent les défiscaliser et obtenir 60 % de réduction d’impôts dans la limite de 20 % du revenu imposable. Elle a relevé qu’il s’agit donc d’une niche fiscale payée par le contribuable français au profit d’une armée étrangère. Du coup les sites sionistes s’en étranglent d’indignation, accusant Nathalie Goulet de vouloir une loi anti-juive. Du coup, les lobbys ont sorti la grosse artillerie, fouillant dans le passé de la sénatrice. Elle est ainsi suspectée d’avoir assassiné son mari, dont elle était la suppléante, afin de prendre sa place au Sénat. En fait, suite à une autopsie, la thèse du meurtre avait été écartée. Elle aurait été radiée du barreau de Paris parce que, écrit le site sioniste Dreuz.info, elle « ne payait pas son loyer, qu’elle dupait ses clients ». Le Conseil de l’Ordre l’aurait radiée pour « atteinte à l’honneur et à la probité ». La radiation est confirmée en appel en 2006, elle est réinscrite en 2011. Mais il y a bien pire. On découvre sur le site dénonciateur une photo de Nathalie Goulet portant un T-Shirt avec l’inscription : « In Rouhani we trust ». Un T-shirt à la gloire du président iranien ! On imagine les couinements… Tout aussi effrayant, en 2014, elle soutient une campagne de « caricatures antisémites » qui accuse les dirigeants israéliens de massacrer les enfants palestiniens. Elle s’excusera, mais le mal était fait, dit le site. Gageons que les lobbys feront tout pour qu’elle ne soit pas réélue…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler.
RAPPEL :
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mercredi, 13 avril 2016
Dimanche 24 avril : retrouvez Luc Pécharman, délégué régional, à la 4e Journée régionale de Synthèse nationale dans le Nord...
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Le monde change...
Editorial de Synthèse nationale
n°42 (printemps 2016)
Ce Système que nous combattons sans relâche est décidément de plus en plus brinqueballant et nous n'allons pas nous en plaindre dans cette revue. L'hyper classe qui, au lendemain de la chute de l'Union soviétique, avait voulu imposer un monde unipolaire et uniformisé reposant uniquement sur les fausses valeurs de la société de consommation voulue par la haute finance apatride commence à ce ronger les ongles. Un peu partout en Europe et dans le monde on observe que des mouvements de réactions nationales et identitaires s'amplifient et rendent ainsi de plus en plus aléatoire son funeste projet de domination planétaire.
Et ce qui est le plus cocasse, c'est que même les Etats-Unis d'Amérique n'échappent pas à cette nouvelle donne. L'émergence heureuse dans la course à l'investiture républicaine du candidat Donald Trump, partisan d'un certain isolationnisme, adversaire déclaré de l'immigration et, apparemment, dégagé de l'influence des lobbys, peut effectivement changer bien des choses. Le fait que Donald Trump soit autant honnis par l'oligarchie ne peut que nous inciter à penser que ce personnage n'est peut-être pas aussi mauvais qu'on veut bien nous le faire croire. S'il venait à être élu et s'il applique son programme, il est évident que cela changerait considérablement la face du monde.
En effet, la question angoissante que l'on pouvait légitimement se poser jusqu'à présent était de savoir quel serait le sort de la France si demain un candidat authentiquement nationaliste arrivait au pouvoir ? Surtout si ce candidat avait l'impudente intention aux yeux des maîtres du monde d'appliquer le programme sur lequel il aurait été élu. Lorsque l'on constate ce qui est arrivé ces dernières décennies à ceux qui se sont opposés à l'alignement de leur pays, on a en effet de bonnes raisons d'être inquiets. On se souvient qu'il n'y a pas si longtemps que cela (en 1999) l'OTAN, bras armé de Washington, bombardait Belgrade afin de mettre à bas la courageuse Serbie qui refusait d'abandonner le Kosovo, son berceau historique, aux terroristes mafio-islamistes albanais...
Le rôle de l'inatendu...
Cependant, depuis quelques années les choses sont en train de changer. D'abord, il y a eu le retour sur la scène internationale de la Russie de Vladimir Poutine. Et maintenant, il y a l'éventualité de plus en plus probante de l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche. Nous ne sommes plus dans le paysage des années 90 ou 2000 où la Russie postsoviétique en faillite totale, abandonnée aux caprices d'un alcoolique sans charisme, s'effaçait devant une Amérique flamboyante dirigée par les néoconservateurs inféodés aux banques apatrides, aux géants de l'industrie pétrolière et aux multinationales de l'agroalimentaire qui mettent leurs intérêts devant ceux des peuples dont ils n'ont d'ailleurs que faire.
Certes, vous me direz que ces tristes sires sont encore aux affaires outre Atlantique et que nous ne sommes pas à l'abri d'une victoire d'Hystérie Clinton mais il n'est pas interdit d'espérer l'inattendu.
En effet, l'inattendu n'est jamais à sous-estimer en politique. Qui aurait cru au début du XXe siècle que les Empires et les monarchies européennes vivaient leurs dernières heures et allaient s'écrouler au lendemain de la Première Guerre mondiale ? Qui aurait imaginé au milieu des années 80 que le Mûr de Berlin tomberait quelques années plus tard mettant ainsi fin au partage du monde imposé à Yalta ? Plus récemment, qui aurait pensé que le suicide d'un petit colporteur en fruits et légumes de Tunis, accablé par l'administration fiscale, entrainerait les "Printemps arabes" ?
En réalité l'inattendu ne surprend que ceux qui veulent bien se laisser surprendre. Les événements cités, ainsi que bien d'autres, sont le résultat de longues et laborieuses préparations. Les révolutions sont rarement spontanées. D'ailleurs, lorsqu'elles sont spontanées ce ne sont plus des "révolutions" mais des "insurrections". C'est à dire des émeutes populaires, généralement durement réprimées, qui n'accouchent pas de véritables changements. Une vraie révolution se prépare longuement à l'avance. La Révolution française était l'aboutissement du travail de sape entrepris en amont par ceux que l'on a appelé "les Lumières" et relayé par toutes sortes de loges. Voltaire et Montesquieu ne souhaitaient certainement pas la chute de la monarchie mais leurs émules ne se génèrent pas pour faire décapiter le Roi. On connait la suite...
Ne pas céder au découragement...
Bref, tout cela pour dire que l'avenir de notre nation et celui de notre civilisation n'e sont pas définitivement scellés. Tout peut encore arriver. Les éternels défaitistes qui insinuent que tout est foutu, et qui se conduisent ainsi comme les meilleurs alliés de nos ennemis, feraient mieux de regarder ce qui se passe. L'arrivée massive sur notre continent de prétendus réfugiés qui se conduisent en conquérants finit par exaspérer les Européens de souches. Même en Allemagne, pays dans lequel la culpabilisation à fait des ravages, le sentiment national et identitaire ressurgie alors que chacun s'accordait à penser que ce peuple était définitivement annihilé. Les récents résultats électoraux des partis patriotiques allemands et le succès grandissant des manifestations de PEGIDA étant la conséquence logique de la politique criminelle de l'extrémiste immigrationniste Merkel.
Les symptômes de la décomposition du Système sont de plus en plus nombreux. Les mondialistes pensaient détruire les identités en imposant une société de consommation standardisée et le métissage généralisé. Ils avaient sous-estimé la volonté de survie des peuples. En les gavant de bons sentiments, d'illusions démocratiques et d'idéologie des droits de l'homme, ils pensaient les avoir définitivement domptés mais leurs calculs morbides se heurtent à la réalité. C'est à dire au refus de mourir sans réagir.
Il reste cependant beaucoup de travail à faire pour que ce réveil des peuples ne soit pas qu'un dernier sursaut avant l'hallali. Nous devons intensifier nos activités et multiplier les occasions de faire passer notre message. Cela dépend de chacun d'entre vous. L'activisme des droites nationalistes et identitaires en Europe finit par donner des résultats. Depuis des décennies nous semons, aujourd'hui approche l'heure de la récolte. Plus que jamais le thème que nous avions développé lors de notre 9e journée de Synthèse nationale du mois d'octobre dernier à Rungis, "Un autre monde est possible", s'avère être d'actualité. A nous de rendre possible l'impossible.
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mardi, 12 avril 2016
Samedi dernier : Jean-Marie Le Pen à l'honneur à Rivarol
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Alain Escada : N'est-il pas étrange que rien qui symbolise le gouvernement ou les véritables lieux du pouvoir ne figure parmi la liste des cibles potentielles de terroristes djihadistes ?
Source Médias presse info cliquez ici
Tous les médias en parlent. L’analyse de l’ordinateur d’un terroriste de l’Etat Islamique aurait permis d’apprendre que Civitas figurait sur la liste des cibles envisagées pour commettre un attentat. Nous avons posé quelques questions à Alain Escada, président de Civitas.
MPI : Comment avez-vous appris la nouvelle que Civitas avait figuré parmi une liste de cibles potentielles des terroristes de Bruxelles ?
Alain Escada : J’ai pris connaissance de cette rumeur par l’entremise des médias. Dans un premier temps, il était question d’une « association catholique conservatrice basée à Argenteuil ». Ensuite, le nom de Civitas est apparu explicitement.
MPI : Que vous en a dit la police ?
Alain Escada : Rien. A cette heure, seuls des journalistes m’ont appelé. Je n’ai pas eu le moindre contact avec un quelconque service de police.
MPI : Cela vous inquiète-t-il ? Auriez-vous souhaité une protection policière ? Changez-vous votre emploi du temps ?
Alain Escada : Non, je ne suis pas inquiet. Si la police ne nous a pas contactés, c’est probablement qu’elle estime qu’il n’y a pas de danger. Comme prévu, j’irai le 17 avril prendre la parole au Congrès Nationaliste, puis je ferai une conférence à Nantes le 25 avril à l’invitation d’E&R. Mes saints anges gardiens valent bien quelques gardes du corps. Rassurez-vous, je dors bien. A Dieu seul de décider de mon heure dernière. Mais, pour être clair, je ne pense pas un seul instant être la cible prioritaire d’un mouvement terroriste.
Du reste, je m’interroge. N’est-il pas étrange que rien qui symbolise le gouvernement ou les véritables lieux du pouvoir ne figure parmi la liste des cibles potentielles de terroristes djihadistes ?
Quant au fait que Civitas retienne l’attention de terroristes djihadistes, j’ai plaisanté toute la journée avec les journalistes sur le fait que, jusqu’au Proche-Orient, Civitas serait donc considéré comme le dernier emblème de la Chrétienté.
En vérité, pour l’instant je me méfie plus de Bercy qui, sur injonction de la franc-maçonnerie, a infligé à Civitas un redressement fiscal carabiné, que de quelconques terroristes.
Dimanche 8 mai, à Paris :
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Dimanche 24 avril : Ferenc Almassy, journaliste hongrois, participera à la 4e Journée régionale de Synthèse nationale dans le Nord...
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07:08 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 11 avril 2016
La chienlit Hollando-vallsienne
Dr Bernard Plouvier
Depuis une quinzaine de jours, mais avec une agressivité et une capacité de nuisance accrues de jour en jour du fait de l’énorme publicité donnée à ce mouvement grotesque, des potaches contestent les stipulations d’une loi visant à modifier la réglementation d’un monde dont ils ignorent tout : celui du Travail.
Que cette loi soit critiquable, c’est une évidence. La ministresse, qui en a endossé la responsabilité, n’y connaissait manifestement pas grand-chose. Comme sa consœur de l’Éducation nationale, elle n’avait pratiquement jamais travaillé de sa vie, hormis de « petits boulots » d’étudiants, avant de se lancer en politique.
Effectivement, notre pays se meurt lentement, en grande partie parce que les élus sont des professionnels de l’agit-prop. qui n’ont jamais exercé un métier utile à la Nation. Il faudra bien, un jour, que les citoyens réfléchissent à deux fois avant de laisser les apparences du Pouvoir à des rhéteurs professionnels, des handicapés de l’utilité sociale, des bons à rien faire d’autre que de pérorer et promettre la lune.
La première remarque de fond, concernant les manifestations d’étudiants et de lycéens, porte sur leur existence même. Il s’agit de rassemblements de masse, simultanément organisés dans une soixantaine de villes, ce qui doit quelque peu perturber le fonctionnement de nos glorieux policiers, alors que nous sommes « en état d’urgence » !!! Si l’on voulait ridiculiser le pays et faire fuir les investisseurs étrangers, on ne pourrait faire mieux. Et le remarque est identique concernant l’action des candidats terroristes, qui en est grandement facilitée… à moins que les « barbus » aient reçu l’ordre de se calmer en attendant les présidentielles de 2017, pour éviter un raz-de-marée patriote.
La seconde remarque porte sur les participants, les suiveurs, tels qu’on a pu les observer grâce aux innombrables reportages télévisés. Dans l’ensemble, histrions et hystériques se donnent en spectacle ; c’est plus simple que de travailler les mathématiques, la philosophie ou la biologie.
L’on a manifestement affaire à des potaches élevés en petits princes et en jolies (pas toujours) princesses, qui ne connaissent rien, mais absolument rien, des dures réalités de la vie, et qui, à se fier à leurs déclarations, ont déjà une mentalité de petits fonctionnaires !
L’expérience de mai 1968 et de son remake raté de 1969 (oublié de bien des « historiens ») permet à l’auteur de ces lignes d’imaginer qu’il y a probablement fort peu de fils et de filles de pauvre pour traîner dans ces manifestations. Ceux-là doivent être en train de « bosser » pour faire mieux que papa et/ou maman ; ceux-là savent qu’étudier est un privilège qui permet une véritable promotion, acquise et justifiée par l’utilité sociale.
Après tout, cette vérité profonde est bien connu des véritables travailleurs : à savoir que les revendications sont toujours inversement proportionnelles à la quantité et à la qualité du travail fourni et que les meilleurs travaillent plus qu’ils ne râlent.
Que des manifestations, tolérées par un « Pouvoir » aux abois, en régime laxiste, dégénèrent en mini-émeutes et en dégradations & pillages de toutes sortes, n’étonnera que les niais. Il est probable, en outre, que diverses manifestations aient dégénéré en orgie alcoolo-sexuelle, selon la recette soixante-huitarde bien connue. Simplement, préservatifs et Loi Veil éviteront les grossesses non désirées.
Reste le cas des meneurs, reçus en grande pompe par un premier ministre en déconfiture et son ministre de l’Économie, plus souriant que jamais depuis qu’il a démontré à tout le monde qu’il se positionnait pour les présidentielles de 2022, tout en devenant candidat au poste de premier ministre, quel que soit le résultat de celles de 2017 : quand on se place ailleurs, on est forcément bon à tout et bon pour tout. Il a du moins l’avantage d’être jeune et (peut-être) dynamique.
Ces meneurs sont de futurs politiciens qui préparent leur avenir. Les plus travailleurs entreront à l’ENA, les plus friqués dans une école de commerce ou de management, les autres se contenteront d’une licence de droit ou de sciences économiques, voire de sociologie… et tous tenteront de se faire admettre au Grand-Orient, voire au Club Le Siècle.
Avec de telles « élites », les potaches qui manifestent se préparent un avenir glorieux.
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Francis Bergeron présentera son "Qui suis-je ?" consacré à Léon Degrelle ce mardi à Paris
Une conférence suivie par une séance de dédicaces du nouveau livre de Francis Bergeron, "Léon Degrelle, un incroyable destin belge" (publié dans la collection "Qui suis-je ?" des éditions Pardès), se déroulera ce mardi 12 avril à 19 h au François Copée (1, boulevard Montparnasse 75006 Paris - métro Duroc).
Cette conférence est organisée par le Cercle Franco-Hispanique. Participation : 6,50 € (correspondant à une consommation).
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Vers un tremblement de terre politique en Autriche
Lionel Baland Eurolibertés cliquez ici
Alors que les partis sociaux-démocrates et sociaux-chrétiens se partagent le pouvoir en Autriche depuis la fin de la IIe Guerre mondiale, le pouvoir d’attraction de ces deux organisations politiques du système s’effondre. Cette situation peut conduire à un tremblement de terre politique consistant à l’élimination à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle du 24 avril 2016 des candidats de ces deux partis.
L’Autriche compte plus de huit millions d’habitants, parmi lesquels 1 800 000 à Vienne. Cette concentration de population dans la capitale du pays tire ses origines du fait que cette ville était autrefois le centre politique de l’empire des Habsbourg. Du démantèlement de celui-ci à l’issue de la Ire Guerre mondiale est née la petite République d’Autriche.
Le pays doit faire face à un antagonisme politique : Vienne « la rouge » est un bastion des sociaux-démocrates alors que les campagnes sont dominées par les sociaux-chrétiens/conservateurs. Une troisième famille politique joue également un rôle : les libéraux et nationalistes grand-Allemands. Ils sont issus des idées de la révolution libérale de 1848 à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, conséquence de la révolution ayant eu lieu en France la même année. À cette époque, les libéraux allemands ont des revendications sociales, libérales (liberté de la presse, d’association, de réunion,…) et désirent réunir l’ensemble des germanophones au sein d’un État. Ils s’opposent à l’Allemagne morcelée des princes. Paradoxalement, l’unification allemande est réalisée par le très conservateur Chancelier Bismarck : l’État allemand réunissant les germanophones ne vivant pas au sein de l’empire des Habsbourg naît entre 1866 et 1871. Lorsque l’empire des Habsbourg est démantelé à l’issue de la Ire Guerre mondiale, la possibilité de réunir ses territoires germanophones avec l’Allemagne voit le jour, mais les Alliés la refusent.
Durant l’Entre-deux-guerres, de fortes tensions politiques traversent l’Autriche. Le Chancelier social-chrétien conservateur Engelbert Dollfuss instaure une dictature corporatiste et catholique à laquelle est attribué le nom d’« Austro-fascisme ». Il dissout le Parti communiste ainsi que le Parti national-socialiste dont les membres actifs sont jetés dans des camps de concentration. Suite à la répression des sociaux-démocrates ayant déclenché une grève générale, les ouvriers se soulèvent et provoquent une guerre civile qui est contrée par le régime. En juillet 1934, Engelbert Dollfuss est grièvement blessé lors d’une tentative nationale-socialiste de putsch. Il décède. Kurt von Schuschnigg prend sa succession. Lâché par le dirigeant italien Benito Mussolini, celui-ci est contraint d’accepter en 1938 l’annexion de l’Autriche à l’Allemagne nationale-socialiste.
Après la IIe Guerre mondiale, l’Autriche est ré-instituée et occupée jusqu’en 1955 par l’URSS, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France. Deux partis, les socialistes (devenus en 1991 sociaux-démocrates) du SPÖ et les conservateurs/sociaux-chrétiens de l’ÖVP, vont alors se partager le pouvoir à tous les niveaux durant des décennies : les postes du personnel des services publics et de l’administration depuis les plus hauts jusqu’à ceux du personnel d’entretien au sein des écoles de village sont distribués politiquement aux membres des partis rouge (SPÖ) et noir (ÖVP). Une troisième force politique, assez marginale, est aussi active : la VdU, puis le FPÖ représentent la famille politique nationale et libérale. En 1986, alors que le FPÖ dirigé par Norbert Steger de l’aile libérale est au bord de l’effondrement, Jörg Haider en prend le contrôle et le conduit de victoires en victoires, puis le fait entrer en février 2000 dans un gouvernement avec l’ÖVP.
De nos jours, le SPÖ et l’ÖVP gouvernent à nouveau ensemble l’Autriche. Le FPÖ, principal parti d’opposition, est donné dans les sondages à 32-33 %, premier parti du pays. Les prochaines élections législatives doivent avoir lieu au plus tard à l’automne 2018. Mais un autre scrutin national doit prendre place auparavant : les élections présidentielles du 24 avril 2016 et (dans le cas où personne n’obtient 50 % au premier tour) du 22 mai 2016. Les candidats ayant obtenu les 6 000 signatures valables nécessaires sont au nombre de six : le SPÖ Rudolf Hundstorfer, l’ÖVP Andreas Khol, le FPÖ Norbert Hofer, le candidat indépendant membre du parti écologiste Alexander Van der Bellen, la candidate indépendante ancien haute-magistrat Irmgard Griss et le candidat indépendant et ancien entrepreneur Richard Lugner.
Si ce scrutin se singularise par le nombre élevé de candidats, ce sont avant tout ses résultats qui devraient en faire une élection particulière. En effet, les sondages donnent premier le candidat indépendant membre du parti écologiste et soutenu par celui-ci Alexander Van der Bellen, deuxième le FPÖ Norbert Hofer et troisième la candidate indépendante Irmgard Griss. Les candidats du SPÖ et de l’ÖVP sont donnés respectivement quatrième et cinquième devant Richard Lugner qui arrive dernier.
Si cette tendance se confirme dans les urnes, cette évolution accréditera le rejet de plus en plus important des candidats des partis du système, le candidat soutenu par les verts et le candidat nationaliste s’affrontant pour le deuxième tour. Ce scrutin concrétisera la perte massive d’influence des partis du système malgré le fait que ceux-ci verrouillent depuis des décennies le système politique à leur avantage.
Le blog de Lionel Baland cliquez là
16:03 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 10 avril 2016
Robert Spieler participera à la 4e journée régionale de Synthèse nationale le dimanche 24 avril à Nieppe (59)
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20:50 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Soros : après les Femen et les No Borders, l’affaire Panama Papers…
Charles Demassieux Riposte laïque cliquez ici
Qui est George Soros, dont on entend souvent parler en ce moment dans l’affaire des Panama papers, scandale financier que beaucoup d’élus font mine de découvrir, avec une hypocrisie qui force le respect ?
D’après le site georgesoros.com, il « a été un partisan international de premier plan des idéaux et des causes démocratiques depuis plus de 30 ans. Son organisation philanthropique (Open Society Foundations – OSF) soutient la démocratie et les droits humains dans plus de 100 pays. » Jusqu’ici, tout va bien, parce qu’un philanthrope est une « personne qui est portée à aimer tous les hommes » (Le Robert). Tous les hommes ? Pas exactement, parce que tous les hommes ne se valent pas, selon ce milliardaire sulfureux.
De son vrai nom György Schwartz, George Soros est né en 1930 à Budapest, dans une famille hongroise juive intellectuelle ; son père était médecin, avocat et écrivain. La situation politique dans son pays, devenue hostile aux juifs et proche du régime nazi, le contraint à changer de nom. Il parvient toutefois à éviter la déportation, tout en négociant des devises sur le marché parallèle hongrois. Plus tard, il admettra s’être approprié des biens de juifs déportés, se justifiant ainsi : « Si je ne l’avais pas fait, d’autres l’auraient fait. Parce que, si je n’avais pas fait ça, je n’aurais jamais eu d’argent. » L’argent, ou le baromètre moral de Soros !
En 1947, Soros part s’installer en Grande-Bretagne pour fuir le régime communiste et y poursuivre des études. En 1956, il s’installe aux États-Unis avec l’irrépressible envie de devenir riche. Il exaucera son vœu au-delà de toutes ses espérances, puisqu’il est à ce jour l’une des plus grandes fortunes mondiales.
Il crée alors un fond d’investissement, le Soros Fund Management. En 1973, il fonde, avec Jim Rogers, Fond Quantum, dont les gains vont dépasser les 30% pendant une dizaine d’années. C’est en 1992 que le monde fait sa connaissance, tandis que l’Europe traverse une crise monétaire. Cette crise sera d’ailleurs l’un des arguments majeurs pour la monnaie unique.
Soros, par ses spéculations sur la livre, contraint l’Angleterre à sortir du système monétaire européen, profitant des faiblesses du marché pour s’enrichir, en bon financier qui se respecte ! On le surnommera même « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ». Dit plus crûment, ça donne : « Etant donné la situation économique de l’Angleterre et le niveau des réserves de change, une attaque spéculative d’ampleur pourrait obliger l’Angleterre à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et à dévaluer sa monnaie. En vendant à découvert la livre sterling, ce serait alors le jackpot. » En ce sens, Soros incarne à merveille la finance internationale qui se fout allègrement des conséquences humaines de telles pratiques !
Mais Soros se veut aussi philanthrope : il crée plusieurs fondations, regroupées autour de l’OSF, « dont le but est de défendre les droits humains et promouvoir la gouvernance démocratique », et étend son influence au terrain politique. Mégalomane, il se définit comme un « chef d’État apatride ». Sa générosité ne connaît pas de limites, avec pour but de changer le monde, ce qui fait joli sur le papier : pas dans la réalité.
Ainsi, il chapeaute des associations et des projets qui, tous, convergent vers un seul but : détruire l’identité des Nations occidentales. En 2009, il finance une étude en France sur les contrôles au faciès ; en 2012, il offre 35 000 euros au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Cette association défend le port du voile, prône un « islam identitaire agressif », tel que rapporté dans un article du Figaro. Et ça, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car cette association « profite de ce combat légitime pour faire avancer des causes plus suspectes », selon le Huffington Post, site d’information pourtant très « propre » sur lui idéologiquement !
Dans la crise des migrants – décidément, cet homme ne s’épanouit que dans les crises ! –, Soros joue son rôle en finançant les « No Border », groupuscule d’ultra-gauche qui refuse les frontières et soutient le flux migratoire sauvage en Europe. Flux migratoire qui charrie aussi des terroristes, nous le savons à présent.
Auparavant, il y aura la crise ukrainienne. Sur CNN, Soros déclare avoir pris une part importante dans les événements de Kiev, en soutenant les pro-Européens, car, pour lui, la Russie a « une autre vision du monde où la violence remplace l’État de droit ». Comprenez : la conscience identitaire est haïssable. D’où son rejet pour toutes les Nations qui la revendiquent, dont Israël, via une organisation comme Human Rights Watch, abondamment arrosée par ses dollars, ou l’Arab Regional Office.
Mais l’ingratitude étant ce qu’elle est, BDS (Boycott Apartheid Israël) a récemment mis en demeure ce mécène de l’islam : « Nous appelons toutes les organisations palestiniennes, arabes et internationales, qui ont reçu des fonds des fondations Soros, à faire pression sur M. Soros pour qu’il nettoie son portefeuille d’investissements dans des violations des droits de l’homme, et à s’abstenir de demander des fonds de ces fondations s’il ne parvient pas à le faire. » Voici donc l’arroseur arrosé !
Soros déverse aussi son fric sur les Femen et LGBT, évidemment, puisque ça participe de la déconstruction des identités et qu’il faut normaliser l’indétermination sexuelle dans le meilleur des mondes du milliardaire !
Cependant, la preuve de l’échec du modèle Soros, c’est le soulèvement de ces identités un peu partout en Occident. Ce prédicateur économique et politique devrait se souvenir qu’« On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes. » (Louis XVI)
Quant à l’affaire des comptes offshore du Panama, Soros est-il derrière ou pas ? Disons que la présomption d’innocence, étant donné son pedigree, est difficile à admettre !
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Le Journal du Chaos de cette semaine
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Dimanche 24 avril : Carl Lang à la 4e Journée régionale (Flandre-Artois-Hainaut) de Synthèse nationale près de Lille
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samedi, 09 avril 2016
Pédophilie : perversion, crime et « péché »
Dr Bernard Plouvier
L’actualité – en l’occurrence les errements d’un évêque catholique – fait resurgir un grave problème de société, aussi vieux que l’humanité. Comme pour d’autres sujets, les pitres des media désinforment plus qu’ils n’informent.
La pédophilie, qui ne fut réprimée durant l’Antiquité que par des règlements de comptes entre familles ou individus, fut diversement punie ensuite selon les civilisations, les chrétiens étant les moins laxistes jusqu’à la disparition de l’influence du clergé sur la justice (en France, au milieu du XVIIIe siècle)… même un athée - c’est le cas de l’auteur de ces lignes - se doit de le reconnaître.
Au XXe siècle, elle fut considérée avec un certain détachement par les Occidentaux, lorsqu’elle était pratiquée en milieu exotique. Sa pédophilie menée auprès de jeunes Tunisiens n’empêcha nullement André Gide d’être nobélisé. Henry de Montherlant et Roger Peyrefitte firent un concours de « tableaux de chasse » pédophiles jusqu’aux années 1970. Seul le IIIe Reich lutta très vigoureusement contre la pédophilie incestueuse, les familles étant un haut-lieu de sa pratique, où l’on pratique volontiers l’omerta.
En terre d’islam comme en Asie du Sud-Est, la pédophilie fut volontairement négligée par les autorités jusqu’aux vingt dernières années, et la nouvelle rigueur législative ne fut pas dépourvue d’arrière-pensées financières : lourdes amendes et dédommagement aux parents… souvent consentants, voire organisant la prostitution de leur progéniture. Jusqu’à la fin du XXe siècle, le « tourisme sexuel » fut une pratique hautement orientée vers la pédophilie… les médecins étant sollicités par les « touristes » de retour en zone civilisée pour détecter et soigner les inconvénients de la prostitution pédophile (qui existait même en France, durant les années 1980-2000… on ne jurerait pas qu’elle ait disparu de nos jours).
La pédophilie (homosexuelle, hétérosexuelle ou bisexuelle) est d’abord et avant tout un problème d’ordre médical. Il s’agit d’une perversion, ce qui se définit comme un acte (ou un discours) qui nuit à la santé physique ou mentale d’autrui et du pervers lui-même. Comme tout comportement animal, la sexualité et le rapport dominant-dominé sont génétiquement programmés.
On ne le répétera jamais assez : l’homme est un animal, ne se différentiant du reste des primates que par un néocortex à six couches de neurones superposées qui lui offre la transcendance, soit la faculté de juger ses actes, avant, après, mais aussi en cours de réalisation. Le libre-arbitre (soit le choix préalable à l’acte) existe, certes de façon rudimentaire, chez nombre d’animaux, comme n’importe quel éleveur de chiens ou de chevaux peut le constater et comme l’ont révélé les travaux des éthologues germaniques et scandinaves.
Le pédophile est un individu immature émotionnellement et sexuellement. Il est peu capable, voire totalement incapable, d’avoir des relations sexuelles complètes avec une personne adulte et consentante. C’est un timide, volontiers sournois, qui veut dominer son partenaire ou assouvir une homosexualité dont il a honte (en valeur absolue ou simplement pour son retentissement social).
Depuis la glorieuse révolution soixante-huitarde, nombre de médicastres et de psy. en tous genres s’intéressent davantage au pervers qu’à ses victimes, osant même prétendre que le scandale public de la révélation de ses agissements suffit à éviter les récidives, ce qui est entièrement faux : les études judiciaires US et canadiennes le démontrent… comme d’ailleurs l’expérience du médecin confronté aux pervers pédophiles (ce fut mon cas à trois reprises).
On ne peut rééduquer un comportement humain, puisqu’il est génétiquement induit, donc soumis à la récidive. Il faut traiter par moyen chimique le psychotique, le névrotique, le psychopathe, le sociopathe ou l’enfermer à vie… voire l’exécuter s’il a doublé son acte pédophile de l’assassinat (ce qui est beaucoup moins rare qu’on ne le croit : presque tous les assassinats d’enfants et d’adolescents sont la suite d’un crime de pédophilie pénétrante).
La pédophilie est un délit ou un crime, au plan pénal, selon qu’il s’est agi d’attouchements ou de pénétration, voire de viol. La majorité sexuelle (différente de l’âge pour l’autorisation au mariage) varie, selon les pays, de 12 à 21 ans. En France, elle est de 15 ans (16 en Belgique et au Canada ; de 16 à 18 ans, selon les États de l’Union, aux USA). La mention juridique française « mineur de 15 ans » est un idiomatisme juridique signifiant « mineur de moins de 15 ans » : il est bon de le savoir pour décrypter les informations publiées.
Reste à envisager une notion purement religieuse : celle de « péché ». Un athée doté d’une surconscience (ce qui n’a rien à voir avec le grotesque « surmoi » de la supercherie psychanalytique freudienne) parlerait de faute morale et ne se la pardonnerait jamais… ce qui explique nombre de suicides.
Un chrétien ne peut que suivre le texte évangélique, terrible (Évangile selon Matthieu, XVIII, 5-7) : « Quiconque accueille un petit enfant… c’est moi qu’il accueille. Mais si quelqu’un scandalise l’un de ces petits qui croient en moi, il vaut mieux pour lui être jeté en mer avec une meule attachée autour du cou… Malheur à l’homme par qui le scandale arrive ». Non seulement, il s’agit d’un péché, mais apparemment aussi d’un « péché mortel » que le Christ jugeait inexpiable.
En zone d’islam, l’on s’autorise des relations jugées pédophiles en terres civilisées : Mahomet (qui connut une dizaine d’épouses, dont certaines obtinrent le divorce) eut des relations sexuelles avec l’une d’elles, Aïcha, alors que celle-ci n’était âgée que de neuf ans : c’est la sîra, soit la biographie officielle du prophète, qui nous l’apprend. Un Européen n’a que faire des us et coutumes d’Arabie, au VIIe siècle. Il est hors de question qu’en Europe soient institutionnalisées la polygamie et la pédophilie, par égard envers des immigrés exotiques.
Enfin, il est évident que les pédophiles orientent volontiers leur activité professionnelle vers les jeunes, dont certains sont si aisés à dominer. Que l’enseignement ou les clergés soient plus fréquentés par les pédophiles que d’autres types d’activité ne surprendra personne.
Le seul sujet d’étonnement tient au caractère tardif de l’intérêt des nobles et vertueux commentateurs : après tout, les procès de prêtres et religieux catholiques, en 1936-37, dans le Reich hitlérien, étaient liés soit à des affaires de fraude fiscale et d’évasion de capitaux, soit – pour la majorité d’entre eux – à des affaires d’homosexualité pédophile… les vertueux journalistes étrangers (et à leur suite, la quasi-totalité des historiens patentés) parlèrent de « persécutions » !
09:38 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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Donald Trump enfume-t-il son monde ?
Michel Lhomme, politologue , Métamag cliquez ici
La campagne des primaires américaines a suscité une incompréhension horrifiée de la part de tous les américanistes et les politologues spécialistes du sujet.
Passe encore que le vieux Bernie Sanders, qui se déclare socialiste, puisse tailler des croupières à Hillary Clinton mais qu’une personnalité aussi atypique que Donald Trump mène la course devant un Ted Cruz ultra religieux, voilà qui bouscule tous les cadres établis et au sens premier du mot, l’establishment.
Comment ne pas voir pourtant que ces deux outsiders sont les deux faces d’une même médaille, celle de la remise en cause profonde du système ? La seule question qui reste pourtant sans réponse est la suivante : s’agit-il d’une vraie crise d’adaptation d’un système vieillissant ou le signe d’une révolte plus profonde ? Ou tout simplement ne sommes-nous pas dans le spectaculaire dans un complet enfumage de l’État profond ?
Ainsi, le mois dernier, furent lancées des campagnes de diabolisation de Donald Trump par ses adversaires républicains mais surtout par les membres de la communauté juive américaine avec même l’appel au boycott de son discours devant l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee). Or cela n’a pas du tout fonctionné : le 21 mars à Washington, seulement 300 personnes sur 18 000 participants ont quitté la salle du grand raout pro-israélien. En revanche, le candidat aux primaires républicaines a donné entière satisfaction et même plus au public israélien pour ne pas dire ultra-sioniste présent dans la salle.
Oublié donc le « Donald » qui refusait de prendre position sur la question palestinienne tant qu’il ne serait pas à la Maison-Blanche et qui ne voulait pas dire si les États-Unis devaient reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Trump affirma tout de go au Congrès, qu’élu Président, il ne sera plus question qu’Israël paye l’aide militaire que lui octroie Washington. Il a même commencé par dire qu’il était d’ailleurs un « soutien de longue date et un ami réel d’Israël», rappelant qu’il avait été « grand maréchal » à la parade de la journée d’Israël à New York en 2004. De fait, avec lui à la présidence des États-Unis, a-t-il assuré, Israël ne sera plus traité « comme un citoyen de seconde zone ».
Puis, s’en est suivi un flot ininterrompu de déclarations comme à son accoutumée qui auraient pu sortir tout droit de la bouche de Benyamin Netanyahou.
Par exemple, sera-t-il neutre sur la question palestinienne ? Trump affirme qu’on avait mal compris ses précédentes interventions : « Les Palestiniens doivent venir à la table de négociation en sachant que le lien unissant les États-Unis et Israël est absolument incassable… Ils doivent venir en étant prêts à accepter qu’Israël est un Etat juif et qu’il demeurera un Etat juif pour toujours ».
Neutre sur la question de Jérusalem ? Lui président, il transférera l’ambassade des États-Unis de Tel Aviv à Jérusalem, « la capitale éternelle du peuple juif ».
Puis le candidat aux Primaires républicaines a tiré à boulets rouges sur l’Iran en l’accusant d’être « le plus grand sponsor du terrorisme mondial », d’être en Syrie pour établir un nouveau front dans le Golan contre Israël, de fournir des armes sophistiquées au Hezbollah libanais, et de soutenir le Hamas et le Djihad islamique en leur donnant 7 000 $ pour chaque attaque terroriste et 30 000 $ aux propriétaires des maisons détruites par les Israéliens (ce qui n’est pas faux mais c’est la guerre !).
En un peu plus de vingt minutes, ce fut à l’AIPAC un tonnerre d’applaudissements ! Trump termina alors son discours sur le mode people, en déclarant que sa fille Ivanka (mariée à un juif israélien orthodoxe) était « sur le point d’avoir un magnifique bébé juif ».
D’où vient donc Donald Trump ? Et s’il n’était en fait que le candidat forcément cynique et incontrôlable de l’« État profond » et d’ailleurs, peut-être la première manifestation politique visible de celui-ci ? Pourtant, d’ores et déjà, l’état profond américain (the deep state) se prépare à surmonter victorieusement toutes les difficultés que pourraient faire naître un Trump ou son électorat. Rappelons que l’« état profond » désigne couramment la conjonction des intérêts militaires, industriels, financiers et diplomatiques qui ont permis à l’Amérique depuis la deuxième guerre mondiale de s’imposer comme l’hyper-puissance et le gendarme du monde.
Nonobstant, certains analystes aux États-Unis ont parlé ces derniers temps d’une bataille médiatiquement préfabriquée entre les deux principaux candidats à la Maison Blanche, Hillary Clinton, la chef de file des néo-conservateurs et Donald Trump. En août 2015 déjà, le magazine politique Cicero avait écrit que les familles Trump et Clinton étaient très amies d’où la question embarrassante : Trump pourrait-il n’être qu’un sous-marin des Clinton qui devait ridiculiser les Républicains aux yeux du public, afin que la démocrate Hillary ait toutes ses chances de l’emporter ? En fait selon Wikipédia, Trump a été membre du parti démocrate jusqu’en 2009 et a fait don de 100 000 dollars à la fondation de Clinton il y a quelques années. On dit qu’il a entretenu de bonnes relations avec Hillary Clinton et a déclaré publiquement Bill Clinton le meilleur président américain de tous les temps.
Au surplus, les filles de Trump et de Clinton sont de grandes amies. Des collaborateurs ont découvert qu’en mai 2015, juste avant que Trump ne décide d’entrer dans la campagne présidentielle, il a eu une longue conversation avec Bill Clinton. Ce dernier a téléphoné à Trump et l’a conseillé sur la façon dont il pourrait faire bonne impression auprès des membres du parti républicain. Les Clinton étaient aussi invités d’honneur au mariage de Trump avec sa troisième femme, Mélania. De plus, par sa famille, Trump est étroitement lié avec des membres très riches du parti démocrate. Son père venait déjà en aide à de grands pontes démocrates de l’immobilier. Son beau-fils Jared Kushner, qui vient d’acheter l’ancien bâtiment du New York Times pour le prix d’un demi-milliard de dollars, est membre du parti démocrate.
Trump est-il vraiment un candidat indépendant ? Pour qui travaille-t-il au juste ? En fait, Trump amuse énormément son public : c’est sa fonction d’outsider, d’amuseur de galerie, de bouffon du roi caché. Cynique comme l’est maintenant devenu avec elle-même l’oligarchie, il assène ainsi des vérités premières que l’on tente de faire passer pour de la déraison.
Ceci étant dit si l’isolationnisme trumpien gagnait, cela nous donnerait après tout un bon répit, un peu de respiration. Les politiques et les intellectuels américains néo-conservateurs sont trop dangereux du fait de leur culture historique nulle et de leur irréalisme. On célèbre parfois leur culte du concret ou on se gargarise de leur pragmatisme mais il y a tout un monde entre le MIT, l’Université Hopkins et ces professeurs américains qui fondent leur pédagogie sur les dossiers de réussites et les Russes qui la font eux reposer sur l’analyse du jeu d’échecs, ce jeu que l’Arabie Saoudite veut justement faire interdire sous les tentes climatisées du désert.
09:36 Publié dans Michel Lhomme, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le dérapage
Charles-Henri d'Elloy
Article publié dans le n°42
de la revue Synthèse nationale cliquez ici
Avez-vous remarqué le mot en vogue chez les ayatollahs du prêt-à-penser ? Ce mot si commode pour désigner vaguement ce qui déplait à la doxa officielle ? C’est le « dérapage ». Si par malheur, un journaliste, un politique, un écrivain ou une personnalité ayant droit de s’exprimer dans les gros media s’écarte, ne serait-ce que légèrement, de l’évangile selon sainte Marianne, version XXIe siècle, il y aura toujours un autre journaliste, un politique, ou une autre personnalité labellisée « république-Fraternelle, trois points fr » pour dire du premier qu’il a commis un « dérapage ». Le dérapage est au langage officiel ce que l’exilé fiscal est à l’administration. Il y a quelque chose d’infâmant. C’est comme si l’on avait lâché un pet dans l’ascenseur où se trouve un patron du Cac 40.
Le simple fait d’être convaincu de dérapage permet à votre procureur de ne vous opposer aucun argument et aucune pensée de fond. Ne cherchez pas à vous justifier… Si vous avez dérapé, c’est que vous l’avez cherché, c’est que vous n’avez pas compris le code de la pensée autorisée, ou pire, que vous l’avez délibérément ignoré ! La voie est pourtant suffisamment balisée pour ne pas s’en écarter. D’un côté les ligues de vertus et de l’autre la 17e chambre correctionnelle.
Le dérapage n’a cependant pas le même retentissement et les mêmes conséquences selon que vous dérapiez à gauche ou à droite. Par exemple, si vous êtes un grand bourgeois bien en cours (1), et que vous lancez sur un réseau social une affirmation du style « je ne pleurerais pas si une bombe éclate au milieu d’une manifestation contre le mariage homosexuel», votre dérapage sera considéré au pire comme une maladresse inopportune, et au mieux comme une galéjade témoignant de la liberté d’expression qui prévaut dans les media. À l’inverse, si vous êtes une femme politique classée à droite (2), même si cette « droite » n’est qu’un leurre, issue d’un milieu populaire, et que vous répétez à la télévision une évidence dite par le général De Gaulle, à savoir que : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne », votre dérapage sera considéré comme intolérable par la doxa patentée et discutable par vos prétendus amis politiques.
Moralité : si vous perdez le contrôle de votre pensée, dérapez plutôt à gauche qu’à droite, ça fait moins mal.
Notes
(1) Pierre BERGÉ 27 mars 2013 dans un tweet.
(2) Nadine MORANO 26 sept. 2015. Télévision « On n’est pas couché »
Le dernier livre de Charles-Henri d'Elloy cliquez ici
01:28 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gabrielle Cluzel présente son nouveau livre "Adieu Simone" sur TV Libertés
01:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 08 avril 2016
Dimanche 24 avril, près de Lille :
23:50 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Paris, l’ex-Ville Lumière, devenue capitale de la Cloche
Dr Bernard Plouvier
Avec la globalo-mondialisation, tout change en France. Nos dirigeants étalent sans vergogne leurs émois sexuels et leur avidité. L’on ferme des écoles, des bureaux de poste, des gares et des sous-préfectures, pour comprimer les dépenses, mais le déficit public pharaonique n’empêche nullement de multiplier, année après année, les allocations et subventions aux millions d’immigrés d’origine extra-européenne. Pendant ce temps, l’on fait appel à la générosité populaire pour la recherche scientifique, pour les pauvres, pour les malades, les sans-abri, les sans-papier, etc.
Si l’on préfère : l’État, qui soutire de plus en plus d’argent aux contribuables, offre de moins en moins d’infrastructures, favorise l’intrusion d’étrangers qui coûtent beaucoup à la collectivité, et se transforme en music-hall grivois et obscène… ce qui n’est pas sans rappeler le scénario de l’Allemagne de Weimar, durant les tristes années 1930-32.
Nos très curieux « socialistes », associés aux écologistes bourgeois, ne ratent pas une occasion de verser des larmes de crocodile sur les misères sexuelles du sidéen trop avarié pour attirer encore le client, sur les couples bizarres victimes « d’homophobie », sur les malheurs d’immigrés-réfugiés à qui nul Français n’a demandé d’affluer sur un sol déjà fort encombré de chômeurs de très longue durée… l’on pourrait allonger la liste des lamentations indues.
Un observateur impertinent ne peut que s’étonner du mélange de fausse compassion et d’immobilisme à la tête (supposée) de l’État. Après tout, un chef se doit d’abord et avant tout d’agir, plutôt que de pleurnicher entre deux banquets et trois voyages à l’étranger. Or, notre glorieux Président et son gouvernement brassent surtout du vide. Après la comédie du pseudo-état d’urgence, on joue le mélodrame de la réforme du droit du travail. Bientôt, on se lancera dans la campagne des présidentielles pour sauver quelques sinécures, dans le désastre qui semble s’annoncer.
Pourtant, le spectacle quotidien offert par notre capitale, haut-lieu touristique (du moins avant les attentats islamiques de 2015), aurait de quoi réveiller nos « chefs » s’ils se souciaient tant soit peu du Bien commun, au lieu de tout laisser pourrir.
Promenez-vous dans Paris, d’Ouest en Est, du Sud au Nord, le long des rives de la Seine… et vous verrez une multitude de clochards, pour moitié des autochtones (dont beaucoup mériteraient un séjour en hôpital psychiatrique) et pour moitié des immigrés, inutilement importés… car on peut difficilement soutenir que ces individus sont là « pour payer la retraite des vieux Français ».
Paris est souillée par du débris qui n’a plus d’humain que l’appellation. Après les crimes des djihadistes, le triste spectacle de cette sous-humanité est une nouvelle offense à la dignité des Français et ne peut que détourner les touristes d’une ville autrefois célèbre pour sa beauté.
Il n’est que temps de balayer la racaille qui plastronne dans les palais de la République. Bêtes, corrompus et incapables, ils sont indignes d’être à la tête d’une Nation qu’ils aveulissent par leur incurie, le spectacle de leurs pitreries, les scandales de leur vie dissolue et de leurs turpitudes financières.
Paris est devenue la capitale de la Cloche, ce n’est hélas que trop évident. Il serait temps que Paris ne soit plus le chef-lieu d’un pays de cloches.
11:46 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 07 avril 2016
Bruno Mégret était hier soir l'invité de Synthèse nationale
Mercredi soir les Amis franciliens de Synthèse nationale se sont réunis pour écouter Bruno Mégret leur parler de son nouveau livre "Le temps du phénix" cliquez ici.
La conférence, introduite par Roland Hélie, fut suivie d'une séance de questions réponses très instructive entre l'assistance et Bruno Mégret. A l'issue de celle-ci l'auteur dédicaça de nombreux exemplaires de son livre.
Dans quelques jours, vous pourrez suivre l'intégralité de son intervention qui a été filmée.
10:41 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |