Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 06 juin 2016

Réinfo, le mag du Parti de la France

09:41 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 05 juin 2016

Une cabale anti-croate

3247505178.jpg

Christophe Dolbeau

Depuis le mois de janvier une énorme campagne internationale de diffamation et de désinformation fait rage contre le nouveau gouvernement croate et plus particulièrement contre son ministre de la Culture, Zlatko Hasanbegović. On se croirait revenu aux temps de l’Agitprop et du camarade Stepakov, tant les assauts paraissent soigneusement organisés et synchronisés. De toute évidence, l’intelligentsia gauchiste ne supporte pas de voir l’Est de l’Europe et plus particulièrement la Croatie élire des dirigeants de droite et refuser de cautionner la gabegie et la dégénérescence ambiantes. On sort donc l’artillerie lourde. Dernière attaque en date, une pétition qui s’en prend au ministre Hasanbegović, accusé pêle-mêle de révisionnisme, de nostalgie oustachie, de sympathies génocidaires et d’hostilité aux valeurs de l’Union européenne. Jeune historien de 43 ans, le ministre doit être un peu surpris de se retrouver ainsi dans l’œil du cyclone. Il doit probablement s’étonner aussi de voir se mobiliser contre lui toute une ribambelle de « consciences morales » du calibre de Toni Negri, condamné autrefois à 30 ans de réclusion pour meurtres, qu’escortent quelques personnages plutôt incongrus (en tout cas lorsqu’on parle d’affaires croates), comme l’universitaire macanaise Wong Yi-Lee, le comique français Michel Boujenah, le député juif australien Michael Danby, ou encore deux rescapés du génocide rwandais (Jean de Dieu Mirindi et Charles Habonima) et une brochette de féministes américaines. Ces gens-là seraient-ils même capables de situer la Croatie sur une carte ? On en doute un peu. Ajoutez encore à cela l’inévitable Caroline Fourest, le pathétique Finkielkraut (qui court désespérément après l’extrême-gauche alors que celle-ci lui crache dessus) le cinéaste Elie Chouraqui et le dramaturge Dario Fo, et vous obtenez un cocktail pour le moins saugrenu.

Le côté insolite de l’opération ne se limite pas aux signataires de la pétition mais il concerne aussi les media qui s’en font les véhicules. En France, c’est Libération (23.05) qui s’y connaît en matière de génocide puisqu’il s’enthousiasma autrefois pour le bon Pol Pot et ses sanglants collègues de l’Angkar. Nul doute que ce journal soit le mieux placé pour donner des leçons… En Suisse, on trouve Le Temps (30.05) qui fait carrément dans le catastrophisme le plus ridicule en annonçant à ses lecteurs qu’en Croatie, « on va bientôt se mettre à brûler les livres » – un peu comme à la fin des années 1960, lorsque les tribunaux helvétiques faisaient brûler l’ouvrage d’un certain Dr Mathez (1) ? À Bruxelles, c’est La Libre Belgique (28.05) qui s’emmêle un tantinet les pinceaux : elle accuse, en effet, le nouveau gouvernement croate d’être à la fois « ultranationaliste, catholique intégriste et ultralibéral », ce qui paraît pour le moins contradictoire. Ensuite et sans doute en guise d’illustration de l’intégrisme catholique, elle vilipende M. Hasanbegović, oubliant sur sa lancée que ce monsieur est un musulman pratiquant et que sur beaucoup de points, il déclare s’inscrire dans la lignée intellectuelle du païen Alain de Benoist. Mais au diable la cohérence : le tout c’est d’attaquer tous azimuts et d’essayer à tout prix d’abîmer l’image d’un homme et d’un pays !

Faut-il préciser pour conclure que ce déluge d’insanités ne possède aucun fondement ? Dans une déclaration en date du 26 janvier 2016, Ivan Zvonimir Čičak, ancien dissident (longuement emprisonné par la Yougoslavie communiste), grand défenseur des droits de l’homme et actuel président du Comité Helsinki de Croatie, fait litière de toutes les accusations qui visent M. Hasanbegović. Il parle « des attaques diffamatoires et des mensonges » dont le ministre est la cible et dénonce clairement l’usage frauduleux que certains font de l’antifascisme pour tenter de justifier les abus et les crimes de l’ancien régime communiste et de la Yougoslavie. Par ailleurs, dans un autre déclaration, en date du 31 janvier 2016, 77 historiens croates (dont plusieurs universitaires) et 67 personnalités diverses de la communauté académique et scientifique (dont trois académiciens) apportent leur soutien au ministre et expriment leur inquiétude face aux amalgames et déformations qui ont pour but de le « disqualifier politiquement, professionnellement et moralement ».

Toute à la crainte de perdre définitivement son hégémonie culturelle dans plusieurs pays européens et notamment en Croatie, une certaine intelligentsia de gauche fait feu des quatre fers pour tenter de discréditer ses adversaires et sauver ses prébendes. C’est dans ce cadre-là qu’il faut situer les actuels boniments et calomnies qui visent Zlatko Hasanbegović. Au sortir de 45 ans de tyrannie communiste et en l’absence regrettable de toute lustration, la Croatie ne manque, hélas, pas de traîtres, de défaitistes, d’embusqués, de rescapés ou de sycophantes des polices politiques d’antan, et d’antipatriotes de tout poil : longtemps bénéficiaires d’une totale impunité, ces gens ont désormais peur de perdre leurs sinécures, notamment dans les secteurs de la presse et de la culture, et ils attaquent. Ils le font avec leurs armes traditionnelles, le mensonge, la médisance, l’insinuation, l’imposture, et ils peuvent compter comme toujours, dans le monde entier, sur une immense armée d’acolytes, de naïfs et de crétins. Tout cela est de l’intox, ni plus ni moins, et bien sot serait celui qui s’y fierait. Espérons en tout cas que les droites européennes ne se laisseront pas une fois de plus embobiner car pour l’instant, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en matière de solidarité avec la droite croate, elles auraient plutôt tendance à se hâter très, très lentement…

Source Eurosynergie cliquez ici

(1) Citoyen suisse, l’ancien médecin James-Albert Mathez (1896-1974) avait écrit et publié (1965) un ouvrage intitulé Le passé, les temps présents et la question juive. Poursuivi en justice par diverses associations juives, le Dr Mathez fut condamné, en 1969, à 30 jours de prison, et le Tribunal de Vevey ordonna en outre que fussent brûlées les épreuves de son livre ; la gendarmerie helvétique se chargea de cette besogne.

00:23 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DÉCÈS DE MOHAMED ALI, ANCIEN LECTEUR DE « TERZA POSIZIONE »

ob_6096f6_cassius-clay.jpg

Lu sur Forum SI cliquez ici :

Ceux qui s’imaginaient que Cassius Clay était un militant des « droits civiques » à la sauce Luther King seront évidemment surpris d’apprendre que ce boxeur mythique lisait Terza Posizione, la publication, elle aussi mythique, des fascistes italiens des Années de plomb. C’est très probablement parce que, révolutionnaire et combattant, compagnon de lutte de ce personnage hors du commun que fut Malcolm X, Clay y trouvait des analyses qui parlaient à sa sensibilité anti-impérialiste. « Il incarna la fierté de sa race », dit NoReporter : souhaitons-nous des Cassius Clay de la nôtre, pour incarner la fierté européenne !

00:12 Publié dans Débat sur l'identité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 04 juin 2016

Pour les médias il n’y a aucun problème d’immigration en France

1773855216.jpg

Jean-Yves Le Gallou

Pour les médias, ni le Grand Remplacement de population, ni le Grand Remplacement civilisationnel n’existent. Et si les médias l’affirment les hommes politiques « convenables »… le répètent comme des perroquets. Juppé, Mélenchon ou Philippot vous le confirmeront. Le Grand Remplacement n’existe pas, foi d’autruche ! Le vice-président du Front national l’a redit sur BFM TV le 30 mai : « Je ne parle pas comme ça [c’est vrai que ce ne serait pas chic pour un petit marquis] parce que c’est flou, je ne sais pas ce qu’on y met derrière. »

C’est sûr, le Grand Remplacement, c’est « flou », c’est un fantasme et même un « fantasme complotiste » (le même Philippot au JDD en 2014).

Alors ne bêlons plus ! Ouvrons les yeux ! Sortons la tête du sable :

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Angleterre mais le nouveau maire de Londres s’appelle Sadik Khan. Ce musulman pakistanais a été élu à la suite du départ en 10 ans de 600.000 Britanniques de souche, des cockneys, des quartiers de l’est.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Belgique : comme chacun sait, les Flamands et les Wallons se partagent toujours Molenbeek.

Il n’y a pas de Grand Remplacement Gare du Nord à Paris et il n’y a que Nadine Morano pour s’y croire en Afrique.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Seine-Saint-Denis mais on y voit de moins en moins de femmes ne portant pas le voile islamique.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en France mais, en 2015, le président du CFCM, le Conseil français du culte musulman, a demandé de transformer des églises en mosquées.

Cela ne vous suffit pas ? Vous voulez des statistiques ?

En voici quelques-unes !

Oui, il y a Grand Remplacement dans les abattoirs où plus de 50% des animaux de boucherie sont tués dans d’atroces souffrances, sans étourdissement préalable.

Oui, il y a Grand Remplacement dans les prisons où plus de 50% des détenus sont musulmans et où les Français de souche représentent moins de 30% des effectifs.

Oui, il y a Grand Remplacement dans les maternités. Les statistiques médicales confirment ce qu’on y voit. Les médecins y dépistent la drépanocytose chez les nouveau-nés qui ne sont pas d’origine européenne. Voici les chiffres : 20% des nouveau-nés étaient dépistés en France en 2001, 37% en 2014. Les chiffres montent à 50% en Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur et 66% en Ile-de-France.

Quant à imaginer que cela serait sans conséquences c’est nier le réel : de même qu’il y a des pommes sous les pommiers, les Africains africanisent et les musulmans islamisent.

Les Français sont confrontés à une difficulté majeure : le déni de réalité de la classe médiatique et, à sa remorque, de la classe politique. Tous partis confondus ?

Via Les Villes contre l'islamisation cliquez là

18:18 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de Vincent Vauclin (La Dissidence) à Paris le 26 Juin 2016

conference-vincent-vauclin-dissidence-francaise.png

18:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alain de Benoist et Michel Onfray sur TV Libertés

10:18 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 03 juin 2016

Ce soir sur Méridien zéro, une grande émission consacrée à Jean Mabire

CHN Méridien J Mabire.jpg

Cette semaine, et pour les 10 ans de sa disparition, Méridien Zéro rend hommage à Jean Mabire. Un plateau bien garni évoquera l'oeuvre protéiforme de celui qui fut pour certains d'entre nous un véritable éveilleur : Francis Bergeron, Philippe Randa, Eric Lefevre et Roland Hélie. Le tout sous la direction de Monsieur PGL assisté d'Arnaud Naudin.

A la technique pour gérer cette cohorte : JLR.

Méridien zéro cliquez ici

En savoir plus cliquez là

Acheter le CHN en ligne cliquez ici

15:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie du n°3 de la gazette littéraire non-conformiste "Raskar Kapac"

13339700_229974557386806_2879723650839372898_n.jpg

Un communiqué de Raskar Kapac (le journal) :

Après quelques péripéties d'impression, Raskar Kapac est enfin disponible dans la plupart des librairies et kiosques parisiens ! Il s'envole vers les boites aux lettres de nos chers abonnés dès ce jour ! Merci à Guillaumet, Mermoz et Saint-Ex ! En espérant que les conditions météo ne soient pas trop mauvaises... Un grand merci également à Christopher M. Gérard, Alfred Eibel et Michel Marmin pour leur participation à ce troisième Raskar !

Où trouver Raskar Kapac cliquez ici

12:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La petite Histoire de Richelieu sur TV Libertés

09:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 02 juin 2016

Un entretien entre Pascal Gauchon (revue Conflits) et le Cercle Henri Lagrange

14:10 Publié dans Revue de presse, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 juin 2016

Après le succès de leur premier album, Les Brigandes récidivent avec un nouveau CD intitulé "France notre Terre"...

Image France notre Terre.jpg

Thierry Bouzard EuroLibertés cliquez ici

Les Brigandes sortent leur 2e CD avec 14 nouvelles chansons, toujours aussi fortes, mais avec une évolution dans leur thématique. Deux CDs en huit mois, c’est quasiment un exploit. Une partie des chansons est déjà en ligne et si certaines, au lieu de chorégraphie n’ont droit qu’à une simple animation, elles ont toutes des vidéos.

Avec humour et sourire, elles s’en prennent à une génération qui « a fait le vide » avec Les Soixante-huitards, un des titres qui n’a pas encore été mis en ligne : « Ô vous les soixante-huitards/ Je vous vois dans vos beaux costards/ Qui parlez maintenant/ Au nom du gouvernement. »

Jakadi des millions est aussi une découverte. Elle chante l’hypocrisie des vedettes du show-biz qui font la leçon, mais ne veulent surtout pas donner l’exemple. L’inventaire est large et tous en prennent pour leur grade « On en veut des millions, Jakadi des millions/ Mais pas dans ma maison. »

Les Brigandes en veulent aux fossoyeurs, aux révolutionnaires et aux transhumanitaires de tous poils, elles les veulent En Enfer, « les jacobins génocidaires, les bétonneurs de l’équerre, les maîtres des secrets bancaires… en enfer ». Tout cela dit avec gentillesse, accompagné au piano, à la guitare et à la clarinette, les Brigandes sont aussi des musiciennes.

Pas vraiment optimiste mais lucide, leurs jolies voix décrivent le temps de l’Antéchrist : « Si on désire un monde meilleur/ Il faut s’attendre à des malheurs/ Une aggravation de la laideur/ De nos vies. » Nul besoin d’être prophète pour s’en rendre compte, mais trop nombreux sont encore ceux qui ne veulent pas l’envisager.

Elles dézinguent les médias avec Cerveau lavé : « Un journaliste qui prend sa plume, pour écrire/ Se demande avec amertume, comment mentir ». Dommage qu’elles s’en prennent à l’Inquisition, la sainte Inquisition devrait-on dire puisque c’est une œuvre d’Église et qu’elle a introduit la procédure contradictoire dans les procès, ce qui a constitué un progrès avec une réelle prise en compte des droits de la défense. Quand désinformé rime avec télé, ce qui n’est pas assez répété, on ne peut que les approuver.

La Nuit où ils ont serré Jack, fait un rapprochement entre un célèbre assassin londonien du XIXe siècle et les figures médiatiques actuelles. Son sort pourrait être celui qui serait réservé à tous les « juges compromis… psys chabraques… journalistes… flics et complices » qui couvrent les infâmes.

Francis Cabrel serait-il une référence pour les Brigandes ? Pour la musique et le style peut-être, pas pour ses engagements, c’est sûr. Si Une Chanson pour Cabrel est quand même lucide « Mais quand on trime dans le mainstream/ Y’a pas d’erreur, on s’abîme/ Et Francis, n’y échappe pas », elle n’exclut pas une certaine reconnaissance.

L’évolution de leur nouvel album vient dans la place faite aux titres dont le thème se retrouvait précédemment dans Jeanne et France notre terre. C’est-à-dire des titres qui ne se contentent pas de s’en prendre à l’adversaire, mais fournissent des motifs d’espoir ou des modèles positifs comme dans Le Retour des héros qui évoque les figures de Charlotte Corday, Alexandre, Patton et Rommel.

Rêve de reconquête est celui de la reprise d’Algéziras (pour Alger ?) par des hommes venus du Nord : « Nous reviendrons du Nord sauvage/ Comme les loups pour un carnage/ Sonnez trompettes de la reconquête. »

Dans le style musical et poétique des ballades du temps jadis, le Rondeau de France évoque les couleurs de l’ancienne France, quand les chevaliers lançaient Montjoie-Saint-Denis en montant à l’assaut. On en aurait bien besoin. « Quand je vois flotter le drapeau de la France/ Dans l’or et l’azur mon cœur revit/ Par les temps de peine renaît l’espérance. »

Plus ancienne car elle remonte à octobre 2015 et avait été chantée lors du concert de Rungis, France notre terre est un plaidoyer pour l’amour de notre terre ancestrale, « France, notre mère/ On ne peut te laisser humiliée et vaincue. »

On est pas mécontentes d’être des Brigandes fait partie des nouveaux titres. À travers un inventaire de chansons traditionnelles françaises (la Bourgogne, la Paimpolaise, le P’tit Quinquin…), c’est une revendication à s’inscrire dans la continuité des chansonniers populaires anonymes ou célèbres et exprimer la joie de chanter. C’est aussi un appel pour éviter que les anciens répertoires soient remplacés par d’autres venus d’ailleurs : « Ils sont descendus du Nord y’a plus de mille ans/ Pour nous crier haut et fort : « Debout là-dedans ! »/ Ma parole, est-ce qu’ils sont morts, que font les Normands ? »

Seigneur, je ne veux pas devenir Charlie est un appel à se lever pour ne pas sombrer avec ceux qui sont dans le déni de réalité. « Demain l’âme qui vient au monde cherchera cet endroit béni/ Hors des cités nauséabondes où vit la race de Charlie. »

Jèze Society est la réponse des Brigandes aux attaques que le groupe a eues à subir récemment. On peut discuter certaines options des Brigandes, leur fixation sur les jésuites, leurs références au symbolisme ou à l’eschatologie, mais en cela elles sont bien de leur époque, celle du complot, des illuminatis ou du secret des francs-maçons. Et leurs chansons ne font que suivre l’évolution de nos sociétés, d’un certain point de vue de la dissidence. Quoi qu’il en soit de leurs options personnelles, elles savent faire passer avec douceur et poésie des paroles de combat et d’espoir. C’est un beau projet comme il n’y en a pas eu depuis bien longtemps dans la chanson qui défend notre identité.

CD est à 20€ + 3€ de frais de port = 23 €.

Pour l'acheter en ligne cliquez ici

17:50 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le 2 mai dernier un colloque a été organisé à Bruxelles par l'Alliance pour la paix et la liberté sur la Syrie

09:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lundi 13 juin : une conférence de Patrick Gofman à Caen

conf.PG-Caen-13_6_16.jpeg

Lundi 13 juin, à l'invitation du PdF14, Patrick Gofman, écrivain nationaliste et ancien étudiant trotskiste de Caen, tiendra conférence sur le thème "le trotskisme dégénéré".

En introduction, Bruno Hirout, délégué départemental du Parti de la France du Calvados, interviendra sur "les devoirs du nationaliste contemporain".

Les deux interventions seront suivies d'un apéritif militant servi sur place. L'entrée est à 5 euros, toute autre information à l'adresse pdfcalvados14@gmail.com !


trots dege.jpgLe trotskisme dégénéré
, commandez le livre cliquez ici

Le commander en en ligne cliquez là

01:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE VENT DU BOULET

9 jni 12.jpg

Pierre Vial Président de Terre et peuple cliquez ici

« Venu de Vienne, le vent du boulet a sifflé très près des oreilles des dirigeants européens ». C’est Le Monde, le journal du Système lu par les bobos voulant jouer aux intellos, qui l’écrit (25 mai) au sujet de l’élection présidentielle en Autriche. Et qui ajoute : « Le soulagement sera de courte durée : sous ses différentes variantes, extrême droite, antilibéralisme, nationalisme ou ultraconservatisme, le populisme de droite est aujourd’hui un courant politique ancré en Europe, qui structure la plupart des compétitions électorales ». Il y a là « une progression de fond à travers l’Europe, y compris dans des pays non membres de l’UE comme la Suisse, de partis qui ont en commun l’euroscepticisme, l’hostilité à la mondialisation, un rejet de l’immigration qui va parfois jusqu’au racisme et à la xénophobie, le rejet des élites ainsi qu’une forte critique du féminisme et des droits des homosexuels (…) En Europe comme aux Etats-Unis, ce rejet est particulièrement élevé chez les hommes, en dehors des grandes villes et dans les classes populaires ». En effet, en Autriche, 71% du vote ouvrier s’est porté sur le candidat du FPÖ (Parti de la Liberté d’Autriche).

Cette « grande colère » se manifeste par une chute des partis traditionnels qui, en bons copains-coquins, se tiennent les coudes, comme en Autriche ou en Allemagne (où la « grande coalition « SPD-CDU n’est plus soutenue que par un électeur sur deux, après le traumatisme créé dans l’opinion par le laxisme de Merkel à l’égard des migrants-envahisseurs). Et l’élimination des conservateurs et des sociaux-démocrates à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle en Autriche est révélatrice.

Est plus révélateur encore un phénomène que même un observateur aussi avisé que Jean-Yves Le Gallou n’a pas relevé : Alexandre Van der Bellen, le nouveau président de la République autrichienne, doit son élection aux immigrés. Les chiffres sont clairs : il a gagné avec 31.026 voix d’avance ; or il y a 700 000 musulmans en Autriche, dont 270 000 Turcs – et 115 000 d’entre eux, disposant de la nationalité autrichienne, peuvent donc voter. Des bulletins en langue turque appelant à voter Van der Bellen ont d’ailleurs été diffusés. Un autre vote communautariste a joué : Alexandre Van der Bellen a participé en 2012 à une réunion de la « Conférence judéo-musulmane », qui a appelé les 15 000 Juifs d’Autriche à voter contre Norbert Hofer, le candidat du FPÖ.

Celui-ci a annoncé la couleur : son résultat à l’élection présidentielle « représente un investissement pour l’avenir ». C'est-à-dire pour les élections législatives de 2018 avec, au bout, la Chancellerie, c'est-à-dire la réalité du pouvoir. Tous les représentants du Système, à travers l’Europe, savent que la victoire de Van der Bollen est une victoire à la Pyrrhus. Et serrent les fesses.

00:01 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 30 mai 2016

Une nécessaire repentance des ex-colonisateurs pour le cas africain ?

teaserbreit.jpg

Dr Bernard Plouvier

Il est totalement absurde de reprocher à l’homme blanc d’avoir colonisé les populations d’un continent qui, pour l’essentiel, en étaient restées au néolithique voire au paléolithique, tout au plus au Moyen Âge (pour le Maghreb), quand les Européens y ont importé sciences et techniques.

De même, l’esclavage des Noirs fut d’abord une histoire de « rois nègres » (comme l’on disait alors) et de marchands musulmans et juifs, avec en fin de chaîne l’utilisation de cette main d’œuvre non spécialisée par des Blancs indignes d’eux-mêmes. On peut rappeler que les Britanniques et les Français furent les premiers à interdire le commerce des esclaves, alors que celui-ci perdure, sous des appellations masquées, en terres d’islam… même les experts de l’ONU ont été obligés de le reconnaître au XXIe siècle.

Le Liberia, pays indépendant du Blanc et de sa tutelle politique depuis le milieu du XIXe siècle, et l’Ethiopie, qui fut toujours indépendante sauf de 1936 à 1941, n’ont connu pour le premier que la dictature du parti unique (à partir de 1876), puis des guerres civiles d’une étonnante férocité, où des enfants et des adolescents ont démontré leur barbarie jusqu’en 2003, et, pour le second, le rezzou et l’esclavage jusqu’à leur interdiction par l’occupant italien et les guerres tribales.

Jusque-là, une éventuelle repentance européenne n’est guère appropriée. La création d’infrastructures en Afrique, pour faire passer ce continent de la somnolence médiévale ou de la sauvagerie préhistorique à la modernité, a coûté extrêmement cher aux contribuables européens. L’esclavage ne fut, du côté des Blancs, que l’affaire d’une minorité d’utilisateurs (sauf aux USA, où il fut institutionnalisé : la repentance, de ce côté-là de l’Atlantique est logique). Enfin, les prestations des seuls États noirs indépendants avant la généralisation de la décolonisation n’ont pas démontré une quelconque supériorité humaniste sur celles des États d’Europe, d’Asie ou des trois Amériques.

Pourtant, les menaces que le continent africain fait peser sur l’équilibre écologique, économique et politique de la planète méritent de sérieuses réflexions, voire une certaine repentance de la part de l’ex-colonisateur blanc.

La population africaine actuelle est d’environ 1,2 milliard d’êtres humains, soit 17% de la population mondiale, alors que l’Afrique, au sol et au sous-sol exceptionnellement riches, ne représente que 1,5% de Produit Mondial Brut. Depuis 1950, la population africaine a plus que quintuplé (elle était estimée aux alentours de 230 millions en 1950). L’on a surtout observé une innovation historique : l’urbanisation massive sans industrialisation, avec éclosion d’une énorme ceinture de bidonvilles autour de chaque cité et d’une explosion de criminalité et de délinquance.

En aucun autre continent la fécondité ne reste aussi primitive : au Maghreb, l’indice moyen est de 3 enfants par femme ; il est de 5,5 en Afrique tropicale ; l’indice de l’Afrique australe est intermédiaire. La mortalité infantile a été divisée par trois, même si elle demeure monstrueusement plus élevée qu’en Europe ou en Amérique du Nord.

En outre, le départ du colonisateur blanc s’est accompagné d’une effarante corruption des soi-disant élites, de la dégradation des infrastructures rurales et des quartiers périphériques des villes, d’un extraordinaire recul du maintien de l’ordre. Parallèlement, l’islam progresse du Nord au Sud à une vitesse effarante, recrutant d’excellents combattants pour sa violence djihadiste : les Africains noirs sont robustes, téméraires et prêts à tout pour échapper à une vie miséreuse.

La cause unique de la monstrueuse inadéquation d’une croissance démographique et d’une économie lamentable, c’est à l’évidence l’intervention intempestive de la technologie occidentale ! La baisse de la mortalité (notamment infantile), le doublement de l’espérance de vie moyenne, sont les conséquences de l’hygiène (notamment dans l’apport d’eau potable et le traitement des déchets organiques), des techniques obstétricales (qui ont quasiment fait disparaître le tétanos ombilical, autrefois endémique), des vaccinations, de l’antibiothérapie, des traitements antiparasitaires et antiviraux.

Autrement dit, l’on a procuré à un continent une technologie médicale moderne, sans inculquer aux populations le mode d’emploi pour obtenir une meilleure vie économique et sociale : faire moins d’enfants pour mieux les éduquer ; pacifier les populations ; apporter le goût du travail et de l’effort au lieu du spectacle des jouissances dans les sociétés évoluées et laborieuses depuis 2 à 3 millénaires… la télévision, pour des individus peu habitués, est une exceptionnelle source de ravages mentaux, en Afrique comme partout ailleurs.

Par humanitarisme mal compris (notamment le stupide dogme du « respect des cultures ancestrales », même ultra-primitives), l’Occident s’est rendu coupable d’un authentique crime contre l’humanité… et commence seulement à en payer les conséquences.  

17:29 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’étrange rendez-vous de Béziers !

3012854566.jpgLa chronique de Philippe Randa

Le « rendez-vous de Béziers » organisé ce week-end par le maire de la ville Robert Ménard portait bien mal son nom : de « rendez-vous », à l’évidence, il n’y eut point, puisque la plupart des « têtes d’affiche » annoncées (Philippe de Villiers, Nicolas Dupont-Aignan, Éric Zemmour,…) se firent porter pâles, tandis que les députés Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard tournèrent rapidement les talons, heurtés par les propos tenus à l’encontre de leur mouvement.

À défaut de « rendez-vous », les deux milliers de participants connurent donc une double déconvenue : non seulement l’échec de cette fantasmatique « union » des droites, mais pire encore, de l’exposition en place publique de la réelle « désunion » de celles-ci… sur fond de mépris pour les uns, d’agressivité pour les autres et malgré un discours convaincant de Robert Ménard dimanche en fin de matinée et ses 51 propositions, la plupart de bon sens, reconnaissons-le !

Le prétendu « peuple de droite » n’aura donc, à l’issu de ce week-end, non seulement ni homme (ou femme) providentiel(le) à adouber, ni lot de consolation avec les nombreuses tables-rondes où les débats, forcément, furent de fait plombés par l’ambiance délétère des dissensions politiciennes, trop politiciennes.

Les plus optimistes pouvaient craindre que ce « rendez-vous de Béziers » fut un succès d’affluence et de promesses politiques aussi grandes qu’elles seraient rapidement passées à la corbeille dès le lundi matin ; les plus pessimistes pouvaient de leur côté en anticiper la déconfiture dès l’annonce de la création d’un mouvement, un de plus ! – au nom « surprenant » (pour ne pas être plus méchant) : « Oz ta droite » – et bien que son fondateur se défende âprement de toutes velléïtés futures de le jeter dans l’arène politique.

Du premier parti de France au plus modeste électoralement, il est évident qu’aucun parti n’accepterait ce nouveau venu – automatiquement perçu, même à tort, comme rival potentiel, d’autant plus que son fondateur s’est empressé, avec une rare maladresse, d’affirmer qu’il ne serait un marche-pied pour aucun d’entre eux – surtout à moins d’un an d’une échéance électorale d’importance, soit la « Reine des batailles » comme il est convenu désormais de nommer l’élection présidentielle… Une telle naïveté de la part de Robert Ménard ne pourrait finalement que confirmer la sincérité de sa démarche, mais naïveté et politique ont de tout temps été férocement incompatibles ; on s’étonne qu’il ne le sache pas, qu’il l’ait oublié… ou plus encore que personne dans son entourage ne le lui ait rappelé.

Ensuite, quel intérêt d’avoir voulu convier des leaders politiques à un « rendez-vous » qui se voulait d’abord et avant tout débat d’idées ? A-t-on jamais vu un politicien subir des remontrances publiques, sous les feux des caméras, dans des échanges auxquels il était prévu qu’aucun d’eux ne participe ? C’était forcément l’occasion de prendre des coups, sans même être en mesure de les rendre… Convier des leaders nationaux à un tel « rendez-vous » fait fâcheusement penser à un « dîner de cons » ; Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard qui n’avaient pas vu le coup venir, l’ont très vite réalisé ! Leur sens de l’humour a des limites qu’on peut comprendre.

Robert Ménard connut par le passé un succès mérité comme co-fondateur de Reporters sans frontière et du site Boulevard Voltaire, puis en prenant d’assaut électoral la Mairie de Béziers pour la diriger ensuite avec une compétence réelle…

Il a malheureusement crû qu’il pourrait de même endosser le costume de Directeur de conscience de la droite se voulant de conviction… Il serait dommage que certains lui en tiennent trop grande rigueur désormais ; rappelons qu’il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne commettent pas d’erreur. Et les convictions sont toujours estimables, même si elles peuvent aveugler !

 

17:28 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réinfo, le mag du Parti de la France

16:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Béziers : un samedi réussi, mais pour quoi faire ?

1339948_457_nico9_667x333.jpg

Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici

Aussitôt sortie du train, les nuées de personnalités et de journalistes envahissaient les trottoirs biterrois. L’événement du jour, hormis le lancement du parti « Oz ta droite ! » de Robert Ménard, dont le nom en a laissé dubitatifs plus d’un, était le retard du train, tout le gratin réac et mal pensant s’en trouvant affecté, ce qui n’empêchait nullement sous un soleil radieux une bonne humeur palpable et une jovialité sincère de se retrouver entre gens de bonne compagnie. Jean-Paul Gourévitch me tendit sa main presque machinalement alors qu’on ne se connaît pas, tandis que j’armais mon portable pour immortaliser la scène.

Intriguée, une femme me demanda ce qui se passait tandis que je cherchais mon chemin. Il me fallait arriver au Palais des Congrès sans tarder. Aussitôt traversée la rue, je me suis retrouvée nez à nez avec une mosquée, des voilées, des kamis. Boutiques de caftans, kebabs et autres boucheries halal me laissèrent bouche bée : même mon coin de Seine-St-Denis ne m’offre pas autant d’exotisme au m2.

Passés le traumatisme de me trouver en plein Maghreb avec ses effluves de makrouts, j’arrivai à bon port. Robert Ménard, Ivan Rioufol, Charles Beigbeder, Bruno Mégret, Béatrice Bourges, Guy Millière, Xavier Lemoine, Marion Maréchal-Le Pen et Oskar Freysinger étaient là, entre autres. C’était comme le festival de Cannes mais en moins toc et avec plus de neurones.

Robert Ménard est arrivé sur scène accompagné de Denis Tillinac pour l’ouverture de ce week-end particulier. Si le personnage Tillinac était sympathique, ses proximités politiques ont fait quelque peu tiquer dans les rangs : comment faire pleinement confiance à un proche de Chirac, de Sarkozy, de ces gens qui ont vendu la France, l’ont immigrée, rêvent de la métisser ?

La journée du samedi était consacrée à différents thèmes au choix : économie, médias, famille, sécurité et justice, armée. N’ayant pas le don d’ubiquité, j’ai assisté à la session sécurité et justice, où intervenaient Xavier Raufer, Thibault de Montbrial, Guillaume Jeanson de l’Institut pour la Justice, ainsi que Cédric Michel du Syndicat de Défense des policiers municipaux. La Justice en a pris pour son grade, le Syndicat de la Magistrature principalement, tandis que Thibault de Montbrial a encouragé les Français à prendre des cours de tirs, le domicile de chacun devant avoir le droit d’être sanctuarisé et sa peau protégée.

L’Uclat (Unité de Coordination de la Lutte Antiterroriste) révèle qu’il y a entre 5 et 15 000 personnes radicalisées en France. Selon Alain Juppé, il s’agirait de ne pas dramatiser la situation, or, toujours selon l’Uclat, dans ce domaine Bordeaux est au degré de radicalisation le plus élevé de France.

L’ambiance, bienveillante durant les interventions des orateurs, est devenue plus tendue lors des questions du public : trop de Daesh et pas assez de « chez nous », trop de rappels historiques et pas assez de « maintenant » et de « demain », trop de « ton Valeurs Actuelles », trop de mentions à l’islam qui n’aurait quand même pas toujours à voir avec l’insécurité selon quelques personnes du public ou qui a au contraire tout à voir pour d’autres.

Le public était en attente de solutions concrètes, tangibles, immédiates. Il n’a eu que des constats connus et des désirs de faire sans grand espoir d’application. Il s’en est parfois agacé.

Un hommage a été rendu à notre ami policier Sébastien Jallamion qui a été chaleureusement applaudi. Sébastien a été d’ailleurs très sollicité par ceux qui le reconnaissaient et saluaient son courage.

Les sessions se tenaient à différents endroits du quartier. Je me suis donc rendue au théâtre l’après-midi pour suivre le thème de l’Europe, tandis que d’autres se précipitaient à celui de l’immigration qui, paraît-il, a été des plus agités.

Derrière le théâtre passait un défilé d'« antifascistes » armés de drapeaux ornés de la faucille et du marteau (100 millions de morts, plus que le nazisme donc), de drapeaux LGBT et de jolies pancartes anti Ménard, criant au fascisme de ceux qui se rendaient à l’invitation du maire.

François Billot de Lochner, Hervé Juvin, l’ancien ministre François Guillaume et Guy Millière évoquèrent tour à tour la coquille vide qu’est l’UE, sa nocivité, la nécessité de sortir de l’Otan, de rejeter le Tafta, Schengen, le poids écrasant de la toute puissante Amérique.

Oskar Freysinger représentait sa Suisse, pays d’Europe encore préservé du « grand machin » européen, bien que subissant tout de même ses nuisances avec les assauts d’individus venus de France, parfois de Marseille, pour tromper leur désoeuvrement en volant ou en braquant des commerces.

Il a expliqué la méthode suisse : le système mis en place doit être immuable et les hommes doivent s’y appliquer en mettant de côté leurs penchants naturels, leur désir de pouvoir personnel. La Suisse a mis en place à l’origine un mode de fonctionnement social à partir d’observations de la nature qu’ils ont transposées. Les individus restent libres mais aucun ne peut se rendre maître du système. Oskar a expliqué qu’avec un tel mode de fonctionnement, on pourrait remplacer les politiques suisses par des ânes, le système fonctionnerait quand même. « Vous prenez n’importe quel autre pays, vous mettez un âne… c’est arrivé dans certains pays (rires dans la salle)… ça a fait beaucoup de foin. Vous êtes dans la merde ! ». Il a vanté les bienfaits de la démocratie directe qui rend le peuple souverain. « Nous, nous sommes tous Louis XIV »… Tout le monde est participatif, tout le monde dirige le pays, le peuple est une opposition institutionnalisé avec les pleins pouvoirs, alors qu’en France nous subissons « une alternance des corruptions ».

Fustigeant l’UE, il a affirmé que sa construction était « le complexe allemand de la 2e guerre mondiale ».

« Créer l’homme nouveau c’est la pire agression qu’on puisse avoir envers les êtres humains », c’est ce qu’ont voulu faire le communisme et le nazisme. Une notion qui revient pourtant sans complexe au goût du jour…

En conclusion, Oskar a évoqué l’Europe des Nations, la vraie Europe, celle qui ne pourra se faire qu’avec la Russie, un souhait vivement applaudi dans le public. « Les Anglo-saxons n’ont qu’à bien se tenir, parce que eux prétendent être les policiers du monde mais les fouteurs de merde c’est eux », une vision que ne partageait pas Guy Millière qui, à plusieurs reprises, a défendu les Etats-Unis.

Le plaisir de chacun de se retrouver ou de faire de nouvelles connaissances était palpable et l’accessibilité cordiale des intervenants ont été pour beaucoup dans la réussite de cette rencontre. Pour autant des frustrations sont demeurées : comment rassembler des droites qui ont tout à gagner à jouer dans la même cour mais qui ne parviennent pas à se mettre d’accord sur la forme alors que le fond est bien là, qui restent trop policées alors qu’on en attend enfin de la fronde, qui anticipent la future couleur des murs alors que ce sont toutes les fondations qui s’effondrent ?

Comment encore passer de l’étape, certes enrichissante de connaissances, à l’action concrète, aux solutions tangibles, à l’abandon du « y’a qu’à, faut qu’on » dont on a senti, à plusieurs reprises durant les sessions qu’il ne pouvait plus suffire. La coupe est pleine et l’arbre à palabres perd ses feuilles. Au-delà de s’enrichir d’érudition, chacun se posait la seule question acceptable : « bon alors, on y va quand ? ».

Sur la réunion de Béziers lire aussi

08:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 29 mai 2016

Un demi-millier de jeunes identitaires investissent la place Monge à Paris

La manifestation "On est chez nous !" cliquez ici a rassemblé 500 jeunes identitaires hier samedi dans le centre de Paris. Partout, après Rome, Madrid, Athènes et Bruxelles la semaine dernière, le mouvement d'opposition à l'islamisation de l'Europe se fait entendre...

gi.jpg

10:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 28 mai 2016

A l'occasion du soixantième anniversaire du soulèvement de Budapest, les Bouquins de Synthèse nationale publie le livre BUDAPEST 1956 de David Irving

Buda couv 1.jpg

Il y a 60 ans, à Budapest, le peuple se soulevait contre l'oppression communiste. C'était la première fissure du Système qui s'était instauré à Yalta et qui devait durer pour l'éternité. 45 ans plus tard ce Système s'écroulera, emportant avec lui l'Union soviétique et le Pacte de Varsovie. Il s'imposera alors un "Nouvel Ordre mondial" dominé par la haute-finance apatride, qui, à son tour, commence aujourd'hui à avoir du plomb dans l'aile.

David Irving relate dans ce livre cette insurrection spontanée de Budapest en octobre 1956. La recherche de documents et de témoins le mena un peu partout en Europe et ailleurs entre 1975 et 1981, alors que la Hongrie se trouvait toujours sous la botte communiste. L'étude en résultant est celle de l'autopsie d'une révolution avortée, vue tant du côté des combattants de rue que de celui des salles de réunion feutrées des puissants. C'est un drame prenant avec prés de dix millions de figurants.

Pour ne pas s'être plié au "prêt à penser" dans les années 90, David Irving fut mis à l'index par les nouveaux maîtres du monde. Il fut écarté des média, calomnié et condamné. Son œuvre, non conformiste, devait tomber dans l'oublie. Mais Synthèse nationale, en accord avec lui, a décidé de la rééditer pour contribuer à la victoire de la Vérité...

Budapest 1956, l'insurrection (volume 1), est le premier livre de cet historien britannique de renom que nous publions. Le second volume sortira en octobre.

Premier volume : 330 pages, cahier photos, 22 €

TRADUCTION INTEGRALE ET INEDITE EN FRANCAIS DU TEXTE ORIGINAL DE DAVID IRVING !

Bulletin de commande

Le commander en ligne cliquez ici

18:44 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour fêter ses 10 ans, Synthèse nationale envoie une plaquette à ses 10 000 amis

Cat 2016 05.jpeg

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Il y a dix ans que Synthèse natio­nale appa­raissait sur la toile. D'abord sous la forme d'un mo­deste blog qui, petit à petit, s'est trans­formé en un véritable site d'in­formation ali­menté au moins trois fois par jour et qui est maintenant quo­tidienne­ment consulté par au minimum 3 000 personnes. Parfois, il ar­rive que le nombre des connexions dépasse les 25 000.

En dix ans, nous avons donné la parole à plus de 200 personnali­tés, responsables politiques as­sociatifs ou économiques, écri­vains, élus et acteurs se récla­mant de notre famille politique. Nous avons lancé deux revues, Synthèse na­tionale et les Cahiers d'Histoire du nationa­lisme, créé une mai­son d'édition, Les Bouquins de Synthèse na­tionale, et un service de diffu­sion en ligne. Nous avons mené plusieurs campagnes mili­tantes, contre l'islamisation, contre le Traité transatlantique, contre SOS-Racisme pour ne ci­ter que celles-ci. Nous avons aussi orga­nisé des dizaines de réunions, colloques et séances de dédica­ces tant à Paris qu'en Province, ce à quoi il faut ajou­ter nos journées nationalistes et identi­taires qui rassemblent de plus en plus de monde chaque année, à Lille en avril et à Rungis, près de Paris, en octobre.

Tout cela a été possible grâce à l'engagement d'une poignée de volontaires et au dévouement de l'équipe de contributeurs qui scrutent en permanence l'actualité afin de sélectionner l'essentiel à l'attention des militants et sym­pathisants de la cause nationale et identitaire. 

La seconde raison de la longé­vité et du développement de Synthèse nationale est la fidélité et la générosité de ses lecteurs. Beaucoup nous aident en s'abonnant à la revue éponyme ou aux Cahiers d'Histoire du na­tionalisme, certains en adhérant à l'association des Amis de Syn­thèse nationale, d'autres enfin en achetant régulièrement les livres que nous éditons ou pro­posons. Quoi qu'il en soit, nous tenons à tous vous remercier pour votre fidèle amitié. Sans vous, rien n'aurait été possible.

Synthèse nationale fait partie de ces pôles de résistance qui gê­nent le Système. Pour s'en convaincre, il suffit de constater la quantité d'endroits, qu'il s'agisse des services de l'Educa­tion dite nationale, des chaines d'hôtels internationaux, des en­treprises mondialisées, où l'accès à notre site est interdit. Cela ne nous décourage pas. Bien au contraire, cela nous incite à am­plifier notre action.

Le dimanche 2 octobre pro­chain à Rungis (94), ce sera la dixième jour­née nationaliste et identitaire annuelle, ce sera l'occasion de nous retrouver encore plus nombreux pour fêter ce dixième anniversaire. Le monde est en train de changer, l'heure du re­tour des peuples, des nations, des identités et des traditions européennes approche. Soyons tous mobilisés, rien n'est perdu, continuons le combat.

Retenez la date :

DIMANCHE 2 OCTOBRE 2016

Xe JOURNEE DE

SYNTHESE NATIONALE

RUNGIS - SILIC (94)

Pour marquer le 10e anniversaire de Synthèse nationale, une plaquette de 12 pages a été envoyée cette semaine aux 10 000 personnes qui, en dix ans, ont contacté Synthèse nationale.

Si vous souhaitez recevoir cette brochure, communiquez-nous vos coordonnées  : synthesenationale@club-inernet.fr 

synthese-editions.com

10:55 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce samedi à midi, sur Radio Courtoisie : une émission consacrée à Léon Degrelle avec Francis Bergeron et Roland Hélie

Diapositive1 - copie 3.jpg

Radio Courtoisie cliquez ici

Rediffusion dans l'après-midi

CD LD 1.jpg

Commander le CHN 1 (Léon Degrelle) cliquez ici

Commander le double CD cliquez là

10:53 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Madrid, Rome, le 21 mai dernier, réveil européen...

Madrid 

Rome 

09:08 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Immigration à Roscoff. « Qu’on ne prenne pas le risque d’avoir un mini Calais ici »

906630203.jpg

Source Breizh infos cliquez ici

Depuis quelques semaines (mars 2016), entre vingt et trente immigrés clandestins se trouvent à Roscoff, en Finistère Nord. Leur objectif ? Passer en Angleterre. Roscoff est en effet, avec Saint-Malo, l’un des deux chemins d’accès à la Grande Bretagne, depuis notre région. Un chemin d’accès plus difficile que la région de Calais, mais plus discret aussi. C’est ce qui a poussé ces familles qui se disent pour la plupart Kurdes (d’Irak et de Syrie) à venir s’échouer ici, derrière un bunker, à quelques centaines de mètres du port du Bloscon.

Ces immigrés clandestins – que certains journalistes subventionnés et militants associatifs appellent « migrants » – ont tout d’abord occupé un bâtiment abandonné appartenant au président de la CCI de Morlaix, Jean-Paul Chapalain. Ce dernier a déposé plainte pour se protéger en cas d’accident (l’état du bâtiment laissant à désirer), tout en refusant de réclamer leur expulsion.

Par ailleurs, il est à noter que des militants associatifs, soutiens de ces immigrés en situation irrégulière sur le territoire français (ils n’ont pas demandé l’asile) ont raccordé l’installation de fortune à une ligne ErDF appartenant à des particuliers, sans les consulter. Ces derniers s’en sont plaints et ont réussi à obtenir gain de cause. Le Secours Populaire et les Restos du Coeur, à qui de nombreux Bretons donnent de la nourriture en pensant qu’elle ira à leurs compatriotes dans le besoin, s’activent pour aider ces familles à survivre ici, dans la misère.

Des familles dont la perspective est très limitée de passer en Angleterre. « A moins de complicité trouvée sur la Brittanny Ferries, ce que je ne peux pas croire, c’est impossible d’embarquer clandestinement ici. Roscoff n’est pas Calais » nous confie un agent portuaire qui ne souhaite qu’une chose : « qu’on ne prenne pas le risque d’avoir un mini Calais ici». Les contrôles des autorités sont en effet importants, et l’accès à Roscoff n’est pas le plus simple pour des candidats à la grande traversée.

Comme plusieurs Roscovites avec qui nous avons pu être mis en contact, Marie-Anne est inquiète que la situation perdure: « c’est bien normal de ne pas les laisser mourir de faim dans l’urgence. Mais la première chose à faire, ça devrait être des les contrôler et de les expulser. Là ça fait un appel d’air ». Elle ne comprend pas : « Pourquoi sont-ils là depuis deux mois maintenant pour certains ? Pourquoi on les laisse dans une telle situation ? Pourquoi la gendarmerie ne fait-t-elle rien hormis les contrôler de temps à autre ? ». Nous n’obtiendrons pas de réponse des autorités, qui n’acceptent manifestement de donner des informations sur ces vagues migratoires qu’à une certaine presse ou à un public bien précis.

Dans le pays de Morlaix en tout cas, il n’en aura pas fallu beaucoup plus pour que quelques militants politiques de gauche et d’extrême gauche lancent leur collectif de soutien aux migrants . Des collectifs qui se multiplient dans toute la Bretagne et qui font de l’humanitaire leur « fond de commerce idéologique», selon un processus parfaitement rôdé et accepté par la plupart des élus locaux et collectivités. « Ils aident des personnes qui sont des délinquants aux yeux du droit de la République française, et quand vous protestez, vous êtes forcément un raciste ! » nous adresse Luc, un internaute de Loguivy-Plougras (22) qui insiste : « on devrait expulser les membres des collectifs de soutien aux sans papiers avec leurs protégés, ça nous ferait de l’air ! Si ils en veulent tant, qu’ils partent avec eux» et qui conclut : « La Bretagne est une des régions qui se mobilise le plus en faveur des migrants . C’est pas un honneur, c’est une honte. On aide les mafias là… ».

Difficile de savoir si – comme l’affirme Luc – la région est en pointe dans la collaboration avec les réseaux d’immigration clandestine. Le tissu local associatif très développé (et largement subventionné) et particulièrement mobilisé sur la question, ainsi que le souhait affiché d’élus locaux d’accueillir des « réfugiés » ou des « migrants » sont toutefois significatifs.

A Séné, petite commune de 8000 habitants dans le Morbihan, un logement municipal a été récemment totalement réhabilité, au terme d’un travail en commun entre militants associatifs et employés communaux (au nombre de 5) , pour accueillir là encore une famille de réfugiés Afghans. Nul doute que des locaux auraient été heureux de pouvoir bénéficier d’une telle solidarité …

Info reprise par LVCI Cliquez là

08:58 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Festival de Cannes : 219.000 € ... on connait enfin le prix de la merde

Merde[5].jpg

Un communiqué de la Ligue du Midi

Nous venons d'apprendre qu'un film présenté au festival de Cannes avait touché 219.000 Euros de subvention diverses et encore ce n'est qu'une estimation puisque plusieurs autres partenaires -eux mêmes subventionnés- auraient craché au bassinet.

Il s'agit d une co-production: les Films du Worso en coproduction avec ARTE France Cinéma avec comme partenaires financiers, le CNC (Centre National du Cinéma), Canal+, Ciné+, Arte France, avec le soutien du département de Charente-Maritime et de la région Poitou-Charente, de la région Languedoc-Roussillon, de la région Midi-Pyrénées, ces dernières en partenariat avec le CNC.

« Rester vertical », c'est le nom de cette aventure « extraordinaire » du réalisateur Alain Guiraudie tournée partiellement en Charente-Maritime est soutenue à hauteur de 40 000 euros par l’ex-Région Poitou-Charentes et 50.000 euros par le département de Charente-Maritime. Mais le film a bénéficié également d’un soutien important (129 000 €) de l’Antenne Cinéma de la Région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées. « Rester vertical » a reçu également le soutien logistique de la Commission du film Languedoc-Roussillon Cinéma. Il se murmure également qu'il aurait bénéficié de subventions de l’Union Européenne. Avec de telles aides, l'apport culturel aurait du être conséquent pensions-nous… Que nenni… et en tout cas, une fois encore, c'est nous qui payons.

Ce film, donc, raconte l’errance d’un cinéaste, Léo (Damien Bonnard), en panne d’inspiration et en mal de paternité. « Rester vertical » renvoie à une histoire de loup, mais surtout de phallus, car l'oeuvre du cinéaste tourne autour de ce sujet existentiel pour lui. Ce réalisateur avait déjà fait sensation à Cannes en 2013 avec L’Inconnu du lac, “un polar aux scènes très crues. [...]montrant de manière décomplexée des ébats dans des lieux de dragues homosexuelles…”. Mais cette fois-ci, Guiraudie explore aussi le féminin, l’instinct maternel, le genre (on s'y attendait un peu) pour séduire le lobbye LGTB.

Comme dirait Fabrice Luchini : “ Du point de vue du scénario, c'est hénaurme, c’est hallucinant”. Jugez-en : Marcel, un vieux monsieur, vit avec un jeune et ne veut pas mourir seul. Léo va l’assister dans son suicide. Jean-Louis, qui surveille ses moutons, a besoin de chaleur humaine et le « héros » (excusez moi, je n'ai pas trouvé de synonyme) “ va sodomiser le vieil homme pour l’euthanasier sous les yeux de son bébé “. Voilà, c'est ce film (excusez moi, je n'ai toujours pas trouvé de synonyme), qui a ouvert le jeudi 12 mai, la première journée de compétition du 69ème Festival de Cannes . Je vous passe le scènes où le réalisateur n’hésite pas à filmer en direct un accouchement, des sexes féminins et masculins filmés très gros plans , des moutons éventrés etc. Ce qui a permis au journaliste de France Info le 20/05/2016 de classer le film parmi les “ Top 10” dans la série des films “réalistes” avec ce commentaire de “très contemporain”. Heureusement ce réalisateur n’a pas été récompensée à Cannes en 2016, mais on peut parier qu’il a toutes ses chances pour les années à venir... Comme on, dit souvent: “ A Cannes ce n’est pas la qualité des films qui est importante, ce sont les discussions que soulèvent les films”

Alain Guiraudie qui est originaire d'un département rural, le Tarn, explique qu’il a conçu le film “avec l’idée de rendre l’invraisemblable crédible, l’impossible envisageable et de faire un grand voyage pas très loin de chez lui, de rapprocher “l’ailleurs“ et de s’évader au coin de la rue”. Il ajoute : “Le film se déroule dans une France que l’on appelle “profonde”, une diagonale qui va de la Lozère à Brest”.

Ce n'est pas parce que les champs de ces gens là sont jonchés de bouses qu'il faut, en plus, leur dédier de la merde...

01:45 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 27 mai 2016

Le droit de grève, c’est bien ; mais la liberté du travail, c’est bien mieux !

pieter kerstens.jpg


Pieter Kerstens

Parce que depuis plusieurs mois on constate une montée du mécontentement général que ce soit en France, en Belgique, en Grèce ou encore en Espagne, souvent pour des motifs divers.

Il ne se passe plus une semaine, où de grandes manifestations « pour ceci » ou « contre cela » agite l’une ou l’autre capitale européenne. L’exaspération des populations augmente lentement, mais sûrement.

PLUS, encore PLUS, toujours PLUS.

Arcboutés sur les fameux « droits’zakis » les syndicats agitent le spectre de la rigueur et de l’austérité envers le fameux « pouvoir d’achat » et défilent pour le retrait de la loi El-Khomri, pour le maintien de la semaine des 35, 37 ou 38 heures, pour des augmentations catégorielles de salaires, pour la solidarité avec les sans-papiers ou le maintien de leurs privilèges. C’est oublier un peu vite que partout en Europe ces mêmes syndicats ont accepté que le travail de nuit soit à nouveau applicable aux femmes et que celles-ci ne bénéficieraient plus d’une retraite anticipative par rapport à celle des hommes, deux mesures obtenues grâce aux luttes de nos mères ou de nos épouses au cours du vingtième siècle. Etrange silence de la part des forces de « gôche »… Diktat européen oblige ? Egalité homme-femme ? Hypocrisie et lâcheté, OUI !

Par leurs grèves à répétition les syndicats prennent les travailleurs en otages et exercent un odieux chantage sur tous ceux qui souhaitent poursuivre le travail, même s’ils sont conscients des difficultés économiques et financières du moment. Certains pays ont même légalisé les piquets de grève, accentuant ainsi le pouvoir de nuisance des syndicats socialaud-marxistes, dont certains ont placé leur « trésor de guerre » au Luxembourg.

AUX TRAVAILLEURS LEUR PLACE, TOUTE LEUR PLACE. AU CAPITAL SA PLACE, RIEN QUE SA PLACE !

La crise bancaire et financière, initiée aux Etats-Unis dès 2006, fait toujours sentir durement ses répercussions dans les économies européennes enclenchant une inquiétude générale parmi les populations et un manque de confiance vis-à-vis des gouvernements. Curieusement et depuis plusieurs années, l’Allemagne, malgré les fluctuations de l’Euro, tire son épingle du jeu et présente une balance commerciale dont les excédents se succèdent mois après mois. Après avoir intégré sa partie orientale (108.000km2 et 18 millions d’habitants) en octobre 1990, la République Fédérale fait encore figure de locomotive européenne en 2016. Nos dirigeants devraient se poser des questions et les eurocrates revoir leur copie quant à cette réussite. Nos syndicalistes, eux, pourraient enlever leurs lunettes roses des dogmes sectaires pour affronter les errements socio-économiques qui nous ont conduits à une dette publique astronomique et structurelle et qui ne cesse d’augmenter. Ces mêmes syndicats oublient un peu vite qu’en moins d’un siècle, la durée du travail a été réduite de moitié. Par ailleurs ils devraient s’intéresser bien plus à l’inadéquation persistante entre les exigences du monde du travail et les compétences (ou la formation) des demandeurs d’emploi.

J’entends partout et à longueur de journée « qu’il n’y a pas de travail », mais que le chômage structurel se trouve aussi à des niveaux intolérables depuis fort longtemps. Pourquoi ? Est-il normal qu’en temps de crise on ne trouve pas d’électriciens, de plombiers, de secrétaires trilingues ou d’infirmières ? Combien d’années faut-il donc pour en former ? Cela fait 40 ans que l’on nous serine les mêmes rengaines. Cela fait 40 ans que les européens refuseraient les « petits boulots » ? Cela fait 40 ans que nos poubelles seraient vidées par des africains ? Mais cela fait aussi 40 ans, que les portes du supermarché « EUROPE » sont grandes ouvertes à tous les miséreux de la planète, qui viennent y faire leurs emplettes, sans aucune contrepartie…

ARRETONS DE DELIRER.

Les caisses sont vides, à Madrid, à Athènes, à Paris ou à Bruxelles ! Vidées par une volonté progressiste et humaniste qui nous a vanté les bienfaits de l’Etat-Providence, concept inventé par Olof PALME, où chacun est pris en charge par la collectivité, toute sa vie, sans devoirs et coulant des jours paisibles sans se poser trop de questions. Aujourd’hui, la fête est finie et il va falloir se serrer la ceinture, retrousser ses manches et sans doute être obligé de choisir entre le superflu et l’indispensable. Sans ces efforts nous allons transmettre une ardoise phénoménale à nos enfants et petits-enfants : ce serait répugnant, lâche et criminel.

Abraham LINCOLN avait déclaré : « Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant pour eux ce qu’ils pourraient et devraient faire eux-mêmes ».

16:37 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De l’art de mal gérer le Bien commun : Dette publique et gabegie politicienne.

colbert.jpg

Dr Bernard Plouvier

L’un des grands ministres de l’histoire de France (ils ne furent pas si nombreux qu’on puisse facilement les oublier), Jean-Baptiste Colbert (in Maximes générales d’un bon gouvernement) a écrit : « L’impôt, pour être lucratif, doit être simple, d’une perception aisée par un très petit nombre de régisseurs et de comptables, afin de ne point salarier, aux dépens de la nation, un grand nombre d’inutiles, vampires de la société »… en nos jours de traitement informatique des données, l’administration du ministère des Finances en la Ve République française coûte plus cher à l’État que ne lui rapporte l’impôt sur les revenus !

L’impôt injuste, spoliant les grands travailleurs, et l’impôt maladroit, du fait de dépenses ineptes, est la négation même de la notion de Bien commun. L’imposition excessive favorise l’évasion des capitaux. En revanche, c’est une mesure stupide que d’exonérer de l’impôt un citoyen : quels que soient ses revenus, tout citoyen doit contribuer aux dépenses communes, même de façon minime. En outre, tous les gains doivent être imposés, même ceux des jeux et loteries, tandis que le profit des marchés illicites (issus de trafics clandestins ou de la corruption) doit être intégralement confisqué au bénéfice de l’État. Aucune immunité ne doit couvrir les malversations d’élus du peuple ou de fonctionnaires.

L’exemple français contemporain est assez instructif. Selon les données du ministère des Finances, les recettes de l’État, pour l’année 2014, ont été apportées à 56% par les taxes à la consommation, à 25% par les impôts perçus auprès des particuliers, à 13% par les impôts sur les sociétés, à 6% par les bénéfices d’exploitation des régies et Domaines. Les dépenses ont été réparties à hauteur de 25% en allocations diverses (aux associations et aux particuliers), de 12% pour le service de la Dette, 21% pour la Défense et la sécurité publique, 20% pour l’enseignement et la recherche, 22% pour les autres ministères… les dépenses ont très largement excédé les recettes, d’où un accroissement de la Dette ! Les politiciens démagogues sont d’abominables gestionnaires, irresponsables légalement autant que moralement.  

Depuis le début de l’ère mondialiste, divers prédateurs ont inventé une nouvelle forme de racket légal : le Charity business. En l'An 1999, 900 000 associations étaient légalement reconnues par l'État français. En 2003, on a calculé que depuis 1980, elles avaient tiré 308 milliards de Francs de la charité publique et engrangé 166 milliards de subventions publiques (soit l’équivalent de 72 milliards d’euros)… nul ne connaît le montant exact des sommes dépensées en coût de fonctionnement ni celui des détournements à des fins d’enrichissement personnel.  

Étant donné que, par les taxes à la consommation, les impôts sur les revenus et les successions, le bon peuple règle une énorme part de la dépense collective (81%, en 2014, pour l’exemple français), il est logique de prendre son avis, par voie référendaire, pour tout choix de société grevant les finances publiques : immigration massive, subventions aux associations, aide aux peuples attardés, entretien des ex-colonies qui continuent à être des boulets économiques pour la métropole sous l’appellation de départements d’Outre-mer, engagement de nouveaux fonctionnaires, etc… on ne méconnaît pas l’apport de l’impôt sur les sociétés, mais leurs dirigeants sont, eux, très largement écoutés des politiciens et des hauts-fonctionnaires.

Fin 2015, l’État français, peuplé de 64,5 millions d’habitants en métropole et de 2,1 millions dans les succursales extra-européennes, était riche de 5,65 millions de fonctionnaires zélés autant que consciencieux, alors qu’il devait faire face à 5 millions de chômeurs pleins ou partiels ou en « stages » (catégories A, B et C) et à 13 millions de retraités… seul notre Président dodu estime, en 2016, que : « Ça va mieux ».

Un État qui emprunte pour créer des infrastructures utiles (autoroutes, ports et aéroports, rail, télécommunications, production d’énergie au meilleur coût), pour mieux protéger la population et mieux instruire la jeunesse, est bienfaisant. Un État qui emprunte pour nourrir le parasitisme social (immigrés sans travail légal, associations) ou accroître le cheptel des fonctionnaires pour mieux caser les clients politiques et syndicaux est, par essence, un État démagogique et corrompu, appelé à disparaître.

Or, les sommes prêtées par les banques centrales ou supranationales aux États ne sont que de l’argent fictif, alors que le remboursement de la Dette (principal et intérêts) n’est nullement fictif. Chaque contribuable voit ainsi détourné, au profit des requins de la finance cosmopolite, une part de plus en plus considérable de l’argent qu’on lui soutire… alors même qu’un peu partout, les États réduisent les infrastructures en milieu rural ou dans les petites villes ; c’est singulièrement le cas en France.    

Tous les États de la planète, à l’ère globalo-mondialiste, sont surendettés. La Dette mondiale était en 2014 égale à 215% du Produit Brut mondial. En octobre 2013, des experts du Fonds Monétaire international ont recommandé aux maîtres du système de confisquer 10% de l’épargne des particuliers des Nations évoluées, pour éponger le surplus des Dettes étatiques constaté depuis l’effondrement financier des années 2007-2011, induit par l’explosion de bulles spéculatives et l’arnaque made in New York des subprimes.

Les experts ont calculé que pouvaient être ainsi soutirés 11 200 milliards aux libres citoyens des USA, 8 400 milliards aux vaches à lait de l’Union Européenne et 1 700 milliards aux Britanniques (toutes valeurs exprimées en dollars US). Personne n’a osé envisager de faire rendre gorge aux hyper-riches ! On imagine que cette solution sera imposée par les dictateurs populistes qui devront reprendre en mains les destinées nationales, une fois terminée la gabegie globalo-mondialiste.      

Depuis l’Antiquité, les théoriciens estiment que maîtres d’un État ont pour missions de gérer au mieux le Bien commun et de faire évoluer les institutions et les conditions de vie des citoyens à mesure qu’apparaissent les problèmes de fond. Toute réforme de fonctionnement doit être menée avec tact et intelligence, devant toujours être précédée d’une campagne d’information contradictoire, avant d’être soumise aux élus. Les réformes fondamentales (ou de structure) doivent impérativement être proposées pour avis au peuple souverain. Le despotisme éclairé n’est une bonne chose qu’avec des peuples arriérés et incultes.

La démocratie telle qu’elle est pratiquée un peu partout dans les pays de mode de vie occidental, depuis 1830, n’est rien d’autre que l’art de gouverner pour maintenir les privilèges de la caste au pouvoir. « Il est insane et immoral qu’une faction, toute puissante par sa richesse, maîtresse de l’industrie et du commerce, tienne en sa main plus d’un ressort de l’administration publique »… probablement pour éviter l’accusation rituelle d’antijudaïsme, le bon Léon XIII (in Rerum novarum) omettait de citer les maîtres de la finance. La « mondialisation », programmée dès la fin des années trente par Franklin Delano Roosevelt, et progressivement mise en place à partir de 1980, n’est en définitive que le triomphe absolu du Pouvoir économique sur tous les autres types de pouvoirs.

La démagogie n’a jamais été que l’art de faire croire à un peuple qu’il pouvait obtenir (presque) tout, sans effort notable. Seuls les plus modernes des populistes ont soutenu le contraire, exigeant énormément d’efforts pour surmonter une énorme détresse morale, ce qui est bien plus grave qu’une crise économique. De nos jours, partout en Occident, les autochtones ressentent une angoisse de ce type, associant désillusions et déréliction, sensation de péril imminent et surtout la tristesse spécifique de la fin d’une ère historique.

Le populisme, c’est la réaction d’un peuple qui se sent trahi ou abandonné par la caste dirigeante, inepte, inapte et/ou corrompue. C’est une aspiration à renouveler la structure et le fonctionnement du couple Nation-État, qui reste inassouvie tant que le peuple n’a pas trouvé son chef ou lorsqu’il se laisse prendre aux rets d’un démagogue. Le populisme, c’est la volonté d’un peuple de voir correctement géré le Bien commun (cher à Platon, Aristote, Hobbes etc.), c’est la nécessité de créer les meilleures conditions pour la génération à venir, en se souvenant que les prévisions d’expert à long terme s’avèrent constamment fausses.

Le populisme, c’est l’espoir pour un peuple de renaître, de recommencer une vie commune sur de nouvelles fondations. Le populisme, ce n’est nullement l’utopie égalitaire, qui est, au contraire, le Leitmotiv des propagandes démagogiques, dont le marxisme fut la plus pernicieuse. Le populisme, c’est se vouer à une grande aventure collective, à la fois politique, économique, sociale et culturelle… soit l’inverse de l’actuel individualisme stéréotypé. Le populisme est l’expression de la véritable démocratie, soit le gouvernement POUR le peuple et non plus le gouvernement pour défendre les privilèges de la caste économique et politicienne.

15:44 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le journal du Chaos de cette semaine

2457982678.11.jpg

Pour le lire cliquez ici

15:20 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur les Chrétiens d'Orient :

13254922_1374908982526551_2832714198348209825_o.jpg

15:10 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gabriele Adinolfi lance un cycle de formation politique en français

ob_a5a442_adinolfi-21.jpg

Gabriele Adinolfi, directeur de l'Institut Polaris (Rome) et initiateur du Projet Lansquenet, donnera régulièrement, à partir du samedi 28 mai prochain, des cours de formation politique pour la formation de cadres agissant en métapolitique, en politique, en communication et en économie.

1er Cours en simultané en ligne "Que faire et comment faire", samedi 28 mai à 11 h avec comme thème : "Pouvoir, Etat, Système, Agir à l'âge des satellites"

On pourra les suivre de toute la France et des pays francophones par une simple connexion internet. Pour cela s'inscrire à l'avance en envoyant un mail à lanzichenecchi@outlook.it Par retour vous recevrez les instructions élémentaires à suivre. Il est conseillé de se regrouper à plusieurs personnes autour du même ordinateur pour optimiser les limites de connexion. Les Parisiens pourront y assister physiquement.

13:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |