jeudi, 04 août 2016
En réaction à l'évacuation de Sainte Rita : des militants du Renouveau français occupent le siège du Groupe Lamotte à Nantes, le promoteur responsable...
PLUS UN ROND POUR LE GROUPE LAMOTTE !
10:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La scandaleuse évacuation de Sainte Rita
10:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Serge de Beketch : un grand moment de vérité...
Serge de Beketch nous a quitté en octobre 2007
09:58 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chez Publicis, le politiquement correct règne
La chronique
de Philippe Randa
Chez Publicis, un des trois principaux groupes de communication au monde, on ne badine pas avec le politiquement correct ; pour preuve, la mise à pied de Kevin Roberts, patron de l’agence Saatchi & Saatchi et membre du directoire du groupe. Son grand Manitou, Maurice Lévy, a exigé qu’il soit mis à pied après des propos « contraire à l’esprit du groupe » sur les femmes… Des propos sûrement sexistes ou scabreux, pour le moins graveleux ou lourdauds, sans doute ?
Jugez-en : « Leur ambition (aux femmes) n’est pas verticale, c’est une ambition intrinsèque, circulaire, d’être heureuses. Alors, elles nous disent : “Nous ne nous évaluons pas avec les critères selon lesquels vous, dinosaures idiots, vous vous jugez”. Je ne pense pas [que le manque de femmes à des postes de direction] soit un problème. Je ne suis pas inquiet, simplement parce qu’elles sont très heureuses, qu’elles ont beaucoup de succès et qu’elles font du très bon travail. Je ne peux pas parler de discrimination parce que nous n’avons jamais rencontré ce problème, Dieu merci. »
Ainsi, pour avoir simplement émis l’opinion que toutes les femmes ne veulent pas ressembler aux hommes, qu’elles peuvent être heureuses autrement qu’en matronne, qu’elles n’ont pas forcément la même conception du bonheur que les mâles et qu’elles n’évaluent pas leurs propres succès aux seuls critères professionnelles, l’imprudent dirigeant est stigmatisé comme le dernier des machos.
À moins, bien évidemment, que ce soit l’allusion aux « dinosaures idiots » qui ait contrarié Maurice Lévy… né en 1942 !
Conseillons alors à Kevin Robert de lui adresser un petit mot de repentance – toujours bien vu, ça ! la repentance, dans le monde du politiquement correct – en lui précisant que chacun a l’âge de ses artères, c’est bien connu…
Publiée dans le quotidien Présent.
09:46 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 03 août 2016
Imprécations contre poignard : efficacité douteuse !
Bernard Plouvier
Sur les blogs d’informations, circule depuis peu l’ultime phrase du prêtre octogénaire égorgé dans son église de Haute-Normandie, adressée à son assassin : « Vas t’en, Satan ! »… reste à savoir s’il ne s’agit pas d’une de ces pseudo-phrases historiques façonnée par un (pieux) faussaire.
S’il a été réellement prononcé, le très classique « Vade retro Satanas » n’avait de chance d’être efficace qu’en présence d’un chrétien ayant souscrit une assurance-vie éternelle. Face à un tueur musulman, l’imprécation – en dépit de son ancienneté – paraît aussi dérisoire qu’anachronique, à moins que le bon père, à défaut de secours surnaturel, n’ait voulu laisser un message à ses frères et sœurs en Jésus-Christ.
Il y a quelques mois, à l’issue d’une conférence sur la guerre de races qui envahit l’Europe, un orateur s’était vu reprocher par ses auditeurs d’avoir oublié, parmi les armes puissantes dont disposent les Nations européennes, la « transcendance de Notre Seigneur », présentée par les contradicteurs comme l’arme absolue (l’auteur de ces lignes garantit l’exactitude du fait).
En mai 1935, lorsqu’il reçut Pierre Laval au Kremlin, ‘’Staline’’-Dougashvili en vint à parler du pape Pie XI, que venait d’évoquer le ministre français, et sortit la phrase devenue très classique (mais généralement mal présentée par les historiens académiques) : « Le Vatican, combien de divisions ? »… et le tsar rouge n’avait nullement évoqué des divisions blindées, pour la bonne raison qu’en URSS, l’on raisonnait alors en brigades blindées, avant de le faire en corps d’armée blindés.
‘’Staline’’ était un grand rusé. En juin 1941, à l’heure du péril, il promit beaucoup au patriarche de Moscou et la « sainte Russie » fut mobilisée pour la défense de l’URSS. Il est évident que la canaille bolchevique ne tint nullement ses promesses, passée la victoire.
Croire en une « essence supérieure » ou refuser de le faire est un choix purement individuel. Tant mieux si un croyant se sent conforté dans sa puissance combative par la certitude de « mener le bon combat ». L’on sait, depuis la plus haute Antiquité, que l’espoir d’une vie surnaturelle est nécessaire au courage de certains hommes. Même un chef d’État communiste en fut conscient.
Nul n’a donc le droit de disputer à quiconque une telle assurance ou un tel espoir. En revanche, cette foi ne suffit en aucun cas. Il ne s’agit pas ici de discuter de grâce nécessaire ou suffisante. Il s’agit d’argumenter sur les moyens efficaces, permettant de repousser hors d’Europe une multitude d’envahisseurs malfaisants, criminels, barbares et fanatiques.
Les discours n’ont d’intérêt que s’ils poussent les Européens de souche à sortir de leur molle quiétude, de leur lâche torpeur, pour former des milices citoyennes d’autoprotection, puis – lorsque l’ennemi sera passé de la guérilla (qui existe en France depuis les années 1980) à la guerre civile – à se lancer dans l’action guerrière de légitime défense couplée au devoir naturel de protéger femmes et enfants.
Il ne s’agit nullement d’assurer le triomphe d’une religion sur une autre, mais de rendre l’Europe à ses légitimes propriétaires. Tout ce qui peut fortifier les Européens, les rendre plus virils et courageux est bon. Tout ce qui contribue à les laisser croupir dans leur état larvaire actuel est mauvais.
Les chrétiens d’Europe sont confrontés, comme tous les Européens de souche, à un choix fondamental : la veule soumission au conquérant criminel ou le combat pour recouvrer l’indépendance et procéder à l’épuration impitoyable des collaborateurs de l’envahisseur.
Au prêchi-prêcha globalo-mondialiste d’un pape fort bizarre, on doit opposer Platon, valeur sûre de l’Europe : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de la Cité. Quiconque fait la paix de sa propre initiative et sans le consentement commun sera puni de mort » (in Les Lois).
Nul n’est obligé de croire en une Cité de dieu. Mais il est nécessaire pour l’avenir de nos descendants que nous repoussions hors de notre continent la horde des barbares fanatiques.
23:31 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alors que le Pouvoir finance la construction de mosquées, il fait évacuer par ses CRS l'Eglise Ste Rita
Malgré la présence de nombreux paroissiens, parmi lesquels des élus locaux, et profitant de la période estivale, Cazeneuve, en bon petit larbin des spéculateurs de l'immobilier qu'il est, n'a pas hésité à envoyer ses flics évacuer violemment l'église Sainte Rita ce matin.
Les flics casqués et armés enfoncent les portes de l'église pendant la messe du matin.
Les fidèles prient pendant que les flics enfoncent les portes.
Le prêtre évacué sans ménagement en pleine messe.
11 h 00 : les meubles de l'église sont jetés sur le trottoir par les domestiques d'Hidalgo.
09:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Roger Holeindre s'adresse à la jeunesse de France
Mes amis,
Notre pays est en danger de mort car nous sommes “menés” par des sectaires et des idéologues prêts à tout pour être réélus, et gouvernés par des mondialistes apatrides inféodés à la haute finance.
Notre “Président” de la République, devant le résultat de plus en plus calamiteux des sondages s’accroche au pouvoir et à ses avantages, tel un bigorneau à son rocher. La simple honnêteté voudrait qu’il parte… Mais il préfère magouiller… tricher… mentir… pour revenir dans les palais nationaux
Pour cela, il n’hésite pas à dépenser des millions d’euros… de nos impôts… pour placer… récompenser… acheter… ou fidéliser ses amis de la “gauche” soi-disant prolétarienne… qui, en fait, méprisent le peuple… qu’ils accusent de faire du populisme…. Dorénavant du “trumpisme” (Sic). Ils s’alignent ainsi sur M. Jospin qui n’hésita pas, à son époque, à traiter les anti-socialistes de “populace”.
Ce même Jospin d’ailleurs, avec Chirac… décréta que… « l’Europe ne devait pas devenir un club chrétien » (Sic).
Tout ce que le peuple de France reproche à nos dirigeants et à leurs maîtres mondialistes est pourtant malheureusement VRAI et PROUVÉ !
Valls, se prenant pour “Benito” mais jouant le “républicain espagnol” (alors que sa famille était dans l’autre camp)… n’a pas hésité, le 23 janvier 2015, à déclarer à des étudiants… « Les jeunes Français doivent s’habituer à vivre durablement avec la menace d’attentats » (Sic).
Cela ne l’a pas empêché…
- de laisser, durant des mois, Mme Taubira refuser d’interner des “terroristes” repérés et fichés.
- de laisser plusieurs de ses ministres déclarer que… « A la différence de l’Islam… le catholicisme est incompatible avec la République. »
Après les 129 morts et les 350 blessés du 13 novembre 2015… puis les 84 morts et 200 blessés du 14 juillet 2016… plus l’innommable assassinat d’un vieux serviteur de Dieu dans son église de la France profonde… il a cru nécessaire de déclarer au Journal du Dimanche que… certes… il redoute le terrorisme, mais surtout la guerre civile suscitée par l’extrême droite. (On croit rêver !)
Il faut quand même un sacré culot pour oser déclarer des choses aussi ineptes, et voir dans la colère qui monte en France… un quelconque complot de droite !
Il est vrai qu’un de ses sous ordres policiers, le sieur Patrick Calvar, patron de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), n’a pas hésité, lui, à expliquer longuement aux membres de la Commission de la Défense de l’Assemblée nationale… qu’il existait un danger encore plus grand, une menace « presque invisible » (Sic) « La menace fomentée par l’ultra droite. » Il a terminé son exposé par cette phrase… « Vous aurez une confrontation entre l’ultra droite et le monde musulman. Pas les islamistes… mais bien… le monde musulman ».
C’est avec ce genre de déclaration que ces messieurs du pouvoir pensent se maintenir en place… et y revenir. Cela s’appelle de la haute trahison. Avec la complicité de toute la presse “faisandée” et soutenue financièrement… ils accusent, en proférant des mensonges éhontés, les alertes pathétiques de ceux qui préviennent nos concitoyens… que le changement de peuple est en cours.
Ils cachent qu’une note confidentielle nous apprend que… « 95 députés socialistes ont déposé un projet de loi donnant aux Algériens nés en France ou en Algérie avant 1963 (avant l’indépendance) la citoyenneté française sur simple demande. »
Alors, jeunes de mon pays, faites attention. Ecoutez vos anciens qui ont toujours tout donné pour la patrie… Ces hommes sont dangereux ; ne vous laissez pas abuser… manipuler. C’est par les urnes… quoi qu’ils fassent… que nous les chasserons ! Ne tombez pas dans leur piège grossier, mais réel. Méfiez-vous de leurs provocations flicardes.
La situation dramatique que vit notre nation a été voulue, organisée, financée… par cette mafia internationaliste qui s’appuie sur le mensonge et la falsification de notre histoire, grâce à l’accaparement des médias.
Restez propre dans votre cœur et dans votre tête… N’oubliez pas que vous vivez sur une terre chrétienne, hier fille aînée de l’Eglise… Vous êtes en majorité catholiques… Soyez en fiers !
La France est le pays le moins raciste du monde, mais vous avez le droit, et surtout le devoir, de rester… catholiques et français toujours… et tous ceux qui viennent d’ailleurs, disposant chez nous de toutes les libertés et de tous les avantages sociaux, doivent respecter nos lois, nos coutumes.
Oui, méfiez-vous des provocateurs ! Soyez respectables pour être respectés, afin que VIVE LA FRANCE !
Roger Holeindre
Président du Cercle national des Combattants
Président d'honneur du Parti de la France
00:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un appel des défenseurs de Ste Rita à Paris
00:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 02 août 2016
IL INTERVIENDRA DIMANCHE 2 OCTOBRE PROCHAIN A RUNGIS :
Prenez dès maintenant votre billet d'entrée cliquez là
16:10 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une pensée pour Maurice Bardèche
14:55 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Croire ou ne pas croire en la rééducation des terroristes
Bernard Plouvier
Depuis trois millénaires et demi - d’abord avec Akhenaton-Aménophis IV, 14 siècles avant notre ère, puis avec Zoroastre 7 siècles plus tard, enfin avec Jésus de Nazareth -, on nous assure que la création serait belle et bonne, puisqu’étant issue d’un dieu bon… même si un dieu mauvais ou des anges dévoyés devenus démoniaques l’auraient pervertie.
En Europe occidentale, il fallut attendre le XVIIe siècle après J.-C. pour généraliser cette autre croyance absurde : l’agressivité humaine serait le fruit de la peur et de l’ignorance. En conséquence, depuis le milieu du XVIIIe siècle, une invraisemblable quantité de réformateurs optimistes se sont proposé d’éduquer les humains, puis de les rééduquer après un passage à la délinquance ou au crime.
Pourtant, il existe à peu près autant d’observateurs du monde animal et de son soi-disant chef d’œuvre, l’Homo sapiens sapiens, qui, après de longues études et de saines réflexions, ont considéré que l’avidité, la jalousie et la joie de nuire à autrui étaient des facteurs bien plus puissants que la peur et l’ignorance pour expliquer la haine, les pulsions meurtrières, la méchanceté gratuite, toutes choses qui trouvent un moderne apogée dans le terrorisme islamique, actuel sommet de l’agressivité de la bête humaine, ayant détrôné le marxisme au hit-parade de la nuisance suprême.
De fait, en dépit d’une alphabétisation générale (du moins en zones occidentales), malgré de fabuleux progrès scientifiques et techniques, le XXe siècle de l’ère si mal dénommée « chrétienne » fut sans conteste le plus sanglant et le plus inhumain de l’histoire humaine. On reconnaît volontiers que la préhistoire semble avoir été assez sordide, mais l’on connut, à compter de 1914, de nombreux exemples de cannibalisme et de tortures immondes, et l’on en vint même à redonner une actualité aux génocides bibliques. Le XXIe siècle, à peine entamé, s’avère pire encore, par l’agitation de millions de sous-doués qui veulent imposer à l’humanité la barbarie et l’obscurantisme musulmans.
L’éthologie comparée nous enseigne que ni le rire ni la guerre intra-spécifique [au sein de la même espèce] ne sont le propre de l’homme… tant pis pour Aristote et une foule d’auteurs ignares. Anéantissant impitoyablement une multitude d’œuvres de profonds penseurs béats (philosophes, sociologues, économistes, éducateurs, psychologues, sans oublier les imposteurs de la psychanalyse), l’histoire humaine des deux derniers siècles nous apprend que la rééducation des grands criminels autant que celle des petits délinquants est statistiquement illusoire.
Un terroriste n’est pas un « fou d’allah » ou de n’importe quels autres divinités ou cultes politiques. C’est soit un psychotique délirant (en langage populaire, un fou dangereux), soit un psychopathe, incapable d’agir efficacement dans une société, et d’autant plus avide de sentir sa toute-puissance s’exercer sur des proies, faciles parce que désarmées, soit un sociopathe, un tueur en série qui procure à sa haine sociale l’alibi d’une soi-disant noble cause, religieuse ou politique.
Le terrorisme est en soi un acte de guerre. C’est l’expression la plus achevée de la haine envers l’humanité dans son ensemble ou envers une société particulière. C’est le summum de la joie de nuire à un prochain anonyme, pour des fanatiques politiques ou religieux, mais aussi pour d’innombrables petites frappes incultes, passées de la délinquance et du crime de droit commun à la féérie activiste.
Ne pas y répondre de façon appropriée est la pire erreur que l’on puisse commettre : c’est encourager à la récidive. Par leur faiblesse dans la réaction à la barbarie islamique, les adultes d’Europe occidentale et scandinave sont grandement fautifs, mettant en danger la jeune génération de souche européenne qu’ils ont pourtant le devoir de protéger. Il n’est qu’une réponse au terrorisme : l’élimination radicale des acteurs, des inspirateurs et des complices.
En outre, comme l’unique cause actuelle de terrorisme en Europe est l’islam djihadiste, les Européens de souche doivent organiser le grand retour en terres de charî’â des musulmans. L’adage « Chacun chez soi » demeure le fondement d’une société saine. Le dogme « un continent = une race » doit demeurer la règle, les amateurs de brassage racial ayant le très vaste continent des Trois Amériques pour assouvir leur penchant.
Les européens doivent abandonner, sans regret ni esprit de retour, la dangereuse absurdité d’une amélioration des mentalités humaines, parallèle aux progrès scientifiques et techniques, ainsi que l’illusion grotesque de la rééducation possible des canailles et des crapules. L’homme, produit de sa génétique, demeure moralement inchangé depuis la préhistoire, comme demeurent immuables les comportements de toutes les autres espèces animales.
Qui est génétiquement programmé pour être une canaille ou une crapule peut résister à la tentation du passage à l’acte, grâce à ses facultés de libre-arbitre et de transcendance, devenant un saint. Mais s’il cède une fois à la part pourrie de son programme génétique, il récidivera dès qu’il en aura la possibilité.
Un saint est un personnage admirable, mais il n’en est pas moins une exception. L’assassin, le terroriste, le violeur, le trafiquant de drogues et d’armes sont les équivalents humains de la bête féroce, mais en pire, car l’homme (c’est un terme générique « qui embrasse la femme »… enfin pas tous et pas toutes) est doté d’une intelligence et d’une inventivité, donc d’une malfaisance, bien supérieures à celles des autres espèces animales.
Une fois admises ces notions, il faut en tirer toutes les conséquences.
10:44 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Revue de presse, un entretien avec Jean-Louis- Harouel : Pour combattre l'islamisme,en finir avec la religion des droits de l'homme
FIGAROVOX
1er aout 2016
FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Faut-il adapter l'Etat de droit pour vaincre la menace terroriste ? Dans un entretien fleuve, l'historien du droit et auteur de Les droits de l'homme contre le peuple, Jean-Louis Harouel (*) répond aux questions du FigaroVox.
Après l'attentat de Nice qui a fait plus de 80 morts et l'assassinat sauvage d'un prêtre en pleine messe de Saint-Etienne-du-Rouvray par des islamistes, le débat politique porte désormais sur la question de l'Etat de droit. C'est justement le thème de votre livre: Les droits de l'homme contre le peuple …
De fait, alors que les droits de l'homme sont la seule identité que nos gouvernants veuillent bien aujourd'hui revendiquer pour la France, ils sont devenus depuis quelques décennies une véritable religion séculière obsédée de non-discrimination et destructrice des nations, qui handicape mortellement notre pays dans sa confrontation avec l'islam de masse installé sur son sol. Longtemps niée par les responsables politiques au pouvoir, cette situation catastrophique est enfin reconnue sous l'effet brutal des récents massacres commis au nom de l'islam.
Dans un entretien au Monde, Nicolas Sarkozy affirme : « Si les démocratie ne défendent pas les citoyens, les citoyens se défendront de la démocratie ». L'Etat de droit est supposé protéger les Français. Aujourd'hui paradoxalement les met-il en danger ?
N'en déplaise à Nicolas Sarkozy, ce qui est en cause ici, ce n'est pas la démocratie, mais au contraire un déficit de démocratie, dont il est d'ailleurs lui-même largement responsable. La démocratie libérale consiste dans la souveraineté du peuple combinée avec les libertés publiques garantissant les citoyens contre d'éventuels excès d'autorité des gouvernants. Or, aujourd'hui, ce n'est plus le peuple qui est souverain, ce sont les dogmes de la religion des droits de l'homme, mortifère pour les peuples européens.
La fonction de la démocratie est d'assurer à un peuple la maîtrise de son destin, de son territoire, de son identité, de son contenu humain, de ses grands choix de société. Or, sur tous ces points, si l'ont met à part la Grande-Bretagne, il y a belle lurette que les peuples d'Europe occidentale ne sont plus en démocratie, à la notable exception du peuple helvétique.
De manière fallacieuse, ce que l'on baptise maintenant démocratie, c'est le règne de la religion séculière des droits de l'homme dont les diktats souvent délirants sont imposés aux peuples européens — via leurs élus et leurs gouvernants sans consistance — par la bureaucratie de Bruxelles et par les divers juges nationaux et supranationaux auto-investis d'une fonction prophétique leur permettant de «découvrir» sans cesse de nouveaux «droits fondamentaux» aux effets pro-catégoriels, destructeurs de ce qui reste de cohésion, de sécurité des personnes et des biens, et de valeurs de durée dans les sociétés européennes.
C'est parce qu'on a traité les peuples européens en mineurs sous tutelle incapables de savoir ce qui est bon pour eux que l'on a laissé se développer une présence islamiste aussi massive, que notre arsenal juridique est aussi inadapté à la réalité et que les autorités françaises sont aujourd'hui si désemparées face au déchaînement de la violence djihadiste. En conséquence, le retour à la protection des citoyens passe par le retour à une démocratie véritable.
Dans votre livre, vous sous-entendez que les islamistes se servent des droits de l'homme pour mieux accroître leur influence en Europe et singulièrement en France. Comment ?
Longtemps, les droits de l'homme se sont confondus dans la pratique avec les libertés publiques des citoyens au sein des États-nations démocratiques. Avec le passage à la religion séculière des droits de l'homme, il y a eu à partir du milieu du siècle dernier un véritable changement de nature qui se marque dans la langue anglaise par l'antithèse rights of man/human rights, dont le second terme a correspondu en France à ce qu'on appelle les «droits fondamentaux», notion introduite dans les années 1970 et dont les grands bénéficiaires sont les étrangers. L'islam en a profité à plein pour installer en France, au nom des droits de l'homme et sous leur protection, la civilisation musulmane, ses mosquées et ses minarets, ses modes de vie, ses prescriptions et interdits alimentaires, ses comportements vestimentaires, voire ses règles juridiques en violation du droit français: mariage religieux sans mariage civil, polygamie, répudiation unilatérale d'une épouse par le mari, etc.
À travers une foule de revendications identitaires téléguidées par eux, les milieux islamistes et notamment l'UOIF (Union des organisations islamiques de France) ont instrumentalisé les droits de l'homme pour appesantir leur contrôle sur les populations originaires du nord de l'Afrique et les contraindre au respect de l'ordre islamique, faisant en particulier tout leur possible pour empêcher les jeunes nés en France — auxquels nous avions commis l'erreur d'attribuer massivement la nationalité française — de devenir sociologiquement des Français.
Dans un communiqué transmis au journal Corse Matin, le mouvement clandestin nationaliste, FLNC, menace les islamistes radicaux d' « une réponse déterminée» et estime que l'État français aurait «si un drame devait se produire chez nous (...), une part importante de responsabilité ». Que cela vous inspire-t-il ?
Une certaine inquiétude, car des représailles privées n'arrangeraient sans doute rien, bien au contraire. En même temps, cette mise en garde montre que la force du sentiment identitaire donne à un groupe une combativité indispensable pour gagner une guerre. Or, de manière tragique pour la France, tout a été fait depuis un demi-siècle pour y détruire le sentiment identitaire, pour y interdire tout amour du pays, toute fierté d'être français. Les jeune générations n'ont entendu parler que de culpabilité de la France, de repentance, d'amour de l'autre jusqu'au mépris de soi. Notre Éducation nationale est non seulement médiocre et déculturée: elle impose sur le mode de la propagande une éducation anti-nationale.
Tous les jeunes Français devraient savoir que l'élément fondateur de l'identité européenne a été historiquement son ancrage dans la chrétienté et son refus obstiné de basculer dans le monde islamique. L'Europe n'a pu exister et avoir le destin brillant qui fut le sien durant des siècles que grâce à son rejet farouche de l'islam. C'est ainsi qu'elle a pu s'arracher aux conceptions théocratiques — dont relève l'islam — et construire non sans peine cette disjonction du politique et du religieux qu'on appelle en France laïcité, dont l'origine se trouve dans la célèbre parole christique : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ».
L'ancien président de la République propose d'adapter l'Etat de droit. Le risque n'est-il pas d'aller trop loin ? Comment placer le curseur entre préservation des droits individuels et nécessité de nous défendre collectivement ?
Le problème est que nous ne sommes plus dans le cas d'un État-Nation culturellement homogène, qui est l'organisation politique d'un peuple. Il y a eu pour une part importante changement de peuple. Si bien que la «communauté nationale» dont on nous rebat les oreilles n'est plus qu'une fiction. La vérité est que trop souvent, sur le territoire de la France, nous sommes deux peuples, deux civilisations face à face. Et il est légitime que le peuple autochtone préserve sa survie en restant maître de son pays.
Certains proposent la mise en place d'un «Guantanamo à la française». On ne peut pas dire que cela a été une réussite pour les Etats-Unis, même d'un strict point de vue sécuritaire…
Une chose est sûre: un groupe humain ne peut pas se battre efficacement contre un ennemi implacable en tolérant dans son sein la présence d'éléments par lesquels il est en droit de craindre d'être combattu de l'intérieur. Pendant la Seconde guerre mondiale, à la suite de Pearl Harbour, les États-Unis avaient enfermés dans des camps leurs ressortissants d'origine japonaise. La chose est aujourd'hui très critiquée au nom des droits de l'homme, mais dans le contexte de l'époque, elle a paru indispensable et légitime.
Il y a en outre d'autres pistes telles que l'incrimination de comportements hostiles, les condamnations pour intelligence avec l'ennemi, trahison, l'interdiction de séjour sur le territoire national, la déchéance de nationalité (pas seulement pour des bi-nationaux), le retour à la mort civile, l'expulsion. Il faut pour cela passer outre aux interdits de la Cour européenne des droits de l'homme qui refuse qu'on puisse faire un apatride. À quoi on peut au demeurant rétorquer que les islamistes méprisent les nations particulières et ne se réclament que de la nation musulmane mondiale: l'oumma.
Le succès de l'islamisme, notamment auprès de jeunes qui sont nés en France, révèle une profonde crise de civilisation. Si à court terme la réponse sécuritaire peut-être une solution, sera-t-elle suffisante à long terme ? Que faire ?
Il y a effectivement deux problèmes distincts: d'une part l'horreur spectaculaire des massacres perpétrés par des djihadistes ; et d'autre part le processus silencieux et occulté de la conquête islamiste dont je fais état dans Les droits de l'homme contre le peuple. Il ne fait pas de doute que dans le projet islamiste, l'Europe occidentale est redevenue une terre à prendre, une proie pour l'islam. Les islamistes pensent que le moment est venu pour les musulmans de reprendre une conquête de l'Europe occidentale rejetée il y a un millénaire par la vigoureuse résistance des Européens. Professeur d'histoire du Maghreb contemporain, Pierre Vermeren observe que de nombreuses mosquées créés en France ont reçu un nom évocateur de l'idée de la conquête par l'islam.
Face à ce processus de conquête, le premier devoir des États européens est d'y mettre enfin un coup d'arrêt. L'Europe se doit de bloquer immédiatement l'immigration et la venue de réfugiés. Le devoir des dirigeants européens est de faire savoir que l'Europe ne peut pas accueillir un seul musulman de plus, vu la dangerosité pour elle de la présence islamiste, qu'il s'agisse des attentats ou de la mécanique conquérante. Les pays européens doivent dire clairement que les réfugié musulmans ont vocation à être accueillis par des pays musulmans, que c'est à l'Arabie saoudite et autres richissimes monarchies pétrolières de les accueillir, ou à défaut de financer leur accueil par d'autres États musulmans.
Quant aux musulmans déjà présents sur le sol européen, il faut bien qu'ils aient conscience que, malgré la liberté des cultes pratiquée en Europe, l'islam politique n'y est pas légitime. Elle n'est pas légitime car elle est un système politique et juridique qui viole la disjonction du politique et du religieux qui fonde la civilisation européenne. Et elle n'est pas légitime à cause de son refus de la liberté de pensée, de l'infériorité qu'elle inflige aux femmes et aux non-musulmans, de la caution qu'elle apporte à l'esclavage, des appels à la violence qui figurent dans ses textes saints.
Toutes ces vérités, les dirigeants européens ne sont certes pas prêts à les dire car la religion séculière des droits de l'homme leur défend de le faire. Et pourtant, ils y seront peut-être un jour acculés par la violence djihadiste.
Tôt ou tard, interviendra sans doute un massacre encore plus terrible commis par des islamistes. Ce sera le massacre de trop. Et alors, les dirigeants français seront bien obligés la démolition des mosquées salafistes, la dissolution des organisations de cette mouvance, l'expulsion des prédicateurs étrangers, la construction de forteresses militaires pour contrôler les quartiers dominés par l'islamisme.
Étrangement, la monstruosité même du terrorisme dont l'islamisme flagelle aujourd'hui la France lui permettra peut-être d'inverser le processus de la conquête islamique.
(*) Agrégé des Facultés de droit, Jean-Louis Harouel est professeur émérite d'Histoire du droit à l'Université Paris Panthéon-Assas. Il vient de publier Les Droits de l'homme contre le peuple (éd. Desclée de Brouwer, 2016).
10:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 3 septembre, près de Bordeaux :
00:24 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 01 août 2016
Naïveté, ignorance ou mensonge diplomatique ?
Bernard Plouvier
On imagine volontiers qu’il existe des musulmans austères, honnêtes et charitables, comme il en existe chez les chrétiens et les bouddhistes. On rencontre même ce genre d’individus chez les athées !
Le Pape François, grand communicateur, mais aussi bizarre désinformateur, fait la Une des blogs du Net (et des rares journaux-papiers encore diffusés) avec sa casuistique – qui n’a guère de subtilité et moins encore d’originalité : « L’islam n’est pas le terrorisme » !
On rejoint ainsi le discours mondialiste sur l’amalgame, jugé intolérable par les dévots de l’économie globale et du pétrodollar… cet amalgame estimé, au contraire, nécessaire par tous ceux qui ont lu et médité le coran et quelques volumes de hadîths.
Certes, on veut bien reconnaître que Mahomet, homme des VIe et VIIe siècles, n’a pas vanté les mérites de la sainte Kalachnikov ou du précieux C4, ni conseillé d’utiliser les avions des lignes commerciales comme des engins de destruction massive, pas plus que les camionnettes-bélier. On imagine que l’archange Gabriel n’avait pas le don de préscience.
Toutefois, les sourates 2,3, 8, 9, 10, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 recommandent le djihâd – la guerre sainte – avec appropriation des biens des infidèles vaincus, qui doivent être exterminés s’ils refusent de se convertir. La sourate 4 exige la mise à mort des apostats de l’islam. Il y a de quoi terroriser des populations d’infidèles, confrontées à un islam sunnite fort et violent (les Arméniens ont éprouvé cette puissance de destruction en 1896-98 puis en 1915-16, comme l’avaient fait, en 1896 et en 1903, les Macédoniens orthodoxes).
Le pape, jésuite de formation, donc a priori savant, doit avoir appris que le chiite Hassan ibn al-Sabbah (le Vieux de la Montagne) n’eut aucun mal, au XIe siècle, à créer une petite armée de terroristes, déjà gavés de haschich et de promesses d’un paradis fort terre-à-terre. Les Talibans sunnites et successeurs n’ont fait que reprendre une tradition ancestrale.
En principe, avant de prononcer sa docte ânerie sur l’islam non terroriste, le pape a dû étudier les textes d’un prêtre particulièrement instruit en cette matière, puisqu’il vivait au contact des fanatiques austères du Sahara. Dans une lettre, datée du 29 juillet 1916, Charles de Foucault (béatifié en 2005, ce n’est pas si vieux que notre jésuite ait pu l’oublier) prévoyait une flambée de haine destructrice et meurtrière de l’islam, activée par les marabouts et autres imams, dès que fléchirait la volonté pacificatrice du colonisateur blanc.
Le premier Guide suprême de la révolution iranienne, le sieur Khomeiny, pour l’élément chiite, le calife de Mossoul, Abou Bakr II, pour l’élément sunnite, ont représenté et représente toujours pour le second, les équivalents de ce qu’est un pape pour les catholiques. Et ces messieurs ont prêché la haine, le second prônant le terrorisme indifférencié, pouvant même toucher des musulmans – victimes innocentes et « dommages collatéraux » qu’allah est censé reconnaître et accueillir en son paradis.
Tendre la joue gauche après avoir été cogné sur la droite n’est, certes pas, un principe de la boxe. Se défendre lorsqu’on est attaqué est parfaitement légitime. A contrario, nier que le djihâd fasse partie intégrante des commandements fondamentaux de l’islam, c’est du pur délire… que d’aucuns, commentateurs charitables, pourraient faire passer pour une naïveté angélique, digne du proto-christianisme, époque où chaque chrétien attendait soit la parousie, soit le martyre pour rejoindre le père supposé de l’humanité dans son paradis.
Les Européens de souche, envahis et meurtris par l’islam conquérant, l’islam guerrier, l’islam terroriste, n’ont que faire de la naïveté évangélique. Ils ne doivent pas ignorer les principes de haine de leurs ennemis. La lecture du coran devrait être rendue obligatoire à tout électeur européen. Seule l’ignorance permet de croire en un islam de fantaisie, aimable et tolérant.
Quant à la diplomatie, elle n’est utile qu’aux sectateurs de l’avatar moderne du veau d’or : le pétrodollar, qui est l’un des piliers de l’économie globale, telle qu’elle est comprise à Wall Street et à Washington, vénérée par les Obama et Clinton, pantins vénaux des vrais maîtres.
Les temps de Léon XIII (l’homme de l’encyclique Rerum novarum) et de Pie XII (l’homme qui ordonné de sauver tant de proies convoitées par les nazis, dont une multitude de Juifs) sont révolus. Pour n’avoir pas compris cette triste réalité : l’évolution morbide d’un Vatican affairiste, Benoît XVI a été renvoyé comme un domestique trop usé.
Mais, était-il nécessaire de salir le prénom du saint le plus vénéré, peut-être parce qu’il fut le plus masochiste et le plus naïf de la catholicité, pour se lancer dans la grande politique globalo-mondialiste ? Après tout, si même un athée peut reconnaître la grandeur spirituelle d’un être d’exception, un prélat devrait avoir un minimum de retenue lorsqu’il se lance dans la pire démagogie.
11:33 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DES MAINTENANT : RETENEZ CETTE DATE
11:30 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après « FORTIS m’a tuer ! », « DEUTSCHE BANK, le plongeon » ?
Petit devoir de mémoire : Les multiples mensonges, tergiversations, magouilles et autres prévarications entourant cette « affaire » ont finalement contribué à la chute du gouvernement Leterme le 19 décembre 2008 en Belgique.
Comment cette saga ubuesque, concernant le premier groupe privé de bancassurance belge, a-t-elle bien pu aboutir à une crise politique majeure dont le plat pays se serait bien passé ?
A première vue, RIEN de catastrophique ne devait arriver à FORTIS au début de l’automne 2007 -où personne en Belgique ne souhaitait évoquer la crise américaine des « subprimes »- alors même que les dirigeants de cette holding venaient de racheter le géant financier hollandais ABN-AMRO (précédemment convoité par BNP-PARIBAS).
A cette époque, les politiciens se chamaillaient toujours pour se partager les ors du Pouvoir, après les résultats des élections de juin 2007 ! Il faut savoir que la formation d’un gouvernement en Belgique relève de la gageure, car les résultats électoraux étant à la proportionnelle, les choix pour les portefeuilles en jeu se font autour d’un « consensus » et le résultat se trouve souvent à l’encontre des souhaits des électeurs. C’est ce qui c’est passé pour le gouvernement d’Yves Leterme, lequel a été obligé de nommer des ministres socialistes (alors que le PS avait perdu beaucoup de suffrages) pour bénéficier d’une majorité à la Chambre, indispensable à la pérennité de l’Exécutif. Ceci n’a pu être réalisé qu’au début de 2008 !
Pendant ces 9 mois consacrés à des palabres et des « négociations » partisanes pour se partager le gâteau, la tempête financière et bancaire dévastait les USA et les premières bourrasques soufflaient sur l’Europe. Ici et là, aux travers des médias, un articulet avertissait quand même les décideurs que l’horizon des plantureux bénéfices et dividendes astronomiques risquait de se boucher. Croyez-vous alors que les décideurs et nos gouvernements s’en seraient souciés ? Nenni braves gens !
De leur côté, le comte Maurice LIPPENS et ses fidèles lieutenants (Votron, Verwilts, Mitler, Dierckx et consorts) aux manœuvres de la banque FORTIS avaient déjà procédé à une première dilution de capital et en préparaient une seconde pour trouver les deniers indispensables à régler la note de l’achat d’ABN-AMRO. Et là, la pilule passait déjà mal auprès de certains gros actionnaires, qui l’avaient fait savoir précédemment, en arguant que « la grenouille voulait se faire aussi grosse que le bœuf » ! Plusieurs s’en sont donc dégagés, anticipant une catastrophe qui se dessinait. Leurs témoignages ont été diffusés dans les médias, après le 6 octobre 2008.
Par contre, pour les centaines de milliers d’actionnaires crédules, les millions de clients et les dizaines de milliers d’employés « tout allait bien Madame la Marquise », selon le refrain diffusé en boucle par les médias « aux ordres ».
11:20 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 31 juillet 2016
Circus parade franchouillard et bourrage de crânes
Spécimens de jeunes ayant un souci d'intégration sans doute...
Bernard Plouvier
Il faut s’y habituer : la France aura du mal à se remettre de la bêtise hollando-vallso-cazeneuvienne. Certes, le ridicule n’a jamais tué personne – en dépit d’un proverbe laissant croire le contraire -, mais les actuels clowns qui se pavanent dans les palais de la Ripoublique poussent fort loin la plaisanterie.
Les media aux ordres nous tympanisent avec la grrrrande manifestation œcuménique de Lyon du samedi 30 juillet 2016, visant à combattre le fanatisme religieux… sans trop préciser que le seul fanatisme religieux que l’on connaisse en France depuis près d’un demi-siècle n’est que celui des hôtes musulmans du pays. De bien curieux hôtes en vérité, dont les « jeunes » tuent, pillent, violent, vandalisent, alors même que la Nation n’a jamais été consultée sur l’intérêt qu’il pouvait y avoir à recueillir de tels individus.
Or cette manifestation « monstre » de solidarité interraciale (pardon : le terme correct est « interethnique ») et religieuse a regroupé moins de 400 personnes, ce qui fait assez peu pour la troisième ville de France. On y a beuglé quelques slogans fort bénins et juré de ne plus s’entretuer pour des raisons de monothéismes s’excluant mutuellement… un seul dieu, mais pas le même pour tous, c’est vrai que ça peut poser des problèmes, même dans un pays où existe, de façon constitutionnelle, une stricte séparation de l’État et des religions.
Hélas, la Loi de 1905 n’avait pas prévu qu’un jour l’islam véhiculerait de forts relents de pétrodollars. Car ce bon Vespasien avait tort : l’argent a parfois de l’odeur… celle un peu musquée des roitelets islamo-pétroliers ou celle du haschich, sans compter l’odeur des sueurs froides de nos politiciens quand les maîtres du « lobby qui n’existe pas » menacent de brandir l’accusation rituelle « d’antisémitisme ». Avec ou sans parfum, l’argent et les suffrages sont bons à prendre lorsqu’un parti politique a de forts besoins de l’un et des autres.
Alors, Loi de 1905 ou pas, on ferme opportunément les yeux, même devant certaines évidences et l’on flatte les super-riches dans le sens du poil, tantôt celui de la synagogue, tantôt celui des mosquées, les cathédrales n’intéressant plus guère les politiciens depuis le suicidaire concile Vatican II qui a vidé les églises de France.
Pourtant, la manifestation la plus importante du 30 juillet n’était pas la mini-parade lyonnaise, qui a focalisé l’attention des media domestiqués. C’est près d’une gare parisienne (enfin, il paraît qu’elle est « parisienne »… à dire vrai, la dominante de sa fréquentation évoque plutôt un autre continent), qu’avait lieu une véritable manifestation « à la française », dans sa version actuelle, c’est-à-dire mondialiste.
Là, en effet, un millier d’individus vengeurs ont hurlé leur haine de la police française, parce qu’un Noir était mort quelques heures après avoir été arrêté par des policiers. On sait, grâce à deux autopsies, que ce monsieur est mort d’une maladie non rare chez le Noir africain : une cardiomyopathie hypertrophique (une maladie cardiaque, génétiquement induite, où l’on meurt de troubles du rythme, à l’occasion d’un effort ou d’une forte émotion)… la seule « bavure » dans cette triste histoire est d’ordre médical et non policier. Bien suivi médicalement, cet homme aurait eu sa maladie diagnostiquée à temps et traitée de façon efficace, comme on sait le faire depuis plus de trente ans.
Il est plus simple de fermer les yeux sur le motif de l’interpellation (car, après tout, la police française n’arrête personne sans une bonne raison) et sur la négligence médicale du patient et de sa famille. Il est évidemment plus facile de beugler une fois de plus au « Racisme » des Français, alors que le seul racisme constaté quotidiennement en France depuis une trentaine d’années est le Racisme Anti-Blancs.
Le 30 juillet 2016, il y eut en France, deux manifestations : l’une de soi-disant fraternité, l’autre de haine anti-policière. La seule question à laquelle aucun journaliste ne répondra jamais (d’autant plus qu’il ne se la posera même pas) est celle-ci : où était la sincérité ? Celle de musulmans osant dire que l’islam n’est pas une religion de haine dirigée contre les infidèles ou celle des Africains venus crier vengeance ? Les uns jouaient aux bons apôtres ; les autres exigeaient une bizarre conception de la « justice ».
La seule juste mesure serait de demander aux contribuables français, seuls souverains légitimes de l’État, leur avis sur l’immigration extra-européenne et sur l’opportunité du retour de ces messieurs-dames dans leurs continents d’origine. On en est (hélas !) fort loin.
15:10 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alep : grande victoire pour les forces loyalistes
Martial Roudier Lengadoc info cliquez ici
La situation en Syrie vient de franchir un nouveau cap. Les cartes des alliances et des soutiens se redistribuent et changent de main. Tout ceci majoritairement à la défaveur des factions jihadistes. Les forces de l’Etat Islamique subissent de très importants revers dans deux de leurs bastions, Manbij en Syrie et Falloujah en Irak. Les groupes islamistes affiliés à Al-Qaïda sous la bannière du Front Al Nosra perdent de leurs soutiens. Les turcs commencent même à revoir leur position d’hostilité envers la Russie et à se défier de leurs soutiens islamistes.
Revers des forces loyalistes à Raqqah et à Kinsabba
Nous avions annoncé une importante offensive sur la capitale islamiste en Syrie de la part des forces loyalistes du gouvernement de Bachar El-Assad. Ces dernières avaient déclenché cette opération pour bénéficier de l’effet de surprise de cette attaque éclair ainsi que de la pression exercée par le nord par les troupes kurdes soutenues par les occidentaux. Malheureusement, après avoir pénétré profondément dans le dispositif ennemi, les troupes loyalistes se sont faites sévèrement étriller et ont du se replier au delà de leurs positions de départ. L’ennemi ayant utilisé quantité de candidats au suicide à bord de VBIED. Il semblerait également que des problèmes de coordination du à l’étirement des troupes soient à l’origine de ce fiasco. Le front semble stabilisé depuis mais nul doute qu’il se réchauffera prochainement.
Au nord ouest du pays, les forces loyalistes ont subi des pertes de territoire dans les montagnes de Latakia, proche de l’incident du pilote russe abattu par des chasseurs turcs. Perte de terrain importante dans cette région montagneuse mais qui est désormais contenue.
Quelques petites victoires, chèrement obtenues, sont à signaler dans des poches de résistance situées autour de la capitale de la Syrie, Damas. Ces enclaves tendent à être réduites petit à petit malgré des efforts de retranchements importants.
La ville d’Alep encerclée
Cela faisait des semaines que Alep, la capitale économique du Nord, était le centre de toutes les attentions et de tous les efforts. La situation militaire sur place était d’une quasi parfaite égalité puisque les territoires étaient symétriquement imbriqués l’un dans l’autre. Chacun des deux camps avaient la même ambition de couper l’arrière des positions à l’endroit le moins étiré, créant ainsi une enclave qui serait réduite petit à petit. Les forces « rebelles » alliées aux factions islamistes du Front Al-Nosra avaient gagné du terrain au sud ouest d’Alep autour de la position stratégique d’Al-Eis, menaçant durement les arrières des forces pro-régime. La victoire revient donc aux forces du président Bachar El-Assad qui viennent de faire la jonction de leurs forces sur la route dite « Castillo » fermant ainsi le seul axe de ravitaillement des rebelles désormais encerclés de toutes parts.
Il sera intéressant d’observer l’attitude adoptée par les loyalistes envers l’enclave kurde du quartier Sheikh Maqsoud. Un principe de neutralité, voire de franche collaboration, est en vigueur dans cette partie de la Syrie. Ce qui n’est pas le cas dans les enclaves loyalistes de Qamishli et d’Al Hasakah où des affrontements ont régulièrement lieu avec les kurdes.
Cet enclavement est un coup très dur porté à l’ensemble de la rébellion et par conséquent une bouffée d’oxygène pour le camp loyaliste.
Menaces sanglantes sur l’Europe
Les revers subis par Daech sur son propre sol amènent malheureusement l’ouverture d’un nouveau front qui est le front européen. Les attentats islamistes connaissent une accélération depuis quelques semaines où chaque jour laisse craindre de nouvelles atrocités sur notre sol.
Après la Belgique et la France, c’est au tour de l’Allemagne de subir ces attentats sanglants.
Fusillade à Munich, attaque à la hache dans un train le 18 juillet, attaque à la machette à Reutlingen, attentat suicide devant un festival à Ansbach. Le premier ministre français nous avait annoncé fin janvier que nous étions en guerre et s’adressant à de jeunes étudiants que « Votre génération doit s’habituer à vivre avec ce danger, et ce pendant un certain nombre d’années« . C’est chose faite désormais après la tuerie de Nice, et l’égorgement d’un prêtre à St Etienne du Rouvray. De quoi raviver les tensions inter-communautaires en France à l’exemple du FLNC qui déclarait aux salafistes « Sachez que toute attaque contre notre peuple connaîtrait de notre part une réponse déterminée sans aucun état d’âme. » et de craindre des lendemains qui déchantent…
Info de dernière minute : le chef du groupe Front Al Nosra vient d’annoncer publiquement se séparer de l’organisation terroriste islamiste Al-Qaida afin de ne plus être la cible des bombardements coordonnés russes et américains. Ils se font appeler désormais Front Fateh al-Cham.
NDLR : pour comprendre la Syrie
Le commander en ligne cliquez là
En savoir plus cliquez ici
11:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 30 juillet 2016
Brest : une élue d'extrême gauche s'amuse de l'assassinat du prêtre normand et le qualifie de pédophile
L’élue d’extrême-gauche brestoise Julie Le Goïc, connue pour son engagement en faveur de l’imam salafiste de Brest (voir ici) et son soutien aux filières de migrants clandestins, vient probablement de commettre la provocation de trop : une apologie d’acte de terrorisme en bonne et due forme.
Sur son compte Twitter, Julie Le Goïc s’amuse publiquement de l’exécution barbare du Père Hamel à Rouen, suggérant qu’il était pédophile et que sa récompense pour avoir été égorgé par deux djihadistes serait “70 enfants de choeur”. Une analogie à la promesse faite aux musulmans engagés dans le djihad de recevoir 72 vierges au paradis s’ils meurent au combat.
Les connaisseurs de la vie politique brestoise se rappellent que cette anarcho-gauchiste, élue en 2014 sur la socialiste de François Cuillandre avant de s’en dissocier, avait introduit des clandestins musulmans dans la salle du conseil municipal de Brest récemment. Une scène ubuesque – et filmée – qui s’était terminée par de la casse de matériel et des menaces à l’encontre des élus (voir ici et ici).
BREIZ ATAO a régulièrement dénoncé dans ses colonnes le soutien actif de Le Goïc aux salafistes de Brest au nom de “l’antiracisme” ainsi que son aide aux filières d’immigration clandestine de la mafia albanaise musulmane opérant dans la ville. L’impunité dont elle bénéficie – comme l’avait à nouveau démontré l’émeute qu’elle avait orchestrée lors du conseil municipal – signalant la complicité active de la gauche socialiste avec cet élément radical.
Source Breiz atao cliquez ici
via Thomas Joly cliquez là
23:22 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’importation à valeur négative
Bernard Plouvier
Toute l’économie de transformation des matières premières nécessaires à la vie humaine repose sur la « valeur ajoutée » par le travail humain. L’on n’a pas attendu le clown alcoolique Karl Marx pour le savoir.
La cuisson de la viande est un exemple de valeur ajoutée qui remonte fort loin dans la préhistoire, comme la fabrication des armes ou le tannage puis l’assemblage des peaux pour s’en vêtir, de façon à lutter contre le froid. Il appartenait à l’économie globale et à la société mondialiste, au début du XXIe siècle de notre ère, de démontrer le contraire !
Depuis le mois de juin 2016, l’on connaît les caractéristiques de la vague migratoire de l’An funeste 2015, où l’Europe occidentale, danubienne et scandinave fut littéralement envahie d’Africains (noirs et maghrébins), de Moyens- et de Proches-Orientaux, en immense majorité musulmans.
Ils se sont fait passer pour des demandeurs d’asile politique et quelques-uns le furent réellement. Un nombre absolument inconnu d’entre eux sont des clandestins du Djihâd, en sommeil jusqu’à ce qu’ils reçoivent l’ordre de passer à l’activité meurtrière pour la plus grande gloire d’un dénommé allah. Cela, tout le monde le sait, depuis plus d’un an.
L’on peut déplorer que les fous furieux qui dirigent les USA depuis 2001 aient mis à feu et à sang le Maghreb et le Sahel, l’Irak, le Yémen, l’Afghanistan, la Syrie (en attendant mieux), parfois avec la complicité de dirigeants indignes des Nations britannique, française, italienne etc., ce qui n’implique nulle responsabilité de ces Nations, desquelles personne n’a songé à demander l’avis.
Nous n’avons, Européens de souche, à développer nulle repentance à propos des guerres qui ont ravagé les pays du Dâr al-Islam, étant donné qu’aucun des chefs « démocrates » n’a eu recours à la seule forme de démocratie qui soit : la pratique du referendum avant de se lancer dans des opérations de guerre. Après tout, c’est l’argent des Nations qui est dépensé dans ces interventions ; il est donc logique et légitime de prendre l’avis des peuples souverains.
Sans responsabilité directe de leur part, les Européens se sont vus envahir, depuis janvier 2015, par des hordes de réfugiés-immigrés. Le pape a hurlé sur tous les tons, comme la Chancelière teutonne et luthérienne d’Allemagne, la nécessité d’accueillir ces millions d’envahisseurs qui amenaient avec eux leur avidité de biens de consommation, leur racisme anti-Blancs, leurs mœurs médiévales (notamment un mépris total de la femme), enfin leur religion de haine et d’intolérance absolue : l’islam conquérant, meurtrier par son Djihâd.
Au plan politico-sociologique, les collaborateurs des maîtres de l’économie globale justifiaient cette immigration-invasion par l’apport de « travailleurs » qu’elle réalisait. On a surtout vu un apport de violeurs, de pillards, de vandales et d’assassins. L’on sait maintenant que l’on a surtout importé des Nuls !
En Suède, où l’on a accueilli 163 000 « réfugiés politiques » en 2015, il s’avère que 494 seulement ont trouvé un emploi en 15 mois ! Et il s’agit de statistiques officielles issues d’une coalition gouvernementale de sociaux-démocrates et de verdâtres.
L’Agence fédérale allemande pour l’emploi de mémé Merkel vient de rendre son verdict en juin 2016, à propos des 1,1 million de réfugiés-immigrés-envahisseurs de 2015 : un tiers sont des analphabètes (deux tiers si l’on compte les femmes). Sur 297 000 dossiers d’hommes en âge de travailler, 74% d’entre eux n’ont ni qualification ni même la moindre expérience professionnelle !
En résumé, l’on a importé et l’on continue d’importer des Non-Valeurs, des consommateurs improductifs, soit des parasites. Et le pape François, qui ressemble bien davantage à un homme lige de la globalo-mondialisation qu’au chef de l’Église catholique, nous exhorte à continuer dans cette voie ; idem pour mémé Merkel ou nos glorieux « chefs ».
À chacun d’en tirer ses conclusions.
15:42 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mobilisation du GUD à Lyon pour dénoncer la collusion entre le terrorisme islamique et le Système immigrationiste
00:43 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DES LIVRES POUR L'ETE :
La librairie en ligne cliquez ici
00:37 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 29 juillet 2016
Réinformation bien menée rend mensonge ridicule
La chronique
de Philippe Randa
L’excellent site de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (cliquez ici) rapporte un exemple de désinformation particulièrement éloquent…
Début juillet, des Mantevillois – habitants de Mantes-la-ville (Yvelines) – débarquant en cars sur les plages de Blonville-sur-Mer, l’accueil des autorités locales n’aurait pas été celui escompté au vu de leur apparence : « femmes voilées, familles d’origine africaines », comme rapporté par l’un des participants sur son compte facebook. D’où baignade interdite et prière de décamper vite et si possible loin, et même plus loin encore…
Mantes Actu, site d’actualité régional, s’empressa aussitôt de rendre compte de cette infamie raciste, mais son confrère Le Pays d’Auge préféra pour sa part contacter le maire ; ses explications sont quelque peu différentes : « Le groupe est venu sans autorisation. D’habitude, les habitants de la banlieue parisienne qui viennent passer la journée chez nous s’annoncent, mais là, les deux cars sont arrivés sans autorisation et ont amené une centaine de personnes (…) Pour des raisons de sécurité, nous leur avons demandé de se mettre sur la plage au niveau du poste n°2 car à cause de la présence des parasols, la visibilité est moindre et la surveillance est plus difficile sur la zone du poste de secours n°1, et comme ils étaient très nombreux avec des enfants, nous n’avons pas voulu prendre de risque (…) Plusieurs adultes avec des enfants se baignaient dans le chenal réservé aux bateaux ce qui est strictement interdit et ont refusé de revenir dans la zone de bain. »
Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… L’adage est connu et déjà au Moyen Âge, Clément Marot ne disait-il pas « Tord bien mené rend bon droit inutile » ? La France, patrie autoproclamée des droits-de-l’homme est surtout menacée de devenir, pour certains, surtout celle des tords-du-Français-de-souche…
Publiée dans le quotidien Présent
22:38 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 28 juillet 2016
Un concordat franco-musulman : ??? ou !!!
Bernard Plouvier
La dernière idée (à moins que ce ne soit sa première) de notre sublime ministre de l’Intérieur et des Cultes serait l’élaboration d’un « Concordat avec l’islam ».
Le simple énoncé de l’expression stupéfie, puis amuse beaucoup l’historien. À quel degré d’incompétence, d’ineptie et d’ignorance, nos brillantissimes « chefs » vont-ils se hisser ? Jusqu’où et jusques à quand vont-ils ridiculiser la Nation française ?
Parce que la notion même de Concordat signifie un accord politico-diplomatique à connotation religieuse signé entre deux puissances, l’une temporelle – un État laïc – et l’autre à la fois spirituelle et à prétentions temporelles, comme peut l’être le Saint-Siège, autrefois maître des États Pontificaux et, depuis 1929, réduit à l’État du Vatican (soit sa cité, le domaine Castel-Gondolfo et quelques sites, comme la basilique d’Assise).
Bref, pour « concorder », il faut qu’un gouvernement trouve un partenaire… et c’est là qu’on rigole. Avec qui Cazeneuve, le Valls et gras Président veulent-ils s’accorder ?
Avec les chiites d’Iran et d’ailleurs, qui n’ont plus de puissance temporelle depuis qu’un Président laïc a été élu à la tête de l’État iranien et dont la direction spirituelle est collégialement assurée par une douzaine de grands ayatollah qui se jalousent mutuellement ? Probablement pas ! Même nos ignares parisiens doivent savoir que les chiites ont abandonné le terrorisme une fois mort, en 1989 après avoir ravagé son pays dix années durant, le paranoïaque délirant Ruhollah Khomeiny.
De toutes façons, ce sont les sunnites qui fournissent la dizaine ou la douzaine de musulmans de France (5 à 6 millions d’immigrés de première génération et six autres nés sur le sol français) et la totalité des djihadistes, activistes en paroles, terroristes actifs et candidats. Et là, on rigole derechef.
Avec qui, Cazeneuve et ses sbires vont-ils prendre langue ? Avec le souverain du Maroc qui est un chérif (un descendant supposé de Mahomet, par les collatéraux, car le prophète n’eut pas de fils ni de fille lui survivant, en dépit une dizaine d’épouses). Mais, ni les Algériens, ni les Tunisiens ne voudraient d’un accord signé par un de ces Marocains qu’ils haïssent… car la Oumma et sa chaleureuse unité musulmane est une vaste blague, analogue à l’amour des chrétiens entre eux : on a vu ce que cela donnait en 1914 ou en 1939 sq. Quant aux Libyens, Égyptiens, Syriens, Irakiens, Arabes, Turcs, Afghans et autres Indonésiens, ils n’ont rien à faire avec l’Idrisside.
Vont-ils s’acoquiner avec les vieilles barbes des mosquées-universités les plus vénérables du Maghreb ? Mais quelle jeune frappe de banlieue, quel voyou à-demi illettré des cités de France, d’Allemagne ou de Belgique vont-ils suivre les recommandations des vieux savants de Zitouna (Tunis), de la Quaraouiyna (Fez) ou d’al-Azhar (Le Caire) ? En outre, les Turcs se moquent éperdument des avis d’Arabes et de Berbères… et vice-versa.
Reste le calife autoproclamé de Mossoul, Abou Bakr II, dont on annonce la mort tous les mois, ou à peu près, depuis deux ans, ce qui est très stupide, car ces fausses annonces renforcent son prestige chez les jeunes musulmans fanatiques. Pour tout vrai fidèle - celui qui a médité le coran -, le seul fait que le bonhomme n’ait pas été immédiatement pulvérisé par la foudre ou brûlé par le feu divin purificateur, le vendredi 4 juillet 2014 (en plein ramadan), lorsqu’il fut intronisé calife, prouve qu’allah n’en a pas été fâché.
On voit mal comment le gouvernement français, empêtré dans la guerre de Syrie – une guerre inutile et absurde puisqu’aucun impératif national n’était engagé -, pourrait traiter avec le chef politico-spirituel, et peut-être militaire, de Daesh (ou Daech ou État Islamique). Toutefois, si nos pitres veulent signer un Concordat, ce ne peut être qu’avec le nouveau commandeur des croyants.
Sauf à le faire avec le roi d’Arabie saoudite, mais on ne sait s’il réside plus d’une centaine de Wahhabites en France et les autres sunnites ne reconnaissent pas la parole de ces schismatiques… quant aux Turcs, ils les haïssent !
Bref, l’idée était amusante, pittoresque par son côté inédit… mais justement, le fait même qu’aucun concordat (à la différence des accords diplomatiques entre États) n’ait jamais été possible entre un gouvernement occidental et un pays de Charî’a aurait dû faire réfléchir nos « chefs », avant qu’ils ne profèrent une telle ânerie.
Finalement, lorsqu’ils auront été chassés de l’apparence du Pouvoir (la réalité n’appartient qu’aux maîtres de l’économie globale), on s’ennuiera. Leur sottise, leur nullité nous manqueront.
14:03 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand l'actualité dépasse la fiction : décidément, on est en plein dedans...
Chrétiens assassinés en Normandie et ailleurs...
Le FLNC met en garde
les "islamistes radicaux" et "l'Etat français"...
Une situation qui dégénère envisagée
dans le roman-choc d'Emmanuel Albach !
LE GRAND REMBARQUEMENT
Une idée qui fait son chemin
A lire d'urgence et à diffuser sans retenue cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
08:28 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Triste nouvelle : nous venons d'apprendre le décès de Gérard Marin
08:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 27 juillet 2016
Finis les discours et les crises émotionnelles. Place aux actes.
Bernard Plouvier
Depuis 2013, on dénombre plus de deux cents églises et cimetières de France où les symboles chrétiens ont été profanés, en sus de rares synagogues et de quelques temples huguenots (mais certains semblent ne remarquer que ceux-là, à la manière de l’arbre qui cache la forêt).
Il aura fallu l’égorgement d’un prêtre quasi-nonagénaire par deux racailles musulmanes pour que notre distingué Premier ministre semble entrapercevoir – de très loin – l’ombre d’une possibilité de guerre de religions. Le slogan : « Valls démission » n’est, hélas, d’aucune utilité, puisque personne à la direction de l’État n’est capable de faire quoi que ce soit pour protéger la Nation française.
Ce n’est en effet pas de Cazeneuve, le si efficace ministre de l’Intérieur qu’il faut attendre quoi que ce soit, en dehors d’un rictus haineux et de discours… dirigés contre une « extrême-droite » aux intentions fantasmées. Pour l’heure, il se dit nauséeux, après avoir été attaqué, en raison de l’incompétence flagrante de ses nombreuses polices depuis la fin de l’An 2014 (car les attentats n’ont pas débuté en 2015).
Quant à gras Président, il se contente de balader sa suffisante insuffisante un peu partout… et continuera de le faire tant que l’État aura les moyens de subventionner ses voyages intercontinentaux. Il promène sa silhouette bedonnante et son masque de (très mauvais) tragédien) sur les lieux de France que l’immigration-invasion musulmane a transformés en sites de carnage et où officient les pleureuses et autres hystériques, qui n’ont même plus besoin des caméras de la TV puisqu’un simple téléphone portable suffit à immortaliser leur sensiblerie.
Ce n’est pas sur ces pantins de la globalo-mondialisation que la Nation doit compter. Il ne faudrait pas oublier que le 31 mai 1968, alors que de Gaulle était en fuite à Baden-Baden, c’est la Nation – et elle seule – qui a rétabli l’ordre en sortant massivement dans les rues, organisant d’énormes cortèges pour signifier aux canailles gauchistes la fin de la chienlit qui ridiculisait notre pays.
D’énormes manifestations populaires n’auraient qu’un faible intérêt de nos jours, puisque nous en sommes arrivés à un état de guérilla permanente, par l’effet d’une guerre des races et des religions.
Puisque l’État a démontré sa totale inefficacité dans la prévention des nouveaux attentats et sa nullité dans l’encadrement policier de la Fête Nationale, les citoyens doivent s’organiser en milices populaires d’autoprotection. On se moque des ukases des pantins ministériels : ils sont incapables de protéger la Nation. De ce fait, la Nation doit se protéger elle-même.
Divers musulmans - le calife autoproclamé de Mossoul ; les nombreux imams et ulémas gueulant leur haine de l’infidèle dans des dizaines de mosquées de France tous les vendredis soirs - ont montré aux hyènes de banlieues qui était l’ennemi : le Français de souche européenne. Tous les déchets intellectuels et sociaux d’une immigration mal éduquée, sous-douée, refusant l’effort scolaire et professionnel, ont parfaitement compris le message.
Daech peut à bon droit revendiquer les attentats commis en France (ou en Allemagne), alors même que les nervis de l’État Islamique n’ont rien organisé, étant eux-mêmes totalement dépassés par les événements : ils ont montré le chemin de la haine meurtrière. Et partout, dans le Dâr al-Harb (soit, tout pays non dirigé par la loi coranique : c’est la définition du Domaine de la guerre sainte), les psychopathes et sociopathes tuent au nom d’allah, avec la bénédiction du calife.
Même quand ils ont à peine lu quelques sourates du coran, les dingos de banlieue peuvent légitimement se recommander de l’enseignement des imams et du calife de haine, quand ils tuent à l’aveugle. La récupération des électrons libres du djihadisme par Daech est de ce fait logique et légitime.
Le corollaire est simple. Puisqu’il n’existe aucun moyen de prévoir qui, parmi la foule des musulmans présents sur le sol européen, va « se radicaliser » (c’est-à-dire obéir aux neuf sourates qui ordonnent la pratique du Djihâd à tout musulman en bonne santé), c’est l’expulsion intégrale des musulmans d’Europe qu’il faut envisager.
Aux USA, juste après la Civil War (la guerre de sécession), l’on a employé l’Armée pour protéger les colons de la furie d’Indiens qui ne voulaient pas d’agriculteurs sur leurs terres de chasse. Ces résidus d’un paléolithique anachronique furent exterminés en grande partie, et les survivants parqués dans des réserves. Lors de cette ultime période des guerres indiennes, le général Philipp Sheridan avait lancé un slogan : « Un bon Indien est un Indien mort ».
Nous autres Français, héritiers de deux millénaires et demi d’une illustre civilisation, ne voulons pas en arriver à cette extrémité barbare, même si nos merveilleux islamistes-envahisseurs semblent vouloir appliquer un slogan identique : « L’infidèle ne mérite que la mort ».
Pour éviter que l’actuelle boucherie islamique qui ravage la France ne dégénère en guerre civile, rappelant, par son côté sordide, les tueries des années 1792-1794, puis les horreurs de la Libération-Épuration de 1944-47, il est indispensable de débuter au plus tôt le Grand Retour. Et pour l’heure, il importe de protéger les Français de souche européenne de l’immonde barbarie musulmane. L’autoprotection est un devoir quand l’État est en faillite.
22:58 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Contre le terrorisme : Thomas Joly à Saint Quentin (Aisne) vendredi 5 août
Renseignements cliquez ici
19:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le communiqué imbécile de SOS-racisme
Source l'Observatoire de la christianophobie cliquez ici
Chacun y va de son communiqué, comme il fallait s’y attendre, tant l’abominable égorgement du Père Hamel a profondément ému les Français – enfin, pas tous… – et d’innombrables étrangers. Tous les communiqués, évidemment, ne se valent pas. Certains, même, ne valent rien du tout comme celui ridicule de l’association subventionnée SOS Racisme qui eût mieux fait, en l’occasion, de s’abstenir de tout commentaire. D’abord, parce que cet odieux attentat n’a rien de raciste. Il est religieux : des musulmans s’en sont pris de manière abominable à des catholiques non pas en « haine de la vie » mais en haine du christianisme. Notons que le caractère antichrétien de l’attentat est parfaitement gommé dans ce communiqué. Ensuite, parce que vouloir faire passer Daech pour une organisation « d’extrême droite » montre que SOS Racisme ne comprend rien à la chose. Quand on ne comprend rien, le mieux est de se taire afin de ne pas passer pour un imbécile. Enfin parce que ces « attaques d’une sauvagerie inédites [sic !] », n’ont, en matière de sauvagerie rien d’inédit, ne serait-ce qu’en France pays où la Terreur, comme mode de gouvernement, a été imaginée avec tout son cortège d’horreurs et ses métastases dans de nombreux pays. Oui, vraiment, ce communiqué est imbécile, au sens propre et au sens figuré.
Le communiqué de SOS-racisme :
L’attaque terroriste qui a frappé l’Eglise de Saint-Etienne du Rouvray est un nouvel acte d’une infinie lâcheté perpétré par des personnes animées d’une haine de la vie. Nous exprimons nos condoléances aux habitants et à la ville de St Etienne du Rouvray, frappée par cet acte barbare et odieux. En se revendiquant de Daech, les deux assassins montrent une fois de plus le caractère sanguinaire de cette secte d’extrême-droite aux orientations racistes, antisémites, sexistes et homophobes. Animés par une idéologie de mort, ils essaient une nouvelle fois de fracturer la société et de nous éprouver. Face à ces attaques d’une sauvagerie inédites, restons fermes et unis. Si le but des terroristes est d’instiller la peur et de nous amener à réduire par nous-mêmes nos libertés, nul ne doit être dupe de l’objectif fondamental des terroristes et de leurs commanditaires.
15:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE PINGOUIN, LE CATALAN, LE CROQUEMORT ET LA FRISONNE
Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Mon premier est Président d’une République en complète déconfiture, surnommé ainsi dans une chanson par l’épouse de son prédécesseur. Mon second, naturalisé en 1982, quatre ans avant d’être élu conseiller socialiste à la Région d’Ile de France, est célèbre pour ses coups de menton « à la Mussolini »… Mon troisième, « s »inistre de l’Intérieur des deux premiers, a toujours une mine de chien battu, sans doute a-t-il été formaté par les cours du soir donnés aux PFG ! Quant à ma quatrième, elle est la plantureuse Chancelière d’une Germanie volontairement colonisée par des hordes venues d’Asie mineure. Mon tout est une superbe bande de « bras cassés » européens ou un trio de Pieds nickelés à qui il manquerait leur « Tartine Mariole » pour faire un quatuor tragi-comique….
TROP, C’EST TROP !
En Germania comme en Francia, les frappes de Dae’ch se suivent et ne se ressemblent pas. En une semaine, la RFA a subi trois attaques islamistes, sans compter la tuerie d’un « déséquilibré » d’origine iranienne commise au super centre commercial de Munich. Ce fut d’abord l’attaque à la hache des passagers d’un train par un Afghan agissant au nom de « l’Emirat islamique » et au cri « d’Allah Akbar », puis le dimanche 24 juillet le meurtre par un « réfugié » syrien de 21 ans, à Reutlingen en Forêt noire, d’une jeune femme à coups de machette. Le soir du même jour, à Ansbach, c’était un « kamikaze » - encore un « réfugié » syrien – qui se faisait exploser dans un restaurant situé à proximité d’un festival de musique, attentat entrainant des blessures sur douze personnes, dont trois très grièvement atteintes. Les Franconiens comme les Bavarois sont des gens réputés calmes. Pas sûr qu’aux prochaines élections « la Frisonne » en tire un bénéfice, car ça commence à « ruer dans les brancards » du côté de la CSU, partenaire gouvernemental bavarois de la chancelière. Du grain à moudre pour PEGIDA et l’AFD ? C’est tout le mal que nous leur souhaitons….
LA FRANCE FRAPPEE DEUX FOIS DANS SA CHAIR EN MOINS DE DEUX SEMAINES
Crime de masse avant-hier à Nice, ville symboliquement touchée le 14 juillet - le jour même où la France, 4ème puissance nucléaire mondiale étalait sa force de colosse aux pieds d’argiles – aujourd’hui Saint-Etienne de Rouvray où un prêtre de 86 ans (!) est égorgée sous les yeux de quelques paroissiens par un duo de jeunes islamistes. Et qui demain, quoi, où ? Tragique interrogation face à l’incapacité de nos gouvernants à prendre les mesures efficaces qui permettraient d’éradiquer un mal sournois qui ronge la nation. Dans ces deux derniers cas, si la loi avait été appliquée, sans entorse aucune à « l’Etat de droit » si cher à toutes ces belles consciences de « gôôôôôôche », les massacres auraient été évités. Le Tunisien « niçois » aurait été expulsé dès sa condamnation et l’apprenti-djihadiste au bracelet aurait été enfermé au lieu de bénéficier de la clémence absurde d’un magistrat anonyme. Tous ces crimes sont commis par des fanatiques se réclamant explicitement de la religion du Prophète. Qu’attendent les musulmans de France pour, massivement, s’en désolidariser ? Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dali Boubaker, a bien exprimé le mercredi 27 juillet, avec des paroles fortes, son indignation et sa compassion devant ce crime horrible symboliquement commis dans une église de France, pour frapper la religion des « mécréants » comme ils disent. Cela suffira-t-il à désarmer les esprits fêlés nourris des lectures coraniques les plus extrémistes, jusqu’à plus soif ? Il y a bien eu un rassemblement de quelques milliers de Mahométans après l’assassinat des deux policiers dans les Yvelines, c’est vrai. Des gens venus « en voisins », très visiblement pour exprimer leur horreur face à un crime perpétré à leur porte par l’un des leurs. C’était un premier pas dans le bon sens. Mais depuis… Les citoyens français après la tuerie de « Charlie Hebdo », sont-ils descendus eux aussi en masse dans les rues de nos villes après les massacres du Bataclan et de Nice ? Que nenni. C’est incompréhensible… Le pouvoir en place n’a mobilisé semble-t-il, que pour « les siens », une équipe de journalistes et de dessinateurs anarcho-gauchistes. La peau d’un « Franchouillard » de base vaudrait-elle moins cher que celle d’un artiste à la plume sulfureuse et provocatrice ? Tout change et rien ne change. Hollande, jugulaire, jugulaire, genre « chef de guerre », annonce l’envoi de canons en Irak pour appuyer l’armée de ce pays dans sa campagne de reconquête de Mossoul. Fort bien. Ne vaudrait-il pas mieux parallèlement, assigner à l’opération « Sentinelle » des objectifs plus dynamiques que de monter une garde statique devant les ambassades, mosquées, synagogues et autres lieux de culte ? Par exemple l’investissement de cités à problèmes en passant au peigne fin les cages d’escaliers, les caves et les paliers ? En 1956, un gouvernement de gauche donna à l’armée les pleins pouvoirs pour stopper une vague d’attentats à Alger. En quelques mois l’affaire était pliée ! Il faut ratisser systématiquement les banlieues de nos villes abandonnées aux trafics et aux prêches inconsidérés d’imams étrangers, fermer les mosquées salafistes, incarcérer tous les djihadistes potentiels, ces fameux « fichés S », et rétablir la peine de mort pour les terroristes assassins puisque nous sommes en guerre, parait-il, et que le code militaire prévoit cette disposition. L’Etat d’urgence, c’est un cataplasme sur une jambe de bois ! Il est temps d’embrayer la vitesse supérieure et cela s’appelle l’Etat de siège. Tout le reste n’est que polémique stérile et littérature. Combien de temps les Français seront-ils passifs et patients ? Les élections de 2017 risquent d’être… « explosives » !
13:54 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |