lundi, 22 août 2016
Il y a un an, Emmanuel Ratier nous quittait...
A Emmanuel…
Patrick Parment
Article publié après la disparition d'Emmanuel Ratier dans le n°41 de la revue Synthèse nationale.
La disparition d’Emmanuel Ratier est une perte immense pour l’ensemble du mouvement national étendu à toutes ses composantes. Mais, c’est aussi, pour moi, la perte cruelle d’un ami de longue date auprès duquel je caracolais depuis plus de trente ans, tant à titre personnel qu’éditorial quand il faisait appel à mes maigres talents.
Outre les idées, ce qui nous avait réuni, c’était notre passion pour la tauromachie. Dans les années 1990, j’avais un copain à la mairie de Nîmes qui nous procurait de bonnes places dans les arènes. Et nous nous retrouvions souvent au milieu du « beau linge » comme l’on dit, passionné comme nous de la bête à cornes. Notre plus grand souvenir demeurait évidemment le mano à mano de Nimeno 2 en 1989 après l’éviction de Victor Mendes sur blessure. Mais passons.
Comme il a été noté dans les hommages qui lui ont été rendus, Emmanuel avait le goût des autres, la fidélité de l’amitié, une grande culture et aimait par-dessous tout son travail et sa famille. Sur le fond, il avait su garder les idées de sa jeunesse auxquelles il ne dérogeait guère même si elles avaient (peu) évolué. Ce qui ne l’empêchait nullement d’être ouvert aux autres comme en atteste l’étendue de ses relations.
Cet esprit brillant qui avait avalé Sciences-po, ne pouvait que se destiner au journalisme. Ce qu’il fit avec ce qui était encore la prestigieuse école de la rue du Louvre. A l’époque l’offre n’était pas très grande pour les gens de droite et il fit un parcours assez classique de Valeurs actuelles (époque Bourgine) à Minute (époque Patrick Buisson) avant de lancer sa propre aventure avec sa lettre confidentielle, Faits & Documents.
Tôt, et dans le sillage de Henry Coston, Emmanuel avait compris que pour combattre un adversaire, il est utile d’en connaître le pedigree. Si Coston lui montra la voie, l’élève ne tarda pas à dépasser le maître. Il faut bien avouer qu’Emmanuel était poussé dans cette voie par un atavisme familial : la collectionnite. Emmanuel collectionnait tout, du porte-clé à la boule de neige, les affiches politiques de 1940 à nos jours, les livres, les journaux. Mais, plus que les romans, Emmanuel préférait les livres politiques, les guides, les dictionnaires, les annuaires tels le Who’s Who, le Bottin mondain, etc. Ce « fouille-merde » devint ainsi l’un des plus grands journalistes d’investigation de la place de Paris, sachant où il fallait chercher pour débusquer l’information. Quand bien sa source principale demeurait cette presse qu’il savait « lire » mieux que personne.
Faits & Documents est un média unique dans le paysage médiatique français où il nous livrait tous les quinze jours les dessous, pas toujours très avouables, de la vie politique française et étrangère, agrémenté d’un portrait particulièrement fouillé d’un personnage, acteur influent de la vie politique ou économique, national ou international. C’était souvent une mine de renseignements pour la presse « officielle » qui se gardait bien, évidemment, de citer ses sources quand elle le « pompait ».
Alors que le Front national était sorti de sa confidentialité, Jean-Marie Le Pen l’accueillit et lui offrit une tribune dans National hebdo où, chaque semaine, il passait à la moulinette, façon Jean-Claude Averty, un ténor ou non de la politique nationale. Une rubrique suivie et attendue, avec le portait littéraire de Jean Mabire.
De sa lettre, Emmanuel ne tarda pas à passer à l’édition. Mais toujours dans le même esprit : dévoiler ce qu’on nous cache. Le navire amiral demeure sa première Encyclopédie politique française en 1992. Un ouvrage unique en son genre et qui fera date. Le second tome paraîtra dix ans plus tard. Mais entre temps, livres et brochures se sont succédés : Mystères et secrets du B’nai B’rith sur la franc-maçonnerie juive, des brochures sur Patrick Gaubert, président de la Licra et marionnette de Charles Pasqua, un hilarant Jacques Chirac. Puis viendront Les Guerriers d’Israël, une enquête très fouillée sur les milices juives ; Enquête au cœur du pouvoir (1996), avec les noms et pedigree des membres de ce club très fermé qu’est Le Siècle où se retrouve toute la nomenklatura politique, économique et médiatique française, ouvrage qu’il refondera entièrement en 2015. Et, cette même année, une brochure sur Manuel Valls – Le vrai visage de Manuel Valls - qui n’a pas manqué de faire du bruit.
Une œuvre unique en son genre et qui a cette qualité fondamentale de toujours privilégier les faits et jamais l’humeur ou le jugement de valeur. Pour cette raison, Emmanuel ne sera jamais attaqué pour fausse information, diffamation, etc. Il s’en tenait aux faits, et c’est bien ce qui fait la qualité de ses ouvrages et celle de sa lettre confidentielle.
Emmanuel avait des projets plein la tête. Il avait eu des accidents de santé mais passant outre, n’arrivait pas à ménager sa peine. Et il nous a quitté alors qu’il mettait sur pied un centre de documentation ouvert aux chercheurs issus de notre famille de pensée. Militant toujours.
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dimanche, 21 août 2016
Tixier-Vignancour 1965 : il y a deux manières de parler politique...
Jean-Louis Tixier-Vignancour, candidat national
à la Présidentielle de décembre 1965
Lire le remarquable article de Jacques Chassaing publié sur le site de Riposte laïque cliquez ici
Ainsi que :
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samedi, 20 août 2016
Jean Raspail en Bretagne : c'est maintenant que commence la Camp des Saints...
Un entretien avec Breizh info cliquez ici :
20/08/2016 – 07H00 Fréhel (Breizh-info.com) – Jean Raspail, l’auteur notamment du Camp des Saints, terrible best-seller prophétique, est un amoureux de la Bretagne. Il passe régulièrement ses vacances à Fréhel (22) – un coin qu’il apprécie particulièrement – où il nous a fait l’honneur de nous accorder une interview.
L’occasion pour nous de l’interroger sur sa relation avec Fréhel et ce secteur si particulier de la Bretagne. Mais aussi sur son rapport à la Bretagne. Et bien entendu, sur son oeuvre, et notamment Le Camp des Saints. Enfin, nous en avons profité pour questionner Jean Raspail sur l’actualité, et notamment sur l’islamisation, mais aussi sur la vague migratoire sans précédent qu’il avait prédit.
Jean Raspail s’est totalement prêté à l’exercice, et ses réponses pimentées ne manqueront pas de surprendre nos lecteurs. De son attachement à l’identité bretonne, au clan breton, et à son enracinement, à sa volonté de faire abolir les lois Pleven-Gayssot-Taubira, en passant par son constat sans fioriture sur la montée de l’islamisme ou l’invasion migratoire, on ne s’ennuie pas un instant durant les 35 minutes d’entretien qu’il nous a accordé.
Il y a plus de quarante ans, en 1973, Jean Raspail faisait scandale en publiant « Le Camp des Saints », roman dans lequel il imaginait le déferlement de populations du tiers-monde, poussées par la faim et la misère sur les côtes françaises. Un million de boat people prenaient pied sur notre territoire, en avant-garde d’une inéluctable invasion. Le gouvernement atermoyait, puis cédait. Mais une poignée de patriotes résistait jusqu’au bout, les armes à la main…
Aujourd’hui, force est de constater que l’Histoire valide la thèse de son roman. Un roman dont il a refait la préface, en 2011, que Polémia analysait ainsi : « L’Europe, la France vivent sous le joug d’une idéologie unique : Big Other. Une admiration sans bornes de l’autre, doublée de la haine de soi, de sa culture, de sa civilisation. Une idéologie unique qui nous assujettit grâce aux méthodes de Big Brother : la société de surveillance que nous connaissons où la police de la pensée est omniprésente. Une idéologie unique qui s’impose d’autant plus facilement aux individus qu’ils sont affaiblis par la tutelle de Big Mother : le principe de précaution qui doit s’appliquer du berceau à la tombe. Sauf dans un domaine, semble-t-il, celui des… politiques migratoires ».
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Jean-Claude Rolinat dédicacera ses livres lors de la Xe Journée des Synthèse nationale, dimanche 2 octobre à Rungis (94)
11:47 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le bikini serait donc une valeur républicaine
de Philippe Randa
Eurolobertés cliquez ici
L’islamophobie rend fou nombre de nos concitoyens, mais avec l’apparition, cet été, du burkini sur les plages françaises, nous aurons également appris qu’il peut rendre également – surtout ? – ridicule.
Manuel Valls, Premier ministre en exercice, a ainsi clamé haut et fort – menton haut perché et mâchoires plus crispées encore qu’à son habitude – que le port du burkini ne serait « pas compatible avec les valeurs de la France et de la République ».
Voilà au moins un mystère citoyen résolu ! Depuis le temps que certains autoproclamés républicains brandissent ces fameuses valeurs républicaines comme épouvantail anti-mouvements populistes, on attendait jusqu’à présent en vain que quelqu’un nous en précise tout de même la teneur…
Le maillot de bain serait donc l’un des emblèmes républicains, fort bien ! Et plus il serait réduit, plus il renforcerait les valeurs républicaines, CQFD… Le maillot une pièce serait-il à peine tolérable – remplissant tout juste les conditions minimums de républicanisme – et le deux-pièces déjà plus acceptable, tandis que le monokini serait le modèle républicain quasi-idéal ?
À titre personnel, je ne me savais pas si expressément républicain dans mes aspirations de visions estivales… Comme quoi je serais moins « mauvais citoyen » que certains pourraient le penser, la preuve !
Mais dans ce cas, les naturistes ne seraient-ils pas de fait les plus grands défenseurs des valeurs républicaines ? Sans doute… Il fallait oser ! Mais Vals et Cie, ça ose tout et c’est même à ça qu’ils ont nous ont habitués à les reconnaître depuis le début du quinquennat actuel.
Enfin ! Trêve de sarcasmes, si mal venus en une époque de sanglants attentats : le burkini des musulmanes – le sont-elles toutes, d’ailleurs ? – ne serait rien d’autre qu’une provocation islamiste, une de plus !
Et nombreux sont ceux qui veulent l’interdire, à commencer par certains maires, soutenus expressément par Matignon : « Les plages, comme tout espace public, doivent être préservées des revendications religieuses. Le burkini n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, une mode. C’est la traduction d’un projet politique de contre-société, fondé notamment sur l’asservissement de la femme… », a encore martelé Manuel Valls.
La France était déjà connue pour l’extrême sévérité de sa police de la pensée, voilà donc une police du vêtement officiellement proclamée… et quasi instaurée, bien que notre sévère Premier ministre prenne soin, tout de même, d’indiquer qu’il ne croit pas « qu’il faille légiférer en la matière : la réglementation générale des prescriptions vestimentaires ne peut être une solution […] Avant de penser à légiférer, nous ferons appliquer la loi interdisant le port du voile intégral dans l’espace public – nous le rappellerons, avec le ministre de l’Intérieur, aux préfets et aux forces de sécurité. »
Quel rapport ? Que l’on sache, le burkini ne cache en rien le visage de la femme, seulement son corps, contrairement au voile intégral !
Il est à ce titre surprenant – pas tant que ça, en fait ! – que les chiennes de garde du féminisme qui s’époumonent à dénoncer les publicités dénudant les femmes soient tout aussi virulentes à exiger que celles-ci s’exhibent en très petite tenue sur les plages…
Que ceux qui dénoncent le burkini en tant que provocation religieuse dans l’espace public réfléchissent aussi à la conséquence de son éventuelle interdiction : suivront alors, logiquement, celle des cornettes des religieuses, le scapulaire des bénédictines et carmélites ou encore les chapeaux et papillotes des religieux juifs pour ne citer que ceux-là…
PS : On lira avec intérêt deux autres chroniques, défendant l’une et l’autre des points de vue complémentaires :
Yann Vallerie sur Breizh info cliquez ici
Les observateurs.ch cliquez là
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vendredi, 19 août 2016
En attendant la sortie du livre "POURQUOI NOUS SOMMES CONTRE LES EOLIENNES" prévue le 2 octobre*, le nouveau numéro du "Crapouillot" traite le sujet
12:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta participera à la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis (94)
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Université d'été du Renouveau français la semaine prochaine en Bourgogne
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08:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le GUD prépare sa rentrée
Site du GUD cliquez ici
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jeudi, 18 août 2016
A CEUX DONT LA MÉMOIRE FLANCHE
Pieter Kerstens
Le vote récent des Anglais, qui ont choisi d’abandonner le « bonheur européen » pour un avenir incertain, a donné lieu à un déferlement de mensonges et un tsunami de propagande orchestrés par les eurocrates de Bruxelles. Il faut donc leur rafraîchir la mémoire.
NON, l’Europe n’a pas connu la paix depuis 60 ans ! Effectivement les Allemands n’ont plus subi les vagues de bombardements nuit et jour sur leurs villes. Nantes, Caen, Le Havre, Boulogne Billancourt, Anvers ou Bruxelles n’ont pas reçu de pluies de bombes américaines. On n’a pas découvert de nouveaux camps d’internement comme ceux du Struthof ou de Breendonk (près d’Anvers), mais la « jungle » de Calais concentre quand même toute la misère du monde…
Si nos arrières grands-parents ou grands-parents espéraient que la guerre de 14-18 serait la « der des ders », c’est avec stupéfaction qu’ils avaient appris que le 3 septembre 1939, la France et l’Angleterre déclaraient la guerre à l’Allemagne.
Mais c’est avec joie qu’ils ont accueilli successivement les traités européens de la CECA le 18/4/1951 au traité de Lisbonne le 13/12/2007, un empilage de dizaines de milliers de pages dont le fondement essentiel était « d’éviter une nouvelle guerre ». Les euro-mondialistes nous ont répété en permanence que plus d’Europe, encore plus d’Europe et toujours plus d’Europe aboutirait in fine à un espace « européen » ou à une « Union Européenne » idyllique et quasi comparable au Paradis.
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La colonisation active de la France a débuté
Bernard Plouvier
Depuis la plus haute Antiquité, la colonisation d’une terre par un peuple fut toujours marquée par un avantage civilisationnel, même si, initialement, il fallait (pas toujours d’ailleurs) se débarrasser des opposants au progrès, des vieux débris d’une société totalement dépassée.
En France actuelle, du fait de l’ignoble décret Giscard-Chirac de 1976 sur le regroupement familial des travailleurs étrangers, l’on assiste à une première dans l’histoire de l’Europe. Des gens sous-doués, sous-évolués, sous-productifs, amenant avec eux des usages barbares et une religion obscurantiste issue du haut-Moyen Âge, veulent prendre le contrôle de notre pays, pour y régner en maîtres racistes, sectaires, intolérants et violents.
Cela paraissait probable depuis les années 2010 – même si les collaborateurs autochtones de cette invasion parlaient de « fantasme » -, mais l’on fixait à trente ou cinquante ans l’échéance d’implantation de l’État islamo-africain (noir et maghrébin) en France. L’on avait tort !
En ce mois d’août 2016, une famille islamiste issue du Maroc a décidé de s’approprier une plage corse, chassant les Corses et les touristes européens, à coups de pierres, de menaces et d’invectives, puis avec leur harpon et leur poignard (instrument nécessaire à tout bon musulman conquérant, ou djihadiste). Ce ne sont pas d’abominables « racistes » (prononcer wwrrraciste) qui l’affirment (n’en déplaise aux pleureurs du Collectif contre l’islamophobie, financé par l’honnête George ‘’Soros’’, né Schwartz), mais un procureur de la République, après avoir entendu les gendarmes venus enquêter sur place.
Le scénario de la colonisation, à la fois sournoise et violente, est bien rodé. D’honorables immigrés-envahisseurs africano-musulmans s’attaquent à des Européens de souche puis hurlent, braillent, gueulent au « wwwrrracisme ». Hormis les clowns des media et de la politicaille vendue aux roitelets de l’islamo-pétrodollar, plus personne n’y croit. Et pour une excellente raison.
Promenez-vous en cités « françaises », riches en immigrants-envahisseurs africains, moyen- et proche-orientaux, et vous ouïrez les jolies appellations de « face de craie », de « fromage blanc », de « meuf à cul blanc », tandis que vous pourrez entendre et lire en tags (à l’orthographe hésitante voire purement phonétique) les ultra-classiques : « On va tous vous niquer », « Je nique ta mère », « On nique la France » (et les variantes à base d’enculage).
En clair : les injures racistes en France contemporaine sont quasi-exclusivement à connotation anti-blanche ou antijuive et proférées par d’honorables immigrés-envahisseurs ou leurs innombrables et merveilleux rejetons, plus doués pour la rapine, l’incendie et le vandalisme, le racket, le viol et le caillassage des voitures de police, de pompiers ou d’ambulances, que pour les études ou l’exercice d’un métier.
Après ce triste constat – et l’on n’a même pas évoqué les attentats qui ont endeuillé le pays depuis 2014 -, l’alternative se pose : laisser faire ou réagir.
Si l’on a besoin d’immigrés pour stimuler l’activité économique de la France, choisissons-les en Europe – qui, il est bon de le rappeler, est le continent d’origine et de développement de la race blanche. Les amoureux du métissage ont devant eux les autres continents pour étancher leur soif d’exotisme.
Il est temps, voire grand temps, de décider si nous allons continuer à tolérer lâchement la colonisation de notre patrie par des Extra-Européens, qui n’ont pas de civilisation évoluée à nous apporter, mais des rythmes de travail de type exotique (c’est-à-dire : où la palabre tient davantage de place que le travail effectif), des usages médiévaux, une religion de haine et d’exclusion.
Ou si nous allons imposer le grand retour des Africains et des Moyens- et Proches-Orientaux dans leurs terres ancestrales, en appliquant bien sûr le principe du regroupement familial. On peut même offrir aux « remigrants » les collaborateurs de l’invasion, qui – ayant une mentalité d’esclaves – pourront exercer là-bas leurs talents, puisque l’esclavage est licite en terres de charî’a.
Le choix est clair pour les vrais Français : la barbarie exotique ou le retour aux fondamentaux européens.
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mercredi, 17 août 2016
Dimanche 4 septembre, près de Nîmes : grande fête de la Ligue du Midi
16:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Philippe Randa dédicacera ses livres lors de la Xe Journée de Synthèse nationale dimanche 2 octobre à Rungis (94)
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mardi, 16 août 2016
‘’Soros’’-Schwartz, défenseur et promoteur de la cause de Dame Démocratie
Bernard Plouvier
Le site Breizh-info du 16 août 2016 publie quelques-unes des révélations parues sur le site web « Soros DC leaks », consacré aux générosités fort ciblées de la Fondation du grand homme..
Entre bien d’autres exemples possibles, l’étude des interventions du multimilliardaire cosmopolite (condamné en France pour délit d’initié) lors de l’année 2014 – année d’élections municipales et européennes qui virent le triomphe, en suffrages exprimés, du Front National – permet d’évaluer la conception qu’a de Dame Démocratie cet honorable requin d’affaires.
On imagine que les textes émis par sa Fondation sont soumis à son approbation, selon l’adage : « Qui paie décide ». C’est ainsi que l’actuelle immigration-invasion africaine, moyen- et proche-orientale, à très fort relent d’islamisme – problème majeur de l’Europe - était, en 2014, considérée par lui (ou son rédacteur de messages) comme « un grand moment de démocratie transnationale ».
Depuis l’An 2014, se sont effectivement multipliés les viols en série, les attaques contre les personnes et les biens, et – cerise sur le gâteau moisi – les attentats aussi meurtriers que spectaculaires… « Démocratie transnationale », c’est l’euphémisme à retenir, puisque c’est la formule-choc destinée à imposer à la foule des gogos le grand remplacement de populations dominantes en Europe.
Et ça ne coûte pas très cher (du moins pour un multimilliardaire) : 50 000 $ pour le Collectif Contre l’Islamophobie en France ; 66 000 $ pour la Ligue des droits de l’Homme afin de « lutter contre l’extrême-droite » (on ne peut pas demander à un ‘’Soros’’ de connaître le terme de populisme et sa signification hautement démocratique) lors de la période électorale ; 130 000 $ pour « lutter contre l’explosion de crimes de haine en Europe »… à quand et pour qui la subvention, à gros effet symbolique, de 666 dollars ?
Et l’on en passe (notamment le financement des ligues homosexuelles, des associations de soutien aux Roms ou de légalisation de l’usage du cannabis). Le bon apôtre arrose préférentiellement, en nos années 2015-16, les media collaborationnistes de l’immigration-invasion en France, en Italie et en Hongrie. Cet argent, après tout, c’est du fric qui entre en Europe, ce qui fait marcher le commerce et, selon ce bon Vespasien, l’argent n’a pas d’odeur, même venant d’un financier condamné par la Justice française. Toutefois, ces « dons » et leur motivation font naître quelques remarques.
Grâce à ‘’Soros’’, l’on a désormais la certitude que la propagande antipopuliste est financée par l’étranger, de la même façon que le PCF d’illustre mémoire était financé par l’argent de Moscou, au bon temps des tsars rouges. L’anti-populisme est entretenu, soutenu, cajolé par le fric cosmopolite. De même, l’immigration-invasion, la promotion de cet islam conquérant, ravageur, barbare et rétrograde qui fait la joie de notre bon pape et de la Chancelière Merkel, sont également soutenues par ce bel argent.
Pour ‘’Soros’’, « l’explosion de crimes de haine en Europe », ce n’est pas l’ahurissante collection de viols et d’assassinats, d’incendies volontaires et de pillages, d’attentats contre les biens et les personnes commise par les innombrables fruits pourris de l’immigration-invasion islamique. Non ! Les « crimes de haine », ce sont des slogans contre l’islam djihadiste ou l’indignation d’Européens contre les us et coutumes médiévaux et africano-orientaux de très nombreux migrants.
La conception de la « démocratie », selon ‘’Soros’’ et ses semblables – les milliardaires de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle -, ce n’est surtout pas de demander leur avis aux peuples européens, seuls souverains légitimes des États d’Europe. Ces chevaliers ultra-friqués de la globalo-mondialisation ne savent que trop bien ce qu’il advient quand on organise un referendum sur l’immigration-invasion !
On le sait : Dame Démocratie est une vieille prostituée, qui s’est vendue tant de fois ces derniers siècles qu’elle en a perdu toute crédibilité, sauf chez les gogos tout juste capables de balbutier des slogans stéréotypés. Après les tant célébrées Croisades pour le Droit et la Démocratie du XXe siècle, on nous vend une Croisade pour l’islam et pour le changement de populations dominantes en Europe… en réalité, pour assurer la domination planétaire de longue durée des milliardaires de l’économie globale.
Que des Européens prennent le fric offert par ‘’Soros’’ et ses semblables, pourquoi pas. Mais il faut dissocier les dollars de ces beaux messieurs de leurs arguments grotesques, qui n’ont pour finalité que de métisser les Nations européennes et de détruire l’élite occidentale, trop peu sensible aux charmes du crétinisme mondialiste.
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La Librairie française est ouverte tout l'été...
16:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Patrick Gofman dédicacera ses livres le dimanche 2 octobre à Rungis à la Xe Journée de Synthèse nationale
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lundi, 15 août 2016
Sisco : agressés par des adultes musulmans, les jeunes Corses répliquent…
Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici
une attaque raciste et kouffarophobe qui a eu lieu sur une plage de Sisco au Cap Corse, après que des individus arabo-musulmans s’en soient lâchement pris à des adolescents.
La presse unanime relate l’agression en distinguant bien les agresseurs « des jeunes d’origine maghrébine », « de la communauté musulmane », alors que ceux-ci, aux dires de témoins, auraient en réalité été âgés de plus de 40 ans, tandis que les agressés, non armés, sont « des jeunes Corses » âgés, eux, de 15 à 18 ans.
Le tableau est posé.
Selon le témoignage d’une maman de l’un des agressés, les victimes se trouvaient sur une crique, « armés de leur serviette de plage », lorsque des individus en bandes armés, eux, de « haches, couteaux et harpons » et de matraques sont venus les poignarder, frappant notamment sur la tête le plus petit d’entre eux. Même en bande, le courage n’est pas la qualité première de ceux qui ont pour ordre divin de frapper les kouffars.
Le tort des Corses ? Avoir pris, de loin, des photos du paysage sur lesquels apparaissaient des personnes vêtues de tenues exotiques (les femmes étaient en « burka ») datant d’une lointaine époque et donc aussi incongrues que celles de Jacquouille-la-Fripouille en plein 21e siècle. Ce n’est d’ailleurs certainement pas un hasard si les agresseurs sortis de leur propre Moyen-Age s’en sont également pris aux voitures garées là, puisque les femmes en burka ont crevé les pneus, tout comme Jacquouille en panique devant un moyen de transport moderne frappait « la chariotte du diable » du facteur.
L’affrontement aurait fait une demi-douzaine de blessés, dont une femme enceinte ainsi qu’une autre personne dans un état très grave du côté des Maghrébins.
La maman, décrivant une « scène de guerre » dans laquelle sont intervenus une centaine de policiers et de gendarmes, poursuit son témoignage : « le copain de ma fille, sous ses yeux, a esquiver un coup de couteau dans le ventre ». Trois des pères des jeunes Corses sont arrivés en premier sur les lieux pour tenter de régler la situation, tandis que l’un d’eux aurait esquivé un coup de couteau, avant qu’un autre ne se prenne un coup de harpon.
« Mon frère a été tabassé, il est choqué pour toujours », a déclaré la sœur de l’un des agressés.
Un témoin a déclaré que les agresseurs, âgés de 40 à 50 ans et, semble-il, d’origine marocaine, ont crié « Allah akhbar ! On est chez nous ! », avant de continuer : « on va niquer vos femmes, on va les mettre pleines ! On va s’en prendre à vos enfants ! ». Bref, rien que du classique. Une femme aurait également été lapidée par des Maghrébins, selon un autre témoin de la scène.
Pour comble de crétinerie, des membres des musulmans agresseurs ont mis le feu à leurs propres véhicules…
Après cette attaque par des adorateurs de Mahomet, on ne peut que féliciter la ténacité du maire de Cannes ainsi que celle de Lionnel Luca à Villeneuve-Loubet de n’avoir pas cédé aux revendications communautaires d’islamistes désireux d’appliquer la charia sur notre sol, la justice ayant donné raison à ceux-ci en raison du trouble à l’ordre public que le port du burkini ne pouvait que générer. Nous n’avons, en effet, pas vocation en France à tolérer des revendications d’un autre âge ostensiblement idéologiques, sexistes et porteuses de sous-entendus accusatoires laissant entendre que tous les hommes en France seraient des violeurs potentiels de musulmanes.
Lionnel Luca avait rédigé un arrêté stipulant que « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité adaptées au domaine public maritime » serait interdit. La charia n’a en effet pas lieu d’être en France.
C’est dans ce contexte qu’en fin de matinée, ce dimanche, suite à cette agression kouffarophobe, des manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. Parmi eux, certains ont crié « aux armes, on va monter parce qu’on est chez nous ! ».
Nous ne pouvons qu’encourager et féliciter nos amis corses pour leur courage et leur refus de ne pas se laisser marcher sur les pieds par la racaille islamiste.
De même, on peut s’interroger sur l’incapacité de Bernard Cazeneuve de faire régner l’ordre « républicain » sur notre territoire, rôle qui lui est pourtant dévolu et pour lequel il est grassement payé. On ne peut que constater que le résultat de sa politique laxiste joue davantage en faveur des racailles qu’en faveur du peuple qu’il est supposé protéger.
Il va falloir que cet improbable régime socialiste annonce clairement la couleur : soit il installe l’islam incompatible avec notre civilisation sur notre sol afin de nous faire disparaître, soit il nous défend de cette « idéologie d’agression » hostile à toute élévation intellectuelle, à toute beauté, et surtout à toute tolérance. En tout cas, il ne peut y avoir cohabitation. Quand on se rend à la plage avec des haches dans le but de frapper des non musulmans, ainsi que l’ordonne le coran, c’est qu’on a la volonté de nuire, qu’on est en guerre.
Si on est en guerre, alors il faut bouter l’ennemi hostile hors de nos frontières françaises afin de protéger les nôtres, point barre.
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dimanche, 14 août 2016
Gabriele Adinolfi sera présent à la Xe Journée de Synthèse nationale, dimanche 2 octobre à Rungis (94)
Plus d'informations cliquez ici
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vendredi, 12 août 2016
Chaque jour qui passe nous rapproche de la parution du n°10 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Pierre Drieu la Rochelle
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jeudi, 11 août 2016
Autriche, Grande Bretagne, Hongrie... les peuples contre les pseudo élites !
Directeur de Synthèse nationale
Editorial du n°43 (été 2016) cliquez ici
Nous vous le disions dans la précédente livraison de Synthèse nationale : le monde change. En effet, regardez ce qui s'est passé au cours de ces derniers mois autour de nous.
En Autriche d'abord, le candidat nationaliste du FPO arrive au second tour de la Présidentielle en avril, ce qui est déjà en soit une belle performance. Au second tour, évidemment, il doit faire face à l'éternelle coalition des nantis et des profiteurs du Système, regroupés derrière un écologiste sur le retour. Ceux-ci n'ont que de mots assez sévères et de coups bas suffisamment malhonnêtes pour tenter de discréditer celui qui incarne l'espérance nationale et identitaire du peuple autrichien. Pour être sûr de conserver leurs prébendes, ces faiseurs n'ont pas hésité à truquer le bon déroulement de l'élection présidentielle. Mais ce qui est trop gros ne passe plus et les irrégularités constatées furent tellement nombreuses que la Cour constitutionnelle a annulé le scrutin litigieux. Les Autrichiens retourneront donc voter. La camarilla politico médiatique dans son ensemble s'était égosillée pour saluer "la victoire de la démocratie". Pas un mot pour condamner les forfaitures avérées des démocrates autrichiens... Ce qui nous intéresse pour notre part, c'est que pour la première fois depuis longtemps un nationaliste, qu'il soit au final élu ou non, arrive à casser un Système qui, pour beaucoup, y compris dans nos rangs, est jugé inébranlable...
Passons en Grande Bretagne maintenant. Là aussi l'exemple du Brexit mérite d'être médité. Tout d'abord, il y eu l'arrogance d'un Premier ministre en difficultés qui s'auto persuada qu'il allait être plébiscité par un référendum sur l'Europe. Puis, toutes les forces du Système, avec les énormes moyens que cela représente, se sont mises en branle pour faire avaler aux Britanniques la sauce bruxelloise. Tous les arguments, même les plus fallacieux, ont été exploités. Pour faire peur aux Anglais, en cas de mal vote, tout a été imaginé. Et toc, le jour venu, malgré la chape de plomb du prêt à penser, les Anglais ont souverainement décidé de sortir du carcan européen. Nouveau coup dur pour le Système... L'avenir nous dira comment ce Brexit se passera concrètement, mais ce qui compte pour l'heure c'est que, là aussi, le peuple à ceux qui pensaient une fois de plus le maîtriser...
Dur printemps pour les tenants de la pensée unique !
Ces deux exemples démontrent que rien n'est fatal lorsque les peuples se réveillent. Il est vrai que l'endormissement est tel que l'on peut comprendre que certains finissent par se décourager. L'exemple du référendum de 2005 reste dans la mémoire collective. Le peuple français avait alors nettement (55 % de non) refusé le projet constitutionnel européen et celui-ci lui a été imposé malgré tout, avec le Traité de Lisbonne, par les petits valets du Système qui sont sensés gouverner notre pays. Mais 2005, c'était il y plus de dix ans... Depuis, qu'on le veuille ou non, beaucoup de choses ont changé.
Le Nouvel Ordre mondial que voulait nous imposer l'hyper classe mondialiste après la chute de l'URSS au début des années 90 a prit du plomb dans l'aile. La Russie a relevé la tête et l'Amérique, si par chance elle échappe l'hystérique Clinton, adoptera, peut on espérer, une attitude différente de celle qui est la sienne depuis un siècle. Il ne faut donc pas désespérer. La France et l'Europe, telle que nous la concevons, n'ont peut être pas dit leur dernier mot.
Et au-delà de l'Europe, nous pourrions aussi citer l'exemple de la courageuse Syrie baasiste du Président Bachar Al-Assad. Afin d'étancher leur soif de "démocratie" et surtout leur contrôle sur le pétrole, les mondialistes pensaient mettre à bas ce pays, comme il l'ont fait il y a quelques années en Irak, en Lybie ou ailleurs, en se servant des islamistes sanguinaires pour imposer un gouvernement fantoche à leurs bottes. Mais là aussi, ils se sont heurtés à la résistance farouche du peuple et de ses chefs ainsi qu'à la Russie. L'Amérique a visiblement de plus en plus de mal à s'imposer comme gendarme du Monde.
L'exemple hongrois
Prenons maintenant l'exemple de la Hongrie. Nous avons eu le plaisir, lors de notre journée régionale près de Lille fin avril, de recevoir le journaliste magyar Ferenc Almassy venu de Budapest. Celui-ci nous a expliqué la situation dans son pays où le gouvernement semble beaucoup plus s'intéressé au sort du peuple hongrois, lui aussi menacé par l'invasion, qu'aux intérêts de la haute finance apatride. En l'écoutant, je me disais la chose suivante : nous sommes en 2016, il y a 60 ans, en novembre 1956, Budapest et toute la Hongrie se soulevaient contre l'effroyable dictature communiste qui asservissait le pays. Cette insurrection fut réprimée dans le sang par les soviétiques sans que personne, à l'exception bien sûr des nationalistes en Europe, ne réagisse. Les patriotes hongrois, bâillonnés, emprisonnés, assassinés ou contraints à l'exile, s'imaginaient-ils alors un seul instant que, 60 ans plus tard, la Hongrie serait l'exemple à suivre pour les nationalistes européens ? Je n'en suis pas sûr et pourtant, c'est ce qui se passe aujourd'hui.
Le XXIe siècle sera celui du réveil des identités. Dans le cas contraire, le monde deviendrait un vaste cloaque métissé et robotisé juste bon à obéir docilement à ces pseudo élites qui ne pensent qu'à leurs profits. Pour nous le choix est clair. Face à la soumission, nous appelons à une vaste offensive nationaliste et identitaire. C'est de celle-ci dont nous parlerons le dimanche 2 octobre prochain à Rungis (94) lors de notre Xe journée qui marquera aussi le dixième anniversaire de Synthèse nationale.
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lundi, 08 août 2016
Comprendre la Syrie...
11:51 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La première université d'été de la Guilde des Lansquenets s'est déroulée en Provence fin juillet
Fin juillet, s’est déroulée la première rencontre européenne des Lansquenets. De manière significative, nous nous sommes retrouvés en Provence, région magnifique, colonisée par les Grecs, qui fut aussi celtique et romaine. Elle est, plus récemment, devenue un lieu de concentration de migrants authentiques, et non pas d’envahisseurs, plus précisément de gens trahis par leur gouvernement, lesquels, lorsqu’ils réussirent à survivre à l’épuration ethnique (en une seule nuit, dans la seule Oran, furent égorgés trois mille Blancs désarmés) furent déversées sur les côtes française et espagnole, avant d’affronter l’épreuve de devoir reconstruire leur vie dans des conditions extrêmement dures, au milieu d’une métropole ingrate et sans le soutien d’associations caritatives, religieuses ou pas. Il faut croire que le business du trafic d’êtres humains n’avait pas encore été institué, mais que, quoiqu’il en soit, aider les gens de son propre sang était déjà considéré comme non politiquement correct.
Depuis, plus de quatre décennies se sont écoulées, pendant lesquelles des générations entières de Français se sont formées comme elles le devaient, dans un panorama, dominé par l’acqueduc de style romain, où nous avons donné vie à notre première rencontre.
Si l’on se conforme à la géographie politique, les nations de provenance des présents étaient au nombre de cinq, à savoir la France, l’Italie, l’Espagne, la Hongrie et la Belgique. Cependant, si l’on considère les patries charnelles, on devra également parler de la Corse, de la Catalogne, de la Bretagne, de la Normandie, de l’Alsace, de la Wallonie et de la Flandre. Par ailleurs, via Internet, nous avons eu des relations interactives avec la Grèce, la Norvège et la Finlande.
L’objectif principal de cette fin de semaine était d’entrer en syntonie et de créer des amalgames. Raison pour laquelle bien peu de place fut laissée aux bavardages. Nous avons produit deux brefs documents en plusieurs langues, un premier expliquant ce que sont et comment opéreront les Lansquenets et un second concernant l’Europe que nous allons construire.
Des commissions de travail ont été créées, pour exécuter les tâches bureaucratiques, constituer une direction de la Web-propagande, encourager les relations intra-européennes, produire la revue EurHope, et, enfin, agir sur le plan de la formation, qu’elle soit philosophique ou existentielle, politique ou technique, au moyen d’instruments divers et variés.
Nous avons également établi un calendrier pour les cinq prochains mois, concernant les échéances des engagements pris et proposant deux rendez-vous européens pour début et fin novembre, à Athènes et Barcelone.
Pour cultiver l’esprit, activer les sentiments et consolider l’amalgame, nous avons lancé une série de compétitions pour lesquelles les participants ont été répartis dans des équipes où les nationalités, les langues, les âges (de 13 à 75 ans) et les sexes avaient été équitablement répartis. Chaque équipe avait deux chefs, toujours de langues et de nationalités différentes.
Le choix des noms, des couleurs et des symboles des formations a été dicté par référence aux Héros éponymes des feux solsticiens. Pour le Nord, Erik, le blanc et le Cygne hyperboréen ; pour l’Est, Siegfried, le jaune et l’Ours germanique ; pour le Sud, Romulus, le rouge et le Loup italique ; pour l’Ouest, Arthur, le bleu et le Sanglier celtique, bien que son nom soit associé à celui de l’ours.
Les compétitions
Elles ont commencé par une excursion dans les bois, dont chaque équipe devait revenir avec une photo représentant ce qu’il y avait de plus proche de l’animal-totem qu’il avait sur la poitrine.
Après le tir à la corde, il y eut un tournoi de rugby à six touches. Puis une compétition culturelle basée sur les connaissances historiques concernant les nationaux-révolutionnaires, la protohistoire, la Tradition, mais intéressant également l’actualité ou des points suscitant une simple curiosité. Puis vinrent des parties de bras de fer et de football. Nous ne donnerons pas le classement final, mais il est néanmoins opportun d’immortaliser, pour les annales, la victoire de Romulus, lequel, pour fêter son succès, a offert, le dimanche, un copieux plat de spaghettis de minuit, ou plus exactement d’une heure du matin.
Bilan
Par la provenance des participants, leur participation et leur enthousiasme, la première rencontre européenne des Lansquenets a été bien au-delà de ce que l’on pouvait espérer de mieux. Elle a également servi à faire se connaître entre eux des personnes qui ignoraient leurs existences réciproques et à clarifier bien des choses dont les animateurs avaient pleinement conscience, mais qui risquaient d’être ressenties confusément par qui n’est pas au centre de la spirale.
Elle a aussi permis de dissiper le brouillard concernant la mentalité demandée, laquelle repose sur l’essentialité et l’impersonnalité, et demande avant tout un déconditionnement de toutes les constructions politiques, rationnelles, organisationnelles et idéologiques qui remplissent nos têtes et sont quotidiennement réactivées dans le cadre de la mise en scène orwellienne.
Chacun est, quoiqu’il en soit, le fruit de son ADN, de son destin et de ses expériences, et, par conséquent, de ses drames, de ses épopées et de ses tragédies, raison pour laquelle rejoindre l’essentialité impersonnelle et non égoïste n’est pas aussi facile pour les uns que pour les autres. Malgré cela, l’esprit de la rencontre de Provence a poussé tout le monde vers l’objectif qui, même lorsqu’il n’a été qu’entrevu, a été retenu.
L’important, maintenant, est que chacun trouve la force de s’imposer une discipline existentielle, de façon que les entrailles et la bile plient toujours devant l’épine dorsale.
Pour le futur, il faudra apporter des améliorations : amélioration de la tenue, de la cohésion, de la rapidité d’exécution des engagements pris, moindre tendance à commenter et à critiquer les autres, et renforcement de l’autocritique.
Si, en Provence, ces défauts n’étaient guère visibles, il serait délétère de s’en enorgueillir et il faut, au contraire, en faire un aiguillon pour que, à l’avenir, toute trace en ait disparu.
Je souhaite que quiconque a participé à cette expérience n’entende pas cette exhortation comme réservée aux autres : en réalité, seul a vraiment de la valeur celui qui cherche et trouve des défauts en lui-même.
Regardez bien en vous-mêmes et vous les trouverez. Trouvez-les et l’on fera mieux encore, on le fera avec ceux qui s’offriront eux-mêmes pour le réveil de ce qui nous différencie du bas et de l’indifférencié. Et que cela pousse à s’élever, par l’émulation, tous ceux qui le peuvent.
Le reste n’est qu’ennui. Ou est tout simplement faux.
00:07 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 07 août 2016
Pierre Cassen interviendra le dimanche 2 octobre à Rungis lors de la Xe Journée de Synthèse nationale
00:07 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 06 août 2016
Dans le nouveau numéro de Synthèse nationale (n°43, été 2016) : l'histoire de l'assassinat du Mouvement social italien
14:29 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 05 août 2016
Samedi 3 et dimanche 4 septembre : le programme des Journées chouannes de Chiré en Montreuil
17:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Emmanuel Albach, auteur du roman-choc de l'été "Le Grand rembarquement" répond aux questions de Breizh info
Source Breizh-infos.com cliquez ici
Emmanuel Albach est le président de l’Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban. Il a combattu au Liban de janvier à juillet 1976 avant de faire une carrière de journaliste. Il a d’ailleurs écrit un ouvrage à propos de son engagement dans les Phalanges chrétiennes, que nous avions relaté ici.
Cet été, il publie « Le Grand rembarquement » aux éditions Dualpha dont voici le résumé :
En 2019, un président « consensuel » prétend mettre en œuvre une solution définitive et magistrale au problème devenu ingérable de la cohabitation des communautés. Mais quel est ce projet, qui a pour nom de code « S.C.S.E. » ? Une version inversée de l’exode de 1962 ? Le Grand rembarquement ? Quand l’Histoire s’emballe et que les hommes politiques en ont perdu le contrôle, tout peut arriver…
Nous ne vous en dirons pas plus sur ce roman, si ce n’est qu’il est excellent, qu’il se lit vite, et qu’il s’annonce comme d’autres par le passé (et notamment Le Camp des Saints de Jean Raspail), visionnaire, ou tout du moins donnant de l’espoir aux Européens. Nous avons interrogé Emmanuel Albach.
Le Grand rembarquement – Emmanuel Albach – Dualpha – 26 € (commande ici)
Breizh-info.com : Le Grand rembarquement, qu’est-ce que c’est ? Un ouvrage visionnaire ? Un éloge de la remigration ?
Emmanuel Albach : Il s’agit d’un roman de politique-fiction, d’une sorte de thriller ayant pour ressorts deux idées: d’abord la vision de ce que pourrait être une aggravation brutale de la situation migratoire et communautaire, provoquée par la folie d’une « solution » inventée par un président consensuel pour résoudre une situation sécuritaire qui lui échapperait complètement; ensuite la constatation d’un fait historique si banalisé qu’on ne voit pas pourquoi il ne pourrait pas se reproduire, cette fois au détriment des musulmans installés en France : l’expulsion brutale, en 1962, d’un million de Français d’Algérie -15% de la population!- sous les yeux d’une armée française paralysée et d’une police indifférente. En quelques mois, tout était joué, à une époque où le transport maritime était bien moins rapide et le transport aérien, embryonnaire. Qui aujourd’hui parmi les Algériens vivant en France en éprouve la moindre culpabilité ?
Breizh-info. com : Votre livre est il plus un clin d’oeil sous forme de réponse, à Renaud Camus, ou à Jean Raspail ?
Emmanuel Albach : J’ai un grand respect pour Jean Raspail, et bien sûr Renaud Camus m’a inspiré, au moins pour le titre que j’ai trouvé à mon récit. Cependant, Raspail m’avait désespéré par l’issue de son histoire, quant au Grand Remplacement, j’en récuse l’inéluctabilité. Il n’y pas de sens de l’histoire. Rien n’est irréversible, même les situations apparemment les plus désespérées peuvent être retournées. L’histoire est entre nos mains. A nous de la faire. Duguesclin, un « bouseux » de Breton, avec une trentaine de gars, a réappris aux Français qu’ils pouvaient vaincre les Anglais, à un moment de notre histoire où notre perte semblait signée. Et Jeanne, un gamine « illuminée » a « gonflé à bloc » de grands capitaines qu’elle a conduit à la victoire.
Breizh-info.com : Pour vous, il est donc encore possible que des millions d’individus quittent le sol européen pour repartir de l’autre côté de la mer ? Cela peut il se faire sans violence ?
Emmanuel Albach : Aujourd’hui, on veut nous faire croire qu’il existe une situation irréversible. Irréversible? L’histoire ne connait pas ce mot, inventé par des gens qui changent d’ailleurs d’avis comme de chemise, au gré des humeurs des électeurs ou des consommateurs! Des migrations soudaines, il s’en est produit à toutes les époques. L’exemple algérien nous le prouve.
Quant à la violence… En Algérie, un million de gens ont été intégralement spoliés, dépouillés, des milliers de femmes enlevées ou violées, des milliers d’hommes massacrés... Et 150.000 harkis trucidés. Nous ne ferions jamais pire…
Breizh-info.com : Vous avez combattu au Liban dans les Phalanges. Vous qui suivez de près l’évolution de la France, est-ce qu’on peut réellement parler de « libanisation » du pays ? En quoi le sort des deux pays vous semble comparable, ou pas ?
Emmanuel Albach : Les chrétiens du Liban vivent depuis mille ans les armes à portée de main, et sont prompts – très prompts !- à tirer l’épée quand les musulmans empiètent sur leurs plates bandes, en cela fermement soutenus par leur clergé et leurs moines, des religieux « de combat ». Le moins que l’on puisse dire est que l’Église catholique en France, ne ressemble pas à ceux-là! Nous sommes plus proches dans notre clergé, de l’esprit dhimmi des chrétiens d’Irak ou d’Egypte…
Les Libanais nous ont pourtant ré-appris une chose importante : il n’y a pas de liberté pour celui qui refuse de combattre -pour sa foi et/ou sa patrie.
Breizh-info.com : Le peuple de France se révolte dans votre livre. Est-ce le même peuple qui chasse aujourd’hui les Pokemon ou qui adule les stars d’une équipe de France que beaucoup de nos voisins européens surnomment l’équipe d’Afrique ?
Emmanuel Albach : N’attendons pas des politiques, le plus souvent mus par la cupidité ou l’ambition, sinon simplement par l’orgueil – à l’exception probablement d’une jeune femme étonnante qui a nom Marion - qu’ils prennent des décisions terribles. Comme lors de la guerre de Cent Ans, ce seront des gens sortis de nos terroirs, des inconnus qui lanceront le mouvement, parce qu’eux n’auront peur que de perdre une chose : leur terre, leur honneur, et n’auront pour seul souci que de léguer aux générations suivantes une nation libre. Il faut des gens qui se fichent comme d’une guigne de leur retraite, de leur patrimoine immobilier, de leur carrière professionnelle, lorsque leur patrie est en danger. Rien ne sortira de nos soi-disant élites qui envoient leurs enfants étudier en Amérique ou en Australie, et les éduquent en apatrides. Il faudra des gens un peu fous et très courageux. Mais des caractères de ce genre, la France en regorge. Des jeunes – et des moins jeunes – capables de se dresser et de prendre des risques - physiques et sociaux - il yen a ici, croyez-moi. N’oubliez jamais que les Français et Bretons se sont couverts de gloire à toutes les époques. Les Gaulois sont une race de guerriers farouches et magnifiques, et leurs adversaires potentiels sont très loin d’être aussi redoutables que les légions romaines. Nous les avons vaincu, facilement, à toutes les époques.
Breizh-info.com : Que vous inspirent les attentats islamistes de ce mois de juillet ? On a l’impression de vivre une accélération de l’histoire ?
Emmanuel Albach : Hollande a lancé un guerre qu’il croyait « technologique » et sans risques (on bombarde à trois mille mètres d’altitude avec des Rafale qui balancent des bombes « intelligentes ») mais il ne savait pas que l’EI représente au Moyen Orient (où les chiites tentent de vaincre leurs frères ennemis pour la première fois dans l’histoire) le fer de lance du sunnisme, que nos immigrés musulmans sont sunnites à 95%, et que la Oumma sunnite est un seul et même corps sans frontières.
Or, nos bombes larguées de haut tuent probablement autant de civils que celles des Russes qui volent plus bas. Les sites djihadistes sont bourrés d’images de victimes de ces « frappes intelligentes ». De quoi enlever tout scrupule aux sympathisants en France de l’EI qui nous dit: vous tuez nos gens? On tue aussi les vôtres…
Par ailleurs, voyez que cet adversaire, même ignoblement brutal est beaucoup moins stupide et désarmé qu’il n’y paraît : Hollande avait annoncé en ouvrant les hostilités que l’on allait frapper l’EI « au portefeuille » en bombardant ses installations pétrolières et ses camions citernes. Qu’a fait l’EI ? Avec un minimum de moyens ils sont parvenus en ce qui nous concerne, au même résultat : en mitraillant les terrasses à Paris, en écrabouillant les estivants à Nice, ils ont provoqué pour l’industrie française du tourisme – celle sur laquelle on comptait pour recréer de l’emploi – une catastrophe historique. Notre portefeuille souffre à son tour vilainement.
Les hôtels, les restaurants attendent des étrangers qui ne viennent plus. On se croirait en Egypte, en Tunisie! Les plages d’Anne Hidalgo sont aussi vides de touristes que celles de Sousse !
Quant aux attaques contre les policiers ou un prêtre, elles ressemblent à de l »‘incentive » pour salafistes à cours d’idées. C’est leur indiquer des cibles faciles, et monter d’un cran dans l’intimidation - qui en compte quelques uns encore heureusement - avant d’atteindre l’objectif final : la conquête par la soumission préparée par la « dhimmisation » des esprits.
Breizh-info.com : avez vous d’autres projets d’écritures ?
Emmanuel Albach : Oui. J’ai un compte à régler avec un « grand » menteur historique. Ce sera aussi drôle (moi, en tout cas, j’ai bien rigolé en me relisant) et plausible que « Le Grand Rembarquement »…
Je vais aller plus vite cette fois (Le Grand Rembarquement m’a pris quatre ans). Je commence à avoir bien en mains la mécanique des histoires que j’aime écrire !
Propos recueillis par Yann Vallerie
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jeudi, 04 août 2016
Alain Escada sera à la Xe Journée de Synthèse nationale le dimanche 2 octobre prochain à Rungis (94)
17:28 Publié dans 10 - La 10e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Islam et terrorisme...
Le billet de Patrick Parment
Les récents événements meurtriers qui ont endeuillé le sol européen – principalement la France et l’Allemagne – amènent un peu trop rapidement à considérer qu’islam et terrorisme seraient une seule et même chose. Toutes les religions monothéistes sont sujettes à interprétation, des Croisades à l’Inquisition pour aboutir aux événements d’aujourd’hui. C’est oublier un peu vite que du temps « béni des colonies », en Algérie notamment – ce qui doit être vrai vu le nombre d’Algériens vivant en France – chrétiens, juifs et musulmans vivaient en bonne entente. Et les soldats français, que l’on a retrouvé avec leurs parties dans la bouche n’étaient pas le fait de l’islam mais bien de la nature intrinsèquement primitive et violente des Arabes pour qui le mot civilisation n’a pas la même signification. La cohabitation allait également de soi en Tunisie comme au Maroc, toujours du temps « béni »… Que dire des Etats laïcs de l’Irak et de la Syrie où, là aussi, chrétiens, juifs et musulmans vivaient en bonne entente – il n’y a qu’entre Israël et la Palestine que le conflit est permanent.
Il aura fallu que les Américains mettent les pieds en Afghanistan pour que d’un coup, l’islam se radicalise au sein de la nébuleuse Al Qeida. Qui a fait des petits depuis ! Puis les Américains sont partis défenestrer Saddam Hussein en Irak après en avoir usé et abusé, réduisant ce pauvre pays et ses populations, naguère prospères, à la clochardisation et à une guerre de religion entre chiites et sunnites. La pilule est moins bien passée en Syrie où Bachar al-Assad règne toujours sur un pays en ruines, fruit de hordes soi-disant libératrices sponsorisées par les Américains, les Anglais et les Français. Heureusement que la mesure russe est venue calmer les ardeurs de ces va-t-en-guerre. Mais ici aussi les sunnites veulent la peau des chiites et des alaouites. Depuis la Deuxième Guerre mondiale, l’Occident n’a à souffrir que de la stupidité de la politique étrangère américaine qui se double au Moyen Orient de la priorité donnée aux intérêts israéliens.
Pour en revenir à l’Europe, la mise en place d’un islam national pose encore quelques problèmes au sein de la communauté musulmane qui semble ballottée entre des influences diverses : Arabie saoudite, Algérie, Maroc. C’est à cela qu’il serait temps de mettre fin. Sans oublier le laxisme dont font preuve les autorités françaises vis-à-vis de l’islam alors que nous sommes sur un territoire façonné par le christianisme. Faut-il le rappeler à tous ces francs-maçons qui ne jurent que par la laïcité et qui baissent leur froc au seul énoncé d’Allah !
Soyons réalistes, l’immense majorité des musulmans vivent dans le calme et la paix, car dans le cas contraire, notre pays serait réellement à feu et à sang.
Le problème est donc bien l’immigration. Entrent dans notre pays – en Europe pourrait-on dire – une majorité d‘Arabes, certes, mais aussi une multitude d’ethnies difficiles à contrôler – souvent musulmanes d’ailleurs - parce que l’Etat français ne veut pas s’en donner les moyens. Il est bien évident qu’au sein de ces populations immigrées, comme l’a confirmé Richard Cazeneuve sémillant et impuissant ministre de l’intérieur et la stupide Angela Merkel, figurent des terroristes qui utilisent la religion pour parvenir à leur fin, d’autant que le maillage islamique ne cesse de s’étendre sur notre territoire, via les mosquées notamment. Où, comble de l’ironie, ce sont nos édiles qui les financent. N’est-ce pas messieurs Juppé, Estrosi et Cie. Cette absence de volonté à réduire et encadrer l’immigration ne facilite guère la tâche des services de renseignement. Pas plus que les moyens pour faire comprendre aux immigrés que la France n’est pas uniquement le pays de la sécurité sociale et des hôpitaux bon marché. Paradoxe de cette situation, comme l’a si bien fait remarquer Marine Le Pen, la législation existe pour exercer enfin des contrôles. Il suffit de s’en servir. Car il est bien inutile, à nos yeux, de déclencher une quelconque guerre de religion. Dont le peuple français paierait une fois de plus l’addition et au risque tout aussi certain de déclencher une guerre civile.
11:02 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro du "Bulletin célinien"
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10:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 27 août, à Fréjus, concert de Jean-Pax Méfret au profit des Chrétiens d'Orient
10:18 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |