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jeudi, 19 novembre 2015

Un entretien avec Jean-Loup Izambert sur TV Libertés

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Le nouveau livre de Jean-Loup Izambert cliquer ici

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Un message du Président Bachar Al-Assad

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Après les attentats à Paris : à quand un changement de politique ?

LOGO-MNR.pngUn communiqué du MNR :

Le bilan des attaques du 13 novembre 2015 à Paris et au Stade de France, est le plus lourd jamais enregistré en France : plus de 130 morts, plusieurs centaines de blessés, dont un bon nombre en « état d'urgence ». Au-delà de l'émotion légitime suscitée, nos hommes politiques vont-ils ouvrir les yeux sur leur attitude face à l'immigration et l'islamisation ? La revendication de l'État islamique est faite «au nom d'Allah ». L'attaque a pris pour cible « la capitale des abominations et de la perversion, celle qui porte la bannière de la croix en Europe, Paris ». A quoi a donc servi la stupide islamophilie de nos dirigeants ? C'est clairement notre civilisation qui est visée, et même le christianisme. Certes, la France n'est pas la seule visée, mais il lui faut prendre lucidement sa part de responsabilité, sans présumer de ses forces : pour détruire DAECH, aucune aide n'est superflue, qu'il s'agisse du gouvernement légal syrien ou de la Russie. Quand nos dirigeants prétendent que l'homme à abattre est Bachar al Assad, ils se trompent clairement de cible. Quand ils nous demandent d'accueillir des milliers de « migrants », ils prennent le risque de faire entrer de nouveaux soutiens au terrorisme islamiste.

Pour que le terrible bilan du 13 novembre 2015 porte ses fruits, il faut que nos dirigeants arrêtent leur soutien à l'immigration et l'islamisation, et qu'en Syrie, ils coopèrent avec Bachar Al Assad et les forces russes, au lieu de soutenir de soit-disant « rebelles modérés » comme ceux d'Al Nosra, qui sont en fait des islamistes.

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Attentats de Paris : la réaction de Serge Ayoub

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Hier Bagdad et Beyrouth. Aujourd’hui Paris. Demain Berlin ou Bruxelles ?

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Pieter Kerstens

Selon le spécialiste en psychopathologie Sefi Slamane, sur RTL ce 14 novembre « Cela fait des années que des puissances extérieures manipulent des organisations au Moyen-Orient et l’on ne doit donc pas être étonné des conséquences chez nous aujourd’hui. Le but et la stratégie des terroristes est de semer l’effroi. »

Si l’on s’en réfère aux diverses déclarations des gouvernements européens depuis plus de quatre ans, l’homme à abattre était Bachar Al-Assad qui « ne méritait pas de vivre !». Comment s’étonner dès lors que des milliers de jeunes issus de l’immigration soient partis faire leur « djihad » en Irak ou en Syrie et rejoindre les terroristes takfiristes de DAESH ou du Front Al-Nostra ? Ces mêmes idéalistes encouragés à l’origine par les princes qui nous dirigent sont par la suite (au printemps 2014) montrés du doigt et poursuivis comme terroristes ennemis de la vieille Europe… comprenne qui pourra.

« Vigipirate » ou « Sentinelle », à quoi ça sert ?

On pourra se souvenir des attentats de Carlos au pub Saint-Germain dans les années 70, des attentats du GIA dans le RER parisien en 1995 ou encore de ceux commis à Madrid à la gare Atocha en 2004 et à Londres en 2005, pour constater que depuis 20 ans les eurocrates sont incapables de mettre en place des mesures de protection des territoires. Aucun progrès, rien de plus pour assurer une meilleure sécurité de la population ; seules des déclarations lénifiantes des gouvernements de « gôche » comme de droite qui se sont contentés d’ânonner les sempiternelles litanies concernant la « démocratie », la « solidarité », « l’humanisme » ou « l’horreur de ces actes barbares »… fermez le ban ! Et place à l’intoxication.

DAESH frappe où il veut, comme il veut et quand il veut.

Jeudi 12 novembre vers 18 h à Beyrouth, dans le quartier de Bourj al-Barajneh, DAESH revendique un attentat contre les « rafida » qui entraine la mort de 44 civils et plus de 240 blessés. Sirajeddine Zraikate (porte-parole des brigades Abdallah Azzam) déclare à ce propos : « La banlieue sud est noyée dans son sang ! » Depuis 3 ans la capitale libanaise a subi 9 attentats à la voiture piégée occasionnant la mort de 180 civils et plus de 1.102 blessés, attentats revendiqués par les djihadistes de DAESH (créé en 2006 en Irak). Le même jour, un assassin sunnite de DAESH a lui aussi tué 8 civils dans un marché à Bagdad.

Après Paris on pourrait s’attendre à ce que d’autres attentats aient lieu ailleurs en Europe, tôt ou tard !

Vivre ensemble, multiculturel, pluriethnique et assimilation : un rêve fracassé !

Toute personne censée et équilibrée, qui se débarrasse des lunettes roses du politiquement correct, peut constater que l’assimilation et l’intégration des immigrés extra-européens dès 1960 sont un échec patent dans la majorité des cas, tel que cela a été reconnu par Angela Merkel, Nicolas Sarközy et David Cameron en 2012.

La dérive vers l’islamisation intégriste, qui concerne une partie de ceux qui vivent dans les banlieues, peut être attribuée au fait que le Régime n’a jamais eu rien d’autre à offrir comme moyen d’intégration que sa débauche, sa corruption, sa décadence des mœurs, son athéisme, sa perversité, son matérialisme, son idéologie pernicieuse des droits de l’homme ou son déclin moral. Peut-on dès lors s’étonner que ces « jeunes » soient entrés en rébellion contre un système qu’ils ont vu comme un ennemi des valeurs de leur culture d’origine ?

En outre, la décision imbécile d’accueillir des millions de clandestins (« migrants » dans la novlangue) en Europe d’ici à fin 2017, aggravera encore le choc des civilisations.

Et ce n’est pas en organisant une marche pour la Paix et la Solidarité le 20/11 à Paris que cela changera quoi que ce soit !

Nous, le 6 décembre, nous allons pouvoir exprimer notre rejet de la mafia PS-LR-UDI-Écolo, qui EUX nous ont conduits au fond du gouffre, les mêmes qui ont vidé les églises pour remplir les mosquées.

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Comment on devient des Américains ? La réponse des Brigandes...

 

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Le disque des Brigandes cliquez ici

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 18 novembre 2015

Un Devoir d’amalgame ?

12196119_963571943714812_3042351476990763891_n.jpgDr Bernard Plouvier

"L'anarchie administrative et sociale est la préface ordinaire des révolutions et des dictatures"

Raymond Poincaré, 1906

Depuis plus de vingt ans, il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne des années 1970-90.

Les agressions physiques quotidiennes des Africains, noirs et maghrébins, à l’encontre des Blancs sont tellement nombreuses dans les cités françaises que seules les victimes y font attention et les témoins ne s’arrêtent même plus, d’autant qu’ils n’osent intervenir : les agresseurs frappent en meute. Les forces de police ne se donnent qu’exceptionnellement la peine de rechercher les coupables et refusent souvent d’enregistrer les plaintes, au prétexte que « cela ne sert à rien ». Effectivement, les racailles colorées peuvent racketter, frapper, incendier, voler et violer des « petits culs blancs » (des deux sexes, d’ailleurs) en état de quasi-impunité.  

Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, la France a recueilli un nombre effarant d’immigrés d’origine extra-européenne, qui sont, pour la quasi-totalité des maghrébins et une écrasante majorité de noirs, des sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux. Les ministres, grands quémandeurs de prêts, voire de donations, auprès de potentats islamiques, enrichis par les pétro-dollars, multiplient les lois qui ne protègent plus les honnêtes citoyens, mais minimisent les peines des criminels immigrés.

À l’occasion d’attentats terroristes, l’on exhibe devant micros et caméras quelques pitres du demi-monde de la politique bobo (droite molle, marécage centriste et gauche), divers « intellectuels », ainsi que quelques ulémas, qui, tous, viennent proclamer que « l’islam est une religion de paix » et qu’il ne faut pas commettre le nouveau « péché contre l’esprit » (par définition, impardonnable) : l’amalgame entre le musulman et le djihadiste (ou « salafiste », pour les plus savants commentateurs). Du muslim de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles de l’islam qui osent s’exprimer ainsi profèrent, consciemment, un énorme mensonge.

En effet, la lecture du Coran, censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande. Pour qui a quelque peu fréquenté ce livre, issu du Haut-Moyen-Âge, et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim (fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre).

À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd… à l’exception des cités de non-droit, qui font déjà partie du Dâr al-Islam, où imams et trafiquants de drogues et d’armes s’opposent ou concluent des alliances selon les moments.

Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les peuples seront des fidèles de l’islam ; c’est le fondement de cette religion. Les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.

Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère (il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.

D’autres sourates sont déjà moins agréables pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). La femme doit être totalement soumise à l’homme, obéir à toutes ses exigences (sourates 4, 33). L’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent), ce qui est peut-être la stipulation la moins respectée des fidèles, si l’on considère le nombre de viols homosexuels dans notre beau pays. Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?

Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le Djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).

Selon divers imams, ulémas et autre mollahs qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte (à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales) que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !

En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal (la tête de la victime étant tournée vers La Mecque et l’égorgeur récitant des « paroles pieuses »). La seule nouveauté, brevetée « califat nouveau », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).

Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : «  Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le Djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).

Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».

L’infidèle qui s’oppose au Djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le Djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.

En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, le Coran est devenu une arme de destruction massive.

Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés, publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette mansuétude sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?

Il existe de par le monde 1,3 milliard de musulmans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France renferme plus de musulmans que les quatre États musulmans d’Europe danubienne cités plus haut.

Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros, si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit, n’empêchent les émeutes.

Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles). Car, pour n’importe quel lecteur du coran, il est évident que l’amalgame peut et DOIT être fait entre le muslim en bon état physique et le djihadiste : ce n’est pas une rêverie de raciste, mais un constat d’évidence !

Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers, surmenés à force de verbaliser les automobilistes, semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées dites françaises, celles de gendarmerie et de police, renferment entre 15 et 20 % de musulmans selon les armes et les régions.

En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection, à l’encontre d’un pouvoir veule et laxiste, inepte et profondément corrompu, uniquement préoccupé d’échéances électorales pour conserver les sinécures dorées de la République. Il est urgent qu’un authentique Pouvoir, orienté vers le Bien commun, protège enfin les Français de souche de la barbarie inutilement importée.

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Ah bon, ce n'est pas une banane ?

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mardi, 17 novembre 2015

On ose nous parler de "Justice"...

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Omar Ismaïl Mostefaï : terroriste, fiché S., condamné 8 fois entre 2004 et 2010 sans jamais être allé en prison !

Et là... pensons à Nicolas Bernard-Buss, jeune homme au casier vierge... Il avait passé trois semaines à la prison de Fleury-Mérogis en juin et juillet 2013 (à cause de son opposition à la loi Taubira)...

Repensons aussi à Esteban, militant solidariste, lâchement agressé avec ses amis par une bande de petits laquais du Système intitulée "antifa" en juin 2013 et qui passa quinze mois en prison pour s'être simplement défendu...

Un jour, il faudra que les responsabilités soient établies et que les coupables payent... 

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"La guerre" ce qu'en pense Eric Zemmour

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Fantasme sécuritaire, réellement ?

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Dr Bernard Plouvier                         

« Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (Coran, sourate 8, verset 40).

Ce 16 novembre, alors que nos « chefs » décident de ne rien faire d’efficace, un leader de la gauche pseudo-marxiste (lui-même millionnaire en euros, histoire de le rendre plus crédible aux petites gens) vient éructer ses propos venimeux sur ce qu’il appelle un « fantasme sécuritaire ».

Fantasma, en langue espagnole, signifie « fantôme ». Où ce Titan de la pensée politique a-t-il vu que 130 morts, 350 blessés (dont un tiers en état grave) formaient un « fantasme » ? Un cauchemar peut-être, un songe sûrement pas. Après les stériles pleurnicheries, l’on a droit aux sarcasmes des aboyeurs et aux quart-de-mesure du mol président et de son évanescent gouvernement.

Quatre jours après le carnage parisien, nos frontières ne sont toujours pas fermées aux immigrants musulmans, alors même qu’un des assassins du 13 novembre faisait partie de la cohorte des « gentils réfugiés, fuyant la Syrie ». Et que l’on ne vienne pas dire à nouveau qu’il ne faut pas commettre d’amalgame entre musulman et djihadiste. Neuf sourates coraniques exigent la pratique du Djihâd de tout muslim (fidèle en langue arabe) « qui en est physiquement capable ». Par mesure humanitaire, l’on pourrait admettre les sujets trop débiles pour appuyer sur la détente d’une arme automatique… ce qui ne fait pas beaucoup de monde !

Quant aux autres mesures efficaces, il ne faut guère en attendre de la part de nos merveilleux élus, en période électorale. Sont-ils simplement des mous ou de parfaits incapables ? Après tout, en 2001, même le demi-débile George Bush junior a su prendre des mesures de salut public ! Il est vrai qu’en 2012 déjà, David Remer ironisait sur « l’ineptocratie » des gouvernants français : rien n’a changé depuis, en dépit de la gravité des événements.

Ce ne sont pourtant pas les actes nécessaires qui manquent :

  • Nettoyer le millier de cités de non-droit, où des canailles narguent les autorités du pays.
  • Décider le nécessaire rétablissement de la peine de mort et l’application de la véritable Démocratie qui est d’appliquer la même Justice à tous, quels que soient la race et la religion du justiciable, son appartenance à un parti politique ou à une secte, son état de fortune ou sa surface sociale.
  • Supprimer le scandale de la double allégeance en interdisant le principe même de la double nationalité : on ne peut être fidèle à deux entités souveraines, c’est une évidence !
  • Organiser d’urgence un referendum sur l’immigration extra-européenne, puisque seule la Nation est souveraine dans notre État et non les élus, qui ne détiennent qu’une délégation provisoire.
  • Réformer les conditions d’octroi de la nationalité : soit l’abolition de l’absurde Droit du sol ; la dénaturalisation automatique des canailles (voleurs, escrocs, trafiquants divers) et des crapules (violeurs, assassins, terroristes) issues de l’étranger ou rejetons de « l’immigration à problèmes » ; l’élaboration de conditions draconiennes à la naturalisation, car, après tout, c’est un immense honneur que l’on fait à un étranger de l’admettre au sein d’une communauté hautement civilisée.
  • Réformer le statut des élus du peuple : limitation du nombre des mandats et de la durée globale du statut d’élu, pour éviter la nuisible réalité du « politicien professionnel » ; diminution drastique – au nom des nécessaires économies d’un État surendetté – de leurs indemnités & frais de représentation et de déplacement ; réduction draconienne du nombre de leurs collaborateurs payés avec le produit des impôts ; lutte réelle contre la corruption et aggravation considérable des peines pour les politiciens prévaricateurs ou trafiquant de leur influence ; lutte contre les lobbies (ou groupes d’influence), au nom de la Déesse Égalité.
  • Attribuer le bénéfice des lois sociales aux seuls sujets ayant cotisé (ce qui est le principe même de ces lois), pour supprimer le coûteux et immoral parasitisme social.
  • Enfin, appliquer dans toute sa rigueur la Loi de 1905 qui sépare absolument les confessions religieuses de l’État… même si des milliardaires en pétro-dollars exigent (et jusqu’à présent obtiennent) des privilèges pour leurs coreligionnaires.

Et ce catalogue n’est nullement exhaustif. Nobles et courageux responsables de l’État, vous avez du travail !

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Un entretien avec Roland Hélie publié dans le dernier numéro de la revue Réfléchir et Agir :

COUV_croix.jpgPour quelles raisons avez-vous créé les Cahiers d’Histoire du nationalisme ?

Depuis trop longtemps, l’histoire de ce que l’on appelle « la droite nationale » au sens large du terme est racontée par nos ennemis. Ceux-ci la falsifient volontiers afin de nous discréditer. Nous nous sommes donc dit qu’il était temps de reprendre tout cela en main et d’immortaliser nous même cette histoire qui est la nôtre. On est jamais si bien servi que par sois même.

En 2012, nous avions lancé, parallèlement à la revue Synthèse nationale, une collection intitulée Les Bouquins de Synthèse nationale. Il s’agit de livres thématiques destinés à ceux qui veulent mieux connaître nos idées. Ainsi, nous avons édité, entre autres, une biographie du Président portugais Salazar, un recueil de textes sur José-Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, et un autre encore sur Dominique Venner. De là est venue l’idée, au début de l’année 2014, « standardiser » ces publications consacrées à des personnages, ou à des événements, qui ont marqué notre famille d’idées.

Voilà, en quelque sorte, la genèse des Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Ceux-ci ont l’ambition, à terme, de devenir une véritable encyclopédie.

Peut-on dire qu'ils répondent aussi à un besoin de formation politique pour les jeunes militants ?

Tout d’abord, il convient de préciser que ces Cahiers ne sont pas apologétiques. L’histoire des nationalistes, qu’ils soient français ou d’ailleurs, n’est pas exempte de critiques ou de remises en cause. Nous essayons de l’aborder les thèmes choisis avec le recul nécessaire tout en respectant le contexte qui était celui de l’époque. L’essentiel est de rétablir quelques vérités souvent cachées par nos détracteurs afin de rééquilibrer les choses.

Notre démarche s’adresse à tous. Mais il est bien évident qu’elle vise surtout ceux, en particulier les jeunes bien sûr, qui n’ont pas connu ces hommes ou ces événements.

Vous n'avez pas commencé la série par du "léger" puisque les trois premiers numéros sont consacrés dans l'ordre à Degrelle, Duprat et Doriot. Etait-ce une volonté de taper très fort dès le départ ?

C’est un peu le hasard qui a bien fait les choses. Il se trouve qu’avril 2014 correspondait au vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle. Nous voulions rendre hommage à ce combattant haut en couleur qui a tant marqué son époque. C’est pour cela que nous avons confié à Christophe Georgy, Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, le soin de concevoir ce premier numéro auquel a collaboré une douzaine de personnes qui ont connu le chef du mouvement rexiste ou étudié son histoire.

Le deuxième volume a été consacré à François Duprat et au nationalisme révolutionnaire. C’est évidemment à Alain Renault, ancien secrétaire général du FN et proche collaborateur de Duprat, que nous avons demandé de superviser ce numéro. Celui sur Doriot a été rédigé grâce aux documents inédits de Bernard-Henri Lejeune, ancien responsable du PPF qui avait publié un livre sur ce parti en 1977. Nous devons le quatrième volume sur le Parti des Forces nouvelles à Didier Lecerf, qui fut l’un de ses responsables au début des années 80. Le cinquième nous raconte la formidable épopée du Maréchal Mannerheim, sauveur de la Finlande face à l’Armée rouge. Le sixième revient sur la vie de celui qui fut le premier candidat national à une présidentielle de la cinquième République, Jean-Louis Tixier-Vignancour.

Vous présentez de grandes figures, pour autant allez-vous aussi consacrer des numéros à certains doctrinaires historiques du nationalisme tels que Barrès, Maurras ?

Pourquoi pas ?

Vous mêmes, dans quelle famille du nationalisme vous inscrivez-vous ?

Pour ma part, j’ai commencé à militer dans les années 70 au PFN et je suis toujours resté attaché à la ligne nationaliste et européenne de ce parti. Mais le contexte politique et géopolitique d’aujourd’hui n’est plus le même. Il faut en tenir compte. La fidélité en politique ce n’est pas de faire toujours la même chose mais de faire des choses qui vont toujours dans le même sens.

Un petit mot sur les numéros à venir ?

Un numéro sur la croix celtique, un autre sur l’histoire controversée du NSDAP, un sur Codréanu, un sur Georges Valois, un sur le nationalisme hongrois, un sur le péronisme… Ce ne sont pas les sujets qui manquent tant est riche notre histoire…

Les Cahiers d’Histoire du nationalisme (200 pages, 20 €, abn 6 numéros 110 €) Synthèse nationale 116 rue de Charenton 75012 Paris. En savoir plus : cliquez ici

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La ville d'Orange rend hommage aux victimes du terrorisme islamique

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APRES LA SANGLANTE TRAGÉDIE, L’INSUPPORTABLE COMÉDIE

Paris-13-novembre.jpgLa chronique de Philippe Randa

Un traducteur français avait imposé, dans la célèbre série des années 60 du siècle dernier Le Prisonnier, la phrase « Bonjour chez vous » comme apostrophe de « souhait par politesse »… Va-t-on voir de même l’apostrophe « bon courage » devenir l’usage à venir ?

C’est en effet la politesse dont a fait preuve ma boulangère ce matin. J’ai d’abord crû à de l’humour – je venais de lui acheter une baguette et un pain aux raisins – mais non, pas du tout…

Après m’être contenté pour ma part d’un aussi traditionnel que peu original « bonne journée », je la quittais en réalisant que j’avais effectivement entendu, ce lundi matin « post-sextuple attentats du vendredi 13 novembre dernier », un journaliste nous informer que les gens ne se disaient plus « bonne journée » comme à l’accoutumée, mais, donc, « Bon courage » !

Pourquoi « Bon courage » ?

Pour supporter, après deux jours de matraquage compassionnel, les informations diffusées par les médias ? Soit pas grand chose sur les réalités des commanditaires de l’attentat – quelques arrestations et beaucoup de blablas convenus – et énormément de témoignages de citoyens « anéantis », « bouleversés », « furieux », « vindicatifs », mais dans l’ensemble plutôt « effondrés » qu’un tel massacre ait pu avoir lieu… chez eux ! Chez nous ! En France, patrie auto-proclamée des droits-de-l’homme !

Et parmi tous ces témoignages, peu de proches ou de parents des victimes, ce qui serait compréhensible, non ! surtout, principalement, quasi-exclusivement des anonymes qui n’avaient rien à dire d’instructif, mais qui tenaient à le faire savoir pour les plus grands besoins des chaines d’informations qui occupent ainsi leur temps d’antenne à peu de frais, mais à grosses rentrées publicitaires, évènement oblige !

Suis-je donc un père insensible de n’avoir eu que le simple réflexe de joindre, sans trop d’appréhension, je l’avoue, mon fils aîné samedi matin pour m’assurer, tout de même ! qu’il n’était pas allé au Bataclan vendredi soir ? Cela aurait pu, puisqu’il apprécie tout particulièrement le guitariste du groupe qui s’y produisait…

Suis-je donc un père irresponsable pour ne pas même lui avoir demandé s’il était traumatisé par cette tuerie ? Et pour avoir simplement appris à mon fils cadet – qui dormait ce soir-là dans la chambre à côté de la mienne – ce qui s’était passé en concluant simplement, mais assez sentencieusement : « Ce sont de vrais morts, pas comme à la télé ou dans tes jeux vidéos… Comprends que la guerre, ça existe “pour de vrai ». Et pour tout le monde. Personne n’en est à l’abri. Jamais ! Depuis la nuit des temps ! »… et sans insister plus que cela afin qu’il évite d’en prendre prétexte pour rechigner d’aller à l’école ce lundi matin, arguant d’une prévention des risques de mise en danger d’écolier…

Suis-je donc un être infâme lorsque j’entends – mi-énervé, mi-effaré, mi-amusé (tout dépend de l’importance de chaque moitié, on sait cela) – cette institutrice témoigner avec des trémolos dans la voix qu’elle a réfléchit tout le week-end aux mots qu’elle allait dire à ses élèves ce lundi matin pour « leur en parler » ? Mots qu’elle ne trouvait pas, la pauvre femme ! Drame du vocabulaire, de l’intelligence ou du formatage politiquement correct, au choix… ou un peu tout ça, sans doute !

Suis-je enfin un monstre passible d’un quelconque pilori citoyen pour songer, au fond de moi : « Ah ! les cons ! » en entendant tous ceux qui se croient fins en martelant leur « Bon courage » compatissants toute cette journée du lundi 16 novembre, et encore le lendemain pour les plus acharnés ?

Peut-être que oui, je suis tout cela, mais avec quelques circonstances atténuantes, tout de même : je fais partie de cette poignée d’hérétiques qui n’ont eu de cesse, ces dernières décennies, de tenter d’avertir nos compatriotes que cela allait arriver. Quoi ? Le massacre de ce vendredi 13 novembre ! Après quelques autres, de moindre importance numérique, mais tout de même ! Ce n’était pas le premier.

Et vous savez quoi, plus probablement encore, pas le dernier !

Vous dormiez en paix, braves gens ? Les droits-de-l’homme veillaient ? Allez, bon courage à vous aussi… et sans rancune !

 

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lundi, 16 novembre 2015

LA GUERRE ? EH BIEN ON Y EST ET JUSQU’AU COU...

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Pierre Vial Terre et peuple cliquez là

Quand nous disions depuis longtemps, par exemple sur notre site, que nous sommes en guerre, on nous répondait par l’ironie (« vous exagérez, quand même ! ») ou par le mépris (certains intellectuels assurant que le choc des civilisations était un fantasme dû à notre étroitesse d’esprit) ou encore par l’intimidation façon Taubira (en nous menaçant d’une inculpation pour « incitation à la haine raciale » …).

Et pourtant les faits sont là, inscrits dans une réalité que beaucoup semblent découvrir tout d’un coup, un peu comme l’existence de la lune (Manuel Valls, dans le style Tartarin de Tarascon : « Nous gagnerons cette guerre »). Nous ne prétendons pas être plus intelligents que ceux qui nous critiquent. Mais nous avons pour nous, par rapport à eux, une force que personne ne pourra nous enlever : nous nous déterminons non en fonction des utopies et des dogmes, mais par rapport à ce qui existe, nous nous mettons à l’école du réel, comme le faisaient nos guides spirituels, ces Grecs de l’Antiquité qui refusaient d’être abusés par les mystifications d’un Orient jouant de la naïveté d’Européens à qui il était si commode de faire prendre des vessies pour des lanternes.

J’étais ces jours-ci à Genève. Me promenant dans le centre de cette belle ville, dont le caractère calviniste devient acceptable au bout de quelques décis d’un vin blanc gouleyant, je vis sur un mur une grande inscription tracée à la peinture noire : « Islam= paix ». Quelques heures auparavant avait eu lieu le massacre de Paris, auquel se consacraient tous les media. Cette vision surréaliste m’a renforcé dans la conviction de la jobardise intrinsèque des Occidentaux (n’importe quelle autorité digne de ce nom aurait évidemment fait le nécessaire pour que cette inscription provocatrice fût effacée dans les meilleurs délais…). On était un samedi soir, les braves Genevois allaient se donner un peu de bon temps et n’allaient quand même pas se compliquer la vie en se demandant si le mot de « paix » ne devait pas être logiquement remplacé par celui de « guerre ». Et puis, Genève est loin de Paris, non ?

Je ne souhaite bien sûr pas le malheur des Genevois. Mais il se pourrait qu’ils découvrent un jour que nous sommes entrés dans un monde où la guerre, planétaire, n’épargnera personne. Certains Français commencent à percevoir cette réalité. Dure réalité ? La réalité n’est ni dure ni douce. Elle est. Notre monde commence à payer l’erreur mortelle qui consiste à nier cette évidence. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil… Les bisounours vont payer la note de leur aveuglement et tant pis pour eux.

Nous, nous disons à nos sœurs et frères de sang : n’écoutez pas les prophètes de malheur qui parlent de tolérance et d’amour universel. Ce sont eux qui ouvrent votre porte aux égorgeurs. Ne comptez que sur vous-mêmes pour protéger votre vie et celle des vôtres. Et souvenez-vous du sage principe qui guidait les vieux Romains : SI VIS PACEM PARA BELLUM (« Si tu veux la paix, prépare la guerre »).

23:54 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Morlaix (29), samedi 21 novembre : une conférence sur le Dombass

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23:53 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Etes-vous sûrs de n'avoir jamais croisé ces jeunes gens dans le métro ?

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dimanche, 15 novembre 2015

Manifestations de joie en Turquie à l'annonce des attentats de Paris

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9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Pierre Vial

 9 jni 12.jpgLa 9e Journée

de Synthèse nationale

comme si vous y étiez

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18:05 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le récent à prévoir : réflexions sur la fusillade parisienne et ses suites

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Julien Rochedy cliquez ici

Je réagis à chaud, presque hâtivement, mais je crois qu'il va falloir habituer ses nerfs et son cerveau à réagir de la sorte, car les événements vont désormais s'accélérer. Le temps des longues réflexions et des points de vue distants sont des luxes de temps de paix.

Je ne reviendrai pas sur le choc émotionnel et moral de ces attentats. D'une parce qu'il est évident, de deux parce qu'il ne sert à rien, et de trois, surtout, parce que je n'ai pas envie de faire plaisir aux sectateurs de l'Islam le plus violent, qui salivent comme des chiens à l'idée qu'ils aient pu nous choquer ou nous traumatiser.

C'est dur, c'est horrible, ça fait mal : ça s'appelle l'Histoire qui revient.

L'ennemi de l'intérieur

Hormis quelques (un seul ?) terroristes qui risquent bien d'être l'un de ces doux et gentils réfugiés qui venaient s'échouer en Grèce, la plupart d'entre eux semblent bien être de nationalité française, ou, tout du moins, d'avoir été aidés par des réseaux Français (et Belges).

Ce constat marque la quasi-inutilité de la fermeture des frontières décidée par François Hollande, mais elle appuie surtout sur la caractère illusoire du principe des nationalités dans l'Europe occidentale actuelle. En particulier, je fais référence à la nationalité française. Celle-ci, ayant été distribuée sans prudence et sans ménagement depuis déjà quarante ans, est absolument démonétisée. Elle ne garantie plus rien. Elle ne signifie plus rien. Des populations différentes, voire antagonistes, peuvent désormais avoir la même nationalité. Dans ce cas de figure, les éléments constitutifs de l'identité devront, demain, être cherchés ailleurs. Ces éléments seuls font naître et garantissent des morphologies politiques. Ou dirai-je : des communautés politiques.

De ce que je sais et de ce que je vois, si Paris, dans son intelligentsia, ne veut pas prendre la mesure d'un tel bouleversement et tentera de le nier (y compris les partis nationalistes du type Front National), les populations, elles, s'en aperçoivent. C'est déjà trop tard, les populations de nationalité française ne formeront plus jamais une communauté « une et indivisible ». Nous sommes désormais plusieurs et divisés, et nous allons devoir vivre ainsi pendant au moins plusieurs décennies.

La rencontre qui n'aura pas lieu

Acte 1

Dans un premier temps, la population va vouloir faire corps avec son État. Par peur, elle va naturellement se tourner vers lui, et lui demander de prendre des mesures puissantes, d'être plus fort, quitte même à ce que ça lui coûte sur le plan de ses libertés, déjà fortement réduites de toutes façons.

Comportement classique de toute population qui a peur. Élément renforcé, de surcroît, du fait que la population en question soit Française, c'est à dire absolument habituée à devoir tout à l’État, et à attendre tout de lui.

Acte 2, concomitant

L’État va prendre des « mesures », mais il ne maîtrise déjà plus rien. Ses forces sont trop faibles pour faire face à des populations hostiles en son propre sein. Car, en terme de terrorisme, nous nous exposons encore à deux choses : d'abord, des actes prévus et planifiés comme celui auquel nous avons été confrontés hier (13.11.15), qui ne vont pas s'arrêter de sitôt tant que le Moyen-Orient sera une poudrière ; ensuite, à des actes isolés de jeunes musulmans (comme ce fut le cas à Grenoble avec la tête coupée au mois de juin) qui fantasment l’État islamique. Ceux là sont très nombreux (1).  

Je sais, de sources policière proches (et très haut gradés), que les effectifs sont en sous-nombre et que le renseignement est défaillant. Mais sans même parler de logistique, l’État est désarmé idéologiquement pour faire face : il lui faudrait une énergie, d'autres idées, et, oserai-je, une violence, qu'il n'a pas, qu'il n'a plus.

Pire encore, en vertu de son logiciel, et comme c'est le cas pour tous les États défaillants et déjà morts dans l'Histoire, toutes les mesures qu'il prendra ne feront qu'aggraver le mal. Un seul exemple, bien qu'il y en aurait des dizaines : bêtement, il va s'en prendre au trafic d'armes. Mais comme il ne maîtrise plus les banlieues depuis longtemps, qu'il a ouvert ses frontières et qu'il est la proie de mille corruptions, tout ce qu'il pourra faire sera d'empêcher les Français (pas au sens de la carte d'identité, n'est-ce pas) de posséder des armes. De fait, il désarmera des gens qui seront pourtant de plus en plus dans la détresse. Pareillement, il continuera de tenter de désarmer les gens idéologiquement (propagande pour le vivre-ensemble, pas d'amalgames, etc.).

Acte 3

De fait, la rencontre entre la peur de la population et un État fort qui sera capable de la protéger, n'aura pas lieu. La première, turbide, existe. Le deuxième, et on le verra, n'est déjà plus qu'une fiction.

Épilogue

Comme à la fin de l'Empire romain et le haut moyen-âge, les gens vont commencer à se détourner des institutions pour tenter de s'organiser d'eux-mêmes. Le monde nouveau commencera : celui d'un monde en grappes.

Vous avez la le thème de l'essai que j'écris actuellement, puisqu'on me le demande souvent.

Résultat : encore une fois, prenons acte du monde qui décède sous nos yeux et entrons vite dans le suivant. Tout le reste n'est que dilatoire.

(1) J'ai moi-même été saisi par le nombre de racailles qui ont une très bonne opinion de leurs « frères » musulmans qui se battent en Orient. Au mois de juillet, j'ai même corrigé (et il a douillé...) un arabe qui, après s'être pris un vent par une jeune fille, la menaçait de lui « couper la tête » comme le font « ses frères ». Ces anecdotes ne manquent pas.   

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Un homme d'État s'adresse à François Hollande…

16:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un peu de musique pour se détendre…

En 1987, sur l'album Thulé, le groupe Légion 88 abordait la question du terrorisme avec un refrain entraînant :

Terroriste à mort, immigré dehors !

 

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Du sang et des larmes...

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Dr Bernard Plouvier

Lorsque, durant l’été de 1940, le sieur Churchill promettait à ses compatriotes du sang et des larmes, il ne mentait nullement – que non pas -, du moins agissait-il ! Après l’hécatombe du 13 novembre (et en attendant que d’autres blessés en état catastrophique n’alourdissent le bilan), le peuple français a sa ration de larmes, de trémolos d’indignation, d’hommages aux victimes (et surtout à leurs familles, composées d’électeurs)… mais l’on attend vainement des actes.

On se gargarise du fait que nos glorieux services de renseignements (« parmi les meilleurs du monde », paraît-il) avaient repéré divers auteurs des attentats, dont un avait d’ailleurs été signalé par la police grecque des frontières, après avoir été identifié sur l’île de Lemnos… mais, dans ce cas, pourquoi n’avoir pas pisté ces crapules (en herbe), n’avoir pas repéré leurs contacts et n’avoir pas procédé à des arrestations préventives. La réponse est simple : il ne fallait commettre ni amalgame entre jeune musulman et djihadiste (curieuse conception, d’ailleurs, puisque selon le « saint coran », le Djihâd est une obligation pour le muslim en bonne santé), ni vaguelette en période pré-électorale (mais quand n’est-on pas, dans notre pays lamentable, en période de ce type ?), durant laquelle une action en quartier musulman risque d’être vécue comme une « provocation », voire – horreur suprême – un acte « raciste » !

Nos mous de la République – les Hollande, Valls, Taubira et autre Cazeneuve – sont responsables d’incurie, de non-respect du principe de précaution, et coupables d’abstention délictueuse, frisant ici la non-assistance à personnes en danger de mort. Quand on accède à une fonction électorale, ce n’est pas pour faire la Une des tabloïds et autres peopleries, pour faire du scooter devant les caméras ou flirter avec des donzelles frelatées, c’est pour AGIR. Or nos mous ne savent que causer et gémir, agonir « l’extrême-droite » et les « racistes » (Blancs bien sûr, puisque nos excellences – pas plus que les fonctionnaires de la Halde - n’ont jamais ouï les propos, orduriers autant que racistes, des racailles de l’immigration colorée).

AGIR, cela ils ne le savent pas. C’est pourtant simple ! Dans notre malheureux pays, il y a plus d’un millier de cités de non-droit à nettoyer de leurs délinquants et criminels impunis. Il y a une foule de parasites sociaux à expulser du pays, pour lutter contre le déficit des caisses sociales, qui alimente notre Dette abyssale autant qu’irremboursable. Il y a une foule d’immigrés chômeurs professionnels, donc manifestement en surnombre dans notre pays, industriellement sinistré. Il y a une foule de réseaux de trafiquants de drogues, d’armes, d’objets volés ou de contrefaçon… et si nos mous, l’ignorent, les policiers de base peuvent les renseigner. Il y a une armée, une police, une gendarmerie, le corps des gardiens de prison à épurer des musulmans, qui forment une authentique 5e colonne en terres françaises, ce qui est intolérable – ou suicidaire, au choix – en période de guerre civile largement annoncée.

Agir ou Partir, telle est l’alternative de nos pseudo-gouvernants !

14:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi prochain, 21 novembre, dans l'Oise :

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14:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TV Liberté sur les attentats (14 11 2015)

11:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Roger Holeindre

9 jni 11.jpgLa 9e Journée

de Synthèse nationale

comme si vous y étiez

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11:15 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

1914-2015 : ce n’est plus la même qualité de Français !

7780515982_un-homme-et-une-petite-fille-deposant-une-bougie-devant-le-bataclan-le-14-novembre-2015.jpgDr Bernard Plouvier

L’été de 1914, contre toute logique, contre tout bon sens, les nations européennes se ruent les unes à l’assaut des autres, avec enthousiasme (quoi qu’en aient dit un demi-siècle plus tard des historiens qui voulaient absolument donner raison, qui à ‘’Lénine’’, qui à Jaurès).

Le motif était futile : un énième assassinat de tête semi-couronnée. La situation n’était ni plus ni moins explosive que tout ce que l’on avait vécu lors des incidents coloniaux d’Afrique, durant les années 1890-1911, ou lors des conflits entre pays danubiens induits par la décomposition de l’Empire turc.

Le capitalisme financier et industriel, déjà largement cosmopolite, était – sauf en Russie où l’on travaillait, avec des capitaux étrangers, pour la seule consommation nationale - opposé à l’idée d’une guerre généralisée, tout au plus favorable à un conflit local qui raviverait la course aux armements et engendrerait ces destructions qui appellent depuis toujours une reconstruction, source de profits, mais sans remettre en question la répartition des terres en Europe (l’Alsace-Moselle ne faisait même plus recette en France depuis l’affaire Dreyfus : il fallait éviter de trop se pencher sur les affaires de Mulhouse… les initiés comprendront !).

Les conflits sociaux se réglaient alternativement, soit en faisant donner la troupe contre les grévistes (c’était, en France, une spécialité de Clemenceau et même d’Aristide Briand), au pire en augmentant un peu les salaires, ce qui faisait immanquablement monter les prix de vente de gros et au détail : rien ne bougeait dans l’équilibre final… c’était d’ailleurs ce que reprochaient les anarchistes et les marxistes à leurs ennemis, les socialistes réformateurs.

La caste militaire, quoi qu’on en ait dit depuis, ne manquait pas d’occasions de briller en zones coloniales et, après tout, il était moins périlleux de parader au milieu des civils, au pire de se battre contre des primitifs ou des arriérés, que de se lancer dans une guerre moderne, les exemples de la Civil War des USA et de la guerre russo-japonaise étant dans toutes les mémoires des généraux (du moins, ceux qui se donnaient la peine de lire) : une guerre moderne tuait beaucoup de monde.

On savait tout cela bien avant 1914 ; seuls les historiens qui ne lisent pas les journaux et revues de l’époque l’ignorent. Pourtant, la guerre se déclencha, puis se mondialisa. Et pour une raison simple : les hommes étaient d’une autre trempe que nos contemporains. Le confort moderne – rudimentaire à nos yeux – leur paraissait amollissant, l’ennui d’une vie trop prévisible dans un monde d’évidente stabilité sociale, morale et monétaire leur paraissait insupportable. Ils n’avaient aucun autre moyen que la lecture pour vivre une aventure par procuration - le cinéma était alors tellement grotesque qu’il faisait rire plutôt que rêver - et les romans étaient écrits en une si belle langue qu’ils en étaient ennuyeux !

La Grande Guerre, dans son illogisme, était la plus inévitable de toutes : les Européens étaient virils, partageant tous (sauf quelques esthètes qui affublaient leur couardise des oripeaux du pacifisme) le même chauvinisme, seul sport cérébral commun aux Européens, toutes classes et castes confondues.

2015 : des Français avachis, amollis physiquement par des excès alimentaires et un défaut d’exercices physiques, attendris par un demi-siècle de propagande doucereuse, lénifiante et tiers-mondiste, se comportent en parfaits capons, habitués aux caprices de leur(s) femelle(s), de leur(s) giton(s) ou de leur(s) enfant(s)-tyran(s)… après tout, on ne leur demande plus que de consommer, de s’endetter et de pleurer sur les misères exotiques.

Effectivement, les sauvages venus du Sud ou du Sud-Est ont beau jeu de ravager un pays riche, nullement défendu, ni par des politiciens ineptes, inaptes et corrompus (ni plus ni moins que leurs grands ancêtres, reconnaissons-le), ni par les « forces de l’ordre » (que l’on ferait mieux de qualifier de « faibles de notre déclin »), ni par les autochtones aussi lamentables que des Gallo-Romains du Bas-Empire.

1914-2015 : deux Frances que tout oppose, car les autochtones ont renié les qualités guerrières de leurs ancêtres. Il est stupide de pérorer sur notre niveau intellectuel, scientifique et technique, effectivement bien supérieur à celui de nos grands-parents (et arrière-grands-parents). Seules comptent les qualités morales dans les situations de crise : à quoi servent des dizaines de milliers de policiers, gendarmes et soldats si la mollesse ambiante refuse de les utiliser pour nettoyer les cités de non-droit et renvoyer en terres exotiques tous les trublions et toutes les canailles (voleurs, escrocs), et surtout si l’on n’élimine pas de façon irréversible les crapules (violeurs, assassins, terroristes, grossiums du trafic d’armes et de stupéfiants).

1914-2015 ; Poincaré-Hollande. Deux dates et deux noms symboliques, qui nous font mesurer l’ampleur de notre déchéance.  

10:11 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 14 novembre 2015

A Pontivy, les Bretons ont dit clairement "NON !" aux migrants

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Plus de 150 personnes dans les rues de Pontivy pour dire NON à l'arrivée des migrants en Bretagne ce samedi après-midi à l'appel d'ADSAV, le parti nationaliste breton. Les collabos ont tenté de perturber la manifestation cliquez ici

23:21 Publié dans Contre le "vivre ensemble", la France bouge | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Attentats à Paris : la réaction de Civitas

724388547.jpgUn communiqué de Alain Escada,

Président de l'Institut Civitas 

L’Institut Civitas présente ses condoléances aux familles et aux amis des victimes de ces effroyables attentats de Paris qui endeuillent la France entière. Nos prières accompagnent toutes celles et tous ceux dont la vie a été volée ce soir du 13 novembre 2015. L’Institut Civitas fera célébrer une messe de requiem à leur intention.

Par-delà la peine et le deuil, le devoir de justice impose d’identifier et de punir les coupables de ces actes odieux.

Or, les coupables ne sont pas uniquement ceux qui ont appuyé sur la gâchette d’une arme ou fait usage d’une ceinture d’explosifs.

Les coupables sont aussi ceux qui, de manière irresponsable, ont organisé le chaos au Proche et au Moyen-Orient puis ont facilité, voire orchestré, le développement d’organisations djihadistes (Front al-Nosra, Etat Islamique,...) en Irak et en Syrie.

De nombreux personnages politiques français, de droite comme de gauche, portent une grave responsabilité dans cette situation en ayant contribué directement ou indirectement au financement et à l’armement de factions islamistes dans le cadre de manœuvres géopolitiques d’apprentis sorciers aux côtés de prétendus alliés d’une coalition mondialiste et des pétro-monarchies du Golfe.

De la même façon, les personnages politiques français, de droite comme de gauche, portent une grave responsabilité dans l’invasion migratoire qui déferle sur l’Europe et affecte durement la France, et qui facilite l’entrée sur notre territoire d’individus aguerris au terrorisme et aux techniques de guerre.

La France est aujourd’hui en état de guerre, par la responsabilité même de ceux qui ont pour mission de la gouverner et de la protéger.

Il faudra bien qu’un jour le tribunal de l’Histoire s’en souvienne.

23:04 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |