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lundi, 08 février 2016

Etienne Desplanques, le valet du Système responsable de l'agression de samedi contre les patriotes à Calais

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Vincent Vauclin cliquez ici

Voici Etienne Desplanques, dit "la sous-préfète", se réjouissant sur iTélé de la dispersion de la manifestation contre l'invasion migratoire qui se tenait à Calais samedi dernier.

Se réjouissant également de l'interpellation d'une vingtaine de manifestants, dont le général Piquemal, ancien commandant de la Légion Étrangère, ancien para, notamment officier de la Légion d'Honneur et commandeur de l'Ordre National du Mérite.

Etienne Desplanques, lui, c'est l'archétype du (dys)fonctionnaire républicain, du technocrate tatillon et pernicieux, tout droit sorti de l'ENA soit le degré zéro de la légitimité morale et de la street-crédibilité.
Son occupation du moment, et grassement rémunérée (environ 3 à 4 SMIC par mois), c'est de s'assurer que les immigrés clandestins ne soient pas trop dérangés par les Français excédés de voir leur pays s'abîmer dans le chaos du multiculturalisme.

Car pour lui cette manifestation était "intolérable".

Le fait que 6 000 à 8 000 immigrés clandestins se soient installés en toute illégalité dans le Calaisis et avec la complicité d'autorités traîtres à la France, ça lui pose beaucoup moins problème, manifestement.

On pourrait se dire que sa priorité, ce serait de procéder aux interpellations et aux expulsions manu militari de ces immigrés clandestins.

L'article L621-1 du Code de l'entrée et du séjour des étrangers déclare en effet que "le fait de séjourner de manière irrégulière sur le territoire constitue un délit, passible d'un an de prison, de 3 750 € d'amende et de 3 ans d'interdiction du territoire". Si la Cour européenne de justice a néanmoins affirmé "que le seul séjour irrégulier ne peut pas entrer dans le champ d'une incrimination pénale punie d'emprisonnement", il n'en demeure pas moins que les autres dispositions législatives restent très claires et d'actualité, et devraient normalement permettre des reconduites aux frontières sans délai (du reste, les décisions de la "Cour européenne de justice", on devrait s'en balancer, normalement, dans un pays souverain, mais c'est autre débat).

Les manifestants par contre, eux, avaient leurs papiers. Ils étaient pour la plupart Français depuis 30 générations, au moins.

Mais voyez-vous c'était "intolérable", donc il fallait les disperser, les interpeller ces "extrémistes", y compris lorsqu'il s'agit d'un général 4 étoiles ayant donné sa vie à la France et à la Légion. C'est ce qu'on appelle l'État de droit à géométrie variable.

Etienne Desplanques nous rassure tout de même, dans sa grande mansuétude : "il n'a pas été besoin d'utiliser des moyens lacrymogènes" déclare-t-il.

350 vidéos prouvent le contraire, mais ce n'est pas grave.

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Suite à l'arrestation du Général Piquemal, un communiqué du Général Didier Tauzin

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Ancien commandant du 1er RPima 

En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui tentent de l’éteindre.

Hier à Calais, les forces de l’ordre ont procédé à l’interpellation du Général Christian Piquemal, ancien commandant de la Légion Etrangère. Il s’agit d’un incident grave.

Le Général Piquemal, que je connais personnellement et pour qui j’ai un profond respect, savait que sa présence à cette manifestation était illégale du fait de l’interdiction préfectorale dictée par le ministre Cazeneuve. Il était prêt à en payer le prix pour des raisons supérieures à la légalité : le service de la France et la défense des Français face aux vagues migratoires.

Officier, il a consacré sa vie à la France et, à 75 ans, il reste prêt à la donner pour que la France vive. Officier de la Légion Etrangère, il ne peut en aucun cas être considéré comme un raciste.

Cette arrestation brutale se traduit aujourd’hui par un jugement en comparution immédiate, ce qui me révolte profondément étant donné que notre « justice » manifeste par ailleurs un laxisme insupportable envers la délinquance réelle.

Je remercie vivement le Général Piquemal et lui dis tout mon respect. J'appelle toutefois au calme, car cette arrestation constitue, de la part de nos gouvernants, une grossière tentative d’intimidation, une méthode classique des régimes à l'agonie. Ne nous laissons pas entraîner là où ils veulent nous conduire : l'action violente.

Ce gouvernement - dont l’incompétence confine de plus en plus à l’illégitimité - nous provoque et espère nous pousser à la faute. Ne cédons pas aux manipulations et préparons l’avenir avec détermination.

Dans la tempête qui se prépare, nous devons rester calmes, avoir confiance en la France car elle a connu bien d'autres difficultés, et préparer avec courage son redressement.

Ensemble, nous rebâtirons la France !

Général Didier Tauzin

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Faut-il s’appesantir sur la politique spatiale des Nord-Coréens ?

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Dr Bernard Plouvier

2016 est à l’évidence un grand cru en matière d’islam conquérant, mais faut-il à toute force l’envisager sous l’angle d’une nouvelle guerre du Pacifique ? Cela paraît peu probable pour plusieurs raisons.

Il est évident que le régime nord-coréen est à la fois un dinosaure, étant l’unique survivant des dictatures militaro-communistes de la planète, et un pion (mineur) dans la guerre d’influence qui se joue à trois pour la domination du Pacifique-Nord. Certes, ce pion minuscule a la prétention, depuis un quart de siècle – soit la fin de l’URSS -, de jouer en solitaire. Encore faut-il analyser sa capacité de nuisance, qui paraît sans commune mesure avec celles des USA et du nouvel élan islamiste.

C’est une puissance nucléaire depuis 2006, ne maîtrisant le lancement des fusées de haute altitude que depuis 2012 et qui en est encore qu’à l’étude de la rentrée dans l’atmosphère sans désintégration des capsules lancées… autrement dit, et contrairement à ce que l’on hurle à l’ONU, ses « missiles balistiques » ne sont nullement opérationnels. Leur portée ascensionnelle peut leur permettre de mettre un satellite en orbite, mais leur portée terrestre demeure toute théorique, même si de nombreux sites du Net – espace rêvé de désinformation – veulent faire croire que l’Alaska, la Sibérie, l’Inde et l’Indonésie sont menacés, autant que la Chine, la Corée du Sud et le Japon voisins.

Relativisons un peu ce « géant » de la nuisance internationale : moins de 30 millions d’habitants, serrés dans un pays fort petit, donc « atomisable » très facilement. Le crypto-islamiste de la Maison Blanche n’a-t-il pas une nouvelle occasion de détourner l’attention des opinions publiques du seul danger qui soit en cours de réalisation : l’invasion islamique de l’Europe occidentale et danubienne ?

Un petit État aux ressources très limitées, dépendant pour sa technologie du colossal voisin chinois comme il dépendait jusqu’en 1990 de l’URSS, sert de Satan de secours à une administration US qui a participé directement à la contamination de l’Asie du Sud-Ouest et de l’Europe par le djihadisme.

Les opinions publiques européennes, désinformées en permanence, sont très facilement orientables vers des leurres. La minuscule Corée septentrionale en est l’un des plus facilement exploitables puisque ses dictateurs successifs poursuivent inlassablement une fuite en avant, simplement pour assurer quelques années de survie à une caste dirigeante sans projet réel. Qu’importent aux Européens les misères d’un peuple exotique qui rejoue en solo et à vide le scénario marxiste, quand sur notre continent débute une invasion ultra-violente, programmée par de très puissants apprentis-sorciers.       

04:35 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouveau livre de Georges Feltin-Tracol

Feltin-0.jpgBastien Valorgues

Pour l'ami Georges Feltin-Tracol, l’année 2015 fut une vraie année blanche si cette expression ne tombe pas encore sous le coup de la loi proscrivant toutes distinctions colorées… Le rédacteur en chef d’Europe Maxima ne publia aucun ouvrage. Certes, à la Rentrée 2014, il avait sorti à quelques semaines d’intervalle un essai prémonitoire sur l’extension du domaine liberticide, En liberté surveillée aux Bouquins de Synthèse nationale, et une belle introduction bibliographique sur Thierry Maulnier. Un parcours singulier (Auda Isarn). Il mit à profit 2015 pour regrouper des textes de combat, d’imparables munitions métapolitiques, dont des inédits, qui paraissent dans un nouveau recueil intitulé Éléments pour une pensée extrême, aux Éditions du Lore. Ce livre constitue le troisième volume (et dernier ?) d’une série inaugurée par Orientations rebelles (Les Éditions d’Héligoland, 2009) et poursuivie avec L’Esprit européen entre mémoires locales et volonté continentale (Les Éditions d’Héligoland, 2011).

Sciemment provocateur, le titre étonne. Georges Feltin-Tracol l’explique en avant-propos. Laissons donc au lecteur la primeur ! Il a écrit une grosse soixantaine de contributions non pas au FAMAS, mais à la mythique Sturmgewehr. Dans son viseur, une constante, un ennemi principal : la République française qu’il vomit de tout son être. D’ailleurs, l’une des parties du livre s’appelle « La tyrannie républicaine ». « Dans l’Hexagone de François Hollande, remarque-t-il, il ne fait pas bon être opposant. Ce triste constat se vérifiait déjà au temps de l’atlantiste Nicolas Sarközy. »

Il accuse « la République hexagonale » (l’une de ses expressions favorites) d’assassiner la France et ses peuples indigènes. Pour étayer cette terrifiante assertion, cet insatiable lecteur mentionne un curieux roman à clé écrit en 2005 par Sophie Coignard et Alexandre Wickham, Mafia chic qui décrit une classe politico-médiatique prête à tout pour s’enrichir au plus vite. Or, pour museler toutes les oppositions, le Système – auxiliaire zélé ou impeccable domestique du « bankstérisme » – suscite un véritable « désordre sécuritaire ». Ce terme oxymorique désigne le renforcement incroyable d’un État répressif, laquais d’une clique ploutocratique aux buts mondialisés. « Si la protection conjointe de la société et de l’enfance masque la sujétion totalitaire des corps et des âmes, note-t-il, l’insécurité largement répandue par les médias participe à la mise au pas des sociétés post-industrielles rendues plus fragiles par une hétérogénéité ethno-culturelle croissante. Il ne faut pas s’en étonner; c’est l’effet recherché : le “ multiculturalisme ” participe aussi à l’éradication des traditions populaires perçues comme des inerties, des freins et des résistances au Nouvel Ordre marchand planétaire. Plus le corps social sera “ multiculturel ”, plus il sera instable et mieux la coercition se révélera indispensable. Est-ce au fond si étonnant ? Pensons aux Grecs de l’Antiquité qui opposaient leurs cités homogènes, gages de démocratie, au caractère hétérogène des empires orientaux foncièrement despotiques. »

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Calais : le début de la fin du Système ?

00:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parmi ces "petits princes" qui devront un jour s'expliquer devant la justice du peuple :

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Le collabo Etienne Desplanques, le bien nommé...

00:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A l'attention de nos amis du Nord Pas-de-Calais : TOUS A BOULOGNE sur MER AUJOURD-HUI LUNDI A MIDI

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À FAIRE CIRCULER :

MOBILISATION GÉNÉRALE demain lundi à 12h au Tribunal de Boulogne-sur-Mer pour soutenir le général Piquemal. De nombreux médias seront présents alors plutôt que de limiter notre révolte à Facebook, montrons au général que nous le soutenons, AVEC LUI !

00:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 07 février 2016

Vague de protestations après l'arrestation du Général Piquemal

Lang Carl.jpgUn communiqué de Carl Lang :

Carl Lang et Le Parti de la France dénoncent la scandaleuse interpellation par les forces de l'ordre du Général Piquemal lors de la manifestation de ce samedi 6 février à Calais.

C'est au moment où il quittait le lieu du rassemblement et à l'issue de l'appel à la dispersion des manifestants qu'il a été brutalement ceinturé et arrêté par les forces de l'ordre. Alors qu'il y a quelques jours des milliers de migrants en situation irrégulière encadrés par des militants d'extrême gauche défilaient librement dans Calais, le rassemblement à l'appel de l'association Pegida a été interdit par le gouvernement socialiste. Il est clair qu'une fois de plus la gauche protège les clandestins et persécute les patriotes. La trahison du peuple français règne au sommet de l'Etat.

 

220px-Alain.Escada.jpgUn communiqué de Alain Escada (Civitas) :

Civitas apprend avec stupeur que la République maçonnique a fait procéder ce samedi 6 février 2016 à l'arrestation à Calais du Général Piquemal, ancien commandant de la Légion étrangère, au motif que celui-ci s'est rendu à une manifestation contre l'invasion migratoire, manifestation interdite par le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve.

Civitas salue avec respect le Général Piquemal dont l'engagement au service de la vraie France persiste dans l'honneur et la fidélité.

Honte à ce gouvernement socialiste qui méprise les meilleurs serviteurs de la France. Honte à cette dictature socialiste qui réprime les patriotes mais permet à des immigrés illégaux de semer impunément le désordre.

Autres réactions : 

La députée Marion Maréchal-Le Pen a elle aussi apporté son soutien au général, de même que Gilbert Collard, Secrétaire général du Rassemblement Bleu Marine, qui a qualifié son arrestation de «honte».

Le Sénateur du parti de Marine Le Pen, Stéphane Ravier, a rallié l'indignation de ses colistiers, qualifiant l'incident d'«injure du pouvoir à l’héroïsme français».

Quant au maire de Béziers, proche du FN, Robert Ménard, il a tweeté : «Clandestins en liberté, général arrêté, bienvenue en Hollandie». Réagissant ensuite à l'annonce de la comparution immédiate du général, qui doit être jugé lundi, il a estimé que la justice était «plus rapide avec un général patriote qu’avec les voyous du quotidien».


Pour Thierry Mariani, il y a un double standard en France

Contacté par RT France cliquez ici, le député des Républicains a estimé qu’il y avait un deux poids deux mesures dans le traitement des manifestations en France. S’il a insisté sur le fait que tous les débordements racistes devaient être condamnés, l’arrestation de ce général, «qui ne présentait aucun danger», lui semble profondément choquante.

Thierry Mariani a également fait remarquer que la comparution dès lundi du général Piquemal pour «non-dissolution de manifestation après sommation» était exceptionnelle en France. «J’espère que tous les manifestants gauchistes qui ne dissolvent pas les rassemblements après sommation seront traités de la même manière», a-t-il déclaré, ajoutant qu’il y avait un double standard entre les manifestants en faveur des migrants et l’arrestation du général Piquemal dans le rassemblement de Pegida.

Il peut toujours rêver...

19:18 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les vidéos de la honte

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Dr Bernard Plouvier

Ce samedi 6 février 2016, des patriotes viennent à Calais clamer leur indignation face au comportement des envahisseurs africains, proche- et moyen-orientaux, presque tous musulmans, de ce que l’on appelle désormais – dans les media de l’ensemble de la planète : quelle réclame pour notre pays ! – la « jungle de Calais ». Des journalistes sont présents et grâce aux vidéos, l’on peut se rendre compte de ce qui s’est réellement passé, loin de la propagande des collaborateurs de l’immigration-invasion.

L’on voit des « jeunes » musulmans se moquer des patriotes français, en toute impunité, car les « forces de l’ordre » protègent les semeurs de trouble musulmans et leurs collaborateurs de la « gauche » (en réalité vautrée devant le petrodollar, nouvel avatar du veau d’or) ! L’on voit, des musulmans arborer un drapeau antifasciste nouvellement créé… il faudrait peut-être apprendre à ces extra-européens que le fascisme fut une affaire interne à l’Italie d’après la Grande Guerre et que ce mouvement a disparu en 1945.

L’on voit des musulmans utiliser ce torchon pour en draper les statues de Charles et Yvonne De Gaulle, celle du défunt Président étant taguée en rouge d’un « Nik la France » du plus bel effet : les débiles nouveaux ne savent même plus orthographier correctement leurs injures. Ils ne doivent maîtriser que l’arabe… et la réforme de l’orthographe porte peut-être aussi sur les injures à caractère pornographique. Avec la qualité humaine de nos envahisseurs, qui peut savoir ?

L’on voit, enfin ! agir les forces de l’ordre… et c’est pour arrêter un septuagénaire, général de corps d’armée du cadre de réserve, ex-patron de la Légion étrangère. BRAVO, messieurs les courageux CRS ! Il est effectivement plus facile de s’attaquer à sept contre un (les vidéos le prouvent) à un vieux militaire français, désarmé et manifestement fort peu belliqueux, plutôt que de ramener à la décence des racailles musulmanes, agitant un drapeau sans existence officielle et hurlant leur haine des patriotes français.

Sans les vidéos de ce samedi, nul n’aurait cru cela possible. La déchéance de la France hollando-vallso-cazeneuvienne défie toute appréciation. Y-a-t-il encore un homme raisonnable (à défaut d’être patriote) dans les hautes sphères de l’État, ou faut-il croire qu’à force de gueuletonner, de sniffer des rails entre deux parties de jambes en l’air, plus personne ne songe à autre chose qu’à ne surtout pas mécontenter les bienfaiteurs islamo-pétroliers, indispensables au gonflement du trésor de guerre du parti au pouvoir, alors que s’annoncent des présidentielles fort rudes ?

Lors de la Libération, les Résistants auront beaucoup de travail pour traiter comme il se doit les traîtres et pour épurer les différents corps de l’État.

18:56 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Rungis, aujourd'hui dimanche 7 février, meeting contre l'islamisation et de soutien au Général Piquemal

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10:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Juste avant son arrestation hier à Calais, le Général Piquemal s'exprimait...

Quelques secondes après il sera interpellé par les forces de répression du régime. L'odieuse cumularde Bouchard (Les Républicains), qui sert encore de maire à Calais, s'est félicitée de cette répression contre les patriotes...

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09:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Enfoirés, dites-vous ?

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08:49 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La nouvelle querelle byzantine : la prolongation du (non-)état d’urgence

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Dr Bernard Plouvier

Tous les historiens se moquent des Byzantins qui, au milieu du XVe siècle, se préoccupaient de querelles théologiques alors que Constantinople était assiégée. En réalité, l’Empire romain d’Orient, abandonné des Européens, était réduit à sa seule capitale depuis des décennies et le peuple comme son Basileus savaient qu’ils n’avaient rien d’autre à espérer qu’une éventuelle clémence du sultan turc lorsque ses troupes auraient enfin pris d’assaut les murailles de l’énorme et très riche cité.

Dans ces conditions, disserter du sexe des anges ou de la dévolution au Père seul ou au couple Père-Fils de l’Esprit Saint et autres spéculations métaphysiques, cela faisait passer le temps et oublier l’imminence de la fin d’un monde… c’est curieux, ce genre de rappel historique nous évoque l’actualité !

De nos jours, alors que menacent une tornade financière et une invasion islamique d’une violence extrême dont nous n’avons dégusté que les prémices, les adeptes du néo-byzantinisme dissertent sur les « importantes dérives de l’état d’urgence ». Cet état fut proclamé d’un ton solennel autant que grave, en novembre 2015, par notre bon Président, devenu subitement fort soucieux du bien-être des Français. Notre sémillant premier ministre a dit, la décade précédente, que l’état d’urgence perdurerait jusqu’à disparition de l’État Islamique… soit une promesse qui évoque l’expression enfantine « saint glin-glin ».

La « gauche de la gauche » (néologisme délicieux en une époque où tous les politiciens sont littéralement vautrés devant le veau d’or, à l’exception de rares populistes d’Europe danubienne, centrale et de l’Est) et diverses ligues (il existe, le bon peuple devrait le savoir, de bonnes et de mauvaises ligues) hurlent et se contorsionnent à propos d’abus de notre soi-disant état d’urgence, soit quelques milliers d’assignation à domicile d’islamistes, alors qu’en deux mille cités de non-droit et dans les mosquées qui se multiplient dans notre pays, les fanatiques de l’islam sont stricto sensu innombrables.

On savait déjà, grâce à une remarquable biographie d’Andreï Vychinski, le procureur des grands procès staliniens, que la Ligue Internationale des Droits de l’Homme n’avait pas plus protesté que le PCF ou les diplomates de la Société des Nations contre les parodies judiciaires organisées par ‘’Staline’’, en 1936-38, pour se débarrasser de (très timides) opposants. De nos jours, les « humanistes » semblent oublier que si l’on « persécute » des musulmans jugés « un peu exaltés » par la presse collaborationniste, ce sont près de 150 Français de souche européenne qui ont été exterminés l’An 2015 (de janvier à novembre… en n’oubliant surtout pas les victimes isolées qui n’ont pas fait la Une des journaux, à la différence des tueries collectives).

Or, une question (mineure, on le reconnaît, comme tout ce qui relève de la politicaillerie) se pose. Est-ce une querelle byzantine ou le machiavélisme d’un Exécutif empêtré dans une mesure électoraliste, qui devait n’être que symbolique et s’est avérée extraordinairement populaire ? Notre beau Président, dont le comportement est trop souvent celui d’un adolescent en goguette, n’est certes pas un homme à poigne, encore moins cet apprenti-dictateur que de curieux commentateurs font semblant d’apercevoir.

C’est un doux opportuniste qui a besoin de se sortir d’un guêpier sans faire perdre trop de voix et de sinécures aux membres de son parti, ne sachant même plus s’il pourra ou non tenter de conserver la place élyséenne, dont on sait qu’elle est bonne et gratifiante. Alors, ce Tartarin, joue avec autant de finesse qu’il le peut une scène de comédie de boulevard : « Retenez-moi ou je fais un malheur ! ». Pourtant, avec un tel homme et un tel « état d’urgence », les islamistes n’ont pas trop de craintes à développer.

08:41 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 06 février 2016

A Dresde, capitale de la résistance européenne, une foule immense s'est rassemblée cet après-midi pour crier "Halte à l'invasion !"

19:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Montpellier, des centaines de patriotes se sont rassemblés contre l'invasion.

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Du jamais vu dans les rues de Montpellier. Le peuple relève la tête...

Des centaines de patriotes languedociens ont répondu à l'appel de la Ligue du Midi ce samedi après-midi à Montpellier. Ils sont venus protester contre l'invasion de leur terre par des masses venues d'ailleurs grâce à la complicité des tenants du pouvoir. Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, et les autres orateurs ont été acclamés par la foule. Dans toute cette région, grâce au dynamisme de la Ligue, la résistance prend de l'ampleur.

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Richard Roudier, Pierre Vial et les autres orateurs ont été acclamés par une foule enthousiaste...

19:10 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SCANDALE : la police de Cazevide, incapable de rétablir l'ordre à Calais, arrête le Général Piquemal, ancien Président de l'Union nationale des parachutistes

Sans ménagement, les flics ont chargé cet après-midi les patriotes calaisiens qui manifestaient leur légitime ras-le-bol de voir leur ville sombrer dans une situation de plus en plus grave. Rappelons que, samedi dernier, les mêmes flics ont lamentablement déguerpis face aux racailles qui paradaient dans la ville.

Pour masquer son incapacité totale à régler le problème de l'invasion, le pouvoir aux abois a donc lâcher ses forces de répression et fait arrêter le Général Christian Piquemal, ancien chef de la Légion étrangère et ancien Président de l'Union nationale des parachutistes, qui devait prendre la tête de la manifestation populaire. 

Synthèse nationale

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Le Général Piquemal juste avant son interpellation .

18:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De retour, Bruno Mégret dresse la liste des «erreurs» de Marine Le Pen

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Source Le Figaro cliquez ici

LE SCAN POLITIQUE - Au moment où le FN se réunit en séminaire pour déterminer sa stratégie pour 2017, l'ancien bras droit de Jean-Marie Le Pen publie un roman relatant une victoire de la droite nationale. Mais il n'imagine pas Marine Le Pen en situation.

Alors que le FN s'apprête à ouvrir ce vendredi un séminaire de deux jours et demi pour tenter de trouver des solutions au «plafond de verre» et gagner l'Élysée en 2017, un ouvrage paru cette semaine pourrait attirer l'attention des cadres du parti. Il s'agit du Temps du Phoenix (éditions Cité Liberté), un roman d'anticipation politique qui raconte par le menu la victoire à la prochaine présidentielle d'un candidat issu de rangs de la droite nationaliste et sa gestion du pouvoir. De quoi inspirer les séminaristes, bien que l'auteur ne soit pas des plus appréciés dans la maison frontiste. Tantôt surnommé «Brutus» ou «le félon» et écarté du FN depuis janvier 1999, Bruno Mégret fut longtemps considéré comme le successeur de Jean-Marie Le Pen. Avant sa rupture avec le «Menhir», en raison notamment du «favoritisme familial» en vigueur au FN. S'il romance aujourd'hui la victoire d'un champion nationaliste, il n'envisage pas en l'état que Marine Le Pen puisse l'incarner.

La victoire rêvée du nationalisme

«Si je me suis mis en retrait de la politique, je ne me suis pas pour autant désintéressé du sort de notre nation», explique d'emblée au Scan le fondateur du MNR. Il se défend cependant de vouloir polémiquer avec la famille Le Pen. «J'ai surtout écrit ce livre parce que je suis frappé par l'impuissance des responsables politiques actuels. Le gouvernement est phagocyté par les contraintes institutionnelles et juridiques. Même si un président de rupture, issu des rangs de la droite nationale arrivait au pouvoir en 2017, rien ne serait possible de faire en l'état», juge-t-il.

Dans Le Temps du Phoenix, l'ancien responsable politique détaille les mesures et les méthodes qui selon lui ouvriraient la voie du succès à l'extrême droite. Mégret plaide d'abord pour la préférence nationale en matière de politiques sociales, et l'extinction des flux migratoires, légaux et clandestins: «Quand une inondation sévit, on ferme la voie d'eau avant de réparer les dégâts», glisse-t-il. Jusque-là, rien de très différent du programme frontiste. C'est sur l'Europe et l'économie que son dessein est «totalement différent». L'ancien député de l'Isère veut le maintien de l'Union européenne et de l'euro, mais plaide pour une évolution vers une «Europe confédérale», et la subordination du droit européen au droit national. Le roman défend par ailleurs un retrait du pouvoir de censure du conseil constitutionnel, «un tribunal idéologique», et le renforcement du pouvoir parlementaire.

Les erreurs du FN selon Mégret

«Ce sont là tout un tas d'idées que j'aurais proposées au séminaire si j'avais encore été au FN», assure-t-il. Une manière de dire que les orientations qui se profilent pour la prochaine campagne, avec le nouveau slogan «la France apaisée», ne lui conviennent pas. «Je ne crois pas vraiment que la France ait besoin d'apaisement ou de tranquillité. Il faut de la rupture là où c'est nécessaire». «Sur la sortie de l'euro, sur l'offre de mesures sociales aussi démagogiques que peu crédibles, sur le refus des réformes économiques et de l'abandon des combats de sociétaux, je pense que le Front national actuel commet un certain nombre d'erreurs stratégiques», juge-t-il, en désignant les orientations qui ont été impulsées sous la houlette de Florian Philippot.

Bruno Mégret poursuit sur sa lancée : «Beaucoup de gens ont été choqués de ne pas voir le Front national uni au premier rang des manifestations contre le mariage homosexuel (…) Il est regrettable que le FN actuel ne soit pas plus clair dans ses positionnements. En politique, il faut des discours limpides. On ne peut pas affirmer, par exemple, vouloir lutter contre l'immigration pour ensuite brouiller le message sous la pression des antiracistes». Comme au moment de son départ du FN, Bruno Mégret reste convaincu que l'avenir du courant national passe des alliances avec le reste de la droite. «C'est aussi une erreur politique que d'avoir refusé de hiérarchiser les opposants. On ne peut pas combattre sur un même plan la droite et la gauche, qui reste l'adversaire prioritaire», juge-t-il, pour dénoncer l'argumentaire «anti-UMPS».

Une chose est sûre, l'ancien numéro 2 du FN semble n'avoir rien perdu de son ressentiment envers la firme Le Pen, et ne démontre aucune compassion pour son ancien compagnon de route Jean-Marie Le Pen. «Il subit la situation qu'il a lui-même voulue et provoquée en nommant Marine Le Pen à la tête du FN», tranche-t-il. Il promet néanmoins d'envoyer son livre «à un certain nombre de cadres du parti que ça devrait intéresser».

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Langues étrangères et Tribunal correctionnel

ef00e6724917fa8f1c03353f64da198e.pngDr Bernard Plouvier

Les honorables collaborateurs de l’invasion-immigration, étant effrayés du nombre de leurs déconvenues électorales, ne savent plus vers quel juriste se tourner pour faire condamner les résistants. Désormais – à la suite d’un échange verbal au Conseil régional Nord-Artois-Picardie -, l’on sait que le maniement en virtuose des langues étrangères peut être interprété par des ignares comme une manifestation de « racisme », avec les outrages médiatiques et les conséquences pénales que cette accusation entraîne… ce qui, pour l’amateur d’histoire humaine, évoque les procès médiévaux pour « blasphème ».

Si vous maniez l’argot anglo-US (le slang), vous n’aurez guère de problème, même si – après avoir fait un séjour dans certains quartiers fréquentés par des Antillais - vous usez de termes pornographiques. Déjà le Rotwelsch (l’argot germanique) risque de vous valoir une accusation d’antijudaïsme, tant les termes Yiddish y abondent… vous pourrez toujours dire que le Yiddish est richissime en termes humoristiques et qu’une allusion à cette langue est en elle-même une preuve d’humour et non de méchanceté. Un juge d’origine ashkénaze ne pourra qu’abonder dans votre sens.

Le drame est de connaître les langues exotiques, celle des anciennes colonies. Un conseiller régional (bien sûr du Front National, victime toute désignée) a osé employer un mot d’usage ultra-courant dans la République du Viêt-Nam : Nhà quê et il l’employait fort bien, prouvant l’exactitude de ses connaissances linguistiques, à la différence de ses interlocuteurs ignares. Face à une argumentation qu’il a jugée débile, l’élu a demandé « Vous nous prenez pour des Nhà quë ? »… ce qui signifie : « Vous nous prenez pour des paysans du Danube ? », variante des « péquenots ». Aussitôt, émotion du côté de la gauche-droite-en passant par le centre marécageux : INJURE RACISTE !!!

Eh non, pitoyables politiciens ! Votre confrère a fait preuve de connaissances linguistiques étendues, qui deviennent presque anachroniques en une époque où le niveau moyen de l’élu français et du bachelier français en est réduit au basic English. De fait, coïncidence remarquable, la réaction lamentable des politicards de la gamelle, néo-collaborateurs de l’immigration-invasion, survient au moment même où l’on officialise une réforme de l’orthographe destinée à transformer la langue d’Arouet-‘’Voltaire’’ et de Chateaubriand en un langage informe pour débiles.

On reconnaît volontiers que les altérations d’un terme exotique peuvent trahir la sémantique originelle. Ainsi du mot Chleuh, qui désigne un Berbère du Haut-Atlas. Pour les combattants des combats de pacification du Maroc en 1912, le terme désignait un rude guerrier. Il a été immédiatement utilisé, durant la Grande Guerre, pour désigner les Allemands (en concurrence avec les termes de boche et de fridolin) : mon grand-père et mon père n’usaient que de ce terme pour désigner nos ennemis d’Outre-Rhin, même lorsqu’ils furent devenus des partenaires commerciaux et politiques. Or, avec l’émigration sépharade en Israël, le terme chleuh désigne là-bas un « idiot » : de l’admiration de combattants pour de rudes adversaires, on en est passé à un terme méprisant, fleurant peut-être le « racisme »… mais l’on abuse tellement de ce terme, qu’un honnête homme ose à peine l’employer.

Que nous vivions une époque de fin d’un monde est une évidence. Les néo-collaborateurs auraient toutefois tort de croire que la Nation française est mûre pour l’esclavage ou la soumission veule aux envahisseurs. Ils feraient bien de réfléchir à un avenir un peu plus éloigné que celui des prochaines échéances électorales. Si la Résistance l’emporte, éventuellement aidée par des Libérateurs venus d’Europe de l’Est, nos néo-collaborateurs risquent une nouvelle Épuration… qui pourrait être aussi rude que celle des années 1944-47.

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Le Journal du Chaos de cette semaine

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Pour le lire cliquez ici

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Le Fou du Président

Randa Ph 2.jpgLa chronique de Philippe Randa

Si les Français aiment les grandes gueules, point trop n’en faut néanmoins et à chaque époque son représentant. Dans les années 70 du siècle dernier, Georges Marchais incarna la figure du gueulard-rouge que méprisait et redoutait tout à la fois la grande bourgeoisie, qui faisant tant rire le Français moyen et qui aura été parfait dans son rôle de fossoyeur d’un Parti communiste qu’il abandonna à son successeur sous la barre des 5 % d’intentions de vote.

Vint ensuite dans le rôle du tribun populaire, tout à la fois imprécateur et épouvantail de la gauche en voie de boboïsation rapide, un Jean-Marie Le Pen qui, tout au contraire du liquidateur rouge, hissa son Front national de 1 % des suffrages à plus de 17 % de moyenne nationale au début du XXIe siècle, avant que sa fille ne l’emmène, elle, à plus de 25 % l’année passée.

Jean-Luc Mélenchon est désormais la figure la plus emblématique de cette confrérie politique où se côtoient les extrêmes de tout bord. C’est à lui qu’on doit maintenant bons mots et coups de gueule qui ravissent les médias.

Sa dernière sortie sur l’actuel gouvernement – « Sans les dégoûtés, restent les dégoûtants » – en fait ricaner à juste titre plus d’un, même si pour certains, le rire est jaune… Ça ne l’a pas empêché néanmoins de dîner à l’Élysée à l’occasion de la réception donnée en l'honneur du président cubain, Raul Castro.

François Hollande n’est donc guère susceptible… À moins que « Moi Président » n’aspire tout simplement qu’à décrédibiliser ainsi le leader du Front de gauche en l’exhibant à sa table, comme il était naguère de coutume de voir un fou à la cour du Roi.

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6 février 1945 : assassinat de Robert Brasillach

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vendredi, 05 février 2016

Ce soir, l'Invasion noire est sur Méridien zéro (et peut-être ailleurs…)

Ce soir, Méridien zéro, le décrochage français de Radio Bandiera Nera, consacrera son émission à une évocation du Colonel Driant (capitaine Danrit en littérature) à l'occasion du centenaire de sa mort héroïque, au tout début de la bataille de Verdun, le 22 février 1916.

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L'émission, animée par Monsieur PGL (Wilsdorf à la technique), aura pour invité Lionel Bosserelle qui a récemment réédité un des livres les plus prophétiques de celui qu'on a appelé le Jules Verne militaire : l'Invasion noire (cliquez ici)

Coffret, Invasion noire, Danrit

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Samedi à Montpellier et dimanche à Rungis : Sauvons notre pays !

Samedi 6 février à Montpellier :

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Avec Jean Théron (Riposte Laïque), Ester Gallego (Som Catalans), Alain De Peretti (Vigilance Hallal), Pierre Vial (Terre et Peuple) et Richard Roudier...

Dimanche 7 février, à Rungis :

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Espace Jean Monnet 47, rue des Solets Rungis SILIC

Stand de Synthèse nationale

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SYRIE : QUI VEUT LA PAIX, QUI VEUT LA GUERRE ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Coïncidence ou volonté de faire capoter dès le départ les négociations de « paix » qui devaient s’ouvrir à Genève en ce début de février sous l’égide des Nations Unies, un attentat suicide perpétré à Damas le 31 janvier dans le quartier chiite de Sayeda Zeïnal, a causé la mort d’au moins soixante personnes et en a blessé plus d’une centaine, dont certaines resteront marquées à vie dans leur chair. Comble du sadisme, un second tueur kamikaze a attendu que les secours arrivent sur le lieu de la première explosion pour activer une deuxième charge.

La Syrie entre dans sa cinquième année de guerre civile. On atteint des chiffres proches de ceux de l’ex conflit yougoslave en termes de victimes. Des millions de citoyens sont déplacés ou en exil, tandis que des centaines de milliers d’autres croupissent dans des poches territoriales tenues par les forces gouvernementales ou par les assassins de Dae’ch. Les merveilleux souks d’Alep sont en ruine, l’extraordinaire krak des chevaliers à la frontière libanaise était sous le feu des insurgés, tandis que l’incroyable site archéologique de Palmyre est entre les mains des « cinglés de Dieu ». Ce conflit s’inscrit dans la lutte séculaire que se livrent chiites et sunnites, les premiers étant soutenus par l’Iran qui retrouve sa place parmi les nations, les seconds par l’Arabie Saoudite, prête à tout pour casser les prix du pétrole et obliger ainsi son allié américain à retourner aux fondamentaux de l’alliance scellée en 1945 sur le croiseur Quincy, entre le Roi Saoud et le Président Roosevelt. Depuis l’entrée en lice de la Russie qui pèse de tout son poids en faveur de son champion, le régime baasiste de Damas, les donnes militaires du conflit ont changé. L’armée du régime marque des points et récupère lentement, des lambeaux de territoire. Les frappes aériennes, tant russes que celles des alliés occidentaux, privent petit à petit Dae’ch de ses sources de financement : le pétrole. (A noter que ce dernier est acheminé vers des clients indélicats, pas tant anonymes que cela, grâce à la complicité de « l’allié » turc).

UNE ENFANCE DIFFICILE

La Syrie a été enfantée dans la douleur. Comme ses voisins jordaniens, libanais et irakiens, elle est née au lendemain de la première Guerre mondiale, des accords Sykes-Picot qui répartissaient au Proche-Orient les zones d’influence respectives des Britanniques et des Français. Les deux négociateurs décidèrent avec leurs adjoints respectifs que ces divers territoires nés du démantèlement de l’Empire ottoman, donneraient naissance à des Etats protégés ou indépendants. Les Kurdes, contrairement aux promesses des alliés de l’époque, véritables « cocus » de l’histoire, n’obtinrent pas le leur, tandis que les Arméniens, devenus indépendants, étaient écrasés par les armées turques de la jeune République kémaliste, successeur des Sultans de la Grande Porte. C’est dans ce contexte que fut confié à la France le mandat de la Société des Nations (SDN) sur le Liban et la Syrie. Rien ne se passa comme prévu. Le 7 mars 1920, l’Emir Faycal était proclamé Roi de Syrie, dans « ses frontières naturelles, du Sinaï au Taurus ». Mais le général Gouraud, Haut-Commissaire français au Levant, ne l’entendait pas de cette oreille. Conseillé par le général britannique Allenby qui régnait, lui, sur la Palestine où se concrétisait, notamment, l’idée d’un foyer juif, l’Emir Faycal quittait subrepticement Damas le 28 juillet suivant, après quelques escarmouches entre ses partisans et l’armée française. Lot de consolation : le trône de Bagdad où il fut couronné souverain d’Irak, le 13 aout 1921. Tandis que les sujets de Sa gracieuse Majesté contrôlaient également la Transjordanie et les principautés de la péninsule arabique, la France « saucissonnait » la Syrie en plusieurs « gouvernements » : Damas, Alep, territoire des Alaouites (Lattaquié), Djebel Druze et Sandjak d’Alexandrette, future éphémère République du Hatay, rattachée arbitrairement à la Turquie en 1939. Comme pour le Liban, l’arrachement de cette sorte « d’Alsace Lorraine » annexée par Ankara avec la complicité française, ne sera jamais digéré par les futurs dirigeants syriens. Après moultes péripéties guerrières entre Syriens et Français, ces derniers finirent par reconnaitre solennellement par traité en date du 9 septembre 1936, le droit à l’indépendance du pays. Sans le Liban… Le 17 avril 1946, le dernier soldat français quittait la Syrie indépendante. Une instabilité chronique fut le marqueur numéro un de la vie politique syrienne, entre assassinats, crises parlementaires et putschs militaires. Doublé par le ministre des Affaires étrangères, Khaled Azem et le colonel Aziz Zbiri, chef des services secrets, tous deux prosoviétiques, le Président Choury Kouatli capitulait le 28 février 1958 face au colonel égyptien Nasser, le « Raïs » montant de la galaxie arabe. Tous deux proclamaient l’union de leurs pays respectifs au sein d’une République Arabe Unie, reléguant en fait sa province du Nord, la Syrie, à un rôle de potiche. Une fois l’enthousiasme de l’union envolé, l’éphémère structure vola en éclats le 28 septembre 1961 sous les coups d’une armée syrienne humiliée de voir son pays jouant un rôle de supplétif. Dès lors, jusqu’à la prise de pouvoir par le général d’aviation Hafez El Assad en 1969, la Syrie ne connut, à nouveau, que l’instabilité, avec toutefois, l’influence grandissante du parti Baas, adepte de la doctrine de son créateur, le chrétien Michel Aflak, un socialisme arabe nimbé de nationalisme.

UNE DICTATURE QUI ASSURAIT LA PAIX ET LA SECURITE A TOUTES LES COMMUNAUTES

Le père de Bachar, l’actuel Président, ophtalmologiste de formation, qui a hérité du pouvoir sans le vouloir, remplaçant à la tête de l’Etat un frère aimé mort accidentellement, n’était pas un tendre. Les murs de Hama gardent encore les traces de la fusillade qui envoya « ad patrès » en février 1982 des milliers de Frères musulmans. Le parti au pouvoir, le Baas, dominant ses associés au sein d’une sorte de Front patriotique, était dévoué à la cause d’Hafez El Assad lequel, issu de la communauté alaouïte – une sorte de secte schismatique du Chiisme – était roué, sans scrupules, sachant diviser pour mieux régner. Moyennant quoi, la mosaïque syrienne –Sunnites, Chiites, Alaouïtes, Chrétiens de tous rites et Druzes – vivait en paix. « Faites du business, laissez-moi la politique », telle aurait pu être la devise du dictateur local. La Syrie était-elle, - est-elle -, une démocratie ? Les pays africains, avec leur parti unique ou leur fractionnement tribal, le sont-ils ? Poser la question, c’est esquisser la réponse. Les ethnies dominantes, dans les élections, gagnent toujours, écrasant les plus faibles. Même en Occident, on peut remettre en cause les résultats d’élections dites « démocratiques » : comment expliquer, par exemple, qu’en Corse et dans d’autres régions françaises, une coalition minoritaire en voix soit majoritaire en sièges et s’empare ainsi du gouvernement local ? Comment expliquer qu’aux Etats-Unis, un candidat minoritaires en voix puisse avoir la majorité des Grands électeurs, c’est déjà arrivé, ou qu’en Grande-Bretagne le scrutin majoritaire uninominal à un tour empêche tout parti en dehors du système bipartisan d’avoir des élus en quantité raisonnable ? (C’est le cas d’UKIP de Nigel Farage, 12 %, qui n’a qu’un seul parlementaire !) De son palais-bunker du djebel Kassion, « big brother » et ses polices politiques dominaient le pays. Mais, comparé à la théocratie rétrogrades saoudienne, la Syrie ne coupait pas les mains des voleurs, garantissait la liberté de culte et les droits des femmes – combien de jolies jeunes femmes têtes nues, en jean ou mini-jupe,dans les rues de Ryad ? – même s’il ne faisait pas bon comploter contre le régime. Dans « l’Orient compliqué » comme disait De Gaulle avec raison, la démocratie à l’occidentale n’existe pas, elle ne peut être qu’organique et communautaire comme au Liban, ou même en Israël où les immigrés russes ont leurs parti, les religieux aussi, tout comme les arabes israéliens. Le « Bismarck de Kardaha » - le village natal du clan Assad situé derrière Lattaquié dans la montagne alaouïte, sorte de Provence comtadine à la sauce orientale ! – n’hésitait devant aucun sacrifice sur l’autel du pragmatisme, dans la première guerre du golfe, comme face à Israël, dont il était, en fait, « le meilleur ennemi ». Son fils a hérité de ses qualités sans tous ses défauts. (Même si « les droits de l’homme » dans son acceptation française et occidentale sont, de fait, largement « égratignés »). Mais sont-ils toujours respectés sous nos latitudes ? Toutefois, il a aussi la main dure pour ceux qui trahissent le régime, même si sa longue fréquentation de l’Occident, du Royaume-Uni plus particulièrement, lui a donné une attitude plus policée. L’élégante silhouette de son épouse ne l’a pas non plus desservi.

A LA CROISEE DES CHEMINS

Terre de soleil au riche patrimoine archéologique où, depuis des millénaires, se chevauchent de brillantes civilisations, la Syrie, ne le nions pas, vit donc sous un régime dictatorial, selon notre grille de lecture. Cette dernière ne s’applique pas, nous venons de le voir, dans cet imbroglio oriental. Sur le terrain, une coalition hétéroclite mène un combat féroce, cruel, sanguinaire, contre la société syrienne qui n’en peut plus. Les gens « votent avec leurs pieds », fuient le pays ou se réfugient dans les zones gouvernementales. La barbarie islamiste, soutenue et encouragée notamment par le Qatar et l’Arabie Saoudite, nos « bons alliés » fournisseurs de pétrole et de gaz, acheteurs de nos belles panoplies militaires, exporte sa férocité jusque dans nos murs. Et un Fabius, totalement dévalorisé ne trouve rien de mieux à dire en décembre 2012,que « le Front al-Nosra ,(branche d’Al Qaïda en Syrie), fait du bon boulot ? ». François Hollande, Président de la République élu par hasard, voulait même bombarder les forces gouvernementales syriennes ! Tout seul, avec ses petits bras ? Heureusement qu’Obama, bien inspiré pour une fois, a retenu cette inspiration inconsidérée. Ouvrir des négociations, c’est bien. Mais, pour discuter, il faut être deux. Nous venons de voir que l’opposition syrienne « raisonnable », c’est-à-dire celle qui ne représente RIEN sur le terrain, tergiversait et voulait que Damas fasse d’abord un geste. Les occidentaux, jusqu’à présent, semblaient poser un préalable inacceptable pour les gouvernementaux : le départ programmé de Bachar El Assad. Reviendront-ils sur leur position initiale ? Seul le peuple syrien au cours d’élections libres et surveillées, surtout en territoire contrôlé par les rebelles islamistes, pourra décider souverainement du sort de celui-ci. La nouveauté en matières stratégiques comme tactiques, c’est l’engagement résolu de Poutine aux côtés de son allié damascène et le retour de l’Iran sur la scène internationale. Fait nouveau, l’armée syrienne, hier malade de ses désertions, appuyée par l’aviation , part à la reconquête de points chauds tenus par Dae’ch et ses alliés objectifs de la résistance islamiste : Rabia ville située au nord-ouest du pays, est tombée le 24 janvier, deux semaines après la libération de Salma . Cette dernière était la plus grande localité tenue par les rebelles dans la montagne, à une portée d’arbalète du berceau de la famille présidentielle. Poche après poche, il faudra reconquérir le pays avant l’offensive finale sur Raqqa et Palmyre, ou tout au moins ce qu’il en restera. Si l’islamisme militaire est éradiqué, viendra le temps de la reconstruction. C’est une déchirure de voir dans quel état se trouvent, par exemple, les quartiers d’Alep à la périphérie de sa gigantesque citadelle. Les alliés occidentaux seront-ils capables de serrer le « kiki » aux commanditaires de Dae’ch et de coordonner leurs actions avec celles des Russes ? C’est tout le mal que l’on peut souhaiter à notre diplomatie : en finir avec l’amateurisme, plus aucun aventurisme, mais du pragmatisme !

10:29 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Syrie : après l’échec des pourparlers de paix, où en est-on sur le terrain ?

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Martial Roudier

Syrie (Lengadoc Info) – Comme nous l’annoncions en conclusion de notre article du 27 janvier, les négociations n’ont pas donné grand chose. Leur tenue vient même d’être carrément ajournée et devrait reprendre le 25 février 2016. A qui la faute? Chacun se renvoie la balle quant à la responsabilité de cet échec. L’opposition syrienne avait décidé de quitter la table des négociations, la Turquie renâclait quant à la présence de son ennemi kurde, l’Etat Islamique profitait de ces pourparlers pour effectuer un terrible attentat suicide dimanche 31 janvier dans le sanctuaire chiite de Sayeda Zeïnab faisant près de 70 morts et plus de 100 blessés (une voiture piégée suivie de deux kamikazes avec gilets explosifs). Mais l’opinion internationale impute cet échec aux forces pro-gouvernementales et bien évidemment à la Russie.

La situation en Syrie aujourd’hui

Que s’est il donc passé sur le terrain depuis notre dernier point de situation?

Les forces loyalistes n’ont pas chômé et ont obtenu des résultats significatifs. Essentiellement au nord du pays dans la région d’Alep.

Tout d’abord à partir de la base aérienne de Qweires et en direction de l’ouest où l’étau se resserresur Daech et où le saillant devrait se transformer d’ici peu en poche jihadiste. Les forces « pro-Bachar » n’ont plus « que » 4 kilomètres à travers champs à effectuer et la prise d’un seul village afin de réaliser l’encerclement total. La situation à Qweires s’est donc totalement inversée depuis 6 mois passant d’un encerclement par l’Etat Islamique à l’encerclement de L’Etat Islamique!

Mais ce n’est pas le point le plus significatif de l’avancée des forces loyalistes. Celui-ci se situe au nord immédiat de la ville d’Alep. Cette avancée nous a personnellement surpris autant que les rebelles de l’Armée Syrienne Libre que du Front Al-Nosra, les représentants d’Al-Qaida en Syrie. Nous venons d’assister à la libération de la poche de Nubl et Zarhaa enclavée depuis trois ans par les forces « rebelles ». L’attaque a été soudaine, brutale et rapide en prenant les forces rebelles sur deux fronts opposés dans un couloir de quelques kilomètres. L’appui aérien russe a bien évidemment été déterminant. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov précisant que « Les frappes aériennes russes ne s’arrêteront pas tant que nous n’aurons pas réellement vaincu les organisations Etat islamique et le Front Al-Nosra ».

L’impact de cette victoire sur le moral des populations fidèles au pouvoir en Syrie est évidemment très important mais le point crucial revient au fait que cette jonction permet la fermeture de l’approvisionnement des forces « rebelles » depuis la Turquie. Le deuxième point important est que la situation militaire à Alep risque d’évoluer très rapidement puisque les forces pro-gouvernementales encerclent désormais la ville d’Alep sur trois cotés. En effet, seul l’accès ouest est encore aux mains de l’ASL et Al-Nosra.

Cette avancée fait dire à certains commentateurs que les forces loyalistes ont accompli là « une plus grande avancée en trois jours qu’en trois ans de combats« .

Sur le front au sud du pays, nous constatons la stabilisation de la situation à Sheikh Maskin mais également un début d’offensive plus au sud vers la ville de Daraa dans le village d’Athman qui devrait permettre d’élargir le couloir loyaliste et de consolider les positions pour de nouvelles offensives.

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Nos chers immigrés : déracinés ou transplantés ?

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Dr Bernard Plouvier

D’abord, il faut s’entendre sur l’adjectif accolé aux immigrés d’origine africaine et proche-orientale. Officiellement importés pour travailler, voire « financer les retraites des vieux Européens », ces immigrés coûtent beaucoup plus qu’ils ne rapportent aux États et aux Nations d’accueil (les chiffres ont été publiés par Yves-Marie Laulan et son Institut de Géopolitique des Populations).

Le produit du travail de ceux d’entre eux qui ne chôment pas est nettement inférieur au coût des allocations-subventions et de la construction d’infrastructures, vite dégradées par bêtise, négligence ou vandalisme, à l’exportation de capitaux vers les continents d’origine, enfin à l’énorme surcoût des actes de guérilla civile constatés depuis le début des années 1980. Tout cela est bien connu : nos immigrés d’origine africaine et proche-orientale nous sont chèrement onéreux… à la différence des immigrés extrême-orientaux calmes, travailleurs, inventifs.

Si l’on avait pris l’initiative de renvoyer en leur pays d’origine ces immigrés pour raison économique dès que le chômage massif s’est abattu sur les pays d’Europe occidentale et danubienne, l’actuelle situation économique et sociale serait plus claire et l’avenir moins préoccupant.

D’autre part, il est évident qu’un immigré honnête, travaillant de façon efficace, et dont les enfants se comportent en êtres civilisés, est infiniment plus utile à nos pays européens qu’un autochtone bon-à-rien, pilier de bar, philosophe de la canette et chômeur professionnel. Contrairement à ce que l’on voit écrit ici et là depuis l’An 2015, première année de la nouvelle invasion islamique, l’immigré pour raisons économiques est probablement moins nocif que le « réfugié politique ».

Toutefois, cet immigré est, par définition, un déraciné, ce qui ne manquera pas de poser problème, sauf désir et possibilité d’assimilation véritable à la Nation d’accueil, à ses usages et à ses lois. Un groupement étranger de grande taille dont les membres refusent de se reconnaître dans les us et coutumes du pays d’accueil ne peut qu’être un danger pour la Nation autochtone. Il convient de renvoyer à l’expéditeur ces êtres déracinés, refusant de s’adapter ou qu’il est impossible d’assimiler.

L’An 2015 nous a offert un autre spectacle, très mal analysé par les pitres des media et de la politique : celui d’un authentique essai de transplantation, si l’on préfère la greffe de nouveaux conquérants sur un ensemble de peuples avachis. Et c’est bien autre chose.

Expédiés, voyage payé, par des bienfaiteurs du monde islamique (les nababs du pétrodollar), ils se comportent en minorité turbulente (vols, vandalisme, agressions physiques et viols, rébellion contre les forces de l’ordre), en attendant de manifester le but réel de leur venue : faire passer de la théorie à la pratique la notion de Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Il est évident que les émirs et roitelets du pétrole et leur Frankenstein, le calife Abou Bakr II de Mossoul, ne s’attendent pas à une victoire immédiate, mais au contraire à une guerre longue. Toutefois, ils ne doutent pas un instant que ce Djihâd ne soit suivi d’une totale victoire en Europe faible et aveulie.

Les transplantés de l’islam ne sont pas déracinés : ils sont venus implanter le Dâr al-Islam en Europe. Il est grand temps de s’en préoccuper. L’avenir de nos enfants et petits-enfants, autant que l’honneur exigent une puissante réaction populaire. Il serait sot d’attendre quoi que ce soit du milieu politique occidental, abêti et / ou corrompu.

09:59 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : samedi 6 février à Paris...

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NDLR :

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jeudi, 04 février 2016

PLANETE FINANCE : 2016, année de tous les dangers ?

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Pieter Kerstens

Alors que nombreux furent ceux à se réjouir de la nouvelle année « économique », les marchés financiers ne l’entendent pas de cette oreille et affichent des pertes de comprises entre 5% et 15% selon que l’on soit en Europe, aux Etats-Unis ou en Chine. Les raisons invoquées sont nombreuses, mais il s’agit vraisemblablement de la conjonction des facteurs suivants : une baisse persistante des cours du pétrole, une révision de la croissance chinoise, la fin de la politique monétaire « trop » souple des Etats-Unis, et les tensions géopolitiques au Proche-Orient et en Asie.

Si l’attention des opérateurs reste orientée vers la Chine et le ralentissement économique des pays émergents (comme la baisse de 8,3% de la production industrielle au Brésil en 2015), la chute importante de nombreuses devises de ces pays pèse sur leurs importations en provenance de la zone euro. La baisse de la production d’acier et d’électricité en Chine est la plus forte de ces 10 dernières années. La surcapacité dans ces secteurs s’ajoute à celle du charbon : l’industrie ralentit très fortement et les licenciements se comptent par millions !

Pour tenter de limiter la perte de richesse globale, la Chine tente de dévaluer sa devise, alors que cela s’avère inefficace : l’élasticité de la demande de produits concurrentiels est faible. En injectant des liquidités, en manipulant ses marchés financiers par des interventions, la Chine ne fait que renforcer la défiance vis-à-vis de son système financier et sa capacité à surmonter la crise économique.

Quand l’Oncle Sam tousse …

La déconnection permanente entre le monde financier et la réalité économique est une évidence : les chiffres économiques outre-Atlantique soufflent le chaud et le froid. L’emploi reste dynamique, avec un taux de chômage toujours faible mais les disparités de revenus augmentent.

Les experts restent divisés quant à savoir si l’économie des Etats-Unis est en ralentissement ou en récession. La consommation, véritable moteur de croissance, bénéficie de la baisse importante des prix du pétrole. Les ménages ont consommé à un rythme annuel de 3% contre moins de 2.5% sur base des 6 derniers mois. Par ailleurs la force du dollar entraîne également une baisse des exportations ce qui pèse sensiblement sur l’industrie manufacturière. A cela s'ajoute la faiblesse persistante de l'investissement des entreprises, sans parler d'un affaiblissement constant des gains de productivité. Autant de facteurs qui expliqueraient une croissance autour de 1,5% en 2016, contre 2.5 à 3% norme considérée satisfaisante en Europe mais pas aux Etats-Unis.

En décembre 2015, on notait une très faible augmentation des dépenses de construction aux USA, alors que le chiffre du mois de novembre a été révisé en baisse à - 0,6%. Et en janvier, l’indice ISM manufacturier s’est contracté pour le 4ème mois consécutif, ce qui confirme la faiblesse des ventes.

La préoccupation de nombreux économistes reste le manque de reprise de l’activité mondiale malgré les efforts conjugués des gouvernements et l’utilisation de tous les moyens à la disposition des banques centrales en particulier la politique monétaire. Tant les autorités chinoises que la BCE (banque centrale européenne) ou la banque centrale américaine (FED) injectent des milliards dans le système financier sans parvenir à relancer durablement l’économie.

A cet égard, l’exemple du Japon est particulièrement saisissant : depuis le début des années 90, soit plus de 25 ans déjà, la BOJ utilise l’arme des taux pour tenter de relancer la consommation : fiasco total. Ce qui n’a pas empêché la Banque centrale japonaise de décider encore d’accroître sa base monétaire de 675 milliards de dollars en rythme annuel par des acquisitions d’obligations d’Etat. Cette politique monétaire va entraîner de facto une dévaluation du yen et contraindre les autres banques centrales à dévaluer leur devise respective, ce qui va conduire à un ralentissement plus marqué de la croissance mondiale…

Les économies européennes et américaines ont déjà emboité le pas avec le même insuccès.

La relance par l’investissement privé semble une solution durable et efficace, mais l’un des préalables passe par la hausse des taux d’intérêt. En effet, les investisseurs comme les assureurs ou les fonds de pension, compte tenu des taux d’intérêts quasi nuls, ne peuvent qu’investir dans des actifs plus risqués : immobilier, actions et marginalement des projets d’infrastructures.

De même, les effets pervers de la réglementation et de la faiblesse des taux d’intérêt obligent les banques à limiter l‘octroi de prêts et poussent les gestionnaires de fonds à se substituer aux banquiers (shadow banking). Or le métier des gestionnaires n’est pas de prêter de l’argent, car ces intermédiaires n’ont pas les connaissances indispensables et suffisantes pour gérer cette activité. En outre, la faiblesse de leurs fonds propres constitue un danger en regard des risques pris dans leur activité de prêts. Les autorités régulatrices devront à nouveau encadrer ou limiter cette activité.

Depuis plusieurs mois, l’inquiétude gagne un nombre croissant de gestionnaires de fonds. En effet, indépendamment de la conjoncture, la structure même des marchés financiers se modifie : les participants n’ont plus le même rôle, les banques ne peuvent plus effectuer des opérations pour leur propre compte et les banques centrales exercent une influence significative en rachetant des emprunts et dettes diverses. Enfin, la capacité à vendre des actifs dans des conditions de marchés normales se réduit : les prix fluctuent plus amplement et les volumes se contractent et, en cas de ventes massives par les investisseurs, la baisse se fera plus importante.

De plus, le marché des obligations de sociétés aux Etats-Unis, en particulier celui des « Junk bonds » connaît une contraction significative, en liaison avec la baisse des prix du pétrole. Parce que de très nombreuses sociétés actives dans le secteur de l’énergie ont émises des obligations à haut rendement. Ces obligations étaient recherchées par les investisseurs en quête d’investissements importants. La chute des prix du pétrole entraînent une baisse des revenus de ces sociétés dont la capacité de remboursement de leurs dettes est donc rendue quasi caduque. En conséquence, les investisseurs se désengagent de ce secteur, parfois avec de lourdes pertes.

N’oublions quand même pas que la dette publique des Etats-Unis augmente maintenant de 67 milliards par semaine soit 3.500 milliards $ par an ! (source cliquez ici)

QUI va payer ? QUAND cela va-t-il s’arrêter ou... Exploser ?

….L’Europe éternue.

Au cours du mois de janvier, les cours de Bourse des principales banques italiennes ont chuté de près de 30%, suite au « mauvais » accord conclu entre la Commission Européenne et le gouvernement italien. En effet, le mécanisme de garantie publique ne s’apparente pas aux « bads banks » mises en place en Irlande ou en Espagne lors de la crise financière. Les banques ne pourront se débarrasser que d’une partie de leurs créances douteuses, mais dans quelles conditions et à quels prix ? De plus les banques moins « systémiques » devront passer ces créances en pertes et se recapitaliser si besoin est.

Enfin, la BCE reste inquiète quant à la capacité des banques européennes en particulier celles du sud de la Zone Euro à maintenir une rentabilité suffisante. En effet, le métier d’intermédiation consiste à gagner de l’argent sur le différentiel des taux longs par rapport aux taux courts. Or depuis qu’elle a engagé sa politique d’assouplissement quantitatif, de taux zéro et de planche à billets, la BCE réduit encore plus cette marge, grevant un peu plus la rentabilité du secteur bancaire. Les sources de rentabilité proviendront-elles d’un abaissement des critères d’octroi des crédits, de l’utilisation de financements à taux quasi-nul à court terme et/ou d’une prise de risque excessive ?

L’édifice financier de la planète commence à se lézarder, mais nos responsables se gargarisent de bons mots, évoquant un mauvais moment à passer. D’ailleurs, en Belgique, les autorités se veulent rassurantes quant à l’examen réussi haut la main par les fonds de pension. «  L'objectif de ce test était d'analyser la résistance du secteur européen des fonds de pension face à des secousses provoquées par des crises sur les marchés financiers. » précise la FSMA, l’autorité belge de supervision des marchés. Même en cas de situations extrêmes sur les marchés financiers, les fonds de pension belges résisteront bien. Dans ce cas, la garantie d’Etat devrait jouer, le risque étant si faible ! Pourquoi les affiliés de ces fonds ne proposeraient-ils pas cela ?

Comme je l’avais indiqué dans un article précédent, d’autres indicateurs laissent à penser que les dérives financières et bancaires imposées par les gnomes de Wall Street ont des effets directs sur l’économie mondiale à court et moyen terme.

Le Baltic Dry Index (BDI) reflète la santé des transports maritimes entre les continents. De 632 points le 2 février 2015, il est tombé à 298 points ce 5 février 2016, soit une chute de 53% ! Depuis le 1er janvier il est passé de 478 points à 298 soit une baisse de 38% en seulement 5 semaines, ce qui signifie une catastrophe dans l’affrètement des cargos vraquiers (du type du Modern Express sauvé in extremis d’un naufrage sur les côtes landaises) et l’annonce d’un fort recul des marchandises transportées pour les mois à venir.

Apparemment, les eurocrates de Bruxelles et les princes qui nous gouvernent n’ont pas la même anticipation, car leur vision est transformée par les lunettes roses du « vivre’ensemble », du « padamalgam », du multiculturel, du politiquement correct et de la Nouvelle Religion droits-de-l’hommiste, seules obsessions qui accaparent leurs neurones.

Heureusement, de plus en plus d’analystes commencent à s’inquiéter et tirent la sonnette d’alarme pour ce qui s’annonce comme une nouvelle « bulle » bien plus importante que celle qui avait éclaté en 2008, avec les conséquences que nous connaissons.

18:37 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3220 du 28 janvier 2016

NOUS nous étions quittés la semaine précédente en évoquant les tendres propos de Philippot à l’égard de Philippe Séguin, pourtant adversaire total du camp national. Et voici que Marine Le Pen en remet une couche, mais cette fois-ci à l’égard de Simone de Beauvoir, la compagne de Sartre, à qui elle fournissait des jeunes filles, et à l’égard d’Elizabeth Badinter. Marine Le Pen déclare que « le droit à l’intégrité corporelle, de quelque sexe que ce soit, est un droit parmi les plus essentiels ». Elle cite Beauvoir, démontrant ainsi qu’elle a des lettres, ce que d’aucuns niaient : « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question », dénonçant « une politique migratoire insensée », qui la « remplit d’effroi ». Que Marine Le Pen se la joue féministe ne plaît évidemment pas du tout à la gauche qui voit ses icônes féministes récupérées. Mais cela ne plaît pas davantage à Bernard Antony qui pique sa rage, évoquant Simone de Beauvoir : « la compagne de Sartre dans tous ses combats gauchistes et si dévouée à lui recruter les jeunes filles dont le gourou était insatiable » et « Elisabeth Badinter, idéologue de toutes les “déconstructions”, selon le mot en vogue aujourd’hui. Elle a, on s’en souvient, défendu l’idée que, le progrès aidant, les hommes pourront enfin accoucher comme les femmes. Cette ardente partisane de la loi Veil ne précisait pas qu’ils pourraient donc aussi se faire avorter. Mais cela semble aller égalitairement de soi ». Et il poursuit : « Hors l’opposition à l’immigration, il semble évident que Marine Le Pen ne peut plus être taxée comme étant de droite mais qu’elle se manifeste beaucoup plus comme alignée sur les positions de l’intelligentsia de gauche et dans le triste conformisme d’un féminisme néo-marxiste. » Et pour conclure en toute humanité, voici ce que dit Bernard Antony du FN mariniste : « A force de vouloir être trop subtil et de faire un grand écart permanent, le FN ne devra pas s’étonner de l’engouement de certains électeurs de droite et fidèles aux valeurs traditionnelles qui se mettent à espérer un retour de Philippe de Villiers sur la scène politique. N’y avait-il pas d’autres femmes françaises à citer en référence plus audible ? » Certes, certes… Mais Villiers est-il vraiment la solution ?

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INDUSTRIE DE LA SHOAH : PAR ICI LA BONNE SOUPE !

C’est l’excellent site Contre-info qui raconte l’histoire. Des jeunes israéliens sont envoyés par milliers chaque année en Pologne pour visiter les camps. Soupçonnées de s’être entendues frauduleusement sur les prix demandés aux lycéens pour visiter Auschwitz et d’autres anciens camps de concentration nazis en Pologne, six agences de voyages sont dans le viseur de la police israélienne. Neuf cadres ont été arrêtés. Six agences sont sur le gril. Leurs bureaux ont été perquisitionnés et plusieurs suspects ont vu leurs comptes gelés. Ils avaient simplement violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs avant de répondre aux appels d’offres, leur objectif étant curieusement de tirer les prix vers le haut. « J’ai vraiment été très con et je me suis fait chopé (sic), j’ai vraiment honte… »

UN EX-OTAGE DE L’HYPER-CACHER ESCROQUE DES ÉDITEURS PARISIENS !

C’est l’hebdomadaire Le Point, pourtant peu suspect d’antisémitisme (y collabore BHL) qui le raconte : « Dans un courriel envoyé au printemps dernier aux plus prestigieuses maisons d’édition parisiennes, Flammarion, Calmann-Lévy, Fayard, Stock et d’autres encore, Patrick T. passe aux aveux. Démasqué, il raconte l’arnaque qu’il avait entrepris de monter avec son ami Jo (le prénom a été modifié), l’un des rescapés de l’Hyper Cacher, où quatre personnes avaient été abattues par Amedy Coulibaly. Les deux compères avaient échafaudé un plan qui devait leur rapporter beaucoup d’argent, au minimum 100 000 euros, et dont les éditeurs parisiens devaient être les victimes ».

Tout a commencé quelques semaines après les attentats de janvier 2015. Patrick T., qui se fait passer pour un communicant, démarche les éditeurs avec Jo qui aimerait faire publier son témoignage de la journée du 9 janvier. L’accueil est chaleureux et les directeurs de collection sont touchés par le récit de l’ex-otage. Les propositions d’à-valoir affluent : 20 000 euros ici, 30 000 là, 15 000 encore, mais avec un pourcentage plus important sur les ventes. L’intermédiaire, quinquagénaire verbeux, qui pose en lunettes de soleil sur son CV en ligne, insiste pour faire monter les enchères… Dans un mail adressé à Jo, que Le Point.fr a pu lire, Patrick T. récapitule ses négociations : « Untel garde une petite réserve financière de négoce sur l’à-valoir et les commissions bouquins pour quand les autres éditeurs vont vouloir rentrer dans la danse… »

En attendant les offres fermes des éditeurs, Patrick T. et Jo participent aussi aux négociations qui s’ouvrent entre les ex-victimes de Coulibaly et BFM TV, la chaîne qui avait révélé que des otages étaient cachés dans la chambre froide. Patrick T. sent vite que, dans cette affaire, il ne percevra aucun dédommagement. De fait, en accord avec les parties civiles, la chaîne versera finalement 60 000 euros au Fonds social juif unifié. Patrick T. accélère donc ses démarches auprès des éditeurs et fait écrire ceci à son complice : « Je n’en fais pas une question d’argent. J’ai l’intention de redistribuer tous mes droits d’auteur financiers à l’association des victimes de l’Hyper Cacher et à ma synagogue… Pour lui, la meilleure offre financière sera celle qui fera le plus pour la synagogue et l’association des victimes. » Pour faire monter les offres, il va jusqu’à falsifier la proposition financière de l’une des maisons, avant de la faire suivre à une concurrente. Au moins deux éditeurs mordent à l’hameçon, et Patrick et son ami signent deux contrats en même temps. Or, ces deux éditeurs appartiennent au même groupe et se rendent compte de la supercherie.

« Quand on a découvert le pot aux roses, explique un directeur de collection, Patrick T. nous a confié qu’il voulait faire signer un maximum de contrats à son auteur, il voulait d’ailleurs qu’on paie les deux tiers à la signature. Leur plan était d’empocher les virements et de fuir en Israël parce que, disait-il, il n’y a pas d’accord d’extradition. »

Démasqué, Patrick T. a fini par reconnaître la tentative d’arnaque, tout en dédouanant son acolyte. Ce dernier, après avoir été recalé par les plus importantes maisons d’édition, finira par publier son récit chez un petit éditeur. Ironie de l’histoire : lors de sa promotion, Jo n’a pas hésité à fustiger les gens malhonnêtes qui tentent de profiter du tragique attentat de l’Hyper Cacher…

De vrais petits Madoff en puissance !

LA BIBLE DES TERRORISTES ISLAMISTES

Un magazine de 58 pages de l’Etat islamique vient d’être mis en ligne, rédigé en anglais, destiné aux « loups solitaires » et candidats au djihad résidents ou nationaux européens qui n’ont jamais été fichés comme radicaux. Comment ne pas être détecté par les services occidentaux ? Réponse : « Rasez-vous, portez des vêtements occidentaux, sentez l’après- rasage, faites-vous passer pour chrétien, avant de tuer les mécréants, afin de ne pas être identifiés par les services de sécurité que vous préparez une attaque. Il n’y a aucun doute qu’aujourd’hui, à l’ère des loups solitaires, nos frères européens doivent apprendre quelques règles de sécurité afin d’assurer le succès de leurs opérations. Nous avons pensé que beaucoup de nos frères qui ne parlent pas l’arabe trouveront ceci intéressant et pourront le mettre en pratique dans leurs saintes opérations. Si vous pouvez éviter de porter la barbe, de porter un qamis (kurta, ou chemise blanche longue pour homme), d’utiliser des miswak (brosse à dent traditionnelle) et d’avoir un dhikr (livre de prière) sur vous, c’est mieux. Il est autorisé de porter un pendentif avec une croix. Comme vous devez le savoir, les chrétiens — ou même les athées occidentaux nés chrétiens — portent des croix sur leurs colliers. Mais ne portez une croix que si vous avez un nom chrétien sur votre passeport, car cela pourra paraître étrange. » Et les conseils continuent : « Si vous voulez utiliser du parfum, n’achetez pas les parfums à l’huile, sans alcool que les musulmans utilisent. Achetez les mêmes parfums que tout le monde, et si vous êtes un homme, achetez un parfum pour homme. » Le document conseille même aux djihadistes de se rendre dans les nightclubs avec de la musique très forte pour « discuter secrètement des détails d’une opération ».

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ET TOUJOURS, LA TERREUR ALLEMANDE À L’ENCONTRE DES NATIONALISTES

Dernière nouveauté inventée par le pire système répressif d’Europe : le gouvernement allemand veut une justice d’exception. Pas contre les djihadistes, certes non, mais contre les nationalistes. Le ministre de la Justice, le socialiste Heiko Maas, a ainsi annoncé dans le Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung la tenue le 10 mars prochain d’un « sommet de la justice », à Berlin, afin de « discuter des mesures les plus efficaces pour lutter contre la violence xénophobe ». Proposant des mesures très précises, le ministre veut que la magistrature allemande nomme des procureurs spécialement chargés de réprimer les opposants politiques refusant l’immigration de peuplement. Et notamment ceux qui « s’expriment sur les réseaux sociaux ». La cible privilégiée ? « L’extrême-droite ». Etonnant, non ?

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler.

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Samedi 9 avril : Rivarol organise un banquet pour fêter ses 65 ans

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