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mardi, 22 septembre 2015

Réunions du Parti de la France en Bretagne et en Normandie

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Et Carl Lang sera le dimanche 11 octobre à la 9e Journée de Synthèse nationale 

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Manif jeudi soir à Paris contre l'immigration massive

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lundi, 21 septembre 2015

Vendredi 9 octobre : soiré Livr'arbitres en hommage à Jacques Perret

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GRECE : L'AUBE DOREE, TOISIEME FORCE DU PAYS, RENFORCE SES POSITIONS

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J.F. pour Synthèse nationale

Des élections législatives se sont tenues en Grèce le dimanche 20 septembre pour pourvoir en titulaires les 300 sièges de la Vouli (parlement monocaméral grec). Le système électoral en Grèce exige d'avoir au moins 3% des votes exprimés pour avoir des députés, et il y a une prime au premier parti. Avec une abstention de 43,37%, une grande partie des électeurs n'ont pas jugé utile de se déplacer. C'est particulièrement net chez les jeunes dont la moitié est au chômage. Depuis quatre ans, les plus qualifiés d'entre eux ont déjà quitté ou vont émigrer, loin d'un pays qui ne leur offre aucun avenir.

Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, le parti gauchiste Syriza a obtenu 35,52% des votes, soit 145 sièges. Le parti de droite, totalement discrédité, Nouvelle Démocratie, qui s'est surtout illustré par une répression effrénée contre L'Aube dorée, obtient 28,02% des votes (75 sièges). Outre L'Aube dorée, les suivants sont le PASOK (socialiste, 6,26% des voix, 17 sièges), le KKE (communiste, 5,59%, 15 sièges), le Potami (parti centriste libéral, 4,12%, 11 sièges), et les «Grecs indépendants» (une sorte de parti souverainiste, europhobe, 3,69%, 10 sièges). Celui-ci dépasse de peu la barre fatidique des 3%. Il était en coalition avec Syriza, après avoir émergé aux élections législatives du 25 janvier 2015. Tsipras a déjà annoncé que la coalition sera reconduite dès ce lundi matin, ce qui lui assurera une majorité absolue à la Vouli (155 sièges sur 300).

De son côté, L'Aube dorée conforte, élections après élections, sa place de troisième parti politique grec. En janvier 2015, le parti avait atteint 6,3% des voix et 17 députés. Auparavant, fin novembre 2013, ses dirigeants, ainsi que 13 de ses 18 députés (69 personnes au total) étaient embastillés sous des prétextes fallacieux, suite au fait qu'un rappeur «anti-raciste», Pavlos Fyssas, ait été poignardé en 2013 par un militant du parti, L'Aube dorée étant accusée d'être une «organisation criminelle» par Samaras, le premier ministre d'alors de la Nouvelle Démocratie qui était allé chercher ses ordres à New York. En novembre 2013, la répression est même allée jusqu'au meurtre par balles de deux jeunes militants, Manos Kapelonis et Giorgos Fountoulis, qui se tenaient devant une permanence du parti, au nord-ouest d'Athènes. Les deux assassins «inconnus» courent toujours.

Hier, le parti a recueilli 6,96% des voix, obtenant ainsi un député de plus que la dernière fois, soit 18. Si certains dirigeants et députés de L'Aube dorée, comme son dirigeant Nikolaos Michaloliakos, ont été relâchés temporairement en mars dernier (après 18 mois d'emprisonnement, le maximum possible en Grèce en attendant un procès), le système répressif toujours actif n'a pas facilité la campagne électorale. Ainsi, à quelques exceptions près, aucun media grec n'a donné la parole aux candidats estampillés Aube dorée. C'est dans ses bastions d'Athènes et du Pirée que l'Aube dorée a réuni ses plus gros bataillons d'électeurs, totalisant 7 députés dans cette zone, avec des pourcentages dépassant fréquemment 7% ou 8% des voix. Malgré une situation difficile, le parti retrouve son niveau des élections législatives du 17 juin 2012 (6,9% des voix, 18 députés). Les semaines ou les mois qui viennent diront si les députés d'Aube dorée réélus verront leur immunité parlementaire levée comme la dernière fois pour comparaître devant des juges à la conviction déjà faite.

En attendant, tandis que la dette grecque est «pilotée» par la banque Lazard, et que ses îles sont envahies par des dizaines de milliers de clandestins musulmans agressifs, les Grecs vont connaître une situation économique encore plus terrible puisque Syriza applique à la lettre les décisions de Bruxelles. Alors que la civilisation européenne doit tant à leurs ancêtres, le sort des Grecs contemporains ne peut pas nous être indifférent.

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Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

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dimanche, 20 septembre 2015

Gabriele Adinolfi à la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis

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Carl Lang sera à la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre, à Rungis

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Revue des blogs : VERS UNE AFRICANISATION DE L'EUROPE

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Julien Rochedy

Tribune publiée dans Valeurs actuelles, reprise sur le site La Faute à Rousseau cliquez là

Pour qualifier le changement de population qui s’opère en France et en Europe, la locution “grand remplacement” a fait florès parmi tous ceux que l’optimisme béat de la néomodernité ou l’ethnomasochisme flagrant de l’antiracisme n’ont pas embrumés de leurs poisons. Pourtant, ce n’est qu’un emballage lyrique, un doux surnom pour qualifier une réalité beaucoup plus brute et crue. Après tout, cela se comprend : il s’agit d’un mot d’écrivain. Mais regardons les choses en face : ce que l’on appelle le “grand remplacement”, c’est tout bonnement l’africanisation de l’Europe.

Lorsque j’étais jeune et que j’apprenais l’Histoire chez les grands maîtres, je n’étais pas choqué de lire, par exemple, entre les lignes de Michelet, que la victoire d’Octave sur Marc Antoine était la victoire de l’Occident sur l’Orient ; ou encore, chez Grousset, que Byzance fermait l’Europe au déferlement asiatique, etc. Les grands historiens n’hésitaient pas à parler en termes de civilisation, de dynamisme des continents, de victoires ou de défaites de l’un sur l’autre — bref, ils embrassaient l’Histoire entière pour juger selon des critères qui, s’ils ont disparu de nos consciences néomodernes, n’en demeurent pas moins les seuls qui s’appliquent vraiment à la compréhension des expériences historiques.

Or, que constate-t-on aujourd’hui ? Que le continent africain, qui longtemps a stagné démographiquement, est en plein boum. Grâce aux techniques et à la médecine européennes, les Africains sont passés de 100 millions en 1900 à plus de 1 milliard en 2015. Selon les projections démographiques, ils seront environ 2,5 milliards en 2050 puis 4,4 milliards en 2100. Face à ce continent, l’Europe, elle, décline considérablement. Entre le vieillissement de ses populations, le non-renouvellement des générations et la disparition de ses anticorps mentaux (patriotisme, conscience identitaire, volonté de se défendre), elle s’apprête à être submergée petit à petit. Les milliers de clandestins qui se pressent sur nos côtes en ce moment, couplés à l’immigration légale déjà extrêmement forte (et sans parler de tous les Africains qui déjà sont entrés en Europe depuis quarante ans) font que l’Europe est, qu’on le veuille ou non, en voie d’africanisation.

Alors, bien sûr, les néomodernes, qui ne font pas de différences entre les hommes, ne le voient pas de cette façon. Pour eux, un Africain arrivé sur le sol européen devient un Européen dans la minute. Or, les leçons des grands historiens nous montrent plutôt que chaque continent détermine une ou des civilisations particulières et que l’avancée démographique de l’une d’entre elles signifie l’avancée de celle-ci dans le monde. Actons donc que nous assistons à l’avancée des civilisations africaines dans le monde, avec l’Europe en première ligne.

L’islamisme, qui effraie aujourd’hui nos populations et nos gouvernements, n’en est qu’une conséquence. Ce vecteur idéologique n’est qu’un aiguillon qui opère sur des mouvements bien plus profonds, qui auront seuls une véritable incidence. Ce n’est pas le drapeau qui compte : c’est le bataillon qui le porte. En somme, à nous arrêter exclusivement sur les dangers que nous font courir les extrémistes islamistes, nous nous concentrons sur l’écume quand il faudrait voir la vague.

La vérité est celle-ci : si l’Europe ne se ferme pas dès maintenant à la progression africaine — ce qui nécessitera, certes, beaucoup de dureté — alors, dans cinquante, cent ou deux cents ans, nos petits-enfants se réveilleront dans des campagnes et des faubourgs qui seront africains. Peut-être d’ailleurs seront-ils eux-mêmes africains. Certains de nos enfants s’y réveillent déjà aujourd’hui, mais demain, ce sera le cas de tous.

Je me garderai bien de juger, mais il faut avoir conscience de cette réalité et ne surtout pas se voiler la face. Au moins, afin de rendre le dernier écot possible à notre civilisation européenne, c’est-à-dire à celle qui, avant toutes les autres avec Hérodote, a découvert que l’Histoire existe.

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Alain Escada, Président de Civitas, à propos des médiamensonges sur l'immigration...

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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vendredi, 18 septembre 2015

RAPPEL : hommage public à Emmanuel Ratier le 19 septembre à Paris (salle Equinoxe, à partir de 14 h 30)

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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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9e Journée de Synthèse nationale : CONSULTEZ LE PROGRAMME

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jeudi, 17 septembre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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J'AI FAIT UN REVE

3912090810.2.jpgLe Bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

Des soldats partisans de l’ex-Président ont surgi mercredi en plein conseil des ministres et ont interpellé le chef du gouvernement, les ministres et le Président… Ces militaires insurgés de la Garde présidentielle détenaient mercredi soir toutes ces personnalités dans un lieu encore inconnu. Un temps, cette mutinerie semblait devoir se régler sans heurts. Le Président de l’Assemblée nationale affirmait même dans une déclaration verbale, que des « tentatives de dialogue étaient en cour avec la haute hiérarchie et le cabinet militaire du Président… » Mais les négociations se sont très vite tendues  affirmait pour sa part le rondouillard Président du Sénat. Redoutant une tentative de coup d’état, des militants socialistes se sont vite rassemblés autour de l’Elysée déserté par les collaborateurs habituels du Chef de l’Etat….

D’un seul coup le grésillement du poste de radio me sorti de ma torpeur, me faisant émerger d’un mauvais sommeil. Le transistor qui ne quitte jamais ma table de chevet, s’était allumé par hasard, comme cela arrive parfois, et Rfi avait submergé mon subconscient d’une info africaine que mon esprit embrouillé avait malheureusement mal interprété… Nous n’étions pas  à Paris, mais à Ouagadougou, ce n’était pas le Palais de la Pompadour de jadis mais celui de Kosyam, cela ne se passait pas en France , mais au Burkina Faso, « le pays des hommes libres » , ce qui, d’évidence ne pouvait pas être, de nos jours, ma contrée natale ! Et les braves électeurs de gauche  n’étaient pas ceux de la firme de la rue Solferino, mais des partisans de la transition démocratique, le mouvement « Balai citoyen » ! (Ca ne s’invente pas !). Il y a comme ça, des réveils brutaux  qui laissent un goût amer, le goût de ces rêves où l’on prend, stupidement, ses désirs pour des réalités. Et allez savoir pourquoi alors que l’on est un « bon démocrate  », breveté de républicanisme par l’onction électorale ?

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mercredi, 16 septembre 2015

Humanitaire über alles

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de Philippe Randa

« Le vrai combat des hommes ne se situe pas sur les champs de bataille. Les guerres ne sont jamais une solution. Vous êtes quelques-uns qui avez fait de la souffrance une arme plus meurtrière que les canons et les bombes » : cette citation est extraite d’une nouvelle écrite par mon père. Un soldat allemand, recherché pour crime de guerre, apostrophait ainsi un ancien partisan juif, rescapé des camps de la mort.(1)

Elle pourrait aujourd’hui, parfaitement, être appliquée à la politique de l’actuelle chancelière allemande Angela Merkel… En ouvrant grands les bras aux migrants venus du Moyen-Orient et en se « (réjouissant) que l’Allemagne soit devenue un pays avec lequel les gens associent de l’espoir, c’est quelque chose de très précieux si on regarde notre histoire », le monde découvre avec stupéfaction, et pour beaucoup, sans doute, avec effroi, que l’Allemagne en a fini avec sa contrition imposée depuis 1945 et la défaite du IIIe Reich : elle ambitionne bel et bien d’être à nouveau un géant politique et plus uniquement un géant économique.

En prenant de court tous les Européens, indécis comme à leur habitude, et en frappant là où on ne l’attendait pas, la chancelière allemande a réalisé une blitzkrieg diplomatique que n’aurait pas renié le général Guderian : « Ce que nous vivons est quelque chose qui va continuer de nous occuper dans les années à venir, nous changer, et nous voulons que le changement soit positif et nous pensons que nous pouvons y arriver », a-t-elle déclaré à la presse.

Qu’importe, à l’heure où ses lignes sont écrites, que la Bavière connaisse de successifs chiffres records d’arrivées de migrants, l’intendance suivra. Seul compte les témoignages tel celui de Mohammad, réfugié de 32 ans de la ville syrienne dévastée de Qousseir (relayés par Le NouvelObs) : « Les gens nous traitent tellement bien ici, ils nous traitent comme des êtres humains, ce n’est pas comme en Syrie », et surtout les larmes qui lui coulent des yeux : chacune d’elle nettoie avec « force vigueur » le passé honni de la première puissance économique européenne.

Mais une bonne offensive, fusse-t-elle politique, ne pourrait s’avérer gagnante qu’appuyée par une réalité économique, comme une offensive terrestre n’est désormais envisageable qu’avec un solide appui aérien.

L’Allemagne paiera ? Un peu, sans doute, mais pas seule et Sigmar Gabriel, vice-chancelier et ministre de l’Économie, l’a bien rappelé lors d’une conférence de presse : « L’Allemagne, l’Autriche et la Suède ne peuvent pas être les seuls pays qui accueillent des réfugiés. » A bon entendeur, à vos bourses ! messieurs-mesdames les auto-proclamé(e)s humanitaires.

Et si cela ne devait pas suffire à comprendre la stratégie allemande, Angela Merkel porte le coup de grâce en déclarant : « Nous savons que nous avons été rapides quand il s’est agi de sauver les banques (pendant la crise financière), je trouve que nous devons être tout aussi rapides quand il faut soutenir les Länder et les communes. »

En quelques jours d’offensive migratoire, la chancelière allemande a fait oublier son intransigeance vis-à-vis des Grecs et de leur faillite ; elle a accaparé le bénéfice de la souffrance tant exaltée par les médias de l’invasion migratoire et a mis tous les autres pays européens au pied du mur de leurs évidentes contradictions, de leurs totales impuissances et de leurs hypocrites tergiversations…

Dans les temps prochains, certains continueront sans doute à fustiger, encore et toujours, le passé allemand… Mais ce leur sera sans doute plus difficile et même… impossible ?

Note

(1) Guerre Tribale, Peter Randa, in Contes d’Europe, Le Flambeau, 1989.

Chronique publiée aussi sur Métamag

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Samedi 3 octobre, dans le Nord

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A Feuj-Plage, le sable encrasse les mémoires

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Pieter Kerstens

Madame Anne Hidalgo, maire de Paris, et ses camarades-citoyens de l’Hôtel de Ville ont donc imaginé, organisé et imposé, aux frais des Parisiens, un énième évènement pour célébrer le « vivre ensemble », façon casher.  Espérons que pour l’an prochain ces mêmes organisateurs mettent en place un « laogaï-plage » pour resserrer les liens d’amitiés avec la Chine ou un « Cuba libre beach » afin de relancer les échanges avec les castristes, par exemple.  Il est clair que le choix et le nom de cet évènement ne sont pas innocents et sans arrière-pensées.

Sioniste un jour, sioniste toujours.

Le devoir de mémoire nous dicte que l’Etat hébreux, ses dirigeants successifs et son peuple ne correspondent pas vraiment à ce que le Mahatma Gandhi avait déclaré le 26 novembre 1938 : « Laissons les Juifs, qui proclament être le peuple élu, prouver leur titre en choisissant le chemin de la non-violence pour revendiquer leur position sur terre. »

La politique de Tel-Aviv, dès son origine, n’a été qu’une succession d’actes belliqueux, d’arrogance et de cruauté.  Peuple souverain ils appliquent ce qui leur semble bon pour la défense de leurs intérêts, de leur population et de leur sphère d’influence, qui s’étend de Wall Street  à  Doha et de Kiev à Pretoria.

Ils se moquent donc de la résolution 181 votée le 29 novembre 1947 par l’Assemblée Générale de l’ONU concernant le partage de la Palestine en 3 entités, résolution jamais appliquée et à l’origine de la NAKBA.  De même pour la résolution 194 votée le 11 décembre 1948 qui place Jérusalem sous mandat international et garanti le principe des droits existants.  Jamais les israéliens n’ont appliqué la résolution 242 du Conseil de Sécurité du 22 novembre 1967 au sujet des territoires occupés.  Les résolutions de l’ONU n°476 du 30 juin 1980, n°478 du 20 août 1980 et 672 du 12 décembre 1990 condamnent toutes l’attitude belliqueuse d’Israël  et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem.

Depuis 68 ans, les sionistes méprisent au plus haut point  les résolutions de l’ONU et poussent aux crimes, tel Jacques Kupfer, co-président du Likoud mondial, qui déclarait le 15 juillet 2014 : « Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre.

Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.

Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza. Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »

Qui donc attise la vengeance ? Qui appelle à l’extermination du peuple palestinien ? Qui répand la haine ?  Combien de manifestations et de procès contre les propos de Jacques Kupfer ?

Dès lors, on ne peut que condamner les prises de positions et les soutiens apportés par certains « patriotes » ou « nationalistes » comme Wallerant de Saint-Just et Maître Gilbert Collard.  Ces imbéciles ignorent les agissements permanents du Mossad, du Shin-Beth et de l’Aman qui apportent également depuis des années le soutien de l’Etat hébreux aux djihadistes du Front al-Nostra !

Non, les juifs n’ont pas le monopole de la commisération et de la souffrance.

Sans remonter dans la nuit des temps, souvenons-nous quand même de la Conquête de l’Ouest et de la destruction des peuples indiens d’Amérique.  Tout au long des 18ème et 19ème siècles, les Anglais et surtout les Américains se sont livrés à l’extermination des Iroquois, des Sioux, des Apaches et des Comanches (et des dizaines d’autres tribus). Le massacre des Sioux à Wounded Knee en 1890, l’anéantissement et l’asservissement de tous les Indiens, devraient conduire les yankees à plus de retenue.

Sur le continent africain, ce sont les Anglais qui, durant la 2ème guerre des Boers (1899-1902) veulent annexer les provinces d’Orange et du Transvaal en Afrique du Sud.  Face à 345.000 soldats de l’Empire britannique, 85.000 cavaliers et fermiers Boers, très mobiles, vont combattre durant 3 ans avec certains succès. Pour contraindre ceux-ci à se rendre et à déposer les armes, les Anglais vont construire des camps de concentration pour y enfermer femmes, enfants et vieillards. Ce détail de l’Histoire provoquera plus de 36.000 victimes, sans aucun regret anglais.

Durant la 1ère guerre mondiale, les Ottomans organisent le génocide des Arméniens en 1915 et sont reconnus coupables de plus de 1.500.000 victimes. Combien de manifestations ? Combien de commémorations ?

L’Histoire nous apprend également que l’Armée Rouge (structurée par Léon Trotski) organisera la déportation de millions de déviationnistes vers les célèbres Goulags et que les soviets dirigés par Lénine et Staline sont responsables d’ignobles crimes et de famines (Holodomor) qui se chiffrent aussi en millions de morts.

Le Troisième Reich a édifié d’innombrables camps de concentration et fut accusé d’avoir organisé un holocauste envers ses opposants, ses invertis et la communauté juive.

Durant la seconde moitié du XXe siècle, malgré la création de l’ONU, on assistera toujours à l’extermination de certains peuples et à des crimes contre l’humanité, dont des dizaines de millions de morts durant le règne du « Grand Timonier » l’inoubliable Mao Tse Toung.  Ce révolutionnaire chinois, applaudi et soutenu par les intellectuels européens, envoya dans les Laogaïs une multitude de pauvres hères, accusés souvent à tort des pires avanies.

Plus près de nous, on se rappellera l’anéantissement  de la population cambodgienne (entre 1975 et 1979) par les Khmers Rouges de Pol Pot et en Afrique, le génocide rwandais orchestré par Paul Kagamé en 1994.

On constatera donc que le peuple juif n’est pas uniquement le seul à avoir  été persécuté ni « anéanti » au cours des siècles, et le devoir de mémoire n’est pas non plus à géométrie variable.

A Paris comme à Gaza, INTIFADA !

L’amnésie semble aussi contaminer les camarades démocrato-socialo-marxistes quant aux guerres israélo-arabes. En 1948-1949 1èreguerre, Israël agrandit son territoire. En 1956, 2ème guerre suite à l’annexion du canal de Suez par l’Egypte. En 1967, 3ème guerre dite « des 6 jours » et en 1973, 4ème guerre « du Kippour ».

Ceux qui sont sur les bords de Seine ne devraient surtout pas oublier aussi qu’Israël, en refusant l’offre de paix arabe de 2002, a lancé 9 offensives militaires contre ses voisins : en 2002 Opération « Rempart » ; en 2004 « Arc-en-ciel » ; en 2004 « Jour de pénitence » ; en 2006 « Pluie d’été » ; en 2006 « Changement de direction » ; en 2007 « Orchard » ; en 2008-2009 « Plomb durci » ; en 2012 « Pilier de défense » et en  2014 « Bordure protectrice ». La majorité des victimes étant des enfants, des femmes et des vieillards.

Et toutes ces attaques ont à chaque fois déclenché des rivières de sang, des torrents de haine et des cortèges de souffrance.

NON, madame Hidalgo, votre idée n’était pas judicieuse : elle avive des plaies non refermées !

17:41 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE RETOUR DU BATON

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Pierre Vial, Président de Terre et peuple

Quand le réel reprend ses droits, ça fait mal. Mal aux politiciens qui croyaient pouvoir s’en affranchir, au nom des utopies. Angela Merkel en fait l’expérience. Salutaire cure de réalisme. Elle croyait pouvoir, sous les félicitations des media, jouer le rôle de l’icône des envahisseurs. Elle se retrouve condamnée à battre piteusement en retraite car même ses amis politiques ne veulent pas monter avec elle dans un bateau qui coule (son alliée bavaroise, la puissante CSU, a pris grand soin de se démarquer d’elle rapidement… car sinon les électeurs de la CSU n’auraient pas compris et pas aimé).

Il faut un jobard de la taille d’Alain Lamassoure, député européen PPE (la droite) pour oser déclarer au sujet de Merkel : « Elle a rendu l’honneur à notre famille politique ». Et, se réjouissant car « la droite reprend le discours de la gauche » (cocu et content… le politicard de droite comme on l’aime), il explique : « Ce geste quasi christique (sic) de Mme Merkel, signifiant non seulement que l’Allemagne est une terre d’immigration mais que l’Europe entière en est une, nous oblige à mettre très vite en chantier une politique migratoire commune à l’Union avec une politique de migration légale ». Ce type incarne une droite qui, depuis Chirac-Giscard (regroupement familial), est responsable et coupable de l’invasion de notre terre. Nous l’avons déjà dit ? Il faut le redire sans cesse. Afin que chacun se positionne clairement. Et en assume ensuite les conséquences. Car les patriotes résistants prennent bonne note et ont une mémoire d’éléphants…

Mais le tsunami des « migrants » commence à avoir des effets positifs : l’Allemagne et l’Autriche retrouvent un peu de bon sens, imitées par la République tchèque et la Slovaquie. Le Monde (15 septembre), consterné, reconnaît : « Après deux semaines d’euphorie durant lesquelles plusieurs dizaines de milliers de réfugiés ont été accueillis à bras ouverts, l’Allemagne prend soudainement peur  (…) Le pays ne contrôle plus grand-chose ». Et nombre d’élus allemands sont « inquiets du chaos qui commence à s’instaurer dans certaines villes allemandes ». Finies les haies d’honneur de zozos souriant à leurs « frères migrants » sur les quais de la gare de Munich… Maintenant, la situation est « très tendue » (tiens donc).

La Hongrie (qui donne l’exemple du courage et est donc vilipendée par un Fabius et autres parasites), la Slovaquie, la Roumanie s’opposent à tout projet de répartition des « migrants ». Les règles de Schengen sont, enfin, mises en cause. C’est un bon début. Maintenant la bonne question est : quand va-t-on enfin sortir de cette caricature d’Europe qui révèle toujours un peu plus sa nocivité et met en danger de mort l’avenir des Européens ?

mardi, 15 septembre 2015

CLANDESTINS, RÉFUGIÉS, DROIT D’ASILE L’éducation nationale a tout prévu

classes.jpgMichel Lhomme

Métamag

De l'avis de nombreux syndicats, la rentrée des lycées est sous pression : une pression démographique, une pénurie de moyens, une dégradation des conditions d'enseignement, une multiplicité de postes non pourvus. En fait, la prospective du Ministère ne suit plus ni pour le nombre d'élèves, ni pour le recrutement, de nombreux stagiaires de l'Education renonçant avant leur titularisation. L'augmentation du nombre d'élèves dans les lycées généraux et technologiques publics se poursuit (35 500 élèves supplémentaires prévus cette année, 26 500 l'année passée). C'est clair, le Ministère de l'Education semble sous-estimer les effets conjoints de la pression démographique liée à l'augmentation des naissances dans les années 2000 mais surtout il se retrouve victime à sa façon du politiquement correct, en ne comptabilisant pas, en ne recensant pas les « petites chance » du grand remplacement qui chaque année trompe ses chiffres.

Face à l'afflux des « réfugiés » et sous la pression, la rue de Grenelle a bien été obligé de réagir et c'est selon l’Éducation nationale, quatre à cinq mille élèves qui devront être intégrés dans le système éducatif à plus ou moins brève échéance.   45 000 élèves « allophones » c'est-à-dire qui ne parlent pas le français sont déjà accueillis chaque année.

Restons en au chiffre officiel pourtant peu crédibles. Près de 24.000 réfugiés sur deux ans (conférence de presse de François Hollande du 7 septembre 2015) c'est donc un chiffre qui s’ajoute aux 6 750 personnes dont la France avait acté l’accueil en juillet dernier. Parmi eux, un tiers serait concerné par des besoins de scolarisation, selon les estimations du Ministère, soit 4 000 à 5 000 élèves intégrés par an. 

Le chiffre - nous le disons clairement - est largement minimisé mais même avec un tel chiffre, cela suppose un effort important. Nonobstant,  l’Éducation nationale répond présent : on promet un accueil digne, y compris pour les plus de 16 ans – âge limite du « droit » à la scolarité obligatoire. On a annoncé dans la foulée une priorité à l’apprentissage du français et quelques semaines de formation pour rejoindre les bancs de l’école c'est-à-dire des classes complètement hétérogènes (le collège unique) à 38 élèves ou plus. De plus, le Ministère de l'Intérieur travaillerait actuellement en concertation avec l'Education nationale sur la question de la répartition sur le territoire de ces élèves appelés à intégrer des dispositifs spécifiques de l’Éducation nationale. Lesquels sont axés sur le soutien linguistique, tout en reposant sur une philosophie d’intégration au cursus « ordinaire » alors que déjà, dans de nombreux départements, il manque des places au lycée.

14:05 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Succès des Journées Chouannes 2015

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Source Lectures Françaises cliquez ici

Dimanche 6 septembre 2015, 23h00 : Au fin fond de notre petit Poitou discret, un énorme cri de victoire fait trembler les murs de la préfecture. C’est notre bande d’irréductibles Gaulois qui autour du traditionnel « banquet de la fin » exprime leur joie d’avoir réussi leur mission.

Viviane Lambert, Roberto de Mattei, Roger Holeindre, Elise Humbert, Henri Servien, l’abbé Labouche, Olaf, l’abbé Pagès, Etienne Couvert, Francine Bay… Tous ces grands noms se sont succédé pour animer dignement notre rassemblement annuel et la foule de nos amis, de plus en plus nombreuse chaque année, se pressait autour d’eux pour obtenir leur dédicace.

Nous nous réjouissons, à Chiré, d’observer que le public est toujours présent, fidèle et apôtre, puisque le nombre d’entrée gonfle sans cesse, jusqu’à dépasser les 1200 cette année !

Si nous devions retenir qu’une chose de ces journées, ce serait : l’ambiance générale, cette ambiance qui est devenue mythique, ambiance de franche amitié réunissant autour de quelques tables éparses des personnes de sensibilité, de pensée, d’horizons différents mais qui se rejoignent toutes dans un amour effectif de la France.

Et, pour respecter les grandes traditions françaises, tout s’articule autour des deux grands événements notables : le Banquet du samedi soir (350 couverts) et celui du dimanche (450 couverts) ! C’est la troisième année consécutive que Chiré gère l’intendance de la pitance du soldat et l’équipe est fameusement rodée sous les ordres de deux femmes hors du commun qui ne ménagent pas leur peine ! Cuisine et service sont assurés par la maison qui brigue maintenant sa première étoile !

C’est à vous en premier lieu, conférenciers, auteurs ou journalistes, vous qui consacrez votre vie à la défense de la Vérité, que vont nos plus chaleureux remerciements. Cette journée est la vôtre et sans vous, elle n’aurait aucun sens.

Et bien sûr nous voulons vous exprimer toute notre gratitude à vous, chers amis lecteurs, fidèles de Chiré, qui nous témoignez votre sympathie toute l’année, qui travaillez activement à la Diffusion de la Pensée Française en lisant vous-même et en répandant autour de vous notre littérature de combat. Ce militantisme est le seul espoir de la France !

Souhaitons-nous de se retrouver l’an prochain, toujours plus nombreux, pour une éditions spéciale des Journées Chouannes : Les 50 ans de Chiré !

Notez d’ores et déjà que ces Journées Chouannes (que l’on vous promet légendaires) auront lieu les 3 et 4 septembre 2016.

Rappelons à nos lecteurs que les publications de Synthèse nationale sont vendues à la Librairie Duquesne diffusion, 27, avenue Duquesne à Paris (VIIe) qui dépend de Chiré.

Jean-Marie Le Pen demande la réouverture du dossier François Duprat...

Un communiqué de Jean-Marie Le Pen :

Le 18 mars 1978, François DUPRAT, cadre du FRONT NATIONAL, était assassiné dans un attentat à la voiture piégée. Les auteurs de cet acte terroriste n’ont jamais été officiellement identifiés.

L’année suivante, le ministre du Travail, Robert BOULIN, était, lui, retrouvé mort dans des circonstances suspectes, la thèse du suicide ayant toujours paru douteuse.

Alors que la famille BOULIN vient d’obtenir la réouverture de l’enquête, j’attends toujours de la Justice qu’elle agisse de même dans le dossier DUPRAT et qu’elle procède à de nouvelles investigations.

Il ne serait pas admissible que les heures sombres de la Vème République soient soustraites au jugement de l’Histoire, selon que les victimes aient appartenu à une famille politique plutôt qu’à une autre.

Le 14 septembre 2015 cliquez là

En savoir plus sur François Duprat :

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Lire le n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme

Plus d'informations cliquez ici

Le commander en ligne cliquez là

09:13 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une scène ordinaire, et pas des pires, dans le Paris envahi.

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Anecdote : Il y a quelques mois, lors d'un après-midi ensoleillé de printemps, je prenais un verre en compagnie de notre ami Patrick Parment, directeur du Journal du Chaos, à la terrasse d'une brasserie de la place Cambronne à Paris. Une agence bancaire jouxte cet endroit. A un moment, un vieil homme s’approche de la billetterie…. Le décor est planté.

Subitement, je vois Patrick, vigilant observateur de ce qui se passe autour de lui, prendre sa tête des mauvais jours (ceux qui le connaissent comprendront…). De sa plus forte et méchante voix, il gueule à tue-tête « DEGAGEZ ! ». J’ai à peine le temps de me retourner pour voir déguerpir deux jeunes Roms qui s’étaient approchées dangereusement du vieil homme en train de retirer son argent.

Comme quoi, il suffit de pas grand-chose pour éviter bien des déconvenues…

Le pire, figurez-vous, c’est qu’à deux tables de la nôtre nous entendîmes quelques secondes plus tard deux "bobotes" s’offusquer de la violence de la réaction de notre ami… Quant au vieil homme, il ne s’est pas rendu compte de ce à quoi il avait échappé…  

Roland Hélie

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L'Allemagne est morte mais les Allemands ne le savent pas !

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Jean-Claude Rolinat

L’Allemagne « allemande » se meurt. Le renouvellement des générations n’est plus assuré. A l’Est de nos frontières, grossit une Germanie qui sera de plus en plus étrangère à Kepler, Dürer, Schiller, Goethe ou Beethoven. La dénatalité liée à l’immigration/invasion, n’annonce-t-elle pas pour ce pays un crépuscule « Wagnérien » ?

Les poilus de 14/18 qui n’avaient pour tout horizon que le bleu de leur capote ou la boue de leurs tranchées, tout comme les héroïques Cadets de Saumur en juin 1940, auraient sans doute été ravis de la nouvelle : « L’Allemagne se meure, l’Allemagne va mourir » ! Mais nous, qui sommes le premier partenaire de ce grand pays, n’avons aujourd’hui aucune raison de nous réjouir, car la porosité des frontières n’est plus à démontrer !

En 2013, le taux de fécondité était  de 1,41. Avec 714 966 naissances en 2014 pour 868 373 décès, il est inférieur à 1,4. Et l’on sait que pour assurer le simple remplacement des générations, il faut un chiffre supérieur à 2. Pour maquiller ce désastre, on met en scène la grande escroquerie des migrants, ces braves réfugiés qui résoudraient à eux seuls, d’un coup de baguette magique, ce déficit démographique et peupleraient les usines en manque de main d’œuvre ! Mais à quels prix….

Déjà en 1976, la seule Allemagne de l’Ouest prenait conscience de son grave problème de peuplement. Les prestations familiales s’étaient dégradées de 40% depuis 1956. La seule RFA avait enregistré en 1972 pour 51,5 millions d’habitants 870 000 naissances, ce chiffre fléchissant ensuite était ramené à 855.000 en 1973,  et  à 800.000 en 1974. Pour 1975, on tombait en dessous de cette barre avec 765.000 bébés pour 52,5 millions d’habitants, soit un taux de natalité de 12 pour 1000 et une moyenne de 1,9 enfant par femme en âge de procréer. Dans le même temps, « l’autre » Allemagne, celle de l’Est, la République dite Démocratique la RDA (DDR), connaissait un boum des naissances grâce à une politique sociale résolument nataliste. Paradoxe et non des moindres, le terrible « rideau de fer », en empêchant les citoyens de RDA de fuir massivement la zone d’occupation soviétique, a sauvé ce grand morceau oriental de la Germanie d’un déferlement Slave, la nature ayant horreur du vide. On a pu le constater en Estonie et en Lettonie, avec les très grosses minorités russes installées du temps de l’URSS. (Et qui posent problème de nos jours aux autorités de Tallin comme de Riga).

Aujourd’hui, la tendance est encore plus suicidaire. La réunification n’aura été qu’une courte embellie avec, par exemple, l’arrivée de 500.000 néo-Allemands  autorisés à émigrer, venant principalement  de Roumanie, de Pologne et de Hongrie où ils constituaient des ilots minoritaires de vieille souche allemande. Qu’en est-il maintenant ?

Pour 80 millions d’habitants dont – statistiques officielles ! – 8,2 millions d’étrangers, l’indice synthétique de fécondité n’est plus que de 1,3 enfant par femme, pardon pour ces termes « barbares », bien loin comme nous l’avons vu du simple seuil de renouvellement. L’Allemagne vieillit et se dépeuple : sans redressement démographique, avec 8 naissances pour 1000 habitants, ce pays perdra 5 millions de personnes dans les 10 ans à venir et 10 millions dans les 20 prochaines années. Au rythme actuel des naissances SEULEMENT allemandes, il n’y aurait plus autour des années charnières du XXIe siècle 2050/2060, que 36 millions d’Allemands DE SOUCHE ! Les petites têtes blondes vont se raréfier pour faire progressivement place à une post-Allemagne Turco-Balkanique avec tous les problèmes, comme chez nous, découlant d’une cohabitation des langues, des cultes et des cultures différentes, voire opposées. 

D’ailleurs DESTATIS, l’office officiel des statistiques le reconnaissait, si, malgré le déficit des naissances par rapport au nombre des décès en 2012, la population totale a légèrement augmenté avec une hausse de 0,2 %, c’est grâce «  à une forte croissance de l’immigration ».

A noter que les landers de l’ex-Allemagne de l’Est qui produisaient plus de berceaux que de cercueils, sont aujourd’hui dans une situation inverse, disons-le tout net, CATASTROPHIQUE ! Des villes entières se dépeuplent, certains villages sont devenus des cités-fantômes

Madame Angela Merkel a beau s’inquiéter, bien tardivement,  de l’hiver démographique qui s’abat sur son pays et dénoncer, du bout des lèvres, le multiculturalisme, en ouvrant inconsidérément ses frontières pour faire plaisir à un patronat soutien traditionnel de son parti, la CDU, elle commet un grave attentat contre l’histoire européenne. La pyramide des âges va irréversiblement s’inverser et la proportion de personnes âgées de plus de 65 ans va passer de 20 % en 2015 à 34 % en 2050 si rien ne vient modifier la donne. Pourquoi pas une VRAIE politique d’aide aux familles allemandes ?  L’apport de l’immigration ? Oui, il est de nature à modifier les projections mais si, pour copier le slogan d’une célèbre marque de boisson gazeuse, « L’Allemagne a la couleur de l’Allemagne, le gout de l’Allemagne, ce ne sera plus l’Allemagne ! ».

C’est sur ces chiffres que s’appuie la Bundesbank pour revendiquer que la RFA a besoin chaque années de 200 000 immigrés pour compenser le déclin de la population et …peupler ses usines ! Car ce sont les mêmes qui disent que l’économie est freinée par la chute démographique : moins de producteurs, moins de consommateurs, moins d’exportations et moins de….bénéfices ! Sans compter, par exemple, que 165.000 jeunes cerveaux se sont expatriés en 2007, soit 50 % de plus Qu’en 2001. (Sources Polémia).

La pluie de « sauterelles » venues du monde migratoire – 800.000 personnes annoncées pour 2015 - est de nature à bouleverser durablement le paysage. Si les images de ces Allemands très accueillants dans les gares passent en boucle sur nos chaines télévisées c’est, bien entendu, pour culpabiliser les « méchants » Français, ces « sans-cœur »  qui semblent moins généreux que leurs voisins. Mais qu’en sera-t-il réellement dans un an, dans deux ans, quand les citoyens allemands seront revenus de leur affligeante naïveté ? Auront-ils redressé leur courbe de la natalité « autochtone » et éviteront-ils « le Grand Remplacement » dont, nous aussi, sommes menacés ?

Rien n’est moins sûr et cette situation chez notre principal voisin ne saurait être de nature à nous rassurer. Il faut être réaliste et voir la vérité en face. Si, dans l’histoire compliquée de ces deux pays issus de l’Empire de Charlemagne des phases sanglantes ont alterné avec des phases plus pacifiques, nous entrons dans une période troublée : à quoi va ressembler l’Europe que nous allons léguer à nos petits-enfants ? A un vaste melting-pot, ce qu’à Dieu ne plaise,  où une mère n’y retrouverait  plus  ses petits ?

08:02 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 14 septembre 2015

chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER RIVAROL N° 3200 du 3 septembre 2015

 

L’INFORMATION est terrifiante et la source sûre puisque c’est Laurent Joffrin, de Libération, qui nous en informe. Il écrit : « Les extrémistes de la Fraternité Saint-Pie X sont les salafistes du Christ ». A quand des bombardements américains sur cet antre de fanatiques ?

 

LES AIMABLES SURNOMS DES RESPONSABLES POLITIQUES

 

Planet.fr vient de commettre un article amusant sur les surnoms donnés aux dirigeants politiques. Tout le monde sait évidemment que le Menhir, c’est Le Pen. Hollande est celui qui les collectionne. Il fut “Flanby”, puis “Pépère”, le “Pingouin”, « Fraise Flagada » et même « Guimauve le Conquérant ». A propos de notre volatile, Mélenchon, qui a un certain sens de la formule, vient de déclarer : « C’est un personnage dérisoire qui mène une politique désastreuse ». Sarkozy a lui aussi droit à ses petits noms. Il fut surnommé « Speedy Gonzales », référence à sa volonté d’être omniprésent pendant son mandat, “Naboléon” mélange entre Napoléon et Nabot ou encore « le lapin Duracell » pour son côté très énergique. Il eut aussi droit à « Petit Nicolas » et « Joe Dalton ». Martine Aubry, quant à elle, est surnommée par Hollande et Valls « Tullius Detritus », personnage d’Astérix et Obélix missionné par César pour semer la zizanie dans les rangs du village gaulois. Quant à NKM, ses “amis” de l’UMP la surnomment, au choix, « la baronne », le « pitbull en talons », et Nadine Morano, qui la hait, l’aurait même comparée à une « coqueluche sur échasses ». Dieu, qu’ils s’aiment !

 

LE MAIRE DE BÉZIERS, ROBERT MÉNARD, FAIT ENCORE DES SIENNES

 

Ménard vient de remettre un drapeau à la Police Municipale de Béziers. Un drapeau qui pour l’élu symbolise « l’existence d’une force sans laquelle aucune protection des citoyens ne serait possible », estimant que dans ce pays qui va à vau-l’eau, « la police municipale est souvent le premier rempart, le premier secours ». Le préfet de l’Hérault, Pierre de Bousquet, a hautement apprécié car Ménard ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Il a déclaré, dans son discours devant ses policiers municipaux qu’entre les agents et leur mission « se dresse l’Etat, ceux qui nous dirigent, leur lâcheté, leur impuissance, leur soumission. Au point qu’ils acceptent trop souvent qu’une fausse paix sociale, qui ne profite qu’aux délinquants, s’installe dans certains quartiers ». Dans un communiqué, le préfet a condamné les propos du maire insolent. Réplique de Ménard : « Le préfet fait son métier de préfet (sous-entendu, à la botte du pouvoir) mais j’aimerais qu’il le fasse toujours et sur des points plus importants comme, par exemple, la fermeture administrative de commerces illégaux à Béziers». L’édile relève sur ce point que les deux courriers qu’il a envoyés à la préfecture sont restés sans réponse.

 

Dommage que Ménard ait cru bon de mêler sa voix à celles qui ont dénoncé l’interview du Menhir à RIVAROL. L’édile est courageux mais nullement téméraire.

 

IMPLANTATION D’UNE COLONIE ISRAÉLIENNE, CET ÉTÉ, À PARIS

 

On aurait pu croire à un gag ou à une info du site parodique, souvent assez délirant, Gorafi. Anne Hidalgo, le maire de Paris, n’a rien trouvé de mieux en termes de provocation que de monter une opération « Tel-Aviv sur Seine » pour célébrer l’amitié entre la ville de Paris et la métropole israélienne. Danielle Simonnet (Parti de gauche), élue au Conseil de Paris, s’est insurgée sur son blog de l’“indécence” de la mairie de Paris qui a organisé cet événement « tout juste une année après les massacres sur la bande de Gaza par l’Etat et l’armée israélienne et alors que le gouvernement israélien intensifie sa politique de colonisation. » 500 policiers furent mobilisés alors que les pro-Palestiniens avaient organisé une contre-manifestation qu’ils avaient nommée Gaza Plage, de l’autre côté du pont Notre-Dame. Le Monde décrit ainsi l’ambiance : « Du sable, des parasols… Mais aussi des policiers et des détecteurs de métaux. Au plus fort de la journée, plusieurs centaines de personnes (la mairie en a annoncé 11 000) se promenaient ou étaient installées dans des transats sur les 200 mètres entre le pont d’Arcole et le pont Notre-Dame, qui accueillaient jusqu’à 22h00 cette opération d’un jour organisée dans le cadre de “Paris Plages”. Des visiteurs agitaient de petits drapeaux israéliens, certains dansaient sur le sable, dans une atmosphère festive et une chaleur étouffante, reprenant en chœur en hébreu “le peuple d’Israël vivra” ». Il paraît qu’il y avait la queue pour déguster deux spécialités de galettes israéliennes baptisées “peace” et “love” (ça ne s’invente pas…). Michelle Alia, retraitée depuis trois mois, venue dans la matinée, déplore : « Je pensais retrouver l’ambiance de Tel-Aviv, la plage, la musique ; mais tout ce que je vois, ce sont des policiers et des barrières sur plusieurs mètres ». Mais qu’en a dit le Front national mariniste et son inénarrable chef de file parisien, Wallerand de Saint-Just, un des membres du bureau exécutif ou plutôt exécuteur qui a voulu exterminer Jean-Marie Le Pen, dont il fut pourtant durant trente ans l’avocat ? « Je ne vois absolument aucun inconvénient à ce que cet événement festif ait lieu », confie-t-il au Scan, avant de relancer : « Bien au contraire !». Pardi… Il poursuit en s’en prenant à certains « imbéciles fanatiques », qui empêchent aujourd’hui toute « manifestation conjointe avec la communauté juive ». Mais qu’en dit Florian Philippot, qui lui aussi a des choses importantes à dire ? Il a déclaré sur France Inter : « C’est pas une opération religieuse, c’est pas une opération politique, c’est une opération festive ou touristique. Je ne peux pas être contre ». Il fallait la trouver celle-là ! On le voit, le néo-FN est complètement inféodé au Lobby.

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JEUNES RÉPUBLICAINS OU JEUNES IMBÉCILES ?

 

Après « trois ans de mort clinique », comme l’écrit Le Figaro, les Jeunes Républicains, successeurs des jeunes de l’UMP, reviennent brillamment sur la scène politique. Ils ont entrepris cet été une tournée des plages. Comme les grands. Et ils ont eu une idée géniale pour faire passer leur message. Ils ont distribué des… préservatifs. Pas de banales capotes, non. Ils se sont creusé les méninges. Un slogan hautement humoristique y est inscrit : « Merci pour ce moment », référence bien sûr au livre de Trierweiler. Ça leur a coûté 13 000 euros, une paille. Ils expliquent qu’ils « voulaient faire de la politique autrement ». Certains Jeunes Républicains n’apprécient pas franchement. Le responsable, Bastien Régnier, qui finira sans doute au FN mariniste, tente de s’expliquer : « C’est notre première caravane depuis que nous sommes dans l’opposition. Il nous fallait d’autres modes de communication. La position du bureau national était de tenter un trait d’humour ». Un humour colossal. Cet imbécile d’envergure précise sa pensée au Figaro : « Nous voulons que les gens viennent à nous et ne plus aller vers eux avec des méthodes militantes plus agressives, comme les tracts. Ce genre d’objet attire l’œil, ça permet ensuite d’engager la conversation sur des sujets de fond. » Excellent article de Marie Delarue, en forme de réponse à de telles inepties, sur Boulevard Voltaire. A propos des sujets de fond qu’évoque Régnier, elle pose la question : « De fond de bidet, sans doute ? »

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L’“HALEINE FÉTIDE” DE RIVAROL

 

Qui a évoqué cet été l’« haleine fétide de RIVAROL » ? Mélenchon ? Non. Cohn-Bendit ? Vous n’y êtes pas. Alors, avec certitude, le CRIF ? Raté. Hollande ? Pas du tout. Ça pourrait être cette excitée de NKM, mais ce n’est pas elle. Mais alors, diantre, qui ? Langue au chat ? Il s’agit de Caroline Parmentier, la principale rédactrice de Présent, qui poursuit RIVAROL de sa vindicte depuis plusieurs mois. Jusqu’à maintenant nous avions choisi de ne pas répliquer. Parce que ces attaques nous laissaient indifférents. Dans de récents écrits, l’admiratrice de Marine Le Pen assène également : « Rappelons que dans l’affaire RIVAROL, ce que ne disent jamais les journalistes, la “faute” du père n’est pas dans ses propos mais dans le fait d’avoir été les confier à RIVAROL ». Rien que cela… Voici une de ses dernières sorties dans Présent, évoquant le fait que Jean-Marie Le Pen ne se présenterait pas contre Marion Maréchal en Paca. Commentaire de l’énervée : « Un geste d’apaisement et de bon sens qui déçoit beaucoup la presse qui, de RIVAROL à Libé, n’a de cesse de souffler son haleine fétide sur le feu ». Les Rivaroliens apprécieront. Comparer RIVAROL à Libé ! Réaction immédiate de nombreux lecteurs de Présent et de RIVAROL, ces derniers nous sommant littéralement de répliquer. Ce que nous faisons volontiers. Jean-Claude Rolinat, écrivain et collaborateur de Présent, a envoyé une lettre à Caroline Parmentier, lui demandant de la publier, ce qu’évidemment elle n’a pas fait. Il y écrit : « Comment peut-on comparer un… “torche-cul gauchiste mondain” comme Libération avec l’hebdomadaire de l’opposition nationale et nationaliste ? » Réponse : quand on s’appelle Caroline Parmentier. 

 

En attendant, RIVAROL continuera de dire la vérité car nous ne faisons pas, quant à nous, du marinisme alimentaire. Même si le Menhir porte une certaine responsabilité dans cette situation pour avoir fait en sorte que sa fille lui succède à la présidence du FN, et non son fidèle Bruno Gollnisch, ce qu’a fait Marine Le Pen à son père est une ignominie et pour une fois, nous approuverons le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, qui vient de déclarer : « La tentative d’assassinat de Jean-Marie Le Pen par une Marine Le Pen cachée derrière la tenture est terrifiante. Les Atrides aux portes du pouvoir… » 

 

Même si Présent est naturellement libre de sa ligne éditoriale (après tout charbonnier est maître chez soi), d’aucuns pourront s’étonner que le quotidien « national et catholique » se réclamant explicitement de la devise de saint Eloi (Dieu Famille Patrie), de celle de sainte Jeanne d’Arc (Dieu premier servi) qu’il affiche fièrement en dernière page de son numéro de fin de semaine, approuve ouvertement sous la plume de sa principale rédactrice le parricide, qui est le crime des crimes, et soutienne activement Marine Le Pen malgré son approbation de l’avortement et du Pacs (qu’elle veut aggraver), la promotion qu’elle a assurée du fondateur de Gay-Lib, Sébastien Chenu, favorable au “mariage” homosexuel, son laïcisme, son jacobinisme, son programme gauchiste, son soutien militant au travail le dimanche (Mots croisés, France 2, 8 janvier 2007), la mise en avant d’un franc-maçon revendiqué comme Gilbert Collard et sa soumission au lobby gay, les instances dirigeantes du néo-FN étant peuplées d’invertis militants qui se recrutent entre eux à l’image des socialistes à la mairie de Paris du temps de Delanoë. On est bien loin là de la France de la Pucelle d’Orléans et de Saint Eloi. Henry Coston le disait déjà : « On crée un journal pour défendre des idées et on trahit les idées pour défendre le journal ».

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici. 

18:47 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

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dimanche, 13 septembre 2015

Belle réussite de la conférence lyonnaise de Georges Feltin-Tracol et de Xavier Eman

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Samedi, plus d'une soixantaine de personnes étaient présentes pour notre conférence qui recevait Georges Feltin-Tracol sur son dernier ouvrage, En liberté surveillée, ainsi que Xavier Eman sur le thème : Révolte contre le monde moderne, comment dépasser le discours. Formation intellectuelle, camaraderie... Cette première conférence du Cercle du Coeur Rebelle fut une grande réussite. Nous remercions tous les participants ainsi que les intervenants et nous vous donnons rendez-vous très bientôt !

20:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Brigande : comment on devient Américain....

Les Brigandes en concert :

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L'Amérique en procès :

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20 bonnes raisons d’être anti-américain.

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Camille Galic, Polémia cliquez ici

Avec Qui instrumentalise l’Eglise ? (1), puis L’Antichristianisme juif (2), le catholique Martin Peltier avait déjà abordé la question du sabotage (et du sabordage) de l’Eglise apostolique et romaine sous l’influence judéo-maçonne si puissante aux Etats-Unis. Dans 20 bonnes raisons d’être anti-américain, son nouveau livre qu’on aurait tort de prendre pour un simple pamphlet malgré la vivacité du style et le sens des formules chocs propres à l’auteur, c’est de front qu’il attaque le moloch, quitte à désespérer les nationaux nostalgiques de John Wayne, amateurs de musique Country ou fervents du rock identitaire puisque, pour lui, tout aspect de la culture (prise au sens germanique du terme : kultur), vînt-il à l’origine de la Vieille Europe, est subverti et utilisé pour inféoder celle-ci au Nouveau Monde, mentalement, intellectuellement et donc politiquement, en créant un « imaginaire mondial » dont la mission est de satelliser toute la planète.

Idée fixe d’un anti-américain primaire, objectera-t-on. Outre qu’il n’est pas sûr que l’épithète gêne notre essayiste, ses chapitres fourmillant d’exemples concrets (par exemple l’impact des accords Blum-Byrnes sur le cinéma français) sur « La maîtrise des images, objectif prioritaire », car il fait primer l’émotion sur la raison, ou sur « L’américain, de la communication impériale à la confusion de la pensée » sont éclairants.

Egalement convaincants car toujours étayés de faits avérés pris dans l’histoire ou l’actualité, les chapitres intitulés « L’Amérique espionne et désinforme le monde » (sur les inexistantes armes chimiques de Saddam Hussein ou la récente tuerie de Ferguson, chef-d’œuvre d’intox obamienne ici exactement démonté), « Les ONG, mains sales du mondialisme US » et « Les juges, nouveaux rois du monde » – qui doit beaucoup au maître-livre de l’avocat Eric Delcroix, Le Théâtre de Satan (3), qui montre la pollution puis la subversion des droits romain et germanique par le juridisme états-unien fondé sur la morale, morale sélective, partisane et circonstancielle même si le Premier Amendement donne l’illusion d’une totale liberté d’expression. Ce qui nous renvoie au chapitre « Contre la morale américaine » et la pédagogie qu’elle induit : cette « pédagogie de rupture » désormais privilégiée dans et par notre système éducatif, visant à « éloigner les générations les unes des autres » pour éviter la naturelle transmission pratiquée autrefois, et qui « fait qu’un homme de soixante ans, s’il a conservé malgré le goutte à goutte des médias la forme mentale que lui ont donnée ses parents, se trouve forcément haï par les Balilla de l’antiracisme, la VallaudBelkacemjugend ». D’où, selon l’auteur, la crise actuelle au Front national car, « malgré qu’elle en ait, la génération Marine n’est pas indemne » de la contamination.

Martin Peltier, qui dédie son livre à Marcel Aymé, clin d’œil à Travelingue, n’est pas le premier Européen à montrer les ravages de l’American Way of life et surtout of mind (pensée). Le Hongrois Thomas Molnar (professeur à l’Université de Columbia à New York), dans son livre L’Amérique, le modèle défiguré (PUF 1978), et le Russe Alexandre Soljenitsyne, dans son célèbre Discours de Harvard (1978 également), avaient évoqué les dangers d’un alignement qui, depuis, n’a cessé de s’aggraver comme l’a aussi dénoncé plus récemment l’universitaire et ancien diplomate croate Tomislav Sunic dans son Homo americanus (4), spécimen déclinable à l’infini de Bangkok à Varsovie et qu’il qualifie de « rejeton de l’ère postmoderne ».

Le mérite de Martin Peltier est de décrire le caractère protéiforme du phénomène et de faire un bilan complet des dommages infligés à nos pays, y compris dans nos rapports, aujourd’hui explosifs, avec « toute la misère du monde » – voir le chapitre VIII : « Les USA nous apprennent à vivre ensemble »… à grands coups de cette massue culpabilisatrice qui a si bien réussi avec l’Allemagne.

D’aucuns lui reprocheront d’ailleurs d’aborder un sujet scabreux entre tous : l’asservissement de la Libre Amérique au messianisme juif, et de s’inscrire par là-même dans les pas du maudit Pierre-Antoine Cousteau et de son Amérique juive (Ed. de France 1942). Ne traite-t-il pas des « origines juives » des Etats-Unis, et de la « collusion judéo-maçonne et protestante contre Rome » ?

Mais c’est oublier que certains des Pères fondateurs de la jeune République se méfiaient déjà du peuple élu. Ainsi l’historien Paul del Perugia affirmait-il dans son Louis XV (Albatros 1976) que « dans les débats préliminaires à la Constitution américaine, Benjamin Franklin demandera en 1787 d’interdire aux Juifs l’entrée des Etats-Unis ».

Il ne fut pas suivi. Si le nez de Cléopâtre eût été plus court et la voix de Benjamin Franklin plus forte, l’histoire du monde en eût été totalement changée. Et peut-être Martin Peltier n’eût-il jamais lancé son réquisitoire.

Camille Galic
1/09/2015

Martin Peltier, 20 bonnes raisons d’être anti-américain, éditions Die, juin 2015, 210 pages, avec deux annexes mais sans index ni bibliographie. Rens. 

info@die-livres.com

Notes : 

(1) Martin Peltier, Qui instrumentalise l’Eglise ? éd. Godefroy de Bouillon, 1/12/2012, 315 pages

(2) Martin Peltier, L’Antichristianisme juif, ed. DIE, 2014, 350 pages. (voir 

www.polemia.com/lantichristianisme-juif-lenseignement-de-la-haine-de-martin-peltier/

(3) Eric Delcroix, Le Théâtre de Satan, éd. de L’Æncre 2002, 448 pages.

(4)Tomislav Sunic, Homo americanus, éd. Akribeia, 2010, 288 pages (Voir :

http://archives.polemia.com/article.php?id=3324

Pour information :

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A Varsovie, samedi ils étaient des milliers à dire NON au grand remplacement

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