mercredi, 18 novembre 2015
Ah bon, ce n'est pas une banane ?
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mardi, 17 novembre 2015
On ose nous parler de "Justice"...
Omar Ismaïl Mostefaï : terroriste, fiché S., condamné 8 fois entre 2004 et 2010 sans jamais être allé en prison !
Et là... pensons à Nicolas Bernard-Buss, jeune homme au casier vierge... Il avait passé trois semaines à la prison de Fleury-Mérogis en juin et juillet 2013 (à cause de son opposition à la loi Taubira)...
Repensons aussi à Esteban, militant solidariste, lâchement agressé avec ses amis par une bande de petits laquais du Système intitulée "antifa" en juin 2013 et qui passa quinze mois en prison pour s'être simplement défendu...
Un jour, il faudra que les responsabilités soient établies et que les coupables payent...
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"La guerre" ce qu'en pense Eric Zemmour
12:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Fantasme sécuritaire, réellement ?
Dr Bernard Plouvier
« Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (Coran, sourate 8, verset 40).
Ce 16 novembre, alors que nos « chefs » décident de ne rien faire d’efficace, un leader de la gauche pseudo-marxiste (lui-même millionnaire en euros, histoire de le rendre plus crédible aux petites gens) vient éructer ses propos venimeux sur ce qu’il appelle un « fantasme sécuritaire ».
Fantasma, en langue espagnole, signifie « fantôme ». Où ce Titan de la pensée politique a-t-il vu que 130 morts, 350 blessés (dont un tiers en état grave) formaient un « fantasme » ? Un cauchemar peut-être, un songe sûrement pas. Après les stériles pleurnicheries, l’on a droit aux sarcasmes des aboyeurs et aux quart-de-mesure du mol président et de son évanescent gouvernement.
Quatre jours après le carnage parisien, nos frontières ne sont toujours pas fermées aux immigrants musulmans, alors même qu’un des assassins du 13 novembre faisait partie de la cohorte des « gentils réfugiés, fuyant la Syrie ». Et que l’on ne vienne pas dire à nouveau qu’il ne faut pas commettre d’amalgame entre musulman et djihadiste. Neuf sourates coraniques exigent la pratique du Djihâd de tout muslim (fidèle en langue arabe) « qui en est physiquement capable ». Par mesure humanitaire, l’on pourrait admettre les sujets trop débiles pour appuyer sur la détente d’une arme automatique… ce qui ne fait pas beaucoup de monde !
Quant aux autres mesures efficaces, il ne faut guère en attendre de la part de nos merveilleux élus, en période électorale. Sont-ils simplement des mous ou de parfaits incapables ? Après tout, en 2001, même le demi-débile George Bush junior a su prendre des mesures de salut public ! Il est vrai qu’en 2012 déjà, David Remer ironisait sur « l’ineptocratie » des gouvernants français : rien n’a changé depuis, en dépit de la gravité des événements.
Ce ne sont pourtant pas les actes nécessaires qui manquent :
- Nettoyer le millier de cités de non-droit, où des canailles narguent les autorités du pays.
- Décider le nécessaire rétablissement de la peine de mort et l’application de la véritable Démocratie qui est d’appliquer la même Justice à tous, quels que soient la race et la religion du justiciable, son appartenance à un parti politique ou à une secte, son état de fortune ou sa surface sociale.
- Supprimer le scandale de la double allégeance en interdisant le principe même de la double nationalité : on ne peut être fidèle à deux entités souveraines, c’est une évidence !
- Organiser d’urgence un referendum sur l’immigration extra-européenne, puisque seule la Nation est souveraine dans notre État et non les élus, qui ne détiennent qu’une délégation provisoire.
- Réformer les conditions d’octroi de la nationalité : soit l’abolition de l’absurde Droit du sol ; la dénaturalisation automatique des canailles (voleurs, escrocs, trafiquants divers) et des crapules (violeurs, assassins, terroristes) issues de l’étranger ou rejetons de « l’immigration à problèmes » ; l’élaboration de conditions draconiennes à la naturalisation, car, après tout, c’est un immense honneur que l’on fait à un étranger de l’admettre au sein d’une communauté hautement civilisée.
- Réformer le statut des élus du peuple : limitation du nombre des mandats et de la durée globale du statut d’élu, pour éviter la nuisible réalité du « politicien professionnel » ; diminution drastique – au nom des nécessaires économies d’un État surendetté – de leurs indemnités & frais de représentation et de déplacement ; réduction draconienne du nombre de leurs collaborateurs payés avec le produit des impôts ; lutte réelle contre la corruption et aggravation considérable des peines pour les politiciens prévaricateurs ou trafiquant de leur influence ; lutte contre les lobbies (ou groupes d’influence), au nom de la Déesse Égalité.
- Attribuer le bénéfice des lois sociales aux seuls sujets ayant cotisé (ce qui est le principe même de ces lois), pour supprimer le coûteux et immoral parasitisme social.
- Enfin, appliquer dans toute sa rigueur la Loi de 1905 qui sépare absolument les confessions religieuses de l’État… même si des milliardaires en pétro-dollars exigent (et jusqu’à présent obtiennent) des privilèges pour leurs coreligionnaires.
Et ce catalogue n’est nullement exhaustif. Nobles et courageux responsables de l’État, vous avez du travail !
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Un entretien avec Roland Hélie publié dans le dernier numéro de la revue Réfléchir et Agir :
Pour quelles raisons avez-vous créé les Cahiers d’Histoire du nationalisme ?
Depuis trop longtemps, l’histoire de ce que l’on appelle « la droite nationale » au sens large du terme est racontée par nos ennemis. Ceux-ci la falsifient volontiers afin de nous discréditer. Nous nous sommes donc dit qu’il était temps de reprendre tout cela en main et d’immortaliser nous même cette histoire qui est la nôtre. On est jamais si bien servi que par sois même.
En 2012, nous avions lancé, parallèlement à la revue Synthèse nationale, une collection intitulée Les Bouquins de Synthèse nationale. Il s’agit de livres thématiques destinés à ceux qui veulent mieux connaître nos idées. Ainsi, nous avons édité, entre autres, une biographie du Président portugais Salazar, un recueil de textes sur José-Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, et un autre encore sur Dominique Venner. De là est venue l’idée, au début de l’année 2014, « standardiser » ces publications consacrées à des personnages, ou à des événements, qui ont marqué notre famille d’idées.
Voilà, en quelque sorte, la genèse des Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Ceux-ci ont l’ambition, à terme, de devenir une véritable encyclopédie.
Peut-on dire qu'ils répondent aussi à un besoin de formation politique pour les jeunes militants ?
Tout d’abord, il convient de préciser que ces Cahiers ne sont pas apologétiques. L’histoire des nationalistes, qu’ils soient français ou d’ailleurs, n’est pas exempte de critiques ou de remises en cause. Nous essayons de l’aborder les thèmes choisis avec le recul nécessaire tout en respectant le contexte qui était celui de l’époque. L’essentiel est de rétablir quelques vérités souvent cachées par nos détracteurs afin de rééquilibrer les choses.
Notre démarche s’adresse à tous. Mais il est bien évident qu’elle vise surtout ceux, en particulier les jeunes bien sûr, qui n’ont pas connu ces hommes ou ces événements.
Vous n'avez pas commencé la série par du "léger" puisque les trois premiers numéros sont consacrés dans l'ordre à Degrelle, Duprat et Doriot. Etait-ce une volonté de taper très fort dès le départ ?
C’est un peu le hasard qui a bien fait les choses. Il se trouve qu’avril 2014 correspondait au vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle. Nous voulions rendre hommage à ce combattant haut en couleur qui a tant marqué son époque. C’est pour cela que nous avons confié à Christophe Georgy, Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, le soin de concevoir ce premier numéro auquel a collaboré une douzaine de personnes qui ont connu le chef du mouvement rexiste ou étudié son histoire.
Le deuxième volume a été consacré à François Duprat et au nationalisme révolutionnaire. C’est évidemment à Alain Renault, ancien secrétaire général du FN et proche collaborateur de Duprat, que nous avons demandé de superviser ce numéro. Celui sur Doriot a été rédigé grâce aux documents inédits de Bernard-Henri Lejeune, ancien responsable du PPF qui avait publié un livre sur ce parti en 1977. Nous devons le quatrième volume sur le Parti des Forces nouvelles à Didier Lecerf, qui fut l’un de ses responsables au début des années 80. Le cinquième nous raconte la formidable épopée du Maréchal Mannerheim, sauveur de la Finlande face à l’Armée rouge. Le sixième revient sur la vie de celui qui fut le premier candidat national à une présidentielle de la cinquième République, Jean-Louis Tixier-Vignancour.
Vous présentez de grandes figures, pour autant allez-vous aussi consacrer des numéros à certains doctrinaires historiques du nationalisme tels que Barrès, Maurras ?
Pourquoi pas ?
Vous mêmes, dans quelle famille du nationalisme vous inscrivez-vous ?
Pour ma part, j’ai commencé à militer dans les années 70 au PFN et je suis toujours resté attaché à la ligne nationaliste et européenne de ce parti. Mais le contexte politique et géopolitique d’aujourd’hui n’est plus le même. Il faut en tenir compte. La fidélité en politique ce n’est pas de faire toujours la même chose mais de faire des choses qui vont toujours dans le même sens.
Un petit mot sur les numéros à venir ?
Un numéro sur la croix celtique, un autre sur l’histoire controversée du NSDAP, un sur Codréanu, un sur Georges Valois, un sur le nationalisme hongrois, un sur le péronisme… Ce ne sont pas les sujets qui manquent tant est riche notre histoire…
Les Cahiers d’Histoire du nationalisme (200 pages, 20 €, abn 6 numéros 110 €) Synthèse nationale 116 rue de Charenton 75012 Paris. En savoir plus : cliquez ici
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La ville d'Orange rend hommage aux victimes du terrorisme islamique
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APRES LA SANGLANTE TRAGÉDIE, L’INSUPPORTABLE COMÉDIE
La chronique de Philippe Randa
Un traducteur français avait imposé, dans la célèbre série des années 60 du siècle dernier Le Prisonnier, la phrase « Bonjour chez vous » comme apostrophe de « souhait par politesse »… Va-t-on voir de même l’apostrophe « bon courage » devenir l’usage à venir ?
C’est en effet la politesse dont a fait preuve ma boulangère ce matin. J’ai d’abord crû à de l’humour – je venais de lui acheter une baguette et un pain aux raisins – mais non, pas du tout…
Après m’être contenté pour ma part d’un aussi traditionnel que peu original « bonne journée », je la quittais en réalisant que j’avais effectivement entendu, ce lundi matin « post-sextuple attentats du vendredi 13 novembre dernier », un journaliste nous informer que les gens ne se disaient plus « bonne journée » comme à l’accoutumée, mais, donc, « Bon courage » !
Pourquoi « Bon courage » ?
Pour supporter, après deux jours de matraquage compassionnel, les informations diffusées par les médias ? Soit pas grand chose sur les réalités des commanditaires de l’attentat – quelques arrestations et beaucoup de blablas convenus – et énormément de témoignages de citoyens « anéantis », « bouleversés », « furieux », « vindicatifs », mais dans l’ensemble plutôt « effondrés » qu’un tel massacre ait pu avoir lieu… chez eux ! Chez nous ! En France, patrie auto-proclamée des droits-de-l’homme !
Et parmi tous ces témoignages, peu de proches ou de parents des victimes, ce qui serait compréhensible, non ! surtout, principalement, quasi-exclusivement des anonymes qui n’avaient rien à dire d’instructif, mais qui tenaient à le faire savoir pour les plus grands besoins des chaines d’informations qui occupent ainsi leur temps d’antenne à peu de frais, mais à grosses rentrées publicitaires, évènement oblige !
Suis-je donc un père insensible de n’avoir eu que le simple réflexe de joindre, sans trop d’appréhension, je l’avoue, mon fils aîné samedi matin pour m’assurer, tout de même ! qu’il n’était pas allé au Bataclan vendredi soir ? Cela aurait pu, puisqu’il apprécie tout particulièrement le guitariste du groupe qui s’y produisait…
Suis-je donc un père irresponsable pour ne pas même lui avoir demandé s’il était traumatisé par cette tuerie ? Et pour avoir simplement appris à mon fils cadet – qui dormait ce soir-là dans la chambre à côté de la mienne – ce qui s’était passé en concluant simplement, mais assez sentencieusement : « Ce sont de vrais morts, pas comme à la télé ou dans tes jeux vidéos… Comprends que la guerre, ça existe “pour de vrai ». Et pour tout le monde. Personne n’en est à l’abri. Jamais ! Depuis la nuit des temps ! »… et sans insister plus que cela afin qu’il évite d’en prendre prétexte pour rechigner d’aller à l’école ce lundi matin, arguant d’une prévention des risques de mise en danger d’écolier…
Suis-je donc un être infâme lorsque j’entends – mi-énervé, mi-effaré, mi-amusé (tout dépend de l’importance de chaque moitié, on sait cela) – cette institutrice témoigner avec des trémolos dans la voix qu’elle a réfléchit tout le week-end aux mots qu’elle allait dire à ses élèves ce lundi matin pour « leur en parler » ? Mots qu’elle ne trouvait pas, la pauvre femme ! Drame du vocabulaire, de l’intelligence ou du formatage politiquement correct, au choix… ou un peu tout ça, sans doute !
Suis-je enfin un monstre passible d’un quelconque pilori citoyen pour songer, au fond de moi : « Ah ! les cons ! » en entendant tous ceux qui se croient fins en martelant leur « Bon courage » compatissants toute cette journée du lundi 16 novembre, et encore le lendemain pour les plus acharnés ?
Peut-être que oui, je suis tout cela, mais avec quelques circonstances atténuantes, tout de même : je fais partie de cette poignée d’hérétiques qui n’ont eu de cesse, ces dernières décennies, de tenter d’avertir nos compatriotes que cela allait arriver. Quoi ? Le massacre de ce vendredi 13 novembre ! Après quelques autres, de moindre importance numérique, mais tout de même ! Ce n’était pas le premier.
Et vous savez quoi, plus probablement encore, pas le dernier !
Vous dormiez en paix, braves gens ? Les droits-de-l’homme veillaient ? Allez, bon courage à vous aussi… et sans rancune !
00:11 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 16 novembre 2015
LA GUERRE ? EH BIEN ON Y EST ET JUSQU’AU COU...
Pierre Vial Terre et peuple cliquez là
Quand nous disions depuis longtemps, par exemple sur notre site, que nous sommes en guerre, on nous répondait par l’ironie (« vous exagérez, quand même ! ») ou par le mépris (certains intellectuels assurant que le choc des civilisations était un fantasme dû à notre étroitesse d’esprit) ou encore par l’intimidation façon Taubira (en nous menaçant d’une inculpation pour « incitation à la haine raciale » …).
Et pourtant les faits sont là, inscrits dans une réalité que beaucoup semblent découvrir tout d’un coup, un peu comme l’existence de la lune (Manuel Valls, dans le style Tartarin de Tarascon : « Nous gagnerons cette guerre »). Nous ne prétendons pas être plus intelligents que ceux qui nous critiquent. Mais nous avons pour nous, par rapport à eux, une force que personne ne pourra nous enlever : nous nous déterminons non en fonction des utopies et des dogmes, mais par rapport à ce qui existe, nous nous mettons à l’école du réel, comme le faisaient nos guides spirituels, ces Grecs de l’Antiquité qui refusaient d’être abusés par les mystifications d’un Orient jouant de la naïveté d’Européens à qui il était si commode de faire prendre des vessies pour des lanternes.
J’étais ces jours-ci à Genève. Me promenant dans le centre de cette belle ville, dont le caractère calviniste devient acceptable au bout de quelques décis d’un vin blanc gouleyant, je vis sur un mur une grande inscription tracée à la peinture noire : « Islam= paix ». Quelques heures auparavant avait eu lieu le massacre de Paris, auquel se consacraient tous les media. Cette vision surréaliste m’a renforcé dans la conviction de la jobardise intrinsèque des Occidentaux (n’importe quelle autorité digne de ce nom aurait évidemment fait le nécessaire pour que cette inscription provocatrice fût effacée dans les meilleurs délais…). On était un samedi soir, les braves Genevois allaient se donner un peu de bon temps et n’allaient quand même pas se compliquer la vie en se demandant si le mot de « paix » ne devait pas être logiquement remplacé par celui de « guerre ». Et puis, Genève est loin de Paris, non ?
Je ne souhaite bien sûr pas le malheur des Genevois. Mais il se pourrait qu’ils découvrent un jour que nous sommes entrés dans un monde où la guerre, planétaire, n’épargnera personne. Certains Français commencent à percevoir cette réalité. Dure réalité ? La réalité n’est ni dure ni douce. Elle est. Notre monde commence à payer l’erreur mortelle qui consiste à nier cette évidence. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil… Les bisounours vont payer la note de leur aveuglement et tant pis pour eux.
Nous, nous disons à nos sœurs et frères de sang : n’écoutez pas les prophètes de malheur qui parlent de tolérance et d’amour universel. Ce sont eux qui ouvrent votre porte aux égorgeurs. Ne comptez que sur vous-mêmes pour protéger votre vie et celle des vôtres. Et souvenez-vous du sage principe qui guidait les vieux Romains : SI VIS PACEM PARA BELLUM (« Si tu veux la paix, prépare la guerre »).
23:54 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Morlaix (29), samedi 21 novembre : une conférence sur le Dombass
23:53 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Etes-vous sûrs de n'avoir jamais croisé ces jeunes gens dans le métro ?
18:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 15 novembre 2015
Manifestations de joie en Turquie à l'annonce des attentats de Paris
19:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Pierre Vial
18:05 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le récent à prévoir : réflexions sur la fusillade parisienne et ses suites
Julien Rochedy cliquez ici
Je réagis à chaud, presque hâtivement, mais je crois qu'il va falloir habituer ses nerfs et son cerveau à réagir de la sorte, car les événements vont désormais s'accélérer. Le temps des longues réflexions et des points de vue distants sont des luxes de temps de paix.
Je ne reviendrai pas sur le choc émotionnel et moral de ces attentats. D'une parce qu'il est évident, de deux parce qu'il ne sert à rien, et de trois, surtout, parce que je n'ai pas envie de faire plaisir aux sectateurs de l'Islam le plus violent, qui salivent comme des chiens à l'idée qu'ils aient pu nous choquer ou nous traumatiser.
C'est dur, c'est horrible, ça fait mal : ça s'appelle l'Histoire qui revient.
L'ennemi de l'intérieur
Hormis quelques (un seul ?) terroristes qui risquent bien d'être l'un de ces doux et gentils réfugiés qui venaient s'échouer en Grèce, la plupart d'entre eux semblent bien être de nationalité française, ou, tout du moins, d'avoir été aidés par des réseaux Français (et Belges).
Ce constat marque la quasi-inutilité de la fermeture des frontières décidée par François Hollande, mais elle appuie surtout sur la caractère illusoire du principe des nationalités dans l'Europe occidentale actuelle. En particulier, je fais référence à la nationalité française. Celle-ci, ayant été distribuée sans prudence et sans ménagement depuis déjà quarante ans, est absolument démonétisée. Elle ne garantie plus rien. Elle ne signifie plus rien. Des populations différentes, voire antagonistes, peuvent désormais avoir la même nationalité. Dans ce cas de figure, les éléments constitutifs de l'identité devront, demain, être cherchés ailleurs. Ces éléments seuls font naître et garantissent des morphologies politiques. Ou dirai-je : des communautés politiques.
De ce que je sais et de ce que je vois, si Paris, dans son intelligentsia, ne veut pas prendre la mesure d'un tel bouleversement et tentera de le nier (y compris les partis nationalistes du type Front National), les populations, elles, s'en aperçoivent. C'est déjà trop tard, les populations de nationalité française ne formeront plus jamais une communauté « une et indivisible ». Nous sommes désormais plusieurs et divisés, et nous allons devoir vivre ainsi pendant au moins plusieurs décennies.
La rencontre qui n'aura pas lieu
Acte 1
Dans un premier temps, la population va vouloir faire corps avec son État. Par peur, elle va naturellement se tourner vers lui, et lui demander de prendre des mesures puissantes, d'être plus fort, quitte même à ce que ça lui coûte sur le plan de ses libertés, déjà fortement réduites de toutes façons.
Comportement classique de toute population qui a peur. Élément renforcé, de surcroît, du fait que la population en question soit Française, c'est à dire absolument habituée à devoir tout à l’État, et à attendre tout de lui.
Acte 2, concomitant
L’État va prendre des « mesures », mais il ne maîtrise déjà plus rien. Ses forces sont trop faibles pour faire face à des populations hostiles en son propre sein. Car, en terme de terrorisme, nous nous exposons encore à deux choses : d'abord, des actes prévus et planifiés comme celui auquel nous avons été confrontés hier (13.11.15), qui ne vont pas s'arrêter de sitôt tant que le Moyen-Orient sera une poudrière ; ensuite, à des actes isolés de jeunes musulmans (comme ce fut le cas à Grenoble avec la tête coupée au mois de juin) qui fantasment l’État islamique. Ceux là sont très nombreux (1).
Je sais, de sources policière proches (et très haut gradés), que les effectifs sont en sous-nombre et que le renseignement est défaillant. Mais sans même parler de logistique, l’État est désarmé idéologiquement pour faire face : il lui faudrait une énergie, d'autres idées, et, oserai-je, une violence, qu'il n'a pas, qu'il n'a plus.
Pire encore, en vertu de son logiciel, et comme c'est le cas pour tous les États défaillants et déjà morts dans l'Histoire, toutes les mesures qu'il prendra ne feront qu'aggraver le mal. Un seul exemple, bien qu'il y en aurait des dizaines : bêtement, il va s'en prendre au trafic d'armes. Mais comme il ne maîtrise plus les banlieues depuis longtemps, qu'il a ouvert ses frontières et qu'il est la proie de mille corruptions, tout ce qu'il pourra faire sera d'empêcher les Français (pas au sens de la carte d'identité, n'est-ce pas) de posséder des armes. De fait, il désarmera des gens qui seront pourtant de plus en plus dans la détresse. Pareillement, il continuera de tenter de désarmer les gens idéologiquement (propagande pour le vivre-ensemble, pas d'amalgames, etc.).
Acte 3
De fait, la rencontre entre la peur de la population et un État fort qui sera capable de la protéger, n'aura pas lieu. La première, turbide, existe. Le deuxième, et on le verra, n'est déjà plus qu'une fiction.
Épilogue
Comme à la fin de l'Empire romain et le haut moyen-âge, les gens vont commencer à se détourner des institutions pour tenter de s'organiser d'eux-mêmes. Le monde nouveau commencera : celui d'un monde en grappes.
Vous avez la le thème de l'essai que j'écris actuellement, puisqu'on me le demande souvent.
Résultat : encore une fois, prenons acte du monde qui décède sous nos yeux et entrons vite dans le suivant. Tout le reste n'est que dilatoire.
(1) J'ai moi-même été saisi par le nombre de racailles qui ont une très bonne opinion de leurs « frères » musulmans qui se battent en Orient. Au mois de juillet, j'ai même corrigé (et il a douillé...) un arabe qui, après s'être pris un vent par une jeune fille, la menaçait de lui « couper la tête » comme le font « ses frères ». Ces anecdotes ne manquent pas.
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Un homme d'État s'adresse à François Hollande…
16:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un peu de musique pour se détendre…
En 1987, sur l'album Thulé, le groupe Légion 88 abordait la question du terrorisme avec un refrain entraînant :
Terroriste à mort, immigré dehors !
16:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du sang et des larmes...
Dr Bernard Plouvier
Lorsque, durant l’été de 1940, le sieur Churchill promettait à ses compatriotes du sang et des larmes, il ne mentait nullement – que non pas -, du moins agissait-il ! Après l’hécatombe du 13 novembre (et en attendant que d’autres blessés en état catastrophique n’alourdissent le bilan), le peuple français a sa ration de larmes, de trémolos d’indignation, d’hommages aux victimes (et surtout à leurs familles, composées d’électeurs)… mais l’on attend vainement des actes.
On se gargarise du fait que nos glorieux services de renseignements (« parmi les meilleurs du monde », paraît-il) avaient repéré divers auteurs des attentats, dont un avait d’ailleurs été signalé par la police grecque des frontières, après avoir été identifié sur l’île de Lemnos… mais, dans ce cas, pourquoi n’avoir pas pisté ces crapules (en herbe), n’avoir pas repéré leurs contacts et n’avoir pas procédé à des arrestations préventives. La réponse est simple : il ne fallait commettre ni amalgame entre jeune musulman et djihadiste (curieuse conception, d’ailleurs, puisque selon le « saint coran », le Djihâd est une obligation pour le muslim en bonne santé), ni vaguelette en période pré-électorale (mais quand n’est-on pas, dans notre pays lamentable, en période de ce type ?), durant laquelle une action en quartier musulman risque d’être vécue comme une « provocation », voire – horreur suprême – un acte « raciste » !
Nos mous de la République – les Hollande, Valls, Taubira et autre Cazeneuve – sont responsables d’incurie, de non-respect du principe de précaution, et coupables d’abstention délictueuse, frisant ici la non-assistance à personnes en danger de mort. Quand on accède à une fonction électorale, ce n’est pas pour faire la Une des tabloïds et autres peopleries, pour faire du scooter devant les caméras ou flirter avec des donzelles frelatées, c’est pour AGIR. Or nos mous ne savent que causer et gémir, agonir « l’extrême-droite » et les « racistes » (Blancs bien sûr, puisque nos excellences – pas plus que les fonctionnaires de la Halde - n’ont jamais ouï les propos, orduriers autant que racistes, des racailles de l’immigration colorée).
AGIR, cela ils ne le savent pas. C’est pourtant simple ! Dans notre malheureux pays, il y a plus d’un millier de cités de non-droit à nettoyer de leurs délinquants et criminels impunis. Il y a une foule de parasites sociaux à expulser du pays, pour lutter contre le déficit des caisses sociales, qui alimente notre Dette abyssale autant qu’irremboursable. Il y a une foule d’immigrés chômeurs professionnels, donc manifestement en surnombre dans notre pays, industriellement sinistré. Il y a une foule de réseaux de trafiquants de drogues, d’armes, d’objets volés ou de contrefaçon… et si nos mous, l’ignorent, les policiers de base peuvent les renseigner. Il y a une armée, une police, une gendarmerie, le corps des gardiens de prison à épurer des musulmans, qui forment une authentique 5e colonne en terres françaises, ce qui est intolérable – ou suicidaire, au choix – en période de guerre civile largement annoncée.
Agir ou Partir, telle est l’alternative de nos pseudo-gouvernants !
14:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi prochain, 21 novembre, dans l'Oise :
14:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TV Liberté sur les attentats (14 11 2015)
11:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Roger Holeindre
11:15 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
1914-2015 : ce n’est plus la même qualité de Français !
L’été de 1914, contre toute logique, contre tout bon sens, les nations européennes se ruent les unes à l’assaut des autres, avec enthousiasme (quoi qu’en aient dit un demi-siècle plus tard des historiens qui voulaient absolument donner raison, qui à ‘’Lénine’’, qui à Jaurès).
Le motif était futile : un énième assassinat de tête semi-couronnée. La situation n’était ni plus ni moins explosive que tout ce que l’on avait vécu lors des incidents coloniaux d’Afrique, durant les années 1890-1911, ou lors des conflits entre pays danubiens induits par la décomposition de l’Empire turc.
Le capitalisme financier et industriel, déjà largement cosmopolite, était – sauf en Russie où l’on travaillait, avec des capitaux étrangers, pour la seule consommation nationale - opposé à l’idée d’une guerre généralisée, tout au plus favorable à un conflit local qui raviverait la course aux armements et engendrerait ces destructions qui appellent depuis toujours une reconstruction, source de profits, mais sans remettre en question la répartition des terres en Europe (l’Alsace-Moselle ne faisait même plus recette en France depuis l’affaire Dreyfus : il fallait éviter de trop se pencher sur les affaires de Mulhouse… les initiés comprendront !).
Les conflits sociaux se réglaient alternativement, soit en faisant donner la troupe contre les grévistes (c’était, en France, une spécialité de Clemenceau et même d’Aristide Briand), au pire en augmentant un peu les salaires, ce qui faisait immanquablement monter les prix de vente de gros et au détail : rien ne bougeait dans l’équilibre final… c’était d’ailleurs ce que reprochaient les anarchistes et les marxistes à leurs ennemis, les socialistes réformateurs.
La caste militaire, quoi qu’on en ait dit depuis, ne manquait pas d’occasions de briller en zones coloniales et, après tout, il était moins périlleux de parader au milieu des civils, au pire de se battre contre des primitifs ou des arriérés, que de se lancer dans une guerre moderne, les exemples de la Civil War des USA et de la guerre russo-japonaise étant dans toutes les mémoires des généraux (du moins, ceux qui se donnaient la peine de lire) : une guerre moderne tuait beaucoup de monde.
On savait tout cela bien avant 1914 ; seuls les historiens qui ne lisent pas les journaux et revues de l’époque l’ignorent. Pourtant, la guerre se déclencha, puis se mondialisa. Et pour une raison simple : les hommes étaient d’une autre trempe que nos contemporains. Le confort moderne – rudimentaire à nos yeux – leur paraissait amollissant, l’ennui d’une vie trop prévisible dans un monde d’évidente stabilité sociale, morale et monétaire leur paraissait insupportable. Ils n’avaient aucun autre moyen que la lecture pour vivre une aventure par procuration - le cinéma était alors tellement grotesque qu’il faisait rire plutôt que rêver - et les romans étaient écrits en une si belle langue qu’ils en étaient ennuyeux !
La Grande Guerre, dans son illogisme, était la plus inévitable de toutes : les Européens étaient virils, partageant tous (sauf quelques esthètes qui affublaient leur couardise des oripeaux du pacifisme) le même chauvinisme, seul sport cérébral commun aux Européens, toutes classes et castes confondues.
2015 : des Français avachis, amollis physiquement par des excès alimentaires et un défaut d’exercices physiques, attendris par un demi-siècle de propagande doucereuse, lénifiante et tiers-mondiste, se comportent en parfaits capons, habitués aux caprices de leur(s) femelle(s), de leur(s) giton(s) ou de leur(s) enfant(s)-tyran(s)… après tout, on ne leur demande plus que de consommer, de s’endetter et de pleurer sur les misères exotiques.
Effectivement, les sauvages venus du Sud ou du Sud-Est ont beau jeu de ravager un pays riche, nullement défendu, ni par des politiciens ineptes, inaptes et corrompus (ni plus ni moins que leurs grands ancêtres, reconnaissons-le), ni par les « forces de l’ordre » (que l’on ferait mieux de qualifier de « faibles de notre déclin »), ni par les autochtones aussi lamentables que des Gallo-Romains du Bas-Empire.
1914-2015 : deux Frances que tout oppose, car les autochtones ont renié les qualités guerrières de leurs ancêtres. Il est stupide de pérorer sur notre niveau intellectuel, scientifique et technique, effectivement bien supérieur à celui de nos grands-parents (et arrière-grands-parents). Seules comptent les qualités morales dans les situations de crise : à quoi servent des dizaines de milliers de policiers, gendarmes et soldats si la mollesse ambiante refuse de les utiliser pour nettoyer les cités de non-droit et renvoyer en terres exotiques tous les trublions et toutes les canailles (voleurs, escrocs), et surtout si l’on n’élimine pas de façon irréversible les crapules (violeurs, assassins, terroristes, grossiums du trafic d’armes et de stupéfiants).
1914-2015 ; Poincaré-Hollande. Deux dates et deux noms symboliques, qui nous font mesurer l’ampleur de notre déchéance.
10:11 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 14 novembre 2015
A Pontivy, les Bretons ont dit clairement "NON !" aux migrants
Plus de 150 personnes dans les rues de Pontivy pour dire NON à l'arrivée des migrants en Bretagne ce samedi après-midi à l'appel d'ADSAV, le parti nationaliste breton. Les collabos ont tenté de perturber la manifestation cliquez ici
23:21 Publié dans Contre le "vivre ensemble", la France bouge | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Attentats à Paris : la réaction de Civitas
Un communiqué de Alain Escada,
Président de l'Institut Civitas
L’Institut Civitas présente ses condoléances aux familles et aux amis des victimes de ces effroyables attentats de Paris qui endeuillent la France entière. Nos prières accompagnent toutes celles et tous ceux dont la vie a été volée ce soir du 13 novembre 2015. L’Institut Civitas fera célébrer une messe de requiem à leur intention.
Par-delà la peine et le deuil, le devoir de justice impose d’identifier et de punir les coupables de ces actes odieux.
Or, les coupables ne sont pas uniquement ceux qui ont appuyé sur la gâchette d’une arme ou fait usage d’une ceinture d’explosifs.
Les coupables sont aussi ceux qui, de manière irresponsable, ont organisé le chaos au Proche et au Moyen-Orient puis ont facilité, voire orchestré, le développement d’organisations djihadistes (Front al-Nosra, Etat Islamique,...) en Irak et en Syrie.
De nombreux personnages politiques français, de droite comme de gauche, portent une grave responsabilité dans cette situation en ayant contribué directement ou indirectement au financement et à l’armement de factions islamistes dans le cadre de manœuvres géopolitiques d’apprentis sorciers aux côtés de prétendus alliés d’une coalition mondialiste et des pétro-monarchies du Golfe.
De la même façon, les personnages politiques français, de droite comme de gauche, portent une grave responsabilité dans l’invasion migratoire qui déferle sur l’Europe et affecte durement la France, et qui facilite l’entrée sur notre territoire d’individus aguerris au terrorisme et aux techniques de guerre.
La France est aujourd’hui en état de guerre, par la responsabilité même de ceux qui ont pour mission de la gouverner et de la protéger.
Il faudra bien qu’un jour le tribunal de l’Histoire s’en souvienne.
23:04 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol
23:01 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Attentats à Paris : la réaction du CARED
Communiqué du CARED :
Le CARED (Comité d'action pour le respect de l'état de droit) rend hommage aux victimes du terrorisme et rappelle que le CARED demande, depuis sa création en 2010, l’application du principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation.
Il dénonce la politique des gouvernements successifs et demande aux actuels dirigeants d’appliquer ce principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation en :
- ne laissant pas entrer en France des centaines de milliers de clandestins, en grande majorité de confession musulmane, parmi lesquels se trouvent des terroristes.
- interdisant la diffusion de livres islamistes, incitant au meurtre, la tenue de congrès et conférences salafistes,
- fermant un certain nombre de mosquées et en incarcérant ou expulsant tous les prêcheurs de haine qui y sévissent,
- expulsant, incarcérant ou assignant à domicile tous les terroristes potentiels fichés « S » qui passeront à l’acte tôt ou tard comme le montre les faits d’actualité répétés,
- laissant partir des terroristes djihadistes vers la Syrie au lieu de s’opposer à leur départ, et en empêchant leur retour,
- ouvrant enfin un grand débat national lucide sur la place de l’islam dans notre République, seule religion aujourd’hui capable d’enfanter de tels monstres, au lieu de s’enfermer dans le déni suicidaire du « pas d’amalgame ».
19:44 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LA TUERIE, LE DRAME, LE DEUIL… ET MAINTENANT, QUE FAIT-ON ?
Carl Lang, Président du Parti de la France
Les tueurs islamistes viennent de frapper une fois de plus et sauvagement la France et les Français. Ce n’est pas la première fois et ce ne sera malheureusement pas la dernière. Carl Lang et le Parti de la France adressent tout d’abord leurs condoléances, leur soutien et leur affection aux familles des victimes de cette tuerie et font part de leur tristesse et de leur colère.
La tristesse devant le prix du sang payé par les victimes et la colère à l’égard d’un pouvoir politique au mieux irresponsable, sourd et aveugle et au pire responsable d’une politique ayant facilité et permis cette tuerie.
Le Parti de la France ne cesse d’alerter l’opinion et de mettre en garde les Français sur la véritable nature de ces actions terroristes : il s’agit clairement d’un processus de guerre révolutionnaire, d’une guerre politique, psychologique et religieuse, d’une guerre totale dont l’objectif final est l’établissement d’un califat mondial et d’un ordre islamique basé sur la charia.
Il s’agit d’une guerre de domination et de conquête menée par une internationale révolutionnaire islamique pour laquelle le terrorisme est un instrument d’action classique au service d’un projet politique et religieux.
La colonisation migratoire de peuplement qui submerge la France, idéologiquement et politiquement organisée par la gauche française depuis plus de trente ans, permet aujourd’hui aux organisations révolutionnaires islamistes de recruter, de former et d’armer des militants djihadistes qui se déplacent et agissent en France comme des poissons dans l’eau et, pour certains, partent faire le djihad en Syrie, en Irak ou ailleurs.
Dans le même temps la bien pensance de gauche, les donneurs de leçons de morale républicaine et droit de l’hommiste, de citoyenneté du monde ouverte à l’étranger et à l’islam ainsi que les extrémistes du droit des minorités étrangères en France n’ont cesse de réduire les moyens de nos forces armées et de nos forces de sécurité intérieure de police et de gendarmerie. La victime habituelle et expiatoire des budgets de l’Etat socialiste est toujours de budget de la défense nationale.
Le Parti de la France a alerté aussi l’opinion sur les risques des déclarations guerrières et tonitruantes de messieurs Hollande et Valls annonçant l’engagement des six avions rafale francais en Syrie et indiquant que la France faisait la guerre au terrorisme.
Il se trouve que dans le même temps la diplomatie francaise n’a cessé d’agir contre le gouvernement légal syrien et de demander le départ de Bachar El Assad dont l’armée est pourtant la seule à combattre au sol les milices internationales de l’Etat islamique. Il se trouve aussi que la diplomatie française ne cesse de s’opposer à la politique étrangère russe qui soutient militairement le gouvernement Syrien et que la gauche française est bien plus hostile aujourd’hui à Vladimir Poutine qu’elle ne l’était en son temps à l’égard de la dictature soviétique et du camarade Staline. Où est donc l’intérêt de la France et des Français dans tout cela ?
Ce n’est pas la première fois dans notre histoire contemporaine que des politiciens démagogues et irresponsables déclarent des guerres sans avoir donné à la France et à son armée les moyens de les mener et de les gagner...
Le Parti de la France adresse à nos forces armées et à nos forces de police et de gendarmerie un message de soutien, de confiance et de solidarité nationale au moment où elles sont en première ligne pour assurer la sécurité intérieure de notre pays alors qu’elles ne disposent, du fait d’un pouvoir politique irresponsable, ni des moyens ni des effectifs suffisants.
Le temps est venu d’en finir avec des politiques qui menacent la France, l’affaiblissent, la détruisent de l’intérieur et brisent l’identité et l’unité nationales.
Une nouvelle fois nous réclamons l’inversion du courant migratoire, la mise en oeuvre du patriotisme social, la préférence nationale, le rétablissement du contrôle aux frontières nationales, la création dans les délais les plus brefs d’une garde nationale permettant à des dizaines de milliers de jeunes Français de participer à l’effort de sécurité intérieure, des moyens décuplés affectés à nos services de renseignement ainsi que plus de pouvoir à notre police avec notamment une réforme urgente de la législation sur la légitime défense afin que nos forces de police puissent agir plus sereinement et plus efficacement.
Enfin, une coopération diplomatique et politique active avec la Russie et le gouvernement légal syrien sont, plus que jamais, une nécessité et un devoir pour contrer les assassins fanatiques de l’Etat islamique et des groupes islamistes qui pulullent en Europe et dans le monde.
Pour nos libertés et notre sécurité, nous devons reprendre notre destin en mains.
17:45 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Pierre Cassen, PLUS QUE JAMAIS D'ACTUALITE !
11:34 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce n'est pourtant pas faute d'avoir sonné le tocsin....
11:08 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quel état d’urgence ?
Dr Bernard Plouvier
Après les scènes de guerre civile qui ont ravagé la ville de Paris dans la soirée du 13 novembre 2015, notre bon Président – prenant enfin conscience de l’existence d’un problème racial et religieux en France – décrète « l’état d’urgence ». De fait, plutôt que d’aller parader devant micros et caméras pour organiser un nouvel afflux massif d’immigrants islamiques, il serait temps de s’occuper quelque peu de protéger les citoyens français.
Mais de quoi peut-il s’agir, en fait « d’état d’urgence », dans un pays où la Justice est dirigée par une indépendantiste guyanaise, fière de sa négritude, haïssant les Blancs et multipliant les offensives médiatiques pour réduire les peines des assassins, des violeurs, des incendiaires ?
De quoi peut-il s’agir dans ce pays où l’Intérieur est dirigé par un politicien qui a osé éructer, le 5 août 2014 (au micro de RTL) : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »…. effectivement, pitoyable ignare, ce n’est pas un délit mais un crime contre l’Humanité ! Le Djihâd est obligatoire, en Dâr al-Harb (domaine de la guerre, soit tout pays non dominé par l’islam) à tout fidèle (muslim) qui en est physiquement capable. Le coran (sourate 8, verset 40) est on ne peut plus clair : « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez tous les idolâtres partout où vous les trouverez », l’idolâtre étant celui qui n’adore pas Allah, « le tout-puissant et le miséricordieux » (paraît-il).
Le Djihâd est présenté comme « bon et juste » par les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61. L’islam, bête monstrueuse issue du fanatisme médiéval, est non pas « à nos portes », mais largement installée chez nous. Entre 7 et 10 millions de musulmans vivent en France. Des Français autochtones, abrutis par une propagande absurde autant que lénifiante, semblent ne voir que l’honnête musulman qui travaille. Et l’on nous ressort le couplet sur l’ingénieur ou l’infirmière… sortez les violons, pendant que les fils et frères tuent, violent, incendient et pillent (pour ne même pas évoquer le racket des écoliers, l’organisation de la prostitution, les trafics de stupéfiants et d’objets volés).
L’état d’urgence, le vrai, c’est, d’abord, exclure impitoyablement tout musulman des forces de police et de gendarmerie, des forces armées et de gardiennage de prison… sans oublier les « petites amies » des musulmans, puisque l’on a vu des gendarmettes ouvrir à des terroristes dont elles étaient éprises l’accès aux ordinateurs de leur organisme. C’est de faire passer en Haute-Cour de la République les ministres sectaires et incompétents. C’est de rétablir la peine de mort pour tous les commanditaires et inspirateurs religieux, pour tous les complices assurant le soutien logistique des terroristes djihadistes.
L’état d’urgence doit être maintenu jusqu’à complète éradication du millier de cités de non-droit que nos ineptes politiciens ont laissé proliférer sur le sol de la République depuis les années 1980. Dès à présent, il faut hermétiquement fermer nos frontières à tout immigrant musulman et commencer à inverser le flux migratoire : en clair, renvoyer les musulmans dans leur cher Dâr al-Islam, ce domaine de l’islam que la France ne sera jamais.
Enfin, il est temps d’ouvrir les yeux : le racisme, en France actuelle, ce n’est pas l’action de vilains Blancs contre de gentils colorés. Le racisme, le vrai, quotidien et s’exprimant par des injures, des attaques physiques, des viols en série, des assassinats de Blancs, singulièrement de Juifs, est le fait des immigrés extra-européens.
Si le peuple français comprend enfin ces réalités, les innocents, victimes de la barbarie musulmane et du racisme anti-Blancs, ne seront pas morts en vain. En revanche, si l’on en revient aux demi-mesures, à la politique de l’autruche et au tiers-mondisme pleurnichard, alors ces victimes auront été offertes en holocauste à la pure connerie.
10:50 Publié dans Informations nationales, Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Conséquence de l'"état d'urgence" : l'AGRIF doit annuler son salon du livre
10:38 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carnage en plein Paris : au moins 127 morts et près de 200 blessés
Arnaud Raffard de Brienne cliquez ici
Il aura fallu cette soirée d’horreur pour que nombre de nos compatriotes réalisent (enfin) que nous sommes en guerre. Une guerre commencée depuis bien longtemps, de moins en moins pacifique au fil des ans malgré la censure quotidienne de l’establishment, de la classe politique et médiatique. Plus de 127 morts en une soirée, c’est l’attaque terroriste la plus importante jamais subie sur le sol français. C’était malheureusement prévisible et les experts s’entendaient pour prédire des actions terroristes sur notre territoire, le seul détail leur échappant demeurait la date. C’est chose faite, en attendant la suite du calendrier et d’autres actions du même type.
Il est déjà loin le massacre de Charlie Hebdo et ses 17 victimes au nom desquels, des millions de nos contemporains se sont réveillés « Charlie ». Loin aussi notre première décapitation terroriste, en Isère, le 26 juin dernier. Nous avons eu hier nos premiers attentats-suicide, hier, près du Stade de France. C’est en effet la première fois qu’en France que des islamistes se font exploser par une ceinture d’explosifs. Nous aurons, bien entendu, nos voitures piégées, comme je l’ai annoncé à plusieurs reprises. Tout cela a été dit, prédit, écrit, clamé dans une quasi-indifférence quand ce n’était pas de l’hostilité et des insultes. La classe politico-médiatique, gauche et droite, a pesé de tout son poids pour étouffer jour après jour tout ce qui pouvait contribuer à la vigilance des Français face à la libanisation qui vient. Perverties d’idéologies mortifères, nos élites n’acceptent aucune ombre qui vienne ternir la belle histoire d’une société ouverte et généreuse (bien que ruinée). Leurs pseudo-valeurs nous mènent droit au chaos, comme nous l’affirmons depuis des décennies malgré une censure tatillonne, des cascades de procédures, des quolibets et autres tracasseries. Mais le vent de l’Histoire tourne et gageons que, dans les mois à venir et comme en 1944, beaucoup de collabos se découvriront une vocation tardive de résistants.
Nos apprentis-sorciers redécouvrent dans la précipitation les vertus de la fermeture des frontières et des contrôles d’identité. Certains de nos voisins achètent par camions entiers des dizaines de tonnes de fil de fer barbelé. Mieux vaut tard que jamais n’est-ce pas ? Leur découverte de l’eau tiède a quelque chose de pathétique. Ils pourront d’ailleurs mettre en œuvre tous les plans Vigipirate renforcés, blindés, écarlates ou fluo, rien n’empêchera jamais des épisodes comme celui qui s ‘est déroulé hier soir dans la capitale. Tous les services de renseignement étrangers ou nationaux avaient pourtant prévenu en long, en large et en travers nos autorités de l’infiltration de nombreux djihadistes parmi les cohortes d’immigrés illégaux que l’on laisse négligemment accoster sur les côtes européennes. Leur prise en charge dans une nation surendettée pour plusieurs générations, minée par le chômage (plus de six millions de chômeurs effectifs), la précarité et dans laquelle sévit déjà une insécurité qui stupéfie le monde entier, jusqu’au fin fond de la Chine et de la Russie, relève, dans le meilleur des cas, d’un inconscience criminelle et dans le pire de desseins qu’il serait long de développer ici.
Il serait vain et malhonnête de surcroît d’incriminer le seul gouvernement actuel en oubliant les responsabilités écrasantes des Sarkozy, Chirac, Mitterrand et Giscard. Les plus sains de nos compatriotes reconnaissent, à mi-voix pour le moment, l’urgence de mener une autre politique avec d’autres hommes, une toute autre politique, tout simplement conforme à nos intérêts nationaux et à ceux de nos concitoyens. A un tweet de François Bayrou, hier, qui exhortait les internautes à se retrouver sur " l‘unité, la solidité et la solidarité ", j’ai simplement répondu : " Non Monsieur, pas avec les responsables de la situation actuelle ". Fin des échanges. Je ne serai pas plus Bataclan que je n’ai été Charlie.
10:14 Publié dans Informations nationales, Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |