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samedi, 03 octobre 2015

Le "vivre ensemble" ne fait pas l'unanimité à Paris

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Des militants du GUD devant la mairie de Paris ce matin

Il y aura un stand de TV Libertés à la 9e Journée de Synthèse nationale dimanche 11 octobre à Rungis

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Programme de la journée cliquez ici

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Ecoutez l'entretien avec Roland Hélie sur Méridien zéro

IMG_5766.JPGPour écouter, ou réécouter, l'émission de Méridien zéro passée vendredi soir au cours de laquelle Roland Hélie a présenté les Cahiers d'Histoire du nationalisme ainsi que la 9e Journée nationaliste et identitaire du dimanche 11 octobre prochain cliquez ici

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Roland Hélie sera à la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis

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Programme de la journée cliquez ici

08:45 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Cahiers d'Histoire du nationalisme : un outil au service de la formation

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SORTIE PROCHAINE DU N°7 DES CAHIERS D'HISTOIRE DU NATIONALISME CONSACRE A LA CROIX CELTIQUES

08:41 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 02 octobre 2015

Ce soir, sur Méridien zéro, Roland Hélie nous parle des Cahiers d'Histoire du nationalisme et de la 9e Journée de Synthèse nationale

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Ecoutez Méridien zéro cliquez ici

Les Cahiers d'Histoire du nationalisme cliquez là

La 9e Journée de Synthèse nationale cliquez ici

HOLLANDE A L’ONU, C’EST… « CAUSE TOUJOURS, TU M’INTERESSES ! »

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Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

A force de tergiverser sur le sujet syrien, « j’y vais, j’y vais pas » et de se cantonner dans une hostilité sans faille à l’égard du régime de Damas, la politique étrangère française au Proche-Orient est devenue sinon totalement illisible, au moins complètement solitaire, pour ne pas dire isolée.

Et ce n’est pas le discours de François Hollande devant l’Assemblée générale de l’ONU prononcé le lundi 28 septembre, gonflant ses petits muscles face au Président russe, qui  redorera le blason de la diplomatie française. « Je ne cesse d’expliquer à Vladimir Poutine que nous devons trouver une autre solution que Bachar Al Assad », a confié le Chef de l’Etat lors d’une conférence de presse donnée dans les locaux du building de l’East River à New-York. On aurait pu penser après le règlement du dossier des « Mistral » – couteux, de 200 à 250 millions d’Euros pour nos pieds ! – et de la (relative) stabilisation du front ukrainien, que les relations franco-russes se réchaufferaient. Patatras, la « fatwa » élyséenne lancée contre le Président syrien remet tout en cause. Pendant que Dae’ch décapite, pille, viole, tue, massacre, détruit et… s’enrichit, la France s’acharne contre le seul gouvernement de Damas. Et, partant de là, contre la seule armée qui combat au sol, avec les Kurdes, les terroristes de l’Emirat islamique. Quelle incohérence, d’une main on arme ceux que l’on prétend combattre - combien de nos armements et de nos munitions  sont passées des mains des « Syriens libres » entre celles de l’E-i ? – de l’autre, si je puis dire, on bombarde ces mêmes islamistes, notamment dans la région de Deir Ez Zor ?

Hollande isolé

Les Etats-Unis et la Fédération de Russie qui, eux, jouent dans la cour des grands, vont probablement trouver un modus vivendi avec leurs incontournables partenaires que sont, respectivement, la Turquie et l’Arabie Saoudite pour les premiers, l’Iran pour les seconds. Et la France alors, dans tout ça ? Lâchée par Dame Merkel qui, décidément, dans ce dossier comme sur celui des « migrants » n’en fait qu’à sa tête, le Président Hollande se retrouve tout seul. Le secrétaire-général de l’ONU, le birman Ban Ki Moon ne s’y est pas trompé, omettant de citer la France parmi la courte liste des protagonistes pouvant résoudre la crise, militairement, puis politiquement. Or, c’est l’inverse que souhaite le locataire, espérons-le « provisoire », de l’Elysée : d’abord « évacuer » Bachar Al Assad de la scène politique et combattre Dae’ch ensuite. Au mieux, les deux simultanément. En attendant, que cela plaise ou non, le « tyran » de Damas c’est le Président élu des syriens, donc un Président légal, tout autant que peut l’être un François Hollande Président par défaut. Bachar ophtalmologiste de formation, héritier contre son gré il faut le rappeler, de la dynastie des Assad, est le chef des armées, le responsable suprême du parti Baas. Ce dernier est l’ossature politico-administrative de ce pays qui est, est-il utile de le souligner, multiconfessionnel, donc de  construction fragile.

Les poursuites engagées par Paris contre Bachar pour « crimes de guerre » ne vont rien arranger et sont d’une totale contre-productivité. Le régime va se braquer, se raidir encore plus, fort qu’il est du soutien pour l’instant indéfectible de ses alliés russes et Chiites iraniens. Car, ne l’oublions pas, ce conflit politique se superpose à un conflit religieux : Chiites contre Sunnites, tout autant que des « démocrates » contre le parti Baas au pouvoir.

Pour un partage équitable des influences

Répétons-le, si De Gaulle parlait à juste raison de « L’Orient compliqué » au lendemain de la deuxième guerre mondiale, c’est que tous les acteurs du panorama géopolitique d’aujourd’hui étaient déjà là : l’Etat d’Israël, trublion tardivement arrivé sur un échiquier compliqué, Liban et Syrie multiconfessionnels, pétromonarchies Irakienne, (à l’époque un Royaume Hachémite comme la Jordanie), et Saoudienne, sans oublier la Perse (Iran) millénaire. En déclarant « qu’Assad est à l’origine du problème, il ne peut faire partie de la solution », François Hollande prive la France d’une capacité de manœuvrer et ferme la porte à toute issue honorable pour ce président. Qui prendrait le pouvoir dans une Syrie en ruine en supposant que les islamistes aient été éradiqués ? La démocratie à l’occidentale, formelle, n’a existé dans ce pays qu’un très court laps de temps. Ce système politique de majorité parlementaire n’est pas adapté aux pays arabes comme ceux d’Afrique d’ailleurs, qui fonctionnent par tribus, clans, communautés ethno-religieuses. La loi du plus grand nombre, forcément ici celle des Sunnites, s’imposerait alors comme celle des Chiites s’exerce dans un Irak post-Saddam, avec tous les échecs que remporte cette formule. A croire que les spécialistes hyper diplômés du quai d’Orsay n’ont rien appris, rien compris ! Il n’est qu’à regarder le fragile Liban en équilibre continuellement instable avec sa démocratie parlementaire mixée d’un très fort communautarisme institutionnel. La solution à cette terrible guerre civile – je suis effaré de voir à la télévision  les ruines d’Alep, une ville où j’avais parcouru jadis les antiques souks aujourd’hui détruits – passe par un règlement GLOBAL des crises au Proche-Orient, y compris le drame israélo-palestinien. Elle passe aussi par un partage équitable des influences politico-religieuses des uns et des autres : pétromonarchies majoritairement Sunnites et Iran majoritairement Chiite. Avec  la solide estampille des deux « parrains » incontournables, les USA et la Russie. L’Europe dans l’affaire est, malheureusement, inexistante. Le Royaume-Uni suivra son mentor américain, l’Allemagne n’a d’influence (relative) qu’en Turquie, et la France tant qu’elle campera sur une position rigide, restera le… « chose » entre deux chaises !

Car si François Hollande se félicite qu’Obama ait déclaré « qu’on ne peut pas soutenir des tyrans comme Assad sous prétexte que l’alternative serait pire », il s’est bien gardé de dire QUI, quels pays enverraient des soldats combattre au sol les forcenés de Dae’ch ? Des militaires français ? L’armée est exsangue. Des troupiers US ? L’Amérique a du mal à se désengager des bourbiers irakien et afghan. Des forces russes ? Elles sont déjà là, en filigrane, derrière l’armée syrienne. Les seuls qui peuvent venir massivement en soutien à l’armée d’Assad épuisée par plusieurs années de combats, ce sont les Iraniens. On voit bien que des recrues potentielles de l’Armée syrienne fuient dans les pays européens, plutôt que de résister dans le leur. Parallèlement à cet engagement, il faudrait que les pétromonarchies cessent d’aider, objectivement, les Sunnites de Dae’ch. On le voit, l’architecture d’un règlement pacifique à long terme, est extrêmement difficile à dessiner. Sans compter que ce conflit est tout bénéfice pour l’Etat Hébreu : ses ennemis Chiites du Hezbollah au Sud Liban sont en Syrie, l’armée de Damas ne pèse d’aucun poids face à Tsahal sur le plateau du Golan annexé en 1967, et les revendications palestiniennes, provisoirement, sont au placard… Ceci expliquant qu’Israël donnerait  un petit coup de main à la rébellion islamiste – un comble ! – en soignant, par exemple, les blessés d’Al Nosra.

Des signaux contradictoires

Pour toutes ces raisons, l’agitation française, sa montée en puissance contre le gouvernement de Damas et l’engagement de ses « Rafales » dans le ciel du Croissant fertile, donnent des signaux contradictoires. Il serait temps que Paris définisse une ligne claire : d’abord, d’urgence, régler son compte à Dae’ch. Ensuite, il sera toujours temps de faire entendre, si nécessaire, la voix de la France, dans le Landernau politique de ce que furent pendant une vingtaine d’années, avec le Liban, nos Etats sous mandat au Levant.

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jeudi, 01 octobre 2015

Hugues Bouchu interviendra lors de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 9 octobre à Rungis

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23:58 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

MORANO, MALIGNE COMME UNE « CONNE » ?

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La chronique de Philippe Randa

Les propos de Nadine Morano sur la France « à majorité de race blanche aux racines judéo-chrétiennes » sont l’occasion de pétitions contradictoires ; l’une pour réclamer son éviction de la tête de liste de son parti aux prochaines élections régionales, l’autre pour soutenir l’évidence de ses propos.

Madame Morano est-elle vraiment stupide au point d’ignorer les tabous de la société contemporaine, les ukases du politiquement correct, les interdits de vocabulaire qui rythment une démocratie française que le monde entier est sensé nous envier, au point de se laisser aller à un « dérapage » qui la cloue désormais au pilori de l’infamie citoyenne, entre l’humoriste Dieudonné et le président toujours d’honneur pour l’heure du Front national Jean-Marie Le Pen ?

C’est ce que sous-entendent beaucoup de commentaires, du monde politique tout autant que médiatique, confirmant ainsi le peu délicat qualificatif de « conne » que lui avait décerné Guy Bedos…

Rappelons que, pour les tribunaux français en tout cas, ce dernier n’avait pas ainsi « dépassé ses outrances habituelles » : une estimation dont aimerait sans doute bénéficier Dieudonné, justement, mais qui ne semble pas à l’ordre des mœurs judiciaires actuelles pour tous.

Oui, mais… Mais si Nadine Morano n’était pas si « conne » qu’on veut bien le marteler ? Si sa « sortie » sur le plateau du talk-show animé par Laurent Ruquier, sur France 2, était mûrement réfléchie et si volontairement programmé que l’intéressée, dès le lendemain, l’a parfaitement assumée, contrairement à tant de politiciens battant leur coulpe aussitôt qu’un écart de langage leur est reproché ?

Alors donc, si crime il y a, à qui profite-t-il ?

Surement pas à Nadine Morano qui va, selon toute vraisemblance, perdre la tête de liste des Républicains en Lorraine. La belle affaire ! Si tant est qu’elle ne se présente pas tout de même, en indépendante, à cette élection, que lui importe réellement un poste de conseiller régional à elle, actuelle députée européenne et qui avait sans doute bien d’autres ambitions nationales lorsqu’elle était un des soutiens intangibles (et réciproquement) de l’ancien président Sarkozy ?

Cette connivence entre eux ayant fait long feu, on le sait – à tel point qu’elle va le défier aux primaires de son parti – n’aurait-elle pas ourdie ainsi une vengeance de complice répudiée ? À défaut d’avoir quelque chance de l’emporter et de devenir la candidate républicaine en 2017, au moins peut-elle espérer ainsi lui faire payer chèrement leur rupture.

Car la victime dans toute cette affaire, bien d'avantage qu’elle-même, c’est surtout l’actuel président des Républicains dont elle met en échec la stratégie de rassemblement de son camp ; il faisait pourtant de celui-ci le socle de sa légitimité pour être son candidat naturel à la prochaine élection présidentielle. La confrontation brutale avec son ancienne protégée est la trop belle occasion, pour ses ennemis, de dénoncer ses ambiguïtés vis-à-vis de l’électorat frontiste.

Ses ennemis socialistes ? Bien plutôt républicains, à l’évidence, soit François Fillon ou Alain Juppé qui, l’un comme l’autre, vont avoir beau jeu de se revendiquer comme les véritables rassembleurs de la droite et du centre, voire même de la droite de la droite des Républicains si, dans quelques temps, Nadine Morano devait regretter d’avoir blessé quelques uns de ses compatriotes par des paroles si mal interprétées (ce qu’elle a déjà commencé à laisser entendre)… et jurant qu’on ne l’y reprendrait plus.

François Fillon ou Alain Juppé pourraient alors être prompts à montrer un peu de mansuétude… pour service rendu ?

23:53 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gabriele Adinoli nous adresse un communiqué :

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Un communiqué de Gabriele Adinolfi :

Chers camarades français,

Comme quelques uns d’entre vous le savent déjà, je suis en train de monter une structure qui aura pour vocation d’approfondir les relations entre les différentes formations en Europe ainsi que de faire du « lobbying » au service de nos idéaux. Bien que dépourvus de moyens, nous avons déjà obtenus des résultats encourageants.

Méthodiquement, nous nous sommes déjà organisés en Belgique et en Italie. Dans ces deux pays, notre structure est déjà performante. Nous pouvons donc envisager l’étendre à la France.

Notre but n’est pas de créer une quelconque organisation concurrente de celles qui existent. Bien au contraire, par notre originalité, nous voulons être complémentaires de celles-ci.

Afin de concrétiser notre action en France, nous avons besoin de bonnes volontés. Je serai donc à la disposition de ceux qui veulent en savoir plus, dimanche 11 octobre à Rungis à l’occasion de la Journée de Synthèse nationale.

Vous pouvez aussi me contacter sur ma page Facebook ou en m’écrivant à l’adresse suivante ga@gabrieleadinolfi.it

Gabriele Adinolfi

23:37 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En attendant le 11 octobre : Les Brigandes et le Grand Remplacement...

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13:47 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Luc Pécharman interviendra lors de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis

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13:38 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

Il y aura un stand de Rivarol dimanche 11 octobre à Rungis à la 9e Journée de Synthèse nationale programme

13:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 10 octobre : manifestation à Brest contre l'islamisation de la Bretagne

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Le Parti nationaliste breton Adsav ! a appelé à manifester le 10 octobre prochain contre le prosélytisme islamiste qui s’exerce depuis la mosquée salafiste de Brest.

Cette dernière est animée par l’imam Rachid Houdeyfa (cliquez ici). L’intéressé s’est encore illustré récemment dans une vidéo diffusée par BREIZ ATAO où il explique à des enfants que celui qui écoute de la musique “sera transformé en singe ou en porc”. Des propos qui ont soulevé l’indignation de la population bretonne et déclenché une polémique jusqu’en France et en Suisse.

Face au silence des autorités françaises comme de la majorité socialiste brestoise – celle-ci, il est vrai, a délivré un permis de construire à l’islamiste précité pour son école coranique (cliquez là) – le Parti nationaliste breton entend donc rompre l’omerta imposée par le gouvernement central.

mercredi, 30 septembre 2015

Tintin raciste ? Un faux procès... Martial Bild / Francis Bergeron

13:25 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Hirson (Aisne) non plus, le "vivre ensemble" ne fait pas l'unanimité

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Une centaine d'Hirsonnais courageux pour dire NON cliquez là

Pierre Cassen interviendra lors de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis

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10:37 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : Jean-Marie Le Pen prend la défense de la «pauvre Madame Morano»

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Source Le Figaro.fr cliquez là

LE SCAN POLITIQUE - Le co-fondateur du FN, exclu de son parti pour avoir notamment évoqué un «monde blanc», estime que la polémique qui entoure les propos de Nadine Morano sur la «race blanche» illustre la «gauchisation des esprits».

C'est un soutien dont Nadine Morano se serait probablement passée. Mais force est de constater que Jean-Marie Le Pen est l'un des seuls politiques à prendre la défense de l'eurodéputée Les Républicains, après ses propos sur le «pays de race blanche» que serait la France.

«Pour avoir énoncé une évidence historique multiséculaire, Madame Nadine Morano subit un feu nourri de critiques, d'autant plus véhémentes qu'elles viennent de son propre camp. Elle peut ainsi mesurer à ses dépens ce que pèse la ‘gauchisation des esprits' dans les rangs de l'ex-UMP», assure-t-il dans un communiqué. «En le féminisant, un célèbre refrain du chanteur Guy Beat, ‘Elle a dit la vérité, elle doit être exécutée', prend tout son sens, que la pauvre Madame Morano aura sans doute le temps de méditer durant la stricte mise en quarantaine que les Républicains lui préparent».

Une prise de position qui n'est pas gratuite. Elle permet d'abord au «Menhir» de se défendre lui-même : en effet, la procédure d'exclusion du FN dont Jean-Marie Le Pen a été victime a notamment eu pour origine ses propos dans Rivarol sur «l'Europe boréale» et le «monde blanc». «Des concepts désormais bannis», regrette-t-il aujourd'hui. Soutenir Nadine Morano, c'est aussi l'occasion pour le co-fondateur du parti de prendre une nouvelle fois ses distances avec son meilleur ennemi au FN, Florian Philippot qui, régionales oblige, n'a pas hésité à attaquer la tête de liste des Républicains en Meurthe-et-Moselle. «Je n'ai pas une vision raciale de la France. La France, c'est aussi son outre-mer. Ce n'est pas une race», assurait ce mardi matin sur France info le candidat du FN dans la région Alsace Lorraine Champagne-Ardenne.

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Samedi 17 octobre : Carl Lang en Normandie

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Mercredi 7 octobre : conférence de Jean Haudry à Strasbourg

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10:15 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LYON : le "vivre ensemble" ne fait pas l'unanimité

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Les Birigandes en concert à la 9e Journée de Synthèse nationale dimanche 11 octobre à Rungis (94)

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09:56 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les "Républicains" et l'immigration : C'EST TROP TARD

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Michel Lhomme Métamag cliquez ici

Nous acquiesçons, dans nos articles, à la fin du clivage droite/gauche et si, à défaut de révolution, le critère d'évaluation est la conquête du pouvoir, le Rassemblement Bleu Marine est un modèle qu'il faut soigneusement examiner, pour le choix du personnel politique appelé demain à gouverner le pays et pour celui d'une stratégie et de la mise en place d'une organisation. Jean-Marie Le Pen ne voulait pas le pouvoir. Or en politique, il n'y a que deux moyens immédiats de faire avancer et d'appliquer ses idées : la rue ou les urnes, les barricades ou les votes. Pour le reste, ce n'est qu'entrisme ou réseaux d'influence.

On peut donc choisir la voie électorale. On est alors électoraliste. Ne peut-on qu'être électoraliste en France ? Il faudra bien qu'on tire enfin les leçons de la Manif pour tous. Vous pouvez faire descendre dans la rue, à plusieurs reprises, un million de Français mais si vous n'avez pas à l'Assemblée nationale une majorité de parlementaires, la loi des partis domine et l'emporte. La résistance sociétale est utile mais elle ne mène tout compte fait pas très loin. La résistance politique est donc vitale et nous voyons même que c'est par le scrutin majoritaire classique sans proportionnelle qu'il faut emporter les suffrages.

Les élus du parti Les Républicains ne sont plus engagés dans un combat politique. Ils n'ont plus aucune conviction. Ils sont dévorés par les problèmes de personnes. Sarkozy, ce week-end, s'est vexé au meeting de soutien de Valérie Pécresse parce que son nom n'apparaissait pas en grand sur les cartons d'invitation. Les prétendants républicains sont engagés dans un combat, le médiocre combat des « politichiens » c'est-à-dire celui de se faire réélire. 

Qu'est-ce qui peut définir l'engagement de droite en 2015 ? 

D'abord : une claire hiérarchisation des valeurs qu'il faut attribuer en fonction des priorités historiques. Puis, la volonté de revenir aux principes de base : la nation, la défense du Bien Commun, l'Europe puissance, la priorité du « populaire », un budget équilibré, le protectionnisme économique, l'industrialisation mais aussi la justice et la solidarité, la protection et la sécurité, l'émancipation du groupe. Et puis, il y a la question brûlante du « grand remplacement » dont on reconnaît maintenant qu'il est organisé par le  mondialisme et le capitalisme dans la perspective d'un nouvel ordre totalitaire dont les Islamistes peuvent très bien un jour être le bras armé, (le syndrome Houellebecq).

Les "Républicains" c’est trop tard

L'immigration et la droite, l'immigration et "Les Républicains", c'est trop tard ! 

Que Les Républicains veuillent demain réformer le droit d'asile, le droit du sol pour les immigrés illégaux, durcir les conditions du regroupement familial après des années aux manettes du pouvoir, c'est trop tard ! C'est trop tard parce que leurs propositions sont d'abord maintenant largement insuffisantes mais surtout parce qu'émises quelques mois avant des élections (régionales et présidentielles), on ne les croit pas.
 
C'est enfin trop tard parce que pendant des années, cette droite a plus lutté contre les « racistes » du Front National que contre les islamistes et les gauchistes. C'est trop tard parce que "Les Républicains", c'est aussi le parti de l'immigration choisie et du maintien des pompes aspirantes qu'ils ont tous au pouvoir contribué à mettre en œuvre, pire souvent maintenu par leurs votes à l'Assemblée nationale ou au Sénat, faisant attribuer aux Non-Européens les mêmes droits que les autochtones, en transformant peu à peu la nation en une France étrangère.

Les Républicains et l'immigration, c'est trop tard ! Ils préconisent par exemple de durcir les conditions du regroupement familial que Valéry Giscard d'Estaing lui-même a mis en place avec Jacques Chirac pour doper les filières d'immigration qui ont permis de saborder le syndicalisme français et de geler les salaires.
 
Les Républicains et l'immigration, c'est trop tard pour la suppression de l'aide médicale d'Etat que leurs députés ont défendu à plusieurs reprises.
 
Les Républicains et l'immigration, c'est trop tard pour le rétablissement partiel de la double peine qui avait été supprimée par Nicolas Sarkozy lui-même en 2003.

Les Républicains et l'immigration, c'est trop tard après la départementalisation de Mayotte et la création d'un Lampedusa français laissé ensuite dans la déshérence la plus totale. 

Les Républicains et l'invasion, c'est trop tard. Ils n'ont pas trouvé d'autres logiciels que le logiciel progressiste de l'ouverture des frontières et de l'égalité de traitement pour les nouveaux arrivants, ouvrant le pays au risque et au danger de la guerre civile.
 
Les Républicains et l'invasion, c'est trop tard. Ils n'ont proposé aucun outil pour procurer plus de sécurité aux citoyens sauf la fin des fonctionnaires. 

En fait, la droite de gouvernement est parfois plus démagogique que la gauche en faisant croire qu'elle pourrait protéger contre certains effets de la mondialisation dont elle sait pourtant très bien qu'ils seront dévastateurs. L'écart entre la base du parti et ses ténors - mais existent-ils encore des vrais militants "républicains" autre que des "ripoublicains" ? - est définitif. Les Républicains, personne n'y croit plus vraiment sauf ceux qui, pauvres carriéristes, recherchent un poste qu'ils n'auront jamais à moins d'être franc-maçon ou énarque formaté.
 
Mais alors la crise des migrants va-t-elle être la chance du populisme ? C'est ce qu'on peut lui souhaiter pour le bon fonctionnement même de nos démocraties  verrouillées. Il faut espérer que la crise serve  de détonateur. Et il semble qu'elle le soit en tout cas chez les jeunes. Ils ne sont plus de gauche et de moins en moins de « droite ». 

La crise amènera peu à peu à de vraies impasses sécuritaires (voire cette épidémie de suicides dans les commissariats !) qui exigeront des solutions réalistes et opérationnelles. Sous l'emprise de la manipulation dialectique du soi-disant antiracisme, par défaut de pensée souveraine, la fausse droite a permis à la gauche - quasi extrême du point de vie sociétal - la dérive sémantique des «clandestins » aux « réfugiés », une immigration sans limite et sans mesure.
 
Pourtant, le peuple français existe. Il est encore majoritaire chez lui et nous avons la certitude que s'il se rassemble autour de son héritage européen, il renversera la tendance comme il l'a toujours fait. Nous ne partageons pas le défaitisme et la soumission des "Républicains" car nous n'avons jamais renoncé en fait au droit souverain du peuple français à rester lui-même, à disposer de lui-même, au nom même du droit à la différence. Nous ne renonçons pas non plus à l'esprit d'un certain résistancialisme gaullien mais à cette ferveur, nous ajoutons quelque chose de plus, l'esprit martial de la reconquête, l'esprit de la reconquête à l'échelle européenne. 

09:46 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 29 septembre 2015

Robert Spieler interviendra lors de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre prochain à Rungis

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3202 du 17 septembre 2015

 

JANY Le Pen raconte, dans une longue interview à Paris-Match datée du 10 septembre les épreuves que subit son époux. « Jean-Marie vit sans doute l’épreuve la plus douloureuse de sa vie. Et moi, je souffre quand je le vois souffrir. Il s’efforce de faire bonne figure, c’est un fier. Mais quel acharnement ! Jamais je n’aurais pensé que Marine irait si loin, serait si vindicative. Au début, Jean-Marie était optimiste. Lorsque la justice lui a donné raison, en juillet, le soir, en rentrant à la maison, il m’a dit : “Je la connais, ma fille. Elle va tout arrêter, se rendre compte qu’elle va trop loin”. » Hélas, le Menhir ne connaissait pas vraiment sa fille et les bassesses dont elle était capable.

 

JANY LE PEN INQUIÈTE POUR LA SANTÉ DE SON MARI

 

Jany se déclare inquiète pour sa santé, rappelant que depuis le début de l’année, il a eu deux alertes cardiaques : « Le Pr Olivier Dubourg, de l’hôpital Ambroise-Paré, lui a posé deux stents. Il marche moins bien, s’essouffle facilement, a chaque jour plus mauvaise mine. J’ai toujours peur qu’il fasse un arrêt cardiaque : tant d’émotions et de stress pour un homme de 87 ans… S’il m’entendait, il me dirait : “Tais-toi, Janou. Ces petits embarras ne regardent personne !” ». Et elle ajoute : « Aujourd’hui, Marine est cadenassée. Je n’entends plus son cœur. Il s’est durci ».

 

Paris-Match lui demande : « Avez-vous regretté l’interview qu’il a donnée à RIVAROL au printemps et qui a été l’origine de cette crise ? ». Elle répond : « Il refuse de se dérober, quelle que soit la question. C’est son côté frontal, provocateur. Il a toujours été comme ça. Ce que dit publiquement Jean-Marie Le Pen, il l’a toujours dit », ajoutant à propos de Marine : « Marine, elle, a changé. Elle qui, jeune, était si joyeuse, décontractée ! […] Elle brûle ce qu’elle a adoré. En ce moment, c’est son père » et puis, Jany dénonce l’“acharnement” de la présidente du Front national déclarant : « Elle est brutale, méprisante. Un jour, elle a dit à un journaliste : “Inutile de demander son avis à ma belle-mère, elle n’a jamais rien fait de sa vie” ».

 

JANY DÉZINGUE MARION…

 

Mais qu’en est-il de Marion en laquelle beaucoup de naïfs mettent leur espérance ? Jany est sans illusions : « Elle est douée, extrêmement maligne. C’est elle qui a choisi de rajouter le nom de Le Pen à celui de Maréchal. Jusque-là, elle s’était toujours appelée Marion Maréchal. Comment vouloir le nom et refuser le reste ? », s’interroge-t-elle. Avant de l’assurer : « C’est de l’intérêt pur, pas de l’affection. » Et de rappeler que Marion Maréchal n’est parlementaire que grâce à son grand-père qu’elle trahit et abandonne aujourd’hui sans vergogne : « En 2012, Jean-Marie l’a poussée pour les législatives, il lui a trouvé une circonscription en or dans le Vaucluse, je ne dis pas que même une chèvre avec un chapeau aurait pu être élue, mais enfin… »

 

Les propos de Jany ont d’autant plus de force que ceux qui la connaissent témoignent tous que c’est une femme d’une grande gentillesse, qui a du cœur. Elle ne s’explique pas la dureté de la fille et de la petite-fille à l’égard de celui auquel elles doivent tout : « Cela me fait de la peine de le voir terminer sa vie dans un coin, seul, à écrire ses souvenirs d’avant la guerre. Où sont les siens ? Quel gâchis ! »

 

… ET RACONTE L’IGNOMINIE DE MARINE LE PEN

 

Jany Le Pen, dans ce même entretien, raconte qu’elle a tenté une conciliation avec la présidente du Front national la veille de l’exclusion du Menhir. « Le 19 août dernier, nous rentrions à Paris pour la convocation au bureau exécutif. A l’aéroport de Nice, j’ai regardé Jean-Marie qui, dans la salle d’attente, ne disait rien. Saisie d’une impulsion, j’ai pris mon téléphone et laissé un message à Marine : “Si tu voyais ton père, tu serais bouleversée”. En sortant de l’avion, j’ai lu sa réponse : un SMS d’insultes, d’une violence folle, au ton ordurier. Cette haine ! Elle a des comptes à régler

avec son père à qui elle doit pourtant tout » confie Jany Le Pen, désemparée. Ignoble… Mais il y a une justice immanente.

 

Et Jany Le Pen de rappeler fort opportunément à la fille indigne : « Lorsque son cabinet d’avocat a eu des difficultés, c’est au Front qu’elle a trouvé refuge. Son père l’a nommée directrice juridique du mouvement. Et jusqu’à l’année dernière, elle habitait chez lui à Montretout avec ses enfants. Il faut reconnaître ce que l’on doit aux autres. Lorsque son père a décidé de la soutenir pour sa succession, il y a eu une bronca à l’intérieur du Front. Beaucoup soutenaient Bruno Gollnisch. Moi-même d’ailleurs… Jean-Marie n’a pas cédé. […] Je crois qu’elle est amère, jalouse de ceux qui sont autour de son père, envieuse, Dieu sait pourquoi, de mon influence… »

 

Ce genre de comportement abject (des bordées d’insultes contre son père) est coutumier chez Marine Le Pen. Le professeur Jean-Claude Martinez raconte qu’en 2005, alors que la valeureuse Marie-France Stirbois était atteinte d’un cancer du péritoine en phase terminale, Marine le Pen s’acharnait contre elle en bureau exécutif, la traitant élégamment de “mémère”, exigeant à cor et à cri son exclusion définitive du FN dont elle avait pourtant porté les couleurs pendant de longues années avec tant de courage, de persévérance et de distinction (contrairement à d’autres !), tout simplement parce qu’elle avait osé émettre des réserves sur Fifille ! Et c’est cette créature abjecte qu’il nous faudrait porter à la tête de l’Etat ? Désolé mais ce sera sans nous !

 

NUREMBERG POUR JEAN-MARIE LE PEN

 

Jean-Marie Le Pen sera jugé le 10 février devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris pour avoir répété ses propos sur les chambres à gaz, “détail” selon lui de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Il avait, il est vrai, dépassé toutes les bornes en répondant au journaliste Jean-Jacques Bourdin qui lui demandait s’il regrettait d’avoir qualifié les chambres à gaz de point de détail, ce qui lui a valu d’être condamné naguère pour « consentement à l’horrible » : « Pas du tout. Ce que j’ai dit correspondait à ma pensée que les chambres à gaz étaient un détail de l’histoire de la guerre, à moins d’admettre que ce soit la guerre qui soit un détail des chambres à gaz ». Le président d’honneur du Front national est poursuivi pour contestation de crime contre l’Humanité. Il entend faire valoir son immunité de parlementaire européen, a indiqué son avocat, Me François Wagner.

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MANUEL VALLS CHERCHERAIT-IL À DISSIMULER SON APPÉTENCE POUR LES JUIFS ?

 

Mercredi 2 septembre, le Consistoire israélite central a publié un communiqué pour signaler la venue — mardi 8 septembre, à 18h30 — de Manuel Valls à la synagogue Nazareth de Paris. Raison importante : le Premier ministre adressait ses vœux à la communauté juive, quelques jours avant le nouvel an juif, ce qu’il n’a évidemment pas fait avec les catholiques. Chose curieuse : dans l’agenda publié sur le site officiel du gouvernement, aucune mention de cette rencontre déjà fixée n’apparaissait à la date du 8 septembre. Le 11 mai, Matignon avait déjà passé sous silence la rencontre de Manuel Valls avec une délégation de rabbins européens venus lui remettre une récompense. Valls avait pourtant déclaré il y a quelques années : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ».

 

COHN-BENDIT ET BHL FOURRIERS DE L’INVASION

 

Dans sa chronique sur Europe 1, Cohn Bendit a proposé que le Parlement européen s’installe complètement à Bruxelles, évitant ainsi les allers-retours ultra-coûteux, avec des tonnes de fonctionnaires et des tonnes de documents, entre les deux villes, ce en quoi il n’a pas forcément tort. Oui mais, que faire des magnifiques bâtiments européens de Strasbourg ? Pas de problème, Dany a la solution. Il propose que les bâtiments européens de Strasbourg soient transformés en centre d’accueil de migrants. Ben voyons… Un autre délirant est l’inénarrable BHL. Interrogé par Laurence Ferrari sur I>Télé, celui qui a contribué à déstabiliser tout le Moyen-Orient et la Libye, a affirmé que « Bachar al-Assad a créé Daesh ».

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ALAIN JUPPÉ FAIT PLEURER D’ÉMOTION, OU PLUTÔT DE RIRE

 

Alain Juppé était récemment reçu par le Crif, une fois de plus. Il expliqua en introduction que chez lui, pendant toute sa jeunesse dans les Landes, jamais il n’avait entendu un propos antisémite. La France ne serait-elle pas antisémite ? Avait-il mesuré l’incongruité de son propos ? Toujours est-il qu’il fit un très grand numéro retraçant sa carrière de député du XVIIIe où « il a connu des rabbins et des électeurs juifs » puis ses voyages en Israël où « il a discuté tout au long de la nuit avec des interlocuteurs israéliens qui lui ont ouvert l’esprit » (qu’il avait sans doute fermé jusque-là). C’est pas beau, ça ? Mais le plus beau, ce fut, selon lui, son voyage comme ministre des Affaires étrangères dans l’avion qui transportait les cercueils des victimes de Merah de Toulouse à Jérusalem. Il a conclu son intervention par cette phrase magnifique qui fait pleurer d’émotion : « Quand j’entends le mot juif, ce n’est pas dans ma tête qu’il résonne mais dans mon cœur ». Si après de telles reptations le député-maire UMP de Bordeaux n’est pas élu à la magistrature suprême, c’est que vraiment le CRIF aura été ingrat envers son esclave septuagénaire.

 

De toute façon, l’UMP, le PS et le néo-FN sont tous des succursales du CRIF. Ce sont des détaillants qui viennent tous s’approvisionner chez le même grossiste. En votant pour les uns ou pour les autres, les gens croient avoir le choix et être libres alors qu’en réalité ce sont toujours les mêmes qui tirent les ficelles.

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PAR DELA LA DROITE ET LA GAUCHE

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de Philippe Randa

En politique, les changements d’étiquettes électorales sont courants… Quand ce ne sont pas les partis – généralement ceux de droite ou du centre – qui changent de noms au grée d’une pâtée électorale, de la prise en main d’un nouveau leader ou d’une stratégie de « renouveau » qui s’avère généralement un bluff de communication… ou les scissionnistes, s’imaginant que leur départ portera un coup fatal à leur formation délaissée et que les électeurs se laisseront inévitablement séduire par la création d’un nouveau parti, ce sont les transfuges qui rythment la vie politique.

Ainsi, François Meunier, conseiller municipal Front de gauche d’Antony (Hauts-de-Seine) tweetait récemment pour qu’on vienne le rencontrer sur son stand à la Fête de l’Humanité, mais ça, c’était au début du mois : aujourd’hui, il a rallié le Front national ! Car, explique-t-il, même si certaines prises de positions du parti à la flamme tricolore, notamment sur la nécessité de fermeture des frontières, ne sont pas les siennes, « on ne peut pas toujours adhérer à toutes les idées d’un parti (mais celui-ci est désormais le seul) à défendre la classe ouvrière (et) sur beaucoup d’autres sujets, notamment économiques, Front de gauche et Front national ne sont pas si différents » : une déclaration qui fera sans doute grincer quelques dents chez les intéressés.

Et pourtant, pour ce qui concerne les convictions réelles de François Meunier, remarquons qu’un véritable opportuniste aurait davantage été enclin à prendre à l’origine sa carte au Parti socialiste s’il est de gauche ou chez Les Républicains (ex-UMP) s’il est de droite – ou même encore chez les centristes – qu’au Front de gauche, au Front national, voire à Europe Écologie-Le Verts et ne parlons même pas d’autres formations, toutes groupusculaires.

En adhérant et en se faisant élire par le passé sous l’étiquette Front de Gauche, François Meunier bénéficie incontestablement d’une présomption de sincérité militante ; l’avenir le confirmera ou non.

Sur les grands débats actuels (choix entre souverainisme et européisme, entre politique d’ouverture ou de fermeture aux vagues migratoires, entre énergie renouvelable ou non, entre libéralisme ou  dirigisme économique, Mariage  pour tous, guerres internationales,…) ou plus anciens (suppression peine de mort, dépénalisation de l’avortement…), le citoyen peut revendiquer des convictions contraires au programme d’un parti auquel il apporte son suffrage.

Alors, est-il hérétique ou non de nouer des alliances ou de franchir le pas en rejoignant des camps supposés inconciliables ?

Si c’est le cas, à quoi bon alors organiser d’incessantes consultations électorales ? S’il doit être moralement interdit à un candidat d’évoluer, de changer de stratégie, pourquoi donc le serait-il permis davantage à un électeur, au risque qu’il passe lui aussi pour un indécis chronique, prêt à se laisser séduire, à défaut de convaincre, par le premier bonimenteur venu ?

Jusqu’à quand le citoyen supportera-t-il, toujours et encore, cette division arbitraire entre « droite » et « gauche », en surfant sur des définitions aussi brillantes que parfaitement creuses, puisqu’interchangeables, telle « gauche du travail et droite des valeurs », sous-entendant qu’à gauche on ignorerait les valeurs (lesquelles, d’ailleurs ?) et qu’à droite on mépriserait les travailleurs (Ah bon !)…

N’est-il pas plus judicieux de se positionner – et de s’opposer ! – sur des valeurs, dont celle du travail en particulier, par-delà la droite et la gauche ?

L’histoire a pourtant montré que les notions de « droite » et de « gauche », apparues à la Révolution française, n’ont jamais eu la moindre constance idéologique, toujours ballottées sur l’échiquier politique au gré des événements… et qu’elles n’ont d’autres utilitées en France de nos jours, qu’à assurer une rente électorale aux partis faillis de la Ve République.

10:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Philippe Randa participera à la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis

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10:30 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 28 septembre 2015

Invasion migratoire : la Bavière préfère Orbán à Merkel

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Jean-Yves Le Gallou Boulevard Voltaire cliquez ici

Il s’est passé un événement majeur le 24 septembre 2015 en Bavière. Horst Seehofer, ministre-président du gouvernement bavarois, a officiellement reçu Viktor Orbán – l’homme d’État qui a tenté d’appliquer les accords de Schengen (et oui !) en contrôlant les frontières extérieures de l’Europe grâce à la construction d’un mur de protection.

En Allemagne, et devant les alliés de Merkel, le Premier ministre hongrois s’est présenté comme « le capitaine garde-frontière » et a fustigé « l’impérialisme moral » de Merkel.

Horst Seehofer lui a répondu qu’il n’avait « pas de critique » à faire sur la politique hongroise et qu’elle avait gagné « le soutien du gouvernement bavarois ».

En clair : le land le plus puissant d’Allemagne est entré en dissidence du gouvernement fédéral ; et Merkel risque de perdre le soutien des 56 députés de la CSU, alliée bavaroise de la CDU.

L’événement est d’importance : il a fait l’objet de 83.700 occurrences sur Google. Les presses allemande et anglo-saxonne ont largement commenté l’événement. Certes, d’un point de vue critique, mais ils en ont parlé !

À l’heure où j’écris (dimanche 27 septembre au matin), pas un seul article français postérieur à l’événement n’était répertorié sur Google. Les médias de propagande français ne se contentent pas de désinformer. Ils ont purement et simplement cessé d’informer. Ils sont devenus autistes.

Pourtant, il deviendra de plus en plus difficile de cacher l’opposition des peuples européens et de certains de leurs gouvernements à la folle politique migratoire de la Troïka Merkel/Juncker/Hollande.

NDLR SN, pour info :

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20:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"S’UNIR OU PERIR"

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Pieter Kerstens

Il est déplorable de constater que les esprits de nos compatriotes sont gangrénés par l’idéologie socialo-écolo-libérale qui annihile toute volonté de réfléchir et d’agir.

Selon la Fondation Abbé Pierre, plus de 200.000 personnes dorment dans la rue, 700.000 n’ont pas de toit et plusieurs millions connaissent la pauvreté et la misère en France.  Partout en Europe on constate une situation comparable.

Depuis 40 ans notre continent subit une immigration sauvage et il est bon de le rappeler : la C.E.E avait décidé en 1974 de stopper l’immigration économique.

Durant ces décennies, des millions de clandestins ont envahi les pays européens. Clandestins régularisés par la suite et naturalisés au fil des ans, avec la complicité des irresponsables au Pouvoir : Chirac, Zapatero, Kohl, Blair, Dehaene, Romano Prodi ou Jacques Delors, entre autres.

Ces nouveaux Européens « de papier »  se sont empressés de faire venir leurs proches sous nos latitudes, grâce au « regroupement familial », instauré en 1976.

En plus de ces cohortes d’inassimilables, des millions d’autres illégaux se sont incrustés en Europe, alors même que leurs dossiers de séjour avaient été refusés par les autorités compétentes.  Ces hors-la-loi (dont seuls 6% sont reconduits hors Schengen) obtiennent l’aide et le soutien de multiples organisations, mouvements politiques et avocats félons, ceci dans la plus absolue illégalité !

Il faut en finir avec les abus du prétendu « droit d’asile » et avec cette dictature des   minorités bien pensantes qui nous abreuvent de leurs dogmes nauséabonds.

Il faut en finir avec les kollabos de l’invasion barbare et du métissage généralisé.

Il faut en finir avec la nouvelle religion droits-de-l’hommiste et l’intoxication des médias aux ordres de Wall Street.

Il faut en finir avec cette mondialisation qui nous impose les standards de l’homo-consuméris et nous étouffe sous les diktats du Nouvel Ordre Mondial.

Il faut en finir avec ces maîtres chanteurs de la pitié universelle, avec ces obsédés de la discrimination positive et ces charlatans du politiquement correct.

Il faut en finir avec cette culpabilisation de l’homme blanc et le culte de la repentance, causes du déclin de la civilisation européenne.

NECESSITE FAIT LOI !

15:01 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Ligue du Midi à Perpignan samedi 3 octobre

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Dimanche 11 octobre, Richard Roudier sera à la 9e Journée de Synthèse nationale à Rungis :

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11:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |