vendredi, 21 août 2015
La sionista, maladie fébrile.
Sionistologue-antipathe
La sionista frappe les touristes idéologiques dont les corps nationaux sont insuffisamment formés ou immunisés.
Elle s’attrape par l’absorbsion imprudente de pensées politiquement correctes acquises dans certains souks médiatiques ou la consommation de mythes avalés tout crus.
La souche est mutante. On se souvient de la grande épidémie causée dans les années 1967 par la soustellite combattue à l’époque par les Professeurs Coston, Sidos, Bardèche et Duprat. La souche actuelle est principalement composée de marinophiles, cause d’incontinence verbale et de diarrhée programmatique, et par des philippèdes, inhibiteurs des défenses biologiques et de la fonction reproductive.
Dans un premier stade, dit de normalisation, le sujet est en proie à une forte fièvre électoraliste accompagnée d’une grande confusion mentale : il prend les détails pour l’essentiel, confond cause et effets et devient très agressif auprès du personnel soignant. Refusant les traitements prescrits il s’auto médique au moyen de purges, qui ne font que vider l’organisme de son corpus doctrinal, a recours à l’alliopathie, facteur d’abrutissement, et à l’homopathie qui entraîne une multiplication des phillipèdes.
A titre préventif la sionista peut être évitée par le recours à la vaccination notamment par injection de plusieurs volumes de drumontose et par des exercices réguliers de musculation doctrinale.
A titre curatif seule la naturopathie permet quelques espérances : le sujet doit être impérativement soralité, boire des décoctions de faurissonade, être enveloppé de pamphlets de célinomède régulièrement imbibés par projections de dieudonnerie.
Malheureusement le malade, atteint dans un second stade de délires et de visions lui prédisant le plus grand avenir, refuse ces soins, l’errance intellectuelle s’accompagnant alors d’une errance physique vers de pseudo-lieux miraculeux généralement situés dans l’actuelle Pologne ou dans l’ancienne Palestine.
Il entre alors au stade terminal : il est Fini suivant le terme consacré par l’Académie d’Italie.
19:52 Publié dans Les diagnostics du Pr Rouet | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Afin de rétablir la vérité sur la Syrie :
syriennes de France
Juste pour mémoire... A lire et à diffuser largement.
Les "crimes" de Bachar Al-Assad depuis juin 2000 :
• Construction et restauration de 10.000 mosquées et de 500 églises.
• Construction et restauration de 8.000 écoles, de 2000 instituts et de 40 universités.
• Construction de plus 600.000 appartements/logements pour les jeunes.
• Construction et modernisation de plus de 6.000 hôpitaux et dispensaires.
• Etablissement de 5 zones industrielles internationales.
• Ouverture de la Syrie à 60 banques internationales.
• Ouverture de la Syrie à 5 opérateurs de télécommunications (fournisseurs d'accès internet et GSM).
• Licences pour 20 journaux et magazines indépendants et 5 stations de télé par satellites.
• Développement de l'art de représentation, théâtre, comédie, tragédie. Plus de 20.000 acteurs syriens ont obtenu des Prix d'Excellence.
• Construction et modernisation de stades et de salles de sport. Grandes réputation mondiale des athlètes syriennes en équitation, en natation, en catch, en gymnastique et autres...
• augmentation des salaires de 300 %
• Développement et modernisation de l'Armée Arabe Syrienne.
• La situation économique de la Syrie est saine, alors que la crise économique atteint le monde entier.
• Des milliers d'exploitations nouvelles : Restaurants, hôtels, villes touristiques, Centres de loisirs, centres commerciaux, usines...
• La baisse du chômage de 28 % à 12 % malgré la hausse du nombre de personnes arrivant sur le marché du travail.
• Branchements : électrique, téléphonique, eau potable et sanitaire à plus d'un million de maisons et appartements à travers le pays.
• Remboursement de toutes les dettes du pays et augmentation des capacités agricoles et industrielles de 600 %.
• Développement du tourisme. La Syrie était le troisième pays le plus visité des pays arabes et le 83ème pays le plus visité du monde.
• La Syrie n'avait plus que 1 % d'analphabètes. Le meilleur score d'Asie et d'Afrique.
• Développement des moyens de transport publics, des aéroports, des ports et des gares routières et les prix sont maintenus bas.
• Constitution de milliers d'associations pour les pauvres, les orphelins et les handicapés.
• La Syrie est le pays le plus important de la région, économiquement, politiquement, militairement... et le Président Al-Assad est la personnalité la plus influente.
Les crimes du Président Al-Assad :
• Opposition à la guerre en Irak,
• Opposition à la guerre à Gazza,
• Opposition à la guerre de juillet au Liban,
• Accueil de millions de réfugiés palestiniens, irakiens, libanais, libyens, soudanais et égyptiens, sans rien demander à personne (dignité et fierté syrienne),
• Soutien à toutes les résistances en Palestine, en Irak et au Liban,
• Soutien en eau et en électricité aux pays voisins (Le Liban et La Jordanie),
• Lancement du projet : Apprendre la langue arabe pour apprendre de Coran.
• Lancement du mouvement "Jérusalem, capitale des musulmans et capitale cuturelle,
• Lancement des projets de reconstruction du Liban, de Gaza et d'Irak.
Quant à la "Révolution" Syrienne...
• C'est la première révolution arabe qui jouit d'une "sécurité sociale" dans les hôpitaux d'Israël.
• C'est la première révolution "pacifique" qui organise les premières manifestations avec des armes légères et lourdes, made in USA.
• C'est la première révolution qui recrute ses "combattants" à l'étranger : en Turquie, en Arabie Saoudite, en Afghanistan, en Tchétchénie et ailleurs...
• C'est la première révolution qui vole les récoltes agricoles, le pétrole et les usines pour les brader en Turquie.
• C'est la première révolution arabe soutenue par l'Union Européenne, Les Pays du Golfe, la Maison Blanche et Israël.
• C'est la première révolution dont les initiateurs ne sont pas sur place, ils ne sont pas de nationalité syrienne, ils sont logés dans des hôtels de grand standing à Paris et ailleurs.
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LE COUP DU GRAND CONSEIL
de Jean-Claude Rolinat
Le samedi 24 juillet 1943 à Rome, il faisait beau. C’était une belle journée de l’été italien. L’esprit de la conjuration hantait les murs du Palais de Venise, situé sur la place faisant face à l’immense monument dressé à la gloire de Victor-Emmanuel, surnommé « la machine à écrire »…
Devant les hiérarques du parti, le seul, l’unique, le parti fasciste national, Benito Mussolini prit la parole, défendant son bilan, au demeurant contestable après les terribles revers militaires subis. Les conseillers à sa suite, s’enhardirent, les uns s‘exprimant en faveur du Duce, minoritaires, les autres contre, Di Bono, Scorza, Federzoni, Bottai, Grandi, et puis ce fut le coup de poignard du ministre des Affaires étrangères, le comte Ciano, le propre gendre du « capo di governo », confirmant ainsi le dicton qui veut que l’on est jamais mieux trahi que par les siens…
Le Duce dit à son gendre : - « Toi, dès le premier jour où tu as mis les pieds dans ma maison, tu as commencé à me trahir ». Le comte, par ailleurs vaillant pilote, devait tout à son beau-père, le grand-père de ses enfants qu’il aimait par-dessus tout. La funeste ingratitude dont il fit preuve trouvera sa « récompense » quelques mois plus tard dans les fossés de Vérone….
Au bout de sept heures de débats, par 19 voix contre 7 et 2 abstentions, une motion de défiance totale envers le chef du gouvernement était votée. La suite on la connait : démission, arrestation et…résurrection !
Le 11 janvier 1944, dans les fossés de la forteresse de Vérone, pas loin des flots nerveux de l’Adige, cinq « traitres » étaient fusillés pour l’exemple. Parmi eux, l’époux chéri de la fille du chef de la République sociale italienne : Galéano Ciano ! Malgré les suppliques de sa fille, la main du Duce n’avait pas tremblée. Le comte, courageusement, tombait sous des balles italiennes, épilogue tragique d’une épreuve familiale d’une intense dramaturgie….
Toute ressemblance avec des évènements ou des personnages d’une actualité contemporaine ne serait, bien entendu, qu’une pure et fortuite coïncidence.
11:57 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Vial nous parle d'Emmanuel Ratier
Un grand Résistant Identitaire s'est éteint ce 19 Aout 2015...
Emmanuel Ratier présent !
Nous, ses Amis, nous l’appelions Manu. On se connaissait depuis toujours. J’ai, dans mes archives, la collection de Fanal, bulletin ronéotypé incandescent que Manu réalisait alors qu’il était lycéen à Rouen. Il a été partie prenante de toutes nos aventures, de toutes nos -nombreuses- folies, nous qui sommes toujours restés les Don Quichotte de nos quinze ans. Jean Mabire avait pour Manu une grande estime (et il ne la distribuait qu’à bon escient…).
Pour beaucoup, Emmanuel Ratier c’est Faits et Documents, fruit d’un infatigable travail de bénédictin, accumulant des informations qui étaient autant de munitions pour notre camp. J’avais coutume de dire qu’Emmanuel avait, dans le genre, fait encore mieux qu’Henri Coston. Le compliment n’était pas mince et Manu le prenait pour tel, avec cette modestie qui, avec sa permanente gentillesse, le caractérisait.
Homme de travail et d’action, homme d’un courage aussi tranquille qu’imperturbable, Manu faisait face aux aléas de la vie avec la sérénité qui appartient à ceux qui ont le sentiment de mettre en application la vieille maxime des temps de la chevalerie médiévale : « Fais ce que dois ».
Chercheur dans l’âme, Manu avait réalisé de magistrales études sur les groupes de pression qui sont les véritables maîtres du jeu dans notre soi-disant démocratie. Avec, en 2011, un monument : Au cœur du pouvoir. Enquête sur le club le plus puissant de France (Ed. Facta). Tous les journalistes un tant soit peu informés pillent allègrement – sans bien sûr jamais le citer - ce livre consacré au Siècle , ce cercle où se retrouvent, copains comme cochons, les puissants du monde de la politique et de l’économie, qu’ils soient censés être de droite ou de gauche (étiquettes destinées à amuser les gogos).
Sachant qu’un livre est une arme, Manu avait réussi la gageure d’installer au cœur de Paris une librairie politiquement très incorrecte, la Librairie Facta, visée à plusieurs reprises par des attentats terroristes (dont les auteurs, parfaitement connus des services de police, n’ont bien sûr jamais été inquiétés…). Les camarades de nos provinces de passage à Paris savent trouver chez Facta de quoi faire provision de saines lectures.
Mais je ne veux surtout pas oublier que Manu fut avant tout un militant (c’est pour moi, n’en déplaise à certains, le plus beau des compliments car le militant c’est, étymologiquement, un « combattant »). Militant, Manu le fut partout et toujours, y compris dans ces camps de mouvements de jeunesse où il tint souvent le rôle, aussi ingrat que vital, de cuistot. Je l’ai vu, heureux comme un pape, en voyant que son rata était apprécié de jeunes estomacs affamés (mais aussi par les anciens venus constater que la relève était assurée).
Le meilleur hommage qu’on puisse rendre à Manu est de continuer le combat, avec ténacité, comme il l’a toujours fait, contre vents et marées. Et nous savons qu’il marche en esprit dans nos rangs.
Salut, Manu. Rendez-vous au Walhalla, en compagnie de tous nos vieux camarades.
Source Terre et peuple cliquez ici
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Maître Frédéric Joachim, avocat de Jean-Marie Le Pen, remet les pendules à l'heure
10:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
FN : "L'exclusion de Jean-Marie Le Pen aura un impact négatif"
Source Le JDD.fr cliquez ici
INTERVIEW - Présente jeudi au bureau exécutif du FN, à la suite duquel Jean-Marie Le Pen a été exclu du parti, l'eurodéputée Marie-Christine Arnautu, pourtant vice-présidente du FN, a appris par les journalistes la décision prise. Elle "déplore" la décision, réagissant "à chaud" pour leJDD.fr.Comprenez-vous l'exclusion, jeudi soir, de Jean-Marie Le Pen du Front national ?
Je viens de l'apprendre en lisant le communiqué publié. Je suis très surprise, d'autant qu'en quittant le siège du parti, tout à l'heure, j'avais compris que le bureau exécutif devait se retrouver vendredi matin pour discuter de nouveau le sujet.
Le communiqué publié jeudi soir indique que le bureau exécutif a pris sa décision "à la majorité requise". Et pourtant, vous n'avez pas été mise au courant ?
Certains, comme Louis Aliot ou moi-même, sont partis avant la fin des débats. Mais, encore une fois, nous devions nous revoir vendredi matin ou communiquer par mail. Je trouve très étonnant que le communiqué soit sorti aussi vite. C'est comme s'il avait été préparé en avance. Je réagis à chaud, mais je déplore cette décision et la méthode opérée. Tout cela est assez surprenant.
"Nous donnons l'image d'un parti divisé"
Vous étiez donc présente dans l'après-midi au siège du parti. Comment se sont passés les échanges ?
Chacun a exprimé son point de vue. Contrairement à ce qui a été dit, les échanges n'étaient pas tendus. Il y avait une écoute respectueuse et tout le monde a pu faire valoir sa position. Pour ma part, j'ai estimé que Jean-Marie Le Pen devait rester dans le mouvement. Son exclusion du parti aura un impact négatif sur le plan moral - on ne jette pas comme ça, à 86 ans, le père fondateur de son parti - mais aussi sur le plan politique pour le FN.
C'est-à-dire ?
Je peux me tromper, mais les candidats FN aux prochaines régionales risquent de subir les conséquences directes de cette décision. Nous donnons l'image d'un parti divisé et une partie de nos militants peuvent être déçus.
10:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Marie Le Pen exclu du FN
Après plus de trois heures de simulacre de débat, ce jeudi, au siège du Front national à Nanterre, le bureau exécutif a pris la décision, « à la majorité requise », d’exclure Jean-Marie Le Pen comme membre du parti dont il est le fondateur et la figure de proue depuis plus de 40 ans.
L’avocat du président d’honneur a estimé que « le parti s’est tué » en faisant ce choix. « Par les trois décisions de justice qui ont été rendues, on pouvait dire qu’il s’était tiré 3 balles dans le pied. Maintenant, je crois que la balle, le FN vient de se la tirer en pleine tête », a estimé Me Frédéric Joachim. « Le Front national, en tuant son fondateur, vient de se suicider lui-même », a conclu l’avocat.
Source Thomas Joly cliquez ici
09:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 20 août 2015
Emmanuel Ratier nous parle de Manuel Valls avec Martial Bild (TV Libertés)
12:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Emmanuel Ratier nous parle des attentats de Paris...
C'était en janvier dernier
11:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 19 août 2015
Emmanuel Ratier est décédé mercredi
C'est avec une très grande tristesse que nous venons d'apprendre le décès, cet après-midi à la suite d'une crise cardiaque, d'Emmanuel Ratier. Il était âgé de 57 ans.
Ecrivain, journaliste, éditeur, militant, Emmanuel avait été de tous les combats du mouvement national depuis son premier engagement, à Rouen au milieu des années 70, au Parti des Forces nouvelles. Depuis 1996, il dirigeait la lettre d'informations Faits et Documents. Il avait aussi créé, en 2005, la librairie Facta à Paris.
Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur l'oeuvre d'Emmanuel Ratier et nous tenons à assurer son épouse, sa famille et ses proches de notre amitié la plus sincère.
Synthèse nationale
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ÇA SUFFIT ! 1935/2015 : 80 ANS DE MENSONGES ET DE CALOMNIES... LE DERNIER LIVRE DE ROGER HOLEINDRE
"ça suffit !", Roger Holeindre, Editions Héligoland, mars 2015, 600 pages, 25 €
En vente dans les librairies non-conformistes.
Pour commander ce livre cliquez ici
17:52 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tensions entre Robert Ménard et le préfet de l’Hérault autour du drapeau de la Police Municipale de Béziers
Béziers (Lengadoc-info.com cliquez ici) – C’est une première en France, le maire de Béziers a remis ce lundi un drapeau à la Police Municipale de Béziers. Un drapeau qui pour l’élu symbolise « l’existence d’une force sans laquelle aucune protection des citoyens ne serait possible » car « dans le contexte de notre pays – qui n’est plus un pays paisible, qui n’est plus un pays soudé, qui n’est plus un pays communiant dans les mêmes valeurs – dans ce contexte, la police municipale est souvent le premier rempart, le premier secours ».
Une initiative qui n’est pas vue d’un bon œil du côté de la préfecture de l’Hérault. Le préfet, Pierre de Bousquet, a fait savoir dans un communiqué qu’il condamnait « avec la plus grande fermeté les propos tenus » par Robert Ménard. Ce qui lui pose problème c’est notamment l’attaque du maire de Béziers à l’encontre de l’Etat. Ainsi, s’adressant aux policiers municipaux, Robert Ménard a déclaré lors de son discours que entre les agents et leur mission, « se dresse l’Etat, ceux qui nous dirigent, leur lâcheté, leur impuissance, leur soumission. Au point qu’ils acceptent trop souvent qu’une fausse paix sociale, qui ne profite qu’aux délinquants, s’installe dans certains quartiers ».
Suite aux attaques du préfet de l’Hérault, le maire de Béziers a répondu dans un communiqué qu’en condamnant ses propos « sur l’impuissance de l’État face à la délinquance et l’abandon des Français qui en résulte, le préfet de l’Hérault fait son métier de préfet ». Robert Ménard a ajouté cependant qu’il aimerait que le prefet « le fasse toujours et sur des points plus importants comme, par exemple, la fermeture administrative de commerces illégaux à Béziers ». Sur ce sujet d’ailleurs, l’élu fait remarquer que les deux courriers qu’il a envoyés à la préfecture sont restés sans réponse.
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L'EUROPE
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mardi, 18 août 2015
Cahier d'Histoire du nationalisme n°6 : Tixier-Vignancour, un franc-tireur du XXe siècle…
Roland Hélie
Editorial du n°6 des Cahiers d’Histoire du nationalisme
Me Jean-Louis Tixier-Vignancour (1907-1989) fut sans doute l’une des figures les plus marquantes de la droite nationale française du XXe siècle.
Avocat talentueux, réputé pour sa voix de bronze, il défendit avec courage et témérité tous ceux qui, aux yeux du Système, étaient indéfendables. Qu’il s’agisse des réprouvés de « l’épuration », des simples lampistes aux plus illustres comme Louis-Ferdinand Céline, ou des combattants l’Algérie française, comme le général Salan, beaucoup d’entre eux trouvèrent en lui un redoutable défenseur qui leur permit d’échapper à un sort peu enviable.
Homme politique audacieux et parfois paradoxal, il participa de près ou de loin à tous les grands combats de la droite nationale des années 20 jusqu’à la fin des années 70. Il fut, en 1965, le premier candidat national à une élection présidentielle au suffrage universel sous la Ve République, ce qui lui donna une notoriété personnelle inégalée à l’époque. Il faut dire que Tixier-Vignancour était très motivé par le mépris que lui inspirait le général De Gaulle, son plus fidèle ennemi.
C’est donc à ce personnage incontournable de l’Histoire du nationalisme français que nous consacrons cette sixième livraison de nos Cahiers.
Afin de retracer la vie tumultueuse de Jean-Louis Tixier-Vignancour, nous nous sommes grandement inspirés de la remarquable biographie que lui a consacré, il y a une quinzaine d’années, l’avocat bordelais Thierry Bouclier. Celui-ci a eu la gentillesse de mettre à notre disposition son abondante documentation. Nous avons aussi rencontré des grands témoins de sa carrière politique comme Jean-Pierre Reveau et, le plus célèbre d’entre eux, Jean-Marie Le Pen qui nous a accordé un entretien dans lequel il revient sur la campagne et nous fait part de ses regrets de n’avoir pas été lui-même candidat..
Une évolution contrastée
De ses débuts, comme étudiant d’Action française, donc peu porté sur le débat démocratique, jusqu’à sa dernière campagne électorale, en 1979, comme tête de liste de l’Eurodroite présentée par le Parti des Forces nouvelles (cf. le n°4 des Cahiers d’Histoire du nationalisme) lors des premières élections européennes qui se tinrent, elles aussi, au suffrage universel, Tixier-Vignancour eut un parcours intéressant. Si les revirements conjoncturels furent nombreux, le socle resta toujours le même.
Certains lecteurs seront peut-être étonnés, voir agacés à juste titre, par les prises de position controversées de Tixier-Vignancour. Il convient cependant, pour bien les comprendre, de les replacer dans le contexte politique et géopolitique qui était celui de l’époque.
Une présidentielle prometteuse aux conséquences dramatiques
Nous avons attaché une importance particulière à la campagne présidentielle de 1965 car celle-ci constitue, à elle seule, le fait d’armes politique le plus important de Jean-Louis Tixier-Vignancour. Le fait d’armes judiciaire étant bien sûr d’avoir évité la peine de mort en général Salan.
Conduite efficacement par Jean-Marie Le Pen, qui en était à la fois le promoteur et l’organisateur, cette campagne suscita un immense espoir. Non seulement celle-ci fut intense, mais en plus elle fut originale et novatrice, en particulier avec la fameuse tournée des plages du « cirque Tixier » au cours de l’été 1965. Du jamais vu jusque là…
Si tout avait plutôt bien commencé, un certain nombre de paramètres inattendus, dont la candidature du centriste Jean Lecanuet, amenèrent Tixier-Vignancour à modifier considérablement son discours. Il avait commencé sa campagne comme « candidat national », puis, chemin faisant, il devint le « candidat national et libéral » et il termina sa course comme « candidat libéral ». Déjà à cette époque, la recherche d’une hypothétique respectabilité semblait être de mise. Néanmoins, ce recentrage ne fut guère payant puisqu’au soir du premier tour à peine un quart des électeurs escomptés avait voté pour Tixier. Ces résultats furent considérés comme étant décevants et, au lendemain de cet échec, ce fut la débandade. La droite nationale entama alors une traversée du désert qui dura près de 20 ans. Celle-ci fut dramatique car elle laissa le champ libre à une fausse droite libéralo-conservatrice qui passa son temps à prôner une politique d’ « ouverture à gauche » avec les conséquences que l’on sait.
Une certaine fidélité… malgré tout
Au cours de cette période, Jean-Louis Tixier-Vignancour tenta de continuer à exister politiquement en s’engageant de manière parfois un peu surprenante, comme ce fut le cas lors de la présidentielle de 1969 où, malgré son anti gaullisme forcené, il appela envers et contre tous à voter pour Georges Pompidou, l’ancien Premier ministre du général parjure. Son soutien à Israël lors de la Guerre des Six jours ne fut pas non plus apprécié par tous.
A la fin de sa vie, au milieu des années 80, il s’engagea une dernière fois en apportant son soutien au Front national alors émergeant. En fait, Tixier-Vignancour n’était pas un homme d’appareil. Il était plutôt ce que l’on pourrait appeler « un franc-tireur politique ».
Malgré toutes ses circonvolutions et ses effets d’annonce, malgré tout ce qui peut lui être reprochés, Tixier-Vignancour, béarnais haut en couleurs, demeure une personnalité attachante de notre famille politique. Nous espérons que ce sixième Cahier d’Histoire du nationalisme contribuera à mieux vous le faire connaître.
Cahier d'Histoire du nationalisme n°6, 200 pages, cahier photos, juin 2015, 20,00 €
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19:08 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un nouveau magazine consacré à l'antiquité européenne
Au sommaire de ce premier numéro trimestriel (août-septembre-octobre) de nombreux articles sur :
12:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Aide aux « migrants » : compassion ou collaboration ?
Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin.
Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. L’une de ces officines venant en aide aux « migrants » édite un « annuaire des acteurs associatifs et institutionnels » de plusieurs centaines d’entrées regroupant cette nébuleuse d’organisations (dont la plupart des dirigeants sont issus de l’extrême gauche) mis à la disposition des clandestins.
On connaît l’efficacité de ce réseau, d’autant plus qu’il est parrainé et subventionné par nos structures étatiques « républicaines ». On peut être surpris d’y trouver les mentions d’institutions vénérables comme la Croix-Rouge française (fondée par le maréchal Pétain le 4 août 1940 sous son appellation actuelle) ou le Secours catholique (fondé par l’abbé Rodhain, ouvertement pétainiste, décoré de l’ordre de la Francisque), dont la vocation initiale était de venir en aide aux Français en difficulté. Ces associations traditionnelles n’avaient d’autre but que compassionnel. Étrange pied de nez de l’Histoire : infiltrées par la gauche, elles se retrouvent à la pointe de la lutte antifrançaise, de la préférence étrangère, donnant tous les moyens légaux et surtout illégaux à ceux qui vont remplacer nos peuples européens, avec la bénédiction de nos gouvernants. On appelait ces gens, sous l’Occupation, des « collabos ».
Ces militants illuminés n’ont plus de repères, de sol auquel se rattacher, ni de sang auquel appartenir, et se croient investis d’une mission universaliste ; ils vont affronter la saleté, les insultes, les violences (il y a quelques jours, en Italie, trois clandestins égyptiens ont frappé le responsable d’un centre d’accueil et violé son employée), en abandonnant délibérément nos pauvres qui souffrent. En effet, selon une enquête de 2012 effectuée par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), 40 % des SDF « francophones » ne reçoivent aucune aide, alors que la quasi-totalité des « migrants » sont pris en charge par l’armada des associations d’accueil des étrangers.
C’est que nos bons samaritains sont persuadés d’être en charge de toute la misère du monde. Le prix de passage clandestin à bord d’un bateau s’élève en moyenne à 3.000 euros. Ou bien ces gens ne sont pas dans la misère, ou bien leur trajet est payé par des organismes privés ou étatiques ; lesquels ? Quel Français pourrait s’offrir un tel voyage ? Il faut aussi savoir que nombre de djihadistes pourraient être présents parmi les gentils demandeurs d’asile, selon Gilles de Kerchove, le coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme.
Si le Grand Remplacement n’est pas une lubie, le Grand Suicide – l’ethnomasochisme – de nos populations européennes ne l’est pas non plus. Lorsque ces bénévoles inconscients auront parmi leurs proches une personne égorgée ou victime d’un attentat, ils ne pourront pas invoquer la clause de l’ignorance. Ils seront donc alors complices.
(*) Pierre-Emile Blairon est journaliste et écrivain
Source : Boulevard Voltaire cliquez là
et Le Journal du Chaos cliquez ici
12:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Des Dieux, ces Aïeux du stade !
La chronique de Philippe Randa
Les médias n’ont pas manqué de rapporter les extraordinaires prouesses à vélo Robert Marchand : après avoir, à 102 ans, battu son propre record, soit 26,952 km en soixante minutes (2,692 km de mieux que l’année dernière en Suisse) en février 2014, il a grimpé le 26 novembre suivant un col en Ardèche qui porte son nom pour fêter ses 103 ans à l’issue d’une montée de 10 kilomètres avec 450 m de dénivelé en 56 minutes !
Une exception, Bob le magnifique ? Pas vraiment ! Ils sont ainsi 8 058 inscrits, de 98 nationalités différentes, classés par tranches de cinq ans à partir de 35 ans, à concourir pour le championnat du monde d’athlétisme vétérans.
Épreuve phare de ces jeux très particuliers, le 100 mètres qui verra s’affronter sur la piste du stade de Balmont, dans le quartier lyonnais de La Duchère, huit concurrents dans la catégorie « 90 ans et plus ».
Passe encore de vieillir ; mais courir à cet âge ! Tant pis pour les obsédés du jeunisme… et du carriérisme : les prouesses des « Aïeux du Stade » valent largement celles de bien des champions nationaux ou olympiques et même davantage que celles de bien des « stars » qui paradent sur les podiums, déguisés par la publicité comme des sapins de Noël et fiers de leurs juteux contrats dont ils clament sans vergogne les montants démentiels, prétextant que leur « carrière » est brève et qu’ils doivent ramasser un max au plus vite… Eux n’attendent de récompense ni sonnante, ni trébuchante. Un simple coup de chapeau fera l’affaire. Mais haut-de-forme, le chapeau !
11:58 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3199 du 30 juillet au 2 septembre 2015
JEAN-MARIE Le Pen confirme qu’une liste FN canal historique, qu’il se refuse à qualifier de dissidente, évoquant une « liste parallèle », est en train de se constituer en PACA en vue des élections régionales.
“JE SUIS DEPUIS PLUSIEURS SEMAINES SANS NOUVELLES DE MADAME MARÉCHAL”
« Un certain nombre de militants et de dirigeants qui me soutiennent ont imaginé créer des listes dans l’objectif de me demander d’en prendre la tête. Je ne suis pas à l’initiative de cette affaire, mais je la regarde avec intérêt », dit-il. Et il ajoute : « Je n’ai rien décidé. Je ne m’interdis rien. Je ne m’ordonne rien pour l’instant. Comme je suis depuis plusieurs semaines sans nouvelles de Madame Maréchal, je ne sais pas ce que ce genre d’initiative de la base lui suggère comme réflexion. » On notera que le Menhir retire le nom de Le Pen à Marion Maréchal ex-Le Pen. Il me confie : « Elle n’a jamais pris contact depuis plus d’un mois avec moi, depuis que je l’avais proposée comme candidate ». Et il ajoute : « C’est extravagant, irresponsable de ne pas avoir contacté le président du groupe FN au Conseil régional pour la constitution des listes ». Le président connaît en effet, mieux que personne, et en tout cas mieux que Marion Marechal, les élus de valeur qui pourraient apporter leurs qualités à la gestion de la région. Oui mais, des élus de valeur qui ne seraient pas fanatiquement marinistes n’ont aux yeux de ces Ganelones, aucune valeur. En attendant, comme on le sait, quinze élus de PACA sur vingt restent fidèles à leur président.
A propos d’un des élus, Thibaut de La Tocnaye, qui a rejoint, malgré son passé, malgré ses postures, malgré ses convictions, malgré sa foi, le camp mariniste, à cause de la gamelle, ce qui est une insupportable trahison, Jean-Marie Le Pen dit : « Quos vult perdere Juppiter dementat » (Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre). Pour conclure notre entretien, le fondateur du FN, qui continue évidemment à être bien informé des affaires du mouvement, nous apprend que les adhésions et réadhésions au FN sont actuellement en chute libre. Le Menhir reproche à sa petite-fille de le snober (même si une rencontre discrète à son domicile à La Celle-Saint-Cloud a finalement eu lieu le 23 juillet), d’avoir refusé de prendre sur ses listes Bruno Gollnisch dont il souhaitait qu’il présidât la région en cas de victoire et d’avoir pris le parti de sa tante contre lui, se prononçant le 9 juillet pour la suppression de la présidence d’honneur de son grand-père auquel elle doit toute sa carrière politique et son mandat de député du Vaucluse, mandat aussi prestigieux que rémunérateur. Le Menhir conclut : « J’avais retiré ma candidature et soutenu celle de Madame Maréchal par volonté de conciliation. En échange j’ai été suspendu ! »
FLORIAN PHILIPPOT ACCUSÉ D’ÊTRE UN “AGENT DOUBLE” PAR JEAN-MARIE LE PEN
Jean-Marie Le Pen a décrit Florian Philippot, dans une interview au quotidien Le Parisien, comme « un agent double, envoyé par la droite, pour saboter le FN ». Le vice-président du FN mariniste, invité d’Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC tente de répliquer sur le ton de l’ironie, déclarant : « Mince, il a vu mon oreillette caché derrière l’oreille », ajoutant : « Marine Le Pen est une extraterrestre reptilienne et tout cela est un complot de la CIA et du KGB réunis ». Pour conclure, il assène, l’air grave : « Jean-Marie Le Pen crée un trouble phénoménal. C’est ridicule ». Mais qui est à l’origine de ce « trouble grave » et sans doute mortel quant aux espérances du FN de remporter des régions ou d’accéder à la présidence de la République ? Qui ?
DÉCRYPTAGE DES “HEURES LES PLUS SOMBRES DE L’HISTOIRE DE FRANCE”
Le Scan politique du Figaro s’amuse, si l’on peut dire, à décrypter ce qu’il qualifie de point Godwin en matière d’expression politique, le qualificatif ultime pour renvoyer une personnalité et ses idées hors du champ de l’acceptable au regard de la morale publique : « Les heures sombres de l’Histoire ». Référence, bien entendu, aux années d’occupation qui « constituent au sein de la classe politique le summum de l’inacceptable. Tout ce qui y est renvoyé se trouve marqué d’un sceau d’infamie ». Rappelons ce qu’est ce fameux « point Godwin ». La loi de Godwin dit que plus une discussion s’allonge sur internet, plus la probabilité que la Seconde Guerre mondiale soit évoquée est forte (nazis, camps de concentration, etc.). Quand cela arrive, on dit que la discussion a atteint le point Godwin, et on considère qu’il est inutile de la poursuivre (quels que soient les arguments avancés). Le Pingouin use évidemment et abuse de cette considération. Il le fait très bien au demeurant, la bouche en cul de poule, le front plissé de gravité, le postillon indigné. Récemment encore, il rendait hommage à Robert Chambeiron, membre fondateur du Conseil national de la résistance, évoquant un homme qui « avait incarné aux heures les plus sombres cet esprit, celui qui souffle encore aujourd’hui : l’esprit de résistance ». L’expression, note le Scan, n’a cependant pris toute sa force, et, disons-le, sa beauté, qu’à partir des années 1970-80 et l’adoption des lois Pleven (1972) et Gayssot (1990). On se souvient de cette belle sortie de Cécile Duflot contre Manuel Valls en pleine affaire Leonarda Dibrani, la Rrom qui fut expulsée de France : « Cette opération rappelle les heures les plus sombres de notre histoire et réveille en nous une monstrueuse évocation », « Les heures les plus sombres de l’Histoire », c’est Auschwitz, sans doute en pire.
Prenez le cas de Robert Ménard, le maire fasciste, voire plus si entente, de Béziers qui fut accusé de vouloir ficher les écoliers musulmans en fonction de l’origine présumée de leur prénom. Le ministère de l’Intérieur avait produit un communiqué affirmant que « ficher des enfants selon leur religion, c’est renvoyer aux heures les plus sombres de notre histoire ». Manière de laisser entendre que Ménard n’aurait pas hésité à ficher les enfants juifs, histoire de les envoyer en villégiature dans des wagons à bestiaux. L’expression fait florès. Même le député Patrick Balkany, d’origine juive, n’a pas hésité à invoquer les fameuses « heures sombres » pour commenter la levée de son immunité parlementaire après sa mise en examen en octobre 2014 pour corruption passive et blanchiment de fraude fiscale. Pathétique !
PETIT DÉRAPAGE DE SARKOZY, DIGNE DE HOLLANDE
On sait que Hollande est coutumier de petites blagues, pas toujours comprises ni appréciées par ses interlocuteurs. Voici que Sarkozy s’y met aussi. Le chef des Républicains était, il y a quelques jours, en visite à Tunis, voulant notamment rendre hommage aux victimes de l’attentat du musée Bardo. Il avait aussi des choses importantes à dire, concernant notamment la situation économique de la Tunisie. Et il les a dites. Evoquant la situation difficile du pays, il a eu cette phrase, hautement appréciée par les Algériens, qui sont fous de rage : « La Tunisie est frontalière avec l’Algérie, avec la Libye, ce n’est pas nouveau », a ainsi déclaré l’ancien chef d’État, ajoutant sur le ton de l’ironie : « vous n’avez pas choisi votre emplacement ». En d’autres termes, il pense que c’est l’emplacement géographique de la Tunisie qui pose problème, à savoir sa proximité avec l’Algérie et la Libye. Et si le vrai problème de la Tunisie était sa proximité avec l’islam ?
MARINE LE PEN, SOMMÉE D’EXCLURE MARION MARÉCHAL DU FN
Le député-maire de Nice Christian Estrosi (Les Républicains) a pris des leçons auprès de Marine Aliot. Il lui demande, dans une lettre ouverte, d’exclure sa nièce, Marion Maréchal, du FN mariniste. Ni plus, ni moins.
Il reproche à la tête de liste FN pour les régionales en PACA de s’être alliée avec Philippe Vardon, un des leaders du bloc identitaire. Le représentant des identitaires niçois doit ainsi figurer en cinquième position sur la liste du FN dans les Alpes-Maritimes. Estrosi lui fait la leçon : « Par cette alliance, votre candidate franchit une ligne rouge que même votre père, adversaire politique pourtant bien plus féroce, n’avait jamais osé franchir ». Et il ajoute : « En prêtant allégeance au Bloc Identitaire et en scellant une alliance en bonne et due forme avec eux, elle s’inscrit dans la tradition d’une extrême droite non pas “Bleu Blanc Rouge” comme elle le prétend mais bel et bien “Bleu Brun, Noir”. » Rien que cela…
Après avoir rappelé que Philippe Vardon a été « condamné à 4 mois de prison pour reconstitution de ligue dissoute », Christian Estrosi la sermonne : « En avril dernier, vous vous êtes réveillée après 46 années d’aveuglement(ce qui signifie que bébé, elle était déjà aveuglée) en vous apercevant des déclarations nauséabondes de votre famille. Allez-vous avoir de nouveau la main qui tremble ou allez-vous vous comporter comme la femme d’Etat que vous prétendez être et exclure votre nièce du Front national ? » Après tout, elle a commencé à vouloir exterminer son père, pourquoi ne le ferait-elle pas aussi avec sa nièce, histoire de se faire bien voir du Système ?
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Carl Lang sur Europe 1
Carl Lang, Président du Parti de la France, était l'invité dimanche matin d'Emmanuel Faux sur Europe 1. Il est interrogé sur l'avenir de Jean-Marie Le Pen au Front national.
Pour écouter l'émission cliquez ici
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Jean-Marie Le Pen se rendra au Bureau exécutif du FN
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lundi, 17 août 2015
Filip Dewinter : " Theo Francken est un "concierge du centre d’asile Belgique.""
Belgique. Le Député national du Vlaams Belang Filip Dewinter estime que le fait que des « demandeurs d’asile » se noient est la conséquence de la politique de frontières ouvertes menée depuis des décennies en Europe. Il est favorable à la politique conduite en la matière par l’Australie. Il met en avant le fait que les politiciens du régime déclarent que la Belgique doit accueillir des demandeurs d’asile alors que lorsque ces mêmes politiciens sont confrontés en tant que mandataires locaux à la question, ils changent d’avis.
Filip Dewinter déclare que le Secrétaire d’État à l’Asile et à la Migration du parti national-centriste flamand N-VA Theo Francken est non seulement un « Concierge du centre d’asile Belgique », mais aussi l’esclave de ce que lui impose la non-élue Commission européenne dans le domaine de l’asile et de la migration, alors que certains pays comme la Hongrie refusent de se soumettre au dictat européen. Filip Dewinter prône une politique de fermeture des frontières. Il met en avant le fait que le Japon a accueilli en 2014 onze demandeurs d’asile. Alors que chez nous, un demandeur d’asile coûte, sur base d’un calcul réalisé aux Pays-Bas, 26.000 euros par an ; il estime que cette année, le contribuable belge déboursera 600 millions d’euros pour les « réfugiés ». Il met en avant le fait que les demandeurs d’asile sont souvent des profiteurs d’asile, munis de téléphones portables et d’argent et pour la plupart des hommes entre 16 et 35 ans. Il ajoute que ceux qui sont de réels demandeurs d’asile doivent être accueillis dans la région du monde dont ils sont originaires.
Source Lionel Baland cliquez ici
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Périco Légasse : Notre indépenance alimentaire est menacée
La crise du porc se poursuit. La cotation est suspendue après le refus de deux des principaux acheteurs, Cooperl et Bigard/Socopa de payer le prix demandé par le gouvernement. Qui sont les principaux responsable de cette crise: les éleveurs, les industriels, la grande distribution, le gouvernement?
Périco Légasse: Il faut remonter assez loin pour trouver les responsables de cette ubuesque gabegie. En tout premier lieu ceux qui ont expliqué, du principal syndicat agricole jusqu'aux pouvoirs publics, et ils furent nombreux, que surproduire dans l'intensif au détriment de la qualité, pour rester le plus compétitif, serait toujours payant. Le mensonge, en ce sens que tout le monde savait qu'il conduisait droit dans le mur, a entrainé l'agriculture française vers l'impasse. S'il est un coupable à désigner en premier, c'est bien la Fnsea, surtout celle dirigée par Luc Guyau, un monsieur qui a fait beaucoup de mal à la France, je dis bien à la France, avec la complicité active de Jacques Chirac, à tous les échelons de ses mandats politiques, en expliquant aux éleveurs que plus ils entreraient dans une logique de production industrielle, plus ils s'enrichiraient. S'il est un deuxième coupable, c'est la grande distribution, qui s'est évertuée à expliquer à ses fournisseurs que, s'ils souhaitaient conserver le référencement de leur marque, il fallait du bas de gamme pour proposer le prix le plus bas à la clientèle. On a fait passé à l'époque ces deux entités qui se tapaient sur l'épaule pour de grands stratèges et l'agriculture française a cru à ce mensonge. Bien entendu je ne dédouane pas François Guillaume, ancien président de la Fnsea devenu ministre de l'Agriculture (un pléonasme puisque ce syndicat cogère ce ministère depuis 1964), ni ses successeurs, tous partis confondus, Pierre Méhaignerie, Edith Cresson, Henri Nallet, Jean-Pierre Soisson, Jean Puech, Dominique Bussereau ou Bruno Lemaire, fossoyeurs irresponsables et inconscients, parmi d'autres gouvernants, de notre patrimoine agricole. Et pour bien montrer que je ne jette pas l'anathème sur la classe politique dans son ensemble, je rends hommages, même s'ils ont aussi une part de responsabilité, à Michel Rocard, à Philippe Vasseur, à Jean Glavany, à Hervé Gaymard et à Michel Barnier pour certaines dispositions qu'ils ont eu la clairvoyance et le courage de prendre. Je pense qu'il serait légitime aujourd'hui que ces messieurs rendent des comptes sur leur action publique pour savoir qui a fait quoi et en tirer les conséquences.
Les groupes de grande distribution se disent déterminés à maintenir le cours du porc autour de 1,40 euro. Peut-on parler d'hypocrisie de leur part?
Peut être, mais pas forcément. Ils n'ont en réalité pas le choix car, même si ce ne sont pas eux qui ont fixé ce tarif, ce sont eux qui ont institutionnalisé la philosophie du prix le plus bas au détriment de la qualité. Le grand serpent distributeur est obligé de se mordre la queue. S'ils ne font pas au moins l'effort de maintenir le cours à 1,40€ et que la tragédie vire au drame, c'est eux qui porteront le chapeau car ils ont tellement tiré la ficelle ailleurs qu'elle leur pétera au nez. En tout cas il faut les soutenir dans cet engagement, ainsi que les industriels qui s'imposent pour l'heure cette stratégie patriotique. Mais combien de temps tiendront ils? Reste le bras de fer avec Cooperl et Bigard-Socopa, confrontés à une situation qu'ils n'ont pas voulue. Je ne doute pas qu'ils préféreraient acheter français à 1,25€ mais ce n'est pas le cas. Dans ce cas précis, même s'il y a des solutions française autres que la mise sous perfusion d'une filière ravagée, le problème est bien européen. Et il l'est de façon calamiteuse car c'est notre principale partenaire qui nous attaque sur un terrain dont elle n'a pas besoin pour consolider son commerce extérieur mais qui est vital pour nous.
À 1,40 euro, il est supérieur de 28 centimes au cours du porc allemand, et de 38 centimes à celui du porc néerlandais. Comment expliquez un te décalage dans les prix?
En terme de vision globale du projet européen, c'est un véritable coup de poignard dans les valeurs et l'esprit du Traité de Rome. Sans doute, en profondeur et sur les fondements, la première manifestation par l'absurde, de la perversité d'un système dont on s'obstine à nous certifier depuis 2005 qu'il est sain, tout juste un peu déréglé, mais sain. L'explication est dans la méthode. L'Allemagne et les Pays-Bas, mais aussi le Danemark, où l'on produit du porc à 1,23€ du kilo, ne sont pas dans une logique agricole. C'est essentiel pour comprendre les enjeux de cette crise, mais dans une logique industrielle au sens le plus stricte du terme. Ils ne font pas de l'élevage de porc mais des usines à porc, avec toutes les technologies et logistiques disponibles dans une procédure économique et sociale sans scrupule. A leur échelle, Pays Bas et Danemark sont un peu à part, mais l'Allemagne est dans une logique de productivisme où la concentration animale peut atteindre 60.000 animaux par unité de production. Notre ferme des 1000 vaches, pour effrayante qu'elle soit, joue dans la cour des amateurs en comparaison. Ajouter à cela le demi esclavage salarial issu de l'élargissement de l'Union à 28 pour motif idéologique, sans aucune étude réelle de marché (sauf pour les Allemands qui savaient ce qu'ils faisaient), et la boucle est bouclée. A ce rythme là le «porc Bolkenstein» n'est qu'un début. Toutes les filières de l'agriculture industrialisables y passeront et la France verra son patrimoine agricole se désagréger sous ses yeux si elle ne sort pas de la logique instaurée par la Fnsea. Parlons clair, l'Allemagne savait qu'en développant cette forme de production, sur un terrain dont elle n'ignore pas qu'il est vital pour tout un pan de l'agriculture et de l'agro industrie françaises, elle allait provoquer un déséquilibre commercial calamiteux au sein d'un système qui, en principe, est là pour réguler les disparités nocives et favoriser les équilibres profitables. Liberté des marchés et des échanges, bien sûr, mais au prix de la ruine du partenaire? Au prix d'une écologie foulée aux pieds? De tragédies sociales annoncées et d'un emploi bradé? D'une éthique alimentaire galvaudée? C'est ça «L'Union européenne»? On dirait vraiment une offensive extérieure à l'Union, mais pas du tout, c'est l'Allemagne! Les pays balkaniques se respectent mieux les uns les autres.
00:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Afrique du Sud : LA DISCRIMINATION ACTIVE CONTRE LES AFRIKANERS SE CONFIRME
Le Bloc-notes
de Jean-Claude Rolinat
La COSATU, la grande centrale syndicale noire d’Afrique du Sud, alliée de longue date à l’ANC au pouvoir à Pretoria, est montée une nouvelle fois au créneau pour critiquer la composition de l’équipe nationale de rugby dans la perspective de la prochaine coupe du monde qui se déroulera à l’automne, au Royaume–Uni.
Son secrétaire-général, un certain Ehren REICH – ça ne s’invente pas ! – a critiqué le sélectionneur des Springboks pour son choix des joueurs qui, selon lui, est empreint de « racisme ». Rien que cela ! Il n’est sans doute pas venu à l’idée de cet apparatchik syndicaliste que seule la qualité et la performance sont les critères décisifs. Heyneke Meyer, le sélectionneur, aurait refusé de titulariser 5 joueurs noirs et métis lors des derniers matchs disputés par les Springboks, rencontres qui, d’ailleurs, ne le leur ont pas été favorables.
Eren REICH pense-t-il qu’avec ses protégés les scores auraient été meilleurs ? La vérité c’est que comme aux Etats-Unis, la variante locale « d’affirmative action » empoisonne le monde du travail, de l’industrie, du commerce, comme de l’administration. Pourtant, le rugby n’a jamais été un sport très prisé par les noirs Sud-Africains qui lui préfèrent, de loin, le football où les « visages pâles » brillent par leur quasi absence dans l’équipe nationale. Indépendamment des qualifications requises, comme dans l’armée, c’est la politique des quotas qui va désormais présider à la composition des équipes de rugbymen.
Celle-ci devrait amener les Springboks à partir de 2019, de compter autant de sportifs blancs que de joueurs de couleur. La Fédération Sud-Africaine de cette discipline s’y est engagée auprès du gouvernement de Jacob Zuma, l’inénarrable Président d’Afrique du Sud. Mais ça ne suffit pas à la COSATU qui demande le renvoi pur et simple d’Heyneke Meyer. Il s’est même trouvé quelques joueurs blancs, sans doute issus de cette bourgeoisie anglophone et afrikaner « gaucho/bobo », pour s’y associer ! Cette affaire est emblématique de l’esprit de revanche qui anime certains milieux dirigeants noirs qui n’ont de cesse de faire payer « le blanc », coupable à leurs yeux de tous les maux qui frappent leur pays.
Résultat des courses ? A la longue, les blancs se lassent, prennent la porte sans esprit de retour, condamnant bien malgré eux ce magnifique pays à une terrible régression humaine, économique et sociale. Demain, l’Afrique du Sud sera-t-elle au même niveau zéro que le Zimbabwe voisin ?
Jean-Claude Rolinat est l'auteur d'un livre qui dresse le bilan édifiant de la politique de Mandela en Afrique du Sud cliquez ici
00:50 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 15 août 2015
Des nouvelles du voyage en Syrie : les participants ont été reçus par le ministre du Tourisme syrien
Nos amis partis en Syrie ont été reçus à Damas par le ministre du Tourisme, Monsieur B. Yazji, qui leur a fait un exposé sur la situation actuelle de son pays cliquez ici. Rappelons que ce voyage, le deuxième du genre, est organisé par les Communautés syriennes de France que nous avons reçu en février dernier cliquez ici
19:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un gouvernement imaginatif :
19:40 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 14 août 2015
Gollnisch renouvelle son soutien au Président Le Pen dans le Figaro
Bruno Gollnisch lors de son grand discours à Villepreux, en novembre 2010, pendant la campagne interne du FN pour élire le successeur de Jean-Marie Le Pen
LE FIGARO. - Jean-Marie Le Pen risque d'être exclu du FN le 20 août. Cette procédure est-elle le coup de trop ?
Bruno GOLLNISCH. - Cette hypothèse serait odieuse et ridicule. Humainement choquante, politiquement néfaste et juridiquement contestable, comme l'ont montré diverses décisions de justice. La seule voie raisonnable est de s'asseoir autour d'une table.
Mais la présidente du FN n'a-t-elle pas le droit de « couper le cordon » ?
Sacrifier celui qui a porté le mouvement pendant tant d'années, enduré des épreuves innombrables et qui est le symbole du refus du «politiquement correct» serait très grave. Dans la durée, on ne construit que sur les fondations. Et notamment sur le lien affectif qui unit le Front. Faute de ce lien, les revers, inévitables en politique, se transforment en déroute.
On peut donner quitus à Marine Le Pen d'assumer sa ligne. La rupture avec le père n'est-elle pas le prix à payer ?
Elle peut assumer la « normalisation » et laisser la «transgression» à son père. Des sensibilités différentes peuvent cohabiter. Elle peut encore dire : «Vous connaissez mon père, ce n'est pas maintenant qu'il va changer d'avis, je ne suis pas d'accord avec lui sur tous les sujets, mais il reste mon père et le fondateur de ce parti». On n'en parlerait plus.
Depuis la crise Mégret, une partie des dirigeants du FN fait le pari de la normalisation. L'ancien leader néofasciste italien Gianfranco Fini a longtemps été le modèle de cette conversion...
Fini est l'exemple d'une impasse. Dauphin de Giorgio Almirante, il en a renié l'héritage. Malgré ces contorsions déshonorantes, il n'a jamais été président du Conseil. Aujourd'hui, son parti, naguère de 120 députés, ne pèse plus rien. Fini, c'est fini. Et Alessandra Mussolini, la petite-fille du Duce, siège à Strasbourg avec les députés français UMP-Républicains !
Est-il encore temps de trouver un compromis ?
Tant que l'irréparable n'a pas eu lieu, l'espoir demeure. Jean-Marie Le Pen n'est pas en contradiction avec le projet du parti, qui n'a pas été modifié par les deux précédents congrès. Et il est d'accord pour acter que ses propos n'engagent que lui-même et pas le mouvement.
Comment y parvenir avant le 20 août ?
Beaucoup souhaiteraient s'interposer. Marion Maréchal notamment devrait avoir le courage de prendre une initiative en faveur d'un nouveau modus Vivendi. Elle n'est pas la seule à pouvoir agir, dans l'intérêt de toutes les parties…
Qu'allez-vous faire si Jean-Marie Le Pen est exclu ?
Je ne resterai pas sans réaction.
Source : Le Figaro
18:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Calais : ce que les bobocriminels de la presse aux ordres vous cachent
12:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les campagnes de Synthèse nationale : c'était en avril dernier...
00:15 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 13 août 2015
Bruno Gollnisch était invité sur RMC
Bruno Gollnisch invité aux "Grandes Gueules" de RMC.
Bruno Gollnisch était le 11 aout l’invité d’Alain Marschall et d’Olivier Truchot dans le Grand Oral des Grandes Gueules de RMC.
L'intégral de l'émission cliquez ici
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Évidente goujaterie !
La chronique
de Philippe Randa
Elle a traversé 800 ans, la Cathédrale Sainte-Marie de Saint-Bertrand-de-Comminges dans les Pyrénées Centrales qui rassemble en un vaisseau unique 3 églises, d’époques, de styles, de constructeurs différents : romane, gothique et renaissance ! Une splendeur… que vient néanmoins gâcher d’inappropriés panneaux d’informations intérieurs.
L’un nous indique que l’on devra s’acquitter d’« “une participation aux frais”, perçue par la Mairie pour faire face aux dépenses d’entretien du bâtiment… » : rien de scandaleux, si ce n’est cette précision : « La communauté chrétienne ne perçoit pas un centime sur ces entrées… »
Un autre panneau enfonce le clou : « Si vous avez la foi, vous rejoindrez par cette démarche la foule des pèlerins des générations passées venue se recueillir… (et si) vous ne partagez pas la foi des chrétiens : Ne troublez pas le silence de cet espace… », tandis qu’un troisième rappelle qu’il est nécessaire de « respecte(r) ce lieu dont la vocation première reste le culte chrétien » : pas évident pour tout le monde, donc !
Est-il indispensable d’être croyant pour reconnaître que c’est tout de même à « la communauté chrétienne » que l’on doit un tel joyau d’architecture religieuse ? Annoncer ainsi qu’elle ne tire aucun bénéfice d’une participation aux frais d’entretien est d’une rare mesquinerie et d’une parfaite goujaterie… Quant à faire partie de « la foule des pèlerins des générations passées », qui que l’on soit et quelle que soit sa conviction religieuse, on la grossit de fait, du simple fait de sa présence… Quant à respecter le lieu, c’est également une évidence, du moins pour tout honnête homme…
Trouve-t-on de similaires panneaux d’informations dans les mosquées, les synagogues ou les temples ? Pour ma part, j’en doute… Et je les y trouverais tout autant parfaitement déplacés !
Les chroniques de Philippe Randa sont publiées dans Présent.
10:47 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |