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mercredi, 05 août 2015

Le Crabe-Tambour vient de subir une fermeture administrative d'un mois. AIDEZ-LE A VAINCRE CETTE NOUVELLE ATTAQUE DU POUVOIR !

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Communiqué du Crabe-Tambour 

Nous avons le regret de vous annoncer la décision de la Préfecture de police de fermer administrativement le Crabe-Tambour jusqu'en septembre. Cela en raison de plaintes s'appuyant sur des motifs farfelus et qui prêtent à sourire.

Cela ne change en rien notre détermination à maintenir cet espace de liberté parisien ouvert et de continuer le combat. Nous serons donc à nouveau ouverts dès le vendredi 04 septembre.

Mais, d'ici là, nous avons besoin de votre aide pour tenir et pour repartir de plus belle dès la réouverture ! En effet, le Crabe-Tambour est un local géré par des bénévoles et qui utilise toute sa recette pour payer ses factures. Un mois de fermeture veut dire un mois de loyer à payer sans aucune recette.

Nos bénévoles qui investissent leur temps et leur argent ne pourront pas subvenir à tous ces besoins en ce mois d'août, c'est pourquoi nous appelons à votre solidarité et organisons cette collecte afin de maintenir le Crabe-Tambour en vie.

Merci de votre soutien !

Pour aider le Crabe-Tambour : cliquez ici

NDLR : rappelons que le Crabe-Tambour est le lieu où, régulièrement, Synthèse nationale organise des conférences. Nous demandons à nos lecteurs de faire, dans la mesure de leurs possibilités, un petit geste pour aider cette noble institution parisienne à passer ce mauvais cap.

13:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Paimpol, son église, son grand pardon et son festival des chants de marins

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Même à Paimpol le festival est métissé...

Ne cherchez pas Théodore Botrel, il n'existe plus !

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De plus en plus pathétique : EN TRADUISANT SON FONDATEUR DEVANT LA COMMISSION DE DISCIPLINE LE FN PERD SA RAISON D'ETRE

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Marine Le Pen a décidé de convoquer son père, Jean-Marie Le Pen, devant la commission de discipline du Front national. L'affaire continue à s'enliser et les tenants du Système se régalent. L'obstination de l'actuelle direction du FN à vouloir liquider le "père fondateur" pour devenir un parti comme les autres commence à friser le suicidaire. 

Le FN, depuis sa création en 1972, s'est toujours revendiqué comme étant l'incarnation politique de la Droite nationale, sociale et populaire. C'est sur cette ligne qu'il s'est imposé au fil du temps comme un parti crédible capable de proposer le renouveau face à la déchéance dans laquelle les gouvernements successifs ont fait plonger la France. 

La prise de conscience récente par une partie grandissante de notre peuple des dangers qui menacent l'existence même de notre nation, et au-delà de celle-ci notre civilisation, fait que, plus que jamais, le développement d'une force nationaliste et radicale offensive contre le Système est nécessaire si l'on veut libérer la France du carcan mondialiste.

Or, en cherchant à devenir un parti "respectable" et respectueux qui ne cesse de donner des gages au Système, le FN s'éloigne de plus en plus de sa vocation a être cette force alternative. En devenant un parti docile et compatible, il perd finalement toute sa raison d'être.

Synthèse nationale

Texte du communiqué de Jean-Marie Le Pen cliquez ici 

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mardi, 04 août 2015

C'est de cette façon qu'en juillet 1962 on traita les rapatriés d'Algérie

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Manuel Gomez

26 juillet 1962, le maire de Marseille, le socialiste Gaston Defferre, accorde une interview au quotidien Paris-Presse l’Intransigeant. Sujet : l’arrivée massive des rapatriés d’Algérie.

53 ans plus tard, il m’apparaît comme instructif, pour les générations qui n’ont pas connu, ou mal connu, ces événements tragiques, de faire souvenir de quelle manière ont été accueillis ces Français lors de leur arrivée, contre leur gré et emportés par le vent de l’Histoire, dans leur pays, leur patrie, la France.

Le « bafouilleur marseillais », Gaston Defferre, ne se prive guère de donner son avis : « Ils fuient. Tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D’ailleurs, nous n’avons pas de place. Rien n’est prêt. Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront ! En aucun cas et aucun prix je ne veux des pieds-noirs à Marseille. »

À la question « Voyez-vous une solution aux problèmes des rapatriés à Marseille ? », il répond : « Oui, qu’ils quittent Marseille en vitesse ; qu’ils essaient de se réadapter ailleurs et tout ira pour le mieux. »

Mais Gaston Defferre n’est pas un cas isolé.

Un sondage IFOP début juillet indique que 62 % des métropolitains refusent toute idée de sacrifice à l’égard des Français d’Algérie.

Voici d’ailleurs un rapport découvert lors de l’ouverture des archives : « Les Français d’Algérie qui débarquent en métropole font l’objet d’une froide indifférence, ou même d’appréhensions. On ne les connaît pas. On ne sait d’où ils viennent ni si ils sont “vraiment” français. Jugés premiers responsables du conflit qui vient de se terminer et qui a coûté la vie de trop nombreux soldats métropolitains, ils ne semblent pas “mériter” que l’on porte sur eux le regard compatissant que beaucoup espèrent. »

Conseil des ministres du 18 juillet 62, Louis Joxe s’exclame : « Les pieds-noirs vont inoculer le fascisme en France. Dans beaucoup de cas, il n’est pas souhaitable qu’ils retournent en Algérie ni qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie. »

Pompidou, Premier ministre, appuie cette idée : « Pourquoi ne pas demander aux Affaires étrangères de proposer des immigrants aux pays d’Amérique du Sud ou à l’Australie ? Ils représenteraient la France et la culture française. »

De Gaulle : « Mais non ! Plutôt en Nouvelle-Calédonie ! Ou bien en Guyane, qui est sous peuplée et où on demande des défricheurs et des pionniers ! »

Le 22 juillet 1962, Gaston Defferre poursuit ses anathèmes sur Paris-Presse : « Français d’Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma cité. »

Dans le centre de Marseille, une inscription sur un grand panneau : « Les pieds-noirs à la mer. »

À l’aéroport d’Orly, la direction interdit aux pieds-noirs d’emprunter l’escalier mécanique parce qu’elle estime que leurs valises et leurs ballots volumineux sont une gêne pour les autres voyageurs.

Pas l’once d’une compassion parmi les responsables politiques français: « L’intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des pieds-noirs », dit froidement de Gaulle, le 4 mai 1962, en Conseil des ministres.

Un autre jour, à Peyrefitte qui lui expose « le spectacle de ces rapatriés hagards, de ces enfants dont les yeux reflètent encore l’épouvante des violences auxquelles ils ont assisté, de ces vieilles personnes qui ont perdu leurs repères, de ces harkis agglomérés sous des tentes, qui restent hébétés… », le Général répond sèchement : « N’essayez pas de m’apitoyer ! »

Parlant d’Edmond Jouhaud, l’un des généraux putschistes du 13 mai 1958 : « Ce n’est pas un Français, comme vous et moi, c’est un pied-noir. »

Voilà, tout est dit. Ceux qui ne savaient pas le savent à présent. Quant à ceux qui n’ont jamais voulu savoir, qu’ils croupissent dans leur ignorance.

12:43 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TAUBIRA, MADONE DES CHAUFFARDS DE BANLIEUE Dis moi qui tu privilégies, je te dirai qui tu es

permis-de-conduire.jpgJean Ansar 

Métamag cliquez ici

Sacré Christiane, toujours de bonnes raisons pour mettre la justice au service des désordres. On espère que pendant ses vacances guyanaises, un morceau de France, comme elle aimerait en voir partout, elle ne sera pas renversée par un conducteur sans permis.

Mais bien sûr ce qui l’intéresse, ce n’est ni la France exotique ni la France profonde, mais une France qui serait une immense Seine-Saint-Denis aux couleurs de l’immigration qui, incontrôlée, doit continuer à l’être dans tous les domaines. Sa dernière idée qui risque d’être abandonné provisoirement, était tout de même sympa. Il s’agissait de supprimer le délit de conduite sans permis et sans assurance au profit d’une amende forfaitaire de 500 euros. Voila qui fera des économies, surtout là où l’on hésite à contrôler des conducteurs de quartiers sensibles comme un accélérateur, jugeant le permis inutile et coûteux, un truc de nantis pour empêcher les djeunes d’accéder  à la joie du volant.

Le permis une sorte de discrimination par l’argent non ?

Cette idée , lancée en plein été la veille du plus grand week-end de chassé croisé est une provocation nouvelle de celle qui se croit tout permis… même le permis sans permis. Alors que l’on traque l’automobiliste en règle comme un délinquant, le délinquant lui devrait cesser de l’être. Ça, c’est de la justice de discrimination positive.

Les réactions obligent cependant la garde des sottes (féminin de garde des sceaux non ?) à admettre que le société n’est peut être pas tout a fait prêt pour ce progrès taubirasque. Christiane Taubira s'est donc déclarée prête à renoncer au projet de sanction - est-ce bien le terme- de la conduite sans permis par une simple contravention si la société n'est pas favorable à cette mesure prévue par un des volets de sa réforme de la justice. La présidente de la Ligue contre la violence routière, Chantal Perrichon, a dénoncé sur France Info une "proposition extrêmement choquante" qui envoie un "mauvais signal".

Christiane Taubira a fait valoir sur France Inter que cette mesure était "plus efficace, plus rapide, plus juste" et ne concernait que la première infraction. En cas de récidive, "il s'agira d'un délit", a-t-elle souligné. Quelle fermeté !

L’idéal serait tout de même d’avoir sur nos routes, plutôt que ces banals touristes franchouillards , des hordes de  sympathiques migrants , nouveau nom des clandestins, sans papiers et sans permis prenant la route de Calais avec un ticket gratuit humanitaire pour le tunnel sous la manche.

Si Christiane quitte le ministère de la justice, un malheur peut toujours arriver, elle est prête pour celui des transports.

NDLR : Au moment ou nous mettons en ligne cet article, nous apprenons qu'un accident s'est produit, ce dimanche, vers 1h24, sur la D17, au lieu-dit Route de La Chèze sur la commune de Rohan, (Morbihan). 14 jeunes se trouvaient dans la voiture. Quatre d'entre eux sont décédés.  Le conducteur, âgé de 17 ans, ... n'avait pas le permis de conduire

01:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 02 août 2015

LE GRAND RENDEZ-VOUS DE LA RENTREE : RETENEZ LA DATE DU DIMANCHE 11 OCTOBRE

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15:17 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 01 août 2015

Chassé croisé 2015, ça donne :

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18:25 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 12 septembre : rassemblement identitaire et patriote dans le Berry

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Renseignements cliquez ici

 

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Cet été, le Calvados fête son Histoire

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00:00 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 30 juillet 2015

René Marchand : l'islam est une loi autant qu'une religion

17:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 29 juillet 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

Numéro spécial été

23:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3198 du 23 juillet 2015

 

BRUNO Le Maire a de solides prétentions. Il ambitionne de diriger les Républicains puis de se faire élire président de la République. Rien de plus, rien de moins. J’avais évoqué la semaine dernière la pétition « touche pas à mon église », lancée par Denis Tillinac dans Valeurs actuelles, et signée par nombre de personnalités dites de “droite”, dont Sarkozy qui avait toutefois exigé que son nom ne figurât pas aux côtés de ceux des fascistes supposés du FN, fût-il mariniste. On imagine la douleur de Marine Le Pen de se voir refuser l’imprimatur du système, malgré ses reptations. Bref, parlons de notre oiseau, Bruno Lemaire, que d’aucuns naïfs situent à “droite”.

 

BRUNO LEMAIRE, UN EXCEPTIONNEL ZOZO

 

Il explique, l’air grave, avec un visage sans aucune aspérité, ce qui est hautement suspect, pourquoi il a refusé de signer la pétition « Touche pas à mon église ». Il a déclaré : « Moi, on m’a demandé dix fois de signer cette pétition avec Zemmour, et j’ai refusé. Car c’est une pétition contre le vivre-ensemble, de nature à opposer les communautés les unes contre les autres et à alimenter l’islamophobie. » Devant tant de bêtise et de lâcheté, on ne peut que le saluer respectueusement. Chapeau, l’artiste !

 

BERNARD BOUCAULT FACE À LA JUSTICE IMMANENTE

 

L’affreux Bernard Boucault, l’ancien préfet de Paris qui avait fait gazer, matraquer, embastiller les participants aux Manifs Pour Tous, se trouve aujourd’hui lui-même dans la tourmente judiciaire. Cela concerne une affaire de corruption et de trafic d’influence à laquelle sont mêlés entre autres Christian Prouteau, Christophe Rocancourt et un ancien patron du 36 Quai des Orfèvres. Bernard Boucault, qui est un proche de François Hollande (il avait prolongé son mandat en 2013, alors qu’il était atteint par la limite d’âge), ce qui n’étonnera personne, est dans le viseur du juge Roger Le Loire. Le magistrat instructeur a saisi dans son bureau les preuves de « l’aide à l’entrée et au séjour d’étrangers en situation irrégulière ». Jo Masanet, figure de la gauche policière est, lui aussi, mis en examen dans ce dossier. Pour faire face à des dettes et placer ses hommes, Masanet utilisait son impressionnant réseau, qui va du simple gardien de la paix jusqu’aux préfets, ministres et hauts fonctionnaires à l’Élysée. Il se faisait rémunérer dans la plupart des cas pour ses interventions. C’est ainsi que cela se passe dans leur République. Entre 2013 et 2014, Boucault avait été sollicité une dizaine de fois par Jo pour “aider” à la régularisation de ressortissants étrangers. Le préfet gazeur donnait bien entendu suite avec empressement aux demandes de son ami. Mais il aurait été dommage pour l’histoire des ripoux que la fine équipe s’arrêtât là. Poursuivons. L’ex-préfet de police de Paris est également intervenu pour faire sortir le véhicule d’un ami de Masanet de la fourrière ou pour faciliter le renouvellement de la carte de circulation — habituellement réservée aux fonctionnaires de police — de l’enseigne Chanel. Au fait, savez-vous comment Boucault appelait Jo, si l’on en croit la retranscription des écoutes téléphoniques dont Le Point a pu prendre connaissance ? Il l’appelait « mon frère » ! De quelle loge, ça on ne sait pas…

 

HOLLANDE SE MOQUE VRAIMENT DU MONDE

 

Hollande prend vraiment les gens pour des imbéciles. Lors de son entretien du 14 juillet, évoquant l’accord sur le nucléaire iranien et voulant justifier l’interdiction faite à l’Iran de posséder la bombe nucléaire, il a pointé le risque de prolifération. Il a eu cette phrase absolument stupéfiante : « Si l’Iran a la bombe, l’Arabie Séoudite et Israël voudront la bombe… » Tout le monde sait, et évidemment le Pingouin ne l’ignore pas, qu’Israël dispose de centaines d’ogives nucléaires. C’est ce qui s’appelle se moquer du monde. Et prouver une fois de plus son allégeance servile à l’entité sioniste.

 

RALLIEMENT AU GROUPE FN DU PARLEMENT EUROPÉEN

 

Le FN mariniste avait réussi, il y a un mois, à constituer un groupe au Parlement Européen avec tous les avantages afférents. Il fallait pour cela rassembler 25 députés issus de sept pays différents. Cette dernière contrainte était la plus difficile à surmonter, mais cela fut réalisé. Il n’empêche qu’une épée de Damoclès pesait sur la survie du groupe. A la moindre défection d’un représentant isolé d’un pays membre, le groupe disparaissait. Mais cette menace s’éloigne. Le ralliement de Laurenţiu REBEGA, député roumain, permet au groupe ENL (Europe des Nations et des Libertés) de compter désormais huit nationalités, et donc de pouvoir s’inscrire dans la durée de la mandature 2014-2019. Au fait, le député roumain était, jusqu’à présent, membre du groupe socialiste…

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ÉLECTIONS AMÉRICAINES : DONALD TRUMP FAIT APPEL À LA WAFFEN-SS DANS SA CAMPAGNE ÉLECTORALE

 

Donald Trump est ce multimilliardaire américain qui a fait sa fortune dans l’immobilier. Il a encore frappé. Candidat à l’investiture républicaine pour la présidentielle américaine de 2016, il est un habitué des polémiques. Homosexuels, Noirs, Mexicains ou Chinois en prennent souvent pour leur grade… Un sondage réalisé le 15 juillet pour le Washington Post et ABC News montre que le magnat de l’immobilier n’est pas un candidat fantaisiste. Il séduit 57 % des Républicains. Les sondés ayant une mauvaise opinion de lui sont passés de 65 % en mai 2015 à 40 % en juillet. Son discours semble donc porter. Dernière polémique. Il est accusé d’avoir rédigé un tweet célébrant la grandeur des Etats-Unis, qui le mettait en scène sur fond de bannière étoilée, avec des silhouettes de trois soldats, portant l’uniforme de la Waffen SS. Devant le tollé qui se profilait, le tweet fut rapidement effacé. Lisons quelques extraits de discours de ce curieux et parfois amusant personnage : « Je serai le plus grand président de l’emploi que Dieu ait créé ; Croyez-moi. Personne ne construit des murs mieux que moi. Je vais construire un grand, grand mur sur notre frontière sud et je ferai payer les Mexicains ; J’ai un patrimoine bien supérieur à dix milliards de dollars. Ce n’est pas pour me vanter, parce que vous savez quoi ? Je n’ai pas à le faire ; Si on veut résoudre le problème de la criminalité, il faut arrêter d’être aussi politiquement correct ; Je pense que la seule différence entre moi et les autres candidats, c’est que je suis plus honnête et que mes femmes sont plus belles ; Je ne suis pas pour le mariage gay. Les gens savent que ce n’est pas mon truc ; Devenir riche est facile, le rester est plus dur »…

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CACHEZ CES ÉGORGEMENTS QUE LES TARTUFFES NE SAURAIENT VOIR

 

C’est Michel Janva, du blog Salon Beige qui le raconte. Le Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence a fait modifier la mise en scène de L’Enlèvement au sérail, proposée par l’Autrichien Martin Kusej. Le sérail était devenu un camp de djihadistes où était retenue prisonnière la jeune fille que son fiancé cherche à libérer. Dans une scène, on voyait des drapeaux de l’Etat islamique et aussi des sacs en plastique supposés renfermer des têtes de prisonniers décapités. Tout cela a disparu. Le directeur du festival, Bernard Foccroulle, s’en est expliqué : « La question de l’image est devenue extrêmement sensible, nous n’avons pas voulu que des images piochées dans la production se retrouvent sur internet hors contexte. Ce n’est pas de la censure, c’est de la maturité. » Ben, voyons, cachez ces égorgements que les Tartuffes ne sauraient voir…

 

ROBERT MÉNARD : “LA GAUCHE A PEUR DE LA RÉVOLUTION QUI VIENT

 

La justice a donné raison à Robert Ménard dans « l’affaire de la crèche de Béziers » : une première fois en référé, une seconde, sur le fond. C’est une belle victoire d’autant que le rapporteur public avait donné raison à la Ligue des droits de l’homme et, très généralement, le tribunal suit ses recommandations. Robert Ménard vient d’accorder une interview à Boulevard Voltaire dans laquelle il revient sur les attendus du jugement. Il note que le tribunal admet qu’il n’est pas nécessaire de justifier d’une tradition locale pour mettre en place une crèche. Ensuite, il reconnaît que son installation en mairie, à partir du moment où elle s’inscrit dans un champ culturel, ne contrevient pas à l’article 28 de la loi de 1905. Le tribunal affirme aussi que la commune avait parfaitement le droit d’acheter des santons, qu’il ne s’agissait nullement du financement d’un projet cultuel. « Bref, dit-il, sur l’essentiel, le tribunal nous a suivis ou, plutôt, a refusé de suivre une argumentation sectaire qui tient davantage de la bigoterie laïque que de la défense de la laïcité. » Ménard conclut par ces mots : « Au fond, la gauche n’est plus que sur la défensive. La réactionnaire, c’est elle. La conservatrice, qui essaye de conserver les « acquis » de Mai 68, c’est elle. Elle a peur de la révolution qui vient. La gauche vit dans le cauchemar de la parole libérée, de l’action libératrice, du retour de la vitalité et de la volonté.» Bien vu ! Sauf que Ménard n’est plus du tout partisan de la « parole libérée » quand il s’agit de Jean-Marie Le Pen et que le président d’honneur du Front national s’exprime dans nos colonnes.

 

“LE POUVOIR JUIF DE WALL STREET : IMPITOYABLE ET SANS MERCI”

 

Deux sociétés sud-coréennes, filiales du groupe Samsung, le plus grand conglomérat familial de la Corée du Sud, ont décidé de fusionner, dans une démarche de consolidation. Si l’on en croit des grands media sud-coréens, les “Juifs” ont tenté de bloquer l’accord. Une publication a écrit que le pouvoir juif de Wall Street « a longtemps été connu pour être impitoyable et sans merci ». Un autre journaliste a écrit que « les Juifs sont connus pour exercer un pouvoir énorme à Wall Street et dans les milieux financiers mondiaux » et que « c’est un fait bien connu que le gouvernement américain est influencé par le capital juif ». Nous l’ignorions…

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

23:51 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Crise au FN : 94 % de 55 %

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Un communiqué de Jean-Marie Le Pen :

La direction du FN a décidé de rendre publics les résultats de la consultation postale (baptisée abusivement Congrès) que la justice a pourtant, par deux fois, jugé illicite.

Cette publication « hors la loi » est une opération de communication politicienne au pire sens du terme.

Rappelons que les opérations de réception et de comptage ont été réalisées de façon totalement opaque sans possibilité de contrôle.

Sur 51 000 inscrits, seuls 28 000 avaient, selon la direction du FN, voté le 10 juillet sur la modification des statuts, suivant largement ma consigne d’abstention.

A l’effondrement du nombre de nos adhérents (de 83 000 en octobre 2014 à 51 000 en mai 2015), les multiples défaites dans les urnes aux partielles depuis mai dernier, ont suivi les camouflets judiciaires sur la pseudo-consultation jugée irrégulière par la justice et dont seule la disparition du statut du Président d’honneur constituait une réelle modification alors que sans aucun débat, je n’avais même pas eu droit de me défendre. Une pseudo-consultation dont j’ai été exclu irrégulièrement de toutes les instances internes décidant des opérations de vote, dans une parfaite opacité, sans contrôle aucun de ma part de leur déroulement et pour laquelle je doute même de la réalité du corps électoral dont l’anonymat n’était même pas garanti.

Une pseudo-consultation dépouillée alors que la justice en avait interrompu le déroulement.

A l’heure du chômage, des dettes et des déficits écrasants, de l’immigration invasive, de l’insécurité insupportable, le Front national n’a-t-il rien d’autre à faire que de dépouiller une consultation irrégulière et inutile?

Ceci serait risible s’il ne s’agissait pas du seul espoir de salut de la France et des Français…

Une dernière fois, je demande aux dirigeants du Front National de retrouver la raison et le chemin de l’union… avant qu’il ne soit trop tard.

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Anniversaire de :

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Le mal français

Le billet de Patrick Parment

baguette.jpgSi l’on voulait synthétiser d’un mot, on dirait que la France est victime d’un jacobinisme excessif grisé de stalinisme libéral.L’Etat surveille tout, encadre tout et impose à tout va. L’Etat tue l’initiative et étouffe une société française qui a besoin de s’ouvrir et de respirer. Notre modèle sociétal,  qui hier encore, passait pour un atout est aujourd’hui un sérieux handicap, d’autant qu’il faut désormais y ajouter les réglementations souvent absurdes de Bruxelles. L’Europe, depuis son ouverture à l’Est, joue contre les Européens et l’Etat français contre une France qui pourrait afficher de bien meilleurs résultats si on « n’emmerdait pas autant » les Français comme le suggérait le président Pompidou, unique grand homme de cette mafieuse Ve république.

 Les éléments les plus criants sont, d’une part, une administration totalitaire, peu rationnelle et quasi autonome, d’autre part, un système fiscal foncièrement injuste et inégalitaire mais qu’aucun gouvernement ne se risque à réformer. En corollaire, viennent s’ajouter une inflation de lois de circonstance, la plupart du temps inutiles, et un excès de réglementations et de normes qui bloquent les initiatives, notamment dans le bâtiment et l’industrie. Ce qui a aussi pour conséquence de figer les entreprises artisanales – premier employeur national – qui ont de plus en plus de mal à assurer la relève de leurs métiers. A cela une raison majeure : un système éducatif lui aussi obsolète et une baisse dramatique du niveau des élèves.

Comme si cela ne suffisait pas, la France, agricole par excellence est en crise : les prix à la production ne permettent plus aux agriculteurs et aux éleveurs de vivre décemment du fruit de leur labeur. Principal responsable, comme le note fort justement Périco Légasse dans Le Figaro (22/07), la grande distribution, autrement dit les Leclerc, Auchan, Casino et consorts, surfant sur la vague d’une Europe désaccordée. Ce qui était au départ une bonne idée, permettre à chacun de se nourrir à des prix raisonnables, s’est muée en une machine à faire du fric, à engraisser les actionnaires et à soudoyer les politiques. L’Europe qui avait réussi à réguler son marché pour éviter les famines quand elle était à Six, s’est mise une balle dans le pied en grossissant à 27 ou 28 mais surtout en permettant à une Europe de l’Est de mettre sur le marché un lumpenprolétariat largement sous-payé.

Du déséquilibre européen naît en partie le désordre français et un Stéphane Le Foll, soi-disant ministre de l’Agriculture – et qui bien son nom – est littéralement dépassé par les événements.

Si l’on ajoute le coût de l’immigration que taisent nos droits de lhommistes gouvernementaux, il est incontestable que nos gouvernants, de droite comme de gauche, appauvrissent la France d’année en année via l’incompétence de ses énarques qui règnent sur l’administration depuis des décennies et l’irresponsabilité de ces élus qui détruisent notre avenir. Comme le disait cet imbécile de Lénine : que faire ? La réponse est : devinez ! 

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Dans le n°40 (été 2015) de Synthèse nationale :

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Libye : allons-nous être contraints de soutenir Al-Qaida contre Daesh ?

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L'Afrique réelle cliquez ici

En Libye, les interventions de l'Egypte, de l'Algérie et de la France, destinées à limiter les conséquences devenues incontrôlables de la guerre insensée déclenchée contre le colonel Kadhafi, deviennent de plus en plus problématiques. Pour cinq grandes raisons :

1) Cette intervention était subordonnée à la constitution en Libye même d'une force "nationale" susceptible d'être appuyée. Or, le général Haftar a échoué dans sa guerre contre les islamistes. 

2) Plus que jamais, le principal objectif algérien en Libye est la fin du chaos en Tripolitaine afin d'assurer la sécurité de la frontière orientale. Englué en Cyrénaïque, le général Haftar n'a aucun pouvoir en Tripolitaine. Voilà pourquoi Alger traite actuellement avec les islamistes hostiles à Daesh qui contrôlent l'ouest de la Libye.

3) L'Egypte se trouve prise au piège. Dans sa lutte à mort contre les islamistes et les Frères musulmans, elle dépend en effet du financement des monarchies sunnites du Golfe. Or, paniquées par le retour de l'Iran chiite sur la scène politique régionale, ces dernières ont décidé de se rapprocher de tous les mouvements sunnites, dont les Frères musulmans et Al Qaida, comme cela vient de se produire au Yémen. Nous sommes en présence d'une politique de simple survie dont le terme est imprévisible, mais qui bouscule l'échiquier régional. Pour deux raisons majeures :

- Ce rapprochement a affaibli Al Qaida car plusieurs groupes sunnites qui y sont opposés viennent de se rallier à Daesh, notamment en Tunisie et en Algérie.

- L'Arabie saoudite freine l'interventionnisme du général Sissi afin de ne pas affaiblir ses nouveaux alliés en Libye, ce qui favorise indirectement Daesh, nébuleuse sunnite qui ne la menace pas encore.

4) Dans ce jeu d'échecs, la France est sur l'arrière-main, se limitant à éviter au Sahel une contagion venue de Libye. Or, tous les connaisseurs du dossier savent bien que sans une "pacification" de la Libye, l'opération Barkhane est bancale.

5) La solution libyenne qui était tribale n'est plus d'actualité. Dans les zones conquises, Daesh, dont la force de frappe est composée de non Libyens, a en effet  renversé le paradigme tribal en liquidant physiquement les chefs qui ne voulaient pas lui faire allégeance afin de terroriser les autres. En conséquence de quoi, les ralliements se multiplient...

Face à cette situation, l'Egypte et la Tunisie ont décidé de se retrancher derrière  deux lignes électrifiées. Cette illusoire défense va certes permettre à certaines firmes européennes de faire de fructueuses affaires, mais elle ne stoppera pas la gangrène.

Alors, comme je ne cesse de le préconiser depuis des mois, il ne reste qu'une seule solution pour tenter, je dis bien tenter, d'empêcher la coagulation islamiste qui s'opère actuellement dans toute l'Afrique du Nord à partir du foyer libyen. Cette solution a un nom: Saif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi actuellement détenu à Zenten. Lui seul est en effet en mesure de reconstituer les anciennes alliances tribales de Cyrénaïque, de Tripolitaine et du Fezzan détruites par l'intervention franco-otanienne.  Or, cette solution est impossible puisque, dans l'ignorance bétonnée du dossier et aveuglée par ses principes juridiques européocentrés déconnectés des réalités, la Cour pénale internationale l'a inculpé pour "crimes de guerre".

Dans cette évolution vers le pire que connaît la Libye, poussés à la fois par l'Arabie saoudite et par l'Algérie, Frères musulmans, Al Qaida et diverses milices viennent de s' "allier" contre Daesh. 

Dans cette guerre entre islamistes qui menace notre flanc sud, allons-nous donc être contraints de considérer Al Qaida comme un nouvel "ami"... ? Voilà le scénario apocalyptique auquel le sémillant BHL et l'éclairé Nicolas Sarkozy n'avaient pas pensé...

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Le Président Poutine et l'immigration en Europe


 Source Le Point.fr

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mardi, 28 juillet 2015

Les petits profits de l’immigration

P1020933.JPGLa chronique

de Philippe Randa

En 1985, l’ancien ministre Bernard Stasi écrivait que « l’immigration est une chance pour la France » ! En 2015, elle peut aussi être une façon d’améliorer des bilans d’exploitation pourtant déjà largement bénéficiaires !

Ainsi, la société privée Groupe Eurotunnel dont les ventes ont progressé de 9 %, qui enregistre une hausse de chiffre d’affaires pour le onzième semestre consécutif, qui a dégagé un profit avant impôt de 56 millions d’euros en 2014 (contre 20 millions l’année précédente)  et que le quotidien Le Monde estime être « désormais une machine à cash parfaitement huilée » ! D’ailleurs, sa direction se félicite « (de s’être) fixé comme objectif d’atteindre 500 millions d’excédent brut d’exploitation en 2015 (et de réaliser) cet objectif avec un an d’avance. »

Néanmoins, pour son PDG Jacques Gounon, Eurotunnel assure « une forme d’étanchéité du tunnel sous la Manche par rapport au passage des migrants en Grande-Bretagne, puisque le nombre de migrants interceptés par les forces britanniques se compte sur les doigts de la main. L’essentiel est intercepté en France. Ça a un coût »

Et quel coût ! Eurotunnel réclame donc une indemnisation de 9,7 millions d’euros à la Grande-Bretagne et à la France pour « compenser ses dépenses de sécurité et sa perte d’exploitation liées à l’afflux de migrants qui tentent de rallier la Grande-Bretagne via le tunnel sous la Manche… »

S’il n’y a pas de petites économies, il n’y a pas non plus de petites sources de profits à négliger… et on sait bien que les petites rivières font les grands fleuves ! Tout comme les petites filières de la clandestinité, les grandes marées de l’immigration, d’ailleurs !

Publiée dans le quotidien Présent

09:41 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 27 juillet 2015

Le n°40 (été 2015) de la revue Synthèse nationale est paru

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Au sommaire :

Edito de Roland Hélie : UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE !

Guirec Sèvres : LA CRISE DU FN EST PLUS IDEOLOGIQUE QUE LES PRECEDENTES

Enjeux démographiques, déferlante migratoire, conflits internationaux, récupération des attentats de janvier, atteintes aux libertés, crise au Front national...

UN GRAND ENTRETIEN

AVEC JEAN-MARIE LE PEN

Patrick Parment: LE CAS GREC

Rencontres : HERVE VAN LAETHEM, porte-parole du mouvement identitaire wallon Nation

Jean-Claude Rolinat : EUROPE : QUE FAIRE FACE AU TSUNAMI MIGRATOIRE ?

Gabriele Adinolfi : Les propositions de l'Institut Polaris

Arnaud Guyot-Jeannin : Réponse à Aymeric Chaparde sur "la présence d'une 5e colonne islamiste en France"

Pieter Kerstens : La saga de l'Oncle Sam, chapitre XXX

Francis Bergeron :

De Chard à Konk, en passant par Aramis et Pinatel

DES DESSINATEURS DE PRESSE PAS DU TOUT "CHARLIE"

Robert Spieler : DES REVELATIONS SUR LES ECOLES PRIVEES

Omer de Marmara : Pierre-Antoine Cousteau forçat de la littérature

Georges Feltin-Tracol : Les livres au crible

Jean-Paul Chayrigues de Olmetta : Les pages du Marquis, PARIS MOSQUEE

Serge Ayoub : "Un Français" PAS SI MAUVAIS

Charles-Henri d'Elloy : Je déteste Roland Garros

Synthèse nationale : LILLE, POITIERS, PARIS activités de l'association...

RENDEZ-VOUS DIMANCHE 11 OCTOBRE A RUNGIS (94)

IXe JOURNEE NATIONALISTE ET IDENTITAIRE

N°40 - ETE 2015 :

120 pages, 12 € (+ 3 € de port)

Abonnement : 6 numéros : 50 € , soutien : 100 €, Europe : 60 €, reste du monde : 70 € - Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

A commander à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement)

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dans les bonnes librairies

14:51 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le flop de SOS Racisme à Reims

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Suite à l'agression dont a été victime une jeune femme, qui se faisait bronzer en maillot de bain dans un parc de Reims en fin de semaine dernière, par une bande de "chances pour la France", l'officine anti-nationale SOS Racisme, largement stipendiée par les municipalités grâce à l'argent des contribuables, avait appelé à un rassemblement citoyen sur les lieux du méfait.

SOS Racisme ne doute de rien et on allait voir ce qu'on allait voir. Toute la presse aux ordres, dans un unanimisme touchant, a salué cette initiative qui devait faire prendre conscience que les Français, dans leur immense majorité, ne faisaient "pas d'amalgame"...

Comme l'atteste la photo de ce rassemblement des bonnes consciences venues de toute la région Champagne-Ardennes, SOS Racisme a fait un flop. Une demi-douzaine de laiderons s'est exhibée devant les caméras en tentant de faire croire que c'était au nom de la France entière que cette démonstration pathétique se déroulait.

Décidément, à part les larbins de la presse du Système, SOS Racisme n'intéresse plus personne. Mêmes les mateurs lubriques ne se sont pas déplacés...

Synthèse nationale

Sur SOS Racisme cliquez ici

09:31 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Petit abécédaire d’un Français incorrect nommé Charles-Henri d’Elloy

ch h d' E abc.jpgLa Nouvelle Gazette de France cliquez ici

A l’occasion de la Fête de la Courtoisie, qui se tiendra à l’Espace Champerret dimanche 14 juin, la Nouvelle Gazette Française vous propose de découvrir la nouvelle édition du Petit abécédaire d’un Français incorrect….et quelques joyeuses impertinences ! de Charles-Henri d’Elloy. La nouvelle version de cette somme de billets d’humeur comprend un certain nombre d’extension et se voit embellie d’une gracieuse couverture illustrée par Pacaline Laurentie, jeune artiste formée dans l’atelier de Philippe Lejeune et Christoff Debusschere, de l’Ecole d’Etampes. 

Au détour de cet abécédaire rythmé, l’auteur, allergique au discours baragouineur ambiant, dénonce avec causticisme le babillage des termes plébiscités par la classe politique. De la « discrimination positive », désignée comme « l’apartheid de Tartuffe », aux « heures les plus sombres de notre Histoire », où le chroniqueur soulève la problématique d’une Histoire revue et corrigée par un esprit républicain fallacieux, Charles-Henri d’Elloy propose des traits d’esprits vivaces, enjoignant le lecteur à aborder des sujets licencieux à l’aune de sa grinçante ironie. 

Mû par un véritable amour de la langue française, le chroniqueur fait de sa défense un étendard : « Avez-vous remarqué que des bêtises prononcées en anglais ont une saveur plus intelligentes que dites en français ? « , hèle-t-il le lecteur avant de renchérir : « C’est sans doute pourquoi beaucoup de hâbleurs parsèment leurs discours de mots ou expressions anglaises pour combler les lacunes d’un raisonnement sommaire ». On retrouve là l’humeur moqueuse de l’anecdotier de Radio Courtoisie, prompt à railler la sotte indigence des médiocres (adeptes d’un multiculturalisme préempté par des institutions utopistes et soucieuses d’ériger leur idéologie à la France d’aujourd’hui). 

« Je vibre aux envolées d’un polémiste émérite, je m’exalte à la faveur d’un discours lyrique… mais je suis consterné par le langage plat et convenu d’une classe politique qui n’est plus qu’un théâtre d’ombres », explique Charles-Henri d’Elloy. Du discours médiatique pressé de  ‘’faire France’’, ou du verbiage politico-maçon du ‘’vivre ensemble’’, cet ouvrage délicieux est une apologie de la France enracinée. Lecture rafraîchissante (avec ou sans tongs). 

Du même auteur : 

  • Petit abécédaire d’un Français incorrect et quelques joyeuses impertinences !  (éditions Société des écrivains -2007- réédité en 2015 aux éditions Synthèse nationale.
  •  Chroniques radioactives, éditions Godefroy de Bouillon, 2013. 
  •  Rêve d’enchantement, éditions Godefroy de Bouillon, 2014.

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samedi, 25 juillet 2015

LA DECROISSANCE POUR LES NULS

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Guillaume Le Carbonel

Qu’est-ce que la décroissance ? Ni une insulte, ni un gros mot, ni même une nouvelle variété de légumes transgéniques. Pour reprendre la belle formule de Serge Latouche, il s’agit plus sûrement d’un slogan politique aux implications théoriques. Un drapeau en quelque sorte, une bannière sous laquelle se rassemblent toutes celles et tous ceux qui luttent contre la société de l’illimité et le développement effréné.

« Comme le mot socialisme à ses débuts, celui de décroissance reste incertain, polémique et scandaleux, étirable dans des directions contraires. C’est sa force et sa richesse de ne pas être enfermé dans une doxa sclérosante, tout en offrant un vocabulaire alternatif à la novlangue envahissante du management » écrit fort justement François Jarrige, maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Bourgogne (1).

De fait, la décroissance n’est ni de droite ni de gauche, si tant est que ces notions ont encore un sens pour certains. Elle est par contre radicalement anticapitaliste car opposée à la croissance pour la croissance, c’est-à-dire à l’accumulation illimitée du capital, et à l’exploitation des gens ordinaires par des minorités oligarchiques. Elle s’oppose avec force à l’idéologie du progrès et au modernisme, vus par certains comme émancipateurs, mais fabriquant en réalité, à la chaîne, un être abstrait arraché à toutes ses racines, un zombie pousseur de caddie guidé par ses seuls intérêts.

L’idée maîtresse de la décroissance réside dans l’analyse qu’une croissance infinie est incompatible avec un monde fini. D’après l’O.N.G. W.W.F., l’humanité est entrée en situation de dette écologique depuis les années 70. Depuis, le phénomène n’a fait que s’aggraver. Aujourd’hui, notre empreinte écologique excède de 50 % la bio-capacité de la Terre, autrement dit sa faculté à régénérer les ressources naturelles et absorber le C.O.2. La revue Science estime que la planète atteint de nos jours ses limites dans quatre domaines : changement climatique, érosion de la biodiversité, changement rapide d’usage des sols et perturbation des cycles de l’azote et du phosphore (2).

La décroissance appelle donc à une remise en cause de notre mode vie et à la construction d’un société conviviale, autonome et économe. La simplicité volontaire doit remplacer la servitude volontaire. Pour ce faire, un simple changement de cap ne saurait suffire. Décoloniser notre imaginaire nécessitera une véritable révolution culturelle et anthropologique. Une subversion totale.

Comme le rappelait André Gorz, la critique de la croissance n’a de sens, et de portée révolutionnaire, qu’en référence à un changement social total.

Certains s’imaginent que décroissance rime avec archaïsme, retour à la bougie ou au primitivisme. D’autres fantasment sur une croissance négative, expression absurde. Décroître pour décroître est aussi ridicule que croître pour croître.

Il s’agit en réalité de sortir de la logique de l’accumulation illimitée et du toujours plus. Il nous faut retrouver des limites pour donner un sens à notre vie étriquée, malmenée par l’hyper-technologie et l’obsession du changement. Serge Latouche parle de réaliser l’abondance frugale, autrement dit la prospérité sans croissance.

À l’origine de la décroissance, on trouve deux sources quasi simultanées et convergentes : la remise en question de la société de consommation, animée dans les années 60 par des hommes comme André Gorz, Jacques Ellul, Bernard Charbonneau ou encore Ivan Illitch, et la prise de conscience de la crise de l’environnement sur laquelle travaillera notamment Nicholas Georgescu-Roegen au cours des années 70.

En 2002, le slogan sera repris par Vincent Cheney et Bruno Clémentin au travers de la revue Silence.

Toutes ces études montrent à quel point nous vivons dans une véritable addiction à la croissance et comment l’homme s’est transformé en consommateur illimité. François Hollande affirmait encore le 5 janvier 2015 sur France Inter : « Ce que je veux, c’est que la France crée durablement des emplois. Or elle ne le fera que si la croissance dépasse 1 % ». Le moins que l’on puisse dire c’est que nous sommes loin de les atteindre. Malgré l’action de la Banque centrale européenne, l’estimation pour le mois d’avril signale un ralentissement de l’activité globale dans la zone euro par rapport au plus haut de onze mois enregistré en mars (3).

Serge Latouche est parmi les objecteurs de croissance celui qui a le mieux définit ce que peut être une société de décroissance. Pour lui, la société moderne est basée sur une triple illimitation : dans la production de marchandises (avec destruction des ressources), dans la consommation (besoins artificiels, obsolescence programmée) et dans la production de déchets. Il appelle donc à sortir de ce piège mortifère au travers d’étapes indispensables. Ce sont ce qu’il nomme les « 8 R » : réévaluer, reconceptualiser, redistribuer, relocaliser, réduire, restructurer, réutiliser et recycler.

Le but étant de retrouver une empreinte écologique égale ou inférieure à une planète, de relocaliser les activités, de restaurer l’agriculture paysanne et de lancer la production de biens relationnels, c’est à dire réinventer le bien commun en retrouvant une autonomie économique locale.

L’ancrage anthropologique de l’homo œconomicus doit disparaître au profit d’une société plus humaine. Il n’est plus question de « sauver des emplois » mais de sortir de la société travailliste et productiviste. André Gorz parle de bâtir la civilisation du temps libéré. Il faut changer les valeurs sur lesquelles repose la société, réduire l’incitation à la consommation ostentatoire, définir un projet collectif enraciné, encourager le commerce local, réduire le tourisme de masse, lutter contre le bougisme obsessionnel et la marchandisation du vivant, contre l’isolement engendré par le numérique et contre les grands projets inutiles.

On le voit, la décroissance est un projet révolutionnaire infiniment plus dense que ses détracteurs veulent bien le laisser croire. Il est surtout le seul paradigme véritablement nouveau qui offre un contre-projet de société viable et sans cesse en évolution. C’est la nouvelle utopie du XXIe siècle, un art de vivre, une vocation à reprendre la main et à façonner littéralement son mode de vie (4).

Notes

1 : cf. La Décroissance, n° 118, avril 2015.

2 : cf. Le Monde, le 15 janvier 2015.

3 : cf. Challenge.fr, mis en ligne le 23 avril 2015.

4 : cf. Clara Breteau, La Décroissance, n° 114, novembre 2014.

• D’abord mis en ligne sur Cercle non conforme, le 25 mai 2015 et sur Europe maxima le 21 juillet 2015.

00:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Mémorial des Rois communique :

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vendredi, 24 juillet 2015

Gabriele Adinolfi, auteur du remarquable "Années de plomb et semelles de vent" (éditions Synthèse nationale) reçu par le Président Le Pen

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Gabriele Adinolfi, Jean-Marie Le Pen, Roberto Salvarini

Jean-Marie Le Pen parle du livre de Gabriele Adinolfi "Années de plomb et semelles de vent" cliquez ici

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11:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ATHENES, SON ACROPOLE, SON METRO ET SON GOUFFRE FINANCIER.

Korbo.E.U-banksters.-18.11.2013-ww.jpgPieter Kerstens

La Grèce s’est mise en faillite toute seule et l’UE n’y est pour rien. Syriza pose la Grèce en victime, alors qu’elle est coupable et Alexis Tsipras ferait bien de ne pas attribuer aux autres les manquements et les défauts des gouvernements successifs et les reconnaître pour se corriger et s’en sortir. Les Grecs (population, oligarques et politicards) sont responsables de ce qui leur arrive en accusant le FMI, la BCE et l’Union Européenne d’ultra-libéralisme et d’une austérité « criminelle »… C’est un peu rapidement oublier que le pays a vécu très largement au-dessus de ses moyens et ce, depuis très longtemps, parce que les différents gouvernements ont mis en place une politique collectiviste et clientéliste, connue des tous les eurocrates, en utilisant des embauches massives de fonctionnaires, des allocations sociales excessives et des fraudes fiscales pour tous et tolérées par tous. A cela, il faut quand même rajouter que pour entrer dans l’UE et faire partie ensuite de la zone euro, la Grèce a truqué ses comptes publics et a essayé de vivre aux crochets de ses partenaires, complices parce que les coquins socialistes se retrouvaient aussi dans les instances de la Commission Européenne et de l’Internationale Socialiste !

On peut être ou non d’accord avec le principe de l’Euro, monnaie unique pour une zone regroupant 19 pays, et si oui en rejoignant ce « club » il faut alors en accepter les règles, ce que les Grecs n’ont pas fait. Par contre, les Anglais, les Tchèques, les Irlandais, les Suédois ou les Danois n’en font pas partie : en sont-ils plus malheureux ? Fort de son élection fin janvier et renforcé par 61% des électeurs le 5 juillet dernier, Tsipras bénéficie de la légitimité et de la souveraineté populaire pour exiger des autres membres du « club » qu’ils renoncent à revoir un jour la couleur de l’argent qui a été prêté à la Grèce depuis 2010, en échange de mesures illusoires qui seraient mises en place pour sortir le pays du marasme et de pouvoir équilibrer les recettes et les dépenses. Mais pourquoi donc les Grecs feraient-ils demain ce qu’ils ont été incapables de faire depuis 50 ans ?

C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres.

La réelle question qui se pose à chacun de ceux qui utilisent l’euro est celle-ci : « Acceptez-vous de payer la note à la place des grecs ? »  Au 30 juin, les montants par habitant étaient de 105€ à 531€ pour les Portugais, les Slovaques et les Espagnols ; de 623€ à 646€ pour les Italiens, les Français et les Belges ; et de 683€ à 708€ pour les Hollandais, les Autrichiens, les Allemands et les Finlandais. Aujourd’hui, ce ne sont pas les horribles spéculateurs, les immondes banksters ou les « marchés honnis » qui détiennent la dette grecque. Dès 2010, les banquiers privés ont abandonné 107 milliards d’euros au gouvernement grec, magnifique cadeau de la finance internationale. Si effectivement la Grèce a connu 8 plans d’austérité depuis 2009 pour un montant total de 92 milliards d’euros, en contrepartie, le FMI, la BCE et l’Union Européenne ont octroyé 337 milliards d’euros de prêts à long terme, (outre l’effacement de 150 milliards d’euros). Ce ne sont pas  les méchants capitalistes qui sont maintenant les créanciers de la Grèce, NON, c’est vous et moi ! Et là, se trouve le problème du pouvoir des eurocrates qui, à l’inverse des traités de Maastricht et de Lisbonne, ont outrepassé leurs droits et obligé la BCE à contrevenir à ses statuts. La même BCE qui injecte TOUS LES MOIS plus de 60 milliards d’euros dans le système bancaire européen pour racheter des obligations pourries que possèdent les banques afin d’inciter celles-ci à accorder de nouveaux crédits aux sociétés et aux particuliers en espérant qu’avec ces euros « propres », l’économie repartirait…. on croit rêver.

Avec un peu de recul, en connaissant le montant des dégâts en Grèce et au vu des capacités financières de la BCE, du FMI et de l’Union Européenne on pourrait effectivement parler de « solidarité » avec les Grecs dans le besoin, et oublier leurs turpitudes. Les 337 milliards actuels pourraient être « effacés » et imposés individuellement aux autres habitants de la Zone Euro, en étalant cette charge sur les 10 prochaines années (soit environ 6€ par mois pour chaque français) ou pris en compte par la BCE sur les 1.000  milliards qu’ils vont octroyer au système bancaire européen dans les 15 prochains mois, tels que déjà actés. Mais si les Grecs bénéficient d’un tel cadeau, pourquoi pas les Portugais, les Irlandais, les Belges ou encore les Espagnols ? La zone euro n’existerait tout simplement plus et l’Europe non plus ! Et  l’Euro, monnaie d’escrocs,  aura disparu…

Un  Euro  tabou… HELLAS !

Et c’est bien ce que redoutent les eurocrates ; un « Grexit ferait jurisprudence » : l’Italie, l’Espagne voire la France pourraient purement et simplement, non seulement sortir de l’euro, mais surtout ne pas rembourser leurs dettes. La Grèce pèse moins de 2% dans le PNB Européen alors que l’Italie approche les 10% ! Les conséquences d’un éclatement de la zone euro serait certainement un drame financier et économique mais également une crise politique sans précédent : les bases des institutions démocratiques vacilleraient face à la colère et l’incompréhension des citoyens subissant le chaos comme c’est le cas actuellement en Grèce. En ce début de mois de juillet, après la victoire du non au référendum grec, la souveraineté populaire défie les oligarques de la Commission. Ce fait inédit a la faculté de mettre les décisions difficiles entre les mains du peuple, même si ces décisions s’avèrent mauvaises. N‘oublions pas que la Grèce peut trouver des financements hors de l’Europe que ce soit en Chine, en Russie ou encore chez les Rois du Pétrole. En effet, face à une situation où la Grèce est acculée et n’a plus rien à perdre, un prêt russe serait bienvenu. Les deux parties confirmeraient ainsi leur indépendance envers l’UE.

Ce qui est pour le moins étonnant, est la volte-face de Tsipras qui, porté au pouvoir en janvier, et confirmé par les urnes le 5 juillet - afin de s’opposer aux diktats des eurocrates et des mondialistes - s’incline désormais devant les ukases de la mafia bruxelloise en reniant ses engagements vis-à-vis de son peuple. Le Parlement grec a donc approuvé ce 15 juillet un 9e plan d’austérité, pire que les mesures prévues en mai. En échange, la BCE a envoyé à Athènes un petit milliard € en cash, par avion, pour remplir les distributeurs de billets. Les « prêteurs » (vous et moi) apporteront d’abord un prêt relais urgent de 7 milliards d’euros pour payer les fonctionnaires et les retraités grecs et rembourser les échéances de juin, juillet et août au FMI et à la BCE. Ensuite un 3e plan d’aide à la Grèce, d’un montant de 83 milliards d’euros, étalé sur 3 ans, sera octroyé à 80% par le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) et 20% par le Fond Monétaire International (FMI), pour recapitaliser en priorité les banques grecques, puis rembourser des intérêts, et  payer la BCE et les prêts des banques centrales des 19 pays de l’euro. Enfin, s’ajoutent encore 35 milliards € accordés par des Fonds européens.

D’ores et déjà, de nombreuses voix s’élèvent pour clamer que cette rallonge financière ne servira à rien et que les grecs ne respecteront pas les accords signés ; Tsipras le premier, qui a déclaré « J’ai signé, mais je n’y crois pas ! » Christine Lagarde (directrice du FMI) demande de son côté un « allègement » de la dette grecque, ou une « restructuration », ce qui en bon français signifie une annulation ! La situation est donc la suivante : avant les accords signés à Bruxelles, la Grèce devait 337 milliards d’euros. Maintenant on va y ajouter 8 milliards € en urgence, puis 83 milliards sur 3 ans et encore 35 milliards des fonds européens, sur ordres de Jean-Claude Juncker, soit un global de 463 milliards, dont les bonnes âmes vont rapidement demander une annulation, car les intérêts et les remboursements (même avec des échéances à 60 ans) sont insoutenables pour le pays. Bien évidemment, ce sont les contribuables européens qui paieront l’addition et non les banksters. Et il est certain que l’on reparlera du problème grec à la rentrée… Quelle gabegie ! Quel ridicule ! L’Europe est vraiment gangrénée par des utopistes incompétents !

10:27 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3197 du 16 juillet 2015

CERTAINS Rivaroliens avaient quelque espérance quant à Marion Maréchal-Le Pen, supposée être d’une autre classe, d’une autre vertu que Ganelone. Eh bien, ils ont tout simplement eu tort. Ganelone bis s’oppose au retour de son grand-père, déclarant sur le plateau de BFM TV le 9 juillet que Jean-Marie Le Pen, après le procès pourtant gagné, ne devait « plus être président d’honneur » du Front national. Humaniste, elle précise : « Pas tant pour le titre, mais pour les conséquences de ce titre : être membre de droit de toutes les instances du Front national. Et, vu les circonstances, la cohabitation avec Marine Le Pen devient compliquée et beaucoup de militants sont las ». Odieuse, celle qui a été “créée” par son grand-père, ajoute : « Je connais le personnage (le personnage, évoquant son grand-père !) et il fallait s’attendre à ce que ce soit compliqué, long et fastidieux (pour le tuer ?). Mais je crois que Jean-Marie Le Pen n’a rien gagné d’autre que du temps, je doute qu’il puisse se maintenir au poste de président d’honneur », a-t-elle précisé. D’où la réponse pleine d’esprit et du tac au tac du Menhir sur Twitter : « Proverbe provençal : fais du bien à Bertrand, il te le rendra en caguant.

 

MARION C’EST GANELONE BIS !

 

Sur une affiche, lorsqu’il était candidat aux régionales en PACA en 1992, on voyait le Menhir porter tendrement dans ses bras sa petite-fille, Marion, alors âgée de 2 ans. Vingt-trois ans plus tard celle-là lui vole sa place aux régionales en PACA, lui indique sèchement le chemin de la sortie, entend qu’il finisse ses jours à l’hospice et qu’il fiche la paix à sa descendance. Alors que le Menhir a fait toute la carrière politique de Marion, comme de Marine avant elle, qu’il lui a choisi une circonscription en or dans le Vaucluse, à Carpentras, pour qu’elle soit élue en 2012 (ce qui fut le cas), qu’il l’a couvée, lui a dispensé ses judicieux conseils, est venu la soutenir, l’encourager lors de toutes les soirées électorales, et encore fin mars lors des départementales, l’applaudissant, la félicitant, l’embrassant, voilà comme elle le traite alors qu’elle n’a que 24 ans ! La tante et la nièce ne valent décidément pas mieux l’une que l’autre. Ecœurant ! Tout en le dézinguant, la petite-fille sait toutefois utiliser à des fins électorales l’affection des militants envers le fondateur du FN puisque, pour sa campagne, elle a fait distribuer une photo où on la voit avec son aïeul lors de la soirée électorale du second tour des départementales. Difficile d’aller plus loin dans la perversité !

 

Sur le plateau de Jean-Jacques Bourdin, Marion Maréchal-Le Pen a aussi révélé que ses relations avec Jean-Marie Le Pen ne sont pas au beau fixe. « Manifestement, il m’en veut d’avoir été mis à l’écart de cette campagne des élections régionales, même si c’était le deal de départ (sic !). Je le regrette, j’en suis attristée, mais je n’y peux rien », a déclaré le député FN. Quelle hypocrisie, quelle honte ! C’est tout simplement dégueulasse, comme le dirait notre ami Roger Holeindre. JMLP, quant à lui, a rajeuni de vingt ans depuis sa victoire judiciaire.

 

MARINE LE PEN FUME LA MOQUETTE

 

Décidément, Marine Le Pen devient de plus en plus excitée. Tout à sa haine contre son père sans lequel elle ne serait rien, voici qu’elle accuse Elkabbach d’avoir téléphoné à son géniteur pour le soutenir ! Rien que cela. Le 5 juillet, invitée du « Brunch Politique » de Sud Radio, Marine Le Pen est revenue sur une allégation de Valeurs Actuelles selon laquelle Jean-Pierre Elkabbach aurait téléphoné à son père pour lui apporter son soutien. « C’est incroyable et c’est vrai. Jean-Pierre Elkabbach a téléphoné à Jean-Marie Le Pen pour lui exprimer toute sa considération, tout son soutien », a alors répondu la présidente du Front national. Mais comment est-elle supposée avoir cette supposée info ? A-t-elle placé le téléphone de Jean-Marie Le Pen sur écoute alors qu’elle n’a plus aucun contact avec son père depuis des mois ? Et d’ajouter : « Ça peut paraître étonnant mais c’est une réalité. Peut-être qu’il se projette dans la situation de Jean-Marie Le Pen. Je ne sais pas ce qui peut justifier cet amour soudain de Jean-Pierre Elkabbach. ». Lequel déclare qu’il s’agit de « fantasmes et fariboles », ajoutant : « Je l’invitais (JMLP) à ma matinale. MLP n’a pas honte de mentir ».

 

JEAN-MARIE LE PEN COGNE

 

Triomphant suite à ses victoires judiciaires, Jean-Marie Le Pen s’est félicité sur iTélé de voir la justice remettre « les choses en ordre », mais a aussi dénoncé la démarche « tout à fait totalitaire » de Marine Le Pen. De son côté, Marine Le Pen a fustigé sur BFM TV une « saga judiciaire organisée » visant à « nuire au Front national », qui a prévu de faire appel. Extrait de l’entretien accordé par Jean-Marie Le Pen à Marianne daté du 10 juillet :

 

« La ligne développée par Philippot et Marine est un gauchissement du FN. Justifié par eux par le fait qu’il y a beaucoup de gens de gauche qui passent au vote FN. C’est vrai, mais ce n’est pas là que se situe le gisement de voix dans un pays où il y a une très grande proportion d’abstentionnistes. J’ai la conviction qu’une partie de ces abstentionnistes va se mobiliser à partir d’événements prévisibles à venir très prochainement. Or, l’événement le plus probable, c’est le déferlement migratoire consécutif à l’explosion démographique du monde, à son appauvrissement et au déficit démographique de l’Europe. Ces événements pousseront les abstentionnistes vers la droite.

 

Or, le gauchissement du Front national laisse libre l’accès à l’aile droite de l’électorat des Républicains. Or, en temps normal, le Front National flanc-garde l’UMP sur la droite. S’il se déplace sur la gauche, il libère cette frontière. Et ceux qui, portés par les événements en cherchant des issues, les classes moyennes en réalité, se porteront sur l’ex-UMP au lieu du Front National […] Il est bon que le FN s’ouvre à des clientèles nouvelles, mais à condition de ne pas perdre les plus anciennes […].

 

A supposer que le FN poursuive son évolution actuelle, l’interroge Marianne, imaginez-vous que le courant de la droite nationale que vous représentez ne soit pas présent à l’élection présidentielle ?

 

Si mon courant n’est pas représenté, il n’y aura pas de victoire. Moi, je crois représenter la majorité silencieuse du mouvement. Compte tenu de mon âge, j’ai transmis le flambeau, je ne me présenterai pas, évidemment. Mais quelqu’un le pourra peut-être… D’ailleurs, si ce courant n’est pas représenté, Sarkozy aura tout le loisir de renouveler sa stratégie de 2007 et de siphonner les voix du FN. Je crois qu’il a compris pourquoi il avait perdu en 2012 et rien ne l’arrêtera sur ce terrain. Et Marine Le Pen, si elle s’écarte de la ligne classique du FN, sera débordée […] »

 

FN EN PACA : LA RÉVOLTE GRONDE…

 

On sait que Marion Maréchal-Le Pen vient de lancer sa campagne pour les élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA). On ne peut pas dire que l’ambiance soit au beau fixe. La guerre totale de Marine Le Pen à l’encontre de son père fait des dégâts. Sur vingt conseillers régionaux sortants, quinze soutiennent Jean-Marie Le Pen. Les soutiens de Marine Le Pen et de Phillipot sont le patron de la fédération du Var, Frédéric Boccaletti, devenu directeur de campagne de Mme Maréchal-Le Pen, la Marseillaise Hélène Bez, proche du sénateur Stéphane Ravier, le Toulonnais Jean-Yves Waquet, Valérie Laupies et Thibault de La Tocnaye, membres du bureau politique du FN. Jean-Louis Bouguereau, premier vice-président du groupe FN au conseil régional PACA, qui siège depuis 1986, a rendu les dissensions publiques, jeudi 9 juillet. Dans un communiqué, l’élu varois demande la démission de Florian Philippot, « en raison de ses actes commis à l’encontre du président d’honneur du Front national, qui constituent des fautes politiques et juridiques de nature à compromettre l’unité du parti ». « La grande majorité des autres élus FN à la région soutient cette démarche », dit-il. Le Menhir, qui entend répliquer coup après coup, a nommé un nouveau secrétaire général du groupe des élus, Laurent Comas, un fidèle, en remplacement de Boccaletti qui avait choisi le camp de Philippot. Le ton monte. Comas a dénoncé la façon dont certains cadres, et notamment Stéphane Ravier, ont « assassiné le menhir. Je lui ai demandé qui il était pour faire la morale au président fondateur », assure-t-il. Depuis, je suis à l’écart. »

 

Laurent Comas a été immédiatement suspendu du parti, tout comme Jean-Louis Bouguereau par Marine Le Pen. Le fonctionnement du parti est stalinien. Comas avait, il est vrai, tout fait pour se faire bien voir par Ganelone et son entourage: celui-ci avait comparé Florian Philippot au « gourou d’une secte vaudou », qui « mène le FN dans une voie mortifère ». Dans les Alpes-Maritimes, la révolte gronde aussi. L’investiture d’Olivier Bettati, ancien adjoint de M. Estrosi à la mairie de Nice, suscite le mécontentement de nombreux cadres locaux, dans ce département où les soutiens de Jean-Marie Le Pen restent nombreux.

 

YONNE : LE FN MARINISTE ÉLIMINÉ

 

Une élection départementale partielle s’est déroulée dimanche 5 juillet à Villeneuve-sur-Yonne. Le candidat mariniste l’avait emporté aux récentes élections départementales mais le scrutin avait été entaché de fraudes. Un cas des plus curieux : un binôme FN, Claude Thion et Erika Roset, avait été élu au second tour. Moins de trois semaines après avoir été élu, Claude Thion avait démissionné de son mandat, invoquant des raisons professionnelles. Son remplaçant, André Fisher, avait refusé de prendre sa suite, d’où l’organisation de nouvelles élections. Mais ce n’est pas fini. La seconde du binôme, Erika Roset, a déclaré dans une interview sur France Bleu Auxerre avoir quitté le parti après avoir été candidate « à son insu » et avoir subi des “pressions”. Elle a toutefois décidé “d’assumer” son rôle de conseillère départementale. Compliqué tout cela… Toujours est-il que le candidat du FN mariniste est arrivé troisième et se retrouve éliminé.

 

CATHOLIQUE, ANCIEN PARACHUTISTE, ANCIEN GUDARD : LE FN MARINISTE LE CONDAMNE À MORT !

 

Minute le raconte : Gaëtan Dirand n’est plus secrétaire départemental du FN pour le Maine-et-Loire. Il a remis, le 4 juillet, sa démission du poste qu’il occupait depuis avril 2011, expliquant qu’il ne se sentait plus en phase avec « la ligne politique du FN » ni avec « la stratégie de ses dirigeants ». En fait la colère de Gaëtan Dirand s’explique par la décision du FN mariniste d’investir comme tête de liste aux régionales pour le Maine-et-Loire, le jeune Aymeric Merlaud, un mignon tout mignon, protégé de l’homosexualiste Sebastien Chenu, le cofondateur de GayLib. Il est vrai que Gaëtan Dirand n’a que des défauts. Ce pilier historique du FN n’est pas homosexuel, est marié, père de quatre enfants, ancien para et catholique. De plus, il fut dans ses jeunes années le responsable du GUD. Autant de bonnes raisons pour l’exterminer. La « madone à pédés » s’y est donc employée.

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10:05 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 23 juillet 2015

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mercredi, 22 juillet 2015

Le trotsko-lambertisme à l'agonie ?

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Patrick Gofman*

Oui. C'est ce que proclament – avec une jubilation craintive et avide – les boutiquiers d'en-face : NPA de Besancenot, Médiapart et compagnie. « Crise sans précédent du lambertisme : l'explosion du POI [Parti ouvrier indépendant] est en cours », titre "Nina Pradier" le 9 juillet 2015 sur le site Tendance claire (NPA) cliquez ici.

…Avec cette comparaison : « Même l'exclusion [en 1984] de Stéphane Just, le n° 2 de l'OCI [Organisation communiste internationaliste], (…) avait frappé "seulement" 150 militant-e-s (sic)…»

"Nina" oublie qu'en 1986 Monsieur le Camarade Jean-Christophe Cambadélis avait embarqué environ 500 militants au Parti "socialiste" ; anéantissant les "fractions" jeunes et étudiants de la secte Lambert. Qui ne s'en est jamais remise : une réunion du POI, héritier dégénéré du lambertisme, c'est désormais le goûter des cheveux blancs.

Mais quel est donc l'événement "sans précédent" qui soulève l'enthousiasme au NPA, avec l'espoir non dissimulé de ramasser les morceaux ?

Il est vrai qu'il n'est pas mince : Monsieur le Camarade Daniel Gluckstein, président à vie débauché de la LCR de Krivine et promu par Boussel dit Lambert il y a 35 ans (à la fureur muette des vétérans soumis), vient d'être mis en minorité ! Un tiers seulement de ses quelque 4 000 adeptes soutient son opposition au virage "trade-unioniste" voulu par la majorité – c'est-à-dire l'adaptation étroite à la seule réussite du lambertisme, le noyautage, "l'entrisme" dans les syndicats, Force ouvrière en particulier.

Le conflit bureaucratique est violent, comme toujours dans la secte. Et il pourrait bien déboucher sur une scission massive… à l'échelle sectaire.

Mais au NPA on ne peut pas, ne veut pas comprendre que le trotskisme "à l'agonie" est en fait déjà mort ; qu'il n'était qu'un appendice du stalinisme, et qu'il l'a suivi dans la tombe.

Le plus probable est donc que nous ayons bientôt un groupuscule de plus, et plus encore d'impuissance et de dégénérescence dans le tout petit monde du marxisme dogmatique et opportuniste.

« Tout ce qui naît est digne de périr », écrivait déjà l'ancêtre Hegel. Alors c'est Georges Brassens qui montre le sentier lumineux : « Il creusa lui-même sa tombe, En faisant vite, en se cachant, Pour ne pas déranger les gens. »

(*) L'auteur de cet article – trotsko-lambertiste de 1967 à 1979 – est aussi celui d'un livre, "Le Trotskisme dégénéré". 18 € (3 € de port) sur papier aux éditions Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez là

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