vendredi, 19 juin 2015
L'intervention de Christine Tasin lors de la 1ère Rencontre Charles Martel à Poitiers le 7 juin.
12:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"2023 LE MUR", le nouveau roman publié par Riposte laïque...
En 2090 la France est divisée en deux parties. Depuis soixante sept ans, un Mur de 700 kilomètres, allant de Rochefort-sur-Mer à Briançon, haut de 7 mètres, sépare le Sud, devenu une République Islamique, et le Nord, redevenu un véritable Etat Laïque, où l’islam est proscrit.
La justice du Sud est rendue par les hommes au nom de Dieu alors qu’au Nord le Juge ne sert plus qu’à lire les verdicts réputés infaillibles prononcés par « La Machine à Juger ». Mais celle-ci tombe en panne et l’avocat Gaétan Suchet, à l’occasion d’un procès qui s’annonçait insipide, se retrouve malgré lui au coeur d’un complot qui le mènera jusqu’en France du Sud, sur les traces de ses origines. Car soixante-huit ans plus tôt, son père était recueilli non loin de Nice par un homme qui fuyait la guerre civile qui faisait rage sur la côte d’Azur comme dans tout l’Hexagone.
Un conflit de civilisation qui fit 500.000 morts et dont l’issue fut la grande scission de 2023, et son Mur. Ce livre raconte ces deux histoires.
Olivier Arnaubec est avocat. Il exerce à Nice.
2023 le mur, Olivier Arnaudec, 333 pages, 18,00 €.
11:56 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Xavier Raufer sur TV Libertés
11:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche prochain, 21 juin, : 30e anniversaire de la disparition du Général Aryana
"Le général ARYANA, le plus paganiste, le plus nationaliste et le plus ARYAnisant des grands généraux du Shahinshah ARYAmehr (Lumière des Aryens)".
Intervention de Roland Hélie,
Directeur de Synthèse nationale
11:19 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 18 juin 2015
L'intervention de Carl Lang lors de la 1ère Rencontre Charles Martel à Poitiers le 7 juin.
12:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les deux nouvelles publications de Synthèse nationale :
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07:36 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
07:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3192 du 11 juin 2015
LE DÉPUTÉ européen Aymeric Chauprade avait eu l’incroyable insolence de critiquer l’islamisme qui menace l’Europe dans une vidéo enregistrée au Parlement européen durant une session. Dans la vidéo postée après les attentats de Paris des 7 et 9 janvier, l’eurodéputé appelait à la « lutte pour la désislamisation de notre pays ». « On nous dit qu’une majorité de musulmans est pacifique, certes. Mais une majorité d’Allemands l’étaient avant 1933 et le national-socialisme », affirmait-il notamment, dans un passage visé par l’enquête. Une analyse qui prenait soin d’éviter les amalgames, mais qui évoquait la présence en France d’une cinquième colonne potentielle en cas de confrontation majeure avec l’islam djihadiste. Elle a rencontré un écho certain, puisqu’elle a été visionnée près de 221 000 fois et est sous-titrée en huit langues. Oui mais, Chauprade n’était de ce fait pas dans le registre du politiquement correct, sauce Marine Le Pen malgré l’allusion au national-socialisme. Du coup, cette vidéo lui avait valu de perdre, à l’exigence de Marine Le Pen, son poste de représentant des eurodéputés FN tandis qu’une plainte de la part des associations antiracistes, LICRA, Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) et SOS-Racisme en tête a été déposée. L’enquête a donc été diligentée par le parquet de Paris pour « pour provocation à la haine, à la violence et à la discrimination à raison de l’appartenance à une religion ». C’est dans le cadre de cette enquête que le parquet de Paris a convoqué Aymeric Chauprade. Mais Chauprade ne se laisse nullement impressionner. Voici ce qu’il écrit à la police qui a la prétention de l’interroger :
Cher Monsieur,
Je fais suite à votre courriel du 2 juin dernier dans lequel vous entendez me convoquer dans le cadre de l’enquête diligentée à la demande de Mme Annabelle Philippe, Vice-Procureur près le Tribunal de Grande Instance de Paris,
Je tiens à vous informer que je ne me rendrai pas à cette convocation.
En effet, les propos pour lesquels je suis poursuivi ont été tenus dans le cadre de mon activité de député au Parlement Européen et alors que je me trouvais dans l’enceinte des locaux de l’Union Européenne à Bruxelles.
Par conséquent, j’entends à ce titre invoquer le bénéfice des dispositions de l’article 9 du Protocole sur les privilèges et immunités du 8 avril 1965 des parlementaires européens.
Cet article dispose en effet que : « les membres de l’Assemblée ne peuvent être recherchés, détenus ou poursuivis en raison des opinions ou votes émis par eux dans l’exercice de leurs fonctions ».
Par ailleurs, l’article 10 dispose que l’immunité couvre également les députés européens « lorsqu’ils se rendent au lieu de réunion de l’Assemblée ou en reviennent ». Tel était le cas en l’espèce.
Enfin, je tiens à préciser que je n’entends pas céder aux désidératas des ligues de vertu qui, à l’instar de la LICRA, prétendent fixer les limites de la liberté d’expression à des députés légitimement élus par le peuple français.
Je vous prie de croire, cher Monsieur, en l’assurance de mes sincères salutations.
Aymeric Chauprade
Député français au Parlement européen
ATTENDRISSANT, CE “COLLECTIF CULTURE” DU FN MARINISTE !
On connaît cette étonnante oiselle qu’est Sébastien Chenu, cofondateur de GayLib en 2001, association qui était à l’origine associée à l’UMP et favorable au LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels). Depuis, suite à de petites contrariétés (Dieu sait que les mignons sont facilement contrariés), Sébastien a rejoint le FN. Certes pas n’importe quel FN. Pas celui des antisémites, des racistes et des homophobes. Non, il a rallié avec joie le FN mariniste, ô combien respectable. Et, fier comme Artaban, le voici à la tête d’un « Collectif culture, création et liberté » (voir pour plus de détails l’article de François-Xavier Rochette page 5). Formellement rattachée au Rassemblement bleu marine, cette association a pour but de fournir des idées au FN en vue de la prochaine élection présidentielle sur les thèmes de la culture, de la presse, de la communication et du numérique. L’interdiction de RIVAROL devrait, en toute logique figurer dans son programme … Nous verrons. Le collectif revendique une petite cinquantaine de membres. Pas de noms connus, si ce n’est Brigitte Bardot qui « aime beaucoup » Mme Le Pen, comme elle le déclarait en 2014, et qui apporte sa signature à ce lancement avec un message de soutien. Normal : elle tenait sans doute ainsi à manifester sa sympathie à la chatte bengalaise de Marine Le Pen qui fut proprement gobée, il y a quelques mois, par le doberman nazi de Jean-Marie Le Pen. Nous avions évoqué en ces colonnes ce douloureux épisode. En dehors de Brigitte Bardot, personne, ou quasiment personne.
Et Alain Delon, que l’on sait courageux et qui exprima de la sympathie pour Jean-Marie Le Pen ? Mais vous plaisantez ? Les chéris n’aiment pas ce type de virilité et de brutalité d’autant plus que Delon avait tenu récemment quelques propos peu favorables au vice italien. Bref, il n’a pas été sollicité. Sébastien Chenu, le chéri en chef, explique sobrement : « C’est un proche de Jean-Marie Le Pen, et sa manière d’exprimer les choses est un peu violente ». Car, attention, ils sont délicats, très délicats, très sensible, les mignons ! Le secrétaire général de ce brillant collectif est Gabriel Robin qui a pourtant signé la charte LMPT (La Manif pour Tous). Il déclare avec un incroyable brio : « Les gens souffrent d’une insécurité culturelle, ils ne savent plus qui ils sont. Il faut réaffirmer la culture française classique et traditionnelle, sans pour autant rejeter l’avant-garde ». L’“avant-garde” ! Comme le « vagin de la Reine » de l’exposition “avant-gardiste” dégénérée présentée actuellement au château de Versailles ! Voilà où en est la culture au FN mariniste…
APRÈS LE SEXTOY DE LA PLACE VENDÔME, LE VAGIN DU CHÂTEAU DE VERSAILLES
Les dégénérés ont encore frappé. Voici un extrait d’une interview d’un “artiste” qui veut, avec la complicité des autorités, « inviter le chaos à Versailles » : « Face au tableau de David [dans la salle du jeu de Paume], j’ai placé un canon qui tire 5 kg de cire, une matière évoquant des corps en bouillie, dans un coin de la pièce ». « Un symbole phallique évident pour une installation controversée qui interroge sur la violence de notre société contemporaine », commente Yves Jaegle, dans un extraordinaire article (au second degré) paru dans le quotidien Aujourd’hui, le jeudi 4 juin, que j’aimerais reproduire intégralement en ces colonnes, tant il est à hurler de rire, tant on touche au grotesque. Petit extrait : « L’artiste a souvent parlé, au sujet de son œuvre, de descente vers les “limbes”, l’intérieur imaginaire du corps, la naissance. Ce qui provoque le choc, ce serait plutôt, sur le côté, un grand trou, comme une tombe ou un jeu, creusé profondément dans la terre des jardins royaux. » Etc. Face au château, il y aura une sculpture en acier rouillé de 10 m de haut, qui pèse plusieurs milliers de tonnes et avec des blocs de pierres tout autour. Là encore, à connotation sexuelle : « le vagin de la reine qui prend le pouvoir », commente l’“artiste”. Il nuance cependant : il décrit l’ouverture béante au bout d’un tuyau de 60 mètres telle « une oreille ou un vagin, on ne sait pas ». Une oreille ou un vagin ? Il convient d’y réfléchir. Et l’abruti y réfléchit… « La tonalité générale de ma démarche est sombre, je l’admets. À l’entrée de mon atelier, j’ai épinglé la une d’un journal mettant en garde contre le sentiment anti-islam qui se développe en Angleterre et ailleurs. »
Le dégénéré, auteur de l’“œuvre” se nomme Anish Kapoor. Il a grandi à Bombay d’un père hindou et d’une mère irakienne d’origine juive. L’“artiste” explique dans le catalogue de l’exposition qu’il veut « écorcher le tapis vert des jardins de Le Nôtre, l’éventrer tel un corps démembré ». « A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines », écrivait Léon XIII dans Rerum Novarum. Oui, revenons à nos origines grecques, romaines, chrétiennes et nordiques. Défendons jusqu’à la mort la France française, l’Europe boréale, la civilisation européenne et chrétienne qu’évoque Jean-Marie Le Pen dans sa récente interview dans RIVAROL !
LES MIGRANTS EN MÉDITERRANÉE ? “LES RENVOYER TOUS !”
Le dirigeant (certes très sioniste) du PVV hollandais, Geert Wilders, vient d’écrire sur Twitter : « 5 000 immigrés économiques en Méditerranée au cours des dernières 24 heures. Les renvoyer tous ou des millions suivront ». Kadhafi disait en substance, peu avant la guerre menée par BHL contre les intérêts de la France et de l’Europe : « Si mon régime devait chuter, des millions d’Africains déferleront sur l’Europe ». C’est certainement ce qui était visé par les propagandistes de cette guerre en Libye.
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
07:17 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 28 juin : fête de la Ligue du Midi
07:11 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 17 juin 2015
LA FRANCE Un pays en voie de décomposition
Michel Lhomme
Métamag cliquez ici
La France, pays barrésien par excellence, c'est-à-dire hautement traditionnel fut le fer de lance de l’expérimentation mondialiste. A partir des années 80 puis s'accélérant dans les années 90 et 2000, le pays a vécu un processus de désintégration culturelle et de tentative de construction d'une nouvelle culture, d'un ''homme nouveau'', unisexe, multiculturel, pluriethnique et sans aucune sacralité.
07:51 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 16 juin 2015
Mercredi soir, sur Radio Courtoisie
Radio Courtoisie cliquez ici
19:20 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Un Français » pas si mauvais…
Serge Ayoub Solidarisme cliquez ici
Je suis allé voir le film Un Français. Je m’attendais à un film aussi consternant que les propos que le réalisateur, Diastème, avait tenu lors de la promotion. De manière assez victimaire il sous-entendait que l’ « extrême droite » allait fondre sur les exploitants de salles ayant le révolutionnaire courage de diffuser un film traitant du racisme, de la haine, des skins et du FN. Même les antifas ont avoué sur leur blog que ce genre de « menace » relevait du fantasme le plus grotesque et du coup de com’ balourd.
Malgré mes réticences et l’agacement de voir un mouvement aussi complexe que les skinheads dépossédés de leur histoire et de leur vérité, je suis allé voir le film, et j’avoue avoir été plutôt surpris.
Cinématographiquement, le film est certes assez moyen, très loin de l’académisme réussi de l’American History X ou du souci du détail d’un Made in Britain. L’étalement sur 30 ans se prête d’ailleurs plus à un biopic qu’à un film démonstratif. Le scénario pêche en effet essentiellement par manque d’intelligence. On ne comprend pas véritablement ce qui fait renoncer peu à peu Marco, le héros, à ses sentiments politiques, et le fait basculer du mauvais côté des coups de boule. La faute certainement au manichéisme simpliste de l’écriture : incapable de concevoir les idées de Marco autrement que comme anormales, le scénario décrit ce renoncement comme une guérison, lente, mais inexpliquée. Une trop grande confiance à la narration personnel de William Deligny, qui a inspiré cette histoire de rédemption et que j’ai bien connu, explique aussi ce déficit de crédibilité. Je reviendrai sur la réalité de cet envers du décor.
Malgré ces nombreux défauts, Un Français ne m’a pas déplu.
Tout d’abord parce que les skins y ressemblent à des skins, bougent comme des skins, parlent un langage moins exubérant et fleuri que notre argot de l’époque, mais néanmoins crédible. Les acteurs, en particulier Alban Lenoir, jouent leur rôle avec conviction, rien dans leur jeu n’a en tout cas choqué le skinhead que j’ai été. Le film souffre de nombreuses inexactitudes : par exemple les redskins ne se rasaient pas à blanc mais se faisaient faire une coupe « tremplin ». Les liens avec le FN étaient également beaucoup plus conflictuels que le film ne le montre, en tout cas pour ce qui est des skins parisiens. Nous reprochions en effet au FN sa ligne ultra-libérale et son caractère bourgeois. Cette composante sociale et anticapitaliste de l’idéologie des skins de l’époque est totalement occultée, c’est dommage.
Le film s’appuie en revanche sur des faits divers réels, une démarche qui compense mécaniquement l’hostilité profonde du réalisateur et scénariste pour son sujet. On y voit la violence, le racisme, qui faisait évidemment parti du quotidien des bandes de l’époque. Malgré la pauvreté des dialogues, j’y ai retrouvé un peu de notre humour « bête et méchant ». Personnellement je n’ai jamais fait chanter de force la Marseillaise à des maghrébins. Mais il est certain que nous avions un sens de l’humour particulier et que beaucoup de ceux qui nous ont croisés à l’époque n’en gardent pas forcément un très bon souvenir.
Plus surprenant, Diastème n’accorde dans ce film aucun crédit aux racontars d’Antifa, chasseur de skins1. Les redskins y sont présentés brièvement et sous un jour particulièrement peu glorieux. Diastème en fait non seulement des mauvais incapables de se battre correctement, mais également des imbéciles incapables d’en avoir conscience. Des Clément Méric, en somme : on attaque, on perd, on veut me venger, on perd encore. Quand en 2009 j’avais déclaré dans Sur les Pavés que les redskins étaient des larves, je ne pensais pas qu’un réalisateur de gauche me donnerait à ce point raison.
Autre vérité du film : le fait que les skins et leur ennemis zoulous ou redskins partageaient souvent une origine sociale commune, une culture de la bande identique et se connaissaient parfois pour avoir grandi ensemble… C’est anecdotique, mais on sent que Diastème a travaillé son sujet avec une certaine honnêteté intellectuelle. On voit dans son film également l’importance de la vie en communauté. Comme je l’avais dit dans Sur les pavés, être skin à partir du début des années 80, c’était adhérer à une mode vestimentaire, une musique, une communauté et une conscience politique.
L’absence d’happy end aussi m’a plu. Au bout de cette rédemption/trahison, que reste-t-il ? Rien. Marco finit avec un petit boulot dans la grande distribution, sans amis, détesté par ses anciens camarades pour qui il conserve, lui, encore de l’empathie, loin de sa fille, de la garde de laquelle son ex-femme le prive. On peut en conclure qu’avoir été skin amène des blessures. On peut en conclure aussi que trahir les siens te condamne à ne plus être un homme. « Où sont passées tes couilles ? » lui demande sa femme devant l’enthousiasme de Marco pour les festivités Black-blanc-beur de 98. Après cette scène, il n’aura plus le droit de voir sa fille. Celui qui n’est plus un homme n’a plus le droit d’être père, ça pourrait être une des morales du film. Même si l’auteur du film ne partage pas ce point de vue, il présente sans excès de manichéisme cette ambivalence entre rédemption et trahison. À ce titre, le personnage peut être le plus émouvant du film est Braguette. Leader de la bande, il est blessé lors d’un fusillade avec des punks, et se retrouve cloué en chaise roulante2. Malgré le handicap, il persiste dans son combat, ne renie aucune de ses idées et continue, 30 ans après ses premiers combats, à militer. Malgré l’apparence, la force est en lui bien plus qu’en Marco, qui pourtant ne semble pas ressentir physiquement le poids des années. C’est d’ailleurs Braguette, qui, bien que marchant avec une canne, enverra à terre son ancien acolyte, désormais paralysé par son pacifisme. Braguette, lui, ne « lâche rien » face au système qu’il combat.
Le principal défaut du film tient en fait à son argument antifasciste. Ce manichéisme que Diastème parvient plutôt bien à éviter en montrant que les skins sont des êtres humains comme les autres, l’empêche toutefois d’apporter une crédibilité suffisante à la conversion idéologique progressive de son personnage principal. La scène du bus où Marco se met à suffoquer après avoir embrouillé une famille arabe ressemble presque à un exorcisme. On a l’impression que l’acteur se transforme et que la « haine quitte son corps ». Du point de vue du réalisme scénaristique, ce genre de ficelle magique est une grosse faiblesse. Elle témoigne de l’incapacité de la bourgeoisie de gauche à percevoir le racisme des classes populaires (pas seulement blanches, d’ailleurs) autrement que comme un ressentiment irrationnel, une sorte de haine anormale et difficilement explicable. À maladie étrange, guérison mystérieuse.
Commençons par dévoiler l’envers du décor. William Deligny, alias P’tit Willy, a cessé d’être skinhead parce qu’il se droguait, beaucoup. Fumer du haschich et prendre des acides toute la journée ne vous donne ni l’âme ni le corps d’un combattant. Cela vous mène davantage à ce veule consentement au monde « tel qu’il va ». Et quand vous n’avez plus la force mentale et physique de vous battre contre vos ennemis, il est tellement plus simple de décréter qu’ils sont vos amis. Jamais redescendu d’un trip où il pensait communier avec le cosmos, William se convertit à un mysticisme oriental quelconque et à la tolérance universelle. La dernière fois que je l’ai croisé, je me souviens simplement lui avoir conseiller d’aimer un peu moins tout le monde et d’aimer un peu plus sa fille. Mais William aurait pu se contenter de la spiritualité douillette vers laquelle sa mollesse, la drogue, et une consommation excessive de Choco B&N l’avaient poussé, il n’aurait pas été pour autant un traître. Il l’est devenu lorsqu’il a entrepris de faire un peu d’argent en racontant sa jeunesse skinhead et en cherchant à faire de son impuissance à rester droit un chemin exemplaire de rédemption vers le bien.
C’est en cela que le film pêche. Le parcours de Marco n’est pas crédible parce qu’il s’appuie sur un mensonge vieux comme la morale et réitéré par la fable commerciale de Deligny : la rédemption.
Je pense que Diastème et nombre de gens de gauche seront d’accord avec moi : il n’y a ni bien ni mal, il n’y a que des visions du monde et des systèmes de valeurs différents. Si c’est bien le cas, alors il faut aller au bout du raisonnement : sans bien ni mal, plus de rédemption. Il ne reste que des changements de camps plus ou moins opportunistes. C’est cette noirceur et ce « pessimisme » qui manquent à Un Français pour être vraiment un bon film.
Autre principal point faible du film : sa méconnaissance profonde du fonctionnement de l’idéologie. La violence des skins est en effet présentée comme une conséquence de leur idéologie. Je peux témoigner que la relation fut toujours inverse : ce sont les rapports concrets d’un individu avec son environnement qui commandent sa vision du monde. Les skins étaient majoritairement des blancs issus des quartiers populaires et soumis aux antagonismes raciaux et culturels produits par l’immigration de masse et la promiscuité entre différents peuples dans les banlieues pauvres. Dans Sur les pavés, j’avais déjà expliqué que le racisme était le produit de ces antagonismes et des choix individuels entre combat et soumission, docilité ou révolte. D’anciens membres des Back Dragons (bande de « chasseur de skins ») ne diront pas autre chose à Rue 89.
Ce sont les rapports de forces communautaires issus de l’immigration qui ont provoqué le racisme. Cela nous en avions conscience dès le début des années 80, en tant que skinheads. Parmi ces rapports de force, il y avait la présence dans la rue. Il s’agissait de montrer aux autres bandes que nous n’avions pas peur d’affirmer qui nous étions et ce que nous pensions. Ce rapport de force était bien sûr physique, pas intellectuel. C’est ce qui explique l’extrémisme ambiant. Il n’était pas question de débattre du rôle de l’immigration dans la pression à la baisse sur les salaires français ou de la compatibilité de l’Islam avec les valeurs républicaines. Il n’était pas question de s’expliquer parce qu’il n’était pas question de s’excuser. Un patch à croix gammée n’a aucune valeur politique d’un point de vue intellectuel. La porter ne sert pas à convaincre l’autre des bienfaits du Troisième Reich, en tout cas je ne l’ai jamais pensé. Elle sert à convaincre l’autre que vous êtes assez fort pour porter un symbole universellement honni et d’en assumer les conséquences. L’extrémisme était au service d’une communication tactique et non d’un projet politique.
Le skin est en substance cette recherche permanente du rapport de force, afin de récupérer dans la rue un peu de cette puissance dont tout un système de domination politique et médiatique a spolié sa catégorie sociale : les Français du peuple.
Est-ce que ce besoin de puissance de la part de jeunes gens totalement dépourvus de pouvoir réel sur l’évolution de leur société a été bien montré dans le film ? Forcément effleurée, cette question est pour moi occultée par une essentialisation de la haine raciale, sans montrer assez les rapports de force dont cette haine est l’articulation. S’il y a haine, c’est qu’il y a un antagonisme à l’origine, un contexte favorable, un but légitime ou non, une envie de changer une situation perçue comme injuste, etc. La haine n’est pas une sorte de plaie divine, de malédiction prête à posséder certains « esprits fragiles » et dont la rééducation antiraciste serait l’exorcisme.
C’est en tout cas cette histoire des skins qui reste à faire, et qui ne pourra être l’œuvre que d’un réalisateur ayant suffisamment de hauteur intellectuelle pour s’écarter des clichés que le regard dominant de la société a pris sur notre mouvement.
1 Documentaire réalisé par la mouvance antifa et glorifiant la très éphémère et fragile opposition des bandes comme les Ducky Boys ou les Red Warriors aux nôtres.
2 Comme Sniff, chanteur du groupe Evil Skin, qui fut un de mes amis.
Le film Sur les pavés :
12:36 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 15 juin 2015
Face aux agressions islamistes :soutien à la Syrie, à son armée et au Président Bachar :
Un communiqué de la Communauté syrienne de France :
Jusqu'à quand le monde va continuer à soutenir et armer ces barbares que la France appelle "opposition modérée" ?
Jusqu'à quand la Turquie va être encouragée à entraîner et à laisser passer les djihadistes en Syrie ?
Jusqu'à quand va t-on continuer à prendre les peuples pour des naïfs leur disant que la coalition internationale combat l'état islamique, alors qu'elle leur largue des armes ?
Jusqu'à quand la Syrie va continuer à combattre SEULE ces montres ?
Jusqu'à quand les syriens vont continuer à pleurer leurs proches ?
Les djihadistes de Daech ont encore sévi à Alep aujourd'hui. Ils ont attaqué avec des missiles sol/sol. On ne connaît pas le nombre de victimes, mais les 22 photos cliquez ici laissent deviner le pire.
MORT à ceux qui recrutent, entraînent, financent, arment et soutiennent ces déchets... quels qu'ils soient...
GLOIRE à notre Armée Syrienne qui fait ce qu'elle peut.
GLOIRE au peuple syrien qui résiste et qui reste digne.
VIVE BACHAR qui mène seul la bataille contre tous ces "puissants" occidentaux.
Vive la Syrie SOUVERAINE.
22:50 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'intervention de Hugues Bouchu lors de la 1ère Rencontre Charles Martel à Poitiers le 7 juin.
Source Poitou Info cliquez là
17:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Frontière franco-italienne : Génération Identitaire fait face aux clandestins !
Ce dimanche 14 juin à 18h30, 20 militants de Génération Identitaire ont mené une action à la frontière franco-italienne, faisant face aux clandestins massés là depuis trois jours et exigeant d'entrer en France.
Rassemblés derrière une banderole "NO WAY ! - You will not make Europa home", reprenant le slogan de l'efficace campagne australienne de lutte contre l'immigration clandestine, les jeunes identitaires ont appelé les gouvernements européens au courage politique. Rappelons que le 23 mai dernier, Génération Identitaire occupait pendant plusieurs heures les locaux de la Commission Européenne à Paris en y déployant une grande banderole : "L'émigration tue l'Afrique, l'immigration tue l'Europe".
C'est bien la même idée qu'a défendu devant les journalistes présents sur place Clément Martin,Conseiller fédéral du mouvement, rappelant que "le destin des Africains ne se trouve pas en Europe, tout comme le destin de l'Europe n'est pas de devenir l'Afrique" ou encore que la place de ces clandestins n'est "ni en France, ni en Italie mais dans leurs pays".
Pour défendre leur souveraineté territoriale, leur sécurité, leur identité, les pays européens doivent désormais faire preuve de fermeté en expulsant tous les immigrés entrés illégalement et en reconduisant systématiquement les bateaux de clandestins vers leur port d'origine. Rappelons qu'en Australie, c'est cette politique de fermeté qui a notamment permis qu'il n'y ait plus AUCUN clandestin mort en mer.
17:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'intervention de Pierre Vial lors de la 1ère Rencontre Charles Martel à Poitiers le 7 juin.
Source Poitou Info cliquez là
08:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Menton (06) : ILS ARRIVENT DE PLUS EN PLUS NOMBREUX ET LES IMBECILES SONT LA POUR LEUR SOUHAITER LA BIENVENUE
08:51 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 14 juin 2015
C'est ça la France des valeurs républicaines :
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ici
11:42 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 13 juin 2015
Asnières (92) : Eric Pinel (PdF) présent sur la liste d'union des nationaux d'Henri Massol
11:02 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 12 juin 2015
Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
17:23 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche prochain, 14 juin, les auteurs des Bouquins de Synthèse nationale à la Fête de la Courtoisie
Jean-Claude Rolinat
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Georges Feltin-Tracol
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Charles-Henri d'Elloy
Et le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy
publié par Les Bouquins de Synthèse nationale
qui sort à cette occasion...
Dimanche 14 juin (10 h - 18 h)
Espace Champerret Paris XVIIe
Radio courtoisie cliquez ici
09:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La 1ère Rencontre Charles Martel comme si vous y étiez
Résumé de la journée
L'intervention de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
Consultez toutes les interventions
sur le site Poitou Info cliquez ici
08:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 11 juin 2015
Tourcoing : les Républicains baissent leurs frocs. Jusqu'où va se nicher le sida mental.
Source Le Figaro cliquez ici
Pour la fête de la musique, la compagnie belge Thank you For coming devait présenter à Tourcoing un spectacle intitulé « Boudin et chansons ». Un titre qui n’a visiblement pas plus à la municipalité, qui a décidé d’annuler cette programmation. Motif invoqué ? « Le premier adjoint juge dangereux de faire jouer un spectacle contenant le mot boudin dans son titre. », raconte la chargée de diffusion du groupe à la Voix du Nord.
Ne pas "choquer" la population musulmane
« Je trouvais cela inapproprié dans le cadre d’une fête de la musique.», confirme Didier Doarts, adjoint au député-maire de Tourcoing Gérald Darmanin (Républicains), expliquant qu’il ne souhaite pas « qu’on choque » la population musulmane de la ville. Il dit craindre qu’un amalgame soit fait avec les manifestations type « apéro saucisson-pinard » organisés par l’extrême-droite.
« Oui, le cochon peut être tabou, je vous l’accorde. Mais n’est-ce pas une raison pour lever le voile ? Doit-on laisser à quelques pseudo-nazis le droit de mettre le cochon en étendard ? »,répond pour sa part le metteur en scène dans la Voix du Nord.
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Polémique à Tulle autour d'un tractage et d'un collage du Parti de la France
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3191 du 4 juin 2015
AU FRONT national mariniste, ça se passe comme en Corée du Nord dirigée par le joufflu tyran Kim Jong-un. Les purges succèdent aux purges. Ces récentes semaines, plusieurs secrétaires départementaux, soupçonnés de ne pas être totalement dans la ligne du génie cosmoplanétaire qui préside le FN, ont été virés. Dernières informations : la purge continue.
COMME EN CORÉE DU NORD, LES PURGES SUCCÈDENT AUX PURGES AU FN MARINISTE
Marie-Christine Arnautu, vice-présidente chargée des questions sociales et eurodéputée, vient d’être virée de la Commission d’investiture du parti, à la veille d’une réunion qui devait désigner ceux qui pourront concourir lors des prochaines élections régionales. Il est vrai qu’elle avait commis un crime de lèse-majesté en regrettant qu’on « écarte le fondateur du Front national et président pendant quarante ans d’un revers de la main ». On l’a aussi vue soutenir Jean-Marie Le Pen lors du dépôt de gerbe, le 1er mai, devant la statue de Jeanne. On se souvient de l’appel désespéré du vieux lion : « Jeanne, au secours ! » Arnautu était présente. Suffisant pour qu’elle soit exterminée par la camarilla. Et pourtant, écrit l’historien Nicolas Lebourg dans son livre Dans l’ombre des Le Pen, « son affection pour Marine est immense ». Aujourd’hui, il convient de pratiquer l’imparfait…
Autre purgé : Bruno Gollnisch. Il vient d’être débarqué de la Commission des conflits à la veille d’une réunion de l’instance destinée à faire le ménage parmi les candidats aux élections départementales qui s’étaient distingués par leurs propos supposés antisémites ou homophobes. Bruno a été viré comme un malpropre. Il est vrai qu’il avait exagéré : il avait osé réclamer un débat de clarification sur la ligne politique, estimant que l’orientation qui était donnée désormais au Front national l’éloignait de son électorat traditionnel, en particulier des catholiques traditionalistes. Il a osé regretter l’absence de Marine Le Pen dans les « Manif pour tous ». Il a critiqué le ralliement du fondateur de Gay-Lib, Sébastien Chenu, au FN : « M. Chenu incarne a priori tout ce que nous avons combattu. Il se déclarait européiste, militait contre le rapprochement de la droite avec le FN… Il incarne tout ce que nous avons combattu depuis des années ».
Quant à Jean-Marie Le Pen, on vient de lui retirer l’usage personnel d’une carte bancaire du parti… Qui est “on” ? Marine Le Pen, bien sûr ainsi que l’odieux Wallerand de Saint-Just, trésorier du parti, et qui fut l’avocat de Jean-Marie Le Pen et se révéla être pendant des siècles un exceptionnel cireur de pompes du fondateur du FN. On raconte dans les couloirs du Carré, le siège du Front national à Nanterre, que Wallerand de Saint-Just rêve désormais de priver Jean-Marie Le Pen de son bureau. Philippot, quant à lui, est content, déclarant « Marine se comporte en femme d’Etat ».Jean-Marie Le Pen, quant à lui, ne peut que constater le manque de soutiens dont il dispose à la direction du parti. Il explique cette situation par un « chantage aux investitures » exercé par l’entourage de Marine Le Pen, à quelques mois des élections régionales, et estime que sa fille est manipulée, affirmant : « Philippot est le véritable chef du mouvement. (…) En fait, c’est lui qui pense et agit comme un chef, il croit déjà être le chef. » Et puis, invité de Michel Fiels, il a cette phrase terrible : « Le FN a quelque chose à cacher. Et ce qui est à cacher, c’est un transfert de contenu politique ».
ZEMMOUR : HOLLANDE LE PETIT
Eric Zemmour fusille le petit Hollande au sujet de la panthéonisation des quatre personnalités, dont Jean Zay, qui qualifia le drapeau français de torche-cul. Hollande tint, bien sûr, un important discours, préparé par ses communicants. Zemmour le fusille sur place, déclarant : « C’était fait pour. Hollande ne pouvait pas se manquer. L’histoire, c’est son truc, nous murmurent depuis des jours ses communicants. ». Zemmour se montre sans pitié, relevant que François Hollande butait sur certains mots et que son discours sonnait creux. Zemmour l’achève d’une balle verbale dans la nuque en notant qu’en voulant s’égayer dans la cour des grands, il n’a fait que montrer sa petitesse, notant : « Il était comme absent, flottant dans un costume trop grand pour lui. Les grands mots étaient tous de cérémonie, aussi bien alignés que les cercueils drapés de tricolore. Il ne manquait rien… Sauf l’essentiel. Le style, le talent, l’âme ». En revanche, Roger Karoutchi, sénateur UMP des Hauts-de-Seine, qui fait partie du comité pour la panthéonisation de celui qui traitait le drapeau de torche-cul y est allé de son dithyrambe, déclarant : « La première partie du discours de Hollande au Panthéon était d’une grande élévation ». Il n’y avait pas que Hollande, ce jour-là, à être petit…
FABRICE LUCHINI SULFATE LA CLASSE POLITIQUE FRANÇAISE
Le grand acteur Fabrice Luchini n’y va pas de main morte. Il flingue consciencieusement la classe politique française et notamment Sarkozy et Hollande. Son propos : « Ils ne sont pas grandioses, ils sont très peu cultivés. Ils n’ont pas le temps. Ils incarnent en même temps une beaufitude. Les hommes politiques n’incarnent plus le génie français comme ils l’ont incarné du temps de Pompidou ou de De Gaulle. » Les hommes politiques sous Pompidou et De Gaulle n’étaient peut-être pas géniaux, mais n’atteignaient sans doute pas les Himalayas de médiocrité que la France subit aujourd’hui, Marine Le Pen comprise.
BIENTÔT LES “DÉLITS RACISTES” DANS LE CODE PÉNAL !
La Licra n’en peut plus. 200 magistrats “référents” en matière de racisme et de discrimination se sont réunis mercredi 20 mai à Paris pour professionnaliser les réponses judiciaires face à la supposée croissance d’incidents racistes, notamment sur Internet. Cette rencontre était clôturée par le ministre de la Justice Christiane Taubira, comme il se doit. « On veut du concret et du pratique. Il est de notre responsabilité de développer des outils à la disposition des parquets locaux », a déclaré Robert Gelli, le directeur des affaires criminelles et des grâces (DAGP)… D’ici à ce qu’ils remettent en service la guillotine, qui, il faut le reconnaître, est concrète et pratique. La Licra, qui diffuse largement l’information sur son site, rappelle avec fierté qu’elle intervient déjà en organisant des stages de citoyenneté auprès des mineurs et bientôt à destination des adultes. D’ici à ce qu’ils imposent aux lecteurs de RIVAROL de tels stages… En attendant, on pourrait imaginer un carnet à points antiraciste, sur le modèle du permis à points. Le soupçon d’une petite pensée raciste : deux points en moins. Un propos supposé raciste : cinq points en moins. A partir de dix points de perdus, la guillotine. Mais revenons à la Licra. A l’initiative de l’officine, 100 avocats de victimes de plus de 20 barreaux ont signé une tribune dans Libération le 19 mai pour faire du racisme un vrai délit. Un vrai de vrai. Le titre de l’article est « Pour une répression juste des actes racistes ». L’article exige que le « racisme intègre le code pénal » et « devienne un vrai délit », « avec une véritable réponse pénale, efficace et rapide ». On pensait, vu les persécutions subies par RIVAROL, qui fut traîné plus d’une fois devant la 17e Chambre, spécialisée dans les délits de presse, et qui devra répondre le 24 septembre à 13h30 devant la cour d’appel de Paris (pôle 2 chambre 7) d’un éditorial sur « l’insupportable police juive de la pensée » (dixit feu Annie Kriegel), qu’un tel délit existait déjà. Pas du tout. Ils en veulent plus. Ils n’en ont jamais assez. Parmi les signataires de la tribune, on retrouve avec joie Michel Bénichou, Michel Blum, Sabine Goldman, Alain Jacubowicz (président de la Licra), Francis Szpiner et Pierre-François Veil. Que du beau linge !
PAS DE VISITE OBLIGATOIRE DES CAMPS DE CONCENTRATION PAR LES ÉLÈVES MUSULMANS
On sait que les enfants allemands (mais pas seulement eux !) subissent un véritable lavage de cerveau, impliquant des visites obligatoires des camps de concentration allemands. Histoire de leur mettre du plomb dans la cervelle.
Or voici que le Parlement bavarois vient de lever cette obligation de visite guidée. Certes pas pour tous les élèves. Pas pour les Européens qui doivent encore et encore subir le bourrage de crâne. Ne sont concernés que les lycéens et collégiens musulmans. Un élu du CSU, le parti conservateur majoritaire en Bavière, membre de la coalition de la Chancelière Merckel, explique : « Il y a beaucoup d’enfants de familles musulmanes qui n’ont aucun lien avec notre passé ». On lui rappellera les excellentes relations entretenues par Adolf Hitler et le Grand Mufti de Jérusalem et l’existence de la division musulmane bosniaque de la Waffen SS, la Handschar, qui se singularisa par une telle cruauté que Heinrich Himmler envisagea même de la dissoudre.
Voilà en tout cas un moyen tout trouvé pour empêcher que les évocations obsessionnelles de la Shoah soient troublées en classe par de jeunes mahométans d’autant moins sensibles aux jérémiades du petit peuple qu’ils voient comme ce dernier se comporte en Palestine occupée.
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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mercredi, 10 juin 2015
Georges Feltin-Tracol dédicacera ses livres dimanche prochain, 14 juin, à la Fête de Radio Courtoisie
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mardi, 09 juin 2015
En Picardie, les éoliennes ne sont pas les bienvenues...
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02120 Puisieux et Clanlieu
Tél : 06 89 09 98 99
Venez nombreux à la réunion de l’assemblée générale le vendredi 26 Juin 2015, à 20 h 00 au siège social de l’Association, 3 rue de l’église 02120 Puisieux et Clanlieu (dans l’Aisne 02)
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Rassurez-vous, il arrive !
Chers abonnés, chers lecteurs des Cahiers d'Histoire du nationalisme, rassurez-vous. Le n°6 sort cette semaine. Un léger retard en raison du travail gigantesque que la multiplication de nos activités militantes et éditoriales représente. Mais vous ne serez pas déçus par ce numéro 6 consacré à Jean-Louis Tixier-Vignancour et à la campagne présidentielle de 1965 riche en enseignements sur lesquels il serait bon pour certains de méditer.
La rédaction des Cahiers d'Histoire du nationalisme vous remercie pour votre patience et pour votre compréhension.
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