jeudi, 07 mai 2015
Une meute hystérique aux basques de Ménard
Guy Rouvrais Présent cliquez ici
Nous sommes « en 1939 », a proclamé Christiane Taubira. Bigre ! La guerre est-elle déclarée ? Angela Merkel veut-elle nous reprendre l’Alsace et la Lorraine ? Rassurez-vous, il n’en est rien. RAS sur la ligne bleue des Vosges. La « menace » est loin de là, à Béziers et l’homme qui, cette fois, illustre le retour « des-jours-les-plus-sombres-de-notre-histoire », c’est son maire, Robert Ménard, du Rassemblement bleu Marine.
Le corps du « délit » ? L’affirmation par l’édile biterrois, lundi soir sur France 2, que les écoles de sa ville avaient 64 % d’élèves musulmans, ce qu’il a établi à partir des prénoms. C’est tout ? C’est tout ! Ni fichier nominatif, ni liste informatique, une simple statistique. Cela a suffi pour que l’établissement s’enflamme, décrète la levée en masse, que l’on évoque les juifs, les camps et la déportation, la « bête immonde » s’étant réveillée à la mairie de Béziers avec ses inséparables complices, « les vieux démons », dixit Taubira. On a beau être habitué à ces grossesses nerveuses de la classe politico-médiatique, on reste abasourdi par sa capacité à hystériser en quelques heures un fait purement anecdotique !
Jusqu’au président de la République, en tournée commerciale en Arabie saoudite, qui a affirmé que « le fichage des élèves est contraire à toutes les valeurs de la République », tandis que le même jour ses hôtes faisaient décapiter à Jeddah deux Yéménites, un Tchadien, un Erythréen et un Soudanais pour meurtre et vol lors d’un cambriolage. Mais l’important pour Hollande, c’était Ménard qui ne veut ni tuer, ni déporter personne, seulement établir un état des lieux dans les écoles de sa cité.
Contraire aux « valeurs de la République », dit Hollande ? Ce n’était pas l’opinion de Valls lorsqu’il était maire d’Evry. Il avait annoncé, en 2009, son intention de déposer une proposition de loi légalisant les statistiques ethniques, avec cet argument : « Pour certains, les statistiques ethniques mettraient en cause les valeurs de la République, alors qu’au contraire, c’est l’absence de mesures concrètes qui est à craindre. » Il était alors approuvé par Patrick Lozès, président du Cran (Conseil représentatif des associations noires) en ces termes : « On a besoin de savoir quelle est la réalité pour que les choses puissent changer. » Ce que fait Ménard pour les écoles, nombre d’organismes HLM le font, en cachette, pour éviter ces « ghettos » communautaires que le Premier ministre déplore.
Quant à Libération, vent debout contre Ménard, qui avait voulu savoir, en mai 2012, si les cabinets ministériels socialistes sacrifiaient à la diversité, comment s’y étaient-ils pris ? Il le dit : « La diversité est, elle, par définition difficile à mesurer. Nous avons opté pour la méthode utilisée par l’Observatoire des discriminations, consistant à répertorier les prénoms non francophones. » On apprend, à cette occasion, qu’un Observatoire qui lutte contre la discrimination use de la méthode qui est reprochée à Ménard parce que « discriminatoire ». Ce n’est donc pas ce type de statistiques qui est en cause, mais ceux qui en sont à l’origine. Selon que vous êtes de la gauche éclairée ou de la droite nationale, « les jugements de cour vous rendront blanc ou noir », si l’on peut se permettre cette distinction sans qu’elle soit assimilée à une discrimination. De toute façon, il est trop tard pour poursuivre La Fontaine qui l’écrivait dans Les animaux malades de la peste qui n’était pas encore brune…
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3186 du 30 avril 2015
ON A BESOIN D’UNE KATIE HOPKINS PLUTÔT QUE D’UNE MARINE LE PEN, EN FRANCE !
Katie Hopkins ? C’est une journaliste anglaise dramatiquement de droite, dont les textes paraissent dans des journaux anglais et qui sévit souvent à la télévision anglaise, tenant des propos horriblement provocateurs et choquants. La polémique enfle après la publication par le tabloïd The Sun d’une chronique de Katie Hopkins sur l’immigration qui dépasse toutes les limites. Son article, paru à quelques semaines des élections législatives, dans The Sun (deux millions de lecteurs), a suscité l’effroi chez les âmes sensibles. Que dit-elle ? Le titre est, il est vrai, très pédagogue, « Rescue boats ? I’d use gunships to stop migrants » (Bateaux de secours ? J’utiliserais des navires de combat pour stopper les immigrants). Mais c’est du Raspail ! Les immigrés clandestins qui tentent à Calais de monter dans des camions pour se rendre en Grande-Bretagne ? Une « épidémie de sauvages » et elle ajoute : « Ne vous trompez pas, ces immigrants sont comme des cafards. Ils peuvent ressembler un peu à l’Ethiopie de Bob Geldof (chanteur spécialisé dans le “charity business”) en 1984, mais ils sont construits pour survivre à une bombe nucléaire. Ce sont des survivants… J’en ai rien à faire. Montrez-moi les images de berceaux, montrez-moi les corps flottants dans l’eau, jouez du violon et montrez des personnes émaciées et tristes. J’en ai rien à faire ». Me ne frego, en d’autres termes (rien à fiche), dans une langue que nous aimons ! Et, Dieu, que nous aimons ce slogan fasciste ! Elle ne s’arrête pas en si bon chemin. Elle ajoute : « certaines de nos villes sont des plaies purulentes couvertes de nuées d’immigrés et de demandeurs d’asile recevant des allocations comme des billets de Monopoly ». Scandale, bien entendu. Vive Katie Hopkins !
COMBATTANTS IDENTITAIRES AUSTRALIENS (SUITE)
J’ai évoqué ici, la semaine dernière, l’incroyable campagne que mène l’Australie contre l’invasion de ses terres. Tony Abbott, Premier ministre d’Australie, vient de récidiver. Il estime que si les pays de l’Union européenne suivaient le modèle australien, beaucoup de vies de migrants seraient sauvées. Pour Tony Abbott, seul le refoulement systématique des bateaux chargés de migrants est efficace. Il vient de déclarer : « Des centaines, peut-être des milliers de personnes se sont noyées en essayant d’atteindre l’Europe depuis l’Afrique. Le seul moyen d’empêcher ces tragédies est de mettre fin (à l’arrivée) des bateaux. Il est urgent que les Européens adoptent une politique très ferme qui puisse mettre fin au trafic d’êtres humains en Méditerranée ». Un disciple de Jean Raspail, sans doute…
QUAND LE MIGNON SÉBASTIEN CHENU, AUJOURD’HUI FRONT MARINISTE, MIGNONNAIT DU CÔTÉ DE L’UMP, PUIS DU PS
Le Monde raconte le parcours de Sébastien Chenu, aujourd’hui très proche de Marine Le Pen et membre de la divine et tendre camarilla qui l’entoure. Voici ses propos : « Cet ancien secrétaire national de l’UMP, fondateur de Gaylib, une association de défense des droits des homosexuels, a rallié avec fracas le RBM en décembre 2014. Déçu par Nathalie Kosciusko-Morizet, qui ne lui avait pas donné la tête de liste de l’UMP dans le 2e arrondissement de Paris pour les élections municipales de mars 2014, son transfert a été célébré par Marine Le Pen. L’homme de 42 ans a, depuis, été candidat aux élections départementales à Beauvais (Oise) pour le compte du parti frontiste. » On en apprend de belles dans cet article : Quelques mois plus tôt, il avait sollicité une place au PS. L’ex porte-parole du maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, raconte : « Il en voulait beaucoup à l’équipe de NKM. Il demandait à être sur nos listes et a frappé à toutes les portes possibles et imaginables pour y parvenir. Nous n’avions aucune raison de faire confiance à ce personnage. » Etonnant, n’est-ce pas ? Toujours est-il que Chenu ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Un proche d’Anne Hildago raconte : « Une fois l’élection passée, il nous a envoyé une demande pour obtenir une place dans un établissement culturel ou un conseil d’administration. Il était intéressé par la Maison européenne de la photographie. » Chenu ne cherche pas, au demeurant, à démentir, déclarant : « J’avais des sympathies pour Anne Hidalgo, une femme de charisme. J’ai passé mon temps à lui faire des compliments pendant la campagne. » Elle n’avait pas répondu à ses compliments, l’ingrate. Du coup, le mignon se tourna vers Marine Le Pen, qui l’accueillit à cœur ouvert. C’est ainsi que cela se passe au Front mariniste des mignons…
FILLON, ANCIEN PREMIER MINISTRE, ET NONOBSTANT GRAND HISTORIEN RÉVISIONNISTE
François Fillon vient de révolutionner les études historiques. Il vient de dévoiler une information inouïe, que les historiens ignoraient, en déclarant : « En 1940, nous n’avons pas hésité à nous allier à Staline pour vaincre le nazisme et nous avons eu raison de le faire. » De mauvais esprits, eux aussi révisionnistes dans leur genre, prétendront qu’en 1940, l’URSS était alliée d’Adolf Hitler, qu’en France, les communistes sabotaient les usines d’armement avant l’armistice et qu’au lendemain de l’armistice Jacques Duclos, leader communiste, demandait aux nazis le droit de faire paraître L’Humanité. Reynouard, qui mérite au demeurant d’être durement sanctionné pour ses propos, prétendra évidemment que ce n’est que le 22 juin 1941, lorsque l’Allemagne lance l’opération Barbossa destinée à envahir l’URSS, que le pacte germano-soviétique prend fin. Dernière information : le grand historien François Fillon vient de supprimer son tweet.
“MOI Y EN A PAS PARLER ANGLAIS”
Marine Le Pen vient d’être désignée par le magazine Time parmi les cent personnes les plus influentes au monde. Personne n’est obligé de le croire. Il est vrai que Time, qui cherchait désespérément une Française n’avait pas beaucoup de choix. NKM, Anne Hidalgo, ma Cricri (Christine Boutin), Bernie (Chirac), Trierweiler, Carla Bruni, , non ça ne collait pas. Il fallait du lourd, du solide, du camionneur. Du coup, ce fut Marine Le Pen qui fut choisie. Un bon choix en définitive, puisque ce fut le choix de l’excellence française. Elle permit à Marine Le Pen de déclarer, mardi 21 avril, en surfant élégamment sur le tapis rouge du Jazz Lincoln Center, à New York aux côtés de son concubin, Louis Aliot, pétillant d’intelligence : « Ah non, je ne parle pas anglais, moi. Je suis française ! » Voici qui était dit, et bien dit. Et elle précisa, car il est important de préciser : « Je fais partie de la majorité des Français, qui parlent peu l’anglais. En cela je suis très gaullienne : I speak very badly », plaisanta-t-elle avec un accent à couper au couteau. Et voici qu’elle se prend pour De Gaulle, une référence, au prétexte qu’elle ne parle pas l’anglais. On n’a décidément pas fini de rigoler ! Mais, pas grave. C’est donc Ludovic de Danne, le conseiller aux Affaires européennes du parti, qui a joué les interprètes, le professionnel sollicité préalablement ayant fait faux bond au dernier moment. La starlette de sous-préfecture est apparue tout sourire dans une robe bustier bleu nuit (on aurait dit Gérard Depardieu en robe a ironisé un humoriste particulièrement bien inspiré), robe dont je ne m’autoriserai pas à commenter l’esthétique, au côté de son concubin Louis Aliot, en smoking et l’œil éteint, ravie de se retrouver aux côtés du rappeur Kanye West et de l’élite mondiale dégénérée. Elle eut cette profonde parole, à graver dans le marbre : « Permettez-moi de faire preuve de curiosité. Je pense que nous allons arriver au pouvoir et que par conséquent, il faut obligatoirement croiser, rencontrer, discuter avec des gens puissants dans leur pays respectif » (comme, sans doute le rappeur Kanye West, par exemple)… mais la milliardaire Marine Le Pen n’oublie pas les sans-dents, déclarant avant de rejoindre sa table pour dîner : « La France des oubliés n’est pas oubliée ». C’est trop beau…
MON DIEU, QU’ILS SONT MÉCHANTS, LES MIGNONS DE PHILIPPOT !
« S’il lui reste un minimum d’honneur, que Jean-Marie Le Pen prenne la porte. Il retarde l’inévitable ascension de Marine à la tête du pays », écrit David Masson-Weyl, président du collectif Marianne, un « cercle de réflexion » pour étudiants lié au Rassemblement Bleu Marine (RBM). « Les pleurnicheries de Jean-Marie Le Pen sont ridicules. Il se plaît à jouer l’homme plein d’honneur ? Qu’il assume et qu’il parte ! », lance, quant à lui, Joffrey Bollée, directeur de cabinet de Florian Philippot. Ils sont mignons, ces mignons, et c’est bien pour cela qu’on les aime. Même s’ils sont très méchants…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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Jean-Marie Le Pen sur France TV info
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mercredi, 06 mai 2015
Pardon pour Sétif, pardon pour Charles Martel
Pierre Cassen Boulevard Voltaire cliquez ici
Décidément, les socialistes sont des gens curieux. Ils ont choisi, pour leur prochain congrès, qui se déroulera du 5 au 7 juin, la ville de Poitiers. Certes, elle est tenue par le PS depuis 1977, mais tout de même !
La symbolique islamophobe Poitiers, c’est tout le contraire de la politique socialiste. Alors que Charles Martel a repoussé les guerriers mahométans, en 732, et a sauvé notre territoire du sort qu’a connu l’Espagne durant sept longs siècles, le PS favorise l’implantation de millions de musulmans sur notre sol. Il ne peut ignorer, surtout après les attentats contre Charlie Hebdo, que les plus déterminés (de plus en plus nombreux), comme le leur demandent leurs textes sacrés, rêvent de venger Poitiers, et de soumettre notre pays à l’islam. Même Michel Onfray a prédit une France et une Europe sous domination des disciples d’Allah dans cinquante ans, si rien ne change.
Mais finalement, comme Mélenchon (mais aussi Hitler), la direction du Parti socialiste n’aurait-elle pas souhaité la victoire des musulmans, il y a treize siècles, plutôt que celle des chrétiens ? Rappelons les propos du président du Parti de Gauche, le 7 mai 2011 au micro de France Culture : « Si on avait pu s’épargner les siècles d’obscurantisme que nous a valu la mainmise de l’Église sur l’Occident chrétien, si on avait pu, nous, gagner l’apport des civilisations arabes, arabo-andalouses… »
Faut-il rappeler, dans cet esprit, que, violant les principes laïques au seul profit de l’islam, le président de la République et nombre de ses ministres souhaitent, tous les ans, un bon ramadan aux musulmans, et que le maire de Paris le commémore dans l’hôtel de ville ? À chaque morceau de saucisson égaré devant une mosquée, on a droit à des excuses officielles de nos ministres, qui se taisent à chaque profanation d’église ! On a l’impression que les socialistes, après avoir fait repentance pour les méfaits du colonialisme, puis pour Sétif, vont bientôt demander pardon aux musulmans pour la victoire de Charles Martel, qui a privé la France, treize siècles durant, des « bienfaits » de la civilisation arabo-musulmane…
Mais cette soumission passe déjà par nos manuels scolaires. Ainsi, dans l’école de Najat Vallaud-Belkacem, on enseignera Sétif version FLN, et on ne parlera plus de Poitiers. Nos enfants sauront que de méchants soldats français colonialistes ont massacré de paisibles Algériens, le 8 mai 1945, par dizaines de milliers. Ils n’apprendront jamais que cela fut pour mettre fin à des assassinats barbares de Français et à une tentative de coup d’État nationaliste, comme le démontrent d’autres historiens tels que Roger Vétillard.
À l’opposé, nos enfants n’apprendront plus Poitiers et ignoreront ce qu’ils doivent à Charles Martel. Ils ne sauront pas davantage que, dès le début du VIIIe siècle, les guerriers musulmans multiplièrent tueries, dévastations et destructions à Carcassonne, Nîmes, Arles, Aix, Avignon, Valence, Vienne, Lyon, Besançon, Dijon, Autun, Luxeuil, Toulouse, Bordeaux…
C’est contre ce gigantesque lavage de cerveau que le 7 juin, pour se réapproprier notre Histoire, comme le fit Robert Ménard à Béziers, le 14 mars dernier, une association locale poitevine, « Le Cercle des Chats Bottés », organisera les Premières rencontres Charles Martel, à Poitiers, le même jour que le congrès socialiste.
Pendant une journée, des conférenciers raconteront une histoire que les porteurs de valises de l’islam veulent occulter, et permettront, grâce à Internet, que les parents qui le souhaitent puissent la transmettre à leurs enfants.
13:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A Poitiers, dimanche 7 juin : 1ère Rencontres Charles Martel
Dimanche 7 juin 2015 (11 h - 18 h)
1ère RENCONTRES CHARLES MARTEL
à JAUNAY CLAN (86)
Près de Poitiers
Organisées par le Cercle des Chats Bottés avec comme invités :
Hugues Bouchu, Ligue francilienne
Pierre Cassen, Président de Riposte laïque
Paul-Marie Couteaux, écrivain
Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
Carl Lang, Président du Parti de la France
Richard Roudier, Réseau Identités
Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine
Pierre Vial, Président de Terre et peuple
Stand de Synthèse nationale
Nombreux stands et animations, librairies, restauration sur place, bar...
Participation à la journée : 25 € (repas compris)
Renseignements et réservations :
rencontres.charles.martel@gmail.com
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Pour en finir avec le pseudo « islamo fascisme »…
Article publié dans
le n°39 (avril mai 2015)
de Synthèse nationale
Les tueries qui, au début du mois de janvier, ont ensanglanté les locaux de Charlie Hebdo et une supérette kasher du XIIe arrondissement de Paris ont suscité une légitime émotion. Emotion qui fut vite récupérée par les stratèges du pouvoir en place et transformée, en quelques heures, en une remarquable manipulation.
A peine les terroristes refroidis, la France se devait d’être unanimement, pour ne pas dire obligatoirement, « Charlie ». Et pour guider cette nouvelle « France Charlie » on pouvait compter sur la détermination de nos politicards qui, de Hollande à Sarkozy, ont toujours fait preuve, comme chacun sait, d’une remarquable clairvoyance face à l’islamisme conquérant. Et si, par malheur, cette évidence vous avait échappée, c’est sans doute parce que vous êtes un fasciste ou, pire encore, un « islamo fasciste ».
Le mot est lâché, le concept est né : l’« islamo fascisme » est le nouvel ennemi de la démocratie qu’il faut abattre à tout prix.
Mais que diable le fruit de la glorieuse pensée mussolinienne vient-il faire dans cette galère ?
On le sait depuis 1945, le fascisme est le mal absolu. On nous l’a enseigné à l’école, on nous le rabâche tous les jours dans les journaux et tous les soirs à la télévision et si, par ignorance ou par bravade, certains venaient à en douter, la Justice est là pour le leur rappeler.
Mais l’islam, jusqu’à ces dernières années, n’était pas, aux yeux de nos démocrates sincères, une idéologie condamnable. Bien au contraire. Il n’y a pas si longtemps que cela, Hollande et sa clique, à l’instar de Sarkozy pour la Libye, clamaient haut et fort qu’il fallait écouter Monsieur Lévy (Bernard-Henri) et armer les gentils rebelles islamistes en Syrie contre « l’ignoble régime fasciste et laïque de Bachar el Assad ». Et puis, sans aller aussi loin, ne sont-ce pas les mêmes démocrates qui, toutes étiquettes confondues, dans les villes où ils sont aux commandes, autorisent et subventionnent la construction de mosquées, favorisant ainsi l’implantation durable de l’islam sur notre sol ? Face à une telle évidence pour le moins gênante, il fallait trouver une parade. Ce fut vite chose faite avec la formule magique : « pasdamalgame »…
Pas d’amalgame lorsqu’il s’agit de confondre les musulmans et l’islam conquérant mais vive l’amalgame lorsque l’islamisme devient subitement l’islamo fascisme.
Comparer l’islamisme au fascisme est facile, confortable, peut-être même émouvant, mais, qu’on le veuille ou non, totalement inepte. Dans un magnifique article récemment publié par notre excellent confrère Metamag (1), le pertinent Raoul Fougax remet les pendules à l’heure.
Nous en reproduisons ici les principaux extraits :
On les voit venir avec leurs gros sabots. Nos dirigeants, de gauche et de droite d’ailleurs, se veulent des enfants de la résistance au fascismo–nazisme. C’est leur référence absolue. Il ne peut y avoir de mal plus grand que le fascisme dont le nazisme est un avatar. Combattre l’islamisme radical aujourd’hui, c’est donc continuer le combat des démocraties contre le fascisme. (…)
C’est bien sûr totalement faux. C’est juger le présent par rapport au passé de la même manière que l’on juge le passé par rapport aux valeurs du présent. L’anachronisme est une sclérose qui empêche l'analyse. C’est une maladie de l’intelligence.
Le décor est ainsi planté et Fougax précise les choses :
Le fascisme n’a jamais été un obscurantisme. Un totalitarisme oui, un obscurantisme non. Le fascisme n’a jamais été une lecture fanatique d’une religion monothéiste, souvent bien au contraire.
Le fascisme certes cultive le culte du passé mais dans une démarche progressiste. Le fascisme est un socialisme, pas un traditionalisme. Il veut moderniser en valorisant le passé, il invoque la longue mémoire de l'histoire, il ne veut pas ramener la société au comportement de temps révolus.
Et les remet dans le contexte du Monde arabe :
Dans les pays musulmans de plus, le fascisme a toujours été un anti-islamisme, c’est vrai de la Turquie kémaliste comme de l’Egypte nassérienne. La laïcité dans les pays musulmans a été un fascisme non avoué et c’est l'échec de ces régimes totalitaires laïcs, notamment face au sionisme, qui explique la montée d’un islamisme anti-israélien devenu en Europe un nouvel antisémitisme. Vouloir par confort intellectuel ramener tout antisémitisme au fascisme pour, en fait, exonérer les islamistes et donc l’islam de ce péché raciste majeur pour nos dirigeants est une stupidité dangereuse.
Il y a un nouvel antisémitisme qui est un islamisme et qui est lié au terrorisme qui frappe les juifs, pas que des juifs mais tous ceux qui sont des impies au regard des égorgeurs du sectarisme djihadiste. On peut parler d’islamo-sectarisme, car on a à faire à une secte musulmane issue de l'islam. Mais parler d’islamo-fascisme est une désinformation historique par aveuglement idéologique.
Les fascistes n’ont jamais été des islamistes et les islamistes ne sont pas des fascistes. Ils sont des obscurantistes musulmans sans lien avec les racines européennes et sociales du fascisme. (…)
Et Raoul Fougax conclue avec raison :
Ils ne veulent pas restaurer la grandeur de Rome comme le Duce. Ils veulent une mosquée à la place de St Pierre au Vatican. (...)
Ceux qui conseillent l'amalgame islamisme et fascisme pour lutter, on l'a bien compris, contre l'amalgame islamisme-islam sont des malhonnêtes et surtout des apprentis sorciers.
Tout est dit…
Les mots ont un sens et Charles Maurras nous a enseigné qu’« une virgule à sa place, c’est déjà une victoire contre le chaos… ». Comparer l’islamisme au fascisme est une contrevérité que les militants anti-islamiste devraient bannir de leur vocabulaire.
Et que l’on ne nous brandisse pas la prétendue fascination que certains chefs nazis auraient éprouvée pour le Coran. A cet argument fallacieux, il est facile de rétorquer la collusion entre les mêmes nazis et certains ultra-sionistes avant et pendant la Deuxième Guerre mondiale. Mais tout cela relève d’une période révolue. Les alliés actuels de l’islamisme ne sont pas les fascistes mais bel et bien les démocrates mondialistes, au premier rang desquels on retrouve les adeptes de « Nous sommes tous Charlie », qui, avec leurs politiques imbéciles, ont tout fait pour que celui-ci se développe en France et en Europe.
(1) metamag.fr
Photo en tête d'article : Peinture liée à l'art fasciste de Alfredo Gauro Ambrosini , peintre futuriste. Il représente le visage du Duce, superposé à la Rome des César (œuvre de 1930). L'islamisme, pour sa part, détruit l'art.
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Robert Ménard répond aux inquisiteurs :
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mardi, 05 mai 2015
Une conférence sur le voyage en Syrie
Lors de la conférence que nous avions organisée le 5 février dernier à Paris cliquez ici, un voyage en Syrie avait été annoncé. Celui-ci vient de se dérouler. Plusieurs amis de notre revue y ont participés. Une conférence est organisée dimanche prochain sur ce voyage.
20:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Crise au Front national : réaction de Pierre Vial
Le spectacle donné par le Front National est consternant. La façon dont est traité Jean-Marie Le Pen est indigne. Les roquets aboient à qui mieux mieux aux basques du vieux sanglier. Mais ils devraient avoir la prudence de ne pas trop s’en approcher car il a encore de la ressource et, contrairement à eux, une âme bien trempée…
Cette pitoyable affaire aura eu au moins une utilité : chacun aura pu vérifier qui est qui. Carriérisme, appât du gain (voir les indemnités des élus), lâcheté, trahison… tout y est.
J’ai, sur certains personnages qui se bousculent aujourd’hui pour cracher plus fort que le voisin sur le vieux chef, des documents d’archives (placés en lieu sûr) datant d’une époque où ils se voulaient des fascistes purs et durs. Amusant, non ?
Mais il faut penser à l’avenir, surtout pour tous ces braves gens qui ont beaucoup donné — et parfois tout donné — pour un FN en lequel ils voyaient la seule planche de salut.
C’est pourquoi je propose que se mette en place, avec tous ceux, sans exclusive, qui croient encore que les valeurs fondatrices de notre identité méritent d’être affirmées et promues un FRONT DES PATRIOTES. Car le sort de notre peuple exige de voir au-delà des tristes personnages qui se drapent dans un FN devenu un fromage bien crémeux pour les arrivistes de tous poils. Leur destin est de se retrouver dans les poubelles de l’Histoire.
Laissons-les dans leur fange et battons-nous pour la seule cause qui vaille : l’avenir de nos enfants et des enfants de nos enfants. Il y a encore dans ce pays des hommes et des femmes qui refusent de se soumettre à un système qui veut tuer l’identité des individus et des peuples. Qu’ils se regroupent et s’organisent et tout deviendra possible.
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Jean-Marie Le Pen : "J'ai honte que la présidente du FN porte mon nom"
Le Point.fr cliquez ici
"J'ai honte que la présidente du FN porte mon nom", a lancé le père de Marine Le Pen sur Europe 1 après l'annonce de sa suspension du parti et de la future suppression de son statut de président d'honneur. Cette décision a été prise lundi en début de soirée par le bureau exécutif du Front national pour sanctionner les déclarations de Jean-Marie Le Pen à Rivarol et sur BFM TV, condamnées par sa fille Marine, présidente du parti. Le fondateur du FN avait refusé, plutôt dans la journée, de se présenter devant cette instance.
"Je pense que c'est une félonie et je dois dire que j'ai honte que la présidente du Front national porte mon nom, a-t-il poursuivi. Et je souhaiterais d'ailleurs qu'elle le perde le plus rapidement possible. Elle peut le faire soit en se mariant avec son concubin, soit peut-être avec M. Philippot ou avec quelqu'un d'autre. Moi je ne souhaite pas que la présidente du Front national s'appelle Le Pen", a lâché l'ancien président du FN. "Qu'elle fasse campagne sous le nom de Marine Aliot, ou Marine Philippot, puisqu'elle traite son père et le président du Front national de façon absolument scandaleuse."
"Si on trouve mon cadavre"
Interrogé sur le fait de savoir s'il répudiait sa fille, Jean-Marie Le Pen a répondu : "Tout à fait, je ne me reconnais pas de lien avec quelqu'un qui me trahit de manière aussi scandaleuse." Enfin, "c'est la mort qui coupe les ponts", a répondu le père de Marine, interrogé sur le caractère définitif de cette répudiation.
De plus, Jean-Marie Le Pen a promis tous les recours juridiques possibles et assené que les membres du bureau exécutif "doivent s'attendre à tous les moyens", puis a assuré que les adhérents du parti "allaient être indignés par la félonie, en tout cas ceux qui ont le sens de l'honneur". A-t-il le soutien de la base ? "Ça a été vu l'autre jour lorsque je me suis présenté sur la tribune place de l'Opéra, j'ai rassemblé un accueil sans équivoque", a assuré Jean-Marie Le Pen, qui s'était invité sur la tribune juste avant que sa fille ne s'exprime lors du traditionnel défilé frontiste du 1er mai en l'honneur de Jeanne d'Arc, et qui avait été applaudi. "Je n'ai pas volé ce soutien, je ne l'ai pas reçu en héritage non plus", a-t-il aussi taclé, dans une critique à peine voilée envers sa fille.
Jean-Marie Le Pen, que sa fille avait appelé à se retirer de la politique, a promis qu'il irait "au bout de ses mandats". "Et si on trouve mon cadavre, sachez que je ne me serai pas suicidé", a-t-il lancé en riant.
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Manuels scolaires pro-islam : retour à l’expéditeur ?
Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici
La réforme du collège portée par Najat Vallaud-Belkacem a de quoi faire bondir : le projet de révision du programme d’histoire pour la classe de cinquième prévoit qu’à la rentée 2016, l’enseignement de l’islam restera obligatoire tandis que la chrétienté au Moyen Âge ou le siècle des Lumières deviendront… facultatifs ! Ce qui n’a pas manqué de provoquer – à juste titre – une levée de boucliers de la part de nombreux historiens, intellectuels, enseignants et politiques, à gauche comme à droite.
La décision de rendre obligatoire l’enseignement de l’islam dans l’école publique ne date pas d’hier : depuis 2010 déjà, les parents d’élèves de cinquième peuvent constater que dans certains manuels d’histoire de leur progéniture, c’est sur les débuts de l’islam à travers ses « fondements » et sa « civilisation brillante » que s’ouvrait l’année scolaire, faisant fi de la chronologie. Et si le chapitre sur « L’Église en Occident », relégué en quatrième position, fait naturellement mention de l’Inquisition, la religion musulmane n’est abordée que sous l’angle positif d’une religion de paix, tolérante à l’égard des infidèles. Sans aucune approche historique critique, comment dès lors s’étonner que certains élèves soient tentés d’aller faire le djihad ?
Alors que faire contre cette tentative éhontée de travestir l’Histoire ? Prendre la plume comme le font certains intellectuels ? À quoi bon : tout le monde sait que deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche. Soutenir les enseignants dans la grève programmée le 19 mai dans toute la France contre ces nouveaux programmes ? Pourquoi pas… Mais quand on sait le peu de cas fait par le gouvernement envers ceux qui ont défilé contre les nouveaux rythmes scolaires, on peut s’interroger sur l’efficacité de battre le bitume. Ne vaudrait-il pas mieux que les parents d’élèves de cinquième, écœurés par ces tentatives éhontées de manipulation des esprits, tapent là où ça fait mal – à savoir au portefeuille – et décident de renvoyer les manuels d’histoire en question aux différents éditeurs concernés ? Ce serait, sans doute, un bon moyen de leur signifier que non, ils ne sont pas d’accord, et que oui, ils ont décidé d’entrer en résistance !
Concluons sur cette anecdote rapportée publiquement par Éric Zemmour qui, après une émission télé où il avait débattu avec « un historien sociologue antiraciste », indique que ce dernier avait clos la discussion par cette conclusion triomphante : « De toute façon, tu peux dire ce que tu veux, on tient les programmes scolaires. » Les programmes scolaires, peut-être, mais pas les élèves à qui ils sont destinés. N’est-il pas grand temps de sonner la fin de la récréation et de poser clairement la question de l’indépendance de l’Éducation nationale face à la montée des revendications des communautarismes ?
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Gabriele Adinolfie publie aux Bouquins de Synthèse nationale un livre sur l'Europe
Gabriele Adinolfi nous expose dans ce petit livre de 80 pages, initialement édité en Italie, sa vision de l'Europe.
Partant du constat que dans le monde globalisé actuel les nations européennes ne peuvent plus, seules, avoir la force nécessaire pour faire face aux blocs (USA, Chine, Inde, pays émergents...), celles-ci risquent d'être amenées à disparaître de la compétition internationale.
Seule la création d'une Europe forte et unie, reposant sur la défense de ses identités nationales et régionales, peut inverser les choses. C'est ce à quoi Gabriele Adinolfi nous invite à réfléchir.
Jeudi prochain, 9 avril, Gabriele Adinolfi présentera son livre à Paris :
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lundi, 04 mai 2015
Deux ouvrages essentiels pour clarifier les choses...
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Rennes : depuis plusieurs mois des gauchistes occupent l'appartement d'une octogenaire
L'indignation populaire amplifie de jour en jour. Vendredi dernier une première manifestation s'est déroulée à Rennes :
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dimanche, 03 mai 2015
Après Ninive, Poissy
Floris de Bonneville Boulevard Voltaire cliquez ici
Rien sur les chaînes nationales sur un acte terriblement révélateur : la destruction à coups de massue de la belle statue de Saint Louis qui trônait, à deux mètres de hauteur, dans la nef de la collégiale de Poissy-sur-Seine, là où le glorieux roi avait été baptisé !
Jeudi soir, 30 avril, Alain Marschall et sa comparse Ruth Elkrief passaient une bonne dizaine de minutes à parler d’un incident mineur concernant la longueur de la jupe d’une lycéenne provocatrice. Mais rien, et rien sur les chaînes nationales sur un acte terriblement révélateur : la destruction à coups de massue de la belle statue de Saint Louis qui trônait, à deux mètres de hauteur, dans la nef de la collégiale de Poissy-sur-Seine, là où le glorieux roi avait été baptisé !
Briser en cent morceaux ce symbole de la France chrétienne, de l’histoire de la France, est sûrement l’œuvre d’un déséquilibré. C’est en tout cas la version policière qui a suggéré que, peut-être, la statue est tombée toute seule, en déséquilibre qu’elle était, elle aussi… Mais alors, elle aurait attendu un jour anniversaire pour choir ? On peut penser que le ou les criminels auront exécuté leur basse œuvre 801 ans, jour pour jour, après la naissance de ce grand roi dans cette même ville de Poissy.
Et nous revient ces terribles vidéos de l’État islamique où les barbus enrobés détruisent avec haine et fanatisme les statues du musée de Ninive comme s’ils voulaient effacer des mémoires de l’humanité toute une civilisation d’où l’islam était évidemment absent puisque Mahomet allait naître 2.000 ans plus tard…
À Poissy-sur-Seine, c’est vraisemblablement la même idéologie ravageuse qui a voulu effacer de notre histoire l’image de ce roi saint, en se vengeant du même coup de l’audace qu’avait eue ce chef croisé en tentant de délivrer Jérusalem de la présence musulmane dans les lieux les plus saints de la chrétienté.
Et pourtant la police locale, qui ne doit pas trop lire les journaux, a déclaré au Courrier des Yveline , l’un des rares médias à avoir évoqué ce sacrilège, que « cet acte isolé n’est pas dirigé contre l’église ». Sous-entendu, si l’église avait été le but de cet acte, il aurait pu y avoir tentative d’incendie de l’édifice religieux, comme ce fut le cas le 17 avril à Saint-Martin-le-Beau dans le Loir-et-Cher, dont l’église a été presque entièrement détruite. Un fait plus que divers passé inaperçu, là encore, de la grande presse. Les journaux locaux ont, d’ailleurs, pris prétexte de l’incendie de 4 voitures garées au pied de l’église pour ne pas évoquer la possibilité d’un attentat. Là encore, ce ne fut qu’un incendie accidentel dont seul le clocher du XIIe siècle fut épargné. Ce ne pouvait être un acte volontaire, ou alors, peut-être au pire, l’acte volontaire d’un déséquilibré dont la religion ne peut pas être évidemment la cause.
Il ne serait, évidemment, pas politiquement correct de trouver l’empreinte d’un islamisme radical, voire la main d’un calife devant ces destructions religieuses et historiques qui semblent, au fil des jours, devenir de plus en plus nombreuses, et ce dans le silence complice de nos médias et d’un gouvernement qui ne veut surtout pas mettre de l’huile sur le feu… Il ne faut surtout pas faire monter la mayonnaise contre une communauté déjà meurtrie qui laisse pourtant agir ses membres radicaux sans les mettre au ban.
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
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samedi, 02 mai 2015
LA FRANCE DOIT CHANGER DE POLITIQUE Les temps de Lawrence d'Arabie ou de Sykes-Picot sont révolus !
Michel Lhomme Métamag cliquez ici
La persistance de conflits anciens au Proche-Orient nourrit des tensions et des haines tenaces qui se combinent avec des conflits transnationaux nouveaux. Il existe des interactions complexes et multiples entre le lancinant conflit israélo-palestinien, les conséquences dévastatrices de l’intervention américaine en Irak de 2003, la question du nucléaire avec l’Iran, la guerre civile en Syrie, les rivalités multiséculaires entre le monde sunnite et chiite, (la guerre civile actuelle au Yémen et l’antagonisme entre l’Iran et l’Arabie Saoudite), la question des Kurdes et le développement de « l’Etat Islamique », mouvement terroriste nihiliste, souvent instrumentalisé par les puissances de la région et l'Occident.
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vendredi, 01 mai 2015
Carl Lang invité par Réinfos, le mag du Parti de la France
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Bernard Maris, Houellebecq économiste...
Pierre Le Vigan
Bernard Maris, Houellebecq économiste, Flammarion, 2014.
Ce qu’a montré magistralement l’économiste et moraliste Bernard Maris dans son dernier livre, paru au même moment que son assassinat (on pense au roman Plateforme), c’est que le cœur des livres de Houellebecq c’est une protestation passionnée, vitale contre la domination de l’économie sur nos vies. La science économique libérale, c’est-à-dire la théorie classique est fausse. « « Bien entendu, les hommes ne sont ni rationnels ni calculateurs, écrit Bernard Maris. C’est pourquoi ils sont surprenants, avec leurs passions, leurs peurs, leurs joies, leurs doutes, leurs naïfs désirs, leurs frustrations, et beaucoup de choses comme le mal au dos. » Mais Houellebecq ne se contente pas de critiquer la « science » économique, sa prétention, sa vacuité. Il voit la nocivité de la domination des préoccupations économiques. C’est ce que Viviane Forrester appelait « l’horreur économique ». Le bilan du libéralisme c’est la lutte de tous contre tous, c’est l’exacerbation des besoins. C’est le développement de l’individualisme, véritable tumeur maladive. « La conséquence logique de l’individualisme c’est le meurtre et le malheur » indique Houellebecq. L’homme est rabaissé et soumis à la logique des désirs, avec comme seul idéal de « se goinfrer comme des enfants ». C’est l’homme infantilisé et l’homme malheureux car la loi tendancielle de baisse du taux de désir (en fait, le corollaire anthropologique de la baisse tendancielle du taux de profit) oblige à en mettre sans cesse de nouveaux sur le marché, toujours plus débiles, soumis à une obsolescence toujours plus rapide.
On voit que toutes les leçons de Michel Clouscard sont comprises et reformulées. Le monde est devenu le résidu de la production d’argent. « Le libéralisme redessinait la géographie du monde en fonction des attentes de la clientèle ». Contrairement à l’extrême gauche qui critique le capitalisme sans mettre en cause l’individualisme absolu et libertaire, Houellebecq va à la racine : le règne du moi-je, le règne du « tout à l’ego », Ainsi « nous avançons vers le désastre, guidé par une image fausse du monde […]. Cela fait cinq siècles que l’idée du moi occupe le terrain ; il est temps de bifurquer ».
Sur quoi est fondée l’économie ? Sur l’organisation de la rareté. S’il y a abondance il n’y a plus d’économie (justement, Marx voyait le communisme comme surmontant la rareté de l’accès aux biens essentiels). C’est pourquoi l’économie libérale est l’organisation de la frustration. En période d’abondance et notamment d’abondance de travail la domination de l’économie et des puissances d’argent ne disparait pas mais elle s’affaiblit. C’est ce que remarque Houellebecq, dans la lignée de George Orwell : « En période de plein emploi, il y a une vraie dignité des classes prolétariennes. […] » Elles « vivent de leur travail, et n’ont jamais eu à tendre la main. » C’est évidemment pour cela que le capitalisme ne veut pas se donner pour objectif le plein emploi et pousse à la précarité, à l’immigration, à la flexibilité du travail, à un droit du travail réduit à des cendres. Le capitalisme pousse ainsi à l’homogénéisation du producteur-consommateur, à l’exception de différences illusoires qui constituent des niches de marché. Lucide sur le diagnostic, Michel Houellebecq n’y va pas par quatre chemins dans ses conclusions : « Nous refusons l’idéologie libérale parce qu’elle est incapable de fournir un sens, une voie à la réconciliation de l’individu avec son semblable dans une communauté que l’on pourrait qualifier d’humaine ». Il écrit encore : « Nous devons lutter pour la mise en tutelle de l’économie et pour sa soumission à certains critères que j’oserai appeler éthiques ».
16:29 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 30 avril 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER RIVAROL N° 3185 du 23 avril 2015
FLORIAN PHILIPPOT AIME LE MÉTISSAGE
On connaissait les propos de Nicolas Sarkozy, à la gloire du métissage. Rappel : « L’objectif c’est relever le défi du métissage. Le défi du métissage […] ce n’est pas un choix, c’est une obligation, c’est un impératif », et puis ceux de François Hollande : « Il faut croire au métissage », et enfin ceux de Jean-Luc Mélenchon — « Notre chance c’est le métissage ». Mais voici qu’apparaît aussi le vice-président du Front mariniste, Florian Philippot, qui a éructé : « Moi j’aime le drapeau métissé français. Le bleu, le blanc et le rouge. » Consternant…
MARION MARÉCHAL-LE PEN DÉZINGUE GOLLNISCH ET CONDAMNE SON AÏEUL
Marion Maréchal Le Pen a confirmé sa candidature en Paca, aux élections régionales, mais refuse absolument de faire un tandem avec Bruno Gollnisch, que Jean-Marie Le Pen imaginait, vu son expérience, en cas de victoire, voir présider la Région. Bruno Gollnisch incarne en effet, aux yeux de la petite-fille du Menhir, « le Front d’une certaine époque » (les années les plus sombres de l’Histoire ?), « une époque qui (lui) semble un peu révolue ». Elle insiste au cas où l’on n’aurait pas compris : « Je n’accepterai pas d’en faire (un ticket) avec Bruno Gollnisch ». Et elle précise : « Je ne me reconnais pas dans sa ligne, même si je sais que l’on nous met souvent dans le même lot mais c’est un raccourci grossier et faux. Moi, je suis clairement dans le Front national de Marine Le Pen. » Elle poursuit avec ces fortes paroles : « J’ai un immense respect pour Jean-Marie Le Pen. Je lui dois énormément. Mais je ne me trompe pas de combat. Je ne me sens pas une femme d’extrême droite. Le totalitarisme, le racisme, ce n’est pas moi » (Mais c’est Jean-Marie Le Pen, si l’on décrypte les propos de la benjamine !). Et puis, elle l’affirme : « Je n’ai jamais été l’objet de mon grand-père. Je m’étais détachée de ses propos lors de l’épisode sur “la fournée”. Je ne cautionne ce qu’il a dit ni sur la forme, ni sur le fond. ». Sa conclusion : Bruno Gollnisch est un ringard : « Je ne peux pas être d’accord avec lui. Je ne suis pas de ce FN des années 1970, de l’après-guerre d’Algérie. » a-t-elle confié sans ménagement à La Provence. Nous voici informés. Merci, Marion… On s’en souviendra.
CE COLLARD DE COLLARD VEUT MAINTENANT ADHÉRER AU FN
Ce « collard de Collard », qualificatif imagé que JMLP a attribué à l’avocat-député mariniste, que tous les Rivaroliens sauront décrypter, saute le pas. Il vient de déclarer sur Radio Classique : « J’ai toujours dit que je suis mariniste. Moi, je n’ai pas adhéré au FN parce que Jean-Marie Le Pen y était. J’ai toujours dit que je ne pouvais pas adhérer à certains de ses propos. C’est la raison pour laquelle je suis apparenté Front national au Parlement, mais je n’ai pas ma carte. Mais là, maintenant, je considère que plus rien ne s’oppose, vu la mise en retrait de Jean-Marie Le Pen à ce que j’aie ma carte. » On n’en attendait pas moins de ce Collard.
FLORIAN PHILIPPOT N’A JAMAIS VOTÉ JEAN-MARIE LE PEN
On est soulagé de l’apprendre. Florian Philippot dévoile, dans une interview, cette information sensationnelle : il assure n’avoir « jamais voté Jean-Marie Le Pen ». Il déclare avoir « voté blanc » lors du second tour de l’élection présidentielle de 2002, et ajoute « Je ne l’ai jamais diabolisé », soulignant : « Je ne vais pas dire que j’approuve tout ce qu’il a dit, bien évidemment, mais je lui reconnais un grand courage, celui d’avoir porté le thème de l’immigration très tôt, à un moment où ce n’était franchement pas facile ». Et Philippot de conclure : « on aurait mieux fait de l’écouter ».
Houlà, mais que se passe-t-il ? Philippot deviendrai-il humaniste à l’égard de Jean-Marie qu’il vouait aux gémonies trois jours plus tôt, déclarant, à la suite de ses propos à RIVAROL que « la solution préférable » était que le président d’honneur du FN parte « de lui-même » car « il s’est mis de lui-même en marginalité du mouvement ». Explication de texte : Philippot est mort de trouille à l’idée que le Chef commence à envisager de s’énerver d’importance à son encontre… Mais il n’en démord pas : Le Pen ne peut plus occuper un poste de direction au sein du FN, il doit « prendre du champ » dit-il avec arrogance.
JEAN-MARIE LE PEN A RENCONTRÉ LES NATIONALISTES EUROPÉENS
Il s’agit du premier pied de nez de Jean-Marie Le Pen à sa fille et à sa clique. Et sans doute pas le dernier, parions-le. Le président d’honneur du FN vient de rencontrer le 13 avril (et se faire prendre en photo, voir le site de Lionel Balland), au Parlement européen de Bruxelles des personnages considérés par la camarilla comme hautement sulfureux : le fasciste italien Roberto Fiore (Forza Nuova-Italie), Nick Griffin (Royaume-Uni) du British national Party et le député du parti ultranationaliste allemand NPD (que les âmes sensibles décrivent volontiers comme étant néo-nazi), le révisionniste Udo Voigt. Mais comment, diable, la camarilla pouvait-elle imaginer qu’un combattant comme Jean-Marie Le Pen se laisse poignarder dans le dos sans contre-attaquer ? Ils n’ont pas fini de souffrir…
L’AUSTRALIE RÉSISTE ! “PAS QUESTION, VOUS NE SEREZ PAS CHEZ VOUS EN AUSTRALIE !”
Le gouvernement australien vient de mettre en place les mesures de protection de ses frontières les plus sévères de tous les temps. Voici les textes des affichettes et de la propagande internet qu’il vient de diffuser :
– « Si vous montez sur un bateau sans visa, vous n’arriverez pas jusqu’en Australie.
– Toute embarcation qui cherche à gagner illégalement l’Australie sera interceptée et reconduite
hors des eaux territoriales.
– Ces règles s’appliquent à tout le monde : familles, enfants accompagnés ou non, travailleurs qualifiés.
– Peu importe qui vous êtes et d’où vous venez, vous ne serez pas chez vous en Australie. Pensez-y à deux fois avant de gaspiller votre argent, les passeurs sont des menteurs… »
RUQUIER : “J’AI ENFIN COMPRIS LE CALVAIRE DU PRÉSIDENT”
« J’ai compris enfin le calvaire qu’a vécu notre président de la République pendant des années ! » a plaisanté Laurent Ruquier sur le plateau de On n’est pas couché. Il y avait eu, une semaine plus tôt, un violent clash entre Valérie Trierweiler et Laurent Ruquier. Valérie, qui avait sans doute abusé de certaines substances ou n’avait pas bu que de l’eau, avait reproché à Laurent Ruquier d’avoir dit à l’antenne que François Hollande était le père de Léonard Trierweiler, propos qu’il n’avait jamais tenus. Folle de rage, pour des raisons parfaitement fantaisistes, elle avait enjoint à Ruquier d’« apprendre à parler distinctement » et à faire preuve de « rigueur sur l’essentiel ». « Amuseur public est aussi un métier, à défaut d’être journaliste », avait-elle conclu. Du coup, Ruquier s’est amusé à se déchaîner, quelques jours plus tard, sur le plateau de son émission, envoyant perfidement une invitation à Trierweiler : « Nous vous convions à venir parce que je crois que votre œuvre littéraire de grande journaliste sort en livre de poche. Je serais ravi de recevoir vos cours de distinction ». Amusant quand les cloportes invectivent les cloportes…
TENTATIVE D’ASSASSINAT EN FLANDRES DE NOTRE CAMARADE FILIP DEWINTER
Un homme masqué et armé s’est introduit au domicile de Filip Dewinter, l’un des leaders du Vlaams Belang, parti national flamand, très en pointe contre l’islamisation de la Flandre et de l’Europe. Filip Dewinter était absent au moment des faits, ce qui lui a probablement sauvé la vie. Mais l’une des filles de Filip Dewinter, enceinte, ainsi que son mari et leur petit garçon de trois ans, étaient dans la maison et ont échappé au pire. Lorsque l’individu masqué et armé s’est retrouvé face au gendre de Filip Dewinter, il lui a demandé dans un anglais approximatif si Filip Dewinter habitait bien là. Le gendre de Dewinter a nié et l’intrus s’est enfui. Une voisine qui avait remarqué l’intrusion avait appelé la police qui est arrivée trop tard pour interpeller l’individu. La police locale d’Anvers vient de confirmer la “menace” qui pèse sur Filip et assure enfin sa protection, et celle de sa famille.
SÉVÈRE REPROCHE D’ELKABBACH À LA SOEUR DE BHL: “POURQUOI VOUS N’ÊTES PAS RESTÉE JUIVE ?”
Jean-Pierre Elkabbach recevait Véronique Lévy, la sœur de BHL, qui livre un témoignage de sa conversion au “catholicisme” (conciliaire). Il y eut comme un petit moment de malaise, le journaliste lui posant cette question en forme de reproche : « Pourquoi vous n’êtes pas restée juive ? » Réponse qui étonnera peut-être certains de nos lecteurs mais qui est tout à fait dans l’esprit de Vatican II : « Je suis restée juive en devenant catholique. Catholique veut d’ailleurs dire universel. Un chrétien est un juif accompli. » Elkabbach ne lâche cependant pas le morceau de Torah : « Vous dites “je suis devenue catholique parce que je suis juive”. Mais est-ce que l’avenir d’un juif c’est de se convertir au Christ, est-ce que ça ne sonnerait pas comme la fin du peuple de Moïse ? » Véronique Lévy réplique : « Non, pour moi, c’est un accomplissement absolu. » Et puis Elkabbach de monter au front, avec ces fortes paroles : « Mais il vaut mieux que pour les juifs leur destinée ne soit pas de se fondre dans des conversions qui les fassent disparaître pire que d’autres ont essayé de la faire ». Alors là, amis Rivaroliens, il a touché à l’essentiel, au grandiose ! Dernière minute : la vidéo de la chaîne Public Sénat où Elkabbach tenait ces propos vient de se volatiliser. Incroyable…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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mercredi, 29 avril 2015
Destruction sociale et destruction culturelle
Jean-Gilles Malliarakis L’Insolent cliquez ici
Certains se demandent parfois si la déconstruction culturelle, entraînant la trahison des élites, n'engendre pas des conséquences plus graves encore que l'arasement social, étranglant les classes moyennes et se traduisant par la perte du sens du travail et de l'entreprise.
Des deux processus de subversion et de décadence lequel doit-on combattre par priorité ?
L'actualité nous fournit sa réponse par la simultanéité de deux mouvements.
D'une part, ce 27 avril, les artisans, commerçants et autres travailleurs indépendants manifestaient leur légitime révolte contre les abus, contre les dysfonctionnements et, en bonne logique, contre le monopole du lamentable RSI. Ce "régime social des indépendants" a été créé sans véritable débat par le fourre-tout de la loi Fillon de 2003. Il fut mis en place, sans que personne ne s'en aperçoive, sauf les assujettis incorporés de force, sous la présidence Sarkozy. Droite et gauche peuvent donc s'enorgueillir de concourir à la même nuisance.
Et, d'autre part, depuis la révélation de son projet d'abaissement des programmes scolaires par la citoyenne Vallaud-Belkacem, on peut aussi observer et nous devons soutenir de toutes nos forces, la protestation grandissante contre les atteintes tendant à effacer la culture classique et les langues européennes de l'école publique en France.
Dans un cas comme dans l'autre nous ne subissons peut-être pas la même opération, mais elle vient de la même famille d'opérateurs, poursuivant un même but, par le pouvoir des bureaux dont les ministres et sous-ministres ne sont que les communicants.
Ils ont alors bonne mine ceux qui voudraient seulement accélérer le rythme de ce qu'on désigne de manière trop vague et trop indistincte comme des "réformes", trouvant trop lent, trop lourd et trop incertain le pas destructeur de Monsieur Normal et de ses comparses.
Hypocritement le 24 avril, la citoyenne Vallaud-Belkacem, ce personnage incompétent, inculte et non-élu, qui fut promue, on ne sait pourquoi, ministre de l'Éducation, a osé produire un communiqué faisant semblant de concéder que "les débats sont légitimes"… mais que le 12 juin tout sera bouclé, après "consultation", consultation de pure forme cela va sans dire, "des" enseignants… (lesquels ?)
Dans un cas comme dans l'autre, on doit par conséquent cesser de demander des améliorations au monopole, qu'il s'agisse du monopole scolaire ou du monopole social : on doit combattre le monopole.
Le même jour, où s'étaient dressés des gens écrasés par la lourdeur des charges on apprenait les nouveaux chiffres du chômage, la belle réussite de Hollande depuis 3 ans.
Il faut vraiment se situer dans le sillage de l'étatisme et du conformisme le plus absolu pour faire encore semblant de s'interroger sur les causes, alors qu'elles ne datent pas d'hier, même si leur comptabilité officielle vient de franchir la barre symbolique et historique des 3,5 millions de chômeurs.
On peut se demander en fait combien de politiciens français ont daigné observer un bulletin de paie français qu'il s'agisse de celui d'un ouvrier professionnel, d'une caissière de supermarché, d'un cadre moyen ou supérieur. Inutile par conséquent de les inviter à comparer un tel document avec son homologue en Allemagne ou au Royaume Uni. Dans le gouvernement actuel, essentiellement composé de fonctionnaires, personne ne semble capable de comprendre à quel point le modèle social français "que le monde nous envie" tue l'emploi en France, à quel point le poids des charges sociales monopolistes ont fait sombrer l'économie privée française
Songeons aussi que le conseil d'orientations des retraites est composé de gens qui, sans être eux-mêmes assujettis au régime général, bénéficient de la garantie accordée aux privilégiés de la haute fonction publique.
On va fêter bientôt le 20e anniversaire du plan Juppé de 1995 : depuis cette date, l'État, ou plutôt l'étatisme de la haute administration a mis la main sur les régimes sociaux et en a évacué l'ombre de démocratie syndicale qu'ils étaient supposés intégrer.
Dans un cas comme dans l'autre il est temps d'en finir avec ces mini-dictatures de l'incompétence, de l'arrogance et de la jactance.
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Dimanche 7 juin, TOUS à Poitiers pour la 1ère Rencontre Charles Martel
12:39 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le colloque de l'Institut Iliade sur l'esthétique européen samedi dernier à Paris
12:32 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'entretien avec Carl Lang publié dans Synthèse nationale
Voici l'entretien que Carl Lang, Président du Parti de la France, a accordé dernièrement à l'excellente revue Synthèse nationale (n°39, avril-mai 2015). Pour l'acheter en ligne, cliquez ici
Question : Carl Lang, vous avez été à deux reprises le Secrétaire général du Front national et vous avez été exclu par Jean-Marie le Pen pour vous être opposé à sa fille lors des élections européennes de 2009. Comment analysez-vous les récents déchirements entre JMLP et Marine Le Pen à la tête du Front national ?
Nous assistons à l’accélération du processus de normalisation politique et de soumission de Marine Le Pen à la dictature de la pensée unique. En refusant à Jean-Marie Le Pen l’expression de sa liberté d’opinion et de parole, elle espère continuer à s’attirer les bonnes grâces des maîtres de l’information et des médias. Elle a décidé de sacrifier son père sur l’autel de la soi-disant dédiabolisation et c’est pourquoi j’ai parlé d’une tentative d’euthanasie électorale et politique.
Ce que Madame Le Pen et son entourage ne comprennent pas est que la dédiabolisation est un mirage et une course sans fin pour complaire au système idéologique dominant et totalitaire. Après avoir liquidé Jean-Marie Le Pen, il faudra se débarrasser du FN qui est le mouvement de Jean-Marie Le Pen. Mais cela ne suffira pas : il faudra aller encore plus loin dans le reniement et l’allégeance. Après avoir abandonné le discours de droite économique et s’être alignée comme cela est déjà fait sur la bien-pensance laïciste, citoyenne et républicaine et le souverainisme de gauche, après avoir refusé de participer aux manifestations du combat pour nos valeurs de la Manif pour Tous, elle devra finir par abandonner la préférence nationale et la défense de l’identité nationale. En effet celles-ci ne sont pas compatibles avec les soi-disant valeurs de leur république socialiste. Et tout au bout de cette longue marche politique de la honte, Madame Le Pen aura encore un problème : elle s’appelle Le Pen.
Et puis, au-delà de l’aspect politique et du reniement de nos valeurs, nous assistons au lamentable spectacle de l’infamie morale.
Toutes les sociétés humaines se fondent sur le premier socle qui est le socle familial. Dans les sociétés chrétiennes cela s’exprime par le quatrième commandement du Décalogue : « Tu honoreras ton père et ta mère ».
Marine Le Pen doit politiquement tout à son père qui l’a embauchée au service juridique du Front National et imposée dans les instances dirigeantes et ce, contre l’avis de nombreux cadres du Front National durant les années 2000. Lors du Congrès de Nice en 2003, Marine Le Pen qui a été classée 34ème à l’élection du comité central fut nommée vice-présidente du FN et donc membre du Bureau Exécutif par son père. Au congrès de 2007, Bruno Gollnisch voit disparaître la délégation générale dont il était le responsable et se retrouve relégué à une fonction de vice-président exécutif chargé des affaires internationales alors que Madame Le Pen est nommée par son père vice-présidente exécutive chargée de la direction du Front National. J’avais à l’époque résumé la nouvelle situation de la direction par la formule suivante : « Il y a dorénavant une vice-présidente exécutive et un vice-président exécuté ».
Je n’oublie pas non plus la manière ignoble dont notre amie Marie-France Stirbois, militante et élue exceptionnelle a été traitée pour s’être opposée dès le début avec lucidité et courage au double jeu et aux impostures de Marine Le Pen. Marie-France est décédée suspendue du FN mais pas exclue car Jean-Marie Le Pen ne trouvait pas de majorité au Bureau exécutif ou au Bureau politique pour l’exclure. L’ancien président du FN a ainsi épuré de manière systématique, impitoyable et sans aucun état d’âme tous ceux qui osaient contester les ambitions ou les idées de sa fille. Ce n’était plus le Front National et la préférence nationale mais le Front familial et la préférence familiale. Et puis, cerise sur le gâteau, Jean-Marie Le Pen a soutenu ouvertement et totalement sa fille contre Bruno Gollnisch à l’occasion de la grande mascarade du congrès de succession à la présidence du Front National. Chacun se souvient des formules élégantes du style : « il arrive que les dauphins s’échouent sur les plages » ou bien « on ne compare pas une 2 CV à une Formule 1 », etc…
La tentative de mise à mort électorale et politique de Jean-Marie Le Pen par sa fille est, dans ce contexte, particulièrement infâme. Il est bien évident que Jean-Marie Le Pen ne récolte que ce qu’il a semé et qu’il a lui-même creusé le trou dans lequel sa fille veut le jeter, mais la preuve est faite que Marine Le Pen ne respecte rien ni personne, ni même le père à qui elle doit tout. Elle portera toute sa vie l’infâme souillure de ce parricide politique et le discrédit moral définitif qui l’accompagne.
Cela faisait 35 ans que les partis du système rêvaient de se débarrasser de Jean-Marie Le Pen qui avait échappé jusqu’à présent à tous les peletons d’exécution médiatiques. Personne n’aurait pu imaginer que le coup de grâce lui soit porté par sa propre fille. Quelle jubilation pour tous les ennemis de la cause nationale.
Question : Quel est selon vous à ce stade la marche de manœuvre de Jean-Marie Le Pen ?
Elle est très faible. La peine de mort électorale a déjà été appliquée car il a dû renoncer par la force à sa candidature en PACA au profit de sa petite fille qui s’est d’ailleurs empressée d’indiquer quelle ne voulait pas d’un « ticket » avec Bruno Gollnisch. Bruno fera ainsi partie de la même fournée que Jean-Marie Le Pen. Ite missa est.
Jean-Marie Le Pen qui est le dos au mur en est réduit à essayer de survivre politiquement en sauvant la présidence d’honneur du parti qu’il a fondé en 1972 et dont il a été le président durant 40 ans. Je pense qu’il dispose d’arguments statutaires et juridiques solides. Par ailleurs la multiplication des mises en examen dans l’entourage de Marine Le Pen devrait l’inciter à réaffirmer son rôle de président d’honneur en exigeant des explications sur ces affaires et la mise en place d’un audit sur le financement des campagnes électorales ainsi que la création sous sa présidence d’honneur d’une commission d’enquête…
Mais je ne connais pas quel est son niveau de détermination et comme disait un célèbre humoriste : « En termes de prédictions l’avenir c’est compliqué ».
Question : Compte tenu de l’évolution du FN comment voyez-vous l’avenir de la droite nationale ?
Une chose est acquise aujourd’hui, M. Philippot et Madame Le Pen ne représentent plus les idées ni les valeurs de la droite nationale française. Leur populisme de gauche, leur souverainisme de gauche et leur démagogie électoraliste les ont classés dans le camp de l’imposture. Je pense souvent, puisque Monsieur Philippot se dit Gaulliste, à nos compatriotes pieds noirs qui en 1958 acclamaient de Gaulle en croyant qu’il allait sauver l’Algérie française alors qu’il avait déjà décidé de l’abandonner et de la livrer aux tueurs du FLN en trahissant ainsi tous ceux, militaires et civils, qui s’étaient rangés du côté de la France. Le Gaullisme est décidemment une belle école de l’imposture politique.
Le Front national canal historique dont je faisais partie avec fierté défendait des convictions même si celles-ci n’étaient pas populaires. Marine Le Pen ne défend que ce qui est populaire ou dans l’air du temps et ce, quelles que soient les convictions.
Entre les reniements politiques et personnels, l’allégeance idéologique à la pensée unique, la démagogie grossière et les mises en examen de ses proches, on peut dire que le parti de Madame Le Pen est vraiment devenu un parti comme les autres. Elle est entrée de plain pied dans le système UMPSFN, le système de la bande des trois.
Lorsque j’ai fondé avec de nombreux anciens cadres du Front National le Parti de la France, j’avais indiqué publiquement que je n’avais aucune confiance ni politique ni personnelle en Marine Le Pen. Les faits ne cessent de nous donner raison.
Voilà pourquoi il est plus que jamais nécessaire d’œuvrer à la refondation de la droite nationale et c’est la vocation du Parti de la France. Notre porte est ouverte à tous les nationaux qui veulent défendre nos valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, notre identité nationale, le droit du peuple français à rester lui-même et à disposer de lui-même, notre programme de droite économique et notre projet de patriotisme social.
Il est temps que tous ceux qui veulent mener la bataille politique, culturelle et historique de résistance nous rejoignent. Ne soyons pas les spectateurs de la débâcle française.
Nous pourrons ainsi défendre ensemble notre idéal, nos valeurs, nos convictions, nos familles, notre France et notre Europe.
C’est notre devoir et ce sera notre fierté.
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mardi, 28 avril 2015
Combien vaut la survie d’un trafiquant ?
La chronique
de Philippe Randa
En 2007, le français Serge Atlaoui a été condamné à mort en Indonésie pour avoir travaillé à la construction d’un laboratoire clandestin d’ecstasy. Depuis huit ans, il hantait les couloirs de la mort, mais son ultime recours en révision vient d’être rejeté.
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon lui-même a demandé aux autorités locales de ne plus avoir recours à la peine capitale. Une dizaine de condamnés sont ainsi dans l’attente de leur exécution. Partisans et adversaires de la peine de mort s’affrontent donc à nouveau. Mais si le gouvernement indonésien devait commuer en détention perpétuelle les peines de tous les condamnés ou d’une partie seulement d’entre eux, cette clémence ne serait-elle pas perçue comme un signe de faiblesse, voire de soumission à des puissances étrangères ? Prendra-t-il le risque ?
En février dernier, Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères, avait plaidé sa cause… sans succès ! Depuis, c’est François Hollande lui-même qui intervient pour sauver sa tête, brandissant des menaces de « conséquences diplomatiques » (sic !).
Et si les Indonésiens avaient tout simplement négocié depuis huit ans la survie de Serge Atlaoui dans leurs geôles pour répondre à des marchandages bassement politiciens de nos élus, soucieux de grapiller le moment venu quelques points de popularité dans les sondages ? Cela n’avait pas trop mal réussi au précédent locataire de l’Élysée lorsqu’il s’était agi d’infirmières bulgares incarcérées en Libye…
22:48 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 27 avril 2015
La 3e Journée régionale (Flandre-Artois- Hainaut) de Synthèse nationale à Nieppe près de Lille
Luc Pécharman, délégué de Synthèse nationale à Lille, ouvre la séance. Première table-ronde : Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, Robert Spieler, chroniqueur à Rivarol, et Arnaud Raffard de Brienne, essayiste...
Toute la journée, les stands ne désemplissent pas...
Seconde table-ronde : Hervé Van Laethem (Nation -Belgique), Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Luc Pécharman, Konstantinos Boviatsos (L'Aube dorée, Grèce) et un camarade de la revue Zénit qui assurait la traduction...
Et le célèbre groupe Frakass a terminé la journée en beauté en nous offrant un concert acoustique pour le plus grand plaisir des nombreux jeunes patriotes présents.
13:23 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Malgré les perfides tentatives du pouvoir pour empécher sa tenue, la 3e Journée régionale nordiste de Synthèse nationale a reporté un franc sussès...
A la tribune, lors de la première table-ronde : Thomas Joly, Robert Spieler, Luc Pécharman, Arnaud Raffard de Bienne
Une fois de plus, une minable manœuvre a été tentée cette fin de semaine pour empêcher la bonne tenue de la journée régionale annuelle de Synthèse nationale dans le Nord.
On se souvient qu'il y a deux ans la salle que nous avions retenue pour la première édition de ces rendez-vous militants nous avait été "sucrée" au dernier moment par le pleutre maire de Marcq-en-Baroeul cliquez ici qui avait lamentablement cédé aux injonctions de l'officine stipendiée SOS-Racisme. En catastrophe, nous avions alors trouvé une salle de remplacement dans laquelle nous avons, depuis, tenu nos journées régionales.
L’an dernier, à la veille de notre deuxième journée, quelques barbouillages nocturnes avaient dégradé les murs avoisinant mais il en faut plus que ça pour nous impressionner.
Cette année les larbins du Système ont sournoisement tenté un stratagème qui a, lui aussi, lamentablement échoué. En effet, vendredi dernier le directeur de la salle a été informé par la police que son local ne correspondait plus aux normes en vigueur (la commission de contrôle avait pourtant récemment apprécié la bonne tenue des lieux) et que, par conséquent, il fallait annuler notre réunion de dimanche. Dont acte, puisque la salle prévue n’est pas autorisée à recevoir une réunion publique, une autre salle voisine qui appartient au même propriétaire, peut, elle, recevoir une réunion privée. Sans que personne ne s’en soit rendu compte, notre réunion qui avait été publiquement annoncée s’est donc privativement tenue.
C'est donc dans une ambiance amicale que s'est déroulée la 3e Journée régionale (Flandre, Artois, Hainaut) de Synthèse nationale ce dimanche 26 avril à Nieppe, près de Lille, en présence d'une centaine de participants, et cela malgré les fourberies du pouvoir socialiste en place.
Ironie du sort, le thème de cette réunion était "La liberté menacée". Les intervenants qui se succédèrent au cours des deux tables-rondes animées par Luc Pécharman purent donc dresser un véritable réquisitoire contre la clique Hollande-Valls-Taubira qui est actuellement sensée gouverner la France et qui semble plus préoccupée par ses obsessions antifascistes que par le bien être de notre peuple.
Dès l'ouverture le public était au rendez-vous. Plusieurs stands associatifs et politiques l’attendaient, comme ceux du Parti de la France, de Terre et peuple, des associations identitaires flamandes, de Rivarol, d'une librairie nationaliste et bien-sûr celui de Synthèse nationale qui présentait le nouveau numéro (n°39) de la revue. De nombreux nouveaux abonnements furent d'ailleurs enregistrés.
Au cours de la première table-ronde, en tout début d'après-midi, prirent la parole successivement Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, venu en voisin puisqu'il est un ancien élu de Picardie, Robert Spieler, le fameux chroniqueur de l'hebdomadaire Rivarol qui vient de faire parler de lui en publiant un entretien avec Jean-Marie Le Pen, et Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et spécialiste de la désinformation.
La seconde table-ronde avait une dimension européenne puisque Synthèse nationale recevait deux amis venus de Grèce et de Belgique. A savoir Konstantinos Boviatsos de l'Aube dorée, qui nous exposa la situation peu enviable pour ses compatriotes en général et pour ses camarades en particulier qui sont victimes d'une hallucinante répression, et Hervé Van Laethem, du mouvement belge francophone Nation, qui petit à petit réussit à s'imposer en Wallonie et cela malgré les manœuvres peu reluisantes de la police belge.
Enfin, il revenait à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de conclure les travaux de cette journée. Il demanda à Konstantinos Boviatsos de bien vouloir transmettre aux dirigeants de son mouvement actuellement emprisonnés un fraternel message de solidarité de la part de l'assemblée présente et il termina en appelant l'ensemble des militants et sympathisants nationalistes et identitaires présents, quelles que soient les organisations auxquelles ils appartiennent à amplifier sans cesse leur combat pour sauver notre civilisation européenne.
La journée s'est terminée par un concert acoustique du groupe Frakass qui enchanta les nombreux jeunes présents.
Nous publierons dans la semaine d'autres photos sur cette belle réunion de Synthèse nationale dans le Nord..
03:21 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |