lundi, 07 décembre 2015
Le JT de TV Libertés de lundi soir...
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Avant les Fêtes de Noël et de la St Sylvestre : Roger Holeindre dédicacera son livre “ÇA SUFFIT !“
Communiqué du Cercle national des combattants :
A la demande de nombreux amis, Roger HOLEINDRE signera plusieurs de ses livres, dont le dernier “ÇA SUFFIT !“
1 – Le SAMEDI 12 DECEMBRE 2015 de 16h00 à 20h00
Restaurant VILLA SOPHIA (53, rue de Chaillot 75016 PARIS)
2 – Le SAMEDI 19 DECEMBRE 2015 de 10h00 à 16h00
à la Brasserie LE MAGENTA (1, place Magenta 92210 SAINT-CLOUD)
Dans les deux cas, le restaurant sera ouvert et les amis pourront, soit dîner… soit déjeuner.
BONNES FÊTES A TOUS !
Le livre de Roger Holeindre cliquez ici
NDLR : Roger Holeindre était à la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier.
17:19 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un ancien élu d'Evry, la ville de Manuel Valls, parle :
Philippe Pascot, Pilleur d'Etat cliquez ici
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Samedi prochain, 13 décembre, près de Nantes :
En savoir plus cliquez là
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Après son échec aux Régionales, le système se déchire…
11:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Hollande et consorts en Haute-Cour ?
Dr Bernard Plouvier
Que n’a-t-on pas écrit sur l’art de gouverner ? Pour les uns, c’est « prévoir », pour d’autres ce serait plutôt « vouloir »… en tous cas, si l’on décide de faire quelque chose, il ne faut s’y lancer que lorsqu’on en a les moyens.
Nos « chefs », décidés et musclés, droit dans leurs bottes quand il s’agit de « défendre les valeurs de la République » (à dire vrai, on eût surtout aimé entendre qu’on allait défendre la Nation, effectivement menacée), ont décrété l’état d’urgence et parlent même d’en étendre l’application durant un semestre.
Tout cela serait bel et bon :
1 - si l’on agissait : nous avons vu un assaut (sanglant, mais avec une curieuse disproportion entre le nombre des assaillants et celui des terroristes assiégés, qui faisait mal augurer de l’efficacité policière), quelques visites domiciliaires et un nombre tellement faible d’interpellations que l’on en est en droit de s’étonner, car très nombreux sont les ulémas et imams prêchant le Djihâd dans « nos » belles mosquées ! On n’évoque même pas la réintroduction de la peine de mort. On déblatère sur une possible, éventuelle, voire improbable suppression de la double nationalité « dans des cas très précis ». Quant aux expulsions des fous furieux de l’islam et de leurs familles complices, nul n’ose l’évoquer, pruderie droit-de-lhommesque oblige… et l’on parle « d’état d’urgence » ! C’est réellement de la pitrerie.
2 – si la presse n’avait pas, au bout de deux semaines dudit (et très mol) « état d’urgence », mentionné le « surmenage », le « ras-le-bol » de nos vaillants policiers, CRS, soldats et gendarmes mobiles. Ce genre de réaction témoigne du sérieux et du professionnalisme des membres de nos forces de l’ordre… comme la photographie de couverture de la dernière livraison de Dâr al-Islam - la revue, grand public et destinée à l’exportation, du califat nouveau cliquez ici -, révélant (les lecteurs de Metamag s’en souviennent) un policier pleurant sur l’épaule d’un autre policier, est la meilleure illustration possible de la virilité française.
Mais il y a pire ! Quatre semaines après que notre grandiose Président ait décidé des « frappes aériennes », notre glorieuse armée aérienne serait à court de bombes, après en avoir lancé moins de 700… certes, on avait connu un précédent du même type, à la fin de septembre 1914, mais après six semaines de combats réellement intensifs, menés par 1,5 million d’hommes de première ligne. Pour l’heure, nos actions guerrières seraient menées par moins de 40 avions de combat.
Si l’information est exacte, la Nation doit exiger soit la destitution, soit – au minimum – le passage en Haute-Cour (c’est une mesure symbolique, mais ça soulagera l’agacement des patriotes) de nos « maîtres », pour imprévoyance et inconséquence. Au cas où ces génies de la réflexion l’ignoreraient, il est un principe fondamental en politique comme en stratégie : l’on doit proportionner ses objectifs à ses moyens… sinon l’on échoue lamentablement et l’on ridiculise la Nation.
11:25 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Cela n'a pas tardé : déjà du rififi à l'UDI
"Je quitte l’UDI, je reprends ma liberté pour agir autrement…"
Jean-Christophe Fromentin, député-maire de Neuilly-sur-Seine
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Ces élections régionales marquent la fin des partis traditionnels et le profond ras-le-bol des Français vis à vis de ceux qui depuis des années ne pensent qu’à la conquête du pouvoir au détriment des évolutions dont la France a besoin. Le délitement de la confiance vis à vis des « politiques » atteint des niveaux peu compatibles avec un fonctionnement harmonieux de notre démocratie.
Les partis, de gauche comme de droite, captent le débat, ferment le jeu et arbitrent les élections, y compris territoriales, selon des contingences d’état-major et de gestion des carrières. Cette évolution révèlent deux conséquences graves exprimées très clairement dans ces élections : Les Français n’y croient plus et préfèrent la résignation ou le vote populiste ; ils constatent que la France est encalminée dans des difficultés abyssales dont les générations à venir subiront lourdement les conséquences.
L’UDI n’échappe pas à ces travers politiciens. Elle ne constitue pas une alternative indépendante et ne reflète plus l’élan impulsé à son origine par Jean-Louis Borloo.
A 15 mois des élections présidentielles et législatives il est urgent de réagir. C’est la raison pour laquelle, fort de mon engagement politique qui, dès le départ, s’inscrit dans un double principe d’audace et de renouveau, j’ai décidé de reprendre ma liberté pour agir autrement.
Les défis à relever appellent des actes courageux, visionnaires et modernes. Or, l’avenir de la France ne peut être préempté par quelques professionnels de la politique dont l’accumulation d’erreurs ou de non-choix au cours des trente dernières années est une des principales causes des grandes difficultés actuelles que nous connaissons. Nous ne pouvons pas continuer avec les mêmes dont les promesses n’opèrent plus.
Mais chacun d’entre nous a une part de responsabilité dans cette situation. Celle de réagir et de se mobiliser plutôt que de critiquer et de se résigner.
C’est la raison pour laquelle je proposerai dans les prochaines semaines à un maximum de Français de se mobiliser pour mettre leurs talents au service de nos territoires et de la France.
08:49 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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ALLO L'ASILE !
Un maire comme cela dans chaque ville de France et les nationaux triomphent... Son cas relève de la psychiatrie.
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Brrr !
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Philippe de Villiers, au sujet des régionales : «C’est la fin de toute une classe politique»
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Pour Philippe de Villiers, homme politique et écrivain, les résultats du premier tour des élections régionales montrent que les valeurs politiques des Français sont en train de subir un brusque changement.
RT France : Nous avons vu le FN arriver en tête de six régions sur treize lors du premier tour de ces élections régionales. Marine Le Pen a appelé à «amplifier le mouvement». Cela est-il possible, le FN est-il en mesure de gagner ces régions ?
Philippe de Villiers : Je ne suis pas un expert des courants électoraux, je fais simplement une analyse à ma hauteur, en étant aujourd'hui à l’extérieur de l’arène. Les choses sont simples : il y a d’un côté le souverainisme, de l’autre cote le mondialisme. Le souverainisme – c’est l’idée que rien ne peut se faire sans la souveraineté nationale, un pays qui perd sa souveraineté et son identité meurt. Or, les Français ne veulent pas mourir. La France est menacée de disparaitre – menacée à l’extérieur et menacée à l’intérieur, submergée de l’extérieur et effondrée de l’intérieur. Et la France est menacée à la fois de perdre sa souveraineté et son identité, et de devenir une société multiculturelle. Tout ce qu’ont fait les politiciens depuis trente ans, depuis le Traité de Maastricht, aujourd’hui est désavoué. Et Marine Le Pen et le Front National sont la traduction politique de la souffrance identitaire des Français, les Français qui ont un sentiment de dépossession d’eux-mêmes. Alors il y a d’un côté un vote souverainiste qui s’incarne dans le Front National et un petit peu dans Debout la France, et de l’autre côté un vote mondialiste qui s’exprime dans la droite et la gauche qui sont libérales, atlantistes, mondialistes. Il y a une chose intéressante : Les Républicains et le PS commencent à discuter de désistement entre eux. Cela montre bien qu’en fait rien ne les sépare. Et je pense que, comme il est écrit dans mon livre, «la classe politique va connaitre le chaos».
RT France : Comme vous l'évoquez, certains candidats de droite comme de gauche appellent à se réunir pour faire barrage au FN au second tour. Si c’est le cas, quelles seraient alors les chances du FN ?
Philippe de Villiers : Non, cela ne marchera pas. Ils ne pourront jamais faire une telle alliance. Les Français détestent ce genre de magouille.
RT France : En quoi la France sera-t-elle changée après ces résultats des régionales tels qu'on les a vu apparaitre ce dimanche soir ?
Philippe de Villiers : Je pense que c’est la fin de toute une classe politique, d’une classe politique qui était à la fois mondialiste et européiste. Et c’est aussi l’émergence du souverainisme tel que je l’ai vécu lorsque je faisais de la politique. Enfin on va revenir à des notions essentielles qui reposent sur la souveraineté de la France.
07:39 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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UMPS : tous unis pour se diviser contre le FN !
Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici
Dans le plateau-télé électoral de ce dimanche soir, il y a fromage et dessert, mais surtout manque le plat principal : le Front national ; ectoplasme qui plane dans les studios, mais assez peu représenté en chair et en os, à la notoire exception de Bruno Gollnisch, qui délivre un assez magistral cours de marxisme à Pierre Laurent et d’un David Rachline, jeune sénateur et maire de Fréjus. Il est vrai que les têtes de liste frontiste sont sûrement mieux occupées, chacun dans leurs locaux de campagnes.
Pourtant, le Front national, grand absent subliminal, est présent partout. Pour que les commentateurs et politiciens aient tout loisir de s’alarmer de ses résultats des plus flatteurs, déjà. Et ensuite sur la conduite à tenir à son endroit, lors du second tour de dimanche prochain. Fusion des listes ? Retrait de telle ou telle liste ? Triangulaires entre plusieurs listes ? Et à chaque fois, cette interrogation : le soleil continuera-t-il de briller en plein jour sur ces six régions susceptibles de tourner en orbite lepéniste ? Seront-elles bientôt englouties par les fumerolles et les éruptions volcaniques, les crues du Nil et les invasions de sauterelles ?
Pis, les forces vives de la nation, entrepreneurs et artistes, demanderont-ils asile politique en Andorre ou au Zimbabwe ? Bref, la guerre civile sera-t-elle pour demain ? Au lieu de répondre à cette question cruciale, journalistes, ce petit monde donne néanmoins l’impression de faire tourner les tables de leurs studios respectifs. Esprit républicain, es-tu là ? Farfadets démocrates, en quelle forêt de Brocéliande humaniste êtes-vous dissimulés ? Tout en houspillant les politiques de gauche de n’avoir pas su présenter un front commun contre le Front national. Et Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, d’estimer que Les Républicains veulent « fermer la porte au barrage » contre le Front national, « là où la main de l’homme n’a jamais posé le pied », on imagine.
Ainsi, les socialistes se retireraient en faveur des Républicains contre Marine Le Pen et Marion Maréchal-Le Pen. « Tant mieux », ricane le pétulant Gilbert Collard. Ces consignes seront-elles suivies ? Pour l’instant oui, en régions Nord-Pas-de-Calais et PACA. Argumentaire provençal de Christophe Castaner : « C’est pour mieux résister au FN que nous nous retirons ! » Soit une idée toute particulière du maquis électoral…
Pourtant, en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, le candidat socialiste devrait se maintenir contre le frontiste Florian Philippot, qui mène la course en tête.
Enfin, on aura compris ce soir que la priorité de tous les partis politiques “républicains” ne consistait pas à lutter contre le chômage et l’immigration de masse, à la paupérisation et au terrorisme grandissant, mais… seulement, contre le Front national. N’auraient-ils donc que cela à foutre de la sainte journée ?
Une chose est néanmoins sûre, et c’est l’avantage du chroniqueur politique chargé de suivre l’actualité du FN, c’est au moins que chez eux, le problème du retrait ou de la fusion est plus simple, puisque ne se posant pas. Ils vont au front tout simplement. Second round ce prochain dimanche.
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dimanche, 06 décembre 2015
Lapidons le père Benoit !
Martin Peltier Boulevard Voltaire cliquez ici
Mon Père, vous déconnâtes grave ! Vous avez consterné l’Express, le Figaro, les théologiens sourcilleux des réseaux sociaux et Mgr Barbarin, primat des Gaules. Certaines personnes sont nauséabondes, vous, c’est presque pire, vous êtes consternant. On vous accuse d’avoir mis sur le même pied les victimes du Bataclan et leurs assassins. Et l’on espère que Notre Sainte Mère l’Eglise catholique romaine vous trouvera l’une de ces niches de punition dont elle a le secret, entre le purgatoire et l’enfer de Dante.
Vous deviez pourtant savoir, mon Père, qu’il faut beaucoup de prudence avec les morts : aut bonum, aut nihil, en dire du bien ou rien, conseillait l’ancien précepte. Les Français reprochèrent moins à Raymond Poincaré d’avoir, avec les autres dirigeants européens dépassés (déjà), envoyé un continent au suicide en 1914, que d’avoir ri en 1917 dans un cimetière de poilus. Sans doute existe-t-il quelques rares grâces d’Etat. François Hollande, l’homme qui rit dans les friches industrielles, le chef de guerre qui n’a rien prévu ni su éviter, se fait une cote de popularité pas possible sur le cadavre des cent trente malheureux qu’il n’a pas su protéger. Sans doute : mais vous n’êtes pas de gauche, mon père, ni croque-mort !
Vous auriez dû savoir aussi qu’on n’est pas jugé sur ce qu’on écrit, mais sur ce que vos ennemis comprennent. Ayant commis la faute de vous lire, il m’a semblé que votre cible est l’esprit animant les vides jumeaux qui s’affrontent sous le nom d’islamisme et d’occident post moderne. Bon sujet, puisqu’il m’a inspiré voilà quinze ans un livre inspiré de Bridget Jones, le journal d’Oussama Ben L., que je recommande vivement au lecteur.
Hélas, vous avez commis plusieurs péchés complémentaires : non content de viser le diable, ce qui après tout peut se comprendre chez un prêtre catholique, vous avez attaqué bille en tête le principat des bisounours. Cela, c’est grave. Les réseaux sociaux n’ont pas apprécié que vous rapprochiez les cent trente morts du 13 novembres des 600 bébés que l’on avorte chaque jour en France. Ils ont couiné ! Rien à voir ! Horrible ! Crétin ! Ils vous reprochent d’avoir osé poser le problème moral de l’occident. Sur quelle morale et quelle métaphysique fonde-t-il ses actes ? En quoi tirer des missiles vaut-il mieux que décapiter ? Pourquoi porter le voile est-il pire que marier des homosexuels ? Si prendre la vie innocente est un crime, est-il plus satisfaisant de le faire à la kalachnikov ou à l’aspirateur ? Ces questions sont dérangeantes. Les bisounours sont des animaux sensibles, ils ne supportent pas de ne pas avoir toujours raison, la force qu’ils emploient est toujours légitime, celle de leurs ennemis toujours illégitime, ils sont toujours victimes de la violence des autre, ils ne sont jamais coupables, jamais violents, ils sont toujours justes. Donc vous les embêtez avec des questions qui pourraient les perturber s’ils les examinaient.
Et puis j’en suis désolé pour vous, mon Père, mais vous n’aviez pas le droit de les poser, et cela pour une raison toute simple, c’est qu’elles ont été tranchées une bonne fois pour toutes par Jacques Chirac (Loué soit son saint nom) quand il a dit : « Il n’y a rien au-dessus de la loi civile ». Là est la borne ultime de notre réflexion, de notre métaphysique et de notre religion. Voilà pourquoi, mon Père, je ne vous fais pas mon compliment. Si j’avais une pierre sous la main, je participerais bien à votre lapidation.
NDLR : Martin Peltier à la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier.
Avez-vous lu le dernier livre de Martin Peltier ? Cliquez ici
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samedi, 05 décembre 2015
Régionales : la position du PNF...
Parti nationaliste français :
Dimanche 6 décembre aura lieu le premier tour des élections régionales faisant ainsi entrer dans les faits la réforme territoriale voulue par les mondialistes et appliquée par Hollande en 2014.
Son objectif majeur consiste à développer la puissance des régions et de l’intercommunalité. Cela a deux conséquences : d’une part, l’instauration de régions-länders sans réalité historique, économique, et charnelle, va tendre à affaiblir l’autorité de l’Etat et d’autre part, elle contribue à développer des puissantes féodalités régionales.
La destruction des services publics, à laquelle nous assistons, ne sera pas enrayée. Bien au contraire, les services de proximité vont s’éloigner un peu plus des administrés, les bureaux de poste vont continuer à fermer, accélérant la désertification de terroirs entiers de la France.
Contrairement au discours officiel, ce « remodelage du territoire » ne va pas induire d’économies. Les transferts des sièges des administrations, les nouveaux réseaux de communication informatique à mettre en place, l’inévitable relèvement des rémunérations des agents appelés à occuper des postes de plus grande importance au vu de régions agrandies vont coûter très cher.
Ce changement majeur est avant tout inspiré par la Commission européenne qui exige des « réformes » de la France et qui promeut une vision fédéraliste européenne au sein de laquelle les États-nations sont peu à peu démembrés et remplacés par une structure fédérale. La création de grandes régions et de grandes métropoles n’a d’autre sens que de vouloir inscrire ces régions et grandes agglomérations françaises dans une mondialisation qui met en concurrence les territoires et les grandes cités à l’échelon planétaire.
Ces élections vont donc consacrer une nouvelle étape du détricotage des pouvoirs publics et poursuivre la destruction de la souveraineté nationale dissoute dans l’affairisme sans frontières et sans scrupules. Elles vont concourir à la mise en œuvre de ce projet qu’Edmond de Rothschild énonçait en 1971 : « le verrou qui doit sauter, c’est la nation ».
Aucune des listes en présence ne dénonce cette réalité. Toutes veulent s’emparer des pouvoirs régionaux pour mieux renforcer leurs positions en vue des prochaines échéances électorales. Demain comme hier, les partis serviront leurs intérêts avant ceux des Français, s’accommodant sans peine du moule édicté par les cercles de pensée mondialistes et antinationaux.
Pas plus que les précédentes élections, la présente échéance électorale ne changera quoi que ce soit dans l’évolution funeste que subit la France. Au mieux, voter Front National permettra de dévoiler plus rapidement les turpitudes de ce mouvement et son ralliement au système, de le déconsidérer, préparant la voie à l’alternative véritable.
Le système n’est pas réformable. La seule action politique utile est de se former, de s’organiser pour préparer l’inéluctable révolution nationale que les événements exigent. C’est ce à quoi nous travaillons au sein du Parti Nationaliste Français.
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Jan-Marie Le Pen à propos de la COP 21
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Quos vult perdere Jupiter demendat
Dr Bernard Plouvier
C’est un adage antique que l’on aurait intérêt à méditer de nos jours, selon lequel la divinité rend fous ceux qu’elle veut perdre.
Les nouveaux attentats perpétrés par les furieux islamistes, ne touchent plus seulement la France (pays de très forte minorité musulmane, comme ne semble pas le remarquer le ministre de l’Intérieur et des Cultes, dont les services minimisent le nombre approximatif des sectateurs de Mahomet, hôtes de notre beau pays) ou la Turquie (peut-être pour des raisons de politique intérieure qui échappent à l’observateur étranger aux finasseries pantouraniennes), mais aussi ces USA … où, selon certains commentateurs, on n’aurait pas dû en voir, parce que « les musulmans y sont bien intégrés » ou parce que « l’on n’y entre pas aussi facilement qu’en Europe occidentale » etc. On ne voit aucune raison pour qu’ils épargnent les États scandinaves, la Grande-Bretagne ou l’Allemagne.
Or, dans tous les pays où frappent les fous d’Allah, on entend la même rengaine : « il faut limiter de façon draconienne la vente des armes ». Certains pitres ont même interdit la vente de produits d’entretien ménager, parce qu’effectivement les dérivés chlorés et nitrés peuvent fournir une excellente base d’explosifs… mais l’essence et les autres dérivés du pétrole sont également très dangereux entre les mains d’un fou furieux, et il ne faudrait pas oublier l’étrange fascination des tueurs du calife pour les couteaux à lame de céramique. On risque d’interdire beaucoup d’objets de consommation courante !
Si l’on suit le raisonnement de ces génies de la protection civile : tout irait pour le mieux si l’on désarmait « le peuple », sachant que les terroristes islamiques sont admirablement fournis – parfois par valise diplomatique – en armes, en explosifs et même en morphine pour acheter localement du matériel de complément. C’est bien connu : les crapules savent toujours où se fournir en tout ce qui leur permet d’exercer leur prodigieuse capacité de nuire, alors que le gentil pékin ignore tout de ces réseaux obscurs.
Plutôt que d’organiser des milices d’autoprotection, dans le cadre de ces « démarches citoyennes » dont les socialo-écolo-pseudo-gaucho-mondialistes nous rebattent les oreilles, l’on va résoudre tous les problèmes de sécurité en raflant les armes du bon peuple menacé. Hollande, Valls, Cazeneuve et Taubira (qui se fait rare et silencieuse en ce moment, comme c’est bizarre !) vibrent à l’unisson d’Hussein Obama : désarmons le peuple ! Luttons contre la vente libre des armes (aux USA, pays de liberté jusqu’en 2001) !
En contrepartie de ce désarmement des victimes potentielles, on promet une action accrue des forces de l’ordre… qui, au bout de quinze jours d’alerte en France, se proclament déjà surmenées. Le torchon destiné à l’exportation de l’État Islamique, Dâr al-Islam, a montré une photographie de policier français pleurant sur l’épaule d’un camarade de patrouille, comme une pucelle abandonnée par son premier flirt… le commentateur n’a pas tort d’y voir un manque de virilité.
Après tout, la sagesse populaire le proclame : tel maître tel valet ! Hollande est un champion de l’inauguration des chrysanthèmes – et cela lui profite énormément en gain de popularité -, mais ni lui, ni ses ministres, ni le policier émotif présenté par la presse islamiste ne paraissent capables de protéger la Nation.
Lors de la prochaine vague d’attentats, les citoyens devront décider de leur sort : se laisser trucider pour la plus grande gloire d’Allah le tout-puissant ou se souvenir du comportement des Français d’autrefois. Bien entendu, chacun est libre de se prosterner devant l’envahisseur, de se convertir à sa foi médiévale, voire d’aider activement à son triomphe… mais chacun doit se souvenir que lors de la phase de Libération du territoire, les Collaborateurs éprouvent de menus désagréments.
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vendredi, 04 décembre 2015
Régionales : consignes du Parti de la France
Communiqué du Parti de la France :
Dans le cadre du 1er tour des élections régionales du dimanche 6 décembre, le Parti de la France appelle ses sympathisants à voter pour les listes auxquelles participent ses cadres et ses militants : celle menée par Jacques Bompard en PACA et celle menée par Jean-Claude Martinez en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.
Dans les autres régions, le Parti de la France ne donne aucune consigne de vote et laisse ses militants et sympathisants libres de leur choix afin qu'ils puissent s'exprimer au cas par cas en leur âme et conscience.
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Révolution et Contre-révolution, les leçons du passé. Le nouveau numéro de la revue Civitas est paru...
Les épopées contre-révolutionnaires présentées dans ce numéro de la revue Civitas sont notre passé.
Elles doivent nous inspirer dans les combats contre-révolutionnaires d’aujourd’hui. Car nos combats contre la destruction de la famille, la dénaturation du mariage, la déchristianisation de notre société, le déracinement, le travail de sape de notre patrie, l’invasion migratoire, le mondialisme… doivent être menés dans l’esprit et selon les principes contre-révolutionnaires.
Mgr de Ségur a donné quelques conseils « pour combattre le bon combat et conserver la foi ». S’adressant aux vrais catholiques, il leur dit : « Par la prière, par les saintes œuvres, par l’action et par la parole, par la polémique, par tous les moyens légitimes d’influence, chacun d’eux s’efforce de repousser l’ennemi et de faire triompher la bonne cause. »
Bien sûr, le combat contre-révolutionnaire n’est pas consensuel. Combien ne voyons-nous pas autour de nous de prétendus « amis » qui croient admirer croisés, chouans et cristeros, mais qui répugnent à envisager de mener les combats actuels avec la même abnégation, la même force, la même fermeté, la même intransigeance et surtout la même foi catholique publiquement assumée et revendiquée ?
Les luttes entre la Contre-révolution et la Révolution sont souvent cachées mais éclatent non moins souvent au grand jour, dans une succession d’évènements apocalyptiques où la grandeur et le courage le disputent à l’horreur et à la lâcheté.
Il s’agit en ces pages d’exercer autant un devoir de mémoire, que de discerner des leçons pour le présent et l’avenir :
Leçons négatives d’une part : ces épopées ont été l’occasion d’erreurs parfois gravissimes. Le but n’est pas tant de le rappeler que d’amener le lecteur à percevoir combien – dans le contexte actuel de déchristianisation avancée et de haine entretenue contre les catholiques (la Révolution ne dépose jamais les armes…) – des erreurs a priori beaucoup moins graves pourraient être néanmoins rapidement fatales.
Leçons positives d’autre part : nous ne serions pas de Dieu si nous limitions notre propos aux trahisons, bassesses et autres inconséquences… et ce dossier doit être l’occasion de méditer des pages d’héroïsme, de grandeur et de sacrifices écrites par des catholiques de tous les temps et de toutes les latitudes, fidèles à leur Dieu et à leur patrie.
Le premier article sur le génocide vendéen, écrit par Sylvain des Rochettes, montrera d’abord – sur base des travaux de Reynald Secher – jusqu’où peut aller l’horreur révolutionnaire, dans un pays que l’on pensait alors à la pointe de civilisation. Il faut s’en souvenir et en tirer pour demain toutes les conséquences.
Michel Fromentoux présentera ensuite la résistance ardéchoise pendant la Révolution, moins connue mais tout aussi édifiante que l’épopée vendéenne.
Jean-Louis Picoche nous entraînera au-delà de l’océan pour évoquer l’histoire des Cristeros. Selon Jean-Louis Picoche, l’issue de cette épopée aurait pu être beaucoup plus favorable si certains hommes d’Eglise n’avaient pas montré une ingérence et une naïveté coupables.
Enfin, Miguel Ayuso, juriste et philosophe du droit, brossera un portrait, plus intellectuel qu’événementiel, du carlisme, grand mouvement du légitimisme et du traditionalisme espagnol.
Pour commander ce numéro : 7€ + 2.50 de port
ou par chèque bancaire à l’ordre de Civitas, 17 rue des Chasseurs, 95100 Argenteuil
Plus d'infos cliquez ici
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Médias Presse infos commente "Beyrouth 1976"
Emmanuel Albach est le président de l’Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban. Il a combattu au Liban de janvier à juillet 1976 et a fait ensuite une carrière de journaliste. C’est à son retour de Beyrouth, il y a quarante ans, qu’il a rédigé ce livre. Alors que les chrétiens d’Orient sont victimes d’une nouvelle tentative d’élimination, il lui semble temps de le publier.
Ce livre est la mémoire de cette poignée de jeunes Français partis au secours des chrétiens du Liban, aux pires heures de la menace, au risque de leur propre existence. Ni mercenaires ni soldats d’une armée régulière, ces volontaires français, essentiellement des étudiants, ont rejoint les Phalanges chrétiennes du Liban, alors dirigées par Béchir Gemayel, pour d’éprouvants combats de rue d’une guerre de positions à Beyrouth contre les diverses milices musulmanes.
Ils étaient environ une quarantaine, cinquante tout au plus. Ils ont sauvé l’honneur de la France.
Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes, Emmanuel Albach, éditions Synthèse Nationale, 260 pages, 22 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
Source Médias Presse infos cliquez ici
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jeudi, 03 décembre 2015
"BEYROUTH 1976 DES FRANCAIS AUX COTES DES PHALANGISTES" en vente à Paris
Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangiste, édité par Les Bouquins de Synthèse nationale, est en vente à Paris à :
Facta, 4, rue de Clichy 75009 Paris
Duquesne Diffusion, 27, avenue Duquesne 75007 Paris
Notre Dame de France, 33, rue Galande 75005 Paris
La Librairie française, 5, rue Auguste Bartholdi 75015 Paris
Vous pouvez aussi le commander en ligne cliquez ici ou par correspondance cliquez là
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3212 du 26 novembre 2015
EN JANVIER dernier, dans une vidéo, Aymeric Chauprade dénonçait l’existence d’une « cinquième colonne islamiste » en France, estimant qu’une « guerre avec des musulmans » était en cours. Il dissertait sur l’imminence d’un « choc des civilisations » et comparait les musulmans aux Allemands d’avant 1933, “pacifiques” et pourtant sur le point de porter le nazisme au pouvoir. Ce qui est évidemment faux aux yeux de Marine Le Pen. Pourtant, après les attentats du 13 novembre sur notre sol, avoir évoqué dès janvier « une cinquième colonne islamiste » était de simple bon sens et avoir sanctionné Chauprade pour avoir dit cette vérité en dit long sur le courage politique et intellectuel de Marine Le Pen qui a accepté l’union nationale autour de Hollande alors qu’elle refuse l’union avec son père, s’est rendue à l’Elysée et a félicité Hollande pour son discours au congrès de Versailles allant dans le bon sens mais diabolise son ancien conseiller international.
A la suite de cette vidéo de janvier 2015, Marine Le Pen avait en effet immédiatement démis de ses fonctions de conseiller international et de chef de file des 23 députés FN au Parlement européen Aymeric Chauprade. Lequel n’a pas tardé depuis à aggraver son cas. Voici que l’insolent personnage a reconnu avoir fait partie du commando qui a exfiltré les pilotes de l’affaire Air cocaïne, de Saint-Domingue vers la France. Un mandat d’arrêt a été lancé contre lui par la République dominicaine le 22 novembre. Dans l’entourage de la présidente du FN, on n’a pas caché son exaspération, dénonçant ce Chauprade qui “s’amuse”, ce qui est évidemment indigne d’un député européen du FN mariniste où on ne rit pas tous les jours et où même le sourire est éminemment suspect. Du coup, Marine Le Pen a fort logiquement prévu de réunir le bureau exécutif pour examiner l’avenir de Chauprade au sein du FN, c’est-à-dire pour l’exterminer. Le député européen a donc pris les devants avant sa mise à mort, déclarant sur i-Télé: « Je ne vais pas attendre d’être jugé par des gens que je ne respecte pas. »
C’est ce que déclare Chauprade dans une interview explosive au Figaro : il parle de son cas personnel mais surtout celui de Jean-Marie Le Pen, évoquant une véritable “trahison” de la part de Marine Le Pen : « Quels que soient les torts et les excès du fondateur du Front national, peut-on pousser comme cela, dans l’escalier, un homme de 87 ans auquel on doit tout ? Et qui disait déjà exactement la même chose quand Marine Le Pen en avait encore besoin ! Comment ne pas penser que ceux qui trahissent à la fois leurs proches et ceux auxquels ils doivent tout, ne trahiront pas un jour le peuple lui-même ? Sous la pression de Florian Philippot, Marine a décidé de se débarrasser de Jean-Marie Le Pen. C’est une faute morale grave car on ne peut pas prétendre incarner le parti des valeurs et des fondamentaux quand on brise soi-même un certain nombre de lois. Ce n’est pas une loi politique, c’est presque une loi de civilisation ». Et il conclut par ces mots : « Ceux qui trahissent celui auquel ils doivent tout ne méritent pas notre respect. »
LE FN MARINISTE SOUS INFLUENCE COMME LE PENSE JMLP ET CHAUPRADE ?
Et Chauprade d’ajouter : « Marine Le Pen s’est laissé piéger dans un chantage avec Philippot. Il lui a expliqué, dès le début, qu’il était la dédiabolisation en personne. Et cette logique dans laquelle elle s’est laissé enfermer est devenue un chantage quasi-quotidien. Elle a finalement accepté de perdre sa liberté ».
Chauprade, qui est un homme brillant, indépendant et malheureusement lucide, déclare : « Je n’ai pas d’amertume ni de rancœur, mais une grande déception, le Front national est devenu un étouffoir, on ne peut pas penser », et il ajoute : « Je crois que le FN ne correspond pas à un projet crédible et ne répondra pas aux attentes des Français ».
Aymeric Chauprade claque la porte du Front national où il dénonçait notamment l’influence du lobby gay, tendrement rassemblé autour de Florian Philippot. L’eurodéputé a détaillé les raisons de cette décision, le lundi 9 novembre sur i-Télé. « Ce soir, je suis venu dire que je quitte le FN de Florian Philippot et Marine Le Pen », a-t-il expliqué, avant d’avancer des divergences “morales” mais aussi “idéologiques”. « Il est essentiel que les dirigeants de la France de demain aient une droiture, une capacité de respect de leur parole », dit-il. Aymeric Chauprade songeait à quitter le FN depuis cet été : « J’envisageai de quitter le FN. Marine nous empêche de penser par nous-mêmes. Moi, je m’en fous de contrarier Marine. Je ne veux rien m’interdire à cause de cette dame », expliquait-il à ses amis. Cette dame… quel gros mot !
Marine Le Pen, en brillante intellectuelle, a quant à elle tweeté ce message définitif : « Surtout après l’affaire Air Cocaïne, nos désaccords avec A.Chauprade étaient devenus trop importants et son maintien au FN impossible. MLP ».
A DÉFAUT DE MARINE LE PEN, CHAUPRADE CHOISIT VILLIERS
Ayant démissionné du Front national, Chauprade déclare : « Il n’est un secret pour personne que je souhaite profondément le retour sur la scène politique de Philippe de Villiers, qui est un ami et un père politique. Je souhaite vivement qu’il revienne d’ici la présidentielle de 2017. J’ai lu son livre. Ce qu’il dit apporte beaucoup, il y a une verticalité dans son projet, une vraie vision. D’autres personnalités comme celles de Nicolas Dupont-Aignan, Henri Guaino, Robert Ménard ou Nadine Morano doivent participer à la recomposition à droite. L’avenir se reconstruira avec des gens qui ne lâchent rien, qui ont des convictions fortes, qui agissent. » Chauprade dénonce les contradictions et la stérilité du programme de Florian Philippot qui « seront de plus en plus évidents même si le désespoir des Français est grand ». Chauprade estime qu’il faut adapter la France en défendant ses valeurs face à deux défis: les partisans de l’Argent-roi qui réduisent la personne à un individu-consommateur, détruisent les familles et les identités, et les partisans, de plus en plus nombreux, de la loi islamique. Dans cette « recomposition d’une grande droite crédible et assumée », Chauprade cite également le nom de Marion Maréchal-Le Pen, dont il est un ami.
Brillante tacticienne, Marine Le Pen vient de perdre une fois de plus un cadre de talent (songeons notamment à Laurent Ozon et David Mascré, entre autres, qui se sont fait virer pour avoir déplu à la mégère). Jusqu’où ira la chute ? En attendant, MLP s’est fait un nouvel ennemi mortel. Il est triste que dès qu’un intellectuel, un écrivain, un penseur peut apporter une valeur ajoutée au FN, et même si l’on peut bien sûr ne pas être d’accord avec la totalité de ses positions et de ses initiatives, il finit très vite par être exclu, mis de côté ou partir de lui-même écœuré. Ce n’est pas un bon signe.
10 000 EUROS D’AMENDE REQUIS CONTRE ZEMMOUR !
Le procès d’Eric Zemmour pour provocation à la haine raciale a eu lieu le 6 novembre. Il avait, il est vrai, commis une abomination en déclarant au Corriere della Sera, alors qu’il faisait la promotion de son livre Le Suicide français que les musulmans « ont leur Code civil, c’est le Coran », qu’ils « vivent entre eux, dans les périphéries », si bien que « les Français ont été obligés de s’en aller ». Le site Boulevard Voltaire, fondé par Robert Ménard et Dominique Jamet, livre l’intégralité de son intervention à la barre. Voici quelques extraits de ce texte remarquable : citant le grand historien Jacques Bainville, proche de l’Action française, il déclare : « Les démocraties ont coutume de reprocher à ceux qui ont prévu les événements de les avoir causés » et ajoute : « Et encore, le grand Bainville ne savait pas qu’on pouvait être attaqué pour des mots. Il ne savait pas qu’on pouvait être renvoyé par un de ses employeurs, en l’occurrence i-Télé parce que des propos prononcés dans un journal italien n’avaient pas l’heur de plaire ni à la directrice de l’antenne ni à la rédaction. Il ne savait pas que l’expression liberté d’opinion ne valait que pour les dessinateurs de Charlie Hebdo. Il ne connaissait pas les beautés cachées de la loi Pleven, des délices et poisons de l’incitation à la discrimination et à la haine raciale. Il ne savait pas, l’heureux homme qui vivait dans une République qui respectait encore les libertés fondamentales, qu’on pouvait être traité comme un délinquant parce que ses idées ne plaisaient pas au pouvoir.
Il ne savait pas que la gauche, la gauche bienpensante, la gauche humaniste, si bienveillante et pacifique, si laïcarde et anticléricale, avait rétabli subrepticement le délit de blasphème, qui avait été aboli à la Révolution. Oui, le délit de blasphème ! Il s’agit de condamner quiconque n’ôterait pas respectueusement son chapeau devant la nouvelle religion, la nouvelle doxa antiraciste, celle de l’identité heureuse, comme dit un ancien Premier ministre, celle du pas d’amalgame, celle de l’islam modéré, religion d’amour et de paix, celle de l’intégration harmonieuse dans le respect des différences. Oui, tous ceux qui ne croient pas en cette nouvelle religion, tous ceux qui n’ont pas la foi doivent se taire ou être condamnés. Ou plutôt, pour que la masse continue à se taire, il faut que certains soient condamnés. J’ai l’honneur, je dis bien l’honneur, d’être devenu une cible privilégiée.
Il y a quelques mois, lors d’un autre procès — puisque je passe, désormais, une partie de ma vie au palais de justice —, la représentante du parquet me demandait si ma première condamnation, il y a quatre ans, m’avait conduit à changer mes méthodes de travail. Je lui renverrai aujourd’hui sa question : est-ce que la relaxe dont j’ai bénéficié dans une récente affaire a conduit le parquet à changer ses méthodes de travail ? Est-ce que le parquet s’est remis en cause ? Est-ce qu’il a décidé de ne plus se mêler de la vie des idées en France ? Quand le parquet cessera-t-il de servir de relais à des lobbys antiracistes qui vivent du racisme, ou du prétendu racisme (et encore : de manière hémiplégique), comme d’autres vivent de la défense des baleines ou des ours ? Jusqu’à quand le parquet alimentera-t-il une logique liberticide qui rappelle les régimes totalitaires communistes, qui permet à n’importe quelle association de signaler à la police des opinions dissidentes, afin que le parquet, au nom de la défense de l’État et de la société, ne poursuive les affreux dissidents ?
Je préfère prévenir respectueusement le parquet et la cour : rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois, même si j’ai bien compris que rien n’arrêtera le ministère public dans sa volonté de me faire taire. J’ai bien conscience aussi d’être le pot de terre contre le pot de fer. Mais un jour, j’en suis convaincu, l’Histoire donnera raison au pot de terre, comme elle l’a donné au grand Bainville, et le pot de fer aura honte. Mais il sera trop tard ».
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20:45 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jeudi, c'est le jour de Rivaroli
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mercredi, 02 décembre 2015
Les Brigandes les envoient "En enfer"...
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Alain Escada s'entretient avec Roberto Fiore sur la situation en Italie
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Dimanche 13 décembre à Aix la Chapelle (Allemagne) : un rassemblement organisé par PEGIDA
Quatre PEGIDA organisent le dimanche 13 décembre 2015 à 14h un grand rassemblement à Aix-la-Chapelle en Allemagne : PEGIDA Flandre, PEGIDA Liège/Lüttich, PEGIDA Pays-Bas et PEGIDA Rhénanie du Nord-Westphalie (NRW). Une partie des discours se tiendront en français. En savoir plus cliquez là
10:28 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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A l'initiative de Via Romana, une nouvelle édition du "Blanc Soleil des vaincus" de Dominique Venner
Dans l’aube dorée du 12 avril 1861 éclate le premier obus de la guerre de Sécession. De part et d’autre, on croit à une guerre courte, fraîche et joyeuse. Ce conflit durera quatre ans. Ce sera le plus sanglant de toute l’histoire américaine. Les pertes seront supérieures d’un tiers à celles des Américains durant la Seconde Guerre mondiale, 618.000 contre 417.000, pour une population sept fois moins nombreuse.
En 1861, les États-Unis ne forment pas une seule nation, mais deux qui sont parfaitement distinctes, le Sud et le Nord. Tout les oppose : le peuplement, les traditions, la civilisation, le climat, l’économie. L’histoire que conte Dominique Venner est celle de la naissance de la nation sudiste, puis de sa résistance à l’agression du Nord industriel, et enfin celle de son meurtre délibéré.
C’est l’histoire vraie d’Autant en emporte le vent. On y retrouve les blanches plantations assoupies dans leur écrin de magnolias, les champs de coton et la douceur de vivre, les gentlemen raffinés et les jeunes filles en crinoline. On assiste au calvaire du Sud, Gettysburg, Atlanta, Appomattox. La résolution de Jefferson Davis, le génie militaire du général Lee, la fougue de Stonewall Jackson ou de Beauregard, l’audace des forceurs de blocus, la témérité des raids de cavalerie, l’héroïsme des femmes sudistes ne pourront rien contre la supériorité écrasante du Nord et sa volonté de conquête.
Le Sud, moins peuplé que la Suisse d’aujourd’hui, succombera sous le nombre, mais son rêve assassiné continue de vivre dans le cœur des hommes généreux.
Le Blanc Soleil des vaincus, Dominique Venner, Editions Via Romana, 362 pages, 24 €, sortie le 10 décembre cliquez ici
NDLR
Pour mieux connaître la vie et les idées de Dominique Venner, lisez le livre "Dominique Venner Soldat politique" de Basile Cérialis édité il y a un an cliquez là
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mardi, 01 décembre 2015
FILIP DEWINTER NOUS PARLE DE LA SITUATION EN BELGIQUE :
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lundi, 30 novembre 2015
La catastrophe Fabius...
13:52 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les trois petits cochons
Gabriel Matzneff - Le Point.fr
Trafalgar Square et la gare de Waterloo sont à Londres. La gare d'Austerlitz et la rue d'Arcole sont, elles, à Paris. Aux lieux, aux monuments, on donne des noms de victoires, non de défaites. De même, dans les écoles militaires les promotions de jeunes officiers prennent les noms de soldats victorieux : « Maréchal de Turenne », « Général Lassalle », « Lieutenant-Colonel Amilakvari ». Quand, par extraordinaire, il s'agit de vaincus, ce sont des vaincus qui se sont battus héroïquement jusqu'au bout, ont été vaincus avec tous les honneurs de la guerre : une des promotions de Saint-Cyr se nomme « Ceux de Diên Biên Phu ».
Quel est le suicidaire crétin qui a donné le nom de « génération Bataclan » aux jeunes femmes et jeunes hommes qui ont l'âge des victimes du vendredi 13 novembre 2015 ? C'est l'État islamique qui doit donner ce nom à ses jeunes citoyens, non la France, pour qui ce vendredi 13 novembre 2015 demeurera la date d'une de ses plus spectaculaires et déprimantes défaites.
La médiocrité de cette « génération Bataclan »
Ce choix de « génération Bataclan » exprime un masochisme, un mépris de soi ahurissant. Et l'on est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l'insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan » lorsqu'ils sont interrogés par les journalistes ou s'expriment sur les réseaux sociaux. Le zozo qui s'est mis une ceinture de cœurs autour de la taille, l'autre imbécile qui se balade avec une pancarte « Vous êtes tous super ! », le troisième qui déclare fièrement que son but dans la vie est de continuer à se distraire, à voir les copains, ces petits bourgeois qui tiennent pour un acte de courage de dîner au restaurant le vendredi soir.
S'il s'agissait de gamins de douze ans, ce serait admissible. Hélas, ce n'est pas le cas. Ceux qui se comportent de manière si niaise, si médiocre sont des adultes, des barbus. J'ai dit « ahurissant », mais le mot juste est « consternant ». Comme a été consternante la cérémonie d'hommage aux victimes dans la cour des Invalides. J'adore Barbara et je connais par cœur certaines de ses chansons, mais ce jour-là, c'est le « Dies irae » qui, après La Marseillaise, devait retentir en ce haut lieu, non une gentille chansonnette, et nous aurions été autrement saisis aux tripes si, à la place du discours fadasse de M. Hollande, un acteur de la Comédie-Française nous avait lu le Sermon sur la mort de Bossuet.
Ils ne vivent pas, ils existent
Cette niaiserie, cette médiocrité s'expliquent par le total vide spirituel de tant de nos compatriotes. Ils ne vivent pas, ils existent, ils ont une vue horizontale des êtres et des choses. Ce sont les trois petits cochons d'une chanson que M. Hollande aurait dû faire chanter aux Invalides, elle lui va comme un gant : « Qui a peur du grand méchant loup ? C'est pas nous, c'est pas nous ! Nous sommes les trois petits cochons qui dansons en rond. »
À part le pape de Rome et le patriarche de Moscou, qui, en Europe, fait appel aux forces de l'Esprit, invite les gens à la transcendance ? Personne. En tout cas, personne en France où les responsables politiques pleurnichent contre la montée de l'islamisme, mais leur unique réponse, pour endiguer cette montée, est d'interdire les crèches de Noël dans les mairies. Bientôt, j'en fais le pari, la passionnante fête de la Nativité, du mystère de l'incarnation, du Verbe qui se fait Chair, du Christ Dieu et homme, sera, comme en Union soviétique à l'époque de la persécution antichrétienne, remplacée par une fête du Bonhomme Hiver, Diadia Moroz, mouture léniniste du père Noël.
Ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière
Jadis, du général de Gaulle à François Mitterrand, certains chefs d'État surent parler de transcendance aux petits cochons à béret basque et baguette de pain, les inviter à se dépasser, à lire Sénèque, Plutarque et Pascal. Aujourd'hui, l'État n'invite pas les Français à renouer avec les vivifiants trésors de leur patrimoine gréco-romain et chrétien, il en est incapable. L'État ne parle jamais de leur âme aux Français de la « génération Bataclan », et ceux-ci persistent à n'avoir d'autre souci que de gagner de l'argent, en foutre le moins possible, partir en vacances et s'amuser. Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l'éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l'ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière et surtout, surtout, que les vilains terroristes du méchant calife Abou Bakr al-Baghdadi les laissent tranquilles, na !
Pendant ce temps-là, dans nos banlieues où l'on s'ennuie, où au lieu d'inviter les jeunes Français d'origine maghrébine à – comme le firent naguère les jeunes Français d'origine arménienne, russe, espagnole, italienne, polonaise – lire Les Trois Mousquetaires, visiter le Louvre, voir Les Enfants du paradis, l'État n'enseigne que le football et d'abstraites « vertus républicaines » qui ne font bander personne, c'est le méchant calife qui leur parle de leur âme ; leur enseigne la transcendance ; leur explique que ce qui fait la grandeur de l'homme, comme l'enseignèrent jadis le Bouddha, Épicure, le Christ, ce n'est pas le Sum, mais le Sursum ; non pas le soi, mais le dépassement de soi ; non pas le confort, mais le sacrifice. C'est ce que ces adolescents rebelles, écorchés vifs, comme le sont depuis toujours les adolescents sensibles, ont soif d'entendre. Éduqués, instruits, ils pourraient devenir de lumineux Aliocha Karamazov, mais, grandissant parmi des adultes plats comme des limandes, ils basculent du côté du calife, de l'archange noir de la mort, du grand méchant loup. Il faut être très bête, ou d'une extraordinaire mauvaise foi, pour s'en étonner.
13:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Réinfo, le mag du Parti de la France, de cette semaine
13:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 29 novembre 2015
Le Journal du Chaos de cette semaine
Pour télécharger cliquez ICI
23:38 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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