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jeudi, 04 juin 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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A Poitiers, dimanche 7 juin : Pierre Cassen sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel

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Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel

seront communiquées le 5 juin.

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mercredi, 03 juin 2015

Sortie prochaine du n°6 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Louis Tixier-Vignancour

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En décembre 1965, se déroula la première élection présidentielle au suffrage universel. 

L'enjeu était de taille pour la droite nationale : en finir avec De Gaulle, le bradeur de l'Algérie française.

Un homme fut désigné comme candidat de rassemblement : Jean-Louis Tixier-Vignancour.

Avocat talentueux, il avait sauvé la tête du Général Salan, le chef de l'OAS. Patriote sincère, de l'Action française dans sa jeunesse au Rassemblement national à la Chambre des députés en 1956, il avait participé à tous les combats des nationalistes. Voilà sans doute pourquoi il fut le premier à porter les couleurs de l'opposition nationale à une présidentielle de la Ve République.

C'est la vie et les aventures politiques de cet homme de conviction haut en couleurs, ses engagements (parfois controversés) et ses idées que nous vous présentons dans ce n°6 des Cahiers d'Histoire du nationalisme.

Des documents, des entretiens, dont l'un avec Jean-Marie Le Pen qui mena la campagne de 1965, des textes d'époque...

200 pages, 20 €

SORTIE : le 5 juin 2015

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RAPPEL : jeudi 4 juin, Jean-Claude Rolinat au Crabe-Tambour

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VITE, VITE, REMPLAÇONS, REMPLAÇONS ! La commission européenne contre les peuples

immigration_accueil_europe.jpgMichel Lhomme

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Ce 27 mai, la Commission européenne a demandé à la France d'accueillir, en deux ans, 6 750 demandeurs d'asile présents en Italie et en Grèce. «Cette mesure d'urgence de relocalisation concerne les 40 000 demandeurs d'asile érythréens et syriens arrivés en Italie et en Grèce», précise le communiqué. 

En vertu de cette décision contraignante pour les États membres, la France devra accueillir 17 % du quota de migrants concernés. A titre de comparaison, l'Allemagne devra en accueillir 5 258 d'Italie et 3 505 de Grèce. Cette demande fait suite aux appels répétés de l'Italie, qui souhaite répartir l'accueil des migrants arrivés en Europe entre les membres de l'Union européenne. Mais il n'y a pas que cela.

Un autre volet prévoit aussi l'accueil de 2 375 réfugiés en France. On obtient donc un total d'accueil sur le territoire français pour 2015 de 9 125 « réfugiés » ou pour être plus clair de 9125 « régularisés ». 

Le Royaume-Uni qui pourait, par référendum, quitter l'Europe et sa politique suicidaire vient d'arguer de son droit d'option sur ce type de décisions. L'Angleterre avait déjà fait part de son refus, il y a quinze jours, quand le président de la Commission européenne avait annoncé la mise en place d'un plan pour instaurer des quotas de migrants. La France a fait savoir qu'elle s'opposait à ces quotas, discours du Panthéon oblige. On ne peut en effet prôner tous les jours les valeurs universalistes et immigrationnistes sans ouvrir ses portes aux miséreux.

A ces 9 125 « régularisés », il faut bien lire les documents européens, on ajoutera un autre volet, le volet dit de « réinstallation ». Il prévoit l'accueil de 20 000 migrants dans les Etats membres, même s'il n'a cette fois qu'une valeur de simple recommandation. En France, chaque réfugié touchera au minimum 343,50 euros mensuels. C'est l'Allocation temporaire d'attente octroyée par nos députés par la loi d'asile.

Au total, la Commission européenne propose donc à la France d'accueillir 9 127 personnes. Cela la place au deuxième rang des contributeurs, derrière l'Allemagne, premier contributeur du plan. Bien sûr, l'État sera en charge de l'asile et de plus, tout demandeur d'asile a aussi le droit à l'aide médicale d'état. Pour le reste, les municipalités se débrouilleront pour les loger et les éduquer.

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A Poitiers, dimanche 7 juin : Richard Roudier sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel

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Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel

seront communiquées le 5 juin.

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mardi, 02 juin 2015

La manifestation prévue dimanche à Calais est interdite par le pouvoir en place :

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Kévin Reche, Délégué du Parti dela France pour le Calaisis, s'est vu signifier l'interdiction de la manifestation prévue dimanche à Calais par la préfecture du Pas-de-Calais. 

Cette décision totalitaire - et peu en phase avec « l'esprit Charlie » glorifiant soi-disant la « liberté d'expression » - de la « préfète » (sic) socialiste est motivée par le fait que les forces de l'ordre ne seraient pas assez nombreuses pour contenir les voyous d'extrême-gauche qui ont annoncé leur intention de contre-manifester.

Sauvons Calais et le Parti de la France annonceront sous peu leur solution alternative à cette scandaleuse interdiction politique.

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A propos du nouveau livre de Pierre de Laubier "L'école privée de liberté"

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Article de Robert Spieler publié dans Rivarol du 21 mai 2015

Pierre de Laubier est l’auteur de ce petit ouvrage qui raconte comment, après avoir été libraire, il devint professeur dans une école dite « catholique ». Pas pour longtemps : 9 mois durant lesquels il eut à subir quelques déceptions qu’il nous raconte dans une écriture et un style excellents. Ceci est suffisamment peu répandu pour être souligné. Il  raconte la naissance de sa vocation, lui qui n’avait jamais envisagé d’enseigner, si ce n’est le catéchisme au collège que fréquentait son second fils. Il relève avec humour qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis mais qu’ « il est abusif d’en conclure que changer d’avis serait une preuve d’intelligence : abandonner une idée fausse pour une autre tout aussi fausse n’en est pas une ; abandonner une idée vraie pour une fausse est encore plus mauvais signe. » Le seul diplôme qu’il possédait était, raconte-t-il, « le baccalauréat, document d’aussi peu de valeur qu’un titre d’emprunt russe ou une liasse d’assignats ». Mais il existe un concours permettant, sous condition d’expérience professionnelle, de rejoindre la filière. L’auteur décrit son expérience à Saint-Vincent-de-Paul, dont il ne garde pas spécialement un bon souvenir. Il dépeint la directrice qui prétend faire profession de franchise, assénant : « On se dit tout », à tout va. Laubier, qui connaît son Proust rappelle que celui-ci faisait remarquer que la franchise consiste non pas à déclarer : « Je suis franc », mais à pratiquer la franchise, sans éprouver le besoin de le dire. Et puis, notre professeur relève cette réalité que nous avons tous pu constater : « Une affirmation trop souvent répétée veut souvent dire le contraire de ce qu’elle prétend. Il y a dans ce livre des maximes qui viennent tout naturellement sous la plume de Pierre Laubier, qui rendent sa lecture des plus agréables. Exemple : « On ne peut pas penser à tout (alors qu’il est tout à fait possible de ne penser à rien ». L’auteur évoque le cauchemar administratif auquel il fut confronté, er raconte qu’il découvre « le caractère délirant de l’administration en général » et que « ce qu’on observe de l’extérieur ne donne qu’une faible idée de la réalité ». Il s’en prend bien entendu au’ collège unique’ et relève qu’il y a « quelque chose de gratifiant et de presque magique dans cette expression que la propagande qualifie aussi de ‘collège pour tous’. Il note : « Céder à la magie des mots creux est une tentation irrépressible pour les hommes politiques : peu d’entre eux résistent à la gloire de promouvoir la culture pour tous, les loisirs pour tous, voire le mariage pour tous. » Le collège unique est évidemment une calamité, inventée sur des considérations purement idéologiques. Il repose sur l’idée que tous les enfants sont également doués, et que les inégalités de parcours découlent des seules origines sociales et, en dernière analyse « de noirs complots ourdis par les classes bourgeoises en vue de réserver le savoir et la réussite à leurs propres rejetons ».

Les écoles catholiques sont-elles mieux que les écoles publiques ?

Pierre de Laubier, évoquant son expérience n’en est pas du tout sûr que tous les établissements catholiques soient mieux que les établissements publics. En tout cas, il est sûr que Saint-Vincent-de-Paul ne l’est pas. Il cite notamment le cas de ces trublions qu’il n’était pas question de sanctionner : une faiblesse déguisée en indulgence qui voudrait se faire passer pour de la charité, dit-il. Mais une charité bien mal placée dont les élèves de bonne volonté sont les victimes. Il note qu’on ne parle plus guère d’écoles « libres », on préfère désormais évoquer des écoles « privées ». Les empiètements de l’Etat sur les libertés scolaires sont connus. Ce qui l’est moins, et que l’auteur nous dévoile, c’est le rôle des directions diocésaines laïcisées, bureaucratisées, voire noyautées. Ce sont des organismes opaques et illégitimes, qui ont confisqué les droits d’écoles que l’on n’ose plus qualifier de libres. Au point, écrit-il, que bien des catholiques convaincus s’y sentent désormais considérés comme des gêneurs. Laubier raconte une anecdote « signifiante » au sujet de l’école où il enseignait, la qualifiant de « mauvais établissement qui trompe les clients sur le poids et sur la qualité de la marchandise » et dont le qualificatif de « catholique » n’est pas mérité.  Sa colère s’alluma un 20 décembre, dernier jour avant les vacances de Noël. C’était, comme ils disent dans leur jargon une « journée banalisée »  . Parmi les « propositions » faites en l’honneur de la fête de Noël, il y avait d’une part une messe, ce qui est la moindre des choses, et une visite de représentants de diverses associations charitables. Et enfin des ateliers consacrés à la réalisation de panneaux. On pouvait imaginer, par exemple, des panneaux racontant la vie de saint Vincent de Paul. Pas du tout. Il s’agissait de réaliser des panneaux sur la vie de Mandela, ou plutôt à sa gloire. Quel rapport avec la nativité de Jésus ? Aucun !

 Enseigner « autrement »

Pierre de Laubier évoque en une litanie toutes les absurdités du système d’enseignement, des élucubrations pédagogiques qu’il a connus. Il aborde ce monstre qu’est la célèbre méthode globale d’apprentissage de la lecture et affirme : « Le fait qu’elle aille au rebours du bon sens est une des raisons qui fait que l’éducation nationale y tienne tant, malgré les preuves irréfutables  de son caractère inefficace et même nuisible. Il note fort justement que l’invention de la méthode semi-globale est, du point de vue intellectuel, encore pire. Cela revient, dit-il, à dire : « Si vous sautez par la fenêtre du dixième étage, vous allez vous tuer, alors sautez seulement du cinquième ».Excellent formule ! Son commentaire fort pertinent : « A la limite, demeurer de bonne foi enfermé dans une erreur me paraît plus défendable, d’un point de vue moral cette fois, que de réparer son erreur qu’à moitié une fois qu’on l’a constatée. » Il note la catastrophe que représente cet objectif absurde d’amener « quatre-vingts pour cent d’une génération au bac » et relève qu’en pratique, l’enseignement public est administré par les syndicats, et donc organisé pour servir avant tout les intérêts des professeurs, le bien des enfants et les désirs des familles venant loin derrière. Mais que faire des mauvais enseignants ? Eh bien, il faut pouvoir s’en séparer. Son propos : « Tant que les professeurs continueront à jouir de l’emploi à vie, comme tous les fonctionnaires, il faudra bien s’accommoder de la présence des mauvais, et que les bons se contentent, en guise de récompense de leurs talents et leurs efforts, de satisfactions purement morales ».

« L’enseignement catholique ne sert à rien »

Pierre de Laubier constate : « Ce qui m’attriste, c’est de voir quelle quantité de dévouement et d’abnégation qui reste à la disposition des écoles catholiques, de la part de professeurs, d’ecclésiastiques, de surveillants, de parents d’élèves et aussi, ne l’oublions pas, d’élèves, se trouve gaspillée, à cause de chefs d’établissement indignes de leur fonction et d’une organisation qui œuvre au rebours de sa mission. Conclusion du livre : « Dans ces conditions, à quoi sert aujourd’hui l’enseignement catholique ? La réponse est d’une grande simplicité : il ne sert à rien. La seule chose qui soit nécessaire, ce sont des écoles catholiques.

L’Ecole privée… de liberté, de Pierre de Laubier, 165 pages, à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton 75012 Paris ou sur le site synthese-editions.com - 14 euros franco de port

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Un nouveau numéro de Livr'arbitres consacré à Dominique de Roux

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Boris Le Lay, jeune militant identitaire breton condamné à 6 mois de prison ferme pour avoir constaté qu'il n'existe pas de "celtes noirs"...

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A Poitiers, dimanche 7 juin : Christine Tasin sera présente à la 1ère Rencontre Charles Martel

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Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel

seront communiquées le 5 juin.

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lundi, 01 juin 2015

Réinfos, le mag télévisé du Parti de la France de cette semaine

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Adinolfi commenté par Feltin-Tracol, cela donne :

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Georges Feltin-Tracol Europe maxima cliquez ici

Après Nos belles années de plomb (2004), Pensées corsaires (2008), Orchestre rouge (2013) et Années de plomb et semelles de vent (2014), Gabriele Adinolfi commence à être bien connu du public français. Ce court essai consacré à la question européenne contribue au grand combat des idées. Outre un prix modique, l’impression d’opuscules facilite la diffusion de pensées concises et ramassées. Déjà, à la fin des années 1970, la rédaction évolienne francophone de la revue Totalité et, précédemment, le Cercle Culture et Liberté. Pour une Europe libre et unie sortaient des brochures, véritables munitions pour la réflexion, signées du Belge Daniel Cologne (Éléments pour un nouveau nationalisme en 1977) et d’autres auteurs activistes italiens tels le « Groupe des Dioscures » (L’assaut de la vraie culture, 1979), Giorgio Freda (La désintégration du système, 1980) ou Adriano Romualdi (La Droite et la crise du nationalisme, 1982). Le texte d’Adinolfi est d’ailleurs dédié à Romualdi, à Pierre Drieu La Rochelle et à Jean Thiriart.

Penser une autre monnaie européenne

Romain et Italien, Gabriele Adinolfi est aussi un ardent Européen et souhaite ouvrir un débat non convenu sur notre destin commun. Certes, il est le premier à pester contre cette « Europe que nous n’aimons pas (p. 41) ». Son propos déstabilise parfois le lecteur eurosceptique ou souverainiste national béat. Ainsi est-il « favorable au maintien de l’euro mais avec d’autres paramètres (p. 62) ». Dans le cadre des activités du Centre d’études Polaris qu’il a fondé, Adinolfi a en effet demandé à des économistes et à des juristes de travailler sur une Banque centrale européenne dépendante des banques nationales re-étatisés. Il envisage par exemple un « système de monnaie complémentaire (M.C.) […qui] se base sur un certificat nommé R.A.S. (reçu autoliquidant de souscription) (pp. 66 – 67) » dont l’inspirateur serait le théoricien des monnaies fondantes, Silvio Gesell.

Liant idée européenne et ambition économique continentale, l’auteur se réclame d’une économie solidaire et enracinée, relocalisée, dans laquelle prospéraient de petites et moyennes entreprises, propriétés de leurs employés. Partisan d’une logique corporative rénovée, Adinolfi entend surtout « rassembler et représenter toutes les classes au lieu de favoriser les consortiums au dépend des producteurs locaux et des salariés (p. 61) ».

Contrairement donc aux souverainistes nationaux et aux nationalistes qui se déclinent en « stato-nationaux », en séparatistes régionaux et en communautaristes superficiels, Gabriele Adinolfi insiste sur « l’Europe comme nécessité (p. 17) ». Aux temps de la Guerre froide et du condominium planétaire États-Unis – U.R.S.S., l’unité européenne indépendante vis-à-vis de ces deux blocs gémellaires était une obligation. « Aujourd’hui, encore plus qu’hier, l’Europe – c’est-à-dire nous tous – est menacée d’extinction et son unité de puissance est à la fois nécessité et identité (p. 34). » Toutefois, le recours à l’Europe exige au préalable l’ouverture sur une dimension psychologique cruciale qui prépare des cadres spirituels qui ne peuvent être en Europe de l’Ouest que des références antiques et médiévales. l’urgence impose de retrouver l’être européen alors que des hordes surgies d’Asie et d’Afrique franchissent chaque jour la Méditerranée et ses détroits. La communauté européenne se sait maintenant encerclée par de multiples menaces toutes mortelles les unes des autres (invasion migratoire, atlantisme, théocratie obscène des droits de l’homme, gendérisme, sociétalisme, islamisme, primat de l’économie devenue folle…). Néanmoins, les Européens qui commencent peu à peu à réagir ne doivent pas à leur tour s’engluer dans les miasmes mortifères de l’économisme. Adinolfi constate qu’en « se limitant aux revendications socio-économiques, ceux qui devraient être les héritiers d’une ligne nationale-révolutionnaire ont perdu le sens de l’Ennemi (p. 33) ».

Misère du militantisme pantouflard

Il y a du boulot ! Militant exemplaire, Gabriele Adinolfi admoneste les nouveaux militants qui forment « un milieu de fachos consommateurs, de fachos plaintifs, de fachos présomptueux, et de fachos de bar aux concepts enfoncés dans le crâne sans avoir jamais pensé à les peser ou les radiographier (p. 12) ». Naguère, « le militant n’était pas un consommateur d’idées reçues ou un télévotant, il n’obéissait pas au langage binaire et ne s’imaginait pas la révolution comme un flash sur la vitrine d’un “ social network ” ou comme une rafale de “ tweet ” ou de “ textos ” (p. 10) ». Eux aussi pâtissent du grand changement anthropologique en cours qui valorise l’hyper-individualisme si bien qu’au final « on ronronne, on grogne, on se réfugie dans des dogmes, on hululule aigri parce qu’insatisfait de soi et de la vie, mais on ne se remet presque jamais en cause (p. 13) ». Une Europe consciente d’elle-même serait au contraire capable de réhabiliter, voire d’inventer de nouvelles manières d’être.

Sachant que l’Europe est devenue auprès des opinions publiques continentales un sujet négatif, déprécié et stérile, Adinolfi examine différentes idées reçues contre elle. Il observe qu’une Europe unie et forte entraverait l’hégémonie étatsunienne, que ce n’est pas qu’un projet franc-maçon (le Vatican le souhaitait aussi) et que les actuelles institutions de l’Union pseudo-européenne ne servent pas exclusivement le mondialisme et les intérêts bancaires. Il serait quand même préférable de redonner aux Européens le sens de « l’idéal universel des Révolutions nationales et de l’Imperium (p. 46) ».

Gabriele Adinolfi apprécierait-il de rectifier « des populismes, qui n’iront nulle part s’ils ne sont pas dotés d’une conception stratégique, active, positive, révolutionnaire et s’ils ne sont pas guidés par d’authentiques classes dirigeantes militantes (p. 46) » ? Les amorces existent pourtant ! Malgré des persécutions de plus en plus vives,  CasaPound et le Blocco Studentesco en Italie, et Aube dorée en Grèce réussissent un fantastique maillage territorial complété par des initiatives culturelles et sociales qu’on doit encourager, reproduire ici et maintenant et étendre aux questions environnementales, scolaires, de loyers, de cadre de vie, etc. Notre Europe libérée retrouvée – car identitaire et tiercériste – ne se réalisera qu’au contact de la seule réalité et auprès de populations autochtones pour l’instant déboussolées. Leur rendre une orientation véritable digne de leur histoire représente un enjeu majeur. Oui, « l’Europe est une nécessité absolue, mais elle ne se fera jamais si elle n’est pas d’abord une identité consciente et combattante, à la hauteur du Mythe qu’elle représente (p. 79) ». La mobilisation totale pour notre cher continent, l’Alter-Europe, commence par la lecture de L’Europe d’Adinolfi.

• Gabriele Adinolfi, L’Europe, Les Bouquins de Synthèse nationale (116, rue de Charenton, 75012 Paris), 80 pages, 2015, 10 €.

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Harfang, le magazine québécois, consacre un article à Venner

501804316.jpgLe magazine québécois Harfang cliquez ici, sous la plume de Rémi Tremblay, vient de consacrer, dans sa dernière livraison, un article au livre de Basile Cérialis, Dominique Venner - Soldat politique cliquez là, que nous avons édité en décembre dernier :

Historien méditatif. C’est le terme que Dominique Venner aimait employer pour se qualifier. Un historien qui é́tudie l’histoire, mais qui ne la fait pas. Un observateur et non un acteur. Pourtant, son geste ultime du 21 mai 2013 semble laisser croire qu’acteur, il souhaitait l’être et qu’il ne voulait pas seulement étudier et transmettre l’histoire et les traditions, mais influer sur le cours des é́vénements.

Dé́jà̀, enfant, le jeune Venner, poussé́ par ses lectures qui lui permettent de s’évader de ce monde morne, rève de gloire, d’héroïsme et de liberté. Aussitôt qu’il en aura l’occasion, il quittera ce monde terne en se joignant à l’armée, y voyant une version moderne de la Sparte antique, et en s’envolant vers l’Algé́rie qui est alors en plein soulèvement anti-français.

De retour en métropole, il comprend que la victoire ou la défaite de la guerre en Algérie est avant tout une affaire de politique. Il s’engage corps et âme dans Jeune Nation (qui ne doit pas être confondu avec le groupe québécois du même nom, dirigé par Pierre Trépanier), une organisation jeune et dynamique qui rejoint les aspirations éthiques et esthétiques du bouillant Venner. Militant total, il s’abandonne dans les manifs, collages, confrontations et noyautages. Il se dépense sans compter le temps, l’énergie et les coups.

Jeune Nation souhaite « une seconde révolution » après la première, celle de Pétain. Le droit à la nation y est mis de l’avant et sont rejetés le libéralisme et la démocratie. Brisant avec la tradition réactionnaire et puisant dans les stratégies de gauche notamment léninistes, les membres souhaitent se lancer dans une véritable guérilla politique - ni fascistes, ni vichyistes, ce sont des nationaux-révolutionnaires.

La dissolution de Jeune Nation par le gouvernement ne fera pas flancher Dominique Venner, devenu le second de Pierre Sidos. Les structures et l’engagement des militants ne se tarit pas et l’objectif est de perpétuer l’organisation sous un autre nom avec un autre enregistrement. C’est ainsi qu’il lance le journal Jeune Nation sous la tutelle du nouveau groupe Société d’édition et de diffusion de la Croix celtique. En 1959, il participe à la création du Parti nationaliste dont il est le second, après Pierre Sidos.

Ce parti sera dissous dans les quelques jours suivant sa création et Dominique Venner sera arrêté pour son adhésion au PN et, quelques temps après sa libération, pour une bataille avec des étudiants noirs, geste dont il se défend, parlant de machination politique.

En 1960, Venner se radicalisera davantage. Impliqué dans des heurts avec la police à Alger, il entre dans la clandestinité. Cette fois-ci, il souhaite se lancer dans une lutte ultime avec le gouvernement et prépare un putsch. Malheureusement, avant de passer à l’acte, il est finalement arrêté. C’est durant son incarcération subséquente qu’il fera le bilan de son engagement et écrira Pour une critique positive. Il réalise que ce sont les esprits qui doivent d’abord changer avant qu’une révolution ne soit possible.

C’est dans cette optique qu’à sa sortie de prison, il fonde les Éditions Saint-Just et rassemble les anciens de Jeune Nation autour de la revue Europe Action. Cette fois-ci, l’activisme est relégué au second plan et l’objectif premier est de former les esprits et de répandre les idées

de nationalisme ethnique européen s’opposant tant au libéralisme qu’au communisme. Ce sera le point de rupture avec l’extrême-droite traditionnelle, notamment avec Pierre Sidos. Il est important de noter que Jean Mabire précise dans Europe Action que « pour nous, l’Europe est un cœur dont le sang bat à Johannesburg et à Québec, à Sidney et à Budapest. »

Venner se lancera dans la politique politicienne avec la campagne de Tixier-Vignacour et ensuite avec le Mouvement nationaliste du progrès et le Rassemblement européen des libertés. Mais en 1966, suite à la faillite des Éditions Saint-Just et à sa déception envers la politique qui ne répond pas à ses attentes éthiques et esthétiques, il quittera définitivement la politique et se lancera dans l’étude de l’histoire et la promotion de l’héritage européen.

De par son emphase sur la période militante et l’utilisation de nombreuses sources, cet ouvrage est un complément essentiel à Cœur Rebelle. Il permet de mieux connaître Venner, mais surtout de mieux se connaître en tant que militant. De voir son parcours militant ponctué par les reculs, la prison, les liens brisés, mais aussi par les coups d’éclat, la fraternité et les rencontres inoubliables, cela nous permet de relativiser certains échecs ou coups durs momentanés.

Cérialis nous rappelle aussi que lorsque Venner défendait les peuples européens, il ne se limitait pas au territoire géographique européen, mais bien à l’ensemble des peuples de descendance européenne, dont nous. Sa vision nationaliste ethnique qui le poussa au militantisme est la même que celle qui guide aujourd’hui notre mouvement.

Cérialis, Basile. (2015) Dominique Venner - Soldat politique. Les Bouquins de Synthèse Nationale. 196 pages.

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A Poitiers, dimanche 7 juin : Pierre Vial sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel

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dimanche, 31 mai 2015

Les agresseurs "antifas" d'Alexandre et Lydia ont été arrêtés

1234352_363974597069473_2033929008_n.jpgSouvenez-vous, c'était le 12 avril dernier. Alors qu'ils rentraient chez eux, deux jeunes patriotes parisiens, Alexandre et Lydia, étaient lâchement agressés par une bande d'hystériques appelés "antifas" (entendez antifascistes). Alexandre fut gravement blessé et dû rester vingt jours en ITT. Lydia, choquée, resta pour sa part quatre jours sans pouvoir travailler cliquez ici.

Les supplétifs du Système que sont ces antifas entendaient, en agressant Alexandre et Lydia, "venger" l'un des leurs, le dénommé Clément Méric qui est décédé en juin 2013 alors qu'il participait à une rixe contre des jeunes nationalistes venus paisiblement faire des achats dans le quartier de la gare Saint Lazare à Paris. A la suite de cet événement malheureux, un jeune militant solidariste, Estéban, passa plus de quinze mois en détention (*).

En fait, le Système mondialiste a voulu à cette époque profiter de cette affaire pour salir l'ensemble du mouvement populaire qui, depuis plusieurs mois, amplifiait contre la clique Hollande/Valls/Taubira qui cherchait à imposer son "mariage pour tous" cliquez ici.

Aujourd'hui, nous venons d'apprendre que deux des agresseurs d'Alexandre et Lydia viennent d'être arrêtés par la police cliquez là. Ce dont nous nous réjouissons. Cependant, comme le Système n'est pas ingrat avec ses petits domestiques, après qu'ils soient passés devant le juge, ils ont été remis en liberté.

Quant à "l'affaire Méric", une reconstitution vient de se dérouler sur les lieux et il semblerait que dans les rangs des antifas les choses ne soient plus aussi claires qu'il y a deux ans (certains reviendraient sur leurs accusations hâtives) et que la vérité finisse bientôt par triompher...

Synthèse nationale

(*) Lire sur cette affaire le remarquable livre que Serge Ayoub, alors porte-parole de 3e Voie, lui a consacré. Cliquez ici

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A Poitiers, dimanche 7 juin : Carl Lang sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel

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Samedi 6 juin, à Bordeaux :

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samedi, 30 mai 2015

L'Aristoloche n°8 est paru

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L'Aristoloche n°8 cliquez ici

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger, cliquez ici 

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SCANDALE ROBERT CHARDON : 3e VERSION DES FAITS PAR LE POUVOIR

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Dans la vie, quand on sait pas mentir correctement, il vaut mieux éviter de mentir.

Mais bon, comme le pouvoir est constitué de bras cassés, forcément, quand ils mentent, ils se plantent.

Pour ceux qui n’ont pas suivi les faits, on résume :

–  Robert Chardon, maire de Venelles et PDG de l’entreprise ISO Ingénierie publie le jeudi 14 mai un tweet indiquant vouloir interdire l’islam en France.

– Robert Chardon est interviewé dans la foulée par l’AFP. Le vendredi 15 mai, un article est publié sur l’AFP.

– Vendredi 15 mai, pschhttt, Robert Chardon disparaît, style le lapin de Garcimore. Le compte facebook et twitter sont fermés, plus aucune article sur le site de l’AFP.

A partir de ce moment, 3 versions différentes de la disparition de Robert Chardon sont communiquées :

– En premier lieu, l’AFP parle d’un internement, à la demande d’un tiers.

– Ensuite, le sous-préfet d’Aix-en-Provence nie l’internement et indique que M. Chardon est hospitalisé pour un cancer.

– La dernière en date de ce jour (voir ci-dessous), le procureur de la République auprès du TGI d’Aix-en-Provence indique que l’affaire est couverte par le secret de l’enquête.

Quelle affaire ? Vous avez vu une affaire vous qui mérite la rétention de M. Chardon ?

Si on traduit les propos du procureur : « Je te jure sur la vie de ma mèèèèère, Robert il est pas mort, mais on m’a dit de pas dire où il est ». Retour à la case départ. On voudrait nous endormir, nous lasser, nous décourager, faire mourir la chose tranquillement pour remettre Robert dans sa camisole taille XXL, sous médocs et en espace confinée, on ne s’y prendrait pas mieux.

C’est con, mais nous, en bons gaulois, on est têtu.

Comme disait Audiard, « Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages ». On nous prend pour des billes ou quoi ?

Depuis quand en France peut-on retenir indéfiniment une personne ? Ou est l’avocat représentant M. Chardon ? De quoi l’accuse-t-on ? Le délai MAXIMUM de garde à vue est de six jours (ici), pourquoi M. Chardon n’est pas aujourd’hui libéré ?

Rappel : dans son article de ce jour, vendredi 29 mai, Francis Gruzelle, journaliste et auteur à Riposte Laïque relate la chose suivante (article ici) : « Après la mystérieuse disparition de Robert Chardon et ma saisine de  la justice , le Procureur de la République Dominique MOYAL près le Tribunal de Grande Instance d’Aix en Provence m’a adressé le courrier mailé suivant : « Je tiens à vous rassurer : Mr le maire de Venelles n’a été ni kidnappé  par des extra-terrestres ni désintégré… Je ne fournirai aucune autre information sur cette affaire couverte par le secret de l'enquête . »

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vendredi, 29 mai 2015

A Poitiers, dimanche 7 juin : Paul-Marie Coûteaux sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel

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Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel

seront communiquées le 5 juin.

Bulletin de réservation cliquez ici

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GONFLE ! Laurent Ozon face à une meute de clandestins, il fallait le faire...

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Laurent Ozon s'est entretenu avec Le Bréviaire des Patriotes cliquez là

Laurent Ozon :

« Ces gens sont violents

et nous l’avons prouvé ! »

 

Le 26 mai dernier à Bruxelles, Laurent Ozon, président du Mouvement pour la Remigration (que nous avions interrogé il y a peu), faisait face aux clandestins qui manifestaient à Bruxelles pour réclamer des droits. Leur réaction (violente) ne s’est pas faite attendre, comme en témoigne la vidéo visible ci-dessous. Pour le Bréviaire des patriotes, M. Ozon revient sur son action.

► LBDP : Pouvez-vous nous livrer le récit des événements et nous parler du discours que vous avez tenu ce jour-là ?

L.O. : L’objectif de cette petite opération était de montrer à chacun que nous n’étions pas obligés de rester coi devant l’ahurissante campagne de justification des médias et des pouvoirs publics pour nous imposer les clandestins. Nous avons d’abord repoussé ceux qui étaient sur le monument, puis, en équilibre, je suis monté pour me faire entendre de cette petite foule de 200 personnes. À la fin de mon intervention, nous avions ce que nous voulions : une attaque violente en règle de clandestins et une véritable petite émeute en plein centre-ville qui a nécessité l’intervention des brigades anti-émeute.

Quelques échanges de coups ont été nécessaires pour nous protéger, même si je tiens à le préciser, je n’étais pas venu pour cela. Il nous a seulement fallu répliquer lorsqu’ils sont passés des projectiles et des ruades aux coups de poings. Bref… Mon discours consistait en synthèse à rappeler qu’ils n’étaient pas les bienvenus, que nous étions chez nous et que nous les ferions repartir.

► Vous attendiez-vous à une telle réaction ?

Oui. Nous ne nous faisons aucune illusion sur l’état d’esprit de personnes capables de noyer leurs congénères en mer parce qu’ils sont chrétiens ni de la nature agressive de leur démarche en arrivant chez nous. Ces gens sont violents et nous l’avons prouvé. C’est parce qu’ils ne rencontrent pas les réactions de la population qu’ils peuvent jouer aux misérables devant les journalistes.

► Vous dites (à Breizh-Info) que de nombreux policiers vous ont soutenus, bien qu’ils aient dû obéir aux ordres…

C’est plus tard, en essayant de revenir sur la place qu’un cordon de gardes m’a bloqué et que durant ces minutes, nous avons reçu les aveux et sympathie des policiers. Si un jour quelqu’un donne l’ordre à ces hommes et ces femmes de nettoyer la place et de rembarquer ces intrus, croyez-moi, ce sera fait et avec le sourire. Voilà pourquoi la politique reste un objectif incontournable.

► Bien que certains vous accuseront de provocation gratuite, cet affrontement casse-t-il l’image des « gentils clandestins » que l’on tend à nous montrer dans les médias ?

Oui c’est bien le but de cette opération, démasquer ces gens. Pour ce qui est de la « provocation », je crois bien que c’est la présence massive de clandestins dans nos villes, hébergés et nourris avec nos impôts qui constitue une provocation.

► La remigration se veut un plan pacifique et réfléchi. Ce genre de débordements ne fait-il pas mentir votre analyse, selon laquelle il existe une solution « douce » au problème migratoire ?

Il existe une solution douce mais elle sera politique et diplomatique. Ce n’est pas une raison pour que les citoyens ne manifestent pas leur mécontentement d’ici-là. Après, si ces clandestins ne gardent pas leur calme, on verra bien. Nous avons le droit et même le devoir de nous faire entendre. Nos institutions politiques tiennent leur légitimité de leur mandat d’assurer nos droits, de faire respecter nos lois et de protéger les citoyens contre l’abus, la violence, l’anarchie. Si elles n’agissent pas, elles perdent leur légitimité à assurer le monopole de la violence légitime. Nous devrons alors agir pour faire respecter nos droits, nos familles, nos terres et nos biens. Qu’elles prennent garde.

► Pour finir, comment voyez-vous l’issue du drame qui se joue actuellement en Méditerranée ?

Tout cette affaire est fabriquée pour mettre le feu aux poudres. Le problème c’est que si nous ne réagissons pas, nous disparaitrons. C’est bien dans cette impasse que l’Oligarchie nous conduit. Il faut agir vite tant que cela peut encore être possible. Dans deux ans, ce pourrait bien être trop tard et nous pourrions assister à la deuxième partie de leur opération : un État aux prérogatives totalitaires gérant une guerre civile endémique en nous imposant une mixité forcée et la fin de nos libertés comme peuple.

La souveraineté est aux peuples ce que la liberté est à l’individu. Le droit de pouvoir décider chez nous de ce qui est bon pour nous. Ils sont faibles. Ne nous laissons pas tétaniser par la crainte, les campagnes de désinformation qui veulent ridiculiser ou démoraliser nos réactions. C’est le moment de se lever !

Propos recueillis par Christopher Lings

NB : Laurent Ozon souhaite organiser une autre action à Bruxelles dans les prochains jours. Pour y participer, manifestez-vous rapidement à cette adresse : laurent.ozon@gmail.com

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LA RÉFORME DES COLLÈGES Ce que les réformateurs ne vous diront pas

leffetpei.jpgMichel Lhomme

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Malgré une législation qui compte parmi les plus sévères d’Europe, la France est un des pays où la consommation de cannabis atteint les niveaux les plus élevés parmi les jeunes. Le cannabis est, de loin, la drogue illicite la plus disponible et consommée en France. Une personne sur quatre, entre 11 et 75 ans, déclare en avoir déjà fait usage, ce qui représente 13,4 millions d’expérimentateurs (un quart environ de la population). La diffusion du cannabis touche tout particulièrement les jeunes générations (15-30 ans), deux fois plus nombreuses que leurs aînées à l’avoir expérimenté. Au-delà de l’initiation, les niveaux de consommation des jeunes Français dépassent nettement la moyenne européenne : à 15-16 ans, un élève sur quatre déclare avoir consommé du cannabis dans le dernier mois. Ainsi, paradoxalement, en dépit d’une législation parmi les plus sévères d’Europe et supposée être dissuasive, la France est un des pays où les jeunes sont de plus en plus des « drogués ».

Ce « paradoxe français » alimente des controverses récurrentes sur l’efficacité de l’interdit et le statut légal du cannabis. Certains plaident pour une dépénalisation de l’usage, voire de la détention de petites quantités destinées à l’usage personnel, ce qui permettrait, selon eux, de rendre la consommation moins transgressive et donc à la fois moins attractive et mieux contrôlable. Pour d’autres, la dépénalisation pourrait être perçue comme un relâchement, au risque d’aggraver les maux liés à l’usage du produit, qui sont aujourd’hui bien connus.

Les adolescents français, champions d’Europe des jeunes drogués

La France se singularise ainsi par l’amplitude de la diffusion du cannabis, qui concerne autant les filles que les garçons. Ces chiffres reflètent une relative facilité d’approvisionnement depuis une dizaine d’années : en 2011, 43 % des adolescents français de 15-16 ans estimaient que, s’ils le voulaient, il leur serait « facile » d’obtenir du cannabis, contre 29 % de leurs pairs européens. D'où la question qui fâche : que fait donc la Police ou la Gendarmerie nationale ? Et de fait, comment peut-on respecter une institution, les policiers et les gendarmes quand ils sont bafoués quotidiennement par la pratique des jeunes ? 

En dépit de l’interdit légal, le cannabis est  perçu partout comme aisément accessible en France, par les mineurs comme par les adultes. Près de 60 % des 15-64 ans jugent qu’il est facile de s’en procurer sans même parler de l'auto-culture. Ce sont des tonnes d'herbe qui sont « cultivées » aujourd'hui en France.  
Ce que ne dit pas la réforme des collèges, c'est que plus d'un tiers des jeunes sont donc aujourd'hui « stones » en classe, tout simplement « évaporés ». Les données les plus récentes confirment que le cannabis connaît une diffusion massive dès le collège, plus concentrée dans le temps que celle de l’alcool ou du tabac, avec une accélération très marquée entre la 4e et la 3e (la part d’expérimentateurs passe de 11 % à 24 % à ce niveau scolaire), avant de se généraliser au lycée. Or, la réforme des collèges, réforme purement comptable qui casse en fait avec la bénédiction des syndicats le décret de 1950, réduit les heures d'enseignement mais ne soulève en aucun cas la question des surveillants des collèges, des postes d'encadrement, d'une politique de prévention santé.

C'est un fléau, c'est même peut-être le fléau le plus visible de la jeunesse française car si une proportion non négligeable de jeunes s’adonne aux paradis artificiels, ils le font pendant une période de la vie où la maturation cérébrale n’est pas terminée. Il est erroné de dire que ces consommations n'affectent pas leur scolarité, leur développement, voire, à plus long terme, leur santé et leurs capacités cognitives. La plupart de nos jeunes, il faut le dire, deviennent en fait de plus en plus bipolaires, difficilement « socialisables ». Aujourd’hui, l’âge moyen d’initiation au cannabis se situe autour de 15 ans, un peu plus d’un an après la première cigarette de tabac. Aucun éducateur n'en parle et toutes les autorités éducatives esquivent toute allusion fut-elle indirecte aux ravages du phénomène préférant bien évidemment l'endoctrinement du genre ou l'histoire victimaire. Après tout, « fumer » du haschisch n'est-il pas aussi oriental ? Or, à quoi bon des cours fussent-ils interdisciplinaires si de toutes façons, l'élève est « ailleurs ». Chez tous les jeunes français, l’expérimentation du cannabis est pourtant devenue, en deux décennies, un « modèle dominant ». Son usage régulier atteint aujourd’hui un niveau comparable à celui de l’alcool mais personne n'en parle !

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A Poitiers, dimanche 7 juin : Synthèse nationale sera présente à la 1ère Rencontre Charles Martel

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Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel

seront communiquées le 5 juin.

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L'Arabie saoudite, pays allié de l'Etat islamique : CIVITAS DANS LA RUE LE 20 JUIN

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Bernard Lugan nous parle de l'Afrique actuelle

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SUBMERSION = SUBSTITUTION = SUBVERSION ?

Unknown.jpgPieter Kerstens

Dire ce que l’on voit, parce que toute vérité est bonne à dire, même si elle ne fait pas plaisir à entendre, ne fait plus partie des dialogues depuis que les médias (dépendants des subsides publics et donc du pouvoir politique) nous ont imposé le « Politiquement Correct » pour que la Police de la Pensée puisse sévir contre les rebelles à la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste.

Sous la 5ème République, les ministres de l’Intérieur successifs, de Raymond Marcellin à Brice Hortefeux, de Gaston Defferre à Manuel Valls, en passant par Pierre Joxe ou Nicolas Sarközy (2 fois), TOUS ont combattu les mouvements nationalistes coupables à leurs yeux de défendre les racines de notre civilisation et notre identité européenne.

Depuis fort longtemps, les procès multiples et les interdictions ont accablé notre famille politique alors que les fauteurs de troubles gauchistes ont été curieusement épargnés, à quelques organisations près…

Et  quand mes camarades d’Ordre Nouveau et moi-même avions organisé le meeting du 21 juin 1973 à la Mutualité sous le thème « Halte à l’immigration sauvage », TOUS nous ont traités de « racistes », de « fascistes » et de « nazis ».  Pourtant, les inspecteurs des R.G présents dans la salle ont tous confirmé au ministre de l’Intérieur, Raymond Marcellin, qu’ils n’avaient jamais entendu un propos raciste dans les différents discours.  C’est après une campagne de presse haineuse et nauséabonde contre Ordre Nouveau, par les laquais du mondialisme comme Thierry Pfister du « Monde » ou comme Maurice Clavel dans « Le Nouvel Obs » soutenus par les ministres Pierre Messmer, Jean Taittinger et Bernard Stasi, que la dissolution d’O.N est prononcée le 28/6/1973.

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jeudi, 28 mai 2015

La honte au Panthéon !

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RAPPEL : dimanche 7 juin, à Poitiers

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