vendredi, 17 avril 2015
Politique : le vrai choix
Dans la nature, on se défend, ou on attaque, avec des leurres. Mais la réalité, c'est la mort. D'où naît la vie.
En politique, c'est un peu la même chose. La "démocratie", qui est une voie détournée pour atténuer les heurts de la guerre civile, cœur de toute société vivante, est, bien sûr, un mensonge : on croit résoudre, comme dans un salon de thé, des problèmes qui mettent en jeu des conflits d'intérêts et des questions identitaires qui engagent la vie et la mort de communautés. Les seuls moments où un pays a manifesté un surcroît d'énergie furent ceux où des groupes s'empoignaient violemment. Le reste est gentillesse de troupeau bêlant. Machiavel, dans ses Réflexions sur la Première Décade de Tite Live et dans Le Prince, ne dit pas autre chose, et il a raison.
Le parti communiste français, selon Guy Mollet, était plus à l'Est qu'à gauche. On pourrait dire aussi que la gauche et la droite actuelles sont à l'extrême Ouest, c'est-à-dire à Washington. La sortie de l'Histoire, pour un peuple, c'est-à-dire le refus de risquer, jusqu'au bout, sa peau, est aussi une manière – lâche – d'éluder le conflit. On trouve toujours de bonnes raisons pour s'en passer. On n'évite pas pour autant, dans ce cas, les guerres fomentées, sur le territoire du pays abdiquant sa souveraineté, par l'étranger. Le vide appelle le plein.
Le parti communiste français avait choisi l'URSS en 1939, donc, à ce moment, l'Allemagne hitlérienne, contre la France. Il est vrai que Lénine avait dit que tout révolutionnaire devait combattre son propre pays.
J'avoue que l'on pourrait disserter, à l'infini, sur la légitimité de ces décisions paradoxales, pour les patriotes, qui peuvent, selon l'identité des vainqueurs, passer pour trahisons, ou bien tomber dans l'oubli, ou, mieux, se présenter comme des choix avisés. Au fond, De Gaulle a opté pour le bon cheval, et Pétain pour le mauvais. La défaite de juin 40 ne laissait pas d'autre alternative, et le nationalistes devaient manger leur képi. Le naufrage est toujours cruel pour ceux qui se noient.
Nous en sommes encore là. Certains voient l'Amérique comme le paradis, pour d'autres, c'est la Russie de Poutine. Le problème est que l'Europe - et la France - ne prennent pas en charge leur destin.
Pour en revenir au parti communiste français, on peut, certes, a posteriori, comme dans le gaullisme, retenir un certain conservatisme plutôt sympathique : rejet de l'avortement, de l'idéologie homosexuelle, culte de la famille, de la nation, du (des?) passé(s) français etc.
Mais il ne faut jamais oublier ce qu'étaient ces « progressismes ». Le gaullisme n'a pas su se montrer critique à l'égard d'un modernisme quantitatif qui a défiguré la France, et nous a bloqués dans des impasses ; le parti communiste combattait au nom d'un prophétisme réducteur et imbécile, parce qu'égalitariste. Qui a côtoyé des responsables staliniens (et même trotskistes) connaît leur médiocrité humaine et culturelle. Le militantisme abêtit.
Le vrai choix est entre l'honneur et la honte, entre l'excellence et la médiocrité. A chacun de sonder son cœur et ses reins. L'instinct vaut mieux, parfois, que les ratiocinations. Les « idées » ne sont souvent que des colifichets. Après, on peut toujours habiller, comme l'on veut, le symbole qu'on s'est donné.
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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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Paris : HYSTERIE ANTIFA CONTRE DES PATRIOTES...
Dimanche dernier à Paris, en fin d'après-midi, Alexandre et Lydia rentrent tranquillement chez eux. Tout à coup, ils sont sauvagement agressés par une horde d'"antifas", ces hystériques qui, au nom d'une hypothétique lutte anti-fasciste, servent de petits domestiques à la haute finance mondialiste en s'attaquant à la résistance patriotique.
Alexandre et Lydia sont en effet des militants nationalistes. Avant la dissolution de 3e Voie, en juillet 2013, ils participaient aux activités de ce mouvement. Au moment de "l'affaire Méric" cliquez là, Alexandre a été inquiété sans que rien ne puisse lui être vraiment reproché. La justice du Pouvoir n'ayant pas pu les punir d'aimer la France, ce sont donc ses larbins supplétifs qui s'en sont chargés dimanche dernier. Pour justifier cette violence, les "antifas" ont prétendu vouloir venger Clément Méric, un gauchiste décédé accidentellement il y a deux ans alors qu'il participait à une agression contre des jeunes nationalistes dans le quartier de la Gare Saint Lazare.
Alexandre a pris vingt jours d'ITT, Lydia quatre. Pas un journaliste, pas un homme politique, pas un donneur de leçon ne s'est intéressé à leurs cas. Il est vrai qu'Alexandre et Lydia ne font pas vraiment parti, aux yeux de ces gens là, de "l'humanité". Ils ne sont que des patriotes juste bons à croire encore dans les valeurs de leur civilisation. Cela, le Système ne le tolère pas.
Mais Alexandre et Lydia ne sont pas seuls. Partout en France des millions de gens prennent conscience qu'il est temps d'en finir avec ce Système dont le premier objectif est de tuer les identités. L'heure des comptes approche où ceux qui le servent devront bientôt s'expliquer. Nous travaillons pour cela.
Synthèse nationale
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VOTE OBLIGATOIRE : LA FABRIQUE DES ÉLECTEURS
Métamag cliquez ici
Il parait qu’il est interdit de critiquer la démocratie. Et bien tant pis, la proposition du vote obligatoire porté par le parti socialiste renforce ceux qui pensent que sa principale caractéristique est l’hypocrisie.
En effet dans le meilleur des mondes démocratiques possibles, les électeurs se rueraient en masse aux urnes pour manifester leur attachement à un personnel politique aussi vertueux que compétent.
Or il n’en est rien. Le rejet est massif entre votes anti-système et abstention. Ce ne sont certes pas des votes contre la démocratie rêvée mais contre sa traduction politique réelle. La seule qui importe, la démocratie contrairement à la monarchie ou au totalitarisme est une utopie jamais réellement concrétisée.
Quand le devoir devient une obligation accompagnée de sanctions, c’est tout de même peu démocratique dans l’esprit. Alors il faut poser une simple question : à qui profiterait le plus le vote obligatoire ? Personne ne le sait. En revanche les socialistes sont persuadés qu’ils en seraient les bénéficiaires. CQFD.
Cela part du constat très simple que c’est leur électorat qui boude le plus les urnes. Donc le ramener de force parait une bonne idée. Le déçu dans l’urne devra quand même choisir le parti le plus proche de lui.
Il y a en plus une autre arrière pensée sans doute déterminante. Les socialistes n’ont d’espoir électoral que dans les Français issus de l’immigration récente arabo-africaine. Or, les «jeunes» qui se sentent exclus ou s'excluent eux même votent de moins en moins.
Allez, tout le monde aux urnes pour contrer mais qui…. Le FN bien sur ! Le vote obligatoire pour sauver une démocratie que personne ne menace, surtout pas le FN révisé. Tout cela pue.
De plus si longtemps l’abstention a grossi le score relatif du FN, ce n’est sans doute plus vraiment le cas. Et traîner aux urnes par les pieds des gens qui, par choix politique, ne votent plus et se sentent en sécession par rapport à la république actuelle n’est pas sans risque. Quand aux abstentionnistes viscéraux, certains pêcheurs trouveront que les obliger à voter est une contrainte peu démocratique et ils pourraient choisir eux aussi un vote sanction contre le totalitarisme votatif.
Le vote est, parait-il, un droit démocratique, mais il est utilisé également dans les régimes autoritaires et totalitaires. Il serait donc également un devoir. Un devoir qui deviendrait obligatoire pour obliger les ingrats à voter pour leurs bienfaiteurs naturels – la gauche socialiste bien sûr. Ce calcul politicien de Claude Barcelone risque d’être aussi pertinent que la fameuse dissolution Chirac-Juppé.
Si les politiciens étaient éclairés, cela se saurait et les citoyens seraient également des électeurs sans qu’on se sente obligé de les rafler le jour du vote.
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3183 du 9 avril 2015
SELON des informations livrées par L’Obs, la direction du FN mariniste a tenté de faire annuler une interview de Jean-Marie Le Pen sur France Inter, le 17 mars dernier. Jean-Marie Le Pen était annoncé comme l’invité de Patrick Cohen. Craignant de nouveaux “dérapages” et d’insolentes considérations voire l’expression d’abominables pensées, Marine Le Pen a tenté de faire annuler le passage du président d’honneur sur France Inter. Elle a chargé son factotum Alain Vizier, responsable de sa communication, de faire expulser Jean-Marie à son profit. « Il aurait été normal que la présidente du parti soit invitée avant le premier tour des départementales, et non Jean-Marie Le Pen, qui aurait pu être interviewé après le second tour [sic]. Ça a été un bras de fer assez important, j’ai beaucoup insisté » a confirmé Alain Vizier qui, bien entendu, a échoué dans sa mission, les journalistes n’aimant pas trop qu’on leur dicte leur conduite.
DEHORS, JEAN-MARIE LE PEN !
Les propos de l’entourage de Marine Le Pen, dont Florian Philippot et Alain Vizier à l’encontre de Jean-Marie Le Pen sont d’une extrême et honteuse violence : il serait “gaga” (aurait dit Vizier) et accro à la vodka (si l’on en croit Philippot, alors que Le Pen ne boit pas d’alcool). Alain Vizier a démenti ces propos. Personne n’est rigoureusement obligé de croire qu’il ne les a pas tenus…
JEAN ROUCAS PERSÉCUTÉ
L’humoriste Jean Roucas, l’ancienne voix du « Bébête Show », avait déjà fait parler de lui de façon parfaitement scandaleuse, quand il s’était rendu à l’université d’été du FN et avait exprimé des sympathies pour ce mouvement. Voici que ce fou récidive. Il n’a rien trouvé de mieux à faire que de fustiger sur Twitter « les méthodes du PS contre les candidats FN ». Plusieurs incidents ont en effet visé des candidats du FN en marge de la campagne pour ces élections. « Incendies, menaces de morts, agressions… Valls et ses SA en action », a-t-il ainsi énuméré avant de lâcher : « Heil Hollande ! ». Scandale ! Valls, chef des SA et Hollande comparé au Führer. Mais que raconte Roucas ? Les deux zozos socialistes ne boxent pas dans la même catégorie ! Les sanctions n’ont pas tardé à tomber. Roucas devait jouer dans la revue « France-Hollande 0 partout » au Théâtre des 2 ânes, dont le directeur est Jacques Mailhot. L’affaire fut promptement traitée : viré. Explication du théâtreux : « Le théâtre a toujours respecté les opinions politiques de chacun de ses pensionnaires, mais il ne peut cautionner de tels propos infamants pour la République et ses représentants ». Ben, voyons… Il est vrai que Jean Roucas y était allé fort (et juste) sur Twitter, dénonçant « Ruquier et sa bande de socialo-collabos », ajoutant : « Oui, nous sommes des Français de souche, ce pays est le nôtre, et il sera difficile de nous en déloger ». Le 7 mars, il postait une photo de Manuel Valls avec une moustache hitlérienne et le 8 mars une affiche « Y a pas bon Banania » avec une caricature de Taubira. Marine Le Pen a twitté : « Quand Bedos père me compare à Hitler, ça n’a fait bouger personne. Soutien total à Jean Roucas ! Charlie à géométrie variable ! » Quant au vieux complice de Jean Roucas, Stéphane Collaro, voici ce qu’il a déclaré : « Quand la fine fleur des comiques français soutenait le communisme stalinien, on ne les virait pas pour autant des plateaux… »
LA RATP, DROIT DANS SES BOTTES ANTICHRÉTIENNES ET DÉGÉNÉRÉES
La RATP a refusé les affiches du groupe “catholique” à succès « Les prêtres », destinées à être placardées dans les couloirs du métro, qui annonçaient leur concert à l’Olympia, le 14 juin 2015 .Il est vrai qu’ils avaient exagéré. L’affiche informait que les bénéfices du concert seraient rassemblés « Pour les chrétiens d’Orient ». Au nom de la laïcité, les affiches ont dû être réimprimées, la RATP demandant que la mention « pour les chrétiens d’Orient » soit enlevée. À noter que lors de l’affichage en octobre 2014 pour annoncer le concert au Palais des Congrès, la RATP avait refusé dans un premier temps les affiches à cause de la croix que porte l’“évêque”. Car, dit la régie publicitaire de la RATP, « Le métro est un espace laïc, il n’y a pas de prise de position, ni politique, ni religieuse ». Petit retour en arrière : la RATP a, dans le passé, placardé des affiches vantant le Secours Islamique de France ou l’entreprise Isla Délice « Fièrement Halal », et tout récemment encore celles de l’entreprise Gleeden appelant ni plus ni moins à l’adultère… On se souvient de son slogan affiché dans les couloirs du métro : « Contrairement aux antidépresseurs, l’amant ne coûte rien à la Sécu ». Et puis la mise en scène graveleuse d’une saucisse de Morteau (« 20 centimètres de pur bonheur »), les slogans du site de réservation d’avion Liligo (« J’ai trouvé le moyen le plus économique pour m’envoyer en l’air »)… Et puis cette affiche Benetton montrant une religieuse embrassant langoureusement un curé. Ou encore une publicité Leclerc parodiant la Cène (« OK, c’est moi qui coupe le poulet »). Et enfin cette campagne spéciale “ramadan” affichée dans tous les couloirs du métro avec cette jeune femme voilée brandissant une carte téléphonique au-dessus du slogan « Je peux gassar sans compter ! » Mais, rassurons-nous, la RATP argue du fait que sa charte proscrit toute communication à caractère “religieux”.
Dernière minute : le lundi 6 avril, tardivement et à contrecœur, la direction de la RATP a fini par reculer complètement et admettre purement et simplement la mention « au bénéfice des Chrétiens d’Orient » !
BONNE NOUVELLE : UN FRANÇAIS DE PLUS…
L’ancien député européen écologiste Dany le rouge, Daniel Cohn-Bendit, 70 ans, veut demander la nationalité française, expliquant se sentir à la fois « allemand et français ». Né à Montauban en avril 1945 de parents juifs, ces derniers s’étaient exilés d’Allemagne vers la France après la prise du pouvoir par Hitler en 1933, Daniel Cohn-Bendit avait pris la nationalité allemande pour ne pas avoir à faire son service militaire en France. Désormais, il sera français. Pour pouvoir être candidat à l’élection présidentielle ? Qui sait ?
GRANDIOSE ! JULIE GAYET À SCIENCES PO
La fiancée du Pingouin a été invitée, il y a quelques jours, à s’exprimer lors d’une conférence à Sciences-Po (nul n’ignore ses hautes compétences en sciences politiques), sur le thème du « genre au cinéma » et devait évoquer son rapport au féminisme et à la création. Vaste et passionnant programme. Le Figaro, présent dans la salle, rapporte des propos de haute tenue intellectuelle : « Avant, j’avais la sensation qu’être féministe était un gros mot. Aujourd’hui, je me dis que je suis féministe par essence parce que je suis une femme. » On comprend que Sciences-Po n’ait pas pu se passer d’une telle puissante pensée. Julie Gayet était notamment invitée pour parler d’un film diffusé à la télévision fin 2013, qu’elle avait produit, intitulé Cinéast(e)s et qui se présentait comme une réflexion sur la place des femmes dans le septième art. Le message d’une profondeur insondable qu’elle tenta de faire passer ?
Accrochez-vous : « Un film d’homme, c’est un film. Un film de femme, c’est un film de femme ». Sans doute épuisée par sa géniale pensée, elle refusa de répondre aux questions de la salle. Dommage. Nous aurions sans doute eu quelques raisons complémentaires de nous amuser…
QUAND L’INÉNARRABLE PINGOUIN NE SAIT PAS TENIR SA LANGUE
Hollande vient d’annoncer, il y a une semaine, la création d’un centre d’appels à Metz au profit des ex-salariés d’Ecomouv’, la société qui avait pour mission de collecter l’écotaxe. A défaut d’écotaxe, tout ceci avait fini par un écocrash, avec plusieurs centaines de salariés sur le carreau. Mais, pas grave, le Pingouin a de la ressource. En visite à Metz, il annonce, fier comme Artaban, la création de « 100 à 150 emplois » sur une « plateforme que Pôle emploi va mettre en place » sur le site d’Ecomouv’. Le président de la communauté d’agglomération, l’UDI Jean-Luc Bohl, y est aussi allé de son petit mouvement de menton, annonçant dans la foulée de Hollande que le groupe Arvato serait chargé de recruter en priorité les anciens salariés d’Ecomouv’. Jusque-là, rien d’apparemment choquant, sauf qu’un appel d’offres avait été lancé par Pôle emploi, qui ne prenait fin que le « 30 mars 2015 à 12 heures », soit trois jours après les vantardises du Pingouin et trois jours avant la conclusion de l’appel d’offres.
Du coup la procédure se retrouve entachée d’irrégularité et sera évidemment contestée par les autres candidats qui auront eu la désagréable impression de s’être fait berner. La société lauréate était connue, grâce à Hollande, avant même qu’aucune décision officielle ne pût être prise. Cela porte le doux nom de favoritisme aggravé. Du coup, Hollande se retrouve le bec dans l’eau et malheureusement les salariés d’Ecomouv’ aussi…
THIERRY ARDISSON ADORE LES KEBABS, MAIS PAS CHEZ LUI…
L’animateur de télévision Thierry Ardisson, bobo invétéré, qui exècre l’extrême-droite, n’en défend pas moins le patrimoine de la France. Il vient de créer une association de défense des arcades de la rue de Rivoli. Normal, il y habite. Il part en guerre contre les excès de certains commerçants de la célèbre rue. Quels commerçants ? Explication : il a déclaré dans une interview : « C’est le patrimoine, c’est la France, c’est en face du musée du Louvre, c’est en face du jardin des Tuileries, il n’y a aucune raison que nous laissions ce patrimoine se dégrader année après année ». Mais qui ou quoi dégrade, diantre, ce patrimoine ? Le super bobo finit par lâcher le morceau : « J’adore les kebabs, mais les kebabs, c’est mieux à Barbès ». En d’autres termes, la colonisation des autres quartiers parisiens ne lui pose aucun souci, dès lors qu’il peut vivre tranquillement, dans le luxe et la volupté, dans son quartier, à l’écart des gueux, fussent-ils Arabes…
POISSON D’AVRIL AU “CARRÉ”
« Nous devons lutter contre le métissage généralisé et protéger les Européens blancs » : voici les propos supposés avoir été tenus par Marine Le Pen, si l’on en croit le site La Flamme. Hélas, il s’agissait d’un poisson d’avril…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
01:04 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 16 avril 2015
A peine annoncée, la tenue de la première Rencontre Charles Martel à Poitiers intéresse la presse locale
Conférenciers identitaires
On y annonce notamment Pierre Vial, un intellectuel identitaire, qui fut un proche de Bruno Mégret et qui signe aujourd'hui des éditoriaux sur Terre et Peuple, un site internet dédié à la « résistance identitaire européenne ». Il intervient aussi régulièrement dans le journal Rivarol, qui a publié la semaine dernière l'interview de Jean-Marie Le Pen qui provoque la zizanie actuelle au Front National.
Sur le programme, figure également Carl Lang, président du Parti de la France, un groupuscule politique qu'il a fondé en 2009 après son départ du Front national. Ou encore Paul-Marie Couteaux, régional de l'étape puisqu'il habite dans le Mirebalais. Cet intellectuel souverainiste est notamment le fondateur du SIEL (Souveraineté, indépendance et libertés), l'un des partis politiques associés au Rassemblement Bleu Marine.
Bref, rien que du beau linge, que les promoteurs de ces journées ont invité pour évoquer Charles Martel « son histoire, son héritage et le symbole qu'il représente aujourd'hui, faisant le lien entre passé, présent et futur de notre Nation », peut-on lire sur le programme.
Banquet gaulois
Outre les conférences, des animations et un « banquet gaulois » sont proposés aux amateurs du genre, contre une participation de 25€. Prudemment, les organisateurs expliquent que les modalités d'inscription se feront par échanges d'e-mail. Ils restent également très discrets sur le lieu où se déroulera la manifestation, « l'adresse exacte de l'événement sera communiquée aux participants trois jours à l'avance ».
Sur les sites qui relaient cette information, plusieurs internautes se régalent à l'avance de participer à un événement qui se déroule en même temps que le congrès du Parti socialiste. Cette perspective, en revanche, ne va probablement pas faire rire les socialistes locaux.
Rappel Synthèse nationale :
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Bernard Lugan viré de Saint-Cyr !
Qu'il soit ainsi fait affront à la bienséance, nul ne s'en étonnera de la part de technocrates parvenus dont le carriérisme le dispute à la servilité. Ce qui est plus grave c'est que les libertés universitaires soient ainsi violentées par un pouvoir à la dérive.
Il est somme toute assez pittoresque qu'un chef de l'Etat devant l'unique succès de sa présidence à l'efficacité de l'armée de terre en Afrique, décide d'écarter le seul expert qui, du Mali à la RCA en passant par la Libye, le Tchad ou encore la Passe Salvador, la conseille efficacement au quotidien... Mais après tout, le sort de ses soldats est peut-être le cadet de ses soucis.
Quant aux joyeux élèves de la Spéciale, le cabinet du ministre vient de leur offrir, sans le savoir, un cadeau inespéré. Ils savent désormais qu'une secte d'idéologues faillis vivant ses derniers jours s'attache à détruire les enseignements ramenant les hommes de terrain à la réalité. Mais en se prétendant indépendante de la vérité, cette secte est devenue la risée de l'opinion. C'est elle qui la détruira.
Et puis, après tout, pour de jeunes élèves-officiers, l'interdit ne reste-t-il pas le meilleur moyen de faire ouvrir un livre ? Si tu ne viens pas à Saint-Cyr, Saint-Cyr viendra à toi... On ne lâche rien !
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Dimanche 26 avril 2015 : Konstantinos Boviatsos (Aube dorée), interviendra lors de la 3e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale
16:41 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IL Y A 40 ANS, LE KAMPUCHEA IMPOSAIT LA SHOAH.*
Pieter Kerstens
C’est en effet le 17 avril 1975 que Phnom Penh tombe aux mains des maquisards du Front Uni National du Kampuchéa (le FUNK). L’entrée de l’armée révolutionnaire de libération dans la capitale du Cambodge fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.
Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar - organisation socialo marxiste - dominée par les Khmers Rouges.
Reconnus et soutenus par l’Internationale Socialiste, armés par Moscou et Pékin, les « maîtres » du Kampuchéa Démocratique vont transformer et contrôler la société cambodgienne, saper la mémoire collective et couper la population de son Histoire. Ce processus a conduit à évacuer toutes les villes, à créer un collectivisme absolu et à éradiquer toute trace du passé séculaire (monastères bouddhistes, école, livres et journaux).
« Cette répression ne visait pas des groupes raciaux ou des minorités ethniques spécifiques, mais des couches sociales et tous les opposants politiques, réels ou supposés. Le démographe Marek Sliwinski a démontré scientifiquement que c’est un quart de la population (7,2 millions d’habitants en 1974) qui a été exterminé et presque 42% de ceux qui vivaient ou étaient réfugiés à Phnom Penh avant le 17 avril 1975.
Ces assassinats politiques en masse relevaient d’une volonté délibérée de terreur et d’extermination de la part des Khmers Rouges, cherchant à se maintenir au pouvoir par la violence et l’effroi afin d’établir dans la réalité leurs rêves utopiques. A l’exception des Vietnamiens, qui eurent la chance d’être avant tout chassés massivement du pays, la population visée par les sbires de Pol Pot étaient en priorité celle des 17 avril ou Peuple Nouveau.
Au Cambodge, le Peuple Nouveau constituait environ la moitié de la population du pays. Il n’avait strictement plus aucun droit, pas même le droit de vote, sinon celui de travailler sans la moindre récompense et pour une nourriture de plus en plus dérisoire. A postériori, la seule raison pour laquelle tous les 17 avril n’ont pas été exterminés était qu’ils constituaient une immense réserve de main-d’œuvre gratuite indispensable à la révolution qui voulait tripler la production rizicole, puisqu’elle interdisait l’achat et l’utilisation de machines fabriquées à l’étranger. » (In « Le petit livre rouge de Pol Pot » de Henri Locard).
Saloth Sâr (Bâng Thom dans le parti) connu sous le nom de guerre de Pol Pot et sa clique de fidèles entre les fidèles : Nuon Chea, Ieng Sary et sa femme Ieng Thirith, Khieu Samphân, Ta Mok, Hu Nim, Mme Son Senet Duch, mettent en place l’ANGKAR LOEU, arme psychologique suprême des terroristes qui tiennent tout un peuple dans un état d’épouvante et de soumission absolue. Cette utopie marxiste était basée sur des slogans appliqués dans toute leur brutalité, partout et tout le temps.
On se rappellera ici du culte de l’Être Suprême (fêté le 8 juin), culte déiste organisé par Robespierre durant la Révolution française en mai 1794 ; mais il faut également se souvenir de la 1ère Terreur en août et septembre 1792 et de le 2ème Terreur de septembre 1793 à juillet 1794, entrainant des centaines de milliers de victimes au nom d’une idéologie mortifère.
Il est curieux de constater que ce « détail » de l’Histoire, au XXe siècle, en Asie, n’a suscité depuis que peu de débats ou de manifestations, au même titre que le génocide arménien qui débuta le 24 avril 1915 ou encore les dizaines de millions de victimes du Goulags en URSS et du Laogaï en Chine.
IN MEMORIAM
*mot hébreux qui signifie « anéantissement ».
Bibliographie : « Pol Pot » de Louis Dreyfus. « Le petit livre rouge de Pol Pot » d’Henri Locard. « La digue des veuves » de Denise Affonço. « Revenue de l’enfer » de Claire Ly. « Cambodge année zéro » de François Ponchaud. « Le portail » de François Bizot.
Lire aussi :
Nicolas Tandler
Editions Pardès
128 pages, 12 €
En savoir plus cliquez là
16:33 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Ligue du Midi solidaire de Filip Dewinter
Un communiqué de Richard Roudier, porte-parole de la Ligue du Midi :
Nous avons tenu à nous associer à la dépêche publiée par notre ami Roland Hélie (cliquez ici), l’infatigable animateur de “Synthèse Nationale”, suite à la tentative d’assassinat ce matin du chef de file du Vlaans Belang.
Filip Dewinter a toujours été présent à chacune des diverses étapes du combat politique des identitaires. Aussi ai-je ressenti cette lâche tentative comme si elle avait été dirigée contre quelqu’un de ma famille.
Si certains ne veulent pas comprendre que nous sommes en guerre contre les barbares, j’espère que cet acte odieux leur ouvrira enfin les yeux.
15:55 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
15:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 15 avril 2015
Anvers : TENTATIVE D'ASSASSINAT CE MATIN CONTRE NOTRE AMI FILIP DEWINTER
Filip Dewinter lors de la journée régionale de Synthèse nationale en avril 2013 à Nieppe, près de Lille.
Une tentative d'assassinat a été déjouée ce matin à Anvers. Celle-ci visait notre camarade et ami Filip Dewinter, le courageux dirigeant du Vlaams belang.
En effet, un homme masqué et armé s’est introduit au domicile de Filip Dewinter, mais celui-ci, par chance, était absent à ce moment-là. C'est ce qui lui a probablement sauvé la vie.
Cependant, l’une de ses trois filles, enceinte, ainsi que son mari et leur petit garçon de trois ans étaient présents dans la maison et ont échappé au pire. Lorsque l’intrus, armé, s’est retrouvé face au gendre du chef de la résistance nationaliste et identitaire flamande, il lui a demandé, dans un anglais approximatif, si c'est bien ici qu'habite Filip Dewinter. Le jeune homme a eu la présence d'esprit de répondre par la négation et le terroriste a fait demi-tour afin sans doute d'aller voir à côté.
Mais, heureusement, une voisine qui avait remarqué la présence de ce personnage louche a appelé la police. Hélas, celle-ci est arrivée trop tard pour interpeller l’individu qui, entre temps, avait pris la fuite.
La police locale d’Anvers a confirmé ce matin la menace qui pesait sur Filip Dewinter.
Rappelons que depuis plus de trente ans le chef de file des nationalistes flamands dénonce sans relâche l’immigration massive qui menace l’intégrité de son peuple. Filip Dewinter est bien connu, et apprécié, des militants français car il est souvent venu dans notre pays, en particulier pour participer aux Journées annuelles de Synthèse nationale au cours desquelles il est plusieurs fois intervenu.
Nous tenons à témoigner à notre camarade et ami, ainsi qu'à toute sa famille, notre fraternelle solidarité combattante.
Synthèse nationale
13:36 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 25 avril : Carl Lang à Metz
11:28 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 26 avril 2015 : Hervé Van Laethem interviendra lors de la 3e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale
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Cour des Comptes et droit d'asile : le pavé dans le marigot aux clandestins !
La Cour des Comptes vient de publier un rapport accablant sur la gestion calamiteuse des demandeurs d'asile en France. Un rapport aux conclusions fort dérangeantes tant pour la politique immigrationniste du gouvernement écolo-socialiste que pour l'élyséen qui avait cru bon dernièrement de déclarer que "l'asile est un droit constitutionnel qui fait partie de l'identité de la France".
Alors que la réforme de l'asile concoctée par le duo Valls-Cazeneuve - constituant surtout à raccourcir le délai d'attente des pauvres "migrants" dans le traitement de leurs demandes d'obtention du statut de réfugiés - a été adoptée par les godillots de l'Assemblée "Nationale" et doit être examinée par le Sénat, les magistrats ont dénoncé en 113 pages les conséquences dramatiques d'une "politique d'asile qui est devenue la principale source d'immigrés clandestins en France".
L'ahurissant laxisme dont font preuve les autorités à l'égard des clandestins prétendûment demandeurs d'asile - incontestablement voulue et organisée par le gouvernement de Manuel Gaz Valls pour de raisons idéologiques - coûterait ainsi plus de 2 milliards d'euros par an aux contribuables gaulois (le double de ce que prétend le gouvernement et qui serait déjà scandaleux). Même s'il est exact que les 3/4 des 60 à 65 000 demandes annuelles sont rejetées, seuls 1% des déboutés du droit d'asile sont réellement expulsés du territoire national, les autres se faisant la malle illico pour prospérer comme clandestins, et on sait bien que la réforme voulue, en raccourcissant le temps d'examen des cas, sous la pression des collabos politiques et associatifs, aboutira in fine à une distribution quasi automatique du statut de réfugié à n'importe quel migrant de confort attiré par ce pays ou ils vivra allocatairement mieux à ne rien foutre que chez lui à suer au boulot.
Pour la haute autorité, "tant que la question de l'organisation systématique et rapide du retour [des déboutés du droit d'asile] ne sera pas réglé, le système ne pourra pas fonctionner correctement". Un voeu pieu qui restera sans suite, le pouvoir en place raisonnant et agissant en fonction d'une idéologie basée sur le mondialisme, le brassage des peuples, le métissage et la volonté de "grand remplacement" du caucasien par des allogènes en Europe et ce coûte que coûte au contribuable français qui, en outre, devra se soumettre à la plus forcenée des politiques de cohabitation raciale avec tous les dommages collatéraux qu'elle a engendré et engendre partout ou elle a été imposée aux forceps. Bref, pour ce qui est des demandeurs d'asile, comme pour tout ce qui touche à l"immigration, nos compatriotes et congénères devront continuer à payer pour continuer à subir ce pourquoi on ne les consulte pas...du moins tant que l'engeance politicienne qui nous gouverne - ou aspire à nous gouverner dans le même Système - n'aura pas été neutralisée.
Rassemblement-Résistance-Insoumission-Révolte-Reconquête !
00:36 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Renouveau français prépare la Jeanne d'Arc 2015...
00:14 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 14 avril 2015
A Poitiers, dimanche 7 juin : 1ère Rencontres Charles Martel
A l'initiative du Cercle des Chats bottés, présidé par Jacques Soulis. Avec : Hugues Bouchu (Ligue francilienne), Pierre Cassen (Riposte laïque), Paul-Marie Couteaux (écrivain), Roland Hélie (Synthèse nationale), Carl Lang (Parti de la France), Richard Roudier (Ligue du Midi), Christine Tasin (Résistance républicaine), Pierre Vial (Terre et peuple)...
Retenez cette date !
19:41 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mercredi 22 avril, à Aix-en-Provence : une conférence du Dr Alain de Peretti sur la problématique de l'abattage rituel
19:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 26 avril 2015 : Thomas Joly interviendra lors de la 3e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale
12:04 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Les Africains ne sont pas des Européens pauvres à la peau noire… »
Bernard Lugan
publié sur
Boulevard Voltaire cliquez ici
Vous venez de signer Osons dire la vérité sur l'Afrique cliquez là consacré à l’Afrique noire. Le moins qu’on puisse dire est que le constat que vous en dressez n’est pas des plus brillants. À croire que, pire que la colonisation, il y a désormais la post-colonisation, avec les pillages de richesses, la corruption qui monte, conjointement avec la pauvreté…
En 1962, René Dumont publia L’Afrique noire est mal partie, livre dont le titre était aussi fort que faux car, à l’époque, le monde en perdition n’était pas l’Afrique mais l’Asie, alors ravagée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise, guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises. En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l’Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues sans risquer de se faire attaquer et rançonner… Mais c’était au « temps des colonies », époque devenue « honteuse » et dont il n’est plus permis de parler que d’une manière négative.
Soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant : du nord au sud et de l’est à l’ouest, le continent africain est meurtri. De la Méditerranée aux prolongements sahariens, la dislocation libyenne entretient un foyer majeur de déstabilisation. Dans le cône austral, ce qui fut la puissante Afrique du Sud sombre lentement dans un chaos social duquel émergent encore quelques secteurs ultra-performants, cependant que la criminalité réduit peu à peu à néant la fiction du « vivre ensemble ». De l’Atlantique à l’océan Indien, toute la bande sahélienne est enflammée par un mouvement à la fois fondamentaliste et mafieux dont les ancrages se situent au Mali, dans le nord du Nigeria et en Somalie ; plus au sud, la Centrafrique a explosé, cependant que l’immense République démocratique du Congo n’en finit pas de mourir.
Humainement, le désastre est total avec des dizaines de milliers de boat people qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « Terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont permanentes, les infrastructures de santé ont disparu comme l’a montré la tragédie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, l’insécurité est généralisée et, contrairement à ce qu’affirment médias et « spécialistes », la pauvreté atteint des niveaux sidérants.
Économiquement, et à l’exception d’enclaves dévolues à l’exportation de ressources minières confiées à des sociétés transnationales sans lien avec l’économie locale, l’Afrique n’existe pas, même si certains pays-comptoirs connaissent une réelle prospérité.
Dans l’un de vos récents ouvrages, vous souligniez cette erreur commise par l’Occident consistant à croire que les Africains n’étaient que des Européens pauvres à la peau noire… Vouloir emprunter et imposer une culture étrangère au peuple ne serait-il pas l’une des errances majeures des dirigeants post-coloniaux ?
Selon moi, quatre grandes raisons expliquent ces échecs :
• La priorité donnée à l’économie : dans tous les modèles proposés ou imposés à l’Afrique subsaharienne, l’économique a en effet toujours été mis en avant. Or, les vrais problèmes du continent sont d’abord politiques, institutionnels et sociologiques. Ils découlent largement de la non-prise en compte de la réalité humaine qui est à base ethnique. Certes, l’ethnie n’explique pas tout, mais rien ne s’explique sans l’ethnie.
• Le refus d’admettre la différence : les Africains n’étant pas des Européens pauvres à la peau noire, c’est parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou de l’Asie, que les modèles transposés n’y ont pas réussi. Et si la greffe européenne n’a pas pris sur le porte-greffe africain, c’est parce que, comme le dit le proverbe congolais, « l’arbre qui pousse sur le bord du marigot ne deviendra pas crocodile… » Et cet échec s’explique parce que tous nos modèles sont à la fois universalistes et individualistes, alors que le corps social africain est communautaire et enraciné.
• Le diktat démocratique imposé à l’Afrique durant la décennie 1990. Il fut postulé que, si le développement avait échoué, c’était par déficit de démocratie. Voilà pourquoi l’Afrique a subi, et subit encore, un véritable « diktat démocratique » avec pour résultat que le pouvoir revient automatiquement aux ethnies les plus nombreuses grâce à l’ethno-mathématique électorale.
• La démographie suicidaire : plus rapide que les créations d’infrastructures, elle va provoquer des cataclysmes dont il est difficile d’imaginer l’ampleur.
Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.
Osons dire la vérité sur l'Afrique, Éditions du Rocher, 223 pages, cahier de cartes couleur. 21 euros.
Les lecteurs souhaitant une dédicace peuvent commander directement le livre à l’Afrique Réelle (BP 45- 42360 Panissières) en ajoutant 6 euros de frais de port (colissimo exclusivement). Ne pas oublier de communiquer votre adresse électronique).
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Daniel Conversano à Amiens
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Jean-Marie Le Pen face à la meute
Jacques Martinez Boulevard Voltaire cliquez ici
Les Français sont divisés en deux communautés : celle des « bien-pensants » assiégés par celle de leurs opposants. Mme Marine Le Pen vient de passer des assiégeants aux assiégés, laissant son père du « mauvais » côté du mur…
La présidente du Front national était dans le camp des « mal-pensants » jusqu’au lendemain du poisson d’avril, le 2 avril, jour où Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV-RMC, voulant faire un coup – ce qui n’est un détail pour aucun organe de presse -, est revenu sur des déclarations en 1987 sur RTL (dont Jean-Jacques Bourdin était l’un des journalistes à l’époque), déclarations de celui qui était alors président du FN. Et selon la signification attribuée au mot réitéré – « partie d’un tout » ou « insignifiance », comme l’a si bien analysé Marc Tortarolo (« Et si on apprenait à parler français avant de se pincer le nez ? », Boulevard Voltaire du 8 avril 2015) -, c’est de nouveau la ruée ou plutôt l’hallali pour « enfin tuer la bête immonde » !
La fille ne voulant pas être une victime collatérale de la chasse à courre lancée contre son père s’est faufilée dans la meute, fermement tirée par la main par son plus proche conseiller. Cela en adoptant les arguments de cette meute pour s’y fondre au mieux. Meute emmenée de main de maître par les bien-pensants, tout naturellement de gauche – même ceux qui, opposés aux grandes chasses, ne vénèrent pas saint Hubert – et aux traces desquels colle tout ce qui est centre et quasiment toute la droite.
Le vieux sanglier a-t-il voulu cette sortie ? L’a-t-il préparée ? A-t-il prévu la souille où il s’allongera en attendant la meute ? Ou a-t-il plutôt anticipé un repli vers une bauge au plus profond de la forêt ? Là où plus aucun de ses poursuivants, même pas l’un de ses marcassins, ne pourra le rejoindre ? Sinon, peut-être, un marcassin de la troisième génération qui semble mieux le comprendre et qui, dans quelques années, supplantera le marcassin de la deuxième génération, celui qui vient d’intégrer la meute bien-pensante ?
Le vieux sanglier voit sa compagnie – dénomination d’une famille de sangliers – se disloquer… Est-il encore en âge d’en former une autre ? C’est possible, d’autant qu’à sa hure sont encore accrochées des défenses très acérées, longuement aiguisées au fil de décennies d’un combat politique souvent tumultueux. Et comme ne cessent de le répéter les commentateurs, « son pouvoir de nuisance est intact » car, tout le monde le sait, à droite n’existe qu’un « pouvoir de nuisance », jamais, au grand jamais, de « pouvoir de bienfaisance »… La « bienfaisance » est réservée à ceux de la meute.
Pourtant, si l’ensemble de l’électorat s’est, au fil des années, « droitisé » au détriment surtout de l’extrême gauche mais aussi du PS et de ses alliés dont les écolos, « droitisé » bien évidemment au bénéfice de l’UMP/UDI, n’est-ce pas parce que le FN a tiré et a attiré ces électeurs vers la droite ? Et le vieux sanglier n’y est-il pas pour une part, même petite ? Grâce, entre autres, à son « pouvoir de nuisance » ?
10:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réaction de Renaud Camus après sa condamnation en appel
Un communiqué du
Parti de l'in-nocence :
Le parti de l’In-nocence prend acte avec tristesse et indignation, mais sans surprise, de la condamnation en appel, sur requête du Mrap, de son président Renaud Camus pour le discours qu’il a prononcé le 18 décembre 2010 aux Assises sur l’islamisation, “La nocence, instrument du Grand Remplacement”.
Le parti de l’l’In-nocence, à l’heure de ce communiqué, ne connaît pas encore les attendus de l’arrêt mais il y attache la plus grande importance. De deux choses l’une, en effet :
— ou bien Renaud Camus est condamné pour avoir parlé de la colonisation démographique dont la France et l'Europe font l’objet, de la conquête en cours, du Grand Remplacement et du rôle que joue la délinquance dans la prise de contrôle du territoire par ses nouveaux maîtres ; et, comme c’est exactement ce qu’il a fait, sa condamnation prouve simplement que l’énoncé de ces tragiques vérités est désormais criminalisé, ce qui n’est pas très étonnant.
— ou bien Renaud Camus est condamné, comme la première fois, pour avoir mis en cause l’honnêteté de tous les musulmans, pour les avoir traités de “voyous”, pour avoir dit qu’ils étaient les soldats de la conquête et pour avoir incité à la violence à leur égard, non pas expressément, sans doute, mais au seul motif qu’il ne proposerait rien politiquement, alors que ce communiqué-ci est le mille huit cent dix-huitième du parti qu’il préside, que le programme de ce parti constitue un programme de six cents pages (où non seulement ne se trouve pas, non plus qu’en les communiqués, la moindre incitation à la violence mais où elle est constamment répudiée et condamnée), sans compter qu’il prenait la parole, le 18 décembre 2010, en tant que candidat à la candidature pour la présidence de la République, une initiative éminemment politique ; et, en ce cas-là, si ces motifs-là sont de nouveau retenus, bien qu’ils soient totalement contraires à la plus évidente vérité et qu’ils prêtent arbitrairement à Renaud Camus et à son parti les sentiments, les convictions et les intentions les plus éloignés de ceux qui sont vraiment les leurs, alors cette condamnation montre que plus aucun citoyen n’est à l’abri de l’arbitraire remplaciste des juges.
10:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 13 avril 2015
Jean-Marie Le Pen siffle la fin de la récré...
Un communiqué de Jean-Marie Le Pen :
Je dois d’abord dire que je suis navré de voir que l’espace public de liberté, tant d’opinion que d’expression, ne cesse de se réduire dans notre pays et même dans nos rangs.
Et pourtant, nous avons longtemps professé, à l’instar de Saint-Jean, que « c’est la Vérité qui nous rendra libre » et j’ai toujours dit que je préférais être battu sur mes idées qu’élu sur celles de mes adversaires.
Je n’ai pas changé !
Je ne ferai rien qui puisse compromettre la fragile espérance de survie de la France que représente le Front National avec ses forces et ses faiblesses.
Elu par le Congrès de Tours Président d’Honneur du Front National, après l’avoir fondé et conduit dans une constante adversité pendant une quarantaine d’années, je pensais être une bonne « locomotive » pour conduite la liste aux élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
En effet, j’y avais obtenu plus de 33% des voix et fait élire cinq députés aux dernières élections européennes et avais l’appui de la grande majorité des conseillers régionaux dont je suis le Président de groupe.
Une crise grave a été ouverte au Front National, au prétexte de deux interviews, l’une à RMC-BFMTV et l’autre à l’hebdomadaire Rivarol.
Ceci ne justifiait pas le hourvari qu’on a déclenché dans nos rangs au risque d’affaiblir dangereusement notre mouvement.
Je ne serai pas complice de cette manœuvre.
C’est pourquoi, j’ai décidé de ne pas être candidat aux élections régionales.
Je remercie chaleureusement tous ceux, personnalités, élus, responsables, militants, qui m’ont apporté leur soutien dans cette épreuve, et tout particulièrement mon ami, le député Bruno Gollnisch.
Je leur demande, dans l’intérêt supérieur de la France, de soutenir la candidature de Marion Maréchal-Le Pen, député du Vaucluse.
Tant que Dieu me prêtera vie, je resterai à ma place au poste de combat.
Saint-Cloud, le 13 avril 2015
13:16 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le mag télévisé du Parti de la France de cette semaine
10:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le trotskisme dégénéré débusqué par Patrick Gofman
En vente en ligne cliquez là
ou en version e-book cliquez ici
Jeudi 16 avril, à 20 h, Patrick Gofman est invité par le cercle Dextra de Versailles pour donner une conférence sur "le trotskisme dégénéré" (3, rue de la Pourvoirie - près de la Gare Versailles Rive Droite).
00:20 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 25 avril : colloque de l'Institut ILIADE à Paris
00:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 12 avril 2015
Dans Valeurs actuelles de cette semaine, un entretien Bruno de Cessole / Jean Raspail
Valeurs actuelles cliquez ici
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Carl Lang sur BFM TV (jeudi 9 avril)
22:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Marie Le Pen sur Radio Courtoisie (mercredi 8 avril)
22:47 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |