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samedi, 16 janvier 2016

Le "Journal du chaos" de celle semaine

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vendredi, 15 janvier 2016

L'Espagne sur TV Libertés

Avez-vous lu "José Antonio Présent" ?

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Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Parution : octobre 2013
160 pages, 18,00 €

Depuis le début des années 80, le Cercle franco-hispanique, créé par Olivier Grimaldi (décédé en mars 2014), s’est fixé comme mission d’entretenir des liens étroits et fraternels entre les nationaux et nationalistes français et les différentes composantes du mouvement national espagnol.

De plus, le CFH contribue activement à faire connaître en France la pensée et l’action du fondateur de la Phalange, José Antonio Primo de Rivera, héros et martyre de la cause nationaliste ibérique.

C’est dans cet esprit, qu’en juin 2003, fut organisé à Paris un important colloque à l’occasion du centenaire de la naissance de José Antonio et des 70 ans de la création de la Phalange.

Dix ans plus tard, tant l’actualité de la doctrine phalangiste nous semble toujours aussi criante, il nous a paru intéressant de proposer cette réédition, complétée de plusieurs textes, des actes de ce colloque.

Avec les interventions au colloque sur José Antonio de :
Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, Philippe Conrad, historien, Domingo Hernandez-Gonzalèz, économiste et juriste, Arnaud Guyot-Jeannin, journaliste, Arnaud Imatz, écrivain, Pierre Sidos, fondateur de l’Œuvre française, Jean-Claude Valla, écrivain… Et une contribution inédite signée Alain Sanders, journaliste au quotidien Présent…

En annexe : les 27 points de la Phalange

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11:47 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce vendredi soir, Emmanuel Albach sur Méridien zéro

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Ce soir, Méridien Zéro vous propose de commencer l'année de façon pétaradante puisque nous recevons Emmanuel Albach, qui fut un des premiers volontaires français au Liban lorsque la guerre civile s'y déclencha en 1976. Ce sera l'occasion pour nous de revenir sur le contexte de ce conflit mais aussi d'avoir le point de vue d'un très bon connaisseur de la région sur la situation actuelle.

A la barre PGL et à la technique JLR.

Ecoutez Méridien zéro cliquez ici

Beyrouth 1976 cliquez là

09:26 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand Francis Bergeron rencontrait Jean Mabire : un grand entretien publié par Dualpha et aussi diffusé par Synthèse nationale

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Jean Mabire fut un journaliste et un écrivain, mais aussi un soldat et un militant. En 1995, Francis Bergeron a réalisé une interview fleuve de l’auteur de la fameuse trilogie sur l’histoire des SS français, auteur également de livres cultes pour toute une génération : Commando de chasse, Drieu parmi nous, Les Paras perdus. Le texte de cette rencontre était resté inédit pendant près de 20 ans.

Pourtant cet entretien constitue l’amorce passionnante d’une autobiographie, un retour en arrière, qui éclaire toute l’œuvre de celui que Didier Patte, président du Mouvement normand, et beaucoup de ses amis appelaient affectueusement Mait’Jean ; il nous aide à comprendre ce que celui-ci nous a apporté. C’est le « chantre de tous les braves », comme l’explique l’historien Éric Lefèvre, et coauteur de certains de ses livres : « Il voulait célébrer la grande aventure, les prouesses guerrières, sous n’importe quel drapeau. »

Jean Mabire est aussi le chantre des aventures maritimes. Et, sur les pas de La Varende, un passionné de sa Normandie.

« Nous ne changerons pas le monde, il ne faut pas se faire d’illusion, mais le monde ne nous changera pas. »

Auteur de plus d’une centaine de livres, dont certains eurent un énorme succès de vente, et de milliers d’articles, préfaces et participations à des ouvrages collectifs, Jean Mabire restera enfin comme l’une des figures majeures du politiquement incorrect des années 60 à l’an 2000.

Ses essais et ses ouvrages d’histoire contemporaine sont d’ores et déjà recherchés, collectionnés, réédités, gages de la pérennité d’une vision historique, de l’influence de celui qui fut et restera un conteur et un trans­metteur de premier plan, mais aussi et peut-être d’abord un maître à vivre.

Francis Bergeron a publié une soixantaine de livres dont la série « Clan des Bordesoule » (qui s’adresse à des jeunes lecteurs de 8 à 12 ans), plusieurs biographies d’écrivains et des ouvrages sur la politique et la littérature non-conformiste.

Entretien avec Jean Mabire conteur des guerres et de la mer, Francis Bergeron, Editions Dualpha, 150 pages, 21 € (+ 3 €)

Pour l'acheter en ligne cliquez ici

Le commander par correspondance à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris  24 € franco, chèque à l'ordre de Synthèse nationale

Dans la même collection : Entretien avec Geneviève Dormann cliquez là

00:18 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 14 janvier 2016

Quand les animateurs de télévision sont victimes du racisme anti-blanc :

Source MPI cliquez là

" On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans et ça, il va falloir que ça change ", avait annoncé Delphine Ernotte à son arrivée à la direction de France Télévisions, en septembre 2015.

Julien Lepers, évincé il y a quelques jours de l’émission Questions pour un champion, qu’il présentait depuis 27 ans sur France 3, fait le lien avec les propos de Delphine Ernotte.

Ce jeudi, sur RMC, il a dénoncé la discrimination dont sont victimes « les visages pâles » !

« Ce qu’il se passe, en ce moment, à France Télévisions, est redoutable. »

23:21 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 30 janvier : Emmanuel Albach à la Librairie française

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La Librairie française cliquez ici

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17:45 Publié dans Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charles-Henri d'Elloy est aujourd'hui jeudi l'invité d'Anne Brassié sur Radio Courtoisie

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Jeudi 14 janvier à 10 h 30 (rediffusion vendredi 15 entre 6 et 7 h)

Ecouter Radio Courtoisie cliquez là

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RAPPEL :

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mercredi, 13 janvier 2016

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Des Nations et des Peuples

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Dr Bernard Plouvier

La sémantique a ses exigences, qui ne font pas forcément bon ménage avec les contorsions verbales de politiciens en pleine déconfiture. Très secoué par l’échec de sa politique économique, par la flambée d’un chômage qu’il avait juré de résorber, par l’évidence du refus d’intégration à la société française des immigrés islamiques, africains et proche-orientaux, enfin par un terrorisme que son impuissance ne fait qu’encourager, notre sémillant et toujours agressif premier ministre ose affirmer que l’idée de « nation fait partie du bagage idéologique de la gauche »… il serait plus honnête de parler du miroir aux alouettes de pseudo-socialistes globalo-mondialistes confrontés à un mouvement populiste français en pleine croissance.

Ou bien Manuel Valls se moque ouvertement des Français, ou ce remarquable exemplaire de la gauche friquée ignore la signification du mot Nation. Éclairons donc sa lanterne. Ce terme nous vient de la langue latine où le mot Natio faisait obligatoirement référence à une origine commune des sujets ainsi désignés de façon collective. Par définition, chez nos grands ancêtres (et chez nous jusqu’aux années 1976 sq.), la Nation regroupait des êtres de même origine ethnique.

En 1882, Ernest Renan, remarquable historien des religions, mais piètre philosophe, a donné sa définition d’un « peuple » : « Avoir eu des gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent ; avoir fait de grandes choses ensemble et vouloir en faire encore ». Ce faisant, il définissait de façon rudimentaire ce qu’est une Nation.

Un peuple n’est qu’un ensemble administratif, un agrégat de personnes réunies à l’intérieur des frontières d’un État, jouissant des mêmes droits et soumises aux mêmes exigences légales, mais n’ayant pas forcément des ancêtres communs donc une histoire communautaire. Un peuple comprend des nationaux et des immigrés, ces derniers pouvant, s’ils le souhaitent et si les autochtones le veulent bien, s’intégrer à la Nation par le mariage et la procréation, mais d’abord et avant tout par le respect des usages et des lois du pays.

En 1956, le sociologue d’origine juive Marcel Mauss a présenté la Nation comme : « une société d’êtres unis moralement et culturellement… adhérant consciemment aux lois d’un État centralisé, stable et permanent, [doté de] frontières fixes ». La définition de Mauss est complémentaire et un peu supérieure dans le fond à celle, de tonalité romantique, du Breton, même si – pour des raisons de convenance ou par effet de mode : l’on était dans « l’après 1945 » - l’auteur n’y avait pas inclus la notion, pourtant fondamentale, de race… il est pourtant évident que, depuis la préhistoire et à l’exception des Trois Amériques où le brassage des races fut observé dès l’arrivée concomitante d’Asiatiques et de Sibériens au cours de la dernière glaciation, chaque continent habité a sa race propre et qu’il ne paraît guère utile de modifier cette adéquation.

Les Nations européennes – qui, par définition, appartiennent toutes à la race blanche (stupidement) réputée « caucasienne » - sont globalement réfractaires aux charmes vénéneux du melting pot à l’américaine. On pourrait reprocher aux Européens de n’avoir pas perçu la profonde unicité de la race européenne : ce fut la cause de bien trop de guerres fratricides. Toute l’histoire européenne des années 1840 aux années 1990 s’est faite dans le sens de la création ou du renforcement des États nationaux, selon le schéma : une Nation, un État. La politique mondialiste, indissolublement accouplée à la globalisation de l’économie, combat résolument ce principe fondamental.

Depuis la plus haute Antiquité, les Empires multinationaux ont toujours été instables et se sont toujours effondrés à cause de leur hétérogénéité ethnique… mais c’est un fait historique maudit, pour un élu fréquentant les instances politiques européennes annexées aux cercles de réflexions des vrais maîtres, les potentats de l’économie.

Les États multinationaux ne sont que des coexistences, fragiles et instables, de communautés non miscibles. On ne peut les maintenir en survie artificielle que par la dictature (ce fut le cas de l’URSS) ou grâce à une croissance économique durable (l’exemple des USA vient immédiatement à l’esprit : toute récession durable provoque une guerre extérieure et des émeutes raciales). À quoi bon faire courir le risque d’un éclatement qui génère morts et destructions, alors qu’il est si simple de faire respecter le sage principe du « chacun chez soi », ce qui définit l’État national.

Un État national doit, en priorité, faire respecter ses lois, qui ne doivent être modifiées – pour les plus fondamentales d’entre elles – qu’après avis de la Nation, seul souverain légitime. En aucun cas, des étrangers (en style noble : des allogènes, en style journalistique : des immigrés) ne peuvent exiger un changement de lois à leur avantage, sauf à l’imposer de force – ce qui définit l’état de guerre ou l’invasion violente –, sauf à être entrés en masse au point de constituer une nouvelle majorité de peuplement – c’est la substitution de population dominante.

Si la Constitution – la loi fondamentale de l’État – définit une langue officielle, celle-ci doit être connue et utilisée par les allogènes-immigrés-étrangers. En aucun cas, l’État ne doit diffuser d’écrits administratifs rédigés en une autre langue que l’officielle, ni accepter l’enseignement des humanités ou des matières scientifiques en une langue étrangère.

La naturalisation ne doit être octroyée qu’après une période de surveillance de l’immigré et en raison de services rendus à la communauté nationale. On ne doit pas tolérer l’absurdité de la « double nationalité »… comme s’il était possible de faire preuve de double loyauté. Sous aucun prétexte, les immigrés ne peuvent imposer leurs usages (tel l’immonde abattage clandestin d’animaux au domicile privé). L’ensemble des lois doit s’appliquer à tous et en toute rigueur, celles réprimant crimes et délits aussi bien que celle qui sépare l’État des confessions religieuses. Aucune exception ne peut ni ne doit être tolérée, même pour satisfaire les caprices de richissimes investisseurs étrangers, de généreux sponsors de clubs sportifs ou de partis politiques.

Le laxisme et la gabegie administratives, le mépris de la Constitution par les politiciens ne sont rien d’autre, en définitive, que les reflets du déclin de la Nation, par veulerie et lâcheté des autochtones. En revanche, notre continent, étendu de l’Islande à Vladivostok, permet d’espérer l’aide de Nations de race européenne dans la lutte commune contre les envahisseurs extra-européens.

L’alternative actuelle est simple : sursaut national ou asservissement. Toute l’histoire humaine en témoigne : une Nation lutte ou disparaît.

22:55 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le libéralisme en questions (Patrick Aulnas) par Franck Abed

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Avant même la lecture de l’article de Patrick AULNAS, le titre – Autocritique libérale – (NDLR cliquez ici) avait favorablement attiré mon attention. En effet, il devient rare de nos jours de lire ou d’entendre des personnalités critiquer le courant philosophie, politique, historique voire religieux duquel ils sont issus. Patrick AULNAS a le mérite de soulever des questions de fond, non pas pour tirer à boulets rouges sur qui que ce soit, mais dans le but de proposer une alternative à l’impasse dans laquelle semble se retrouver, selon lui, les libéraux : l’inadéquation entre les principes, la doctrine et le dur mur de la réalité… Je ne suis pas libéral. Cependant en tant que catholique et royaliste, la défense des libertés m’est chère. A ce titre plusieurs historiens sérieux – et Dieu sait qu’ils sont rares aujourd’hui – du siècle dernier, n’hésitaient pas à écrire : « La France d’Ancien Régime était un pays hérissé de libertés. » Contrairement à l’auteur, je ne suis pas du tout persuadé que l’émergence de la démocratie représentative – due selon lui aux libéraux – soit une bonne chose pour la France et ses peuples. Pour le reste les points de divergences restent nombreux et pourtant, cela n’empêche point un échange constructif et intéressant.

Un de mes très chers amis, lui-même libéral et professeur en Sciences Economiques et Sociales, explique souvent – à qui veut l’entendre – que l’Union Européenne ne peut être considérée comme libérale tant dans ses fondamentaux que dans son activité journalière. Patrick AULNAS pense, avec ses arguments que nous pouvons ou pas partager, le contraire, au point d’écrire : « L’Union européenne apparaît ainsi comme le projet libéral par excellence ». Alors l’UE est-elle libérale ou pas ? Vaste question à laquelle je ne répondrai pas maintenant, mais je suis pressé de lire ou d’entendre l’avis de mon ami sur cet entretien passionnant… notamment sur l’adéquation des principes libéraux avec la dure réalité.

Franck ABED

Franck ABED : Bonjour. Pourriez-vous prendre la peine de vous présenter en quelques mots ?

Patrick AULNAS : Né en 1948, je suis juriste de formation. J’ai découvert le libéralisme à l’université dans les années 1960 en lisant Alexis de Tocqueville, dont la pensée m’a vraiment marqué. Je me suis toujours senti plus proche des libéraux que des marxistes ou des socialistes. Cela relève davantage d’affinités intellectuelles que du vécu. Bertrand de Jouvenel (Du pouvoir, Histoire naturelle de sa croissance) fait partie des favoris de mon panthéon. Professionnellement, j’ai principalement fait de l’enseignement, en particulier dans le cursus menant à l’expertise comptable : droit fiscal et normalisation comptable.

Avant même de lire votre article, et ayant pris connaissance de votre titre Autocritique libérale, je pose la question suivante : la première faiblesse des libéraux n’est-elle pas leur incapacité à se regrouper et à travailler ensemble à la réussite d’objectifs communs ?

Non. Les libéraux travaillent ensemble depuis le siècle des Lumières et leur action a permis l’avènement de la démocratie représentative et de l’économie de marché. Au XVIIIe siècle, il s’agissait d’aspirations philosophiques. Aujourd’hui, il s’agit d’une réalité pour des centaines de millions d’hommes. Cette réussite historique n’est pas la fin de l’histoire comme l’écrivait Fukuyama dans les années 1990. Mais elle représente une victoire sur les forces obscures qui ont tenté d’asservir l’humanité, fascisme et communisme en particulier.

Je ne crois donc pas qu’il y ait de faiblesse des libéraux, bien au contraire. Leur force réside aujourd’hui dans la mondialisation qui est un dépassement de l’État-nation dans bien des domaines : scientifique, économique, financier, humanitaire. L’autocritique se justifie d’autant plus lorsque le vent de l’histoire est plutôt favorable au libéralisme.

Vous avez écrit : « Le libéralisme est à la fois très accueillant et très exigeant. Il comporte un large éventail de sensibilités allant du libertarisme au social-libéralisme. » Comment définiriez-vous le libéralisme ? Où commence-t-il ? Où se finit-il ?

Vaste sujet, qu’il est impossible de traiter en quelques mots. Ma réponse sera donc purement subjective. Pour moi, le libéralisme est une pensée qui émerge lentement à partir de la Renaissance, tant dans le domaine politique que dans le domaine économique. Même si des formes de démocratie avaient existé dès l’Antiquité, le concept de liberté individuelle n’existait pas. La reconnaissance de l’individu, de son droit à la différence, bref de sa singularité à l’intérieur du groupe est à la base de la pensée libérale. Jean-Jacques Rousseau, par exemple, est un libéral pour deux raisons : parce qu’il conteste le pouvoir de droit divin dans Du Contrat social, mais aussi parce, qu’il manifeste aux yeux de tous une singularité qu’il revendique dans Les Confessions. Pouvoir démocratique et liberté individuelle, donc.

Ma conception du libéralisme est très large et repose davantage sur les libertés politiques que sur la libre concurrence, le droit de propriété et la liberté d’entreprendre. Le libéralisme transcende ainsi les clivages gauche-droite et j’admets comme libéraux aussi bien les sociaux-libéraux (Valls, Macron) que les libertariens. Ma seule restriction réside dans le dogmatisme militant, la volonté de faire advenir un monde se réclamant d’une doctrine. L’avenir est ouvert, il représente une aventure qu’aucune idéologie, même libérale, ne saurait fixer sous peine de porter atteinte, précisément, à la liberté elle-même.

Je vous cite toujours : « Il n’est pas du tout évident par exemple que le libéralisme anglo-saxon puisse s’acclimater en France, pays de l’absolutisme et du jacobinisme. » Ce que vous écrivez me semble logique. Ontologiquement l’Angleterre est plutôt un pays politiquement de gauche, et la France – malgré 200 ans de jacobinisme et de républicanisme – reste un pays fondamentalement de droite. De même, traditionnellement les Anglais sont religieusement protestants voire anglicans, alors que les Français sont majoritairement – encore à ce jour et malgré la percée de l’islamisme – catholiques romains. Dans ces conditions, vouloir importer en France une doctrine politique reposant sur des concepts religieux et philosophiques étrangers à notre corps social ne revient-il pas à vouloir vider l’océan avec une cuillère ?

J’admets volontiers l’idée générale développée par Max Weber selon laquelle le protestantisme est en harmonie avec l’esprit du capitalisme. La rigueur calviniste ou luthérienne, une éthique fondée sur le travail et l’épargne constituent la base de toute bonne gestion. Ayant une formation juridique et de gestion, j’attache une grande importance à la bonne gestion publique et je me sens, par exemple, parfaitement en accord avec la politique menée en Allemagne par Angela Merkel : supprimer le déficit du budget de l’État afin de parvenir à réduire progressivement la dette publique.

Hélas, l’inculture française dans ce domaine est désormais proverbiale. Vivant à l’étranger, mais en Europe, je sais que nos petites promesses d’amélioration font sourire. L’histoire a façonné la France différemment : la noblesse de sang a été remplacée par une noblesse d’État, le catholicisme n’a pas prôné les austères vertus nécessaires dans ce domaine. Toute tentative de bonne gestion est aussitôt assimilée à une plongée dans « les eaux glacées du calcul égoïste » (Karl Marx). Fort heureusement, le libéralisme s’est malgré tout imposé à la France car il représente la réalité la plus puissante aujourd’hui sur la planète. Je ne crois pas qu’il s’agisse d’importer une doctrine d’origine anglo-saxonne, ce qui, effectivement serait voué à l’échec. Mais il faut s’adapter à la réalité du monde du XXIe siècle, celui des sciences et techniques globalisées à l’échelle planétaire. Une approche rationnelle s’impose d’elle même.

Nous sommes en concurrence et toutes les incantations des intellectuels relayées par les politiciens n’ont plus aucun poids. Faire campagne sur le concept idiot de démondialisation peut apporter quelques voix mais seule l’adaptation aux marchés internationaux globalisés permet de progresser. Certains objecteraient que c’est le capitalisme qui domine le monde et non le libéralisme. Vrai question effectivement, mais pour moi, le capitalisme régulé juridiquement (pas de monopole ou d’abus de position dominante) constitue la déclinaison économique du libéralisme.

Je vous cite encore. « Socialistes et libéraux se retrouvent ainsi sur un point : l’écart considérable entre les paroles et les actes, entre les promesses de la conquête du pouvoir et la réalité de l’exercice du pouvoir. » Stéphan ZWEIG dans son livre consacré à Joseph FOUCHE écrivait : « les militants communistes, une fois au pouvoir, ne se comportent jamais comme des ministres communistes. » Cette phrase s’applique aisément aux libéraux. Comment l’expliquez-vous ? Est-ce que cela ne repose pas sur le fait que le libéralisme, à l’instar du communisme, est tout simplement inapplicable car trop utopiste ?

Je ne connaissais pas cette phrase de Stephan Zweig, auteur que j’apprécie. Mais il reprend une phrase plus ancienne de Mirabeau : « Un ministre jacobin n’est pas un jacobin ministre ». Cela n’a rien à voir avec une doctrine particulière. Cela a tout à voir avec les doctrines en général. L’exercice du pouvoir politique, c’est 90% de gestion et 10% de doctrine. Il faut choisir les solutions les mieux adaptées à la réalité présente en tenant compte de multiples contraintes sociologiques, économiques, financières. Il s’agit de trouver les compromis assurant le vivre ensemble et minimisant les conflits.

Les doctrines, quelles qu’elles soient, proposent de construire un monde idéal. Les intellectuels qui les élaborent ne gouvernent pas. Mais les politiciens utilisent les doctrines et idéologies comme instruments de conquête du pouvoir. Quoi de plus robuste que de se réclamer de grands penseurs pour asseoir des promesses en général irréalisables mais porteuses électoralement ! Le libéralisme doctrinal n’échappe pas à la règle. Lisez Contrepoints et vous verrez de nombreux articles, certes intéressants, mais coupés de toute réalité car prônant un libéralisme doctrinal parfois extrême comme celui des libertariens. Il n’y aura jamais de société libertarienne, c’est pour moi une évidence.

Vous poursuivez votre réflexion en écrivant : « Le général de Gaulle prétendait « qu’il n’existe pas de politique en dehors des réalités ». Et, de fait, il ne se réclamait politiquement d’aucune pensée. » Certes, un chef d’Etat doit prendre en compte la réalité. En revanche n’est-ce pas un problème quand celui-ci ne s’appuie sur aucune pensée, aucun système ?

Ma phrase était un peu… rapide et très approximative. De Gaulle était un nationaliste modéré qui croyait par-dessus tout à la nation française. Ce qui le guidait était l’intérêt de la France, d’où sa politique internationale. Il sort de l’OTAN pour ne pas dépendre des américains, il pratique la politique de la chaise vide en Europe pour bloquer le processus décisionnel nécessitant l’unanimité. Son action reposait donc sur une pensée mais pas sur une théorie. Le pragmatisme de l’homme d’action lui suffisait, ainsi que le regard sur le monde des grands auteurs puisqu’il était un admirateur de Chateaubriand.

Bien sûr, il faut une pensée pour gouverner mais pas un système. Le système est même dangereux car il rigidifie. Les libéraux appellent d’ailleurs constructivisme l’ambition assez dérisoire, mais toujours présente à gauche, de vouloir bâtir « une autre société ». Pensons donc pragmatiquement et écartons doctrines et idéologies.

Par ailleurs, l’échec cuisant de la politique gaulliste sur la décolonisation n’est-elle pas la meilleure contre publicité à l’idée qu’il avait développée sur la non appartenance à une pensée politique et sur son, justement parlons-en, incapacité à prendre en compte le réel ?

Je ne comprends pas ce que vous appelez « échec cuisant de la politique gaulliste sur la décolonisation ». De Gaulle a fait au mieux. Les gouvernants de la IVe République se sont montrés incapables d’assurer la décolonisation. De Gaulle a conduit ce processus pacifiquement en Afrique sub-saharienne et a mis fin à la guerre d’Algérie. Les violences en France étaient le fait de nostalgiques d’un monde révolu, regroupés dans l’OAS.

Pour conclure vous écrivez : « Leur projet (aux libéraux) n’est pas de détruire l’État mais de le cantonner à ce qui est juste et nécessaire. » A ce sujet, le rôle juste et nécessaire de l’Etat – entre autres – n’est-il pas de battre monnaie (fonctionne régalienne par excellence) ? Dans ses conditions, les libéraux ne devraient-ils pas tous prendre position contre l’Euro et la Banque Centrale Européenne ?

N’étant pas libertarien, je pense en effet que l’État est nécessaire, même dans le domaine économique et social. Je ne pense pas qu’aujourd’hui, l’État puisse être cantonné à ses fonctions régaliennes. Par exemple, la concurrence pure et parfaite est une chimère d’économiste. La concurrence n’existe que si des règles la canalisent. Sinon, on doit parler de loi de la jungle.

L’Europe se bâtit conformément aux grands principes du libéralisme tant politiquement qu’économiquement. C’est une évidence. Pour faire partie de l’Union Européenne, il faut respecter les libertés publiques fondamentales. La Hongrie et la Pologne ont été rappelées à l’ordre récemment sur ce point. Quant au grand marché européen, il se construit selon le principe de la libre concurrence et bien souvent contre les monopoles étatiques (électricité, téléphone par exemple).

L’euro représente un pas supplémentaire dans la constitution d’un ensemble supranational. Les libéraux doivent logiquement approuver cette monnaie unique puisqu’elle retire aux États la fonction de création monétaire qui relève désormais des attributions de la Banque centrale européenne. La répartition du pouvoir entre plusieurs entités est un principe fondamental du libéralisme. Il manque bien sûr un pouvoir économique européen, indispensable en cas de monnaie unique. Mais les États refusent de céder sur ce point.

Il est évidemment impossible de se dire libéral tout en voulant concentrer le maximum de pouvoirs entre les mains de l’État-nation. L’Union européenne apparaît ainsi comme le projet libéral par excellence puisqu’elle consiste à transférer certains pouvoirs de l’État à une entité sui generis, construite pacifiquement et totalement nouvelle dans l’histoire de l’humanité. La construction européenne est le grand projet libéral et démocratique des temps présents.

Propos recueillis par Franck ABED le 9 janvier 2016

Le site de Franck Abed cliquez ici

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Après l'agression d'un jeune juif à Marseille, la réaction du Parti de la France :

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Communiqué d'Olivier Bianciotto,

Délégué du Parti de la France pour les Bouches-du-Rhône

Suite à l’agression d’un juif par un Kurde à Marseille, le Parti de la France tient à rappeler que tous les jours des Marseillais sans kippa sont victimes d'agressions verbales et physiques dans l'indifférence générale. Poignardés pour une cigarette refusée, un mauvais regard ou pour ne simplement pas être du bon « quartier ». Sans parler des femmes insultées ou agressées pour ne pas avoir répondu à un élégant « wesh cousine t'es bonne »…

Le Parti de la France considère que l’indignation ne doit pas être sélective face à la délinquance et la criminalité qui gangrènent la Cité phocéenne.

11:39 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Préhistoire de notre temps

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Dr Bernard Plouvier

Durant les années 1960, de puissants hommes d’affaires et d’influence d’Europe occidentale avaient été mixés à leurs grands frères des USA au sein du Groupe Bilderberg, pour influencer la politique des États faibles (ceux d’Europe occidentale et scandinave). En 1973, la crème du Bilderberg fut assaisonnée de quelques magnats japonais et devint la Commission Trilatérale (à ne pas confondre avec la création, dans ces mêmes années 1960, de quelques chefs d’États du Tiers Monde : la Tricontinentale, dominée par des marxistes lassés de la tutelle des gérontes du Kremlin… c’est lors d’une réunion de cet organisme, en 1966, que Fidel Castro et quelques marxistes programmèrent à leur façon brouillonne le mouvement des années 1967-70, dont chacun sait qu’il culmina en 68).

Dans les séminaires fort discrets de la Trilatérale (en France : le Club Le Siècle), l’on enseigna aux Européens et aux Japonais que la protection sociale est un boulet économique et que, privatisée sur le mode US, elle serait plus efficace (sans ajouter à qui profiterait cette efficacité). Idem que seul le libre-échange est bon, que le capitalisme familial et strictement national est dépassé, que l’épargne des individus est très mauvaise, étant pernicieuse au Big Business. En 1999, lors du raout annuel de la Trilatérale, tenu à Davos et largement médiatisé une fois n’est pas coutume, l’on a lancé le slogan : « Mondialisation responsable », pour se concilier les gogos et même quelques écologistes bourgeois, et l’on a créé l’officine d’endoctrinement des clowns des media : le WEF (World Economic Forum).

L’économie devint globale et la vie politique, sociale et sous-culturelle fut mondialisée, par l’effet d’un impératif économique… c’était sans compter avec la perversité de milliardaires islamo-pétroliers sunnites qui voulaient ressusciter le califat, estimant venue l’heure d’une nouvelle vague de conquêtes pour l’islam. Ces émirs, sultans et roitelets richissimes et fanatiques commencèrent par investir massivement dans l’immobilier et le luxe, puis ils comprirent qu’ils pouvaient investir dans les milieux (dans toutes les acceptions de ce terme) politiques, médiatiques et sportifs européens.

À ce petit jeu, ils furent concurrencés par d’austères croyants, plus fanatiques et moins corrompus qu’eux. Ils tentèrent de les amadouer en finançant leurs achats d’armes et leur propagande, mais les exaltés prirent l’argent et poursuivirent leur délire politico-religieux, jusqu’au terrorisme global (visant aussi bien des musulmans que des infidèles), osant même coiffer les Saoudiens au poteau dans la résurrection du califat.

Et nous en sommes là : une Europe occidentale, scandinave et danubienne envahie d’immigrés islamiques, venus d’Afrique noire et maghrébine, du Proche-Orient (Irak, Syrie) et du Moyen-Orient (Afghanistan et Pakistan). La façon dont ces envahisseurs ont « payé » leur voyage est à elle seule riche d’enseignements : les voyageurs mâles ont été pour la grande majorité d’entre eux sponsorisés par des évergètes islamo-pétroliers.

Que ces immigrants se comportent de façon arrogante, violente et prédatrice n’a rien pour surprendre (sauf le gogo à qui l’on a fait croire qu’ils venaient « pour travailler » ou pour fuir une quelconque tyrannie politique). On a envoyé de jeunes combattants, dépourvus de la moindre qualification technique, mais fanatisés, à qui l’on a promis gloire et richesse (en plus du paradis d’Allah), à l’unique condition de conquérir une partie riche du Dâr al-Harb… ce domaine de la guerre, où les infidèles doivent être traités de façon impitoyable.

On veut bien admettre que nos politiciens débiles, surtout préoccupés d’amasser des biens grâce aux sinécures dorées de la République et aux dons généreux des islamo-pétroliers, n’aient rien vu venir… encore que l’efflorescence parallèle de mosquées et de cités de non-droit sur le sol national, la flambée de viols, les émeutes raciales auraient pu leur faire ouvrir un œil dès les années 1980, avant que la vague d’attentats, qui a débuté en 2014 dans notre pays, prouve à l’évidence que la programmation de la fin de l’Europe des Nations autochtones est l’un des buts de cette immigration-invasion, en plus du triomphe d’Allah, réputé tout-puissant, mais plus du tout miséricordieux.

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mardi, 12 janvier 2016

Silence, on viole

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Après les agressions subies par des femmes allemandes à Cologne et dans d’autres villes, dont Hambourg, à l’occasion des fêtes de fin d’année, 516 plaintes ont été déposées, pour la seule ville de Cologne, selon la police. Devant l’ampleur des faits, que les autorités avaient dans un premier temps minimisée (parce que les agresseurs étant des migrants, il ne fallait surtout pas mettre en cause l’accueil qui leur a été stupidement fait), ces mêmes autorités ont dû prendre en compte l’indignation qui monte chez les Allemands : Merkel a condamné du bout des lèvres les agressions, pour éviter de se couper de son électorat.

Même hypocrisie en Suède, où la police a fini par reconnaître qu’elle avait caché les agressions sexuelles commises par des immigrés.

En France, silence assourdissant des féministes, des ligues de vertu, des professeurs de morale et des apôtres du vivre ensemble. Quand la réalité est en contradiction avec leurs discours, ils sont aveugles et sourds. Il ne faut surtout pas admettre que pour les violeurs les femmes ne sont que du bétail. Et puis violer une femme blanche n’est-ce pas faire preuve d’un haut degré de conscience anticolonialiste ? N’est-ce pas humilier ces peuples européens que l’on hait (à juste titre, bien sûr, car ils le méritent bien) ?

Une question : en Allemagne les pères, compagnons, fils, frères des femmes agressées sont restés les bras croisés ? Un conseil à ceux qui voudraient imiter les salopards de Cologne : allez donc essayer en Corse… pour voir.

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Forces du désordre et faibles de notre déclin

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Dr Bernard Plouvier

En ce beau mois de janvier 2016, les media gouvernementaux (pourtant ô combien aseptisés & formatés) commencent à reconnaître ce qu’affirment depuis les années 1980 d’ignobles « fascistes » (prononcer « fachistes », ça fait plus crédible), à savoir que l’énorme majorité des viols commis en Europe occidentale sont perpétrés par d’honorables immigrés (ou rejetons d’iceux), qui procèdent par bandes (ce qui procure aux victimes – toujours des « petits culs blancs » - le plaisir douteux des « viols en tournante »), honorables immigrés qui pimentent leurs prestations de fins commentaires racistes et parfois de douceurs accessoires (vol, brûlures à la cigarette incandescente, morsures, coups de couteaux).

Tout cela était étalé dès le milieu des années1980 dans une foule de livres et de brochures, non vantés par les critiques littéraires ou sociologiques ni diffusés par les grandes messageries. On restait fidèle, dans la propagande officielle, au mythe rousseauiste du « bon immigré », un peu taquin, avatar du « bon sauvage » des grotesques publications du XVIIIe siècle. Seuls les candidats des mouvements populistes (toujours battus aux élections, grâce à l’effet de diabolisation utilisé par leurs adversaires) reprenaient cette accusation… c’étaient des « fachistes », des « nazillons », en un mot des « racistes » (et pour ressembler à certains utilisateurs de l’invective, veuillez la prononcer « lowacistes » : respectons le rhotacisme d’une partie de nos « hôtes »).

Or nous apprenons, à la jonction du grand cru 2015 de l’ignominie musulmane et d’un début très prometteur de cru classé dans l’immondice immigrée, que tout cela était vrai, bien réel, mais tenu caché par les directions de polices, tenues en bride par leurs maîtres gouvernementaux. En Finlande et en Suède, en Allemagne comme en Belgique, des policiers avouent sans vergogne avoir « menti sur ordre »… seuls les Norvégiens avaient abandonné depuis plus de 10 années ce comportement maffieux d’omerta, cette loi du silence pour éviter les pamoisons d’une opinion publique paniquée à l’idée que la police et la Nation d’accueil pussent être taxées de « racisme ». Au fait, ce silence sépulcral demeure un exercice obligé en France hollando-vallso-cazeneuvienne.

Face à ces « forces de l’ordre » qui étaient autant de faiblards et d’hypocrites, les délicieux fruits pourris de l’immigration continuaient en quasi-impunité à saccager et incendier, voler et violer, « suriner », voire – invention brevetée califat nouveau – décapiter au couteau à céramique. De temps en temps les merveilleuses crapules et canailles immigrées s’offraient une fiesta : caillassage de policiers et de pompiers, attaque de commissariats à la « Kala » voire au mortier, enfin le grandiose spectacle d’une émeute raciale, strictement corrélée en France à la « montée en puissance de l’islam », comme le signalaient dès 1990 de doctes universitaires, pourtant estampillés « de gauche ». Les faibles de notre déclin, ces merveilleux policiers de toutes variétés, faisaient semblant de « réprimer » ; en réalité, ils attendaient que le mouvement s’arrête faute de munitions ou par la fatigue des honorables insurgés.

En revanche, nos glorieux policiers de tous types redevenaient gaillards, voire brutaux, quand il s’agissait de cogner sur les autochtones qui protestaient contre la crapulerie des assassins et violeurs immigrés ! De faibles de notre déclin, ils redevenaient forces de l’ordre établi, celui de la mondialo-globalisation qui exige le brassage des races (pour amoindrir la résistance de l’élite de ces Blancs, jugée trop psychorigide) et une hyperconsommation des peuples - qu’elle soit justifiée par les gains issus d’un honnête labeur, par de l’argent volé ou obtenu par divers trafics, ou plus simplement de façon parasitaire, par les multiples subventions et allocations allouées par l’État aux immigrés… même clandestins !

C’est le scénario réalisé, ces jours-ci, en Allemagne de mémé Merkel ! Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, les policiers de Cologne, Hambourg et Stuttgart n’osent cogner sur les hordes d’immigrés maghrébins, proche- et moyen-orientaux qui agressent, en moyenne à 10 « mâles » contre une femme blanche, des passantes allemandes pour procéder à des attouchements sexuels, des coups et des blessures vulnérantes, des viols et – bien sûr – des vols. En revanche, avec quelle hargne, quelle violence, quelle virilité ces nobles pandores attaquent-ils des Allemands de souche européenne, désarmés, venus clamer le samedi suivant leur indignation. Ah mémé, te revoilà au bon temps de la RDA, où les Schupos cognaient sur leurs concitoyens qui réclamaient un peu de liberté !

Partout en Europe occidentale, depuis le début de l’ère globalo-mondialiste, le scénario est le même. Le racisme est toujours reproché aux vilains Blancs, alors qu’à l’évidence, pour tout observateur ni sourd ni aveugle, le véritable racisme est celui des individus inutilement importés qui crachent leur haine du Blanc. On ferme les yeux sur les crimes et les délits mille fois répétés des « requins vicieux » de l’immigration : l’expression a été inventée par des immigrés musulmans honteux du débordement de haine et de malfaisance de rejetons de leur bord qu’ils n’avaient pas su éduquer, civiliser, policer… alors même que le minimum, pour ces délicieux immigrés et rejetons, eût été de manifester une politesse et une reconnaissance de bon aloi puisqu’on leur offrait les conditions d’une vie hautement civilisée au lieu de celles des infâmes et insalubres cités miséreuses d’Afrique ou du Moyen-Orient.  

Lâcheté de pseudo-mâles immigrés qui osent s’attaquer en bande à une seule femme ; laxisme scandaleux de policiers, payés avec les impôts que l’on nous soutire, quand il s’agit de protéger des autochtones et de réprimer les crimes et délits des fruits pourris d’une immigration inutile à notre Bien commun ; brutalité immonde de ces mêmes policiers quand ils sont chargés, par des politiciens vendus aux maîtres de l’économie de marché, de réprimer les manifestations d’une colère légitime des autochtones floués, attaqués, souillés.

La mesure et comble. Ou les Européens se révoltent contre leurs tyrans abjects, nuls et trop souvent corrompus, ou ils sont mûrs pour la conversion à l’islam médiéval, l’esclavage et la mort. Le choix est clair. Les Européens sont-ils dignes de leurs ancêtres ou ne sont-ils plus que des veaux et des capons destinés à la boucherie ?

10:46 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avez-vous commandé le numéro 5 Hors Série de Synthèse nationale consacré à la 1ère rencontre Charles Martel qui s'est déroulée à Poitiers le 7 juin dernier ?

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A commander en adressant un chèque de 18€ (port inclus)

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10:46 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roger Holeindre devient Président d'Honneur du Parti de la France et Martine Lehideux vice-Présidente

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Un communiqué du Parti de la France :

Le bureau politique du Parti de la France réuni le samedi 9 janvier a procédé à l'élection d'une vice-présidente et d'un président d'honneur.

Martine Lehideux, conseillère régionale honoraire, ancienne député au Parlement européen et présidente du Cercle National des Femmes d'Europe a été élue vice-présidente du Parti de la France.

Roger Holeindre, ancien député, président du Cercle National des Combattants (CNC), journaliste et écrivain a été élu président d'honneur du Parti de la France.

Carl Lang et les membres du bureau politique sont heureux et fiers de pouvoir ainsi honorer ces deux personnalités de la droite nationale française qui ont consacré leur vie au combat national. Ils pourront ainsi servir d'exemple et faire partager leur expérience politique et militaire aux jeunes adhérents du PdF et de la droite nationale.

NDLR : intervention de Roger Holeindre lors de la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier cliquez ici

10:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 11 janvier 2016

Le Journal de TV Libertés de ce lundi soir

22:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réédition par Chiré du livre du Colonel Chateaujobert, "La confrontation Révolution Contrerévolution"

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2015, Éditions de Chiré, 365 pages.

Tout le monde peut constater que la situation morale se dégrade de plus en plus, dans le monde en général. La pornographie, la violence, la recrudescence des crimes basés sur l’exercice de la terreur en sont les exemples les plus évidents. Les coups de frein officiels donnés de temps en temps ne s’attaquent nullement aux causes du mal, ils ne remontent jamais la pente de la dégringolade actuelle. En même temps un travail de sape s’acharne sur les fondements de la famille, cellule de base d’une société d’essence chrétienne. L’enseignement public prépare une jeunesse qui refuse toute contrainte civique. Le pays semble mûr pour tomber sous l’esclavage marxiste.

Nous refusons la loi de la Révolution. Nous rejetons le libéralisme autant que le marxisme, le premier étant directement responsable de ce qui nous attend. Mais notre prise de position n’est pas sectaire : nous savons le respect dû à toutes mesures prises par un gouvernement quand elles ne sont pas contraires à la morale. Le gouvernement prépare, dit-il, la défense du territoire ; nous la prévoyons aussi, mais également la résistance possible contre toutes les agressions révolutionnaires et contre la Terreur déclarée « nécessaire » par les marxistes.

Cet ouvrage s’appuie sur le respect le plus scrupuleux des vrais droits et devoirs des hommes, et il a le plus grand souci de la dignité de la personne humaine, même quand il s’agit d’ « ennemis » ?; idée que l’on aurait bien du mal à trouver chez les marxistes.

Oui, c’est un livre qui ose parler d’employer des armes, mais quand il s’agit de se défendre, et dans le seul cas où il n’y a plus d’autre moyen pour empêcher certains d’assassiner les autres.

C’est un livre basé sur la charité : il faut sauver les hommes et défendre les valeurs chrétiennes de notre civilisation car, hors d’elles, parler de justice et de liberté n’est que du bluff.

25€, à commander à DPF BP 70001 86190 Chiré en Montreuil 
En vente à Duquesne diffusion, 27, avenue Duquesne 75007 Paris

19:43 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Républicains : les feuilles mortes se ramassent à l’appel

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Dominique Jamet Boulevard Voltaire cliquez ici

Toutes ces fidélités qui frissonnent comme des feuilles quand souffle le vent d’hiver… C’est tremblant. C’est troublant. Tombera ? Tombera pas ? Et de quel côté ? Comme dans un drame shakespearien, chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de désertions, de rébellions, de petites et de grandes, de basses et de hautes trahisons au souverain reclus dans son donjon de la rue de Vaugirard.

Les premiers à lever puis à brandir l’étendard de la révolte auront été, bien entendu, ceux qui avaient si longtemps siégé en son Conseil sans jamais se mettre en travers de ses volontés, de ses foucades, de ses errements : celui-ci pendant cinq ans son principal ministre, celui-là préposé aux Affaires étrangères, cet autre à l’Agriculture, cette autre à l’Écologie et à l’Environnement. L’un après l’autre, ils ont quitté la cour, emmenant avec eux leurs propres vassaux, leur clientèle et leur trésor de guerre avant de se poser ouvertement en rivaux et en prétendants avoués au trône en déshérence.

Puis ce fut au tour des grands feudataires de toiser avec insolence celui qui les avait faits ducs et qu’ils avaient fait roi. Déjà, pendant la dernière campagne, ils l’avaient poliment prié, avec la dernière inélégance, de ne surtout pas venir les assurer de son soutien. Élus, et pour deux d’entre eux avec les voix de la gauche, non seulement ils lui reprochent une stratégie erronée, mais ils ont officiellement pris leurs distances.

C’est Christian Estrosi, naguère le fidèle des fidèles, qui confirme hier qu’il ne sera pas candidat à la primaire, mais qu’il n’y restera pas inactif et qu’il se prononcera le moment venu. C’est l’ambitieux, insolent et brillant Christophe Béchu, sénateur-maire d’Angers et désormais homme fort des Pays de Loire, qui rallie Alain Juppé. C’est le jeune, l’ambitieux, insolent et brillant Gérald Darmanin, il y a un an encore porte-parole de Nicolas Sarkozy lors de sa campagne pour la direction de l’UMP, qui se consacre désormais, comme son chef de file Xavier Bertrand, à sa belle région, et qui ne se dit pas en conflit mais en désaccord avec l’actuel président des Républicains.

Il y a ceux que Sarkozy a éloignés et ceux, bien plus nombreux, qui se sont éloignés de lui. Il y a ceux qui, lui devant tout, ne lui rendent rien et ceux, beaucoup plus rares, qui ne lui devant rien, se donnent tout. Il y a ceux qui le lundi répondent présent à l’appel des dirigeants « Républicains » mais que l’on retrouve le mardi à l’inauguration de la permanence d’Alain Juppé et le mercredi à l’inauguration de la permanence de François Fillon. Il y a ceux – c’est actuellement le gros de la troupe – qui attendent de voir de quel côté le vent tournera pour savoir de quel côté ils pencheront.

À qui la faute ? S’il avait mieux réussi son retour, ils seraient tous, comme il y a neuf ans, derrière lui. S’ils étaient tous derrière lui, comme il y a neuf ans, n’aurait-il pas mieux réussi son retour ? S’il était plus crédible, il ferait encore l’unanimité, s’il faisait encore l’unanimité, il serait plus crédible. Est-il devenu si mauvais ? Sont-ils exceptionnellement ingrats ? Ce qui marchait hier ne marche plus, les tours du magicien ratent les uns après les autres. Le vide se fait peu à peu autour de lui et il entend les derniers compagnons, les derniers hommes liges murmurer dans son dos. L’hiver est bientôt là.

18:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Angela la douce versus Joseph le maudit !

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Dr Bernard Plouvier

Il est des jours où l’écrivain d’histoire s’amuse un peu. Le samedi 9 janvier 2016, la police de Cologne – qui n’avait rien fait durant la nuit de la Saint-Sylvestre pour protéger des Blanches des privautés et autres violences d’honorables réfugiés maghrébins & moyen-orientaux – a sévi au canon à eau, au gaz lacrymogène et à la bonne vieille matraque (Ah, ces Allemands et leur Schlag [rossée] ! Un vieux réflexe, une vieille habitude ne se perdent jamais) contre deux milliers d’Allemands de souche venus dénoncer le laxisme gouvernemental et policier, face à une immigration non seulement massive (1,1 million de « réfugiés » en 12 mois), mais aussi crapuleuse.

Curieusement, ces patriotes allemands croyaient habiter un pays « démocratique ». Or, ce pays est dirigé par mémé Merkel, cette Angela qui fait la douce et la mijaurée face aux musulmans et sévit contre ses autochtones. Cela est-il étonnant ? Scientifique de haut niveau – ce qui sous-entend une indéniable rigueur d’esprit -, Angela vécut en RDA de l’année 1954 où elle vint au monde à 1989, soit jusqu’à l’écroulement d’un régime demeuré stalinien jusqu’à son dernier jour.

Pourtant, que mémé Angela (peut-être furieuse de n’avoir pas été nobélisée) réagisse comme au bon vieux temps des Wilhelm Pieck, Walter Ulbricht et autre Marcus Wolff, stupéfie l’observateur qui se souvient que cette Chancelière fit un sans-faute de 2005 à 2014, avant de disjoncter en 2015… et le médecin de se poser la question d’éventuels troubles d’ordre psychiatrique ou d’une possible tumeur cérébrale pour expliquer la genèse d’un tel revirement.

De par sa formation communiste, mémé ignore peut-être les fondements de la démocratie : Justice égale pour tous ; méritocratie dans l’attribution des postes publics (ce qui exclut toute discrimination, fût-elle « positive ») ; absolue liberté d’expression (sauf à réprimer calomnies et pornographie) ; recours à l’avis de la Nation pour toutes les grands choix de société (comme la peine de mort ou l’immigration de masse).

Il est amusant de comparer le comportement actuel de la douce et tendre Angela avec celui des hideux, maudits (etc.) Hermann Goering et Joseph Goebbels, dans une situation analogue : une manifestation de personnes contestant une décision officielle. En février 1943, à la suite d’un attentat perpétré à Berlin par des opposants (dont les deux tiers étaient juifs), Goebbels, dans sa fonction de Gauleiter, ordonne de rafler 11 000 Juifs pour les déporter vers le Gouvernement Général de Pologne… dont 1 700 Juifs époux de non-Juives, donc protégés ipso facto de la déportation.

200 de ces dames allemandes commencent à manifester le 23 février et maintiennent leur mouvement jusqu’à ce que Goebbels – après avoir consulté Goering, chargé de la « question juive » - fasse relâcher les 1 700 Juifs le 6 mars (non sans grogner dans son Journal, cf. l’entrée du 2 mars). Durant ces manifestations, les policiers nazis ont ordonné à ces Allemandes « de circuler », sous peine « de poursuites » (alors qu’aucune identité n’était relevée)… il n’y eut ni méchanceté de l’ignoble Gestapo, ni arrestation, ni coups de matraque, ni etc.

Évidemment, c’était au temps du méchant-vilain-pas beau Joseph Goebbels. À la belle époque de la douce et tendre Angela Merkel, il en va autrement.

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La nouvelle livraison de la NRH

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07:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Au Kosovo, il y a dix ans ? NON, en Seine-et-Marne cette fin de semaine !

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On l'a appris hier soir. La Croix de Guise, érigée en 1563, située entre les deux églises, celle de Fontainebleau et celle de Veneux-les-Sablons, incendiées cette fin de semaine a été vandalisée. 

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A Tahiti comme à Cologne, le "vivre ensemble" ne fait pas l'unanimité...

07:02 Publié dans Contre le "vivre ensemble", la France bouge | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 10 janvier 2016

Quand les pleurnicheries ne font plus recette...

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La fin de la supercherie ?

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COEURS REBELLES AU LIBAN

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Georges Feltin-Tracol

Europe Maxima cliquez ici

Quand parut en avril – mai 2014 le premier numéro des Cahiers d’histoire du nationalisme sur Léon Degrelle et le rexisme, les quatre numéros suivants étaient déjà annoncés. Le troisième, sous la direction de Francis Bergeron, concernait les volontaires français partis pour le Liban en 1976. Mais il ne sortit jamais, remplacé par « Jacques Doriot et le PPF ». Roland Hélie avait entre-temps reçu le manuscrit d’Emmanuel Albach qui, avec son camarade Philippe, furent les premiers Français à rejoindre les Kataëb de la famille Gemayel.

En français, Kataëb se traduit par « Phalanges libanaises ». Fondées en 1936 par Pierre Gemayel sur une ligne nationaliste conservatrice après avoir assisté aux Jeux Olympiques à Berlin, les Phalanges réclament l’indépendance d’un État libanais alors sous mandat français. Il est très probable d’y voir dans cette appellation l’influence de la Phalange espagnole de José Antonio Primo de Rivera. Si, au cours de la Seconde Guerre mondiale exista brièvement en Tunisie une Phalange africaine réunissant des Pieds-Noirs partisans de la Collaboration, le Chili connut de 1936 à 1957 une Phalange nationale dont la doctrine naviguait entre la doctrine sociale de l’Église, Salazar, le chancelier « austrofasciste » Dollfuss, le corporatisme, l’alliance avec le Front populaire local, le philosophe français Jacques Maritain et la démocratie chrétienne latino-américaine considérée alors comme une  « troisième voie » sud-américaine…

La guerre d’un autre temps…

Le récit autobiographique d’Emmanuel Albach (NDLR : en photo à Beyrouth en 1976 ci dessus) n’évoque pas ces péripéties politologiques. Il nous plonge en revanche dans un autre temps en pleine Guerre froide quand l’Union Soviétique atteint son apogée. Entre 1975 et 1990, le Liban pâtit d’une terrible guerre civile avec l’implication militaire, directe ou non, de la Syrie, d’Israël, de l’Iran, des États-Unis, de la France et de l’ONU. Le conflit éclate au printemps 1975 quand l’armée libanaise cherche à faire respecter la souveraineté libanaise aux groupes armés palestiniens. Ceux-ci n’apprécient pas la pression, répliquent et provoquent la riposte des milices chrétiennes qui luttent très vite non seulement contre les unités palestiniennes, mais aussi contre les bandes armées progressistes et d’autres minorités confessionnelles dont les Druzes. Le Liban est l’exemple typique de l’échec du multiculturalisme, y compris autochtone, quand l’État est faible et miné par des influences étrangères redoutables.

Quand les deux Français arrivent à Beyrouth au début de l’année 1976, les phalangistes et les « Tigres », la milice du Parti national-libéral du clan anglophile Chamoun, guerroient contre les Palestiniens et les Arabes progressistes sunnites. En cette époque maintenant éloignée où n’avait pas eu lieu la Révolution islamique en Iran, les chiites libanais sont marginalisés. « Pauvres parmi les pauvres, écrit l’auteur, les chiites sont restés en dehors de la guerre. Ils ne manquent pourtant pas de motivations puisque nombre d’entre eux étaient paysans au Liban du Sud avant d’être chassés par les Palestiniens de leur région ancestrale, et qu’on nomme maintenant “ Fatahland ”. Mais les moyens financiers leur font gravement défaut. Ils n’ont pas su encore intéresser de sponsor étranger. Patience ! Et ces gueux de Beyrouth trouveront bientôt leurs commanditaires. Téhéran aura son pion sur le damier libanais (p. 37). » Cependant, dès 1974, venait d’être fondé à la demande du marja (guide spirituel) Moussa Sadr, disparu en 1979 en Libye, le mouvement Amal pas encore décisif. Quant au Hezbollah, sa fondation remonte à 1982.

Les deux étudiants français sont interrogés par des phalangistes perplexes. Un jour, ils rencontrent Bachir Gemayel, le jeune chef militaire des Phalanges. Face à ce double témoignage de Français prêts à se sacrifier pour une cause qui n’est pas la leur, le jeune chef, bouleversé, leur lance : « Merci, merci ! Vous savez, nous aimons tant la France ! Elle est notre mère ! Et ce n’est pas une image pour nous. Alors, qu’elle nous abandonne, ça nous fait mal, très mal. Grâce à vous, nous nous sentons un peu moins seuls ce soir. Merci ! (p. 67) »

Quelques mois plus tard, Emmanuel Albach ne retourne pas au Liban seul. « Avec Pierre, Jacques et Francis étaient de la première fournée. Francis militait chez les solidaristes et passait beaucoup de temps à faire passer des samizdats en URSS. […] Il fait le voyage à Moscou en deux-chevaux, le coffre bourré de littérature interdite. Jacques, fleur de lys au revers du blouson de cuir, était son alter ego dans le militantisme politique, même s’il n’avait pas tout à fait les mêmes références. […] Franck, Bertrand et Gérard, étaient les autres recrues de notre petite légion française (pp. 112 – 113). » L’auteur souligne que cet engagement en Orient toucha tout particulièrement deux courants de la grande mouvance nationale : des royalistes souvent issus des organisations héritières de l’Action française comme le narre Christian Rol dans son roman biographique sur René Resciniti de Says, Le roman vrai d’un fasciste français (La manufacture des livres, 2015) et des militants solidaristes. Emmanuel Albach rencontre parmi ces derniers Stéphane Zenettacci, tombé le 19 juillet 1976 dans le camp palestinien de Tall El Zaatar. « C’est un gars singulier, un drôle de petit Corse qui danse avec aisance sur le fil de son existence. Un gars aussi, qui dispose d’une sorte de pouvoir. Il agit comme une boule de chaleur humaine, attirante et explosive aussi, qui vous enveloppe dans ses rayons, qui vous emporte d’un coup dans une vague submergeante de séduction, un mélange irrésistible de gentillesse et de générosité, de gestes amicaux, instinctivement fraternels, une pression de la main sur l’épaule, un regard complice, intime, qui quête votre amitié et l’obtient sans coup férir, parce que ça paraît lui faire tant plaisir que vous l’aimiez bien, cela semble si fondamental soudain, pour ce fou charmeur, que vous lui prouviez votre affection… (pp. 198 – 199) » C’est aussi une personnalité impétueuse qui trouve les Kataëb trop timorés et suggère de rallier les « Tigres » de Chamoun, prêts à prendre d’assaut Tall El Zaatar.

Foin du romantisme guerrier !

En mettant ses idées au bout de sa peau, Emmanuel Albach, désormais président de l’Amicale des anciens volontaires français au Liban (AAVFL), aurait pu écrire un texte épique, héroïque, guerrier, exaltant tel Jünger dans Orages d’acier la « Guerre notre mère ». Il n’en est rien ! Son livre dépeint la réalité sordide de la guerre, civile qui plus est : les obus ou les balles des snippers fauchent les civils malchanceux ou imprudents. L’auteur n’écarte pas ses émotions. « Il me manquait l’angoisse et la peur. Depuis j’ai connu bien des nuits de terreur (p. 44). » On a l’impression, vu de France, que le conflit libanais était une sorte de guerre médiévale. Peut-être, mais, pour l’auteur, « ni fraîche, ni joyeuse, cette guerre-là… (p. 171) ». Il ajoute en outre que « les films n’exposent de la guerre que ses aspects les plus spectaculaires : le feu, le sang, les cris, et jamais – ou si peu – le quotidien du combattant en lutte incessante contre une foultitude de petites contradictions qui lui rendent la vie bien plus agaçante que tous les obus du monde. La mauvaise nourriture, les odeurs répugnantes, les vêtements toujours imprégnés de sueur ou de crasse, le soleil trop chaud, la nuit trop froide, les moustiques hystériques, la promiscuité de l’abri exigu où le court repos est gâché par les pets impudents des voisins ; le réveil lourd, l’estomac dans les talons ; la soif que l’on étanche bêtement à un tuyau crevé en sachant parfaitement qu’on se gave d’amibes ; et les maux d’intestins qui en résultent, vous prenant parfois au si mauvais moment qu’on est obligé de baisser son froc à cinq mètres de la barricade pour revenir plus vite y reprendre sa place. À la guerre les chiottes sont rares et il n’y a jamais de papier (p. 187) ».

Malgré la tragédie quotidienne subsistent néanmoins des instants magiques d’humanité. Le jeune Fadi se prend d’amitié pour l’auteur et veille parfois en sa compagnie la ligne de front. Emmanuel Albach rencontre aussi l’amour dans les rues dangereuses de la capitale libanaise. Une lycéenne blonde aux yeux « vert-émeraude (p. 79) », Lucie, s’éprend de lui ! Son jeune frère, Lucien, est par ailleurs un grand copain de Fadi ; tous les deux montent presque un complot matrimonial pour permettre à Emmanuel de rencontrer la belle chez une tante complaisante. L’auteur dînera ensuite chez les parents de la demoiselle. On reste cependant déçu de ne pas connaître le dénouement final de cette intrigue amoureuse…

Beyrouth 1976 est l’un des tout premiers témoignages d’une aventure guère connue en France qui date maintenant de quatre décennies si l’on excepte quelques brèves allusions dans la biographie écrite par Christian Rol, les célèbres Rats noirs de Grégory Pons et un article de Rémy Drelon-Mounier, « Vacances au Liban » paru dans Historia spécial n° 406 bis (3e trimestre 1980). Dans cet article, Emmanuel Albach y est présenté en tant qu’Éric Paulin. D’autres récits seraient bienvenus pour mieux connaître ce geste superbe, gratuit et valeureux qui ne doit pas s’effacer pas des mémoires. Un autre engagement mériterait lui aussi d’être salué : celui des volontaires nationalistes français qui apportèrent dans la jungle birmane aux résistants karens la croix celtique. La seconde moitié du XXe siècle fourmilla de dignes héritiers du chevalier Bayard.

Diapositive1.jpgEmmanuel Albach, Beyrouth 1976. Des Français aux côtés des Phalangistes, Les Bouquins de Synthèse Nationale (116, rue de Charenton, 75012 Paris), 2015, 267 p. (avec un cahier photographique), 22 € + 3 € de port

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VAINES POLEMIQUES

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de Philippe Randa

Décidément, plus une loi concerne un nombre restreint d’individus, plus elle déclenche de polémique.

Ainsi de la peine de mort qui continue, 35 ans après son abrogation, d’opposer farouchement les « pour » et les « contre », alors que le châtiment suprême n’a de fait concerné, lorsqu’il était encore applicable, qu’une poignée de condamnés.

Sous la Ve République française, de 1958 jusqu’en 1981, seuls dix-neuf criminels de droit commun ont connu « la bascule à Charlot » ainsi qu’on nommait alors la célèbre invention du Dr Guillotin : pas même un par année !

La peine de mort tant combattue par certains, tant regrettée par d’autres, n’aurait-elle été, finalement, quoiqu’on en pense, qu’une question de principe ? Voire même un débat quasi-symbolique : le dernier Français à avoir été condamné à mort et exécuté – non pas Christian Ranucci en 1976, comme beaucoup le croient, mais Hamida Djandoubi en 1977 – l’a été plus de 4 ans avant que la peine capitale ne soit légalement plus possible par un vote de 363 voix pour, 117 contre, à l’Assemblée nationale.

Seule certitude depuis : si son application n’était pas la solution à la criminalité, son abrogation ne l’a pas été non plus.

Ces jours-ci, des politiciens se déchirent sur la question de la déchéance de nationalité pour les seuls bi-nationaux reconnus coupables de terrorisme, alors qu’une majorité écrasante de Français (autour de 85 % selon certains sondages) semble pourtant favorable à celle-ci.

Fort bien ! Mais quoiqu’il en advienne, restera à voir, si la loi est votée, combien de condamnés en pâtiront.

Une vingtaine en un quart de siècle ?… Tout ça pour ça ?

16:08 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’immigration et l’enrichissement du pays d’accueil

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Dr Bernard Plouvier

Même si les Français (et les autres peuples d’Europe occidentale) sont censés avoir la mémoire courte, il est peu probable que les quadragénaires aient oublié les beaux discours sur l’immigration de masse (alors d’origine africaine, noire et surtout maghrébine) destinée à fournir des travailleurs à une Europe en déclin démographique, du fait d’une absurde conception de la féminité, qui excluait les grossesses répétées et prônait à tout-va l’avortement de complaisance. A-t-on assez répété l’argument selon lequel les travailleurs immigrés venaient payer les retraites, dans un système de répartition !

Rappelez-vous, ce n’est pas si lointain : c’étaient les arguments récurrents des années 1983-2010. Certains y ajoutaient leurs réflexions venimeuses sur la nécessaire régénération des Européens par les membres de la race africaine (et quand on n’a plus voulu parler de « race », on a employé le mot « ethnies »). Ce mixage des races-ethnies était particulièrement encouragé par ceux-là même qui, depuis 33 siècles, au nom des stipulations du Deutéronome, des Livres d’Esdras et de Néhémie, s’y refusent majoritairement et pratiquent avec dévotion l’endogamie (que l’on pourrait aussi bien qualifier de racisme matrimonial), comme le font les Yézidis du Kurdistan (qui, du moins, ne gênent personne, accrochés à leurs terres ancestrales depuis 27 siècles, jusqu’à ce que la folie furieuse musulmane tente de les exterminer).

De la « pureté dangereuse » (brevetée Bernard-Henry Lévy) à l’idéal de « Panmixie » (de Pierre-André Taguieff) en passant par « le métissage avantageux » (de Jean Bernard) en a-t-on assez disserté des bienfaits de la race humaine unique (Juifs inclus ? Cela reste à déterminer), de la vie politique et culturelle mondialisée, de l’économie globalisée, bref du « grand village planétaire ». Tous ces beaux esprits ne faisaient que reprendre les élucubrations du métis eurasien Richard Coudenhove-Kalergi, chantre dès 1925 (in Idéalisme pratique) de la « race eurasiatico-négroïde… avec les Juifs pour personnalités dirigeantes » et celles des penseurs (presque tous juifs) des années 1943-50 qui appelaient de leurs vœux la « nécessaire disparition des États nationaux » : c’était la lubie du faussaire juif Imre Rosenbaum (devenu ‘’Emery Reves’’, après avoir réécrit les faux Mémoires de Fritz Thyssen et transformé les souvenirs de l’ex-nazi Hermann Rauschning) et l’espoir des théoriciens de même origine Robert Strausz-Hupé et Stefan Possony… Rien de bien nouveau sous le soleil !

À côté de cet « enrichissement génétique », de cette « régénération » des populations européennes par « l’immigration de masse » (cf. les élucubrations de Valérie Rabault, directrice de banque, et de Karine Berger du monde merveilleux de l’assurance-crédit), l’on insistait sur le gain matériel. Tout d’un coup, l’Afrique « boulet économique de la planète » devenait, d’un coup de baguette magique, la grande pourvoyeuse de super-travailleurs qui allaient enrichir l’Occident amolli, aveuli, en voie de vieillissement accéléré. Il eût été plus simple d’encourager les jeunes femmes européennes à passer de l’option zéro ou un enfant à celle de leurs mères : trois enfants en moyenne… mais il était plus amusant de parler de planning familial et de vanter la « grande avancée sociale » de l’avortement de complaisance.

En 2016, le bilan est accablant. Rien qu’en France, nous sommes « riches » de 8 à 10 millions d’immigrés d’origine africaine (le flou statistique est dû au sectarisme « antiraciste » des services du ministère de l’Intérieur et des Cultes), dont 7 à 9 millions de musulmans. Environ 2000 cités de non-droit se sont installées en 35 années de gabegie mondialiste. La délinquance et la criminalité, nettement orientées contre les Blancs (juifs et goyim pour une fois confondus), atteint des sommets qui ne demandent qu’à être dépassés. Le terrorisme, breveté califat nouveau, frappe depuis 2014 en France métropolitaine (même si les pouvoirs publics semblent ne s’en être aperçus qu’en janvier 2015). Les viols de masse de femmes et d’adolescents des deux sexes, blancs, sont bien connus en France depuis les années 1980, mais il a fallu un pic de criminalité de ce type, survenu en Allemagne la dernière nuit de l’An 2015, pour qu’on veuille s’en ressouvenir.

Quant à l’économie, elle est effectivement « florissante ». Plus de 5 millions de chômeurs (soit 10% de la population en âge de travailler) ; une croissance nulle (voire négative) ; un produit du travail des immigrés estimé en 2011 à 83 milliards d’euros à rapporter à 89 milliards d’euros dépensés par l’État et les collectivités (30 en dépenses de santé ; 52 en aides sociales, dont 3,2 milliards d’euros pour les seuls clandestins) ; l’exportation annuelle d’énormes sommes vers les familles demeurées en Afrique ; voilà le curieux « enrichissement » de l’État français.

Résumons-nous : l’immigration africaine et moyen-orientale a importé un racisme anti-Blancs, une délinquance et une criminalité hallucinantes, ciblées contre les autochtones. Elle a importé l’islam conquérant et les émeutes raciales, en plus de la querelle israélo-palestinienne. Racisme et terrorisme, émeutes raciales et criminalité : c’est sûr, notre vie de Français de souche européenne en a été bouleversée.

Durant ce temps, grâce à la consommation – en partie parasitaire, c’est-à-dire alimentée (sans jeu de mots) par les allocations diverses et variées distribuées avec le produit des impôts soutirés aux contribuables – les grandes compagnies de distribution (agro-alimentaire, habillement, électro-ménager et informatique, automobiles et scooters, produits pétroliers etc.) se sont prodigieusement enrichies, comme l’ont fait les grossiums du trafic de drogues et d’armes. L’enrichissement a existé, mais nullement pour la Nation française autochtone !

Il reste à examiner le cas de l’immigration asiatique : Indochinois, Japonais, Coréens, Chinois et Indous. Ceux-là, calmes et travailleurs, souvent très doués, se sont enrichis par leur travail en même temps qu’ils enrichissaient notre communauté nationale. N’eussions-nous eu que cette immigration qu’il n’y aurait jamais eu de problème.

Nos politiciens, du règne de Giscard à celui de l’actuel Président de la République, ont des excuses à présenter à la Nation française pour lui avoir tant nui par leur bêtise et leur laxisme. Puis ils doivent prendre de très énergiques mesures pour rendre à la France la paix intérieure et la prospérité qui étaient siennes avant la plongée dans la globalisation-mondialisation. Il est des pilotages sans visibilité qu’il faut savoir interrompre avant la catastrophe.  

13:10 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 16 janvier : Carl Lang à Toulouse

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09:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 09 janvier 2016

Cologne : la police utilise les canons à eau contre les patriotes

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Selon les dernières informations en provenance de Cologne cliquez ici, la police utilise ses canons à eau pour disperser les milliers de manifestants rassemblés par PEGIDA contre la barbarie imposée par les migrants le 31 décembre dernier.

Il faut en effet savoir comment procèdent les autorités allemandes quand elles veulent empêcher les patriotes de s'exprimer. C'est simple : elles incitent leurs supplétifs (antifas, gauchistes, chrétiens de gauche, verts et autres dégénérés...) à manifester le même jour, à la même heure et au même endroit que les patriotes. Ils laissent alors les deux rassemblements arriver pratiquement au contact l'un de l'autre. Et là, prétextant les heurts inévitables, ils dispersent tout le monde à coups de matraques et avec des canons à eau. Même Valls et Cazevide n'utilisent pas de si minables stratagèmes chez nous.

Il y a quelques années, avec mes amis Robert Spieler, Luc Pécharman, François Ferrier, Annick, Judith, Bertrand et quelques autres, nous avions été invités à participer, au nom de la NDP, à plusieurs rassemblements organisés par le mouvement Pro Köln contre la construction d'une gigantesque mosquée justement à Cologne. Nous avons constaté ainsi par nous mêmes les techniques sournoises de la police démocrate allemande.

La grande différence entre ces rassemblements héroïques auxquels nous étions allés en 2009 et 2010 et ce qui se passe aujourd'hui, c'est qu'à l'époque nous n'étions que quelques dizaines, quelques centaines peut être, et les gauchistes étaient des milliers alors qu'aujourd'hui c'est le contraire. L'Allemagne nationale et populaire se réveille alors que les supplétifs de la haute-finance mondialiste que sont les provocateurs d'extrême gauche ont du mal a rassembler quelques douzaines de déchets camés, islamistes en herbe et autres protestants progressistes pour donner bonne conscience à Merkel et sa clique immigrationiste.

Roland Hélie

18:17 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Suivez en direct sur TV Libertés les événements de cet après midi à Cologne

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Une semaine après l'ignoble soirée du 31 décembre au cours de laquelle des dizaines de femmes allemandes ont été violées par des migrants dans le centre de Cologne, une grande manifestation populaire organisée par PEGIDA et différentes organisations patriotiques a lieu cet après-midi devant la gare de la ville rhénane.

Au dernières nouvelles, les flics de la criminelle Merkel, absents lors des carnages de la St Sylvestre, utilisent les canons à eau contre le peuple en colère...

Vous pouvez suivre en direct la manifestation grâce à TV Libertés cliquez ici

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16:44 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |