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mardi, 17 février 2015

Terrorisme islamiste et riposte virile des bobos : "Danois un jour, Charlie toujours" !

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Cette fois "ils" sont danois! Mais toujours "Charlie" Tremblez terroristes les bobos sont dans la rue! On l'aurait parié d'ailleurs après les mitraillages perpétrés à Copenhague sur un Centre Culturel, où se déroulait un débat sur "art, blasphème et liberté d'expression", puis sur une synagogue par Omar El-Hussein, un mahométan plaisamment qualifié de "danois" même si on peut assurer que le djihadiste en question n'avait en lui aucune goutte de sang "viking".

Or donc cet islamiste pur et dur a rafalisé au nom d'Allah et du Prophète réunis et le cirque politico-médiatique qui a suivi est quasi le même que lors de l'affaire "Charlie": les mêmes qui s'émotionnent dans les mêmes médias ressortent les mêmes poncifs sur la liberté d'expression, la laïcité, l'antisémitisme, l'islamophobie, le communautarisme, la démocratie universelle ou le vivre ensemble, des princes chameliers et des dignitaires mahométans assurent hypocritement que le djihad n'a rien à voir avec l'Islam religion d'amour et de paix, un urgentiste de service (qui voit là une terreur fasciste!) et une Hidalgo se précipitent lacrymogéner sur les lieux, quelques "people" concernés y vont de leur petite larme devant les caméras et des rassemblements "spontanés" de virils bobos, d' indignés trois-points sélectifs et de tolérants indécrottables trompettent le "padamalgam".

On peut maintenant s'attendre à une tentative de "remake" de la grande manif' unitaire du mois dernier si utile pour certains politiciens dans les sondages, une nouvelle gugusserie où on devrait pouvoir cette fois admirer les vétérans de la marche de Charlie battre le pavé à la queue chien chien en aboyant, ou plutôt en glapissant "je suis danois" De quoi tétaniser tous les apprentis djihadistes de toute l'Europe et du monde entier.

Et on nous rebattra les oreilles avec la lutte contre le terrorisme, le terrorisme au sens large, une entité, un concept alors qu'il convient, comme dans toute guerre, de cibler l'ennemi à abattre, en l'occurrence le terrorisme islamiste, celui perpétré au nom du djihad par des mahométans pétris des versets bellicistes du Coran. Un ennemi fanatique, sans états d'âme émasculant, sans pitié, aspirant même au martyre ouvrant sur l'éternité qui s'est insidieusement infiltré, réparti et renforcé dans tous les pays européens à cause de la négligence aussi angélique que criminelle des dirigeants de l'Union qui ont toléré voire favorisé une immigration de peuplement clandestine ou non, sans cesse alimentée, à très forte connotation musulmane où le djihadiste se fond tout naturellement. De cela on ne parlera pas et c'est pourquoi cette "guerre contre le terrorisme" est perdue d'avance. Sauf sursaut salutaire des peuples d'Europe, réflexe de survie des souchiens européens. Il faut  y travailler. Vite !

09:28 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 16 février 2015

Samedi 7 mars, dans le Berry

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16:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine

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Réinfo, le mag du Parti de la France

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Attentats : on récolte ce que l’on sème

Le billet de Patrick Parment 

terroriste-terrorisme-attentat-aqmi.jpgA en croire la presse comme nos gouvernants, l’Europe serait menacée par de véritables réseaux terroristes, genre bien organisés. A y regarder de plus près, il n’en est rien. Ce qui s'est passé en France et au Danemark est le fait d’individus isolés qui ont pété les plombs. De surcroît, ni les polices française ou danoise n’ignoraient ces individus qui avaient déjà un passé de délinquant. Certes, me direz-vous, comment se sont-ils procuré des armes ? Cela ne semble guère difficile, les banlieues en regorgent, au même titre que de ces imams qui prêchent la guerre sainte. Si l’aventure est tentante d’aller jouer au soldat au Moyen Orient ou les kamikazes en Europe, c’est bien parce que ces jeunes ont trouvé leur motivation ici, en France, au Danemark et demain dans d’autres capitales européennes. Ce sont bien des actes isolés et donc difficiles à contrôler. On peut craindre le pire.

Retour à la case départ : le laxisme de nos politiques en matière d’immigration, de l’islam dont les mêmes politiques ont tellement la trouille qu’ils financent les mosquées, comme Alain Jupé à Bordeaux et ailleurs (Strasbourg, Marseille, etc.). D’où la question : l’islam est-il compatible avec les valeurs de la République, valeurs tout droit issues de notre héritage gréco-latin puis chrétien ? Faut-il rappeler à tous les amnésiques qui nous gouvernent, à tous ces francs-macs en peau de chagrin qui brandissent l’étendard de la laïcité, que les valeurs dont ils sont redevables sont celles d’un catholicisme bien tempéré par le paganisme de nos ancêtres. Evidemment, il faut avoir des lettres et plus sûrement une paire de c….

Mais, plus que jamais, il faut savoir ce que l’on défend : notre culture, notre histoire, notre identité, nos clochers ou la soupe migratoire où macère le bouillon des cultures et des races ?

14:15 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

HOUELLEBECQ EN PROPHÈTE DES CANTONALES ? ... L'UDMF nouveau parti politique ?

UDMF.jpgMichel Lhomme

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Ce n’est pas encore le livre de Houellebecq mais l’Union des démocrates musulmans français(UDMF) présentera des candidats dans 8 cantons (sur 2000) lors des élections cantonales de mars prochain : Bobigny (Seine-Saint-Denis), Bagneux (Hauts-de-Seine), aux Mureaux (Yvelines), à Marseille, Lyon, Nice et probablement Strasbourg. 

Elle possède déjà un premier élu à Bobigny, après que le parti ait apporté son soutien à la liste de l’actuel maire UDI, Stéphane de Paoli. Najib Azergui, d’origine marocaine, se défend de vouloir «islamiser la société» ou de vouloir «installer la charia en France». Créée en 2012, l’UDMF revendique environ 900 adhérents et 8 000 sympathisants sur toute la France. Le parti emprunte ses thèmes à la droite et à la gauche et est surtout ultraconservateur sur le plan sociétal. Il est en particulier opposé au mariage pour tous et à la visibilité homosexuelle de quoi alimenter l'homonationalisme. Il est aussi  antilibéral sur le plan économique et social et se veut non confessionnel, à l’instar du parti chrétien-démocrate de Christine Boutin, dont il prétend suivre l’exemple. 

L’UDMF préconise par ailleurs le développement de l’industrie alimentaire Halal pour relancer l’emploi, et le recours à la finance islamique pour assainir l’économie. Il se dit favorable au droit de vote des étrangers aux élections locales et pour l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Enfin, le parti veut autoriser le port du voile dans les établissements scolaires. 

En vue des élections des 22 et 29 mars, l’UDMF a présenté dans le canton de Bobigny, Khalid Majid, 36 ans, cadre commercial à la SNCF, et Schérazade Benhaddad, 34 ans, une militante associative et secrétaire de la section locale du parti. L’UDMF a un précédent, le Parti des musulmans de France, créé en 1997 à Strasbourg. Son président, Mohamed Latrèche, avait obtenu 0,92% des voix aux législatives de 2007.

12:27 Publié dans Banalisation..., Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 15 février 2015

Il était une fois... le PFN.

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Georges Feltin-Tracol Europe maxima cliquez ici

Les 9, 10 et 11 novembre 1974 était créé à Bagnolet le Parti des forces nouvelles (P.F.N.) qui sera, une décennie durant, le principal concurrent du Front national (F.N.). Pour saluer ce mouvement qui aurait eu quarante ans, les Cahiers d’histoire du nationalisme ont demandé à Didier Lecerf qui (NDLR - participait à la direction du PFN) dans les années 1980 de revenir sur ce parti politique relativement méconnu.

En 1984 – 1985, il était fréquent que les journalistes le confondissent avec le F.N. qu’ils désignaient alors en « Parti du Front national », d’où des quiproquos du sigle… Pourtant, les différences entre les deux frères ennemis étaient fortes. Tandis que le F.N. s’ouvrait aux G.N.R. (Groupes nationalistes révolutionnaires) de Base de François Duprat, aux nationalistes radicaux blancs du périodique Militant, puis aux solidaristes de Jean-Pierre Stirbois, le P.F.N. tranchait par l’esthétisme de ses affiches et voulait incarner une « droite design», c’est-à-dire dans le vent et à l’affût des bouleversements de fond.

Didier Lecerf rappelle d’abord le contexte national et international de cette époque. Le Mur de Berlin divisait l’Allemagne; l’Europe était partagée entre les blocs atlantiste et soviétique; la défaite étatsunienne au Vietnam avait permis à l’U.R.S.S. de s’affirmer dans le monde entier au point que Raymond Aron s’inquiétât dans Le Figaro du déclin irréversible des États-Unis. En France, les anti-communistes pronostiquaient une invasion soviétique imminente et luttaient contre un Parti communiste fort de 15 à 20 % des suffrages.

Le P.F.N. provient de l’insuccès électoral du F.N. aux législatives de 1973. En 1972, Ordre Nouveau (O.N.) entendait élargir son assise électorale et accroître ses effectifs en constituant avec d’autres formations de droite nationaliste ou proches des ultra de l’Algérie française (Mouvement pour la Justice et la Liberté/Unité Française de Georges Bidault) en formant un cartel électoral : le Front national pour l’unité française. Après avoir sollicité Dominique Venner pour en assumer la présidence, la direction d’O.N. s’adressa à l’ancien député poujadiste, puis républicain-indépendant Jean-Marie Le Pen, ancien directeur de la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour en 1965.

Le désastre électoral, la forte personnalité de Jean-Marie Le Pen et la scandaleuse dissolution d’O.N. en 1973 provoquent de vives dissensions et le départ de plusieurs militants de valeur. Ceux-ci créent des Comités Faire front, puis un Comité d’initiative pour la construction d’un parti nationaliste, embryon du futur P.F.N. Animée par Pascal Gauchon, Alain Robert, Gabriel Jeantet et le journaliste François Brigneau, cette structure politique à vocation électorale dispose d’une revue au graphisme percutant, Initiative nationale, ainsi que de quelques relais auprès des étudiants grâce au G.U.D. (Groupe Union Défense), des jeunes (le Front de la Jeunesse) et dans le monde du travail avec l’Association pour un syndicalisme libre. Plus tard, à l’occasion d’événements médiatiques tapageurs, il soutiendra le Comité de soutien à l’armée du sergent appelé Joël Dupuy, hostile à la syndicalisation rouge des militaires, tiendra un « Forum de la nouvelle droite » en mars 1975 et organisera en avril 1976 une prestigieuse « Semaine du cinéma de droite ». De nombreux hommes de lettres, universitaires et journalistes (Thierry Maulnier, Maurice Druon, Jean Cau, Louis Pauwels, Michel de Saint-Pierre, Roland Gaucher, Raoul Girardet, le colonel Rémy, etc.) répondront à son appel. La réaction gauchiste ne se fait pas attendre et se montre violente.

Le corpus idéologique du P.F.N. est résumé dans « une plaquette doctrinale de 88 pages, Propositions pour une Nation nouvelle. […] Pour l’essentiel, on y retrouve les thèmes et les idées développés par la “ Nouvelle Droite ” au sein du G.R.E.C.E. (fondé en janvier 1969) (p. 51) ». L’objectif principal vise à surprendre l’opinion. « C’est ainsi que le sigle “ forces nouvelles ” a été choisi, entre autres parce qu’il étonne à droite ; que la plaquette doctrinale défend l’idée d’une réconciliation de la Tradition et du Progrès; et que sa couverture porte un dessin de l’architecture futuriste Sant’Elia… (p. 63) ».

L’apport théorique du P.F.N. n’est pas anodin, car il cherche à concilier un nationalisme « revu et corrigé » avec une démarche ouvertement européenne. À l’occasion des premières élections au Parlement de Strasbourg en 1979, après une tentative de rabibochage avec le F.N. dans le cadre d’une « Union française pour l’Eurodroite des patries », le P.F.N. monte finalement sa propre liste, intitulée « Union française pour l’Eurodroite », conduite par Tixier-Vignancour et soutenue par le M.S.I. d’Almirante et les Espagnols de Fuerza Nueva. « Toutefois, si les fonds réunis sont suffisants pour être présents (en concurrence avec dix autres listes), ils ne permettent d’imprimer que les bulletins et les affiches pour les bureaux de vote, mais pas les bulletins et les professions de foi adressés aux électeurs. En outre, il ne reste que trois semaines avant l’échéance… (p. 110) » Le résultat déçoit : 1,31 % soit 266 000 voix. En 1981, Pascal Gauchon ne parvient pas à obtenir les 500 parrainages nécessaires pour se porter candidat à la présidence de la République. La victoire de François Mitterrand contraint le P.F.N. à se remettre en question.

À l’automne 1981, Alain Robert et Pascal Gauchon se retirent du P.F.N. Une nouvelle direction, composée (NDLR - entre autres) de Jack Marchal et de Jean-Claude Jacquard, bientôt ultime rédacteur en chef de Défense de l’Occident de Maurice Bardèche, propose une voie plus activiste. Paru en juin 1982, Perspectives d’action expriment un net changement d’attitude militante. Le Front de la Jeunesse devient le Renouveau nationaliste tandis qu’un nouveau titre, Pour une force nouvelle, remplace Initiative nationale. En revanche, le programme proposé reprend, réactualise et réaffirme les thèses fondatrices. Celles-ci paraissent en novembre 1974 dans des Propositions politiques, économiques et sociales qui se révèlent visionnaires. Dans le premier chapitre, l’article 1 stipule que « le système électoral actuel perpétue la domination des partis en place. Pour assurer la représentation réelle de toutes les tendances, nous réclamons l’institution d’un système d’élections à la proportionnelle qui reflète le plus exactement possible les forces politique en présence (p. 184) ». L’article 2 condamne l’organisation administrative française et estime que « le cadre artificiel du département doit perdre de son importance [Hollande et Valls auraient-ils été militants secrets au P.F.N. ?] au profit des communes et des cantons, chargés de l’administration locale, et surtout des régions. Une véritable décentralisation administrative et économique doit être réalisée au profit de celles-ci. En particulier, il est essentiel que le Conseil régional dispose d’un véritable budget par un transfert d’une partie des ressources de l’État à la Région. Cette décentralisation doit permettre un meilleur fonctionnement de l’État en rapprochant les pouvoirs des administrés. Elle ne doit pas être une occasion accordée à un séparatisme anarchisant et passéiste, mais un instrument au service de la Nation et de la construction de l’Europe. Les cultures régionales font partie du patrimoine national; elles doivent donc être protégées par l’État et non réprimées (p. 184) ». À mille lieux, on le voit, des incantations centralisatrices désuètes d’un parti pseudo-protestataire et néo-ringard qui confond le Marais parisien avec le reste de la France…

En économie, ces Propositions… réclament la cogestion, exigent « l’extension du système de conseils paritaires de conciliation prévus dans de nombreuses conventions collectives (p. 186) » et suggèrent le « vote de la grève par les travailleurs au scrutin secret (p. 186) ». Mieux, elles se terminent par une préfiguration de la « remigration » (ou réémigration) et de la préférence nationale : « Interdiction effective et absolue de toute immigration, tant que la France n’aura pas retrouvé le niveau d’emploi de 1972. Préférence d’emploi accordée à toutes occasions aux travailleurs nationaux, revalorisation des tâches jusqu’à présent abandonnées aux immigrés. S’il y a lieu, mise à l’étude d’un plan de rapatriement progressif des immigrés (p. 196). »

Parfaitement adapté aux difficiles conditions de ce premier quart du XXIe siècle, ce programme ne pouvait pas séduire une France qui sortait à peine des « Trente Glorieuses » et qui croyait à la brièveté de la crise en partie déclenchée par le premier choc pétrolier de 1973. Le P.F.N. arrivait trop tôt. Par ailleurs, il commit deux graves erreurs stratégiques. La première, antérieure à sa naissance, fut de ne pas présenter en 1974 un candidat à la présidentielle. Les Comités Faire front auraient pu assez facilement parvenir aux cent parrainages nécessaires. Ils laisseront au « Menhir » l’avantage décisif de se faire connaître des Français, réussissant ainsi un coup déterminant pour l’avenir. La seconde erreur fut de s’entendre en mars 1977 aux élections municipales avec le R.P.R. de Jacques Chirac. Trente candidats P.F.N. figurèrent donc sur des listes à « Marseille, Toulon, Cannes, Aix-en-Provence, Lyon, Villeurbanne, Villemonble, Nancy, Talence, Illzach, Nanterre, Champigny, ou encore à Paris, dans les XVIe et XIXe arrondissements (p. 93) ». Cette participation pesa lourd sur les destinées du P.F.N. désormais toujours soupçonné de rouler pour le calamiteux Chirac. Lors de sa premières « Heure de vérité » sur Antenne 2, le 13 février 1984, Jean-Marie Le Pen qui, dès 1981 contestait déjà « le mondialisme giscardien », refusa toute alliance avec le P.F.N., prétextant ce compromis de 1977.

L’ascension du F.N. plonge le P.F.N. dans la crise. Présentant parfois des candidatures face au F.N., il constate vite que la dynamique électorale est favorable au seul frontisme. En 1985, la direction collégiale propose l’auto-dissolution du P.F.N. et le ralliement au F.N. Interrogé dans ce numéro, Roland Hélie raconte qu’il n’était « pas emballé à l’idée de rejoindre le Front. […] En fait nous n’avions pas beaucoup de contacts avec la direction du F.N., et Le Pen et son entourage ne semblaient pas très chauds à l’idée de nous voir arriver. Ce qui peut se comprendre compte tenu des rapports exécrables qu’il y avait eu pendant dix ans entre nos deux formations (p. 145) ». Toutefois, une trentaine de cadres issus du P.F.N. intégraient bientôt le F.N. où ils occupèrent rapidement des responsabilités grâce à la bienveillance du secrétaire général de l’époque, Jean-Pierre Stirbois.

Dès novembre 1985, une partie des militants du P.F.N. hostiles à ce ralliement rejoint le Mouvement Troisième Voie. S’ensuivirent jusqu’en 1990 des amorces de relance ponctuées par de multiples scissions. Un célèbre numéro du Choc du Mois en 1988 décrivait l’emblème du P.F.N. résiduel d’alors : « Quatre quartiers rouges pour l’eau, le feu, le ciel et la terre, une croix celtique suggérée, et un cercle noir pour figurer la roue solaire. Ouf. » Seules les sections de Strasbourg, d’Orléans et d’Aix-en-Provence n’acceptèrent pas la disparition factuelle du P.F.N. Les Strasbourgeois conçurent la N.A.T.R.O.P.E. (Nouvelle amitié dans les territoires et régions par l’organisation des peuples en Europe), néo-droitiste, alors que les Aixois fondaient un Parti des forces nationalistes d’orientation contre-révolutionnaire. Ce n’est qu’en février 1998 que le Journal officiel annonçait sa dissolution officielle.

Le P.F.N. restera comme une tentative de renouvellement des idées et de la pratique politiques à la fin de la Guerre froide. L’absence de figures charismatiques capables de susciter l’enthousiasme de l’audimat fut sa principale lacune sinon on aurait aujourd’hui un authentique mouvement patriotique français et européen.

111111111.jpgSous la direction de Didier Lecerf, Le P.F.N. 1974 – 1984 : une autre droite, Cahiers d’histoire du nationalisme, n° 4, octobre – novembre 2014, 197 p., 20 € + 3 € de port (116, rue de Charenton, F – 75012 Paris).

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samedi, 14 février 2015

Lauzier visionnaire : c'était il y a 30 ans

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Geneviève Dormann à propos de la repentance

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« Les Juifs m'emmerdent, je le dis tout net. Lorsque, à la moindre occasion, ils me balancent dans les gencives ce qu'on leur a fait, lorsque j'étais petite, prenant un sadique plaisir à tenter de faire surgir chez moi un sentiment de culpabilité ou de mauvaise conscience, je leur en veux comme j'en voudrais à des Vendéens qui, aujourd'hui, m'accuseraient d'avoir ravagé leurs villages et sauvagement assassiné leurs ancêtres... Je revendique le droit d'aimer les bons Juifs et d'envoyer paître les autres. »

Le Crapouillot (n°80)

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Geneviève Dormann nous parle de Colette

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Pour en finir avec l'islamophilie dans la mouvance nationale

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Jean-Yves Dufour

Les patriotes qui voient l'Islam comme un rempart face au mondialisme et à la décadence occidentale sont des naïfs désespérés ou des collabos conscients.

1/ L'Islam ne connaît pas de nation, simplement l'Oumma, communauté des croyants (sous-entendu dans l'Islam). L'Islam a, dès le départ, une vocation expansionniste, impérialiste et mondialiste, révélée à l'origine à des bandes de pillards nomades.

2/ Regardez autour de vous : sous leurs faux airs de sages ancrés dans la spiritualité et débarrassés des plaisirs matériels et charnels, les musulmans sont les plus accrocs aux gadgets des nouvelles technologies, les plus obsédés par le corps et l'apparence (physique, vestimentaire, sexuelle), les plus susceptibles et donc les moins sûrs d'eux-mêmes et de leur foi.

3/ Leur foi-même les pousse à l'individualisme, à gagner le Ciel non pas en aidant les Autres mais pour eux-mêmes et contre les autres. Ils sont les premiers à épier et à dénoncer leur voisin qui ne pratique pas suffisamment et n'est pas assez pur.

4/ Leur religion cache d'ailleurs avant tout un système politique collectiviste et totalitaire, qui n'a rien à envier au mondialisme anglo-saxon, la violence et la cruauté en plus.

Retrouvez les ouvrages et l'actualité de Jean-Yves Dufour cliquez ici

15:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Geneviève Dormann : les jeux de l’amour et des hussards

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Dominique Jamet Boulevard Voltaire cliquez ici

Mais dites-moi, elle n’était pas un peu insolente, Geneviève Dormann ? Un peu insolente, vous plaisantez ? Elle était l’insolence en personne. Elle toisait du même regard bleu comme l’acier à la fois froid et rigolard, elle méprisait et elle bravait avec la même assurance, elle rejetait avec le même haussement d’épaule les bienséances, les conventions, les ridicules, les hiérarchies, les lâches, les complaisants, les décorations, les promotions, les récompenses, le politiquement correct et la pensée inique, le qu’en-dira-t-on, le qu’en-pensera-t-on. Elle était libre, Max, dans sa vie privée comme dans ses propos publics, dans ses jugements, dans ses indulgences comme dans ses éreintements, elle assumait avec une imperturbable assurance ses partis pris, et était prête à se faire hacher menu pour ceux qu’elle aimait comme à mordre jusqu’à les déchiqueter ceux dont la tête ou le comportement ne lui revenaient pas. Fidèle comme un dogue, féroce comme un pitbull, elle était la première à rire du surnom de « Dobermann » que lui avaient valu ses excès de franchise et de pugnacité. Ses ennemis, nombreux (je me souviens que nous étions tombés d’accord pour voir dans le proverbe espagnol « Beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneur » la plus belle devise dont puisse s’orner le blason d’un journaliste ou d’un écrivain), ne mettaient systématiquement en avant son caractère bien trempé que pour n’avoir pas à reconnaître le talent qu’elle avait mis dans les romans où elle laissait caracoler sa plume allègre et désinvolte, à la hussarde. C’était une cavale sauvage.

Les hussards, c’étaient ses dieux, et elle ne cessait de maudire le hasard qui l’avait fait naître trop tard, dans un monde trop vieux, vingt ans après ses quatre idoles – Nimier, Laurent, Blondin, Déon – dans la compagnie desquels elle aurait tant aimé être le cinquième mousquetaire. Fumant comme un sapeur, buvant comme un Polonais, jurant comme un cuirassier de la belle voix rauque et sensuelle que le tabac fait à certaines femmes, elle imitait ces modèles jusque dans leurs travers. Garçon manqué ? Mais non, femme réussie, entière, passionnée et qui, bien au-dessus de l’argent, de la gloire, de la famille et même de la littérature, mettait l’amour et l’amitié.

Elle se faisait du tort à plaisir et avec fierté. Il y eut une brève période où la radio et la télévision faisaient fréquemment appel, pour pimenter certaines émissions, à Geneviève Dormann, à cause de son insolence. C’est à cause de cette insolence même qu’elle disparut progressivement de l’antenne et de l’écran. On s’étonna de lui voir cosigner avec Régine Deforges un petit ouvrage sur le point de croix, qui tenait plus du canular que de la profession de foi. Ces dernières années, la maladie l’avait réduite au silence.

Adieu, Geneviève…

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vendredi, 13 février 2015

Un nouveau numéro (n°16) de la revue Livr'arbitres

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jeudi, 12 février 2015

DES BOMBARDIERS RUSSES AU-DESSUS DE LA MANCHE Vers une guerre froide voulue par les Etats-Unis

tu-russe_642.jpgMarc Rousset

Le président russe, Vladimir Poutine, n’est pas vraiment du genre à reculer face aux sanctions imposées à son pays et aux attaques subies par son économie. Il semblerait qu’il ait intensifié non seulement sa rhétorique, mais aussi ses activités militaires.

Sa plus récente initiative a été une autre démonstration de force pour faire comprendre à l’Occident que la Russie est prête à tout pour protéger ses intérêts. La Royal Air Force britannique a dépêché des avions de chasse jeudi après que deux bombardiers russes à capacité nucléaire aient volé au travers d’un couloir aérien civil au-dessus de la Manche. Les transpondeurs des bombardiers étaient éteints, ont déclaré les fonctionnaires britanniques, ce qui les a rendus invisibles pour un certain nombre de systèmes de contrôle aérien. L’incident a retardé plusieurs vols commerciaux et a poussé le gouvernement britannique à demander à l’ambassade russe de se présenter immédiatement devant le ministère des affaires étrangères.

Cet incident fait suite à une série de survols de la côte ouest des Etats-Unis par des bombardiers russes, depuis l’Alaska jusqu’en Californie. Il a même été dit que les Russes auraient testé une nouvelle arme l’année dernière, qui aurait rendu inefficaces les systèmes de contrôle aérien commerciaux de Los Angeles.

Un peu plus tôt ce matin, l’ancien dirigeant soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, a décrété que les Etats-Unis et la Russie s’étaient engagés dans une nouvelle guerre froide qui pourrait bel et bien « devenir chaude » si les tensions entre les deux nations ne se dissipaient pas.

L’année dernière, Vladimir Poutine a fait des remarques similaires. Il a accusé Barack Obama d’avoir adopté une « approche hostile » lorsqu’il a décrit la Russie de menace pour le monde lors de son discours devant l’Assemblée générale des Nations-Unies le 24 septembre. « Nous espérons que nos partenaires réaliseront la futilité des tentatives de chantage contre la Russie et se souviendront des conséquences qu’une discorde entre des puissances nucléaires pourraient avoir sur la stabilité stratégique du monde ».

Poutine a ajouté qu’Obama aurait identifié l’agression de l’Europe par la Russie comme l’une des « trois grandes menaces actuelles pour l’humanité », avec l’Ebola et l’EIIL. « Aux côtés des sanctions qui ont affecté des secteurs entiers de notre économie, cette approche ne peut être qualifiée que d’hostile », a dit Poutine.

Le grand allié de la Russie face à l’Occident, la Chine, semble aussi prendre des initiatives courageuses. Selon une photo satellite des îles Nanji, le pays construirait une infrastructure de ravitaillement dont l’emplacement suggère le positionnement éventuel de troupes dans l’anticipation d’une guerre avec le Japon. En 2010, le lancement d'un missile au large de la côte californienne a été attribué à la Chine par certains observateurs qui pensent que le pays cherche lui-aussi à signaler sa volonté de s’engager dans un conflit si la nécessité s’en faisait ressentir.

Avec une économie en déclin des deux côtés de l’océan, l’influence de la Russie qui s’accroît au travers de l’ancien bloc de l’Est, et la présence de forces américaines en Europe, il ne pourrait qu’être une question de temps avant que la situation devienne critique.

Il est inquiétant que la question d’armes nucléaires ait déjà été soulevée. Et plus terrifiants encore sont les psychopathes qui se tiennent debout, le doigt sur le bouton.

12:00 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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mercredi, 11 février 2015

Riposte laïque mobilise à nouveau pour le dimanche 15 mars :

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3174 du 5 février 2015

 

LE PRÉSIDENT François Hollande a commis une nouvelle gaffe en annonçant qu’il se rendrait aux obsèques du roi séoudien Abdallah qui vient de décéder à l’âge de 90 ans. Problème : il était inhumé à Ryad, en présence de plusieurs dirigeants de la région, au moment même où l’improbable oiseau tenait ces propos. « Il vient de mourir, je viendrai à ses obsèques pour qu’il y ait un renforcement des relations entre la France et l’Arabie Séoudite », a déclaré le président en marge du Forum économique mondial à Davos en Suisse. On notera l’élégance du propos : venir à des obsèques pour faire des affaires… L’Elysée a fini par rectifier les propos du président, expliquant que Hollande irait « présenter ses condoléances » en Arabie Séoudite, à une date qui reste à déterminer. Ouf, on respire…

 

ET PUIS, LE PINGOUIN GAFFE, UNE FOIS DE PLUS…

 

François Hollande présentait récemment ses vœux aux entreprises. Il n’a pas manqué de déraper. Il n’a pas pu s’empêcher de divulguer des informations ultraconfidentielles relatives à la Banque centrale européenne, déclarant : « La Banque centrale européenne va prendre la décision de racheter des dettes souveraines, ce qui va donner des liquidités importantes à l’économie européenne et […] peut créer un mouvement favorable à la croissance ». Cette information devait rester secrète pendant quelques jours. Le propos de Hollande met, en tout cas, en lumière le manque d’indépendance de la BCE et aurait pu sérieusement affoler les marchés. Bref, Hollande a commis tout simplement un délit d’initié…

 

BONNE NOUVELLE : LA TURQUIE ENVOIE PAÎTRE L’EUROPE

 

« La Turquie n’attendra plus aux portes de l’UE, en la suppliant d’y adhérer », écrit le quotidien Rossiïskaïa gazeta. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré au quotidien ottoman Today’s Zaman que l’Europe n’était plus très attractive pour Ankara. « C’est aujourd’hui un pays puissant (la Turquie). Mais si vous attendez qu’elle vous supplie, sachez que la Turquie n’est plus ce genre de pays ». Et il ajoute : « Nous testons l’Europe. Pourra-t-elle accepter et faire entrer dans ses rangs la Turquie, dont les habitants sont des musulmans ? Si vous êtes contre l’islamophobie, vous devez accepter la Turquie dans l’UE ». Quelle arrogance ! Disons-le simplement. Si la Turquie intègre l’Union européenne, Ankara pourrait devenir majoritaire au Parlement européen dans les années à venir, car sa composition est établie proportionnellement à la population des pays membres. La chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini, une délirante de très haut vol, a ouvertement déclaré que si la Turquie ne forçait pas les relations avec la Russie (c’est-à-dire si elle savait prendre ses distances), l’adhésion à l’UE pourrait devenir réalité. Le ministre turc de l’Energie et des Ressources naturelles Taner Yildiz a quant à lui déclaré qu’Ankara n’avait pas l’intention de choisir entre Moscou et Bruxelles. Selon les sondages, seulement 20 % de la population soutiennent l’intégration européenne. Comme m’écrit notre ami rivarolien Patrick Rizzi : « Les instances européennes sont apparemment prêtes à vendre les peuples européens rien que pour emm... les Russes ».

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PATRICK VIGNAL, DÉPUTÉ PS, NE CROIT PLUS AU “VIVRE ENSEMBLE”

 

Invité de Jean-Jacques Bourdin, Patrick Vignal, député PS de la 9e circonscription de l’Hérault dont fait partie Lunel, est revenu sur l’arrestation de cinq djihadistes le 27 janvier. L’élu héraultais a notamment affirmé : « Je vais décevoir mes amis du Parti socialiste mais je ne crois plus au vivre-ensemble ». Les faits sont si têtus que même les aveugles finissent par recouvrer (un peu) la vue…

 

DIEU, QU’ILS SE HAÏSSENT !

 

Dans un entretien donné au Point, François Fillon explose de rage contre Hollande, le traitant de “salopard” et assurant que Sarkozy était moins pervers que son successeur. Selon le député de Paris, François œuvre contre lui, notamment en ce qui concerne la fuite dans la presse de sa rencontre avec Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général de l’Elysée, le 24 juin dernier lors de laquelle il est supposé avoir demandé de faire accélérer les procédures judiciaires en cours contre Nicolas Sarkozy, afin qu’il ne puisse revenir en politique, ce qu’il nie farouchement. Il accuse en fait Hollande de vouloir mettre en selle Sarkozy, qu’il estime électoralement plus faible que Fillon ou Juppé, déclarant « Avec cette affaire Jouyet, Hollande a cherché à me tuer » et ajoutant en toute humanité : « Hollande est très méchant. Dans l’affaire qui me concerne, c’est un salopard ».

 

Et Sarkozy dans tout cela ? C’est l’être le plus doux, le plus tendre que Fillon connaisse. L’ancien Premier ministre raconte : « En ce moment, il est très tolérant, très aimable. Il passe son temps à me dire : “On est amis, François, hein ?” ». Fillon, dans un émouvant cri amoureux, explique que Nicolas Sarkozy est « plus tendre ». « Je ne crois pas que Sarkozy soit pervers. En tout cas, sa perversité est moins grande que celle de Hollande », déclare-t-il. Voilà comment cela se passe dans leur République et dans leur démocratie…

 

GUILLON N’EST PAS DIEUDONNÉ !

 

On sait que Jean-Marie Le Pen (voir RIV. de la semaine dernière) a échappé à l’incendie de sa maison de Rueil qui a été totalement détruite. Dieu merci, il n’a été que légèrement blessé au visage et à l’épaule en sautant courageusement à 86 ans et demi sur une terrasse en contre-bas. On ignore l’origine du sinistre. Certains ont évoqué un feu de cheminée, ce qui n’est pas le cas. Peut-être un court-circuit, m’a dit au téléphone Jean-Marie Le Pen. Il m’a confié son chagrin de voir disparaitre ainsi des tableaux auxquels il tenait, des livres, des archives. Je me suis autorisé à lui transmettre, au nom de tous les Rivaroliens, notre amitié et notre soutien dans cette dure épreuve. Courageux comme toujours, il m’a dit « la vie reprendra son cours ». Mais en attendant, des ordures se sont lâchées. L’“humoriste” Stéphane Guillon, qui est à l’humour ce que le sida est au rhume, a twitté « Jean-Marie Le Pen sort indemne de l’incendie de son appart. Pour une fois qu’un hommage à Jeanne d’Arc nous aurait fait plaisir ». Quelle ignoble saloperie ! Mais comme nous l’écrivions la semaine dernière, à la différence de Dieudonné, Guillon ne risque pas d’être poursuivi par le Parquet !

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MARIE-CAROLINE LE PEN APPORTE SON SOUTIEN À SON PÈRE

 

On sait que la rupture est totale entre Jean-Marie Le Pen et l’aînée de ses filles, Marie-Caroline. Les raisons de la brouille entre le fondateur du Front National et sa fille aînée sont à chercher du côté de la scission menée par Bruno Mégret et Philippe Olivier, mari de l’intéressée, du parti en 1998. Jean-Marie Le Pen n’a jamais pardonné à sa fille d’avoir rejoint Mégret, ce qu’il a considéré comme une trahison. A telle enseigne qu’il avait refusé de la prendre au téléphone quand elle souhaitait le féliciter de sa présence au second tour de l’élection présidentielle en 2002. Il a la rancune tenace, déclarant à Serge Moatti : « Nous avons un fort contentieux, ce sont des attitudes personnelles à mon égard que je juge incompatibles avec la morale familiale et avec la morale tout court ». Et de trancher : « je ne pardonne pas tout ». Il semblerait par ailleurs qu’un contentieux immobilier ait aggravé la situation. Il n’en demeure pas moins que Marie-Caroline est venue à la rescousse de son père, qui a eu à subir les railleries et le mépris du numéro deux du FN, Florian Philippot, qui avait déclaré en substance que le Menhir ne pesait plus rien. Sur Twitter, elle a dénoncé les « propos déplacés de Philippot envers Jean-Marie Le Pen » raillant de la part du premier « une malsaine complicité avec les media du système ». Elle a ensuite sévèrement taclé Philippot, et, partant, sa sœur Marine, que manifestement elle ne porte pas dans son cœur,pour leur soutien au parti d’extrême gauche grec Syriza, qu’elle définit fort justement comme étant immigrationniste. Cela sera-t-il suffisant pour une grande réconciliation ? Rien de moins sûr…

 

VALLS PRÉFÈRE LES JUIFS AUX CHRÉTIENS

 

« Le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens » Qui est l’auteur de ces très fortes paroles ? Manuel Valls ! C’est l’écrivain israélien Avraham B. Yehoshua qui nous le raconte. Il a publié dans Libération du 22 janvier une tribune sans intérêt, aussi délirante que déplacée, affirmant avec un culot extrême que « l’antisémitisme chrétien de droite nourrit indirectement l’antisémitisme islamiste ». Il fallait oser. Il a osé. Il a ajouté dans son article cette phrase merveilleuse : « le Premier ministre français, Manuel Valls, avec une grande générosité d’esprit, a proclamé que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ». Voilà au moins qui a le mérite de la clarté.

 

FRÉDÉRIC HAZIZA ET AUSCHWITZ : UNE PETITE ERREUR DE RIEN DU TOUT

 

Ce 27 janvier, pour le 70e anniversaire de l’arrivée de l’Armée rouge à Auschwitz, l’affreux “journaliste” Frédéric Haziza n’a pu résister à l’envie de rappeler que son grand-père, un certain Majloch Lansner, y avait été “exterminé”. Oui mais il y a un tout petit souci. Majloch Lanser n’a pas été “exterminé” à Auschwitz mais est mort à Theresienstadt, ville juive modèle que les nazis, qui ne manquaient pas d’imagination, avaient voulu créer. Bref, Haziza est un parfait mythomane. Il n’est, au demeurant, pas le seul…

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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Décés du dessinateur Stéphane Le Brieuc (Stéphane Le Tirant)

Stéphane-Le-Tirant-258x200.jpgPassé un certain âge, on commence à additionner avec amertume les croix dans son carnet d’adresse. Certaines sont plus pénibles à tracer que d’autres… et celle de Stéphane est lourde de près de trois décennies d’amitié sur fond de complicité professionnelle à National Hebdo, au Crapouillot, à Paris scandale, Pas d’Panique à bord et plus récemment à Flash

Je savais qu’il travaillait pour le Front national – mais ignorais comme d’ailleurs beaucoup de ses plus proches amis – qu’il en avait tant et tant fait en tant que directeur artistique, presque « tout fait » depuis tant d’années serait-on tenté de croire… et sans compter ses dessins de presse si drôles, si incisifs et souvent si émouvants. Beaucoup de lecteurs se les rappellent encore avec nostalgie sans toutefois savoir qui en était l’auteur, puisque signés des seules initiales « SLB » pour Stéphane Le Brieuc… C’est que l’animal était breton ! Un sacré Breton, même… tout comme un sacré ami !

Philippe Randa

18:33 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le vrai vainqueur de la partielle du Doubs, c'est Christophe Guilluy

1232521484.jpgAndré Bercoff

Le Figaro cliquez ici

Le vrai vainqueur des élections partielles dans le Doubs, ce n'est ni le PS qui se frotte encore les yeux d'être pour une fois le miraculé de Lourdes, ni le FN qui avance spectaculairement vers le lit conjugal de la République mais n'arrive pas encore à concrétiser ; et encore moins, évidemment, l'UMP qui ressemble de plus en plus à la célèbre métaphore de Lautréamont : la rencontre d'un parapluie et d'une machine à coudre sur une table à dissection. Pour une fois, la victoire appartient aux analystes, à ceux qui ont eu - ils sont rares - la lucidité de mettre les vrais mots sur les vraies choses. Je pense notamment à Christophe Guilluy, l'auteur de «La France périphérique», lecture recommandée à tous ceux qui ont envie d'aller au-delà des apparences, à l'instar de quelques autres : Jean-Pierre Le Goff, Michèle Tribalat et tous ceux qui n'ont pas peur de braver l'omerta de la bien-pensance en rappelant que le Roi est nu, la politique aussi.

On l'a bien vu hier, en modèle réduit: les villes (Audincourt) ont voté largement PS, mais les bourgades, encore plus largement, FN. En France, les métropoles productives qui rassemblent bobos et immigrés votent pour les partis de gouvernement. La périphérie, les villes pavillonnaires, les villages, les campagnes, face au train de la mondialisation et autres Swissgate, qu'ils regardent passer médusés et qui représentent plus de la moitié de la population: paysans, ouvriers, employés, petits commerçants, artisans, retraités etc… se sentent de plus en plus laissés pour compte et ne savent plus dans quel pays ils habitent, devenus inconsciemment variables d'ajustement pour des gouvernants qui les ont, depuis longtemps, passés par pertes et profits. Du coup, ayant voté RPR puis UMP et ayant apprécié les résultats, apporté leurs suffrages au PS et constaté à quel point le changement, c'est maintenant, ils se retournent vers la seule offre politique non encore essayée. Les aberrations économiques du programme marinesque ne les effrayent pas, eu égard à la situation régnante. Quant au Front républicain, n'y croient plus que certains bateleurs dont le disque dur s'est arrêté aux années 50. Car de deux choses l'une : ou le FN est un parti fasciste et factieux et il faut l'interdire, ou il appartient en propre au paysage politique et il faut l'accepter comme tel, quitte à le combattre avec les armes de la raison et de l'esprit critique.

Pour le moment, nous sommes nombreux à ne pas avoir attendu les résultats du Doubs pour dresser le constat de décès d'une certaine manière de faire de la politique et la décadence absolue d'une Vème République mise à nu par ses célibataires mêmes. Entre les merveilleux tapis volants de la HSBC et le ras-le-bol des cocus de la quotidienneté, il faut choisir. D'urgence.

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A propos de "La France périphérique" le dernier livre de Christophe Guilluy

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Fractures périphériques

Georges Feltin-Tracol

Synthèse nationale n°38 (janvier février 2015)

La rentrée éditoriale 2014 assure à certains livres une belle renommée, de susciter des polémiques et de se vendre bien. Géographe de formation, auteur en 2010 de Fractures françaises qui annonçait la lente fragmentation de l’espace hexagonal, Christophe Guilluy offre son expertise socio-territoriale aux collectivités territoriales. Homme de terrain, il est à mille lieux de l’universitaire qu’il se refuse d’être et avec qui il a le bon sens de décliner tout débat. Cela n’a pas empêché un jury composé de Chantal Delsol, d’Éric Zémour, de l’académicien Jean Clair et des journalistes Bruno de Cessole, Jean Sévilla et François Taillandier, de lui décerner le Prix 2014 des Impertinents (1).

Plus court que son précédent ouvrage, La France périphérique en confirme et en approfondit les observations récoltées : la France est en train d’éclater parce que « la recomposition économique des grandes villes a entraîné une recomposition sociale de tous les territoires (p. 11) ». Les effets conjugués de la mondialisation et de la métropolisation des zones urbaines modifient à la fois la répartition territoriale et la société françaises. « Branko Milanovic, économiste de la Banque mondiale, montre qu’après vingt ans de globalisation, on assiste à un effondrement des classes moyennes des pays développés (p. 17). » Elles subissent de plein fouet une involution majeure. « En quelques décennies, l’économie des grandes villes s’est spécialisée vers les secteurs économiques les mieux intégrés à l’économie-monde et qui nécessitent le plus souvent l’emploi de personnel très qualifié (pp. 34 - 35) » si bien que « les nouvelles lignes de fracture se creusent d’abord entre des couches supérieures intégrées et des couches populaires (p. 75) ».

Postures et impostures hexagonales

En outre, « la mondialisation, fait économique et financier, est aussi une idéologie qui prône un “ individu-mobile ”, lequel ne se réfère plus ni à une classe sociale, ni à un territoire, ni à une histoire (p. 109) ». C’est donc fort logiquement que « dans le contexte de la mondialisation, la mobilité des hommes est perçue comme un fait global, une dynamique qui accompagne la logique libérale de circulation des capitaux et des marchandises (pp. 111 - 112) ». Or cette accessibilité au mouvement ne concerne qu’une minorité favorisée. La majorité se cantonne à une fixation contrainte sans comprendre que « la fin de la mobilité réactive mécaniquement les questions de la relocalisation et du réenracinement (p. 110) ». Un éloignement psychologique s’opère-t-il ? Difficile à dire. Certes, les études confirment qu’« après plusieurs décennies de recomposition des territoires, les catégories populaires vivent désormais sur les territoires les plus éloignés des zones d’emplois les plus actives et où le maillage en transports publics est le plus faible (p. 121) ». Les ménages populaires doivent par conséquent posséder deux véhicules et subir la hausse fiscale du prix des carburants, le flicage routier permanent et la perte de temps considérable dans les embouteillages, ce dont se moquent les bobos urbains à vélo, en rollers ou en trottinette. La faible mobilité des populations reléguées en périphérie s’accentue aussi en raison de l’impossibilité de vendre leurs biens immobiliers guère attractifs pour s’installer ensuite dans des zones urbaines prospères au loyer élevé. Christophe Guilluy remarque que « cette fracture territoriale dessine la confrontation à venir entre mobile et sédentaire. C’est cette France de la sédentarisation contrainte qui portera demain le modèle économique et politique alternatif (pp. 126 - 127) ».

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mardi, 10 février 2015

Thomas Joly et Monique Thierry candidats sur le canton de Beauvais 2

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Thomas Joly et Monique Thierry ont annoncé lundi 9 février à Beauvais, à l'occasion d'une conférence de presse, leur candidature aux élections départementales sur le canton de Beauvais 2.

Face aux représentants du Système, aux islamo-collabos que sont Sylvie Houssin (PS), Franck Pia (fausse droite) et Sébastien Chenu (Rassemblement Rose Marine) - qui ont tous voté pour la construction de la grande Mosquée de Beauvais en 2008 -, les candidats du Parti de la France entendent représenter le Front National canal historique.

Radicalement opposés à la colonisation migratoire et à l'islamisation de notre société, les candidats de droite nationale offrent une véritable une alternative aux électeurs patriotes qui ne peuvent décemment se retrouver dans l'improbable tandem composé par le militant homosexualiste Sébastien Chenu (co-fondateur de Gay Lib) et la fantômatique représentante du néo-FN à Beauvais, incarnation parfaite de la candidate prête-nom.

Thomas Joly est fonctionnaire de l'Éducation nationale, a 38 ans, est marié et père de 3 enfants. Conseiller régional de 2004 à 2010, il est le Secrétaire général du Parti de la France depuis 2009.

Monique Thierry est une retraité de 64 ans, anciennement responsable d'une agence d'intérim beauvaisienne. Elle est Conseillère municipale de Beauvais et Conseillère communautaire à la communauté d'agglomération.

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lundi, 09 février 2015

Lyon, 23 mars, "En liberté surveillée..."

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Avez-vous lu En Liberté surveillée,

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Le nouveau numéro de "Réfléchir et Agir" est sorti

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17:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi soir, Georges Feltin-Tracol sera invité par Arnaud Guyot-Jeannin sur Radio Courtoisie

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Le prochain Libre Journal des enjeux actuels dirigé par Arnaud Guyot-Jeannin aura lieu le mardi 10 février (de 21 h 30 à 23 h 00) et portera sur les thèmes suivants : Thierry Maulnier : un penseur politique à redécouvrir; Les écrivains étrangers anticonformistes. Invités : Georges Feltin-Tracol, rédacteur en chef du site Europe Maxima, auteur d'un essai Thierry Maulnier Un itinéraire singulier (Auda Isarn), Philippe d'Hugues, écrivain, préfacier de Thierry Maulnier, Un itinéraire singulier, Bruno de Cessole, rédacteur en chef des pages culturelles de Valeurs actuelles et auteur de L'Internationale des francs-tireurs (L'Editeur), François Bousquet, collaborateur à la revue Eléments. Cette émission sera rediffusée le jeudi 12 février à la même heure.

Rappelons que Georges Feltin-Tracol est aussi l'auteur du livre choc En liberté surveillée paru aux Bouquins de Synthèse nationale.

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En vente en ligne cliquez ici

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02:00 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 08 février 2015

En attendant la sortie prochaine du numéro 5 :

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22:39 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen

16:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La conférence-exposition organisée jeudi dernier par Synthèse nationale sur la Syrie

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Roland Hélie, Rima Khlifaoui, Robert Spieler et Bassam Tahhan

Jeudi dernier, 5 février, Synthèse nationale organisait à Paris une conférence-exposition sur la guerre en Syrie. Un public nombreux est venu participer à cette soirée.

Cette conférence avait pour objet de rapporter les travaux du colloque international contre le terrorisme islamique qui s'est déroulé à Damas début décembre en présence de plusieurs collaborateurs de notre revue dont Robert Spieler qui est aussi chroniqueur à l'hebdomadaire Rivarol.

Deux invités syriens de marque ont expliqué la situation dans leur pays. Tout d'abord Madame Rima Khlifaoui, Présidente de la Communauté des Syriens de France, qui nous donna de tristes nouvelles de son pays où le matin même des centaines d'obus tirés par les terroristes de l'Etat islamique avaient fait des ravages. Néanmoins, Madame Khlifaoui ne se décourage pas pour autant et elle continue à militer, avec son association, pour défendre l'idée d'une Syrie souveraine et libre. C'est à elle que nous devons la très belle exposition de photos et d'objets que les participants purent apprécier avant et après la conférence.

Puis ce fut le tour du Professeur Bassam Tahhan de nous parler de l'aspect politique et géopolitique du conflit. Ancien professeur, entre autres, à l'Ecole Polytechnique et à l'Ecole de guerre, Bassam Tahhan est très souvent invité dans les médias français pour exposer son avis non conformiste sur le conflit en Syrie. En effet, il fait confiance au Président Bachar el Assad et au peuple syrien pour vaincre le terrorisme islamique. Il a démonté avec talent la politique hasardeuse de la France hollandesque depuis le début des événements. Il nous a donné une vision claire et précise des choses en dénonçant le rôle néfaste joué par les américains, certaines pétro-monarchies et par Israël. Il nous parla aussi de Michael Aflak et de la place du parti Baas dans l'histoire syrienne. Très prochainement vous pourrez écouter sa conférence sur ce site.

Robert Spieler nous rapporta ensuite les travaux du colloque de Damas et Roland Hélie, en guise de conclusion, appela les nationalistes et identitaires à défendre la cause des patriotes syriens face au danger islamique.

Quelques vues de la soirée :

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Un public attentif et nombreux

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Une exposition appréciée

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L'écrivain Patrick Gofman admire l'artisanat syrien

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Roland Hélie s'entretient avec des participants.

12:02 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Création d'une alliance européenne de mouvements nationalistes...

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Source Lionel Baland cliquez ici

Ce 4 février 2015, l’Alliance pour la paix et la liberté (Alliance for Peace and Freedom - APF), regroupant des partis nationalistes radicaux a tenu une réunion à Bruxelles. Les personnes présentes étaient Roberto Fiore (Forza Nuova - Italie), Artemis Mattheopoulos (Aube dorée – Grèce), Nick Griffin (Royaume-Uni), Jens Pühse (NPD - Allemagne), Gonzalo Martin Garcia (Démocratie Nationale – Espagne), Herve van Laethem (Nation – Belgique), Daniel Carlsen (Danskernes Parti Danemark), Olivier Wyssa (France).

12:01 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger, cliquez ICI

11:31 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |