vendredi, 13 février 2015
Un nouveau numéro (n°16) de la revue Livr'arbitres
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jeudi, 12 février 2015
DES BOMBARDIERS RUSSES AU-DESSUS DE LA MANCHE Vers une guerre froide voulue par les Etats-Unis
Marc Rousset
Le président russe, Vladimir Poutine, n’est pas vraiment du genre à reculer face aux sanctions imposées à son pays et aux attaques subies par son économie. Il semblerait qu’il ait intensifié non seulement sa rhétorique, mais aussi ses activités militaires.
Sa plus récente initiative a été une autre démonstration de force pour faire comprendre à l’Occident que la Russie est prête à tout pour protéger ses intérêts. La Royal Air Force britannique a dépêché des avions de chasse jeudi après que deux bombardiers russes à capacité nucléaire aient volé au travers d’un couloir aérien civil au-dessus de la Manche. Les transpondeurs des bombardiers étaient éteints, ont déclaré les fonctionnaires britanniques, ce qui les a rendus invisibles pour un certain nombre de systèmes de contrôle aérien. L’incident a retardé plusieurs vols commerciaux et a poussé le gouvernement britannique à demander à l’ambassade russe de se présenter immédiatement devant le ministère des affaires étrangères.
Cet incident fait suite à une série de survols de la côte ouest des Etats-Unis par des bombardiers russes, depuis l’Alaska jusqu’en Californie. Il a même été dit que les Russes auraient testé une nouvelle arme l’année dernière, qui aurait rendu inefficaces les systèmes de contrôle aérien commerciaux de Los Angeles.
Un peu plus tôt ce matin, l’ancien dirigeant soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, a décrété que les Etats-Unis et la Russie s’étaient engagés dans une nouvelle guerre froide qui pourrait bel et bien « devenir chaude » si les tensions entre les deux nations ne se dissipaient pas.
L’année dernière, Vladimir Poutine a fait des remarques similaires. Il a accusé Barack Obama d’avoir adopté une « approche hostile » lorsqu’il a décrit la Russie de menace pour le monde lors de son discours devant l’Assemblée générale des Nations-Unies le 24 septembre. « Nous espérons que nos partenaires réaliseront la futilité des tentatives de chantage contre la Russie et se souviendront des conséquences qu’une discorde entre des puissances nucléaires pourraient avoir sur la stabilité stratégique du monde ».
Poutine a ajouté qu’Obama aurait identifié l’agression de l’Europe par la Russie comme l’une des « trois grandes menaces actuelles pour l’humanité », avec l’Ebola et l’EIIL. « Aux côtés des sanctions qui ont affecté des secteurs entiers de notre économie, cette approche ne peut être qualifiée que d’hostile », a dit Poutine.
Le grand allié de la Russie face à l’Occident, la Chine, semble aussi prendre des initiatives courageuses. Selon une photo satellite des îles Nanji, le pays construirait une infrastructure de ravitaillement dont l’emplacement suggère le positionnement éventuel de troupes dans l’anticipation d’une guerre avec le Japon. En 2010, le lancement d'un missile au large de la côte californienne a été attribué à la Chine par certains observateurs qui pensent que le pays cherche lui-aussi à signaler sa volonté de s’engager dans un conflit si la nécessité s’en faisait ressentir.
Avec une économie en déclin des deux côtés de l’océan, l’influence de la Russie qui s’accroît au travers de l’ancien bloc de l’Est, et la présence de forces américaines en Europe, il ne pourrait qu’être une question de temps avant que la situation devienne critique.
Il est inquiétant que la question d’armes nucléaires ait déjà été soulevée. Et plus terrifiants encore sont les psychopathes qui se tiennent debout, le doigt sur le bouton.
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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mercredi, 11 février 2015
Riposte laïque mobilise à nouveau pour le dimanche 15 mars :
Riposte laïque cliquez ici
19:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3174 du 5 février 2015
LE PRÉSIDENT François Hollande a commis une nouvelle gaffe en annonçant qu’il se rendrait aux obsèques du roi séoudien Abdallah qui vient de décéder à l’âge de 90 ans. Problème : il était inhumé à Ryad, en présence de plusieurs dirigeants de la région, au moment même où l’improbable oiseau tenait ces propos. « Il vient de mourir, je viendrai à ses obsèques pour qu’il y ait un renforcement des relations entre la France et l’Arabie Séoudite », a déclaré le président en marge du Forum économique mondial à Davos en Suisse. On notera l’élégance du propos : venir à des obsèques pour faire des affaires… L’Elysée a fini par rectifier les propos du président, expliquant que Hollande irait « présenter ses condoléances » en Arabie Séoudite, à une date qui reste à déterminer. Ouf, on respire…
ET PUIS, LE PINGOUIN GAFFE, UNE FOIS DE PLUS…
François Hollande présentait récemment ses vœux aux entreprises. Il n’a pas manqué de déraper. Il n’a pas pu s’empêcher de divulguer des informations ultraconfidentielles relatives à la Banque centrale européenne, déclarant : « La Banque centrale européenne va prendre la décision de racheter des dettes souveraines, ce qui va donner des liquidités importantes à l’économie européenne et […] peut créer un mouvement favorable à la croissance ». Cette information devait rester secrète pendant quelques jours. Le propos de Hollande met, en tout cas, en lumière le manque d’indépendance de la BCE et aurait pu sérieusement affoler les marchés. Bref, Hollande a commis tout simplement un délit d’initié…
BONNE NOUVELLE : LA TURQUIE ENVOIE PAÎTRE L’EUROPE
« La Turquie n’attendra plus aux portes de l’UE, en la suppliant d’y adhérer », écrit le quotidien Rossiïskaïa gazeta. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré au quotidien ottoman Today’s Zaman que l’Europe n’était plus très attractive pour Ankara. « C’est aujourd’hui un pays puissant (la Turquie). Mais si vous attendez qu’elle vous supplie, sachez que la Turquie n’est plus ce genre de pays ». Et il ajoute : « Nous testons l’Europe. Pourra-t-elle accepter et faire entrer dans ses rangs la Turquie, dont les habitants sont des musulmans ? Si vous êtes contre l’islamophobie, vous devez accepter la Turquie dans l’UE ». Quelle arrogance ! Disons-le simplement. Si la Turquie intègre l’Union européenne, Ankara pourrait devenir majoritaire au Parlement européen dans les années à venir, car sa composition est établie proportionnellement à la population des pays membres. La chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini, une délirante de très haut vol, a ouvertement déclaré que si la Turquie ne forçait pas les relations avec la Russie (c’est-à-dire si elle savait prendre ses distances), l’adhésion à l’UE pourrait devenir réalité. Le ministre turc de l’Energie et des Ressources naturelles Taner Yildiz a quant à lui déclaré qu’Ankara n’avait pas l’intention de choisir entre Moscou et Bruxelles. Selon les sondages, seulement 20 % de la population soutiennent l’intégration européenne. Comme m’écrit notre ami rivarolien Patrick Rizzi : « Les instances européennes sont apparemment prêtes à vendre les peuples européens rien que pour emm... les Russes ».
PATRICK VIGNAL, DÉPUTÉ PS, NE CROIT PLUS AU “VIVRE ENSEMBLE”
Invité de Jean-Jacques Bourdin, Patrick Vignal, député PS de la 9e circonscription de l’Hérault dont fait partie Lunel, est revenu sur l’arrestation de cinq djihadistes le 27 janvier. L’élu héraultais a notamment affirmé : « Je vais décevoir mes amis du Parti socialiste mais je ne crois plus au vivre-ensemble ». Les faits sont si têtus que même les aveugles finissent par recouvrer (un peu) la vue…
DIEU, QU’ILS SE HAÏSSENT !
Dans un entretien donné au Point, François Fillon explose de rage contre Hollande, le traitant de “salopard” et assurant que Sarkozy était moins pervers que son successeur. Selon le député de Paris, François œuvre contre lui, notamment en ce qui concerne la fuite dans la presse de sa rencontre avec Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général de l’Elysée, le 24 juin dernier lors de laquelle il est supposé avoir demandé de faire accélérer les procédures judiciaires en cours contre Nicolas Sarkozy, afin qu’il ne puisse revenir en politique, ce qu’il nie farouchement. Il accuse en fait Hollande de vouloir mettre en selle Sarkozy, qu’il estime électoralement plus faible que Fillon ou Juppé, déclarant « Avec cette affaire Jouyet, Hollande a cherché à me tuer » et ajoutant en toute humanité : « Hollande est très méchant. Dans l’affaire qui me concerne, c’est un salopard ».
Et Sarkozy dans tout cela ? C’est l’être le plus doux, le plus tendre que Fillon connaisse. L’ancien Premier ministre raconte : « En ce moment, il est très tolérant, très aimable. Il passe son temps à me dire : “On est amis, François, hein ?” ». Fillon, dans un émouvant cri amoureux, explique que Nicolas Sarkozy est « plus tendre ». « Je ne crois pas que Sarkozy soit pervers. En tout cas, sa perversité est moins grande que celle de Hollande », déclare-t-il. Voilà comment cela se passe dans leur République et dans leur démocratie…
GUILLON N’EST PAS DIEUDONNÉ !
On sait que Jean-Marie Le Pen (voir RIV. de la semaine dernière) a échappé à l’incendie de sa maison de Rueil qui a été totalement détruite. Dieu merci, il n’a été que légèrement blessé au visage et à l’épaule en sautant courageusement à 86 ans et demi sur une terrasse en contre-bas. On ignore l’origine du sinistre. Certains ont évoqué un feu de cheminée, ce qui n’est pas le cas. Peut-être un court-circuit, m’a dit au téléphone Jean-Marie Le Pen. Il m’a confié son chagrin de voir disparaitre ainsi des tableaux auxquels il tenait, des livres, des archives. Je me suis autorisé à lui transmettre, au nom de tous les Rivaroliens, notre amitié et notre soutien dans cette dure épreuve. Courageux comme toujours, il m’a dit « la vie reprendra son cours ». Mais en attendant, des ordures se sont lâchées. L’“humoriste” Stéphane Guillon, qui est à l’humour ce que le sida est au rhume, a twitté « Jean-Marie Le Pen sort indemne de l’incendie de son appart. Pour une fois qu’un hommage à Jeanne d’Arc nous aurait fait plaisir ». Quelle ignoble saloperie ! Mais comme nous l’écrivions la semaine dernière, à la différence de Dieudonné, Guillon ne risque pas d’être poursuivi par le Parquet !
MARIE-CAROLINE LE PEN APPORTE SON SOUTIEN À SON PÈRE
On sait que la rupture est totale entre Jean-Marie Le Pen et l’aînée de ses filles, Marie-Caroline. Les raisons de la brouille entre le fondateur du Front National et sa fille aînée sont à chercher du côté de la scission menée par Bruno Mégret et Philippe Olivier, mari de l’intéressée, du parti en 1998. Jean-Marie Le Pen n’a jamais pardonné à sa fille d’avoir rejoint Mégret, ce qu’il a considéré comme une trahison. A telle enseigne qu’il avait refusé de la prendre au téléphone quand elle souhaitait le féliciter de sa présence au second tour de l’élection présidentielle en 2002. Il a la rancune tenace, déclarant à Serge Moatti : « Nous avons un fort contentieux, ce sont des attitudes personnelles à mon égard que je juge incompatibles avec la morale familiale et avec la morale tout court ». Et de trancher : « je ne pardonne pas tout ». Il semblerait par ailleurs qu’un contentieux immobilier ait aggravé la situation. Il n’en demeure pas moins que Marie-Caroline est venue à la rescousse de son père, qui a eu à subir les railleries et le mépris du numéro deux du FN, Florian Philippot, qui avait déclaré en substance que le Menhir ne pesait plus rien. Sur Twitter, elle a dénoncé les « propos déplacés de Philippot envers Jean-Marie Le Pen » raillant de la part du premier « une malsaine complicité avec les media du système ». Elle a ensuite sévèrement taclé Philippot, et, partant, sa sœur Marine, que manifestement elle ne porte pas dans son cœur,pour leur soutien au parti d’extrême gauche grec Syriza, qu’elle définit fort justement comme étant immigrationniste. Cela sera-t-il suffisant pour une grande réconciliation ? Rien de moins sûr…
VALLS PRÉFÈRE LES JUIFS AUX CHRÉTIENS
« Le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens » Qui est l’auteur de ces très fortes paroles ? Manuel Valls ! C’est l’écrivain israélien Avraham B. Yehoshua qui nous le raconte. Il a publié dans Libération du 22 janvier une tribune sans intérêt, aussi délirante que déplacée, affirmant avec un culot extrême que « l’antisémitisme chrétien de droite nourrit indirectement l’antisémitisme islamiste ». Il fallait oser. Il a osé. Il a ajouté dans son article cette phrase merveilleuse : « le Premier ministre français, Manuel Valls, avec une grande générosité d’esprit, a proclamé que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ». Voilà au moins qui a le mérite de la clarté.
FRÉDÉRIC HAZIZA ET AUSCHWITZ : UNE PETITE ERREUR DE RIEN DU TOUT
Ce 27 janvier, pour le 70e anniversaire de l’arrivée de l’Armée rouge à Auschwitz, l’affreux “journaliste” Frédéric Haziza n’a pu résister à l’envie de rappeler que son grand-père, un certain Majloch Lansner, y avait été “exterminé”. Oui mais il y a un tout petit souci. Majloch Lanser n’a pas été “exterminé” à Auschwitz mais est mort à Theresienstadt, ville juive modèle que les nazis, qui ne manquaient pas d’imagination, avaient voulu créer. Bref, Haziza est un parfait mythomane. Il n’est, au demeurant, pas le seul…
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18:40 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décés du dessinateur Stéphane Le Brieuc (Stéphane Le Tirant)
Passé un certain âge, on commence à additionner avec amertume les croix dans son carnet d’adresse. Certaines sont plus pénibles à tracer que d’autres… et celle de Stéphane est lourde de près de trois décennies d’amitié sur fond de complicité professionnelle à National Hebdo, au Crapouillot, à Paris scandale, Pas d’Panique à bord et plus récemment à Flash…
Je savais qu’il travaillait pour le Front national – mais ignorais comme d’ailleurs beaucoup de ses plus proches amis – qu’il en avait tant et tant fait en tant que directeur artistique, presque « tout fait » depuis tant d’années serait-on tenté de croire… et sans compter ses dessins de presse si drôles, si incisifs et souvent si émouvants. Beaucoup de lecteurs se les rappellent encore avec nostalgie sans toutefois savoir qui en était l’auteur, puisque signés des seules initiales « SLB » pour Stéphane Le Brieuc… C’est que l’animal était breton ! Un sacré Breton, même… tout comme un sacré ami !
Philippe Randa
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Le vrai vainqueur de la partielle du Doubs, c'est Christophe Guilluy
André Bercoff
Le Figaro cliquez ici
Le vrai vainqueur des élections partielles dans le Doubs, ce n'est ni le PS qui se frotte encore les yeux d'être pour une fois le miraculé de Lourdes, ni le FN qui avance spectaculairement vers le lit conjugal de la République mais n'arrive pas encore à concrétiser ; et encore moins, évidemment, l'UMP qui ressemble de plus en plus à la célèbre métaphore de Lautréamont : la rencontre d'un parapluie et d'une machine à coudre sur une table à dissection. Pour une fois, la victoire appartient aux analystes, à ceux qui ont eu - ils sont rares - la lucidité de mettre les vrais mots sur les vraies choses. Je pense notamment à Christophe Guilluy, l'auteur de «La France périphérique», lecture recommandée à tous ceux qui ont envie d'aller au-delà des apparences, à l'instar de quelques autres : Jean-Pierre Le Goff, Michèle Tribalat et tous ceux qui n'ont pas peur de braver l'omerta de la bien-pensance en rappelant que le Roi est nu, la politique aussi.
On l'a bien vu hier, en modèle réduit: les villes (Audincourt) ont voté largement PS, mais les bourgades, encore plus largement, FN. En France, les métropoles productives qui rassemblent bobos et immigrés votent pour les partis de gouvernement. La périphérie, les villes pavillonnaires, les villages, les campagnes, face au train de la mondialisation et autres Swissgate, qu'ils regardent passer médusés et qui représentent plus de la moitié de la population: paysans, ouvriers, employés, petits commerçants, artisans, retraités etc… se sentent de plus en plus laissés pour compte et ne savent plus dans quel pays ils habitent, devenus inconsciemment variables d'ajustement pour des gouvernants qui les ont, depuis longtemps, passés par pertes et profits. Du coup, ayant voté RPR puis UMP et ayant apprécié les résultats, apporté leurs suffrages au PS et constaté à quel point le changement, c'est maintenant, ils se retournent vers la seule offre politique non encore essayée. Les aberrations économiques du programme marinesque ne les effrayent pas, eu égard à la situation régnante. Quant au Front républicain, n'y croient plus que certains bateleurs dont le disque dur s'est arrêté aux années 50. Car de deux choses l'une : ou le FN est un parti fasciste et factieux et il faut l'interdire, ou il appartient en propre au paysage politique et il faut l'accepter comme tel, quitte à le combattre avec les armes de la raison et de l'esprit critique.
Pour le moment, nous sommes nombreux à ne pas avoir attendu les résultats du Doubs pour dresser le constat de décès d'une certaine manière de faire de la politique et la décadence absolue d'une Vème République mise à nu par ses célibataires mêmes. Entre les merveilleux tapis volants de la HSBC et le ras-le-bol des cocus de la quotidienneté, il faut choisir. D'urgence.
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A propos de "La France périphérique" le dernier livre de Christophe Guilluy
Fractures périphériques
Georges Feltin-Tracol
Synthèse nationale n°38 (janvier février 2015)
La rentrée éditoriale 2014 assure à certains livres une belle renommée, de susciter des polémiques et de se vendre bien. Géographe de formation, auteur en 2010 de Fractures françaises qui annonçait la lente fragmentation de l’espace hexagonal, Christophe Guilluy offre son expertise socio-territoriale aux collectivités territoriales. Homme de terrain, il est à mille lieux de l’universitaire qu’il se refuse d’être et avec qui il a le bon sens de décliner tout débat. Cela n’a pas empêché un jury composé de Chantal Delsol, d’Éric Zémour, de l’académicien Jean Clair et des journalistes Bruno de Cessole, Jean Sévilla et François Taillandier, de lui décerner le Prix 2014 des Impertinents (1).
Plus court que son précédent ouvrage, La France périphérique en confirme et en approfondit les observations récoltées : la France est en train d’éclater parce que « la recomposition économique des grandes villes a entraîné une recomposition sociale de tous les territoires (p. 11) ». Les effets conjugués de la mondialisation et de la métropolisation des zones urbaines modifient à la fois la répartition territoriale et la société françaises. « Branko Milanovic, économiste de la Banque mondiale, montre qu’après vingt ans de globalisation, on assiste à un effondrement des classes moyennes des pays développés (p. 17). » Elles subissent de plein fouet une involution majeure. « En quelques décennies, l’économie des grandes villes s’est spécialisée vers les secteurs économiques les mieux intégrés à l’économie-monde et qui nécessitent le plus souvent l’emploi de personnel très qualifié (pp. 34 - 35) » si bien que « les nouvelles lignes de fracture se creusent d’abord entre des couches supérieures intégrées et des couches populaires (p. 75) ».
Postures et impostures hexagonales
En outre, « la mondialisation, fait économique et financier, est aussi une idéologie qui prône un “ individu-mobile ”, lequel ne se réfère plus ni à une classe sociale, ni à un territoire, ni à une histoire (p. 109) ». C’est donc fort logiquement que « dans le contexte de la mondialisation, la mobilité des hommes est perçue comme un fait global, une dynamique qui accompagne la logique libérale de circulation des capitaux et des marchandises (pp. 111 - 112) ». Or cette accessibilité au mouvement ne concerne qu’une minorité favorisée. La majorité se cantonne à une fixation contrainte sans comprendre que « la fin de la mobilité réactive mécaniquement les questions de la relocalisation et du réenracinement (p. 110) ». Un éloignement psychologique s’opère-t-il ? Difficile à dire. Certes, les études confirment qu’« après plusieurs décennies de recomposition des territoires, les catégories populaires vivent désormais sur les territoires les plus éloignés des zones d’emplois les plus actives et où le maillage en transports publics est le plus faible (p. 121) ». Les ménages populaires doivent par conséquent posséder deux véhicules et subir la hausse fiscale du prix des carburants, le flicage routier permanent et la perte de temps considérable dans les embouteillages, ce dont se moquent les bobos urbains à vélo, en rollers ou en trottinette. La faible mobilité des populations reléguées en périphérie s’accentue aussi en raison de l’impossibilité de vendre leurs biens immobiliers guère attractifs pour s’installer ensuite dans des zones urbaines prospères au loyer élevé. Christophe Guilluy remarque que « cette fracture territoriale dessine la confrontation à venir entre mobile et sédentaire. C’est cette France de la sédentarisation contrainte qui portera demain le modèle économique et politique alternatif (pp. 126 - 127) ».
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mardi, 10 février 2015
Thomas Joly et Monique Thierry candidats sur le canton de Beauvais 2
Thomas Joly et Monique Thierry ont annoncé lundi 9 février à Beauvais, à l'occasion d'une conférence de presse, leur candidature aux élections départementales sur le canton de Beauvais 2.
Face aux représentants du Système, aux islamo-collabos que sont Sylvie Houssin (PS), Franck Pia (fausse droite) et Sébastien Chenu (Rassemblement Rose Marine) - qui ont tous voté pour la construction de la grande Mosquée de Beauvais en 2008 -, les candidats du Parti de la France entendent représenter le Front National canal historique.
Radicalement opposés à la colonisation migratoire et à l'islamisation de notre société, les candidats de droite nationale offrent une véritable une alternative aux électeurs patriotes qui ne peuvent décemment se retrouver dans l'improbable tandem composé par le militant homosexualiste Sébastien Chenu (co-fondateur de Gay Lib) et la fantômatique représentante du néo-FN à Beauvais, incarnation parfaite de la candidate prête-nom.
Thomas Joly est fonctionnaire de l'Éducation nationale, a 38 ans, est marié et père de 3 enfants. Conseiller régional de 2004 à 2010, il est le Secrétaire général du Parti de la France depuis 2009.
Monique Thierry est une retraité de 64 ans, anciennement responsable d'une agence d'intérim beauvaisienne. Elle est Conseillère municipale de Beauvais et Conseillère communautaire à la communauté d'agglomération.
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lundi, 09 février 2015
Lyon, 23 mars, "En liberté surveillée..."
19:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro de "Réfléchir et Agir" est sorti
17:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mardi soir, Georges Feltin-Tracol sera invité par Arnaud Guyot-Jeannin sur Radio Courtoisie
Le prochain Libre Journal des enjeux actuels dirigé par Arnaud Guyot-Jeannin aura lieu le mardi 10 février (de 21 h 30 à 23 h 00) et portera sur les thèmes suivants : Thierry Maulnier : un penseur politique à redécouvrir; Les écrivains étrangers anticonformistes. Invités : Georges Feltin-Tracol, rédacteur en chef du site Europe Maxima, auteur d'un essai Thierry Maulnier Un itinéraire singulier (Auda Isarn), Philippe d'Hugues, écrivain, préfacier de Thierry Maulnier, Un itinéraire singulier, Bruno de Cessole, rédacteur en chef des pages culturelles de Valeurs actuelles et auteur de L'Internationale des francs-tireurs (L'Editeur), François Bousquet, collaborateur à la revue Eléments. Cette émission sera rediffusée le jeudi 12 février à la même heure.
Rappelons que Georges Feltin-Tracol est aussi l'auteur du livre choc En liberté surveillée paru aux Bouquins de Synthèse nationale.
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dimanche, 08 février 2015
En attendant la sortie prochaine du numéro 5 :
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22:39 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen
16:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La conférence-exposition organisée jeudi dernier par Synthèse nationale sur la Syrie
Roland Hélie, Rima Khlifaoui, Robert Spieler et Bassam Tahhan
Jeudi dernier, 5 février, Synthèse nationale organisait à Paris une conférence-exposition sur la guerre en Syrie. Un public nombreux est venu participer à cette soirée.
Cette conférence avait pour objet de rapporter les travaux du colloque international contre le terrorisme islamique qui s'est déroulé à Damas début décembre en présence de plusieurs collaborateurs de notre revue dont Robert Spieler qui est aussi chroniqueur à l'hebdomadaire Rivarol.
Deux invités syriens de marque ont expliqué la situation dans leur pays. Tout d'abord Madame Rima Khlifaoui, Présidente de la Communauté des Syriens de France, qui nous donna de tristes nouvelles de son pays où le matin même des centaines d'obus tirés par les terroristes de l'Etat islamique avaient fait des ravages. Néanmoins, Madame Khlifaoui ne se décourage pas pour autant et elle continue à militer, avec son association, pour défendre l'idée d'une Syrie souveraine et libre. C'est à elle que nous devons la très belle exposition de photos et d'objets que les participants purent apprécier avant et après la conférence.
Puis ce fut le tour du Professeur Bassam Tahhan de nous parler de l'aspect politique et géopolitique du conflit. Ancien professeur, entre autres, à l'Ecole Polytechnique et à l'Ecole de guerre, Bassam Tahhan est très souvent invité dans les médias français pour exposer son avis non conformiste sur le conflit en Syrie. En effet, il fait confiance au Président Bachar el Assad et au peuple syrien pour vaincre le terrorisme islamique. Il a démonté avec talent la politique hasardeuse de la France hollandesque depuis le début des événements. Il nous a donné une vision claire et précise des choses en dénonçant le rôle néfaste joué par les américains, certaines pétro-monarchies et par Israël. Il nous parla aussi de Michael Aflak et de la place du parti Baas dans l'histoire syrienne. Très prochainement vous pourrez écouter sa conférence sur ce site.
Robert Spieler nous rapporta ensuite les travaux du colloque de Damas et Roland Hélie, en guise de conclusion, appela les nationalistes et identitaires à défendre la cause des patriotes syriens face au danger islamique.
Quelques vues de la soirée :
Un public attentif et nombreux
Une exposition appréciée
L'écrivain Patrick Gofman admire l'artisanat syrien
Roland Hélie s'entretient avec des participants.
12:02 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Création d'une alliance européenne de mouvements nationalistes...
Source Lionel Baland cliquez ici
Ce 4 février 2015, l’Alliance pour la paix et la liberté (Alliance for Peace and Freedom - APF), regroupant des partis nationalistes radicaux a tenu une réunion à Bruxelles. Les personnes présentes étaient Roberto Fiore (Forza Nuova - Italie), Artemis Mattheopoulos (Aube dorée – Grèce), Nick Griffin (Royaume-Uni), Jens Pühse (NPD - Allemagne), Gonzalo Martin Garcia (Démocratie Nationale – Espagne), Herve van Laethem (Nation – Belgique), Daniel Carlsen (Danskernes Parti Danemark), Olivier Wyssa (France).
12:01 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ICI
11:31 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Assia Djebar a fini de cracher dans la soupe : la Coupole est paraît-il en deuil !
En guise d'éloge funèbre de la dame, dont l'envol ad patres ne va d'ailleurs guère remuer dans les chaumières gauloises, on se contentera de reproduire ci-après l'article qui lui avait été consacrée sur ce blog en juin 2006 à l'occasion de sa réception sous la Coupole :
Signe des temps, l' Algérienne Fatima Zohra Imalayène vient de devenir Immortelle... écrivain(e) sous le pseudonyme de Assia Djebar, elle a été reçue hier jeudi sous la Coupole où, dans son discours de réception, elle n'a pu s'empêcher de dénoncer longuement "l'immense plaie du colonialisme". On se plait à penser que c'est l'ivresse du moment qui lui a fait oublier que c'est aux colonisateurs, dont elle utilise la langue, qu'elle doit sa formation, son parcours et par là-même sa notoriété... certains diront que c'est en quelque sorte cracher dans la soupe ! Le moins que l'on puisse dire est que les oeuvres de la dame - une quinzaine en 50 ans - sont fort peu connues en France ; chantre du féminisme algérien, elle avait été élue à l'Académie française en juin 2005, au second tour, surtout pour sa participation à la promotion de la francophonie et pour ce que, fort lucidement d'ailleurs, elle avait nommé d'elle-même son "entêtement d'écrivain". On ignore, même si on peut le penser, si elle doit son élection à l'amical et présidentiel soutient de Jacques Chirac ; toujours est-il que celui-ci a salué "un nouveau témoignage de la profonde amitié entre la France et l'Algérie". On ne sait pas si l'ex-garçon de bain qui trône à Alger a la même vision des choses, ni si il a la même considération pour Fatima qui, il est vrai, ne met plus les pieds dans son pays d'origine qu'épisodiquement, résidant à New-York où elle enseigne la littérature française... pardon, l'immonde et détestable littérature colonialiste.
CQFD... sans plus !
10:04 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 07 février 2015
Il était l'un des invités de Synthèse nationale jeudi soir, la chaine TV Libertés le recevait vendredi : le Professeur Bassam Tahhan
Jeudi soir à Paris, Synthèse nationale organisait une conférence-exposition sur la Syrie en lutte contre le terrorisme islamique. Parmi les intervenants, syriens et français, il y avait le Professeur Bassam Tahhan. Le lendemain, suite à cette belle réunion sur laquelle nous reviendrons très prochainement, la chaine TV Libertés le recevait sur son plateau.
11:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
6 février 1945 : assassinat de Robert Brasillach !
9 janvier 1945, une parodie de procès aux Assises de la seine : 6 heures d'audience, aucune audition de témoins, des jurés populaires soigneusement sélectionnés pour avoir "fait preuve de sentiments nationaux au cours de l'Occupation" et de toutes façons tétanisés à la fois par Marcel Reboul - le procureur général, on dira plutôt l'accusateur public, un bonhomme fort soucieux par ses envolées haineuses de faire oublier qu'il fut robin zélé aux ordres de l'Etat Français et qu'il n'avait que récemment et fort opportunément retourné sa veste sinon son pantalon - et par le président Maurice Vidal qui -avant toute chose préoccupé de sa carrière- va expédier la délibération en 20 minutes avant de prononcer la sentence de mort dictée par le garde des sceaux du gouvernement provisoire du général à titre (éternellement) provisoire Charles De Gaulle.
6 février 1945, un poteau au Fort de Montrouge et 12 balles dans un corps de 35 ans : le général intérimaire n'a pas voulu commuer la peine, il n'a pas même daigné prendre connaissance de la demande de grâce contresignée par 55 personnalités comme Paul Valéry, Georges Duhamel, Jean Paulhan, Thierry Maulnier, Roland Dorgelès, Jean Anouilh, Jean-Louis Barrault, Jean Cocteau, Max Favalelli, Marcel Achard, Albert Camus, Arthur Honegger, Daniel Rops, Marcel Aymé, Colette, Charles Dullin...Grand par la taille seulement le général transitoire n'a pas eu le cran de contrarier les communistes de son gouvernement et puis, comme le dit excellemment le procureur Philippe Bilger dans son livre " 20 minutes pour la mort" "il manquait à cet homme d'Etat qui invoquait sans cesse la grandeur la seule grandeur qui vaille : la grandeur d'âme".
Il y a 70 ans qu'a été assassiné Robert Brasillach, journaliste, romancier, poète...pour ses idées, pour ses écrits et pour cela seulement. Pour d'aucuns, il est devenu de bon ton de se dire "Charlie", il n'y a donc aucune raison de ne pas pouvoir dire que l'on se sent "Robert" !
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vendredi, 06 février 2015
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15:39 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un nouveau "Qui suis-je ?" consacré à Ian Smith...
Ian Douglas Smith (1919-2007) : « Je dirai que la colonisation est une chose merveilleuse. Elle répandit la civilisation en Afrique. Avant il n'y avait pas d'eau, pas de langue écrite, pas de roue comme nous le savons. Pas d'écoles, pas d'hôpitaux, pas même de vêtements normaux.» (Mémoires.)
Il était, il est toujours, de bon ton dans les cercles « éclairés » de gloser sur les méfaits du « colonialisme », d'insister sur la faiblesse des cours des matières premières et sur l'égoïsme des « pays riches » comme cause essentielle du sous-développement. L'école marxisto-tiers-mondiste a chargé l'Europe de tous les péchés, faisant l'impasse sur le fait tribal, l'épuisement des sols, l'explosion démographique, le népotisme, la corruption, sans parler des fléaux endémiques que la colonisation était partiellement parvenue à endiguer. La Rhodésie, si elle avait vécu, aurait pu constituer une heureuse exception. Elle l'aurait due à un homme, héros de la Deuxième Guerre mondiale, pilote de la Royal Air Force et fermier dans son pays natal : Ian Douglas Smith.
Pendant quinze héroïques années, les Rhodies, sous la houlette de leur déterminé Premier ministre, homme d'honneur et de parole, ont résisté au monde entier, subissant sans broncher les retombées des sanctions décrétées par l'ONU et les mauvais coups d'une guérilla sanguinaire soutenue par le camp sino-soviétique. C'était, déjà, une guerre de la civilisation contre la barbarie.
Dans ce « Qui suis-je ? » Ian Smith, l'auteur démontre que, avec « le Lion au coeur fidèle » à la tête de sa minorité blanche, la Rhodésie s'en sortait mieux, pour la prospérité de tous, que le Zimbabwe « indépendant » entre les mains du kleptocrate totalitaire Robert Mugabe.
Ian Smith, Collection "Qui suis-je ?", Pardès, Jean-Claude Rolinat, 128 pages, 12 €
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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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Avez-vous lu le dernier Cahier d'Histoire du nationalisme consacré au PFN ?
10:45 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LES SOUMIS
Caroline Parmentier
Présent cliquez ici
Ils sont minables. Plus que jamais. Ces « leader cheap » de l’UMP ainsi que les a surnommés Libération. Ils sont atterrants. Et ils vont le payer. Le mieux serait dès dimanche prochain dans le Doubs.
La façon dont ils traitent Sophie Montel en lui ressortant notamment cette vieille lune grotesque de l’inégalité entre les races achève de les disqualifier. C’est ça l’urgence de la France, de la crise, du chômage et des attentats de 2015 ? C’est ça que les Français attendent d’eux ? Les Français qui n’en peuvent plus. Pas ceux des concerts bobos de Carla Bruni ou des conférences d’Abou Dhabi.
Juppé et Sarko sont deux vieux gagas arc-boutés sur leurs sièges, leurs stratégies électorales et leurs vieux serments franc-macs. Il faut euthanasier politiquement cette UMP-là.
Le spectacle de Sarko-Juppé aux ordres de la gauche qui assène chaque jour les preuves de sa nuisance pour le pays, aux ordres du plus sectaire et du plus extrémiste de tous : Cambadélis qui dit le bien et le mal, distribue les fautes morales et les médailles du Front républicain, est une honte pour tous leurs électeurs.
Demain ils préféreront faire alliance avec l’Etat islamiste plutôt qu’avec le Front national.
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6 FEVRIER 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH
02:48 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
6 février 1934 : à bas les voleurs! un cri plus que jamais d'actualité !
Yves Darchicourt
6 février 1934, les politicards inutiles, nuisibles, profiteurs et corrompus de la IIIe Ripoublique, menacés dans leurs privilèges par l'indignation grandissante du populaire, font tirer à salves sur une foule énorme de braves gens, dont un grand nombre d' anciens combattants rescapés de la Grande Guerre, qui n'avaient eu que le tort de crier "A bas les voleurs !", juste avant, encore tremblant et pissant de peur, de voter en l'urgence des lois restreignant la liberté du citoyen.
80 ans après, en digne héritière, la Ve Ripoublique, qui plus que jamais engraisse une foultitude de politiciens inutiles, nuisibles profiteurs et corrompus, a pris et s'apprête à durcir encore des lois scélérates, multipliées à l'envie, visant à empêcher le populaire gaulois de penser, d'écrire, de parler libre et de rester gaulois et fier de l'être.
Plus que jamais : à bas les voleurs et à bas les pourris ! Rassemblement Résistance Insoumission Reconquête !
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jeudi, 05 février 2015
Œil pour œil, dent pour dent : la riposte jordanienne face à l’ État islamique
Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici
Œil pour œil, dent pour dent. L’État islamique a revendiqué lundi, dans une vidéo atroce montrant le jeune homme de 26 ans brûler vif dans une cage, l’assassinat du pilote jordanien qu’il avait capturé en décembre. Mercredi matin, à l’aube, Aman, qui avait promis une riposte « terrible », a pendu deux djihadistes irakiens qu’il tenait prisonniers et avait condamnés à mort, un responsable d’Al-Qaïda et une femme dont l’État islamique avait un moment cherché à négocier la libération contre le jeune pilote jordanien.
Les Inrocks parlent « d’escalade de l’horreur », Courrier international évoque un « acte de vengeance plus que de justice ».
L’Occident interdit regarde cela comme s’il n’était qu’un observateur extérieur. Comme si ces mœurs un peu sauvages, cette façon de faire expéditive ne le concernait pas vraiment.
Sauf qu’il n’est pas un observateur extérieur, et si le jeune pilote a subi ce sort abominable, c’est bien parce qu’il était un soldat de la coalition : le peuple jordanien, d’ailleurs, en fait assez grief à son roi.
L’État islamique passe à chaque fois un nouveau « clic » dans l’horreur, et l’Occident, lui, a déjà épuisé son champ sémantique : François Hollande, à propos de la sordide nouvelle invention de l’État islamique, parle « d’assassinat barbare », Cameron de meurtre « effroyable ». Obama évoque, lui, « la barbarie », « la cruauté », « l’inhumanité » de l’État islamique. Oui, c’est indéniable, l’État islamique est barbare, cruel, effroyable et inhumain… d’accord. Mais ils l’ont déjà dit la dernière fois. Rien de plus à déclarer ?
Oui, le réservoir de vocabulaire de l’Occident est à sec… comme sa capacité de riposte ? Car il ne parle pas la même langue que l’État islamique. Ni même que la Jordanie. La Jordanie qui peut encore « atteindre » de ses flèches l’État islamique car elle ne craint pas – pourrait-on dire – « culturellement » de lui répondre sur son terrain, avec ses codes, ceux de la cruauté sans sommation, de l’injustice expéditive, du déshonneur par une mort humiliante.
Non que l’Occident tende toujours l’autre joue. Non que toutes ses guerres, hélas, soient justes. Non que ses avions de chasse, ses hélicoptères de combat, ses lance-roquettes fassent tomber une pluie de roses sur les populations, mais elle ne fait pas de l’horreur son arme fatale. Ne met pas en scène la cruauté.
La France comme les États-Unis se contentent donc de rester sur la touche, de considérer avec un peu de réprobation condescendante (ces gens-là ne sont pas comme nous), mêlée de compréhension compatissante, l’affaire des représailles jordaniennes. Eux ne mangent pas de ce pain-là. Et la prisonnière « Lady Al-Qaïda », que l’État islamique voulait un temps, dit-on, échanger contre James Foley, n’a pas été solennellement pendue haut et court par les Américains après la décapitation du journaliste.
D’aucuns diront que cette réfutation de la loi du talion est tout à l’honneur de l’Occident. D’autres qu’il ne s’agit que de lâcheté déguisée en grandeur d’âme, la légitime défense autorisant l’usage de moyens « proportionnés », et la Jordanie ayant répondu « en proportion ». Quoi qu’il en soit, eu égard aux temps troublés qui se profilent, le confort moral « discount » dans lequel pouvaient s’envelopper à la rigueur nos gouvernants en période sereine, quand on parvenait à tenir les horreurs de la guerre à longueur de gaffe, ne va plus suffire à les couvrir.
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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