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samedi, 26 juillet 2014

Dissolutions et recours : Serge Ayoub et Maître Gardères répondent au Conseil d'État

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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Aujourd'hui, dans la Nièvre :

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Palestine : Dominique de Villepin sauverait-il l’honneur de la France ?

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Nicolas Gauthier

Boulevard Voltaire cliquez ici

En politique, il est toujours possible de faire illusion. Un temps. Mais pas forcément très longtemps. D’où l’absence durable – mais pas forcément équitable – de position de la France vis-à-vis de ce qui se passe en Palestine. C’est-à-dire rien. Les plus audacieux se contentent de renvoyer dos à dos les deux protagonistes en question ; ce que fait aussi le Front national, qu’on a autrefois connu plus audacieux en matière de politique étrangère.

Le PCF et les Verts s’insurgent. Logique : à gauche, ils sont encore les derniers à tenter de faire de la politique. À l’UMP, c’est morne plaine. Et au gouvernement, quand Laurent Fabius ne pique pas du nez dans les réunions internationales, c’est encéphalogramme plat. À l’exception, peut-être, de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, qui refuse la « communautarisation » du conflit. Mais, quand la Place Beauvau commence à emprunter le vocabulaire du Bloc identitaire, ça donne une assez bonne idée de l’étendue du marasme.

Après, sachant que l’on ne saurait être à l’abri d’une bonne surprise, reste Dominique de Villepin qui vient de tenter une sortie en répondant aux questions du Parisien, ce vendredi dernier. Avec la préretraite vient le temps des audaces : « D’un côté, Israël vit dans la peur et l’insécurité. De l’autre, les Palestiniens sont un peuple sans terre et sans espoir. Avec une disproportion dans la réaction israélienne que l’on observe par le décompte macabre des victimes : près de 700 tués, en grande majorité civils, côté palestinien ; une trentaine de soldats côté israélien. »

De l’homme ayant prononcé le fracassant discours qu’on sait, dans l’enceinte de l’ONU, en 2003, on aurait pu attendre mieux ; mais au service de la France, le service minimum, c’est toujours mieux que rien.

Pour le reste, l’ancien Premier ministre ne fait rien de moins que de rappeler la voix du bon sens : « Il faut reconnaître la responsabilité des Nations unies dans ce dossier et leur confier un mandat sur la Palestine pour obtenir un processus de paix et aboutir à la création d’un État palestinien. Pour cela, six impératifs. Il faut une administration provisoire sur ce territoire avec le déploiement de Casques bleus. Des zones humanitaires protégées pour que la Palestine retrouve une vie normale. Un dialogue politique interpalestinien qui débouche sur des élections. La relance du processus de paix par une conférence internationale qui doit signer la création de ce nouvel État avec toutes les garanties données à Israël, sur sa sécurité en particulier. L’adhésion de cet État à la Cour pénale internationale, ce qui permettra de sanctionner les crimes contre l’humanité. Et enfin un plan d’aide et de développement économique qui enclencherait un cercle vertueux. C’est la responsabilité des Nations unies. Et qui, mieux que la France, peut porter un tel projet ? »

En gros, les données sont posées. Et les propositions avancées par Dominique de Villepin ne sont pas insensées. D’ailleurs, Élisabeth Lévy ou Alain Finkielkraut, qui ne sont pourtant pas des pro-Palestiniens frénétiques, ne disent finalement pas autre chose. Alors, la France, porte-parole idéal de ce projet de bon sens ? Bonne question, mais notre Président, François Hollande, n’incarne peut-être pas la réponse attendue. Normal, il a mieux à faire : officialisera-t-il sa liaison avec Julie Gayet avant l’automne ? Autre bonne question, car si les feuilles mortes se ramassent à la pelle, il y a aussi des coups de pelle dans la gueule qui se perdent…

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Gaza : 15 morts dans une école de l’ONU

155623813.pngCaroline Parmentier

Présent cliquez ici

Un obus israélien a tué jeudi (24/7) quinze personnes dans une école de l‘ONU de la bande de Gaza, alors que le bilan de l‘opération militaire contre le Hamas a dépassé vendredi les 800 morts palestiniens en 17 jours de raid.

Dans cette école de l'Agence de l'ONU pour l'aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA), située à Beït Hanoun, dans le Nord de l'enclave palestinienne, où étaient hébergées des personnes déplacées par les combats, il y avait des femmes, des enfants et des employés de l'Organisation.

L'armée israélienne a déclaré avoir riposté à des tirs de roquette par des combattants du Hamas, depuis la zone de Beït Hanoun. Quelque 110 000 civils de Gaza, où s'entassent 1,8 million d'habitants, se sont réfugiés dans les écoles de l'UNRWA. 116 écoles de Gaza, dont 75 de l'UNWRA, ont été endommagées par les tirs israéliens depuis le 8 juillet.

Le conflit menace en outre de s'étendre à la Cisjordanie occupée, où de violents affrontements entre Palestiniens et forces de sécurité israéliennes ont fait un mort jeudi soir.

Trêve élusive

Dans ce contexte, le cabinet de sécurité israélien devait se réunir vendredi pour discuter une proposition de cessez-le-feu transmise au Premier ministre Benjamin Netanyahu par le secrétaire d'Etat américain John Kerry, lors d'une rencontre mercredi à Tel-Aviv.

« Si le Hamas accepte la proposition américaine, il n'est pas impossible qu'il y ait aussi une décision israélienne pour l'accepter », a indiqué la radio publique.

« L'espoir de cessez-le-feu qu'avait fait naître John Kerry mercredi est toujours vivant », a assuré de son côté jeudi le président palestinien Mahmoud Abbas après avoir rencontré le roi Abdallah de Jordanie. Il a demandé que soit appuyée la proposition égyptienne de cessez-le-feu rejetée par le Hamas la semaine dernière.

Le lourd bilan des pertes civiles suscite de fortes critiques contre Israël. Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a diligenté une enquête sur de possibles « crimes de guerre » commis par l'armée tout en dénonçant les attaques aveugles du Hamas en Israël. Ce qui a provoqué la colère du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui a dénoncé « une parodie de justice » et a de nouveau accusé le Hamas d'utiliser la population de Gaza comme « bouclier humain ».

Israël semble déterminé à mener à terme son opération visant à détruire l'arsenal militaire du Hamas et de son allié du Jihad islamique, notamment les roquettes et tunnels utilisés pour les attaques au cœur de l'Etat hébreu.

« Nous ne ferons aucun compromis sur cet objectif », a prévenu le ministre de l'Intérieur, Gédéon Saar. Youval Steinitz, chargé du Renseignement, a même évoqué « l'option de la prise de contrôle de la bande de Gaza », gouverné par le Hamas depuis 2007.

Avant d'étudier tout cessez-le-feu, le mouvement islamiste exige une levée du blocus imposé depuis 2006.

« Nous voulons un aéroport, un port, nous voulons nous ouvrir au monde. Nous ne voulons pas être contrôlés par une frontière qui fait de Gaza la plus grande prison du monde », a affirmé le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, dans un entretien jeudi à la BBC.

Les millions de Hollande

De son côté le président François Hollande, toujours dispendieux avec notre argent, a annoncé le déblocage par la France de 11 millions d'euros pour l'aide humanitaire à Gaza. Sur ces 11 millions d'euros, huit seront versés à l'Autorité palestinienne, installée en Cisjordanie, et trois aux Nations-Unies et à des organisations non gouvernementales (ONG).

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vendredi, 25 juillet 2014

Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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Jean-Marie le Pen soutient Anne-Sophie Leclère et Dieudonné apporte quelques précisions...

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Philippe Randa : les “sans-papiers” sont une imposture volontaire de langage

Roman-noir-demandeurs-Asile-e.jpgPhilippe Randa, ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense nationale, est l’auteur de plus d’une centaine de livres… Il est également éditeur et chroniqueur politique. Ses articles sur Internet (Synthèse nationale, Boulevard Voltaire, etc.) et ses billets d’humeur (Présent) sont régulièrement repris sur de nombreux sites Internet. Il vient de publier Le Roman noir des demandeurs d’asile, préfacé par Jean-Yves Le Gallou, aux éditions de l’Æncre. Sans traiter l’historique de ce droit qui fut, comme l’écrit Le Gallou, « l’honneur de la France », l’auteur en aborde les dérives et les abus. Gouffre financier, ce droit généreux ne prend pas en considération les droits des français à la « souveraineté, à l’identité, à la sécurité et au respect civilisationnel. » Rencontre avec l’auteur. – C.R.

Pourquoi vous êtes-vous intéressé à ce sujet ?

Sur la question des demandes d’asile, je me suis aperçu que l’opinion publique a été fortement marqué par les réfugiés chiliens dans les années 70 du siècle dernier après le putsch du général Pinochet au Chili : la propagande de gauche et d’extrême-gauche ont convaincus nombre de nos compatriotes que tout opposant chilien était alors systématiquement torturé et exécuté, sans jugement aucun et cela même plusieurs années après la chute de Salvadore Allende… Fortement marqué par cette manipulation, les Français sont pour beaucoup ignorants des réalités de la question des Demandeurs d’asile en cette deuxième décennie du XXIe siècle… Dans leur esprit et quelles que soient leurs propres opinions politiques, de telles demandes sont peu ou prou légitimes sur le fond… Mais cette vision, c’était avant ! Depuis longtemps, la majorité des demandes d’asile s’avère être uniquement de la migration économique. Avec deux mamelles – les trafics humains d’une part et les subventions aux associations d’autre part – où s’abreuvent quantité d’acteurs peu scrupuleux.

Ce n’est d’ailleurs pas seulement vous qui l’affirmez…

Non, comme je l’ai indiqué en introduction de mon livre, Manuel Valls l’a lui-même reconnu dans les colonnes du Monde, en mai 2013…

Votre livre est-il exhaustif ?

Comment pourrait-il l’être, alors que chaque jour, nous assistons à de nouveaux coups de boutoirs d’une immigration-colonisation pas même ralentie, contrairement aux affirmations de nos gouvernants… On ne peut d’ailleurs plus le dissimuler : les tentatives de pénétration du continent européen via par exemple l’île de Lampedusa font désormais régulièrement la une de l’actualité… mais généralement lorsqu’un drame humain se produit, soit lorsqu’un bateau où se sont entassés des centaines de femmes et d’hommes fait naufrage avant d’avoir pu atteindre les côtes… Les associations pro-immigration jouent alors sur la pitié, non seulement pour culpabiliser « l’homme blanc », mais aussi pour récolter des fonds : l’un n’empêche pas l’autre, mais surtout, l’un est très profitable à l’autre : Y’a bon la culpabilisation !

Vous dénoncez ainsi les maffias qui tirent profit de ces demandes d’asile…

Elles sont régulièrement dénoncées, mais très difficilement mise en périls. Et pour cause ! Les multiples associations politisées à outrance – dont beaucoup sont financées sur fonds publics – n’hésitent jamais à monter aux créneaux, sous tous les prétextes possibles, pour entraver l’action des forces de l’ordre ; quand à la Justice où les membres du Syndicat de la Magistrature sont si nombreux, tout lui est bon pour laisser le temps aux pseudos-réfugiés de s’échapper dans la nature, de récupérer par des filières parfaitement au point de « faux-papiers » – rappelons que les « sans papiers » sont une imposture volontaire de langage pour apitoyer « l’homme blanc » et masquer l’image de ce qu’est réellement un clandestin : avant tout un délinquant ! – puis de lancer la procédure de naturalisation, aidés par les mercenaires de la cause imigrationniste : militants associatifs, avocats…

Vous consacrez d’ailleurs un chapitre à ces cabinets d’avocat spécialisés : vous parlez de juteux business…

Entre 2008 et 2012, les frais de dépenses liées au contentieux des étrangers pour les préfectures ont doublé : de 8,5 millions d’euros, ils sont passés 16,6 millions d’euros. Les « cochons de contribuables » apprécieront ! Chaque dossier rapporte entre 600 et 3 000 euros et certains avocats traitent jusqu’à 1000 dossiers par an. Des chiffres explicites, non ?

Vous révélez, documents à l’appui, que des sites africains font la promotion des « bons plans » du demandeurs d’asile…

Un exemple parmi d’autres : un site sénégalais compare pour le demandeur d’asile les avantages respectifs des « bons plans », des « réfugiés clitoridiens » (le pack Clit’Cut®) et ceux des voyages sportifs ou artistiques (les packs immigr’Art® ou immiSport®)… Le chantage humanitaire à l’excision des petites filles ou à la persécution des homosexuels est effectivement très efficace ; il s’agit alors, simplement, de suivre avec une certaine rigueur, la procédure administrative… « La demande d’asile expliquée aux nuls », en  quelque sorte !

(Propos recueillis par Catherine Robinson, paru dans Présent du vendredi 25 juillet 2014)

Le roman noir des Demandeurs d’asile, Philippe Randa, préface de Jean-Yves Le Gallou, Éditions L’Æncre, collection « L’Essentiel », 150 pages, 21 euros.

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mercredi, 23 juillet 2014

Mobilisation en faveur des chrétiens d'Irak...

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Jean Raspail sur TV Libertés

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir :

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol...

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

 

RIVAROL N° 3150 du 17 juillet 2014

 

ELIZABETH Badinter est l’épouse de Robert Badinter. Née Bleustein-Blanchet (son père, Marcel, est le fondateur du groupe de publicité Publicis), elle est une femme de lettres, philosophe, féministe et se retrouve à la tête d’une confortable fortune. D’origine juive, défenseur de la laïcité, elle a osé commettre ces propos, il y a quelques jours sur Europe 1 : « Je ne comprends pas que l’on tolère les kippas dans les écoles publiques ».

 

PAS DE KIPPAS DANS LES ÉCOLES PUBLIQUES !

 

Et, histoire d’aggraver son cas : « Je ne comprends pas que la mairie de Paris ait subventionné et continue de subventionner les écoles Loubavitch ». Courageuse, inconsciente ou tout simplement suffisamment riche pour n’avoir peur de rien ?

 

ALERTE ! ET VOICI QUE LE FILS DE TRIERWEILER SE MET LUI AUSSI À TWEETER !

 

On sait que Louis Sarkozy, le fils de son père, avait dénoncé dans un tweet « l’acharnement » dont l’ex-chef de l’État ferait l’objet de la part de la Justice française. L’adolescent courait au secours de son père, ce qu’on ne peut pas lui reprocher. Et voici que Léonard Trierweiler, le fils de la harpie, s’y met aussi. Dans un tweet adressé à Louis Sarkozy, Léonard Trierweiler a fait savoir à l’autre adolescent : « l’appartenance syndicale n’empêche pas un juge d’être impartial ». Si c’est lui qui le dit… Mais ce n’est pas fini. Alors que le Brésil était humilié par l’Allemagne pour la première demi-finale de la Coupe du monde le 8 juillet, Louis Sarkozy a twitté sur ce désastre à la mi-temps de la rencontre. « Le génocide brésilien ». Léonard Trierweiler a rapidement réagi à ce tweet : « Franchement Sarko-Junior, lâche Twitter et retourne pêcher le mérou ». Pourquoi le mérou ? Louis Sarkozy a récemment publié une photo de lui avec un masque et un harpon prêt pour partir pêcher. Voilà à quoi s’amusent les fils Sarkozy et Trierweiler…

 

ALERTE ! ET VOICI QUE LE FILS DE FABIUS RÉCIDIVE !

 

C’est Le Point qui raconte cette histoire. Le fils du ministre des Affaires étrangères fait une nouvelle fois parler de lui à cause de ses démêlés avec les autorités. Mis en cause en 2013 dans une affaire de faux, blanchiment et escroquerie, et mêlé à une affaire de disparition de dette au casino, Thomas Fabius a récemment été interpellé par la police. Selon les informations du Point, l’homme de 32 ans a été arrêté après avoir « forcé un barrage de police et grillé un feu au volant de son Audi cabriolet ». Pris en chasse par la police, il a été interpellé quelques rues plus loin, avant d’être “escorté” au commissariat de l’arrondissement et d’être relâché quelques heures plus tard, sans être placé en garde à vue. Il n’avait évidemment pas manqué de signaler aux policiers qu’il était le fils de son père… Condamné pour abus de confiance en 2011, Thomas Fabius, 32 ans a déjà eu quelques petits problèmes avec la justice. Connu pour être un flambeur, il a été reconnu coupable d’abus de confiance et condamné à payer 15 000 euros d’amende en 2011. L’année dernière, il a également été visé par une information judiciaire portant sur un appartement parisien de plus de 7 millions d’euros qu’il aurait acheté alors qu’il se déclare non-imposable.

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BERNARD CAZENEUVE : “UNE FRANCE PEU À PEU NAUSÉEUSE

 

Personne évidemment ne connaît Bernard Cazeneuve qui, paraît-il, est ministre de l’Intérieur. Mais il mérite d’être connu. Bernard Cazeneuve hait la France chrétienne. Petit rappel des propos qu’il a livrés, il y a quelques mois, à Famille chrétienne. Pour lui, évoquer les racines chrétiennes de la France, c’est « faire une relecture historique frelatée » qui a « rendu la France peu à peu nauséeuse ». Ce ne serait pas lui qui serait “nauséeux” ?

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UN “NÉO-NAZI” AU PARLEMENT EUROPÉEN !

 

Horresco referens : un “néonazi” siégera au sein de la commission des libertés civiles du Parlement européen. Martin Schulz, le Président du Parlement européen, et des organisations juives s’en étranglent d’indignation. Le supposé “néonazi” n’est autre qu’Udo Voigt, ancien Président du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD), élu député européen. Ça couine évidemment sec dans le Landerneau. La Jewish Telegraphic Agency, relayée par le site de la Licra, n’en peut plus. Voigt aurait tenu des propos élogieux à l’égard d’Adolf Hitler et serait révisionniste. Les phrases définitives n’ont pas tardé à éclore. Moshe Kantor, président du Congrès juif européen a déclaré : « C’est l’ultime insulte aux juifs européens et à l’Union européenne elle-même », intimant l’ordre à l’Europe de « refuser à cet homme de participer aux travaux du comité ».Quant à Stephan Kramer, directeur du American Jewish Committee’s European Office on Anti-Semitism, il déclare : « L’idée qu’un néo-nazi soit un défenseur des droits de l’homme en Europe est écœurante ». Toujours les grands mots…

 

UNE HISTOIRE DE FOOT

 

Les Rivaroliens passionnés de football apprécieront cette histoire. Il y a dix jours, John Bieniewicz, 44 ans, qui a une épouse et deux fils, arbitrait un match de football disputé dans la banlieue de Détroit (Michigan). Cet inconscient, tendance suicidaire, adressa un carton rouge (expulsion du jeu) à un des joueurs .Ce dernier, fou de rage, lui asséna un violent coup de poing à la tête. Il en mourut. Baseel Abdul-Amir Saad s’était ensuite enfui en faisant un doigt d’honneur aux spectateurs…

 

UNE GIGANTESQUE MOSQUÉE À BARCELONE ?

 

L’information semble confirmée. Une gigantesque mosquée prendrait la place des arènes de Barcelone. Sous réserve de l’approbation de la municipalité et de l’octroi du permis de construire. Le Qatar serait prêt à payer 2,2 milliards d’euros pour le rachat du monument et l’aménagement des 10 000 m2 disponibles. La mosquée pourrait contenir 40 000 places avec un minaret de 300 mètres de haut, une école coranique de 300 étudiants, une salle de conférence, un musée d’art et d’histoire islamique, un centre d’investigation sur l’histoire d’Al-Andalus, une bibliothèque, une salle de célébration des mariages, un restaurant et des locaux commerciaux. Bien implanté en Catalogne via sa fondation Qatar-Catalogne, l’émirat est aussi le sponsor principal de l’équipe de football de Barcelone.

 

LE ROI, VITE !

 

C’est Robin de la Roche qui a fait paraître sur le site boulevard Voltaire un article donnant des arguments des plus pertinents en faveur de la monarchie. Il pose la question : Qui sert son pays plus honorablement ? La Reine d’Angleterre qui a donné sa vie entière à son royaume, ou Hollande qui enfonce le pays, le ridiculise à l’international, Sarkozy mis en examen, etc. etc. ? Il estime que la solution pour s’assurer qu’un chef d’Etat ne soit soumis à aucune tentation est qu’il conserve sa position de Chef d’Etat jusqu’à la fin de ses jours. Quant à l’aspect financier, il calcule que la république coûte bien plus cher que la monarchie. Ses arguments sont assez pertinents. Il rappelle que selon un document de l’Assemblée nationale, l’Elysée dispose en 2014 d’un budget de 101,7 millions d’euros. Selon le Conseil Constitutionnel, l’élection présidentielle, à elle seule, coûte plus de 200 millions d’euros au contribuable. Sur 10 ans, la République et son président coûtent donc 1,4 milliard d’euros. Comparons ces chiffres à ceux du Royaume-Uni. Chaque année la reine et son mari se voient allouer un budget de fonctionnement de 30 millions d’euros. La famille royale reverse au Trésor Public environ 200 millions de livres provenant des bénéfices des domaines royaux (des milliers d’hectares), y compris des subventions de Bruxelles au titre de la politique agricole commune ! Coût brut de la couronne britannique sur 10 ans : 390 millions d’euros, c’est à dire moins d’un tiers du coût du Président en France…

 

BRAVO, ROBERT MÉNARD !

 

Samedi 5 juillet 2014 : le jour anniversaire des massacres d’Oran de 1961. Robert Ménard, maire de Béziers, s’incline et prononce des paroles émues au pied de la stèle située dans le cimetière de la ville. Une stèle qui fait couiner certains. Elle rend hommage à des héros de l’Organisation de l’armée secrète (OAS) qui furent fusillés pour avoir défendu leur idéal. Quatre hommes que les partisans de l’Algérie française n’oublieront jamais : Albert Dovecar, Claude Piegts, Jean-Marie Bastien-Thiry, organisateur de l’attentat manqué contre De Gaulle au Petit-Clamart, et Roger Degueldre, le fondateur des commandos Delta. Il rappelle : « Je suis né à Oran, mon père a failli être tué ce jour-là. Il y a un déni de réalité sur ce qui s’est passé… Les critiques ? Je m’en contrefiche ». Ce Ménard venu pourtant de la gauche ne manque décidément pas d’un certain courage !

 

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir :

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mardi, 22 juillet 2014

Le nouveau livre de Richard Roudier sur le découpage anti-identitaire de la France

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«Monsieur le Président, un gouvernement doit toujours avoir une méthode visible à chacun et celle-ci ne doit jamais paraître de son invention, sinon…

Sinon, il laissera infailliblement la place aux soupçons d’arbitraire ou d’arrangements louches. Ainsi, tout découpage territorial sera forcément suspect s’il n’obéit pas à une méthode vérifiable par tous, y compris jusqu’aux enfants des classes primaires… L’évidence est la vertu d’un découpage territorial ; l’obscurité est son crime, ne le savez-vous pas ?»

Contre la région découpée par François Hollande au mépris de l’Histoire et de la Géographie, Richard Roudier propose un découpage identitaire selon les anciennes aires linguistiques mais corrigé par des aspects fonctionnels…

Richard Roudier – Lettre Ouverte au Président à propos de la réforme des régions, réponse au bazar anti-identitaire – 12€+ 3€ de frais de port – 125 pages

Pour le commander, cliquez ici

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« IL EST NECESSAIRE QUE LES CASSEURS SOIENT LES PAYEURS ».

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Pieter Kerstens

Ainsi s’exprimait le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas, le 7 avril 1970, dans un entretien télévisé face à Pierre Desgraupes.

Une loi du 4 juin 1970, abrogée en 1982 (sous Mitterrand I) fut remplacée le 2 mars 2010 par la loi n° 2010-201 « sur les violences en bande » et renforçant la lutte contre les violences volontaires de groupes et la protection des personnes chargées d’une mission de service public ou de dégradations ou de destructions de bien.  Les délinquants sont passibles d’un an de prison et de 15.000€ d’amende.

Cet article est distinct de l’association de malfaiteurs et de celui des délits d’attroupements.

Ce à quoi nous avons assisté depuis 2 mois, lors des matchs concernant l’Algérie lors de la Coupe du Monde, à 4 reprises, ainsi qu’aux manifestations des 13, 14 et 19 juillet, répond parfaitement au cadre de cette loi.  Prochaine manifestation à Paris prévue ce mercredi 23/07.

 « Ouane, tout, tri : retourne dans ton pays ! ».

Durant les soirées foot-algérien, des dizaines de milliers d’immigrés ont clamé leur attachement à leur terre africaine, en saccageant par plaisir les biens publics et privés, lors de manifestations non autorisées.  Combien de condamnations ?

Plus curieusement, les médias n’ont soufflé mot sur le nombre de véhicules brûlés durant la nuit du 14 juillet. Un, deux ? 10, 20 ? Plus de 100 ?  Pas de communication de la part des préfectures. Il ne faut pas « stigmatiser »… Mais de Roubaix à Marseille et de Toulouse à Strasbourg, quelques entrefilets dans la presse locale laissent supposer que ces « débordements d’enthousiasme parmi les jeunes » ont été fort nombreux et s’imposent comme une tradition crapuleuse, de la part d’inassimilables.

 « A Paris comme à Gaza : Intifada ! »

Orchestrés par le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) du sieur Besancenot, les rassemblements (13/07 et 19/07) en faveur de la Palestine, suscitent réactions, exaspérations, colères et violences urbaines des différentes parties en cause.

Cette situation n’est pas nouvelle et l’importation du désespoir des Palestiniens dans l’Hexagone comme ailleurs en Europe existe depuis plus de 40 ans !  Les Régimes laissent faire et condamnent du bout des lèvres les exactions des uns et des autres.  Cette indulgence et cette complaisance conduisent inévitablement à encourager les délits pour lesquels les juges prétextent l’ « excuse », comme nous en sommes les témoins depuis trop longtemps.

De son côté, le militantisme sioniste est dirigé par des groupes de pression politiquement organisé, autoproclamé, qui impose ses intérêts, ses désirs et ses choix, en taxant d’« antisémite » tout ceux qui ne sont pas d’accord avec eux. Ou encore de « Palestine on t’enc..le ! », tel le 13/7.

Certains prétendent que l’Occident doit défendre l’état d’Israël car situé aux avant-postes du Djihad. Quel Occident ? Celui de Washington à Tokyo et de Ryad à Londres ?  Celui des banksters de Wall Street et des eurocrates de Bruxelles ?  L’Occident du complexe militaro-industriel yankee et des conglomérats du business agro-alimentaires ?  Sachons raison garder !

Depuis 40 ans, ni à Paris, ni ailleurs en Europe, aucune organisation juive n’a JAMAIS participé ou soutenu les manifestations ou les meetings publics des nationalistes qui, dès 1973, condamnaient « l’immigration sauvage » cause de l’islamisation de nos quartiers.  JAMAIS les sympathisants de l’Etat d’Israël n’ont combattu les politiciens de l’UMPS et la mafia socialo-libéro-écolo-capitaliste aux manettes à Bruxelles, responsables de l’immigration/colonisation des pays européens ! Soyons clairs : ce ne sont pas nos alliés et encore moins nos défenseurs !

La Reconquista de nos villes et de nos villages ne commence pas à Yad Vashem ou devant le mur des lamentations, mais dans les rues de Copenhague ou de Birmingham, à Athènes ou à Barbès.  Il faut le dire et punir les élus qui sabotent les valeurs de l’Europe blanche.

14:37 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La stratégie mortifère et « payante » du Hamas...

516425133.JPGLe bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

A une époque où, dans les médias, l’image domine tout, où l’émotion précède la réflexion, où de nombreuses chaines de télé déversent leurs infos en continu, les Palestiniens de Gaza, au prix de pertes humaines considérables, viennent de gagner la guerre des images.

Des corps d’enfants, d’hommes et de femmes enveloppés dans des linceuls ensanglantés ne peuvent déclencher chez le plus grand nombre que de l’empathie et de la sympathie, voire même des cascades lacrymales, dans tous les cas un puissant sentiment de compassion. Et, pour d’autres, engendrer la haine du juif, en oubliant que les pas de tirs des roquettes s’abattant « maladroitement » sur Israël sont bien souvent situés au cœur des quartiers les plus denses, quand ce n’est pas dans des écoles ou des hôpitaux.

Criminels sont ceux qui utilisent ces lieux, criminels sont ceux qui, le sachant, n’hésitent pas à déclencher le feu de leurs représailles. L’Etat Hébreu en utilisant la stratégie du marteau pilon pour écraser un moustique, démontre plus que jamais que dans une guerre asymétrique, le rapport du faible au fort tourne souvent à l’avantage du premier et  lui attire inéluctablement la sympathie du plus grand nombre. Le Hamas sait tout cela parfaitement et son ennemi israélien aussi.

La bande de Gaza aux contours hérités des hasards de la première guerre de 1948, c’est un rectangle de moins de 40 km de long sur une dizaine de large, moins que la superficie de la Principauté d’Andorre où s’entassent un million et demi de Palestiniens « de souche », ou de réfugiés pour le plus grand nombre. Le Hamas et tous ses pseudopodes, malgré le blocus israélien et celui de l’Egypte, ne l’oublions pas, continue de recevoir aides et subsides du camp arabe, particulièrement des pétroliers, qui préfèrent entretenir ce cancer aux portes de l’ennemi sioniste plutôt que devoir gérer chez eux ces réfugiés. Des subsides suffisants pour tenir, pas assez pour vaincre ou développer le pays et en faire un pôle économique viable. Les dirigeants du Hamas, du Djihad islamique ou du Hezbollah au Sud-Liban savent tout cela et, comme leurs homologues de Jérusalem, jouent avec le feu.

La solution, redisons-le, est politique. Elle passe par une reconnaissance réciproque, une définition précise des frontières, la libération d’un quartier de Jérusalem-Est par Israël pour en faire la capitale palestinienne, le règlement de la question des réfugiés. Le Qatar ou l’Arabie Saoudite pourraient bien mettre la main à la poche pour aider leurs « frères » arabes plutôt que d’alimenter la haine des « quartiers » contre la société française à qui les « jeunes » de banlieue doivent tout : logements décents, écoles, gymnases etc…

Tant que les Arabes musulmans refuseront l’évidente permanence d’une présence juive et chrétienne au Proche-Orient d’une part, et que les Israéliens refuseront d’évacuer l’essentiel de la Cisjordanie d’autre part, le conflit s’enlisera pour devenir une nouvelle Guerre de Cent ans. (Et plus….).

Plus que jamais le slogan contenu il y a quelques années en « une » de la revue Synthèse nationale, « Ni Hamas, ni Tsahal ! », est d’actualité.

14:31 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 21 juillet 2014

Troisième Voie face au Conseil d'Etat...

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Par Serge Ayoub

Le 9 juillet dernier, les recours en excès de pouvoir pour la dissolution de Troisième Voie, des JNR et d’Envie de Rêver ont été examinés par le Conseil d’État. Pourtant convaincu que la cause était entendue en notre défaveur, tant le Conseil d’État ne s’est pas illustré récemment par son ardeur à défendre les libertés publiques, je me suis néanmoins rendu à l’audience. J’étais en effet curieux d’entendre justifier l’inacceptable et la casuistique du rapporteur public Édouard Crépey. Je rappellerai que dans cette partie d’échecs juridique, le pouvoir est à la fois partie, et juge, puisque le Premier ministre en est officiellement le président. Premier ministre qui fut il y a un an l’instigateur même de ces dissolutions, en tant que ministre de l’intérieur : Valls.

Tout le monde se rappelle en effet de l’affaire Méric. Le 5 juin 2013, une bande de nervis antifas agressent des jeunes patriotes à la sortie d’une vente privée. Malheureusement pour eux leur agression fait long feu, au point que l’un des agresseurs y laisse la vie. La rouerie politique de Valls lui fait alors amalgamer ce fait divers à une violence portée par « l’extrême-droite » et les manifestants anti mariage-gay. Quelques heures après le drame, il nomme, avant même le début de l’enquête, les JNR comme les auteurs de cet « assassinat ». Une condamnation en dehors de toute enquête, instruction et jugement, qui s’effondre dès le lendemain, lorsque les enquêteurs m’entendent et confirment ma version selon laquelle aucun membre des JNR n’est impliqué de près ou de loin dans la rixe. La communication du ministre de l’intérieur Valls est néanmoins lancée : il a promis une dissolution, elle doit avoir lieu. Que de tels procédés politiques n’aient rien à voir avec les principes républicains, mais tout à voir avec ceux des régimes totalitaires ne le gêne absolument pas : quelques jours après la mort de Clément Méric, je reçois la notification de dissolution des JNR, puis de Troisième Voie et enfin d’Envie de Rêver, l’association qui gère le Local. Malgré les sorties à l’emporte-pièce de tout le gouvernement, il est juridiquement impossible de dissoudre quelque association que ce soit au motif qu’un membre réel ou supposé de celle-ci aurait commis un crime ou un délit, ou serait soupçonné de l’avoir fait. La procédure de dissolution accuse donc les JNR, Troisième Voie et Envie de Rêver « d’inciter à la haine et la discrimination en vue de la condition d’immigré (sic) » et d’être une ligue factieuse, ce qui permet de dissoudre par voie autoritaire. On cache la vraie mauvaise raison, derrière la fausse bonne raison. Cette procédure est donc dès son commencement fondée sur un mensonge.

Il faut, pour être une ligue et être dissous comme tel, correspondre à plusieurs critères : revendiquer publiquement son hostilité à la République et à la démocratie, inciter à la haine et à la discrimination, et être une organisation structurée, hiérarchisée et entrainée en vue de la préparation d’un coup d’État.

C’est sur cette définition que commence la partie d’échecs.

Le rapporteur public commence par soutenir que les JNR, qui n’étaient en réalité que le service d’ordre de Troisième Voie, comme il en existe dans tous les partis, syndicats et associations de concerts, étaient en fait une ligue parce qu’ils recevaient leurs ordres de moi. Démonstration éminemment farfelue quand on sait que tous les service d’ordre ont un responsable qui donne les directives. Si l’on poussait la démonstration du rapporteur public à son terme, il faudrait alors dissoudre Sécuritas et bien d’autres… Il appuie, sans crainte du ridicule, sa démonstration sur le physique « patibulaire » des membres des JNR, ainsi que sur la couleur du pantalon, trop noire à son goût, renforcée par celle du blouson, « qui est noire aussi ».

De notre côté, nous avançons que tout service d’ordre ou agent de sécurité porte une tenue spécifique, qui le fait reconnaître de loin et lui assure l’autorité nécessaire dans le cadre de sa mission. En l’occurrence une tenue souvent noire. C’est le cas de beaucoup d’agents de sécurité officiant dans les supermarchés et les parkings. Nous ajoutons que la hiérarchie existe dans toute société et notamment dans les services d’ordres, y compris celui du Parti Socialiste, qui protège Valls lors de ses meetings. Nous nous défendons également de suivre un entrainement groupé, et plus encore de préparer un coup d’État contre la République et la démocratie.

Notre bonne foi et les évidences n’ébranlent pourtant pas le rapporteur public Crépey. C’est acquis, la tenue noire symbolise une allégeance au fascisme, et il n’ y a qu’à regarder les photos des JNR pour voir qu’ils s’entrainent ensemble, sont prêts aux « coups de main » attendent mes ordres… D’où lui vient cette assurance ? Des notes blanches, c’est-à-dire des notes confidentielles rédigées par la DCRI. Des notes non-signées, bien évidemment. On ne peut donc ni savoir qui est responsable de ces propos et même si cette personne existe réellement. Reconnaître la moindre valeur à ces notes de basse police prouve que notre pays glisse vers un État de plus en plus policier.

Faute de démonstration, le rapporteur public gonfle alors artificiellement ses accusations d’éléments contextuels, comme les arrestations d’individus sans liens avérés avec l’organisation. Une grande majorité des noms cités dans cette litanie de faits divers insignifiants m’étaient mêmes inconnus. De surcroît, la quasi-totalité des affaires n’avaient débouchées sur aucune condamnation, ce qui empêche toute vérification des allégations du rapporteur.

Le comble de la mauvaise foi et de la maladresse est atteint lorsque le rapporteur public entreprend de retourner contre moi mes propres déclarations. « Si je reprend les déclarations de monsieur Ayoub, le JNR est le service d’ordre de Troisième Voie et donc fait partie intégrante de ce mouvement. Si c’est le cas, en application de la jurisprudence sur la dissolution du SAC, et au vue des preuves que nous venons d’apporter (sic) nous confirmons le décret de dissolution des JNR en tant que milice et par voie de conséquence du mouvement Troisième Voie dont il est partie intégrante. »

Le rapporteur public Crépey commet pourtant de nombreuses erreurs à travers ces propositions. 1ère erreur : la dissolution de Troisième Voie « par contagion »… de son propre service d’ordre. Plus qu’une erreur, c’est un scandale car cette notion de contagion n’existe pas dans le droit français. De plus, lorsqu’en 1995 la dissolution du DPS, le service d’ordre du Front National, avait été envisagée, il n’avait jamais été question de la dissolution « par contagion » du parti politique de Jean-Marie Le Pen. Seconde erreur, l’évocation de la jurisprudence de la dissolution du SAC, groupement lié au RPR à l’époque. La dissolution du SAC est en effet consécutive au massacre appelé "la tuerie d’Auriol" en juillet 1981. On est bien loin de la rixe accidentelle de Caumartin. Les barbouzeries du SAC, véritable police parallèle dans les années 60 et 70, sont bien loin aussi des activités des JNR ! On ne peut donc évoquer l’exemple de la dissolution du SAC qu’à la décharge du groupement JNR et de l’association Troisième Voie, tant les caractéristiques du premier sont éloignées de celles des seconds. Troisième erreur : le rapporteur évoque la dissolution du SAC, qui n’a pas mené à la moindre menace de dissolution contre le RPR, pour justifier la dissolution « par contagion » de Troisième Voie ! Ainsi, en appliquant comme il le souhaite la jurisprudence de la dissolution du SAC, il n’y a pas lieu de dissoudre Troisième Voie.

J’ajouterai que le rapporteur public a admis que rien, ni dans mes propos ni dans mes actes, ne pouvait relever de l’incitation à la haine ou la discrimination contre les étrangers. Rien non plus dans les pièces justificatives de l’activité de notre mouvement politique et de son service d’ordre. Le rapporteur public n’a pas non plus contesté la sincérité de notre attachement aux principes fondamentaux de la république et de la démocratie, revendiqué à de nombreuses reprises dans nos écrits. S’il ne l’a pas contesté, c’est qu’il l’a donc admis. Si les JNR, partie intégrante de Troisième Voie, n’incitent pas à la haine et n’ont pas pour but de fomenter un coup d’État contre la République et la démocratie qu’ils revendiquent de défendre, alors ils ne sont donc plus une milice. En effet personne ne pourrait croire que des mines jugées patibulaires et des blousons noirs suffisent à définir une milice…

Enfin et surtout, il y a un point fondamental qui mine cette procédure de dissolution contre Troisième Voie et les JNR, depuis le début. La liberté d’association est en effet une liberté fondamentale qui a valeur constitutionnelle. Cette liberté permet à tout citoyen de créer une association comme il le veut, librement et de la dissoudre à sa guise. Ainsi lorsque j’ai dissous pour l’honneur, en bonne et due forme et avant la décision du conseil des ministres, l’association Troisième Voie et son service d’ordre les JNR, la procédure de dissolution administrative a perdue sa raison d’être. On ne fusille pas un mort…

C’est cette thèse que nous avons soutenue et qui a bien embarrassé notre rapporteur public. Il l’a reconnu cette configuration est « nouvelle, intéressante, et embarrassante » pour le gouvernement.

Notre rapporteur public y a répondu avec un argument à sa mesure. Selon lui il ne faut pas tenir compte de cette dissolution volontaire, car tout le monde en profiterait alors pour se dissoudre et éviter ainsi une condamnation pour reconstitution de ligue dissoute. La raison invoquée par Ayoub, l’Honneur, pour expliquer et justifier l’autodissolution, ne serait aux yeux du gouvernement qu’une manœuvre.

Mais comment ce personnage se permet-il de supputer, d’imaginer ? Nous sommes au Conseil d’État, pas chez Thierry Ardisson, seul comptent les faits et aucunement les interprétations sans fondement. J’admets que la notion d’honneur soit si étrangère à nos différents gouvernants qu’elle puisse leur paraître une manœuvre, mais en l’occurrence ce n’est pas le cas. Surtout je rappellerai à ce rapporteur quelques fondamentaux de droits : lorsque la dissolution est volontaire, il n’est en aucun cas question que sa validité soit subordonnée au but poursuivi. C’est pourtant ce que soutient le représentant du gouvernement Edouard Crépey. En effet, pour dissoudre administrativement Troisième Voie et les JNR, il faudrait pour cela invalider la procédure de dissolution volontaire au motif que l’intention de cette dissolution volontaire ne serait qu’une manœuvre et ne serait pas en quelque sorte « sincère ». Autant dire que c’est impossible à prouver. La légalité d’une dissolution volontaire ne peut être affectée par cette perspective, ce qui compte c’est le respect des conditions prévues dans le contrat d’association initial. Si le droit est respecté, il n’y a donc pas la possibilité juridique de dissoudre une seconde fois Troisième Voie. Tel est le cas en l’espèce. De plus, aucun élément des observations présentées par Troisième Voie et les JNR n’accrédite cette thèse. C’est donc une pure affabulation du sieur Crépey. Par suite, les conclusions qui proposent de déclarer nulle et non avenue la dissolution volontaire de Troisième Voie et des JNR doivent être écartées.

Le rapporteur public reconnaît lui-même que la faculté d’autodissoudre son association relève bien d’une liberté fondamentale, puisqu’il propose en réalité de dissoudre Troisième Voie non plus en tant qu’association loi 1901, mais en tant que groupement de fait qui aurait « survécu à l’autodissolution ». Il admet donc que dissoudre administrativement une association déjà dissoute « de son plein gré » est une impasse juridique. Mais il reconnaît aussi que Troisième Voie a cessé toute activité politique depuis son autodissolution, et donc que Troisième Voie n’a pas perduré comme groupement de fait. Il y a tout de même une incohérence de taille à vouloir dissoudre un mouvement en tant que groupement de fait tout en reconnaissant que ce groupement de fait n’a aucune existence réelle.

Défait, le rapporteur public ose alors déclarer que nos observations aussi intéressantes soient-elles ne pouvaient être retenues, car elles émanent de « personnages » comme nous. Je me permet de rappeler à ce bonhomme ce qu’il semble avoir oublié et qui est le B.A.BA en la matière, que le recours pour excès de pouvoir est un recours dirigé contre un acte (in rem) et qu’il ne doit pas prendre en considération la personne du requérant. Le recours n’est pas in personam comme l’est une décision en matière pénale.

Les conclusions du rapporteur violent donc ce principe du contentieux qui ne peut être contesté.

Dans un État de droit, je serais sûr de la victoire, mais aujourd’hui, même au Conseil d’État, on ne peut plus savoir qui sera échec et mat, du gouvernement ou de la démocratie ?

Malheureusement, j’ai mon idée sur l’issue de la délibération qui devrait avoir lieu dans les prochains jours. J’en veux pour preuve les propos hallucinants du rapporteur public au sujet de la dissolution d’Envie de rêver, l’association qui gérait le Local. Le rapporteur lui-même propose en effet l’annulation de cette dissolution au Conseil d’État, tant celle-ci ne tient pas juridiquement, tout en s’excusant du fait que cette annulation « pourrait faire croire à une victoire pour les gens de ces idées-là ». Ce jour-là, au Conseil d’État, sanctuaire théorique de la République, de la démocratie et des libertés publiques, je n’ai vu qu’une casuistique dirigée contre un ennemi politique.

Dont acte.

Source Solidarisme cliquez ici

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Saint Jorioz (74) : une fête médiévale gâchée par des nomades !

1027967086.jpgYves Darchicourt

Pour la troisième année consécutive, la reconstitution d'un marché et d'un campement militaire médiévaux devait avoir lieu samedi et dimanche derniers dans la petite commune de Saint Jorioz sur une rive du lac d'Annecy. Deux belles journées familiales, culturelles et festives permettant aux visiteurs de revivre le quotidien de nos aïeux du XVe siècle, les temps où s'alternaient moments de vie paisible et chaos de la guerre.

Ripailles, danses, commerces, artisanat, tir à l'arc, démonstration de combats et même fracas de bombardes devaient attirer comme chaque année un nombreux public pour ce qui est le plus important évènement estival de la petite commune savoyarde.

C'était hélas sans compter avec l'immigration sauvage et itinérante dans l'Europe passoire qui a permis deux jours avant la fête à une quinzaine de caravanes de "gens du voyage" de venir s'échouer sur le terrain communal devant accueillir les festivités. Et puis rien n'y a fait, les nomades - qui se contrefichent des reconstitutions historiques des pays dans lesquels ils circulent sans y être invités- n'ont rien voulu entendre, le maire désarmé n'a pu que s'adresser au préfet qui n'a pu lui que constater que de toute façon les envahisseurs disposaient d'un délai légal de 24 heures pour décamper à réception de la notification d'un arrêté d'expulsion. Il s'est sans doute trouvé quelques robustes montagnards du coin pour proposer de virer tout ce beau monde manu militari comme cela se serait passé au XVe siècle où d'ailleurs les nomades n'osaient jamais s'installer là où on ne voulait pas d'eux.

La fête n'a pas eu lieu: des mois de préparation gâchés, les bénévoles et les troupes invitées déçus, une perte sèche pour la municipalité... et tout cela parce qu'en France et en Europe on en est venu à considérer que c'est aux peuples sédentaires de souche de s'adapter au style de vie des nomades allogènes et que le "migrant" à tous les droits, y compris celui d'emmerder le monde juste par plaisir.

Décidément on marche sur la tête! Il est grand temps que cela change !

18:11 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

On nous avait assuré "un avenir radieux grâce à la société plurielle"...

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Lu dans Le Point.fr cliquez ici :

"Tout à coup, une centaine de casseurs foncent vers l'entrée du métro Barbès. Une rumeur circule. La Ligue de défense juive serait présente. Aux cris de "Allah Akbar", ils s'acharnent à faire céder les grilles. Après quelques minutes, c'est chose faite. Les caméras de vidéosurveillance sont détruites les unes après les autres. Venue pour manifester dans le calme, Sarah, une étudiante de 19 ans, tente de les dissuader. En vain. Un homme s'amuse à faire résonner son Taser. Un autre déplie son couteau. Les CRS pénètrent à leur tour dans le métro. S'engage alors une bagarre d'une rare violence.
Les casseurs s'attaquent ensuite à l'hôpital Lariboisière. Les vigiles, trop peu nombreux, battent en retraite. "Vous êtes frappés ou quoi ? C'est un hôpital !" s'époumone un vieil homme. "Un hôpital sioniste", réplique un assaillant. Dans le même laps de temps, des barricades enflammées sont érigées sur le boulevard de Rochechouart, les très nombreuses palettes du marché n'ayant pas été enlevées... Une épaisse fumée noire s'élève dans le ciel. Le trafic du métro est suspendu face au danger provoqué par les flammes. Protégés par la police, les voyageurs évacuent les rames en marchant le long des voies aériennes. La réaction des forces de l'ordre tarde à venir. Elles sont dépassées par la tournure des événements, ce dont profitent les casseurs pour redoubler de violence. "C'est la révolution !" s'exclame un homme arborant un autocollant du NPA.

Sans commentaire...

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Après les textos de Clément Méric, qu'est-ce qu'Esteban fait encore en prison ?

4010007_ok-derniers-sms-clement-ok-new.jpgCommuniqué du Parti de la France (Fédération du Calvados) :

Comme on peut le voir sur l'image ci-dessous, diffusée par la presse généraliste, le dernier sms envoyé par Clément Méric avant sa mort est "ils descendent".

Ce sms n'est pas anodin, il est la preuve qu'Esteban et ses amis ont été victimes d'un guet-apens, d'une agression fomentée par Méric et ses amis.

Cet élément est indispensable à la compréhension de "l'affaire Clément Méric", car le sms "ils descendent" place de facto Clément Méric dans le rôle de l'agresseur et Esteban Morillo dans le rôle de l'agressé.

Dans ces conditions, Esteban n'a plus rien à faire en prison, nous demandons donc sa libération immédiate.

09:40 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Moscou, coupable idéal...

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Le billet de Patrick Parment

A l’heure même où les Israéliens mènent une énième opération militaire contre les Palestiniens à Gaza, on apprend qu’un avion de la Malaysia Airlines était abattu au-dessus du territoire ukrainien. Aussitôt la presse « occidentale » a accusé la Russie, et donc Vladimir Poutine, d’en être indirectement responsable en raison de son soutien à la résistance prorusse qui sévit dans l’Est de l’Ukraine.

Voici qui ne manque pas de nous laisser perplexe. Pour la bonne raison que l’on ne voit guère l’intérêt de Poutine dans cette affaire, pas plus d’ailleurs que celui des prorusses ukrainiens.

En revanche, plusieurs arguments militent en faveur d’une provocation « occidentale. D’autant que le régime du plus que douteux Piotr Porochenko est entièrement à la botte de toute la clique occidentale et à son désir d’amarrer l’Ukraine à l’Europe comme le souhaitent aussi les Américains. Ce qui est un mauvais calcul et dénote du peu de discernement du pouvoir ukrainien. Passons.

On rappellera également qu’Israël a envoyé des « observateurs » à Kiev au tout début des événements qui ont entraîné la chute de Viktor Ianoukovitch et que ceux-ci ne semblent pas avoir déserté le terrain. D’autant que les Israéliens ont tout lieu d’être actif dans une guerre larvée contre la Russie en raison de son soutien à l’Iran.

Pour les Américains, ce n’est pas leur coup d’essai dans cette région du monde où leurs « services » sont très actifs. Affaiblir la Russie, déstabiliser ses « marches » parce qu’elle n’entend nullement se soumettre à la dollarisation outrancière du monde, telle est la ligne géopolitique américaine.

Hasard du calendrier, Vladimir Poutine était de retour d’une réunion des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) à Fortaleza au Brésil où ces pays ont décidé de se doter d’une banque à hauteur de 100 milliards de dollars (voire plus) afin de se mettre à l’abri des crises du marché financier. En un mot, se protéger des aléas du dollar. Ce qui n’est pas fait pour plaire à Barack Obama, on s’en doute.

Enfin, il y a l’argument technique. Pour atteindre un avion à 10 000 mètres d’altitude, il faut un missile sol-air plutôt sophistiqué. On a cité un missile du type « Buck ». Or, ce genre d’engin nécessite la participation d’une soixantaine de personnes avant de pouvoir appuyer sur le bouton meurtrier. Il ne semble pas que la résistance prorusse soit en mesure d’aligner de tels techniciens. Il semble bien que nous soyons face, une fois de plus, à une provocation « occidentale » afin de discréditer Moscou. Et pour Israël de faire diversion et de minimiser l’opération de nettoyage dans les territoires palestiniens.

00:26 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 20 juillet 2014

Pas de vacance pour le Parti de la France

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23:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Anne-Sophie Leclère fait appel...

Soutien à Anne-Sophie Leclère cliquez là

23:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Maurice Bardèche, "Suzanne et le Taudis"...

Source Europe Maxima cliquez ici

« Je rendais grâce au ciel d’avoir fait de moi un cuistre obscur.

Et aussi de m’avoir donné un taudis d’une pièce et demie,

quand la moitié de l’Europe logeait dans des caves. »

 

maurice-bardeche--suzanne-et-le-taudis.jpg1 – Maurice Bardèche et la politique

La production littéraire de Maurice Bardèche ayant trait à la politique, radicale dans son fond et souvent très attrayante dans sa forme, n’est pas le fruit de l’assimilation particulièrement réussie de la pensée d’illustres prédécesseurs maurrassiens, ni même la somme d’un nombre quelconque de réflexions antérieures, forgées à chaud à cette époque désormais révolue où l’expression « presse d’opinion » avait encore un sens. Au contraire, comme le révèle Jacques Bardèche, son propre fils, dans l’entrevue qu’il a bien voulu accorder à nos camarades de M.Z. [l’émission de webradio « Méridien Zéro »; N.D.L.R.E.M.] récemment, Maurice Bardèche a commencé à vraiment s’intéresser à la politique à partir d’un moment historique bien précis : l’exécution de son ami et beau-frère Robert Brasillach, le 6 février 1945. De fil en aiguille, la pensée politique de Bardèche a donc émergé en réaction à un certain nombre d’événements, qu’il juge insupportables : l’exécution sommaire et injustifiée de son ami, les horreurs de l’épuration, le climat d’hypocrisie exacerbée d’après-guerre… Pour autant, jamais la plume de Bardèche n’accouche de propos haineux, contrairement à ce que laisse souvent entendre une certaine littérature engagée à gauche. Bien loin des pamphlets outranciers de Céline, des présages sombres et du pessimisme de Drieu, des intransigeances de Rebatet ou de Coston, la prose de Bardèche invite souvent le lecteur à entrevoir des rivages plus sereins : la recherche d’une forme d’équilibre, de justice, ou tout simplement de common decency, pour reprendre la formule d’Orwell. La pensée de Bardèche, c’est peut-être d’abord l’expression du bon sens appliquée à la politique. C’est un véritable antidote à la langue de bois.

Suzanne et le Taudis s’inscrit parfaitement bien dans cette forme littéraire très particulière, issue d’une radicalité qui ne sacrifie jamais à l’outrance ou à la provocation. Il en résulte un véritable pamphlet dans un gant de velours

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Zoom sur Casa Pound...

16:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 18 juillet 2014

L’arnaque antiraciste

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Jany Leroy

Boulevard Voltaire cliquez là

Comparer Christiane Taubira à un singe vaut 9 mois de prison ferme et 50.000€ d’amende auxquels il convient d’ajouter 30.000€ pour faire les pieds du Front national.

Ou comment passer de la justice à l’inquisition. Le bûcher des temps modernes se manifeste sous la forme de peines de prison ferme pour blasphème à la religion antiraciste.

Plus grave que des actes, la parole devient le crime absolu. Autant dire que l’heure est à la virtualité. Dans ces affaires, inutile de chercher des morts, des blessés, des violés, des battus, des souffrants d’une plaie quelconque, des lésés… Ces préjudices sont relégués au rang d’aimable plaisanterie. Seuls les mots comptent. Le principe de la liberté d’expression condamne clairement l’appel à des actes.

En clair, il est permis de dire sur la place publique que les norvégiens sont des abrutis mais en revanche, il est interdit d’appeler à tabasser des norvégiens. La nuance est importante. Sans elle, sans cette frontière nette et précise, la société sombre dans la subjectivité… Une subjectivité noire qui fait envoyer au peloton d’exécution n’importe quel pékin taxé de… ce qu’on veut. Haineux, fasciste, raciste, homophobe, anti ceci, anti cela. Partant du principe évident que ces notions sont à géométrie variable, la marge de manœuvre du pouvoir est confortable. Où commence la haine ? Réponse : Où on veut !

Toute personne, tout comique se moquant d’une personnalité publique ou d’un peuple ne délivre évidemment pas un message d’amour. Il peut donc être déclaré haineux. Vous critiquez mes prises de position ? Vous êtes donc animé par la haine… Le champ est vaste et la démarche commode.

Aucune loi n’interdit la bêtise. Avec sa comparaison idiote, cette Anne-Sophie Leclère n’a insulté que l’intelligence. Nul doute qu’en d’autres circonstances elle aurait comparé un blond à un épagneul ou un asiatique à un poisson lune. En réalité le problème est ailleurs. Black is beautiful. Là est la clé. Sur Canal Plus ou ailleurs Christine Lagarde peut bien être mise en parallèle avec un lévrier afghan… Il n’y a pas injure, pas de racisme anti blond, anti blanc… La religion l’autorise.

La perversion de cette traque maladive aux phobies diverses et variées réside en sa stérilité qui ne voit que des mots pourchassés, faute d’actes à se mettre sous la dent. La seule agression présentée homophobe durant les manifestations anti mariage pour tous s’est avérée relever d’une délinquance hélas ordinaire qui n’avait rien à voir avec une quelconque hostilité à l’égard d’homosexuels. Là encore les censeurs ont fait chou blanc et ont dû retourner à leur brassage d’air, à leur traque aux propos ou aux images. A ronger leur seul os. Un pauvre machin usé jusqu’à la moelle mais qu’ils continuent de grignoter tant bien que mal. Il n’en restera bientôt plus rien. Le peuple se réveille et constate l’embrouille. L’arnaque est totale.

10:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manifestation de soutien aux populations du Dombass samedi à Paris

save.jpgLe Collectif France-Russie appelle à une manifestation de soutien aux populations civiles du Dombass, samedi 19 juillet de 18 h à 20 h devant l'ambassade d'Ukraine, Place de Breteuil (côté avenue de Saxe) à Paris (VIIe).

NDLR : à propos du conflit en Ukraine lire cliquez ici

09:58 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Merci à Taubira !

Photo 089.jpgPierre Vial

Président de Terre et peuple

Si elle n’existait pas il faudrait l’inventer car elle nous est fort utile.

Il suffit de regarder Taubira pour comprendre qu’elle porte en elle une haine viscérale. Contre qui ? La réponse est dans l’affaire Anne-Sophie Leclere, cette blonde jeune femme ex-tête de liste FN aux élections municipales, exclue du FN par Marine Le Pen pour avoir eu le tort de faire de l’humour sur le physique de Taubira, comparée à un singe (ce qui est très injuste pour cet animal). L’occasion était trop belle : Taubira a mobilisé contre Anne-Sophie ses séides et congénères du mini-parti guyanais Walwari qu’elle a fondé, avec la complicité active des socialistes, pour justifier son incommensurable arrivisme politique. Ces gens ont donc, sur ordre, intenté un procès à Anne-Sophie et les juges (sic) de Cayenne ont été trop heureux de la condamner à 9 mois de prison ferme et 50 000 euros d’amende (une peine qui ne risque pas de frapper nombre de vrais délinquants…). Une telle décision esr évidemment purement et simplement un acte de vengeance, applaudi par les cloportes habituels (LICRA, SOS-Racisme, etc…), par le parti socialiste… mais aussi par cette droite la plus bête et la plus lâche du monde que sont l’UMP et l’UDI.

Tous ces gens, comme d’habitude, n’ont rien compris au film et c’est tant mieux. Car la décision à motivation raciale des « juges » de Cayenne, très médiatisée en quelques heures, va inciter beaucoup de Blancs, jusqu’alors non politisés, inconscients des enjeux, à se poser des questions. Les bonnes questions.

01:23 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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