mercredi, 05 novembre 2014
Jean-Marie Le Pen à Moscou
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L'agenda national du mois de novembre et du mois décembre 2014 :
■ Vendredi 7 novembre, à 19 h, à Calais, réunion suivie d’un apéritif avec Carl Lang et Kévin Reche président de Sauvons Calais. Réservation : 07 88 18 01 30
Carl Lang sera aussi à Nice le 22 novembre (sites du PdF ou de SN).
■ Vendredi 14 novembre, à 19 h 30, conférence à Paris de Laurent Ozon pour la Remigration. Inscription www.cosapiens.fr
■ Samedi 15 novembre, de 9 h à 20 h, le Bloc identitaire organise un colloque sur la remigration à Paris avec Renaud Camus, Jacques Bompard, Jean-Yves Le Gallou, Fabrice Robert, Philippe Conrad... Renseignements : contact@bloc-identitaire.com ou au 09 75 41 63 22
■ Samedi 15 et dimanche 16 novembre, 30e Université annuelle du Club de l'Horloge, Salle de l'USIC 18, rue de Varenne Paris 7e, sur le thème : rétablr la liberté d'expression. Avec Henry de Lesquen, Jean-Yves Le Gallou, Yvan Blot, Maître François Wagner...
■ Samedi 22 novembre, de 14 à 23 h, à l’initiative du GUD, congrès européen avec des représentants grecs, italiens de Casapound, espagnols du MSR et de la Liga joven, belges de Nation et français du MAS et de Synthèse nationale.
Concerts à partir de 20 h des groupes italiens Bronson et Blind Justice et du groupe français Baignade interdite. Stand de Synthèse nationale - Entrée 20 € (meeting + concert) congres.europe@gmail.com
■ Dimanche 23 novembre, Salon du livre de l’AGRIF au Forum de Grenelle, 5 rue de la Croix Nivert Paris XVe avec de nombreux écrivains, dont Anne Le Pape (François Brigneau), Gérard Pince, Nicolas Tandler ou Jean-Claude Rolinat (La faillite de Mandela et Salazar le regretté).
■ Vendredi 28 novembre, à partir de 18h, Soirée portes ouvertes au quotidien Présent 5 rue d’Ambroise dans le 2e arrondissement, avec Caroline Parmentier, Anne Le Pape, Catherine Robinson, Jean Cochet, Alain Sanders, François Wagner… Aramis dédicacera son dernier album « ça calme ! »
■ Samedi 29 et dimanche 30 novembre à Lyon : XVe congrès du FN. Samedi à 17 h 45 intervention de JMLP suivie, à 18 h, de la remise des flammes d’honneur…
■ Dimanche 7 décembre, de 10 h à 18 h, à Rungis, Espace Jean Monnet, 47, rue des Solets Rungis SILIC : 19e Table ronde de Terre et peuple. Thème : Reconquête ! Hier, aujourd’hui et demain…
Avec Roberto Fiorini, Alain Cagnat, Pierre Kreps, Robert Spieler, Gabriele Adinolfi et Pierre Vial - Débat avec Pierre Gillieth, Eugène Krampon, Jules Dufresne et Georges Feltin-Tracol auteur de En liberté surveillée. Entrée 8 € - Station RER et tram Rungis La Fraternelle.
■ Dimanche 7 décembre, de 10 h à 19 h, Fête du livre de Renaissance catholique à Villepreux (78) au Domaine de Grand Maison avec de nombreux écrivains et une conférence de Michel de Jeagher qui recevra Philippe de Villiers et Eric Zemour
■ Jeudi 11 décembre à 19 h, Paris, conférence de Synthèse nationale, sur le thème « Parti des Forces nouvelles 1974 1984 une autre droite… » à l’occasion de la sortie du Cahier d'Histoire du nationalisme n°4 consacré au PFN.
■ Samedi 20 décembre, à Nantes, grande journée du livre organisée par la Librairie Dobrée et les Editions de Chiré au château de la Poterie à La Chapelle sur Erdre de 13 h 30 à 19h avec Philippe de Villiers qui présentera Le Roman de Jeanne d’Arc.
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Les Cahiers d'Histoire du nationalisme, la nouvelle revue lancée cette année par Synthèse nationale : vous connaissez ?
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S'abonner, c'est simple :
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Prochain numéro (n°4) :
1974 - 1984 Le Parti des Forces nouvelles,
une autre droite...
40e anniversaire de la création du PFN
(sortie le 25 novembre prochain)
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IL FAUT AIDER RIVAROL !
Rivarol est une fois de plus dans la ligne de mire de la "justice" gouvernementale, d'un certain groupe de pression d'autant plus hargneux qu'ils n'existe pas et des habituelles associations parasitaires de " l'antiracisme" professionnel.
Une fois de plus donc l'hebdomadaire de la Résistance nationale et européenne a besoin du soutien de ses abonnés et de ses lecteurs d'occasion, de ses amis et de ses camarades de combat ou tout simplement des français attachés à la liberté de pensée et à la liberté d'expression... à la Liberté tout simplement !
La rédaction de Synthèse nationale
Pour soutenir Rivarol cliquez ici
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Roland Hélie sera ce mercredi soir sur Radio Courtoisie / Rediffusion jeudi entre 7 h et 10 h
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, participera ce mercredi soir, 5 novembre, au Libre journal de Martial Bild sur Radio Courtoisie entre 19 h et 20 h.
Radio Courtoisie cliquez ici
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Jean-Pierre Stirbois, solidariste, secrétaire général du Front national, décédé le 5 novembre 1988
Lire ou relire cliquez ici
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mardi, 04 novembre 2014
Les diffamateurs de Carl Lang condamnés !
Carl LANG tient à faire savoir que, mis en cause par des imputations malveillantes et mensongères par M. Jean-Baptiste MALET, auteur d’un livre publié par les éditions GOLIAS, s’intitulant « Derrière les lignes du Front » sous-titré « immersions et reportage en terre d’extrême droite » à la suite d’une enquête menée par celui-ci auprès du groupe d’élus du Front National au Conseil Régional de la Région Nord/Pas de Calais, il avait déposé une plainte, par son avocat Me Yves de COATGOUREDEN, pour diffamation publique à l’encontre de l’auteur de ce livre et du Directeur des Editions GOLIAS.
Qu’un jugement rendu le 10 octobre 2014 par la 17e Chambre Correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris :
a déclaré M. Luc TERRAS, ès qualités de directeur des Ed. GOLIAS, ainsi que M. Jean-Baptiste MALET coupables à son égard des faits qui leur étaient reprochés de, respectivement, diffamation publique et complicité de diffamation publique.
Et
les a condamnés chacun à une peine d’amende et solidairement au paiement de la somme de 1.500 €uros, à titre de dommages et intérêts et de 1.500 €uros également, à titre d’indemnité en application de l’article 475-1 du Code de Procédure Pénale.
Et, ayant pris date du retrait de l’ouvrage incriminé de la vente, a ordonné la suppression des propos jugés diffamatoires dans toute nouvelle édition de l’ouvrage.
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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Dimanche 23 novembre : salon du livre de l'AGRIF
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Casapound au congrès européen du samedi 22 novembre à Paris organisé par le GUD
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Entretien avec Renaud Camus Non, le Grand Remplacement n’est pas une « vision complotiste » !
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
Marine Le Pen, dans une interview au JDD parue ce dimanche, estime que « le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste ». Fait-elle, selon vous, une interprétation erronée de votre analyse ?
Totalement erronée, en l’occurrence ; et ce n’est pas « selon moi », parce que mon analyse, je la connais, et il n’y est nulle part question du moindre complot. J’ai beaucoup de respect pour Marine Le Pen, j’admire son courage, sa détermination, son patriotisme et son sens politique mais, sur ce point particulier, c’est son sens politique qui lui joue des tours. Elle aura voulu, j’imagine, par prudence, ne pas paraître assumer un syntagme, Grand Remplacement, dont elle a craint qu’il ne parût trop radical. Hélas, ce n’est pas l’expression Grand Remplacement qui est radicale, c’est la sinistre réalité de ce qu’elle désigne. Le Grand Remplacement n’est pas une théorie, ce n’est pas un concept, à peine une notion, moins encore un fantasme, comme dit la presse remplaciste, ou une « vision complotiste ». Plût au ciel que ce fût tout cela, et rien d’autre ! C’est ce que nos yeux constatent tous les jours et que les sociologues de cour s’acharnent à nier : le simple fait que dans nos rues, nos rames de métro, nos écoles, nos écoles maternelles et nos maternités surtout, sur des pans entiers du territoire, il y avait un peuple et que, à sa place, il y en a un ou plusieurs autres.
Accuser tel ou tel d’entretenir une « théorie du complot » ou une « vision complotiste », c’est un vieux procédé rhétorique de journalistes qui ne connaissent pas leur dossier pour déconsidérer des thèses qu’ils veulent étouffer. Je regrette de voir Marine Le Pen y avoir recours, comme si elle voulait se concilier les remplacistes : une tâche impossible. Je n’ai jamais parlé de complot. On me reproche au contraire, en général, d’être flou sur les causes du Grand Remplacement. Et là c’est moi qui suis prudent, car j’essaie d’unir, pas de diviser. En fait je crois à un faisceau convergent d’intérêts et d’interdits qui, tous, tendent à la fabrique de l’homme remplaçable, interchangeable à merci. Mais si je ne devais nommer qu’une seule cause elle me vaudrait un point Godwin, car je dirais : Hitler. À force d’opérer et de réopérer l’Europe du cancer hitlérien, on lui a enlevé la plupart des organes indispensables à sa survie.
Son directeur de cabinet, Philippe Martel, répondant à Aymeric Caron, a tweeté que « le grand remplacement n’est pas une théorie, c’est un phénomène démographique ». Cela ne peut pas être les deux choses en même temps ?
Je suis, comme d’habitude, entièrement d’accord avec mon vieil ami Philippe Martel, ou lui avec moi. Parler de « théorie » ne sert qu’à se rassurer. La conquête coloniale de l’Afrique au XIXe siècle, le Grand Dérangement des Acadiens au XVIIIe, l’Occupation de la France par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale, ce ne sont pas des théories : ce sont des phénomènes historiques.
Pour contester vos propos, ou ceux qui déplorent les conséquences d’une immigration massive, on cite toujours les statistiques de l’INSEE. Christophe Dumont, chef de la division des migrations internationales à l’OCDE, estime qu’en terme de « flux récents d’immigration », la France est parmi « les pays occidentaux où les niveaux sont les plus bas ». Qui a tort, qui a raison ?
J’ai eu souvent l’occasion de le dire : sociologie et statistiques sont au remplacisme ce que la biologie lyssenkiste était au stalinisme. Il faudra un jour se demander pourquoi l’expression sociologue de cour est devenue un pléonasme, pourquoi il n’y a pratiquement plus de sociologie qu’au service du pouvoir et non seulement du mensonge mais de la négation acharnée de la réalité, qu’il s’agisse de l’École ou de l’État : le niveau monte et il y de moins en moins d’immigrés. Au citoyen hébété, aveuglé par la glu statistico-sociologique, il faut hurler, comme Féofar-Khan à Michel Strogoff :
« Regarde de tous tes yeux ! regarde ! »
15:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DES CHANSONS CONTRE LA PENSEE UNIQUE La chanson comme élément de l’identité des peuples
Metamag cliquez ici
L'objet de ce livre déborde largement du cadre des répertoires militaires et plus précisément de la chanson de soldat. Néanmoins, il les aborde par bien des domaines, la pensée unique, mondialisée et totalitaire, entrant inévitablement en conflit avec notre identité ancestrale dans son expression actuelle.
La musique joue sur nos émotions, nous faisant privilégier les styles connectés à notre sensibilité et notre culture. Du fait du morcellement des répertoires, nos choix ignorent des courants musicaux nombreux et créatifs, d'autant plus que le totalitarisme culturel ambiant les occulte et les combat.
Grégorien, chanson traditionnelle, chanson de soldat, oi!, rock identitaire, RAC, rock metal et indus… Venance Fortunat, Botrel, le Père Doncœur, Méfret, Gavino, Barbelivien, Fraction, Vae Victis, In Memoriam… l'inventaire serait incohérent si les compositions qui en émanent n'étaient l'expression d'une identité commune, en butte à la pensée dominante. L'abondante diversité de ces courants musicaux alternatifs soigneusement tenus à l'écart des médias devait être présentée, car elle témoigne d'une vitalité et d'une richesse insoupçonnées. Il vous est proposé ici un tour d'horizon jamais tenté et pourtant indispensable, qui ne manquera pas d'étonner, comme a déjà été remarqué l'entretien exclusif avec Jean-Marie Le Pen paru dans le quotidien Présent du 24/09/2014.
Du fait qu'il n'existe pas actuellement de travaux sur ces courants musicaux alternatifs, l'auteur a dû procéder à une véritable enquête auprès de ses acteurs (musiciens, éditeurs, témoins…). Acteur et observateur de ces courants musicaux du fait de son parcours personnel, il était le mieux à même de rendre compte de leur diversité.
La chanson est un des éléments de l'identité profonde des peuples et s'inscrit dans leur mémoire longue. Les répertoires transmis de générations en générations forment une identité musicale collective inscrite dans la mémoire du peuple et qu'il doit entretenir. Le Vexilla Regis a été composé en 569 et s'est transmis oralement pendant des siècles, il est entonné par les Vendéens contre les Bleus et repris par les pèlerins sur les routes de Chartres au XXIe siècle. Cet exemple parmi de nombreux autres montre qu'à l'époque de la mondialisation où les individus doivent se fondre dans une culture métissée où chacun pourrait picorer suivant ses inclinations pour se constituer une identité musicale personnelle idéale et utopique, la chanson constitue un enjeu identitaire majeur.
En effet, un individu ne vient pas de nulle part pour aller se fondre dans le néant indifférencié, il est né dans une famille qui appartient à une communauté, elle-même située dans un pays différent des autres par son histoire, sa langue et sa culture. L'être humain a besoin de repères, les chansons sont un de ces outils de convivialité lui permettant de construire et d'entretenir sa personnalité dans ses cercles relationnels en matérialisant les liens qui l'unissent à ceux qui partagent les mêmes repères. La réduction de l'individu mondialisé à un simple sujet économique, veut le couper de ces liens, de cette solidarité transgénérationnelle. A l'heure du virtuel où il est possible d'écouter le meilleur interprète de la plus belle chanson, être capable de chanter à plusieurs les anciens répertoires est un acte éminemment contre-révolutionnaire, indispensable à la survie de nos peuples.
Des Chansons contre la pensée unique, Thierry Bouzard, éditions des cîmes, 2014, 332 pages, 22 €.
Thierry Bouzard, historien de la musique et de la chanson, a publié plusieurs ouvrages et recueils de chants. Il a animé plus de cinq ans une émission musicale sur Radio Courtoisie et a participé à la réalisation de nombreux CD.
02:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 03 novembre 2014
Le JT de TV Libertés de lundi soir :
23:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
France, les années décisives, une réflexion de Laurent Ozon
« Nécessité fait loi », affirme le dicton. L'économisme se veut un destin. Donc, un fatum dont l'on ne sort que mort, ou quasiment. Car si la force des choses, des objets de consommation, l'emporte, emporte les corps, les âmes, l'humain, la vie, c'est tout ce qui est aléatoire, ou régi par la volonté, qui est noyé par le déluge réificateur. Autrement dit, la liberté est anéantie, et partant, toute politique, c'est-à-dire toute résistance aux prétendues « nécessités ».
Le dernier livre de Laurent Ozon, France, années décisives, dénonce cette « bulle » toxique, qui nous emprisonne depuis quarante ans. L'ancien conseiller de Marine Le Pen pour l'écologie, le fondateur de Maison Commune, organisation de formation pour cadres politiques, quant à lui, met l'accent sur l'avenir immédiat, qui décidera de notre survie en tant que peuple. Cette « bulle », qui tient du mirage, n'est plus qu'une baudruche qui se dégonfle sous nos yeux. La convergence des catastrophes, économique, démographique, écologique, politique, identitaire, nous ramène à ce qui avait été oublié dans la griserie des trente trompeuses, dans cette atmosphère de champagne bon marché, ce soir interminable où l'on fait la noce sans trop savoir comment le lendemain sera fait. Et voilà que le lendemain, c'est aujourd'hui, et que l'on a la gueule de bois.
Les vingt prochaines années vont donc décider du sort du peuple français, « substance historique sensible », et, plus largement, des peuples européens. Dans une saisissante analyse d'une situation qui a toute l'apparence d'être désespérée, Laurent Ozon nous livre des raisons d'espérer, malgré tout. Car, comme il le rappelle, c'est pas la volonté, l'action, la saisie lucide, pragmatique, décisive de notre destin, qu'un sursaut est possible. Il reprend la phrase de Heidegger, qui semble parfaitement résumer sa vision de l'engagement, et qui rejoint celle de Nietzsche : « Là où croit le danger, croît aussi ce qui sauve. » Pourquoi ? Tout simplement parce que « le réel revient en force ». Le réel, c'est tout ce qui nous lie au Territoire, aux Ressources, à la Reproduction. Autrement dit, à notre occupation du monde, à notre subsistance, à notre persistance vitale et identitaire.
23:02 Publié dans Claude Bourrinet, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nantes, le 21 décembre, grande fête du livre....
22:31 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le journal télévisé du Parti de la France :
10:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 02 novembre 2014
Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
17:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ICI
10:48 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Histoire : la chasse aux « réactionnaires »
Claude Bourrinet
Le Monde du 17 octobre publiait une pétition, signée par d'éminents universitaires, dont le titre - « Marcel Gauchet, (en médaillon - NDLR) victime d'une hargne aveugle » - ne laissait aucun doute sur ce qu'est la Police de la pensée contemporaine, inquisitoriale, expédiant au bûcher quiconque réfléchit, souvent enfermée dans des catégories idéologiques ineptes, et animée d'une acrimonie indigne d'un véritable esprit de recherche. « La stigmatisation haineuse est la marque du désespoir » souligne pertinemment le texte.
Les Rendez-vous de l'Histoire (1), brillante rencontre animée par un intellectuel qui fait honneur à notre pays, ont été l'occasion, comme malheureusement nous avons l'habitude d'en constater la réédition épisodique de la part de « rebelles autoproclamés » en mal de publicité, d'une querelle d'allemand assez désagréable, parce qu'elle fait palper de la manière la plus concrète l'absence abyssale de pensée, la malhonnêteté, les connivences intéressées du clergé « progressiste » qui sévit en France. Nous sommes en effet accoutumés à ces réductions à Hitler, à ces accusations de passéisme, à ces reproches d'appartenir au camp maudit de la « réaction », péché mortel qui devrait valoir au possédé les affres de l'enfer. En attendant, on se contenterait d'un silence bien pesant, d'une pierre tombale épaisse, d'un silence définitif, de cette espèce de cachot que l’Église appelait in pace, lequel terminait radicalement tout débat, autrement dit la censure, sans laquelle les Messieurs perdraient tout appétit. Il faut voir en Marcel Gauchet un de ces rares intellectuels qui troublent, par sa rigueur, la digestion des assis.
Du reste, un autre talentueux chercheur, le linguiste Alain Bentolila, dans l'Observateur du 25 octobre, rappelle que notre historien est un « esprit aussi brillant et complexe ».
Mais nous ne nous arrêterons pas à cette anecdote ridicule, qui n'a de vertu que de remuer les chairs putréfiées du royaume de France, du moins de ce qu'il en reste. Malheureusement, les hussards blettes de la pensée politiquement correcte agitent encore leurs Rossinantes, en croyant rééditer les grandes charges des années soixante. Or, ils ne sont plus que l'arrière-garde d'une armée en déroute.
L'un de ses officiers, un gradé tout alerte de cette troupe ubuesque, vient de faire entendre sa trompette guerrière dans un entretien paru dans le numéro du samedi 1er octobre de Libération. Nicolas Offenstadt, maître de conférences à l'université Paris-I, reproche à Marcel Gauchet et à Éric Zemmour de faire l'apologie d'une « France éternelle ». L'histoire serait « instrumentalisée » par la « droite conservatrice ».
Les exemples qu'il invoque, d'une telle offensive « réactionnaires », ne manquent pas de sel. Il en énumère trois : la critique d'un enseignement de l'histoire, qui oublie la geste héroïque de la nation française, le projet sarkozien d'une « Maison de l'histoire de France », et la mode de l'histotainment, incarnée par Laurent Deutsch. On est en droit de s'interroger sur la pertinence d'une telle liste, sachant que Sarkozy ne projetait cette fameuse « Maison », qui est restée virtuelle, que pour des raisons de marketing politicien, et que c'est sous sa présidence que les attaques contre la mémoire nationale de la France ont été les plus virulentes. D'autre part, est-il sérieux de mettre sur le même plan des émissions télévisuelles de divertissement (même sérieux) et des travaux de recherche ? Pourquoi ne pas citer un Jean-Claude Michéa, par exemple, homme de gauche intègre, qui, lui aussi, a eu maille à partir avec la caste des tartufes ?
On voit sur quel terrain cet universitaire représentatif de notre pauvre vie culturelle, a décidé de se placer. En gros – et du reste, comme l'ensemble de la meute – sur le terrain journalistique, autrement dit de l'agitation du bocal médiatique. Et de l'anachronisme. Comment déconsidère-t-il, par exemple, les idées qui nous viennent du XIXe siècle ? Eh bien, mon pauvre ami, les femmes n'avaient pas le droit de vote, et c'était le temps maudit des colonies. On voit la confusion. A ce compte, on peut aussi dénigrer la démocratie, pour la bonne raison que, du temps de Périclès, sévissait l'esclavage ! Ce n'est pas sérieux. Quant à l'idée nationale, on sait que, longtemps, elle fut l'argument suprême des progressistes, des républicains, des gens de gauche.
Mais ce ne sont là que des points de détail, pour ainsi dire. Comme cette phrase de Zemmour, qu'on lui reprochera sans doute toute sa vie, sur le sauvetage de Juifs par Pétain (rappelons, au demeurant, que Franco lui-même a protégé de nombreux Israélites). J'ai lu attentivement Le Suicide français, et j'ai bien trouvé des critiques du Maréchal. Zemmour ne nie pas les méfaits du régime de Vichy, et résumer les centaines de pages de son livre à une seule phrase est ce que l'on appelle un procédé stalinien.
De même, en condamnant la conception « biologique » de ceux qui croient aux racines de notre civilisation, il caricature ses adversaires. Qu'il existe une chaîne, généalogique, de causes à effets, anamnésique, qui relie la France d'aujourd'hui à ce que furent les ancêtres qui en fondèrent les murs, qui le contesterait ? Savoir comment ce lien s'est constitué est très complexe, mais il n'est pas niable que la volonté de partager le même Grand Récit, le même « mythe », si l'on veut, à condition d'appréhender ce terme dans son sens positif, d'histoire qui explique les raisons narrative d'un existant, entre pour une bonne part dans la psychologie historique de notre pays, qui s'est fait par l’État (mais pas seulement par lui), partant, d'une mémoire « culturelle » – les Grecs, les Romains, les Celtes, le le christianisme.... On voit mal pourquoi il faudrait se rabattre sur une sorte de constructivisme absolu (qui partage avec la théorie du genre et le relativisme libéral le poison nihiliste de la destruction de tout sens fondé par la tradition, voire la nature). De même, tout historien sérieux, tout politologue conséquent, sait qu'une nation se définit par rapport à autrui, à l'étranger : il y a ceux qui en sont, d'autres qui n'en sont pas. A moins que l'on vive parmi les anges, dans la contemplation éthérée du cosmos indéfini. Mais nous sommes dans l'humain, et l'homme est fait d'une pâte qui s'appelle chair, donc qui a trait à une sorte de biologie, ce sang et ces larmes, par exemple, qui ont été versés à Verdun.
Que propose notre maître Janotus en guise d'enseignement de l'histoire ?
Là est, évidemment, une question vitale pour notre avenir. Or, notre « spécialiste » « plaide » pour donner tout loisir aux... « spécialistes » de l'histoire. On connaît la chanson. Les médias sont truffés de « spécialistes » autorisés qui prêchent la bonne parole. D'autre part, il prône un enseignement de « plein air » : « Cet appui sur les lieux permet de multiples échanges entre l’histoire comme discipline et les discussions présentes, le monde habité par les gens. »
« Discussions »... Autrement dit, on aurait deux instances qui ne recouperaient : l'une serait la doxa avec laquelle on formaterait les cerveaux, une orthodoxie bienpensante, évidemment, et l'autre serait le choc des opinions, la confrontation des points de vues, une espèce de café du commerce historique.
M. Offenstadt nous livre, du reste, la conception qui a cours actuellement dans l’Éducation Nationale, la ligne du parti, en quelque sorte : foin des « Grands Récits ! inutile de restituer, de placer dans un contexte ! Il n'est qu'à demander aux « gens » d'exprimer leur « ressenti », aussi bien devant un texte littéraire que devant des résidus de tranchées. Pourquoi ce texte a-t-il écrit ? Pourquoi ces tranchées ont-elles été creusées par des soldats qui avaient le sentiment d'appartenir à une vieille nation ? Billevesées ! Le principal est de restituer ses impressions, au risque du contresens !
(1) les Rendez-vous de l'Histoire se déroulent chaque année à Blois cliquez là
10:44 Publié dans Claude Bourrinet | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Tunisiens ne veulent pas de BHL chez eux... et ils ont raison !
Des dizaines de Tunisiens attendaient de pieds fermes dans la soirée de vendredi l'écrivaillon Bernard-Henri Lévy dans le hall de l'aéroport de Tunis-Carthage. C'est aux cris de "BHL dégage" et "Non aux intérêts sionistes en Tunisie", que celui-ci a été accueilli. Les manifestants accusent ce sinistre personnage d'être animé d'une "haine contre les Arabes et les musulmans", ont rapporté les média locaux. Ils ont bloqué la sortie principale des visiteurs à l'aéroport, poussant des agents de sécurité à faire sortir l'arroseur arrosé par une porte secondaire. Bien fait pour sa gueule...
Décidément l'imposture BHL commence sérieusement à prendre du plomb dans l'aile... Lire l'article de Monde consacré à sa "brillante carrière". Pour une fois les pendules sont remises à l'heure. cliquez ici
10:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Minute condamné...
10:41 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La banane, le singe et le ministre
Franck Abed cliquez ici
A lecture de ce titre, les lecteurs pourraient penser, imaginer que nous nous retrouvons face à un remake d’un des plus grands films de l’histoire du cinéma (1). Qu’ils se détrompent, nous sommes malheureusement en Hollandie pour le pire et le pire…
Le directeur d’un hebdomadaire nationaliste et républicain (2) vient d’être condamné par le tribunal correctionnel à 10 000 euros d’amende. La raison est simple, la couverture de son édition du 13 novembre 2013 publiait une photo de Christiane Taubira, avec cette manchette: « Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane ». Nous ne nous prononcerons pas sur la ressemblance ou non du Ministre avec un animal, laissons les Français seuls juges. Nous pensons que ce n’est pas le sujet car cela représente tellement peu de choses en comparaison de la crise profonde traversée par notre pays… De plus certains de nos amis nous comparent souvent à un ours, nous n’en devenons pas malades ou tristes. De notre côté, un de nos meilleurs amis ressemble à un cheval, il n’a jamais pris la mouche à chacune de notre comparaison moqueuse mais finalement si gentille… Il est dommage de voir la justice de notre pays perdre son temps avec cette affaire, quand nous savons le nombre de jugements pour des motifs bien plus graves en attente. Que la police de la pensée unique arrête en priorité les voleurs, les violeurs, les escrocs, les dealeurs au lieu de s’en prendre à un journaliste qui exerce ses libertés d’expression…
Concrètement, l’hypocrisie colle à ce jugement. Commençons par l’avocat du MRAP qui pendant l’audience a déclaré : « Le fait d’assimiler une personne humaine à un animal, c’est une injure faite à l’humanité tout entière ». Dieu merci ! Le bon sens reviendrait-il dans les tribunaux ? En effet, nous sommes contents de lire cette phrase dans la bouche d’un avocat gauchiste et moderniste. Il serait temps enfin que les programmes scolaires de l’éducation dite nationale arrêtent d’apprendre à nos chères têtes blondes que l’homme descend du singe, car en effet « c’est une injure faite à l’humanité tout entière, d’assimiler une personne humaine à un animal ». Il a poursuivi en expliquant : « Il y a des limites, on ne peut pas tout dire, tout écrire, tout dessiner ». Le bon vieux couplet révolutionnaire de Saint-Just repris et ressorti dès que leur liberté d’expression vacille : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Le problème reste toujours le même avec eux, la liberté d’expression c’est quand cela les arrange et elle demeure à géométrie variable. Ils sont constamment dans le deux poids deux mesures. Quand Monsieur Jean-Marie Le Pen est comparé à un bull dog, les censeurs ne prennent pas sa défense, pas plus quand il est assimilé à « un nazi » par Jacques Séguéla (3). De même, lorsqu’un journal anarcho-communiste dessine le Christ, l’Eglise, le Pape dans des postures infâmantes que nous n’expliquerons pas afin de ne point heurter la sensibilité des âmes, la police de la pensée unique explique qu’il s’agit là de liberté d’expression et autres malhonnêtetés du genre. Que dire d’un spectacle où à la fin de celui-ci les gens présents dans la salle jettent de la merde sur le visage de Notre Seigneur Jésus-Christ. Blasphème ? Non pas du tout, c’est de l’art selon eux. Nous ne le comprenons point, parce que nous serions rétrogrades et les défenseurs d’un ordre ancien…
Si nos adversaires pouvaient être sérieux deux secondes, le débat intellectuel en sortirait grandi. En son temps, les républicains avaient – et tous les étudiants de France connaissent cette caricature – déjà utilisé l’arme de la dérision avec les Poires. Ce dessin montrait l’inefficacité de la politique de Louis-Philippe et son impopularité grandissante… Fallait-il condamner l’auteur de cette planche ? Bien sur que non. Quand nous voyons tous les pamphlets anti-monarchistes publiés au XVIIIème dans toute la France, nous nous demandons quel fut le ratio d’auteurs condamnés par écrits publiés… Il serait intéressant de le comparer au ratio de notre époque et nous verrions quel régime défendait plus les libertés d’expression. Beaucoup, mais pas nous, seraient surpris du résultat…
Quoiqu’il en soit, en Hollandie ou en Sarzokie, les censeurs mènent la belle vie du haut de leur tour d’ivoire. Tout ce qui dépasse, tout comme à la révolution de 1789, se trouve vite coupé en deux, écharpé par les procès et autres condamnations qui ne visent que la mort économique. Plus besoin des prisons, les amendes sont devenues leurs armes de destruction massive pour faire taire les opposants. Que nous reste-t-il pour défendre nos positions ? L’humour et l’intelligence seront toujours les meilleures armes pour combattre la tyrannie, l’ignorance et la mauvaise foi. Maintenant, nous allons pouvoir manger une banane en regardant un documentaire animalier. Peut-être que nous y verrons….
Notes
(1) Le bon, la brute et le truand de Sergio Leone
(2) Minute
(3) JMLP vient de porter plainte pour ce propos : « la fille de l’autre nazi »
09:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 31 octobre 2014
De la Servitude universelle...
L'émergence, dans la France chloroformée par des lustres d'endoctrinement, de discours émollients, et de délires idéologiques, d'un mouvement contestataire protéiforme, qui se décline par des manifestations impressionnantes, des opérations spectaculaires de dénonciation, des actes de résistance, a encouragé la prise de parole de Français, longtemps tenus de se taire et de souffrir en silence.
George Feltin-Tracol est l'un de ceux-là. Il nous propose régulièrement des analyses pertinentes sur notre monde, passe au peigne fin, si l'on ose dire, la question du contrôle de la société par les puissances étatiques, financières, médiatiques, dont l'objectif est d'instaurer un État mondial de tonalité totalitaire. Son ouvrage, En Liberté surveillée, remarquablement documenté, se veut, en même temps, une chronique des prémisses d'une « mise au pas » de la société française par un régime qui n'a plus aucune espèce d'inhibition « démocratique ». Les résistances multiformes, que tout le monde a en mémoire, et qui témoignent de la richesse plurielle (terme adéquat, cette fois!) de la lutte populaire, par exemple les manifestations contre les spectacles blasphématoires « Piss Christ », « Golgota picnic », l'affaire de Tarnac, le « cas » Dieudonné, la « Manif pour tous », ont pour réponses les emprisonnements politiques, la censure, la brutale répression policière, les manipulations. La sphère politique est empoisonnée par l'idéologie nihiliste, les « nouvelles sacralités », qui suscitent des « phobies », lesquelles arment le bras de la « Justice », sans compter la vidéo-survillance, qui contrôle les routes et les rues, la novlangue, qui formate les consciences, l'endoctrinement scolaire, le néo-puritanisme, expression extrême de la clitocratie triomphante, dont l’égérie est la Suède, matrice du totalitarisme postmoderne dévirilisant, infantilisant, Grande Nursery dont Big Mother est la maquerelle fouettarde. Ces liens tressés par des Lilliputiens doctrinaires, liens dont le plus puissant, en ce moment, est incarné par le communautarisme, pendant symétrique d'un individualisme consumériste, sont destinés à étouffer notre identité... Ainsi cette entreprise liberticide évoque-t-elle la mise en place d'un despotisme nouveau, plus complexe, plus subtil, plus savant que les anciennes tyrannies, qui n'étaient que des ateliers artisanaux à côté de lui.
L'analyse ne se limite pas à une recension de notre servitude organisée, mais aussi à ses causes. La description de l' « État profond » est d'un intérêt capital : il s'agit en effet d'une « structure de gouvernement à la fois invisible et continue », qui gère réellement la société, tandis que les institutions apparentes, souvent élues, « représentatives », ne sont là que pour exécuter, ou amuser la galerie.
George Feltrin-Tracol, En liberté surveillée Réquisitoire contre un système liberticide, Éditions Les Bouquins de Synthèse nationale, 23€ - cliquez ici
22:23 Publié dans Claude Bourrinet, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 22 novembre, Synthèse nationale est invitée au congrès européen organisé par le GUD à Paris
16:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Conflits raciaux...
Dans le catéchisme des apôtres du multiracialisme, il y a les gentils Noirs et les méchants Blancs. Manichéisme confortable pour les faux-culs mais qui a un gros défaut : il est nié en permanence par les réalités.
Dernier exemple en date : à Calais, submergée par un afflux incessant et toujours croissant de migrants clandestins (de l’aveu même du ministère de l’Intérieur, leur nombre a été multiplié par quatre depuis le début de l’année), les vieilles rivalités raciales interafricaines mettent le feu aux poudres : catastrophé, Le Monde est obligé de le reconnaître (23 octobre) : « Les rixes entre ethnies se sont multipliées (…) Plusieurs batailles rangées ont éclaté entre groupes ethniques ». Ethiopiens et Erythréens ont réglé leurs comptes à coups de pierres et de bâtons, avec à la clé plusieurs dizaines de blessés.
Des Gaulois patriotes ont réagi face à cette situation, pour manifester le ras-le-bol des habitants de Calais et des environs. Les membres de Terre et Peuple doivent évidemment leur apporter un soutien actif.
Autre illustration de conflit racial : dans les rues de Tanger des Noirs sont attaqués à coups de couteau par des Marocains qui ne supportent plus de voir leur ville envahie par des gens venus du Sud en nombre toujours plus important et qu’ils considèrent comme des descendants d’esclaves.
09:53 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Minute condamné... Soutenez Minute !
Le directeur de publication de « Minute », Jean-Marie Molitor, a été condamné ce jeudi à 10.000 euros d’amende pour une couverture qui avait comparé à un singe la ministre de la Justice Christiane Taubira.
Dans son édition du 13 novembre 2013, le journal avait publié une photo de la garde des Sceaux, avec ce titre: « Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane ». Le parquet avait requis trois mois de prison avec sursis et 10.000 euros d’amende.
La condamnation a été prononcée contre le directeur de publication de « Minute », Jean-Marie Molitor. Il a en revanche été relaxé pour un dessin paru le 30 octobre représentant un singe, versant une larme, dont l’avocat déclarait: « mon client porte plainte pour avoir été odieusement caricaturé en madame Taubira ».
Manifestez votre solidarité avec Jean-Marie Molitor, allez acheter le numéro de Minute de cette semaine...
09:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
09:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 30 octobre 2014
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
10:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après Charette et St Louis, Philippe de Villiers va sortir Le Roman Jeanne d'Arc
Philippe de Villiers publie dans quelques jours "Le Roman de Jeanne d'Arc" aux éditions Albin Michel. Formidable trait d'union entre le ciel et la terre, Jeanne demeure aux yeux de tous les Français une héroïne extraordinaire.
10:00 Publié dans Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IL N’Y A PAS QUE LES RHINOCEROS BLANCS QUI SONT MENACES DE DISPARITION !
Jean-Claude Rolinat
Avril 1994… Un tournant dramatique et décisif dans l’histoire des blancs d’Afrique du Sud. Leur destin a basculé. En acceptant le principe du suffrage universel, le fameux « one men, one vote », le calamiteux Frederik De Klerk signait l’arrêt de mort d’un peuple européen indépendant en Afrique australe. Le lâchage, 14 ans plus tôt, de la Rhodésie blanche de Ian Smith, n’aura été qu’un apéritif pour le « Gargantua mondialiste ». Dans une société multiethnique, institutionnellement indifférenciée, la loi démocratique donne le pouvoir au plus grand nombre. Surtout en Afrique où le fait tribal est encore prédominant, les ethnies majoritaires, même d’une façon relative, l’emportent et dominent le paysage politique. Les exemples sont innombrables, ayons simplement à l’esprit ceux des Hutus au Rwanda ou des Kikuyus au Kenya.(Toutefois, dans le premier des deux cas, les Tutsis, minoritaires, viennent de prendre leur revanche). Pourtant, le « pouvoir pâle » de Pretoria avait toutes les cartes en main : l’instrument politico-militaire, une quasi indépendance énergétique, des minerais sensibles nécessaires aux occidentaux, une opposition contenue, des terroristes anéantis… Seule une pression internationale insistante donnait mauvaise conscience à certains traitres du Broederbond, la franc-maçonnerie afrikaner. La logique de la politique de développement séparée, menée conjointement avec l’abolition de « l’apartheid mesquin », aurait dû conduire à la création d’une constellation de quelques Etats égaux en droits et devoirs, prélude à une ultérieure Confédération ou Fédération, selon l’aboutissement des négociations, dans laquelle chaque partie aurait conservé la pleine maitrise de ses affaires culturelles et de sa sécurité. Pour cela, le Parti National aurait dû sacrifier une fraction du territoire historique des établissements afrikaners et anglophone, et consolider les « Bantoustans ». Il ne l’a pas fait à temps, préférant tout garder d’un immense territoire pour, finalement, tout perdre dans un véritable « Munich exotique » négocié avec l’habile Mandela. Ce dernier promettant tout, surtout ce qu’il savait être comme d’inacceptables concessions pour ses amis de l’African National Congress (ANC), a « roulé les Blancs dans la farine »…
Résultats des courses ? En vingt ans, un million de ces derniers a quitté leur pays et, pour beaucoup d’entre eux, sans esprit de retour comme les 20 000 anglophones installés à Perth, en Australie occidentale. Plusieurs milliers de fermiers et les membres de leurs familles ont été massacrés dans le Veldt dans des conditions horribles et ce, dans une quasi indifférence de nos belles consciences internationales ! Où était BHL et consort ? Aux abonnés absents… La République d’Afrique du Sud dispute au Brésil la première place sur le podium des pays à forte criminalité. L’ANC a kidnappé le pouvoir, à l’exception de la ville du Cap et de sa province. Une nouvelle bourgeoisie noire, environ 10 % de sa population, a émergé dans le monde des affaires et n’entend nullement partager les fruits de sa réussite avec ses frères qui s’entassent dans des bidonvilles gonflés par une immigration – là aussi ! – non maitrisée. Jacob Zuma, Président de l’indéboulonnable ANC, assume d’une façon clownesque les fonctions de Chef de l’Etat. Lui et sa clique de corrompus gouvernent tant bien que mal la deuxième économie du continent. (Le Nigéria, avec son pétrole, vient de ravir la première place à la RSA, ce qui n’a aucune signification…). L’armée, la National South African Defence Force, privée de la plupart de ses cadres blancs, n’est plus que l’ombre d’elle-même. Une coalition des électorats blancs, métis et Asiatique est-elle imaginable, et le Democratic party peut-il inverser la vapeur ? Où sont passés les militants du Freedom Front et de l’AWB de feu Eugène Terreblanche ? L’expérience d’Orania a-t-elle un avenir ? Le dernier afrikaner est-il condamné à éteindre la lumière en partant et cette communauté subira-t-elle le sort des Pied-Noir ? Finalement Mandela, en donnant l’image bonhomme d’un « Père de la nation », aurait-il été plus habile que Ben-Bella ?
Des éléments de réponses incontournables en lisant le récent ouvrage de Jean-Claude Rolinat édité aux Bouquins de Synthèse Nationale, « République Sud-Africaine : la faillite de Mandela ». 18,00 € plus 3,00 € de port. Cliquez ici
04:15 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |