jeudi, 18 septembre 2014
Dimanche 12 octobre, à Rungis : Serge Ayoub parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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Du mépris supposé à la lâcheté avérée ?
La chronique de Philippe Randa
Il en va des politiciens comme du temps incertain ou des mœurs changeantes : le cru actuel de certains Damnés de la Terre n’échappe pas à la règle.
Après le mépris révélé – réel ou mensonger – sur l’emploi de l’expression « sans dents » par le Président François Hollande, voici Emmanuel Macron, son Ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique qui vient à son tour de créer l’émoi en dénonçant l’illettrisme des employées de la société agroalimentaire Gad, en instance de fermeture…
On s’en doute, le tollé a été immédiat, et le ministre a piteusement battu en retraite en s’excusant d’avoir prononcé un tel adjectif.
Et pourquoi donc ? Parce qu’aucune employée visée ne serait le moins du monde « illettrée » et que la personne en charge de l’avenir économique des Français parle sans savoir ? En effet, voilà qui est extrêmement grave… Mais si c’est la réalité, il était bel et bien du devoir de sa charge de dénoncer cet illettrisme, frein évident pour que ces employées puissent retrouver un emploi.
Auquel cas, nul mépris dans ses propos, mais un « parler vrai », dérangeant sans doute, mais salutaire à une époque où les Français en réclament justement ; ne nous le répète-t-on pas sans arrêt ?
Dans ce cas, les excuses du Ministre sont plus graves que tout, prouvant ainsi qu’il est d’une rare lâcheté. Ce qui n’augure guère de l’avenir économique des employées de Gad en particulier… et des Français en général !
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Samedi 27 septembre : deuxième journée familiale et militante en Flandre
Pour la deuxième année consécutive sera organisé en Flandre le samedi 27 septembre une journée familiale et militante. Elle aura lieu à la ferme de l'Epinette 776 rue de l'Epinette 59 NIEPPE.
Au programme de cette journée :
Après-midi : Stands (il y aura un stand de Synthèse nationale) et jeux pour petits et grands. Nouveauté cette année : Un château gonflable pour les plus jeunes !
Repas barbecuesuivi d'un concert du Docteur Merlin !
Entrée + repas + concert + 1 boisson : 15€
Entrée + repas + concert + 1 boisson (enfant de 8 à 12 ans) : 15€
Entrée + concert + 1 boisson : 8€
Enfant de moins de 7 ans : gratuit
INSCRIVEZ-VOUS EN LIGNE : CLIQUEZ ICI
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Dimanche 5 octobre, dans le Cher : fête annuelle du Cercle national des combattants
Pour information, vous trouverez ci-joint les informations relatives à la Grande fête champêtre annuelle du CNC qui se tiendra le dimanche 5 octobre à la La-Chapelle-d'Angillon (18380) en présence de notre ami Roger Holeindre.
Déroulement de la journée et modalités d'inscription :
- Au château de la Chapelle d'Angillon
- Modalités...
- 09 h 00 mise en place des stands
- 10 h 00 messe en la chapelle du château
- 12 h 00 cérémonie des couleurs et Hommage à l'armée française d'hier et d'aujourd'hui par le président Roger Holeindre
- 13 h 00 repas en commun, sous la Grande galerie...
- 16 h 00 projection du film, Le Sacrifice, avec présentation de l'auteur...
- 18 h 00 couleurs et adieux
- Site privé du château...
- Renseignements et inscriptions : au 01 40 59 07 66
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Jeudi 9 octobre : Anne Le Pape présentera sa biographie de François Brigneau aux Ronchons...
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
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mercredi, 17 septembre 2014
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3154 du 11 septembre 2014
ENOCH Powell « avait raison » de mettre en garde contre l’immigration, affirme l’ancien ministre de la Défense conservateur Gerald Howarth. On se souvient du célèbre discours prononcé le 20 avril 1968 par Enoch Powell, parlementaire conservateur britannique, critiquant le multiculturalisme et opposé à l’immigration venant des pays du Commonwealth. Il disait : « Si je regarde vers l’avenir, je suis empli de sombres présages ; tel le poète romain, il me semble voir le Tibre écumer d’un sang abondant ». Il ajouta : « Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50 000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire. »
ENOCH POWELL WAS RIGHT ! (AVAIT RAISON)
Son discours provoqua une vive polémique dans la classe politique, la presse et la société britannique, mais un sondage de l’organisation Gallup réalisé fin avril 1968 montra que 74 % de la population était d’accord avec lui. Mais que pèse l’opinion de la majorité du peuple face aux lobbys et aux professionnels de la trahison ? Le conservateur anglais Gerald Howarth, député de longue date, vient d’affirmer qu’Enoch Powell avait eu raison de mettre en garde contre l’immigration. L’ancien ministre de la Défense écrit dans un courriel : « De toute évidence, l’arrivée d’une telle masse de personnes de confession non chrétienne représente une épreuve. Beaucoup d’entre nous, et le défunt Enoch Powell en faisait partie, avions donné l’alerte à ce sujet il y a plusieurs décennies. » Evoquant les abominables événements de Rotherham, où plus de mille enfants et jeunes filles blanches ont été réduites en esclavage sexuel en dix ans par une bande de Pakistanais, il dit : « Il s’agit de décennies de politiquement correct, et c’est cela qui a permis à ces répugnants abus d’enfants d’avoir lieu. » Et il conclut par ces mots : « Ici, c’est le Royaume-Uni, nom d’un chien ! Si vous ne l’aimez pas, partez vivre ailleurs » ajoutant : « C’est le parti travailliste qui est responsable. Le parti travailliste et la gauche. » Mais hélas pas seulement le parti travaillistes, les prétendus conservateurs sont eux aussi responsables de l’invasion du Royaume-Uni.
UN TEE-SHIRT ZARA AFFUBLÉ D’UNE ÉTOILE JAUNE RETIRÉ DE LA VENTE
Chacun sait que l’“Holocauste” fait vendre. C’est ce que les responsables de la célèbre marque espagnole de vêtements, Zara, ont dû se dire quand ils ont imaginé de commercialiser un beau tee-shirt pour enfant affiché au prix de 12,95 euros sur l’eshop Zaraun. Il avait tout pour plaire : des rayures bleues et une belle étoile jaune sur la poitrine. De façon assez incroyable, certains y ont vu un remake des uniformes portés par les Juifs dans les camps de concentration lors de la Seconde Guerre mondiale. Face aux couinements, l’enseigne espagnole Zara a retiré de la vente le beau teeshirt rayé à étoile jaune.
MONTEBOURG : “HOLLANDE MENT TOUT LE TEMPS”
L’ex-ministre de l’Économie Arnaud Montebourg, évincé du gouvernement, se raconte dans un livre qui paraît le 10 décembre, dont le titre est Montebourg, moi président (Éd. L’Archipel). Celui qui se déclarait fin juin 2014 en “cohabitation” avec le président déclare : « J’ai des rapports minimalistes avec le président de la République. Je me considère en cohabitation. Le président préside, mais nous, on fait ». Il ajoute : « Avec François Hollande, on ne peut plus discuter. Donc on ne discute plus. Ça ne sert à rien, les discussions avec lui sont inutiles. Sympathiques, mais inutiles. Depuis que je suis ministre de l’Économie, je ne vais plus discuter avec lui à l’Élysée. Je passe mon temps à Matignon. D’ailleurs, j’ai donné instruction à mes équipes de ne plus aller à l’Élysée ». L’ancien Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, en prend aussi pour son grade. A propos de l’affaire Léonarda, Montebourg dit : « C’est une catastrophe. Ça ne va pas durer longtemps comme ça. Valls, Peillon… On en a tous marre, on a tous envie de se barrer… C’est plus possible, vraiment, c’est n’importe quoi. On n’en peut plus, on est au bout. Cet amateurisme, c’est plus possible, ce n’est pas croyable. » Et puis, cette ultime considération : « Hollande ment tout le temps. C’est pour ça qu’il est à 20 % dans les sondages. Il ment. Il ment tout le temps. Depuis le début. » Ces propos ont été tenus en janvier. Depuis, Supermenteur a encore chuté dans les sondages…
MÉLENCHON ACCUSÉ D’AVOIR TENU DES PROPOS ANTISÉMITES
Jean-Luc Mélenchon avait participé, le week-end du 24 août, à l’université d’été du Parti de Gauche à Grenoble. Les propos qu’il y a tenus n’ont pas manqué de choquer profondément l’affreux journaliste Frédéric Haziza, auteur de Vol au-dessus d’un nid de fachos, qui y voit la preuve d’un antisémitisme virulent. Mélenchon a ainsi déclaré : « La République, c’est le contraire des communautés agressives qui font la leçon au reste du Pays ». Haziza s’est derechef senti visé, évoquant cet autre propos de Mélenchon qui s’est risqué à dénoncer « ceux de nos compatriotes qui ont cru bien inspiré d’aller manifester devant l’ambassade d’un pays étranger ou d’aller servir sous ses couleurs les armes à la main ». Mélenchon cible évidemment les Français qui s’enrôlent au sein de Tsahal et ceux qui expriment parfois violemment (cf. la Ligue de défense juive) leur soutien à Israël. Mélenchon a aggravé son cas en défendant devant ses militants « les populations martyrisées de Gaza » en précisant : « Nous ne croyons pas aux peuples supérieurs aux autres ». Haziza du coup s’en étrangle d’indignation, écrivant : « Il est lourd, trop lourd de sous-entendus. La théorie de la “race supérieure”, cela ne vous rappelle rien ? » Et ce n’est pas fini. Mélenchon a évoqué la nécessaire « fidélité à ces combats du passé, la fidélité au souvenir des meurtres de masse qui ont été commis dans le passé ». Du coup Haziza y voit un monstrueux parallèle entre la Shoah et la guerre de Gaza, accusant Mélenchon de « reprendre désormais à son compte la rhétorique récurrente et habituelle des sites d’extrême-droite, de ceux d’Alain Soral, de Dieudonné M’bala M’bala ou encore de la mouvance islamo-salafiste ». Rien que çà…
UNE PHOTO “SIGNIFIANTE” SUR LE SITE DE L’EDUCATION NATIONALE
La photo postée il y a quelques jours sur la page Facebook de l’Education nationale représente sept enfants de maternelle dont, relève la quotidien Aujourd’hui, « plusieurs Noirs ». En fait de “plusieurs”, six enfants sur sept sont noirs. De multiples réactions d’internautes ont poussé le ministère à dénoncer le grand nombre de commentaires injurieux et racistes. Ces commentaires ont évidemment été supprimés. Restent ceux des inévitables collabos, dont celui-ci : « Cette photo représente la France d’aujourd’hui ». Sans commentaire…
A QUOI SERT LE FRONT NATIONAL ?
David Rachline, le nouveau maire FN de Fréjus, n’avait de cesse de dénoncer, avant les élections, le projet de mosquée de Fréjus et l’ingérence des « pays du Golfe ». Il avait même promis l’organisation d’un référendum sur ce sujet. Depuis, silence radio. Il a refusé de s’associer à la plainte de Georges Ginesta, maire de Saint-Raphaël, qui est concerné, puisque la future mosquée jouxte sa commune. Selon lui, la mosquée ne respecte pas les règles d’urbanisme de la ville de Fréjus, qui impose des distances minimales entre les bâtiments. Cet argument peut être suffisant pour obtenir l’arrêt des travaux. Pourquoi Rachline se tait-il ? Réponse d’un permanent du FN : « Rachline se fait désormais discret parce que Marine le lui demande, car il est hors de question de faire de ce sujet un enjeu national. Le Front a un électorat musulman, et il est exclu de le braquer ». Et Rachline de jouer les vierges démocratiques effarouchées en déclarant ne pas « vouloir se substituer à la justice ». Mais à quoi cela sert-il alors de voter FN à Fréjus ou ailleurs ? Tout cela est consternant...
ADIEU NÉGROS, ADIEU BAMBOULAS…
Le “négro” et le “bamboula” sont, ou plutôt, étaient des spécialités chocolatées auxerroises créées en 1919 par la famille Moreau. Elles rencontraient un succès fou et se voyaient expédiées partout en France, raconte une responsable de la chocolaterie Feret, actuelle propriétaire de la marque. Tout allait pour le mieux jusqu’au jour où le Conseil Représentatif des Associations Noires de France (CRAN) et Sortir du Colonialisme se sont indignés, dénonçant « un revival de l’imagerie coloniale la plus nauséabonde » en exigeant que « la chocolaterie de la honte retire de la vente ces horreurs ». La direction de la chocolaterie a eu beau expliquer que cette spécialité auxerroise avait été conçue il y a un siècle pour « rendre hommage » aux tirailleurs sénégalais blessés durant la guerre et à une danse africaine, bref, qu’il ne s’agissait « en aucun cas d’une injure ou d’un qualificatif raciste », rien n’y fit. Il y eut des menaces reçues par courriel ou par téléphone. Du coup, la direction, courageuse mais craignant pour le devenir de sa vitrine, a débaptisé les deux produits. Le “négro” devient le “grégo” et le “bamboula”, « le bon goût ». Tout cela manque désormais singulièrement de poésie…
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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mardi, 16 septembre 2014
APRES LA JOURNEE SANS AUTOS, LE WEEK-END SANS ELECTRITE, LA SEMAINE SANS GAZ ? LE MOIS SANS GREVES ?… PEUT-ETRE L’ANNEE SANS CORRUPTION ?
Pieter Kerstens
Les Eurocrates de Bruxelles imposent tous les ans une « semaine de la mobilité » qui se tient sur notre continent à compter du 15 septembre et atteindra son point d’orgue le dimanche 21 dans plusieurs centaines de villes où la circulation sera interdite.
On nous parle de « mobilité durable », de trou dans la couche d’ozone et de lutte contre la pollution : mais tous les ans, ce sont des millions d’heures perdues dans les embouteillages.
Selon une étude publiée le 4 mars 2014, sur base des analyses concernant plus d’un million de kilomètres de routes et autoroutes en Europe, la société INRIX dresse le constat suivant :
Chaque automobiliste perd 24 heures par an dans les bouchons en Italie, alors qu’au Luxembourg les heures perdues se montent à 31 heures/an, à 35 heures en Allemagne et en France, mais à 58 heures/an et par automobiliste en Belgique !
Bien évidemment, hormis l’augmentation de la pollution, ces millions d’heures perdues dans les embouteillages de chaque pays ont un prix. L’OCDE a chiffré ce coût entre 1 à 2% du PIB : soit entre 4 et 8 milliards d’euros tous les ans pour la Belgique!
Et au minimum 20 milliards d’euros pour la France, chaque année ! Là aussi on pourrait faire des économies …à l’heure où tous les ministres des Finances cherchent à réduire les déficits du budget.
Mais au lieu de mettre en place tous les moyens indispensables pour améliorer la circulation sur les routes, les autoroutes et les voiries urbaines, c’est tout le contraire que nos gouvernements nous ont imposé ces 35 dernières années.
Les automobilistes, nouveaux serfs du XXIe siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir.
Téléphoner dans son auto devient un délit et entraîne de fortes amendes.
Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !
Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon en France, dans les 751 quartiers dénommés « Zones Urbaines Sensibles »… discrimination ? Et encore moins dans les 64 Z.S.P.
Il est temps de mettre un holà à cette dérive des maniaques des pistes cyclables tout azimut, de la gratuité des transports publics, de la suppression des places de stationnement dans les rues ou encore de la transformation de nos avenues et de nos boulevards de liaisons en ruelles de cités du tiers-monde.
A les écouter, on devrait circuler en trottinettes, en rollers ou en cyclorameurs et abandonner nos voitures pour emprunter les bus, les trams ou le métro (transports en commun, renommés pour leur propreté, leur ponctualité et surtout leur sécurité, tout le monde le sait).
NOTRE AUTO ? C’EST NOTRE LIBERTE !
Demandez donc aux mères de famille ce qu’elles en pensent. Si l’utilisation automobile a connu un tel développement au cours des 35 dernières années, c’est bien qu’il existait de bonnes raisons.
Depuis 1980, à puissance égale, la voiture consomme et pollue 40% de moins, grâce aux améliorations techniques des moteurs, à l’essence sans plomb et sans soufre, au pot catalytique et aux filtres captant les particules fines.
En est-il de même aux USA, en Chine, en Inde ou en Afrique ? Ce sont eux les plus gros pollueurs !
Nous n’acceptons pas les affirmations mensongères des khmers verts et de leurs laquais socialistes, visant à nous culpabiliser.
Pour diminuer les effets de serre ou le rejet de CO2 les Ecolos et les altermondialistes vont-ils mener campagne à Dakar, à Calcutta, à Rio ou à Canton pour interdire aux habitants d’acheter des motos ou des voitures et à revenir à l’utilisation du vélo ?
Il faut arrêter de martyriser les conducteurs européens sous de faux prétextes et de les désigner comme seuls responsables de tous les maux !
TROP, C’EST TROP !
Le Pouvoir ponctionne des milliards d’euros des secteurs liés à la voiture (taxes d’immatriculation et de circulation, accises, assurances, TVA, amendes, bonus/malus CO2, etc…).
Mais dans quel état se trouvent nos rues et notre réseau routier ?
Face à ce racket fiscal, des centaines de milliers d’automobilistes sont aujourd’hui révoltés par l’impéritie, le laxisme et l’incompétence de la classe politique, plus soucieuse de sauver ses prébendes que défendre l’intérêt général.
Nos pourriticards ne se déplacent-ils pas tous en voiture de fonction ?
Le Régime cache son incurie en diabolisant les automobilistes. C’est scandaleux et c’est pourquoi le mécontentement gronde parmi les conducteurs, victimes d’une véritable persécution, eux qui circulent tous les jours et perdent leur temps dans des embouteillages organisés par des utopistes dont les dogmes polluent notre quotidien, depuis trop longtemps déjà.
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Le JT de TV Libertés de lundi soir :
08:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 12 octobre, à Rungis : Kevin Reche, organisateur du Collectif "Sauvons Calais", parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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lundi, 15 septembre 2014
RICHARD ROUDIER CONTRE LE PRÉFET BOUCAULT Episode 2
Source Réseau Identités cliquez là
On prend les mêmes et on recommence. On se souvient, il y a six mois, du procès en injures publiques, devant le tribunal de Grande Instance de Carcassonne intenté par le Préfet de police de Paris Bernard Boucault, contre Richard Roudier et Josiane Filio. Ceux–ci, qui avait légèrement égratigné, dans leurs écrits, ce haut personnage, avaient été condamnés à 200 € d’amende, assortis du sursis, ce qui constituait une peine ridicule, surtout quand l’accusation précisait qu’il s’agissait d’un détenteur de l’autorité publique. Mais pour notre camp, cette condamnation, constituait tout de même une condamnation alors que les deux accusés n’avaient fait qu’exercer leur droit constitutionnel relatif à la liberté d’expression.
Comme la liberté d’expression est la mère des libertés publiques, il n’était pas question de déroger avec les principes, et nos amis et leur conseil, avaient décidé unanimement de faire appel de ce jugement et de donner à cette affaire le lustre qu’elle méritait. Convoqués le 8 juillet devant la cour d’appel de Montpellier, nos camarades accompagnés de leur avocat et de nombreux amis se voyaient, en moins de trois minutes, renvoyés à leurs chères études et priés de se représenter à la rentrée au motif que, durant les vacances, on ne traite devant la cour que les affaires relevant de l’urgence. Les objections de Me. Gardères venu spécialement de Paris et les mines déconfites de Richard et Josiane ne purent rien changer à l’affaire.
Les deux appelants se retrouveront donc ce mardi 16 septembre à 14 h devant la cour afin, espèrent ils, de bénéficier d’une relaxe que tous les amoureux de la liberté attendent. Richard Roudier, qui joue à domicile, afin de resituer l’ambiance de cette affaire, a tenu à rappeler pour l’occasion, que l’utilisation d’un jeu de mot, même s’il est facile n’avait pas vocation à déclencher l’ire du Préfet Boucault … ”j’ai seulement écrit que toute analogie entre Boucault et Bourricot serait fortuite, ce qui est tout à fait bénin d’autant qu’il s’agit d’un propos venant en conclusion d’une Fable, peu connue il est vrai, de ce bon Jean de la Fontaine intitulée l’âne chargé de reliques reproduite in extenso dans mon communiqué et j’invite tous les participants à ce procès à lire ou à relire ce petit bijou pour leur édification”.
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Dimanche 12 octobre, à Rungis : Pierre Vial parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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Dimanche 12 octobre, à Rungis (94) : venez nombreux !
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dimanche, 14 septembre 2014
Femen : que les juges complaisants prennent garde
François Teutsch
Boulevard Voltaire cliquez ici
Les faits sont simples : le 12 février 2013, à l’occasion de la renonciation du pape Benoît XVI à sa charge, neuf Femen ont pénétré dans la cathédrale Notre-Dame de Paris et, juchées seins nus sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef à l’occasion du jubilé des 850 ans de l’édifice, ont crié « Pope No More » tout en tapant à l’aide de bâtons sur les cloches, qu’elles ont légèrement dégradées. Citées à comparaître devant le tribunal correctionnel pour dégradation volontaire, elles ont été relaxées le 10 septembre dernier au motif que les éléments soumis au tribunal ne permettaient pas de leur imputer avec certitude les dégradations. En revanche, les vigiles ont été condamnés à des peines d’amende avec sursis… Le parquet a interjeté appel de ce jugement.
Voilà pour les faits. Reste le scandale de poursuites inadaptées, du fait du ministère public. Reprocher aux Femen des dégradations matérielles était le plus sûr moyen de les faire relaxer : la décision du tribunal est logique ; la cour d’appel ne la réformera sans doute pas.
La vraie question n’est pas celle des cloches ! Elle est celle de l’intrusion dans un édifice religieux de neuf hystériques dont le but affiché est de provoquer, de choquer, de ridiculiser. Il suffit de voir les photographies de l’événement pour constater le regard effaré des touristes, manifestement choqués de cette mise en scène dans un lieu que chacun – croyant ou non – s’accorde à reconnaître comme sacré. Dans une société libérale – et prétendument libérée –, faut-il que la religion catholique dérange à ce point pour être la cible unique d’excitées du téton qui seraient bien incapables, d’ailleurs, de dire en quoi la parole apostolique les empêche de vivre comme elles l’entendent ?
Les chrétiens étant, dans notre Occident décadent, la seule minorité qu’il est permis de ne pas respecter, le parquet n’a pas pensé à user des dispositions qui lui permettaient de poursuivre efficacement ces militantes. La justice, une fois encore, a montré qu’elle appliquait la vieille règle du deux poids deux mesures. Quand elle est forte avec les faibles et faible avec les forts, elle ne craint ni le courroux des chrétiens, ni l’opprobre de la presse, ni les pressions du pouvoir. Mais le jeu qui consiste à juger en fonction de la capacité de nuisance de la victime risque de se retourner contre elle ! Lorsqu’elle aura à juger les incendiaires musulmans d’une synagogue, lui faudra-t-il s’indigner de l’acte antisémite ou refuser de stigmatiser une communauté habituée à la coupable indulgence des juges ?
L’autre vraie question est celle des attaques systématiquement portées contre les chrétiens et les symboles de leur foi. Bien sûr, à côté de ce qui se passe en Irak, cette danse pectorale n’a qu’une gravité relative. En apparence seulement : à force d’accepter ces manifestations d’hostilité, on prépare les esprits à une forme d’indifférence qui, le jour où surviendront de vraies persécutions, se révélera dans toute son ampleur. Ne sous-estimons pas la portée de ces actions : ne serait-ce pas leur seul objet ?
Que nos juges complaisants prennent garde. À force de mépriser les chrétiens, ils sapent les fondements – chrétiens – du droit pénal dont l’application leur incombe. Et ils soufflent sur des braises qui ne demandent qu’à s’enflammer.
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samedi, 13 septembre 2014
Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ICI
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Les migrations expliquées aux nuls... Il y avait du travail, Gourévitch l'a réalisé !
Est-il possible de confier la rédaction d'un ouvrage de vulgarisation sur l'immigration à un auteur souvent cité par l'extrême droite ? Les Editions First s'y risquent avec Les Migrations pour les nuls de Jean-Paul Gourévitch, en librairie ce jeudi 11 septembre et déjà contesté par des spécialistes. Ce docteur en sciences de la communication, auteur prolixe de livres sur l'Afrique ou pour enfants, est connu pour ses travaux sur les coûts de l'immigration qui lui ont valu d'être cité à plusieurs reprises par la Droite nationale et identitaire. Loin des ragots bobos des astiqueurs de niaiseries progressistes. A lire d’urgence.
Les migrations pour les nuls, par Jean-Paiul Gourevitch, First éd., 454 p., 23 €
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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
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La France défigurée...
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Sur la biographie de François Brigneau signée Anne Le Pape
Rivarol du 4 septembre 2014
Anne Le Pape vient d’écrire la première biographie de François Brigneau. Passionnante. Elle a paru aux éditions Pardès. On y découvre ce journaliste de combat, d’une énergie époustouflante et d’un courage sans limite, qu’un sondage de notoriété de l’IFOP classait en 1965, comme deuxième journaliste de France. Il fut salué par des hommes aussi différents que Frédéric Dard et Jean Madiran, Céline et Roger Hanin, Hubert Beuve-Méry et Jacques Vergès, Robert Brasillach et Jean Gabin, Yvan Audouard et Michel Déon, Pierre Boutang et Albert Simonin, Arletty et Raymond Bourgine, Antoine Blondin, Pierre Lazareff, Jacques Benoist- Méchin, Marcel Pagnol ou Alphonse Boudard.
Sa jeunesse
WellAllot est né le 30 avril 1919 à Concarneau. Ce breton, qui prendra plus tard le pseudonyme de François Brigneaua un père instituteur, vigoureusement républicain (Il adhèrera au Parti communiste) et une mère ainsi qu’une grand-mère profondément catholiques. Ambroise, son grand père, est patron pêcheur. Un personnage :« Taciturne à jeun, quand il avait bu il aurait cherché querelle à ses sabots », dira de lui son petit-fils. Le petit Well grandit dans une atmosphère de deuil. La Bretagne, qui a sacrifié près de deux cent quarante mille de ses enfants lors de la Grande guerre, a particulièrement souffert. Well en conservera une solide méfiance à l’encontre des va-t-en-guerre de tous bords.Well n’est certes pas un élève modèle. Il se décrit ainsi : « Turbulent, bagarreur, distrait, grand lecteur de romans, j’estimais inutile de travailler en classe et d’apprendre mes leçons, ou de m’appliquer sur mes devoirs à la maison ». Il s’intéresse à l’aventure maritime en solitaire, à la littérature, au football, au vélo et… rêve de devenir journaliste comme Jules Vallès et Henri Béraud. A douze ans il fonde son premier journal, David, référence à David Copperfield, son livre de chevet.
L’ombre de la guerre, puis la guerre
Quand Well a seize ans, commence la grande bataille pour la paix. Il découvre Paris en 1937, ses intellectuels marxistes, antimilitaristes, dénigrant l’ordre et la patrie. Découverte qui le bouleverse. Il se sent dans un premier temps proche du Front populaire mais sera bientôt munichois, par haine de la guerre et crée à Concarneau une section des jeunes du Parti frontiste de Gaston Bergery. Well vend La Flèche à la criée sur le port avec ce slogan : « Contre la guerre ! Contre les ingérences étrangères ! Contre les oligarchies financières ! » . Il est mobilisé en 1939. Ses souvenirs qui l’ont marqué ? Il répond cinquante ans plus tard : « L’ivrognerie. Le vin chaud du soldat fait des ravages : on boit le matin pour se mettre en train. On boit le soir pour glisser dans le sommeil. On boit dans les chambrées. On boit à la cantine… Quelle image ! Et quelle armée ! » Le seul soldat qui trouve grâce aux yeux du jeune Allot est le maréchal Pétain. Installé à Paris en novembre 1942, il découvre dans Je suis partout les éditoriaux de Robert Brasillach. Il lit Notre avant-guerre. Il aime sonstyle, ce mélange d’humour et de tendresse, de gentillesse et d’intelligence. C’est le début d’une amitié forte. Well découvre en Brasillach le grand frère qu’il n’a jamais eu. Robert lui fait découvrir Maurras et l’encourage à écrire. Et puis, alors que la guerre est d’évidence perdue, il s’engage le 6 juin 1944 dans la Milice. Pourquoi ? Il a beaucoup d’admiration pour le « vieux Joseph » Darnand. Et puis, racontera-t-il : « Par orgueil, par sentiment, pour ne pas avoir l’air d’un ‘dégonflé’, parce que beaucoup de mes copains avaient été tués par le maquis, parce que tout ce que disait Londres me révoltait, parce que je voulais servir le Maréchal ». Les conséquences ? : « Deux mois d’engagement maudit, cinquante ans de galère », dira-t-il. A Fresnes où il sera incarcéré quinze mois, il fréquente du beau monde dont bien sûr Brasillach, Henri Béraud, Benoist-Méchin et même Tino Rossi. Brasillach lui adressera une dernière lettre, le 28 janvier, dans laquelle il écrit : « Je ne veux pas faire de littérature, mais tu sais que je suis très fier de t’avoir connu et de t’avoir inspiré de l’amitié ».Well sera acquitté par la cour de justice de la Seine le 17 décembre 1945 mais frappé de dix ans d’indignité nationale (« d’indignation nationale », dira-t-il).
Well Allot, journaliste et écrivain
Le futur François Brigneau va collaborer sous divers pseudonymes à de nombreux journaux et revues dont plusieurs sont monarchistes : Paroles françaises de Pierre Boutang, Rire,L’Indépendance française, Ici France, La Dernière Lanterne, etc… Son pseudonyme est Julien Guirec. En 1948 il organise même un spectacle de chansonniers dans un cabaret-dancing du boulevard Saint-Germain. Et puis, arrive son entrée dans la « grande presse ». Il rejoint France Dimanche (rien à voir avec l’hebdomadaire à scandales qu’il est devenu) où il assure le reportage des grands événements sportifs, puis celui des procès, comme celui de Marie Besnard, accusée d’empoisonnement. Julien Guirec va fonder, avec Maurice Gaït et Léon Gaultier, La Fronde, organe des petits contre les puissants. On y retrouve Antoine Blondin et Jean Pleyber. Seuls quatre numéros paraîtront. René Malliavin, directeur d’Ecrits de Paris propose à l’équipe d’élargir la formule et de lancer un hebdomadaire. En 1951 paraît le premier numéro de Rivarol, dont François Brigneau est le rédacteur en chef. On y trouve les plumes d’Antoine Blondin, de Pierre Dominique, d’AlbertParaz et de Ben (l’auteur de Voyage en Absurdie), qui en est aussi l’illustrateur. Robert Hersant lance alors Semaine du Monde et engage Guernec. Celui-ci choisit définitivement le pseudonyme de François Brigneau et devient vite rédacteur en chef. Il rejoindra par la suite Paris-Presse. Brigneau y sera heureux jusqu’au drame de l’Algérie. Ses reportages le mènent aux quatre coins du monde, de Washington (il suit la visite de Khrouchtchev) au Congo (il couvre la révolution de Lumumba) en passant par Berlin, Londres et même Alger en novembre 1960. Il deviendra en septembre 1962, grand reporter à L’Aurore et se rendra notamment à Rome pour le conclave, après la mort de Jean XXIII et rendra compte du procès de Bastien-Thiry. Moment douloureux, car il revivra les heures précédant la mort de Robert Brasillach.
L’aventure de Minute
Jean-François Devay, fondateur de Minute en 1962, va proposer à Brigneau d’y collaborer sans périodicité régulière. Le directeur de rédaction de L’Aurorele lui interdit et François, renonçant à une confortable carrière, claque la porte en 1964. Il sera nommé très vite rédacteur en chef de Minute et chargé des échos, poste stratégique. Voici comment Jean Mabire décrit le nouveau collaborateur : « Il a des yeux vifs, tour à tour malicieux et impitoyables, une crinière sombre qui se hérisse sous la pluie et descend loin sur les joues à la mode des gentilshommes corsaires de la marine en bois. Sa tête taillée à la hache se dégage difficilement d’une poitrine profonde comme un coffre de pirate ». Les ventes de Minute, dont le premier numéro s’est vendu à 70 000 exemplaires grimperont pour certains à 260 000 ! François Brigneausera, de 1964 à 1987, selon les mots de Jean-François Devay, le « porte-drapeau » de Minute où il assure une chronique régulière. Il est aussi reporter et se rend au Viet-Nam et au Moyen-Orient. Une anecdote savoureuse : Il rencontre Menahem Begin et lui demande, à propos de l’avortement que l’Etat d’Israël autorise si les Israéliens n’ont pas peur d’aggraver le déficit des naissances par rapport aux Palestiniens ; d’autre part ne songent-ils pas que le Messie attendu par les Juifs pourrait se trouver dans le ventre d’une de ces femmes qui veulent avorter ? Fureur de Begin qui cesse de parler français, vitupère en hébreu et lui tourne le dos… Minute sera bien sûr le journal le plus poursuivi de France. Les procès s’échelonnent : La Lica (qui n’est pas encore la Licra), le Mrap et bien sûr De Gaulle s’en donnent à cœur joie. Les condamnations pour offense au chef de l’Etat pleuvent. Commentaire de Brigneau : « Nous collectionnons les condamnations, comme d’autres les timbres ». Quand Brigneau qualifie la série Holocauste de « feuilleton de propagande », le journal est poursuivi dix-huit fois, grâce aux astuces du cabinet Badinter ! L’hebdomadaire va connaître une suite ininterrompue d’attentats. Les voisins surnomment l’immeuble de l’avenue Marceau « Beyrouth-sur-Seine ». En juin 1968, une bombe est posée au domicile de François Brigneau, à Saint-Cloud, blessant gravement l’éboueur d’origine immigrée qui perdra une main et la vue.
Présent, Le Choc du mois, National-Hebdo
Le 5 janvier 1982, le numéro 1 de Présent paraît. François en est l’un des fondateurs. En 1986, Présent organise un banquet de 1000 couverts pour fêter les 1000 numéros parus. Mais où est, bigre, Mathilde Cruz, qui tient une rubrique de télévision très appréciée ? Les lecteurs demandent à la rencontrer. On leur répond qu’elle vient juste de sortir. En fait Mathilde Cruz est un pseudonyme de François Brigneau ! Au printemps 1987, François, qui a passé vingt-trois ans à Minute, quitte l’hebdomadaire, en difficulté et sujet à des dissensions et rejoint National-Hebdo où il sera accueilli par Roland Gaucher et où le rejoindra bientôt son ami Serge de Beketch. Brigneau ne tardera pas à quitter Présent où il s’était exprimé en faveur de la liberté de recherche historique concernant la thèse d’Henri Roques, ce que Madiran, prudent, n’avait pas apprécié. Du coup, Brigneau claqua la porte, suivi de sept cent abonnés. Le Choc du mois paraît en décembre 1987. Brigneau y est chroniqueur. Mais le mensuel disparaîtra en juillet 1993. François Brigneau / Mathilde Cruz peut désormais se consacrer totalement à National-Hebdo. Il y accomplira son travail de « vieil écrivain de presse », « dans une grande liberté et avec un certain bonheur. »Il sera chassé de NH en décembre 1998, date où éclate la crise au sein du Front national, qui l’ébranlera profondément. Les divisions restent à ses yeux une maladie grave du mouvement national. Entendre traiter de « félons » les amis d’hier lui est insupportable. Mais il ne baisse pas les bras. Il fait partie de ceux qui soutiennent le lancement du Quotidien de France de Martin Peltier et donne des articles au Libre Journal de Serge de Beketch qui considère François comme le pater familias de sa famille d’esprit, son « roc politique ». Il y collaborera jusqu’au dernier numéro, celui du 22 octobre 2007, consacré à son fondateur qui vient de mourir. Puis il confiera encore quelques articles à Emmanuel Ratier pour Faits et Documents.
François Brigneau, militant politique
On a vu que François Brigneau, très jeune, vendait La Flèche, le journal du Parti frontiste de Gaston Bergery. Après la guerre, il donnera des conférences en faveur de l’amnistie. Le mouvement Poujade ne l’enthousiasme guère. Il rejoindra en 1965 le Comité national Tixier-Vignancour et participera à fond à la campagne présidentielle. Il contribuera en 1969 à la création d’Ordre Nouveau, dont il est membre du comité national. Lors d’un meeting nationaliste, le 13 mai 1970, il déclare : « Il faut faire un parti révolutionnaire blanc comme notre race, rouge comme notre sang et vert comme notre espérance ».Ordre Nouveau adopte une stratégie de front national et contribue à la fondation du nouveau parti, dont Jean-Marie Le Pen sera le président. Brigneau sera, avec Gérard Longuet, le principal rédacteur du premier programme politique du Front. Après la dissolution d’O.N., il rompra avec le F.N. et participera à l’aventure du Parti des Forces Nouvelles (PFN), avant de devenir, quelques années plus tard, un compagnon de route du FN qui émerge en tant que force politique. Comme on l’a vu précédemment, partisan d’un « ticket Le Pen / Mégret », la rupture de 1998 l’amènera à s’éloigner définitivement de l’action politique.
WellAllot / François Brigneau meurt le 9 avril 2012 à Saint-Cloud. Entouré de sa famille, de ses amis et de ses fidèles, il est enterré le 13 avril au cimetière de Saint-Cloud.
Pour commander le livre d’Anne Le Pape: François Brigneau, collection Qui suis-je, éditions Pardès, 12 euros, Pardès, 44 rue Wilson, Grez-sur-Loing 77880
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Le n°3 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jacques Doriot et au PPF va sortir !
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vendredi, 12 septembre 2014
Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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Le n° 37 de Synthèse nationale vient de paraître
Il sera expédié aux abonnés dès lundi et en vente dans toutes les bonnes librairies dans le courant de la semaine prochaine.
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RAPPEL : dimanche 12 octobre, TOUS A RUNGIS !
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"Si Esteban avait été une Femen..." Dans Présent d'aujourd'hui : un entretien avec Serge Ayoub
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
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jeudi, 11 septembre 2014
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3153 du 4 septembre 2014
DÉCIDÉMENT, il n’en rate pas une. Comme le note Le Point, même lorsque les sujets sont graves, le locataire de l’Elysée trouve le moyen d’en rire. Aujourd’hui, c’est la probable perte du Sénat par la gauche qui amuse le chef de l’Etat. Il fait de l’humour, évoquant la réforme territoriale qui crée un vif mécontentement chez les élus, y compris chez les socialistes. Il envisage, tranquillement je-m’en-foutiste, une défaite électorale.
HOLLANDE S’AMUSE
Le chef de l’Etat vient en effet de déclarer aux journalistes : « En 2011, la gauche ne pensait pas gagner, mais elle a bénéficié du rejet des projets territoriaux de Nicolas Sarkozy. Aujourd’hui, c’est nous qui réformons la carte au moment des sénatoriales. Vous voyez bien que l’on n’est pas calculateur ! » Pas sûr que les sénateurs socialistes qui vont se faire éjecter fin septembre du Sénat apprécient la fine plaisanterie…
HOLLANDE ET ALZHEIMER : ÇA S’AGGRAVE
Tout enfant âgé de deux ou trois ans sait manier un arrosoir. Rappelons aux lecteurs qui l’auraient oublié qu’il convient de remplir l’arrosoir d’eau, le prendre par l’anse, le pencher, et laisser l’eau s’écouler par la pomme. Une technique qu’à vrai dire, on n’enseigne pas à l’ENA. D’où le problème, à moins qu’Alzheimer ne s’aggrave, qu’a rencontré récemment le Pingouin, en visite en Azerbaïdjan. On a vu l’improbable Président de la République, lors de l’inauguration d’un lycée français en Azerbaïdjan, arroser l’arbre en faisant écouler l’eau par le haut de l’arrosoir plutôt que par la pomme ! Ça ne s’invente pas !
HOLLANDE, ABANDONNÉ PAR JULIE GAYET ?
Des rumeurs bien fantaisistes d’un mariage entre Julie Gayet et François Hollande n’avaient cessé d’enfler ces dernières semaines. Las, de récentes photos dévoilées par Voici montrent Julie Gayet à la plage avec un autre homme. Il paraît que, l’air complice, ils marchaient à quelques centimètres l’un de l’autre (détail important) et dans l’eau, toujours aussi proches. Mais qui est ce rival du Pingouin ? Il se nomme Pierre Puybasset. Originaire de Corse, cet « avocat fiscaliste de renom » aurait invité Julie Gayet à séjourner avec lui quelques jours dans sa résidence de Porticcio, sur l’île de Beauté. « Ils n’en sont quasiment jamais sortis, sauf pour aller à la plage, tôt le matin, et tard le soir », rapporte Voici. L’hebdomadaire note finement : « Ce break, elle en avait besoin et elle a en profité à fond avec son hôte ». On les aurait même aperçus ensemble à Paris où ils se verraient souvent. Pauvre Hollande ! Quand rien ne va, rien ne va…
HOLLANDE, SANS PARAPLUIE, BAFOUILLE
Lundi 25 août, Hollande, qui n’a sans doute pas de tâche plus urgente à accomplir, poursuivait sa tournée de commémorations. Il s’est rendu à l’île de Sein où il venait honorer les 133 civils qui, au lendemain de l’appel du 18 juin, avaient rejoint De Gaulle. Las, les éléments se déchaînèrent. Des trombes d’eau se déversèrent sur le petit homme, sans qu’aucun conseiller n’ait l’idée de le protéger avec un parapluie. François Hollande ânonna péniblement son discours. Il bafouilla, sa langue fourcha, il parla du “parti” plutôt que de la “patrie”. On vit de la buée sur ses lunettes, des cascades d’eau sur son visage. Bientôt son costume fut à tordre. Cette image, largement reprise par les media, illustre parfaitement la situation politique actuelle. Le Pingouin peut méditer ce proverbe breton : « Qui voit Sein, voit sa fin ». Rappelons que Sein fut surnommée l’île des naufrages dès le XVIIe siècle, tant les naufrages y étaient fréquents. Un signe précurseur ? Espérons-le !
LA GROSSIÈRETÉ DE MARTINE AUBRY
Comme la belle au bois dormant (comparaison quelque peu osée), Martine Aubry était en hibernation depuis plus d’un an. Réveillée d’un long sommeil peut-être éthylique, elle a, lors d’une conférence de presse, vilipendé le projet de l’exécutif concernant la nouvelle carte des régions de France, laquelle prévoit la fusion de la Picardie avec le Nord-Pas-de-Calais. Le Canard Enchaîné vient de dévoiler quelques grossièretés bien senties assénées par Martine Aubry à ses adversaires au sein du parti. Harlem Désir et Gaëtan Gorce sont les premières victimes du langage délicat de l’ex-ministre du Travail. En effet, alors qu’on lui annonce qu’elle va devoir poser à côté d’Harlem Désir, son successeur à la tête du PS, afin de montrer l’image d’un parti uni, elle aurait répliqué en disant : « Pas question de poser à côté de cet enc… » Gaëtan Gorce, candidat à la succession de Martine Aubry en 2012, a également eu à subir sa fureur. Tandis que le sénateur de la Nièvre la croise en juin 2012 lors d’une réunion du PS, il lui tend la main pour la saluer ; elle lui lance alors un magistral « je ne te salue pas, vieille sal… ». Elégant… Le Canard rappelle aussi la fâcheuse tendance qu’a Aubry à qualifier ses “camarades” socialistes de “nuls”. Mais la droite a aussi droit à un bouquet d’invectives. Pour elle, Jean-Marc Ayrault est “nul” et Jean-Pierre Raffarin « ne sert à rien ». Et Hollande ? Il a droit à la légion d’honneur de l’insulte aubryste : « Il est archinul ».
27 % DE JEUNES “FRANÇAIS” FAVORABLES À L’ÉTAT ISLAMIQUE !
Le très sérieux institut britannique ICMresearch vient de réaliser un sondage concernant le soutien à l’État Islamique (le groupe ayant établi le Califat dans certaines régions d’Irak et de Syrie) dans différents pays européens. 15 % de l’ensemble des Français interrogés affirment être très favorables ou assez favorables à l’État Islamique, un score grimpant à 27 % chez les 18-24 ans ! Un soutien bien plus important que dans tous les autres pays européens. On peut évidemment en conclure que l’immense majorité de la population musulmane résidant en France soutient les terroristes islamistes, même si tous ne mesurent pas ce que signifie ce califat, avec son cortège d’horreurs.
LE “MORT-AUX-JUIFS” DANS LE COLLIMATEUR
Dans un petit village du Loiret, Courtemaux, un lieu-dit porte le doux nom de « Mort-aux-Juifs ». Il est composé d’une ferme et de deux maisons. Pas de quoi fouetter un rabbin. Oui mais le lieu vient d’être découvert par le centre Simon-Wiesenthal américain, fondé par le fameux chasseur de nazis, qui exige que le nom du lieu disparaisse. Affreusement choqué, le lobby a écrit au ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve pour exiger le changement du nom scandaleux. Ce n’est pas la première fois que d’aucuns se sont mis à couiner. L’adjointe au maire raconte : « Un conseil municipal précédent avait déjà refusé de débaptiser ce lieu-dit ». Et elle ajoute avec un bon sens certain : « Pourquoi changer un nom qui remonte au Moyen-Age ? Il faut respecter ces vieux noms ». On ne saurait lui donner tort…
SICILE : LES CLANDESTINS ONT DES EXIGENCES
La Forza Della Vita, la structure d’accueil sicilienne gérée par des bénévoles, suscite les récriminations des clandestins qui débarquent en nombre depuis deux ans. D’abord, la nourriture ne serait pas assez bonne et ne correspondrait pas à leurs habitudes culinaires ; ensuite, en plein mois du ramadan, ils ont été obligés de manger la journée alors qu’ils souhaitaient se sustenter la nuit ; enfin, leurs papiers de réfugiés politiques sont trop longs à obtenir. Mais le pire est qu’il y a des tiques, et qu’ils sont piqués par les moustiques. « Nous sommes en été, il n’est pas rare de faire de telles rencontres avec ces insectes », explique sans rire un représentant des forces de l’ordre. Mais l’hiver pose aussi des problèmes. Des couvertures sales, pas assez de chauffage, des poux, la gale. Et puis, la promiscuité. Mais sur ce dernier point, les choses devraient s’améliorer : les églises ont ouvert leurs portes aux milliers de clandestins qui débarquent chaque semaine…
UNE FEMEN COMPLÈTEMENT ALLUMÉE
Amina Seboui avait fait deux mois et demi de détention provisoire en Tunisie en 2013 pour avoir peint le mot “Femen” sur le muret d’un cimetière de Kairouan (sud de Tunis) afin de dénoncer la tenue d’un rassemblement salafiste. Elle avait quitté par la suite le mouvement des Femen, en l’accusant d’“islamophobie”. Elle avait fait parler d’elle le 15 juillet, prétendant avoir été agressé par des islamistes, à Paris, qui, selon ses dires, avaient entrepris de lui raser les cheveux et les sourcils. Elle doit être jugée en octobre pour dénonciation mensongère. La voici qui récidive. Amina Seboui et son compagnon croisent un couple sur la place de la Bastille, dont la femme porte le voile. Des insultes fusent alors de la part de l’ancienne Femen, qui agresse la femme voilée, déclenchant une rixe entre les deux couples. Du coup l’ex-Femen tunisienne Amina a été placée en garde à vue et sans doute en cellule de dégrisement… Une fois de plus…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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mercredi, 10 septembre 2014
Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
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