dimanche, 12 octobre 2014
Un entretien avec Roland Hélie dans le quotidien Présent :
Entretien avec Catherine Robinson
Présent de mercredi 8 octobre 2014
Dimanche 12 octobre vous organisez la 8e journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale (*), quel en sera le thème ?
« Nations, civilisations, des mots qui pour nous veulent encore dire quelque chose… ». Cela va sans dire, mais ça va mieux en le disant… En effet, au moment où toute la classe politique semble avoir définitivement tiré un trait sur l’existence même de la nation française et au moment où la haute finance mondialiste s’évertue à diluer toutes les formes d’identités afin d’imposer sa conception homogénéisée de la planète, il nous a semblé utile de rappeler que, pour nous nationalistes et identitaires, les mots « nations » et « civilisations » ont encore un sens. C’est donc le thème de cette 8e Journée de Synthèse nationale.
Comment se déroulera cette manifestation ?
Depuis leur lancement en 2007, les journées de Synthèse nationale sont devenues le grand rendez-vous d’automne de la Droite nationaliste. Chaque année entre 500 et 1 000 personnes y ont assisté. Leur succès correspond à une nécessité de réunir, au-delà des appareils et des chapelles, les militants et les sympathisants de la cause nationale.
Cette 8e édition comprendra une partie politique et une partie festive. Il y aura donc, de 11 h 30 à 13 h 00, une table ronde au cours de laquelle s’exprimeront des personnalités de notre famille d’idées comme Arnaud Raffard de Brienne qui nous parlera du dangereux Traité transatlantique, Georges Feltin-Tracol qui vient de publier un livre choc, En liberté surveillée, qui est un véritable réquisitoire contre le Système liberticide dans lequel nous vivons, Thomas Joly, le Secrétaire général du Parti de la France, qui nous parlera de l’engagement nationaliste, Kevin Reche, le courageux animateur du Collectif Sauvons Calais, Richard Roudier, Président du Réseau Identités, abordera pour sa part le délicat problème de la division territoriale, Robert Spieler, ancien député et bien d’autres.
L’après-midi, de 15 h 00 à 17 h 00, ce sera le « meeting » avec Serge Ayoub, le porte-parole du courant solidariste français, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, Francis Bergeron que l’on ne présente plus aux lecteurs de Présent, Luc Pécharman, délégué lillois de Synthèse nationale, et moi-même. Voilà pour la partie « politique ».
Et la partie festive ?
Toute la journée il y aura de nombreux stands d’associations, de mouvements, de journaux comme celui de Présent, d’éditeurs et d’artisans… Il y aura aussi une grande librairie et des écrivains qui dédicaceront leurs livres. Vous pourrez ainsi retrouver entre autres Jean-Claude Rolinat, Nicolas Tandler, Philippe Randa qui tiennent des chroniques régulières et pertinentes dans vos colonnes. Ce sera aussi à l’occasion de cette réunion qu’Aramis, qui fut pendant des années l’illustrateur attitré de Présent, présentera son nouveau recueil décapant de dessins de presse intitulé ça calme. A partir de midi un restaurant, de qualité et abordable, sera ouvert ainsi qu’un bar.
Et en plus il y aura des groupes musicaux et en particulier le Docteur Merlin. Dites-nous en quelques mots…
Effectivement, à partir de 17 h 00 et jusqu’à 18 h 30, un concert au cours duquel se produiront le talentueux Docteur Merlin et le groupe prometteur Northmen Impakt viendra conclure cette 8e Journée de Synthèse nationale.
Depuis l’organisation de ces journées sentez-vous une volonté de rassemblement de la part des différentes variantes de la droite nationale et un afflux de plus en plus important de jeunes militants ?
Synthèse nationale n’est pas un mouvement ni un parti, c’est d’abord une revue et aussi un centre d’agitation politique au service de la cause nationaliste et identitaire. Lorsque nous avons créé ces structures nous nous étions fixés comme objectif d’introduire au sein de notre famille politique un nouvel état d’esprit. Il s’agissait de rompre avec le climat de suspicion permanente qui régnait alors au sein de la Droite nationale. Réunir sur un même plateau ou dans une même revue des personnalités qui se sont souvent affrontées n’était pas une chose facile et pourtant, lorsque l’on consulte la liste de ceux qui ont d’une manière ou d’une autre participé à nos activités, force est d’admettre qu’un grand pas a été fait. Néanmoins, il reste encore beaucoup de travail… Mais ce qui est le plus important, c’est la progression de nos idées dans notre pays et un peu partout en Europe. Quoiqu’en disent les médias aux ordres, celles-ci ne sont pas, loin s’en faut, des idées dépassées. Bien au contraire nous pensons que le XXIe siècle sera celui du réveil des peuples et des nations.
Un dernier mot.
Les lecteurs de Présent sont tous les bienvenus dimanche à Rungis…
(*) 8e Journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale, dimanche 12 octobre, de 11 h 00 à 18 h 30, Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis – SILIC (94). Entrée : 10 €
L'entretien dans Présent cliquez ici
00:26 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce dimanche 12 octobre, on se retrouve tous à Rungis !
Programme de la journée :
Ouverture des portes : 11 h 00
11 h 30 - 13 h 00 : TABLE RONDE avec Georges Feltin-Tracol, Richard Roudier, Arnaud Raffard de Brienne, Kevin Reche, Thomas Joly, David Cherpen, Robert Spieler...
A partir de 12 h 00, jusqu'à 18 h 00 : Restaurant, repas assis, cuisine française...
15 h 00 : MEETING avec Jérôme Bourbon, Francis Bergeron, Serge Ayoub, Pierre Vial, Luc Pécharman et Roland Hélie...
17 h 00 : concert avec Dr Merlin et Nothmen Impakt...
Toute la journée : bar, stands associations, mouvements, journaux, librairie, éditeurs, artisans...
Le stand de Synthèse nationale et des Cahiers d'Histoire du Nationalisme...
Parution à l'occasion de la 8e Journée de Synthèse nationale de l'album de dessins d'Aramis "ça calme !"
18 h 30 : fin de la réunion et fermeture des portes.
VENEZ NOMBREUX !
Plus d'informations cliquez ici
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samedi, 11 octobre 2014
Face à face, une émission avec Carl Lang....
20:07 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 10 octobre 2014
L'événement éditorial de la 8e Journée de Synthèse nationale : le nouvel album du célébre dessinateur Aramis, " Ça calme ! "...
Publié à l'occasion de la 8e Journée nationaliste et identitaire, Ça calme ! d'Aramis que l'on ne présente plus est le recueil que tout le milieu réclame à corps et à cris depuis des années. Sept ans de dessins parus dans les meilleurs titres de la presse nationale vous replongeront dans les pires scandales de cette Ve République vérolée dont on n'arrive décidément pas à se défaire…
Le regard désabusé mais perçant de notre ami trouve toujours le frai juste pour dénoncer la décadence mortifère de notre société et vilipender notre classe politique toujours plus soumise aux diktats des financiers qui mènent le monde. Gageons que la table de dédicace d'Aramis ne désemplira pas à la 8e journée puisqu'à l'approche des fêtes de fin d'année Ça calme! apparaît déjà comme le cadeau qui plaira à coup sûr à toutes les générations des familles qui veulent rester françaises !
Ça calme !, Aramis, Les Bouquins de Synthèse nationale, 310 pages, 23€ (+ 3€ de port)
Le commander en ligne cliquez ici
11:08 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Contre le découpage fantaisiste de la clique Valls Hollande, venez écouter le projet identitaire de Richard Roudier à la 8e Journée de Synthèse nationale, dimanche à 11 h 30 :
L'article de Georges Feltin-Tracol dans le n°37 de Synthèse nationale cliquez ici consacré au nouveau livre de Richard Roudier :
• Richard Roudier, Lettre ouverte au Président à propos de la réforme des régions. Réponse au bazar anti-identitaire, Éditions Identitor (B.P. 1 - 7114, F - 30 912 Nîmes C.E.D.E.X. 02), 2014, 123 p., 12 €.
Le microcosme politicien s’agite ! En quelques semaines, le petit monde politicard trépigne, proteste, s’émeut, conteste, dénonce. François Hollande ose toucher aux prébendes juteuses des oligarchies locales en promettant une grande réforme territoriale : diviser de moitié le nombre des régions françaises au nom d’une gestion plus rationnelle des dépenses publiques ! Élaboré dans une précipitation qui cumule les tares d’être politicienne, bureaucratique et parisienne, ce projet démontre surtout la petitesse intellectuelle des gouvernants. En effet, au mépris de toutes considérations historiques, géographiques ou sociologiques, « Flamby » abandonne ses habits de « M. Bricolage » pour jouer au mécano des régions en les fusionnant souvent en dépit du bon sens. Certes, dans son projet, la Normandie est enfin réunifiée, mais pour cette avancée notable, combien d’erreurs confirmées ou annoncées ? Non-rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne, fusion stupide de l’Alsace et de la Lorraine, création d’une Picardie - Champagne et d’un conglomérat Centre - Limousin - Poitou-Charentes. Gageons que bientôt notre pilote de scooter préféré envisagera une Bretagne - Franche-Comté, une Alsace - Guyane, Rhône-Alpes - Pays-de-la-Loire ou le Languedoc - Roussillon - Nord - Pas-de-Calais…
Contre cette aberration élyséenne, Richard Roudier, président de la Ligue du Midi et du Réseau-Identités, vieux militant identitaire régionaliste et occitaniste, ne pouvait pas se taire. Aidé de son fils Olivier, il adresse une lettre ouverte au locataire de la République afin de lui dire l’incongruité du projet.
Richard Roudier ne se satisfait pas de l’actuelle architecture géo-administrative; il avance de véritables propositions sans pour autant ménager François Hollande. À plusieurs reprises, il le prévient fort charitablement « qu’un gouvernement homogène compté à 13,96 % ne peut plus réformer. S’il survit jusqu’à la fin de son mandat, ce sera déjà une bonne nouvelle pour lui… La vérité est que le roi est nu et que le peuple français se marre (p. 21) ». Très en verve, il l’apostrophe plus loin : « Comment pouvez-vous imaginer que les Alsaciens laisseront un petit homme déconsidéré et flasque annuler mille ans d’histoire régionale. […] Chacun sait que vous êtes un politicien de la quatrième République. Vous finirez alors comme celle-ci et quitterez l’Élysée par la porte de derrière, après avoir fait beaucoup de mal à la patience des Français (p. 91). » Pourquoi ? Parce que « l’insurrection de TOUS les élus locaux socialistes contre vous sera totale (p. 14) ». Bref, le président par défaut de l’Hexagone, seulement élu pour virer son catastrophique prédécesseur, se retrouve habillé pour l’hiver…
Cette lettre ouverte se veut néanmoins constructive puisque Richard Roudier lui conseille de « s’appuyer sur ce qu’il y a de vrais régionalistes en France qui […] souhaitent des régions plus grandes et la fin des conseils généraux (p. 14) ». L’auteur a lu et médité les penseurs de la région (Robert Lafont, Yann Fouéré, Guy Héraud ou le trop méconnu Pierre Fougeyrollas).
La réactivation contemporaine du régionalisme revient cependant à Jean-François Gravier, auteur en 1947 du célèbre Paris et le désert français. Royaliste maurrassien de formation, géographe de profession, directeur de l'école des cadres du Mayet-de-Montagne, le pendant en Zone occupée de l’école d’Uriage en Zone libre, puis collaborateur à la Fondation Alexis-Carrel, il participa à Idées, la revue théorique de la Révolution nationale. Il appartenait à la fois aux non-conformistes de la « Jeune Droite » et au courant « technocrate - planiste » lié aux « relèves des années Trente » (Olivier Dard). Ce Paris et le désert français fut à la base de la politique d’aménagement du territoire des décennies 1950 - 1960 et de la promotion des métropoles d’équilibre. Malheureusement, le tropisme centralisateur parisien étant dans les gènes d’un personnel politique calamiteux attaché au cumul des mandats locaux et nationaux, la décentralisation a principalement favorisé les capitales régionales aux dépens des espaces périphériques au point qu’on a maintenant Toulouse et le désert midi-pyrénéen, Châlons-en-Champagne et le désert champardennais ou Rennes et le désert breton…
Soucieux de défendre un équilibre régional géographique et humain, Richard Roudier examine la typologie théorique du fait régional. Reprenant les travaux de Roger Brunet, la région géographique « est un espace concret continu et contigu, un cadre de vie spatial avec limites naturelles ou historico-naturelles dont la cohésion est assurée par la vie de relations aux différentes niveaux du quartier rural (p. 66) ». En s’inspirant des bassins, des plaines et des massifs, on obtiendrait une quinzaine de régions. La région économique repose sur des critères de production, de consommation, de flux d’échanges et de mobilités pendulaires. Mais toutes ces caractéristiques n’assurent pas un sentiment d’appartenance tangible à ses habitants. La région économique n’est d’ailleurs qu’une variante de la « région fonctionnelle ». L’auteur exècre cette dernière « froide et totalitaire (p. 55) ». La France en compte déjà deux : la première - qui peut s’admettre - est les cinq zones d’indicatifs téléphoniques fixes (01, 02, 03, 04 et 05); la seconde se rapporte aux fameuses circonscriptions inter-régionales consacrées aux élections européennes décidées en 2003 par le désastreux duo Chirac - Raffarin. Existe en outre une « autre variante de la région fonctionnelle (p. 57) » : la région - programme qui correspondait à la volonté dirigiste, planifiante et étatiste du gaullisme gouvernemental. L’actuelle carte des régions administratives en procède largement.
Richard Roudier préfère, lui, la « région identitaire (p. 69) » assise sur le fait linguistique. En combinant l’histoire, l’aire linguistique, la topographie ainsi que les données économiques, il propose une France de seize régions bien balancées en termes de population. Abordant le problème récurrent de la « ville-centre » ou « capitale régionale », l’auteur s’inspire des travaux de Didier Patte, président - fondateur du Mouvement Normand, à qui il dédie d’ailleurs cette lettre ouverte, et suggère le choix d’une commune « équidistante entre Caen et Rouen, mais également située non loin du Havre par le Port de Normandie (p. 100) » : Pont-Audemer ou bien l’agglomération Deauville - Trouville. En Bretagne réunifiée, le principe de l’équidistance entre Rennes, Nantes, Brest et Quimper ferait de Vannes la nouvelle capitale bretonne. Pour le Grand Languedoc, entre Montpellier et Toulouse, ce serait Narbonne. Quant à la Grande Bourgogne, ce statut reviendrait à Dole entre Dijon et Besançon.
La carte formulée par Richard Roudier se confond en grande partie avec le projet régional des Verts qui sont des régionalistes malheureusement contaminés par leurs aberrations mondialiste, multiculturaliste et sociétaliste. Attaché aux cultures vernaculaires, l’auteur estime que les Basques, les Catalans, les Flamands, voire les Nissarts et les Savoisiens, bénéficieraient d’un statut de large autonomie au sein de leurs régions respectives. Cet aménagement identitaire des régions établi à partir de sa « théorie des régions linguistiques corrigée par les principes fonctionnels (p. 110) » n’aurait cependant qu’une portée limitée si la structure même de l’État français n’évoluait pas vers la reconnaissance institutionnelle simultanée de la subsidiarité et de la véritable diversité ethno-culturelle autochtone.
Régionaliste convaincu tout autant hostile au séparatisme ou à l’indépendantisme à la petite semaine qu’au centralisme républicain, Richard Roudier conçoit sa révolution régionale dans le cadre d’une « sixième République fédérale, celle des quinze régions identitaires rassemblées (p. 113) ». Reprenant en fin de compte les thématiques chères aux royalistes rénovateurs du Lys noir et les idées « régionales-révolutionnaires » de Pierre Fougeyrollas, il préconise à son tour la fin de Paris. Il importe de réduire cette thrombose territoriale : cela passe par " Franceville ", une nouvelle capitale fondée ex-nihilo, à l’instar de Brasilia au Brésil, de Yamoussoukro en Côte d’Ivoire, d’Astana au Kazakhstan ou de Naypyidaw au Myanmar (ex-Birmanie), en plein centre de l’Hexagone « entre Creuse et Haute-Vienne, mais on pourrait tout aussi bien installer la nouvelle cité dans le Bourbonnais, au cœur de l’histoire nationale, dans le berceau des Bourbons (p. 118) ».
Cette lettre ouverte risquerait vraiment de défriser son destinataire s’il la lisait. Mais, comme il ne le fera pas, parions hélas que la nouvelle géographie des régions grotesques porte en elle de terribles et puissantes déchirures tant humaines que spatiales.
11:02 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Strasbourg en rouge et blanc pour l’« Alsatian Pride »
José Meidinger
Boulevard Voltaire cliquez ici
Strasbourg sera ce samedi en rouge et blanc, les couleurs d’une Alsace qui entend descendre dans la rue pour affirmer sa volonté de ne pas être absorbée par la Lorraine et la Champagne-Ardenne. La manifestation alsacienne aura-t-elle le même succès que celle de Nantes pour la réunification de la Bretagne ? Le président du conseil régional d’Alsace y croit en tout cas, n’hésitant pas à proposer un tarif – TER exceptionnel à 5 € – pour permettre à tous les Alsaciens qui le souhaitent de se joindre à ce mouvement de protestation.
L’opposition socialiste – l’Alsace est de droite depuis toujours – crie bien évidemment au loup et dénonce « l’utilisation indue de fonds publics pour financer une manifestation partisane ». C’est oublier un peu vite qu’une vente flash de 12.000 billets Lyon-Paris à 5 euros a eu lieu l’année dernière par la SNCF, cinq jours avant la manifestation pro-mariage pour tous. Et cette offre était bel et bien disponible 5 jours avant la manif des partisans du « mariage » homosexuel et valable uniquement, comme par hasard, jusqu’au 27 janvier 2013, date de la manifestation des partisans du projet de loi. Sur le Net, la SNCF encourageait ses « amis lyonnais » à profiter de cette « opportunité incroyable » en envisageant une « petite séance shopping dans le Marais », le « quartier gay-friendly de la capitale », comme l’avait relevé alors fort opportunément Valeurs actuelles.
Malgré son maire gay-friendly, l’offre alsacienne n’est pas aussi alléchante, mais la manifestation de samedi sera le point d’orgue d’une campagne de sensibilisation de l’Alsatian Pride, la « fierté alsacienne » que mène depuis quelques mois un tout jeune parti régionaliste Unser Land (Notre pays) qui a remis au goût du jour les couleurs alsaciennes Rot un Wiss (rouge et blanc). De nombreux jeunes – et c’est encourageant – ont rejoint les rangs d’Unser Land et n’hésitent pas, à l’image des activistes de Greenpeace, à se lancer dans des démonstrations spectaculaires, drapeau Rot un Wiss en tête. Ces jeunes militants ne sont pas effarouchés par la notion d’autonomisme et n’hésitent pas à l’expliquer aux badauds qui les encouragent dans leurs actions d’éclat. « N’ayez pas peur, même soyez fiers de votre histoire. Nous devons à ceux qui nous ont précédés, qui se sont battus pour préserver notre droit local, notre culture, notre langue, d’être ce que nous sommes ».
Unser Land milite enfin pour que le drapeau alsacien retrouve droit de cité. « Un vrai drapeau, reconnu, comme celui des Corses, des Bretons ou des Basques. Qui a sa place sur le fronton de nos mairies, entre le drapeau national et le drapeau européen […] Mir welle bliewe, wàs mir sin ! Nous ne voulons pas disparaître dans un mariage forcé contre-nature. Nous voulons rester ce que nous sommes et nous le faisons savoir. »
Contre toute forme de dissolution ou « d’incorporation forcée » de l’Alsace dans des ensembles interrégionaux artificiels : ils seront nombreux à le faire savoir samedi à Strasbourg, où l’on pourra se rendre compte, comme disait la grand-mère de l’un de mes amis, que mine de rien « les Alsaciens sont tous français, dommage que les Français ne soient pas tous alsaciens, on ne serait pas dans la m… »
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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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jeudi, 09 octobre 2014
Roland Hélie invité au JT de TV Libertés de jeudi soir :
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Dimanche 12 octobre : la Diffusion du Lore sera à la 8e Journée de Synthèse nationale...
19:24 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 12 octobre : les Cahiers d'Histoire du Nationalisme seront en vente à la 8e Journée de Synthèse nationale...
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10:48 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL - Dimanche 12 octobre, à Rungis : Dr Merlin chantera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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Le bilan africain de Nicolas Sarkozy
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3157 du 2 octobre 2014
JEAN-MARIE Le Pen et l’homme de télévision Serge Moati ont des relations courtoises, voire amicales, bien que ce dernier soit juif et de gauche. Mais il faut le reconnaître, il s’est toujours montré correct avec le Menhir. Moati vient de sortir un livre, Le Pen, vous et moi, dans lequel il relate quelques souvenirs.
“ÇA PROUVE QU’ON NE FOURRAIT PAS TOUT LE MONDE DANS LES CHAMBRES À GAZ”
Lors d’un entretien avec le président d’honneur du FN, ce dernier lui pose la question : « Pardon, mais vous m’avez bien dit que votre père avait été en camp de concentration ? » Ce à quoi l’auteur du livre aurait répondu : « Oui, en Allemagne ». « Il est mort ? », aurait ensuite poursuivi le père de Marine Le Pen. « Non, sinon je ne serais pas là », aurait expliqué le journaliste. Et Jean-Marie Le Pen d’ajouter : « Alors, vous voyez. Il en est sorti, ça prouve qu’on ne fourrait pas tout le monde dans les chambres à gaz. Vous en êtes la preuve vivante, si j’ose dire… » Serge Moati ne raconte pas l’effet que ces propos ont eu sur lui mais conclut : « Je suis vraiment allé à la rencontre d’un facho qui est ensuite devenu mon facho ». Bref, le juif Moati a son bon facho, comme tout facho a son bon juif…
CONDAMNÉ POUR S’EN ÊTRE PRIS AUX “DESCENDANTS D’ESCLAVES”
Le député UMP du Var Jean-Sébastien Vialatte a été condamné à 2 000 euros d’amende et 4 000 euros de dommages et intérêts par le tribunal correctionnel de Paris pour un tweet qui s’en était pris aux « descendants d’esclaves ». Il avait réagi, en mai 2013, aux violences intervenues lors de la célébration du titre de champion de France de football du PSG et avait twitté : « Les casseurs sont sûrement des descendants d’esclaves. Mais ils ont des excuses. Taubira va leur donner une compensation. » Du coup deux associations, Collectifdom et Alliance noire citoyenne (ANC), s’étaient constituées partie civile et réclamaient à Vialatte 10 000 euros de dommages et intérêts. Le tribunal a considéré que les propos de Vialatte visaient « l’ensemble de la communauté noire » et « ne pouvaient être légitimés par le débat libre d’opinion, d’idée ». Quelle pesante tyrannie !
NEUILLY ANTISÉMITE ?
Le site ultra-sioniste Dreuz.info s’en étrangle d’indignation. Voici ce qu’il écrit : « A Neuilly-sur-Seine, le maire Jean-Christophe Fromantin (UDI) a décidé d’exclure les élus juifs du prochain conseil municipal en le fixant le soir de Rosh Hashana » (Le nouvel an juif. Nous sommes en 5775). Et il l’accuse d’avoir « agi en toute connaissance de cause ». Un conseiller municipal juif lui avait demandé, par courriel daté du 20 juillet, d’en modifier la date. Refus du maire. L’auteur du libelle poursuit, disant qu’« il se produit en France, des actes antisémites vraiment très graves ». Y compris, sans doute dans son esprit, à Neuilly… Et il ajoute ces fortes paroles : « On regrettera bientôt l’époque où l’antisémitisme faisait l’effort de se déguiser en antisionisme ». Suit une petite menace, comme ça, en passant : « Cela n’est pas très bon pour l’image de l’UDI ». D’autant, poursuit-il, que la collègue UDI du maire, Sylvie Goy Chavent (Goy… Ça ne s’invente pas), qui défend la cause des animaux, a « un grand respect pour les Israéliens », car, lisez bien et sans rire ce puissant argument, « Israël fut le premier pays au monde, en août 2003, à interdire le gavage des oies pour produire le foie gras, et s’apprête à interdire le négoce de la fourrure ». En revanche, le massacre à grande échelle de Palestiniens sans défense est, lui, toujours à l’ordre du jour. Quant à Sylvie Goy, elle aussi se trouve malgré tout dans le collimateur : elle entend faire interdire l’abattage rituel, donc casher. Et ce n’est pas tout : la sénatrice était l’auteur d’une loi destinée à boycotter certains produits israéliens. Neuilly, nid d’antisémites ?
SARKOZY À JUPPÉ : “MAIS JE VAIS TE TUER”
Sarkozy a déclaré récemment, au sujet de Juppé, dans son interview à France 2 : « C’est un ami, un partenaire, un compagnon, j’aurai besoin de lui ». Pure hypocrisie, pur mensonge. Le Canard Enchaîné raconte, reprenant les témoignages de l’entourage de l’ancien Premier ministre, que leur entrevue du 3 septembre dernier s’est plus que mal passée. Florilège de propos de Sarkozy à propos de Bayrou qui s’est rangé derrière Juppé dans la perspective des primaires destinées à départager les candidats de “droite” à l’élection présidentielle, « Je ne sais pas s’il t’apporte son soutien pour t’emmerder ou s’il est con à ce point-là » ; « Ce n’est pas une épine que tu as dans le pied, c’est le baiser de Judas » ; « Je ne comprends pas pourquoi tu t’obstines à vouloir être candidat à la place de ton ami Bayrou ». A propos de la primaire de la droite et du centre, Juppé promet un « conflit dur » si Nicolas Sarkozy venait à l’outrepasser. Fureur de l’ancien président qui lâche : « Mais je vais te tuer ». Réplique de Juppé : « Tu sais où me trouver ». On n’a, décidément, pas fini de nous amuser…
ÉPOUVANTABLE MARINE LE PEN
C’est notre confrère Minute qui raconte l’histoire. Marie d’Herbais est cette belle blonde qui assurait les interviews hebdomadaires de Jean-Marie Le Pen, sur le site du Front national. Le président d’honneur, qui avait été invité par sa fille à se faire voir et entendre ailleurs, suite à ses propos sur la “fournée” en juin dernier, a depuis ouvert son propre site, où il continue à être interrogé par Marie d’Herbais, qui fut une amie intime de Marine Le Pen. Cela s’apparente apparemment dans l’esprit de cette dernière à de la haute trahison. Du coup, Marie d’Herbais, qui avait déposé sa candidature au comité central du FN pour le renouvellement de fin novembre, vient de renoncer, avec cette explication livrée sur Facebook : « Je retire ma candidature au comité central du Front national. J’ai croisé ce jour notre présidente qui a refusé de me saluer. Il est bien entendu que je continue le blog de Jean-Marie Le Pen. Amen. »
AQUILINO MORELLE TRAITE HOLLANDE D’“ENFOIRÉ”
On se souvient d’Aquilino Morelle qui occupa pendant près de deux ans un bureau, à deux pas de celui de Hollande. Il était son conseiller politique et responsable de la communication. Il fut démissionné de ses fonctions le 18 avril, au lendemain de la parution d’un article de Mediapart, le site d’Edwy Plenel, qui révélait ses accointances avec des laboratoires pharmaceutiques, alors qu’il était à l’Inspection générale des affaires sociales. Il était en plein conflit d’intérêt. On apprit par la même occasion ses goûts de luxe, illustrés par la convocation d’un cireur de chaussures dans son bureau à l’Elysée. François Hollande n’apprécia guère le scandale et lui dit, selon le Nouvel Observateur : « Ils ne vont pas te lâcher. Ils seront comme un chien après un os. On ne va pas y arriver », avant de soupirer : « Quelle bêtise. Pourquoi diable as-tu fait venir ce cireur, pourquoi ne pas avoir demandé cela à ta femme de ménage ? » Réponse d’Aquilino Morelle : « Et toi tu n’as jamais fait de connerie, peut-être ? Aller te faire gauler rue du Cirque, avec ton casque, comme un débutant. » Commentaire du conseiller déchu : « François se comporte avec moi comme avec Valérie (Trierweiler), incapable d’assumer une rupture qui était aussi d’ordre affectif. » Morelle n’hésite plus aujourd’hui à traiter le Président d’« enfoiré » et prépare lui aussi un livre destiné à paraître en fin 2015. Ça promet !
J.M. LE PEN “CONTRE LES ATTAQUES BARBARES” QUE SONT LE RAP ET L’ART CONTEMPORAIN
Dans un entretien donné à notre confrère Présent, le mercredi 24 septembre, le président d’honneur du Front national dévoile ses goûts musicaux. Il vilipende le rap et vante la « chanson populaire française » et la « poésie populaire qui, par le vecteur de la musique, gagnait l’esprit de l’immense majorité de nos concitoyens ». Pour ce qui est du rap, rappelons-nous ce que disait le grand chanteur de jazz, Ray Charles : « Le rap, ce n’est pas de la musique, c’est du bruit ». Le leader frontiste évoque notamment ses souvenirs quand il dirigeait une société d’édition de disques, la Serp. Interrogé sur le disque qui lui laisse « le meilleur souvenir » parmi ceux qu’il a édités, Jean-Marie Le Pen répond : « Pour moi, celui qui est le plus émouvant est celui consacré aux Poèmes de Fresnes de Brasillach récités par Pierre Fresnay ». Il raconte : « Lors de l’enregistrement, quand les techniciens qui ne connaissent pas ces textes entendent Le Testament d’un condamné, ils pleurent. C’est un souvenir extraordinaire. J’ai pu faire entendre ce disque à la mère de Robert Brasillach, chez sa sœur et son beau-frère ». Le Pen évoque les nombreux disques qu’il a édités : discours de De Gaulle, de Mitterrand, marches militaires, discours papaux ou chants du Front populaire. Il déclare rétrospectivement : « C’était une défense contre les attaques barbares que sont le rap et autres manifestations délirantes. Je dois vous dire, à ce propos, que je suis très hostile à l’art contemporain en général ».
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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Jeudi à partir de 19 h 30 sur TV Libertés : entretien avec Roland Hélie au sujet de la 8e Journée de Synthèse nationale
Ce jeudi soir, à partir de 19 h 30 sur TV Libertés, et sur Synthèse nationale, un entretien avec Roland Hélie sur la 8e Journée de Synthèse nationale de dimanche prochain, 12 octobre, à Rungis.
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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
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mercredi, 08 octobre 2014
Dimanche 12 octobre : on se retrouve au stand du Cercle Franco-Hispanique à la 8e Journée de Synthèse nationale...
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RAPPEL - Dimanche 12 octobre, à Rungis : Pierre Vial parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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Les identitaires du Réseau Identités à la manif pour tous de dimanche dernier
Communiqué du Réseau Identités :
Venus de toute la France, les militants du Réseau Identités étaient présent ce dimanche à Paris pour défendre la famille, socle fondamental de notre identité. Depuis deux ans, les identitaires manifestent aux côtés de La Manif Pour Tous pour réclamer la fin de la politique du gouvernement de François Hollande qui souhaite, plus que jamais, opérer un changement de civilisation.
De la porte Dauphine à la place du 18 juin 1940, nous avons marché pour dire non au mariage homosexuel et à ses dérivés obligées que sont la PMA et la GPA et pour que cessent les attaques des socialistes contre la filiation. Ils auront beau changer les lois, un enfant aura toujours besoin d'un père et d'une mère... c’est identitaire.
Aujourd'hui, le gouvernement refuse de voir la colère du peuple et impose ses lois refusant toute forme de contestation démocratique. C'est pour cela que les militants du Réseau Identités ont déployés en passant devant le bâtiment du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE), une banderole réclamant la parole au peuple. Ce même CESE qui en 2013 avait balayé d'un revers de la main les 700 000 signatures de la pétition déposait par La Manif Pour Tous. Depuis, le CESE a été condamné par le tribunal administratif de Paris.
Deux ans après le début du combat pour la famille, ce sont encore 500 000 personnes qui sont descendu dans la rue ce dimanche. Preuve en est que malgré à un pouvoir qui n'écoute pas le peuple, celui-ci reste plus que jamais mobilisé et est bien décidé à ne rien lâcher !
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Un grand entretien avec Roland Hélie dans Présent d'aujourd'hui
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Le nouveau numéro de "Réfléchir et Agir" est sorti
01:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 07 octobre 2014
Dimanche 12 octobre, à Rungis : Jean-Claude Rolinat dédicacera ses livres à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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23:20 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le tribunal administratif de Lyon dément le préfet Carenco et jette le doute sur le bien-fondé du système démocratique
Synthèse nationale Lyon
En rendant tout à l'heure un arrêt invalidant la dernière élection municipale de Vénissieux et frappant Yvan Benedetti d'inéligibilité pour un an, le tribunal administratif de Lyon pose plus de questions qu'il ne donne de réponses.
Rappelons les faits : suite au dépôt de candidature de la liste "Vénissieux Fait Front" menée par Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac lors des dernières municipales, Marine Le Pen, dont le secrétaire départemental, Christophe Boudot, avait été incapable de monter une liste à Vénissieux, criait au scandale et, traitant nos amis de "parasites", en appelait au préfet du Rhône Carenco, ennemi déclaré de toute politique nationale, pour faire invalider la liste, arguant de l'exclusion de deux leaders de son parti et d'une captation de candidats du FN au profit de leur liste, comme si ces derniers pouvaient être la propriété d'un parti…
La haine que Carenco conçoit pour Benedetti et Gabriac (qui l'ont traîné au tribunal pour "injure publique", rappelons-le) semble avoir été plus forte que son aversion pour Marine Le Pen. Le préfet du Rhône alla en effet au-delà des espérances de celle-ci et entreprit une vaste campagne de harcèlement téléphonique des candidats de la liste "Vénissieux Fait Front" que ses services venaient de valider. On imagine la réaction de certains de ces candidats, issus en partie de milieux forts modestes des quartiers populaires de la banlieue lyonnaise, quand la préfecture téléphona chez eux pour leur suggérer qu'il n'était pas possible qu'il se soient laissés entraîner de leur plein gré à figurer sur la même liste que des gens d'extrême droite. Méthode stalinienne qui ne manqua pas, agrémentée d'un début de diabolisation médiatique de la liste, de porter ses fruits : certains se dédirent, prétendirent avoir été abusés. Mais combien au juste ?
Dix-neuf si l'on en croit les déclaration de Carenco (représentant de l'État dans le département du Rhône, rappelons-le) à la presse lyonnaise pendant la campagne électorale… Huit seulement d'après l'arrêt rendu aujourd'hui par le tribunal administratif : trois qui ne souhaitaient pas être candidats sur une autre liste que celle soutenue par le FN et cinq qui déclarent aujourd'hui qu'ils ne souhaitaient pas être candidats du tout bien qu'ils aient au moment de la constitution de la liste rempli et signé une déclaration officielle de candidature (document Cerfa) et fourni une copie de leur pièce d'identité…
L'arrêt du tribunal administratif de Lyon pose aujourd'hui plusieurs questions graves :
• Les listes pour les municipales qui ne sont pas montées par les partis mais soutenues par eux peuvent-elles après coup être invalidées si les partis retirent leur investiture à ces listes ? Un parti peut-il faire pression sur certains de ses adhérents pour leur interdire de défendre leurs idées et leurs intérêts au sein d'une liste non parrainée dès lors que le parti en question n'a pas constitué de liste ?
• Le préfet Carenco n'a-t-il pas diffamé la liste "Vénissieux Fait Front" en prétendant que dix-neuf de ses membres ne savaient pas qu'ils étaient candidats alors que le tribunal administratif n'en compte aujourd'hui que huit, dont trois sur ordre de Marine Le Pen et cinq qui confessent ne pas comprendre ce qu'ils lisent… et du coup :
• Si des gens inscrits sur des listes électorales sont assez idiots pour ne pas comprendre qu'ils sont candidats alors qu'ils remplissent un formulaire administratif pour l'être, peut-on leur faire confiance dans le choix d'une liste lorsqu'ils sont dans l'isoloir ? Le système démocratique n'est-il pas dangereux en laissant la partie la plus débile du peuple français prendre en mains son destin ?
On le voit, cette affaire n'a pas fini de faire parler d'elle et, si Yvan Benedetti n'aura vraisemblablement pas le temps de faire valoir ses droits en faisant casser ce jugement liberticide avant le prochain scrutin, nul doute que le jeune Gabriac ne soie capable de le faire. Avec cette fois-ci la précaution de faire signer les candidats devant un huissier de justice capable par la suite d'établir qu'ils l'ont fait en toute connaissance de cause.
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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Résister à l’immigration… Des Français commencent à s’organiser !
Un entretien avec David Chepen
A l’initiative de David Charpen et d’un groupe de militants lyonnais vient de se créer l’association Résistance à l’immigration. Cette association est rassembleuse. Elle entend réunir les patriotes décidés à s’opposer, par les moyens légaux, aux flux migratoires qui, petit à petit, changent la nature de notre peuple. Synthèse nationale apporte son soutien actif à cette initiative, nous donnons ici la parole à son Président.
SN
David Charpen vous venez de fonder l'association « Résistance à l'immigration », quel est son objectif ?
70 % des français sont hostiles à l'immigration ; non seulement notre objectif est d'atteindre les 90 % mais nous voulons que les décideurs (entrepreneurs, journalistes, associatifs, élus) prennent conscience de cette réalité et renoncent aux actes collaborationnistes. Dans le cadre de reportages, de campagnes publicitaires ou de prises de décisions, ils doivent intégrer le point de vue de la Résistance.
Comment allez-vous procéder ?
Chaque semaine à partir du 12 octobre 2014 nous allons lancer une campagne de protestation par courrier, par e-mail, suivi de rencontres auprès des décideurs qui auront, par naïveté ou par conviction, pris une position collaborationniste.
Vous cherchez à stigmatiser ceux que vous qualifiez de « collabos » ?
Nous ne cherchons à stigmatiser personne mais à convertir à la Résistance. Les véritables collabos sont peu nombreux et finiront par céder à la pression populaire, pour cela nous devons être nombreux. C'est pourquoi nous appelons tous les patriotes à nous rejoindre.
Avez-vous une ambition politique, êtes-vous affilié à un parti politique ?
Nous ne sommes affiliés à aucun parti et nous ne sommes pas un parti. Nous sommes le syndicat des français qui veulent préparer la remigration. Depuis 40 ans les conséquences de l'immigration sont de pire en pire chaque année. La « greffe » n'a pas pris, ni en France ni ailleurs. C'est pourquoi les citoyens doivent prendre les choses en main et faire pression sur tous les centres de décisions, dont les partis politiques, quels qu'ils soient, et se préparer à des actions de masse.
Qui sont les membres de cette association ?
Nous sommes des identitaires issus de toutes les régions françaises. Nous avons créé cette association avec le soutien de Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, dont nous faisons aussi la promotion, car au-delà des actions « coup de poing », la Résistance passe par un travail intellectuel qui confronte les points de vue, stimule l'imagination, incite à l'action et rassemble les énergies.
Pour adhérer à l’association, écrire à Résistance, 60 rue Gabriel Péri 69100 Villeurbanne
Entretien publié dans le n°37 de Synthèse nationale
David Chepen prendra la parole dimanche à la 8e Journée de Synthèse nationale à Rungis.
09:26 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 12 octobre, à Rungis : Philippe Randa dédicacera ses livres à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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01:59 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de lundi soir :
00:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau bulletin de réinformation du Parti de la France (n°1) :
00:10 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 06 octobre 2014
Dernière minute : Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, interviendra lors de la 8e Journée de Synthèse nationale dimanche prochain, 12 octobre, à Rungis...
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13:04 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Sauvons la France", une initiative lancée par Jean-Louis Wehr
Jean-Louis Wehr est un militant historique de la cause nationale. Des années durant il fut tête de liste du FN en Alsace. Bien qu'opposé lors de plusieurs élections à notre ami Robert Spieler, il est toujours resté en excellents termes avec celui-ci. Jean-Louis Wehr est avant tout un homme de synthèse qui ne pense qu'à l'avenir de notre pays.
Conscient des dangers qui menacent notre pays, il a lancé il y a quelques mois une association, Sauvons la France, qui entend faire pression sur les candidats aux élections et qui préconise un rassemblement des forces patriotiques. Une telle initiative ne peut nous laisser insensible.
Voilà pourquoi nous publions ici la charte de cette association dont bien des points se rapprochent des motivations de Synthèse nationale.
SN
La charte de Sauvons la France :
- Profondément angoissés par le déclin politique, économique, démographique, culturel et moral de notre patrie, la France, et de sa civilisation, naguère l’une des plus brillantes que le monde ait porté,
- Décidés à réagir, et conscients de notre responsabilité commune envers les générations dont nous sommes les héritiers et envers celles qui nous suivront,
- Soucieux des valeurs inaliénables de la civilisation chrétienne, du droit naturel, de la paix et de la liberté en France et en Europe,
Ayant à l'esprit les nombreuses menaces que les puissantes forces du mondialisme font peser sur cet héritage, appartenant à diverses sensibilités politiques, nous sommes d’accord pour réclamer et promouvoir :
1 - Le rejet de toute tentative de créer Super-Etat européen, et la création d'une Europe des nations libres, égales et indépendantes dans le cadre d'une confédération d'Etats souverains, qui s'abstienne de prendre des décisions sur les questions traitées à juste titre par les Etats eux-mêmes ;
2 - Le rétablissement de l’indépendance de la France à l’égard de toute organisation supra-nationale, de toutes influences politiques, stratégiques ou financières extérieures susceptibles de nuire à l’intérêt national ;
3 - La promotion de la liberté, de la dignité et de l'égalité des droits de tous les citoyens. Ceci requiert aussi bien l'opposition à toute forme de totalitarisme qu’une lutte impitoyable contre la criminalité grandissante qui menace en priorité les plus faibles de notre société ;
4 - La primauté du vote direct des Français ou de leurs représentants élus sur les décisions de tout organisme administratif ou bureaucratique ;
5 - La protection effective de notre nation contre les nouvelles menaces que constituent le terrorisme aussi bien que l'impérialisme politique, économique, financier ou sous couvert de religion ;
6 - Le règlement dans des conditions humaines et pacifiques du problème de l'immigration notamment par le moyen d'une coopération internationale visant au développement et à l'autosuffisance des pays du tiers monde, et à l’inversion des flux migratoires ;
7 - De fortes politiques en faveur des familles, visant à résorber le déficit démographique de l'Europe et à promouvoir les valeurs traditionnelles dans la société, dont le respect de la vie humaine de son origine à sa fin naturelle ;
8 - La préservation de l’identité et de l’originalité de notre identité humaine et culturelle française, fruit du creuset pù se sont unis les apports celtique, latin et germanique, héritière de Rome et d’Athènes, profondément imprégnée par le christianisme ;
9 - La libération des activités économiques à l’égard de la bureaucratie qui paralyse et du fiscalisme qui spolie ;
10 - Un combat commun avec d’autres peuples en Europe et dans le monde contre le dumping social et les effets destructeurs de la mondialisation.
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