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vendredi, 01 août 2014

Du 21 au 24 août : camp d'été du Renouveau français

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jeudi, 31 juillet 2014

Le numéro d'été de Rivarol est en vente à partir d'aujourd'hui...

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir :

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mercredi, 30 juillet 2014

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3151 du 24 juillet 2014

 

Le TGI de Cayenne (Guyane, l’antre de Taubira) est allé au-delà des réquisitions du parquet qui avait demandé une peine de quatre mois de prison, 5 ans inéligibilité et 5 000 euros d’amende. Anne-Sophie Leclère ancienne tête de liste FN aux municipales de Rethel (Ardennes), virée depuis du FN pour avoir comparé Taubira à une guenon, a écopé d’une peine de 9 mois de prison ferme, 5 ans inéligibilité, assortie d’une amende de 50 000 euros. Le TGI de Cayenne a également condamné le Front national à 30 000 euros d’amende. Le Front national et Anne-Sophie Leclere étaient absents, non représentés par un avocat, lors de l’audience le 8 juillet, ce que l’on peut comprendre vu le prix d’un voyage à Cayenne. Il n’y a donc pas eu de débat contradictoire. De toute façon, à quoi cela aurait-il servi ? Anne-Sophie Leclère juge, à raison, le verdict « totalement disproportionné » ajoutant : « Les criminels sont condamnés et ont un bracelet et moi on me donne de la prison ferme », Même le vice-président du Front national, Florian Philippot, a jugé que cette condamnation n’avait « aucun sens ».

 

9 MOIS DE PRISON FERME POUR AVOIR COMPARÉ TAUBIRA À UNE MIGNONNE GUENON

 

Même Philippe Bilger, le magistrat bien connu, qui n’a aucune réputation de radicalité, a déclaré : « Quand j’ai appris la nouvelle, d’abord je n’y ai pas cru. […] Saisie par une association guyanaise, cette juridiction a perdu toute mesure et a frappé de stupéfaction tous ceux qui judiciairement ont encore un peu de sens commun. » Et Philippe Bilger d’ajouter : « Est-il nécessaire de souligner que pour des infractions beaucoup plus préoccupantes pour la tranquillité publique et l’intégrité des personnes, on connaît peu de jugements de ce type, surtout à l’encontre de prévenus n’ayant jamais été condamnés comme Anne-Sophie Leclère ? Est-il même utile de rappeler que la justice pénale n’a de réelle légitimité que si elle sait mettre en relation, en lien le plus grave avec le moins grave, l’inacceptable avec le préjudiciable, les mots avec les actes ? » Mais qu’en dit la classe politique ? L’avocat Gilbert Collard, député Bleu Marine, déclare : « Je n’aurais jamais défendu cette femme, les propos qu’elle a tenus étant évidemment condamnables ». Il se rattrape quelque peu en évoquant un « coup de chaleur judiciaire » et la « disproportion de la sanction ». A l’UMP, le député et président du Conseil général des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, supposé quelque peu droitiste, a estimé que la condamnation était totalement justifiée tandis que le maire de Nice, Christian Estrosi, approuve lui aussi le jugement tout en pointant une justice à deux vitesses. Et Bayrou ? Il voit dans cette condamnation « une occasion de rappeler à ceux qui se livrent à de tels propos que ce n’est pas seulement interdit par la décence et la morale, mais aussi par la loi ». Et que dit Nadine Morano, l’eurodéputée sarkozyste, connue pour l’ouvrir d’importance, et qui avait été traitée de “salope” par le pseudo-humoriste Nicolas Bedos, fils de Guy ? « Neuf mois ferme pour avoir traité Taubira de singe, j’espère que, pour m’avoir traité de salope, Bedos sera logé à la même enseigne ! » Et Taubira ? Interrogée au sortir du Conseil des ministres, elle a commis cet amusant lapsus : « Je ne commente pas les injustices… », avant de se reprendre : « les décisions… ». En attendant, Anne-Sophie Leclère a fait appel et le procès devrait avoir lieu en une terre paraît-il encore relativement civilisée : la France métropolitaine…

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MAIS QUE DIT LA PRESSE ?

 

Curieusement, et c’est plutôt réjouissant, la presse, en dehors évidemment de Libération (le directeur, Laurent Joffrin, n’en peut plus de tenter de faire oublier les photos où, jeune, il figure aux côtés de Jean-Marie Le Pen, qui était un ami de son père), se montre plutôt critique quant à cette condamnation délirante. A l’exemple de Valeurs actuelles où Laurent Obertone écrit ces propos excellents que je me permets de citer : « Pour prendre neuf mois ferme, il faut forcer un barrage et blesser sept policiers (Ouest-France, 1er juillet 2014), tabasser sa femme jusqu’à lui briser les côtes et agresser un unijambiste à l’aide d’une massue à pics (L’Observateur du Valenciennois, 9 mai 2011), donner un coup de tête à un cheminot (Le Parisien, 21 janvier 2014), agresser un chauffeur de bus et un passant (Le Phare dunkerquois, 28 décembre 2012), attaquer une famille et menacer de mort des policiers sous l’emprise d’alcool et de cannabis, en état de récidive (Ouest-France, 14 février 2013), tirer des coups de feu sur quelqu’un (L’Observateur du Douaisis, le 29 octobre 2011), être président local de SOS-Racisme, militant anti-violence, et défigurer sa compagne à coups de pied au visage, “avec acharnement”, jusqu’à lui déchausser quatre dents, lui fracturer le nez, la couvrir de sang des pieds à la tête (La Voix du Nord, le 9 août 2012), se livrer à une séance de torture raciste sur un étudiant blanc — agression, séquestration, vol — (Metro, 20 juin 2013). » On ne saurait mieux dire…

 

LE PÈRE FOUETTARD SUR LA SELLETTE

 

Tous les enfants connaissent le Père Fouettard qui accompagne saint Nicolas, charge à lui de terroriser les enfants qui n’ont pas été sages. Il est particulièrement populaire dans les pays germaniques. On l’appelle Schwarze Peter en Allemagne et Zwarte Piet aux Pays-Bas, ce surnom signifiant Pierre le Noir. Il est souvent représenté avec la peau noire, les cheveux crépus, de grosses lèvres rouges et des anneaux à l’oreille. Cela a fini par créer l’émoi chez certains fous furieux, aux Pays-Bas, qui considèrent que son image rappellerait trop le temps de l’esclavage. Saisi quant à cet important sujet, le tribunal d’Amsterdam vient de trancher : le Père Fouettard offense, car il constitue un stéréotype négatif des personnes à la peau noire. Mais pas d’affolement. Des propositions ont été faites pour modifier son apparence, par exemple en le maquillant en vert et non plus en noir. Mais ces crétins ont-ils déjà envisagé que les Martiens pourraient en prendre ombrage ?

 

UNE EX-FEMEN MYTHOMANE EN GARDE À VUE

 

L’ancienne Femen tunisienne, Amina Sboui, a été placée en garde à vue. Elle avait porté plainte lundi 7 juillet, accusant des islamistes de l’avoir agressée, et de lui avoir rasé les sourcils et les cheveux. Elle aurait été tondue par cinq salafistes, place de Clichy, à la sortie du métro, à 5h. Problème : il n’y a pas de métro à 5h. Bon, elle a modifié l’heure : ça se serait passé à 6h30. Elle avait posté une photo montrant ses cheveux soi-disant “rasés”. Zut, une photo prise la veille montre qu’elle avait la même coupe. Et les nombreuses caméras sises place de Clichy, que disent-elles ? Elles n’ont rigoureusement rien vu. Du coup, cette mythomane a été entendue sous le régime de la garde à vue par des policiers qui ne s’en sont évidemment pas laisser conter par cette mythomane hystérique…

 

“HOLLANDE N’EST VISCÉRALEMENT PAS LOYAL”

 

Il paraît, selon le magazine VSD, que Julie Gayet serait impatiente de pouvoir officialiser sa relation avec François Hollande… Elle souffrirait aussi des rumeurs qui prêtent au pingouin de multiples liaisons avec des pingouines. Elle serait lassée des « bruits qui courent dans tout Paris et lui reviennent aux oreilles » et en aurait assez d’être « la copine de l’ombre ». On prête au chef de l’Etat une liaison avec Axelle Lemaire. A 39 ans, la nouvelle secrétaire d’Etat en charge du Numérique serait devenue la nouvelle chérie du président… Le magazine raconte : « Axelle a connu François Hollande alors qu’elle était responsable de la section PS de Londres et lui candidat à la primaire socialiste. Lors d’une visite, elle lui a donné deux, trois leçons d’anglais… (on sait que les leçons d’anglais mènent à toutes les turpitudes) Depuis, ils entretiennent d’excellentes relations », raconte une ex-ministre à VSD. Il paraît que le premier magistrat en pince aussi pour Nathalie Iannetta, journaliste sportive de Canal + nommée nouvelle conseillère aux Sports à l’Elysée. Et puis, depuis quelques semaines, il reluquerait d’importance sa toute nouvelle conseillère à la Culture et à la Communication, Audrey Azoulay. Hollande envisage-t-il de mettre fin aux rumeurs qui courent sur sa vie privée ? Que nenni. Une de ses amies raconte : « Il ne le fait pas, c’est plus fort que lui, il ne peut pas se résoudre à s’enfermer, à s’engager. Il ne l’a jamais fait ». Et elle ajoute : « Hollande n’est viscéralement pas loyal ». Ça, on l’avait deviné…

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UNE TECHNIQUE BELGE POUR VIRER LES RROMS

 

Gino Debroux est le maire de Landen (Belgique). Il est membre du parti socialiste belge. Une trentaine de caravanes de Rroms avaient établi leur campement sans autorisation sur un terrain industriel de la ville flamande située à une soixantaine de kilomètres de Bruxelles. Ce qui a légèrement énervé les habitants et monsieur le Maire. Ce dernier eut une idée de génie. Il a fait installer des baffles super puissants, d’une capacité de 14 400 watts, et a arrosé le camp, à plein volume, de musique techno ! Du coup, les Rroms ont fui… Ses amis socialistes ont évidemment fait part de leur indignation, face à tant de violence. Mais ce sournois de Debroux, se la joue, mine de rien, Gandhi, déclarant, la bouche en cul de poule : « C’était une façon non violente de parvenir à une solution et cela a fonctionné. »

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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Gaza : des crimes de guerre au génocide ?

1936776247.pngYves Darchicourt

« Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre. Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza. Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »

Ces propos sans ambigüité tenus par l'israélien Jacques Kupfer, co-président du Likoud mondial, le 15 juillet dernier et repris par notre camarade et ami Peter Kerstens dans son excellent article paru hier mardi sur le site de Synthèse Nationale, ne semblent guère avoir émus les politiciens ou les médias qui s'égosillent d'indignation à chaque fois qu'une roquette bricolée par le Hamas a le front de riposter aux vagues de missiles israéliens sur le site concentrationnaire de Gaza. Le Kupfer en question s'était d'ailleurs déjà signalé en décembre 2013 en éructant sur une chaîne pro-israélienne que" il n'y aura jamais d'Etat palestinien, c'est écrit dans la Charte du Likoud "

Tout cela a au moins le mérite d'être clair et de parfaitement illustrer la volonté quasi génocidaire de l'Etat d'Israël qui n'a jamais eu l'intention de "partager" la Palestine où il a été implanté aux forceps par des instances onusiennes toutes neuves manipulées par les USA et un lobby international -qui n'existe pas plus que ses résurgences locales- le tout enveloppé dans un crescendo de grands et bons sentiments sur le "retour" des juifs vers la "terre promise" après 2000 ans d'absence. On connaît la célèbre phrase " une terre sans peuple pour [ ou: qui revient à ] un peuple sans terre "...on peut gloser à l'infini sur le "pour" et le "qui revient à" mais ce qui est certain c'est que la Palestine n'était pas vide en 1947 et qu'y vivaient depuis des générations innombrables un peuple qui n'était en rien responsable de la pâtée mise au royaume de Juda par Nabuchodonosor, roi de Babylone, en 587 avant notre ère.

Bref, si rien ne justifie que le Gaulois se trouve, chez lui, contraint de courir le risque d'être pris entre les feux de l'intifada importée dans les charriots de l'immigration et ceux des opérations "plomb durci de Jéhovah furieux" si chères aux milices juives du Sentier ou d'ailleurs, ce même gaulois peut quand même avoir le sentiment que dans cette affaire l'agresseur n'est pas celui que les Hollande Valls, Fabius et autres BHLévy dénoncent plus ou moins directement et que les Palestiniens - spoliés, colonisés, chassés de leurs terres ancestrales, privés d'accès à l'eau, à l'énergie, aux soins...- poussés par l'énergie du désespoir ne font que résister à un envahissement dont le but ultime semble bien être leur éradication.

france,palestine,israël,juifs,palestiniens,génocideEt puis finalement, le Gaulois en question a tout à fait le droit de faire ses achats en scrutant les chiffres du code barre et/ou les mentions d'origine du produits et de décider de ne pas ou ne plus soutenir même fort indirectement l'effort de guerre (ou de crime de guerre) israélien.

Voir l'article de Pieter Kerstens (cliquez ici)

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Serge Ayoub répond à Kim et Mhédy...

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Le JT de TV Libertés de mardi soir :

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mardi, 29 juillet 2014

Emmanuel Ratier nous parle de Manuel Valls... quand même.

Vous pensiez comme tout le monde que Valls était issu du républicanisme espagnol, que son père avait fui le franquisme sans le sou ? Ratier révèle dans un livre la véritable origine de la famille Valls, banquiers richissimes,

Catholiques, conservateurs et anti-communistes. Vous pensiez qu’il était un amoureux d’Israël de tous temps ? Il est un ancien militant antisioniste qui a jumelé sa ville avec une ville située dans un camp palestinien… Une seule constante, une ligne directrice donc, l’ambition maladive, peu importe le chemin… L’homme est passé allègrement du « mur de la honte » au lien « éternel avec Israël, des meetings célébrant la Palestine aux réunions du CRIF, comme le passé de sa famille est passé des marges du franquisme au républicanisme… Tel est « Le vrai visage d’Emmanuel Valls » que nous propose de découvrir Emmanuel ratier dans son ouvrage, sur lequel il est ici interrogé par Martial Bild de « TV Libertés »...

Source Parti de la France

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lundi, 28 juillet 2014

Vol AH 5017 : François Hollande n’en fait-il pas vraiment trop ?

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Charlotte d'Ornellas

Boulevard Voltaire cliquez ici

Le vol Ouagadougou-Alger, disparu des écrans radar après avoir réclamé l’autorisation de faire demi-tour, fait couler beaucoup d’encre… 118 personnes disparues parmi lesquelles il y aurait, selon certaines sources non confirmées, un chef du Hezbollah et 33 militaires parmi les 54 Français disparus, le tout au-dessus d’un pays ravagé par Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) et dans lequel se battent nos soldats.

Les corps comme la cause du crash demeurent introuvables, de quoi alimenter toutes les hypothèses possibles, de la « théorie du complot » à la politique de la diversion.

Difficile de se muer subitement en expert de l’aviation, alors soyons crédules et prenons pour argent comptant ce que dit notre bon président François Hollande, devenu l’expert numéro un sur le dossier.

L’homme intervient peu depuis qu’il a été élu à la tête du pays, si ce n’est pour des victoires footballistiques ou l’expulsion sans fin d’une famille de Roms en situation irrégulière reconduite le plus naturellement du monde à la frontière. Autant dire que le Président semble mettre un point d’honneur à n’intervenir que lorsque le sujet n’a absolument aucun intérêt.

Mais là, François Hollande se surpasse et n’en finit plus d’ajouter du spectaculaire au dramatique, laissant penser à une récupération aussi peu discrète que morbide. Il faut avouer que pendant que la France entière est invitée à pleurer pendant trois jours, elle ne pense ni à l’augmentation du chômage, ni aux débordements minimisés mais inquiétants des manifestants « pro-palestiniens » … Qui oserait ?

Quelle mouche a bien pu piquer François Hollande, abonné absent sur tous les dossiers importants que compte la France : une succession d’interventions dramatico-lyriques, la promesse d’une stèle, du rapatriement des corps introuvables, d’un voyage des familles sur place et – cerise sur le gâteau – l’annonce de trois jours de deuil national.

François Hollande n’en finit plus d’afficher sa triste mine et dépense une énergie qu’on ne lui connaissait pas dans un dossier qui ne relève pas directement de sa compétence, ni de celle de la France. Etant donné le nombre de morts, il est normal que la France suive le dossier, elle peut le faire discrètement.

Air France a donné l’ordre aux avions de contourner le Mali en attendant d’en savoir plus et « toutes les hypothèses » sont prises en compte, mais la météo est largement pointée du doigt comme responsable de ce drame ; il ne s’agirait que d’un accident.

Trois jours de deuil national pour un accident ? Il faudrait peut-être alors penser à le faire pour ces Jérémy, François, Antoine, Christophe… assassinés froidement par des voyous immigrés sur notre propre sol.

Interventions à répétition pour un accident ? Il serait logique alors de penser à rendre hommage publiquement à nos soldats tombés sur des théâtres étrangers. Reste que s’il faut décréter trois jours de deuil pour chaque accident, nos drapeaux ne risquent malheureusement pas de flotter souvent.

Donc les Français ne risquent pas d’être dupes très longtemps.

S’il s’agit d’un accident, que François Hollande cesse ces agitations indécentes et mette son énergie au service de la France.

Si la météo n’y est pour rien et que ce crash mérite autant d’investissement, il faudrait peut-être expliquer aux Français pourquoi.

23:46 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

23:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A PARIS, COMME A GAZA : IN-TI-FA-DA ?

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Pieter Kerstens

On peut être « pro » ou « anti » sioniste, mais on constate que les israéliens se moquent entièrement des récriminations, des mises en garde ou des recommandations de la communauté internationale, pour tout ce qui concerne leurs politiques intérieure et étrangère.

Comme peuple souverain, ils appliquent ce qui leur semble bon pour la défense de leurs intérêts, de leur population et de leur sphère d’influence.  Tel le blocus de Gaza …

GAZA : 363 km2. 1,8 million de palestiniens s’entassent dans ce véritable camp de concentration à ciel ouvert et portes closes (4.950 habitants au km²).

Pourtant, le 29 novembre 1947, l’Assemblée Générale de l’ONU vota le partage de la Palestine en 3 morceaux. Par cette résolution 181, 56% du territoire est dévolu à un Etat juif (558.000 juifs et 405.000 arabes), 43% est accordé aux Palestiniens (804.000 palestiniens et 100.000 juifs) et le dernier % concernant les Lieux Saints est placé sous tutelle des Nations Unies, avec la désignation d’un gouverneur.

Ce partage est considéré depuis comme une NAKBA par les Palestiniens et devient dès lors la source d’un des plus longs conflits qui perdure à ce jour, avec ses rivières de sang, ses torrents de haine et ses cortèges de souffrances.

Le 11/12/1948, l’ONU vote sa résolution 194 qui place Jérusalem sous mandat international et garantit le principe des droits existants.  Contre l’avis général, Israël a déclaré Jérusalem sa capitale et après le conflit de 1967, l’état hébreu occupe l’Est de la ville.

La résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU, le 22/11/1967 précise bien :

« Le Conseil de sécurité affirme que l’accomplissement de la Charte des Nations Unies exige l’instauration d’une paix juste et durable au Moyen-Orient qui devrait comprendre l’application des deux principes suivants :

a) retrait des forces israéliennes des territoires occupés lors de la guerre des six jours (en juin 1967)

b) cessation de toutes assertions de belligérance ou de tous états de belligérance et respect et reconnaissance de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque Etat de la région et de leur droit de vivre en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues…

Les résolutions 476 du 30/6/1980, 478 du 20/08/1980 et 672 du 12/10/1990, condamnent toutes l’attitude belliqueuse de l’Etat hébreu et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem.

Peut-on en conclure que l’Etat sioniste est un facteur de déstabilisation perpétuelle de la paix au Proche Orient et comme l’a écrit l’écrivain dissident israélien Israël Shamir :

« Etat  qui ne rassemble que la racaille des communautés juives mondiales » ?

Il est tout de même curieux de constater une évidence : bien avant le blocus de Gaza, la communauté internationale avait instauré elle aussi des blocus et des embargos envers l’Afrique du Sud, la Rhodésie, l’ex-Yougoslavie, l’Irak de Saddam Hussein et ensuite pour la Syrie de Bachar Al-Assad. Depuis des décennies, l’Oncle Sam étrangle Cuba… Combien de manifestations des pleureuses droits-de-l’hommistes ?  Combien de pétitions ?  Combien de flottilles apportant médicaments, aliments ou objets indispensables à ces nations qui ont été mises au ban de l’humanité avec la complicité des démocrasseux qui nous gouvernent ?

Et lorsque les gouvernements successifs dans les pays d’Europe nous parlent en permanence de « société citoyenne », d’intégration des immigrés, de tolérance ou encore du « vivre ensemble » on ne peut pas rester indifférent aux propos de Jacques KUPFER, co-président du Likoud mondial, ce 15 juillet 2014 :

« Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre.

Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.

Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.

Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »

Qui répand la haine, la vengeance et l’appel à l’extermination du peuple palestinien ?

Depuis 67 ans, les sionistes se torchent le c…l avec les résolutions de l’ONU, pourquoi changeraient-ils maintenant d’avis ? Comme à Belgrade, à Bagdad ou à Tripoli, faudra-t-il contraindre militairement Israël pour faire appliquer les décisions du Conseil de Sécurité et faire respecter le Droit International ?

A juste titre ….

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Choisir entre le keffieh et la kippa ?

Alain escada1.jpgAlain Escada

Président de Civitas cliquez ici

Les événements nationaux et internationaux des derniers jours méritent une analyse et un positionnement clair.

Sionisme gouvernemental

Il est devenu insupportable de constater ce sionisme gouvernemental dégoulinant qui amène François Hollande, chef de l'Etat français, à soutenir officiellement l'offensive militaire israélienne à Gaza malgré le bombardement volontaire de la résidence du Consul de France à Gaza par l'armée israélienne.

Milice juive

Il n'est pas admissible que la Ligue de Défense Juive (LDJ), véritable milice communautaire, puisse continuer en toute impunité à se livrer à des violences assumées avec cynisme dans la communication officielle de la LDJ sur les réseaux sociaux. Il saute aux yeux que des mouvements nationalistes ont été interdits pour bien moins que cela.

Bandes urbaines

Il n'est pas acceptable que de la destruction de mobilier urbain, des incendies de voitures, des pillages de commerces – bref des émeutes – soient commis par des bandes urbaines qui abusent de la cause palestinienne pour chercher à couvrir d'un vernis politique leurs actes de vulgaire délinquance.

Islamistes fanatiques

Il n'est pas tolérable qu'à l'occasion des manifestations pro-palestiniennes, des islamistes fanatiques déploient sur le territoire français la bannière de l'Etat Islamique en Irak et au Levant, organisation qui menace de mort les Chrétiens d'Irak.

Médias et choc des civilisations

Il faut aussi dénoncer le rôle des médias du système qui contribuent en permanence à cultiver le mensonge, à manipuler l'opinion publique et à créer les conditions d'un choc des civilisations tout en veillant à blâmer l'amour de la France, à émasculer les patriotes sincères, à empêcher tout authentique redressement national ainsi qu'à écarter systématiquement la possibilité pour les Français de retrouver dans l'ordre chrétien la solution à nombre de leurs problèmes.

Ni keffieh ni kippa

Plus que jamais, il convient de clamer que les Français n'ont pas à faire le choix entre le keffieh et la kippa. Ni les islamistes ni les sionistes n'ont la moindre intention de servir la France. Au contraire, tant les islamistes que les sionistes sabotent toute hypothèse de réconciliation nationale envisageable sur base d'une adhésion partagée au Bien commun, à l'ordre naturel et à l'amour de la France.

La France est chrétienne et doit le rester

Il est indispensable de répéter encore et encore que si la république maçonnique est laïque, la France véritable est catholique. Les Français ne peuvent espérer retrouver ni paix ni stabilité sans préalablement reconnaître les racines chrétiennes de la France et les bienfaits de la Chrétienté.  

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La nouvelle affiche du GUD à la rentrée :

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Pascal Gauchon nous présente la revue "Conflits"

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Pascal Gauchon répond à Breizh-Info cliquez ici :

Breizh-info avait présenté récemment la nouvelle et excellente revue géopolitique "Conflits". Dans l’interview qu’il nous a accordée, son directeur Pascal Gauchon nous parle de la revue, de ses objectifs, mais également du  sommaire du deuxième numéro dont le dossier principal est consacré aux nouveaux mercenaires. Rencontre avec le fondateur d’une revue non consensuelle qui devrait faire date.

Breizh-info.com : Pascal Gauchon, pouvez-vous vous présenter votre parcours professionnel ?

Pascal Gauchon (revue Conflits) : C’est un parcours d’enseignant assez classique ; école normale supérieure, agrégation d’histoire, une dizaine d’années dans des collèges de banlieue puis, comme l’Education nationale ne m’offrait aucune perspective de promotion, le privé. J’ai enseigné à partir de 1985 (j’enseigne toujours) comme professeur en classe préparatoire ECS à Ipésup, l’un des établissements les plus réputés pour cette formation, et en même temps j’ai dirigé pendant 25 ans une filiale d’Ipésup, Prépasup.

J’ai donc réussi ce que j’avais toujours voulu : concilier une activité intellectuelle et des responsabilités d’organisation et de direction. Je l’ai fait également en tant que directeur de collection aux PUF, je le fais toujours en lançant Conflits

Breizh-info.com : La revue Conflits sort son deuxième numéro consacrée notamment aux « nouveaux mercenaires ». Quel est la genèse de la revue ? A qui se destine-t-elle ? Qui compose l’équipe éditoriale ?

Pascal Gauchon (revue Conflits) : J’enseigne la géopolitique, je publie des ouvrages de géopolitique depuis un certain temps déjà. J’ai eu l’intuition qu’il existe aujourd’hui un besoin d’analyse géopolitique. Nous sommes de plus en plus insérés dans le monde, ce qui se passe ailleurs nous concerne de plus en plus ; par ailleurs nous voyageons plus, nous parlons plus de langues étrangères… Il faut donc des outils pour comprendre la planète. 

Cela est d’autant plus important que le regard porté par les grands medias est d’un triste conformisme, souvent par paresse intellectuelle, parfois par volonté de désinformation. Souvenez-vous du discours cent fois répété sur la « mondialisation heureuse », des hymnes à la victoire de la démocratie à la suite des printemps arabes, des anathèmes contre les pays qui ne veulent pas entrer dans le « nouvel ordre mondial » annoncé après 1991. On nous a décrit un monde de bisounours, ou pour reprendre une formule de Montherlant que je préfère, de « Rintintin et Nénette for ever ». 

Avec le titre de la revue, Conflits, nous entendons nous placer en rupture par rapport à ce discours de niaiserie. La revue s’adresse donc à tous ceux qui veulent avoir du grain à moudre pour leur réflexion, à ceux qui attendent une « géopolitique critique » selon le titre de l’éditorial du numéro 1. 

L’équipe éditoriale est nombreuse, elle comporte une douzaine de collaborateurs réguliers. S’ajoutent à eux des spécialistes auxquels nous faisons appel en fonction des sujets choisis. Les collaborateurs réguliers sont en général de jeunes professeurs, beaucoup enseignent en classe préparatoire, d’autres en lycée ou à l’Université ; il y a aussi des professionnels de l’intelligence économique, de la criminologie ou de la sécurité.

Breizh-info.com : Vous êtes une des rares revues géopolitique existante. De plus, vous devez être la seule à ne pas offrir un regard « occidentalo-centré » sur ce qui se passe dans le monde. Pourquoi ce choix éditorial ?

Pascal Gauchon (revue Conflits) : Il existe quelques revues de géopolitique, mais peu sont destinées au « grand public », comme il est convenu de dire. Et il est vrai que nous nous efforçons d’avoir un regard original. Je l’ai indiqué, c’est notre raison d’être. 

Breizh-info.com : Montée des islamistes dans les pays arabes et en Syrie, pression musulmane en Afrique, nombreux foyer de guerres dans le monde et d’instabilité. Quels sont les évènements qui vous ont particulièrement interpellés récemment ? Comment expliquer vous le changement total de politique étrangère de la France, dont l’influence dans le monde parait de plus en plus faible et surprend quand à l’aide apporté notamment aux islamistes ?

Pascal Gauchon (revue Conflits) : Il est vrai que les nombreux analystes qui avaient annoncé la fin de l’islamisme ont été démentis par les événements. Je me souviens d’un ouvrage, paru quelques semaines avant le 11 septembre, qui se montrait très affirmatif sur ce point ; il était rédigé par des spécialistes reconnus mais pas omniscients.

Tout cela doit inciter à la prudence. La montée de l’islamisme est la conséquence directe de l’échec des nationalismes arabes, un échec auquel nous avons contribué, même si ces régimes ont une part de responsabilité non négligeable dans leurs difficultés. Une autre politique est donc possible, et l’on voit que pour arrêter les progrès de l’islamisme Washington a fini par se résigner à la prise de pouvoir de al-Sissi en Egypte. Comme quoi ils savent mettre leurs principes démocratiques entre parenthèses quand il le faut.

La France n’a pas cette sagesse. Depuis l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy elle est devenue plus royaliste que le roi, plus américaine que les Américains. Nous étions en pointe dans le projet d’intervention militaire en Syrie. Encore faut-il noter que N. Sarkozy avait fait preuve d’une certaine indépendance d’action parfois, ainsi lors de la guerre entre la Russie et la Géorgie. Ce n’est plus le cas avec F. Hollande.

En fait, nous avons l’impression d’une rupture en 2007, mais c’est une lente évolution qui nous a fait nous aligner de plus en plus sur les Etats-Unis, de V. Giscard d’Estaing à Mitterrand. L’insertion croissante dans l’ensemble européen a joué son rôle, puisque la construction européenne est dès le départ un projet atlantiste. La génération 68 a contribué à ces changements, comme l’avait bien compris, il y a longtemps déjà, J.F. Revel qui signalait à quel point elle était américanisée. 

Breizh-info.com : Quels sont les pays qui selon vous seront les acteurs majeurs au 21ème siècle ? Va-t-on vivre un siècle de profonds bouleversements ?

Pascal Gauchon (revue Conflits) : Prudence. Oui nous allons vivre de profonds bouleversements au 21ème siècle, comme au 20ème, au 19ème, au 18ème et à tous les autres siècles de l’histoire. Il est difficile de les prévoir, mais l’une des approches les plus efficaces est de partir de la démographie, l’avenir qui est déjà écrit selon Peter Drucker. Dans ce cas les lignes de force sont évidentes : déclin de l’Europe, renversement de situation pour beaucoup de pays émergents comme la Chine qui verront leur croissance et leur montée en puissance se ralentir, affirmation de l’Afrique noire qui représentera un tiers de la population mondiale en 2100 et dont les flux migratoires seront de plus en plus incontrôlables.

Maintenant il n’y a pas que la démographie. Une population qui augmente trop vite peut poser des problèmes insolubles, cela peut être le cas de l’Afrique. Il y a surtout la qualité des politiques. De ce point de vue la classe dirigeante chinoise est impressionnante. Pensez qu’en 2000 tous les experts annonçaient que la croissance chinoise serait étouffée à cause de la trop petite taille des ports chinois qui ne permettrait pas d’accueillir les importations de plus en plus importantes dont elle a besoin. En moins de dix ans le problème a été réglé au point que parmi les dix premiers ports mondiaux, sept sont chinois ! 

Par ailleurs les Etats-Unis disposent d’atouts exceptionnels qu’ils ne sont pas prêts à abandonner, comme la haute technologie et surtout le dollar. Je ne crois pas que le dollar va perdre rapidement son rôle dans l’économie mondiale, pas plus que la livre sterling ne l’a perdu rapidement au XXème siècle. Je sais que je suis en désaccord avec certains qui prennent leurs désirs pour des réalités et qui confondent leur souhait – que les Etats-Unis cessent de nous dicter notre politique – et les faits – la puissance américaine reste et de loin la première mondiale. 

Vous le voyez, ma réponse est banale et prudente. Qui dominera le monde ? Sans doute les Etats-Unis, mais ils devront tenir compte de la Chine. L’inconnue est ailleurs me semble-t-il : les Etats-Unis continueront-ils à accepter de payer le prix de leur interventionnisme dans le monde ? Pourraient-ils être tentés par un nouvel isolationnisme ? Je ne le crois pas, car cela ne me semble pas être l’intérêt de leur classe dirigeante. Pour l’instant du moins. 

Enfin, n’oubliez pas la place de l’imprévu, c’est-à-dire le rôle des hommes. 

Breizh-info.com : Votre revue refuse le dogme « politiquement correct ». Le premier numéro a-t-il bien marché ? Etes-vous lu en haut lieu ? Quel rôle vous donnez vous pour les années à venir ?

Pascal Gauchon (revue Conflits) : Oui, le premier numéro a connu un succès très supérieur à ce que nous attendions, en particulier en ce qui concerne les ventes dans les kiosques. Il est vrai que nous avons eu de la chance en consacrant notre dossier à l’Eurasie au moment de la crise ukrainienne. Je ne sais pas jusqu’où nous sommes lus en haut lieu, mais j’ai eu des échos très favorables de hauts fonctionnaires et de journalistes. 

Si les ventes continuent à se tenir correctement, nous développerons d’autres activités : édition de livres, site Internet que nous étofferons, enseignement, lancement de « clubs Conflits » pour organiser des conférences et entretenir le débat autour de nos idées. Mais tout cela ne pourra exister que quand nous serons stabilisés, donc pas avant un an. 

Et pourquoi faire tout cela ? D’abord pour rendre les gens plus intelligents, leur apprendre à se méfier de toutes les idées reçues, y compris les leurs. Ensuite pour fédérer tous les courants géopolitiques anticonformistes auxquels notre revue est ouverte. Enfin pour former et faire émerger une école de jeunes géopoliticiens qui, je l’espère, renouvelleront la discipline. 

Breizh-info.com : Comment procéder pour s’abonner, pour découvrir la revue ?

Pascal Gauchon (revue Conflits) : Le plus simple est de passer par notre site Internet, revueconflits.com (cliquez ici). Le lecteur y découvrira certains articles (l’éditorial et la page « polémique »), les recensions de livres du numéro précédent. Il pourra s’abonner par Paypal. Il est possible aussi d’écrire à Conflits, 55 boulevard Péreire, 75017 PARIS. Ou encore d’acheter le numéro dans un point de vente – nous tirons à plus de 40 000 exemplaires et nous sommes donc largement diffusés. En particulier on trouve Conflits dans les principaux magasins Relay.

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Rien de nouveau au Proche-Orient...

516425133.JPGNI HAMAS, NI TSAHAL : CETTE GUERRE N'EST PAS LA NOTRE !

 

Editorial de Roland Hélie publié dans le numéro 12 (janvier février 2009) de la revue Synthèse nationale :

 

Parmi les « dégâts collatéraux » provoqués par les affrontements qui se sont déroulés ces dernières semaines au Proche Orient, on pourrait presque inclure les nouvelles divisions que ceux-ci entrainent au sein de la droite nationale (1). Bien sûr, il convient de relativiser l’aspect tragique de ce constat car, fort heureusement, ces divisions n’ont pas encore entraîné mort d’homme… Néanmoins, ces événements sont survenus à point nommé, au moment où notre famille politique semble avoir beaucoup de mal à rebondir, pour creuser encore plus les fossés qui séparent les mouvements nationaux et identitaires entre eux et les éloigner de leur mission essentielle, celle de défendre notre peuple, notre nation et notre civilisation. Décidément, on peut leur faire confiance, les Juifs et les Arabes excellent dans l’art d’exporter leurs discordes partout, y compris là où on s’y attendrait le moins.

 

Ainsi, depuis le début de ce nouvel épisode de la guerre fratricide qui oppose les descendants des fils de Sem, toute la droite nationale se chamaille sur la position à adopter. Certains font une surenchère effrénée à la dialectique gauchiste, confondant au passage la légitime revendication du Peuple palestinien à disposer d’un Etat et les positions islamistes maximalistes du Hamas, alors que d’autres, au nom d’une notion totalement pervertie de l’Occident, se pâment d’admiration devant la force, réelle ou supposée, de l’armée israélienne. Une fois de plus, on nage en pleine confusion.

 

Depuis une trentaine d’années, je me suis personnellement toujours prononcé en faveur d’un Etat palestinien. A une époque où presque toute la droite nationale soutenait, probablement par nostalgie de l’Algérie française, l’Etat hébreu, nous étions alors ultra minoritaires, au sein des mouvements nationaux et nationalistes, à adopter une telle position. Nous l’expliquions tout simplement par le droit des peuples à disposer d’un Etat. Au même titre d’ailleurs que les Israéliens avaient le droit au leur. Je ne regrette en rien cet engagement, que je considère toujours comme le plus logique. Néanmoins, depuis, les choses ont nettement changé. La résistance palestinienne était alors nationaliste, laïque et révolutionnaire. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Hamas est islamiste, fondamentaliste et impérialiste (non seulement il veut détruire Israël, mais il veut aussi la fin de notre civilisation européenne). Nous sommes loin du baasisme bon teint ou du nassérisme triomphant de la seconde moitié du XXème siècle.

 

Deux peuples, un territoire : le bât blesse…

 

En fait, là où le bât blesse, c’est lorsque deux peuples ont la même prétention sur un même territoire. Comme c’est le cas dans ce sempiternel conflit israélo-palestinien. La solution la plus sage consisterait à procéder à une partition qui mettrait tout le monde d’accord. Mais peut-on encore, aujourd’hui, raisonnablement envisager une telle solution ? Toutes les tentatives de conciliation qui se sont succédées depuis la création, en 1947, de l’Etat d’Israël ont échoué. Plus encore, la situation n’a fait qu’empirer. J’en arrive donc à la conclusion qu’il est plus que temps de laisser les protagonistes se débrouiller entre eux. Tout le reste n’est que bavardages, postures esthétiques et, surtout,  perte de temps… Prendre parti dans ce conflit n’apporterait rien au mouvement national.

 

S’il est vrai que les moyens et les méthodes de Tsahal sont totalement disproportionnés par rapport à ceux des Palestiniens ; s’il est vrai que si n’importe quel autre pays du monde avait utilisé les mêmes méthodes et les mêmes moyens pour régler un quelconque conflit avec un de ses voisins, toutes les « forces du bien » se seraient mobilisées pour éliminer ce « maudit pays » (souvenez-vous du sort qui fut réservé à la malheureuse Serbie il y a une dizaine d’années ou à l’Irak il y a vingt ans…) ; il n’en est pas moins vrai que le Hamas, qui n’hésite pas à mettre des enfants en première ligne face aux chars israéliens, considère qu’Israël doit être détruit et que, pour cela, tous les moyens sont bons, y compris le terrorisme aveugle. Terrorisme aveugle auquel les sionistes n’avaient d’ailleurs pas hésité à recourir, en d’autres temps, pour lutter contre les Anglais.

 

Entre ceux qui réclament « un soutien indéfectible à l’Etat d’Israël », comme s’ils ne savaient pas que les Etats n’ont pas d’amis ni d’alliés à soutenir mais que des intérêts à défendre, et ceux qui, souvent fraichement convertis au nationalisme, invoquent de fallacieuses raisons humanitaristes pour appeler à manifester, aux côtés de l’extrême gauche et des mouvements antiracistes, contre l’agression israélienne, nous n’avons vraiment pas à choisir. Peut-être que, si nous étions Israéliens, nous serions farouchement partisans de liquider la résistance palestinienne. De la même manière que, si nous étions Palestiniens, nous nous ferions un devoir de soutenir le Hezbollah ou le Hamas. Mais il se trouve que nous ne sommes ni les uns ni les autres, nous sommes Français et Européens et que, par conséquent, nous n’avons qu’un seul choix à faire : celui de la défense de nos intérêts et de nos intérêts seulement.

 

Ni drapeaux israéliens, ni drapeaux palestiniens…

 

Robert Spieler, au nom de la Nouvelle Droite Populaire, a parfaitement résumé la position qui conviendrait d’être prise par le mouvement national et identitaire dans son ensemble : « Ni drapeaux israéliens, ni drapeaux palestiniens ». Ce à quoi Pierre Vial, Président de Terre et peuple, ajoute de manière imagée : « Ni hallal, ni cacher »… Oui, tous ces emblèmes d’entités étrangères à notre civilisation européenne qui envahissent les rues de nos villes et qui détériorent, petit à petit, notre patrimoine et notre conscience collective doivent être rejetés simultanément. On ne peut pas à la fois combattre l’immigration de peuplement qui menace les fondements de notre civilisation et la violence qui en découle et qui s’amplifie partout sur notre territoire d’un côté  et, de l’autre, glorifier les organisations terroristes, que celles-ci soient sionistes ou islamistes. On ne peut pas à la fois militer sincèrement pour une France française dans une Europe européenne et se pavaner derrière les drapeaux, quels qu’ils soient, de puissances ou d’organisations qui veulent la mort de notre identité. Il faut arrêter de dire et de faire n’importe quoi.

 

Nous ne pourrons libérer notre continent de ceux qui l’envahissent et de ceux qui le contrôlent que si nous nous appuyons sur les valeurs, les symboles et les traditions qui sont les nôtres. Pour cela, il faut d’abord redonner à notre peuple une conscience ethnique, condition sine qua non à notre redressement national et identitaire. Si nous voulons gagner, nous devons d’abord être ce que nous sommes.

 

Notes

 

(1) Lire à ce sujet l’article de Jérôme Bourbon publié dans Rivarol (n°2888 du 16 janvier 2009).

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dimanche, 27 juillet 2014

Provocation socialiste devant Notre Dame de Paris : l'avocat des Femen, envoyé par Hidalgo, hué lors de la manif de soutien aux chrétiens d'Irak

Lors de la manifestation Soutien aux Chrétiens d'Orient et d'Irak, l'avocat Patrick Klugman, défenseur des Femen et adjoint à la Mairie de Paris représentant Anne Hidalgo a été hué par les manifestants chrétiens présents sur le parvis de la cathédrale. Les Cloches de Notre-Dame de Paris, souillées l'an passé par ses clientes, ont eu raison des péroraisons non terminées de ce triste personnage.

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Mardi 29 juin, sur Radio Courtoisie : le Libre Journal d'Arnaud Guyot-Jeannin

images.jpgLe prochain Libre Journal des enjeux actuels dirigé par Arnaud Guyot-Jeannin aura lieu le mardi 29 juillet 2014 et portera sur les thèmes suivants : "Conflit israélo-palestinien : les vérités qui dérangent" ; "Comment être vraiment pluraliste ?".

Invités : Christian Brosio (Secrétaire général de la rédaction du Spectacle du monde), Philippe Prévost (Historien, auteur de La France et l'origine de la tragédie palestinienne, Erick Bonnier éditions, 2012), Jacob Cohen (Ecrivain, Auteur d'Un pont sur le DétroitÉditions Édilivre,‎ 2013), Christophe Oberlin (Professeur de médecine à l’Université Paris VII, chirurgien à l’hôpital Bichat, il a effectué plusieurs missions humanitaires à Gaza), Thibaut Isabel (Rédacteur en chef de la revue Krisis et auteur du livre " Le parti de la tolérance " aux éditions de la Méduse).

L'émission sera rediffusée le jeudi 31 juillet 2014.

18:21 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

BHL veut faire la guerre à la Russie : s’engagera-t-il ?

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Nicolas Bonnal

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Bernard-Henri Lévy vient d’accuser les Européens de lâcheté dans le New York Times. Il demande la guerre contre la Russie – qui servira à anéantir le Vieux Continent. Mais que ne fera-t-on pas pour éviter le Munich numéro 1000 des « néocons » à la française ?

Le bougre occupe depuis quarante ans le devant de la scène intellectuelle française, comme on dit. Il est l’intellectuel institutionnel que l’on doit écouter et le commandeur des croyants auquel on se doit maintenant d’obéir, le doigt sur la couture du pantalon, surtout quand on est président de la République et que l’on rêve de n’importe quel exploit martial pour éviter de trop ramer dans les sondages. Et cela, alors que le ludion en question était déconsidéré depuis longtemps par tous ses pairs, Aron, Sartre et Bourdieu y compris.

L’escogriffe plumitif traîne depuis bien longtemps au Quartier latin sa carcasse de précieux dégoûté. Aussi, je ne me moquerai pas de son riad avec laquais, de ses chemises à 700 euros, de son dandysme de Prisunic, de sa discourtoise insuffisance. Je ne soulignerai pas non plus que ses succès en librairie ont vingt ou trente ans, qu’il vend maintenant à 3.000 exemplaires, que ses postures ont fini par lasser le grand public qui le découvrait il y a maintenant 40 ans ou presque, au temps du toujours extasié Pivot. Car BHL est à Marcel Proust ce que Doc Gynéco est à Jean-Philippe Rameau.

Par ses poses, il me fait penser aux libéraux américains ou même russes. On sait donc que tout libéral qui se respecte déteste son pays, son histoire et ses racines, et l’idée même d’identité. On sait que, comme tout libéral qui se respecte, il n’a de cesse de souligner que ce pays est viscéralement raciste et antisémite. Et l’on sait que, comme tout aigri qui se respecte, il n’a de cesse de dénoncer comme nationaliste ou populiste tout esprit qui s’opposera à ses schématisations artisanales et à ses imprécations teigneuses : cf. sa diatribe sur le populisme américain et le maccarthysme local toujours renaissant qui refusait de faire de ce cancre las l’émule de Tocqueville !

Puissance malfaisante, ce représentant attitré de la gauche caviar et du néo-conservatisme azimuté synthétise toutes les tares de la charia moderne : le monde ne sera vivable que lorsqu’il sera en tout point identique et mort. C’est le rallye mondain du Paris-Qatar. Les moins riches se loueront une chambre à Gaza en remerciant les journaux de lutter contre le racisme.

Il serait temps pourtant que je reconnaisse ses intenses mérites, que je lui tresse des lauriers. Car c’est ici qu’avec son argent, son bagout, ses réseaux, son sens du chantage il m’impressionne et maintenant me fait peur. Ce nouveau grand inquisiteur triomphe avec toute la force de sa mauvaise volupté.

Je fais un pari : après la Libye, il imposera sa guerre mondiale à la foule fatiguée des zombies européens.

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samedi, 26 juillet 2014

Schizos ou trop cons...

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Dissolutions et recours : Serge Ayoub et Maître Gardères répondent au Conseil d'État

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

12:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aujourd'hui, dans la Nièvre :

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11:43 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Palestine : Dominique de Villepin sauverait-il l’honneur de la France ?

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Nicolas Gauthier

Boulevard Voltaire cliquez ici

En politique, il est toujours possible de faire illusion. Un temps. Mais pas forcément très longtemps. D’où l’absence durable – mais pas forcément équitable – de position de la France vis-à-vis de ce qui se passe en Palestine. C’est-à-dire rien. Les plus audacieux se contentent de renvoyer dos à dos les deux protagonistes en question ; ce que fait aussi le Front national, qu’on a autrefois connu plus audacieux en matière de politique étrangère.

Le PCF et les Verts s’insurgent. Logique : à gauche, ils sont encore les derniers à tenter de faire de la politique. À l’UMP, c’est morne plaine. Et au gouvernement, quand Laurent Fabius ne pique pas du nez dans les réunions internationales, c’est encéphalogramme plat. À l’exception, peut-être, de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, qui refuse la « communautarisation » du conflit. Mais, quand la Place Beauvau commence à emprunter le vocabulaire du Bloc identitaire, ça donne une assez bonne idée de l’étendue du marasme.

Après, sachant que l’on ne saurait être à l’abri d’une bonne surprise, reste Dominique de Villepin qui vient de tenter une sortie en répondant aux questions du Parisien, ce vendredi dernier. Avec la préretraite vient le temps des audaces : « D’un côté, Israël vit dans la peur et l’insécurité. De l’autre, les Palestiniens sont un peuple sans terre et sans espoir. Avec une disproportion dans la réaction israélienne que l’on observe par le décompte macabre des victimes : près de 700 tués, en grande majorité civils, côté palestinien ; une trentaine de soldats côté israélien. »

De l’homme ayant prononcé le fracassant discours qu’on sait, dans l’enceinte de l’ONU, en 2003, on aurait pu attendre mieux ; mais au service de la France, le service minimum, c’est toujours mieux que rien.

Pour le reste, l’ancien Premier ministre ne fait rien de moins que de rappeler la voix du bon sens : « Il faut reconnaître la responsabilité des Nations unies dans ce dossier et leur confier un mandat sur la Palestine pour obtenir un processus de paix et aboutir à la création d’un État palestinien. Pour cela, six impératifs. Il faut une administration provisoire sur ce territoire avec le déploiement de Casques bleus. Des zones humanitaires protégées pour que la Palestine retrouve une vie normale. Un dialogue politique interpalestinien qui débouche sur des élections. La relance du processus de paix par une conférence internationale qui doit signer la création de ce nouvel État avec toutes les garanties données à Israël, sur sa sécurité en particulier. L’adhésion de cet État à la Cour pénale internationale, ce qui permettra de sanctionner les crimes contre l’humanité. Et enfin un plan d’aide et de développement économique qui enclencherait un cercle vertueux. C’est la responsabilité des Nations unies. Et qui, mieux que la France, peut porter un tel projet ? »

En gros, les données sont posées. Et les propositions avancées par Dominique de Villepin ne sont pas insensées. D’ailleurs, Élisabeth Lévy ou Alain Finkielkraut, qui ne sont pourtant pas des pro-Palestiniens frénétiques, ne disent finalement pas autre chose. Alors, la France, porte-parole idéal de ce projet de bon sens ? Bonne question, mais notre Président, François Hollande, n’incarne peut-être pas la réponse attendue. Normal, il a mieux à faire : officialisera-t-il sa liaison avec Julie Gayet avant l’automne ? Autre bonne question, car si les feuilles mortes se ramassent à la pelle, il y a aussi des coups de pelle dans la gueule qui se perdent…

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Gaza : 15 morts dans une école de l’ONU

155623813.pngCaroline Parmentier

Présent cliquez ici

Un obus israélien a tué jeudi (24/7) quinze personnes dans une école de l‘ONU de la bande de Gaza, alors que le bilan de l‘opération militaire contre le Hamas a dépassé vendredi les 800 morts palestiniens en 17 jours de raid.

Dans cette école de l'Agence de l'ONU pour l'aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA), située à Beït Hanoun, dans le Nord de l'enclave palestinienne, où étaient hébergées des personnes déplacées par les combats, il y avait des femmes, des enfants et des employés de l'Organisation.

L'armée israélienne a déclaré avoir riposté à des tirs de roquette par des combattants du Hamas, depuis la zone de Beït Hanoun. Quelque 110 000 civils de Gaza, où s'entassent 1,8 million d'habitants, se sont réfugiés dans les écoles de l'UNRWA. 116 écoles de Gaza, dont 75 de l'UNWRA, ont été endommagées par les tirs israéliens depuis le 8 juillet.

Le conflit menace en outre de s'étendre à la Cisjordanie occupée, où de violents affrontements entre Palestiniens et forces de sécurité israéliennes ont fait un mort jeudi soir.

Trêve élusive

Dans ce contexte, le cabinet de sécurité israélien devait se réunir vendredi pour discuter une proposition de cessez-le-feu transmise au Premier ministre Benjamin Netanyahu par le secrétaire d'Etat américain John Kerry, lors d'une rencontre mercredi à Tel-Aviv.

« Si le Hamas accepte la proposition américaine, il n'est pas impossible qu'il y ait aussi une décision israélienne pour l'accepter », a indiqué la radio publique.

« L'espoir de cessez-le-feu qu'avait fait naître John Kerry mercredi est toujours vivant », a assuré de son côté jeudi le président palestinien Mahmoud Abbas après avoir rencontré le roi Abdallah de Jordanie. Il a demandé que soit appuyée la proposition égyptienne de cessez-le-feu rejetée par le Hamas la semaine dernière.

Le lourd bilan des pertes civiles suscite de fortes critiques contre Israël. Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a diligenté une enquête sur de possibles « crimes de guerre » commis par l'armée tout en dénonçant les attaques aveugles du Hamas en Israël. Ce qui a provoqué la colère du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui a dénoncé « une parodie de justice » et a de nouveau accusé le Hamas d'utiliser la population de Gaza comme « bouclier humain ».

Israël semble déterminé à mener à terme son opération visant à détruire l'arsenal militaire du Hamas et de son allié du Jihad islamique, notamment les roquettes et tunnels utilisés pour les attaques au cœur de l'Etat hébreu.

« Nous ne ferons aucun compromis sur cet objectif », a prévenu le ministre de l'Intérieur, Gédéon Saar. Youval Steinitz, chargé du Renseignement, a même évoqué « l'option de la prise de contrôle de la bande de Gaza », gouverné par le Hamas depuis 2007.

Avant d'étudier tout cessez-le-feu, le mouvement islamiste exige une levée du blocus imposé depuis 2006.

« Nous voulons un aéroport, un port, nous voulons nous ouvrir au monde. Nous ne voulons pas être contrôlés par une frontière qui fait de Gaza la plus grande prison du monde », a affirmé le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, dans un entretien jeudi à la BBC.

Les millions de Hollande

De son côté le président François Hollande, toujours dispendieux avec notre argent, a annoncé le déblocage par la France de 11 millions d'euros pour l'aide humanitaire à Gaza. Sur ces 11 millions d'euros, huit seront versés à l'Autorité palestinienne, installée en Cisjordanie, et trois aux Nations-Unies et à des organisations non gouvernementales (ONG).

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vendredi, 25 juillet 2014

Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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Jean-Marie le Pen soutient Anne-Sophie Leclère et Dieudonné apporte quelques précisions...

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Philippe Randa : les “sans-papiers” sont une imposture volontaire de langage

Roman-noir-demandeurs-Asile-e.jpgPhilippe Randa, ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense nationale, est l’auteur de plus d’une centaine de livres… Il est également éditeur et chroniqueur politique. Ses articles sur Internet (Synthèse nationale, Boulevard Voltaire, etc.) et ses billets d’humeur (Présent) sont régulièrement repris sur de nombreux sites Internet. Il vient de publier Le Roman noir des demandeurs d’asile, préfacé par Jean-Yves Le Gallou, aux éditions de l’Æncre. Sans traiter l’historique de ce droit qui fut, comme l’écrit Le Gallou, « l’honneur de la France », l’auteur en aborde les dérives et les abus. Gouffre financier, ce droit généreux ne prend pas en considération les droits des français à la « souveraineté, à l’identité, à la sécurité et au respect civilisationnel. » Rencontre avec l’auteur. – C.R.

Pourquoi vous êtes-vous intéressé à ce sujet ?

Sur la question des demandes d’asile, je me suis aperçu que l’opinion publique a été fortement marqué par les réfugiés chiliens dans les années 70 du siècle dernier après le putsch du général Pinochet au Chili : la propagande de gauche et d’extrême-gauche ont convaincus nombre de nos compatriotes que tout opposant chilien était alors systématiquement torturé et exécuté, sans jugement aucun et cela même plusieurs années après la chute de Salvadore Allende… Fortement marqué par cette manipulation, les Français sont pour beaucoup ignorants des réalités de la question des Demandeurs d’asile en cette deuxième décennie du XXIe siècle… Dans leur esprit et quelles que soient leurs propres opinions politiques, de telles demandes sont peu ou prou légitimes sur le fond… Mais cette vision, c’était avant ! Depuis longtemps, la majorité des demandes d’asile s’avère être uniquement de la migration économique. Avec deux mamelles – les trafics humains d’une part et les subventions aux associations d’autre part – où s’abreuvent quantité d’acteurs peu scrupuleux.

Ce n’est d’ailleurs pas seulement vous qui l’affirmez…

Non, comme je l’ai indiqué en introduction de mon livre, Manuel Valls l’a lui-même reconnu dans les colonnes du Monde, en mai 2013…

Votre livre est-il exhaustif ?

Comment pourrait-il l’être, alors que chaque jour, nous assistons à de nouveaux coups de boutoirs d’une immigration-colonisation pas même ralentie, contrairement aux affirmations de nos gouvernants… On ne peut d’ailleurs plus le dissimuler : les tentatives de pénétration du continent européen via par exemple l’île de Lampedusa font désormais régulièrement la une de l’actualité… mais généralement lorsqu’un drame humain se produit, soit lorsqu’un bateau où se sont entassés des centaines de femmes et d’hommes fait naufrage avant d’avoir pu atteindre les côtes… Les associations pro-immigration jouent alors sur la pitié, non seulement pour culpabiliser « l’homme blanc », mais aussi pour récolter des fonds : l’un n’empêche pas l’autre, mais surtout, l’un est très profitable à l’autre : Y’a bon la culpabilisation !

Vous dénoncez ainsi les maffias qui tirent profit de ces demandes d’asile…

Elles sont régulièrement dénoncées, mais très difficilement mise en périls. Et pour cause ! Les multiples associations politisées à outrance – dont beaucoup sont financées sur fonds publics – n’hésitent jamais à monter aux créneaux, sous tous les prétextes possibles, pour entraver l’action des forces de l’ordre ; quand à la Justice où les membres du Syndicat de la Magistrature sont si nombreux, tout lui est bon pour laisser le temps aux pseudos-réfugiés de s’échapper dans la nature, de récupérer par des filières parfaitement au point de « faux-papiers » – rappelons que les « sans papiers » sont une imposture volontaire de langage pour apitoyer « l’homme blanc » et masquer l’image de ce qu’est réellement un clandestin : avant tout un délinquant ! – puis de lancer la procédure de naturalisation, aidés par les mercenaires de la cause imigrationniste : militants associatifs, avocats…

Vous consacrez d’ailleurs un chapitre à ces cabinets d’avocat spécialisés : vous parlez de juteux business…

Entre 2008 et 2012, les frais de dépenses liées au contentieux des étrangers pour les préfectures ont doublé : de 8,5 millions d’euros, ils sont passés 16,6 millions d’euros. Les « cochons de contribuables » apprécieront ! Chaque dossier rapporte entre 600 et 3 000 euros et certains avocats traitent jusqu’à 1000 dossiers par an. Des chiffres explicites, non ?

Vous révélez, documents à l’appui, que des sites africains font la promotion des « bons plans » du demandeurs d’asile…

Un exemple parmi d’autres : un site sénégalais compare pour le demandeur d’asile les avantages respectifs des « bons plans », des « réfugiés clitoridiens » (le pack Clit’Cut®) et ceux des voyages sportifs ou artistiques (les packs immigr’Art® ou immiSport®)… Le chantage humanitaire à l’excision des petites filles ou à la persécution des homosexuels est effectivement très efficace ; il s’agit alors, simplement, de suivre avec une certaine rigueur, la procédure administrative… « La demande d’asile expliquée aux nuls », en  quelque sorte !

(Propos recueillis par Catherine Robinson, paru dans Présent du vendredi 25 juillet 2014)

Le roman noir des Demandeurs d’asile, Philippe Randa, préface de Jean-Yves Le Gallou, Éditions L’Æncre, collection « L’Essentiel », 150 pages, 21 euros.

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mercredi, 23 juillet 2014

Mobilisation en faveur des chrétiens d'Irak...

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Jean Raspail sur TV Libertés

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir :

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