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samedi, 26 avril 2014

Bruno MÉGRET : "Le projet du FN manque de crédibilité"

img_5355b8ac8e65e.jpgInterview de Ghislain DE VIOLET
Paris Match, le 14 avril 2014

L'ancien rival de Jean-Marie Le Pen au sein du Front national analyse la stratégie d'implantation engagée par sa fille. Et revient sur la campagne de 1995.

Il a d'abord hésité. Retiré de la vie politique depuis six ans, Bruno Mégret, 65 ans, ne se voyait pas mêlant sa voix au flot des commentaires d'actualité. Ni paraître régler de vieux comptes avec le clan Le Pen, pour qui l'ancien numéro 2 du FN reste à jamais le '' félon '' de la scission de 1999. Deux jours après le second tour des municipales, celui qui est toujours haut fonctionnaire au ministère de l'Ecologie accepte pourtant une rencontre dans un café du 7e arrondissement de Paris. L'occasion pour Bruno Mégret de revendiquer, avec un peu d'amertume, les bons résultats du mouvement bleu Marine. Car ces victoires sont aussi un peu les siennes.

Sans jamais citer son nom, Marine Le Pen a largement intégré une partie des préceptes mégrétistes. S'il a été l'homme fort de Vitrolles, dont lui et son épouse avaient fait un laboratoire frontiste dès 1997 (avec une polémique prime de naissance pour les enfants européens, cassée par la justice), Bruno Mégret a aussi été le premier à murir la stratégie de dédiabolisation, censée transformer le mouvement d'extrême-droite en un parti apte à gouverner. Plusieurs de ses fidèles à l'époque sont d'ailleurs aujourd'hui des proches de la présidente du FN. Comme Steeve Briois, responsable de la formation des militants et nouveau maire d'Hénin-Beaumont. Ou Nicolas Bay, directeur de la campagne des municipales.

De là à voir dans Marine Le Pen sa digne héritière, il y a un pas que Bruno Mégret ne franchit pas. Surtout en matière économique. Entre le frontisme d'inspiration plutôt libérale du technocrate Mégret et les accents prolétariens de la fille de Jean-Marie Le Pen, il y a visiblement bien plus qu'une génération d'écart.

Paris Match. Le Front national a remporté plusieurs villes et fait élire plus d'un millier de conseillers municipaux. C'est un retour à la situation de 1995 ?

Bruno Mégret. C'est une progression significative du Front national, après une décennie d'obscurité et de reflux. De ce point de vue, je m'en réjouis. Ceci étant, la configuration actuelle est tout à fait différente de celle de 1995. A l'époque, il y avait encore une classe politique qui, malgré toutes ses tares, tenait la route et un front républicain extrêmement virulent. Aujourd'hui, avec un pouvoir discrédité et une opposition inexistante, le système politique est en pleine décomposition. Lorsque mon épouse a été élue à Vitrolles en 1997, l'ensemble du gouvernement s'était mobilisé. Le Premier ministre en personne, Lionel Jospin, était venu faire campagne en faveur de notre adversaire. Ces villes avaient été conquises de haute lutte. Aujourd'hui, ce sont plutôt les digues qui cèdent ici ou là face à la marée qui monte.

Vous aviez engagé à l'époque un mouvement de professionnalisation, de formation de cadres locaux. Vous reconnaissez-vous dans la stratégie portée par Marine Le Pen ?

Il est indéniable qu'elle a mis en oeuvre deux axes qui étaient les miens lorsque j'étais au FN et ensuite au MNR (Mouvement national républicain, NDLR). Le premier c'est la dédiabolisation. J'ai toujours milité pour la fin des dérapages et des provocations. L'autre, c'est l'enracinement territorial. Nous avions accompli un travail considérable qui avait rendu possible l'implantation de cadres performants et formés un peu partout sur le territoire. Tous ces cadres sont d'ailleurs partis avec moi lors de la rupture de 1999. Il semble que ce travail d'enracinement ait repris.

Le Front national est-il dédiabolisé pour de bon ?

Il est certain que la diabolisation est de moins en moins crédible. D'une part parce que Marine Le Pen n'imite pas son père en multipliant les provocations, même si elle gère son parti un peu comme lui. D'autre part, parce qu'à force de crier au loup sans que jamais le loup ne vienne, la diabolisation perd de plus en plus de sa force.

Qu'est-ce qui vous a empêché de mener votre entreprise jusqu'au bout ?

C'est Jean-Marie Le Pen qui s'est opposé à la rénovation du Front national. Quand il a compris qu'une majorité du mouvement soutenait la ligne de dédiabolisation que je proposais, il a entrepris de m'éliminer. C'est ce qui a provoqué la scission. Et je regrette que le système ait soutenu Le Pen lors des élections européennes en 2000, car, si nous l'avions emporté, nous en serions bien plus loin aujourd'hui que ne l'est  le Front national.

Le bilan très contesté des municipalités FN n'a pas non plus aidé...

Dire que la gestion des villes FN a été mauvaise, c'est de la désinformation pure. Si je prends l'exemple de Vitrolles, que je connais le mieux, nous avons réduit l'endettement de 130 millions à 100 millions d'euros en six ans. Dans le même temps, il n'y a pas eu d'augmentation d'impôts. La taxe sur les ordures ménagères a été réduite de 25% et le prix de l'eau de 10%. C'est ce que j'appelle une gestion triple A. Et tout cela en continuant à investir, sans subventions ni du conseil régional ni du conseil général. Quant à la délinquance, elle a baissé de 17% sur la durée du mandat. Une bonne gestion qui a d'ailleurs valu à mon épouse d'être réélue en 2001 ! Même si un recours a ensuite cassé l'élection.

Le vote FN est-il aujourd'hui un vote d'adhésion, comme l'assurent ses dirigeants ?

Il y a une adhésion aux thèses traditionnelles sur la question de la sécurité et de l'immigration, c'est clair. Au delà, je ne le pense pas. Sur la question de l'économie ou celle de l'Europe, le projet du FN manque de crédibilité.

Vous pensez à la sortie de l'euro ? Ou à la retraite à 60 ans ?

Personnellement, je ne suis pas pour la sortie de l'euro. Je considère que la devise européenne devrait être utilisée pour servir les économies de l'Union comme le dollar sert l'économie américaine.  Il faut faire baisser le cours de l'euro d'au moins 30 % et obtenir que la Banque centrale européenne soutiennent financièrement les Etats, comme le font les autres banques centrales. Sur la retraite, je suis partisan d'aller au-delà des 62 ans, en instaurant par exemple un système de retraite par points, avec des départs à la carte dans une fourchette entre 60 et 70 ans.

Marine Le Pen, elle, a développé un discours beaucoup plus étatiste et antilibéral...

Le FN actuel, c'est le discours ancien de Jean-Marie Le Pen réorienté à gauche sur le plan économique. Moi je pense qu'il faut s'intéresser surtout à la situation des classes moyennes. La France, ce n'est pas seulement les classes défavorisées du nord de la France. C'est d'abord une majorité d'artisans, de chefs de petites entreprises, de cadres, de membres des professions libérales qui créent la richesse et qui sont systématiquement pénalisés.

Selon vous, le FN peut-il encore progresser ? Ou est-il arrivé à un plafond ?

Je pense que la configuration politique rend possible l'émergence d'une force alternative au système.

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Bruxelles : un 1er mai solidariste

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vendredi, 25 avril 2014

Le temps des assassins en col blanc

3913186991.jpgAuran Derien

Metamag via Le Journal du Chaos cliquez là

La finance aime les monopoles. Londres avait réussi à installer, la “Londoner City”, la direction du marché mondial. Pas d’or, pas de révolution. Sans ce monopole du commerce mondial et de la finance, entre 1815 et 1914, il n’y aurait pas eu le déclenchement de la 1ère guerre mondiale décrit par Dominique Venner dans un ouvrage édifiant Le siècle de 1914  : « La guerre de 1914 fut l'événement fondateur du XXe siècle. Après avoir tué neuf millions d'hommes, cette guerre liquida les trois empires et les aristocraties qui charpentaient l'Europe ».

La psychopathie des dirigeants de la finance mondialiste s’auto-entretient dans des écoles de commerce où l'on enseigne à chacun la nécessité de tout contrôler, les fournisseurs, les techniques, la communication, les matières premières. Pour ces commerçants, seules les ententes et la répartition des tâches sont importantes ; cela se règle dans les « hauts lieux » à Davos ou autre Bilderberg.

Assassiner la concurrence

Plus ils parlent du libre commerce et de la libre concurrence, plus celle-ci est tuée au profit des monopoles. On sait, grâce aux travaux d’une équipe Suisse, que 40 firmes contrôlent l’économie mondiale. Où est passée la vertu de la concurrence? La violence commerciale augmente d’intensité à chaque nouvel accord : du traité de libre-échange USA-UE au Trans-Pacific Partnership (TPP) entre USA, Australie, Japon, Nouvelle-Zélande et Mexique.. Chacun se prend pour un génie. La concurrence ? Impossible! Il faut  des monopoles! On est plus tranquille. Et beaucoup affirment que ces monopoles sont trop grands pour faire faillite quand le contraire est vrai.

Le monopole du mensonge

L’année 2014 - et celles qui suivent - est vouée à l’expansion de cette politique. Ils veulent imposer en particulier le traité euro-atlantique dont le contenu est un crime contre l’Europe car il prévoit de garantir durant 120 ans des droits d'auteur pour tous les contenus émanant des propagandistes de Hollywood. Ils ne créent rien. Ils pillent la culture mondiale. En pratique, ils font payer des droits de reproduction (et non de création).

Une note autoriserait les monopoles pharmaceutiques à bloquer la circulation de médicaments génériques, et obligerait à semer la graine monsantoide qui stérilisera l’humanité dans deux à trois générations. Les géants de l’énergie veulent aussi vendre et acheter n’importe où sans avoir à respecter les populations qui vivent sur les terres dont ils ont besoin pour leurs négoces.

Surtout, ils cherchent à transformer les fournisseurs d'accès internet en espions, délateurs et censeurs. Voilà le monde prévu pour 2014 et les années suivantes.

Vers la nuit et le brouillard

Cette année certainement, le réajustement des dettes sera organisé. La directrice générale du FMI a déclaré que leurs prévisions allaient être réajustées à la hausse. Cependant, les dettes accumulées dépassent toutes les richesses que l’on puisse créer sur plusieurs années.

Dévaluer toutes les dettes pour recommencer à spéculer, installer un pouvoir hors de contrôle, que chacun se batte contre son voisin pour que le pouvoir soit tranquille : ce programme est déjà réalisé en Europe où la Gréce a pris la direction tournante de l’Union Européenne. Cela ne suffit pas. La nuit qui s’étend sur l’occident n’est pas assez noire. L’oligarchie veut plus et Manuel  Barroso signera la perte de l’Europe, puis il se perdra dans le brouillard, dans le néant.

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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Lisbonne, 25 avril 1974 : la "révolution" qu'il faut mieux oublier...

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Le 25 avril 1974, il y a 40 ans aujourd'hui, un soulèvement militaire orchestré par une poignée d'officiers marxistes, mettait fin à l'Etat nouveau instauré par le professeur Salazar 40 ans plus tôt. En quelques jours le Portugal sombrait dans la guerre civile et dans le chaos. Il mettra des années à s'en remettre.

40 ans après cette pénible période, alors que le pays est au bord de la crise, plus de 40% des Portugais considèrent qu'Antonio de Oliveira Salazar a été le plus grand homme de l'Histoire de leur pays. On comprend mieux pourquoi l'intelligentzia marxisto-mondialiste, pourtant si prompte à fanfaronner sur ses "victoires", se montre plutôt discrète sur cet anniversaire.

Pour mieux connaître cette période de l'histoire portugaise, lisez le livre que Jean-Claude Rolinat a consacré à celui qui fit de son pays une nation moderne : Salazar le regretté...

Salazar le regretté, Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, 2012, 164 pages, 18,00€

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Anne Frank, son martyre et ses produits dérivés : la concurrence est rude !

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La chronique de Philippe Randa

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Peut-on tirer profit de tout ? Comme pour le rire, le débat est vieux comme le monde et les avis divergent. La concurrence aussi !

Ainsi du spectacle – « scandaleux » pour les uns, « porte d’entrée plus authentique » pour d’autres – qui se prépare actuellement à Amsterdam autour d’Anne Franck, icône de la persécution des juifs s’il en est, « symbole d’héroïsme et spectre obsédant des dangers de la discrimination »… Des historiens ont remis en question l’authenticité de son fameux Journal, mais personne, encore, n’avait osé toucher à l’image de cette jeune fille de 16 ans, déportée et disparue avec toute sa famille durant la Deuxième Guerre mondiale (son père fut le seul survivant).

Objet de la polémique : le projet de la société de production Imagine Nation, une entreprise hollandaise de divertissement, d’ouvrir un immense théâtre dans la capitale des Pays-Bas. Un seul spectacle y sera joué, la pièce Anne, retraçant la vie, les épreuves et la mort de l’auteur du plus célèbre des journaux intimes.

L’un des deux créateurs, Kees Abrahams, défend son projet avec une verve et des arguments dignes des meilleurs marchands de tapis du monde : « C’est important que les gens se sentent chez eux, qu’ils passent un bon moment […] Nous avons donc fait construire un grand restaurant, en forme de salon, avec 150 places » ; quant au traiteur, Dennis Borrel, il est, d’après lui, « follement créatif », alors, n’est-ce pas, hein ?

Et puis, surtout, l’endroit sera abondamment pourvu… de toilettes « pour que les spectateurs n’aient pas à faire la queue comme du bétail pour se soulager » ; pour preuve, « [il y aura] 16 cabines de toilettes pour les femmes – trois fois plus que ce qui est requis […] Je pense que c’est crucial », s’enorgueillit l’attentionné maître des lieux.

Pourquoi pas, aussi, des « chambres tout confort, avec eau à tous les étages » ? Non, tout de même pas. Pas pour le moment, en tout cas…

Il faut dire que 1.100 places seront possibles par représentation avec des fauteuils coûtant entre 35 et 70 euros.

Le second créateur de la pièce, Robin de Levita, est, lui, un habitué des spectacles musicaux de Broadway, ayant travaillé précédemment sur les superproductions Chicago et Les Misérables… Heureusement que ce n’était pas pour Singing in the Rain : on imagine ce qu’aurait pu être alors son interprétation très personnelle de la fin d’Anne Frank…

On comprend alors que la nature commerciale de l’entreprise irrite au plus haut point la Maison Anne Frank : « Je ne peux m’empêcher de froncer les sourcils quand je vois un dispositif où sont prévus des verres de vin, des boîtes de snacks, un dîner avec vue, puis une virée nocturne, s’insurge Ronald Leopold, son directeur […] Si ça ne tenait qu’à moi, les choses ne se seraient jamais déroulées de la sorte. »

Indignation justifiée… ou concurrence irritante ? L’édition française du site timesofisrael rappelle toutefois que « le musée a été accusé il y a une vingtaine d’années de tirer profit de l’image d’Anne, en faisant vendre des ballons et des T-shirts lors d’expositions itinérantes ».

On sait, depuis Brel, que dans le port d’Amsterdam, « Ça sent la morue/Jusque dans le cœur des frites »… Certains pourront surtout penser que désormais « Ça sent le hareng/Jusque dans le devoir de mémoire »…

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Ce soir, sur Méridien zéro :

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SOS Racisme contre le réel...

sos racisme 2.jpgUn communiqué du Parti de la France (Calvados) :

SOS Racisme porte plainte (source) contre un journal qui n'a émis aucune opinion, mais qui a juste informé ses lecteurs à propos de l'origine des auteurs des délits selon le type d'infraction.

Il s'agit d'une véritable opération de terreur de la part de SOS Racisme, dans l'unique but d'empêcher d'autres journaux de diffuser ce type d'article à l'avenir.

Il est temps de remettre en cause le statut de cette association, laquelle n'est ni d'utilité publique, ni neutre. SOS Racisme n'est qu'une officine socialiste, il n'y a qu'à voir où finissent ses cadres malgré leurs déboires judiciaires ! Cette officine partisane doit cesser de recevoir des subventions et être financée directement par le PS, ou par ses adhérents ! Les gens de SOS Racisme sont si sûrs d'eux et dominateurs, que leur légitimité doit s'appuyer sur un énorme nombre d'adhérents ! Qu'ils s'auto-financent donc sur les dons et les adhésions !

Mais, quand on est aussi peu connecté au réel que SOS Racisme, mieux vaut taper dans l'argent public en passant par le Système, que d'escompter obtenir volontairement le moindre euro du peuple.

Source cliquez ici

NDLR :Sur SOS Racisme : la campagne menée l'an passé par Synthèse nationale cliquez là

01:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

24 avril 1903 : naissance de José Antonio Primo de Rivera

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A l'occasion de la sortie du livre explosif "Le vrai visage de Manuel Valls", Martial Bild reçoit Emmanuel Ratier...

Le vrai visage de Manuel Valls cliquez ici

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Samedi prochain : Carl Lang à Toulouse

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00:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 24 avril 2014

Marseille, les racailles diminuent encore leurs effectifs : une embellie dans la morosité ambiante !

2655474797.jpgYves Darchicourt

Encore un règlement de compte à Marseille! Pourquoi s'en plaindre ? Assez d'angélisme, ce sont des racailles qui s'entretuent. Et les éliminations sont parfaitement ciblées. Des pros de la truanderie plombent des concurrents et sans dégât collatéraux. En règle générale, l'épuration se passe dans le cadre de l'économie souterraine liée au trafic de stupéfiants, quant aux victimes, ce sont le plus souvent des allogènes "connus des services de police", des truands notoires, des apprentis gangsters ou des taulards en voie de réhabilitation dans leur activité favorite. Ce ne sont certainement pas les honnêtes gens ou les policiers de terrain qui vont regretter leur mise hors d'état de nuire définitive. Dans un pays où il n'y a plus ni peine de mort ni réclusion perpétuelle effective, il n'est pas dommage que les nuisibles s'acharnent à limiter leurs propres effectifs à la kalachnikov.

Depuis le début de l'année, il y a eu 8 canailles envoyées ad patres dans les Bouches du Rhône (dont 6 à Marseille). Il y en avait eu 10 en 2010, 20 en 2011 (dont 13 à Marseille), 24 en 2012 (18 à Marseille) et 20 en 2013. Et ce malgré les sommes considérables investies à fonds perdus dans ces "quartiers" massaliotes qui sont de véritables couveuses à racailles de tous poils, malgré les renforts énormes en hommes et en matériels pour la police et la gendarmerie et surtout malgré les rodomontades ou les coups de menton des politiciens.

Soyons réalistes, le seul moyen vraiment efficace contre la truanderie est le nettoyage par le vide style opérations de police dans les favelas brésiliennes les plus criminogènes. Il ne faut guère y penser dans une France où par choix idéologique les dirigeants n'osent pas s'en prendre aux "droits de l'homme" des criminels désormais menacés du martinet ou chouchoutés prisons trois étoiles, sursis, semi-liberté et remises de peines automatiques. Alors il reste à se réjouir de l'auto-destruction des racailles en Paca ou ailleurs dans l'attente ici ou là d'une "Saint-Valentin" marseillaise genre Chicago 1929 ou même - pourquoi espérer petit - d'une grande "Saint-Barthélémy du mitan" selon la formulation de Michel Audiard.

18:23 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie demain : "Le vrai visage de Emmanuel Valls", le nouveau livre choc signé Emmanuel Ratier

le-vrai-visage-de-manuel-valls.pngEn moins de trois ans, Manuel Valls est passé de l’anonymat (5,6 % lors de primaire socialiste de 2011) à Matignon. L’histoire de Manuel Valls est une espèce de bluff très largement reconstruit.

Issu de la plus haute bourgeoisie catalane par son père et d’une famille suisse enrichie dans le trafic de l’or par sa mère, ce fils d’un célèbre peintre catalan nullement anti-franquiste a grandi dans un milieu huppé, dans une maison située en face de l’île Saint-Louis. Ce qui lui a permis de fréquenter le gratin des beaux-arts mais aussi de la politique. Dès ses 18 ans, alors qu’il n’était même pas encore naturalisé français, il a passé un accord secret, appelé « pacte de Tolbiac », avec deux camarades au très brillant avenir : Stéphane Fouks, aujourd’hui pape des communicants socialistes et responsable du Conseil représentatif des institutions juives de France, et Alain Bauer, ancien Grand Maître du Grand Orient de France et ponte de la sécurité urbaine. Son ascension doit beaucoup à ces deux hommes, avec lesquels il est demeuré étroitement lié.

Le nouveau Premier ministre est aussi l’incarnation même du nouveau Parti socialiste tel que défini par son think tank Terra Nova : un pur apparatchik rompu aux jeux d’appareil, à la fois « boboïsé », social-démocrate modéré en apparence mais surtout haineux vis-à-vis de ses adversaires politiques, prêt à toutes les compromissions avec les milieux sarközystes recentrés, libéral rallié au mondialisme, à l’européisme, au métissage et au multiculturalisme. Ce que d’aucuns pourraient appeler l’« after-socialisme » ou socialisme « à l’eau de rose ». Il est bien évidemment membre du club d’influence Le Siècle, mais aussi du groupe mondialiste de Bilderberg. Semblable aux néo-cons américains, en général venus de l’extrême gauche, il est également un soutien fanatique d’Israël, pays avec lequel il s’est déclaré « éternellement lié ». C’est cet individu qui se voit évidemment trôner en 2017 ou 2024 à la présidence de la République.

Le vrai visage de Emmanuel Valls, Emmanuel Ratier, Facta, 120 pages, 20 €
 
En vente à la Librairie Facta 4, rue de Clichy 75009 Paris

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Ne laissons plus les autres falsifier notre Histoire. Une nouvelle revue pour rétablir la vérité…

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Un entretien avec Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et des Cahiers d’Histoire du nationalisme.

Roland Hélie, depuis 8 ans vous dirigez la revue Synthèse nationale, revue qui est devenue incontournable dans le paysage médiatique national,, et vous lancez maintenant une nouvelle publication, Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?

Synthèse nationale, comme vous le rappelez parfaitement, existe depuis maintenant 8 ans. Le premier numéro étant sorti en octobre 2006. Il s’agit là d’une revue politique qui, à chacune de ses livraisons, nous en sommes au 35e numéro, analyse l’actualité du moment. Or, pour bien comprendre l’actualité, il faut connaître le passé.

Mais il y a dans notre famille d’idées des revues d’Histoire…

Il existe effectivement des revues très bien faites, comme par exemple la Nouvelle Revue d’Histoire lancée par Dominique Venner il y a une dizaine d’années, qui décortiquent l’histoire. Mais aucune n’aborde vraiment, depuis longtemps en tout cas, l’histoire du mouvement national et nationaliste. D’où l’idée que nous avons eu de lancer Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme. Un peuple qui ne connaît pas son Histoire est un peuple condamné… Il en va de même pour une famille politique.

Beaucoup pensent, ou voudraient penser, que la Droite nationale est née comme cela, il y a quelques décennies, telle une génération spontanée, de la conjugaison d’une crise latente et de la volonté de quelques hommes de qualité. En réalité, l’émergence de la Droite nationale (et nationaliste) au début des années 80, que ce soit en France où un peu partout en Europe, est la résultante de toute une histoire, faite de héros et d’événements, de périodes exaltantes et d’autres plus sombres, que beaucoup de militants d’aujourd’hui ignorent, hélas, trop fréquemment.

Quel est votre objectif premier ?

Un militant bien formé et bien informé est un militant qui va plus loin…

Les expériences du passé permettent de mieux comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Celles-ci peuvent être enrichissantes si elles sont bien comprises. Le monde change en permanence, les enjeux évoluent, mais nombre de réalités demeurent constantes. S’il est important de ne pas rester les yeux rivés sur un passé, adulé ou honni, il ne faut pas pour autant rejeter complètement celui-ci.

Nos adversaires, et aussi parfois nos amis, ont une vision manichéenne des choses qui leur interdit d’être objectifs. Notre devoir est de rétablir la vérité, même si celle-ci n’est pas toujours aussi heureuse qu’on le souhaiterait. C’est dans l’intérêt des combats que nous menons actuellement.

C’est dans cet esprit que la revue Synthèse nationale, que nous lançons cette nouvelle publication que vous avez entre vos mains. Elle est destinée à faire connaître, aux militants de la cause nationaliste bien sûr, mais aussi au plus grand nombre de nos compatriotes, les hommes et les femmes, ainsi que les grands faits, qui ont marqués l’histoire, souvent ignorée et trop souvent caricaturée, de notre famille politique.

Comment avez-vous conçu cette revue ?

Régulièrement, à chaque livraison, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme aborderont un thème, qu’il s’agisse de la vie et du combat d’un personnage historique, comme c’est le cas dans le premier numéro qui sort à l’occasion du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, d’une période au cours de laquelle les nationalistes ont joué un rôle important ou encore celle d’un mouvement ou d’une organisation qui a marqué son temps. Bref, ce ne sont pas les thèmes ni les sujets qui manquent...

Ne craignez-vous pas que l’on reproche à cette revue de vouloir faire resurgir les vieux démons du passé ?

Que les choses soient claires dès le début. Il ne s’agit pas pour nous de vouloir « réviser » l’histoire et encore moins de chercher à glorifier un passé qui, avec le recul, peut être discuté. La Droite nationale n’a pas toujours fait les meilleurs choix. Mais doit-on pour autant lui jeter éternellement la pierre et lui faire porter toutes les responsabilités possibles et imaginables. ? Après tout si personne ne dit rien, nos adversaires pourront continuer à raconter n’importe quoi. Et ce sur toutes les périodes au cours desquelles notre famille d’idées à joué un rôle. Ne laissons plus le monopole de notre Histoire aux autres, telle pourrait être la devise de la revue…

Le vingtième anniversaire de la mort de Léon Degrelle a donc été le sujet choisi pour cette première livraison.

Léon Degrelle est un personnage controversé de l’Histoire. La presse aux ordres n’hésite jamais à l’attaquer. Il fut pourtant l’un des acteurs majeurs de la Seconde Guerre mondiale et le fait qu’il réussit à survivre à celle-ci en a fait une cible privilégiée des media.

Pour ce premier numéro, nous avons donc demandé à notre ami Christophe Georgy, le dynamique Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, donc fin connaisseur de cette épopée fantastique que fut la vie du fondateur du rexisme belge, de rassembler les témoignages sur ce personnage mythique qui ne laissait pas insensibles ceux qui, admirateurs ou détracteurs, ont eu l’occasion de l’approcher. Léon Degrelle nous a quitté il y a tout juste 20 ans, le 31 mars 1994 comme vous le rappelez justement. Il nous a semblé utile de rappeler, à travers ces diverses contributions, qui il était, ce que furent ses idées et son combat, ainsi que l’aventure héroïque qui fut la sienne.

Et après ? Quels sont les projets de la revue ?

Et puis, d’autres numéros suivront. La deuxième livraison, prévue pour mai, traitera du nationalisme révolutionnaire de François Duprat, autre personnage mythique du Panthéon nationaliste… Un numéro sera consacré à une aventure peu connue, celle des nationalistes français qui se sont engagés aux côtés des Phalangistes libanais au cours de la guerre civile qui déchira le Liban au milieu des années 70. Un autre numéro, réalisé sous la direction de notre ami Jean-Claude Rolinat, à qui on doit une remarquable biographie du Président portugais Salazar (Salazar le regretté, publié aux Bouquins de Synthèse nationale en février 2012, cliquez ici), sera consacré au Maréchal Mannerheim, chef de la Finlande des années 40, qui mena la vie dure à la sanguinaire Armée soviétique qui tentait d’annexer son pays. Il est en préparation…

Comment comptez-vous diffuser ces Cahiers d’Histoire du Nationalisme ?

Pour pérenniser cette nouvelle collection et pour que vous ne manquiez pas un numéro, nous vous proposons la classiques formule de l’abonnement. Celle-ci, indépendante de l’abonnement à Synthèse nationale cliquez là, vous permettra de recevoir chaque numéro des Cahiers d’Histoire du nationalisme dès leur parution.

Un dernier mot…

Nous en avons tous assez d’entendre l’Histoire du mouvement et des idées nationalistes racontée par les autres, et bien trop souvent par ceux qui sont mal intentionnés à notre encontre qui prennent un malin plaisir à la falsifier. Cette entreprise a pour objectif de rétablir la vérité sur notre Histoire. Il était urgent de la lancer. Aujourd’hui, c’est chose faite. Nous savons que nous pouvons compter sur votre aide et sur votre fidélité pour la continuer…

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13:12 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La réforme territoriale de « Moi Président » n’est pas encore pour demain

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La chronique de Philippe Randa

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Combien étaient-ils ? À nouveau – et cela devient une habitude en France –, impossible d’être certain du nombre, même à la louche. Entre 5.000 et 15.000 selon l’estimation la plus répandue, à défaut d’être la plus précise. Il y avait des bonnets rouges, mais pas seulement. Des chapeaux ronds aussi et des drapeaux. Surtout des drapeaux… C’était le week-end dernier à Nantes. Un « moment historique », assurent les participants.

« L’appel à manifester a été lancé par les collectifs nantais Bretagne réunie et 44 = Breizh, rejoints par le mouvement des bonnets rouges, connu pour son combat contre l’écotaxe, mais qui compte aussi parmi ses revendications la réunification de la Bretagne historique, à cinq départements. “On a donné le coup de pied nécessaire dans la fourmilière pour arriver à ce qu’enfin les questions essentielles pour le peuple breton soient envisagées”, s’est réjoui Christian Troadec, figure de proue des bonnets rouges et maire DVG de Carhaix (Finistère) », a-t-on lu dans Le Figaro. Deux slogans ont été scandés avec conviction : « Bretagne réunifiée, on va y arriver ! » et « Naoned e Breizh » (Nantes en Bretagne).

Ils vont y arriver, sans doute, et pas qu’eux – toutes les régions françaises sont concernées par les projets de réforme territoriale annoncés par François Hollande lors de sa 3e conférence de presse, en janvier dernier –, mais quand ?

Certes, « Moi Président » s’inspire du rapport du Comité pour la réforme des collectivités locales, présidé par Édouard Balladur, et commandé par Nicolas Sarkozy en 2009. Le gain des économies espérées était alors de l’ordre de 600 millions d’euros. Un bon début pour les 50 milliards que doit trouver, coûte que coûte, Manuel Valls.

Mais alors, qu’est-ce qui coince ?

D’abord, l’évidence même ; qui dit moins de régions, dit moins d’élus : d’où le combat désespéré de certains « menacés » d’aller faire don de leur personne sur un marché de l’emploi déjà très encombré.

« La volonté politique est généralement faible de la part des présidents de région, estime Patrick Le Lidec, chargé de recherche au CNRS et spécialiste de la décentralisation. Est-ce que vous avez envie de voir votre poste disparaître ? En cas de fusion, vous avez une chance sur deux de ne plus être le boss. » Empêcher ou tout au moins retarder l’inévitable échéance est devenu leur obsession. Des élus locaux de tous bords ont ainsi créé des collectifs pour mobiliser les citoyens ; et cinq ans après le rapport Balladur, il ne s’est encore rien passé !

Considérant le faible poids des régions, certains ironisent aussi sur le peu de gain budgétaire : pour Claude Gewerc, président socialiste de la région Picardie, « les régions ne pèsent que 2 % de la dépense publique. Où sont les marges de manœuvre économique ? Si c’est là que François Hollande veut faire des économies, il s’est trompé. »

Ensuite, pour chaque région réunie ou agrandie, se pose inévitablement la question de la ville qui en sera la capitale. Pour la Bretagne, Rennes ou Nantes ? Pour la Normandie, Caen ou Rouen ? « Si une ville perd son statut de chef-lieu, les commerçants vont protester parce qu’ils vont perdre des clients, le territoire devient moins attractif », remarque encore Patrick Le Lidec.

Entre médiocres calculs personnels et susceptibilités mal placées, la réforme annoncée par tous les gouvernements, de droite comme de gauche, n’est peut-être pas encore pour demain.

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RAPPEL : samedi 26 avril à Paris...

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10:49 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un bon point à la municipalité de Villers-Cotterêts :

La municipalité FN de Villers-Cotterêts, la petite ville de l'Aisne où mourut le général Dumas en 1806, n'organisera pas de commémoration de l'abolition de l'esclavage le 10 mai comme cela se faisait depuis 2007, a-t-on appris mercredi auprès du maire Franck Briffaut, qui dénonce une "autoculpabilisation permanente".
    
"Je perçois (cette commémoration) comme étant un peu à la mode, dans le cadre d'une autoculpabilisation permanente, d'une culpabilisation systématique, alors que l'esclavage existe encore ailleurs dans le monde, malheureusement", a déclaré Franck Briffaut à l'AFP, expliquant que "la mairie ne l'organisera pas".

07:50 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

Une page consacrée au n°1 des Cahiers d'Histoire du nationalisme sur Léon Degrelle. A lire absolument...

01:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 23 avril 2014

Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

Invité : Maître Nicolas Gardères,

avocat de Serge Ayoub lors de l'"affaire Méric" cliquez ici.

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3137 du 17 avril 2014

 

AUCUN lecteur de RIVAROL n’ignorait que Manuel Valls était un dangereux fêlé. Voici que les cuisiniers de Matignon le découvrent aussi. Valls a, paraît-il, un « régime alimentaire », dixit le Figaro qui raconte qu’« en moins d’une semaine à son poste, le nouveau Premier ministre a déjà rendu fous les cuisiniers de Matignon » : celui-ci n’aime pas le poisson et ne mange « que de la viande rouge ». Manuel Valls est en outre allergique au gluten… Bon courage, camarades cuisiniers !

 

EMOUVANT

 

Plus de deux mois après avoir officiellement mis fin à leur relation, le président a toujours une photographie de lui et de son ex, Valérie Trierweiler, posée sur la cheminée de son bureau. Cette photo représente l’ex-couple, souriant, à Tulle le soir du 6 mai 2012. Alors que toutes les autres photos ont été retirées pas les services de l’Elysée ainsi que les textes faisant référence à elle (vieilles techniques apprises à l’école bolchevique), celle-ci trône toujours sur la cheminée du chef de l’Etat. C’est le Lab d’Europe 1 qui révèle cette importante information. Qu’en pense Julie Gayet ?

 

DUR, DUR, POUR SÉGOLÈNE ROYAL DE TROUVER UN SECRÉTAIRE D’ETAT

 

La nouvelle ministre de l’Ecologie rencontrerait des difficultés pour recruter un secrétaire d’Etat aux Transports, poste rattaché à son ministère. « Personne ne veut bosser avec Ségolène Royal », a déclaré, sous couvert d’anonymat, un proche du gouvernement. Elle a, il est vrai, la réputation d’être parfaitement épouvantable. Ses collaborateurs, ou pour la plupart ex-collaborateurs, de sa Région Poitou-Charentes en savent quelque chose… Sans tomber dans une misogynie que la morale réprouve, force est de constater que beaucoup de femmes qui sont sur le devant de la scène politique, mais aussi dans le monde des affaires, se conduisent comme d’insupportables tyranneaux.

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12:21 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie ce soir sur Radio Courtoisie

index.jpgRoland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, participera ce mercredi soir (entre 19 h 30 21 h) au Libre journal de la Résistance française de Martial Bild sur Radio Courtoisie cliquez ici.

Parmi les invités de la première partie de l'émission, vous pourrez écouter Thierry Frippiat qui nous parlera de la procession du samedi 17 mai pour le 800e anniversaire de Saint Louis cliquez là

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Ukraine-Russie, ce conflit nous concerne-t-il ?

Logo_present.pngTexte de la Tribune libre de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, publiée dans le quotidien Présent cliquez ici du mercredi 16 avril dernier.

Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.

Tout cela nous amène à quelques observations.

D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.

Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, au début, les raisons du soulèvement de l’hiver dernier étaient certainement plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.

En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.

La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté

J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a un an, à Paris, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien. Sans douter un instant de la sincérité de ces gens, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans la reconnaissance par Bruxelles de leur action. Je suis resté sceptique suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que, suite à la révolution, deux de mes interlocuteurs d’alors font désormais parti du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes

Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine.

Celle-ci estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau ». Elle ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».

La Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.

Ne pas se tromper de combat

Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoiqu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?

Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?

Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?

La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.

Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

00:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 11 mai : fête nationale de Jeanne d'Arc

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00:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 22 avril 2014

Thomas Joly à Lyon le samedi 3 mai

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19:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Espagne : l'Inquisition du politiquement correct s'en prend la toponymie !

3577987544.jpgYves Darchicourt

Lorenzo Rodriguez, le maire d'une bourgade castillane de la province de Burgos, a besoin de subventions pour financer des fouilles archéologiques pouvant déboucher sur la mise à jour d'un site susceptible d'être attractif pour les touristes: une éventuelle source de revenus pour le bourg situé sur un axe de pèlerinage à Compostelle.

Il y a cependant un problème qui ne tient pas à la politique d'austérité ! Le village se nomme Castrillo (petit château) "Matajudios" que l'on peut traduire par - horresco referens -  "Tuer les Juifs", médiévale appellation tenant à l'implantation en 1035 d'une juderia qui y prospéra jusqu'en 1492, année de l'expulsion des juifs des royaumes de Castille et d'Aragon. Le nom pourrait avoir été suggéré par des conversos, des juifs convertis devenus (ou soucieux de paraître) plus radicaux que les "vieux chrétiens".

Toujours est-il que la demande de subventions - faite depuis 2009 - reste en attente de décision... qui pourrait être prise après le 25 mai, date d'un referendum organisé par la municipalité - une "initiative" sans doute fortement suggérée - sur un changement du toponyme politiquement incorrect en Castrillo Mota Judios ou Mota de los Judios (colline des juifs). L'alcade s'en défend qui y voit plutôt une démarche faite par des " habitants du village, des hommes d'affaires, qui vont en Israël, qui voyagent et qui évitent dans ce cas de montrer leurs passeports"... et qui dans ce village de 56 électeurs sont on s'en doute fort nombreux.

Bref, on change de nom du patelin ou le dossier de demande de subventions restera sous la pile. Pourtant le résultat est incertain selon le maire lui-même. Déjà en 1966, les habitants avaient refusé de transformer le nom de leur village même pour en faire Castrillo Cabezon, en souvenir d'un illustre enfant du pays, Antonio de Cabezon organiste de Philippe II... il faut dire aussi que "cabezon" signifie "grosse tête" ! Et puis, comme s'en est scandalisé Le Monde "le nom ne suscite au passage pas d'étonnement particulier de la part d'une grande majorité d'Espagnols". Résultat au soir du 25 mai. Les espagnols attachés à leurs traditions historiques aux mépris des convenances idéologiques prieront pour que les habitants de Castrillo Matajudios soient inspirés par Saint Jacques Matamoros !

19:10 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Serge Ayoub s'adresse au nouveau gouvernement !

IMG_0169 -Copier-.JPGSerge Ayoub présente les propositions alternatives des solidaristes face à la politique gouvernementale.

14:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Voix de la Russie de cette semaine :

11:32 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

UN PRIX NOBEL DE LA PAIX TOUJOURS AUSSI VA T-EN GUERRE

images.jpgMichel Dantan

Le nouveau NH cliquez ici

C’est bien la logique de la guerre plutôt que celle de la diplomatie que le Président Obama et de son administration continuent à privilégier pour régler le conflit qui en Syrie oppose depuis trois ans les défenseurs de ce pays martyre aux forces d’une coalition dont les djihadistes constituent le fer de lance. Les récents revers essuyés par les groupes islamistes alliés des USA ont conduit le Président des Etats-Unis à autoriser la livraison de systèmes de missiles de fabrication américaine au mouvement Harakat Hazm, l’une des composantes de l’opposition syrienne. Le Wall Street Journal qui rapporte ces informations, révèle qu’un membre de ce mouvement dit les avoir déjà utilisé. Toujours selon le même journal, ce sont les services de renseignements américains et saoudiens qui pilotent cette opération sur le terrain avec le concours de la Turquie et de la Jordanie. Le Wall Street Journal n’exclut pas le risque de voir un jour ces armes sophistiquées tomber entre les mains d’autres groupes d’opposition à Assad. Mais quelques soient les mains auxquelles ces armes sont destinées, elles ne serviront qu’à repousser le moment où la Syrie pourra enfin commencer à panser ses plaies dés lors qu’un règlement pacifique aura été trouvé entre les syriens eux-mêmes. De toute évidence ce n’est pas ce que souhaitent les Obama, Cameron, Fabius et autres princes va t-en guerre des pétro monarchies. Le Prix Nobel de la Paix se comporte comme si la guerre civile en Syrie n’avait pas provoqué assez de victimes et de destructions, agissant comme si le but à atteindre était de ramener la Syrie à l’âge de pierre, afin d’hypothéquer toute possibilité de redressement de ce pays à l’instar de ce qui s’est produit en Irak et en Lybie où le chaos s’est installé à la faveur de conflits inter communautaires et religieux ressuscités par l’interventionnisme de la « nation indispensable ». Les dictatures y ont certes été évincées mais dans le vide qui leur a succédé, l’anarchie et la terreur se sont installées pour mettre un terme à des dynamiques sociales et économiques que des dirigeants soucieux d’indépendance nationale étaient parvenus à susciter en dissociant le pouvoir politique du pouvoir religieux. Peu lui importe que les chrétiens, les minorités syriennes et la grande majorité du peuple syrien qui aspirent à la paix continuent à payer le prix de ces folies guerrières et criminelles, seul compte aux yeux du prix Nobel de la Paix les intérêts que les oligarchies qui dirigent son pays pensent pouvoir retirer de cette reconfiguration en marche du Grand Moyen orient à laquelle on assiste, et dans laquelle les djihadistes jouent le rôle macabre qui leur a été confié.

07:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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07:30 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |