mercredi, 23 juillet 2014
Jeudi, c'est le jour de Rivarol...
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3150 du 17 juillet 2014
ELIZABETH Badinter est l’épouse de Robert Badinter. Née Bleustein-Blanchet (son père, Marcel, est le fondateur du groupe de publicité Publicis), elle est une femme de lettres, philosophe, féministe et se retrouve à la tête d’une confortable fortune. D’origine juive, défenseur de la laïcité, elle a osé commettre ces propos, il y a quelques jours sur Europe 1 : « Je ne comprends pas que l’on tolère les kippas dans les écoles publiques ».
PAS DE KIPPAS DANS LES ÉCOLES PUBLIQUES !
Et, histoire d’aggraver son cas : « Je ne comprends pas que la mairie de Paris ait subventionné et continue de subventionner les écoles Loubavitch ». Courageuse, inconsciente ou tout simplement suffisamment riche pour n’avoir peur de rien ?
ALERTE ! ET VOICI QUE LE FILS DE TRIERWEILER SE MET LUI AUSSI À TWEETER !
On sait que Louis Sarkozy, le fils de son père, avait dénoncé dans un tweet « l’acharnement » dont l’ex-chef de l’État ferait l’objet de la part de la Justice française. L’adolescent courait au secours de son père, ce qu’on ne peut pas lui reprocher. Et voici que Léonard Trierweiler, le fils de la harpie, s’y met aussi. Dans un tweet adressé à Louis Sarkozy, Léonard Trierweiler a fait savoir à l’autre adolescent : « l’appartenance syndicale n’empêche pas un juge d’être impartial ». Si c’est lui qui le dit… Mais ce n’est pas fini. Alors que le Brésil était humilié par l’Allemagne pour la première demi-finale de la Coupe du monde le 8 juillet, Louis Sarkozy a twitté sur ce désastre à la mi-temps de la rencontre. « Le génocide brésilien ». Léonard Trierweiler a rapidement réagi à ce tweet : « Franchement Sarko-Junior, lâche Twitter et retourne pêcher le mérou ». Pourquoi le mérou ? Louis Sarkozy a récemment publié une photo de lui avec un masque et un harpon prêt pour partir pêcher. Voilà à quoi s’amusent les fils Sarkozy et Trierweiler…
ALERTE ! ET VOICI QUE LE FILS DE FABIUS RÉCIDIVE !
C’est Le Point qui raconte cette histoire. Le fils du ministre des Affaires étrangères fait une nouvelle fois parler de lui à cause de ses démêlés avec les autorités. Mis en cause en 2013 dans une affaire de faux, blanchiment et escroquerie, et mêlé à une affaire de disparition de dette au casino, Thomas Fabius a récemment été interpellé par la police. Selon les informations du Point, l’homme de 32 ans a été arrêté après avoir « forcé un barrage de police et grillé un feu au volant de son Audi cabriolet ». Pris en chasse par la police, il a été interpellé quelques rues plus loin, avant d’être “escorté” au commissariat de l’arrondissement et d’être relâché quelques heures plus tard, sans être placé en garde à vue. Il n’avait évidemment pas manqué de signaler aux policiers qu’il était le fils de son père… Condamné pour abus de confiance en 2011, Thomas Fabius, 32 ans a déjà eu quelques petits problèmes avec la justice. Connu pour être un flambeur, il a été reconnu coupable d’abus de confiance et condamné à payer 15 000 euros d’amende en 2011. L’année dernière, il a également été visé par une information judiciaire portant sur un appartement parisien de plus de 7 millions d’euros qu’il aurait acheté alors qu’il se déclare non-imposable.
BERNARD CAZENEUVE : “UNE FRANCE PEU À PEU NAUSÉEUSE”
Personne évidemment ne connaît Bernard Cazeneuve qui, paraît-il, est ministre de l’Intérieur. Mais il mérite d’être connu. Bernard Cazeneuve hait la France chrétienne. Petit rappel des propos qu’il a livrés, il y a quelques mois, à Famille chrétienne. Pour lui, évoquer les racines chrétiennes de la France, c’est « faire une relecture historique frelatée » qui a « rendu la France peu à peu nauséeuse ». Ce ne serait pas lui qui serait “nauséeux” ?
UN “NÉO-NAZI” AU PARLEMENT EUROPÉEN !
Horresco referens : un “néonazi” siégera au sein de la commission des libertés civiles du Parlement européen. Martin Schulz, le Président du Parlement européen, et des organisations juives s’en étranglent d’indignation. Le supposé “néonazi” n’est autre qu’Udo Voigt, ancien Président du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD), élu député européen. Ça couine évidemment sec dans le Landerneau. La Jewish Telegraphic Agency, relayée par le site de la Licra, n’en peut plus. Voigt aurait tenu des propos élogieux à l’égard d’Adolf Hitler et serait révisionniste. Les phrases définitives n’ont pas tardé à éclore. Moshe Kantor, président du Congrès juif européen a déclaré : « C’est l’ultime insulte aux juifs européens et à l’Union européenne elle-même », intimant l’ordre à l’Europe de « refuser à cet homme de participer aux travaux du comité ».Quant à Stephan Kramer, directeur du American Jewish Committee’s European Office on Anti-Semitism, il déclare : « L’idée qu’un néo-nazi soit un défenseur des droits de l’homme en Europe est écœurante ». Toujours les grands mots…
UNE HISTOIRE DE FOOT
Les Rivaroliens passionnés de football apprécieront cette histoire. Il y a dix jours, John Bieniewicz, 44 ans, qui a une épouse et deux fils, arbitrait un match de football disputé dans la banlieue de Détroit (Michigan). Cet inconscient, tendance suicidaire, adressa un carton rouge (expulsion du jeu) à un des joueurs .Ce dernier, fou de rage, lui asséna un violent coup de poing à la tête. Il en mourut. Baseel Abdul-Amir Saad s’était ensuite enfui en faisant un doigt d’honneur aux spectateurs…
UNE GIGANTESQUE MOSQUÉE À BARCELONE ?
L’information semble confirmée. Une gigantesque mosquée prendrait la place des arènes de Barcelone. Sous réserve de l’approbation de la municipalité et de l’octroi du permis de construire. Le Qatar serait prêt à payer 2,2 milliards d’euros pour le rachat du monument et l’aménagement des 10 000 m2 disponibles. La mosquée pourrait contenir 40 000 places avec un minaret de 300 mètres de haut, une école coranique de 300 étudiants, une salle de conférence, un musée d’art et d’histoire islamique, un centre d’investigation sur l’histoire d’Al-Andalus, une bibliothèque, une salle de célébration des mariages, un restaurant et des locaux commerciaux. Bien implanté en Catalogne via sa fondation Qatar-Catalogne, l’émirat est aussi le sponsor principal de l’équipe de football de Barcelone.
LE ROI, VITE !
C’est Robin de la Roche qui a fait paraître sur le site boulevard Voltaire un article donnant des arguments des plus pertinents en faveur de la monarchie. Il pose la question : Qui sert son pays plus honorablement ? La Reine d’Angleterre qui a donné sa vie entière à son royaume, ou Hollande qui enfonce le pays, le ridiculise à l’international, Sarkozy mis en examen, etc. etc. ? Il estime que la solution pour s’assurer qu’un chef d’Etat ne soit soumis à aucune tentation est qu’il conserve sa position de Chef d’Etat jusqu’à la fin de ses jours. Quant à l’aspect financier, il calcule que la république coûte bien plus cher que la monarchie. Ses arguments sont assez pertinents. Il rappelle que selon un document de l’Assemblée nationale, l’Elysée dispose en 2014 d’un budget de 101,7 millions d’euros. Selon le Conseil Constitutionnel, l’élection présidentielle, à elle seule, coûte plus de 200 millions d’euros au contribuable. Sur 10 ans, la République et son président coûtent donc 1,4 milliard d’euros. Comparons ces chiffres à ceux du Royaume-Uni. Chaque année la reine et son mari se voient allouer un budget de fonctionnement de 30 millions d’euros. La famille royale reverse au Trésor Public environ 200 millions de livres provenant des bénéfices des domaines royaux (des milliers d’hectares), y compris des subventions de Bruxelles au titre de la politique agricole commune ! Coût brut de la couronne britannique sur 10 ans : 390 millions d’euros, c’est à dire moins d’un tiers du coût du Président en France…
BRAVO, ROBERT MÉNARD !
Samedi 5 juillet 2014 : le jour anniversaire des massacres d’Oran de 1961. Robert Ménard, maire de Béziers, s’incline et prononce des paroles émues au pied de la stèle située dans le cimetière de la ville. Une stèle qui fait couiner certains. Elle rend hommage à des héros de l’Organisation de l’armée secrète (OAS) qui furent fusillés pour avoir défendu leur idéal. Quatre hommes que les partisans de l’Algérie française n’oublieront jamais : Albert Dovecar, Claude Piegts, Jean-Marie Bastien-Thiry, organisateur de l’attentat manqué contre De Gaulle au Petit-Clamart, et Roger Degueldre, le fondateur des commandos Delta. Il rappelle : « Je suis né à Oran, mon père a failli être tué ce jour-là. Il y a un déni de réalité sur ce qui s’est passé… Les critiques ? Je m’en contrefiche ». Ce Ménard venu pourtant de la gauche ne manque décidément pas d’un certain courage !
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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Le JT de TV Libertés de mardi soir :
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mardi, 22 juillet 2014
Le nouveau livre de Richard Roudier sur le découpage anti-identitaire de la France
«Monsieur le Président, un gouvernement doit toujours avoir une méthode visible à chacun et celle-ci ne doit jamais paraître de son invention, sinon…
Sinon, il laissera infailliblement la place aux soupçons d’arbitraire ou d’arrangements louches. Ainsi, tout découpage territorial sera forcément suspect s’il n’obéit pas à une méthode vérifiable par tous, y compris jusqu’aux enfants des classes primaires… L’évidence est la vertu d’un découpage territorial ; l’obscurité est son crime, ne le savez-vous pas ?»
Contre la région découpée par François Hollande au mépris de l’Histoire et de la Géographie, Richard Roudier propose un découpage identitaire selon les anciennes aires linguistiques mais corrigé par des aspects fonctionnels…
Richard Roudier – Lettre Ouverte au Président à propos de la réforme des régions, réponse au bazar anti-identitaire – 12€+ 3€ de frais de port – 125 pages
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« IL EST NECESSAIRE QUE LES CASSEURS SOIENT LES PAYEURS ».
Pieter Kerstens
Ainsi s’exprimait le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas, le 7 avril 1970, dans un entretien télévisé face à Pierre Desgraupes.
Une loi du 4 juin 1970, abrogée en 1982 (sous Mitterrand I) fut remplacée le 2 mars 2010 par la loi n° 2010-201 « sur les violences en bande » et renforçant la lutte contre les violences volontaires de groupes et la protection des personnes chargées d’une mission de service public ou de dégradations ou de destructions de bien. Les délinquants sont passibles d’un an de prison et de 15.000€ d’amende.
Cet article est distinct de l’association de malfaiteurs et de celui des délits d’attroupements.
Ce à quoi nous avons assisté depuis 2 mois, lors des matchs concernant l’Algérie lors de la Coupe du Monde, à 4 reprises, ainsi qu’aux manifestations des 13, 14 et 19 juillet, répond parfaitement au cadre de cette loi. Prochaine manifestation à Paris prévue ce mercredi 23/07.
« Ouane, tout, tri : retourne dans ton pays ! ».
Durant les soirées foot-algérien, des dizaines de milliers d’immigrés ont clamé leur attachement à leur terre africaine, en saccageant par plaisir les biens publics et privés, lors de manifestations non autorisées. Combien de condamnations ?
Plus curieusement, les médias n’ont soufflé mot sur le nombre de véhicules brûlés durant la nuit du 14 juillet. Un, deux ? 10, 20 ? Plus de 100 ? Pas de communication de la part des préfectures. Il ne faut pas « stigmatiser »… Mais de Roubaix à Marseille et de Toulouse à Strasbourg, quelques entrefilets dans la presse locale laissent supposer que ces « débordements d’enthousiasme parmi les jeunes » ont été fort nombreux et s’imposent comme une tradition crapuleuse, de la part d’inassimilables.
« A Paris comme à Gaza : Intifada ! »
Orchestrés par le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) du sieur Besancenot, les rassemblements (13/07 et 19/07) en faveur de la Palestine, suscitent réactions, exaspérations, colères et violences urbaines des différentes parties en cause.
Cette situation n’est pas nouvelle et l’importation du désespoir des Palestiniens dans l’Hexagone comme ailleurs en Europe existe depuis plus de 40 ans ! Les Régimes laissent faire et condamnent du bout des lèvres les exactions des uns et des autres. Cette indulgence et cette complaisance conduisent inévitablement à encourager les délits pour lesquels les juges prétextent l’ « excuse », comme nous en sommes les témoins depuis trop longtemps.
De son côté, le militantisme sioniste est dirigé par des groupes de pression politiquement organisé, autoproclamé, qui impose ses intérêts, ses désirs et ses choix, en taxant d’« antisémite » tout ceux qui ne sont pas d’accord avec eux. Ou encore de « Palestine on t’enc..le ! », tel le 13/7.
Certains prétendent que l’Occident doit défendre l’état d’Israël car situé aux avant-postes du Djihad. Quel Occident ? Celui de Washington à Tokyo et de Ryad à Londres ? Celui des banksters de Wall Street et des eurocrates de Bruxelles ? L’Occident du complexe militaro-industriel yankee et des conglomérats du business agro-alimentaires ? Sachons raison garder !
Depuis 40 ans, ni à Paris, ni ailleurs en Europe, aucune organisation juive n’a JAMAIS participé ou soutenu les manifestations ou les meetings publics des nationalistes qui, dès 1973, condamnaient « l’immigration sauvage » cause de l’islamisation de nos quartiers. JAMAIS les sympathisants de l’Etat d’Israël n’ont combattu les politiciens de l’UMPS et la mafia socialo-libéro-écolo-capitaliste aux manettes à Bruxelles, responsables de l’immigration/colonisation des pays européens ! Soyons clairs : ce ne sont pas nos alliés et encore moins nos défenseurs !
La Reconquista de nos villes et de nos villages ne commence pas à Yad Vashem ou devant le mur des lamentations, mais dans les rues de Copenhague ou de Birmingham, à Athènes ou à Barbès. Il faut le dire et punir les élus qui sabotent les valeurs de l’Europe blanche.
14:37 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La stratégie mortifère et « payante » du Hamas...
Jean-Claude Rolinat
A une époque où, dans les médias, l’image domine tout, où l’émotion précède la réflexion, où de nombreuses chaines de télé déversent leurs infos en continu, les Palestiniens de Gaza, au prix de pertes humaines considérables, viennent de gagner la guerre des images.
Des corps d’enfants, d’hommes et de femmes enveloppés dans des linceuls ensanglantés ne peuvent déclencher chez le plus grand nombre que de l’empathie et de la sympathie, voire même des cascades lacrymales, dans tous les cas un puissant sentiment de compassion. Et, pour d’autres, engendrer la haine du juif, en oubliant que les pas de tirs des roquettes s’abattant « maladroitement » sur Israël sont bien souvent situés au cœur des quartiers les plus denses, quand ce n’est pas dans des écoles ou des hôpitaux.
Criminels sont ceux qui utilisent ces lieux, criminels sont ceux qui, le sachant, n’hésitent pas à déclencher le feu de leurs représailles. L’Etat Hébreu en utilisant la stratégie du marteau pilon pour écraser un moustique, démontre plus que jamais que dans une guerre asymétrique, le rapport du faible au fort tourne souvent à l’avantage du premier et lui attire inéluctablement la sympathie du plus grand nombre. Le Hamas sait tout cela parfaitement et son ennemi israélien aussi.
La bande de Gaza aux contours hérités des hasards de la première guerre de 1948, c’est un rectangle de moins de 40 km de long sur une dizaine de large, moins que la superficie de la Principauté d’Andorre où s’entassent un million et demi de Palestiniens « de souche », ou de réfugiés pour le plus grand nombre. Le Hamas et tous ses pseudopodes, malgré le blocus israélien et celui de l’Egypte, ne l’oublions pas, continue de recevoir aides et subsides du camp arabe, particulièrement des pétroliers, qui préfèrent entretenir ce cancer aux portes de l’ennemi sioniste plutôt que devoir gérer chez eux ces réfugiés. Des subsides suffisants pour tenir, pas assez pour vaincre ou développer le pays et en faire un pôle économique viable. Les dirigeants du Hamas, du Djihad islamique ou du Hezbollah au Sud-Liban savent tout cela et, comme leurs homologues de Jérusalem, jouent avec le feu.
La solution, redisons-le, est politique. Elle passe par une reconnaissance réciproque, une définition précise des frontières, la libération d’un quartier de Jérusalem-Est par Israël pour en faire la capitale palestinienne, le règlement de la question des réfugiés. Le Qatar ou l’Arabie Saoudite pourraient bien mettre la main à la poche pour aider leurs « frères » arabes plutôt que d’alimenter la haine des « quartiers » contre la société française à qui les « jeunes » de banlieue doivent tout : logements décents, écoles, gymnases etc…
Tant que les Arabes musulmans refuseront l’évidente permanence d’une présence juive et chrétienne au Proche-Orient d’une part, et que les Israéliens refuseront d’évacuer l’essentiel de la Cisjordanie d’autre part, le conflit s’enlisera pour devenir une nouvelle Guerre de Cent ans. (Et plus….).
Plus que jamais le slogan contenu il y a quelques années en « une » de la revue Synthèse nationale, « Ni Hamas, ni Tsahal ! », est d’actualité.
14:31 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 21 juillet 2014
Troisième Voie face au Conseil d'Etat...
Par Serge Ayoub
Le 9 juillet dernier, les recours en excès de pouvoir pour la dissolution de Troisième Voie, des JNR et d’Envie de Rêver ont été examinés par le Conseil d’État. Pourtant convaincu que la cause était entendue en notre défaveur, tant le Conseil d’État ne s’est pas illustré récemment par son ardeur à défendre les libertés publiques, je me suis néanmoins rendu à l’audience. J’étais en effet curieux d’entendre justifier l’inacceptable et la casuistique du rapporteur public Édouard Crépey. Je rappellerai que dans cette partie d’échecs juridique, le pouvoir est à la fois partie, et juge, puisque le Premier ministre en est officiellement le président. Premier ministre qui fut il y a un an l’instigateur même de ces dissolutions, en tant que ministre de l’intérieur : Valls.
Tout le monde se rappelle en effet de l’affaire Méric. Le 5 juin 2013, une bande de nervis antifas agressent des jeunes patriotes à la sortie d’une vente privée. Malheureusement pour eux leur agression fait long feu, au point que l’un des agresseurs y laisse la vie. La rouerie politique de Valls lui fait alors amalgamer ce fait divers à une violence portée par « l’extrême-droite » et les manifestants anti mariage-gay. Quelques heures après le drame, il nomme, avant même le début de l’enquête, les JNR comme les auteurs de cet « assassinat ». Une condamnation en dehors de toute enquête, instruction et jugement, qui s’effondre dès le lendemain, lorsque les enquêteurs m’entendent et confirment ma version selon laquelle aucun membre des JNR n’est impliqué de près ou de loin dans la rixe. La communication du ministre de l’intérieur Valls est néanmoins lancée : il a promis une dissolution, elle doit avoir lieu. Que de tels procédés politiques n’aient rien à voir avec les principes républicains, mais tout à voir avec ceux des régimes totalitaires ne le gêne absolument pas : quelques jours après la mort de Clément Méric, je reçois la notification de dissolution des JNR, puis de Troisième Voie et enfin d’Envie de Rêver, l’association qui gère le Local. Malgré les sorties à l’emporte-pièce de tout le gouvernement, il est juridiquement impossible de dissoudre quelque association que ce soit au motif qu’un membre réel ou supposé de celle-ci aurait commis un crime ou un délit, ou serait soupçonné de l’avoir fait. La procédure de dissolution accuse donc les JNR, Troisième Voie et Envie de Rêver « d’inciter à la haine et la discrimination en vue de la condition d’immigré (sic) » et d’être une ligue factieuse, ce qui permet de dissoudre par voie autoritaire. On cache la vraie mauvaise raison, derrière la fausse bonne raison. Cette procédure est donc dès son commencement fondée sur un mensonge.
Il faut, pour être une ligue et être dissous comme tel, correspondre à plusieurs critères : revendiquer publiquement son hostilité à la République et à la démocratie, inciter à la haine et à la discrimination, et être une organisation structurée, hiérarchisée et entrainée en vue de la préparation d’un coup d’État.
C’est sur cette définition que commence la partie d’échecs.
Le rapporteur public commence par soutenir que les JNR, qui n’étaient en réalité que le service d’ordre de Troisième Voie, comme il en existe dans tous les partis, syndicats et associations de concerts, étaient en fait une ligue parce qu’ils recevaient leurs ordres de moi. Démonstration éminemment farfelue quand on sait que tous les service d’ordre ont un responsable qui donne les directives. Si l’on poussait la démonstration du rapporteur public à son terme, il faudrait alors dissoudre Sécuritas et bien d’autres… Il appuie, sans crainte du ridicule, sa démonstration sur le physique « patibulaire » des membres des JNR, ainsi que sur la couleur du pantalon, trop noire à son goût, renforcée par celle du blouson, « qui est noire aussi ».
De notre côté, nous avançons que tout service d’ordre ou agent de sécurité porte une tenue spécifique, qui le fait reconnaître de loin et lui assure l’autorité nécessaire dans le cadre de sa mission. En l’occurrence une tenue souvent noire. C’est le cas de beaucoup d’agents de sécurité officiant dans les supermarchés et les parkings. Nous ajoutons que la hiérarchie existe dans toute société et notamment dans les services d’ordres, y compris celui du Parti Socialiste, qui protège Valls lors de ses meetings. Nous nous défendons également de suivre un entrainement groupé, et plus encore de préparer un coup d’État contre la République et la démocratie.
Notre bonne foi et les évidences n’ébranlent pourtant pas le rapporteur public Crépey. C’est acquis, la tenue noire symbolise une allégeance au fascisme, et il n’ y a qu’à regarder les photos des JNR pour voir qu’ils s’entrainent ensemble, sont prêts aux « coups de main » attendent mes ordres… D’où lui vient cette assurance ? Des notes blanches, c’est-à-dire des notes confidentielles rédigées par la DCRI. Des notes non-signées, bien évidemment. On ne peut donc ni savoir qui est responsable de ces propos et même si cette personne existe réellement. Reconnaître la moindre valeur à ces notes de basse police prouve que notre pays glisse vers un État de plus en plus policier.
Faute de démonstration, le rapporteur public gonfle alors artificiellement ses accusations d’éléments contextuels, comme les arrestations d’individus sans liens avérés avec l’organisation. Une grande majorité des noms cités dans cette litanie de faits divers insignifiants m’étaient mêmes inconnus. De surcroît, la quasi-totalité des affaires n’avaient débouchées sur aucune condamnation, ce qui empêche toute vérification des allégations du rapporteur.
Le comble de la mauvaise foi et de la maladresse est atteint lorsque le rapporteur public entreprend de retourner contre moi mes propres déclarations. « Si je reprend les déclarations de monsieur Ayoub, le JNR est le service d’ordre de Troisième Voie et donc fait partie intégrante de ce mouvement. Si c’est le cas, en application de la jurisprudence sur la dissolution du SAC, et au vue des preuves que nous venons d’apporter (sic) nous confirmons le décret de dissolution des JNR en tant que milice et par voie de conséquence du mouvement Troisième Voie dont il est partie intégrante. »
Le rapporteur public Crépey commet pourtant de nombreuses erreurs à travers ces propositions. 1ère erreur : la dissolution de Troisième Voie « par contagion »… de son propre service d’ordre. Plus qu’une erreur, c’est un scandale car cette notion de contagion n’existe pas dans le droit français. De plus, lorsqu’en 1995 la dissolution du DPS, le service d’ordre du Front National, avait été envisagée, il n’avait jamais été question de la dissolution « par contagion » du parti politique de Jean-Marie Le Pen. Seconde erreur, l’évocation de la jurisprudence de la dissolution du SAC, groupement lié au RPR à l’époque. La dissolution du SAC est en effet consécutive au massacre appelé "la tuerie d’Auriol" en juillet 1981. On est bien loin de la rixe accidentelle de Caumartin. Les barbouzeries du SAC, véritable police parallèle dans les années 60 et 70, sont bien loin aussi des activités des JNR ! On ne peut donc évoquer l’exemple de la dissolution du SAC qu’à la décharge du groupement JNR et de l’association Troisième Voie, tant les caractéristiques du premier sont éloignées de celles des seconds. Troisième erreur : le rapporteur évoque la dissolution du SAC, qui n’a pas mené à la moindre menace de dissolution contre le RPR, pour justifier la dissolution « par contagion » de Troisième Voie ! Ainsi, en appliquant comme il le souhaite la jurisprudence de la dissolution du SAC, il n’y a pas lieu de dissoudre Troisième Voie.
J’ajouterai que le rapporteur public a admis que rien, ni dans mes propos ni dans mes actes, ne pouvait relever de l’incitation à la haine ou la discrimination contre les étrangers. Rien non plus dans les pièces justificatives de l’activité de notre mouvement politique et de son service d’ordre. Le rapporteur public n’a pas non plus contesté la sincérité de notre attachement aux principes fondamentaux de la république et de la démocratie, revendiqué à de nombreuses reprises dans nos écrits. S’il ne l’a pas contesté, c’est qu’il l’a donc admis. Si les JNR, partie intégrante de Troisième Voie, n’incitent pas à la haine et n’ont pas pour but de fomenter un coup d’État contre la République et la démocratie qu’ils revendiquent de défendre, alors ils ne sont donc plus une milice. En effet personne ne pourrait croire que des mines jugées patibulaires et des blousons noirs suffisent à définir une milice…
Enfin et surtout, il y a un point fondamental qui mine cette procédure de dissolution contre Troisième Voie et les JNR, depuis le début. La liberté d’association est en effet une liberté fondamentale qui a valeur constitutionnelle. Cette liberté permet à tout citoyen de créer une association comme il le veut, librement et de la dissoudre à sa guise. Ainsi lorsque j’ai dissous pour l’honneur, en bonne et due forme et avant la décision du conseil des ministres, l’association Troisième Voie et son service d’ordre les JNR, la procédure de dissolution administrative a perdue sa raison d’être. On ne fusille pas un mort…
C’est cette thèse que nous avons soutenue et qui a bien embarrassé notre rapporteur public. Il l’a reconnu cette configuration est « nouvelle, intéressante, et embarrassante » pour le gouvernement.
Notre rapporteur public y a répondu avec un argument à sa mesure. Selon lui il ne faut pas tenir compte de cette dissolution volontaire, car tout le monde en profiterait alors pour se dissoudre et éviter ainsi une condamnation pour reconstitution de ligue dissoute. La raison invoquée par Ayoub, l’Honneur, pour expliquer et justifier l’autodissolution, ne serait aux yeux du gouvernement qu’une manœuvre.
Mais comment ce personnage se permet-il de supputer, d’imaginer ? Nous sommes au Conseil d’État, pas chez Thierry Ardisson, seul comptent les faits et aucunement les interprétations sans fondement. J’admets que la notion d’honneur soit si étrangère à nos différents gouvernants qu’elle puisse leur paraître une manœuvre, mais en l’occurrence ce n’est pas le cas. Surtout je rappellerai à ce rapporteur quelques fondamentaux de droits : lorsque la dissolution est volontaire, il n’est en aucun cas question que sa validité soit subordonnée au but poursuivi. C’est pourtant ce que soutient le représentant du gouvernement Edouard Crépey. En effet, pour dissoudre administrativement Troisième Voie et les JNR, il faudrait pour cela invalider la procédure de dissolution volontaire au motif que l’intention de cette dissolution volontaire ne serait qu’une manœuvre et ne serait pas en quelque sorte « sincère ». Autant dire que c’est impossible à prouver. La légalité d’une dissolution volontaire ne peut être affectée par cette perspective, ce qui compte c’est le respect des conditions prévues dans le contrat d’association initial. Si le droit est respecté, il n’y a donc pas la possibilité juridique de dissoudre une seconde fois Troisième Voie. Tel est le cas en l’espèce. De plus, aucun élément des observations présentées par Troisième Voie et les JNR n’accrédite cette thèse. C’est donc une pure affabulation du sieur Crépey. Par suite, les conclusions qui proposent de déclarer nulle et non avenue la dissolution volontaire de Troisième Voie et des JNR doivent être écartées.
Le rapporteur public reconnaît lui-même que la faculté d’autodissoudre son association relève bien d’une liberté fondamentale, puisqu’il propose en réalité de dissoudre Troisième Voie non plus en tant qu’association loi 1901, mais en tant que groupement de fait qui aurait « survécu à l’autodissolution ». Il admet donc que dissoudre administrativement une association déjà dissoute « de son plein gré » est une impasse juridique. Mais il reconnaît aussi que Troisième Voie a cessé toute activité politique depuis son autodissolution, et donc que Troisième Voie n’a pas perduré comme groupement de fait. Il y a tout de même une incohérence de taille à vouloir dissoudre un mouvement en tant que groupement de fait tout en reconnaissant que ce groupement de fait n’a aucune existence réelle.
Défait, le rapporteur public ose alors déclarer que nos observations aussi intéressantes soient-elles ne pouvaient être retenues, car elles émanent de « personnages » comme nous. Je me permet de rappeler à ce bonhomme ce qu’il semble avoir oublié et qui est le B.A.BA en la matière, que le recours pour excès de pouvoir est un recours dirigé contre un acte (in rem) et qu’il ne doit pas prendre en considération la personne du requérant. Le recours n’est pas in personam comme l’est une décision en matière pénale.
Les conclusions du rapporteur violent donc ce principe du contentieux qui ne peut être contesté.
Dans un État de droit, je serais sûr de la victoire, mais aujourd’hui, même au Conseil d’État, on ne peut plus savoir qui sera échec et mat, du gouvernement ou de la démocratie ?
Malheureusement, j’ai mon idée sur l’issue de la délibération qui devrait avoir lieu dans les prochains jours. J’en veux pour preuve les propos hallucinants du rapporteur public au sujet de la dissolution d’Envie de rêver, l’association qui gérait le Local. Le rapporteur lui-même propose en effet l’annulation de cette dissolution au Conseil d’État, tant celle-ci ne tient pas juridiquement, tout en s’excusant du fait que cette annulation « pourrait faire croire à une victoire pour les gens de ces idées-là ». Ce jour-là, au Conseil d’État, sanctuaire théorique de la République, de la démocratie et des libertés publiques, je n’ai vu qu’une casuistique dirigée contre un ennemi politique.
Dont acte.
Source Solidarisme cliquez ici
19:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Saint Jorioz (74) : une fête médiévale gâchée par des nomades !
Pour la troisième année consécutive, la reconstitution d'un marché et d'un campement militaire médiévaux devait avoir lieu samedi et dimanche derniers dans la petite commune de Saint Jorioz sur une rive du lac d'Annecy. Deux belles journées familiales, culturelles et festives permettant aux visiteurs de revivre le quotidien de nos aïeux du XVe siècle, les temps où s'alternaient moments de vie paisible et chaos de la guerre.
Ripailles, danses, commerces, artisanat, tir à l'arc, démonstration de combats et même fracas de bombardes devaient attirer comme chaque année un nombreux public pour ce qui est le plus important évènement estival de la petite commune savoyarde.
C'était hélas sans compter avec l'immigration sauvage et itinérante dans l'Europe passoire qui a permis deux jours avant la fête à une quinzaine de caravanes de "gens du voyage" de venir s'échouer sur le terrain communal devant accueillir les festivités. Et puis rien n'y a fait, les nomades - qui se contrefichent des reconstitutions historiques des pays dans lesquels ils circulent sans y être invités- n'ont rien voulu entendre, le maire désarmé n'a pu que s'adresser au préfet qui n'a pu lui que constater que de toute façon les envahisseurs disposaient d'un délai légal de 24 heures pour décamper à réception de la notification d'un arrêté d'expulsion. Il s'est sans doute trouvé quelques robustes montagnards du coin pour proposer de virer tout ce beau monde manu militari comme cela se serait passé au XVe siècle où d'ailleurs les nomades n'osaient jamais s'installer là où on ne voulait pas d'eux.
La fête n'a pas eu lieu: des mois de préparation gâchés, les bénévoles et les troupes invitées déçus, une perte sèche pour la municipalité... et tout cela parce qu'en France et en Europe on en est venu à considérer que c'est aux peuples sédentaires de souche de s'adapter au style de vie des nomades allogènes et que le "migrant" à tous les droits, y compris celui d'emmerder le monde juste par plaisir.
Décidément on marche sur la tête! Il est grand temps que cela change !
18:11 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
On nous avait assuré "un avenir radieux grâce à la société plurielle"...
Lu dans Le Point.fr cliquez ici :
"Tout à coup, une centaine de casseurs foncent vers l'entrée du métro Barbès. Une rumeur circule. La Ligue de défense juive serait présente. Aux cris de "Allah Akbar", ils s'acharnent à faire céder les grilles. Après quelques minutes, c'est chose faite. Les caméras de vidéosurveillance sont détruites les unes après les autres. Venue pour manifester dans le calme, Sarah, une étudiante de 19 ans, tente de les dissuader. En vain. Un homme s'amuse à faire résonner son Taser. Un autre déplie son couteau. Les CRS pénètrent à leur tour dans le métro. S'engage alors une bagarre d'une rare violence.Les casseurs s'attaquent ensuite à l'hôpital Lariboisière. Les vigiles, trop peu nombreux, battent en retraite. "Vous êtes frappés ou quoi ? C'est un hôpital !" s'époumone un vieil homme. "Un hôpital sioniste", réplique un assaillant. Dans le même laps de temps, des barricades enflammées sont érigées sur le boulevard de Rochechouart, les très nombreuses palettes du marché n'ayant pas été enlevées... Une épaisse fumée noire s'élève dans le ciel. Le trafic du métro est suspendu face au danger provoqué par les flammes. Protégés par la police, les voyageurs évacuent les rames en marchant le long des voies aériennes. La réaction des forces de l'ordre tarde à venir. Elles sont dépassées par la tournure des événements, ce dont profitent les casseurs pour redoubler de violence. "C'est la révolution !" s'exclame un homme arborant un autocollant du NPA.
Sans commentaire...
09:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après les textos de Clément Méric, qu'est-ce qu'Esteban fait encore en prison ?
Communiqué du Parti de la France (Fédération du Calvados) :
Comme on peut le voir sur l'image ci-dessous, diffusée par la presse généraliste, le dernier sms envoyé par Clément Méric avant sa mort est "ils descendent".
Ce sms n'est pas anodin, il est la preuve qu'Esteban et ses amis ont été victimes d'un guet-apens, d'une agression fomentée par Méric et ses amis.
Cet élément est indispensable à la compréhension de "l'affaire Clément Méric", car le sms "ils descendent" place de facto Clément Méric dans le rôle de l'agresseur et Esteban Morillo dans le rôle de l'agressé.
Dans ces conditions, Esteban n'a plus rien à faire en prison, nous demandons donc sa libération immédiate.
09:40 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Moscou, coupable idéal...
Le billet de Patrick Parment
A l’heure même où les Israéliens mènent une énième opération militaire contre les Palestiniens à Gaza, on apprend qu’un avion de la Malaysia Airlines était abattu au-dessus du territoire ukrainien. Aussitôt la presse « occidentale » a accusé la Russie, et donc Vladimir Poutine, d’en être indirectement responsable en raison de son soutien à la résistance prorusse qui sévit dans l’Est de l’Ukraine.
Voici qui ne manque pas de nous laisser perplexe. Pour la bonne raison que l’on ne voit guère l’intérêt de Poutine dans cette affaire, pas plus d’ailleurs que celui des prorusses ukrainiens.
En revanche, plusieurs arguments militent en faveur d’une provocation « occidentale. D’autant que le régime du plus que douteux Piotr Porochenko est entièrement à la botte de toute la clique occidentale et à son désir d’amarrer l’Ukraine à l’Europe comme le souhaitent aussi les Américains. Ce qui est un mauvais calcul et dénote du peu de discernement du pouvoir ukrainien. Passons.
On rappellera également qu’Israël a envoyé des « observateurs » à Kiev au tout début des événements qui ont entraîné la chute de Viktor Ianoukovitch et que ceux-ci ne semblent pas avoir déserté le terrain. D’autant que les Israéliens ont tout lieu d’être actif dans une guerre larvée contre la Russie en raison de son soutien à l’Iran.
Pour les Américains, ce n’est pas leur coup d’essai dans cette région du monde où leurs « services » sont très actifs. Affaiblir la Russie, déstabiliser ses « marches » parce qu’elle n’entend nullement se soumettre à la dollarisation outrancière du monde, telle est la ligne géopolitique américaine.
Hasard du calendrier, Vladimir Poutine était de retour d’une réunion des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) à Fortaleza au Brésil où ces pays ont décidé de se doter d’une banque à hauteur de 100 milliards de dollars (voire plus) afin de se mettre à l’abri des crises du marché financier. En un mot, se protéger des aléas du dollar. Ce qui n’est pas fait pour plaire à Barack Obama, on s’en doute.
Enfin, il y a l’argument technique. Pour atteindre un avion à 10 000 mètres d’altitude, il faut un missile sol-air plutôt sophistiqué. On a cité un missile du type « Buck ». Or, ce genre d’engin nécessite la participation d’une soixantaine de personnes avant de pouvoir appuyer sur le bouton meurtrier. Il ne semble pas que la résistance prorusse soit en mesure d’aligner de tels techniciens. Il semble bien que nous soyons face, une fois de plus, à une provocation « occidentale » afin de discréditer Moscou. Et pour Israël de faire diversion et de minimiser l’opération de nettoyage dans les territoires palestiniens.
00:26 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 20 juillet 2014
Pas de vacance pour le Parti de la France
23:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Anne-Sophie Leclère fait appel...
Soutien à Anne-Sophie Leclère cliquez là
23:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Maurice Bardèche, "Suzanne et le Taudis"...
Source Europe Maxima cliquez ici
« Je rendais grâce au ciel d’avoir fait de moi un cuistre obscur.
Et aussi de m’avoir donné un taudis d’une pièce et demie,
quand la moitié de l’Europe logeait dans des caves. »
1 – Maurice Bardèche et la politique
La production littéraire de Maurice Bardèche ayant trait à la politique, radicale dans son fond et souvent très attrayante dans sa forme, n’est pas le fruit de l’assimilation particulièrement réussie de la pensée d’illustres prédécesseurs maurrassiens, ni même la somme d’un nombre quelconque de réflexions antérieures, forgées à chaud à cette époque désormais révolue où l’expression « presse d’opinion » avait encore un sens. Au contraire, comme le révèle Jacques Bardèche, son propre fils, dans l’entrevue qu’il a bien voulu accorder à nos camarades de M.Z. [l’émission de webradio « Méridien Zéro »; N.D.L.R.E.M.] récemment, Maurice Bardèche a commencé à vraiment s’intéresser à la politique à partir d’un moment historique bien précis : l’exécution de son ami et beau-frère Robert Brasillach, le 6 février 1945. De fil en aiguille, la pensée politique de Bardèche a donc émergé en réaction à un certain nombre d’événements, qu’il juge insupportables : l’exécution sommaire et injustifiée de son ami, les horreurs de l’épuration, le climat d’hypocrisie exacerbée d’après-guerre… Pour autant, jamais la plume de Bardèche n’accouche de propos haineux, contrairement à ce que laisse souvent entendre une certaine littérature engagée à gauche. Bien loin des pamphlets outranciers de Céline, des présages sombres et du pessimisme de Drieu, des intransigeances de Rebatet ou de Coston, la prose de Bardèche invite souvent le lecteur à entrevoir des rivages plus sereins : la recherche d’une forme d’équilibre, de justice, ou tout simplement de common decency, pour reprendre la formule d’Orwell. La pensée de Bardèche, c’est peut-être d’abord l’expression du bon sens appliquée à la politique. C’est un véritable antidote à la langue de bois.
Suzanne et le Taudis s’inscrit parfaitement bien dans cette forme littéraire très particulière, issue d’une radicalité qui ne sacrifie jamais à l’outrance ou à la provocation. Il en résulte un véritable pamphlet dans un gant de velours
23:26 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Zoom sur Casa Pound...
16:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 18 juillet 2014
L’arnaque antiraciste
Jany Leroy
Boulevard Voltaire cliquez là
Comparer Christiane Taubira à un singe vaut 9 mois de prison ferme et 50.000€ d’amende auxquels il convient d’ajouter 30.000€ pour faire les pieds du Front national.
Ou comment passer de la justice à l’inquisition. Le bûcher des temps modernes se manifeste sous la forme de peines de prison ferme pour blasphème à la religion antiraciste.
Plus grave que des actes, la parole devient le crime absolu. Autant dire que l’heure est à la virtualité. Dans ces affaires, inutile de chercher des morts, des blessés, des violés, des battus, des souffrants d’une plaie quelconque, des lésés… Ces préjudices sont relégués au rang d’aimable plaisanterie. Seuls les mots comptent. Le principe de la liberté d’expression condamne clairement l’appel à des actes.
En clair, il est permis de dire sur la place publique que les norvégiens sont des abrutis mais en revanche, il est interdit d’appeler à tabasser des norvégiens. La nuance est importante. Sans elle, sans cette frontière nette et précise, la société sombre dans la subjectivité… Une subjectivité noire qui fait envoyer au peloton d’exécution n’importe quel pékin taxé de… ce qu’on veut. Haineux, fasciste, raciste, homophobe, anti ceci, anti cela. Partant du principe évident que ces notions sont à géométrie variable, la marge de manœuvre du pouvoir est confortable. Où commence la haine ? Réponse : Où on veut !
Toute personne, tout comique se moquant d’une personnalité publique ou d’un peuple ne délivre évidemment pas un message d’amour. Il peut donc être déclaré haineux. Vous critiquez mes prises de position ? Vous êtes donc animé par la haine… Le champ est vaste et la démarche commode.
Aucune loi n’interdit la bêtise. Avec sa comparaison idiote, cette Anne-Sophie Leclère n’a insulté que l’intelligence. Nul doute qu’en d’autres circonstances elle aurait comparé un blond à un épagneul ou un asiatique à un poisson lune. En réalité le problème est ailleurs. Black is beautiful. Là est la clé. Sur Canal Plus ou ailleurs Christine Lagarde peut bien être mise en parallèle avec un lévrier afghan… Il n’y a pas injure, pas de racisme anti blond, anti blanc… La religion l’autorise.
La perversion de cette traque maladive aux phobies diverses et variées réside en sa stérilité qui ne voit que des mots pourchassés, faute d’actes à se mettre sous la dent. La seule agression présentée homophobe durant les manifestations anti mariage pour tous s’est avérée relever d’une délinquance hélas ordinaire qui n’avait rien à voir avec une quelconque hostilité à l’égard d’homosexuels. Là encore les censeurs ont fait chou blanc et ont dû retourner à leur brassage d’air, à leur traque aux propos ou aux images. A ronger leur seul os. Un pauvre machin usé jusqu’à la moelle mais qu’ils continuent de grignoter tant bien que mal. Il n’en restera bientôt plus rien. Le peuple se réveille et constate l’embrouille. L’arnaque est totale.
10:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Manifestation de soutien aux populations du Dombass samedi à Paris
Le Collectif France-Russie appelle à une manifestation de soutien aux populations civiles du Dombass, samedi 19 juillet de 18 h à 20 h devant l'ambassade d'Ukraine, Place de Breteuil (côté avenue de Saxe) à Paris (VIIe).
NDLR : à propos du conflit en Ukraine lire cliquez ici
09:58 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Merci à Taubira !
Président de Terre et peuple
Si elle n’existait pas il faudrait l’inventer car elle nous est fort utile.
Il suffit de regarder Taubira pour comprendre qu’elle porte en elle une haine viscérale. Contre qui ? La réponse est dans l’affaire Anne-Sophie Leclere, cette blonde jeune femme ex-tête de liste FN aux élections municipales, exclue du FN par Marine Le Pen pour avoir eu le tort de faire de l’humour sur le physique de Taubira, comparée à un singe (ce qui est très injuste pour cet animal). L’occasion était trop belle : Taubira a mobilisé contre Anne-Sophie ses séides et congénères du mini-parti guyanais Walwari qu’elle a fondé, avec la complicité active des socialistes, pour justifier son incommensurable arrivisme politique. Ces gens ont donc, sur ordre, intenté un procès à Anne-Sophie et les juges (sic) de Cayenne ont été trop heureux de la condamner à 9 mois de prison ferme et 50 000 euros d’amende (une peine qui ne risque pas de frapper nombre de vrais délinquants…). Une telle décision esr évidemment purement et simplement un acte de vengeance, applaudi par les cloportes habituels (LICRA, SOS-Racisme, etc…), par le parti socialiste… mais aussi par cette droite la plus bête et la plus lâche du monde que sont l’UMP et l’UDI.
Tous ces gens, comme d’habitude, n’ont rien compris au film et c’est tant mieux. Car la décision à motivation raciale des « juges » de Cayenne, très médiatisée en quelques heures, va inciter beaucoup de Blancs, jusqu’alors non politisés, inconscients des enjeux, à se poser des questions. Les bonnes questions.
01:23 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
01:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 17 juillet 2014
La solidarité avec Anne-Sophie Leclère s'organise : un appel d'Entraide Solidarité
François Marie,
Président d'Entraide Solidarité (Réseau Identités)
Non vous ne rêvez pas, la France vient officiellement de réintroduire la lettre de cachet. Anne-Sophie Leclere vient d’en faire les frais : elle a été condamnée hier, le 16 juillet, à 9 mois de prison ferme et 50 000 € d’amende pour avoir diffusé sur un réseau social un cliché peu flatteur pour la garde des Sceaux.
Cette décision est basée sur des critères exclusivement politiques. Ce n’est pas madame Taubira qui dira le contraire. Elle qui n’a eu de cesse depuis sa nomination au ministère de la Justice d’assouplir les lois pour protéger les criminels les plus dangereux, s’est félicité de cette décision. Par un lapsus lors d’une interview elle avouait même que cette décision est une injustice.
Oui, aujourd’hui en France, un montage photo peut vous envoyer en prison dès lors qu’il déplaît à l’un de nos dirigeants. Mais laissez-moi reprendre l’affaire depuis le début :
Il y a quelques semaines, madame Leclere, alors candidate du Front national aux élections municipales, publiait sur sa page Facebook un montage photographique comparant Christiane Taubira à un singe.
Certes, la plaisanterie est de mauvais goût. Ni plus ni moins que les dizaines de caricatures comparant Marine Le Pen à un étron dans des journaux nationaux ou les insultes caractérisées que subissent depuis des années les patriotes sur les plateaux télévisés aux heures de grande écoute.
Toutefois, immédiatement, la presse s’empare de l’affaire et y voit la preuve du retour du racisme, de la xénophobie et même du nazisme en France.
Les politiques ne se privent pas non plus de profiter de cette affaire montée de toutes pièces : rien de tel pour masquer leurs fautes et détourner les Français des vrais problèmes de notre pays qu’une manipulation médiatique.
Un parti politique indépendantiste Guyanais, Walwari, fondé par Christiane Taubira, s’empare sans attendre de l’affaire et se porte partie civile. Anne-Sophie Leclere sera jugé à Cayenne, par un juge membre du très à gauche Syndicat de la Magistrature. Il est évident que ce procès n’est qu’une mascarade.
Mais il y a encore plus grave, hélas.
Car si nos juges s’en donnent à cœur joie sur les Français qui ont le malheur de déplaire à l’intelligentsia au pouvoir, ils se montrent beaucoup plus coulants avec les vrais criminels.
Pour être condamné à neuf mois de prison, dans notre pays, il faut forcer un barrage et blesser sept policiers (Ouest-France, 1er juillet 2014), tabasser sa femme jusqu’à lui briser les côtes et agresser un unijambiste à l’aide d’une massue à pics (L’Observateur du Valenciennois, 9 mai 2011), ou encore tirer des coups de feu sur un passant (L’Observateur du Douaisis, le 29 octobre 2011) ou se livrer à une séance de torture raciste sur un étudiant blanc — agression, séquestration, vol — (Metro, 20 juin 2013).
Est ce que cela ressemble à l’idée que vous vous faites de la justice ? Est-ce que nous pouvons laisser se perpétrer un tel scandale ? La réponse est non et je sais que vous êtes d’accord avec moi. Notre association, qui lutte pour protéger nos compatriotes de ce genre de procès en sorcellerie, a immédiatement réagi. Anne-Sophie Leclere a décidé de se pourvoir en appel et nous serons à ses côtés.
Notre mission est aussi d’alerter nos concitoyens sur la disproportion scandaleuse de ce verdict, alors même que l’affaire était instruite en Guyane pour empêcher la défense d’être présente.
Mais pour mener à bien notre mission, nous avons besoin de votre aide. Nous avons immédiatement alerté nos avocats et nous leur avons demandé de prendre en charge ce dossier. Nous faisons également jouer notre réseau pour mettre cette affaire en lumière : les Français doivent savoir quels jugements iniques sont rendus en leur nom.
Toutefois, nous ne pourrons pas aider Anne-Sophie sans votre aide. Vous avez conscience des sommes colossales qui sont en jeu. Si jamais nous ne lui portons pas secours, cette femme courageuse, tenancière d’un magasin, sera ruinée.
Nous avons besoin de votre don pour offrir à cette compatriote tout le soutien qu’elle mérite face à cette justice aux ordres du pouvoir. Votre aide peut faire toute la différence pour une femme qui est menacée, aujourd’hui, de tout perdre. Je compte sur votre générosité.
Pour aider Anne-Sophie cliquez ici
11:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’effarante condamnation d’Anne-Sophie LECLERE : « selon que vous serez puissant ou misérable… les jugements de Cour vous rendrons blanc ou noir ».
Un communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :
En République socialiste avec Madame Taubira Garde des Sceaux, il ne fait pas bon affronter les tribunaux sans disposer de moyens financiers conséquents pour se défendre.
Dans l’affaire du jugement et de la condamnation à 9 mois de prison ferme de Madame LECLERE il apparaît clairement et scandaleusement que la justice socialiste n’est pas faite pour les Français modestes, que l’égalité des citoyens devant la justice est un mythe et que l’on peut bafouer sans vergogne les droits les plus élémentaires de la défense à commencer par le droit d’être représenté et défendu, ce qui ne fut pas le cas devant le tribunal de Cayenne.
Comment, en effet, Madame LECLERE aurait-elle eu les moyens financiers de se rendre à ses frais en Guyane ou de s’offrir les services d’un avocat alors même qu’elle était lâchée, reniée et livrée à elle-même par le parti politique dont elle avait porté les couleurs et ce, sans préparation politique ni médiatique et sans formation juridique de base ?
SOS Racisme et d’autres peuvent bien se féliciter de l’effarante condamnation d’Anne-Sophie LECLERE : leur justice n’est pas qu’une justice politique et militante, elle est aussi la justice de classe des puissants et des nantis du socialisme contre une citoyenne française isolée, désarmée et sans moyens. Honte à tous ces gens !
01:32 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol...
01:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3149 du 10 juillet 2014
PAUL-MARIE Coûteaux, ancien député européen villiériste, qui rejoignit le Rassemblement Bleu Marine, avant d’en être écarté pour avoir excédé Marine Le Pen à force de lui donner des conseils, analyse. Il constate : « Ça va mal avec Robert Ménard, ça va mal avec Gilbert Collard. Son illusion de rassemblement tombe ; tout comme son illusion d’avoir un groupe en Europe. Et pour les mêmes raisons : son obsession selon laquelle la terre entière est peuplée d’ennemis. Nous avions pourtant fait le pari qu’il était possible de réintégrer, sinon le FN, du moins l’électorat du FN, dans le jeu politique. Je crois malsain d’en écarter 4 ou 5 millions de Français. C’est le pari que j’ai fait, il est raté. Et il est raté à cause d’elle. »
PAUL-MARIE COÛTEAUX ÉVOQUE LES ERREMENTS DE MARINE LE PEN
Mais où est le problème selon Coûteaux ? Réponse : « Marine Le Pen est tout sauf diplomate. Elle ne sait pas avoir des partenaires. Le problème a ressurgi ces derniers temps avec son incapacité à trouver des alliés en Europe. J’avais participé à l’organisation d’un déjeuner avec Nigel Farage, le leader des eurosceptiques britanniques de l’UKIP, l’année dernière. Ça ne s’était pas si mal passé, mais elle a eu la bêtise d’en parler et même de présenter un jour Nigel Farage comme son partenaire pour un futur groupe. Ça l’a braqué et il m’a téléphoné furieux. J’ai fait savoir à Marine que ça n’était pas des procédés. » Et il poursuit : « Elle croit que le monde entier est constitué d’adversaires. Du coup, elle a tendance à penser que le monde extérieur étant constitué d’ennemis, tous ceux qui ne sont pas strictement alignés derrière elle sont potentiellement des adversaires. Elle est prise d’une vieille fièvre obsidionale, l’idée d’être assiégée ». Curieux, on ne s’en était pas rendu compte…
LE HIBOU HALLUCINÉ EST-IL FOU OU COMPLÈTEMENT FOU ?
Voici les puissants propos de Manuel Valls, en visite récemment à l’Institut du monde arabe : « Au-delà des musulmans de France, c’est toute une nation qui reconnaît, ici, la grandeur, la finesse et la diversité de l’islam. C’est toute une nation qui dit aussi que l’islam a toute sa place en France, parce que l’islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieues de ceux qui en détournent et en salissent le message. »
HOMOSEXUALITÉ : UN GUIDE POLITIQUEMENT CORRECT À L’USAGE DES JOURNALISTES
Comment « informer sans discriminer », et « comment traiter les thématiques LGBT avec justesse et dans le respect des personnes ». C’est la grave question que pose l’association des journalistes LGBT qui a publié son guide à l’usage des journalistes afin de leur expliquer la vie et accessoirement le politiquement correct. Hervé Roubaix nous le révèle sur Dreuz.info. Voici un extrait des consignes à suivre sous peine d’être soupçonné d’homophobie : On ne dit pas « Mariage gay », mais tout simplement “mariage”. On n’“avoue” pas son homosexualité, ce qui laisserait entendre une culpabilité. On la “révèle”. Les « familles normales » n’existent plus. Il convient de parler de « familles hétéroparentales ». Il est évidemment interdit de passer sous silence que la Russie a voté une « loi ouvertement homophobe ». Mais il est autorisé de ne pas mentionner qu’au Maroc et en Algérie, l’homosexualité est punie de la prison. Ne pas évoquer les « groupes à risque », svp. On parle de « population exposée ». Quant à “sidéen” ou “sidaïque”, quelle horreur. C’est du Le Pen ! Ce sont des « personnes vivant avec le VIH. » Etc. C’est beau la liberté d’expression !
81 % DES FRANÇAIS FAVORABLES À LA FIN DE LA DOUBLE NATIONALITÉ !
81 % des Français fascistes, nazis, racistes, voilà ce qu’a révélé un sondage en ligne du Point. Le sondage sur la double nationalité a été réalisé en écho à une proposition de Marine Le Pen. Interrogée dimanche lors du « Grand Rendez-vous » (Europe 1, i-Télé, Le Monde) sur les incidents suivant la qualification de l’équipe d’Algérie, la présidente du Front national avait en effet demandé que la France « mette fin à la double nationalité » et « arrête l’immigration ». Et que se passa-t-il ? Le sondage dont les résultats étaient très politiquement incorrects fut derechef retiré du site de l’hebdomadaire. Le directeur du Point, Etienne Gernelle, a répondu lundi 30 juin, en admettant que ce “sondage” était « lamentable et consternant » et qu’il avait « donc évidemment été retiré ».
JULIEN DRAY : “LA 5e COLONNE PORTE UN NOM : LE PEN”
Julien Dray, l’ami de DSK, grand collectionneur de montres des plus dispendieuses, vice-président (PS) de la région Ile-de-France, a dénoncé aujourd’hui la « cinquième colonne » qui « porte un nom : Le Pen », après les déclarations de la présidente du FN au sujet des débordements autour des matches de l’Algérie. Ses propos : « Ce qui est insupportable, c’est que quand effectivement la France va de l’avant, quand il se passe des choses, y compris dans notre relation avec l’Algérie, il y a toujours la cinquième colonne qui sort à ce moment pour, toujours, gâcher la fête. Elle porte un nom : elle s’appelle Le Pen. Et son histoire n’est pas brillante avec l’Algérie ». Dray, né en Algérie, s’est dit « très triste » après l’élimination de l’Algérie par l’Allemagne, rappelant que « son histoire actuelle est mélangée à l’Algérie ». Ça, on l’avait compris. Au fait, connaissez-vous l’origine de l’expression « cinquième colonne » ? J’en avais déjà parlé dans ces colonnes. Petit rappel : lors de la guerre civile espagnole, le général nationaliste Mola converge avec ses troupes sur Madrid avec quatre colonnes de combattants. Il déclara : « Une cinquième colonne est d’ores et déjà sur place », ce qui était évidemment du bluff destiné à déstabiliser l’ennemi républicain…
QUAND LOUIS SARKOZY DÉFEND SON PÈRE…
Le fils de Nicolas Sarkozy, Louis Sarkozy, est parti en guerre sur Twitter contre les internautes qui critiquent son père. Ce qui est au demeurant tout à fait à son honneur. Le jeune homme, âgé de 17 ans, qui se surnomme « Sarko Junior » envoie des tweets tous azimuts pour défendre l’honneur de son géniteur. Oui mais, problème : ses messages sont truffés de fautes d’orthographe. Exemple : Il répond notamment à un certain @Sirinuxx : « Donc il a pris de l’argent de Khadafi, Abus de faiblaisse de Bettencourt, et a fais un traffic d’influence ? Et on l’accuse quand de meurtre? Faut arreter d’etre naive, 6 dossier judiciaire ouver rn moin de deux ans c’est plus qun coup politique ! ». Dur, dur pour un fils d’ex-président de la République d’écrire correctement le français !
L’HUMOUR DE SARKO
On sait que Borloo se remet peu à peu d’une gravissime pneumonie qui aurait pu lui être fatale. Sarkozy, qui a parfois de l’humour, a tenté de lui redresser le moral en lui disant : « Tu te rends compte ? T’as passé cinq ans avec Chirac, t’as pas eu un rhume. Cinq ans avec moi, pas une grippe. Tu passes un an avec Bayrou, on a failli t’arracher un poumon ! »
A PROPOS DES FOUS FURIEUX ISLAMISTES DU SOUDAN
Actuellement réfugiée à l’ambassade américaine de Khartoum, la jeune Soudanaise chrétienne, emprisonnée pour apostasie, a raconté son accouchement en prison à des media britanniques : « J’ai accouché enchaînée. Ce n’étaient pas mes poignets qui portaient des chaînes, mais mes jambes. Je ne pouvais pas écarter les jambes, les femmes ont donc dû m’enlever de la table. Je n’étais pas allongée sur la table. […] Il est arrivé quelque chose au bébé. J’ignore si ma fille pourra marcher ou non à l’avenir. » Sous la pression internationale, sa condamnation à mort avait été annulée le 23 juin. Mais dès le lendemain de sa libération, Meriam avait été arrêtée à l’aéroport, alors qu’elle s’apprêtait à quitter le pays, les autorités soudanaises l’accusant d’avoir présenté un passeport étranger pour quitter le territoire.
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
01:17 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Amina Sboui : la tondue serait bien une fausse victime !
L'exhibitionniste tunisienne Amina Sboui, pseudo réfugiée et lycéenne intermittente entre deux prestations de militantisme "féministe" en habits de nature, a été hier placée en garde à vue pour "dénonciation d'un délit imaginaire" et elle devrait passer en jugement dès octobre prochain.
La drôlesse en mal de notoriété avait prétendu avoir été tirée de vive force de la station de métro "place Clichy", emmenée à l'extérieur et tondue sous la menace des pires outrages par un quarteron de mahométans fanatiques qui lui auraient aussi rasé les sourcils.
Il semble bien désormais que la pauvre bête ait entièrement et fort maladroitement monté l'affaire. Agit-prop, dérèglement mental ou un peu des deux sans doute! En tous les cas, cela devrait être suffisant pour estimer que la Sboui n'a rien à faire chez nous et pour la renvoyer se faire repousser les cheveux sous le soleil tunisien.
01:15 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 15 juillet 2014
« L'EFFACEMENT DU POLITIQUE » DE PIERRE LE VIGAN Un livre indispensable de réflexion pour l'été
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L’Union européenne traverse une crise grave. Le nier et poursuivre une politique de fuite en avant vers l'Est ou le Sud - « plus d’Europe ! » – ne fait qu'accentuer davantage le rejet de l’Europe mais il y a pire : la dépolitisation de l'homme européen.
L'Union européenne s’est bâtie contre les Etats. Elle se veut l'amorce de l'Etat universel rêvé par Kant, la concrétisation du cosmopolitisme politique. Nous le rêvions humain et démocratique, il se révèle technocratique et totalitaire. L’attitude du Parlement européen est typique à cet égard. Une étude de la Diète fédérale allemande a établi récemment que 85 % de nos lois et règlements proviennent désormais de Bruxelles, ce qui vide de sens le principe même de subsidiarité et les délibérations de nos Parlements nationaux. Le mode d'être de la politique est la gouvernance à savoir la gestion des « affaires courantes », l'absence de toute autorité.
C'est ce que Pierre Le Vigan appelle « l'effacement du politique », la dépolitisation du monde. Elle est le règne du droit, la dictature du droit, la république des juges au cœur du grand marché. « Toute société a un droit oral ou écrit », nous rappelle Le Vigan mais « notre société se veut régie par le droit » (p.126). Ce n'est effectivement pas la même chose. Il faut dix ans pour rédiger un règlement ou une directive européenne, dix ans pour la modifier.
La directive, résultat de la réflexion des experts vaut alors force de loi. Le peuple, même par ses représentants, n'est jamais consulté. On comprend, par l'analyse, que Pierre Le Vigan brosse du néo-constitutionnalisme contemporain ce sentiment que nous avons de ne plus pouvoir rien faire au quotidien. Ce sentiment d'absence de liberté n'est pas indépendant du processus de marchandisation extrême qui est à l'œuvre. Il en est au contraire sa logique même. On ne nous prive pas de notre liberté individuelle mais de toute liberté collective. Le pouvoir judiciaire est ainsi la nouvelle religion du temps ( p.136 ), les directives et les décrets arbitraires, le mode quotidien de gouvernement. Cela illustre le passage de la démocratie représentative à la démocratie procédurale, analysée aussi par les argentins Alberto Buela et Luis Maria Bandieri. Le droit est vidé, marchandisé, privatisé. Pierre Le Vigan fait la généalogie de ce processus, de Machiavel et Hobbes à Habermas, et c’est le grand apport de ce livre que de mettre à jour les racines profondes de la dépolitisation de l’Europe.
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lundi, 14 juillet 2014
Jean-Marie Le Pen et les bombardements en Palestine :
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L'écrivain Eric Miné invité mercredi soir au Libre Journal de Martial Bild sur Radio Courtoisie
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dimanche, 13 juillet 2014
Le Journal du Chaos de cette semaine :
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samedi, 12 juillet 2014
14 juillet : les milliers de soldats morts dans les camps vous remercient !
Manuel Gomez
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L’armée du Viêt-Cong défilerait sur les Champs le 14 juillet ?
Il est vrai que le 5 octobre 2013 le Chef de la diplomatie française, Monsieur Fabius déclarait suite à la mort du général Giap : « J’ai appris avec émotion le décès du général GIAP. Ce fut un grand patriote vietnamien, aimé et respecté par tout son peuple pour le rôle éminent et fondateur qu’il a joué dans l’indépendance de son pays. Alors que la France et le Vietnam sont devenus désormais des partenaires stratégiques, je salue aujourd’hui la mémoire d’un homme exceptionnel et présente mes profondes condoléances à sa famille et au peuple vietnamien ».
Qui se souvient encore que le généralissime Giap, Commandant en chef au moment de ces évènements, avait déclaré : « Le but de la guerre c’est l’anéantissement de l’adversaire et pour ce faire il ne saurait y avoir une limite à la violence ».
Ces photos ne proviennent pas de Chelmno, Treblinka, Auschwitz ou Buchenwald mais des camps de prisonniers et d’extermination du Viêt-Cong, sous la haute autorité de Giap. Dans l’un de ces camps, le 113, le Commissaire politique Georges Boudarel français et communiste a torturé et fait torturer puis exécuter 278 soldats français sur les 300 qu’il détenait.
Il a ainsi obéi aux ordres de Jacques Duclos, secrétaire général du Parti communiste (dit français) sur lequel on a saisi, lors de son arrestation, le livre des procès-verbaux des séances secrètes du bureau politique du PC : « Le Parti Communiste doit concourir à la défaite de l’Armée française partout où elle se bat. Travailler pour la défaite de l’armée française au Viêt Nam, en Corée et en Tunisie. Travailler à la désagrégation du Corps expéditionnaire français en Indochine. Nécessité d’une action en masse contre la fabrication et la maintenance des armes et des munitions. Soutenir et aider tous ceux qui agissent effectivement contre le transport et la fabrication du matériel de guerre. (appel au sabotage) »
Malgré ces preuves accablantes la levée de l’immunité parlementaire, réclamée par la justice militaire, est rejetée par l’Assemblée nationale par 302 voix contre 291 le 6 novembre 1953. Sans l’intervention du général Salan, qui a exigé faute de survivant de recevoir les corps, des dizaines de prisonniers seraient restés pourrir dans ces camps de tortures et de lavage de cerveaux. Ils sont partis sous les chants ironiques de leurs tortionnaires : « Adieu… adieu… revenez… revenez… n’oubliez jamais ! Vous êtes autorisés à revenir quand vous le voudrez ».
Extrait d’une lettre prémonitoire écrite en 1952 par le Maréchal De Lattre de Tassigny au général Salan : « Nous avons en face de nous des adversaires qui ne se contentent pas de tuer nos soldats, ils font la guerre aux âmes. Le lavage de cerveau, l’endoctrinement des prisonniers, les manifestes qu’ils font signer aux officiers captifs, sont des choses terribles. C’est une guerre qu’il ne faut pas perdre, sinon le jeu maudit continuera en Tunisie, en Algérie, dans toute l’Afrique et peut-être même un jour en France… ».
Les milliers de soldats et officiers français morts sous les tortures dans les camps de prisonniers du général Giap vous remercient M. Fabius. Ils remercient ce gouvernement.
Non, Dominique Jamet, ce n’est pas la présence de trois anciens combattants qui offusque mais leur présence sous un drapeau pour lequel ils ne se sont pas battus, pour lequel ils ne sont pas morts. Des anciens combattants bardés de médailles françaises il y en a des centaines chez nous, en France (harkis, indochinois) pourquoi aller les chercher ailleurs ?
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Les Carnets de Françoise Stern, un nouveau Roman de Gérard Pince
Françoise Stern, une historienne marxiste, part à la poursuite d’un criminel des guerres de l’ex-Yougoslavie. L’horrible trafic d’organes sur des prisonniers serbes et les souvenirs du génocide ukrainien vont bientôt la rattraper !
Obsédée par la lancinante question juive, comment réagit-elle à de terribles découvertes impliquant ses proches et qui bouleversent ses convictions et le sens de sa vie ?
Comme lors de ses précédents romans, l’auteur greffe une intrigue dramatique sur des événements réels souvent occultés par les médias. Il décrit dans un style lumineux la folle randonnée d’une jeune femme perdue par ses fantasmes.
Les Carnets de Françoise Stern, Gérard Pince, Editions Godefroy de Bouillon, 284 pages, 28 €
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