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mardi, 15 avril 2014

La 2e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale, à Nieppe près de Lille, a remporté un franc succès.

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Public nombreux, beaucoup durent rester debout

pour écouter les discours.

Plus de 150 personnes sont venues dimanche à la Ferme de l'Epinette à Nieppe assister à la 2e journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale. Organisée d'une main de maître par Luc Pécharman et sa sympathique équipe du Nord, cette journée s'est déroulée sans incident majeur malgré les piteuses tentatives d'intimidations (menaces et graffitis signés Antifa) des valets locaux du Système.

De nombreux stands politiques (Terre et peuple, Militant, MAS, Parti de la France, Nation, NDP et Synthèse nationale...), des librairies, un service de restauration rapide et un bar où régnait une ambiance conviviale, de franche camaraderie, qui caractérise les journée de Synthèse nationale.

Cette journée fut l'occasion rêvée pour présenter à nos amis le premier numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme, la nouvelle publication lancée sous l'égide de Synthèse nationale. De nombreux abonnements ont été enregistrés ce qui confirme que cette revue répond à un besoin de la part des militants et sympathisants de la cause nationaliste.

Deux séries d'interventions se succédèrent au cours de l'après-midi. La première, animée par Luc Pécharman, aborda, quelques semaines avant les élections européennes, le thème de l'Europe. Robert Spieler, ancien député, fondateur de la NDP et chroniqueur apprécié de l'hebdomadaire Rivarol, et Kris Roman, responsable des relations extérieures du mouvement belge francophone Nation, intervinrent à ce moment là.

Puis ce fut la seconde série d'interventions au cours de laquelle le public écouta avec attention les discours d'Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et collaborateur régulier de notre revue, Arnaud de Robert, porte parole du Mouvement d'action sociale, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris, venu spécialement de Rome pour l'occasion, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui il revenait de conclure cette belle journée.

Nous reviendrons dans le détail sur cette réunion dans les jours qui viennent.

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Gabriele Adinolfi, au cours de sa brillante intervention

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Robert Spieler, Luc Pécharman et Kris Roman

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Thomas Joly et Roland Hélie

11:45 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Affaire "Bourricot Incompétent" devant le Tribunal Correctionnel de Carcassonne Coupables, mais pas trop… les accusés font appel

CarcassonnePalais.jpgRichard Roudier

Président du

Réseau identités cliquez là

Habitué des prétoires, je n’avais jamais été condamné à une peine autant minime que délirante…200 euros d’amende assorti du sursis, mon prestige en a pris un coup. Certes, il faut relativiser : Josiane Filio et moi n’avons été condamnés à rien, mais nous sommes reconnus quand même un peu coupables… comme dirait l’autre : coupable mais pas trop…

Dès le début de l’audience,  tout le monde sentait qu’un malaise planait au-dessus du Tribunal… Soumis à un oukase du procureur de Paris qui souhaitait que soit actées à Carcassonne les limites de la liberté d’expression, les juges ne savaient pas comment ils allaient concilier l’inconciliable et se débarrasser d’un bâton merd…Pierre Cassen, en greffier “révolutionnaire” ne perdait aucune déclaration et  préparait déjà son prochain papier…

Josiane fut donc invitée à s’expliquer à la barre. Elle contesta l’acte d’accusation, estimant son article ni injurieux ni diffamatoire. Elle précisa qu’elle avait écrit ce texte au lendemain des interdictions successives des manifestations du Réseau-Identités et de Riposte Laïque, décidées de manière arbitraire par le Préfet Boucault  et attaquée pour la première en excès de pouvoir au Tribunal Administratif par le Réseau-Identités. La présidente rappelait à l’ordre Josiane, de manière assez sèche, lui signifiant que le tribunal n’était pas une tribune politique…

Présent dans la salle au moment de la plaidoirie de Me Gardères, je m’étonnais que le substitut du procureur qui avait tant insisté, quelques minutes avant, pour m’entendre alors que j’étais absent, n’en éprouvait soudainement plus le besoin…Accessoirement il demandait une peine de 1500 à 2000 Euros, pour chacun des accusés !

Maitre Gardères prenait ma défense sur le ton de l’humour : « Ce dossier dérisoire me fait penser à une cour de récréation dans la France de 1950. Richard et Bernard se chamaillent, et le premier qualifie le second de « bourricot ». Certes, le jeu de mot est facile. On peut penser qu’il rappelle les heures les plus sombres de son enfance à Bernard Boucault, qui a sans doute souffert plusieurs fois de ce surnom, et en a gardé des traumatismes irréversibles, d’où sa sur-réaction »…

Mais je n’ai pas dit le « bourricot de préfet », j’ai seulement écrit que toute analogie entre Boucault et Bourricot serait fortuite, ce qui est tout à fait différent, d’autant qu’il s’agit d’un propos venant en conclusion d’une fable de la Fontaine intitulée l’âne chargé de reliques. On savait La Fontaine subversif à son époque, mais 3 siècles et demi  plus tard…quelle fraicheur !

Le tribunal a préféré jouer dans « le feutré », mais pour notre camp, cette condamnation est un pétard mouillé même si nous avons bien ri d’un tel grand-écart ; soyons clair, soit l’on est coupable et l’on doit être condamné, soit l’on est innocent et l’on doit être relaxé, c’est ce qu’a évidemment plaidé notre avocat  en demandant la relaxe, avec en prime la condamnation du préfet Boucault à acquitter 2.500 euros de frais de justice.

A Carcassonne, surtout à Carcassonne, la bouteille de Corbières n’est jamais à moitié vide ou à moitié pleine, suivant comment souffle le « Cers ». Certes, il n’y a pas de quoi faire un fromage de cette affaire, mais les principes sont les principes et la liberté d’expression qui est la mère des libertés publiques ne doit pas déroger avec les principes et nous avons décidé, collectivement avec nos partenaires et notre conseil, de faire appel de ce jugement et de donner à cette affaire le lustre qu’elle mérite désormais.

En sortant du palais et en passant sous les murs de la Cité, je pensais à la figure emblématique de Raimond Roger Trencavel, vicomte de Béziers qui s’était levé lors de la croisade des Albigeois pour défendre son pays et ses libertés.

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Libé : un enfumage sans modération de l’Élysée ?

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La chronique de Philippe Randa

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Les plus méchants diront que le quotidien Libération est tellement aux abois qu’il en est réduit à ce titre de une dont on ne sait si elle est plus affligeante que provocatrice, plus stupide que pitoyable : « Droguez-vous avec modération »…

Ils en sont là ! Pour faire parler un « coup » ? Pour vendre une poignée d’exemplaires de plus ? Si au moins le journal annonçait dans la foulée son dépôt de bilan, les responsables – on ne sait plus très bien s’il y a vraiment un directeur ou si c’est un soviet de salariés qui entend dicter ses conditions au baron de Rothschild – pourraient ainsi finir en « beauté », mais non, il ne semble pas que le journal fondé par Jean-Paul Sartre et porté durant la Mitterrandie par Serge July en soit là… même si presque !

Alors ? Pourquoi cette une vantant la libéralisation de la drogue ? Pour rabâcher, encore et toujours, que la « prohibition [ayant échoué], la consommation de masse, addictive, est en pleine croissance », comme François Sergent, directeur adjoint de la rédaction (Ah si ! Il y a une « direction » à Libé !), l’affirme, ajoutant pour tenter tout de même de justifier l’injustifiable que le « climat répressif qui tourne autour des drogues […] empêche tout débat, toute discussion, toute information auprès des usagers [...]. Notamment des plus jeunes et des plus vulnérables… »

Bien évidemment, les réactions ne se sont pas fait attendre, à commencer par celle de Serge Lebigot, président de l’association des « Parents contre la drogue », qui rappelle dans Le Figaro : « Qu’il soit donné acte à notre association, apolitique, d’avoir alerté, tant M. Valls, alors ministre de l’Intérieur, que Mme Touraine, alors ministre de la Santé, sur la folie et l’incohérence de s’acharner à vouloir ouvrir une salle de shoot à Paris, avant sa généralisation en France. Nous n’avons, hélas, pas été écoutés. »

Et de tacler la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDCA, ex-Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie [MILDT]) qui, selon lui, « place sur le même pied d’égalité la dépendance au crack et à l’héroïne et celle aux jeux vidéo, pourquoi pas à l’addiction au café, [cela] en dit long de son nouvel état d’esprit ».

De même, Thomas Sotto, dans sa revue de presse sur Europe 1, fustige la provocation du quotidien passé de la gauche ultra à la gauche faillie, via la gauche caviar : « C’est à se demander ce qu’ils ont pris à Libé  ; [à] aucun moment ils [les journalistes de Libération] ne donnent la parole à un médecin ou un toxicologue qui pourrait mettre cela en perspective. »

À moins que… à moins que le locataire de l’Élysée n’ait simplement dealé avec le quotidien au bord du naufrage pour qu’il relance ce vieux débat polémique ? Les sondages annoncent, en effet, une nouvelle déconfiture du Parti socialiste aux élections européennes, le nouveau gouvernement – copie conforme du précédent – n’incitant pas les électeurs à épargner le parti au poing à la rose, désormais dirigé par Jean-Christophe Cambadélis…

Une façon comme une autre de détourner les esprits de la situation économique, comme l’année dernière la loi sur le mariage pour tous !… Bis repetita desperant ?

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lundi, 14 avril 2014

Élections consulaires du 25 mai : l’enjeu thaïlandais

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Eric Miné

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Les européennes auront lieu le 25 mai prochain et sont porteuses des espoirs que l’on connaît. On le sait moins, cette échéance sera couplée à l’étranger à des « élections consulaires ». À défaut d’être connu, ce nouveau scrutin pourrait bien se révéler exemplaire à bien des égards et contrarier quelques vilaines habitudes. Qu’en est-il au juste ?

Dans le cadre d’une réforme générale de leur représentation, les Français de l’étranger avaient déjà pu élire directement, il y a deux ans, onze députés qui vinrent s’ajouter aux douze sénateurs déjà élus par un collège électoral restreint au sein d’une assemblée spécifique – l’AFE, Assemblée des Français de l’étranger –, chambre jusque-là sous tutelle du ministère des Affaires étrangères et dont la plupart des membres étaient nommés. Fondées sur le nombre d’inscrits dans nos consulats, ces circonscriptions législatives jusque-là inédites ont vu leur bornage souvent très large subdivisé en 130 zones désignant des « conseillers consulaires ». Dotés de pouvoirs délibératifs et grands électeurs au Sénat, ceux-ci seront 443. 83 d’entre eux, élus par leurs pairs, siégeront dans une AFE dès lors issue du suffrage universel.

Du temps où les amiraux portaient haut les couleurs de la France dans le monde, on disait des marins que « leur métier particulier s’exerçant sur tout le globe, il leur ouvrait l’esprit aux idées générales ». Il en va ainsi, aujourd’hui, de nos compatriotes expatriés : l’observation de leur terre natale s’enrichit des enseignements qu’ils acquièrent des sociétés où ils vivent. Et s’il est un pays où les Français en ce domaine s’enrichissent, c’est bien la Thaïlande. En cela, rien d’étonnant.

Pour ceux d’entre nous qui avons fait le choix d’y vivre, n’avons-nous pas été largement poussés dans notre décision par l’attrait d’un pays qui a su préserver ses traditions tout en entrant dans la modernité ? Un pays où l’abord affable de ses habitants et leur art consommé d’un bonheur simple nous changeait heureusement de la grisaille d’une France engluée dans l’abandon de ses valeurs ? Un pays où l’assistanat n’a pas lieu d’être mais où l’État n’empêche personne de travailler ?

Au premier tour de la dernière présidentielle, Marine Le Pen a pu s’y enorgueillir de scores allant sur certains bureaux jusqu’à 35 %. Face au délitement d’une classe politique française déconnectée de toute réalité, quoi de surprenant à ce qu’elle y incarnât aujourd’hui la France et pût y rassembler nos compatriotes dans l’image restaurée de notre nation ?

Aux élections consulaires du 25 mai prochain, la Thaïlande fournira plus de 6.200 des quelque 6.500 électeurs de la nouvelle circonscription « Thaïlande – Birmanie ».

Rompus aux contraintes d’une terre qui n’est pas la leur mais les accueille néanmoins de façon bienveillante, les Français de Thaïlande sont bien éloignés d’une « novlangue » qu’ils méprisent et savent encore ce que le mot « solidarité » signifie. Et ils pourraient bien profiter de l’occasion pour faire fi d’étiquettes partisanes désormais obsolètes, donnant ainsi une leçon de bon sens à la mère patrie. Le choix simple qui leur sera proposé sera celui d’une certaine idée de la France.

NDLR : Eric Miné est candidat aux élections consulaires cliquez là

21:49 Publié dans Eric Miné | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

21:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Voix de la Russie de cette semaine

21:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de Gabriele Adinolfi jeudi soir à Paris :

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21:26 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cristeros : le film caché Les internautes invités à se mobiliser pour que le film soit diffusé dans leur ville

cristeros_affiche.jpgCristeros (Cristiada, For Greater Glory), film mexicain qui retrace l’épisode de la guerre des Cristeros (1926-1929) sortira dans certaines salles en France le 14 mai prochain. Le site internet consacré au film invite les internautes à se manifester pour que ce film très attendu soit programmé dans le plus grand nombre de villes possible.

1926, au Mexique. Le président Calles, un socialiste « humaniste », fait voter des lois portant atteinte au libre exercice du culte catholique. Pour répondre à ces mesures, la Ligue Nationale de Défense de la Liberté Religieuse organise des actions de désobéissance civile. Deux millions de Mexicains signent une pétition demandant l’abolition des lois anticatholiques. Face au refus du pouvoir éclate une insurrection. Des prêtres, parmi lesquels Christopher (Peter O’Toole) sont assassinés par l’armée. A la différence de son épouse Tulita (Eva Longoria), Enrique Gorostieta Velarde (Andy Garcia) n’est pas croyant. Mais pour protéger la liberté de culte, il prend la tête de la rébellion.

Le martyre du jeune José Luis Sanchez del Rio (Mauricio Kuri) permet à Velarde de retrouver la foi. Il remporte de nombreuses victoires. Les négociations entre Rome et le gouvernement mexicain aboutissent en juin 1929 à un accord : les mexicains retrouvent la liberté de culte…

Cette superproduction bénéfice d’un scenario épique, d’excellents acteurs et d’importants moyens permettant une reconstitution très convaincante. Ce film exalte ceux qui combattent pour la liberté du culte catholique. Les rebelles s’appellent « Cristeros » (partisans du Christ). Leur cri de guerre est « Viva Cristo Rey ! » (Vive Christ Roi !). Ce n’est pas un hasard si la révolte des Cristéros évoque inévitablement celle des Chouans.

Réalisé en 2012 par Dean Wright, produit par Pablo Jose Barroso, ce film n’avait pas, jusqu’ici, trouvé de diffuseurs en France. La dénonciation d’un régime socialiste et franc-maçon ne pouvait que déplaire à ceux qui décident de la distribution des films. En effet, s’inspirant de la Révolution de 1789, le socialisme à la française n’a pas renoncé à transformer l’homme en le coupant de ses racines, de sa famille et de sa religion…Heureusement, un diffuseur courageux (Saje prod) vient de relever le défi, afin de transmettre, par le cinéma, les valeurs chrétiennes.

Très attendu, ce film sortira dans certaines salles en France le 14 mai.  Chacun peut, sur le site internet consacré au film, s’inscrire pour voir le film dans sa ville. Une fois sur le site, il suffit de cliquer sur le rectangle « Je veux voir le film près de chez moi ». L’idée est de montrer aux exploitants de salles qu’il y a une forte demande pour Cristeros. Le film sera proposé dans les villes où il y aura le plus d’inscriptions.

Publié sur Breizh.info

16:34 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger, cliquez ICI

16:26 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 13 avril 2014

Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme sont en vente à Paris :

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18:58 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 12 avril 2014

RAPPEL : dimanche 13 avril, 2e Journée régionale de Synthèse nationale à Lille

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Dimanche 13 avril 2014 de 11h00 à 18h00

2e journée régionale Flandre Artois Hainaut

Ferme de l'Epinette - 776 rue de l'Epinette à Nieppe (59)

( A25 Lille/Dunkerque - sortie 9 )

Stands, librairies, mouvements, associations, presse, restauration rapide sur place, bar...ambiance de camaraderie festive et militante. Participation 5€

Interventions de :

Robert Spieler, fondateur de la Nouvelle Droite Populaire, chroniqueur à Rivarol

Luc Pécharman, membre du bureau de la NDP, délégué régional de Synthèse Nationale,

Arnaud de Robert, président du Mouvement d'Action Sociale (réseau MAS)

Arnaud Raffard de Brienne, journaliste et écrivain spécialiste de la désinformation

Hervé Van Laethem, porte-parole du mouvement identitaire de Belgique Francophone Nation (Wallonie)

Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France

Roland Hélie, directeur de Synthèse Nationale

Gabriele Adinolf, président de l'Institut Polaris (Rome)

10:01 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 11 avril 2014

Harlem Désir secrétaire d'Etat : on comprend pourquoi !

1656255761.jpgYves Darchicourt

La courtisanerie dans toute sa splendeur! C'est que vingt ans au bureau national du PS çà vous donne de la souplesse à la colonne vertébrale. Jean-François "Harlem" Désir est bien formé à la gestuelle du politicard professionnel qui sait quand et qui flatter. On croirait une scène de "La Folie des Grandeurs"... sauf que pour Louis de Funès le personnage rampant de don Salluste était un rôle de composition.

Le Désir lui a visiblement l'obséquiosité naturelle, ce qui n'est pas inutile pour un quémandeur ripoublicain : "un petit quelque chose siouplait mon président" Quasiment plié en deux, le regard timidement servile, si appliqué à applaudir l'Illustrissime qu'il ne voit pas que l'Altesse lui tend la pogne Harlem semble tellement ronronner dans le larvaire que même Moscovici lui lance un oeil critique ( photo Le Figaro) Repris de justice (condamné pour un emploi fictif), gros débiteur (amnistié) au Trésor Public, député européen quasi évanescent (50% de présence), nullissime patron du PS qui sous son règne enregistre sa plus grande déculottée électorale aux municipales...Harlem a réussi à rebondir et à se faire exfiltrer au gouvernement comme secrétaire d'Etat aux affaires européennes, recasé peinard dans un bidule inutile. Une sorte de lot de consolation pour services associatifs rendus, un strapontin ministériel pour l' exemplarité dans la France plurielle, une sinécure comme récompense à la servilité.

Cela se passe dans la France ripoublicaine où la courtisanerie et le larbinesque font les ministères au moins autant que le copinage, la protection des frères trois points ou les injonctions des lobbies qui existent plus ou moins. Opération "coup de balai"... vite !

18:33 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sauvons Calais : manifestation interdite par le Préfet !

3962207623.jpegYves Darchicourt

Denis Robin, préfet du Pas de Calais a ce matin interdit la tenue de la manifestation organisée par l'Association "Sauvons Calais" prévue pour demain samedi 13 avril afin de dénoncer une fois de plus l'immigration massive qui défigure la ville. Le prétexte invoqué est le traditionnel "risque de troubles à l'ordre public".

Nul n'est dupe. Le prétexte est fallacieux. D'abord ce ne sont pas les militants et sympathisants de "Sauvons Calais" qui troublent l'ordre public mais les immigrants allogènes clandestins, les idiots utiles qui transgressent les lois pour les aider et les ultra-gauchistes qui les encadrent. Et puis quand on veut maintenir l'ordre on le peut, les robocops de Manuel"Gaz" sont là pour çà et la manifestation aurait pu se dérouler d'autant plus tranquillement que ses détracteurs aboient de loin.

Ancien Préfet de Mayotte, Robin devrait pourtant être au fait des risques majeurs que fait courir l'immigration allogène de masse aux populations souchiennes qui la subissent à leur corps défendant. On ne sait donc pas trop si Robin a obéi aux ordres du gouvernement socialiste immigrationniste, s'il s'est couché devant les menaces des racailles gauchistes et des "jeunes" suburbains ou s'il s'est fait le collabo des idéologues du nouvel ordre mondial pour qui l'immigration de peuplement et le métissage sont des moyens de parvenir à l'éradication des peuples et des nations d'Europe.

Quoi qu'il en soit - petit carriériste, trouillard ou idéologue pernicieux- le Préfet Denis Robin ne sort pas grandi de cette affaire. Donnons lui rendez-vous aux lendemains qui déchanteront pour les collabos de l'invasion migratoire.

Sauvons Calais : cliquez là             

2014 Lille SN.jpgNB : les Calaisiens patriotes et identitaires seront les bienvenus demain de 11h00 à 18h00 à Nieppe près de Lille à la journée régionale de Synthèse Nationale laquelle se tenant en site privé n'a pas de comptes à rendre à un quelconque Préfet.

 

18:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce soir, sur Méridien zéro :

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Méridien zéro RBN Cliquez ici

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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

00:30 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 10 avril 2014

Le Parti de la France a son premier maire dans l'Aisne...

149cfgz.jpgPierre-Marie Verdier, membre du Conseil national du Parti de la France, a été élu maire de sa commune de Besmont (02) sur une liste d'intérêt communal.

P-M Verdier a également été élu délégué communautaire et siégera donc à la Communauté de communes du Pays des Trois Rivières.

20:01 Publié dans Municipales 2014 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une nouvelle publication lancée par Synthèse nationale : "Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme" seront diffusés à partir de la fin de cette semaine...

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Ils sortent à la fin de la semaine.

Merci à ceux, nombreux, qui se sont déjà abonnés...

Encore quelques jours à patienter !

 

RAPPEL : la présentation des Cahiers d'Histoire du Nationalisme :

Ne laissons plus les autres falsifier notre Histoire.

Une nouvelle revue pour rétablir la vérité…

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Un peuple qui ne connaît pas son Histoire est un peuple condamné… Il en va de même pour une famille politique.

Beaucoup pensent, ou voudraient penser, que la Droite nationale est née comme cela, il y a quelques décennies, telle une génération spontanée, de la conjugaison d’une crise latente et de la volonté de quelques hommes de qualité. En réalité, l’émergence de la Droite nationale (et nationaliste) au début des années 80, que ce soit en France où un peu partout en Europe, est la résultante de toute une histoire, faite de héros et d’événements, de périodes exaltantes et d’autres plus sombres, que beaucoup de militants d’aujourd’hui ignorent, hélas, trop fréquemment.

Les expériences du passé permettent de mieux comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Celles-ci peuvent être enrichissantes si elles sont bien comprises. Le monde change en permanence, les enjeux évoluent, mais nombre de réalités demeurent constantes. S’il est important de ne pas rester les yeux rivés sur un passé, adulé ou honni, il ne faut pas pour autant rejeter complètement celui-ci.

Nos adversaires, et aussi parfois nos amis, ont une vision manichéenne des choses qui leur interdit d’être objectifs. Notre devoir est de rétablir la vérité, même si celle-ci n’est pas toujours aussi heureuse qu’on le souhaiterait. C’est dans l’intérêt des combats que nous menons actuellement.

C’est dans cet esprit que la revue Synthèse nationale, que je dirige depuis sa création il y a maintenant 8 ans, a décidé de lancer Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, cette nouvelle publication que vous aurez bientôt entre vos mains. Elle est destinée à faire connaître, aux militants de la cause nationaliste bien sûr, mais aussi au plus grand nombre de nos compatriotes, les hommes et les femmes, ainsi que les grands faits, qui ont marqués l’histoire, souvent ignorée et trop souvent caricaturée, de notre famille politique.

Régulièrement, à chaque livraison, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme aborderont un thème, qu’il s’agisse de la vie et du combat d’un personnage historique, comme c’est le cas dans le premier numéro qui sort à l’occasion du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, d’une période au cours de laquelle les nationalistes ont joué un rôle important ou encore celle d’un mouvement ou d’une organisation qui a marqué son temps. Bref, ce ne sont pas les thèmes ni les sujets qui manquent...

Pour ce premier numéro, nous avons demandé à notre ami Christophe Georgy, le dynamique Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, donc fin connaisseur de cette épopée fantastique que fut la vie du fondateur du rexisme belge, de rassembler les témoignages sur ce personnage mythique qui ne laissait pas insensibles ceux qui, admirateurs ou détracteurs, ont eu l’occasion de l’approcher. Léon Degrelle nous a quitté il y a tout juste 20 ans, le 31 mars 1994. Il nous a semblé utile de rappeler, à travers ces diverses contributions, qui il était, ce que furent ses idées et son combat, ainsi que l’aventure héroïque qui fut la sienne.

Et puis, d’autres numéros suivront. La deuxième livraison, prévue pour mai, traitera du nationalisme révolutionnaire de François Duprat, autre personnage mythique du Panthéon nationaliste… Un autre numéro, consacré au Maréchal Mannerheim, chef de la Finlande des années 40, qui mena la vie dure à la sanguinaire Armée soviétique qui tentait d’annexer son pays, est en préparation…

Une dernière chose : pour pérenniser cette nouvelle collection et pour que vous ne manquiez pas un numéro, nous vous proposons la classiques formule de l’abonnement (voir PJ). Celle-ci, indépendante de l’abonnement à Synthèse nationale, vous permettra de recevoir, à un prix attractif de lancement (95,00 €, franco de port, au lieu de 110,00 €, valable jusqu'au 30 avril), chaque numéros des Cahiers d’Histoire du nationalisme dès leur parution.

Cette entreprise a pour objectif de rétablir la vérité sur notre histoire. Il était urgent de la lancer. Aujourd’hui, c’est chose faite. Nous savons que nous pouvons compter sur votre aide et sur votre fidélité pour la continuer…

Ce 1er volume consacré à Léon Degrelle, réalisé sous la direction de Christophe Georgy, comprend une très bonne biographie, les textes de Francis Bergeron, Pierre Vial, Jean-Yves Dufour, Alexandre Gabriac, Camille Galic, Joël Laloux, Fernand Kaisergruber, Michael Hemday, Armand Gerard, Alberto Torresano, Edwige Thibaud, Henri de Fersan, Yvan Benedetti, Pierre Gillieth et Saint-Loup ; des dessins inédits de Godus, Ignace, Peper et Korbo et un cahier photo...

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Journées internationales et délires onusiens !

268495460.jpegYves Darchicourt

C'était hier 8 avril la "journée internationale des Roms". Encore un de ces bidules dont le terrien de base se contrefiche royalement d'autant plus que ces dédicaces onusiennes ne font que croître et embellir au fil du temps. Il y en aurait à ce jour 340 auxquelles il faut ajouter et surajouter les "années internationales", les "anniversaires d'années internationales" et les "décennies internationales." Une abondante floraison de célébrations soit-disant consacrées pour titiller l'esprit obtus du "citoyen du monde" et pour ce faire d'ailleurs largement pourvues par la pensée unique du nouvel ordre mondial mais offrant aussi des perspectives de réflexion uniques sur des sujets aussi variés que la fête du Novruz, les fonctionnaires portés disparus ou la fistule obstétricale. Toutes occasions de coûteuses délégations dans tous les palaces du monde, de productions d'experts budgétivores, de longues heures de commissions somnolentes, de séances plénières au mieux à moitié vides d'excellences rémunérées sur la base du salaire horaire d'un roi nègre, de raouts et de pince-fesse byzantins...en communion permanente avec toutes les victimes de tous les maux possibles et imaginables du monde.

On a ainsi depuis juillet dernier et pour l'éternité la "journée mondiale des toilettes" grâce à la résolution 67/291 adoptée par l'Assemblée Générale de l'ONU qui a fait du 19 novembre le jour béni des vatères, la journaille des goguenots, les 24 heures des cagoinces ! Il paraît que c'est justifié parce que plus d'un milliard de nos contemporains défèquent en plein air à travers le monde et que 2 milliards et demi ne disposent pas de toilettes dignes de ce nom... et que tout cela a des conséquences dramatiques en matière de santé, dignité, sécurité, environnement, développement social et économique. L'Apocalypse programmée par manque de tinettes en quelque sorte! On imagine la dignité de la docte assemblée qui s'est penchée sur le problème du manque d'inodores, les envolées lyriques sur la pénurie de privés, les trémolos sur le rationnement en matière de tartisses. Les chiottes au firmament des délires onusiens. WC de tous les pays unissez-vous ! Et personne n'a relevé que le problème n'était pas tant la rareté des cabinets en certains pays qui n'en avaient jamais eu beaucoup d'ailleurs que les conséquences en la matière de leur population désormais pléthorique. Bref, en ce domaine comme en tant d'autres, le devenir de l'homo sapiens sapiens est plombé par ses propres surnuméraires. A quand la journée mondiale de la lutte contre la surpopulation ?

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2014 : 800e ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE SAINT LOUIS !

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Une date à retenir. En savoir plus, cliquez là

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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mercredi, 09 avril 2014

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3135 du 3 avril 2014

 

HÉNIN-BEAUMONT : tout ça pour ça ? Lundi 24 mars 2014, sur RTL, le futur maire FN de Hénin-Beaumont, Steve Briois, dont Caroline Fourest dit dans une tribune libre au Huffington Post du 25 mars qu’il est gay, a déclaré : « Je ne vois pas pourquoi les couples homosexuels ne pourraient pas être mariés. Vous savez à Hénin-Beaumont comme ailleurs, les couples seront mariés, parce que c’est la loi, et là aussi je respecterai la loi ». Si c’est pour faire la même politique que les autres et appliquer des lois gravement immorales, à quoi cela sert-il de voter FN ?

 

STEEVE BRIOIS N’EST PAS SEUL

 

D’après Le Figaro, Robin Reda, 22 ans, étudiant à Sciences po, militant à l’UMP depuis l’âge de 15 ans et responsable départemental des Jeunes Populaires, élu maire UMP de Juvisy-sur-Orge confesse qu’il « n’aime pas trop faire traîner les choses ». Samedi, aussitôt désigné maire par le conseil municipal, il doit marier un “couple” homosexuel. Ça sera son premier acte de maire. Sa crainte dans la vie ? « Devenir un vieux con »… Et les jeunes cons, en a-t-il entendu parler ?

 

“MINUTE” DEVANT LES TRIBUNAUX

 

Il n’y a pas que RIVAROL à subir la répression du Système. Notre confrère Minute avait commis en juillet 2012 un numéro, dont la une élégante était : « Mariage homo : bientôt ils vont pouvoir s’enfiler… la bague au doigt ». Les titres s’étalaient sur fond de photo de deux hommes de dos, vêtus seulement de sous-vêtements en cuir lors d’une « gay pride », tenant le drapeau arc-en-ciel des militants LGBT. Du coup, l’association SOS-Homophobie s’est émue et a déposé plainte pour injure et provocation à la haine devant le tribunal correctionnel de Paris. Un article de Minute s’interrogeait dans le registre légèrement zoophile : « Et pourquoi pas Médor ou le chat du voisin ? ». L’avocat du lobby estime, horreur, que Minute associe les homosexuels aux pratiques zoophiles. Et puis, l’avocat estime quant au sida que « les homosexuels sont présentés comme des éléments pathogènes », réclamant des « dommages et intérêts exemplaires ». Curieusement, la représentante du parquet estime que si cette une est « choquante et utilise un terme particulièrement grossier », l’assimiler à une injure à toute la communauté gay est « un saut intellectuel ». « Faire référence à la sodomie, qui est une pratique absolument pas réservée à la communauté homosexuelle, ne la stigmatise pas globalement ». Quant à la référence aux animaux à propos de la filiation, dans le déroulé de l’article « dire qu’elle prête à la communauté homosexuelle des tendances zoophiles est une extrapolation de mauvaise foi ». Le seul point litigieux pour le procureur serait la phrase : « Sida : malgré les risques ils vont vous donner leur sang », qui accuserait la communauté homosexuelle toute entière. Me Frédéric Pichon, l’avocat en défense, reconnaît « un titre provocateur et aguicheur, gras, évidemment pour attirer le chaland » et évoque la « liberté d’expression ».

 

CECILIA, EX-SARKOZY, POIGNARDE NICOLAS

 

On aime ou on n’aime pas Nicolas Sarkozy (on ne l’aime pas). Mais le comportement de son ex-épouse, Cécilia, et de son mari Richard Attias a été parfaitement ignoble lors du Salon du livre de Paris, où Le Petit journal de Canal+ avait déployé ses caméras mercredi 26 mars, suscitant même la stupeur de Yann Barthès, le journaliste du Petit Journal. Alors que le journaliste Edwy Plenel, qui dirige le site d’informations Mediapart, est en pleine séance de dédicaces, deux personnes se permettent de l’interrompre pour venir le “saluer” et le “féliciter”. Il s’agit de Cecilia ex-Sarkozy et de son mari Richard Attias. « Elle félicite l’homme qui est à l’origine des principales affaires de Nicolas Sarkozy, qui n’est autre (Nicolas Sarkozy) que le père d’un de ses enfants », s’étonne fort justement Yann Barthès. Edwy Plenel, trotskiste acharné, haïssant Nicolas Sarkozy, a publié de nombreux articles concernant « l’affaire Kadhafi, l’affaire Karachi, l’affaire des écoutes de Sarkozy, l’affaire Bettencourt », visant à déstabiliser l’ancien Président de la République. Le président de Mediapart avait déclaré récemment au sujet de Sarkozy : « Si nous pouvons prouver qu’un seul euro a été volé dans une campagne électorale […] eh bien oui, il faut la prison ». Le 17 mars, Edwy Plenel était sur le plateau de France 2 pour évoquer cette affaire. Une intervention qui a ravi Richard Attias. « Vous étiez très bon à Mots Croisés » a glissé ce dernier à Edwy Plenel au Salon du Livre devant les caméras du Petit Journal. Quel monde dégénéré !

 

IL PORTE UN POLO MANIF POUR TOUS ? EXCLU DU BUREAU DE VOTE !

 

Bruno, 54 ans, avait l’incroyable prétention d’aller voter dans un bureau du centre-ville de Toulouse lors du premier tour des élections municipales, affublé d’un polo représentant les silhouettes d’un homme et d’une femme tenant deux enfants par la main. Un acte d’une provocation inouïe, reconnaissons-le. Refus du président du bureau de vote, Pierre Vanicat, le président du bureau de vote n°20, dans le centre de la ville rose qui l’a empêché de voter pour « port ostensible d’un signe politique ». Ce dernier lui a demandé de se changer s’il voulait voter. Ce qu’il a fait. Plusieurs votants se déclarèrent choqués par cette « entrave à la liberté de penser et de voter », à ce « déni de démocratie ». La scène a été filmée par son épouse et mise sur Youtube. Bruno a voulu faire consigner l’incident au PV des opérations de vote mais aucun des délégués de droite du bureau de vote, vers qui il s’était tourné, n’a accepté sa requête. Des minables ! Bruno, qui ne s’attendait pas du tout « à une telle réaction », se « réserve le droit de porter plainte », après vérification de ce qu’il estime être un « abus d’interprétation du droit ». Juristes et avocats sont à l’œuvre pour faire avérer cette liberté prise avec le code électoral. Un autre avocat a également été saisi pour un cas similaire concernant Emmanuel, un habitant de Limoges. « Refuser l’accès au vote à quelqu’un dont le seul fait, passif qui plus est, est de défendre la famille, c’est ahurissant et tellement symbolique de l’idéologie ambiante mortifère qui comprime la France… », réagit un autre citoyen du même bureau de vote toulousain. D’autant que le code électoral, s’il interdit d’arborer un slogan ou le symbole d’un parti politique dans un bureau de vote, ne sanctionne absolument pas ce type de situation ou d’attitude. Bref, encore un excès de zèle caractéristique de la tyrannie socialiste que nous subissons.

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ELLE CRACHE SUR LA MANIF POUR TOUS : POURQUOI NKM NE POUVAIT PAS GAGNER

 

Le 12e, arrondissement clé pour la conquête de Paris, a été le théâtre d’un épisode ahurissant dans la campagne de la droite parisienne. Episode qui a définitivement convaincu l’électorat de la Manif pour tous de ne plus apporter ses voix à NKM dans la capitale. Dès l’annonce des résultats du premier tour, Nathalie Kosciusko-Morizet fait le calcul qu’il lui faut gagner les électeurs centristes du 12e arrondissement. Franck Margain, vice-président du Parti chrétien-démocrate très proche de la Manif pour tous, était prévu en 4e position. Exit Franck Margain, qui a fait toute la campagne auprès de NKM et se retrouve donc éliminé à 40 minutes du dépôt des listes au profit d’un vague centriste. Fureur du PCD (Parti Chrétien-Démocrate, parti associé à l’UMP) dont le président Jean-Frédéric Poisson dénonce une décision “humiliante” de NKM. Un communiqué rageur a « appelé à faire battre la liste de Madame Montandon dans le 12e arrondissement de Paris et à ne pas soutenir les listes de Madame Kosciucko-Morizet dimanche prochain ». Cricri (Christine Boutin), ex-présidente du PCD et membre active de la Manif, s’est déchaînée sur Twitter appelant à virer NKM. Exit NKM…

 

MÉNARD REFUSE DE SE LAISSER EMBRIGADER

 

Robert Ménard, candidat soutenu par le FN à Béziers, a réfuté l’étiquette de candidat frontiste. A l’issue du premier tour, Marine Le Pen avait quelque peu fanfaronné en proclamant : « Béziers, c’est déjà gagné pour nous ! », ce qui n’a pas franchement fait plaisir à Robert Ménard qui refuse l’étiquette, déclarant : « Il y a combien de gens du FN sur ma liste ? Six. Je vous rappelle qu’il y a quatre partis qui me soutiennent : le FN, Debout la République, le Rassemblement pour la France, le Mouvement pour la France. Or les trois quarts des membres de ma liste n’appartiennent à aucun de ces partis ! Si je gagne, ce sera une victoire des Biterrois. » Ménard est quelque peu énervé : « Elle dit ce qu’elle veut ! », ajoutant : « Je ne suis pas membre du Front national, je ne suis pas membre du Rassemblement Bleu Marine ! Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise de plus ? ».

 

LES PIEDS-NICKELÉS À NÎMES

 

On s’amuse quand même de temps en temps en démocratie. Cette histoire est incroyable. La liste d’union du PS avec le Front de gauche n’a pas été déposée à temps à la préfecture. La gauche avait donc au second tour deux listes dans la préfecture du Gard dans une quadrangulaire. Les socialistes, après avoir longuement négocié une liste commune au second tour avec le Front de gauche, ont tout simplement… oublié de la déposer à temps à la préfecture de Nîmes mardi avant 18 heures ! Un amusant gag ! On n’avait jamais vu un couac pareil dans une grande ville. Et tout ceci était le résultat ubuesque d’heures et d’heures de palabres et de tergiversations pour les places réciproques des uns et des autres, mais aussi d’un joli cafouillage dans les documents administratifs nécessaires au dépôt. Il paraît qu’au moment d’enregistrer la liste en préfecture, les deux protagonistes ne retrouvaient pas le document ! Voyant la tournure des événements, le Front de gauche nîmois décidait alors prudemment de reconduire son équipe du premier tour cinq minutes avant l’heure légale et le PS se voyait contraint de faire de même, non sans avoir tenté, en vain, de faire acter la liste commune après l’heure légale. Las, la Préfecture avait fermé ses portes. Inutile de relever que la Droite et le FN ont bien ri… En attendant, les socialistes nîmois subissent les quolibets : « Amateurisme, irresponsabilité, grand n’importe quoi » Au second tour la liste socialiste de Françoise Dumas est arrivée quatrième avec 13,94 %, très loin derrière le candidat UMP qui a été réélu. Le FN a fini second avec près de 25 % des voix et le Front de gauche troisième. Une véritable humiliation pour les socialistes locaux.

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Québec : COUILLARD SUCCEDE AU PQ...

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Le bloc-notes

de Jean-Claude Rolinat

Non, ce n’est pas le titre d’une nouvelle histoire belge, – que nos frères Wallons ou Flamands nous pardonnent -, mais le titre, en résumé, d’un épisode électoral que vient de vivre ce dimanche 6 courant la « Belle Province »….

Une raclée. C’est une raclée identique à celle que vient de subir le PS lors des municipales qui vient d’être infligée par le leader du Parti libéral Québécois, Philippe Couillard, au PQ de Madame Pauline Marois qui vient d’être renvoyée dans ses foyers. Pourtant  Madame le Premier ministre du Québec avait consulté les sondages et anticipé une victoire possible pour son parti souverainiste de gauche. Mal inspirée comme un certain Jacques Chirac en son temps, elle procéda à une dissolution de l’Assemblée Nationale avant le terme de son mandat. Mal lui en a pris, avec seulement 30 élus, elle vient de perdre la majorité face au Parti libéral qui remporte 70 sièges et la petite Coalition pour l’Avenir du Québec 5 députés. Le souverainisme, semble-t-il ,ne fait plus recette. Les adversaires du Parti Québécois affichaient eux, des couleurs plus terre à terre, plus pragmatiques : « on s’occupe de vos  problèmes », tel était le slogan qui s’inscrivait sur leurs banderoles. Le souverainisme ne fait plus  recette en période de crise. Les  Canadiens de la province du Québec qui se prennent parfois à rêver qu’ils sont « un pays », gardent en ces temps de crise les pieds sur terre. Francophones, anglophones, autochtones, immigrants fraichement naturalisés – notamment Haïtiens !- n’arrêtent pas d’une consultation à  l’autre de jouer au ping pong avec les deux grandes formations du spectre politique provincial. Un mal « démocratique », qui n’est pas spécifiquement français, qui s’appelle l’alternative et  qui n’a rien à voir avec une grande alternance. Il n’empêche, plus le temps passe, plus on s’éloigne de la belle idée de donner un Etat indépendant à la dernière nation « française » d’Amérique du Nord. (Les Acadiens sont trop peu nombreux pour y prétendre, quant aux cajuns des bayous de Louisiane, ils ne sont plus, hélas, que des survivants d’une espèce en voie d’extinction). Les anglo-saxons au pouvoir à Ottawa peuvent se réjouir, l’espérance soulevée au début des années quatre-vingt par un certain René Levesque est en train, lentement, d’agoniser. Quand on voit que des micro-Etats siègent aux Nations Unies – Monaco, Andorre, Kiribati, Seychelles et autre République de Nauru -, on peut s’étonner qu’un peuple de sept millions d’âmes n’y ait pas sa place. Le nationalisme québécois à la sauce d’un Duplessis ou d’un Daniel Johnson, (Union Nationale de jadis), de droite, est-il mort ?

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La Terre est plate, les vaches sont carnivores : interdit de rire !

Photo 003.jpgPieter Kerstens

Galileo Galilei, chercheur, astronome et physicien italien, trouva les lois de la chute des corps, énonça le principe de l’inertie et la loi de composition des vitesses. A l’aube du XVIIe siècle il réalisa la lunette qui porte son nom et observa la rotation du Soleil. En 1633, devant le tribunal de l’Inquisition il fut obligé d’abjurer sa doctrine. « Et pourtant, elle se meut ! » aurait-il dit en désignant la Terre.

Face aux dogmes, contre l’idéologie dominante, opposé au sectarisme, il avait raison.

Plus près de nous, la cupidité des groupes agro-alimentaires et l’inextinguible soif de pouvoir des mondialistes ont déclenché la crise de la « vache folle » à cause du virus de l’ESB qui transforma les bovins herbivores placides, en carnivores enragés, nourris de multiples résidus d’origine animale. Ceci au prétexte de subvenir aux besoins des consommateurs de la planète Terre et à l’encontre des lois millénaires de dame Nature, malgré les rares mises en garde des généticiens informés. La première des sources d’émanation de CO2 sur la planète sont les animaux de boucherie et non pas l’automobile. Et si chaque chinois consommait 1kg de viande supplémentaire par mois, la planète deviendrait-elle irrespirable ?

De nos jours, non seulement il est interdit de dire, mais plus encore de rire. Et comble de l’absurde, il est interdit de penser ! Le Régime empêche quiconque de contester ou d’exprimer sa différence, de croire ou même d’imaginer. Il frappe de ses foudres ceux qui n’acceptent pas les « valeurs et les lois de la République » surtout quand ils s’affichent de droite, résolument chrétiens et fiers d’être blancs. Pour les autres, « issus de la diversité », militants gauchistes ou laïcistes invétérés, Femen hystériques ou judéophiles patentés, on verra plus tard…

Le 24 juillet 2013, pour justifier l’interdiction de mouvements nationalistes, Manuel Valls a reproché à certains d’entre eux de « rendre hommage régulièrement au maréchal Pétain, à Robert Brasillach ou à Charles Maurras ». Le Pouvoir ne sanctionne plus des faits, il s’en prend aux pensées et aux admirations qu’il décrète « interdites », sous la pression et l’œil vigilant des lobbies juifs. Le comble du crétinisme viscéral et invétéré est atteint lorsque les laquais du Nouvel Ordre Mondial interdisent a priori les spectacles d’un comique franco-camerounais, qu’ils avaient eux-mêmes encouragé, propulsé et encensé quand celui-ci s’attaquait aux opposants nationalistes dans les années 90’. La marionnette a échappé à ses manipulateurs pour dénoncer les turpitudes et les contradictions du Pouvoir.

Mais ne nous égarons pas : s’il est vrai que les libertés fondamentales (opinion, presse, réunion et expression) doivent être défendues, il en va tout autrement pour ce qui est d’assister aux spectacles et acheter des produits estampillés « Dieudo ». Ses ananas et sa quenelle s’adressent essentiellement à ceux qui pourrissent notre quotidien et peuplent les banlieues classées en Z.S.P. Ses diatribes satiriques, cyniques et comiques heurtent et massacrent autant notre civilisation européenne et notre culture gréco-latine que les critiques acerbes contre le Régime que nous combattons. Il est trop tôt pour savoir s’il est « l’ennemi de nos ennemis » et connaître les réelles intentions politiques de ce bateleur sans racines et pourfendeur de nos valeurs ancestrales. Mais qu’il soit désigné comme étant le Diable, Satan, Belzébuth, le Malin, le Démon ou Lucifer, serait le signe qu’il rejoindra sans doute le club des réprouvés.

Comme Dieudonné M’Bala M’Bala l’a confirmé souvent, sa vision est « à la fois française et universaliste, autrement dit, francophone et multiethnique ».  Autant savoir …

NB : Quand tu habites dans une cité, tu sais ce que veut dire Hollande quand il parle des « souffrances liées à la colonisation ».

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14:39 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charia au Brunei : la note de l’ambassade

8081-20140409.jpgCaroline Parmentier

Présent cliquez ici

Présent s’est procuré la note datée du 7 avril, émise par l’ambassade de France au Brunei et signée de l’ambassadeur Jean-Yves Berthault, qui préconise à tous les ressortissants français de s’adapter radicalement à la loi islamique applicable à compter du 22 avril dans le Sultanat. Le richissime pays impose le code pénal islamique. Une décision qui s’inscrit dans la suite logique de la radicalisation du sultan. « Il sera d’autant plus important d’y veiller », précise l’ambassade non sans inquiétude, que « nombre d’actions parfaitement innocentes pour les occidentaux » sont « désormais criminelles ».

Première mesure : la « décence » selon la charia. L’ambassade de France demande aux femmes de « redoubler de prudence en matière d’habillement » :

« Les dames veilleront à privilégier les vêtements amples, à porter des manches longues et des robes ou jupes au-dessous du genou. Les maillots deux pièces sont désormais à exclure. (…) Le travestissement devient répréhensible (attention aux bals costumés !) (sic). Les interprétations pourraient être à craindre, en particulier sur le port des pantalons pour les femmes. »

Deuxième mesure : les mœurs. « Il conviendra désormais de bannir le baiser sur la joue pour saluer le sexe opposé. Les relations, même amicales, entre un homme et une femme brunéienne risquent désormais d’engendrer des conséquences imprévisibles et pénalement redoutables. Les relations homosexuelles sont désormais considérées comme un crime, avec la flagellation comme châtiment. »

Troisième mesure : l’interdiction de l’alcool. « Nos compatriotes doivent être conscients que l’ivresse publique ainsi que la consommation d’alcool en public seront durement châtiées et ils devront veiller à ne pas consommer d’alcool, même en privé, en compagnie de musulmans. En aucun cas ils ne doivent leur fournir de l’alcool. »

Quatrième mesure : la religion. « Il devient indispensable de se garder avec les brunéiens musulmans de toute conversation sur la religion. Tout propos pouvant être considéré soit comme insultant pour l’islam, soit comme une promotion d’une autre religion, peut désormais être criminalisé. Là aussi, dénonciations et interprétations arbitraires peuvent être à craindre. »

Le sultanat de Brunei est le premier pays d’Asie du Sud-Est à introduire la charia. « Avec l’entrée en vigueur de cette législation, nous remplissons notre devoir envers Allah », a déclaré le sultan Hassanal Bolkiah, un des hommes les plus fortunés au monde, connu pour ses voitures de luxe et ses harems. Les habitants, qui sont un peu plus de 400 000, sont musulmans aux deux tiers, avec une forte présence bouddhiste (13 %) et chrétienne (10 %). Dans le discours officiel, le nouveau code pénal islamique ne devait concerner que les seuls musulmans. On voit que l’ambassade de France sait ce qu’il en est réellement.

Caroline Parmentier et Emmanuel Ratier

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RAPPEL : Lille, dimanche 13 avril, Gabriele Adinolfi sera à la 2e Journée régionale Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale

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BANLIEUE : LA MACHINE SANS COMPTEUR... Des milliards engloutis dans une politique inefficace ?

banlieue_couv.jpgMichel Lhomme

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L'été approche mais l’arrivée constante de clandestins mettra à nouveau, dans quelques mois, la politique d’hébergement d’urgence au pied du mur. En Seine-Saint-Denis, il y avait 7 000 sans-papiers recensés au 31 juillet 2011 et, un an plus tard, 1 000 de plus, soit une progression de 15 %. Par la Libye désormais incontrôlée mais aussi par la Macédoine et la Grèce, on parle d’une arrivée de 300 réfugiés par jour. La France ayant signé tous les accords européens sur la question ne peut les expulser. 

Alors Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault avait demandé à Cécile Duflot, à l'époque ministre du logement, de demander aux officines administratives en charge du problème de gérer au mieux et le plus efficacement cet afflux supplémentaire. On réquisitionne donc de nouveaux lieux d’hébergement vite pleins et qui commencent à atteindre leurs limites. Alors on a commencé à placer certains réfugiés en grande banlieue ou à la campagne. 

Mais que se passait-il jusque là ? Principalement un hébergement provisoire : un hôtel à 70 euros la nuit, solution tue par les hôteliers qui y trouvent effectivement leur compte. L’hébergement d’urgence représente 20 à 30 % des chambres louées dans la région Ile-de-France ! Cela coûterait annuellement la coquette somme de 410 millions d’euros. Mais les caisses se vidant, Cécile Duflot, avant sa démission, avait réclamé un plan d’urgence supplémentaire de 50 millions d’euros.

Malika Sorel dans Le puzzle de l’intégration (Editions Mille et une nuits -2007) mettait déjà en garde «sur l’utilisation de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbain». Mandaté par Nicolas Sarkozy, Arno Klarsfeld avait préconisé d’orienter « les demandeurs d’asile où il y a de la place, dans l’Yonne ou la Creuse par exemple ». Ce déplacement de population immigrée des villes de banlieue à la campagne a bien été entamé sous la mandature Sarkozy lorsqu’il était Président de la République et déjà, auparavant en tant que Ministre de l’Intérieur. L’application forcée du melting-pot américain sur un territoire comme celui de la France se heurtera rapidement, quoiqu'on fasse, à une limite géographique mais aussi à une limite budgétaire par l’asphyxie des finances locales, des mairies et des régions. Depuis trois décennies, les budgets affectés à la “politique de la ville” n’ont jamais connu la crise. Alors que l’armée doit renoncer cette année à 5,5 milliards d’euros de commandes, le budget affecté aux quartiers va augmenter, lui, de plus d’un demi-milliard. Le schéma hugolien appliqué aux banlieues est aussi à discuter. Si, dans ces quartiers, il y a assurément des fins de mois difficiles, c’est aussi dans ces mêmes quartiers que se déroulent les trafics illicites les plus rentables (drogues, métaux), générant une économie souterraine florissante que veulent ignorer les chiffres officiels. D'après les forces de police, circulent dans certaines cités, plus de voitures de luxe que dans les arrondissements parisiens réputés aisés. Depuis que François Mitterrand avait créé le ministère de la Ville, en y nommant notamment Bernard Tapie (1992-1993), des milliards se sont déversés en priorité sur ces quartiers « défavorisés », des stades de foot, des gymnases, des piscines et des médiathèques, équipements coûteux, souvent dégradés, les premiers à brûler à la moindre émeute, avant d’être aussitôt reconstruits. En trente ans, les sommes mobilisées sont pharaoniques : 50 milliards d’euros de 1989 à 2002 selon la Cour des comptes. A cela s’ajoute la loi Borloo (42,6 milliards d’investissement pour la période 2004-2012) et les 150 000 emplois d’avenir de 2013 qui seront essentiellement localisés en banlieue. Une machine sans compteur. 

Pour la Cour des comptes, « ces politiques de la ville terriblement dispendieuses n’atteignent jamais leurs objectifs ». En France comme aux Etats-Unis, la pauvreté n’explique pas tout. Selon le géographe Christophe Guilluy, auteur de l’indispensable Fractures françaises (Editions François Bourin) « 85 % des ménages pauvres n’habitent pas dans les quartiers sensibles » ! En fait, dans ces quartiers se déversent anarchiquement, depuis des années, les flux migratoires continus. Non maîtrisés, ce sont ces flux qui produisent l’insécurité structurelle de la banlieue et la faillite des politiques municipales.

07:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de mardi soir :

07:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manuel "El blancos" Valls promu 1er Ministre : la vidéo de bienvenue de Dieudonné !

Depuis vendredi dernier, près de 1,5 millions internautes auraient déjà visionné la dernière vidéo de Dieudonné mise en ligne sur Youtube et consacrée à la nomination de Manuel Valls "El Blancos" - son meilleur attaché de presse dit-il - au poste de Premier ministre. On y appréciera les larges extraits d'une allocution, il est vrai quasi hystérique, de Manuel "Gaz" éructée le 19 mars dernier au Trocadéro et qualifiée par l'humoriste  "d' exercice de soumission totale à ses maîtres du peuple élu"

Le prochain spectacle en tournées dans toute la France s'intitulera "Incitation à la Haine". Une série de représentations recommandées par l'humoriste à "tous les non-juifs de France qui ne sont plus les bienvenus dans ce pays". De quoi paraît-il "monter d'un cran"... et faire s'étrangler de rage le gandin et ses acolytes.

Y. D.

07:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 08 avril 2014

Défendre d’abord nos intérêts…

lille roland helie.jpgRoland Hélie

Directeur de

Synthèse nationale

Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses et s’appuyant sur des faits historiques terribles (la grande famine planifiée en Ukraine par Staline au début des années 30 qui fit plus de six millions de victimes réelles), soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.

Tout cela nous amène à quelques observations.

D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.

Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, depuis l’indépendance de l’Ukraine, au début des années 1990, la Russie a toujours eu une position ambiguë par rapport à Kiev dont elle dépend en bonne partie économiquement. Les raisons du soulèvement sont d’ailleurs, dans un premier temps, plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.

En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.

La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté

J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a quelques mois, avec notre ami Robert Spieler, par l’intermédiaire de Thibaut de Chassay, le dynamique président du Renouveau français qui entretient des liens politiques avec différents mouvements patriotiques de l’Est européen, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien, venus à Paris pour présenter leur mouvement et leurs revendications. Sans douter un instant de la sincérité de ces nationalistes, au demeurant fort sympathiques, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans leur visite au Parlement européen prévue pour le lendemain à Bruxelles. Curieuse approche des choses… Je dois avouer que Robert et moi sommes restés sceptiques suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que deux de nos interlocuteurs d’alors sont aujourd’hui membres du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes

Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine. Celle-ci qui estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau » ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».

Nous considérons pour notre part que la Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.

Ne pas se tromper de combat

Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoiqu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?

Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?

Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?

La menace que fait peser sur nos identités et nos libertés le mondialisme destructeur devrait suffire à elle-seule pour nous guider. La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste imposée par les financiers de Wall Street, et leur bras armé qu’est l’OTAN, qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.

Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.

Editorial du n°35 de la revue Synthèse nationale

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