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samedi, 03 mai 2014

Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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vendredi, 02 mai 2014

Centenaire de la Grande Guerre, 60e anniversaire de la Guerre d'Indochine : LETTRE OUVERTE DE ROGER HOLEINDRE

- — aux antimilitaristes traitres à leur pays

—- aux pleureuses professionnelles

— et aux défaitistes… jamais lassés de raconter des inepties

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Roger HOLEINDRE

Président du Cercle national des Combattants

Le centenaire de la déclaration de la guerre de 14-18 a permis à toute cette chienlit de déverser aussitôt, par médias interposés, des tombereaux de mensonges et de lamentations sur le sort des poilus de la Grande guerre… qui soi-disant… devait être la dernière.

Bien sûr, notre président de la République, entre deux rendez-vous galants, y a été aussi de sa pleurnicherie. Mais, comme pour les premiers cités, pas un mot de bravoure… de patriotisme… d’élan national.

Il n’y avait donc en 1914 que des “veaux” menés à l’abattoir !

Il est quand même scandaleux que tous ces gens, adeptes du dénigrement permanent, qui ont fait perdre à notre pays les notions de fierté et d’honneur… qui ont falsifié notre histoire, et pour qui la France a toujours tort, soient ceux qui donnent le tempo de la décadence à notre jeunesse. Celle-ci d’ailleurs ne sait plus d’où elle vient… et surtout… où elle va !

Si la vérité doit être dite sur cette guerre qui vit des tueries sans nom, et où nos soldats paysans montrèrent leur courage et leur abnégation… il est bien certain que de nombreuses erreurs commises les premiers mois de la guerre furent imputables au fait que le pouvoir civil avait promu un certain nombre d’incapables choisis pour leur seul “républicanisme”… au détriment de soldats de grande valeur, mais fichés par les francs-maçons comme catholiques pratiquants.

Il est aussi très significatif que, dans chacune de ces émissions, le nom du maréchal Pétain ne fut jamais prononcé, alors qu’il fut incontestablement un des principaux acteurs de la victoire et l’un des plus humains de nos généraux.

Il se trouve que cette année du centenaire de ce gigantesque conflit est aussi le soixantième anniversaire de la fin de la guerre d’Indochine, et donc de la chute de Dien Bien Phu.

Au nom de mes amis, anciens du Corps Expéditionnaire Français en Extrême-Orient… qui devait devenir l’Armée d’Indochine, je tiens à préciser à ces raconteurs d’histoire, que nous, “les anciens d’Indo”, nous n’avons besoin ni de leurs pleurs, ni de leurs regrets.

Le seul commentaire que j’ai entendu à ce sujet à la télévision était celui d’un olibrius qui, faisant parler des soldats de cette longue et lointaine guerre… les amenait à déclarer… « Ils nous ont volé notre jeunesse ! »

J’ai fait trois séjours complets en Indochine en unité opérationnelle, donc pendant plus de dix ans. Je n’ai jamais entendu un seul soldat déclarer ce genre d’élucubration. Nous étions tous volontaires… sachant pour la plupart d’entre nous… exactement… pourquoi nous nous battions.

Dès la première année du conflit, nous avions compris qu’il ne s’agissait plus d’une guerre de reconquête coloniale… mais d’une lutte à mort contre les communistes asiatiques… des fous furieux ! Officiellement certes, Ils proclamaient, leur désir d’indépendance et de liberté… mais en fait ne voulaient qu’une chose… instaurer une dictature communiste au Viêt-Nam… au Cambodge... et au Laos.

Il est quand même un fait irréfutable… Jamais… nulle part… sur la grande terre… le communisme n’est arrivé au pouvoir démocratiquement !

Il est aussi incontestable, que jamais les peuples des trois pays de la fédération indochinoise n’ont désiré être “libérés” par les hommes d’Ho Chi Minh, de Giap et de Pham Van Dong.

Alors, messieurs, racontez ce que vous voulez sur la guerre de 14-18… mais “lâchez-nous les baskets” au sujet de la guerre d’Indochine !

Nous avons fait cette guerre… terrible par moments… pour empêcher la mainmise marxiste sur des populations laborieuses dont des centaines de milliers se battaient à nos côtés, et n’ont jamais trahi.

Si vous voulez vraiment vous inquiéter des horreurs de cette guerre… de ses tueries… de ses goulags… de nos milliers de copains de toutes races et de toutes religions morts de désespoir dans les camps vietminh… penchez-vous donc sur la trahison généralisée qui, pendant huit longues années a été le fait de vos copains d’hier. Nous, nous n’oublions pas… qu’à plusieurs reprises le général Giap… désespéré par la résistance et l’allant de nos troupes, a déclaré… Si nous désespérions… la lecture des journaux français nous rendait le moral…

Oui, nous… personne ne nous a volé notre jeunesse ! C’est avec enthousiasme que nous sommes partis… délivrer l’Indochine de l’occupation japonaise… ensuite, pour la ramener dans l’Empire français… puis dans l’Union française… aidés par les gens de ces pays, pour empêcher la mainmise des fanatiques sur ces terres meurtries, mais qui furent paradisiaques.

Nous, la seule chose qui nous intéresse, c’est de savoir que ce n’est pas à Dien Bien Phu, mais à Paris que cette guerre a été perdue.

Je le répète… nous, nous savions pourquoi nous nous battions. Le gouvernement français  qui nous avait envoyés là-bas, ne l’a jamais su ! Mais il n’y eut jamais en Indochine de “quillards” ni d’adeptes de la FNACA.

Ce que nous reprochons encore aujourd’hui à nos gouvernants, soixante-dix ans après le début de la guerre, c’est de ne pas nous avoir défendu face à la trahison des communistes prétendument “français”. Ceux-là même qui ont travaillé avec nos ennemis asiatiques, comme ils avaient “collaboré” avec les nazis, tant que leur patron, Joseph Staline, s’était acoquiné avec Adolf Hitler.

Matériel saboté… Renseignements militaires fournis à l’ennemi… Notes signalétiques récupérées par les cellules communistes en France… sur tous nos prisonniers… et fournies à leurs geôliers. Collectes de sang sabotées… Blessés jetés des trains dans des gares françaises !

Pour nous, ce n’est que cela qui compte, car nous avions fait don de notre jeunesse, de notre allant et de notre patriotisme à la France.

Nous, anciens d’Indochine, pour la plupart à l’orée de notre vie… là, et là seulement, est notre regret le plus sincère… N’avoir pas été aimés par notre patrie que nous servions avec honneur et fidélité !

Comme le disait fort justement le commandant Guillaume, le célèbre “Crabe-Tambour”, qui comme nous tous a aimé ce pays et ses peuples travailleurs…  de tout son cœur… de toute son âme… et qui en avait fait sa devise de soldat de France, que beaucoup d’entre nous ont repris à leur compte…

            Mon âme à Dieu…

            Mon corps à la patrie…

            Mon honneur à moi !

Oui, messieurs les “anti tout”, lâchez-nous les baskets, et laissez-nous avec nos souvenirs… dans lesquels vous n’avez rien à voir !

 

Dans Synthèse nationale n°35, un grand entretien avec Roger Holeindre :

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Vendredi soir, sur Méridien zéro...

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Quelques séances de dédicaces à Paris

A la librairie Notre Dame de France (21, rue Monge Paris Ve) :

- SAMEDI 3 MAI, de 15 h à 18 h, Philippe Maxence, Chesterton face à l'Islam, et Christophe Lacroix, Ripostes au politiquement correct (I et II).

- VENDREDI 16 MAI, de 17 h à 20 h, Emmanuel Ratier, Le vrai visage de Manuel Valls.

A la Librairie française (5, rue Auguste Bartoldi Paris XVe) :

- vendredi 16 mai, de 17 h à 19 h 30, l'écrivain et chercheur Pierre Hillard dédicacera ses ouvrages, dont le nouveau Chroniques du mondialisme.

- samedi 7 juin, de 15 h à 18 h, Laurent Glauzy dédicacera ses ouvrages, dont le dernier Les Géants et l'Atlantide.

- samedi 28 juin, de 15 h à 19 h, le groupe de rock FTP dédicacera ses disques.

10:48 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi midi, sur Radio Courtoisie :

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Origines des délinquants : haro sur celui qui dit la vérité

MNR.jpgUn communiqué du MNR :

Dans un article récent (21 avril 2014), le Progrès de Lyon indiquait les grandes tendances statistiques de la criminalité par spécialité et origine des contrevenants. Il en est résulté une vertueuse indignation médiatique, et le journal a décidé de s'excuser. Pourtant, cet article était basé sur une étude du SIRASCO (Service d’information, de renseignement, d’analyse stratégique sur la criminalité organisée, service de renseignement criminel dépendant de la Direction Centrale de la Police Judiciaire,DCPJ), Il indiquait aussi, pour le Rhône, les résultats d'interrogations des services de police, de gendarmerie et des douanes. Le journal a pourtant rappelé que le Monde avait réalisé une infographie sur le même sujet en décembre dernier. Les militants du M.J.S. (Mouvement des Jeunes Socialistes) ont expliqué avoir « manqué de s’étouffer en découvrant l’encart du Progrès ».

SOS Racisme a porté plainte contre X,  le Mrap du Rhône et l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) ont annoncé le dépôt de plaintes pour incitation à la haine raciale. Pourtant, le journal incriminé n'a fait que remplir son devoir professionnel.

On en déduit donc qu'il est interdit d'établir un quelconque lien entre délinquance et immigration, sauf pour certains journaux bien vus du pouvoir.

Avec tous les patriotes, luttons pour  une véritable liberté de l'information, affranchie des dissimulations du « politiquement correct ».

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Un bar coquin baptisé le DSKlub : il fallait oser, Dodo la Saumure l'a fait !

2290688790.jpgYves Darchicourt

Bernissart : cette charmante commune wallonne du Hainaut, à cheval sur la frontière franco-belge à une encablure de Condé-sur-Escaut était jusqu'à présent connue surtout par son imposant site paléontologique d'où furent extraits en 1878 une trentaines de squelettes d'iguanodons.

C'est aujourd'hui une autre sorte de fossile qui, à son corps défendant, va faire rebondir la notoriété de la petite ville. Sous l'égide de Dominique Alderweireld dit Dodo la Saumure, il vient de s'y ouvrir le DSKlub ou plus précisément le Dodo Sex Klub, un établissement pour messieurs en mal d'affection ne rechignant pas sur les amours tarifés. Ce sera d'ailleurs le cinquième du genre dans cette commune parfaitement desservie par un axe autoroutier facilitant le tourisme en provenance d'une France si austère en la matière. Gageons qu'en julot exemplaire Dodo aura su faire respecter les règlements: un emplacement à plus de 200 mètres du centre ville, d'une école ou d'un lieu de culte, pas de racolage, pas de filles en vitrines et ordre public parfaitement maintenu.

Reste le clin d'oeil du Prosper au grand économiste mis en examen avec lui dans l'affaire du Carlton de Lille et dont les initiales médiatisées sont désormais éponymes d'une "maison" offrant effeuillages, tables "hot", salons coquins et chambres sans vue mais garnies au besoin d'une des sept pensionnaires (dont un transsexuel). On dira que c'est là un décor et une ambiance qui n'ont jamais rebuté le "bonheur des dames" du FMI mais il se trouve que l'amateur de parties fines n'est pas content et l'a fait savoir par bataillon d'avocats interposés... un beau et long procès en perspective d'autant que le nom DSK est déjà enregistré par 23 marques essentiellement françaises à l'Institut National de la Propriété Intellectuelle. Dodo se marre et il a bien raison, on n'a pas fini de rigoler avec DSK !

02:31 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 01 mai 2014

CA COMMENCE !

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11:49 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Belgique : la liberté d'expression refusée au mouvement Nation !

10154325_841884055826873_560132119155131285_n.jpgYves Darchicourt

Rien de nouveau sous le soleil d'Europe. En Belgique aussi les "autorités" utilisent la gauche extrême pour empêcher les militants nationalistes, solidaristes et identitaires de s'exprimer librement. Nos camarades et amis du Mouvement Nation en font régulièrement l'amère expérience: il suffit de quelques menaces proférées par les grands démocrates d'ultra-gauche pour que les bourgmestres se couchent et interdisent leurs réunions publiques, rassemblements et manifestations.

Cela vient encore une fois d'en être le cas. Le bourgmestre de Saint-Gilles a interdit "pour risque de troubles à l'ordre public" la réunion électorale du 1er Mai que Nation entendait organiser (la Belgique est en ce moment en période électorale pour le renouvellement le 25 mai de la Chambre et des Parlements Régionaux et Nation présente 13 listes) alors qu'il lui incombe de faire en sorte que toutes les listes régulièrement en présence puissent s'exprimer librement. Il est vrai que le bourgmestre en question émarge au Parti Socialiste qui, comme tous ses homologues européens, est farouchement hostile à tout ce qui se rapproche du patriotisme, du nationalisme, du solidarisme et de la défense de l'identité civilisationnelle européenne et que les gesticulations des nervis gauchistes lui donnent le prétexte qu'il attendait.

En ce 1er mai symbolique pour les travailleurs européens sacrifiés sur l'autel du nouvel ordre mondial par la démocrassouille sauce gauche caviar nos camarades de Nation tiendront finalement une réunion électorale à Bruxelles en un local privé. Dans la capitale du royaume, la place Van Meenen d'où partent traditionnellement les cortèges de manifestants a d'ores et déjà été abandonnée aux nervis de l'ultra-gauche et à leurs troupes auxiliaires habituelles de dégénérés de tous poils et de "jeunes" en maraude, triste et dangereux spectacle en perspective qui, espérons le, ouvrira les yeux des souchiens wallons et flamands.

11:42 Publié dans En Europe et ailleurs..., Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3138 du 24 avril 2014

 

L’ANCIEN député européen souverainiste Paul-Marie Coûteaux qui fut un collaborateur de Philippe Seguin et siégea aux côtés de Philippe de Villiers au Parlement européen avait été une prise de choix pour Marine Le Pen. Il a été un recruteur efficace puisque Florian Philippot, vice-président responsable de la communication, Philippe Martel, ex-collaborateur d’Alain Juppé devenu chef de cabinet de Marine Le Pen, et Karim Ouchikh, conseiller responsable de la Culture rejoignirent Marine Le Pen par son intermédiaire. Du coup il se flattait d’être le DRH (Directeur des Ressources Humaines) du Rassemblement Bleu Marine. Son carnet d’adresses est, il est vrai, bien rempli. Il avait fait rencontrer à MLP diverses personnalités dont l’écrivain Renaud Camus — le théoricien du « grand remplacement » à sa table, dans son domicile parisien. Il n’était pas encarté au FN mais avait monté une petite structure, le Siel (Souveraineté, Indépendance et Libertés) qui avait intégré le Rassemblement bleu marine. Las, les meilleures choses ont une fin.

 

RUPTURE ENTRE MARINE LE PEN ET PAUL-MARIE COÛTEAUX

 

Marine Le Pen vient d’écrire en date du 7 avril une « lettre de rupture » à Paul-Marie Coûteaux, dont les termes sont explicites : « Je ne veux plus vous voir ni avoir de relation personnelle ou politique avec vous ». Marine Le Pen conserve cependant sa confiance à Karim Ouchikh, actuel président exécutif du Siel… Que s’est-il passé ? Le Point, qui a mené l’enquête, relève des commentaires de proches de MLP. « MLP était exaspérée par Coûteaux. Elle a été de déception en déception ». Ses “dérapages” face à la ligne qui se veut lisse de la présidente du FN ont fini par faire déborder le vase. On lui a reproché d’avoir tenu une conférence au Local de Serge Ayoub en septembre 2012, sur le thème « recréer une droite nationale », alors que MLP s’était elle-même rendue au Local. J’ai déjà raconté dans RIVAROL comment Coûteaux s’était fait piéger par Canal+ en décembre 2013, expliquant qu’il avait « raconté tout un baratin » aux journalistes, prétendant le ralliement d’un ancien gaulliste très connu à Brest. Problème : son micro-cravate était encore branché et cet « ancien gaulliste » n’existait pas. Un jour, il explique qu’il ne veut surtout pas être filmé aux côtés de militants FN pour ne pas abîmer son image. Des militants, furieux, ont écrit à MLP pour se plaindre. Puis, il lança une polémique sur les Rroms durant sa campagne des municipales dans le 6e arrondissement, évoquant les “camps” dans lesquels il convenait de les “concentrer”, ce qui ne fut guère apprécié dans un parti en recherche de respectabilité. Partisan, et n’en démordant pas, de l’union de la Droite, ce qui ne correspond pas à la ligne du FN, il avait appelé à faire battre la candidate socialiste, sans attendre le mot d’ordre du FN. Accusé d’être “ingérable” et « imbu de lui-même », Marine Le Pen ne pouvait plus le supporter. La réciproque était au demeurant vraie depuis longtemps. Il confiait il y a déjà un an à un de mes amis : « Elle est insupportable. Il est impossible de travailler avec elle ». Il avait aussi à plusieurs reprises déploré l’absence de « vie propre » du RBM (Rassemblement Bleu Marine), « encore largement une coquille vide », ce que tout le monde sait au demeurant. Histoire de se faire bien voir, il ajoute « tout le monde est carpette devant elle. J’ai essuyé les colères de Philippe Séguin dont j’ai été le collaborateur. Alors les colères de Marine Le Pen ne me font pas peur ! » et il ajoute au sujet de son petit parti : « Sans rouler des mécaniques, il n’y a guère que moi qui puisse tenir tête quand il le faut à Marine Le Pen. Sans moi, le Siel deviendrait une sorte de faux nez du FN et il disparaîtrait. » Marine Le Pen, consciente des dégâts que cette affaire peut faire quant à son image, aurait envoyé un SMS à Coûteaux qui déclare : « Marine Le Pen m’a assuré qu’elle était désolée que sa lettre de rupture ait été mise sur la place publique ». Et il ajoute : « À chaque fois que nous nous engueulons, nous renouons. Nous devrions nous revoir bientôt, sûrement la semaine prochaine. » Quel naïf ou quel menteur, ce Coûteaux !

 

LE CRIF ORDONNE : ILS SE COUCHENT

 

Une vente aux enchères de divers objets volés en mai 1945 au Berghof (Alpes bavaroises) par des soldats de la 2e D.B. dans les maisons d’Hitler et de dignitaires du Reich devaient être organisée à Paris, le 26 avril, par la maison Vermot de Prat. Il s’agissait d’une quarantaine d’objets provenant de la résidence d’Adolf Hitler et de la maison voisine où s’était installé Hermann Goering : passeports, livres, vaisselle, manuscrits, albums, pièces portant des croix gammées ayant appartenu à Adolf Hitler et à son ministre Hermann Goering. Le Crif s’est mis, derechef à hurler et à menacer. On lit sur son site : « Le CRIF estime que cette vente porte atteinte à la mémoire des victimes de la barbarie nazie. Faire commerce public de ce type d’objet consiste à leur donner une valeur symbolique malsaine qui s’apparente à du cynisme et à une forme d’indécence morale. Le CRIF réitère donc sa demande à la maison Vermot de Prat ainsi qu’au conseil des ventes de revenir sur leur décision. Il demande à la Ministre de la Culture et de la Communication de se prononcer sur cette vente. Il souhaite qu’à l’avenir aucune initiative de ce genre ne puisse à nouveau voir le jour. » Et devinez ce qui se passa ? Le ministre de la Culture Aurélie Filippetti se prosterna et demanda l’annulation de cette vente « moralement répréhensible ». La vente fut évidemment annulée. Filippetti se « félicite de cette décision, nécessaire au regard de l’Histoire et de la morale ». Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA), qui avait jugé la vente “obscène”, se réjouit de la victoire du « bon sens et du respect de la mémoire ». Le Crif couine évidemment de joie et, tenez-vous bien, lisez attentivement, a une nouvelle exigence : il propose « que s’ouvre une réflexion sur le type de public autorisé à participer aux ventes de tels objets. » En d’autres termes, si vous avez les cheveux trop courts ou trop blonds, les yeux trop bleus, si vous êtes fichés par la police comme militant nationaliste, si vous possédez un chien loup qui ressemble à Blondie, le chien du Führer, si vous avez un pas trop martial, si vous êtes végétarien (car le Führer l’était), si vous paraissez être trop français, passez votre chemin. Il vous sera interdit de pénétrer dans la salle des ventes dont l’entrée sera exclusivement réservée aux sympathisants de la Licra qui achèteront ces objets (pas cher) pour, bien entendu les détruire… Décidément, ils osent tout et c’est à ça qu’on les reconnaît.

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UNE ROSSIGNOL ANTI-FAMILLE

 

La nouvelle secrétaire d’Etat chargée de « la Famille, des Personnes âges et de l’Autonomie », Laurence Rossignol, ancienne porte-parole du Parti socialiste et ancienne trotskyste, que j’ai évoquée dans le précédent numéro de RIVAROL, évoque, dans une interview au JDD du dimanche 13 avril, la phrase qu’elle avait prononcée sur le plateau de France 3 : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents ». Elle insiste : « (Cette phrase) devrait pourtant faire consensus… » Quels sont les fondements de l’égalité, selon elle ? Le but de l’enseignement à l’égalité est de dire aux filles : “Rien ne vous est fermé car vous êtes des filles”, Et de dire aux garçons : “On est différents, mais personne ne doit avoir le dessus sur l’autre”. La cour de récréation n’est pas un espace pour des apprentis petits coqs. »

 

ÇA CONTINUE : VICHY ACCUSÉ CETTE FOIS-CI D’AVOIR LAISSÉ MOURIR 50 000 HANDICAPÉS

 

Une pétition pour réclamer la création d’un mémorial dédié aux victimes handicapées des régimes nazi et de Vichy, déjà signée par 43 000 personnes, a été remise à François Hollande. Cette pétition a été signée par 92 personnalités dont les maniaques bien connus de la pétitionnite, l’écrivain Tahar Ben Jelloun, le romancier Pascal Bruckner, le scientifique Axel Kahn, le sociologue Edgar Morin, ou les réalisateurs d’Intouchables, Eric Toledano et Olivier Nakache. Le texte fait évidemment le parallèle entre Vichy et le régime nazi qui aurait fait assassiner dans le cadre d’un plan Aktion T4, 275 000 enfants ou adultes affectés d’une déficience mentale ou physique. Un plan accompagné de stérilisations forcées. Si c’est le tribunal de Nuremberg qui le dit, c’est forcément vrai. Du coup un énième site commémoratif dédié cette fois-ci aux victimes handicapées des crimes commis par le régime nazi, va ouvrir ses portes à l’automne 2014 en Allemagne. Du coup les signataires de la pétition réclament la création d’un tel mémorial en France, reconnaissant cependant (pour le regretter ?) qu’en France, il n’y a pas eu d’extermination programmée mais accusant le régime de Vichy d’avoir laissé mourir par abandon, absence de soin, sous-alimentation, 50 000 personnes internées dans les hôpitaux psychiatriques français. Et ça continue, et ça continue…

 

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NDLR :

 

533089594.jpgLe livre de Robert Spieler Dictionnaire des polémistes est en vente auprès de notre secrétariat.

 

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mercredi, 30 avril 2014

Alstom : la trahison des grandes entreprises nationales

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Jean-Yves Le Gallou

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Les grandes entreprises technologiques – nucléaire, aéronautique et espace, transports, télécom et grandes infrastructures, voire automobiles – sont au cœur du modèle français.

Elles ont été choyées. Par l’État stratège, d’abord, qui a conçu leur développement, il y a maintenant une… cinquantaine d’années. Et qui a toujours veillé à leur donner un environnement favorable.

Les grandes entreprises technologiques ont aussi bénéficié de ce qui reste d’excellence du système scolaire français : les classes préparatoires et les écoles d’ingénieurs.

Et dans l’ensemble, l’État les a accompagnées par des financements, une fiscalité avantageuse et un bon environnement juridique.

Cela n’a pas été sans inconvénient pour le reste de la société et de l’économie.

Un impôt sur les bénéfices de l’ordre de 10 % en moyenne pour les grandes entreprises, de près de 30 % pour les PME. La polarisation des subventions et aides à la recherche sur quelques secteurs et surtout une politique commerciale très ouverte. Pour vendre des TGV, des Airbus, des centrales nucléaires, des ponts et des autoroutes, il a bien fallu sacrifier toute mesure protectionniste ou crypto-protectionniste. Des pans entiers de l’industrie ont ainsi disparu. Souvent dans le silence sur les causes du phénomène : le poids des grands groupes dans la publicité, voire dans le capital des médias (Bouygues), expliquant la complaisance de la presse vis-à-vis de leurs intérêts.

Dans les années 1960, les intérêts des grandes entreprises technologiques ont pu se confondre avec ceux de la France. Ce n’est plus le cas.

D’abord parce qu’elles se sont progressivement dénationalisées. Par leurs chiffres d’affaires, la localisation de leurs bénéfices et surtout la mentalité de leurs dirigeants. Les super-élites du corps des mines ou de l’inspection des finances étaient profondément patriotes dans les années 1960/1970, elles sont aujourd’hui devenues des relais de la super-classe mondiale à laquelle elles s’identifient. Et dont elles partagent le mode de vie et les privilèges.

Plusieurs leçons doivent être tirées des affaires Alstom et Peugeot :

- il y a dissociation des intérêts des grandes entreprises (et a fortiori de leurs dirigeants) et des intérêts français ;
- la France ne peut pas vivre éternellement sur ses fleurons des années 1960, il serait temps que l’État stratège se tourne vers l’avenir et discerne les futurs secteurs porteurs ;
- il faut davantage autocentrer l’économie française et corriger la mondialisation par un protectionnisme intelligent, des relocalisations et le localisme ;
- tenter de vendre à la Chine des produits qu’elle copiera ne peut suffire à définir la politique commerciale de la France et conduire à acheter sa camelote sans discernement ;
- la préférence nationale – dans les marchés publics, notamment – doit retrouver droit de cité comme c’est le cas (avec hypocrisie mais détermination) en Allemagne et aux États-Unis ;
- le patriotisme économique doit être promu et la formation des élèves ingénieurs aux humanités ne doit pas être négligée.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

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mardi, 29 avril 2014

Commémoration de Sébastien Deyzieu le 9 mai à Paris...

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Manuel Valls sifflé à Rome : à qui la faute ?

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Gabrielle Cluzel

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On l’a vu à la télé, on l’a lu dans les journaux, Manuel Valls s’est fait siffler à Rome, et s’est même fait siffler par deux fois : lorsque son image est apparue sur les écrans géants dimanche matin, à son arrivée sur la place Saint–Pierre avant le début de la cérémonie, mais aussi (comme le montrent des images rapportées par le blog catholique Le Salon beige) la veille au soir, devant le château Saint-Ange : à France Info, Manuel Valls a confié avoir fait samedi, après un dîner avec son homologue italien Matteo Renzi, une petite visite de Rome « pour mieux sentir l’ambiance de cette ville incroyable ». Pour la sentir, il l’a sentie.

Mais comment aurait-il pu en être autrement ? Comment imaginer que tout cela allait passer comme une lettre à la poste ? Que telle une enfant de Marie avec sa petite corbeille de fleurs, Manuel Valls allait, la mine modeste, faire ses civilités au pape pour que la presse puisse titrer « Valls et les cathos, la nouvelle lune de miel », sans que personne, parmi les milliers de pèlerins français venus pour la canonisation, ne bronche ?

Ceux-ci auraient dû rester tête baissée sans moufter, comme ces écoliers brimés par un instituteur rigide les ayant pris en grippe, affublés toute l’année d’un bonnet d’âne, raillés, humiliés, frappés sur les doigts à coups de règle mais qui, le jour où l’inspecteur passe dans la classe, se laissent tapoter gentiment la tête par le maître tout sourire – « braves petits ! » –, en essayant en sus de cacher leurs bleus ?

Pourquoi, en enfants confiants, n’auraient-ils pas le droit de se livrer au Saint-Père, de lui crier comme ils peuvent leur désarroi : « Il est là, il vous serre onctueusement la main, mais ne vous y trompez pas, c’est lui qui nous a méprisés, qui a sous-estimé nos manifestations, aspergé nos enfants de gaz lacrymogène, mis nos jeunes en garde à vue, laissé encore et toujours les Femen nous insulter ! »

Ces sifflets ont été « dénoncés » par Mgr Bernard Podvin, porte-parole de la Conférence des évêques de France, sur BFM TV. On lit par ailleurs, ici et là, que ces huées n’étaient pas « convenables », que ce n’était pas le lieu. À voir.

Car les deux papes que l’on canonisait ce jour-là n’avaient précisément pas la réputation d’être « convenus ». Et celui, en titre, qui officiait, n’est pas toujours très « convenable » ni à cheval sur le qu’en-dira-t-on, quand il s’agit de prendre les uns et les autres à rebrousse-poil pour leur asséner quelques bonnes vérités.

Alors, sans doute, il est des hautes fonctions dans l’Église de France qui n’autorisent pas à plaisanter avec les « convenances ». On se doit d’être sérieux, diplomate, de ménager la chèvre et le chou, et de ne fâcher personne. Las, les jeunes pousses, elles, sont impétueuses, insolentes, exigeantes, entières, facétieuses, cherchant une Église plus « véritable » que « convenable ». C’est épuisant pour qui doit ensuite justifier leur fougue auprès de ceux qui en font les frais.

Oui, mais la faute à qui ? Qui a labouré, semé, arrosé ? Qui a demandé sans ménagements à la France, quand, franchement, c’était un peu le cadet de ses soucis, où donc elle avait bien pu fourrer les promesses de son baptême ? Qui, de l’avis général, a galvanisé et décomplexé toute une génération montante ? Si certains veulent se plaindre, le bureau des réclamations est désormais là-haut, sur la stèle et sous l’auréole. Derrière l’écriteau « saint Jean-Paul ».

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Gagner l’Europe pour sauver la France. Un vote qui peut enfin changer les choses

élections.jpgJean Ansar

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Dans les nations membres de l’Union, le vote en faveur des listes eurosceptiques est une occasion à ne pas manquer. Cela permettra aux peuples de rejeter une Europe qui ne correspond ni à leurs intérêts ni surtout à leurs attentes. Il faut construire l’Europe mais certainement pas cette Europe là. L’Europe ne peut pas être un simple rayon de supermarché économique et financier. Cette Europe là a échoué dans tous les domaines.

L’Europe doit être une communauté de destin dans une confédération impériale aux ambitions de puissance mondiale.

L’Europe doit être forte, avec une identité affirmée par son histoire et des frontières précises défendues pour que chaque composante réponde à cette belle  devise « nous voulons rester ce que nous sommes » sans jamais oublier que « l’union fait la force ».

Le vote européen peut être capital. Il peut en effet changer l’Europe par une modification radicale de la composante de son parlement. Il s’agira ensuite de concrétiser ce vote dans la composition de la commission européenne. Cela est rendu possible par le Traité de Lisbonne.

Le Traité de Lisbonne modifie le mode de désignation du président de la Commission en renforçant le poids du Parlement européen dans ce processus. Le Conseil européen (et non plus le Conseil réuni au niveau des chefs d’État ou de gouvernement, grâce à l’institutionnalisation du Conseil européen par le Traité de Lisbonne) propose au Parlement européen, à la majorité qualifiée, un candidat à la présidence de la Commission, « en tenant compte des élections au Parlement européen, et après avoir procédé aux consultations appropriées ».

Un parlement élu pour «  une autre Europe » pourra donc choisir ou influer sur la composition de l’exécutif. Or, 80% de la politique française se fait au niveau de l’Europe. Changer l’Europe c’est permettre de conserver la France que nous voulons dans une Europe politiquement choisie. Les partis qui veulent cette « révolution nationale et européenne » sont certes divers et parfois opposés. Ils ont des identités «  nationales »  mais une vision européenne commune. Le vote est un vote pour l’Europe. On ne vote pas pour Aube dorée en Grèce mais pour un parlement qui va  sauver l’Europe de la tyrannie bureaucratique et apatride. Il faut remettre l’Europe sur le chemin de son histoire en privilégiant ce qui a fait la civilisation européenne avant l’horrible système mondialiste.

Nous voulons une Europe civilisation contre une Europe système. Un vote peut l’affirmer et même l’imposer. C’est une chance historique de faire éclater également le verrou des élections nationales, notamment en France, où tout est fait pour que 40 % des Français des deux cotés de l’échiquier politique ne puisent jamais peser sur les décisions communes.

Cette Europe qui veut exporter la démocratie pour imposer la loi du marché mondial à tous les pays n’est pas démocratique. Mais elle doit, malgré tout, organiser parfois des votes et notamment  désigner son parlement. Les peuples sont prêts à déboulonner la fausse idole d’une Europe imposée par  les serviteurs du veau d’or mondialiste. Ce vote peut être historique et la victoire électorale pour les vrais européens, est à portée de l’urne, à portée de la main.

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Dr Merlin chante Verdun...

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Avez-vous lu le n°1 des "Cahiers d'Histoire du Nationalisme", la nouvelle collection proposée par Synthèse nationale ?

Cahier H N 1.jpg

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lundi, 28 avril 2014

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

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La Voix de la Russie de cette semaine

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Avez-vous lu le n°35 de la revue Synthèse nationale ?

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120 pages, 12,00 €

Au sommaire :

Editorial de Roland Hélie : Défendre nos intérêts d'abord...

Patrick Parment : Ukraine, quel avenir ?

Georges Feltin-Tracol : décentralisation, le puzzle territorial...

Arnaud Raffard de Brienne : vers l'implosion du Système...

Dr Bernard Plouvier : sur la théorie du genre...

Jacques-Yves Rossignol : Libé, la chute d'une maison bobo...

Ursule Minoret-Levrault : traité transatlantique, la grande arnaque...

Jean-Claude Rolinat : le sionisme, un nationalisme dévoyé...

Serge Ayoub répond à Frédéric Haziza

Un grand entretien avec Roger Holeindre sur le centenaire de la Grande guerre

Pieter Kerstens nous donne des nouvelles de l'Oncle Sam

Francis Bergeron : 1976, des volontaires nationalistes français aux côtés des phalangistes libanais, une histoire méconnue...

Les pages du Marquis, la rubrique des livres...

Un hommage à notre ami Olivier Grimaldi

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Corée du Sud : naufrage de l’honneur maritime

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Patrick Gofman

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Le temps semble très lointain, où le capitaine n’abandonnait jamais son navire, quitte à couler avec lui. De nos jours, le progrès fait rage, et le capitaine abandonne ses passagers avec son navire en perdition. On vient de le voir en Corée, deux ans après l’avoir vu en Italie.

Une différence notable, cependant : le Premier ministre sud-coréen, Chung Hong-won, a démissionné dimanche 27 avril 2014 en raison des critiques visant la gestion, par son gouvernement, du naufrage du ferry-boat Sewol, qui a fait plus de 300 morts ou disparus le 16 avril. La plupart des victimes du naufrage sont des lycéens en voyage scolaire qui avaient reçu ordre de rester dans leurs cabines en attendant d’autres instructions et l’ont payé de leur vie. Le Sewol, qui effectuait la liaison entre le port d’Incheon, près de Séoul, et l’île de Jeju, transportait 476 passagers et membres d’équipage, dont 339 lycéens et professeurs. Le nombre de corps repêchés était de 187 dimanche.

« Je voulais démissionner plus tôt, mais la gestion de la situation était la première priorité et j’ai pensé que c’était un acte responsable d’apporter mon aide avant de partir. Mais j’ai décidé de démissionner maintenant pour ne pas être un fardeau pour le gouvernement », a précisé Chung Hong-won.

On n’a rien vu de tel en Italie, après le naufrage du navire de croisière Costa Concordia, en janvier 2012. Son capitaine peu courageux, Francesco Schettino, se gobergeait sur sa passerelle de commandement en compagnie de Domnica Cemortan, une jeune danseuse moldave qui voyageait sans payer (d’argent), quand il a décidé de frôler la côte, peut-être pour épater la blonde décolorée. Résultat : 32 morts et disparus, Schettino ayant fui le premier.

Si sa compagnie a versé de misérables indemnités à ses victimes, on attend encore le châtiment de « l’homme le plus haï d’Italie ». Mais il est allé se promener sur l’épave, il se déclare « un gentilhomme », et va jusqu’à réclamer qu’on lui rende son poste !

Il y eut des temps plus difficiles, il n’y en eut pas de plus vils.

 

couv2.jpgNDLR : Il n'y a pas que les traditions maritimes qui dérivent... lisez le livre choc de Patrick Gofman: Le trotskisme dégénéré

134 pages, 18,00€

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Avril 1994 - avril 2014 : vingt années de pouvoir noir en Afrique du Sud

images.jpgLe bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

Les 26, 27 et 28  avril 1994, les électeurs Sud-Africains votaient pour la première fois dans un collège unique.

Auparavant chaque groupe de population exerçait ses droits dans son collège : les blancs à l'Assemblée, les Métis et les Indiens dans leurs deux chambres respectives - les trois étant réunies en une sorte de "Congrès" - et les noirs dans leurs Homelands (Bantoustans) et leurs municipalités. Ce système, déséquilibré, assurait tout de même  une représentation de tous les groupes de populations.

Aujourd'hui avec le fameux "one men, one vote" lâchement accordé à l'ANC par les négociateurs blancs  du Parti National au pouvoir à Pretoria en 1994, les Afrikaners, les anglophones comme les métis et les Indiens sont écrasés par la masse des suffrages noirs. La démocratie n'existe que sur le papier. La solution aurait résidé dans la mise sur pied d'une véritable Fédération Sud-Africaine et non pas en un Etat unitaire où les provinces n'ont guère plus de compétences que nos Conseils généraux et régionaux.

Résultats des courses en vingt années de "black power" : une discrimination positive en faveur des noirs, une représentation parlementaire et ministérielle blanche amoindrie, l'exode de plus d'un million de blancs, une tragique insécurité, l'irruption sur la scène économique et politique d'une caste de noirs "kleptocratiques" qui s'en mettent "plein les poches" au détriment des équipements nécessaires à la vie courante dans les townships. Le tout sous le contrôle d'un parti gangrené, vérolé par la corruption : l'African National Congress, l'ANC de feu Mandela.

Quant à l'armée, elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, le dernier chef d'état-major blanc (Armée de l'air) vient de partir à la retraite.

Un fait nouveau, bien qu'une part importante des richesses soient encore concentrées entre quelques mains blanches (pas si blanches que cela...) du capitalisme international, des Afrikaners sont inscrits à la soupe populaire. Le chômage des noirs atteint des taux records tandis qu'une minorité roule en BMW, Mercedes et autres véhicules de luxe. Jacob Zuma, un Zoulou pittoresque et polygame qui vient de se faire taper sur les doigts pour détournement de fonds publics, a cependant toutes les chances de se succéder à lui-même à la tête de l'Etat. Réponse dans une semaine avec les nouvelles élections générales.

Une petite lueur : l'ANC, tant sur sa gauche que sur sa droite est de plus en plus contestée et Helen Zille, une blanche Premier ministre de la province du Cap occidental a de bonnes chances d'augmenter substantiellement le score de son Parti démocratique, désormais refuge de tous les contestataires blancs et métis, ce qui fait tout de même un bloc d'environ 7 à 8 millions de personnes. Mais l'avenir n'est écrit nulle part...

 

Une RSA la faillite de Mandela.jpgNDLR : Pour bien comprendre la situation en Afrique du Sud aujourd'hui, nous vous conseillons le dernier livre de Jean-Claude Rolinat : La faillite de Mandela.

170 pages, 18,00 €

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Castelsarrasin, 7 mai 2014 : commémoration de Dien Bien Phu

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dimanche, 27 avril 2014

L'intervention d'Alain de Benoist samedi 26 avril au colloque d'Eléments sur l'Europe...

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L'intervention d'Alain de Benoist au colloque du 26 avril 2014.
De gauche à droite Alain de Benoist,
Patrick Péhèle et Pierre Le Vigan.

Source Le blog d'Eléments cliquez ici

Mesdames, Messieurs, chers Amis,

Il y a encore un quart de siècle, l’Europe apparaissait comme la solution à presque tous les problèmes. Aujourd’hui, elle est perçue comme un problème qui s’ajoute aux autres. Sous l’effet de la désillusion, les reproches pleuvent de partout. A la Commission européenne on reproche tout : de multiplier les contraintes, de se mêler de ce qui ne la regarde pas, de vouloir punir tout le monde, de paralyser nos institutions, d’être organisée de manière incompréhensible, d’être dépourvue de légitimité démocratique, d’anéantir la souveraineté des peuples et des nations, de n’être plus qu’une machine à ne pas gouverner. Dans la plupart des pays, les opinions positives sur l’Union européenne sont en chute libre depuis au moins dix ans. La proportion de ceux qui, en France, pensent que « l’appartenance à l’Union est une mauvaise chose » a même bondi de 25 % en 2004 à 41 % en 2013. Plus récemment encore, un sondage Ipsos révélait que 70 % des Français souhaitent « limiter les pouvoirs de l’Europe ».

C’est un fait que l’Union européenne traverse aujourd’hui une crise de légitimité sans précédent. C’est un fait aussi que le spectacle qu’elle offre n’a rien pour enthousiasmer. Mais comment en est-on arrivé là ?

Lire la suite

19:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Flandre : le Vlaams belang en campagne

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Sur les murs,

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sur les routes,

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partout...

Pour suivre la campagne en Europe des mouvements nationaux,

consultez quotidiennement le blog de Lionel Baland cliquez là

13:51 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La route de l’Élysée passe-t-elle par la place Saint-Pierre ?

Philippe Randa 7.jpgLa chronique de Philippe Randa

Manuel Valls au Vatican ! Au Parti socialiste, personne n’y trouve rien à redire. N’y trouve PLUS RIEN à redire, plus exactement, car en 2011, la présence de François Fillon, alors Premier ministre, à la béatification de Jean-Paul II, avait été l’occasion d’un communiqué lapidaire : « Cette décision rompt avec une tradition diplomatique établie et respectée par tous ses prédécesseurs qui veut que notre pays ne se fasse représenter à ce type de manifestation que lorsqu’elle concerne un Français. Venant de Nicolas Sarkozy, qui aurait même songé à s’y rendre personnellement, cette décision ne surprend pas, mais elle reste particulièrement choquante. »

Les socialistes, en obsessionnels donneurs de leçon de morale, avaient même rappelé que « la République indivisible, laïque, démocratique et sociale assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction de religion respecte toutes les croyances… »

Mais si les promesses n’engagent que ceux qui y croient, les convictions politiques, elles, sont à géométries variables, on le sait bien.

Ce déplacement personnel de Manuel Valls n’est toutefois pas désintéressé, on s’en doute. À défaut de « signal », les catholiques français y verront-ils un « geste », pour apaiser leurs relations avec l’ex-ministre de l’Intérieur dont les CRS n’avaient pas hésité à faire usage de gaz contre des familles entières lors des manifestations contre le Mariage pour Tous ?… Une violence inappropriée qui avait choqué bien-au delà des seuls participants. Béatrice Bourges, Porte-parole du mouvement Printemps français, qualifie depuis le donneur d’ordre d’« idéologue qui n’a pas été à l’écoute d’une partie de la population, un homme qui n’est pas digne des fonctions qu’il occupe. »

Mais au-delà d’un simple calcul électoral, c’est plus probablement pour acquérir une stature internationale qu’il tient à être vu à cette cérémonie, présidée par le pape François, retransmise dans le monde entier et qui rassemblera plus d’un million de pèlerins dans la capitale italienne.

Une manière également d’atténuer son image désastreuse dans une autre partie de la communauté française, après ses déclarations sur l’antenne strasbourgeoise de Radio Judaïca le 17 juin 2011 : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ! Quand même ! »

« Ces derniers mots figurent désormais parmi les premières occurrences à apparaître lorsqu’une recherche Google sur Manuel Valls est effectuée », indique le blog http://rso17.unblog.fr.

Enfin, s’il n’acquiert pas une stature internationale avec son voyage à Rome, Manuel Valls ramènera peut-être dans ses valises un peu d’eau bénite pour parer les révélations d’un brûlot qui n’est pas encore paru… mais qui fait déjà beaucoup parler.

Le Vrai visage de Manuel Valls, livre du journaliste Emmanuel Ratier (à paraître prochainement aux éditions Facta 4 Rue de Clichy 75009 Paris) intéresse déjà nombre d’observateurs politiques, notamment Nicolas Lebourg qui l’annonce dans un encadré significatif du dernier numéro de l’hebdomadaire VSD : « Annoncé comme truffé de “révélations explosives” sur la famille, le parcours et les réseaux du Premier ministre, l’ouvrage aurait été imprimé à l’étranger par crainte d’une saisie ».

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samedi, 26 avril 2014

Perles de Culture : l'émission d'Anne Brassié

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger la lettre, cliquez ICI

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Bruno MÉGRET : "Le projet du FN manque de crédibilité"

img_5355b8ac8e65e.jpgInterview de Ghislain DE VIOLET
Paris Match, le 14 avril 2014

L'ancien rival de Jean-Marie Le Pen au sein du Front national analyse la stratégie d'implantation engagée par sa fille. Et revient sur la campagne de 1995.

Il a d'abord hésité. Retiré de la vie politique depuis six ans, Bruno Mégret, 65 ans, ne se voyait pas mêlant sa voix au flot des commentaires d'actualité. Ni paraître régler de vieux comptes avec le clan Le Pen, pour qui l'ancien numéro 2 du FN reste à jamais le '' félon '' de la scission de 1999. Deux jours après le second tour des municipales, celui qui est toujours haut fonctionnaire au ministère de l'Ecologie accepte pourtant une rencontre dans un café du 7e arrondissement de Paris. L'occasion pour Bruno Mégret de revendiquer, avec un peu d'amertume, les bons résultats du mouvement bleu Marine. Car ces victoires sont aussi un peu les siennes.

Sans jamais citer son nom, Marine Le Pen a largement intégré une partie des préceptes mégrétistes. S'il a été l'homme fort de Vitrolles, dont lui et son épouse avaient fait un laboratoire frontiste dès 1997 (avec une polémique prime de naissance pour les enfants européens, cassée par la justice), Bruno Mégret a aussi été le premier à murir la stratégie de dédiabolisation, censée transformer le mouvement d'extrême-droite en un parti apte à gouverner. Plusieurs de ses fidèles à l'époque sont d'ailleurs aujourd'hui des proches de la présidente du FN. Comme Steeve Briois, responsable de la formation des militants et nouveau maire d'Hénin-Beaumont. Ou Nicolas Bay, directeur de la campagne des municipales.

De là à voir dans Marine Le Pen sa digne héritière, il y a un pas que Bruno Mégret ne franchit pas. Surtout en matière économique. Entre le frontisme d'inspiration plutôt libérale du technocrate Mégret et les accents prolétariens de la fille de Jean-Marie Le Pen, il y a visiblement bien plus qu'une génération d'écart.

Paris Match. Le Front national a remporté plusieurs villes et fait élire plus d'un millier de conseillers municipaux. C'est un retour à la situation de 1995 ?

Bruno Mégret. C'est une progression significative du Front national, après une décennie d'obscurité et de reflux. De ce point de vue, je m'en réjouis. Ceci étant, la configuration actuelle est tout à fait différente de celle de 1995. A l'époque, il y avait encore une classe politique qui, malgré toutes ses tares, tenait la route et un front républicain extrêmement virulent. Aujourd'hui, avec un pouvoir discrédité et une opposition inexistante, le système politique est en pleine décomposition. Lorsque mon épouse a été élue à Vitrolles en 1997, l'ensemble du gouvernement s'était mobilisé. Le Premier ministre en personne, Lionel Jospin, était venu faire campagne en faveur de notre adversaire. Ces villes avaient été conquises de haute lutte. Aujourd'hui, ce sont plutôt les digues qui cèdent ici ou là face à la marée qui monte.

Vous aviez engagé à l'époque un mouvement de professionnalisation, de formation de cadres locaux. Vous reconnaissez-vous dans la stratégie portée par Marine Le Pen ?

Il est indéniable qu'elle a mis en oeuvre deux axes qui étaient les miens lorsque j'étais au FN et ensuite au MNR (Mouvement national républicain, NDLR). Le premier c'est la dédiabolisation. J'ai toujours milité pour la fin des dérapages et des provocations. L'autre, c'est l'enracinement territorial. Nous avions accompli un travail considérable qui avait rendu possible l'implantation de cadres performants et formés un peu partout sur le territoire. Tous ces cadres sont d'ailleurs partis avec moi lors de la rupture de 1999. Il semble que ce travail d'enracinement ait repris.

Le Front national est-il dédiabolisé pour de bon ?

Il est certain que la diabolisation est de moins en moins crédible. D'une part parce que Marine Le Pen n'imite pas son père en multipliant les provocations, même si elle gère son parti un peu comme lui. D'autre part, parce qu'à force de crier au loup sans que jamais le loup ne vienne, la diabolisation perd de plus en plus de sa force.

Qu'est-ce qui vous a empêché de mener votre entreprise jusqu'au bout ?

C'est Jean-Marie Le Pen qui s'est opposé à la rénovation du Front national. Quand il a compris qu'une majorité du mouvement soutenait la ligne de dédiabolisation que je proposais, il a entrepris de m'éliminer. C'est ce qui a provoqué la scission. Et je regrette que le système ait soutenu Le Pen lors des élections européennes en 2000, car, si nous l'avions emporté, nous en serions bien plus loin aujourd'hui que ne l'est  le Front national.

Le bilan très contesté des municipalités FN n'a pas non plus aidé...

Dire que la gestion des villes FN a été mauvaise, c'est de la désinformation pure. Si je prends l'exemple de Vitrolles, que je connais le mieux, nous avons réduit l'endettement de 130 millions à 100 millions d'euros en six ans. Dans le même temps, il n'y a pas eu d'augmentation d'impôts. La taxe sur les ordures ménagères a été réduite de 25% et le prix de l'eau de 10%. C'est ce que j'appelle une gestion triple A. Et tout cela en continuant à investir, sans subventions ni du conseil régional ni du conseil général. Quant à la délinquance, elle a baissé de 17% sur la durée du mandat. Une bonne gestion qui a d'ailleurs valu à mon épouse d'être réélue en 2001 ! Même si un recours a ensuite cassé l'élection.

Le vote FN est-il aujourd'hui un vote d'adhésion, comme l'assurent ses dirigeants ?

Il y a une adhésion aux thèses traditionnelles sur la question de la sécurité et de l'immigration, c'est clair. Au delà, je ne le pense pas. Sur la question de l'économie ou celle de l'Europe, le projet du FN manque de crédibilité.

Vous pensez à la sortie de l'euro ? Ou à la retraite à 60 ans ?

Personnellement, je ne suis pas pour la sortie de l'euro. Je considère que la devise européenne devrait être utilisée pour servir les économies de l'Union comme le dollar sert l'économie américaine.  Il faut faire baisser le cours de l'euro d'au moins 30 % et obtenir que la Banque centrale européenne soutiennent financièrement les Etats, comme le font les autres banques centrales. Sur la retraite, je suis partisan d'aller au-delà des 62 ans, en instaurant par exemple un système de retraite par points, avec des départs à la carte dans une fourchette entre 60 et 70 ans.

Marine Le Pen, elle, a développé un discours beaucoup plus étatiste et antilibéral...

Le FN actuel, c'est le discours ancien de Jean-Marie Le Pen réorienté à gauche sur le plan économique. Moi je pense qu'il faut s'intéresser surtout à la situation des classes moyennes. La France, ce n'est pas seulement les classes défavorisées du nord de la France. C'est d'abord une majorité d'artisans, de chefs de petites entreprises, de cadres, de membres des professions libérales qui créent la richesse et qui sont systématiquement pénalisés.

Selon vous, le FN peut-il encore progresser ? Ou est-il arrivé à un plafond ?

Je pense que la configuration politique rend possible l'émergence d'une force alternative au système.

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Bruxelles : un 1er mai solidariste

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09:39 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |