mercredi, 03 septembre 2014
Retour sur l'"affaire Esteban" : c'était dans Rivarol du 28 juin 2013...
Un entretien avec Roland Hélie, co-fondateur du Collectif pour la défense des libertés publiques…
NDLR : Entretien réalisé le 22 juin, soit trois jours avant l'annonce de l'autodissolution de Troisième voie et des JNR, et publié dans Rivarol (n°3100 du 28 juin 2013)
Roland Hélie, vous êtes le directeur de la revue Synthèse nationale et vous faites partie des instigateurs du Collectif pour la défense des libertés publiques. Pouvez-vous nous exposer les raisons qui vous ont mené à lancer ce collectif ?
Tout est parti de ce qu’il est désormais convenu d’appeler « l’affaire Méric » et que, pour ma part, je préférerais que l’on appelle « l’affaire Estéban » car, une fois de plus, il s’agit de remettre les choses à leur place et de ne pas inverser les rôles. En effet, depuis le jeudi 6 juin dernier, un jeune nationaliste, Estéban, est en prison alors qu’il n’a fait que se défendre, et défendre sa petite amie, alors qu’ils étaient sauvagement agressés par une bande gauchiste, rue Caumartin, à Paris.
Certes, mais au cours de cette altercation, un gauchiste, Clément Méric, est mort…
Effectivement, l’un des agresseurs est décédé suite à cette altercation. Mais enfin, lorsque l’on attaque délibérément des personnes dans la rue, comme ce fut le cas ce jour-là de la part des gauchistes, on prend des risques, y compris celui de se prendre soi-même des coups, et parfois les coups peuvent êtres fatals. C’est sans doute regrettable, mais il en est ainsi.
C’est un peu comme lors de la manifestation contre la loi Taubira organisée par Civitas en novembre dernier. Un groupe de Femen est arrivé gaillardement, au pas cadencé, et a commencé à gazer des familles qui se rendaient à ce rassemblement. Celles-ci ont été éconduites comme il se devait par des jeunes gens présents qui n’ont écouté que leur sens du devoir. Ensuite, elles ont passé leur temps à geindre sur leur sort. Là aussi, il ne faudrait pas inverser les rôles. Lorsque l’on veut faire la guerre, il faut savoir en subir les conséquences.
Rappelez-nous les circonstances de ce que nous appellerons donc l’ « affaire Estéban ». Comment cela s’est-il déroulé ?
Estéban était venu avec quelques amis à une vente privée de vêtements d’une marque prisée, entre autres, par les jeunes nationalistes. Dans l’appartement où se déroulait cette vente, ils ont été pris à partie verbalement par Méric et sa bande qui étaient venus spécialement pour les provoquer. Pour s’en convaincre, il suffit de consulter la page « Facebook » de ces gens-là sur laquelle ils avaient publié, la veille, des photos représentant leurs cibles.
Les vigils de la vente ont alors évacué les gauchistes et ce n’est qu’une demi-heure plus tard que, persuadés que ceux-ci étaient repartis, Estéban et ses camarades sont sortis. C’est alors qu’ils furent agressés car les gauchistes étaient restés planqués à proximité. Il s’en suivit une courte bagarre au cours de laquelle Méric se serait pris quelques coups. Le reste c’est l’enquête qui le dira. Quoi qu’il en soit, et tous les témoins sont formels, les agresseurs étaient Méric et sa bande, et les agressés Estéban et ses amis. D’ailleurs, apprenant les conséquences dramatiques de l’altercation, ceux-ci se sont rendus d’eux-mêmes à la police. Or, aujourd’hui, trois semaines après les faits, Estéban et un autre militant sont encore en prison.
Effectivement cela est assez incroyable lorsque l’on se souvient de la version donnée par les media juste après les faits…
Et il y a plus incroyable encore. Dès le lendemain matin, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, parle d’un « assassinat » et dénonce une organisation, les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), comme étant responsable de ces événements. M. Valls a une imagination débordante. Il jette à la vindicte des gens sans même savoir ce qu’il s’est vraiment passé. Les élucubrations de M. Valls sont du niveau de n’importe quel pochtron qui, le matin au comptoir d’un bistrot, commenterait les fait-divers relatés dans le journal local… C’est hallucinant car M. Valls est, rappelons-le, ministre de l’Intérieur. Et ce n’est pas fini. Deux jours plus tard, le samedi matin, c’est le Premier ministre qui en remettra une couche en annonçant qu’il entame la procédure en vue de la dissolution des JNR. Et la semaine suivante, il ira encore plus loin en demandant aussi la dissolution du mouvement Troisième voie (TV) dirigé par Serge Ayoub et dont les JNR sont, en fait, le service d’ordre. Et le Conseil de Paris en profite pour demander, pendant qu’on y est, la fermeture du bar associatif non-conformiste « Le Local » situé dans le XVe arrondissement et réputé proche des organisations visées. On est en plein délire.
Tout cela ne tient pas debout. D’autant que l’« assassinat » dont Valls et consorts nous ont rebattu les oreilles le jeudi matin a rapidement été requalifiée par le juge chargé de l’instruction en « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Les mots ont un sens.
Non seulement Estéban n’a agressé personne (il n’a fait que se défendre) ; non seulement il n’est pas membre des JNR ; non seulement les JNR, et a fortiori TV, ne sont en rien responsables de la mort de Méric ; mais le pouvoir s’obstine à vouloir dissoudre ces mouvements et maintient deux jeunes patriotes en prison. Si cela ne s’appelle pas une dérive totalitaire, dites-le moi.
C’est le moins que l’on puisse dire. Mais alors, pourquoi une telle obstination de la part du pouvoir ?
En réalité, depuis neuf mois, le gouvernement est confronté à une opposition grandissante qu’il a de plus en plus de mal à contenir. Cette opposition, qui se manifeste principalement dans la rue, dépasse le cadre habituel des partis classiques. En fait ceux-ci sont totalement débordés. L’obstination de Hollande à vouloir imposer la loi Taubira a engendré un véritable mouvement de fond dans le pays. Aujourd’hui, plus un ministre ne peut mettre le nez dehors, où que ce soit, sans se retrouver en face d’une cohorte de manifestants. Pour les tenants du pouvoir cette situation devient insupportable, cela d’autant plus que le mouvement est loin de retomber. Il faut donc qu’il trouve une porte de sortie. D’où la multiplication des provocations afin d’essayer de dissuader les manifestants à continuer leur combat.
Que voulez-vous dire ?
C’est simple, le pouvoir cherche à introduire la violence dans les manifs afin de les discréditer. Nous, les nationalistes, avons d’ailleurs été les premiers à subir cette stratégie hasardeuse.
Rappelez-vous, le dimanche 12 mai dernier, place des Pyramides à Paris, lors de l’hommage à Sainte Jeanne d’Arc. Au moment où arrivait le cortège unitaire (NDP-TV-France nationaliste-Europe identité… encadré par les JNR), précédé par celui du Renouveau français, quatre Femen, toujours elles, ont déployé du balcon d’un appartement propriété du ministère de la Culture une immense banderole écrite en anglais demandant la « sextermination for nazism ». Il s’agissait de provoquer la colère, légitime, des manifestants et que ceux-ci affrontent la police. Il n’en fut rien car, grâce au sang-froid du service d’ordre, les JNR, la manifestation, au grand dam des flics (17 « paniers à salades » ont été dénombrés dans les rues voisines), n’a pas dégénéré. Le pouvoir aurait été trop heureux de pouvoir imputer aux nationalistes des actes violents comparables à ceux qui, le lendemain, ont été le fait des bandes ethniques dans le quartier du Trocadéro, lors de la remise d’une coupe de football. Cela aurait pu légitimer l’interdiction des nombreuses manifestations contre la loi Taubira qui se sont déroulées en mai partout en France. Les JNR ne leur ont pas laissé cette joie.
Il en fut de même le 26 mai. Les actes de violence provoqués à l’issue de l’impressionnante manifestation qui a rassemblé un million de personnes n’ont pas eu l’effet escompté.
Les événements de la rue Caumartin sont donc tombés à pic. Et le pouvoir a voulu en faire un exemple.
Très vite pourtant, il nous a semblé que certains media ont douté de la version officielle de cette affaire. Comment cela s’est-il passé ?
Dès le lendemain matin, sentant le piège se refermer, une contre-offensive médiatique a été élaborée. Serge Ayoub a tout de suite pris contact avec les journalistes qu’il connaît afin de leur exposer la réalité des faits qui est aux antipodes des élucubrations de Manuel Valls et des habituels « consternés » qui se succédaient à l’écran pour dénoncer « la barbarie fasciste ». Ainsi, dès le début de l’après-midi , une autre interprétation des faits commença à circuler. En particulier grâce à BFM-TV qui fut, reconnaissons-le, la première chaine à faire preuve d’une certaine indépendance d’esprit. Dans les jours qui suivirent, Serge Ayoub, avec le franc parlé que nous lui connaissons, multiplia les interventions sur les plateaux et, petit à petit, la version officielle commença à être remise en cause.
De plus, à peine cinq heure après l’annonce de Ayrault de vouloir dissoudre les JNR, le samedi 8 juin, nous avons organisé une conférence de presse au Local qui a aussi eu un énorme écho (une vingtaine de télés, radios et journaux étaient présents). Le pouvoir ne s’attendait pas à une telle réaction de notre part. En fait, cette « affaire Méric » est en train de se transformer en, pardonnez-moi l’expression, une « affaire merdique » pour le pouvoir.
D’où son obstination à vouloir dissoudre TV et les JNR ?
Nous avons affaire à un gouvernement d’amateurs. Ils pensent qu’il suffit de ressortir la vielle recette de la diabolisation pour décourager leurs opposants. Cela ne marche plus. Ils accusent TV de diffuser des idées racistes ou antisémites, alors que jamais ce mouvement n’a été une seule fois inquiété, en trois ans d’existence, pour de telles choses. Or, vous le savez bien à Rivarol, les inquisiteurs patentés de la pensée unique sont vigilants, et âpres aux gains, dans ce domaine. Aussi, ils accusent les JNR d’être une milice paramilitaire… fadaises que tout cela. Les JNR ne sont que le service d’ordre, certes efficace, de TV. Aucun acte violent ne leur a été reproché depuis trois ans. Il serait peut-être temps d’arrêter de délirer. Pour sauver sa peau ce gouvernement est prêt à interdire tous ceux qui s’opposent à lui. On l’a déjà constaté à plusieurs reprises, notamment lorsqu’il a cherché, il y a quelques semaines à dissoudre le Printemps français.
D’où la création du Collectif pour la défense des libertés publiques ?
Face à cette véritable imposture, il nous a semblé nécessaire de rassembler les énergies. Dès le début de cette affaire, Synthèse nationale et la Nouvelle Droite populaire ont apporté leur soutien total à Estéban et à Troisième voie. Parallèlement le Réseau Identités, présidé par notre ami Richard Roudier, a adopté la même démarche. Le Comité d’entraide aux prisonniers européens (CEPE)* a été aussitôt réanimé et un formidable élan de solidarité s’est développé puisqu’en 10 jours plus de 700 personnes ont très généreusement répondu à son appel. Voilà pourquoi, afin de synchroniser nos actions, nous avons créé ce collectif auquel de nombreuses personnalités, tels les écrivains Renaud Camus, Guillaume Faye, Gilbert Sincyr, Eric Miné, Jean-Claude Rolinat, Patrick Gofman, Philippe Randa, des hommes politiques comme les anciens députés Christian Vanneste, Pierre Descaves, notre Cher Robert Spieler, le dynamique Secrétaire général du Parti de la France Thomas Joly et bien d’autres nous ont apporté leurs soutiens. Ce collectif a vocation à perdurer car je pense que, hélas, les manœuvres perfides du pouvoir n’ont pas fini de viser les nationalistes, comme le prouvent les scandaleuses procédures de dissolution de nos amis des Jeunesses nationalistes d’Alexandre Gabriac et de l’œuvre française d’Yvan Benedetti.
Alors, pour conclure, cette affaire n’aura pas eu les résultats escomptés pour le pouvoir ?
En fait, ceux qui se font appeler « les anti-fas » ne sont que des petits auxiliaires destinés à accomplir les basses œuvres du pouvoir contre la seule opposition déterminée à sa politique mondialiste, à savoir l’opposition nationaliste. En incitant quelques naïfs, comme Clément Méric, à s’exciter contre un hypothétique fascisme renaissant, il était prévisible que l’on en arrive à une telle situation. En menaçant de dissoudre Troisième voie et les JNR, le pouvoir n’aura réussi qu’à créer un véritable mouvement de solidarité en faveur de ces mouvements qui, dissous ou pas, sortiront renforcés de ces attaques. En jetant en prison Estéban, ou dernièrement le jeune veilleur Nicolas, il pousse une partie grandissante de la jeunesse vers la contestation globale du système. On est en pleine confusion. Le gouvernement se retrouve dans la position de l’arroseur arrosé.
Mais que voulez-vous, lorsque l’on a un Président de la République qui confond les Chinois et les Japonais, comme ce fut cas récemment à Tokyo, il ne faut pas s’étonner que le Premier ministre confonde les agresseurs et les agressés.
Pour vous contacter ou participer au Collectif ?
Il vous suffit d’écrire à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement).
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Toute la vérité sur "l'affaire Esteban" :
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"Le trotskisme dégénéré" de Patrick Gofman : vu sur TV Libertés
Paru en mai 2013
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
Un grand entretien avec Patrick Gofman auteur du Bouquin de Synthèse nationale "Le Trotskisme dégénéré" cliquez ici
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mardi, 02 septembre 2014
LES EUROMONDIALISTES CONDUISENT L’EUROLAND A LA RUINE...
De la CECA au Traité de Lisbonne, en passant par la CEE et le Traité de Maastricht, les ténors du libéralisme sauvage et les charlatans de la gôche faisandée nous ont imposé une Europe brinquebalante contre la volonté des peuples. Depuis des décennies, les directives s’entassent sur des règlements qui eux-mêmes s’ajoutent à des recommandations au point de compter des dizaines de milliers de pages censées améliorer le quotidien des citoyens de 28 pays. Tout est prescrit, détaillé, étudié et ordonné pour l’usage journalier des individus, de Gibraltar à Helsinki et de Brest à Constanta, dans les domaines les plus variés afin d’aboutir à un homo consuméris standard qui servirait d’exemple ou de modèle au futur « hédonismus mondialis », docile, crédule et manipulable à souhait.
Car depuis 70 ans, cette clique de bonimenteurs n’a cessé de pervertir trois générations en faisant miroiter un Etat Providence qui prendrait les citoyens à sa charge de leur naissance à leur décès, sans devoirs, sans obligations, sans sacrifices, sans contreparties. Parce que la tolérance, le respect de l’Autre, le « vivre ensemble », la société pluriethnique et multiculturelle ou « citoyenne » et le mariage pour tous règleraient harmonieusement l’existence de chacun.
Il suffit de voyager dans l’espace européen pour constater que ce ne sont que des chimères et que le bonheur roumain n’est pas forcément le même que celui des Danois et que le bien-être des Grecs est loin de celui des Luxembourgeois. Et les écarts ne cessent de se creuser.
Leurs « valeurs » ne valent rien !
Ces saltimbanques euro mondialistes et leurs valets aux postes gouvernementaux se gargarisent en permanence du terme « valeurs » sans jamais en donner de définition.
Par contre ils ont vidé les églises pour remplir les mosquées, afin de s’attirer électoralement la reconnaissance de millions d’électeurs inassimilables qui, eux, nous imposent leurs coutumes, leurs traditions et leurs « valeurs ».
Ces gourous de la Nouvelle Religion droits-de-l’hommiste ont imposé une charte européenne et ordonnent à la Police de la Pensée de persécuter ceux qui ne se plieraient pas au « politiquement correct » ou qui oseraient contester le bien-fondé de leurs visions égalitaristes. Ils réfutent les notions de Quotient Intellectuel (Q.I), de l’inné et de l’acquis.
Ces griots du Nouvel Ordre Mondial condamnent l’ordre et la hiérarchie, le droit et le mérite, la discipline et le devoir, l’efficacité et la compétence, l’honneur et l’abnégation, toutes valeurs qui ont fait la grandeur de l’Europe au travers des siècles et par-delà les mers.
Cette mafia socialo-démocrato-écolo-capitaliste se serre les coudes en toute circonstance et en tous lieux comme le prouvent les élections de Jean-Claude JUNCKER à la présidence de la Commission Européenne et de Martin SCHULTZ à celle du Parlement Européen : tous unis ont voté pour l’un et pour l’autre. Quel aveu de connivence !
Et comment pourrait-il en être autrement ?
De la droite cosmopolite à la gauche caviar, leurs échecs sont patents dans les domaines comme le chômage, la drogue, la corruption, l’immigration, les impôts, l’insécurité ou la dette publique, entre autres exemples.
Malgré les mensonges et la manipulation des chiffres, leur bilan depuis 30 ans est accablant : TOUT AUGMENTE !
Seuls les handicapés des neurones et les ravis du village peuvent encore croire à leurs incantations récurrentes. « La crise est derrière nous », « le chômage diminue », « les banques sont saines », « la reprise est là », « tout va mieux ». Si ces idéologues judéo marxistes avaient gouverné nos pays avec efficacité et bon-sens, afin d’améliorer le bien commun dans l’intérêt général, certains partis comme l’UKIP en Grande Bretagne ou le FN en France n’arriveraient pas en tête lors des élections.
Mais à l’automne 2014, le PIB va s’accroître…
Et les soucis vont diminuer ? Effectivement, selon une exigence de la Commission Européenne et d’Eurostat (l’institut statistique européen) les 28 pays de l’Union Européenne seront tenus de comptabiliser l’économie « souterraine » dans le calcul du PIB dès le mois de septembre. Le travail au « noir », la drogue et la prostitution (et autres délits) vont donc améliorer les résultats calamiteux des économies nationales. On découvrirait par exemple que les départements français les plus riches ne seraient plus Paris et les Hauts-de-Seine, mais sans doute la Seine-Saint-Denis et les Bouches-du-Rhône…
Cette exigence de Bruxelles permettrait de continuer le « processus d’harmonisation ». Et si à cette « économie parallèle » on rajoute la comptabilisation de la recherche et développement (R&D) comme un investissement et non plus comme une « consommation intermédiaire », l’effet sera encore plus positif sur le niveau du PIB.
Les estimations publiées en mai 2014 par l’Institut Molinari chiffrent à 220 milliards d’euros le marché souterrain pour la France en 2013, soit 11% du PIB !
Pour Ch. DEMBIK, analyste chez Saxo Bank, la répercussion de cette décision européenne dans les calculs générerait une hausse de 5 à 10% sur le PIB français. En Italie le rebond serait de 2,4%, grâce aux seules mafias, en Angleterre de 5% et pour d’autres pays, de 15 à 20%. Cet analyste explique :
« En vérité, cette décision de la Commission Européenne est avant tout politique. Une hausse du PIB permettrait mécaniquement aux Etats de repasser sous la barre des 3% de déficit public requis par l’U.E ».
Et en conséquence les pourriticards pourront confirmer, grâce à cet artifice, que « tout va bien », que « la croissance est revenue », que «la dette publique a diminué » etc…
Quant à la confiance des investisseurs et des ménages en Europe, on verra plus tard !
16:59 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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16:43 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Juppé ou le rêve du Jedi
Patrick Parment
Revoilà Juppé. « Droit dans ses bottes » et le calcif repeint, depuis que Chirac l’a surnommé « le meilleur d’entre nous » n’en peut plus de ses ambitions sans cesse rabrouées, lui qui, toute sa vie, ne fut qu’un second couteau. Lui qui a bouffé son chapeau quand Sarko a sapé ses espoirs de rédemption élyséenne. Reste qu’il demeure vrai qu’en politique un destin n’est jamais écrit d’avance. Qui eût cru à l’élection de Chirac, lui mis à part ?
Dans le paysage dévasté de la droite ripoublicaine, allié aux incompétences trop évidentes de la gauche et un président proche du Guignol lyonnais, tous les espoirs sont désormais permis et les vocations nombreuses, pour tous les seconds couteaux, de vouloir sauver la France. Ca ne fait jamais que cinquante ans et plus qu’on veut la sauver, cinquante et plus qu’elle plonge de jour en jour depuis cette funeste année 1945 où elle est devenue le valet de l’Amérique. De Gaulle a eu beau faire, remuer dans les brancards, rien n’y a fait, tout est rentré dans l’ordre. Tous les lobbies sont aux ordres du système libéral et de l’Amérique, puissance dominante, qui impose sa loi au nom de ses intérêts.
Les vocations ne manquent pas à droite pour piquer un casse-croûte de cinq ans d’âge. Depuis que Jean-François Copé a explosé en vol – il s’en remettra –, le champ est libre aux François Fillon, Xavier Bertrand et autres Bruno Le Maire et Laurent Wauquiez d’affirmer leurs ambitions. Face à eux, l’inénarrable Juppé, fort d’expériences toutes plus malheureuses les unes que les autres hormis Bordeaux, imagine que les Français voient en lui un mec plus « sage » et plus « expérimenté » que les autres. C’est une question d’appréciation.
En vérité, Alain Juppé, vraisemblablement poussé par les lobbies, a eu le mot qui sonne comme un aveu : « Je suis le meilleur rempart contre le Front national ! » Voilà. C’est son unique programme. Car ce qui réunit tout ce beau monde – outre d’assouvir des égo surdimentionnés – c’est bien l’absence de programme ou d’une certaine idée de la France. J’entends par là l’amour de la patrie qui se transcrit dans la préservation de son identité, de son histoire, de sa race, de sa culture. De tout ce qui fonde le mot France que les ploutocrates de cette putride République de 1870 ont cassé en 1914 en envoyant au casse-pipe l’humus de la race française. Qui parle de cette France là chez tous ces baltringues qui ont fait profession de politique et qui se sont concoctés un système sur mesure pour s’autoreproduire ? Alors, peinards, à l’abri d’une institution qui les sert, c’est bel et bien du côté de la Bourse et des banques que lorgne tout ce petit monde depuis que de la Banque à la Bourse, il n’y a que la rue à traverser. Alors, l’histoire, la culture… rien à cirer comme dirait l’autre. Alain Juppé, la culture, il s’en contrefout. Et, je n’affirme pas cela à la légère. Parce qu’à ses yeux, ça ne lève pas une voix ! Chirac était évidemment de la même eau. Quant à Sarko…
Alors aux Fillon, Bertrand, Le Maire, Wauquiez et consorts, ne leur demandez pas de brandir le drapeau de la révolution culturelle, ce sont des clones télévisuels. Et Juppé, malgré Normale sup et l’Ena n’est pas très loin non plus. Chirac lui avait trouvé un petit boulot : il lui faisait corriger les fautes d’orthographe et le français des textes qui sortaient au kilomètre de son usine de pondeuses frais émoulues de l’Ena. Chirac n’écrit que des lettres de remerciements.
Tous ces gens sont formatés. Inutile de leur en demander plus, cela dépasse leurs compétences. Raison pour laquelle il nous faudra attendre que tous ces baltringues vérolent le système. C’est en bonne voie, rassurez-vous.
Si la démocratie est le moins pire des régimes, encore faut-il le protéger des prédateurs et manier le bâton quand il le faut. Mais voilà. L’homme est un animal déraisonnable qui, dans sa folie, prend plaisir à anéantir ce qu’il a parfois intelligemment construit. Il a tué la monarchie qui nous a fait et la démocratie qui la remplace se charge d’anéantir ce magnifique héritage à coup de communisme, de socialisme, de libéralisme, de banquiers avides et de lobbies. Le paradoxe de cette histoire est que ceux qui furent réellement communistes sont aujourd’hui, avec Vladimir Poutine, ceux qui ont le plus d’avenir. La démocratie ? Demandez à Platon ce qu’il en pense.
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Le mouvement belge "Nation" tiendra son congrès le 14 septembre à Charleroi
Nation : cliquez ici
09:41 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tradition catholique, remède au nouvel ordre mondial
Un communiqué de Alain Escada, Président de Civitas
Aujourd’hui, c’était la rentrée des classes. Dimanche soir, Madame Najat Vallaud-Belkacem, fraîchement promue ministre de l’Education nationale, est apparue à la télévision avec son éternel ton menaçant. Paradoxalement, elle prétend vouloir nouer le dialogue avec les parents. Mais quel parent pourrait lui faire confiance alors qu’elle une menteuse patentée, affirmant depuis 2012 que la “théorie du genre n’existe pas” malgré l’interview publiée le 31 août 2011 par 20 minutes.fr, dans laquelle la même Najat Vallaud-Belkacem vantait les “vertus” de cette “théorie du genre”.
D’autre part, il faut prendre conscience que la propagation de cette idéologie du genre étant voulue par les tenants d’un nouvel ordre sexuel mondial, il est hors de question que le PS tente de s’y soustraire.
Dans un autre registre, s’intéresser au sort des chrétiens d’Irak nécessite d’analyser l’évolution géopolitique qui l’entoure. Comment véritablement comprendre ce qui se passe là-bas sans décrypter le rôle des Etats-Unis, d’Israël, du Qatar, de l’Arabie Saoudite ou de la Turquie ?
Un nouvel ordre mondial cherche à s’imposer par tous les moyens et ses implications concernent notamment la politique, l’économie, l’emploi, l’immigration, la morale mais aussi la religion.
C’est dans ce contexte que Civitas vous propose un colloque sur le thème “Tradition catholique, remède au Nouvel Ordre Mondial” le samedi 20 septembre prochain. Il s’agira d’un week-end militant puisque, le lendemain, dimanche 21 septembre, Civitas organise en collaboration avec différentes associations une manifestation nationale de soutien aux chrétiens d’Orient.
Cette rentrée de septembre nous rappelle que “les Chrétiens sont nés pour la lutte”, selon les mots du pape Léon XIII.
09:33 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de lundi soir :
Un grand entretien avec l'écrivain Eric Miné
Ce soir, TV Libertés reçevra Patrick Gofman
02:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 01 septembre 2014
RAPPEL : samedi 6 et dimanche 7 septembre, 44e Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil
17:01 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : dimanche 7 septembre, à Calais :
17:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : dimanche 5 octobre, à Paris :
17:00 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
In memoriam Jacques Marlaud
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Après Jean Mabire, Dominique Venner, Jean-Claude Valla, Ferdinand Ferrand, Jean-Claude Jacquard ou, plus récemment, Jacques Bruyas, Bernard Petitjean et Maurice Rollet, c’est au tour de Jacques Marlaud de nous quitter. Il s’est éteint dans la soirée du 15 août 2014 à Roanne (Loire), victime d’un malaise cardiaque.
Bien que né à Alger un 4 décembre 1944, il n’était pas issu d’une famille « pied-noire ». C’est cependant la guerre d’Algérie qui le saisit lycéen. Il envoie des lettres de soutien aux détenus pro-Algérie française, dont le général Faure, avant de rejoindre la F.E.N. (Fédération des étudiants nationalistes). Une fois les événements algériens terminés, si certains abandonnent l’activisme pour leurs études ou la vie professionnelle, le jeune Jacques continue en militant convaincu à diffuser des exemplaires d’Europe-Action. Contournant les interdictions parentales, le jeune Jacques n’hésite pas à tracter et à participer aux tumultueuses opérations de peinture nocturnes. Il passe souvent des nuits entières au poste de police en compagnie d’autres camarades interpellés. Dans l’attente d’être interrogé par le commissaire, placés en cellule, ils lèchent en toute discrétion leurs mains et effacent ainsi toute trace de peinture si bien que, les preuves matérielles enlevées, il faut les relâcher le matin venu…
De l’agitation militante à l’exil
À cette époque, Jacques Marlaud fait la connaissance au local parisien de la F.E.N. de Maurice Rollet, Jean-Claude Valla, François d’Orcival, Alain de Benoist, etc. L’année 1965 est cruciale pour lui : il effectue son service militaire dans une unité du génie parachutiste cantonnée dans le Sud-Ouest. Guère militariste depuis la déception de 1961, agacé par la vie quotidienne de l’appelé et toujours militant actif, il applique pour lui-même le mot d’ordre détonnant d’Europe-Action, « Pas un soldat pour le Régime ! ». Il déserte, traverse les Pyrénées voisines et passe en Espagne qui lui accorde le statut de réfugié politique. Des visites fréquentes de sa famille agrémentent sa vie d’exilé. Or, un soir d’été, alors qu’il travaille dans un camping, il se rapproche d’un groupe de Français et y rencontre une vieille connaissance de la F.E.N. qui lui apprend le retrait politique de Dominique Venner, l’option d’occuper le champ culturel et l’ascension de « Fabrice » avec qui il entamera bientôt des échanges épistolaires.
Au début des années 1970, Jacques Marlaud, excellent germanophone, s’installe plus ou moins légalement en Allemagne de l’Ouest. Pour y aller, il fut contraint de passer par l’Italie et l’Autriche où, transporté par des chauffeurs routiers jusqu’à sa destination finale, il fut pris par certains d’entre eux pour un agent du Bloc de l’Est ! C’est à Hambourg qu’il rencontre sa future épouse Ursula. La vie en Europe occidentale ne l’attirant guère, il choisit de s’installer en Afrique du Sud. Au cours de son entretien avec le responsable des services d’immigration de la République sud-africaine, suspicieux devant cet étrange candidat, il lui présente sa vieille carte d’adhérent d’Europe-Action qui, une fois traduite, lui assure le permis tant convoité.
C’est en Afrique australe que naîtront six de ses huit enfants. Journaliste au service francophone de la Voix de l’Afrique du Sud, la radio sud-africaine, Jacques Marlaud entreprend des études universitaires anglophones en philosophie et en sciences politiques tandis que chez lui, l’expression demeure allemande ! Suite aux demandes répétées de son épouse, il régularise en 1979 sa situation auprès des autorités militaires françaises. Ce problème résolu et après quelques jours de détention préventive, il profite de ce séjour pour revoir ses camarades de la F.E.N. dont la plupart animent désormais le G.R.E.C.E.
Dégoûté par le militantisme politique, il s’enthousiasme en revanche pour l’action métapolitique. Rentré en Afrique du Sud, il s’investit dans l’European Renaissance Association, devient le correspondant de Nouvelle École, participe à compter de 1982 à la revue bilingue anglais – afrikaans Ideas/Idees et reçoit chez lui quelques amis venus de l’hémisphère Nord (Alain de Benoist, Guillaume Faye, Saint-Loup). La même année, il publie sa thèse de philosophie sur Nietzsche : decadence and superhumanism (1). Il poursuit dans la foulée un doctorat de littérature française à l’Université de Port-Elizabeth sous la direction du professeur Jan de Vynck. Cette thèse de doctorat devient en 1986 un ouvrage, Le renouveau païen dans la pensée française (2) préfacé par Jean Cau.
09:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 31 août 2014
LA DANSE DES CRABES
Président de Terre et peuple cliquez ici
A l’heure où la faillite du tandem Hollande-Valls est patente, malgré leurs rodomontades, ils ont choisi, une fois de plus, de nier la réalité en débarquant les ministres qui avaient le front de le rappeler. Bien entendu, ceux-ci –Montebourg en tête – ne sont motivés, sous de nobles propos qui ne trompent personne, que par leur avenir électoral (en l’occurrence, pour Montebourg, l’échéance de l’élection présidentielle). Il reste que le constat qu’ils font peut être fait par tout un chacun : la hausse du chômage n’a jamais cessé depuis l’élection de Hollande ; le déficit public est supérieur à 4% du PIB ; l’explosion d’une dette qui dépasse les 2 000 milliards et plombe tout budget ; la dépense publique et le poids de la fiscalité sont supérieurs, en France, à ce qu’ils sont chez nos voisins allemands, italiens et espagnols.
Face à cela, les choix emblématiques faits pour la composition du gouvernement Valls-bis sont révélateurs. En particulier sur deux axes :
- 1 - La « diversité » (c'est-à-dire le choix d’une société multiraciale) est amplifiée : la négritude est toujours représentée par la Taubira (c’est la seule raison de sa présence), le Maghreb par Najat Vallaut-Belkacem (qui, en tant que ministre de l’Education nationale, fera ce qu’il faut pour que les petits Gaulois oublient ou renient leurs racines), Myriam El-Khomri, secrétaire d’Etat chargée de la « politique de la ville » (tout un programme) et Kader Arif, secrétaire d’Etat chargé des anciens combattants et de la mémoire (sic) et l’Asie par la Coréenne Fleur Pellerin, ministre de la culture (qui, décidément, ne doit surtout plus être européenne). Quant au métis Harlem Désir, il fait, comme d’habitude, de la figuration.
- 2 - L’alignement du tandem Hollande-Valls sur le capitalisme libéral est total. Il est incarné par le nouveau ministre de l’Economie Emmanuel Macron, un « social-libéral » (ce mot est le mariage de la carpe et du lapin…), ancien associé-gérant de la banque Rothschild. C’est, avec lui, « l’abandon définitif de la lutte contre la finance ennemie, promise pendant la campagne de 2012 » (Le Monde, 28 août). De quoi « rassurer les marchés, Bruxelles et l’Allemagne ». Le patronat n’a pas tardé à apporter son satisfecit, le patron du Medef faisant applaudir Valls par ses troupes à l’occasion de leur université d’été. Ce qui n’a pas empêché le PDG d’Axa d’appeler Valls à « aller plus loin ». Gageons que le premier ministre aura entendu le message et obtempérera.
Petite difficulté, quand même, pour Hollande : alors que les sondages indiquent que sa cote de popularité dans le pays continue à baisser, avec des chiffres jamais vus sous la Ve République et que –élément nouveau – celle de Valls se met à plonger, ses soutiens politiques se réduisent comme peau de chagrin. Car, explique pudiquement Le Monde, « l’actuelle minorité de parlementaires frondeurs exprime tout haut le sentiment largement partagé par les socialistes que la politique menée par M. Hollande est aux antipodes des credo traditionnels de la gauche ».
C’est oublier, ou faire semblant d’oublier, que le phénomène n’est pas nouveau, l’orientation libérale de Hollande lui ayant été soufflée, d’abord discrètement, depuis deux ans, par un Emmanuel Macron qui a été son conseiller économique à l’Elysée. Un bon placement pour la finance cosmopolite…
13:04 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand SOS Racisme pète les plombs…
Source PdF Calvados cliquez ici
Depuis sa nomination à la tête de l’éducation (anti)nationale, Najat Vallaud-Belkacem, est la cible de nombreuses critiques de Français, irrités et inquiets de voir la promotrice de l’idéologie du genre devenir le chef de l’éducation du pays. Quand on se remémore l’ampleur des mobilisations contre les lois décadentes et l’ampleur de la crispation de l’Etat, que l’on a pu juger à l’aune de la féroce voire incompréhensible répression policière, l’on conçoit assez aisément qu’une femme aussi idéologiquement marquée que Najat Vallaud-Belkacem s’attire les foudres des gens normaux : ceux qui pensent qu’un homme… est un homme et qu’une femme… est une femme.
C’était sans compter sur l’association subventionnée SOS Racisme !
Les génies politiques de SOS Racisme, obnubilés par la question raciale, n’ont même pas cette lecture pourtant simple de la situation. Non ! Eux, ils ne voient pas que le nouveau ministre de l’Education (anti)nationale est combattu comme un agent du « progressisme » gauchiste. Ce qu’ils voient, eux, c’est que Najat Vallaud-Belkacem est maghrébine ! Point ! Donc si elle est critiquée, c’est en raison de sa race ! Ou encore mieux, car le mot « race » est étrangement tabou chez ceux qui s’appellent SOS Racisme : ils disent « partie du genre humain ». Ce n’est pas une blague ! C’est dans leur pétition !
Car oui, du coup, chez SOS Racisme, on a fait une pétition pour défendre le ministre, qui serait attaqué par des Français sexistes et racistes ! Logique antiraciste…
La conception racialiste de toute chose conduit l’association antiraciste ( ?) à ne voir dans cette femme qu’une maghrébine, et pas la porteuse d’un idéal politique contraire à celui de ses détracteurs. La race les aveugle !
Heureusement que tout le monde n’a pas cette vision raciale des choses ! Est-ce que, par exemple, l’on peut accuser SOS Racisme d’antisémitisme lorsque cette association s’oppose avec virulence aux thèses de Louis Aliot ou au maire de Fréjus David Rachline ?
Bref, cette pétition de SOS Racisme est comme SOS Racisme : ridicule.
Pour le plaisir, nous vous présentons une magnifique capture d’écran - ce n’est pas un fake ! Voir ici où les termes ridicules venus de la novlangue ont été mis en valeur par nos soins !
11:02 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nouveau gouvernement : bras-de-fer ou bras d’honneur à gauche ?
La chronique de Philippe Randa
« Vous ne nous aimez pas ? Vous allez nous détester ! » semble avoir été le mot d’ordre de l’Exécutif – Hollande et Valls – lancé à la face de tous le pays avec la constitution du nouveau gouvernement.
Provocation pour la Droite, certes, avec la nomination de Najat Vallaud-Belkacem à l’Éducation nationale : l’égérie de l’« ABCD de l’égalité » (soit la promotion cachée de la funeste Théorie du genre) en fait s’étrangler à juste titre plus d’un ; et que dire, pour la Droite de la Droite, du maintien de la tant honnie Christiane Taubira à la Justice ?
Mais surtout véritable insulte pour la Gauche – et pas seulement pour la Gauche de la Gauche – avec l’arrivée au ministère de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique, d’un ancien banquier d’affaires de la banque Rothschild, Emmanuel Macron ; plus qu’un reniement de la déclaration de matamore du candidat Hollande contre la finance « ennemie public », c’est un véritable bras d’honneur qui lui est fait : le candidat avait promis de mettre les banques au service de l’économie, le Président met ainsi ouvertement l’économie du pays au service de la finance.
Pourquoi cette volonté affichée de provoquer tout le monde… comme dans une fuite en avant suicidaire ? Ou peut-être que, conscient de son impuissance à redresser la situation économique, l’Exécutif veut mettre tous ses ex-alliés récalcitrants devant leur responsabilité, soit un soutien contraint et forcé par la perspective – avec une UMP moribonde et un Centre droit à la peine – de voir le Front national confirmer à l’avenir son statut de premier parti politique de France avec une Marine Le Pen en tête de l’élection présidentielle. Et peut-être pas uniquement au premier tour de celle-ci !
10:51 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 30 août 2014
Ajaccio, samedi 6 septembre : manifestation contre l'exposition du "pischrist"...
11:17 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Libye : est-il encore possible d'empêcher la création d'un "Etat islamique d'Afrique du Nord" ?
L'Afrique réelle cliquez ici
Au point de vue militaire la situation libyenne a considérablement évolué depuis mon précédent communiqué en date du 17 août dernier :
Or, que cela plaise ou non, Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi, est le mieux placé pour constituer un tel rassemblement (voir à ce sujet mon communiqué du 17 août). A défaut, toutes les forces islamistes risquent d'être engerbées et coagulées dans un futur "Etat islamique d'Afrique du Nord" à l'imitation de l'EIL d'Irak.
11:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
00:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 29 août 2014
L'antidote à l'Histoire officielle...
18:59 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un gouvernement affairo-féministe. Retour sur le gouvernement de la conjonction des pires
Métamag cliquez ici
Le Valls 2 confirme toutes nos analyses sur l’état du Ps et de la gauche. Elle renonce au socialisme et se soumet à l’ordre financier international. Un ministre de l’économie aux gènes de banquier rotchildien en est presque une démonstration par l’absurde. Certes le socialisme type Montebourg est un échec, mais il avait une dimension nationale. Le Ps se voulait un temps international, il n’est plus comme la finance, que cosmopolite. Au niveau économique on a donc le pire, la soumission, que dire la reddition sans condition à la finance internationale qu’Hollande voulait mettre au pas.
Incapable d’agir sur l’économie cette gauche de gouvernement tente de calmer son électorat par une fuite sociétale. On fait de la surenchère gauchiste. On fait du féminisme idéologique pour détruire les fondations des traditions qui ont fait notre civilisation, notre pays et encore pour certains ce que nous sommes. Taubira est maintenue comme symbole d’une obsession anti colonialiste pour qui le diable est le « male blanc ». C’est, dans un domaine élargi à l’éducation nationale, la vision de Najat Valaud Belkacem. La guerre contre différences naturelles et culturelles au profit d’un genre unique mais défavorables aux garçons va être relancé. Histoire, orthographe, notation, tout est à craindre de ce ministre de la diversité dans l’uniformité.
Ce gouvernement les Français n’ y croient pas
Près des deux tiers des Français se déclarent mécontents de la composition du gouvernement et la moitié d’entre eux (51%) sont insatisfaits de la reconduction de Manuel Valls à Matignon, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Sud-Radio diffusé mercredi. A l’opposé, 37% affirment qu’ils sont satisfaits de la composition du nouveau gouvernement, et 49% par la reconduction du Premier ministre.
Les Français sont partagés sur le passage de Najat Vallaud-Belkacem au ministère de l’Education nationale (41% satisfaits, 43% mécontents), ainsi que sur la nomination d’Emmanuel Macron (28% satisfaits, 30% mécontents, 42% ne le connaissant pas suffisamment). Enfin la majorité des Français souhaite la dissolution de l’Assemblée nationale: 55%, contre 20% qui ne la souhaitent pas et 16% qui ne se prononcent pas. »
Le « putsch rikiki » du président et de son premier ministre risque fort de rater son objectif. La finance et les patrons semblent contents, les talibanes sans doute aussi. Mais Macron est attendu au tournant et la nomination de Najat Vallaud Belkacem ressemble à une fuite en avant d’une gauche qui, s’étant reniée économiquement, tente de changer la société autrement. Mais cet autrement, les Français en veulent encore moins que d’une austérité honteuse qui cache son nom et qui rampe devant la finance.
Coincé entre la gauche sociale et la contestation diverse de la dérive sociétale, pour Manuel Valls et François Hollande, il ne reste plus qu'une marche avant la chute finale et la logique dissolution-sanction d’un échec indiscutable.
07:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dès à présent, vous pouvez prendre votre billet d'entrée (ou acheter un carnet de billets) pour la 8e journée de Synthèse nationale (dimanche 8 octobre à Rungis)
Pour prendre dès maintenant votre billet cliquez ici
07:46 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avez-vous lu le N°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à François Duprat et au nationalisme révolutionnaire ?
Le n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme est consacré à François Duprat et au nationalisme révolutionnaire.
Après l'énorme succès du premier numéro consacré à Léon Degrelle (plus de 1 000 exemplaires vendus à ce jour) cliquez ici, le numéro 2 continue sur la lancée...
Dès à présent vous pouvez le commander :
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07:45 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 4 octobre à Bruxelles : conférence sur l'Aube dorée avec Gabriele Adinolfi
07:29 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
00:43 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 28 août 2014
Sanctions économiques contre la Russie : halte à la soumission aveugle aux Etats-Unis
11:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
03:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 27 août 2014
La biographie de François Brigneau signée Anne Le Pape vient de sortir !
Sous de multiples noms, il a été journaliste, travaillant aussi bien pour la presse à grand tirage que pour des feuilles confidentielles voire clandestines. En 1965, rédacteur en chef d'un jeune mais vigoureux hebdomadaire (*), un sondage IFOP le désigna comme le deuxième journaliste le plus connu de France.
En 2012, à sa mort, le quotidien Le Monde, qui mettait un point d'honneur à ne pas le citer, se trouva toutefois obligé de lui consacrer une nécrologie.
Il laisse une oeuvre publiée abondante et variée : chroniques en langue parlée, romans policiers (il reçut en 1954 le Grand prix de littérature policière pour La beauté qui meurt), reportages à travers le monde, évocations de lieux, livres historiques, souvenirs de la vie journalistique et politique, etc.
Il a été apprécié par des hommes et des femmes aussi différents que Frédéric Dard et Jean Madiran, Céline et Hubert Beuve-Méry, Robert Brasillach et Jean Gabin, Arletty et Marcel Pagnol, sans oublier Pierre Lazareff ou Alphonse Boudard. Pourquoi alors, pour reprendre un mot d'Alexandre Vialatte, fait-il aujourd'hui partie des auteurs "notoirement méconnus" ? Tout simplement parce qu'au long de sa vie, fils d'un instituteur syndicaliste révolutionnaire mais s'étant toujours défini comme un Français de souche bretonne, François Brigneau, dont la plume valait une épée, a obstinément et fidèlement choisi "le mauvais camp", celui de "la France française", selon sa propre expression.
Ce "Qui suis-je ?" Brigneau constitue la première biographie de ce journaliste de combat. Il s'appuie sur de nombreux entretiens avec lui et sur des archives familiales.
Anne Le Pape, docteur ès Lettres (thèse soutenue à la Sorbonne sur la critique littéraire de Léon Daudet), s'est consacrée au journalisme. Elle a été directrice des éditions fondées par François Brigneau, a eu de très nombreux entretiens avec lui ainsi que l'accès à une documentation ample et précise, notamment aux archives familiales.
(*) Minute
François Brigneau, par Anne Le Pape, Editions Pardès, collection Qui suis-je ?, 128 pages, 12 €
Ce livre vient de sortir.
11:07 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : Samedi 27 septembre à Lille, 2e grande journée de la famille en Flandre...
00:09 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |