jeudi, 22 janvier 2015
RAPPEL : dimanche prochain, à Calais !
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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Emmanuel Ratier revient sur "l'affaire Charlie"
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mercredi, 21 janvier 2015
En ce 21 janvier 2015, je suis Louis…
Jean-André Bossy
Boulevard Voltaire cliquez ici
« Je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. »
Depuis le 21 janvier 1793, la France a souvent saigné. Qui, aujourd’hui, se préoccupe de la France et des Français ? « Les musulmans sont les premières victimes du fanatisme et du fondamentalisme », a déclaré monsieur Hollande, éphémère président de la République exsangue. Soit ! De la même façon, ce monsieur pourrait nous dire « Les communistes sont les premières victimes du goulag » ou encore « Les nazis sont les premières victimes de la Shoah », surpassant Bernanos qui affirmait qu’ " Hitler avait déshonoré l’antisémitisme ".
Monsieur Hollande et son gouvernement n’ont de cesse de nommer des victimes ; je préférerais que les coupables soient recherchés : de qui, de quoi sont victimes les millions de chômeurs, les sans-abri, les sans-dents, nous tous, les Français ?
Les gouvernements successifs, incapables d’assurer leurs devoirs régaliens, se réfugient tous dans la défense des « valeurs républicaines », monsieur Bartolone allant jusqu’à parler de la « religion suprême pour chacun d’entre nous : la religion de la République ».
Quels en sont les commandements ? La liberté ? Celle de blesser les croyants en se moquant du pape et de Mahomet, mais interdisant de caricaturer madame Taubira. L’égalité qui permet aux clandestins ayant violé nos frontières et nos lois de bénéficier de l’AME, lorsque le salarié imposable doit quérir l’autorisation de sa mutuelle pour certains soins ? La fraternité des Enfoirés, ces milliardaires qui demandent aux smicards de donner de l’argent aux SDF, à l’instar des journalistes et politiciens qui nous imposent le « vivre ensemble », alors qu’eux vivent entre eux, à côté, voire très au-dessus ? Qui sont les prophètes, les idoles de cette religion de la République ? Strauss-Kahn, Tiberi, Cahuzac, Cambadélis, Balkany, Fabius, Désir, Sarkozy, Thévenot, faites-moi rêver, que diable ! Quelle est la genèse de cette religion suprême ? L’Être suprême, cher à Rosbespierre, mais prélude de la Terreur…
Ernest Renan disait : « Le jour où la France coupa la tête à son roi, elle commit un suicide. » Louis XVI, quittant sa geôle pour rejoindre l’échafaud, ne s’inquiéta pas de son propre sort, mais demanda des nouvelles de La Pérouse, officier français, explorateur au service de la France. Comment PS, UMP, FN, EELV, etc., pourraient-ils se préparer pour 2017 tout en se souciant de La Pérouse ? Les Français sont les premières victimes de la République.
En ce 21 janvier 2015, Je suis Louis.
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Participation aux manifs : la préfecture de police ment !
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A lire et à offrir !
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AIDEZ SYNTHESE NATIONALE A SE DEVELOPPER !
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Je suis Zentropa
J’ai toujours cherché à identifier et à combattre les causes plutôt que de me lamenter des conséquences…
Je n’ai pas attendu d’avoir peur de prendre le métro pour m’intéresser à la chose publique et à l’intérêt général….
Je ne confonds pas la charité chrétienne et la niaiserie masochiste…
Je fonctionne à l’amour et à la raison, pas à la haine et à la réaction…
Je suis radical, pas extrémiste…
Je vis mes convictions au quotidien, à l’aune de principes, pas de temps à autre, au hasard des faits divers…
Les ennemis de mes ennemis ne sont pas mes amis…
Mes slogans sont des idées, pas des concepts publicitaires…
Ma détestation des flics ne dépend pas de l’origine des gens qu’ils tabassent…
Seule m’importe l’estime des gens honorables…
J’ai honte si Causeur et Valeurs Actuelles sont d’accord avec moi…
Je ne suis pas de droite…
J’évite de chier là où l’on me demande de le faire…
Je crois à la vérité, pas à l’opportunisme…
Je ne conspue pas un système pour me ruer à sa rescousse au moindre ébranlement sérieux…
Je me fous de ce que pensent et disent les réacs, les néo-hussards et les cercles littérraro-masturbatoires…
J’étais à la manif pour les chrétiens d’Orient pas à la « marche citoyenne » de BHL et Netanyahou…
Je ne dénonce pas le monde moderne en étant sous cocaïne et antidépresseurs…
J’ai un idéal, pas une posture…
Je suis ethno-différentialiste, pas raciste, et ce n’est pas un cache-sexe sémantique…
Je suis humble, pas complaisant, vis à vis de mes faiblesses…
J’essaye d’être avant d’affirmer…
J’ai le même discours quel que soit mon auditoire…
Je ne crois pas les médias quand cela m’arrange…
Je ne hurle pas avec les loups…
Je ne suis pas Charlie….
Zentropa cliquez ici
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Charlie : dans un processus historique...
Ce n’était plus le Charlie de la bonne époque. Ils étaient tombés dans des obsessions un peu ridicules et infantiles (l’antimilitarisme, les beaufs). Sans compter ce qu’il faut bien nommer une idée fixe aussi absurde que désespérée : tenter de dissoudre et de fluidifier des représentations religieuses multiséculaires par une attaque frontale et moqueuse. Ils sont morts de cette provocation inutile, d’une curieuse absence de compréhension de l’esprit religieux « naïf ». Finalement ce triste événement se résume à ceci : des gosses sortis des banlieues et du Moyen Âge flinguent à la mitraillette des gosses irresponsables, sans méchanceté, vaguement utopistes, inconscients des vrais rapports de force du moment. Confrontation de deux types de consciences séparées par des années-lumière, bien que partageant inconsciemment un point commun essentiel : la détestation du matérialisme vulgaire et de la société à consommation dirigée.
Pathétique.
Mais ce qui est également triste à pleurer, c’est que c’est la bourgeoisie bobo – gay - arty, la plus vulgaire des bourgeoisies justement, qui rafle la mise. Comme toujours depuis trente ans. Ces nouveaux bourgeois ont hérité des hypocrisies de l’ancienne bourgeoisie, « catholique » par exemple, et ils les conduisent à leur paroxysme. Ils parviennent peu à peu à tout gâcher, à tout souiller et surtout à tout pétrifier. Ils glacent et pétrifient inconsciemment mais méthodiquement la totalité de ce qu’était la vie, la vie réelle et concrète des êtres sensibles. Nous aurons sans aucun doute prochainement en place de Charlie un épouvantable « magazine » clean, consensuel et bien pervers, financé et contrôlé par les spectres de l’art contemporains, les gays ou d’autres mécaniques mentales glacées de ce genre, zombies directement actionnés par le marché, avec la dose habituelle de bavardage humanitaire, d’hypocrisie et surtout de froide méchanceté pour tout ce qui n’émarge pas dans les instances du très gros argent : les gens d’esprit survivants, le peuple, les braves gens, les animaux.
À travers cet événement un peu délirant opposant deux types de consciences « pré-politiques » dépassées par la réalité politique actuelle (on a saisi que les « djihadistes » disposent moins encore que les « dilettantes » des outils d’analyse nécessaires pour comprendre l’époque), c’est bel et bien l’esthétisation glacée du monde qui va marquer des points. C’est ainsi, aussi inattendu que cela puisse paraître. Comme si tout se qui se passe dans le monde contribuait à mettre en place ce nouvel étage d’« hyperréalité » glacée qui a déjà presque entièrement recouvert ce que furent la nature et l’histoire vivantes. Par la suppression discrète, progressive et insensible de tout ce qui était dialectique, critique, en un mot : vivant.
Ici en l’occurrence : un journal « satirique », encore quelque peu drôle, critique et corrosif, tombe dans l’escarcelle de la nouvelle bourgeoisie méchante et mécanique, hystérique et ricanante, et ceci par l’étrange truchement de consciences religieuses « archaïques ». L’un des très rares journaux qui ne soit pas réduit à l’hébétude par l’esthétisation et la vitrification du monde est massacré, au propre et au figuré, par des « barbares » qui sont pour leur part persuadés de défendre leur propre conception « vivante » du monde, leur religion. Et qui ne peuvent saisir évidemment que c’est un tout autre groupe que la petite bourgeoisie dilettante qui aujourd’hui élimine méthodiquement, par réification et pétrification généralisées, toute possibilité de vie, notamment spirituelle : les mécaniques mentales schizoïdes de la bourgeoisie bobo – arty.
Après ce massacre, le monde s’est réveillé un peu plus affadi, un peu plus ensablé par le bavardage mondain, un peu plus mécanisé… Tout ceci est parfaitement logique et cohérent mais se passe évidemment de manière tout à fait inconsciente, très indirecte, sans la moindre trace d’intervention volontariste pour se débarrasser des derniers opposants à la vitrification généralisée du monde : les derniers vivants, les derniers résistants se trouvent tout simplement de plus en plus isolés, vulnérables, exposés à des conflits inattendus et paradoxaux…
Jusqu’alors la nouvelle bourgeoisie mondiale arty et glacée gagne toujours, je le répète, et peut poursuivre ainsi imperturbablement son travail de pétrification des cerveaux et du monde. Entre autres parce qu’il n’y a personne, absolument personne, pour l’identifier et la combattre.
01:16 Publié dans Jacques-Yves Rossignol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 20 janvier 2015
Quand le terrorisme était une valeur républicaine
Gérard-Michel Thermeau
Contrepoint cliquez ici
Si la réalité du terrorisme est ancienne, le mot français est un héritage de la Révolution française. La Première République est née dans et par la Terreur.
La monarchie à peine renversée, une première Terreur pousse les révolutionnaires à massacrer dans les prisons de Paris plus de 1000 détenus considérés comme des « ennemis de l’intérieur » prêts à égorger les « patriotes » en septembre 1792. La plupart des victimes étaient de banals détenus de droit commun. Les éléments radicaux ne cessent de faire pression sur les organismes officiels, contraints ainsi d’adopter une politique visant à faire peur aux ennemis de la Révolution, ces comploteurs, ces traîtres, ces puissances étrangères qui veulent, dans l’esprit des révolutionnaires, « terroriser » les partisans de la Révolution. La Terreur réelle répond à une menace terroriste contre-révolutionnaire fantasmée.
Dans la situation de guerre où la France révolutionnaire est en guerre contre l’Europe coalisée, toute opposition est traduite comme une « trahison ». La Seconde Terreur, légale cette fois, se met en place. Comme le déclare Danton : « soyons terribles pour dispenser le peuple de l’être ». L’argument est toujours repris par les historiens : la Terreur légale a permis d’encadrer la violence et donc éviter une violence plus grande encore. « Il est temps d’épouvanter tous les conspirateurs » déclare le club des Jacobins dans son adresse à la Convention le 5 septembre 1793. La Terreur était désormais « à l’ordre du jour », formule creuse qui permettait toutes les mesures d’exception.
11:35 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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COMMUNAUTARISMES...
Terre et peuple cliquez ici
Héritage funeste, fruit empoisonné de l’Ere des Lumières, le goût, disons même le culte de l’utopie a marqué durablement les mentalités françaises. Pour le plus grand malheur des Gaulois. L’illustration la plus récente en est la tarte à la crème du « vivre ensemble ». Comme le montre l’excellente analyse d’Alain, c’est aujourd’hui le plus petit dénominateur commun des idéologues officiels du politiquement correct, installés (confortablement) dans le monde politicien, les media, l’enseignement, la justice, la culture et les religions monothéistes.
Le rouleau compresseur de la propagande émanant de ces milieux est trop puissant pour que les esprits faibles puissent y résister. D’où l’apparent unanimisme monté en épingle autour des « valeurs de la République ». C’est bien sûr un trompe l’œil, qui ne pourra longtemps dissimuler les réalités. Celles-ci sont simples : la mosaïque raciale et culturelle qu’est aujourd’hui l’Occident n’est pas viable. Le XXIe siècle est et sera toujours plus celui de l’affirmation des identités, en réponse et en riposte au mondialisme occidentalocentré. Or ces identités passent, pour une large fraction de l’humanité, par une appartenance religieuse. C’est ce que les zozos qui se gargarisent de « la laïcité » n’ont pas compris ou ne veulent pas comprendre.
Le Dieu des monothéismes est d’une intransigeance totalitaire intrinsèque : l’obéissance à sa Loi prime, par définition et par nécessité, toute autre allégeance. Dieu premier servi : cette exigence longtemps affirmée par un christianisme traditionnel est aujourd’hui mis en avant par l’islamisme, tout en étant aussi le ressort du judaïsme le plus orthodoxe. Face à cet impératif, les laïcs sont désarmés, impuissants parce qu’ils ne veulent pas comprendre que tous leurs prêchi-prêchas rationalistes ne pèsent rien devant un acte de foi.
Les jeunes musulmans qui refusent de se plier à l’acte de contrition qu’on veut leur imposer à l’école, sous prétexte de laïcité, vivent cela comme un appel à se renier et ont un réflexe, naturel, de révolte : leur appartenance à une communauté de croyants, qui leur apporte une raison de vivre, pèse bien plus lourd que les sermons des prédicateurs de la Ligue des droits de l’homme. Dont ils n’ont strictement rien à foutre. Tout comme lorsqu’on les emmène, en voyage organisé, faire un pèlerinage à Auschwitz qui provoque chez eux une « scandaleuse » rigolade. Ceux qui s’en étranglent d’indignation n’ont pas compris qu’à force de pisser contre le vent on se mouille les pieds…
Autre vieux principe : qui sème le vent récolte la tempête. Les gros malins qui ont vu, avec l’affaire Charlie-Hebdo, l’occasion de surfer sur la jobardise des braves Gaulois, vont vite s’apercevoir qu’à force de jouer avec le feu on finit par se brûler. Offenser ouvertement, avec les ricanements de circonstance, les convictions des masses musulmanes, implantées partout en Occident, revient à allumer la mèche d’un gros, très gros tonneau de poudre. Alors, ça va péter ? Evidemment. Et mort aux cons.
Quant au communautarisme juif, il sort renforcé des épreuves, comme cela a toujours été le cas dans son histoire. La dimension victimaire sert à serrer les rangs au sein d’une communauté traversée par des courants divers mais qui retrouve un réflexe de solidarité communautaire quand certains des siens sont touchés. Et le caractère dramatique d’événements traumatisants permet de rappeler certains fondamentaux : quand des morts juifs sont enterrés en terre d’Israël (comme quand des morts musulmans sont enterrés au Maghreb), c’est une façon très claire de dire l’essentiel, à savoir qu’un Juif ou un Maghrébin peuvent avoir dans leur poche une carte d’identité française, leur âme a ses racines en Israël ou au Maghreb. Cette réalité, respectable, mérite donc d’être respectée. Mais il faut savoir en tirer les conséquences.
Le communautarisme juif est pour les chefs politiques d’Israël un outil précieux pour faire face à la crainte de tsunami que constitue la vitalité démographique des musulmans. D’où l’appel de Benyamin Nétanyahou, rentrant de France où il avait reçu les témoignages d’allégeance des Juifs de Paris à l’occasion de l’émotion suscitée par les morts de l’Hyper Casher, lancé aux Juifs de France : « Ils savent au fond d’eux qu’ils ont un seul pays, l’Etat d’Israël, leur patrie historique qui les accueillera les bras ouverts comme ses enfants chéris » (Le Monde, 15 janvier). Voilà qui a le mérite d’être clair. Et qui justifie la décision d’étendre encore plus les colonies juives en Cisjordanie… pour absorber le flux des Juifs venant de France.
Déjà un tel appel avait été lancé en 2004 par Ariel Sharon. Non sans résultat. Alors que 2 000 Juifs venant de France se sont installés en Israël en 2009, ils étaient 3 400 en 2013… et 7 000 en 2014 à avoir réalisé l’Aliya (littéralement, « la montée » en Israël, qui se traduit aussi par « élévation spirituelle »). Mais certains repartent, découragés par les difficultés économiques de la vie en Israël : le prix des logements (il a augmenté de 80 % depuis 2007), la valse des étiquettes, la faiblesse des salaires, le fossé grandissant des inégalités… La précarisation de la classe moyenne frappe particulièrement les ultraorthodoxes, dont 60 % vivent sous le seuil de pauvreté (en majorité ils préfèrent se consacrer à l’étude du Talmud plutôt que d’avoir une activité professionnelle). Cela n’empêche pas le communautarisme juif d’être dynamisé par l’antique promesse : l’an prochain à Jérusalem.
10:08 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Prochaine soirée Livr'Arbitres : vendredi 6 février
10:08 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La conférence de presse de Riposte laïque suite à l'interdiction de la manifestation de dimanche
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Entretien Jean Raspail - Martial Bild sur TV Libertés
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Réinfo, le mag télévisé du Parti de la France
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lundi, 19 janvier 2015
Terrorisme islamiste chez Charlie : l'exemple vient de loin et de haut !
Pour les musulmans c'est le Coran qui est la source de la Loi et du comportement des croyants qui peuvent aussi se référer aux récits de la Vie du Prophète (la Sîra), à ses Actes et Paroles (la Sunna) - transmis oralement une centaine d'années environ - et qui, considérés comme infaillibles, ont été collationnés dès le IXe siècle pour servir de références exemplaires.
Il ressort nettement de ces textes que le Prophète de la religion d'amour et de paix, non seulement n'a pas rejeté, mais a prôné, prêché et participé à la violence guerrière et a eu recours à l'assassinat. Ainsi au printemps 624, après la victoire de Badr, Mahomet décide de faire exécuter ceux des prisonniers pour lesquels personne ne paierait rançon mais aussi deux hommes qui s'étaient moqués de lui et de ses révélations. C'est peu de temps après que fort courroucé par la diffusion de satires composées par un poète juif, le très vindicatif Mahomet commandita son assassinat. L'historien persan musulman Tabari ( 838-923) dans sa "Chronique : Histoire des Prophètes et des Rois" l'a relaté ainsi :
"ce fut dans le même mois de rabî'a premier que le Prophète envoya quelqu'un pour tuer Ka'ab, fils d'Aschraf, dont il avait essuyé beaucoup d'injures (...) un jour qu'il se trouvait au milieu de ses compagnons et que l'on parlait de ka'ab fils d'Aschraf, le Prophète se plaignit de lui et dit: " qui donnera sa vie à Dieu et tuera cet homme ?" L'un des Ançâr nommé Mohammed fils de Masmala dit : "Moi j'irai et je le tuerai ô apôtre de Dieu". Le Prophète le remercia vivement.
[ndlr : les envoyés tuent le polémiste, ainsi que sa femme pour faire bonne mesure et reviennent rendre compte à Mahomet ]
Le jour commençait à poindre lorsqu'ils entrèrent dans la ville. Ils trouvèrent le Prophète occupé à prier et lui rendirent compte de ce qu'ils venaient d'accomplir. Le Prophète fut très heureux, rendit grâce à Dieu et les remercia".
Moralité : il ne faut surtout pas ironiser sur le Prophète au risque de la vie! L'incitation à la fureur homicide chez Charlie vient bien de fort loin et de très haut. Une religion d'amour et de paix on vous dit ! (à suivre)
19:29 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Big Brother à l'ENA
Claude Bourrinet
Les récentes manifestations d'unanimisme obligé, accompagnées de saines pulsions de haines contre les « ennemis de la liberté », à qui il ne faut accorder aucune possibilité de s'exprimer, ni même de rire (un rigolard s'est pris deux ans ferme pour avoir actionné ses zigomatiques à la nouvelle de l'attentat sanglant de la rue Nicolas Appert, que l'on rebaptisera sans doute rue Charlie), ni même de donner l'impression de mal penser, ou simplement de penser, ont montré, sinon démontré, combien la société, travaillée par un pathos envahissant doublé d'une crétinisation approfondie (si tant qu'on puisse accorder de la profondeur à la bêtise), a fait des progrès remarquable dans la voie du totalitarisme.
On a pu opposer le totalitarisme dur à un autre, qui serait mou. 1984, de George Orwell, par exemple, contraste, pas sa nature brutale, aussi féroce que l'était le régime soviétique, avec le Brave New World, d'Aldous Huxley, le « Meilleur des mondes », qui dépeint une société eugéniste, engluée dans un hédonisme aussi adhérent qu'un nougat, univers doux comme une fin de vie assistée, ou plutôt une fin de partie.
Il doit bien exister des raisons pour lesquelles ces contre-utopies ont été imaginées par une Angleterre qui, tout haïssable qu'elle passe pour un Français, semble receler des trésors de liberté dont notre pays, enclin aux emballements passagers pourvoyeurs de morts collectives, est dramatiquement dépourvu. Stendhal le notait déjà, sous l'Empire, malgré son patriotisme et son admiration pour le tyran italien qu'était Napoléon. Il redoutait que la Grande Armée envahît la perfide Albion, beaucoup plus attachée à la liberté réelle que nous, qui nous entichons d'abstractions, donc de dogmes, donc de machines perverses à broyer les singularités.
Cette digression, loin d'être vaine, sert plutôt à interroger les contemporains ébahis que nous sommes sur l'éventualité improbable qu'un Anglais eût pu avoir l'idée de doter la promotion de l'ENA 2015-2016 du nom de notre si ironique satirique, auteur du redoutable Animal Farm.
Certes, il n'existe pas d'ENA outre-Manche, le débat est donc clos. Mais il n'y a qu'en France qu'un tel cynisme puisse voir le jour, à moins que ce ne soit pure naïveté, puisqu'on apprend que ce sont les élèves de l’École qui ont, dans un débat fort long, décidé cette provocation, ce crime contre la mémoire d'un homme qui n'a cessé de dénoncer les dangers liberticides de l’État contemporain.
Les attendus de cette décision sentent, il est vrai, la novlangue à plein nez : "Fortement marqués par les attentats récents, les élèves avaient à cœur de réaffirmer leur attachement à la liberté d'expression et, de manière plus générale, aux libertés qu'il appartient avant tout aux pouvoirs publics de protéger". Il est vrai que la protection est, à Océania, une urgente obligation. Comme l'on sait que dans cet empire, la liberté, c'est l'esclavage, que la paix, c'est la guerre, etc., que tout y est inversé par le jeu de la propagande, on comprendra que la caste politique actuelle appelle de ses vœux un Patriot Act, à l'américaine, dont on sait que les libertés fondamentales ne sont pas dans le logiciel.Le communiqué commence par une des citations de l'écrivain: "Parler de liberté n'a de sens qu'à condition que ce soit la liberté de dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre". Dieudonné appréciera, et tous les « Je ne suis pas Charlistes », ainsi que tous les dissidents, qui sont loin de partager ces niaiseries dignes de cours d’Éducation à la Citoyenneté des lycées, de semblance si jacobine. La loi Gayssot, les différentes lois Taubira appartiennent aussi, probablement, à l'univers orwellien, mais pas dans le sens de ces apprentis apparatchiks de cabinets, qui doivent les considérer comme des remparts contre l'esclavage.
Mais saluons cette pirouette humoristique de l'Histoire, digne d'un Charlie Hebdo qui n'aurait pas dégénérer (car ce torchon était lui-même sa propre dérision, la négation de ses débuts). La réalité rejoint la fiction, et c'est, pour un observateur distancié, un effet d'art que l'on ne peut que saluer du chapeau.
Mais une distance est-elle encore possible ?
19:22 Publié dans Claude Bourrinet | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Première manifestation de PEGIDA en France, c'était dimanche à Montpellier !
Richard Roudier, l'un des initiateurs de ce rassemblement
Ce dimanche, bon nombre de rassemblements s'opposant à l'islamisation de l'Europe ont été interdits, que ce soit à Paris, Bordeaux ou encore Lyon. Montpellier est au final une des seules villes où le mouvement PEGIDA est descendu dans la rue pour défendre la liberté d'expression et contrer l'islamisme.
Le rassemblement de Montpellier a réuni au débotté une soixantaine de participants, et ce, malgré les pressions des milices d'extrême gauche locales qui hurlaient leur haine à une petite centaine de mètres. Cinq intervenants représentants Résistance Républicaine, des Identitaires et des nationalistes se sont succédés au micro pour aborder le problème de l'islamisation de notre société avec les conséquences dramatiques que l'on a connues avec l'attentat contre Charlie Hebdo.
A ce titre, des pancartes détournant le slogan officiel « Je Suis Charlie » étaient brandies par les manifestants. Ainsi on pouvait voir des « Je Suis Beslan » et des « Je Suis les Moines de Tiberine » qui côtoyaient des « Je Suis Résistance » et des « Je Suis au Chômage »...
Ces détournements permettaient de mieux cerner les véritables problèmes afin de ne pas se laisser prendre au piège de la honteuse récupération politique par le système. Symboliquement le lieu de la manifestation avait été choisi Place des Martyrs de la Résistance et parmi les slogans lancés à tue-tête, on a pu entendre « Islamistes hors d’Europe » et « Liberté d’expression ».
Une fois encore, et ce n’est pas une surprise, on a pu voir l’extrême gauche aigrie collaborer avec les islamistes.
09:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Exécution de fatwas à Paris : à qui profite le crime ?
François Hollande enregistre un bond de popularité historique de 21 points dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris-Match et Sud Radio publié aujourd'hui, ce qui le hisse à 40%.
Jamais auparavant une progression aussi forte n'avait été relevée par l'Ifop, doyen des instituts français de sondage, a indiqué Frédéric Dabi, qui dirige son département opinion. Manuel Valls gagne 17 points, ce qui le place à 61% de popularité, score supérieur à celui de son entrée à Matignon.
Source : Le Figaro
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ICI
07:35 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 18 janvier 2015
L'afrique n'est pas Charlie
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Pas de mesures d'exception contre les islamistes... seulement contre les français anti-islamistes !
Il n'y aura pas de mesures d'exception a claironné Manuel Gaz Valls ! C'est exact, il n'y en aura pas contre les islamistes radicaux - par définition voués au djihad - qui prolifèrent en France, aussi à l'aise qu'un poisson dans l'eau, anonymes, incolores et inodores, au milieu d'une population immigrée à forte composante musulmane, clandestine ou non, qui a tout loisir de pénétrer et de circuler librement en France (et en Europe d'ailleurs) puis de s'y installer en colonies de peuplement déjà majoritaires dans pléthore de "quartiers" suburbains et en passe de l'être dans nombre de villes et départements.
Pas de mesures d'exception contre les terroristes mahométans potentiels, ou leurs réseaux de soutien, dont on attend qu'ils passent à l'acte ou qu'ils soient sur le point imminent de le faire pour les neutraliser ou tenter de le faire. Et ce au nom de grands principes teintés d'angélisme et d'humanisme dont les fanatiques se contrefichent, et en tous les cas en contradiction totale avec le pourtant sacrosaint principe de précaution.
Alors pas de mesures d'exception ! Sauf contre les français, de plus en plus nombreux, qui s'accommodent mal d'être pris pour des billes ou des moutons, qui voudraient que le ménage soit fait jusqu'au fond des chiottes des djihadistes, qui dénoncent l'immigration allogène et l'islamisation de la France, qui entendent rester maîtres chez eux et avoir le droit de le crier haut et fort. Pas de mesures d'exception sauf contre les spectacles de Dieudonné systématiquement empêchés désormais, contre la manifestation de Lucide Breizh à Vannes mardi dernier ou contre le rassemblement anti-islamistes de Paris prévue demain à Paris (cliquez ici).
Pas de mesures d'exception... sauf bientôt peut-être contre ceux qui n'ont jamais été Charlie, qui n'ont été que tièdement Charlie ou qui ne sont plus Charlie parce qu'ils en ont ras le bol de Charlie qui commencent sérieusement par nous emmieller d'importance.
Rassemblement Résistance Insoumission Reconquête !
NDLR : conférence de presse de Riposte laïque cet après-midi à Paris (cliquez ici).
12:40 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Georges Feltin-Tracol était samedi soir à Lille...
A l'initiative du Cercle Non Conforme de Lille, une conférence était organisée samedi 17 janvier en soirée dans l'agréable salle de réunions d'une brasserie de la capitale du Nord. L'orateur était notre ami Georges Feltin-Tracol, auteur du fameux livre En liberté surveillée (cliquez ici) que Les Bouquins de Synthèse nationale ont édité au mois d'octobre dernier. Il faut dire que cette conférence tombait à pic compte tenu des nouvelles mesures liberticides que le tandem Valls/Taubira veut imposer au peuple français sous prétexte de "combattre" le terrorisme islamique.
Une cinquantaine de personnes était présente à cette intéressante conférence et de nombreux ouvrages édités par Synthèse nationale furent diffusés, en particulier notre numéro hors série "Non, nous ne sommes pas Charlie" (cliquez là) qui a fait un tabac.
Bravo à nos amis du Nord pour cette belle et sympathique réunion et rendez-vous le dimanche 26 avril à Nieppe pour la 3e Journée régionale Flandre-Artois-Hainaut de Synthèse nationale.
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samedi, 17 janvier 2015
Les basses manœuvres du préfet Boucault ne pourront empêcher la tenue du rassemblement du 18 janvier
Un communiqué de Pierre Cassen,
Président de Riposte laïque
Résistance républicaine et Riposte Laïque ont déposé à la préfecture de Paris, fin 2014, une demande de rassemblement, à Paris, le 18 janvier 2015, sur le thème : « Islamistes hors de France », suite à la multiplication d’agressions commises au nom d’Allah sur notre sol. Les dramatiques événements de Charlie Hebdo, et les jours qui ont suivi, n’ont fait que confirmer la pertinence de cette initiative.
Pourtant, le préfet Boucault, sur ordre du ministre Cazeneuve, s’est permis d’ordonner l’interdiction du rassemblement prévu le 8 janvier, place de la Bourse, par nos organisations, ainsi que celui du 18 janvier, sous des prétextes fallacieux. Les juges ne s’y sont pas trompés, désavouant la Préfecture, suite au référé que nos avocats ont plaidé la semaine dernière. Le préfet a été débouté, et condamné à 800 euros de dommages et intérêts à verser à nos associations.
Pourtant, ce soir, seulement à 18 heures, on nous informe d’une nouvelle interdiction préfectorale pour notre rassemblement du 18 janvier. Une semaine après la grande manifestation parisienne, placée sous le signe de la défense de la liberté d’expression, les masques tombent. Sous ce gouvernement, la seule liberté est celle du politiquement correct, qui interdit de citer les causes et les responsabilités des drames qui viennent de frapper la France.
Nous avons, lors des dernières heures, noté que la liberté d’expression dont se réclamaient les manifestants du 11 janvier était fort sélective. Nous avons constaté, pour influencer le préfet Boucault, une alliance islamo-gauchiste, avec les pressions du maire écologiste du 2e arrondissement parisien, Jacques Boutault, ainsi que celles d’organisations musulmanes, soutenues par des associations dites antiracistes comme la LDH, ainsi que le PCF et les proches de Jean-Luc Mélenchon.
Malgré les obstacles indignes d’un pays démocratique qui nous sont opposés, nous avons déposé, ce soir, un référé qui sera plaidé demain.
Nous ne doutons pas que, face à un dossier totalement vide, les juges confirmeront le verdict du premier référé, et autoriseront le rassemblement du 18 janvier, où interviendront, entre autres, Mélanie Dittmer, responsable de Pegida Dusseldorf-Cologne, et d’une douzaine d’intervenants, dont Renaud Camus et des orateurs italien, suisse et belge.
Plus que jamais, nous donnons rendez-vous aux patriotes qui refusent l’islamisation de notre pays le dimanche 18 janvier, à 14 heures 30, place de la Bourse, à Paris.
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RAPPEL : samedi 17 janvier 2015, conférence de Georges Feltin-Tracol à Lille
En liberté surveillée cliquez ici
02:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 16 janvier 2015
Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
17:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3170 du 8 janvier 2015
MARINE Le Pen serait-elle totalement hystérique et la fréquentation des folles de son entourage a-t-elle aggravé son cas ? C’est la grave question que l’on est en droit de se poser. Un récent bureau politique du FN vient d’illustrer ce qui ressemble diablement à un sévère pétage de plombs. « Maintenant, ça suffit ! Bruno, tu vois, là, il y a deux portes, celle des toilettes et celle de la sortie. Si tu n’es pas content, tu peux t’en aller ! » a-t-elle éructé en pleine réunion, écumant de rage, à l’adresse de Bruno Gollnisch. Ce dernier avait, il est vrai, eu l’audace de critiquer, un peu, oh un tout petit peu, l’ouverture du FN mariniste au lobby LGBT avec l’arrivée du fondateur de Gay-Lib Sébastien Chenu promu président du collectif Culture. Et que fit Bruno ? Rien, rien de rien. Désespérant…
DU LAXATIF VERSÉ DANS LE VERRE DE VIN DE LOUIS ALIOT
Le concubin de Marine Le Pen avait été en déplacement dans le département de la Gironde en mai dernier. Une conférence de presse fut organisée dans les locaux bordelais du parti où, comme on le sait, les tensions sont sévères comme dans de nombreux départements. Trois militants, qui ne semblent pas porter Aliot dans leur cœur (on se demande pourquoi vu la grande intelligence du bonhomme), dont le responsable départemental du Front national de la jeunesse, avaient décidé de commettre une blague de potache. Les trois hommes auraient dévissé les ampoules de la salle où devait se tenir la réunion de Louis Aliot, puis disposé en évidence des ouvrages de Bruno Gollnish, ce qui est, reconnaissons-le, d’une rare insolence, et organisé sournoisement l’arrivée de vieux militants du FN soupçonnés d’idées antisémites et antimaçonniques. Pire, ils auraient déversé du laxatif dans le verre de vin de Louis Aliot. Convoqués, fin octobre, à Nanterre, à la commission des conflits, qui est, comme on le sait, sévère mais juste, deux de ces militants quelque peu imaginatifs et originaux furent derechef expulsés du parti. A défaut d’être pendus à des crocs de boucher (la loi française ne l’autorise pas).
L’ÉLU FN CONVERTI À L’ISLAM (SUITE)
Maxence Buttey est ce conseiller municipal FN de Noisy-Le-Grand, converti à l’islam il y a quelques mois. Cela a suscité quelque émoi chez certains militants du FN, mais pas plus que cela. Il n’en fut évidemment pas exclu, contrairement à de courageux militants nationalistes. Au lieu de se terrer, il vient de faire reparler de lui. Il a largement fait la publicité de sa participation aux Mokhtar Awards, une cérémonie islamiste qui ne cache pas plus son caractère prosélyte que sa vision politique conquérante de l’islam. Il s’agit d’une petite soirée (le repas coûte 59 euros) destinée, entre autres, à remplir les caisses des sectateurs de l’islam. Il participe même à un spot publicitaire destiné à attirer le chaland. Le président du festival, Gibran Hasnaoui, vient de déclarer « Maxime vient prier à la mosquée et il nous a rendu fiers lors de son passage au Grand Journal de Canal Plus. Il fait partie des nôtres. » Le président du festival ajoute : « Le discours nationaliste ou antinationaliste ne nous intéresse pas, ce qui nous intéresse c’est de ramener les gens à Allah (…) » Et Maxence Buttey fait partie du Front national, dont il est élu ! Mais à part ça il ne faut surtout pas critiquer Marine Le Pen car elle est formidable !
L’EFFROYABLE PERSÉCUTION QU’A SUBIE PAUL AMAR
Dans son ouvrage Blessures (Ed. Tallandier), le journaliste Paul Amar (l’homme qui offrit des gants de boxe, lors d’un débat, à Jean-Marie Le Pen et à Bernard Tapie) revient sur sa jeunesse, ses débuts et les temps forts de sa carrière. « J’ai voulu raconter notre histoire, l’histoire de notre pays, j’ai été stigmatisé pendant des années, comme d’autres journalistes, intellectuels, artistes ou personnalités françaises d’origine juive », explique très sérieusement le journaliste sur France 24. On en a les larmes aux yeux… Pauvre chéri, il a été stigmatisé. Salauds de Français !
LE CRIF DIT NON À LA TOURNÉE DE LA HAINE
Nous avions évoqué dans ces colonnes les terribles gémissements, couinements, aboiements, des lobbys, dont le Crif, face à ce qu’ils appellent la « tournée de la haine » de Dieudonné. Les lobbys ont fermement demandé aux exploitants des salles de refuser la présence de Dieudo. Fimalac, qui est l’exploitant le plus important, a tenté sournoisement de les amadouer, leur offrant des valises d’argent pour qu’ils se taisent et proposant de reverser les dividendes (enfin, on imagine, une partie des dividendes) à des organisations antiracistes. Oui mais, attention, ces gens, contrairement aux apparences, ont leur dignité. Déclaration du Crif : « Les entreprises qui contribuent à la propagation des messages haineux de Dieudonné contreviennent à la morale publique ». Les voici prévenues de ce qui les attend… Et le Crif d’ajouter : « Il ne s’agit pas d’un problème financier. » Eh bien dites donc. C’est bien la première fois que le doux cliquetis du tiroir-caisse ne les fait pas vibrer d’émotion et de désir… Cuki (Roger Cukierman), le président du Crif, déclare avec une gravité qui l’honore : « Il serait obscène que des associations antiracistes reçoivent des fonds provenant de la tournée d’un multirécidiviste condamné pour incitation à la haine raciale et dont la place n’est pas dans des salles régies par des concessions de service public ». Le sort de Dieudo est d’ores et déjà scellé : il sera pendu. Les exploitants collabos des salles seront tout simplement guillotinés, après quelques petits sévices…
INCROYABLE : UNE STATION ESPION AMÉRICAINE, EN PLEIN PARIS
On savait déjà que la Chine espionnait la France grâce à une station d’écoute installée sur le toit d’une annexe de l’ambassade de Chine à Chevilly Larue, en banlieue parisienne. La NSA américaine a, quant à elle, installé une station d’écoute sur le toit de l’ambassade des Etats-Unis, place de la Concorde, à quelques mètres de l’Elysée. Les fenêtres avec volets fermés que l’on peut voir sont en fait fausses, à la façon des villages Potemkine, créés afin de masquer leur pauvreté lors de la visite de l’impératrice Catherine II en Crimée en 1787… Cette station d’écoute qui ne cible pas que les Français, a sans doute été installée entre 2004 et 2005. Elle est opportunément située à seulement 350m du palais de l’Elysée, 450m du Ministère de l’Intérieur, 600m du Ministère de la Justice, 700m du Ministère des Affaires Etrangères et de l’Assemblée Nationale, et 950m du Ministère de la Défense (et on trouve également dans un rayon d’un kilomètre plusieurs ambassades et des entreprises stratégiques)… Cette pratique est évidemment courante dans le monde du renseignement. Les Israéliens et les Russes, notamment, s’en donnent à cœur joie, eux aussi. Mais les Américains n’ont, cette fois-ci, sans doute pas commis l’incroyable faute de confier à des entreprises locales les travaux de rénovation de leur ambassade. Comme à Moscou, il y a 50 ans. Ils avaient alors décidé de construire une nouvelle ambassade, dont les travaux furent confiés à des entreprises soviétiques. Résultat : l’ambassade se trouva truffée de micros et fut inutilisable. Il est vrai que les Soviétiques savaient y faire. Une anecdote : à l’époque gaulliste, l’ambassadeur de France à Moscou était tombé sous le charme d’une ravissante Soviétique qui travaillait bien entendu pour le KGB. Il fut filmé dans ses ébats en long et en large, si l’on ose dire. Le KGB tenta de le faire chanter. Il eut l’honnêteté de se dénoncer et fut derechef rapatrié en France. De Gaulle, qui ne manquait pas toujours d’humour, le convoqua et lui posa la question suivante : « Alors, on couche ? »
LE PRÉSIDENT TURC RECEP TAYYIP ERDOGAN ÉVOQUE LA FAMILLE
Erdogan est père de quatre enfants et veut une Turquie « avec une population plus jeune et dynamique ». Il est opposé à la contraception et, bien sûr, à l’avortement. Il vient de déclarer à l’occasion des noces du fils de l’un de ses plus proches alliés, l’homme d’affaires Mustafa Kefeli : «Dans notre pays, les opposants se sont engagés dans la trahison du contrôle des naissances depuis des années, cherchant à assécher notre génération ». « Un enfant, c’est synonyme de solitude, deux de rivalité, trois d’équilibre et quatre d’abondance. Et Dieu prend soin du reste », a-t-il précisé, ce que ne risque pas de déclarer un dirigeant occidental. Erdogan avait déjà provoqué la colère des féministes en novembre, affirmant que les femmes n’étaient pas égales aux hommes… Quand on voit et quand on entend la tenancière de la cage aux folles, on se dit qu’il n’a peut-être pas tout à fait tort. Sauf que « la déménageuse » au côté “hommasse” (dixitSarkozy) entourée de ses pédérastes activistes n’est pas un modèle de féminité, c’est le moins que l’on puisse dire !
“SOUMISSION”, LA FICTION DE HOUELLEBECQ QUI MET L’ISLAM AU POUVOIR
L’écrivain Houellebecq, qui fut prix Goncourt, s’était déjà singularisé par des propos peu amènes à l’encontre de l’islam, déclarant en 2001 au magazine Lire : « L’islam est la religion la plus con ». Une phrase qui lui avait valu d’être poursuivi par plusieurs associations mahométanes pour «injure envers un groupe de personnes en raison de leur appartenance à l’islam » et « complicité d’incitation à la haine raciale ». L’écrivain avait été relaxé. Christine Tasin de Riposte laïque idem. Elle avait déclaré : « l’islam est une saloperie ».
Le thème du livre de Houellebecq ? En 2022, la France est au bord de la guerre civile, à l’issue du second mandat de Hollande. L’élection présidentielle permet à Mohammed Ben Abbès, président de la Fraternité musulmane d’être élu président au second tour face à Marine Le Pen. Grâce au ralliement de l’UMP et du PS, qui ont négocié un accord de gouvernement avec Fraternité musulmane, acceptant deux mesures phares : l’islamisation de l’éducation nationale et l’autorisation de la polygamie. François Bayrou est nommé Premier ministre. Voici la trame deSoumission, le nouveau roman de Michel Houellebecq, à paraître le 7 janvier chez Flammarion.
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jeudi, 15 janvier 2015
Dieudonné, martyr judiciaire sur fond d’irresponsabilité politique
La chronique
de Philippe Randa
Le tact dans l’audace est de savoir jusqu’où aller trop loin, disait Jean Cocteau… Il semble que Dieudonné M’Bala M’Bala ait tweeté très au-delà de la ligne rouge en affirmant : « Je me sens Charlie Coulibaly », ce, en pleine hyper-messe émotionnelle qui a suivi les deux massacres, dans les locaux de Charlie Hebdo et dans l’épicerie cacher de la porte de Vincennes, sans oublier la « fliquette » à laquelle « l’héroïque » Coulibaly avait réglé son compte porte de Montrouge : contrairement aux déclarations d’un deux Frères Kouachi, tuer une femme ne l’a nullement gêné, lui.
Pour ce message pour le moins « inapproprié », il a été décidé de son jugement en correctionnelle pour apologie du terrorisme.
Était-ce là le but recherché par l’intéressé… ou est-il réellement affecté par sa garde-à-vue et sa mise en examen comme l’a déclaré son avocat ? Maître Mirabeau a en effet expliqué que son client n’a jamais voulu faire l’apologie du terrorisme, mais qu’il avait tout simplement« le sentiment qu’on le traite comme un terroriste et c’est pour ça qu’il a accolé les deux noms. »
Il n’est pas certain que dans le climat actuel, la subtilité de cette explication puisse convaincre les juges… d’autant que sa condamnation semble entendue d’avance : comment pourrait-on juger sereinement l’humoriste et envisager, le cas échéant, qu’il échappe à une condamnation, qui plus est très lourde, alors que la quasi-totalité des médias français réclame, une fois de plus, sa tête ?
Une condamnation qui, de toute façon, restera toujours insuffisante pour les uns, détracteurs obsessionnels du personnage, tandis qu’elle confortera ses partisans inconditionnels, persuadés que, dans notre pays, la liberté d’expression est de plus en plus soumise au couperet du « deux poids, deux mesures ».
Quoi que l’on pense de cette « affaire dans l’affaire », deux remarques tombent néanmoins sous le bon sens…
Tout d’abord, les crimes des frères Kouachi, s’ils restent à l’évidence injustifiables(1), répondaient tout au moins à un motif : la vengeance, suite à la provocation des caricatures de Mahomet publiées par l’hebdomadaire satirique.
Tout au contraire, ceux d’Amédy Coulibaly ne répondaient qu’à la simple haine et les victimes, outre la « fliquette », n’étaient que quatre Juifs « anonymes » dont on ignore, et le tueur en premier, ce qu’ils pouvaient même penser du conflit palestino-israélien.
Se référer à un tel tueur est non seulement humainement insupportable, mais qui plus est politiquement scandaleux, venant du tout récent co-fondateur (avec Alain Soral) d’un parti politique baptisé « Réconciliation nationale ».
Si l’Union nationale prônée par le président Hollande a connu un « pschitttt » immédiat par l’exclusion du Front national de celle-ci et que les manifestations du dimanche suivant l’hécatombe sanglante sont apparu à beaucoup comme une gigantesque manipulation de sidération émotionnelle, le « tweet » de Dieudonné n’est à l’évidence pas la meilleure illustration de sa sincérité politique.
On ne peut à la fois reprocher à la Justice française d’appliquer dans ses décisions « deux poids, deux mesures »… et faire de même dans ses positions publiques.
Note
(1) Bien peu de médias ont rappelés qu’ils étaient quasi-unanimement dénoncés par l’ensemble du monde musulman, ainsi que Jean-France Martin l’a rappelé sur le site www.palestine-info.cc : de Lekbir Kotbi, directeur général de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), proche des Frères musulmans, au théologien Tareq Ramadan en passant par La Ligue arabe et les autorités religieuses de la mosquée d’Al-Azhar au Caire, pour ne citer que les plus médiatiquement connus.
13:52 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
10:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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