mardi, 14 avril 2015
Mercredi 22 avril, à Aix-en-Provence : une conférence du Dr Alain de Peretti sur la problématique de l'abattage rituel
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Dimanche 26 avril 2015 : Thomas Joly interviendra lors de la 3e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale
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« Les Africains ne sont pas des Européens pauvres à la peau noire… »
Bernard Lugan
publié sur
Boulevard Voltaire cliquez ici
Vous venez de signer Osons dire la vérité sur l'Afrique cliquez là consacré à l’Afrique noire. Le moins qu’on puisse dire est que le constat que vous en dressez n’est pas des plus brillants. À croire que, pire que la colonisation, il y a désormais la post-colonisation, avec les pillages de richesses, la corruption qui monte, conjointement avec la pauvreté…
En 1962, René Dumont publia L’Afrique noire est mal partie, livre dont le titre était aussi fort que faux car, à l’époque, le monde en perdition n’était pas l’Afrique mais l’Asie, alors ravagée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise, guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises. En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l’Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues sans risquer de se faire attaquer et rançonner… Mais c’était au « temps des colonies », époque devenue « honteuse » et dont il n’est plus permis de parler que d’une manière négative.
Soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant : du nord au sud et de l’est à l’ouest, le continent africain est meurtri. De la Méditerranée aux prolongements sahariens, la dislocation libyenne entretient un foyer majeur de déstabilisation. Dans le cône austral, ce qui fut la puissante Afrique du Sud sombre lentement dans un chaos social duquel émergent encore quelques secteurs ultra-performants, cependant que la criminalité réduit peu à peu à néant la fiction du « vivre ensemble ». De l’Atlantique à l’océan Indien, toute la bande sahélienne est enflammée par un mouvement à la fois fondamentaliste et mafieux dont les ancrages se situent au Mali, dans le nord du Nigeria et en Somalie ; plus au sud, la Centrafrique a explosé, cependant que l’immense République démocratique du Congo n’en finit pas de mourir.
Humainement, le désastre est total avec des dizaines de milliers de boat people qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « Terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont permanentes, les infrastructures de santé ont disparu comme l’a montré la tragédie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, l’insécurité est généralisée et, contrairement à ce qu’affirment médias et « spécialistes », la pauvreté atteint des niveaux sidérants.
Économiquement, et à l’exception d’enclaves dévolues à l’exportation de ressources minières confiées à des sociétés transnationales sans lien avec l’économie locale, l’Afrique n’existe pas, même si certains pays-comptoirs connaissent une réelle prospérité.
Dans l’un de vos récents ouvrages, vous souligniez cette erreur commise par l’Occident consistant à croire que les Africains n’étaient que des Européens pauvres à la peau noire… Vouloir emprunter et imposer une culture étrangère au peuple ne serait-il pas l’une des errances majeures des dirigeants post-coloniaux ?
Selon moi, quatre grandes raisons expliquent ces échecs :
• La priorité donnée à l’économie : dans tous les modèles proposés ou imposés à l’Afrique subsaharienne, l’économique a en effet toujours été mis en avant. Or, les vrais problèmes du continent sont d’abord politiques, institutionnels et sociologiques. Ils découlent largement de la non-prise en compte de la réalité humaine qui est à base ethnique. Certes, l’ethnie n’explique pas tout, mais rien ne s’explique sans l’ethnie.
• Le refus d’admettre la différence : les Africains n’étant pas des Européens pauvres à la peau noire, c’est parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou de l’Asie, que les modèles transposés n’y ont pas réussi. Et si la greffe européenne n’a pas pris sur le porte-greffe africain, c’est parce que, comme le dit le proverbe congolais, « l’arbre qui pousse sur le bord du marigot ne deviendra pas crocodile… » Et cet échec s’explique parce que tous nos modèles sont à la fois universalistes et individualistes, alors que le corps social africain est communautaire et enraciné.
• Le diktat démocratique imposé à l’Afrique durant la décennie 1990. Il fut postulé que, si le développement avait échoué, c’était par déficit de démocratie. Voilà pourquoi l’Afrique a subi, et subit encore, un véritable « diktat démocratique » avec pour résultat que le pouvoir revient automatiquement aux ethnies les plus nombreuses grâce à l’ethno-mathématique électorale.
• La démographie suicidaire : plus rapide que les créations d’infrastructures, elle va provoquer des cataclysmes dont il est difficile d’imaginer l’ampleur.
Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.
Osons dire la vérité sur l'Afrique, Éditions du Rocher, 223 pages, cahier de cartes couleur. 21 euros.
Les lecteurs souhaitant une dédicace peuvent commander directement le livre à l’Afrique Réelle (BP 45- 42360 Panissières) en ajoutant 6 euros de frais de port (colissimo exclusivement). Ne pas oublier de communiquer votre adresse électronique).
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Daniel Conversano à Amiens
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Jean-Marie Le Pen face à la meute
Jacques Martinez Boulevard Voltaire cliquez ici
Les Français sont divisés en deux communautés : celle des « bien-pensants » assiégés par celle de leurs opposants. Mme Marine Le Pen vient de passer des assiégeants aux assiégés, laissant son père du « mauvais » côté du mur…
La présidente du Front national était dans le camp des « mal-pensants » jusqu’au lendemain du poisson d’avril, le 2 avril, jour où Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV-RMC, voulant faire un coup – ce qui n’est un détail pour aucun organe de presse -, est revenu sur des déclarations en 1987 sur RTL (dont Jean-Jacques Bourdin était l’un des journalistes à l’époque), déclarations de celui qui était alors président du FN. Et selon la signification attribuée au mot réitéré – « partie d’un tout » ou « insignifiance », comme l’a si bien analysé Marc Tortarolo (« Et si on apprenait à parler français avant de se pincer le nez ? », Boulevard Voltaire du 8 avril 2015) -, c’est de nouveau la ruée ou plutôt l’hallali pour « enfin tuer la bête immonde » !
La fille ne voulant pas être une victime collatérale de la chasse à courre lancée contre son père s’est faufilée dans la meute, fermement tirée par la main par son plus proche conseiller. Cela en adoptant les arguments de cette meute pour s’y fondre au mieux. Meute emmenée de main de maître par les bien-pensants, tout naturellement de gauche – même ceux qui, opposés aux grandes chasses, ne vénèrent pas saint Hubert – et aux traces desquels colle tout ce qui est centre et quasiment toute la droite.
Le vieux sanglier a-t-il voulu cette sortie ? L’a-t-il préparée ? A-t-il prévu la souille où il s’allongera en attendant la meute ? Ou a-t-il plutôt anticipé un repli vers une bauge au plus profond de la forêt ? Là où plus aucun de ses poursuivants, même pas l’un de ses marcassins, ne pourra le rejoindre ? Sinon, peut-être, un marcassin de la troisième génération qui semble mieux le comprendre et qui, dans quelques années, supplantera le marcassin de la deuxième génération, celui qui vient d’intégrer la meute bien-pensante ?
Le vieux sanglier voit sa compagnie – dénomination d’une famille de sangliers – se disloquer… Est-il encore en âge d’en former une autre ? C’est possible, d’autant qu’à sa hure sont encore accrochées des défenses très acérées, longuement aiguisées au fil de décennies d’un combat politique souvent tumultueux. Et comme ne cessent de le répéter les commentateurs, « son pouvoir de nuisance est intact » car, tout le monde le sait, à droite n’existe qu’un « pouvoir de nuisance », jamais, au grand jamais, de « pouvoir de bienfaisance »… La « bienfaisance » est réservée à ceux de la meute.
Pourtant, si l’ensemble de l’électorat s’est, au fil des années, « droitisé » au détriment surtout de l’extrême gauche mais aussi du PS et de ses alliés dont les écolos, « droitisé » bien évidemment au bénéfice de l’UMP/UDI, n’est-ce pas parce que le FN a tiré et a attiré ces électeurs vers la droite ? Et le vieux sanglier n’y est-il pas pour une part, même petite ? Grâce, entre autres, à son « pouvoir de nuisance » ?
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Réaction de Renaud Camus après sa condamnation en appel
Un communiqué du
Parti de l'in-nocence :
Le parti de l’In-nocence prend acte avec tristesse et indignation, mais sans surprise, de la condamnation en appel, sur requête du Mrap, de son président Renaud Camus pour le discours qu’il a prononcé le 18 décembre 2010 aux Assises sur l’islamisation, “La nocence, instrument du Grand Remplacement”.
Le parti de l’l’In-nocence, à l’heure de ce communiqué, ne connaît pas encore les attendus de l’arrêt mais il y attache la plus grande importance. De deux choses l’une, en effet :
— ou bien Renaud Camus est condamné pour avoir parlé de la colonisation démographique dont la France et l'Europe font l’objet, de la conquête en cours, du Grand Remplacement et du rôle que joue la délinquance dans la prise de contrôle du territoire par ses nouveaux maîtres ; et, comme c’est exactement ce qu’il a fait, sa condamnation prouve simplement que l’énoncé de ces tragiques vérités est désormais criminalisé, ce qui n’est pas très étonnant.
— ou bien Renaud Camus est condamné, comme la première fois, pour avoir mis en cause l’honnêteté de tous les musulmans, pour les avoir traités de “voyous”, pour avoir dit qu’ils étaient les soldats de la conquête et pour avoir incité à la violence à leur égard, non pas expressément, sans doute, mais au seul motif qu’il ne proposerait rien politiquement, alors que ce communiqué-ci est le mille huit cent dix-huitième du parti qu’il préside, que le programme de ce parti constitue un programme de six cents pages (où non seulement ne se trouve pas, non plus qu’en les communiqués, la moindre incitation à la violence mais où elle est constamment répudiée et condamnée), sans compter qu’il prenait la parole, le 18 décembre 2010, en tant que candidat à la candidature pour la présidence de la République, une initiative éminemment politique ; et, en ce cas-là, si ces motifs-là sont de nouveau retenus, bien qu’ils soient totalement contraires à la plus évidente vérité et qu’ils prêtent arbitrairement à Renaud Camus et à son parti les sentiments, les convictions et les intentions les plus éloignés de ceux qui sont vraiment les leurs, alors cette condamnation montre que plus aucun citoyen n’est à l’abri de l’arbitraire remplaciste des juges.
10:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 13 avril 2015
Jean-Marie Le Pen siffle la fin de la récré...
Un communiqué de Jean-Marie Le Pen :
Je dois d’abord dire que je suis navré de voir que l’espace public de liberté, tant d’opinion que d’expression, ne cesse de se réduire dans notre pays et même dans nos rangs.
Et pourtant, nous avons longtemps professé, à l’instar de Saint-Jean, que « c’est la Vérité qui nous rendra libre » et j’ai toujours dit que je préférais être battu sur mes idées qu’élu sur celles de mes adversaires.
Je n’ai pas changé !
Je ne ferai rien qui puisse compromettre la fragile espérance de survie de la France que représente le Front National avec ses forces et ses faiblesses.
Elu par le Congrès de Tours Président d’Honneur du Front National, après l’avoir fondé et conduit dans une constante adversité pendant une quarantaine d’années, je pensais être une bonne « locomotive » pour conduite la liste aux élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
En effet, j’y avais obtenu plus de 33% des voix et fait élire cinq députés aux dernières élections européennes et avais l’appui de la grande majorité des conseillers régionaux dont je suis le Président de groupe.
Une crise grave a été ouverte au Front National, au prétexte de deux interviews, l’une à RMC-BFMTV et l’autre à l’hebdomadaire Rivarol.
Ceci ne justifiait pas le hourvari qu’on a déclenché dans nos rangs au risque d’affaiblir dangereusement notre mouvement.
Je ne serai pas complice de cette manœuvre.
C’est pourquoi, j’ai décidé de ne pas être candidat aux élections régionales.
Je remercie chaleureusement tous ceux, personnalités, élus, responsables, militants, qui m’ont apporté leur soutien dans cette épreuve, et tout particulièrement mon ami, le député Bruno Gollnisch.
Je leur demande, dans l’intérêt supérieur de la France, de soutenir la candidature de Marion Maréchal-Le Pen, député du Vaucluse.
Tant que Dieu me prêtera vie, je resterai à ma place au poste de combat.
Saint-Cloud, le 13 avril 2015
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Réinfo, le mag télévisé du Parti de la France de cette semaine
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Le trotskisme dégénéré débusqué par Patrick Gofman
En vente en ligne cliquez là
ou en version e-book cliquez ici
Jeudi 16 avril, à 20 h, Patrick Gofman est invité par le cercle Dextra de Versailles pour donner une conférence sur "le trotskisme dégénéré" (3, rue de la Pourvoirie - près de la Gare Versailles Rive Droite).
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Samedi 25 avril : colloque de l'Institut ILIADE à Paris
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dimanche, 12 avril 2015
Dans Valeurs actuelles de cette semaine, un entretien Bruno de Cessole / Jean Raspail
Valeurs actuelles cliquez ici
23:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Carl Lang sur BFM TV (jeudi 9 avril)
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Jean-Marie Le Pen sur Radio Courtoisie (mercredi 8 avril)
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samedi, 11 avril 2015
Un numéro hors-série de Présent consacré à l'islam :
Présent cliquez ici
21:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Tous le dimanche 26 avril à Lille à la 3e Journée régionale de Synthèse nationale
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Bretons contre la drogue : samedi 25 avril à Vannes
12:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Gabriele Adinolfi dédicacera ses deux derniers livres ce samedi 11 avril à la Librairie Facta
Librairie Facta cliquez ici
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Pour l'amitié franco-italienne et le soutien à la Casapound
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La mairie de Béziers dénonce la fermeture injustifiée des Galleries Lafayette
Robert Ménard, maire de Béziers, a entrepris une campagne d'affichage dans sa ville pour dénoncer l'attitude de Ginette Moulin, propriétaire des Galeries Lafayette, dont le magasin va fermer dans la cité bitteroise. « Cette femme possède deux milliards d'euros mais elle en veut encore plus! », « 2015: elle ferme son magasin de Béziers... 2016: elle en ouvre un au Qatar », « Galeries Lafayette : Le fric vite plus fort », sont écrits sur les 130 affiches placardées partout en ville, autour d'un portrait peu flatteur de Ginette Moulin.
Les magasins de Thiais - 127 salariés et 80 démonstrateurs (personnels employés par des marques) - et Béziers - 50 salariés et 30 à 40 démonstrateurs - sont condamnés à fermer à la fin 2015. Celui de Lille - 151 salariés et environ 70 démonstrateurs, selon la CGT - est en suspens.
Journal du chaos
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Affaire Le Pen contre Le Pen : Rivarol s'explique
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La Gauche et ses couards !
La chronique de Philippe Randa
Cette fois, il va être difficile à la Gauche de dénoncer la droite dite extrême après le suicide de Jean Germain, sénateur socialiste et ex-Maire de Tours… Les accusations ne proviennent pas comme pour Roger Salengro en 1936 d’une campagne de presse – celle de L’Action française, relayée ensuite par Candide – qui cloua au pilori ce ministre du Front populaire pour avoir été un déserteur durant la Grande Guerre.
C’est en effet la Justice de la République qui comptait réclamer sous peu des comptes à Jean Germain pour « complicité dans l’organisation de simulacres de mariage »…
Politiciens et journalistes se contentent de jouer sur le registre de l’émotionnel pour les premiers, de la défense du droit à l’information pour les seconds, alors qu’une évidence interpelle plus probablement le citoyen-électeur, celui qui se réfugie dans l’abstention tout autant que celui qui se détourne désormais de l’UMPS : qui peut croire qu’un innocent se suicide – quelle que soit l’accusation – alors qu’il allait avoir la possibilité de se défendre pour obtenir (peut-être) de la Justice qu’elle lave son honneur ?
Jean Germain, par peur d’affronter la Justice, laissera donc le souvenir d’un élu corrompu dans le souvenir de ses contemporains d’abord ; dans la petite histoire de la République ensuite.
Et supportera désormais pour toujours la même tunique de Nessus de couardise que Roger Salengro.
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Dimanche 10 mai : défilé de Civitas pour Jeanne d'Arc
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vendredi, 10 avril 2015
Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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Samedi 9 mai, à Paris :
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert Spieler - Rivarol n°3182 - 2 avril 2015
LA “SAGA DES RÉPARATIONS”
Les lecteurs du récent numéro de RIVAROL ont lu l’interview d’Anne Kling concernant son dernier (et remarquable) livre, « Shoah (indispensable de le lire !) : La saga des réparations ». Il s’agit des réparations que les organisations juives n’ont cessé d’exiger de toutes les nations européennes, complices, comme on le sait, de la shoah. On se rappelle notamment du racket dont la SNCF fut récemment l’objet : elle était coupable d’avoir transporté des déportés dans ses trains, et dut lourdement cracher au bassinet, faute de quoi les organisations juives l’empêcheraient de décrocher tout contrat aux Etats-Unis. Les réparations ainsi obtenues, multipliées, démultipliées, surmultipliées à l’infini ont fini par donner des idées à certains. Plus de huit cents cheminots de nationalité ou d’origine marocaine demandent “réparation” à la Société nationale des chemins de fer (SNCF) pour discrimination durant leur carrière. L’affaire est jugée depuis le lundi 23 mars aux prud’hommes de Paris. La plupart des plaignants ont été recrutés au Maroc au début des années 1970 par la SNCF. Embauchés comme contractuels, avec un contrat de droit privé, ils ne relèvent pas du statut particulier des cheminots. Qu’à cela ne tienne. Le statut de cheminot était réservé aux détenteurs de la nationalité française (aujourd’hui ouvert aux ressortissants européens), pourquoi les ressortissants marocains, européens de souche comme on le sait, n’en bénéficieraient-ils pas ?
HITLER TOUJOURS VIVANT ?
Le site du quotidien Le Monde nous fait connaître une grandiose nouvelle. Des archéologues argentins affirment avoir découvert un repaire nazi dans la jungle. On savait que Hitler ne serait pas mort, mais qu’à la fin de la guerre, il se serait réfugié au lac Titicaca et qu’il préparerait son retour, style Bonaparte, retour de l’île d’Elbe, Waterloo en moins. Mais voici que des archéologues argentins pensent avoir découvert un repaire nazi secret dans la forêt du nord du pays, à la frontière du Paraguay. Il s’agit de trois structures de pierres maçonnées, à demi effondrées et rongées par la végétation. Ils y ont trouvé des pièces de monnaie allemandes des années 1940, de la porcelaine et des inscriptions nazies. Tout ceci dans un lieu éloigné de toute civilisation et tout à fait inaccessible à l’époque. Un lieu qui est de surcroît situé à dix kilomètres du Paraguay, dont on a connu l’appétence pour le nazisme. Les archéologues, complotistes en diable, expliquent : « Apparemment, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont développé un projet secret : construire des abris pour des dignitaires du régime en cas de défaite, sur des sites inaccessibles : au milieu du désert, dans les montagnes, sur une falaise ou au milieu de la jungle, comme ici ». Mais, explique le site du Monde, cette cache n’aurait finalement pas été utilisée, puisque nombre de dirigeants nazis seront ouvertement accueillis en Argentine après la chute du régime, et autorisés à y vivre sans se cacher. Et de citer Klaus Barbie (chef de la Gestapo à Lyon), Walter Kustchmann (un des chefs de la Gestapo en Pologne), Ante Pavelic (chef du régime oustachi en Croatie) ou encore Eduard Roschmann (« le Boucher de Riga »). Quant au docteur Mengele, il séjourna longuement et paisiblement en Argentine sous sa véritable identité avant de se réfugier au Paraguay en 1960, après l’enlèvement d’Adolf Eichmann par un commando israélien dans la banlieue de Buenos Aires. Au fait, sans doute avez-vous déjà vu, en France et surtout en Allemagne, des panneaux “Mengele” surmontant des concessions de machines agricoles. Il s’agit en fait d’une société appartenant à la famille de Mengele qui lui apporta son discret soutien financier, jusqu’au bout, dans son périple.
VOTEZ FN, VOUS SEREZ PAYÉ !
Un site, lancé récemment, propose de rémunérer les électeurs qui peuvent apporter la preuve qu’ils ont voté FN au premier tour des élections départementales. En échange d’une photo prise dans l’isoloir et montrant leur bulletin de vote pour le parti de Marine Le Pen, il leur est en effet promis la somme de 5 euros créditée sur leur compte PayPal. Les fonds proviendraient d’un groupement d’investisseurs privés. Il s’agit évidemment d’un canular que n’apprécie absolument pas Marine Le Pen qui envisage de porter plainte. Le Belge de 24 ans (méfions-nous des Belges, on ne le dira jamais assez) à l’origine de ce site a expliqué que son initiative n’avait aucun lien avec le FN et que son objectif était d’“emmerder” le parti d’extrême droite.
DES CANDIDATS “RACISTES ET FASCISTES” À CALAIS
Le Parti de la France de Carl Lang présentait des candidats dans le canton de Calais 2, ce qui, a priori, est son droit. Ils ont obtenu le score tout à fait honorable de 3,3 %. Le candidat du Front National, Rudy Vercucque, présent au second tour face aux socialistes, a cru intelligent de déplorer dans la presse locale le score « trop élevé » du Parti de la France et de « ses candidats racistes et fascistes ». Par conséquent, le Parti de la France n’a donné aucune consigne de vote pour le second tour.
MANUEL VALLS, UN “MUSSOLINI MOITIÉ TRISOMIQUE” ?
Dieudonné était poursuivi en justice pour injure à l’encontre du Premier ministre Manuel Valls, qu’il avait qualifié de « Mussolini moitié trisomique ». Le tribunal correctionnel de Paris vient de le relaxer, considérant que les propos « s’inscrivent dans le cadre d’une polémique politique ». Dieudo avait, dans une vidéo, qualifié celui qui était alors ministre de l’Intérieur de “brêle”, et de « petit soldat israélien veule et docile ». Une fois n’est pas coutume, félicitons les juges qui ont ajouté : « Que l’on apprécie ou non le ton de l’auteur, son propos est l’expression d’une opinion politique, visant un personnage public, dont les choix amènent tant à solliciter les suffrages qu’à se soumettre à la critique ». Las, une hirondelle ne fait pas le printemps et l’on ne saurait d’une manière générale « faire confiance à la justice de notre pays ».
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
02:17 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LE PEN A DIT LA VERITE, IL DOIT ETRE EXECUTE !
Pieter Kerstens
Parce que le président-fondateur du Front National répète inlassablement des détails irréfutables et avérés de l’Histoire, mais à l’encontre de la Pensée Unique et du Politiquement Correct, outre ses analyses critiques et dérangeantes.
Car les crimes contre l’Humanité et les génocides ne sont pas des cas particuliers ni un monopole du IIIème Reich. Bien avant, à la fin du XIXe siècle, les anglais ont initié des camps de concentration en Afrique du Sud pour y emprisonner les femmes, les enfants et les parents des Boers, afin de contraindre ceux-ci à se rendre et à déposer les armes.
Le 24 avril 1915 les Turcs avaient déclenché le génocide des arméniens, aussi horrible que la découverte 30 ans plus tard des camps de la mort en Allemagne. Après la seconde guerre mondiale les démocrasseux ont constitué l’ONU pour en finir avec les massacres sur la planète. Peine perdue.
En 1975, le 17 avril (coïncidence : le même jour où le sort de Jean-Marie Le Pen sera évoqué au Bureau Politique du FN), les Khmers Rouges défilaient à Phnom-Penh, ayant chassé le maréchal Lon Nol, dans un concert de louanges et encensés par les socialo-écolo-marxistes européens. Bilan ? L’extermination de 25% de la population du Kampuchéa Démocratique ! Silence dans les rangs….
Plus près de nous, en avril 1994, le génocide rwandais a conduit le pays des mille collines dans un bain de sang imaginé, planifié et organisé par un machiavel africain toujours au pouvoir et protégé par les anglo-américains.
Ceci en ce qui concerne certains « détails » de l’Histoire qui dérangent encore les laquais du Nouvel Ordre Mondial, détails parmi tant d’autres au XXème siècle, comme les dizaines de millions de zeks disparus dans le Goulag d’U.R.S.S. ou les dizaines de millions de victimes des laogaïs chinois depuis 1950. R.I.P.
On peut tout de même s’interroger quant à cet acharnement contre Jean-Marie Le Pen, lorsqu’il exprime son point de vue au micro de RMC et lors une interview dans « Rivarol », en répondant aux questions posées. Il y a quelques semaines tout l’Hexagone avait défilé contre le terrorisme et pour défendre la liberté d’expression, sous le slogan « Je suis Charlie » ! Une liberté d’expression à géométrie variable ? Va-t-on bientôt devoir passer un examen pour avoir le droit de penser ? De s’exprimer ? De se réunir ? D’écrire en toute liberté ? Au nom de la Pensée Unique ?
Nous sommes nombreux à avoir subi les foudres de la Justice et les ciseaux d’Anastasie, parce que nous savions pertinemment que l’Histoire est écrite par les vainqueurs et que les libertés sont jugulées par ceux qui gouvernent.
Non seulement les hyènes de la secte politico-médiatique harcèlent leur proie, mais on entend aussi les petits roquets prétendus « patriotes » réclamer la tête du trublion. C’est mal connaître J-M Le Pen. Jamais il ne fera repentance ni un mea-culpa ou encore son autocritique. On ne le verra pas la corde au cou supplier le pardon des offenses devant les micros ou les caméras. La meute l’entoure, mais il fait face : debout !
Aujourd’hui : « JE SUIS JEAN-MARIE » !
02:12 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 09 avril 2015
Ma seule boussole est celle de la persévérance dans notre combat politique
Bruno Gollnisch :
Attaché comme je l’ai toujours prouvé à l’unité de notre mouvement, je ne souhaite pas participer à des polémiques sur des sujets qui sèment la division, dont la plupart des commentateurs n’ont au mieux qu’une connaissance livresque, et dont la discussion est de surcroît judiciairement interdite par l’effet pervers de législations liberticides.
L’actualité politique, économique, sociale ou « sociétale» fournit un nombre plus important de sujets en phase avec les préoccupations de nos compatriotes, et en lien avec le mandat parlementaire que j’exerce.
Le respect de la discipline de notre mouvement, la légitime et fructueuse direction de sa présidente, l’accueil de personnalités de qualité venant d’autres horizons doctrinaux me paraissent pouvoir être compatibles avec la liberté d’expression de Jean-Marie Le Pen, à qui nous devons l’existence même du Front National et sa progression au milieu de tant d’épreuves passées.
Il n’y a aucune raison de sacrifier quelque composante de notre mouvement que ce soit en raison d’une diabolisation artificiellement entretenue, ni de maintenir un climat de tension que chercheraient à nous imposer nos adversaires, responsables du terrifiant déclin de notre pays.
Ma seule boussole est celle de la persévérance dans notre combat politique, avec tous les patriotes sincères, qui, dans leurs différences, voire leurs oppositions passées, sont les bienvenus sur ce qui nous unit : la défense de la France et des Français d’abord.
11:22 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un entretien avec Bruno Mégret publié dans Le Point
Lors du premier contact téléphonique, Bruno Mégret hésite. Pourquoi commenterait-il la vie politique puisqu'il s'en est retiré depuis déjà sept ans ? Il demande 24 heures pour apporter une réponse définitive, mais ne peut s'empêcher de commencer à analyser la progression du FN avant de raccrocher. Rendez-vous est finalement donné dans un café du 7e arrondissement où le retraité a ses habitudes. Il arrive avec une minute de retard, habillé de son traditionnel costume-cravate. L'ancien bras droit de Jean-Marie Le Pen est détendu. Il rit souvent et prend son temps pour répondre à nos questions...
Comment analysez-vous la progression électorale du Front national depuis que Marine Le Pen a pris les commandes ?
Marine Le Pen a mis en œuvre une partie de la stratégie qui était la mienne. Elle a mené une action efficace de dédiabolisation comme celle que je souhaitais conduire et qui m'avait amené à entrer en conflit avec son père, conflit qui a provoqué la scission entre les partisans de Jean-Marie Le Pen et les miens en 1999. À l’époque, je voulais déjà en finir avec les dérapages et les références sulfureuses qui empêchaient le FN de progresser.
Elle a aussi, comme je l’avais fait, engagé une stratégie d'enracinement territorial pour disposer partout en France d'élus et de structures qui puissent relayer l’action et le discours. Enfin, elle affiche l’objectif clair d’arriver au pouvoir. La politique en effet n'est pas faite pour témoigner. Elle n’a de sens que dans l’exercice du pouvoir pour servir un idéal au bénéfice de nos compatriotes et de notre nation.
De ce point de vue, les résultats de Marine Le Pen sont au rendez-vous.
Pourquoi Marine Le Pen a-t-elle réussi à mettre cette stratégie en place alors que vous avez échoué ?
Elle a pu le faire parce qu’elle est la fille de son père. Le Pen a toléré de sa part ce qu'il refusait obstinément lorsque cela venait de moi.
Elle s’appuie aujourd’hui sur les anciens cadres du MNR comme Nicolas Bay, ou Steeve Briois. Vous ne considérez pas ça comme une trahison de leur part ?
Maintenant que je suis en retrait de la politique, je ne vais pas reprocher à d'autres de continuer là où ils pensent pouvoir être utiles.
Que manque-t-il au FN pour arriver au pouvoir ?
Ce qui crée la dynamique électorale du Front aujourd'hui, c'est la dédiabolisation assortie paradoxalement d’une très forte image anti-système héritée de son passé, mais c’est aussi et surtout l'aggravation du sort des Français et le rejet de la classe politique. De ces quatre facteurs, seule la dédiabolisation résulte d’une action volontariste du parti. Pour arriver au pouvoir, tout reste donc à faire. Le défi principal que le FN doit relever est celui de la crédibilité. Car les électeurs qui votent FN le font par exaspération et par colère et non par adhésion à son programme. Celui-ci, notamment sur la question économique, manque en effet de réalisme. Il est absurde de vouloir se mettre à la remorque de la gauche sur les retraites, sur les 35 heures et sur toute une série de dispositions dont on mesure aujourd'hui combien elles sont pénalisantes pour l'économie française.
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Ce jeudi soir, vous pourrez suivre en direct la conférence parisienne de Gabriele Adinolfi sur votre ordinateur...
Jeudi 9 avril à 19 h 30, Gabriele Adinolfi présentera son nouveau livre «L’Europe» cliquez là en avant première au Crabe Tambour à Paris.
Pour ceux qui ne sont pas franciliens, il est possible de suivre la conférence en streaming où que vous soyez. De votre ordinateur ou de votre i-phone vous pouvez vous connecter et également poser des questions en direct en msg. Il suffit de linker jeudi 9 (pas avant 19 h 30) sur cliquez ici et de vous inscrire, vous serez connecté immédiatement.
00:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jeudi 16 avril, François Foucart aux Ronchons
00:43 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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