jeudi, 30 octobre 2014
Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
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mercredi, 29 octobre 2014
Samedi 18 octobre, sur Radio Courtoisie, Pascal Lasalle recevait Georges Feltin-Tracol pour son dernier ouvrage "En Liberté surveillée" et sa biographie de Thierry Maulnier
Georges Feltin-Tracol nous parle de ses deux derniers livres.
Pour écouter l'émission cliquez ici
En liberté surveillée cliquez là
Biographie de Thierry Maulnier cliquez ici
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On ne badine pas avec Zemmour
Caroline Parmentier
Présent cliquez ici
La zemmourisation des esprits est-elle en train de devenir un phénomène de société ? Son livre s’arrache à 15 000 exemplaires par jour. Et selon Le Parisien, 37 % des Français se disent « d’accord avec les thèses qu’il développe dans Le suicide français ». 37 % ? Zemmour président !
37 % c’est d’autant plus considérable que les questions sont posées de telle façon que l’on vous donne l’impression que vous êtes pour le régime de Vichy si vous y répondez favorablement. 37 % bien qu’ils soient tous comme des chiens après lui. La grande meute bobo. Les Ruquier, les Cohen, les Salamé, Caron, Elkrieff, Denisot, Anne-Elizabeth Lemoine, Bourdin, etc.
37 % malgré les inquisiteurs (qu’il domine à cent coudées intellectuellement) et les réquisitoires (qu’il balaie avec courage et talent). Malgré les mantras, les anathèmes, les formules de sorcellerie des manitous du PAF, toujours les mêmes depuis des décennies.
500 pages, trois ans de travail. Le livre d’Eric Zemmour est brillant, rageur, dépressionniste et impressionnant. Il entre dans le lard de l’idéologie dominante et des vaches sacrées du système et revient sur 40 ans de destruction et d’escroquerie intellectuelle. En faits historiques, sociétaux, en chansons, en films, en séries télés, en matches de foot. Il a remplacé en numéro un des ventes le règlement de comptes ravageur et destructeur de Valérie Trierweiler. Ce qui en dit long sur l’état de fureur des Français ! Les Français se sont reconnus dans ce que dit Zemmour.
Profitons-en bien, car combien de temps encore avant qu’il ne soit déclaré infréquentable ? Malgré ses contacts et malgré ses réseaux, malgré le système auquel il a longtemps appartenu. Banni des grands médias et des grandes maisons d’édition. Et pour cela ils n’ont eu de cesse les uns après les autres de lui faire dire pour qui il vote. Une obsession. Est-ce à ce moment-là qu’il aura définitivement franchi la ligne jaune ? De mémoire humaine en effet il n’a jamais existé de journaliste ou de chroniqueur invité à la télévision qui vote Le Pen.
« Je décide d’utiliser le système contre le système », déclare Zemmour au Figaro Magazine. Il y a quelques années à ce petit jeu-là le système aurait eu sa peau. Qui sait si en ces temps si troublés : saison des Zemmour, du Printemps français, de la Manif pour tous et du FN donné au premier tour à la présidentielle, la peur ne va pas finir par changer de camp ?
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De Calais à Nice : Carl Lang et le Parti de la France
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A Strasbourg l'opposition à la nouvelle mosquée s'organise
Soutenez la future manif contre la mosquée de Strasbourg cliquez ici
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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Northmen Impakt interrogé par Daniel Conversano lors de la 8e Journée de Synthèse nationale
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mardi, 28 octobre 2014
Ukraine : la démocratie inutile La partition entérinée par les urnes
Jean Bonnevey
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Si l’on en croit nos médias, une vague pro-occidentale a déferlé sur l'Ukraine. Le problème c’est qu’elle n’a pas plus de sens que la vague pro-russe qui a submergé la Crimée. En fait le pouvoir de Kiev a organisé des élections pour se conforter, mais en se confortant il a également renforcé la partition de fait entre les deux Ukraine.
Faite voter en temps de guerre des régions acquises et non pas la totalité de la population, c’est une drôle de conception tout de même de l’unité du pays et de la démocratie représentative. Les sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote, dont les chiffres ont été rendus publics à leur fermeture, donnaient environ 70 % des voix aux cinq mouvements pro-occidentaux, pour certains aux tonalités nationalistes. Ils devront se partager le pouvoir, aucun d'eux ne se détachant largement. Selon les résultats portant sur 10 % des circonscriptions, le Bloc Petro Porochenko du chef de l'État arrive comme prévu en tête avec 21,9 % des suffrages, suivi du Front populaire du Premier ministre Arseni Iatseniouk (21,6 %).
Le scrutin, au taux de participation limité à 53 %, est toutefois marqué par le maintien d'anciens alliés de l'ex-président pro-russe Viktor Ianoukovitch, à l'inverse du Parti communiste menacé, événement historique, de disparaître de l'Assemblée. Aucune majorité des partis démocratiques donc mais une victoire des pro-occidentaux dont certains à tendance fasciste comme personne ne le nie et le maintien d’une minorité favorable à une synergie avec la Russie, minorité massivement majoritaire dans les territoires qui n’ont pas voté.
La victoire du Bloc Petro Porochenko est moins large que prévue, tandis que les scores du Front populaire et de Samopomitch (13 % selon les sondages), parti composé de jeunes représentants de la société civile et de combattants revenus de l'Est, ont surpris. En revanche, avec près de 8 %, le Bloc d'opposition, regroupant plusieurs figures de l'ancien Parti des régions de Viktor Ianoukovitch, dépasse ce seuil. Suivent le Parti radical du populiste Oleg Liachko (6 %), les nationalistes et radicaux de Svoboda (6 %) et le parti Batkivchtchina de l'ancienne Première ministre Ioulia Timochenko (6 %). À Donetsk, principal fief des rebelles, les habitants ont ignoré les élections et attendent celles que les séparatistes prévoient d'organiser le 2 novembre.
Nos médias parleront-ils alors de vague pro-russe, sans doute pas et pourtant il s’agit de la même chose. C’est à dire de l'utilisation de la démocratie comme confirmation des choix divergents d’une population dans un pays qui n’est plus unitaire mais bien divisé de fait comme le prouvent les urnes.
Encore une fois il faut être pragmatique et, au-delà de l’idéologie, accepter de séparer pour éviter le pire ceux qui ne veulent pas ou ne veulent plus vivre ensemble.
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Notre vocabulaire...
Il s’agit de l’intervention inaugurale de Georges Feltin-Tracol à la 8e Journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale du 12 octobre 2014 à Rungis.
Source Europe maxima cliquez ici
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Chers Amis,
À l’été 1993, dans Foreign Affairs, la revue du C.F.R. (en anglais Conseil des relations étrangères), un cénacle mondialiste installé aux États-Unis, paraissait un article du professeur Samuel P. Huntington sur « Le choc des civilisations » (1). Cet enseignant de Harvard répondait ainsi à la thèse de la fin de l’histoire lancée en 1989 par le futur ex-néo-conservateur étatsunien d’origine japonaise Francis Fukuyama (2). Trois ans plus tard, Huntington sortait de cet article son célèbre essai avec la fameuse expression polémologique (3).
Grâce à cet universitaire d’outre-Atlantique, le concept de civilisation prenait un sens polémique certain, même si la civilisation ici définie contient des confusions non négligeables. En effet, Samuel P. Huntington y mentionne une civilisation occidentale qui couvrirait l’Amérique du Nord, l’aire européenne chrétienne romano-protestante, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Il s’agit de l’actuel Occident atlantiste.
Huntington n’est pas le seul à associer l’Europe, l’Amérique et l’Occident dans une même collectivité. Dès 1985, le sociologue français Jules Monnerot estimait qu’« il faut souhaiter aujourd’hui une étroite concertation avec tous les États dont les lois témoignent des mêmes tendances que les nôtres et qui prolongent avec nous la même filiation de cultures, la même lignée de civilisation. C’est ce que j’appelle la préférence occidentale. Derrière l’alliance avec les États-Unis d’Amérique. Derrière l’Europe totale, encore future mais plus que jamais nécessaire, nous devons reconnaître en nous-mêmes, comme variante historique d’époque de notre identité nationale française, un patriotisme de civilisation (4) ».
Il va de soi que la théorie de Huntington ne nous convainc pas, car elle néglige toutes les différences essentielles entre l’Occident américanomorphe dont il se fait le porte-parole et notre vision de l’Europe. Nous tenons à l’originalité existentielle d’une civilisation européenne qui ne serait pas la pâle copie d’une production atlantiste.
Depuis Oswald Spengler et son célèbre Déclin de l’Occident (5), on connaît la dichotomie entre la civilisation et la culture. D’après Spengler, la culture incarnerait pour les peuples le moment ascendant de leur histoire. Puis viendrait le temps de la civilisation avec une lente et longue déperdition d’énergies vitales collectives, l’engoncement, les rigidifications structurelles jusqu’à la nécrose, l’agonie et la disparition.
09:27 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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120 pages, 12 €
Au sommaire du n°37 (septembre octobre 2014) :
● Editorial de Roland Hélie : Redonner un sens à notre Nation et à notre Civilisation…
● La France au bord du gouffre… Robert Cléry
● Les errements de la Doctrine Chauprade… Serge Ayoub
● L’Occident, fabrique à djihadistes… Patrick Parment
● Un entretien avec David Charpen, Président de Résistance à l’immigration
● Dossier « Ukraine, Russie les frères ennemis… »
● L’Ukraine face à l’Histoire… Nicolas Tandler
● Deux points de vue : Idéalisme et pragmatisme… Zentropa
● La Nouvelle Russie… Alain Benajam
● Un entretien avec Guillaume Lenormand, volontaire français au Donbass
● Les pages du Marquis… Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
● François Brigneau… Francis Bergeron
● Les chroniques de Luc Pécharman, Pieter Kerstens, Georges Feltin-Tracol…
● Synthèse nationale en action : RDV le 12 octobre.
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01:54 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 27 octobre 2014
Le JT de TV Libertés de lundi soir :
21:17 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro d'Eléments
19:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bande de filles et valorisation des « racailles ». A quand la tolérance zéro pour les « sauvageonnes »
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Le rapprochement est inévitable. Alors que quelques critiques cultureux s’extasiaient devant un film célébrant une bande de filles issues visiblement de l'immigration, une autre bande passait à tabac pour la dépouiller une étudiante. Surtout bien sur, pas d’amalgame. Les médias ont surtout dénoncé la passivité des gens présents…..plus que la violence de la petite bande. Comme si la victime était de la responsabilité des passants passifs plus que des agresseuses haineuses.
Le troisième film de Céline Sciamma a fait lui 25 146 entrées pour son premier jour d’exploitation, soit presque quatre fois plus que “Tomboy”, son précédent film. De plus, “Bande de filles” semble avoir réussi son pari en touchant un public jeune et issu des quartiers populaires s’extasient les Inrocks. Le résultat du box-office au premier jour d’exploitation témoigne du succès de Bande de filles de Céline Sciamma. Sa bataille se jouait sur le terrain de la visibilité, visibilité d’actrices noires inconnues, visibilité de la banlieue dans le cinéma d’auteur. On peut dire, ce soir, qu’elle a remporté la première manche de cette bataille. Le film semble avoir touché un public très large, bien au-delà du public du cinéma d’auteur parisien.
Formidable non… et puis on passe dans la vraie vie
Une étudiante de 18 ans s’apprêtait à descendre dans une bouche de métro à Croix, près de Roubaix, quand elle s’est fait agresser par trois filles de son âge particulièrement violentes. Ses parents dénoncent la lâcheté de ceux qui ont vu leur fille se faire tabasser sans rien faire. Louise quitte le domicile de ses parents, à deux pas de la mairie de Croix, pour rejoindre l’université catholique de Lille où elle suit des études d’économie. Il est 7 h 15, le jour se lève. Au moment de descendre dans la station de métro Croix-Mairie, son chemin croise celui de trois filles de son âge. Là, tout dérape. « Elles m’ont dit : Maintenant tu donnes tout ce que tu as », se souvient Louise. L’étudiante, qui ne connaît pas ses agresseurs, refuse de s’exécuter et se défend. Mais le rapport de force est déséquilibré. Elle se fait arracher les cheveux, reçoit des coups de pied et de poings sur le corps et la tête, tombe. Sa lèvre inférieure finit par éclater.Louise parvient malgré tout à récupérer son sac avec ses cours et s’en sort avec un téléphone volé. Le préjudice physique et moral est plus grave : quatre points de suture à la lèvre, un poignet amoché, des douleurs sur tout le corps et la peur panique de reprendre le métro seule. Ah ces filles qui n’ont pas de bandes…. Personne ne fera de films sur elles, les victimes de plus en plus nombreuses des bandes de filles et de leur impunité au pays de la lâcheté ordinaire.
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ACTUALISE : Belle réussite du banquet parisien du Parti de la France
Samedi 25 octobre, une centaine de militants se sont retrouvés dans une brasserie parisienne pour le banquet d'automne du Parti de la France en présence de nombreux cadres du mouvement. On notera également la présence remarquée de Dominique Morel, Conseiller municipal d'Issoire, de Dominique Chalard, Conseillère municipale de Lempdes, ainsi que de Pierre Sidos, fondateur de l'Œuvre Française et figure historique du nationalisme français.
Myriam Baeckeroot, trésorière du PdF, s'est chargée de l'accueil et de la présentation des différents orateurs. C'est tout d'abord Thomas Joly, secrétaire général, qui est intervenu sur les activités militantes et l'implantation locale du Parti de la France. Puis Gilles Arnaud, réalisateur des différentes vidéos et journaux du PdF, a indiqué à l'assistance la mise en place d'un pôle communication dont il aura la charge. Ce fut ensuite au tour de Roger Holeindre, Président du CNC, membre du Bureau politique du PdF, de prononcer un discours vibrant dont il a le secret. Enfin, Carl Lang, Président du PdF, s'est livré à une analyse sans concession de l'actualité politique nationale et internationale en fixant les grands axes du mouvement. Toutes les interventions seront très prochainement diffusées.
A l'issue du banquet, nouvelles affiches, autocollants et tracts ont été massivement distribués aux militants qui en faisaient la demande.
En savoir plus cliquez ici
Les interventions :
L'intervention de Carl Lang cliquez ici
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dimanche, 26 octobre 2014
TGV Paris-Brest : une bande d’afro-musulmans sème la terreur
Source Breiz Atao cliquez ici et France 3 cliquez là
Hier soir (vendredi soir - NDLR) une bande d’afro-musulmans s’amusait à importuner et voler les passagers du TGV reliant Paris à Brest. Vers 23 h 00 le chef de bord décide d’immobiliser le train en gare de Vitré pour permettre leur interpellation par les forces de l’ordre.
A 21 h 08 le TGV à destination de Brest quittait la gare Montparnasse à l’heure. Mais aux alentours de 23 h 00 il est arrêté en gare de Vitré pendant près d’une heure pour permettre l’interpellation d’un groupe de fauteurs de troubles.
Une dizaine d’afro-musulmans, âgés de 18 à 20 ans, est en train de semer la panique à bord du train. Montés sans titre de transport les jeunes hommes font du tapage, agressent verbalement les passagers et dérobent ordinateurs, portables et autres tablettes dans les bagages. Le chef de bord décide alors d’alerter sa hiérarchie qui fait appel aux forces de l’ordre. Le train est stoppé en gare de Vitré pour permettre aux gendarmes de procéder aux interpellations.
Vers minuit sept extra-européens sont mis en garde à vue. D’après les premiers éléments les importuns seraient originaires des Yvelines et des Hauts-de-Seine mais leur destination reste encore inconnue. Aucun des objets déclarés volés par les passagers n’ont cependant été retrouvés sur eux, ce qui complique les affaires des gendarmes qui tentent aujourd’hui de rassembler des témoignages et plaintes de passagers.
DERNIERE MINUTE : IL FALLAIT S'Y ATTENDRE !
Les sept auteurs de troubles et vols dans le TGV Paris Brest de vendredi soir ont été remis en liberté samedi soir. Deux sont convoqués devant le tribunal le 4 février.
Les sept afro-musulmans placés en garde à vue vendredi soir après des incidents dans le TGV Paris Brest ont été remis en liberté samedi soir.
Deux devraient faire l’objet d’une convocation devant le tribunal correctionnel de Rennes le 4 février prochain. Ils devraient comparaître pour vols en réunion. cliquez ici
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Dans Présent de mercredi dernier : un entretien avec Georges Feltin-Tracol sur son dernier livre "En liberté surveillée"...
Propos recueillis
par Catherine Robinson
Présent : En liberté surveillée est votre cinquième ouvrage. En regardant votre bibliographie, on relève la grande diversité des sujets abordés. Comment êtes-vous venu à écrire ce livre ?
Georges Feltin-Tracol : C’est l’affaire Dieudonné en janvier dernier qui en est l’étincelle. Mon éditeur et ami, Roland Hélie, me demanda une réaction. En y réfléchissant et en utilisant les nombreuses notes extraites de la Grosse Presse, j’en suis arrivé à la conclusion que la censure préventive contre l’artiste s’inscrivait dans un cadre liberticide plus large et plus global. Dès lors, plutôt que de me focaliser sur un seul exemple édifiant, j’élargissais la thématique et en explorait tous les rouages.
Présent : Dans plusieurs chapitres convaincants, vous revenez sur la répression orchestrée par le pouvoir socialiste à l’occasion des « Manifs pour tous ». Mais vous ne cachez pas non plus votre détestation des gouvernements de droite qui l’ont précédé. Pourquoi ?
GF-T : L’histoire des idées politiques françaises montre que ce qu’on appelle la « droite » est souvent d’anciennes gauches poussées à tribord par de nouvelles… Une certaine « droite » intègre déjà en acquis intangibles l’avortement, l’abolition de la peine de mort, etc. Elle se prépare à accepter l’homoconjugalité si bien que dans deux décennies, elle le défendra avec force. En outre, les organisateurs des manifestations anti-loi Taubira ont manqué de courage en ne faisant pas des places de la Concorde ou de la Nation des Maïdan parisiens. Mais il est vrai qu’on ne déclenche pas des révolutions avec des poussettes et des carrées Hermès ! Voir la récupération de ce vaste mouvement populaire par l’UMP, les sarközystes et l’Église de France montre surtout l’ignorance des enjeux par les manifestants. Et puis, sont-ils prêts à manifester contre les ravages du libéralisme, le travail dominical, le contrôle du vivant par les multinationales ou les méfaits de l’immigration ? Je ne le crois pas. Ils veulent conserver cette société. Je souhaite pour ma part la renverser. L’ennemi principal s’appelle par conséquent la droite, le libéralisme, l’Occident.
Présent : À plusieurs reprises, vous employez des néologismes tels que « financialisme », « gendérisme » ou « sociétalisme ». Qu’apportent-ils de pertinent à votre démonstration ?
GF-T : « Financialisme » est un invention sémantique du théoricien russe Alexandre Douguine pour évoquer la toute-puissance du fait marchand et son caractère planétaire. Le « gendérisme » incarne l’idéologie du genre. Quant à « sociétalisme », il repose sur un simple constat : le social, produit du monde du travail, s’efface au profit de préoccupations futiles excessives qui présentent l’avantage de détourner l’attention des peuples du coup d’État bankster. Tous proviennent toutefois de la même matrice délétère.
Présent : Vous n’hésitez pas à vous affranchir des limites territoriales françaises et à regarder l’étranger. La situation est-elle pareille ailleurs ?
GF-T : À peu de choses près, c’est le cas ! La situation hexagonale n’est pas unique. En Allemagne, la liberté d’expression est de plus en plus restreinte. En Grande-Bretagne, la vidéo-surveillance espionne toute la population et poursuit en justice ceux qui ne jettent pas leurs ordures aux heures prévues. Aux États-Unis, l’endettement des ménages constitue un véritable esclavage ultra-moderne. Bref, l’Occident correspond à un effroyable bagne.
Présent : En liberté surveillée est-il un essai foncièrement pessimiste ?
GF-T : D’un pessimiste actif et héroïque ! En dépit des nombreux exemples de déliquescence des libertés publiques et privées, l’espoir demeure avec les concepts révolutionnaires-identitaires de B.A.D. (bases autonomes durables) et d’autochtonopie. Il faut inciter à la sécession froide, douce, discrète, voire secrète et indolore, de nos territoires afin de bâtir une « contre-société » identitaire, solidariste, illibérale et anti-capitaliste. Un travail de très longue haleine !
Georges Feltin-Tracol, En liberté surveillée. Réquisitoire contre un système liberticide, Les Bouquins de Synthèse nationale, 284 p., 23 € (+ 3 € de port), à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton, 75012 Paris, chèque à l’ordre de Synthèse nationale.
Site du quotidien Présent cliquez ici
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8e Journée de Synthèse nationale, dimanche 12 octobre 2014 : l'intervention de Serge Ayoub, Porte-parole du courant solidariste...
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Samedi matin les forces résistantes de Quimper ont manifesté contre la construction d'une mosquée dans leur ville
Notez une lamentable prestation d'une poignée de collabos locaux (NPA, pro-islamistes etc...) qui ont donné une piètre image de la Bretagne... Face à eux la résistance nationaliste et identitaire est en marche.
A Quimper comme à Calais : RESISTANCE !
Ouest France cliquez ici
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ICI
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samedi, 25 octobre 2014
8e Journée de Synthèse nationale, dimanche 12 octobre 2014 : l'intervention de Francis Bergeron sur le quotidien Présent...
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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
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vendredi, 24 octobre 2014
APRÈS LA BELGIQUE, Le Canada touché par le terrorisme islamique
Michel Lhomme
Métamag cliquez ici
La police canadienne a abattu le tireur qui a fait irruption dans le bâtiment du Parlement d'Ottawa après une fusillade qui a tué un militaire mercredi matin à Ottawa. Près de cinq heures après les premiers coups de feu, les autorités canadiennes donnaient peu de détails sur les événements, se contentant de confirmer la mort d’un suspect et une opération policière était toujours en cours mercredi soir sur la colline parlementaire, épicentre du pouvoir politique au Canada. Les coups de feu semblent avoir été le fait de plusieurs tireurs. Des journalistes ont en effet rapporté que des détonations ont retenti à trois endroits de la ville, supposant donc une attaque groupée et planifiée. La police canadienne qui a abattu le tireur du Parlement rechercherait toujours deux autres individus armés. Par ailleurs, l'armée canadienne vient de donner l’ordre aux militaires de ne pas porter leur uniforme en public et le gouvernement fédéral a relevé le niveau d'alerte terroriste de « bas » à « moyen ». Du jamais-vu dans un pays habitué à voir des soldats vaquer à leurs occupations quotidiennes en uniforme, près de leurs bases.
C'est donc mercredi matin, vers 9 h 50 heure locale que deux militaires en fonction près du monument aux morts situé tout près du Parlement canadien ont été la cible d’un homme qui a ouvert le feu avant de prendre la fuite,selon des témoins cités par la presse locale. Plusieurs coups de feu ont ensuite été échangés au Parlement fédéral, où certains élus se sont même barricadés. Les autorités refusent pour l’instant de dire si le suspect abattu fait partie des 90 personnes identifiées par les renseignements canadiens pour leurs sympathies présumées pour l’Islam radical. Mais tous les regards se portent sur cette piste. En effet, le Canada était déjà entré en turbulences, depuis quelques jours, après la mort d’un soldat canadien tué par un converti à l’Islam radical à Saint-Jean-sur-Richelieu, près de Montréal. Le Premier ministre du Québec, Philippe Couillard, a d'ailleurs immédiatement établi un lien entre les fusillades d’Ottawa et l’attentat de Saint-Jean-sur-Richelieu.
A Saint-Jean, l'auteur de cet attentat était un certain Martin Couture-Rouleau, un jeune homme apparemment sans histoires mais qui avait basculé dans l’extrémisme islamique après une conversion à l’Islam, au printemps dernier. Amateur de théories du complot et grand consommateur de littérature djihadiste, Martin Couture-Rouleau planifiait, selon les médias canadiens, de se rendre bientôt en Syrie. Saint-Jean-sur-Richelieu est une ville de banlieue paisible mais surtout connue pour sa garnison militaire. En voiture, Martin Couture-Rouleau avait foncé sur des soldats canadiens avant d’être abattu par les forces de l’ordre. Martin «Ahmad» Rouleau faisait de la propagande djihadiste depuis des mois sur les réseaux sociaux, selon le quotidien La Presse. Il était connu des autorités policières et s'était radicalisé récemment selon le Bureau du premier ministre. La Presse, quotidien canadien avait en effet retrouvé sur les réseaux sociaux différents profils d'un homme qui se présentait sous le nom de Ahmad Rouleau et dont la date de naissance correspond à celle de Martin Rouleau. Au printemps, il y publiait des propos propres au djihad islamique : « Aux hypocrites, hommes et femmes, et aux mécréants, Allah a promis le feu de l'Enfer pour qu'ils y demeurent éternellement. C'est suffisant pour eux. Allah les a maudits. Et pour eux, il y aura un châtiment permanent ». Martin Rouleau avait donc renversé deux militaires dans un stationnement commercial, près du centre-ville de Saint-Jean, avant de prendre la fuite. Quelques kilomètres plus loin, il avait évité un tapis clouté déposé par la police canadienne et fait une sortie de route avant d'être touché par les balles des policiers. Il était armé d'un couteau.
14:40 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
8e Journée de Synthèse nationale, dimanche 12 octobre 2014 : l'intervention de Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol...
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Avez-vous pensé à vous procurer le nouvel album d'Aramis ?
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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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8e Journée de Synthèse nationale, dimanche 12 octobre 2014 : l'intervention de Luc Pécharman, délégué de Synthèse nationale dans le Nord...
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Carl Lang avec Kévin Reche à Calais le vendredi 7 novembre
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Minarets en Alsace : la faute du maire de Strasbourg
Communiqué d'Alsace d'abord cliquez ici :
La municipalité de Strasbourg vient d’accorder à la communauté turque le permis de construire une grande mosquée de style ottoman rue de la Fédération dans le quartier de la Meinau.
Dès décembre 2013, nous avions annoncé l’existence de ce projet démesuré et avions publié la photo de la maquette soumise à Roland Ries. À sa demande, les Turcs avait différé le dépôt de la demande de permis de construire, car en plaine campagne des élections municipales, cette affaire aurait ruiné les chances du candidat PS.
Si la construction d’un lieu de culte conforme aux normes et aux besoins de la communauté turque de Strasbourg n’a pas été contesté, l’autorisation d’ériger deux minarets dominant le quartier et culminant à 44 mètres de hauteur est une faute. C’est une faute car cette autorisation rompt le pacte non écrit en vertu duquel les maires d’Alsace ont toujours refusé la construction de minarets, appendices sans autres fonctions que celles d’une visibilité symbolique et d’une affirmation communautaire. Les minarets n’ont jamais fait partie des paysages urbains ou ruraux en Alsace.
Depuis plusieurs années, les responsables politiques alsaciens, comme emportés dans une folle surenchère, n’osent plus rien refuser aux communautés musulmanes installées en Alsace et donnent suite à toutes leurs demandes.
Si le projet de la Meinau est maintenu en l’état, comment refuser aux Marocains au Heyritz les minarets accordés aux Turcs à la Meinau ? Et par un phénomène de propagation, les minarets risqueraient de se multiplier en Alsace. Nous demandons à Roland Ries de renoncer au projets de minarets.
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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
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jeudi, 23 octobre 2014
DAESH REVEILLE LE BLANC ?
Pieter KERSTENS.
(écrit à Beyrouth le 15 octobre 2014).
Dans la foulée du “Printemps arabe” et des « révolutions de jasmin » du Maghreb et d’Egypte, certains esprits se sont crus malins en désignant le président syrien Bachar al-Asad, comme un clone d’Hitler, comme le Satan des temps modernes ou le Mal absolu. « Un individu qui ne mérite pas de vivre » selon l’opinion de Laurent Fabius, et aux yeux de nombreux chefs d’Etat et de gouvernements européens « dont il faudrait se débarrasser par tous les moyens »… Ceci concernant un Chef d’Etat reconnu par l’ONU et reçu il y a quelques temps dans la plupart des capitales d’Europe.
Quel serait donc le crime commis par le président syrien pour déclencher une telle haine occidentale ? Posséder la troisième armée mondiale, à l’exemple de l’irakien Saddam Hussein ? Développer l’arme nucléaire pour équilibrer les forces dans la région, parce que les israéliens, eux, disposent depuis longtemps de missiles atomiques Jéricho ? Mettre au point des armes bactériologiques terrifiantes ?
Rien de tout cela ! Comme dans chaque état souverain, son dirigeant devait réprimer les émeutes, mater les affrontements interreligieux et les rebelles armés. Contre toute attente, une coalition se forme contre le pouvoir syrien et favorise le recrutement, l’entraînement, l’armement et le paiement de factions diverses soutenues par les rois du pétrole. Cette alliance hétéroclite regroupée au sein de l’ASL (dont les dirigeants se trouvent à Londres) bénéficie de la bienveillance de la Turquie, par où transitent les djihadistes, les armes, les munitions, les médicaments et toute la logistique. Tous les opposants à Bachar reçoivent ces aides, sans discernement.
Des milliers de « conseillers » militaires étrangers entrainent les volontaires en Turquie, en Jordanie, en Irak et sur le terrain opérationnel en Syrie. Face à cette coalition contre nature, le président syrien ne peut compter que sur le soutien de la Russie et de l’Iran (présent depuis fort longtemps dans le sud-est de l’Irak).
Malgré ces aides massives, complétées par des brigadistes recrutés en Europe, mais surtout de katibas arrivant d’Irak, de Lybie, d’Afghanistan, de Tunisie ou d’Egypte, le régime de Damas ne cède pas et bien au contraire reprend des positions stratégiques.
Après des années de guerre, ces « gentils rebelles djihadistes » deviennent subitement infréquentables et se transforment en « horribles terroristes » ! Comprenne qui pourra… (à l’attention des plus crédules).
Dès la prise de Mossoul par les salafistes, qui à cette occasion ont mis la main sur les arsenaux de 4 divisions de la nouvelle armée irakienne (formée et équipée par les USA) et aussi sur un trésor de guerre de 425 millions de dollars en dépôt à la banque centrale de la ville, la communauté internationale opère un revirement de 180° et dénomme maintenant les djihadistes comme étant des « terroristes » rassemblés au sein de DAESH, car luttant pour la création d’un califat islamique, ce qu’aucun des politologues éclairés, ou prétendus « spécialistes », n’avait pu ou voulu imaginer.
Le sigle arabe de DAESH – « ad-dawia al islamiyya fi-l Iraq wa-s-sam »- remonte à sa création en 2006, quand Al-Quaïda en Irak forme avec 5 autres groupes djihadistes le Conseil consultatif des Moudjahidines en Irak. Ce Conseil proclame le 13 octobre 2006 l’Etat Islamique d’Irak (EII) puis l’Etat Islamique en Irak et au Levant (EIIL) le 9 avril 2013. Ce n’était donc pas un champignon vénéneux apparu après la pluie, et sa montée en puissance ne devait pas échapper aux experts dont s’entourent les chefs d’Etat en Orient, comme en Europe…
Il est surprenant de constater que c’est l’armée de Bachar al-Asad qui livre maintenant des armes aux kurdes assiégés à Kobané, alors que la Turquie assiste tranquillement à leur massacre. Mais le méli-mélo de situations conflictuelles orientales n’est pas nouveau.
A vrai dire, et selon l’analyse historique, les sources de cette guerre de religion remontent au cours des siècles et concernent la haine entre les chiites et les sunnites, toutes obédiences confondues et clans mélangés. Par ailleurs les accords pétroliers signés entre les américains et la famille des Séoud en 1945, ne sont pas étrangers non plus aux machinations et aux guerres du Proche et Moyen-Orient ces 70 dernières années.
En outre, il faut aussi noter que toute tentative de regroupement ou de création de républiques nationalistes arabes, qui aurait pu s’inspirer de la doctrine et de l’idéologie de Michel Aflak, le baasisme, a été sabotée par les USA et la CIA, à commencer par la destitution en 1953 de Mohammad Hedayat Mossadegh, fondateur du Front National iranien, et premier ministre depuis 1951.
L’Oncle Sam ne cesse les ingérences belliqueuses au nom du Nouvel Ordre Mondial ou de « l’american way of life », de Corée en Afghanistan, du Viet-Nam au Nicaragua, en passant par l’Irak et la Lybie. Aujourd’hui en Ukraine et en Syrie. Il impose son Dieu vert –le dollar- et ses missiles, si nécessaire.
Souvenons-nous également que pour contrer les avances soviétiques en Asie centrale lors de l’invasion en Afghanistan à la Noël 1979, les américains recrutent Ben Laden et ses islamistes, au nom du Djihad. Cela aboutit vers Al-Quaïda et sa suite sanglante. Le calife autoproclamé a lui aussi reçu l’absolution et les aides des USA, avant que la créature n’échappe à ses géniteurs.
Il est grand temps de stopper les élucubrations des gnomes de Wall Street, la nuisance du conglomérat militaro-industriel yankee et les dérives politiques des affidés américano-sionistes. OUI, il faut sauver le président Bachar !
13:48 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |