mercredi, 26 novembre 2014
« CONGO NA BISSO» *
Pieter Kerstens
Durant l’été, ni les télévisions européennes, ni les réseaux sociaux ou encore la presse généraliste ne se sont penchés sur le retour des ressortissants de la RDC imposé par le Congo Brazzaville, son voisin.
Il est une évidence que personne ne conteste : depuis 50 ans, à chaque soubresaut dans l’ex-Congo Belge, puis Zaïre, puis République Démocratique du Congo (RDC) un flot d’habitants de Kinshasa traverse le fleuve et submerge la capitale d’en face, Brazzaville, sans visa, sans autorisations, sans permis …sans papiers. Face au danger d’immigration/invasion, les autorités congolaises ont lancé en avril 2014, l’opération « Mbata ya bakolo » ** destinée à ce que les ressortissants étrangers (de la RDC) se mettent en règle ou quittent le pays.
En 3 mois seulement, plus de 200.000 « Congolais de Kin » sont repartis volontairement chez eux, de l’autre côté du fleuve et 2.000 ont été expulsés.
A Brazzaville, cette opération de rapatriement a été renforcée par le dispositif « Longwa na nzela »*** pour faire appliquer un décret de 2011 qui impose que les conducteurs dans les transports publics doivent obligatoirement être des nationaux. Plusieurs dizaines de chauffeurs de bus et surtout de taxis ont été priés de stopper leur travail, sine die.
L’Afrique aux Africains, l’Europe aux Européens !
Les gourous du multiculturel et du pluriethnique sont ceux qui, depuis trop longtemps, ne cessent de nous culpabiliser et de vanter les bienfaits d’une « assimilation » et du melting-pot, véritables génocides de nos peuples. Nous devons dénoncer et punir ces saboteurs qui nous ont menés d’échec en désillusions, de mensonges en félonies, de trahisons en défaites et qui sont aussi les collaborateurs des barbus qui envahissent nos quartiers et importent chez nous les problèmes internes de leurs pays d’origines (conflit israélo-palestinien, guerre en Irak et en Syrie, etc).
Il est grand temps que de tels errements cessent. Les Européens ne sont pas responsables des dérives des satrapes africains qui ont conduit la majorité des pays du continent noir dans une situation économique, sociale, financière ou politique calamiteuse.
L’ouvrier polonais, le cultivateur breton, l’enseignant madrilène, le retraité sicilien ou le docker de Rotterdam ne sont en rien concernés par les rebellions africaines (Mali, RCA, Nigeria, RDC, etc.) ou orientales (Lybie, Irak, Syrie, Gaza ). Nos populations ont suffisamment de soucis afin d’assurer leur quotidien, pour encore suppléer aux carences des pays d’Afrique qui, depuis plus de 50 ans ont obtenu leur souveraineté en expulsant très souvent les anciens colons avec un seul choix : « La valise ou le cercueil ! Toubabs, Muzungus ou Pieds Noirs dehors ! »
Nous ne sommes ni responsables, ni coupables des tares qui affectent les régimes africains. Les potentats et les roitelets locaux se sont constitués des fortunes grâce aux aides européennes et sur le dos de leurs populations. Ces despotes éclairés, très souvent soutenus par l’Internationale Socialiste, ont mené leur pays respectif au fond du gouffre et leur peuple dans la misère, la souffrance et la famine. Ils ont laissé tomber en ruine les hôpitaux et le système sanitaire, les ponts, les routes, les voies de chemin de fer, les plantations, les mines et les industries, de même que les écoles et l’administration, édifiés par les colons blancs. Ces pays étaient auto-suffisants du point de vue alimentaire, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui ! Ils ont sombré dans le chaos…
Et la République Démocratique du Congo (ex-Congo belge, ex-Zaïre) en est le parfait exemple : en 1960 le PIB par habitant se chiffrait à 222 $ par an et en 2012, ce même PIB n’était que de 241 $, ce qui ne correspond même pas à l’inflation durant 50 ans ! Au Congo Brazzaville, le voisin mieux géré ( ?) le PIB par habitant étant de 3.408 $ en 2012, est-ce cela qui attirerait les kinois ? Ou l’odeur du pétrole ?
Et chez nous, qu’est-ce que l’on attend pour imposer un « retour au pays » des inassimilables, notamment pour libérer Calais des hordes de noirs agressifs ?
Notes
En lingala :*« Notre Congo»**« la gifle des aînés »***« Dégage de la voie »
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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mardi, 25 novembre 2014
Le Journal du Chaos de cette semaine :
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Le JT de TV Libertés de lundi soir :
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lundi, 24 novembre 2014
Le congrès du GUD à Nanterre en photos :
Une séance plénière
Au micro, Hervé Van Laethem du mouvement Nation (Belgique)
Gianluca Iannone, chef de la Casapound (Italie)
Des camarades italiens, grecs de l'Aube dorée, chypriotes...
...et espagnols du MSR
Des interventions, disons-le, remarquables
Des congressistes attentifs
Une littérature de qualité
Des projets attractifs
Des retrouvailles amicales
Artistes et politiques étaient aux rendez-vous
Une jeunesse enthousiaste
Une ambiance festive
Bref, le GUD est de retour...
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samedi, 22 novembre 2014
Synthèse nationale au congrès européen du GUD à Nanterre...
Roland Hélie au congrès du GUD : "Il y a 34 ans, c'était le 15 décembre 1980, le GUD avait organisé un tractage sur le campus universitaire de Nanterre. Ce tractage se termina par une véritable bataille rangée. Il y eu de nombreux blessés et plusieurs camarades furent arrêtés. Certains passèrent Noël en taule. Une rame de RER fut détruite et cela sembla plus offusquer les bienpensants du moment que la violence aveugle des gauchistes contre les nationalistes. Ce fut un désastre....
Aujourd'hui, 34 ans après cette véritable défaite militaire, le GUD tient son congrès à Nanterre. Nous sommes plusieurs centaines à ce congrès, le GUD est toujours bien vivant. Les gauchistes, eux, sont devenus des petits domestiques serviles du CAC 40. Pour nous, tenir aujourd'hui ce congrès à Nanterre, c'est une vraie victoire politique. Nos camarades blessés et emprisonnés en décembre 1980 sont vengés !"
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Revue de presse : Le congrès du GUD à Nanterre
Le GUD invite Aube dorée pour son congrès
Le Figaro.fr cliquez ici
LE SCAN POLITIQUE - Le mouvement de jeunesse nationaliste organise ce samedi un congrès à Paris, en présence de nombreux groupes radicaux européens.
C'est une réunion peu courante qui doit se tenir près de Paris, samedi. A l'invitation du Groupe union défense, plus connu sous son acronyme de GUD, plusieurs formations politiques, à l'orientation nationaliste-révolutionnaire, sinon néofasciste, ont prévu de se retrouver pour un “congrès européen” intitulé “le réveil des nations”.
Ce congrès vient rappeler l'existence du syndicat étudiant après une période de moindre activité. Le GUD avait pourtant réussi à faire parler de lui, sur et hors des campus parisiens, lors de sa refondation en 2010: tractages parfois musclés et présence sous la bannière à la croix celtique lors de certaines manifestations assuraient la présence du syndicat sur le terrain. En 2011, une branche lyonnaise était créée. Mais l'année suivante, les dirigeants parisiens s'orientent vers un militantisme plus politique (le grand public les découvre, notamment, par la publication d'une photo de la soirée des 40 ans du FN où ils apparaissent à côté de Marion Maréchal-Le Pen). Le GUD Paris est alors repris en main par Logan Djian, qui revendique aujourd'hui une trentaine de membres.
Le GUD change régulièrement de visage, ainsi que le rappelle Nicolas Lebourg, historien spécialiste des droites extrêmes: «Le nom GUD n'est qu'une référence à un mythe, à celui des années 1970 à la fois violent et brillant dans sa propagande. Aujourd'hui, il n'y a plus de combats contre les gauchistes sur les campus. Depuis 30 ans il y a en réalité eu plusieurs GUD: est GUD qui réussit à tenir la marque avec l'aval des anciens.» «Le GUD se réorganise, estime de son côté un cadre du milieu nationaliste, qui sera présent samedi. Souvent, dans l'histoire de ce mouvement, de grands congrès ont été organisés de la sorte afin de le relancer.»
De nombreux invités
Le GUD s'offre un plateau européen de choix parmi divers mouvements radicaux pour son congrès. Outre les Français du MAS et de la revue Synthèse nationale, seront présent des Espagnols de la Liga Joven et du Mouvement social républicain. Les Belges de Nation seront également présents, tout comme la CasaPound, mouvement italien peu connu en France mais très populaire chez les jeunes nationalistes. Ses militants, qui se présentent eux-mêmes comme les “fascistes du IIIe millénaires”, ont adopté des pratiques plus courantes à l'extrême gauche qu'à l'extrême droite: squates d'immeubles, importance donnée à la musique et au culturel.
Enfin, deux assistants parlementaires grecs de l'Aube dorée, classée comme néonazie par certains chercheurs, seront à Paris alors que le parti n'est pas au mieux: plusieurs dizaines de ses membres, dont le président du parti et sa vingtaine de députés, dans le collimateur de la justice de leur pays.
“L'ambition de ce congrès, c'est de tisser des liens entre patriotes et nationalistes européens, de prendre conscience des problèmes qui existe dans chaque pays”, explique Logan Djian, leader du GUD. L'évènement est présenté sur la page Facebook du mouvement comme “le premier sommet de l'Europe réelle”. Pour la petite histoire, “L'Europe réelle” fut la revue du Nouvel ordre européen, un parti néonazi paneuropéen créé dans les années 1950.
Logan Djian reconnait que la référence n'a pas été placée par hasard, mais explique qu'elle va au-delà de la simple reprise. “L'Europe réelle que nous défendons, n'est pas celle du capital, des banques ou de Merkel. Elle est différente de celle vantée par les médias, qui déforment ce que sont des mouvements comme Aube dorée. Pour nous, ce ne sont des patriotes et des nationalistes.”
23:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Parution prochaine du n°4 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au Parti des Forces Nouvelles (1974 - 1984)
Novembre 1974. A peine un an après la dissolution d’Ordre nouveau, au moment où la France se retrouve plongée dans le centre-mou giscardien, un nouveau parti nationaliste voit le jour. C’est le Parti des Forces nouvelles.
Pendant 10 ans, ce parti va incarner une droite nationale dynamique, moderne, adaptée aux réalités de son époque. Le PFN a été, pour toute une génération de militants, l’un des laboratoires de ce qui allait devenir par la suite, de la fin des années 80 jusqu’à aujourd’hui, le grand retour de la Droite nationale sur le devant la scène politique française.
En ce quarantième anniversaire de la création du PFN, il nous a semblé intéressant de consacrer ce numéro 4 des Cahiers d’Histoire du Nationalisme à cette aventure qui marqua notre famille d’idée et qui continue à susciter bien des passions…
Nombreuses illustrations, reprise des textes fondamentaux :
■ Pour une nation nouvelle (1974),
■ Propositions pour une nouvelle droite politique (1979),
■ Perspectives d’actions (1982).
200 pages, 20 € (+ 3 € de port) à commander à :
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
Chèque à l'ordre de Synthèse nationale
Vous pouvez aussi le commander en cliquant ici
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vendredi, 21 novembre 2014
Décapitations islamiques : le silence de Badinter…
Pierre Cassen
Boulevard Voltaire cliquez ici
Personne n’a oublié la date du 9 octobre 1981, où Robert Badinter, garde des Sceaux du gouvernement Mauroy, obtint l’aboutissement du combat de sa vie : l’abolition de la peine de mort, considérée par lui et son camp comme un acte barbare indigne d’une civilisation évoluée. François Mitterrand et ses alliés surent imposer cette décision à une opinion majoritairement hostile, dans un contexte où on ne guillotinait plus que deux ou trois personnes par septennat.
On se disait que le fait de couper la tête à des hommes – acte naturellement révoltant pour tout humaniste – aurait disparu à jamais de l’horizon français. Or, en quelques semaines, notre pays a été confronté à la décapitation du guide Hervé Gourdel, qui a bouleversé l’opinion, et a obligé, devant l’émotion, les dignitaires musulmans, derrière Boubakeur, à nous faire le coup, la larme à l’œil, de « L’islam, ce n’est pas cela… ». Puis on vient d’apprendre que deux Français convertis, prénommés Maxime et Mickaël, auraient fait partie des égorgeurs-décapiteurs de l’otage Peter Kassig et de soldats irakiens.
On attendait donc de l’abolitionniste Badinter une prise de parole forte, exprimant son indignation devant la justice barbare islamique. D’autant que son épouse Élisabeth avait défendu la crèche Baby Loup, et milité pour une loi contre le voile intégral. On se rappelle que l’avocat ne s’était pas gêné pour condamner – et avec quelle violence – la justice américaine lorsque celle-ci avait osé arrêter, menotter et jeter en prison son ami Dominique Strauss-Kahn. Il est sans doute plus grave, pour ce grand bourgeois du 16e, d’arrêter le président socialiste du FMI que de couper la tête à ceux que les soldats d’Allah appellent les mécréants.
À ce jour, nous n’avons encore rien entendu. Mais ce silence ne marque-t-il pas une gêne devant la contradiction de sa vie ? Robert Badinter, en tant que juif, ne peut ignorer ce qu’est l’islam, et le sort que Mahomet et ses disciples ont fait subir à ses ancêtres. Il ne peut pas ne pas connaître l’histoire de la tribu juive de Médine : « L’Envoyé d’Allah les fit chercher et les décapita dans les fossés alors qu’ils lui étaient amenés par groupes. Ils étaient 600 à 900 », rapporte l’historien musulman Ibn Ishaq dans sa biographie de Mahomet (« Sîrat Rasûl Allah », c’est-à-dire « Biographie du Messager de Dieu »), écrite entre l’an 740 et l’an 770.
L’ancien garde des Sceaux ne peut ignorer que le Coran ordonne aux disciples de l’islam d’égorger et de décapiter tout ce qui n’est pas musulman : « Frappez-les au-dessus des cous [décapitez-les] et frappez-les sur tous les bouts des doigts [amputations]. Cela, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à Son messager » (Sourate 8,12-13).
Autrement dit, Robert Badinter l’abolitionniste et ses amis politiques ont permis l’implantation massive sur le territoire français de millions de personnes dont les textes sacrés réclament la peine de mort par égorgement et décapitation pour tous les infidèles, même si, fort heureusement, une majorité de musulmans prennent quelques libertés avec l’application stricte du Coran.
Conclusion : si les fanatiques passent à l’action en France, on risque d’avoir bien davantage d’innocents décapités par les fous d’Allah que d’assassins guillotinés par l’État français dans les années 1970. Et cela parce que des gens comme lui ont fait venir sur notre territoire des milliers de Fofana-Merah-Nemmouche.
On comprend mieux le silence de Robert Badinter…
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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
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jeudi, 20 novembre 2014
20 NOVEMBRE 1936
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"Rêve d'enchantement", le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy
« Eh bien moi, je n’ai pas renâclé à naître et il paraît que je me tortillais de rire ! Oui, je dodelinais le sourire aux lèvres, je souriais à la vie, sans doute avec un air un peu goguenard. Étais-je déjà amusé, malgré mes yeux clos, par le nouveau monde qui se présentait, ou feignais-je de rire de son absurdité ? »
Lorsque Charles-Henri d’Elloy s’empare de sujets aussi graves que le désespoir, le déclin, la justice, la religion, la politique, les femmes, l’amitié… il nous fait la politesse de garder le sourire. Cet anxieux, pince-sans-rire, nous emmène dans les finesses de sa réflexion avec délicatesse et vigilance. Son esprit stellaire, la rigueur et la sincérité font l’élégance de son style. Ce livre, empreint de philosophie, est un hymne à la beauté qu’il vénère comme antidote à la tristesse, c’est aussi un hommage à l’écriture et un régal d’humour libre pour enchanter notre âme.
Rêve d'enchantement, Charles-Henri d'Elloy, éditions Godefroy de Bouillon, 132 pages, 16,00 € cliquez ici
Charles-Henri d'Elloy dédicacera son livre à la journée du livre de l'AGRIF dimanche prochain, 23 novembre cliquez là
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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
09:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
01:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : samedi prochain, 22 novembre, congrès européen organisé par le GUD...
Intervention de Roland Hélie
Le lieu de la réunion sera rendu public
samedi 22 en début de matinée
sur le site de Synthèse nationale
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mercredi, 19 novembre 2014
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3163 du 13 novembre 2014
INTERROGÉE par Le Journal du Dimanche, Marine Le Pen explique ne pas croire au « Grand Remplacement » (voir RIV. du 6 novembre) théorisé et dénoncé par l’écrivain Renaud Camus : « Le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste » (sic). « Je pense de manière plus pragmatique que l’immigration est utilisée depuis trente ans par les grands milieux financiers pour peser à la baisse sur les salaires, avec une grande efficacité si j’en crois les derniers chiffres (ce qui est, au demeurant vrai) », continue la Présidente du Front national. Décidément, Marine Le Pen, qui a un talent médiatique certain (elle a hérité de son père le bagout et elle sait aboyer), mais qui n’a aucune colonne vertébrale, aucune conviction profondément ancrée, aucune foi, aucun idéal, aucune doctrine, qui n’a jamais lu un livre, ni de Maurras, ni de Drieu La Rochelle, ni de Céline, ni de Bardèche, ni de Coston, ni de Jacques Ploncard d’Assac, mais qui a, il est vrai, lu Harry Potter et Spirou et qui connaît par cœur le générique du dessin animé japonais Albator, est une véritable calamité. Le « Grand Remplacement » serait ainsi, d’après Marine Le Pen, une vision “complotiste”. Les habitants des banlieues occupées apprécieront, ainsi que Jean-Marie Le Pen, Julien Rochedy, l’ancien Président du Front national de la jeunesse, ou encore Philippe Martel, le directeur de cabinet de Marine Le Pen, qui évoquent fréquemment le « Grand Remplacement ». Jean-Marie, au secours, ils sont devenus fous !
LE GRAND REMPLACEMENT ? “UN FONDEMENT RACIALISTE”
Ce n’est pas Hollande, ce n’est pas Mélenchon, ce n’est pas Cukierman, le président du CRIF, ce ne sont pas les pleureuses des supposés Droits de l’Homme qui ont estimé que le concept de « Grand Remplacement », inventé par l’écrivain Renaud Camus, fleurait bon le racisme le plus abject. C’est le nouveau directeur national du Front National de la Jeunesse, Gaëtan Dussaussaye, 20 ans, qui était interrogé lors du JT de TVLibertés, jeudi 6 novembre et qui a tenu ce propos extravagant, qui rejoint d’ailleurs les propos de Marine le Pen sur le même sujet. Il a osé déclarer : « A la base de cette notion (de grand remplacement), il y a un fondement racialiste, ce que ne peut accepter le FN ». Il préfère s’en tenir à la critique d’un grand remplacement purement culturel. Mon Dieu, pardonnez-lui, car il ne sait pas ce qu’il dit ! Mais l’oiseau, très à l’aise devant les caméras, ne s’arrête pas en si bon chemin. Il fut interrogé par les talentueux Martial Bild et Elise Blaise sur l’avortement et l’euthanasie. Voici leur dialogue :
Martial Bild : Il y a 20 ans, quand vous êtes né, le FN était un parti qui défendait la famille, mais qui luttait aussi contre l’avortement : est-ce qu’on continue au FN à lutter contre l’avortement, l’euthanasie ?
Gaëtan Dussaussaye : On continue et on en parle ; peut-être un peu moins souvent, parce qu’en tant que parti politique, il faut s’intéresser aux réels problèmes qui s’acharnent contre les Français, et je pense que […] même si ce sont des faits de société importants, l’avortement et l’euthanasie ne sont pas les problématiques qui s’imposent à la majorité des Français.
Excellente réplique d’Élise Blaise : C’est par cet argument que François Hollande a pu faire passer le mariage pour tous…
Pour conclure, Martial Bild lui demanda quel était son philosophe préféré. Gaëtan Dussaussaye, qui semble, au demeurant, être un homme intelligent, est en Mastère de philosophie à la Sorbonne. Sa réponse ? « Il n’y en a pas un, il y en a trois ». Mais encore ? Il cite Aristote, Rousseau (???) et… Karl Marx (????) Et c’est ainsi que le FN mariniste prétend devenir respectable…
CANADA : UNE FOIS DE PLUS, HOLLANDE RIDICULISE LA FRANCE
L’improbable et ridicule pingouin était, il y a quelques jours, en visite officielle au Canada. Il était reçu en grande pompe au parlement d’Ottawa où il était accueilli par les présidents du Parlement et du Sénat, qui entouraient le nouveau héros national, Kévin Vickers, celui qui avait abattu le terroriste islamiste qui avait tenté, le 22 octobre, de mettre le parlement à feu et à sang. La rencontre avec Hollande était présentée, dans l’agenda du président, comme un moment important de la visite. Les services de l’Elysée l’avaient noté en gras sur le programme du voyage. Problème : le ridicule gnome élyséen n’a pas reconnu Vickers et s’est contenté de lui serrer distraitement la main, sans un mot, sans une accolade. Stupeur et gêne des officiels présents. Le responsable du protocole canadien, serrant les mâchoires, a eu ce commentaire très british : « C’est très surprenant », tandis qu’un haut responsable français, consterné, lâchait : « Mais quelle équipe de bras cassés ! A quoi ça sert, tous ces conseillers, s’ils ne lui disent rien ?… » A rien. Et à quoi sert Hollande ? A rien… Si, à détruire la France !
UMP : QUAND UNE HUÎTRE MENACE UN PIT-BULL
Bruno Le Maire est le principal challenger de Nicolas Sarkozy dans la course à la présidence de l’UMP. L’entourage de Nicolas Sarkozy lui aurait reproché « un charisme d’huître », ce qui n’est pas forcément inexact. Le Maire, interrogé quant à cette comparaison avec des ostréidés, a déclaré « J’aime beaucoup les huîtres, donc je ne trouve pas cela désagréable du tout », ce qui, reconnaissons-le, est une haute pensée philosophique. En attendant, Sarkozy joue à la brosse à reluire, tendance démocrate et humaniste (enfin, il fait semblant d’y jouer). Il déclare, dans ses meetings, de façon immuable, qu’il aura besoin de Bruno Le Maire et d’Hervé Mariton une fois élu à la tête du parti. Quel hypocrite, quel menteur ! En réalité, Nicolas Sarkozy traite en privé Le Maire de “connard”. Brice Hortefeux, le commensal de Sarkozy, use d’un langage encore plus fleuri. Le “connard” en question serait, selon Brice, une « ordure qui nous crache à la gueule alors que, sans Nicolas, il n’aurait jamais été ministre ». Quelle haine ! Mais quelles en sont les raisons ? En réalité, le camp Sarkozy commence à s’inquiéter sérieusement. Sarkozy comptait emporter l’élection de la présidence de l’UMP avec un score africain. Peut-être pas 99,99 %, mais un petit 80 % lui aurait convenu. Oui mais, l’huître ne déplaît pas aux ostréidés de l’UMP. Du coup, le résultat de Sarkozy pourrait être bien moindre : 70 %, 60 %, voire moins de 50 %, ce qui paraît tout de même improbable. En attendant, gobons les huîtres !
BERNARD CAZENEUVE DEMANDE À BOUBAKEUR DE L’AIDER À “RÉTABLIR LA SÉCURITÉ EN FRANCE”
Interrogé par le Figaro, Dalil Boubakeur, président du Conseil Français pour le Culte Musulman nous apprend que Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, a demandé de l’aide aux autorités musulmanes pour « établir la sécurité en France ». Bientôt, une police musulmane ? Mais qu’en est-il du djihad ? Pas de soucis, Daril Boubakeur se montre serein : « Dans l’islam, il y a une variété, je dirais même une liberté (Il se moque vraiment de nous !) mais aussi un certain nombre d’éléments qui peuvent aller vers la violence et le danger ». Une microscopique concession…. Il fallait oser ; il a osé… Oui, mais qu’en est-il des islamistes qui prétendent couper la gorge aux impies ? Pas de problème, Dalil condamne ces actes, relevant qu’aucun “conservateur” (ce qui signifie, aucun égorgeur potentiel) ne siège au CFCM. Il condamne, certes, les égorgements, mais affirme rester en relation avec ceux qu’il appelle ses “frères” au prétexte qu’ils « ont la même vision spirituelle de l’islam ». Et il conclut par ces fortes paroles : « L’unité des musulmans est plus importante que nos idées parfois différentes ». On a compris, merci…
“PAPA, LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS !”
Une vidéo sulfureuse circule sur internet (voir le site contre.info) mettant en scène Dieudonné et son fils, âgé sans doute de six ans. Le fils, dans les bras de son père, déclare : « Papa, le père Noël n’existe pas ». Réplique du papa : « Ah bon, et les chambres à gaz ? ». Sacré Dieudonné… La police de la pensée s’étrangle évidemment d’importance devant cette abomination et fait pression sur la plateforme de vidéos Vine (Twitter) afin qu’elle censure l’enregistrement. Trop tard, on l’a vu !
ILS NE RESPECTENT PLUS RIEN, MÊME PAS LE TRAVAIL
C’est à Dachau, à proximité de Munich, que cet acte abominable a été commis. Le portail de ce camp de concentration portant l’inscription « Arbeit macht frei » (le travail rend libre) a été volé. On ignore pour l’instant si les auteurs de cette abomination sont des néo-nazis ou tout simplement des trafiquants de métaux. Toujours est-il que la chancelière Merkel a déclaré toutes affaires cessantes : « Ce lieu est devenu un lieu contre l’oubli, à destination des générations futures ». « Des actes tels que le vol de la porte d’entrée du camp de Dachau, sont abominables ». Il est en effet abominable de voler une porte d’entrée…
LES DITS DE NICOLAS SARKOZY
Dans un livre paru, il y a quelques jours, intitulé Ça reste entre nous, hein ? paru chez Flammarion, deux journalistes d’Aujourd’hui en France, Nathalie Schuck et Frédéric Gerschel, ont fait parler Sarkozy. Florilège : à propos de Hollande et de ses photos estivales au fort de Brégançon : « C’est les Bidochon en vacances ». « Il est mal fagoté, il mange des frites. Quand on fait un métier public, il faut faire attention ». Après les photos du pingouin casqué : « Hollande, c’est le président ridicule. » Valérie Trierweiler ? « Je l’ai toujours trouvée sotte et prétentieuse » Et Sarkozy d’ajouter : « Ce n’était pas une très bonne journaliste politique et pas une très bonne journaliste culturelle non plus ». Manuel Valls ? « Il devrait porter des lunettes, il a le regard fuyant, il fait un peu illuminé » L’UMP ? « Tous des cons ». Fillon ? « Il paraît qu’il a beaucoup souffert pendant cinq ans. Peut-être aurais-je dû abréger ses souffrances » Mais qu’en est-il de Xavier Bertrand, que personne ne connaît mais qui a de très hautes prétentions ? : « Ce bon à rien, ce petit assureur » ; « C’est un médiocre, ce n’est pas la reconnaissance qui l’étouffe » ; Et puis, pris dans un élan de compassion : « Lui, ce sera pieds nus, avec des plaies ouvertes, dans les mines de sel. » Et Marine Le Pen, qu’en dit-il ? « Des airs de “déménageur”, c’est une masse, elle fait hommasse épaisse ». Le côté sympathique de Sarkozy est qu’il est quelque part un humaniste…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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Parution du n°92 du bulletin du Cercle Franco-hispanique
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Sortie le 7 décembre du nouveau livre de Gabriele Adinolfi : Années de plomb et semelles de vent...
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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mardi, 18 novembre 2014
ILS sont venus ! ILS sont tous là, mêmes les brigands de Barbarie… ILS ont envahi notre patrie !
Le simoun de la Liberté qui souffle depuis plusieurs années au Maghreb, au Proche-Orient, dans les pays arabes et en Afrique noire, gonfle tous les jours le flux migratoire du Sud vers le Nord.
Parce que les milliers d’africains débarquant sur l’île italienne de Lampedusa ne sont que l’avant-garde d’une armada de miséreux qui va déferler sur notre continent dans un futur proche, puisque les eurocrates mondialistes -obnubilés par leurs dogmes angéliques et droits-de-l’hommistes- ne prendront aucune mesure coercitive envers ces hors-la-loi. L’exemple récent des hordes de Balubas prenant d’assaut l’enclave de Melilla (1ère commune d’Europe, en Afrique) en constitue la démonstration éclatante.
Dans un contexte un peu différent, l’écrivain Jean Raspail avait écrit en 1973 un livre prémonitoire : Le Camp des Saints (réédité chez Robert Laffont).
Les charlatans du multiculturel, les gourous du métissage à tous les étages et les pourriticards aux commandes seraient bien inspirés de lire cette œuvre prophétique qui raconte la fin du monde blanc, succombant sous l’invasion de millions et de millions d’immigrés du monde entier.
AUX IMMIGRES LEUR PLACE, TOUTE LA PLACE, AUX EUROPEENS LEUR PLACE, RIEN QUE LEUR PLACE !
Les gouvernants, les politologues et les journalistes nous racontaient que les Moubarak, les Ben Ali, les Kadhafi & C° étaient d’affreux dictateurs qui tenaient leur pays sous un joug de fer et persécutaient leur peuple ! Cet état de fait n’a jamais gêné les dizaines de millions d’européens qui allaient se bronzer à Djerba, à Hammamet, à Hurghada ou à Sharm-el-Sheikh, de 2000 à 2010, sans se poser trop de questions. Des milliers de « camarades » socialaud-bobo-démocrato-écolos ont rendu visite à leurs copains du pourtour méditerranéen sans se boucher le nez, ni fermer les yeux !
Et subitement ceux-ci seraient devenus des « tyrans » parce qu’un petit marchand d’oranges s’est immolé par désespoir ?
06:46 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre-Alexandre Bouclay nous parle de son infiltration dans les milieux altermondialistes
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lundi, 17 novembre 2014
EMBARGO, VOUS AVEZ DIT EMBARGO ?
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
L’affaire des deux bâtiments de projection et de commandement russes bloqués à Saint-Nazaire suite à l’ukase hollandien, n’est pas le premier accroc dans l’histoire des ventes de matériels militaires français.
En 1967, Charles De Gaulle avait prévenu les futurs belligérants de ce qui allait rester dans l’Histoire sous le nom de « Guerre des six jours, que la France, « sa » France, donnerait tort à celui des Etats de cet Orient décidément bien compliqué , qui ouvrirait le premier les hostilités.
En effet, « l’homme du 18 juin » qui avait bradé l’Algérie française, entendait renouer avec le monde Arabe. Et son pari n’était pas très risqué car Israël, fidèle à sa stratégie de la « blitzkrieg », allait surprendre ses ennemis en les frappant le premier, détruisant ainsi tout leur potentiel destructeur….
N’utilisant à l’époque que du matériel français –chars AMX, avions Mirage III, Mystère IV, Vautour et autre Ouragan – Tsahal allait subir les foudres du « Grand Charles » : embargo complet sur les fournitures de rechange. Embargo aggravé deux ans plus tard après que des commandos israéliens, s’autorisant tout et n’importe quoi, aient détruit la quasi-totalité des appareils de la compagnie aérienne libanaise MEA. Embargo peu efficace dans la mesure où l’Etat juif, prévoyant les réactions de l’Elysée, avait fait le plein auprès de la société Dassault de toute la « quincaillerie » nécessaire pour faire voler ses jets.
Georges Pompidou, succédant à De Gaulle, décida dans un premier temps d’alléger cet embargo tout en le maintenant sur du « gros » matériel. Ce qui n’empêcha nullement 6 patrouilleurs lance-missiles de type « Combattante » en rade à Cherbourg, de prendre la poudre d’escampette bénéficiant, il est vrai, de nombreuses complicités dans les rangs des officiels français. Lesquels furent sanctionnés. Les Israéliens ne purent rééditer cet « exploit » avec leurs 50 Mirage VJ, eux aussi commandés et payés, stockés sous cocon à Châteaudun. Au terme de longues négociations, la France dut rembourser ces appareils dont les caractéristiques ne correspondaient pas aux besoins de notre Armée de l’Air, et verser des indemnités à son ex-client. Une triple pénalité !
Si la France perdit la clientèle de l’Etat hébreu – Israël se fournissant alors en matériel américain ou national – elle trouva une compensation en investissant le marché arabe, au grand dam des amis du fameux « petit Etat ». Même si la morale commerciale en avait pris un coup au passage, « le cher vieux pays » ne perdait rien au change, Egypte, Irak et Libye commandant des Mirages comme s’il en pleuvait….
Qu’en est-il aujourd’hui avec la commande des deux BPC russes qui fut négociée sous le quinquennat de Sarkozy, lequel fut, pour une fois, un efficace intermédiaire entre Vladimir Poutine et les Géorgiens ? Prenant prétexte du conflit ukrainien et épousant radicalement sans nuances les thèses de Kiev et des européistes, Hollande a décidé de suspendre la livraison des deux bateaux, poussant les Russes à lui adresser un ultimatum. « Monsieur petites blagues » est devant le dilemme suivant, ou bien se coucher devant le diktat des européo-mondialistes et perdre un avantage économique considérable, ou refroidir nos relations avec les Occidentaux et, parallèlement, conserver d’indéniables avantages économico-financiers. En effet, quels seraient les dommages encourus en cas de rupture du contrat ? Non seulement nous perdrions de belles perspectives pour toutes nos productions, mais
Il faudrait rembourser les deux navires, alors que notre commerce extérieur est en berne, payer des dédommagements, probablement salés, et rechercher une destination finale pour ces deux BPC… Qui en voudrait ? Certainement pas notre Marine nationale dont le budget est comprimé comme celui des autres armes, sans oublier que cette décision jetterait une suspicion sur la parole de la France. (Au moment même où cette dernière négocie péniblement la vente de Rafales avec l’Inde, ce choix ferait « désordre »…) Sans oublier les retombées négatives pour l’emploi : on entend déjà les pleureuses de la CGT ! Non, tout milite pour que la France, SOUVERAINE, tienne parole et livre du matériel commandé et, en grande partie, payé. D’autant que les deux BPC, à supposer que la Russie entre officiellement en Guerre avec l’Ukraine, ce qu’à Dieu ne plaise, n’auraient aucun rôle décisif dans un tel conflit essentiellement terrestre et… psychologique !
Plus que deux semaines à attendre jusqu’à la fin de l’ultimatum russe. Cette histoire, si son scénario épousait la pire des solutions, serait emblématique du degré d’incapacité de nos pseudos élites, qu’un inconséquent suffrage universel aura placé aux manettes de l’Etat.
23:51 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le journal hebdomadaire du Parti de la France...
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
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dimanche, 16 novembre 2014
Bonne nouvelle au Tribunal de Montpellier : notre camarade, et ami, Richard Roudier, ainsi que Josiane Filio, sont relaxés ! Bonnet d'ane pour le Préfet de police de Paris
L'“affaire” avait débuté le jour où le préfet de Police de Paris, Bernard Boucault, interdisait la manifestation pour la libération d’Esteban Morillo, aussitôt transformée en manifestation pour la défense des libertés publiques, avec en parallèle la création par Roland Hélie, Pierre Cassen et moi-même du Collectif pour la Défense des Libertés Publiques cliquez ici. Comme nous ne pouvions rester indifférents face à une telle infamie liberticide, nous avions estimé légitime avec Josiane Filio de Riposte Laïque de brocarder, quelque peu, dans deux écrits séparés publiés sur internet, ce haut personnage de l’Etat, Josiane utilisant le terme d’ “incapable” et moi dédiant au préfet une fable de La Fontaine, concluant mon papier par une tentative de calembour autour du terme “Bourricot“ soulignant que « toute analogie entre Boucault et Bourricot serait fortuite »… vous voyez, il n’y avait pas de quoi fouetter un chat (décidément, les comparaisons animalières nous poursuivent…)
L’organisation judiciaire – pour une fois - ne perdait pas de temps, et c’est ainsi qu’au printemps, je me retrouvais en compagnie de Josiane devant le Tribunal de Grande Instance de Carcassonne pour une accusation en injures publiques envers Monsieur le préfet. Alors que le ministère public réclamait de lourdes peines, nous fumes condamnés à 200 € d’amende, assortie du sursis, ce qui constituait une peine ridicule, surtout lorsque ces injures concernent un « personne dépositaire de l’autorité publique ». Mais pour notre camp, cette peine, même légère, constituait de toutes façons une condamnation, alors que nous n’avions fait qu’exercer un droit constitutionnel.
Et comme la liberté d’expression est la mère des libertés publiques, j’estimais qu’il n’était pas question de déroger avec les principes, et je suggérais à nos amis, de faire appel de ce jugement et de donner à cette affaire le lustre qu’elle méritait. Convoqués le 8 juillet devant la Cour d’Appel de Montpellier, nous étions, en moins de trois minutes, renvoyés à nos chères études et priés de nous représenter à la rentrée, au motif que durant les vacances, les magistrats ne traitaient que les affaires relevant de l’urgence. Les objections de Me. Gardères venu spécialement de Paris et les mines déconfites de nos amis venus nous soutenir ne purent rien changer à l’affaire.
C’est le 16 septembre que nous nous sommes donc retrouvés, une fois de plus devant la cour, afin de bénéficier de cette relaxe que tous les amoureux de la liberté attendaient. Jouant à domicile et afin de restituer l’ambiance de cette affaire, je tenais à rappeler à la Cour, que l’utilisation d’un jeu de mot, même s’il n’était pas de bon gout, n’avait pas vocation à déclencher l’ire du Préfet Boucault… d’autant qu’il s’agissait d’un propos venant en conclusion d’une fable, peu connue, il est vrai, de ce bon Jean de La Fontaine intitulée « l’âne portant des reliques » reproduite in extenso dans mon communiqué et j’invitais tous les participants à ce procès à lire ou à relire ce petit bijou pour leur édification. Madame la présidente n’avait pas attendu ce conseil, qui me faisait remarquer que La Fontaine, dans son texte, en avait également profité pour brocarder les magistrats… Alors que nous faisions l’objet d’une écoute attentive de la part de la Cour, le ministère public, toute honte bue – lui qui avait fait appel du jugement de première instance - requérait la confirmation de la condamnation à 200 € avec sursis. Maître Gardères, précisait en introduction de sa plaidoirie que s’il se trouvait « à l’autre extrémité de l’échiquier des idées politiques de Richard Roudier, il considérait comme un devoir de défendre la liberté d’expression » d’autant « qu’en quarante-cinq ans d’activités politiques, celui-ci n’avait jamais fait l’objet d’une condamnation pour injures… » Au terme d’une brillante plaidoirie, dans laquelle il faisait remarquer que les protagonistes de cette affaire devaient être traités à égalité de droits, il s’étonnait que l’on mobilise une Cour d’Appel pour de telles peccadilles.
La sentence de relaxe tant attendue est donc tombée, correspondant en tous points à notre attente, puisqu’elle se traduit par deux décisions de relaxe d’une part et surtout parce qu’elle est particulièrement motivée:
- Elle retient que nos écrits n’ont pas excédé ce qui est admissible dans le débat démocratique.
- Elle rappelle que l’exercice d’un mandat ou d’une fonction publique implique l’acceptation d’attaques pouvant excéder « les rapports habituels de convenance entre les citoyens de droit commun ».
- Elle précise enfin qu’un propos injurieux doit présenter un caractère offensant que le juge doit apprécier de façon objective.
Voila un arrêt qui ne devrait pas manquer de faire jurisprudence sur le terrain de l’injure publique, arrêt qui n’a pas jugé en outre opportun de condamner les rapprochements animaliers, ce qui réjouira n’en doutons pas un certain nombre d’impertinents actuellement en délicatesse avec la justice.
C’est en tous cas, une belle victoire de l’équipe Réseau-Identités/Riposte Laïque cornaquée par l’avocat des libertés publiques Maître Nicolas Gardères.
23:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Tourisme social » : la Cour de justice de l'Union Européenne valide la préférence nationale
Avec tous les patriotes, travaillons pour que l'idée de préférence nationale soit appliquée, face à tous ceux qui profitent sans vergogne de la générosité de nos institutions !
01:29 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 15 novembre 2014
Présent, nouvelle version...
13:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'intervention complète de Pierre Vial lors de la 8e Journée de Synthèse nationale le 12 octobre dernier
De nombreux lecteurs de Synthèse nationale nous ont signalé que la fin de l'intervention de Pierre Vial que nous avions publiée la semaine dernière était inaudible. Nous avons refait la présentation de ce film. Voici la version complète de ce discours.
00:51 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce samedi, à midi, sur Radio Courtoisie
00:44 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 14 novembre 2014
État islamique : l’incohérence des Occidentaux
Le Chêne n°78 cliquez ici
Une fois de plus, les événements du Moyen-Orient révèlent l’impéritie de nos dirigeants qui, avec le trop fameux État islamique, semblent surpris de découvrir l'existence d'un nouveau mouvement islamiste agressif et conquérant. Une telle réalité n'a pourtant rien de surprenant : le courant djihadiste ne cesse de prendre de l'ampleur un peu partout dans le monde musulman. Et peu importe le nom et la nature des organisations qui l’incarnent, le pro- jet ne change pas de nature, même s’il devient de plus en plus ambitieux. Il s’agit de créer partout où c'est possible un État théocratique régi par la charia et d’organiser à terme l'union de ces États pour fonder un nouveau califat.
Quand la démocratie fait le lit des djihadistes
Le processus d’émergence est d’ailleurs toujours le même. Il commence par la contestation d’un régime autoritaire et prend la forme d’une «révolution» ou d’une insurrection lancée officiellement au nom de la liberté et de la démocratie. Aussitôt les gouvernements occidentaux approuvent, soutiennent et se réjouissent, ignorant les cris «Allah Akbar» qui retentissent dans les manifestations et chez les combattants. Puis, si la révolution l’emporte, chacun constate alors que la seule force politique organisée susceptible de prendre le pouvoir même démocratiquement est celle des islamistes qui, une fois enplace, commencent à restreindre les libertés et à imposer la loi du Coran. C’est ce scénario que l’on a déjà observéen Égypte ou en
Tunisie, mais aussi sous une forme un peu différente en Irak et en Libye, sans parler de l’Iran il y a maintenant plusieurs décennies.
Des dirigeants aveugles et incohérents
Or, les dirigeants du monde occidental ne semblent avoir tiré aucune leçon de la répétition de ces scénarios. En Syrie, par exemple, ils continuent à vouloir chasser Bachar el-Assad du pouvoir alors que ses opposants, chacun peut le constater, sont majoritairement des djihadistes et que l’éviction du dictateur syrien provoquera inévitablement l'arrivée à la tête du pays d'un régime théocratique islamique.
Certes, parce que le groupe «État islamique» s'en est pris à des Occidentaux, en assassinant de façon ignoble plusieurs otages européens et américains, il est devenu une cible prioritaire de la «communauté internationale». Les
États-Unis et la France notamment ont même entrepris de mener des actions militaires contre les djihadistes de ce groupe appelé pudiquement Daesh.
On devrait donc s’en réjouir car tout ce qui peut faire reculer le djihadisme et l’islamisme est bénéfique mais, malheureusement, l’action des pays occidentaux demeure complètement incohérente. Car ces mêmes gouvernements qui envoient des avions bombarder les combattants de l’Etat islamique continuent de militer pour la chute de Bachar el-Assad. Or, il s’agit là d’une absurdité politique totale. Une guerre civile est en effet engagée qui oppose, qu’on le veuille ou non, le régime autoritaire de Damas aux forces islamiques. La France, comme les autres pays occidentaux, devrait donc choisir son camp.
Refuser de le faire est aussi absurde que l’attitude de ces supporters assistant à une finale de football entre l'Allemagne et le Brésil qui encouragerait l’équipe d’Espagne déjà éliminée.
La négation du politique
Il s'agit là d'une grave méconnaissance de la nature même du politique. Car l'essence du politique est de gérer le réel et donc de tenir compte de ce qui est et non pas de ce que l'on souhaiterait qu'il soit. La politique c'est aussi de faire des choix et d'en assumer les conséquences. Dans le cas d’espèce, faire chuter le dictateur syrien c’est assurer l'arrivée au pouvoir des fanatiques islamistes. Les politiques oublient qu’ils ne sont pas des journalistes. Ils ne sont pas là pour commenter les événements et porter sur eux des jugements moraux. Ils ne peuvent donc pas condamner le régime autoritaire de Damas, provoquer sa chute qui entraînera l’arrivée au pouvoir des islamistes du groupe Daesh et ensuite condamner ces derniers comme si de rien n’était. La politique n'est pas le commentaire moralisateur c'est l'action responsable.
Faute de quoi on ne fait plus de politique et, en agissant comme ils le font, nos responsables gouvernementaux, Hollande et Valls, trahissent les obligations de leur charge.
13:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |