mardi, 26 mai 2015
Appel à manifester pour sauver Calais le dimanche 7 juin prochain
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lundi, 25 mai 2015
Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine
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dimanche, 24 mai 2015
Un métier que l'on veut tuer :
Source La Ligue du Midi
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samedi, 23 mai 2015
Identité et existence enracinée
Claude Bourrinet
« Allez donc visiter le Mont-Saint-Michel ou le château de Versailles, cela vous donnera un début d'idée », a rétorqué Marion Maréchal-Le Pen à Cambadélis, qui avançait que la France n'existait pas, et que, seule, la république, avait la chance d'être, à ses yeux.
Je serais quand même étonné que Cambadélis, même ancien trotskiste, même franc-maçon, ne l'eût faite, un jour, cette visite. Au moins celle du château de Versailles, où des sauteries ont parfois lieu, pour les bobos parisiens de luxe, qui se voient bien dans le costume de Marie-Antoinette ou de Louis XVI...
Je reprends au bond la déclaration de Marion Maréchal Le Pen car elle me paraît emblématique d'un certain tour d'esprit des patriotes du moment. Il semblerait, en effet, que l'on découvrît actuellement, face à l'anxiété suscitée par notre possible disparition en tant que nation, à une sorte de « revival », comme disent nos « amis » américains (j'invoque les Yankees, car il se peut que nous soyons-là dans un mouvement de type néoconservateur). Nous voilà donc en quête de nos racines, que l'on croyait arrachées par la pelle de la modernité. Aussi a-t-on tendance à assimiler l'"identité" à des lieux chargés d'Histoire, ou à des périodes glorieuses de notre long passé.
Or, à mon sens, c'est une erreur, et un péril.
D'abord, même s'il est fort agréable de fréquenter les hauts lieux de notre civilisation, il n'en demeure pas moins que ce sont des souvenirs momifiés, pétrifiés, transformés en musées ou en cartes postales. On se satisfait de l'écume du temps. Mais a-t-on idée de ce qu'était la vraie pâte de l'Histoire ? Ne nous faisons pas une idée erronée de sa nature ? Ne sommes-nous pas comme ces amateurs de musique classique, qui ne goûtent que le Bolero de Ravel, les Quatre saisons de Vivaldi, sans connaître la véritable substance de ce continent immense qu'est la musique ? Le cliché qu'on a de notre Histoire ne saurait remplacer la vérité historique, bien plus complexe que les stéréotypes simplificateurs.
Nietzsche, souvenons-nous, avait attaqué violemment, dans ses « Considérations inactuelles », l'historiographie allemande, lourde et méthodique, qui pesait sur l'instinct de vie, et l'empêchait de se manifester. Il louait ainsi l'oubli, qui débarrasse l'être des oripeaux du passé, et lui octroie l'innocence violente de l'animal, capable de se ruer sur sa cible. L'homme trop savant ploie sous la connaissance, sous les scrupules, sous les « leçons » de l'Histoire, et, lorsqu'il se mêle d'action, veut absolument imiter. Or, Marx ne disait-il pas que toute imitation, dans l'Histoire, n'est que bouffonnerie ?
Il ne s'agit pas de cet « oubli » suscité par le libéralisme, l'utilitarisme économique, mais d'une libération des forces, qui s'inspireront de l'esprit, sans pour autant singer. Le dénuement actuel que la postmodernité nous impose, comme si nous étions des orphelins sans lieu ni feu, nous oblige à saisir ce qui est vital en nous, la lumière qui fait le monde, et non les ombres évaporées qui sont les reliquats de ce qui fut. Laissons les morts enterrer les morts.
C'est le même constat pour les signes, les images, que l'on prétend être nos "racines". Là aussi, on est dans le mythe, c'est-à-dire le conte, le "roman". Certes, un tel imaginaire peut être efficace pour l'action. George Sorel y voyait le moyen de mobiliser. Toutefois, attention au jeu pervers des retours de manivelle, des ruses de l'Histoire, comme disait Hegel. On croit oeuvrer dans un sens, mais on travaille dans l'autre, et, finalement, on est écrasé par les forces contraires à nos aspirations. La Révolution française se réclamais de Spartes et de Rome. On a vu le résultat, le triomphe de la bourgeoisie, du commerce, de l'économisme.
Il ne faut pas procéder par la périphérie, par ce fatras de signes, d'icônes, d'images, qui sont souvent le produit de la société du spectacle, et relèvent de fantasmes issus du ressentiment du dernier homme, qui se cherche pathétiquement des raisons d'exister. Il faut cherche le centre, le divin, et, par là, retrouver une vie authentique, qui se déploiera pour retrouver un monde où l'on soit de nouveau nous-mêmes. S'il n'y a pas conversion, transformation radicale de notre être, de nos façons intimes de voir, de sentir, et même de manger, d'être avec autrui, toute revendication devient une vaine incantation. Il s'agit de retrouver notre âme, notre cœur, au-delà des traces qu'il nous faut bien garder de suivre. L'essentiel est de capter ce que nous avons perdu, une source résurgente, si l'on veut, ou une centrale énergétique enfouie sous des couches de sédimentation.
13:44 Publié dans Claude Bourrinet | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le JT de Jean-Marie Le Pen :
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FLUX MIGRATOIRES La commission de Bruxelles est-elle criminelle ?
Michel Lhomme Métamag cliquez ici
La proposition, par Jean-Claude Juncker Président de la commission européenne, de quotas pose problème et constitue une faute dont les conséquences risquent d'être redoutables.
En effet, l'enjeu des flux migratoires ne se limitera pas à n'accueillir que 20 000 migrants mais les chiffres seront entre l'Afrique, le Proche et le Moyen Orient, l'Inde aussi d'une toute autre ampleur et se chiffrent en dizaines de millions de femmes et d'hommes, voire davantage ! Il est en conséquence irresponsable d'afficher une politique d'accueil de 20 000 personnes alors que dès le lendemain se présenteront 40 000 nouveaux arrivants puis le double !
La commission européenne et son président jouent les apprentis sorciers et sont totalement irresponsables. Les flux migratoires n'en sont qu'au commencement et vont se poursuivre pendant des décennies jusqu'au moment où les sociétés africaines entreront en transition démographique.
En conséquence, il faudrait agir de suite sur les sources de ces flux. Comment ? Cibler les passeurs criminels est nécessaire mais sera insuffisant car on va connaitre une pression permanente d'immigration sous l'effet conjugué de l'explosion démographique, des déstabilisations politiques et de la dégradation du climat. Il faut dès lors convaincre les pays africains et les aider massivement à mettre en place des programmes de maîtrise démographique. L'Afrique avait 250 millions d'habitants en 1950, elle en a aujourd'hui 1,2 milliard et atteindra 2,4 milliards en 2050 ! En 2100, le quart de la population du globe sera africaine !
En urgence, Il faut que le conseil de sécurité de l'ONU se saisisse immédiatement du dossier libyen, érythréen et qu'il s'active sans tabous et préalable à rechercher une solution politique au conflit syrien. Il est urgent de reconstruire un Etat en Libye, de réparer l'erreur, la faute impardonnable de Nicolas Sarkozy. Seule la communauté internationale peut maintenant l'imposer au besoin par une mise temporaire sous tutelle de la Libye.
Dans toutes ces conditions, on comprend mieux les réactions hostiles de très nombreux Etats européens (Grande-Bretagne, Hongrie et pays nordiques) aux propositions Juncker. La France se réfugie, elle, dans un silence coupable et demeure aveugle sur les réalités géostratégiques d'aujourd'hui. Elle feint d'ignorer les conséquences sur la paix civile que cela entraînera nécessairement sur son territoire.
Pourquoi cet aveuglement presque incompréhensible dans un pays qui portait autrefois le culte de la raison et du bon sens ? La France reste tout simplement aujourd'hui sous le contrôle et la pression des collabos immigrationnistes, le diktat d’intellectuels rétrogrades, faussement humanitaires dont le fond de commerce se résume depuis quarante ans par un slogan: "il faut ouvrir les frontières de l'Europe"!
Or, l'Europe n'a plus le choix. Elle n'a plus que le choix de la fermeté, du face à face et de l'affrontement puisqu'elle ne veut pas aider l'Afrique à stabiliser sa population (planning familial, voire stérilisation).
La politique européenne est en l'état suicidaire. Elle nous amène à relire Arnold Toynbee : les civilisations ne meurent pas assassinées mais parce que justement, elles se suicident.
10:04 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La grande enquête de Philippe Randa sur l'islamisation de la France
Les trois volumes de cette enquête
sont disponibles sur Francephie cliquez ici
Dans quelques jours la contribution de Roland Hélie
à cette enquête sera publiée sur ce site.
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vendredi, 22 mai 2015
OSER PENSER L’HORREUR CONTEMPORAINE EN SA TOTALITE Pas de politique sans théorie systématique et actualisée
Jacques-Yves Rossignol Métamag
C’est le peuple sain et souvent démuni, refusant les mensonges de l’euphorie mondialiste, qui a voté Front National. Il y a longtemps que nous savons cela. Peuple auquel il convient d’ajouter les intellectuels de plus en plus nombreux qui comprennent les catastrophes mentales (desséchement mental et mécanisation de l’esprit), écologiques (horreur de l’élevage industriel) et évidemment économiques auquel conduit inévitablement le capitalisme à sa phase mondialiste.
Comment le gros argent fou va-t-il tenter de contrer ce réveil politique des classes populaires ? Il va diviser, neutraliser, et surtout envoyer les gens de bonne volonté sur des dérivatifs, des diversions, de petits problèmes faux ou partiels. Il a un siècle et demi d’expérience en ce domaine. La grande bourgeoisie affairiste (« confessionnelle » ou « républicaine », c’était strictement la même classe faisandée car c’était le même rapport ironique et cynique au monde) a forgé mentalement une petite bourgeoisie dès 1850. Et elle a su l’assujettir, la diviser (en « droite » et « gauche ») et surtout l’orienter vers les diversions les plus variées, les faux problèmes les plus invraisemblables. Chez les petits bourgeois de « droite » comme chez les petits bourgeois de « gauche », la plupart de temps, on a « plané » hors du monde réel sur des questions de politique purement formelles (la question du régime, la question religieuse, la défense républicaine, abordées sous leur aspect le plus formaliste, le plus coupé de la vie réelle). Le gros argent « embauchait » les petits bourgeois et les formatait politiquement contre le bon peuple vivant, le petit peuple qui connaissait déjà, lui, certaines conséquences de l’horreur capitaliste. Cette politique petite bourgeoise artificiellement forgée et entretenue par le gros argent a constamment interdit que soit sérieusement posée la seule question qui comptait dès la fin du XIXe siècle : les effets réels de l’immense processus capitaliste sur la vie.
13:09 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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NKM pire que Jack Lang ?
Philippe Randa
Nathalie Kosciusko-Morizet, toujours à l’affut d’une excentricité, veut « préserver la diversité artistique libre et indépendante qui a fait l’âme (d’un) quartier », à Belleville, dans le XXe arrondissement de Paris. Une de ses ruelles, dénommée Dénoyez, est en effet « devenue touristique depuis une dizaine d’années grâce aux graffitis colorés qui ornent ses murs », rapporte Le Parisien.
Un projet de construction de logements sociaux et d’une crèche mettrait en effet en péril « l’âme du quartier »…
Ah ! le graffiti, que Jack Lang, Ministre de la culture, avait en son temps considéré comme de l’Art pour l’inviter en 1991 dans une institution culturelle d’importance à Nantes… puis qu’il avait accueilli l’année suivante au musée des Monuments français.
En 2013, NKM avait déjà fait le buzz, comme on dit, en s’émerveillant dans un entretien au magazine Elle d’« un lieu de charme à la fois anonyme et familier… » : elle parlait alors du métro où il lui arrivait de « … faire des rencontres incroyables (et où il y aurait) des moments de grâce. »
La presse s’était alors gaussé comme il se doit de la candidate UMP à la Mairie de Paris… De même avec sa photo, à la même époque, où on la voyait « cloper », en blouson de cuir et tignasse au vent, en compagnie de SDF… Photo où elle ne distinguait guère de la faune des laissés-pour-compte de la société.
Quant aux électeurs, ils n’avaient pas manqués de lui offrir la veste électorale qu’elle méritait, tandis que nombre de facétieux camarades de son parti la surnommait alors « La Folle de l’UMP ».
On se demande pourquoi !
09:59 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les enseignants : nouveaux dindons de la farce socialiste
Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici
Le décret de la réforme du collège publié en catimini durant la nuit, quelques heures à peine après la grève des professeurs, traduit une fois de plus le mépris du gouvernement socialiste à l’égard des enseignants.
Rien d’étonnant, néanmoins, de la part d’un exécutif responsable d’un accouchement au forceps des rythmes scolaires à l’école primaire ! Rien d’étonnant quand on connaît la mauvaise foi des apôtres socialistes de cette réforme du collège – que je qualifierai pour ma part de projet nuisible – qui considèrent qu’eux seuls sont du côté du progrès, qu’eux seuls œuvrent pour la « réussite de tous les élèves ».
Au mieux, les caciques du PS jugent comme des abrutis ceux qui s’opposent à la vertu de cette « réussite pour tous » (en réalité un échec pour le plus grand nombre et un égalitarisme néfaste à l’élitisme républicain). Au pire, ils les discréditent en les qualifiant de vilains réactionnaires préoccupés par le seul devenir des élites. Rien ne les arrête, ces « progressistes » autoproclamés – des apprentis sorciers, devrais-je dire – pour faire montre de pédagogie et expliquer aux enseignants et aux parents d’élèves le bien-fondé d’un projet qu’ils sont bien les seuls à défendre contre un bon nombre de philosophes, d’historiens et même d’enseignants !
Alors, quoi ? Certains professeurs dépités sont plus ou moins conscients qu’ils ne seront pas entendus. Inutile, donc, d’offrir une journée de grève à l’État. D’autres, sceptiques, restent encore dans le flou et se disent qu’ils pourront, le moment venu, adapter la réforme et rester libres de leur pédagogie. D’autres, encore, se refusent à croire que ce qui vient de la gauche peut être néfaste. N’ont-ils pas toujours cru – à défaut de voter – à cette gauche qu’ils idéalisent ?
Mais le PS croit-il encore aux enseignants ? Ne préfère-t-il pas aux classes moyennes laborieuses les « minorités visibles » qui constituent son nouvel électorat ? La réforme du collège se fera donc « quoi qu’il arrive » (dixit Valls), et tant pis si les profs sont mécontents…
01:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 21 mai 2015
21 mai 2013 :
12:31 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Judi 11 juin, aux Ronchons :
07:35 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
07:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3188 du 15 mai 2015
DANS UN récent entretien que j’ai eu avec Jean-Marie Le Pen, ce dernier me disait : « Marine Le Pen, c’est Ganelone » ! Il féminisait ainsi le nom du traître emblématique de l’histoire de France, Ganelon. Qui était Ganelon ?
“MARINE LE PEN, C’EST GANELONE !”
Le personnage, que l’on trouve dans la Chanson de Roland, était le beau-frère de Charlemagne, dont il avait épousé la sœur et dont il avait eu un fils, ce qui fait de lui le beau-père de Roland. Il le trahit honteusement en le mettant à l’arrière-garde qui devait se faire attaquer à Roncevaux par les Sarrasins avec lesquels Ganelon s’était entendu pour se débarrasser d’un rival. Il est d’une certaine manière devenu dans la tradition française l’archétype du félon ou du traître. Lors de son procès, Ganelon, déclaré coupable de félonie, est condamné à être écartelé par quatre chevaux. Du même coup, tous ses proches qui s’étaient portés garants pour lui seront pendus. Dans le chant XXXII de la Divine Comédie, Ganelon nous est montré relégué dans le Cocyte, au plus profond de l’Enfer, en punition de sa trahison. Voici ce qui l’attend, Marine…
JEAN-MARIE LE PEN FONDE UNE NOUVELLE FORMATION
Interrogé il y a quelques jours sur France 2, Jean-Marie Le Pen confiait : « Le temps est maintenant celui de la réflexion. Je dois m’interroger sur les possibilités qu’a le courant national de s’exprimer à temps pour sauver notre pays […] Est-il encore possible de le faire avec le Front national dirigé par Marine Le Pen ? Je ne sais pas ». Le 11 mai, invité de Henry de Lesquen sur Radio Courtoisie, le Menhir en a dit davantage, évoquant la création d’une formation et non d’un parti. Il est question de mettre sur pied une association des amis de Jean-Marie Le Pen. Florian Philippot est la cible privilégiée du Menhir. Pour le fondateur du FN, à l’occasion du congrès extraordinaire qui doit décider de la suppression ou non de la présidence d’honneur, les adhérents devront choisir entre la ligne JMLP et la ligne Philippot, un moyen habile de ne pas attaquer de manière frontale sa fille pour éviter de donner à ce conflit une dimension trop familiale.
Certains, dont Jacques Bompard, qui gardent une lourde rancune à l’encontre de Jean-Marie Le Pen, refusent de se lancer dans une telle aventure, tout en reconnaissant qu’« un parti à la droite de celui de Marine Le Pen a désormais toute sa place ». Un cadre historique du FN note fort justement qu’un « espace politique existe, qui s’accroît avec le manque de clarté du FN actuel au sujet d’un certain nombre de nos fondamentaux originels ». Bompard relève que « Jean-Marie Le Pen souffre par là où il a péché dans le passé » mais reconnaît qu’« il existe tout à fait un espace pour la défense des traditions, de ce qui a fait la France et de la famille. » Bompard ne ferme, au demeurant, pas les portes, déclarant : « Il pourrait y avoir un projet plus large » (que celui défendu par la Ligue du Sud que préside Bompard). Président du Parti de la France depuis 2009, après avoir milité au FN pendant 30 ans et en avoir été exclu par Jean-Marie Le Pen pour s’être opposé à sa fille, Carl Lang serait prêt à se lancer dans le combat. Il vient de déclarer : « Jean-Marie Le Pen pourrait tout à fait impulser la composition d’une nouvelle droite nationale Française. Non pas sur sa seule personne, ça semble difficile à 86 ans. Mais comme élément central d’un dispositif où chacun poserait sa pierre dans une logique de coopération. Si demain nous pouvons nous retrouver, ce serait souhaitable, et il existe un vivier de cadres qui pourraient suivre un tel mouvement […] » Au FN, ils font mine de ne pas s’inquiéter. Florian Philippot, qui adore Jean-Marie, a déclaré, avec cynisme, dans le registre « casse-toi, vieux con » : « Le Front défend la libre création d’entreprise. Donc s’il souhaite créer son propre mouvement, personne ne peut s’y opposer, il n’y a aucun problème».
HONTEUX FICHAGE DIGNE DE VICHY : L’AFFAIRE ROBERT MÉNARD
Dieu merci, la Licra veille. Le maire de Béziers, Robert Ménard, « vient de s’illustrer par une révélation tout aussi honteuse que révoltante. Selon ses propres déclarations, il existerait dans sa commune un fichier recensant les enfants supposés musulmans de sa ville établi sur la base des prénoms ». C’est la Licra et plus précisément Alain Jakubowicz qui le dit. Donc, c’est vrai. Le merveilleux site de la Licra l’assène avec force : « Cette pratique rappelle incontestablement la politique menée sous le régime de Vichy (Rappelons-nous le commissariat aux Affaires juives, de sinistre mémoire). La République ne saurait tolérer de tels actes. » Voilà qui est dit, et bien dit. Du coup l’officine va déposer plainte auprès du procureur de la République. François Hollande y va aussi de son indignation. Il a déclaré, le petit torse bombé, la lippe lippue, l’œil torve, le postillon indigné : « Le fichage d’élèves est contraire à toutes les valeurs de la République. Il y a des principes dans la République et quand ils sont gravement atteints, les tribunaux en sont saisis et des sanctions seront prononcées par les juges compétents », a ajouté le président de la République. Pour avoir dit qu’il y avait 64,6 % d’élèves musulmans à Béziers, Robert Ménard risque d’être pendu à un croc de boucher. Halal, espérons-le. Mais Ménard qui ne manque jamais de célébrer dans sa mairie la fête d’Hanoucca, s’est comporté de manière ignoble envers Jean-Marie Le Pen, dénonçant « ses propos racistes et antisémites » tenus dans RIVAROL, appelant à son exclusion et demandant le changement de nom du FN. Voilà qu’on lui met à la figure Vichy et les heures les plus sombres de notre histoire : c’est bien fait pour lui. La lâcheté et la trahison ne paient jamais.
QUENELLE À L’ASSEMBLÉE “NATIONALE” !
Houlà, les nains s’indignent ! Pensez, deux visiteurs de l’Assemblée nationale ont fait la “quenelle” inventée par Dieudonné, qui est, comme on le sait, ou du moins comme certains le savent, le salut nazi à l’envers. L’horreur… Du coup Meyer Habib, député UDI des Français de l’étranger, et dont la circonscription comprend Israël, s’était indigné. Et quand ces gens-là s’indignent, ils s’indignent. Le député, indigné sans doute de naissance, avait déjà déposé, avec Jean-Louis Borloo, début 2014, « une proposition de loi visant à pénaliser ce geste obscène » et a alerté le président de l’Assemblée, Claude Bartelone, qui a du coup déposé une plainte. Son profond commentaire : « L’Assemblée nationale est la maison du peuple ». Bande de clowns !
NAJAT VALLAUD-BELKACEM A-T-ELLE VRAIMENT TENU CES PROPOS ?
Le ministre aurait déclaré, en 2006 : « Dans un pays musulman comme la France, il n’est pas normal qu’il y ait encore des Français qui rejettent l’islam. Il faudrait que l’éducation nationale instaure dans ses programmes les principes coraniques pour y habituer les Français dès le plus jeune âge. Autoriser le voile, apprendre des passages du coran et la culture musulmane. Voilà ce dont a besoin la France. Après tout, il ne faut pas oublier que contrairement au christianisme, l’islam est compatible avec la démocratie ! ». Najat Vallaud-Belkacem aurait tenu ces propos le 12 juillet 2006 au micro de RTL. Mais aucune trace de cette déclaration n’est visible. Il s’agit donc manifestement d’un faux. Ceci dit, on apprend, avec cette affaire qu’elle se dit croyante tout en n’étant pas une pratiquante régulière. C’est toujours ça de gagné, comme information…
BERTRAND DELANOË, BEAUCOUP PLUS FORT QUE CHIRAC !
On connaît l’affaire des emplois fictifs à la mairie de Paris, dans laquelle Jacques Chirac s’était illustré. Il appointait en toute discrétion 21 salariés, qui travaillaient en réalité pour le RPR. Il avait remboursé, avec l’aide de l’UMP, 2,2 millions d’euros à la mairie. Mais Jacques Chirac jouait petit bras, si on le compare à l’ancien maire de Paris, Bertrand Delanoë. On apprend que ce dernier salariait, avec l’argent du contribuable, une trentaine de permanents CGT, sournoisement dissimulés dans une mutuelle de la ville, la MCVAP. L’Inspection générale a estimé que le coût de cette gabegie se montait à 1,2 million par an, soit une dizaine de millions sur dix ans, cinq fois plus que les petites affaires de Chirac. Delanoë se poussait du col, se vantant d’être un bon gestionnaire, se targuant de tenir la mairie « sans augmenter les impôts » durant sa première mandature, et “modérément” par la suite. En fait, Jean Tibery avait laissé une situation financière excellente qui a permis à Delanoë de pomper allègrement dans les caisses pour financer ses extravagances. Sans oublier que l’endettement avait progressé de façon considérable, passant de 1 à 2,8 milliards d’euros et que les plus-values des droits de mutation sont passées de 350 millions en 2001 à 939 millions en 2008, du fait de l’envol de l’immobilier. Quel culot, ces socialistes !
MARINE LE PEN DANS LE COLLIMATEUR DE LA JUSTICE
Jeanne, le micro-parti qu’elle a fondé, a été mis en examen dans le cadre de l’enquête le visant et portant sur le financement des campagnes du FN pour la présidentielle et les législatives de 2012. Jeanne est lourdement soupçonnée d’avoir eu un financement illicite de Riwal, une société dont le dirigeant est Frédéric Chatillon, un proche de Marine Le Pen., qui aurait surfacturé ses services au profit de Jeanne et du FN, l’objectif étant de bénéficier du remboursement par l’Etat de frais de campagne imaginaires. En attendant, Jeanne a été mis en examen pour « acceptation par un parti politique d’un financement provenant d’une personne morale et escroqueries ». Décidément les nuages s’accumulent sur la tête de Ganelone.
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
07:22 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 20 mai 2015
Mercredi soir (18 H - 21 H) et jeudi matin (7 h - 10 h), sur Radio Courtoisie
11:20 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Deux rendez-vous jeudi prochain, 21 mai, à Paris :
11:20 Publié dans Cercle du Coeur noir, La vie de l'association Synthèse nationale, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ce soir sur Radio Courtoisie, Jean-Claude Rolinat nous parle de son Mannerheim. Sortie prochaine du n°6 des Cahiers d'Histoire du nationalisme
Méconnu en France, le Maréchal Carl Gustaf Emil Mannerheim incarna, dans la première moitié du XXe siècle, l'héroïque résistance nationaliste et anti-communiste du peuple finlandais face aux prétentions impérialistes des soviétiques.
Mannerheim fit preuve d'un pragmatisme original grâce auquel la Finlande est sortie victorieuse de sa guerre de libération nationale. Certes, il s'entendit avec les puissances de l'Axe, mais cela ne l'empêcha pas de continuer à jouer un rôle politique important jusqu'à sa mort survenue en 1951.
Jean-Claude Rolinat, à qui nous devons un livre consacré à Salazar cliquez ici et un autre à Mandela cliquez là (publiés aux Bouquins de Synthèse nationale), nous fait revivre dans ce n°5 des Cahiers d'Histoire du nationalisme ce grand patriote qui mérite d'être mieux connu.
Vous pourrez aussi lire des documents historiques consacrés à Mannerheim :
- Un article du professeur François Duprat publié en 1973 dans Défense de l'Occident.
- Un entretien avec Alfred Fabre-Luce publié dans Les Ecrits de Paris en 1952.
- Une contribution de Philippe Vilgier, auteur d'une biographie de Jean Fontenoy (Editions Via Romana 2012) qui fut volontaire pendant la guerre d'Hiver en 1939 en Finlande dans les rangs des troupes nationalistes.
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Abonnement : France, 6 numéros 110 € - Etranger 130 €
11:17 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 18 mai 2015
La Syrie, pays martyr des Droits de l’Homme ?
Au début du mois de février, lors d'une conférence de Synthèse nationale à Paris cliquez ici, vous avons eu le plaisir de recevoir des membres de la Communauté des Syriens de France admirablement dirigée par Mme Rima Khlifaoui. Depuis cette réunion, un voyage auquel ont participé plusieurs amis de notre revue a été organisé en Syrie. Notre camarade et ami S. W. était de ce voyage, il nous livre ici ses impressions sur ce pays tant décrié. Nous sommes loin de ce que nous racontent les médias aux ordres.
A force d’entendre dans les médias qu’un certain nombre de Français (qu’ils soient de souche ou d’origine immigrée) rejoignent la Syrie ou l’Irak dans le seul but de rallier le jihad, une idée a germé dans mon esprit: pourquoi ne pas m’y rendre moi aussi, afin, symboliquement, de signifier au peuple syrien que certains Français ne sont pas dupes, et encore moins insensibles aux souffrances qui sont les leurs dans la guerre qui les oppose aux terroristes de Daesh ? Par chance, une association franco-syrienne proposait un voyage de « solidarité ». Me voilà donc parti vers un pays que les médias qualifient de dictature, et vers lequel il est « fortement déconseillé » de se rendre, selon le Quai d’Orsay… Peu importe, la vérité n’attendra pas.
Après un vol à destination de Beyrouth, un autobus nous attendait pour nous permettre de franchir la frontière libano-syrienne. Quelques checkpoints plus tard, et nous voilà à Damas.
Damas, la plus ancienne ville continuellement habitée du monde, continue à respirer. Si les militaires et les coupures d’électricité n’étaient pas là pour le lui rappeler, le voyageur en oublierait presque qu’il se trouve dans la capitale d’un pays en guerre !
Bien que leur niveau de vie ait baissé, les Damascènes continuent à vivre debout. Ce peuple, fier et amical, travaille, sort au restaurant, va à la piscine, prie, que ce soit dans la grande mosquée des Omeyades ou dans les nombreuses églises que compte cette ville magnifique. Ici, les mosquées côtoient les églises. Bref, la guerre n’a pas pris le dessus sur le peuple syrien.
A Damas, comme dans l’ensemble du pays, les nombreux portraits du raïs témoignent de la solidité du régime: en quoi la stabilité politique serait-elle un mal, dans ce pays pluriel qui ne compte pas moins de 18 communautés différentes ? En Irak également, le peuple vivait mieux quand le régime était fort; aujourd’hui, les attentats suicides tuent des innocents, tandis que la moitié du pays est aux mains des coupeurs de têtes de Daesh… Il en est de même pour la Libye : certes, Kadhafi était un dictateur, mais son peuple ne bénéficiait-il pas d’avantages sociaux remarquables (absence d’impôts, pas de TVA, prêt à taux zéro, bourse de plus de 1 600 € pour les étudiants qui se rendaient à l’étranger) ?... Les Libyens sont-ils vraiment plus heureux maintenant ? Nous autres, Européens, sommes-nous plus avancés à l’heure où des milliers d’Africains, principalement musulmans, transitent par le Libye pour rejoindre l’Italie ? Est-ce là le progrès que nous promettent nos élites ?
La stabilité de cette partie du monde est indissociable d’un pouvoir politique fort, qui ne peut en aucun cas être calqué sur nos modèles occidentaux : notre tradition républicaine « droits de l’hommiste » ne peut pas se transposer au Proche-Orient. L’ingérence occidentale bouleverse en effet cet équilibre fragile, et les première victimes des changements politiques sont les peuples, a fortiori quand l’alternative politique est représentée par des islamistes.
A ce titre, la Syrie et son peuple, massivement favorable à son raïs, est victime du lobby des Droits de l’Homme. N’oublions pas qu’il s’agit d’un pays laïc. Cet héritage du parti Baas, la laïcité version orientale, fait figure d’exception dans ce coin du monde où l’islamisme devient un projet politique de prise de pouvoir. Le très respectable grand mufti de Syrie, le cheikh Ahmad Hassoun, prône le bien vivre ensemble de toutes les communautés qui font l’unité du peuple syrien. La preuve: quand on le questionne sur le nombre de chrétiens en Syrie, c’est le plus naturellement du monde qu’il répond que le pays compte 23 millions de chrétiens, de sunnites, d’Arméniens, etc... et que tous « sont avant tout citoyens syriens ». Ici, le mieux vivre ensemble est une réalité dont François Hollande devrait s’inspirer, et non un slogan politique. A moins que sous couvert de Droits de l’Homme, il ne s’agisse davantage de jouer les intérêts de l’Arabie Saoudite ou du Qatar… Oui, la géopolitique pèse plus lourd que les Droits de l’Homme, encore faut-il l’avouer et non pas jouer les vierges effarouchées, comme le fait si mal Laurent Fabius, qui, il y a quelques semaines, a qualifié le président syrien de « boucher ». En revanche, que la France vende 24 rafales à l’Egypte ne semble pas poser de problème déontologique, même si, rappelons-le, le général Abdel Fattah Al-Sissi, Président actuel, a renversé - ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi - le Président Morsi (Frères musulmans), élu démocratiquement, en juillet 2013. L’un est un boucher… quand l’autre est un partenaire !
Pendant ce temps, Daesh combat les communautés chrétienne et musulmane, ravageant au passage un patrimoine parmi les plus considérables de l’histoire de l’Humanité. L’obscurantisme est aux portes de l’Europe, et nos gouvernements hésitent encore à soutenir Bachar El-Assad face à l’ennemi commun !!! Si la Syrie tombe, pourquoi pas le Liban, puis l’Europe ?...
Même le cardinal Bechara Boutros Rai, chef de l’Eglise maronite, vient de déclarer* : « Le risque s’accroît que tout le Proche-Orient perde lentement sa présence chrétienne. L’Occident doit prendre conscience de la gravité de la situation. » Il rajoute : « Les responsables politiques doivent comprendre que la guerre en Syrie doit s’arrêter. La communauté internationale doit cesser de fomenter la guerre et de l’alimenter. Le trafic des armes doit cesser. Ils devraient faire fi de leur fierté et tous s’asseoir autour d’une table pour trouver une solution politique. Mais leur fierté le leur interdit. En effet, cette fierté dissimule des intérêts économiques qui visent le gaz naturel et le pétrole. […] Des groupes extrémistes islamiques tels que l’EI, Al Qaïda et Al-Nusra ont été créés par des États occidentaux et arabes et soutenus par de l’argent et des armes pour être utilisés pour leurs intérêts économiques et politiques. »
Pourquoi Assad n’est-il pas tombé, comme Moubarak en Égypte ou Ben Ali en Tunisie ? Il est vrai qu’en Syrie, le raï bénéfice du soutien de son peuple, ce qui favorise la stabilité du régime. Les habitants de Maharda, ville chrétienne, à l’image de Salem, francophile passionné de littérature française, se battent au quotidien pour, simplement, continuer à vivre dans leur ville, avec leur famille et leur foi, et ce dans un pays riche de tant d’Histoire et d’Humanité.
Aujourd’hui, l’heure est à l’action, et non aux tergiversations. L’intérêt des Européens et de notre pays est de combattre prioritairement les terroristes. La Syrie est considérée comme le berceau de l’Humanité où le temps semble ne s’être jamais interrompu. De la culture sumérienne à l’influence assyro-babylonienne, de la domination araméenne à la période hellène, de la chrétienté précoce à l’empire byzantin et à la suprématie de l’islam, cette terre de Syrie constitue un pays unique, riche d’une multitude d’influences. Le grand archéologue français et ancien directeur du Louvre André Parrot ne se plaisait-il pas à rappeler : « Tout homme civilisé a deux patries : la sienne et la Syrie. »...
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L’Institut de géopolitique des populations organise un colloque, le 21 mai prochain, sur le thème « L’Afrique au XXIe siècle,
Entretien avec Yves-Marie Laulan, Président de l’Institut de géopolitique des populations publié dans le quotidien Présent
L’Institut de géopolitique des populations organise un colloque, le 21 mai prochain, sur le thème « L’Afrique au XXIe siècle, à 4,2 milliards de personnes ». L’Institut s’inquiète de voir un continent mal préparé à l’explosion démographique qui s’annonce et se demande : « Comment conjurer le mauvais sort qui se profile à l’horizon pour l’Afrique ? Comment lui rendre l’avenir apaisé qui doit lui revenir ? Comment aider l’Afrique à maîtriser son destin ? »
Intervenants prévus : Jean-Paul Gourevitch, Bernard Lugan, Philippe de Parseval, Philippe Randa, Denis Garnier, Cedric Milhat, Bernard Moisy, Général Lamine Cissé.
— Pourquoi avoir choisi l’Afrique comme objet de votre colloque et pas l’Asie, dont rien que les populations indiennes et chinoises vont atteindre les 3 milliards d’ici à 2050 ?
— Tout simplement parce que les populations de l’Asie ont largement stabilisé leur croissance démographique.
C’est déjà le cas pour la Chine, avec la politique de l’enfant unique, et en cours pour l’Inde. Au surplus, les prévisions pour l’Afrique portent sur une population presque de 50 % supérieure à celle de l’Asie, 4,2 milliards de personnes, sinon davantage. On peut dire qu’un être humain sur deux sur la planète sera africain. C’est un bond quantitatif colossal, sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Or l’Afrique se révèle totalement incapable de maîtriser sa dynamique démographique, comme elle se montre incapable d’accroître convenablement ses ressources pour y faire face.
— Comment expliquez-vous l’impréparation de l’Union européenne face aux enjeux démographiques, et donc migratoires, qui nous sont soumis par le continent africain ?
— C’est le phénomène le plus important du XXIe siècle. Il n’est donc pas surprenant que l’Europe de Bruxelles ne s’y intéresse que quand il est bien trop tard. M. Junker – qui a fait sa carrière comme Premier ministre d’un Etat spécialisé dans la fraude fiscale à l’échelle industrielle, le Luxembourg – propose un quota de 20 000 personnes pour accueillir les centaines de milliers migrants africains qui se pressent aux portes de l’Europe. C’est la pire des solutions : elle consiste à légaliser le phénomène, donc à l’institutionnaliser, nullement à y remédier. L’Europe de Bruxelles est un ectoplasme sans tête.
— Si nous échouons à relever ce défi, quel est le pire scénario que vous prédisez pour l’Europe et la France ?
— C’est bien simple, l’Afrique va crever de faim et déverser son tropplein humain sur le continent le plus proche, l’Europe. Le ruisselet de l’immigration clandestine par l’île de Lampedusa va se gonfler à l’extrême et devenir un fleuve irrésistible, sous l’oeil réprobateur de l’Amérique et des Nations unies.
Evidemment, ce n’est pas leur affaire.
Or c’est la survie même de l’Europe comme continent civilisé et structuré qui est en jeu. Nos régimes démocratiques n’y résisteront pas. Et, devant la colère de l’opinion publique, ce sont des régimes autoritaires qui viendront. Après tout, ce ne sera peut-être pas plus mal.
Propos recueillis par Louis Lorphelin
Le 21 mai, de 9 heures à 18 heures à l’ASIEM, 6 rue Albert de Lapparent, Paris 75 007.
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dimanche, 17 mai 2015
Un maire UMP veut interdire l’islam : il est interné dans la journée !
Francis Gruzelle Riposte laïque cliquez ici
Dans l’URSS de Staline, les opposants les plus dangereux étaient internés dans des hôpitaux psychiatriques, puis déportés dans des camps de concentration en Sibérie. Robert Chardon, le maire de Venelles, dans les Bouches-du-Rhône, une commune d’environ 8.000 habitants proche d’Aix-en-Provence, a été hospitalisé d’office dans la journée du vendredi 15 mai, selon l’AFP qui cite une source proche du dossier, après s’être prononcé sur Twitter pour « interdire le culte musulman en France ». Selon l’AFP, « cette demande d’hospitalisation a été formulée par un tiers compte tenu de l’incohérence de ses propos »…
On peut être d’accord, ou pas d’accord, avec les propos du maire Robert Chardon, élu à la mairie de Venelles sur une liste ayant recueilli plusieurs milliers de voix, puis élu au poste de maire par une majorité de conseillers municipaux. Mais, on ne peut cautionner, comme le font une majorité de médias, d’élus, de hauts fonctionnaires, l’internement psychiatrique d’un élu de la République qui émet une idée. Car, on commence par interner Robert Chardon pour ses propos, mais on ne sait pas où ce nouveau processus s’arrêtera ! Il suffit de regarder l’histoire des 80 dernières années…
Dans la foulée de ce qui ressemble à une « chasse à l’homme » pour un délit d’opinion, l’UMP, formation politique de Robert Chardon, a lancé vendredi 15 mai une « procédure d’exclusion » visant le maire de Venelles, qui s’est prononcé, rappelons le sur Twitter pour « interdire le culte musulman en France ». Des propos « condamnés » par deux dirigeants de l’UMP, dont Nicolas Sarkozy. « J’ai demandé qu’une procédure d’exclusion soit engagée pour des propos absurdes qui ne correspondent en aucune manière aux valeurs et au projet de l’UMP », a officiellement déclaré la vice-présidente du parti Nathalie Kosciusko-Morizet à l’AFP.
Selon la rédaction du quotidien Les Echos, cette « procédure d’exclusion » de Robert Chardon avait été annoncée « auparavant sur Twitter, par Christian Estrosi. « Les propos du maire de Venelles sont intolérables et incohérents, il a été immédiatement suspendu », avait ajouté le maire de Nice, par ailleurs président de la Commission nationale d’investiture de l’UMP et chef de file du parti pour les élections régionales en Paca. »…
La rédaction de l’hebdomadaire l’Express confirme l’hospitalisation d’office du maire UMP de Venelles en ces termes : « Hospitalisé en raison de « l’incohérence » de ses propos… Outre la condamnation morale et politique, Robert Chardon a par ailleurs été hospitalisé d’office dans la journée de vendredi, a-t-on appris de source proche du dossier. Cette demande d’hospitalisation a été formulée par « un tiers compte tenu de l’incohérence de ses propos », a-t-on précisé de même source cliquez ici.
Un conseil à chaque Français qui nous lit : attention à vos tweets, à vos messages internet, à vos comptes Facebook, à vos discussions de bistrot ou de trottoir. Au moindre dérapage verbal, vous pourriez être hospitalisé d’office, en application de la jurisprudence Robert Chardon. Une suggestion : regardez le film Minority Report, réalisé par Steven Spielberg, car il arrive que la réalité rattrape la fiction.
NDLR - SN :
En savoir plus cliquez ici
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samedi, 16 mai 2015
PALMYRE VAUT BIEN UNE VRAIE GUERRE La communauté internationade face au génocide culturel
Métamag cliquez ici
Les djihadistes du groupe État Islamique, qui se vantent d'avoir détruit des sites antiques en Irak, menacent la ville antique de Palmyre, un joyau du désert syrien inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco. Ce sera le grand test pour une coalition qui prétend faire la guerre contre les obscurantistes de l'émirat auto proclamé.
10:07 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un concert de Laibach, histoire de se remettre en forme...
09:58 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 15 mai 2015
Ce vendredi, c'est le jour de Rivarol
12:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3187 du 7 mai 2015
MARINE Le Pen a eu un Premier mai pourri : temps pluvieux, très maigre affluence, historiquement basse (3 500 personnes, qui dit moins ?), interventions intempestives des Femen, réponse musclée du service d’ordre, heurts avec des journalistes de Canal+ et de France 5, dépôts de plaintes croisés des Femen et du FN, enquête interne à l’hôtel intercontinental concernant l’entrée des membres du DPS dans la chambre louée par les Femen, montée non prévue de Jean-Marie Le Pen sur la tribune où il reçoit une ovation du public et même des conseillers départementaux derrière lui sous l’oeil stupéfait, médusé et furieux de la présidente du Front national. Bref un Premier mai catastrophique à tous points de vue, en termes d’images, de communication et en termes politiques. Tuer le père ne lui réussit manifestement pas. Et à notre avis elle n’a pas fini de payer cet odieux et abject parricide.
UN BEAU NUMÉRO DE FAUXCUL DE LA PART DE PHILIPPOT
On sait que le site Mediapart, piloté par le trotskyste Edwy Plenel, a affirmé que Jean-Marie Le Pen, président d’honneur du Front national, aurait planqué 2,2 millions d’euros — principalement sous forme de lingots et de pièces d’or, gérés par son majordome, en Suisse —. Une accusation probablement fantaisiste, mais le Menhir continue à leur faire peur et ils ne reculent devant rien. Mais que dit Florian Philippot, le numéro 2 du FN, qui hait tout simplement Jean-Marie Le Pen ? Stupéfaction. Il est d’une modération de chaisière, pucelle, forcément pucelle. « Je ne peux pas croire que cela soit vrai », a-t-il déclaré sur I-Télé, se disant par ailleurs « pas du tout au courant » de cette affaire. « Je ne sais pas du tout si c’est vrai, cela me parait étrange connaissant Jean-Marie Le Pen », a-t-il répondu à Laurence Ferrari qui l’interrogeait. Quel exceptionnel sournois ! Quel exceptionnel menteur !
« Je crois qu’il s’en expliquera, c’est une affaire personnelle qui le concerne(vous voyez ce qu’il veut dire ?). J’ai eu Marine Le Pen au téléphone qui est très surprise et qui n’en connaissait rien non plus et qui attend comme nous tous des éclairages et des explications de Jean-Marie Le Pen », a-t-il encore affirmé. Ben voyons… Mais Philippot sait que le Chef, pour se venger des avanies qu’on lui fait subir, est capable de déclencher un tsunami, emportant tout sur son passage. Du coup, il n’en mène pas très large. Pour parler grossièrement, il pète de trouille. Et il cherche désespérément à se planquer dans un bunker. On est à Berlin, le 30 avril 1945, c’est dire…
Plaintivement, alors qu’il est lourdement soupçonné, suite aux propos du président d’honneur dans RIVAROL, d’avoir tenu la main de Marine Le Pen pour suspendre Jean-Marie Le Pen du parti qu’il a fondé, il a déclaré, au mépris de toute vraisemblance, qu’il « ne menait aucune guérilla à personne ». Il ajoute, tout aussi plaintivement : « Je ne suis d’ailleurs pas dans un combat personnel depuis le début dans cette affaire-là (propos de JMLP dans RIVAROL). Vous remarquez que je n’ai jamais dit de choses, d’arguments personnels, je suis dans un débat d’idées sous la conduite, la direction, l’impulsion de Marine Le Pen, la présidente du Front. », a-t-il déclaré avec un sacré culot avant de surenchérir : « Je n’ai jamais rien demandé, je n’ai jamais demandé l’exclusion. J’ai toujours réservé ma position en interne. » Le journaliste qui, a priori n’aime pas trop être pris pour un imbécile, et qui a des fiches lui demanda : « Vous n’avez jamais demandé à ce qu’il quitte le FN ? » Réponse grandiose de Philippot : « Non, je lui ai dit — comme l’a fait d’ailleurs Marine — qu’il serait plus sage de savoir partir, de prendre du champ et de prendre sa retraite politique. » Marine Le Pen et Philippot n’ont pourtant pas hésité à exécuter le père.
UMP : DES CANDIDATS QUI NE SOUHAITENT PAS REVENIR SUR LA LOI TAUBIRA
Voilà qui a au moins le mérite de la clarté. L’UMP a désigné comme têtes de liste aux élections régionales des candidats ouvertement hostiles à l’abrogation de la loi Taubira. C’est le cas du politologue Dominique Reynié qui a été choisi pour diriger la liste rassemblant l’UMP et l’UDI dans la région Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon. Il est le fondateur d’un « think tank » chiraquien qui a apporté dès 2005 son soutien au “mariage” homosexuel et frayé avec les lobbys LGBT les plus extrémistes, dont Act-Up. Quant à Valérie Pécresse, candidate pour l’Ile-de-France, elle considère courageusement que l’abrogation de la loi Taubira est définitivement perdue. Dans le Sud-Est, le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, également candidat aux régionales et qui se plait parfois à prendre des positions supposées “droitistes”, il a estimé que si la droite reprenait le pouvoir en 2017, elle ne devrait pas revenir sur la loi Taubira. Fidèle entre les fidèles de Sarkozy, il lui demande de « trancher une fois pour toutes » cette question qui divise le parti, afin de « ne plus en faire une affaire de débat » et considère que le mariage pour tous est « une avancée ». Oui, une avancée vers le suicide, vers l’abîme !
AYMERIC CHAUPRADE DEMANDE DES DROITS D’AUTEUR À CHRISTIAN ESTROSI
Le député UMP de Nice, Christian Estrosi a de la chance. Il n’est pas membre du Front national mariniste, sans quoi il aurait sans doute été sévèrement sanctionné pour ses propos outranciers, à l’image de ceux d’Aymeric Chauprade, qui avait déjà parlé de « cinquième colonne » et de « France en guerre contre des musulmans », ce qui lui valut un sérieux rappel à l’ordre de la part de Marine Le Pen. Christian Estrosi évoque, dans une interview une « cinquième colonne de l’islamo-fascisme », la « civilisation judéo-chrétienne menacée », la perspective d’une « troisième guerre mondiale » ou encore la « carte d’identité qui ne fait pas un Français ». On a évidemment tous compris que Christian Estrosi s’apprête à affronter le Front national aux régionales sur les thèmes de la sécurité et de l’identité… Aymeric Chauprade s’en amuse, demandant avec humour à Estrosi : « Merci d’arrêter de plagier mes vidéos ou versez-moi des droits d’auteur ! »
LE CRIF TOUT-PUISSANT CONVOQUE LES AMBASSADEURS
On aura tout vu : Et voici que le CRIF convoque 24 ambassadeurs et représentants d’ambassades en France ! Le Président du CRIF, Roger Cukierman, avait invité, c’est-à-dire convoqué, les représentants des ambassades des pays européens à déjeuner. Ce fut l’occasion d’un « vaste tour d’horizon ». Vous noterez que les tours d’horizon sont toujours vastes… Il n’y avait là que du beau monde. Bien entendu, RIVAROL n’avait pas été invité, mais ce n’est pas grave. On y retrouvait les ambassadeurs d’Allemagne, de Chypre, de Croatie, du Danemark, d’Espagne, de Grèce, de Hongrie, de Lettonie, de Malte, de Pologne, et de Roumanie, ainsi que les représentants des ambassadeurs d’Autriche, d’Estonie, de Finlande, de Grande-Bretagne, d’Irlande, d’Italie, de Lituanie, du Luxembourg, des Pays-Bas, de la République tchèque, de Slovénie, et de Suède. Cuki a su faire passer les messages. Il a présenté le CRIF et ses thèmes de travail : l’antisémitisme, la mémoire, les relations avec Israël, questions d’autant plus actuelles depuis les attentats à Paris dixit le site du CRIF. Il n’était évidemment pas question de s’arrêter en si bon chemin. Il fallait qu’ils allassent, l’un après l’autre, à résipiscence. Il convenait qu’ils se flagellassent d’importance. Les ambassadeurs furent, l’un après l’autre, comme ça se passe à l’école primaire, tenus de s’exprimer et de se justifier. Ils commentèrent bien entendu la situation de l’antisémitisme et du combat contre le jihadisme dans leurs pays respectifs et en Europe. Ils insistèrent sur la nécessité de les traiter par la fermeté, mais aussi par l’éducation, l’enseignement de la Shoah et à la tolérance, ainsi que par une réflexion sociétale sur les causes de ce fléau. Ils se prosternèrent tous, ils se couchèrent tous, le ton plaintif, avec larmes à l’oeil de circonstance. Conclusion de Cukierman : « Il faut raffermir nos idées et soutenir nos sociétés », « Il faut combattre la passivité… »
LES SOUVENIRS CROUSTILLEUX DE ROSELYNE BACHELOT
Roselyne Bachelot, ex-ministre du gouvernement de François Fillon, actuellement journaliste à la télé, est ce qu’on appelle « une grande gueule ». Elle vient de publier ses mémoires sous le titre gentillet La petite fille de la Ve, aux éditions Flammarion. Et ça dépote. Elle raconte des souvenirs croustilleux concernant des présidents qui ont marqué la Ve République. Sarkozy qui intime l’ordre à son entourage : « Bon, vous vous mettez en chasse. Il me faut un Noir, ou mieux, une Noire ! » En fait, Sarkozy avait été très impressionné par la campagne de Barack Obama, qu’il avait croisé avant son élection à la présidence des Etats-Unis et il avait prédit sa victoire. Il avait aussi discuté avec Condoleeza Rice, « une femme formidable ». Du coup, tout émoustillé par le côté glamour des noirs, il a absolument tenu à avoir son Noir, et de préférence sa Noire dans son équipe. François Mitterrand a, lui aussi, droit à quelques pages amusantes. Roselyne raconte : « Le futur président de la République avait un charme ravageur, toutes les femmes en étaient folles et il multipliait les conquêtes. » Elle cite un exemple pour le moins amusant : « Il était de notoriété publique qu’il avait pour maîtresse l’épouse d’un marchand de bestiaux du Bazois. Le maquignon étant parti avec son troupeau pour Paris, l’épouse, pensant être tranquille, fit un jour venir son amant à la maison. Quand, dans la nuit, le cocu rappliqua, Mitterrand dut se résoudre à sauter par la fenêtre et explosa la verrière en contrebas avant de prendre la fuite en se blessant assez sérieusement au visage. Le lendemain, on le voyait à la foire du chef-lieu, le visage couturé mais avec de grandes lunettes noires, souriant et serrant les mains le plus naturellement du monde ».
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
12:47 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 14 mai 2015
Jean-Marie Le Pen invité par Henry de Lesquen sur Radio Courtoisie
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Lu dans Nice Matin :
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mercredi, 13 mai 2015
Création du Cercle du Coeur noir, un nouveau centre de formation non conformiste à Paris
Communiqué du Cercle du Coeur noir :
C'est avec grand plaisir que nous vous annonçons aujourd'hui la création du Cercle du Cœur noir. Celui- ci a pour but de proposer régulièrement des conférences sur des thèmes divers et variés dans un souci de formation et de ré-information.
Les médias traditionnels (presse écrite, TV, radios...) ont trahi leurs vocations premières. Ils ne sont désormais que des antennes de propagande d'un système mondialiste qui corrompe non seulement le peuple, mais plus grave la jeunesse. C'est dans cette optique, que nous créons ce cercle afin de proposer une autre alternative. Restez en contact, invitez vos amis, partagez la page !
Notre première conférence aura lieu le jeudi 21 mai à 19h30 au Crabe-Tambour, elle portera sur Dominique Venner.
Page Facebook cliquez ici
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Contre le Système : devoir de dissidence !
Directeur de Synthèse nationale cliquez là
Editorial du n°39 de la revue Synthèse nationale
Nous l’avons rappelé à maintes reprises dans cette revue, le choix est le suivant : soit on se soumet à la volonté des castes dirigeantes actuelles et on accepte comme une fatalité que la nation française et l’identité européenne se diluent dans un vaste magma aux dimensions planétaires dans lequel l’homme ne serait plus qu’un consommateur déraciné juste bon à enrichir les comptes des groupes financiers dont les sièges sont le plus souvent établis outre-Atlantique, soit on refuse.
Si vous acceptez, c’est simple. Vous vous contentez du prêt à penser ressassé à longueur de journée dans les médias ou à l’école où l’on vous explique que le monde doit être unifié, pacifié, métissé et asexué ; que vous devez consommer tel ou tel produit, vous habiller avec telle ou telle marque et admirer tel ou tel spectacle ; que vous devez voter pour tel ou tel parti à condition bien sûr que ceux-ci disent à peu près tous la même chose. Bref, votre vie sera parfaitement programmée et encadrée et gare aux dérapages...
En acceptant cette logique de soumission, vous vous contenterez d’être l’égal des autres, de faire la même chose qu’eux, de vivre comme eux, de raisonner comme eux... Mais c’est tellement plus confortable de penser et consommer comme tout le monde puisque, ainsi, personne ne viendra vous contredire.
Mais, il y a un envers à cette médaille. En renonçant à toutes critiques du Système, vous êtes condamnés à accepter docilement toutes ses folies.
Ne vous plaignez pas
Lorsqu’une assemblée d’actionnaires avides ou un aéropages de hauts-fonctionnaires apatrides décident, au nom du profit immédiat, d’éliminer un secteur entier de l’économie d’un pays, engendrant ainsi des milliers de chômeurs en plus avec tous les drames que cela peut entrainer, il ne faut pas se plaindre…
Lorsqu’un gouvernement, composé de gens qui pour certains d’entre eux ont acquis la nationalité française depuis peu, décide, sans se soucier un instant des multiples agressions dont sont victimes quotidiennement des dizaines de milliers de Français de souches, de débloquer des sommes ahurissantes pour combattre un racisme et un antisémitisme fantasmé et cela afin que les juifs et les musulmans puissent vivre tranquilles en France, il ne faut pas se plaindre…
Lorsque des technocrates peu scrupuleux décident de souiller définitivement une grande partie de nos magnifiques paysages en implantant un peu partout d’horribles éoliennes dont l’utilité et la productivité énergétique restent à prouver, il ne faut pas se plaindre…
Si vous regardez de plus près ce qui vous sont proposés, vous vous rendez vite compte que les produits qu’on vous invite à consommer proviennent presque toujours des mêmes multinationales, que les partis pour lesquels il est de bon ton de voter défendent pratiquement la même politique, que les livres qui jouissent d’une promotion médiatique vont toujours dans le sens des idées à l’endroit, que toutes les chaines de télévision et toutes les radios divulguent le même message… La société de consommation d’aujourd’hui a, finalement, exactement les mêmes caractéristiques que les dictatures marxistes d’hier. Les dazibaos ont été remplacés par le journal de 20 h et les défilés du 1er mai par les marches blanches incontournables après chaque fait divers où l’émotionnel est de rigueur. Il n’y a finalement que l’emballage qui a changé. Le Système est prêt à tout pour imposer sa conception globalisée du monde.
Pour notre part, nous refusons cette réduction uniformisée et aseptisée de l’Humanité. Et, ces temps derniers, nous avons l’impression d’être de plus en plus nombreux dans ce cas.
Les symptômes de la rébellion
En effet, en France et un peu partout en Europe les symptômes de la rébellion se multiplient. Ceux-ci prennent des formes multiples et diverses. Que ce soit dans les rues, avec les manifs contre l’immigration en Allemagne ou en Italie qui rassemblent des foules impressionnantes, ou dans les urnes, avec les résultats jamais égalés ici et là des formations nationales ou prétendues telles. On assiste à une prise de conscience des Européens de la nécessité de reprendre en main leur destin contre la volonté d’un Système qui repose sur la pensée unique. Cela porte un nom, ça s’appelle « la dissidence » !
Cette dissidence, depuis des décennies, nous autres nationalistes et identitaires la souhaitons et la préparons.
Nous la souhaitons car nous avons toujours refusé de nous soumettre au mondialisme assassin des nations et des identités. Nous ne voulons pas voir nos peuples d’Europe disparaître dans ce grand brassage que l’écrivain Renaud Camus a appelé si justement « le grand remplacement ». Et lorsque nous disons cela, c’est sans aucun mépris pour les autres peuples qui eux-mêmes, par voie de conséquences, seraient aussi amenés à subir le même triste sort.
Nous la préparons car nous savons que nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. Face à la tyrannie sournoise du pouvoir, face à son arsenal répressif, face à ces moyens colossaux et à sa panoplie de mensonges, nos modestes revues, nos mouvements souvent éphémères, nos groupes de camarades ne représentaient pas grand-chose. Et pourtant leur travail de fourmi commence à avoir des résultats. A force de répéter inlassablement la vérité, celle-ci finit par être écoutée. Maintenant, elle doit être entendue. La paupérisation galopante, l’intensification des flux migratoires, le développement de l’insécurité, l’implantation en profondeur sur notre terre de l’islam, la disparition progressive de ce qui faisait la spécificité de la France… tout cela, nous l’avions annoncé depuis longtemps. Les événements nous donnent chaque jour de plus en plus raison.
Faire l’Europe pour refaire la France
Depuis sa création, en novembre 2006, Synthèse nationale a toujours combattu pour la renaissance d’une France française dans une Europe européenne. Nous voulons une Europe dégagée de l’influence économique et politique des lobbys mondialistes, une Europe qui renoue avec ses traditions et son identité, une Europe qui retrouve sa force, sa vitalité et sa place majeure par rapport aux autres blocs existants ou émergeants. Revendiquer aujourd’hui un tel projet peut sembler totalement chimérique… Et pourtant, lorsqu’en 1974 Alexandre Soljenitsyne se battait pour la chute de l’Union soviétique et la renaissance de la Vieille Russie, beaucoup le prenait pour un illuminé. On connaît la suite…
Soljenitsyne était un dissident. Nous sommes des dissidents. Pour sauver notre nation et notre civilisation la dissidence est un devoir. La dissidence finit toujours par l’emporter. Le combat continue.
Traduit et publié en Norvège cliquez ici
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« Affaire Ménard » : le spectacle est terminé !
Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici
Bon, ben, vous pouvez remballer, les gars. Démontez l’estrade, débranchez les spots. La représentation est terminée. Un très joli concert, les claquettes indignées de Manuel Valls, la grosse caisse de François Hollande, le piano pathétique de Christiane Taubira, le violon appliqué de Najat Vallaud-Belkacem, le chœur des médias parfaitement à l’unisson et, chaque jour, un nouveau quidam qui venait se joindre à l’orchestre, comme dans le boléro de Ravel… non, c’était chouette. Mais le tribunal administratif de Montpellier vient d’un coup de doucher leur joie : il a statué sur l’affaire Ménard. Et alors ? Et alors, rien. La requête de la Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI) a été rejetée. Il n’y a pas plus de « fiches » à la mairie de Béziers que de poux sur la tête d’un chauve.
Le juge des référés a constaté qu’il n’existait pas de « fichiers spécifiques, dématérialisés ou non, fondés sur l’appartenance religieuse, réelle ou supposée, des élèves inscrits » dans les écoles de la ville, et confirmation a été donnée que l’accès aux listes des élèves par le maire est légal.
La vérité est que Robert Ménard s’est contenté, en maire responsable, de faire au début de l’année un rapide calcul empirique, au vu des prénoms, le même calcul empirique que font les directeurs d’école responsables au mois de juin quand ils constituent leurs classes, les professeurs responsables au mois de septembre quand ils accueillent leurs élèves, parce qu’évidemment, les apprentissages ne se font pas de la même façon et au même rythme dans une classe où tous les enfants parlent la langue de Molière depuis qu’ils sont au berceau, et dans une classe où les trois quarts des élèves ont une autre langue maternelle. Que refuser de le prendre en compte serait une faute professionnelle grave, un aveuglement coupable dont les premières victimes seraient d’ailleurs ceux que l’on aurait fait mine de ne pas voir, condamnés à l’échec scolaire.
Oui, la représentation est terminée, mais ce n’est qu’un au revoir, hein ? Les intermittents du scandale ressortiront leur matériel à la première occase. Avec la même impudence et surtout la même imprudence.
D’abord parce que le parterre des amateurs devient aussi élitiste que celui de la salle Pleyel, que dans la France de M. Tout-le-Monde, cela ressemble bien à un bide et que cela finit par se voir : selon deux sondages, 54 % des Français sont « choqués par les méthodes de Robert Ménard », donc 46 % ne le sont pas, ce qui, eu égard au martèlement médiatique, est assez inattendu, et 55 % des Français sont « favorables aux statistiques ethniques ». Passons sur le fait que 9 % des Français sont à la fois en accord et en désaccord avec Robert Ménard… que ceux que la pression du politiquement correct n’a jamais rendus schizophrènes leur jettent la première pierre.
Ensuite parce que cette montée en mayonnaise est un acte pyromane. Selon la CRI, « l’affaire aurait provoqué un émoi considérable dans le pays et chez les personnes de confession musulmane ». Un émoi qui ne repose sur rien puisque, comme le précise le juge des référés, « aucun “fichier d’élèves musulmans” [n’existe] au sein de la ville de Béziers, de sorte qu’aucune liberté fondamentale n’a été méconnue », sur rien, donc, sinon les cris d’orfraie et le mot « fichage », sorti du chapeau et agité comme un chiffon rouge. Mais si émoi il y a, il est double. Émoi ouvert des musulmans, dont on attise les rancœurs, émoi rentré des « petites gens », comme dit Manuel Valls, ulcérés que l’on ne puisse pas « dire les choses ». Pour un vivre ensemble apaisé, c’est nickel.
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