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vendredi, 05 décembre 2014

La Crèche interdite...

Creche.jpgFranck Deletraz

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Jugée « incompatible avec la neutralité du service public » par le tribunal administratif de Nantes, la traditionnelle Crèche de Noël installée tous les ans dans le hall d’accueil du Conseil général de Vendée a dû être démontée mardi. Une décision profondément scandaleuse au moment où la fameuse loi de 1905 est quotidiennement piétinée par les musulmans en France, contre laquelle Bruno Retailleau, actuel président du Conseil, est bien décidé à se battre.

Christianophobie ambiante

A l’origine de ce jugement, un recours déposé par Jean Regourd, président de la fédération de la « Libre pensée » de Vendée. Brandissant mardi la loi de 1905, cet obscur laïcard devait expliquer que la Crèche « est un emblème religieux » et qu’« a priori, elle ne respecte pas ce que doit être la neutralité des bâtiments publics (…) et ne respecte pas la liberté de conscience d’un citoyen qui, rentrant au Conseil général, se voit quasiment imposer un emblème religieux et caractérisé comme tel ». De quoi faire rire nos concitoyens qui voient régulièrement leur liberté de conscience piétinée dans leur mairie lors de ces mariages musulmans accompagnés de youyous, drapeaux algériens et autres femmes voilées…

Bref, une décision grotesque, mais qui s’inscrit aussi dans un climat de christianophobie croissante et qui a suscité une importante vague d’indignation. A commencer par celle de Philippe de Villiers qui, tout en invitant « les élus du département à ne pas appliquer cette décision inique », a récusé « ce laïcisme totalitaire, qui est une forme de terreur moderne aux conséquences incalculables ». Une colère partagée par le SIEL, qui a déploré dans un communiqué que le juge administratif n’ait « pas suivi la voie de jurisprudences qui reconnaissent un héritage culturel pour admettre le maintien de traditions en dépit de leur conflit avec des règles plus récentes ».

« Nous irons jusqu’au bout »

En attendant, Bruno Retailleau, président du Conseil général, n’est pas décidé à céder. Soulignant mercredi que « de très nombreux Vendéens se sont émus, par mail, par téléphone ou sur les réseaux sociaux, du jugement du tribunal administratif », il a déclaré contester « avec la plus grande force cette décision » et annoncé que le Conseil général allait donc « utiliser tous les recours juridiques possibles pour faire annuler cette décision. Une demande de sursis à exécution va être déposée dans les jours qui viennent, en appui de l’appel du Conseil général devant la Cour administrative d’appel. Nous irons jusqu’au bout, devant le Conseil d’Etat et jusqu’à la Cour européenne des droits de l’domme s’il le faut ».

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Avortement : et le droit des pères ?

P1020933.JPGLa chronique de Philippe Randa

La France politiquement correcte a communié en cette fin novembre sur l’anniversaire de la « Loi Veil »  devenue, en quelques décennies, le contestable symbole d’une supposée libération de la femme… alors que c’est pourtant l’exact contraire de l’esprit dans laquelle la conceptrice de cette loi l’avait présentée à la Tribune de l’Assemblée nationale le 26 novembre 1974 : « L’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issues. (...) Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. C’est toujours un drame, cela restera toujours un drame. C’est pourquoi si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s’il admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour la contrôler, et si possible en dissuader la femme. »

Celles qui se réclament aujourd’hui de Simone Veil la trahissent donc en interdisant tout débat autour de cette loi. Ainsi que la députée Marion Maréchal-Le Pen l’a rappelé, de tels talibans fustigent – en les renvoyant « dans le camp des extrémistes (…) et autres caricatures infâmantes tendant immédiatement  à (les) disqualifier moralement et politiquement » – tous ceux qui en demandent sinon l’abrogation, du moins que le remboursement intégral de l’IVG, aux frais du contribuable, ne soit simplement plus octroyé sans limite et sans condition.

Ces partisans d’un nouvel Ordre totalitaire s’insurgent en effet contre tous ceux qui demande simplement aux femmes en situation de détresse une réflexion sur leur choix, en les mettant en garde sur ses conséquences et leur rappelant que cet « ultime recours » restera pour elle, à jamais, un drame… comme l’a indiqué Simone Veil.

Celle-ci méritait-elle ses héritiers ? Sans doute est-ce sa punition pour avoir ouvert sans en mesurer toutes les conséquences, une telle boîte de pandore qui, en 40 ans, aura autorisé que 8 millions d’avortements aient été réalisés : soit autant de cas où, selon ses propres mots, personne n’a pu dissuader les mères d’un tel « ultime recours ».

Mais au-delà d’un débat confisqué où chacun n’est pas libre de s’exprimer sereinement, un aspect n’est jamais abordé : on se place en effet quasi exclusivement du point de vue de la mère et de son « droit à disposer de son corps », mais rarement (jamais ?) du point de vue du père et de son droit à lui aussi « aimer et élever son enfant »… Rappelons alors une évidence qui semble échapper à beaucoup : il faut tout de même être deux pour faire un bébé !

Combien sont-ils ces pères qui voudraient garder un enfant… dont les mères ne veulent pas ? Il est trop facile d'affirmer que les mâles se défilent toujours devant leurs responsabilités !

Dans la même semaine où la loi Veil était ainsi « célébrée », était pourtant médiatisé le cas de ce père biologique d’un enfant placé dans une famille d’accueil sans qu’il lui ait été demandé son avis et qui le réclamait par voie de justice.

Que la mère ait décidé de ne pas assumer son enfant – et l’on ne peut que se réjouir qu’elle ait préféré l’accouchement sous X à l’avortement – le fait est que les pères biologiques qui réclament leur droit naturel à garder leur enfant existent : ils ne sont ni un argument fallacieux, ni un fantasme délirant !

Simplement gênant, sans doute, pour les auto-proclamées garde-chiourmes du désormais « sacro-saint » droit à l’avortement.

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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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mercredi, 03 décembre 2014

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir

23:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3165 du 27 novembre 2014

 

MARION Maréchal-Le Pen a demandé une nouvelle suspension de Maxence Buttey, élu FN de Seine-Saint-Denis converti à l’islam, qui avait été suspendu fin octobre pour prosélytisme. La commission de discipline ne l’avait pas sanctionné (voir récent article dans RIVAROL).

 

MARION LE PEN AVOUE DES DIVERGENCES AVEC PHILIPPOT

 

Interrogée le 18 novembre sur BFM-TV, Marion Maréchal Le Pen a ainsi déclaré : « Je pense que je ne suis pas la seule à m’être rendu compte du fait qu’il se soit bien moqué de nous ». « Trois heures après sa réintégration, il est allé courir sur le plateau de Canal + pour expliquer pourquoi il s’était converti et pourquoi l’islam était merveilleux et en cohérence avec le programme du FN ». « Je souhaite qu’il soit suspendu de ses fonctions au sein du FN ». « S’il réitère les comportements qu’il a eus jusqu’ici, je pense qu’il n’a rien à faire au FN », a-t-elle déclaré. Interrogée sur les djihadistes “français”, Marion Maréchal-Le Pen a indiqué : « Dix ans de prison, c’est autre chose qu’un accompagnement socio-éducatif ». Elle a précisé que le Front national voulait étendre les possibilités de déchéance de nationalité, notamment pour les binationaux. Elle souhaite également que la France sorte de l’Otan et s’est prononcée en faveur de l’abrogation de la loi Taubira. Dans la même émission, le député FN du Vaucluse a reconnu sur certains sujets (mariage inverti, islam, économie et rôle de l’Etat) des divergences avec Florian Philippot, tête pensante de Marine Le Pen. Y aurait-il des tensions entre la tante et la nièce ? Décidément, la famille Le Pen, c’est comme Dallas : son univers est impitoyable !

 

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MARION MARÉCHAL-LE PEN VOTERA POUR LA RECONNAISSANCE D’UN ÉTAT PALESTINIEN

 

Un scrutin organisé à l’Assemblée nationale aura lieu le 28 novembre, invitant le gouvernement français à reconnaître l’État palestinien. Il s’agit d’une résolution non contraignante, présentée par les socialistes. Marion Maréchal a expliqué : « Au FN, nous sommes pour la reconnaissance d’un État palestinien parce que nous estimons que cette reconnaissance donnera des droits, mais aussi des devoirs et des moyens pour lutter notamment contre le terrorisme. » Le problème, c’est que l’autre député élu avec le soutien du FN, Gilbert Collard, est contre. Il n’y a donc pas de position commune des deux parlementaires FN et RBM (Rassemblement Bleu Marine) sur la question, ce qui est plutôt fâcheux.

 

ÇA CHAUFFE ENTRE JEAN-MARIE ET MARINE !

 

Le président d’honneur du FN Jean-Marie Le Pen a déclaré le 18 novembre qu’il lui paraissait “logique” d’être la « tête de liste » du FN en Provence-Alpes-Côte d’Azur lors des prochaines élections régionales, estimant être «la meilleure locomotive ». « La question n’a pas encore été posée, mais il me paraît logique que je sois la tête de liste », a déclaré Jean-Marie Le Pen. Le même jour, Marion Maréchal-Le Pen s’était dite prête à laisser la tête de liste FN aux régionales en Paca à son grand-père s’il voulait se représenter. Interrogée par BFM TV sur sa volonté de mener la liste FN pour ce scrutin en décembre 2015, l’élue a dit ne pas l’exclure. Mais « ce que j’ai dit à Jean-Marie Le Pen, c’est que s’il souhaitait être candidat, je ne maintiendrais pas ma candidature ». La présidente du FN n’apprécie que modérément. Interrogée le 9 novembre sur une candidature de son père, Marine Le Pen, pinailleuse en diable, avait observé : « Il y a des instances au sein du FN qui décident qui sont les candidats. […] Moi, je ne savais pas que Jean-Marie Le Pen était candidat, j’avais pensé que Marion pouvait être assez légitimement candidate dans la région. » Quelle ambiance familiale ! Le doberman nazi de Jean-Marie, qui avait gobé la chatte judéo-maltaise (ou quelque chose d’approchant) de la présidente, reste décidément en travers de la gorge de Marine.

 

NICOLAS SARKOZY : “LA FRANCE S’EST TOUJOURS CONSTRUITE SUR LE MÉTISSAGE

 

L’ancien président de la République était à Aulnay-sous-Bois, pour son premier meeting en Seine-Saint-Denis. Il s’est adonné à un étonnant charabia. Florilège : « Je suis chrétien de culture et de racine, la France n’est pas que chrétienne, elle a des racines chrétiennes. » Expliquez-moi ce que cela veut dire ? Mais le métissé Sarkozy, tel qu’il se définit, nous explique : « je sais d’où je viens (d’où ?) et je connais la géographie, la France s’est toujours construite sur le métissage ». (Où est-il allé chercher cela ?) » Et enfin, cette superbe génuflexion : « Je n’aime pas le communautarisme, quand un juif se fait attaquer, bousculer, ce n’est pas l’affaire de la communauté juive c’est l’affaire de la France ! Je combats les amalgames scandaleux sur nos compatriotes musulmans de France ». Etc.

 

UN ALLEMAND, PRÉSIDENT DE LA ROUMANIE !

 

Incroyable ! Le candidat libéral Klaus Iohannis, 55 ans, issu de la minorité allemande, a remporté, contre toute attente, dimanche 16 novembre, le scrutin présidentiel avec 55 % des voix (voir l’article de Scipion de Salm en page 10). Il s’est imposé face au premier ministre socialiste Victor Ponta, pourtant grand favori des sondages. La puissante diaspora roumaine (3 millions de personnes) a sans doute joué un rôle majeur dans ce résultat. Un peu d’histoire : la présence de la minorité allemande en Roumanie remonte au XIIe siècle. C’est à la demande du roi Géza II de Hongrie que des colons allemands (dont beaucoup d’Alsaciens et de Lorrains) sont arrivés en Transylvanie (le royaume de Vlad Dracul, qui empala d’abondance les Turcs et qui inspira le magnifique livre de Bram Stocker, Dracula). Ils sont alors chargés de défendre la frontière orientale du royaume de Hongrie contre les incursions des Tatars et, plus tard, des Turcs. Les cités médiévales, les châteaux et les églises fortifiées poussèrent comme des champignons. En 1930, la Roumanie comptait une communauté allemande de 745 000 personnes. La défaite de l’Allemagne sonnera le glas de cette communauté. 80 000 allemands de Roumanie, qui n’avaient pas pu fuir trouveront la mort en Silésie. Le régime de Ceausescu, arrivé au pouvoir en 1965, et avides de devises, vit cependant le moyen de faire de l’argent avec les rescapés de la folie communiste. Il entreprit, dans la plus grande discrétion, de “vendre” à l’Allemagne les Allemands restants en Roumanie. Nicolae Ceaucescu, qui était un grand humaniste, tendance homme d’affaires, avait déclaré : « Le pétrole, les Allemands et les Juifs sont les marchandises les plus recherchées pour l’exportation ». Plus de 200 000 colis allemands en profitèrent pour quitter la Roumanie… L’hémorragie fut encore plus importante, après la chute du Conducator, en décembre 1989. Il ne reste aujourd’hui, plus que 35 000 Allemands, dont… le président de la République, Klaus Johannis ! Il est vrai que ce dernier a su transformer le petit bourg, Sibiu, érigé par des colons allemands au XIIe siècle en un joyau de la Transylvanie, au centre du pays, dans les contreforts des Carpates. Sibiu ne compte plus que 1 500 Allemands, c’est-à-dire 1 % de la population locale, mais ce diable de maire teuton a su, dès son installation à la mairie, attirer les investisseurs allemands. Il paraît que de plus en plus d’Allemands reviennent en Transylvanie. C’est ce que les mauvais esprits appelleront sans doute le «Drang nach Osten ».

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ALLEMAGNE : ET VOICI QU’ILS RÉCLAMENT DES “FEUX TRICOLORES FÉMININS” !

On croyait avoir tout vu, tout entendu… Voici qu’au nom de l’égalité homme/femme, des élus de gauche et les écologistes de la ville de Dortmund réclament 50 % de « feux tricolores féminins » dans leur ville ! Une dizaine de villes allemandes a déjà installé de tels feux, sans toutefois respecter une stricte parité, ce qui fait couiner ces folles. Et ces démentes de haut vol ne s’arrêtent pas en si bon chemin. Elles ne sont pas contentes, elles protestent contre ces feux parce que le pictogramme féminin… porte une robe !

 

UN MAIRE UMP CONDAMNÉ POUR DES PROPOS ANTI-RROMS

 

Le maire (UMP) de Roquebrune-sur-Argens (Var), Luc Jousse, a été condamné lundi 17 novembre à un d’inéligibilité et à 10 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Draguignan pour avoir prononcé des propos contre la communauté rrom. Il a fait appel. C’était le 12 novembre 2013. Suite à un incendie dans un camp de Rroms implanté sur sa commune, il avait déclaré : « Ils (les Roms) se sont mis à eux-mêmes le feu dans leurs propres caravanes ! Un gag ! Ce qui est presque dommage, c’est qu’on ait appelé trop tôt les secours ! » Du coup l’UMP l’avait suspendu durant quelques semaines, mais comme ses propos l’avaient rendu encore plus populaire dans sa commune, n’avait pas osé l’exclure et l’avait réinvesti comme candidat pour les municipales. Il fut réélu en mars 2014 pour un troisième mandat…

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici. 

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Aramis ce soir sur Radio Courtoisie

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Aramis est invité ce mercredi soir à 19 h sur Radio Courtoisie au Libre Journal de Martial Bild pour nous parler du dessin de presse en général et de son dernier album "ça calme !" en particulier.

Le nouvel album d'Aramis : cliquez ici

Le commander en ligne : cliquez là

1000 excuses... En raison d'un retard indépendant de leur volonté, Aramis et Roland Hélie n'ont pas participé à l'émission de mercredi soir. Ce n'est que partie remise.

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mardi, 02 décembre 2014

GUERRE RACIALE

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Pierre Vial

Nous le disons depuis longtemps : le XXIe siècle est le temps des guerres raciales. Prévision pour l’avenir ? Non, c’est déjà une réalité, sous nos yeux, et seuls les aveugles, volontaires ou non, peuvent le nier, pour des raisons qui vont de l’aveuglement idéologique au confort mental de petits bourgeois effrayés à l’idée de ce que cela implique et qui préfèrent choisir l’attitude de l’autruche et celle d’un individualisme égoïste (après tout, cela ne se passe pas devant ma porte et puis après moi le déluge…).

Et pourtant les faits sont là et les media, dont les défauts et les méfaits sont grands, sont malgré tout obligés d’en rendre compte. Ainsi en va-t-il pour les émeutes qui enflamment les Etats-Unis. A Ferguson (ville de la banlieue de Saint-Louis, dans le Missouri), voitures incendiées, pillages et destructions de commerces ont été le fait de ceux qu’on appelle pudiquement des « Afro-Américains », ces Noirs prenant prétexte, pour justifier leurs exactions, de la décision d’un grand jury, composé de douze personnes, ayant décidé, après examen de la totalité des témoignages (une soixantaine) recueillis sur les lieux du drame, ainsi que des pièces à conviction (enregistrements, interrogatoires, centaines de photos), que le policier blanc qui avait tué un jeune Afro-Américain avait agi en état de légitime défense, après avoir été agressé au volant de la voiture avec laquelle il patrouillait.

La ville de Ferguson illustre le fossé racial qui, aux Etats-Unis, existe depuis toujours entre des communautés que tout sépare – malgré les images d’Epinal véhiculées depuis la guerre de Sécession et jusqu’à l’élection d’Obama par tous ceux que cette évidence dérange car elle perturbe leur prêchi-prêcha multiracial. Pourtant toujours en pointe du politiquement correct, le journal Le Monde (26 novembre) est obligé de reconnaître qu’est évidente « la fracture ethnique de Ferguson, désormais majoritairement peuplée d’Afro-Américains ». Cette fracture est à l’origine des manifestations violentes qui, en écho à celles de Ferguson, ont éclaté dans 170 villes américaines (dont Boston, Philadelphie, Los Angeles, New York).

Une seule question : si un policier noir (ou blanc) avait tué un Blanc y aurait-il eu la moindre manifestation de la part des Noirs ? Evidemment non. Aux Blancs d’en tirer les conséquences qui s’imposent.

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Nantes : Eric Zémmour à la Librairie Dobrée le mercredi 10 décembre

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Réinfo, le magazine du Parti de la France de cette semaine :

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Congrès du GUD à Nanterre le 23 novembre dernier vu par l'Agence info libre

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Décès de Georges Vendryes : « nul n'est prophète en son pays »

ph_1988_Vendryes.jpgUn communiqué du MNR :

Le 16 septembre 2014 est décédé Georges Vendryes (94 ans), dans l'indifférence des médias et des autorités. 

C'était pourtant un grand physicien nucléaire, père de superphénix, réacteur nucléaire (expérimental) d'avant-garde, construit de 1976 à 1986 à Creys-Malville (département de l'Isère). Malheureusement pour lui, et pour notre pays, l'opposition politique et «écologique » (qui utilisa parfois des méthodes violentes) eut raison du projet, en 1997.

Mais le travail de Georges Vendryes, oublié en France, est célébré à l'étranger : prix Enrico Fermi du gouvernement des États-Unis, prix du Japon de la Fondation du Japon pour la science et la technologie, prix du « Scientifique éminent pour l'année 2007 », de la Société indienne de l'énergie nucléaire.
On peut faire le parallèle avec Maurice Allais, prix Nobel d'économie en 1988, dont les idées n'ont jamais été diffusées ni utilisées, car elles heurtaient le « politiquement correct ».

Travaillons à ce que nos hommes politiques fassent passer le respect de la vérité avant leurs parti-pris idéologiques.

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dimanche, 30 novembre 2014

Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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samedi, 29 novembre 2014

Après Staline, Lénine et Trotsky, Nicolas Tandler nous démonte un autre grand humaniste : Pol Pot

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Pol Pot (1928-1998) : «Pour construire l économie [...] comme pour faire la guerre [...] la direction du Parti doit exercer son rôle directeur en employant une violence tranchante [...]. » (Pol Pot, juin 1976.)

On ne dit pas «Djougachvili», mais Staline. De même, on ne parle pas de «Saloth Sâr», mais, à par­tir de 1970, de Pol Pot, son pseudonyme. D'une famille cam­bodgienne aisée, il profita de divers enseigne­ments dans la capitale du pays, Phnom Penh. Parti compléter sa formation en France, il y découvre les Lumières avec Rousseau, la Révo­lution avec Robespierre, le marxisme avec Staline. Il néglige son école technique, et il doit retourner au pays sans diplôme. Il décide alors de devenir révo­lutionnaire professionnel.

Stoïque, il fait ses classes grâce aux communistes vietnamiens, qu il hait, dans son for intérieur, comme ennemis héré­ditaires des Khmers. Devenu l organisateur du Parti communiste à Phnom Penh, la chance le sert: le chef du PC est tué, et il prend sa place. Le voici acteur d une guerre tout à la fois civile et internationale. Avec des enfants-soldats vêtus de noir, ses troupes, les Khmers rouges, se multiplieront grâce aux erreurs de la puissante Amérique, aux divisions entre républicains et royalistes, au soutien de Hanoï.

Le 17 avril 1975, Pol Pot atteint son but. Trois ans, huit mois, vingt jours, le peuple khmer subira une expérience démente, à vif, qu aucun utopiste social n avait osée avant lui. Elle lui coûtera 1700000 morts (estimation basse). Puis Pol Pot fut vaincu dans une guerre éclair par le Vietnam. Il survécut deux décennies à sa défaite, divisant le monde à son propos, avant de mourir, esseulé.

Pol Pot, Nicolas Tandler, Editions Pardes, collection "Qui suis-je ?", 128 pages, 12 €

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Vendredi 5 décembre, à Montpellier : BESANCENOT - PARISOT, MEME COMBAT !

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vendredi, 28 novembre 2014

COLONISATION ISRAELIENNE : UN VERITABLE CHIFFON ROUGE !

colonisation2.jpgLe bloc note

de Jean-Claude Rolinat

Dans le numéro 4069 de Valeurs actuelles daté du 20 novembre, il est écrit respectivement sous la signature de François d’Orcival et d’Olivier Hanne, que « la reconnaissance unilatérale par la France d’un Etat palestinien » (serait un coup de poignard) et « qu’Israël est la muraille objective », sous-entendu contre « l’Etat islamique »…

Avec ces  deux affirmations, c’est faire l’économie d’une « Guerre de Cent ans » qui oppose Arabes et Juifs en Palestine, passer sous silence l’édification d’un mur qui ceinture les enclaves palestiniennes et oublier le grignotage constant de la Cisjordanie (West Bank), par des colons hébraïques. Lesquels, parfois, étaient encore à New-York quinze jours avant  de s’installer !

Si  la déclaration de lord Balfour de 1917 reconnaissait aux Juifs le droit d’avoir un « Foyer National », consacré par le partage Onusien de 1947,  jamais suivi d’effets - il est vrai,  en partie à cause du refus contre-productif arabe – rien n’autorise, juridiquement, historiquement, ni moralement  le développement d’un  « Grand Israël ».

Je suis allé pour ma part, deux fois en Terres Saintes, en 1963 et en 2011. J’ai (presque !) tout vu, si tant est que l’on puisse jamais connaitre tout un pays : paysages et sites bibliques, kibboutz, villes nouvelles et cités anciennes, et j’ai  discuté avec des militaires, etc…

En 1963, Israël était un Etat laïc, pionnier, bâtisseur et majoritairement peuplé d’Ashkénazes. Il attirait une naturelle sympathie, entouré qu’il était par des ennemis déterminés à le rayer de la carte. En 2011,  j’ai découvert un pays beaucoup plus religieux, expansionniste et grandement habité par des Sépharades.

Entre-temps, les accords d’Oslo ont été une chance gâchée, d’une part par l’intransigeance d’un Yasser Arafat qui n’avait pas l’étoffe d’un homme d’Etat et, d’autre part, par l’assassinat (commis par un Juif !) du général Rabin. L’implantation de colonies de peuplement sur des terres dévolues aux Arabes palestiniens agit comme  un chiffon rouge face à un taureau !

La Cisjordanie, telle la France occupée par les Allemands, est « saucissonnée » et le Président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, n’a pas plus de pouvoirs à Ramallah, son « Vichy exotique », que n’en avait le Maréchal Pétain après 1942 dans sa ville d’eau…

Si le gouvernement sourd et aveugle du Premier ministre Benyamin Netanyahu voulait VRAIMENT la paix et  retirer, ainsi, toutes justifications aux très regrettables actes terroristes perpétrés contre ses concitoyens, il arrêterait immédiatement l’annexion rampante de la Cisjordanie, et concèderait à l’OLP une sorte de «Vatican » enclavé dans Jérusalem. Les Arabes de Palestine pourraient, enfin, y faire siéger leurs institutions. C’est, encore, matériellement possible ! De plus, les frontières POLITIQUES pourraient ne pas coïncider avec les limites  STRATEGIQUES nécessaires à la sécurité d’Israël. Il est clair que ces dernières doivent être sur le Jourdain, compte-tenu de l’étroitesse du couloir entre l’ancienne « ligne verte » et la mer.

Que risque l’Etat hébreu à jouer cette carte ? Il détient l’arme absolue, son armée est la première du Proche-Orient et Egypte comme Jordanie, ses deux plus importants voisins, l’ont diplomatiquement reconnu, une première dans le  monde arabe.

Si les Arabes n’acceptaient pas cette main tendue, leur mauvaise foi apparaitrait comme une évidence. En attendant, c’est Israël  qui a le mauvais rôle et n’est pas un rempart contre l’Islamisme, mais, à contrario, un excitant, un AIGUILLON ! Pour désarmer la haine nourrie par les stigmates de l’occupation, il ne reste que la négociation, pas la politique du bâton.

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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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jeudi, 27 novembre 2014

A l'occasion de la sortie de son nouvel album, Aramis répond aux questions du quotidien Présent

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Je me souviens de la parution de votre excellent recueil de dessins parus dans Minute intitulé Un pastiche, sinon rien ! Il s’agissait du Minute de quelle époque ?

Du Minute de Serge de Beketch, dans les années 1990-1993. A cette époque, avec ADG, on rigolait bien. Et puis ces pastiches m’amusaient beaucoup, même si j’en bavais quelque fois pour les faire. Enfin, je n’ai jamais été censuré. Et la liberté de ton est quand même quelque chose d’appréciable.

Avez-vous fait paraître d’autres recueils de dessins de presse, avant ce tout dernier, Ça calme ?

Je suis un intermittent du dessin. Donc il y a forcément des coupures dues à mes autres occupations. Mais, en publiant deux recueils avec vingt ans d’écart, je colle au plus près de l’esprit Dumas (Alexandre, pas Roland).

Vous avez longtemps été dessinateur de presse : pour Minute à diverses époques, ou pour Présent. Mais quel est ce Journal du chaos que vous mentionnez en fin de volume, en indiquant que les dessins de ce dernier recueil sont parus dans Minute et dans le Journal du chaos ?

Il s’agit du blog d’un de mes amis. Une fois par semaine, il reprenait un de mes cinq dessins hebdomadaires.

Quels sont vos meilleurs souvenirs de la longue période durant laquelle vous avez dessiné pour Présent ?

Je conserve d’excellents souvenirs de la période François Brigneau, pour lequel j’ai toujours éprouvé une grande affection.

Nous plaisantions alors beaucoup les uns avec les autres, peut-être plus avec Sanders, Jean Cochet et Pierre Durand. On ne se prenait pas au sérieux et on y croyait.

Nous passions aussi de bons moments après le bouclage, même si nous nous levions tôt, trop tôt à mon goût. Il nous arrivait de gueuletonner autour de François et de refaire le monde, ou de parler littérature jusqu’à plus soif. J’avais alors le sentiment que nous ne nous quitterions jamais.

Enfin, nous côtoyions des personnages de grande qualité : François Leger, Georges Laffly, Claude Adam, Pierre Monnier, Yves de Verdilhac, l’auteur du Prince Eric. Sans oublier mon bon maître, Georges-Paul Wagner. Tous aujourd’hui disparus.

Quelle est votre tête de turc préférée ?

Le marché est saturé.

Vous arrive-t-il d’illustrer des oeuvres littéraires ?

Parfois, mais peu. J’ai illustré des couvertures de livre aux éditions de L’Age d’homme. Un ouvrage de Pol Vandromme publié par Marc Laudelout du Bulletin Célinien, une édition pour bibliophiles de La Varende. J’ai aussi été pillé pour un album sur Jacques Laurent paru chez Veyrier.

Propos recueillis par Anne Le Pape

Aramis, Ça calme !, Les bouquins de Synthèse nationale, 23 euros (+ 3 € de port).

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Entretien paru dans Présent du 22 novembre 2014 cliquez là

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Vendredi soir, Présent reçoit ses lecteurs. Aramis, et bien d'autres, seront au rendez-vous

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Le nouvel album d'Aramis : cliquez ici

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Carl Lang à Nice : un entretien avec Dtom

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Par Jean-René LAGET, Directeur de Dtom cliquez ici

Je rencontrais Samedi 22 Novembre 2014 dans un restaurant à Nice le Président du Parti de la France, Carl LANG venu rencontrer ses troupes maralpines et le nouveau responsable de sa toute nouvelle section mentonnaise. Des troupes remontées à bloc venues acclamer l’Espoir d’une fédération de la Droite Nationale et patriote déjà débutée en 2011 avec la création de l’UDN, Union de la Droite Nationale, dont le MNR jadis de Bruno MEGRET et la NDP, Nouvelle Droite Populaire font partie.

JRL : Bonjour Monsieur le Président

CL : Bonjour. 

JRL : En ce jour de lancement de la section mentonnaise et de votre visite dans les Alpes Maritimes, dtom.fr vous a proposé de vous rencontrer et de réaliser votre interview. Tout d’abord, nous allons procéder à votre présentation. 

CL : Le Parti de la France a été fondé en 2009. Pour ce qui me concerne, de 1978 à 2008, c’est à dire entre ma vingtième et ma cinquantième année, j’ai été membre du FN. A deux reprises son Secrétaire Général de 1988 à 1995 et de 1998 à 2005. Député Européen de 1994 à 2009 et Conseiller Régional du Nord Pas de Calais de 1992 à 2010. J’exerce, et de nouveau, ma profession de masseur-kinésithérapeute. 

JRL : Présentez-nous votre parti, le Parti de la France ainsi que l’UDN, l’Union de la Droite Nationale. 

CL : Le Parti de la France est un parti de Droite Nationale et Européenne. J’insiste sur : Droite, Nationale et Européenne. Dans le domaine économique, il défend les valeurs de Droite de promotion de l’entreprise, du travail, des libertés économiques, du refus de l’étatisme, du fiscalisme et du collectivisme. Des valeurs pour sortir la France de l’ornière économique et sociale dans laquelle elle se trouve. A la fois national et européen car je considère en effet qu’il faut réaffirmer les droits du Peuple Français à disposer de lui-même et à rester lui-même. Fier de son histoire, de son identité, de sa culture. Mais cette démarche nationale s’inscrit dans un enjeu de civilisation. Notamment de la défense des valeurs européennes et chrétiennes. Tous les patriotes des nations d’Europe devront relever ensemble au cours du 21 ème siècle les mêmes défis : démographique, migratoire, culturel, islamique et économique et social. 

JRL : Aujourd’hui, quelles sont les relations que vous entretenez avec le FN, notamment depuis Brignoles ? Jean-Paul DISPARD, ancien Conseiller Général frontiste, puis candidat du Parti de la France lors des élections cantonales partielles d’Octobre 2013 est-il toujours en relation avec ce dernier ? 

CL : A ma connaissance, non et je conserve un certain nombre de relations personnelles avec des dirigeants et militants du FN. Mais le FN de Marine LE PEN refuse tout contact avec la véritable Droite Nationale et ce au nom de son obsession à la normalisation médiatique d’où la dérive toujours plus à Gauche de son discours. Pour le reste le Parti de la France est favorable au rassemblement le plus large possible de toutes les composantes de la Droite Nationale et patriotique. Nous devons nous organiser ensemble au nom de l’intérêt national et quelques soient nos différences de sensibilités afin de préparer le redressement français.

JRL : Outre les relations que vous entretenez avec le MNR et la NDP et des associations politiques ou des non relations avec le FN, entretenez-vous des relations avec d’autres partis comme DLF (Debout La France), le RPF, Ligue du Sud, CPNT ou bien des associations politiques et mouvements tels que la Manif Pour Tous, le Printemps Français ou bien l’Avenir Pour Tous de Virginie TELLENNE alias Frigide BARJOT ? 

CL : Par principe, le Parti de la France est favorable au développement de toute forme de coopération et d’action avec les organisations, associations et politiques qui agissent dans le sens du redressement national et de la défense de la Patrie. Je crois que l’avenir, par souci d’efficacité, imposera les modes de collaborations et d’actions communes. Je crois à l’Union des droites. Je n’ai pas d’ennemi à Droite. 

JRL : On l’a vu récemment, le Parti de la France se relance sur les réseaux internet : nouveau compte officiel twitter, le Réinfo, la nouvelle présentation du site national, pouvez-vous nous en dire plus ?

CL : Nous constatons la Politique du système d’omerta pratiqué à l’endroit du Parti de la France par les grands médias partisans du système et nous ne pouvons donc que compter sur nous même. Le système médiatique a concédé pour des raisons stratégiques utiles à la Gauche un monopole à Marine LE PEN en dehors de l’UMP et des autres partis du système. Nous avons donc mis en place un nouveau pôle de communication sur notre site internet avec des magazines bimensuels de réinformation et 1 ou 2 fois par mois des invités politiques qui ne sont pas nécessairement membres du Parti de la France. Nous espérons à ce titre avoir le plaisir de recevoir le Président du RPF dans le souci d’établir des liens politiques plus importants parmi les représentants de la vraie Droite Française. 

JRL : Le Parti de la France sera-t-il sur la ligne de départ des départementales (ex cantonales) et régionales et aux côtés de qui ? 

CL : La réponse à cette question est liée à nos capacités de financements des campagnes électorales. Nous ne disposons pas de financements publics. Ce sont les militants qui financent. Nous concentrerons probablement nos efforts dans certains secteurs ciblés de ce que j’appelle « le harcèlement électoral » et ce dans l’attente de pouvoir dans le futur mener de grandes batailles rangées politiques. Dans cet esprit, le Parti de la France et l’UDN peuvent soutenir d’autres secteurs de candidats patriotes qui défendent les principes et nos valeurs. Je reste favorable à l’Union à la base des patriotes de la Droite Nationale. 

JRL : Si on vous dit aujourd’hui « Jean-Marie LE PEN », cela vous inspire quoi ? 

CL : Je pense que Jean-Marie LE PEN a eu l’immense courage de fonder et porter le FN depuis plus de 40 ans. Aujourd’hui il est marginalisé dans son propre mouvement. Sa fille et son entourage n’attendent avec impatience qu’une chose : qu’il disparaisse de la vie politique. 

JRL : On a notamment lu votre communiqué concernant l’élection de Monsieur Pierre-Marie VERDIER à la tête de la commune de Besmont (02) sur une liste d’intérêt communal. Combien d’élus composent votre parti, et notamment de maires, maires adjoints, élus Parti de la France ou Divers Droite (DVD), etc… ? 

CL : Je ne peux répondre à cette question puisque nombre ont été élus sur des listes d’intérêts communaux. Ce qui est clair aujourd’hui c’est que nous recrutons beaucoup d’élus locaux, déçus ou trahis par l’actuel FN et qui ne se retrouvent plus du tout dans le discours de souverainisme de Gauche de Marine LE PEN et Florian PHILIPPOT. Nous sommes un pôle de ralliement pour beaucoup de militants de la Droite Nationale, militant pendant des années au FN

JRL : Serez-vous candidat à la Présidentielle et si oui, quelles sont vos espérances pour ce scrutin ? Si élu, quelles seraient les premières mesures que vous prendriez et quels seraient les noms sur lesquels vous pourriez compter pour former un gouvernement ? 

CL : Au moment où nous parlons, notre objectif pour 2017 est de présenter des candidats aux élections législatives avec le souci de contribuer au rassemblement le plus large possible de candidats de la Droite Nationale. Concernant l’Election Présidentielle, je ne suis pas aujourd’hui en mesure de vous indiquer quelle sera notre attitude et nos marges de manœuvre. 

NDLR Lire aussi NDP 06 cliquez là

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Pour une législation consacrant le droit à la vie de la conception jusqu'à la mort naturelle

10647212_565353963598090_8447621227946576138_n.jpgUn communiqué de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France :

En ce funeste 40e anniversaire de la loi Veil dépénalisant l'avortement, le Parti de la France rappelle sa volonté d'abroger les lois Veil-Aubry-Roudy et de les remplacer par une législation consacrant le droit à la vie de la conception jusqu'à la mort naturelle.

Durant 40 ans, les fanatiques de l'IVG ont entrepris d'habituer les consciences à l’abominable, de changer les mots pour tromper les intelligences, d'asservir les volontés.

A l'inverse, le Parti de la France s'engage à remplacer la législation sur l’avortement par une législation de protection de la mère de famille et de protection de l’enfant. Celle-ci permettrait de tourner définitivement le dos à une véritable culture de mort au profit de l'accueil de la vie.

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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mercredi, 26 novembre 2014

Jacques Bompard sauve l'honneur de l'assemblée nationale

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3164 du 20 novembre 2014

FLORIAN Philippot, le numéro deux du FN, ne recule devant rien. Pour le 44e anniversaire de la mort de Charles de Gaulle, le vice-président du Front national a rendu hommage, à titre personnel, au général, « référence absolue » de son engagement politique, il y a quelques jours, à Colombey-les-deux-Eglises (Haute-Marne). En présence de hautes références, tels Anne Hidalgo, maire PS de Paris, dont on se demandait ce qu’elle venait faire là, et le préfet de Haute-Marne. Curieusement, aucun cadre de l’UMP n’avait fait le déplacement. Nicolas Sarkozy, qui cite pourtant à tour de corde vocale le massacreur de Brasillach, de Bastien-Thiry, de Dovecar, de Piegts et de tant d’autres, était absent. Mais Philippot était là, entouré d’une centaine de militants. Il a déclaré, à son arrivée, l’air grave et la bouche en cul de poule, avant de déposer une gerbe sur la tombe blanche de Charles De Gaulle, sous les quolibets de quelques spectateurs : « Le général est un exemple pour moi, une référence absolue pour mon engagement politique. Il figure la Résistance et incarne l’indépendance nationale, la grandeur de la France et le rassemblement des Français. »

 

LE FN MARINISTE ET GAULLISTE A ENCORE FRAPPÉ

 

Il a beau être énarque, mais cet oiseau ne sait pas de quoi il parle. Le volatile ne pouvait évidemment pas s’arrêter en si bon chemin. Comme les cacatoès, bavard en diable, il poursuivit son profond cheminement intellectuel, déclarant (toujours avec la bouche en cul de cacatoès) : « Le message du général De Gaulle est un message très moderne avec une éthique très forte. Alors que le système politique UMPS se perd dans les boules puantes et le marigot politicien, il y a chez nous au FN une volonté de faire vivre la France dans sa grandeur et sa souveraineté ». Une grandeur qu’incarnait De Gaulle, comme ne l’ignorent pas ceux qui n’ont pas oublié Robert Brasillach, le maréchal Pétain, ni les rapatriés et les harkis… Mais qu’en dit Marine Le Pen, qui a évidemment donné son accord à la prosternation de Philippot ? Elle a rappelé qu’il s’agissait d’un « geste personnel », se déclarant pour sa part, “gaullienne” et ajoutant : « J’accorde au général de Gaulle d’avoir été probablement le dernier véritable chef d’État, avec une vision d’une France libre de sa destinée. » Elle a tout de même relevé, cherchant sans doute à éviter la fureur de son père : « Entre le général De Gaulle et moi, il y a la guerre d’Algérie. J’ai beaucoup de considération et je partage la souffrance des pieds-noirs, des harkis, qui ont eu le sentiment (sic) d’être trahis ». Elle n’a évidemment pas évoqué Robert Brasillach, qu’elle ne connaît sans doute pas. Mais que dit Florian Philippot ? « L’affaire algérienne est une affaire ponctuelle (ponctuelle… !), qui laisse encore des traces, mais le temps passe». « Comme le temps passe », pour reprendre le titre du magnifique roman de Robert Brasillach. Certes, mais nous, nous n’oublierons jamais, nonobstant le temps qui passe…

 

BONNE NOUVELLE : JUPPÉ, LE CHÉRI DE CES MESSIEURS-DAMES, ÉVOLUE

 

On se souvient d’Alain Juppé, « droit dans ses bottes ». Juppé se révèle être, en fait, un être sensible qui change d’opinion comme de petite culotte. Député de la Gironde au moment du débat du Pacs, en 1999, il vote contre, expliquant que s’il était contre, c’est parce qu’il était contre. Mais pas de problème, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. Dix ans plus tard, il avait déjà réfléchi et se déclara « favorable à une totale égalité des droits, au travers d’une union civile ». Il déclara, l’air grave et concerné : « J’ai évolué et je pense aujourd’hui qu’il faut donner aux homosexuels exactement les mêmes droits qu’aux hétérosexuels », ajoutant dans une récente interview aux Inrocks : « Je suis convaincu qu’on ne reviendra pas en arrière : on ne démariera pas les couples homosexuels. » Mais qu’en est-il de l’adoption pour les couples homosexuels ? « Aucun des arguments en faveur de l’adoption ne tient la route », déclare-t-il, toujours aussi droit dans ses bottines, en janvier 2013. Oui, mais que dit-il en octobre 2014 sur le plateau de l’émission « Des paroles et des actes » ? « Je me fais violence (au sujet de l’adoption par les homosexuels) » Et puis, et puis ? Il vient de déclarer, il y a quelques jours : « Après mûre réflexion, je suis favorable à l’adoption par un couple du même sexe ». Ciao, pantin !

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GILBERT COLLARD MOUCHE MARINE LE PEN

 

J’ai souvent critiqué dans ces colonnes Gilbert Collard. Le député Rassemblement Bleu Marine du Gard vient cependant de dire une vérité qui déplaira forcément à Marine Le Pen, qui avait déclaré qu’il n’y avait pas de Grand Remplacement, que la thèse de Renaud Camus était erronée, qu’il s’agissait d’une thèse complotiste, racialiste, etc. Gilbert Collard vient d’affirmer : « Je pense qu’il y a tous les risques d’un grand remplacement », vantant au passage les qualités de Renaud Camus. Mais que pense-t-il du déni de Marine Le Pen, pour qui, sans doute, l’immigration musulmane n’est pas un danger pour la France ? Il considère que la formulation inepte de « fantasme racialiste » est une “couardise”. Une fois n’est pas coutume, bravo Me Collard !

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L’HUMOUR, INTERDIT EN FRANCE

 

On sait que ces gens-là n’ont aucun humour. Pas davantage que ceux qui guillotinaient dans les années 1794. Pas davantage que ceux qui massacraient dans les années 1945. Le directeur de la publication de Minute, Jean-Marie Molitor, vient d’être condamné à 10 000 euros d’amende pour sa “Une” consacrée à Taubira. Une somme ridicule, a considéré le parquet de Paris, qui a fait appel le 12 novembre. Les juges, considérés comme trop cléments, avaient par ailleurs relaxé Molitor et le dessinateur David Miège, dans l’affaire du dessin représentant un singe, versant une larme, au sujet duquel l’avocat déclarait : « Mon client porte plainte pour avoir été odieusement caricaturé en madame Taubira ». Le ministère public a décidé là aussi de faire appel. Me Frédéric Pichon, avocat de Minute et de Jean-Marie Molitor, parle non sans raison d’« acharnement judiciaire ».

 

L’HUMOUR INTERDIT EN FRANCE (SUITE)

 

Christian Schoettl, le maire de Janvry (Essonne) est un parfait inconscient, tendance suicidaire. Il vient d’appeler un lama femelle qui vient tout juste d’intégrer le parc animalier de Janvry, “Najat”. Un lama cracheur, qui a la prétention de se mêler de l’Education, comme Najat Belkacem, on n’avait, il est vrai, jamais vu ça. Et puis, il y a eu l’arrivée d’un chameau. Le maire raconte : « Tout a commencé avec l’arrivée d’un chameau qui faisait tout le temps non de la tête et qui blatérait sans cesse. Nous l’avons eu au moment de la campagne de Mélenchon contre le Traité constitutionnel européen du 29 mai 2005. Nous avons trouvé un air de famille alors nous l’avons appelé Méluche ». Vint ensuite un wallaby — petit kangourou — blanc albinos qui sautait beaucoup et que l’édile a décidé de surnommer DSK. Mais le wallaby était seul, beaucoup trop seul. Pas longtemps. Notre maire raconte : « Nous l’avons privé de femelle pendant six mois, et, ensuite, nous l’avons installé avec une femelle que nous avons appelée Martine… Vous imaginez DSK, condamné à vivre avec Martine Aubry ? » Et puis, dans la ménagerie, il y a aussi Harlem, le taureau tibétain. Il paraît, selon le maire, que « c’est un gros fainéant. Il est vraiment très chiant ». Mais où en est affectivement Najat, la lama. Pas de souci. Elle vit des moments heureux avec le lama Boris. Boris ? Explication du maire Christian Schoettl : « Boris est le mari de la ministre. On n’est pas salauds, on ne les a pas séparés ». En voici un original, comme on les aime ! Dernière déclaration de l’édile : « Notre commune est la dernière à maintenir son recours au Conseil d’État contre la réforme des rythmes scolaires. Dans ce combat, nous n’avons jamais pu avoir le moindre contact avec la ministre. Cela témoigne d’un certain dédain qui mérite bien un nom d’animal dans notre petit parc. »

 

LOUIS ALIOT BALANCE, BALANCE…

 

Il y a ainsi des individus qu’il vaut mieux ne pas avoir comme voisins, en des périodes troublées. Nos amis Rivaroliens de Perpignan, Laurent et Philippe, mon amie Hilde, ancienne députée du Vlaams Belang flamand, mon camarade catalan espagnol Enrique, me contactent, scandalisés. Ils ont la rage… Un récent référendum a donné aux partisans de l’indépendance de la Catalogne espagnole une immense majorité : 80 % des suffrages. Le tribunal administratif espagnol refusa de reconnaître le résultat du référendum. Soit. Des manifestations (pacifiques) eurent lieu, en Espagne, mais aussi en Catalogne française, à Perpignan, pour dénoncer la décision du tribunal administratif espagnol. Louis Aliot, le compagnon perpignanais de Marine Le Pen, ne trouva rien de mieux, au lieu de se taire et de ne pas se mêler des affaires internes d’un pays voisin qui est seul à même de décider de son destin, que d’envoyer une lettre dénonciatrice à la “préfète” des Pyrénées-Orientales, dans laquelle il s’insurge contre ce qu’il nomme des « groupes extrémistes » qui défilent dans Perpignan ou manifestent devant le consulat espagnol. Ce qu’il appelle “extrémistes” ce sont des personnes qui manifestent pacifiquement au son des tambours et des “gralles” (bombarde catalane) et qui applaudissent à la réalisation d’un “castell” (tour humaine) ou à des chants d’une chorale catalane… N’y a-t-il pas d’autres priorités, d’autres urgences en France que de s’immiscer à ce point dans le débat passionné sur l’indépendance ou non de la Catalogne espagnole quel que soit par ailleurs l’opinion que l’on est bien sûr libre d’avoir sur ce dossier de ce côté des Pyrénées ? Aliot ferait mieux de dire à sa concubine qu’elle doit urgemment réviser sa position sur le “grand remplacement” !

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

15:58 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de Xavier Eman au Crabe Tambour

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Le Cercle Franco-Hispanique a rendu hommage au Général Franco et à José Antonio Primo de Rivera

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Dans le cadre de ses rendez-vous annuels, le cercle Franco-hispanique a maintenu la tradition de faire dire une messe pour le repos de l’âme de Francisco Franco et celle de Jose Antonio Primo de Rivera. Une petite cinquantaine de personnes a donc répondu présent à l’invitation qui leur avait été adressée le 19 novembre dernier, en la Chapelle du Sacré-Cœur-de-Jésus située au 20 rue Gerbert, Paris 15e

C’est l’Abbé Toulzat, de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X qui a prononcé une très belle homélie et redonné confiance et espérance dans le combat à poursuivre. Un sermon d’hommage rendu au Chef d’Etat espagnol très catholique et qui a remis la catholicité au premier rang des valeurs de son pays. Il faut dire que l’abbé Toulzat qui dirige la revue Fideliter connait particulièrement bien la question franquiste pour lui avoir consacré notamment plusieurs dossiers. Nous sommes dans de bonnes mains et nous sommes ici « chez nous » a-t-il dit. Semper fidelis nous va très bien ! 

D'autre part, le Cercle Franco-Hispanique vient de publier un petit livre fort intéressant dans lequel vous pourrez lire les sermons prononcés par Monsieur l'Abbé Beauvais ces dix dernières années lors des messes du 20 novembre.

Vous pouvez commander ce livre vendu au prix de 10 € (+ 3€ de port) au Cercle Franco-hispanique 4 bis, rue Caillaux 75013 Paris

15:42 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dresde (Allemagne), lundi soir : par milliers les habitants descendent dans les rues pour dire "Halte à l'islamisation de l'Europe !"

Un seul cri : "Nous sommes le Peuple !"

14:22 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |